La thérapie par résonance a été conçue par George Lakhovsky, Nikola Tesla et Royal Rife
La thérapie par résonance
La thérapie par résonance a été conçue par les scientifiques George Lakhovsky, Nikola Tesla et Royal Rife. Le scientifique d’origine russe, George Lakhovsky partait de l’hypothèse que chaque cellule a sa propre fréquence de résonance. Si un organe ou une partie du corps est atteint, infecté ou malade, la résonance des cellules en question baisse. Son idée était de construire un appareil pour générer un champ de fréquences dans un spectre très large. En plaçant la personne malade ou les parties du corps atteintes dans ce spectre de fréquence, les cellules atteintes reconnaissent leur propre fréquence et résonnent dans leur propre fréquence de résonance et la maladie disparaît. On parle ici de régénération du corps, ce qui va plus loin que la guérison. La régénération est le remplacement des cellules irrémédiablement détruites ou perdues par des cellules semblables. Cette régénération se fait de façon parfaitement naturelle ; puisque nos cellules se composent de fréquences de résonance (vibrations) et sont régénérées, car remises dans la bonne fréquence, ce qui résulte en un meilleur fonctionnement du corps sur tous les plans.
Lakhovsky va encore plus loin ; il pense qu’il doit être possible d’arrêter la progression des maladies dégénératives comme la leucémie et le cancer, voire de les guérir. Faire fonctionner un appareil semblable est un problème technique. Après de longues périodes d’expérimentation, il fait appel à Tesla, qui détient déjà plus de 1000 brevets (entre autres comme découvreur du courant alternatif). Tesla avait donné une conférence sur le sujet 13 ans plus tôt, et il avait des projets tout prêts. L’oscillateur à ondes multiples permet d’activer des processus de guérison et il s’avère possible de guérir la plupart des cas de cancer, leucémie, ostéoporose,…. Une grande partie du travail de Lakhovsky fut réalisée entre 1920 et 1930. Plusieurs machines de Lakhovsky ont fonctionné dans des pays tels que la France, l’Italie, l’Angleterre et l’Allemagne avant de disparaître progressivement car elles donnaient des résultats trop rapides, ce qui n’était pas rentable pour les hôpitaux. C’est la deuxième guerre mondiale qui mit fin aux recherches de Lakhovsky. Lors d’une visite aux Etats Unis, il est renversé par une grande voiture noire et, malgré ses protestations, il est ramené à l’hôpital où il meurt dans des circonstances obscures. Le nom de l’oscillateur à ondes multiples a été remplacé par " Multi-Rejuvenator ", puisque nous avons optimisé l’appareil avec la photothérapie, et nous l’avons mis au goût du jour pour en faire un instrument encore plus efficace.
et en détail .....
Lakhovsky
un visionnaire hors du temps !
Georges Lakhovsky (1869-1942) biophysicien d’origine russe mais de nationalité française, fut un précurseur en matière d’utilisation d’ondes électromagnétiques de haute fréquence à visée thérapeutique. Il était contemporain et ami de Nikola Tesla auprès duquel il a utilisé le savoir-faire en électromagnétisme pour construire son émetteur-oscillateur multi ondes. Ses théories avant-gardistes fondées sur une connaissance approfondie de la biologie et de la physique, établissaient non seulement les fondations d’une thérapeutique prometteuse mais aussi des concepts révolutionnaires sur la nature du temps, de l’espace, de la matière, de l’énergie et de l’information !
Initialement il s’agissait d’utiliser une information-signification à visée thérapeutique, portée par les signaux physiques d’ondes de nature électromagnétique, et transmise à l’organisme qui la recevait, la décryptait et l’utilisait.
Ses premières applications médicales furent réalisées au début des années 1930 dans divers hôpitaux parisiens (Val de Grâce, Necker, St Louis) avec un appareil radio oscillateur cellulaire générant via deux antennes (de 10 circuits C) de haute impédance, un champ électrostatique d’à peine 1 mégahertz pulsé en trains d’ondes de quelques centaines de hertz.
Cette première version d’appareillage fut la plus connue en France et en Italie mais aussi la plus controversée. La dernière version -MWO- (brevet US enregistré le 12 juin 1943), la moins connue et la plus énigmatique, expérimentée en protocoles universitaires à Chicago et à New York (après son départ de France avant l’invasion nazi), fonctionnait par l’emploi d’ondes électromagnétiques modulées en multifréquences opposées.
Les radiations étaient pulsées en mécanismes tournants à très haute fréquence, via les deux antennes de 13 circuits C. Celles-ci étaient composées chacune de 13 tubes creux, circulaires et concentriques mais non contigus de cuivre (jaune et rouge) disposés en alternance entre des circuits en aluminium. Les circuits étaient maintenus et isolés par un fil de soie ceci pour optimiser le phénomène de résonance. Les mécanismes tournants des pulsations traduisaient l’importance de champs magnétiques asymétriques induits par des courants de haute fréquence atténués par une coupure de l’étincelle. Le patient était placé entre les deux antennes c’est à dire dans leurs champs oscillants de haute fréquence et chaque cellule de la zone à traiter était ainsi exposée - avec une pénétration maximum de 20 cm - à l’effet résonant : exactement comme une corde de guitare qui vibre lorsqu’elle est exposée à un son résonant.
Lakhovsky expliquait cette notion de syntonie par la condition d’un transfert maximum d’énergie (par triangulation) pouvant être réglé avec un ampèremètre thermique H-F indiquant l’intensité maximum. La durée du traitement quotidien variait de cinq à dix minutes, ce laps de temps était purement arbitraire puisque les radiations ne provoquaient aucun effet thermique ni de perturbation organique. Lakhovsky expliquait que quelle que soit la cause pathogène, les multi ondes reproduisaient et surtout rehaussaient les fréquences nécessaires pour rétablir l’équilibre naturel oscillatoire des cellules. Chaque cellule peut alors de nouveau vibrer à sa propre fréquence naturelle et à sa propre longueur d’onde. Dans tous les cas pathologiques et selon leur stade de développement (pour les cancers), les traitements donnaient de très bons résultats, des guérisons spectaculaires quelques fois après seulement 3 séances (on a soupçonné à juste raison un effet retard). C’est donc l’organisme lui-même qui par sa vitalité renforcée par l’oscillation optimisée des cellules, résiste et détruit (étouffe) les agents pathogènes sans détruire le tissu vivant (rapports divulgués en appendice de son livre « Le secret de la Vie »).
(Note : les virus ont une structure cristalline et peuvent de ce fait être éradiqués en utilisant leur contre fréquence !)
Son émetteur-oscillateur, Multi Wave Oscillator, MWO, Oscillateur à Ondes Multiples fonctionnait avec toutes les longueurs d’ondes basiques de 10 cm à 400 m fournies par induction via des bobines et des condensateurs de faibles capacités (éclateurs de Tesla ) : des dipôles hertziens de fréquences opposées, clos sous lampes ou tubes à vide dont les bobines sont réduites en multi étages sur une échelle de plusieurs tours à une fraction de tour (brevet français du 21 novembre 1941) et ouverts : des boucles couplées aux circuits oscillants des antennes. Lakhovsky a utilisé des lampes multi triodes à bulbe sous vide ceci pour ne pas altérer les modulations d’impulsions à étages multiples, la transmission des ondes ultracourtes et ainsi éviter leur distorsion.
Chaque circuit creux des antennes (clos hermétiquement) de par leur alliage de cuivre (jaune et rouge) et d’aluminium, créait intérieurement des effets thermo-ioniques en rapport avec des interactions gazeuses entre des isotopes de matière et d’anti-matières radioactifs par leurs liaisons h (hydrogène). Ces interactions émettaient de nombreuses harmoniques qui avec leurs ondes basiques, leurs interférences et leurs effluves électroluminescentes, pouvaient atteindre l’échelle de l’infrarouge et même celle de la lumière blanche visible dans le spectre électro-acoustique et optique à environ 3000 trillions de hertz.
La technologie mise en oeuvre dans la conceptualisation de son MWO était un point de départ dans la compréhension actuelle de phénomènes plasmiques (entre l’électro-spectre acoustique et optique) et leurs applications potentielles dans les domaines d’énergie hyper acoustique et d’effets miroir interactifs dans des systèmes cristallins transistorés et où il est question de phénomènes holographiques. A ce jour, les expériences menées à ce sujet démontrent que des mécanismes contrarotatifs peuvent, dans certaines conditions mettant en jeu des systèmes non linéaires, générer des fréquences pures d’ondes de chocs de nature électro-acoustique (entre phonons et gravitons), entre des holostructures cristallines exotiques et des propriétés virtuelles émergeantes du vide quantique absolu au travers de l’hyperespace.
Bien que le MWO fonctionnât sur les principes primaires de l’électromagnétisme, Lakhovsky n’assimilait pas l’énergie radiante à des particules hautement chargées électromagnétiquement mais plutôt à un fluide électrique énergétique de valeur très élevée
(Note : Cela correspond tout à fait à la technologie de Nikola Tesla : ’’Magnifying Transmitter’’ utilisée dans le fonctionnement de ses générateurs ’’0-Time’’).
Les récentes découvertes en matière de plasmas valident ses affirmations et prouvent que les mouvements contrarotatifs des électrons négatifs et des ions positifs constituent un courant électro-plasmique en rapport avec la lumière luxonique (les luxons de la barrière de la lumière 300 000k/s) et auxquels s’associent (aux bradyons sous-luminiques) ipso facto les champs magnétiques des photons. Actuellement, avec la compréhension de ces phénomènes de radio interactivités nucléaires dans les milieux plasmiques provoqués par des ondes de chocs dans les structures cristallines ADN (nano cristaux), on peut rationaliser en partie des concepts à partance de connaissances approfondies en psycho biophysique. Concepts qui à l’époque étaient certes révolutionnaires mais incompris car trop en avance sur leur temps. Lakhovsky était (ainsi que son ami Tesla) un érudit en matière d’électro-acoustique et de phénomènes magnétiques (qu’il nommait ’’Universion’’) qui sous-tendent les principes qui régulent les fluctuations cycliques, logarithmiques et dissipatives de tous les systèmes vivants du microcosme au macrocosme et au travers de toutes leurs échelles de manifestations temporelles et dimensionnelles.
Pour construire les antennes de son appareil, Lakhovsky emprunta le design et les proportions du Golden-Ratio (Nombre d’Or) de Pythagore. Les circuits en C des antennes sont accordés et agencés selon un logarithme périodique dérivé de relations numériques entre les vibrations des harmonies tonales (octaves) ou harmoniques ayant leurs équivalences de fréquences concordantes avec un spectre électro-acoustique d’une tonalité inaudible.
Lakhovsky orienta donc ses recherches sur les harmoniques du son et de la lumière séparés seulement par la mesure du son en fréquences et de la lumière en longueurs d’onde (vitesse de la lumière/fréquence). Les harmoniques sont également en rapport avec une radiation ’’maser’’ d’un ’’Dipôle Primordial’’ (’’Arché-Génotype-Cosmique’’), dont leur niveau respectif de vibration est un sur multiple des harmoniques de l’ultra basse fréquence de l’ADN qui est elle-même interconnectée (via son Dipôle Originel) par d’extraordinaires harmonies numériques à un niveau intégrant une ’’Courbe Spiralée Infinie’’ de modulations tonales qui orchestre au travers les ’’Réseaux Matriciels Cristallins’’ de toutes ses structures psychophysiques dissipatives, sa propre démodulation dans d’infinies sphériques de courbes de groupes quantiques croissant et énergétiques décroissant.
Sa démodulation s’exprime dans une échelle de vibrations atténuées dans d’innombrables dimensions et variables temporelles. Le 13ème anneau C le plus externe (le plus grand) des antennes symbolise Cette Courbe Infinie de l’Univers et de Laquelle jaillissent des myriades de courbes ’’ouvertes’’ (brèches temporelles) gigognes (ou cordes selon la théorie des Super-Cordes). Elle fait également office de système d’ancrage entre le vide quantique absolu et les multi courbes gigognes de lumière diffractée au travers du ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ d’une structure psychophysique donnée. La Courbe Infinie évoque également la notion de ’’Signification-Information’’.
(Note : le terme ’’Signification’’ désigne un potentiel virtuel unifié (dans le sens de force duale et ’’d’Information’’ compressées)
potentiel intégrateur et autorégulateur de vecteurs énergétiques trans-temporels (non scalaires) et trans-dimensionnels. Ce potentiel virtuel est immanent à toute structure psychophysique dissipative dans toutes les échelles de résolutions observées au travers de son propre ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ et dans toutes les densités temporelles de tous les univers (de l’infiniment petit à l’infiniment grand) et à travers tous les états basiques de la chaîne de la matière et de l’anti-matière. En termes de ’’Cyber-Noétique’’, la notion de ’’Signification’’ se rapporte à l’étude des hyperbolique-sphériques (abusivement interprétées comme des sphères) de quantum de qualia (ondes psi) associés aux quanta.
Concernant les valeurs numériques, il a pris en considération la série de Fibonacci qui aboutit en une séquence de nombres (1+1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, 144....etc) ayant une valeur de plus en plus exacte du Nombre d’Or et du rapport Phi (échelle de proportions dans la nature) à travers la division de chaque dernier nombre par le précèdent (ex : 144/89=1.6179775). C’est le seul nombre dans lequel les proportions décimales des réciproques et le carré du nombre lui-même (0,618033988) ont la même valeur : 1,618033988. Cette valeur est un sous-multiple harmonique (subharmonique) de l’ultra basse fréquence des rotations orbitales des espaces-temps électroniques opposés et gémellaires (les écorces du noyau dans leur milieu thermo-ionique) des paires de bases nucléotides de la ligne d’assemblage ADN. Les fréquences d’harmoniques des ondes générées par le MWO, dans les échelles de 75O hz jusqu’à 3000 trillions hz proches de celles de la lumière blanche, étaient en mesure d’interagir sur les densités temporelles orbitales des espaces électroniques à partir de leur fréquence respective ultra basse surmultipliée. Cette fréquence ultra basse équivaut à un large spectre détecté par ’’Le Dipôle Primordial Cosmique’’ au travers ses ’’Réseaux Matriciels Cristallins’’.
Ce large spectre est aussi la valeur de rapport ’ r ’ de n’ dimensions (D) d’homothétie de courbures de champs électro-plasmiques contra-rotatifs en rapport avec le nombre (N) de parties ou d’images reflétées dans une hyperbolique-sphérique par le Dipôle Originel ADN. Il matérialise ainsi à chaque réitération logarithmique, son propre modèle psychophysique en 3D dans un rapport ’’r’’ (D=log N 1/r) quelle que soit l’échelle dimensionnelle de résolution observée au travers son ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ de géométrie fractale. C’est la définition même d’une spatialisation holographique d’une forme donnée au travers d’un point de vergences dioptriques (un ’’focus’’) diffractées dans un réseau de résolutions gigognes observées au travers de multi sphériques. 1,618033988 est aussi un sous multiple de la valeur d’échelle numérique de la longueur d’onde basique des dipôles hertziens de son appareil qu’il a divisé par Pi et multiplié par une constante x. Lakhovsky a toujours pris en considération les dipôles de fréquences opposées pour construire son appareil : tant dans sa partie électronique (clos sous tubes à vide) que dans la conception de ses antennes (deux sphériques obturant chaque extrémité des anneaux des antennes).
Lakhovsky, qui s’est inspiré des travaux de Viktor Schauberger sur les vortex et de von Koch sur sa courbe (découverte en 1904 et redécouverte en 1975 par Mandelbrot), a établi des correspondances avec la pyramide à base carrée et la géométrie des champs électromagnétiques pour conceptualiser judicieusement le design des antennes de son MWO. En superposant, sur un plan perpendiculaire à leur axe 6 dipôles électromagnétiques : 4 en carré, 1 au-dessus et 1 en dessous, on obtient 12 monopoles électromagnétiques opposés 2 à 2. Ces 12 monopoles à partir de leur convergence coaxiale (au centre), projettent des vortex d’ondes concentriques informatives et formatives dans 4 dimensions
Ces cercles peuvent être conçus comme des vecteurs hyper acoustiques non linéaires pour l’hologrammisation en substance, via des gradients de tension de polarités négative et positive au travers la matière et l’anti-matière, d’un invariant systémique de 2 hémisphériques primordiales (chacune de polarité opposée) et à partance de son ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ de géométrie fractale. Ces 2 hémisphériques sont de liaison optico-acoustique avec les nano-cristaux mésomorphes de la ligne d’assemblage ADN. Elles sont à l’origine de la conceptualisation de la conception hologrammique de notre ’’future’’ structure psychophysique (adulte) subséquente à notre génotype : 22 + 1 = 23 gènes (au lieu de 24 !).
Ce principe holographique peut être considéré initialement comme une sextuple projection holophononique instantanée à partance de notre Dipôle Originel, puis diffractée (à la limite d’effets-miroir) et réfractée par 4 double-effets de 3 fréquences-miroir (une image acoustique de phonons). Notre Dipôle Originel est un génotype composé de 2 gènes exotiques ’’intemporels’’ et oximore (de 2 polarités opposées). Ces 2 gènes exotiques sont de pureté chimique cristalline proche des 100% (cristal de quartz, la perfection du minéral) s’holographiant et s’hologrammisant en substance dans un multi treillis solitonique de points nodaux.
Ces points nodaux peuvent être analogiquement comparés à un multi système nano-oscillographique piezo-électro-acoustique auto-intégrant ses 46 chromosomes dans son propre ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ subséquent à sa ligne d’assemblage ADN. Ce multi système transforme ainsi des oscillations vertigineuses au travers de l’éther (de l’hyper espace) en lumière blanche (en rapport avec les luxons). Les 46 chromosomes sont des entités qualiques ou entités élémentaires de matière et d’anti-matière de spectre opposé. Les 6 dipôles électromagnétiques sont symbiotiques de par leurs fonctions temporelles transitoires à partance d’un vecteur d’hyper énergie de fréquences phononiques d’une densité supérieure dissipative dans une densité inférieure, et toutes deux sont projetées instantanément dans 4 densités (temps horizontal ou dissipatif lié à notre perception psychologique). Ces 6 dipôles font office de diaphragme ou obturateur par ’’effet lentille’’, qui caractérise une fonction ’’focus’’ holographique virtuelle au travers d’un tube thermo-ionique optico-acoustique (comme un tube fluorescent). Ce tube canalise sur son axe magnétique le tube ’’alimentaire’’ psycho-biologique de notre structure psychophysique dissipative (adulte), à partir de la division cellulaire de ses 6 cellules souches (mitose et méiose de l’interphase à la télophase). A ce stade, un dipôle est donc formé de 2 monopoles électro-plasmiques, dont chacun réfracte par fréquences-miroirs, un faisceau optico-acoustique fondamentalement électro-plasmique.
Dans une perspective en 4D, les 6 dipôles forment 2 hyper plans tangents de 6 axes de faisceaux électro-plasmiques sur lesquels s’alignent 6 champs magnétiques et dont leurs connexions méridiennes et coaxiales à leur centre caractérisent un tunnel de temps ou vortex de densités ou variables temporelles contrarotatives, et par lequel les 6 champs électromagnétiques se projettent instantanément et s’introjectent en logarithme périodique au travers de l’hyper espace, formant des trains infinis d’ondes sinusoïdales (ondes de pression) bornées par les faisceaux électro-plasmiques (comme un gyroscope). En termes multidimensionnels, il s’agit d’un ’’holomouvement’’ (terme que j’emprunte en mémoire de David Bohm) quadri-axial : orbital, rotationnel, toroïdal et dissipatif, qui pivote à partance de points de vergences dioptriques angulaire à 90° sur un axe quadrique par radians disposés en cercle et totalisant 360°. L’axe de ces points de vergences en 360° caractérise le ’’focus’’.
Ces 4 formes de mouvement, peuvent être subdivisées en deux fondamentalement radial-axial (de l’extérieur vers l’intérieur). Ces deux forces opposées sont la manifestation d’une même force duale bipolaire qui s’exprime différemment : a’ < d’une façon non linéaire en se projetant instantanément à travers 2 densités temporelles de temps vertical et b’ < en s’introjectant logarithmiquement en dynamique linéaire dans 4 variables temporelles de temps horizontal ; cette force duale spatio-temporalise ainsi le tube ’’thermo-ionique’’ de notre future structure psychophysique ’’adulte’’ sur son axe magnétique bipolaire. Le tube thermo-ionique est une fonction ’’Phaser holographique’’ ou fonction ’’Pulsante’’ de radiations hautement amplifiées, interactive entre le ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ et les radiations saser et laser dans les contextes internes holographiques et hologrammiques des nano-cristaux ADN ! C’est une psycho-bio-technologie ’’hyper psychique’’ virtuelle à partance de 12 graphes (12 spectres optico-acoustiques), et qui s’exprime non linéairement par triangulation de 3 infimes faisceaux d’ondes (de phonons et de luxons) cohérées avec des ondes psi (ordinairement) dans les contextes holographiques et hologrammiques sub-nanométriques.
A l’échelle et en termes de psychophysique (avancée), le tube thermo-ionique est un puits anti-gravitationnel d’ondes psi intemporelles (et non atemporelles) entrecoupées par 4 variables temporelles de mouvements de temps cinématique liés à la matière. Une image simplifiée en 2D de ceci, correspondrait à 2 huit -8- type ’’moebius’’ s’interpénétrant l’un dans l’autre sur leurs axes communs localisant ainsi (virtuellement) l’axe de temps vertical ’’0-Time-Space’’ qui est également le siège du Dipôle Originel au sein du ’’focus’’. Le tunnel de temps vertical est le résultat auto généré par ces 4 mouvements au travers de l’hyperespace qui est atemporel (notion que l’on peut assimiler à l’éternité). Ces 6 ’’portails’’ temporels sont chacun en rapport de vergences dioptriques hyper-luminiques (tachyoniques) diffractées et réfractées à partance de vecteurs hyper acoustiques inhérents aux 2 monopoles primordiaux du Dipôle Originel (qui est à l’intérieur du ’’focus’’).
Chaque entité élémentaire de la matière et son anti-matière, possède leur propre point vibrationnel de fréquences et de longueurs d’onde alignés en vortex sur 3 axes dans leur propre spectre électromagnétique de polarité opposée entre spectre positron et spectre électron.
(Note : le positron est l’anti-particule de l’électron, les deux sont identiques en masse selon leur résolution optique en rapport avec leur radiation électromagnétique opposée : le positron et l’électron sont une paire d’entités élémentaires informationnels créées par réduction d’ondes psi (affaiblissement) d’un photon qui n’a pas de charge électrique).
Chaque spectre de chaque dipôle est aligné sur 3 axes angulaires de 90° entre son champ électrique et son champ magnétique respectif autour du ’’focus’’ et chaque monopole est décalé temporellement et angulairement sur leurs 3 axes respectifs (comme 4 pales d’une hélice de bateau) dans 4 cônes d’espace relatif. L’espace entre ces champs correspond au domaine éthérique c’est à dire l’hyperespace de spectre de lumière pure non déviée et non décomposée. Les 12 monopoles sont opposés et tournoient contra-rotativement sur l’axe commun du ’’focus’’ et dont la somme de leurs jonctions caractérise un interface membraneux (plissement éthérique) qui enferme le Dipôle Originel (fonction ’’focus’’) dans une ’’chambre’’ à vide quantique absolu. Les 2 faces de l’interface membraneux recto verso, forment un réseau connexe réticulaire transducteur optico-nucléaire de polarités négative recto et positive verso. En termes d’holographie, il s’agit de 6 paires de graphes (12 au total) de fréquences vertigineuses opposées, d’ondes psi/corpuscules hologrammiques : 6 spectres de lumière électro-plasmique (blanche associée aux luxons) qui se réfractent et agissent comme fonctions simultanément analogiques et digitales (saser phononique et laser luxonique), et interactifs par triangulation des 3 axes des faisceaux entre l’électro-spectre et le spectre positron. Ils sont porteurs, et accumulateurs d’Information Elémentaire (ondes temporelles psi).
A travers l’hyper espace qui les connecte, les 12 graphes tournoient en un holomouvement à travers les 4 variables temporelles relative à 2 densités : supérieure et/ou inférieure multi contrarotatives et dont leurs jonctions compressent et canalisent la ’’chambre’’ à vide quantique absolu. Cette ’’chambre’’ à vide est formée par le plissement éthérique qui enveloppe le ’’focus’’ du Dipôle Originel. La ’’chambre ’’ à vide est également commune aux 6 paires de graphes, et par laquelle se diffractent et se réfractent les spectres électro-plasmiques de lumière par ’’effet-miroir’’. Ces faisceaux sont interactifs dans les milieux gazeux, via des polarités opposées, qui se traduisent par des effets de sonoluminescence produits par des ondes de chocs entre des phonons et des gravitons (liés aux ondes temporelles psi) au travers et entre le ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ et ses nano-cristaux ADN. Les nano cristaux sont des prismes mésomorphes qui peuvent adopter toutes ’’bases- lentille’’ susceptibles d’être structurées en taille ’’diamant’’ ! Dans leurs états basiques, ils dévient et décomposent les 6 spectres électro-plasmiques du multi treillis (les points nodaux) en bio-photons dans les contextes holographiques et hologrammiques (processus de Tet-Tracking). Dans l’hyper espace qui n’est pas du vide mais de l’éther (lumière blanche non magnétisée), les ondes de chocs provoquées par la collision des phonons génèrent des gravitons qui, lorsqu’ils percutent les prismes structurés en taille ’’diamant’’ du Dipôle Originel (dans la ’’chambre’’ à vide), génèrent des faisceaux électro-plasmiques associés aux luxons.
Ces particules luxoniques correspondent à la barrière de lumière de notre courbe d’univers (ou mur de Planck). Les phonons sont des ondes acoustiques de fréquence V (10 puissance 12 hertz) provoquées par les vibrations tonales syntoniques et synergétiques entre la courbe hyperluminique d’un univers supérieur et notre propre courbe d’univers et qui sont absorbées par notre ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ et réfractées in fine dans les nano-cristaux ADN. Ils s’associent dans notre spectre éléctromagnétique aux ondes sonores et aux photons.
(Note de l’auteur : en 1907, Einstein avait introduit par analogie aux photons la notion de ’’phonons’’ une énergie E=hv (h=constante de Planck). Mais c’est Debye qui a démontré que les phonons étaient aussi des quanta de chaleur).
Les phonons sont donc les vecteurs hyper énergétiques de nature fondamentalement acoustique, immanents à notre manifestation physique basée sur la résonance de 6 spectres de vergences optico-acoustiques au travers notre tube thermo-ionique et ses ramifications.
L’axe de l’holomouvement qui localise virtuellement le ’’focus’’ holographique et les jonctions contrarotatives opposées des 6 dipôles, est leur connexion basique à l’axe de convergence dioptrique (réflexion, réfraction et diffraction) de la lumière et qui est également l’axe de convergence du temps vertical (non linéaire ou cinétique) et du temps horizontal (linéaire et circulaire ou cinématique) c’est à dire le ’’0-Time-Space’’ ou puits gravifique d’ondes temporelles psi.
(N.d.a. : à propos du temps cinétique qui a le mouvement pour origine et cinématique qui est relatif aux corpuscules en fonction de variables temporelles, et pour simplifier cette notion, j’emploierai les termes de temps vertical pour désigner le temps cinétique non scalaire et de temps horizontal pour désigner le temps linéaire ou dissipatif associé au temps psychologique).
Cet ensemble holostructuré tournoie sur lui-même en un holomouvement dynamique de 4 variables temporelles (temps horizontal) pulsées logarithmiquement au travers les 2 densités supérieure et/ou inférieure (temps vertical). Ces 4 variables temporelles procèdent initialement des 4 mouvements au travers de 4 cônes d’espace relatif. Ces 4 mouvements dans l’hyper-espace, auto génèrent le tunnel de temps vertical et le ’’focus’’ qui lui-même distribue entropiquement la ’’Signification’’ (du futur) de la densité supérieure au présent (l’ici et maintenant) et la dissipe dans la densité inférieure (du passé). Autrement dit, la densité supérieure canalise des ondes temporelles psi du futur, et la densité inférieure stocke des ondes temporelles psi du passé dans l’éther (comme un négatif de film). Leurs inférences se limitent d’une part : pour la densité temporelle psi supérieure, aux mesures observées par microscope à effet-tunnel, et d’autre part pour la densité temporelle psi inférieure aux observations mesurées par télescope (lointains systèmes et amas galactiques). L’infiniment grand est la rémanence de couches éthériques chronosiques ’’empilées’’ de réalités mémorielles du passé toujours réactivées en boucles fermées. Ces boucles de temps évoquent la mémoire de notre univers et de toutes les lignes d’univers de toutes ses structures psychophysiques dissipatives. L’infiniment petit est l’émergence d’espaces holographiques sériels ou séquentiels et atemporels, ce sont des réalités alternatives actualisées en logarithme périodique dans le présent (ici et maintenant).
Ce logarithme périodique rétro-active en temps nul des boucles dissipatives (ouvertes) du futur vers le passé, et aux travers desquelles l’ontogenèse récapitule la phylogenèse. A l’échelle du réseau thermo-ionique et orbital contrarotatif subséquent aux 6 espaces-temps électroniques des noyaux des paires de bases nucléotides de l’ADN (opposés comme des rotors), les densités temporelles supérieure et/ou inférieure coexistent et tournoient dans l’ hyperespace non scalaire sans aucune droite et où tout y est courbé et dont les limites de bornage de notre structure psychophysique forment une hyperbolique-sphérique de connectabilité subtile de liaison h (atomes d’hydrogène) entre son ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ et les nano cristaux mésomorphes de la ligne d’assemblage ADN. Dans sa ligne d’univers projetée instantanément du point initial ’’0-Time-Space’’ dès notre conceptualisation, notre hyperbolique-sphérique se dilate instantanément jusqu’à sa limite d’horizon événementielle (limite d’effets-miroir) et se re-comprime en un logarithme périodique rétroactif au travers 4 cônes d’espace relatif, pulsant ainsi la ’’Signification-Information’’ en temps linéaire et circulaire qui nous canalise dès notre conception jusqu’à notre mort biologique ; c’est à dire l’absorption’’ in fine au point de retour initial ’’0-Time-Space’’ : la ’’chambre’’ à vide où siège notre Dipôle Originel.
Toute particule, toute structure physique dissipative d’énergie informationnelle, tout système dynamique et linéaire évoluant dans un temps horizontal (dissipatif du passé vers le futur), sont connectés de par leur ’’0-Time-Space’’ via leur propre axe d’holomouvement de temps vertical (tube thermo-ionique) à cette convergence néguentropique virtuelle. Ces infinies connexions coaxiales multi contra rotatives forment des puits d’ondes temporelles psi de ’’temps manquant’’ (temps vertical) au travers l’hyperespace. A l’échelle astrophysique ce sont des trous de ver (missing-time) qui caractérisent un système non linéaire d’écume de micro trous noirs opposés à leur contrepartie connexe en trous blancs. Leurs jonctions localisent les ’’chambres’’ à vide quantique absolu, c’est à dire la 5ème inter dimension virtuelle et vectorielle (cardinale) de la ’’Signification’’ entre toutes les courbes d’univers et dont son ’’Information’’ se traduit par les fonctions simultanément analogiques et/ou digitales (’’effets lentille) via tous les ’’focus’’ de toutes les structures dissipatives qui occupent la quatrième dimension temporelle répartie en 4 cônes d’espace relatif déterminés par la rotation logarithmique de l’holomouvement sur 4 axes angulaires et perpendiculaires à 90°. Les puits d’ondes temporelles psi sont omniprésents dans l’hyperespace et permettent via les ’’focus’’, une interconnexion multiple d’infinis faisceaux optico-acoustiques et en temps nul entre tous les espaces-temps électroniques des bases nucléotides au travers leur milieu ambiant thermo-ionique.
Ces ondes temporelles psi sont la dimension de la lumière blanche elle-même interconnectant tous les domaines d’énergie et de densités temporelles d’un holomouvement donné au travers des 4 cônes d’espace relatif ; Cet holomouvement se traduit par des fréquences pulsant une hyper-énergie de ’’Signification-Information’’ gravifique fragmentée au travers l’hyperbolique-sphérique par les 12 graphes et qui est distribuée au travers les 6 densités temporelles variables dans les 4 cônes d’espace relatif. Les 12 graphes sont la manifestation de notre système ’’Hyper-Psychique’’ primordial (un 7ème sens si l’on considère le 6ème comme l’intuition) au sein du ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ de connectivité peu activée (ou pas du tout) dans notre propre réseau neuro-synaptique (de liaison h avec des atomes gazeux furtifs).
Ce système ’’Hyper-Psychique’’ actualise dans le présent (relatif à notre cône d’espace dans l’ici-présent) des sujétions rétroactives du passé et du futur décalées temporellement au travers des 4 cônes d’espace relatif. Ce procédé informatif et formatif dans les processus hologrammiques de la matière, relativise ainsi notre libre arbitre via nos perceptions sensorielles : en termes noétiques (psychologie appliquée dans l’étude des aspects phénomènologiques des manipulations matière-’’Information’’) il s’agit du Moi (ou du Soi ou tout autre nom que l’on veut bien lui donner) non fragmenté qui se caractérise par une conscientisation relative de l’espace, du temps et de la causalité : c’est le point ’’focus’’ de lumière (blanche) au bout du tunnel d’arches lumineuses contrarotatives que décrivent les ‘’expérienceurs’’ de NDE. Cette manifestation hyper psychique (non linéaire ou non scalaire) est liée aux états de conscience modifiés et/ou aux perceptions extra-sensorielles en général et qui débouchent sur l’aperception d’événements concernant un cône d’espace relatif donné, d’une variable temporelle du futur et/ou du passé. Ce phénomène s’interprète comme une intro-projection psychique temporaire dans la zone virtuelle ’’focus’’ au travers le tube thermo-ionique et par laquelle le système ’’Hyper Psychique’’ peut percevoir simultanément et en 360° à partir de la 5ème dimension, des séquences événementielles (du futur ou du passé) décalées dans les 4 cônes d’espace relatif . Nous créons et manipulons nous-mêmes notre propre réalité événementielle du présent (dans l’ici et maintenant) à partir du ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ (qui peut-être analogiquement comparé à un holo-système ’’Cyber-Noétique’’) à partance de notre système ’’Hyper Psychique’’ qui décode simultanément les 6 spectres relatifs à deux densités supérieure et/ou inférieure de 4 cônes d’espace-temps variables (ce phénomène peut s’interpréter comme une fonction psychique temporelle rétro et/ou pré cognitive). Notre propre ligne d’univers (événementielle) est ainsi prédéterminée à l’avance, par cooptation d’événements synchroniques c’est à dire des synchronicités toujours croissantes pré actualisées en séquences holographiques mais non déterministes, rétroactives ou modulables en temps sériel nul. En termes de ’’Cyber-Noétique’’, il s’agit d’un programme évolutionniste multi-existentiel- expérimentiel et interactif entre les 12 graphes.
L’hyperbolique-sphérique forme une ceinture d’ondes radiales et longitudinales ultra stables (le multi treillis solitonique de points nodaux) qui enserre le plasma formant le réseau électro-plasmique et dans lesquels les courants électriques et les champs magnétiques sont alignés perpendiculairement selon l’axe de radians angulaires de 90° des 4 cônes d’espace relatif. Ces faisceaux sont distribués en multi étages gigognes au travers Les 6 variables temporelles (ou ’’portails’’ holographiques) structurant ainsi matière et ’’Signification-Information’’ dans un champ énergétique de fréquences pulsantes. Ce champ est l’extension intra périphérique de la structure psychophysique et dont les limites d’alignement entre les 6 ’’portails’’ gigognes sont bornées par un effet ’’sonoluminescent’’ interactif entre les graphes connexes (réseau réticulaire) et décroissant dans une échelle d’ondes sinusoïdales de pression de compositions moléculaires gazeuses (xénon, krypton, argon, néon, hélium, azote, hydrogène) qui font office de cavités résonantes propices pour l’amplification des fréquences (phononiques) relatives à 12 états basiques de matière opposés à 12 autres d’anti-matière en rapport avec les spectres positrons et électrons des 12 graphes. L’amplification est relativisée par les ’’cavitations’’ d’ondes sinusoïdales selon des potentiels de charges et de gradients de tension (entre les 6 ’’portails holographiques’’) qui sont subséquents aux inversions de polarité électro-plasmique entre les 2 monopoles du Dipôle Originel (au travers de la ’’chambre’’ à vide). Les gradients de tension transductent des phénomènes d’attraction et de répulsion au travers de la ’’chambre’’ à vide et par laquelle la lumière électro-plasmique des 6 spectres optico-acoustiques se répand par permittivité relative en résonance avec les champs contextuels : ioniques et magnétiques entre chaque ’’portail’’ temporel. Ce phénomène permittif interagit analogiquement comme un condensat Bose-Einstein et dans lequel la vitesse de la lumière blanche est proportionnelle à la vitesse des ondes phononiques : c’est le principe basique des faisceaux optico-acoustiques tronqués de gravité lévitante ou repoussante.
Un potentiel gravifique peut adopter deux polarités : l’une attirant la matière et l’autre la repoussant, elles sont directement liées au potentiel attracteur et répulseur du Dipôle Originel. Dans ce milieu de lumière électro-plasmique les modifications de pression sont caractérisées par l’interactivité énergétique des ondes sonores (bruit thermique) entre les 6 spectres électro-plasmiques alignés entre les 6 ’’portails’’ et leurs champs de célérité gravifique respective. La célérité gravifique détermine elle-même dans une échelle descendante de fréquences, de longueurs d’ondes et d’amplitudes, la ’’Signification-Information’’. Au niveau de la structure psychophysique, dans son cône d’espace (ici et maintenant), la ’’Signification-Information est associée aux ondes psi portées par les fréquences atténuées au travers de son tube et ses ramifications thermo-ioniques dans leur milieu ambiant de gravité basique ; ces ondes psi sont décodées par collapses (réduction d’ondes psi par 3 infimes faisceaux) au niveau des espace-temps électroniques des bases nucléotides : plus le champ gravifique est puissant plus la ’’Signification-Information’’ s’accroît et inversement.
Le bornage de ce milieu plasmique gigogne forme un double plasmoïde ovoïde de la structure psychophysique plus connu sous le nom de ’’corps de lumière’’ ou ’’corps aurique’’ (ne pas confondre avec l’effet Kirlian) c’est un champ énergétique-informationnel excédentaire (comme celui de la magnétosphère terrestre et de tout planétoïde) dont l’interface externe de bornage se situe dans l’hyperespace c’est à dire dans une bande de fréquences au-dessus de celle des rayons cosmiques et qui sont associées au phénomène de trans-substantation ondes-particules, qui fait qu’une particule apparaît dans l’espace et disparaît dans l’hyperespace par un effet ’’glich-time’’ de l’holomouvement entre deux variables temporelles.
Cette ceinture hyperbolique de lumière électro-plasmique est interactive entre les dipôles électro-plasmiques des 6 ’’portails’’ temporels gigognes de fréquences opposées dont la polarité primordiale négative est le pôle supraconducteur absorbant de lumière par le ’’focus’’ lui-même, et le pôle positif dissipatif in fine sont les espaces-temps électroniques de la ligne d’assemblage des paires de bases nucléotides de l’ADN au travers leur milieu ionique isolant. Ce double plasmoïde agit comme un circuit redresseur de puissance énergétique-informationnelle d’ondes temporelles longitudinales psi et gravifiques de fréquences très élevées (dans le tunnel de temps vertical du tube thermo-ionique) qui sont entrecoupées dans les 4 cônes d’espace relatif (temps horizontal) par les ondes radiales du champ de gravité basique faible : les fréquences de valeur très élevée sont ainsi atténuées in fine dans le spectre ultraviolet en harmoniques acoustiques et optiques dans les ramifications ioniques qui sont susceptibles d’être supraconducteurs dans un système diélectrique convenablement excité !
Un circuit alimenté par des courants électriques de haute fréquence atténués, crée de nombreuses harmoniques dans un système diélectrique dont la polarité positive est le pôle absorbant d’électricité et le pôle dissipatif est le pôle négatif : ce qui a pour effet d’amplifier la tension au détriment de l’énergie électron-volt (et non pas le contraire comme on l’enseigne encore actuellement !). A l’opposé, même à partir d’une faible force d’alimentation tirée de son milieu ambiant son rendement sera supérieur à l’unité. Si par ce même principe, l’on augmente la force d’alimentation (ex : absorption-sub-nanométrique de haute fréquence dans les milieux ioniques), l’énergie obtenue le sera par amplification radioactive nucléaire et s’interprétera par une hausse thermique convertie en bio-électricité (et c’est le principe basique de l’énergie libre). Ce principe thermique est également à la base de tous les phénomènes paranormaux (télékinésie, psychokinésie...etc) et qui crée leur manifestation. Il évoque la notion même de fluide énergétisant qui est dû simplement à des attractions et des répulsions contraires et universelles, entre protons et électrons. C’est le principe fondamental de tout fonctionnement psychophysique sur-unitaire qui implique la superposition de 12 fréquences de longueurs d’ondes multi étagées relatives aux 12 états basiques des éléments chimiques périodiques de la matière, opposées à 12 autres fréquences de longueurs d’ondes qui sont les contreparties connexes d’anti-matière. C’est sur ce principe que Lakhovsky a agencé judicieusement les 24 circuits des antennes du MWO !
Dans le temps horizontal (ici et maintenant) la ’’Signification-Information’’ est dilatée à travers les 6 variables temporelles inhérentes aux 6 espaces électroniques par l’effet de la gravité basique faible. A l’échelle psycho-biologique (et psychophysique en général), ce milieu de gravité ambiante relativise les processus d’homéostasie auto maintenus par nos aptitudes psychiques et sensorielles, selon les fréquences acoustiques et les longueurs d’ondes absorbées et décryptées par les 3 infimes faisceaux saser et laser dans leurs contextes holographique et hologrammique ; contexte qui est relatif à notre cône d’espace (l’ici et maintenant). Les fréquences sont proportionnelles selon leur rapport d’homothétie de courbes de champs électromagnétiques orientés en radians angulaires par leurs connexions optico-acoustiques au niveau du ’’focus’’ et dont leur réfraction réticulaire entre les 12 graphes, à partance du ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ du Dipôle Originel et entre les deux densités temporelles supérieure et/ou inférieure, est de correspondance numérique entre d’une part les nombres de 0 à 12 (en rapport avec les éléments chimiques périodiques) liés à 12 états basiques de la matière, et d’autre part leur contrepartie respective d’anti-matière de liaison h avec les nano cristaux ADN . Plus leurs fréquences sont en résonance avec celles de valeur énergétique très élevée du Dipôle Originel, subséquentes à la convergence ’’0-Time-Space’’, plus l’Information de la ’’Signification’’ augmente, plus il y a d’espaces électroniques de vide autour du noyau plus la gravité et les densités ondes psi sont faibles et plus la ’’Signification-Information’’ décroît et inversement.
Notre ’’focus’’ est de connectabilité fondamentalement électro-plasmique dans sa plus haute manifestation énergétique avec notre Dipôle Originel qui la diffracte au sein du ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ des 12 graphes au travers du tube thermo-ionique et ses ramifications. Cette manifestation énergétique ainsi atténuée, sous-tend tous nos micro-champs électriques et magnétiques alignés dans les plasmas qui se manifestent par des fonctions analogiques et digitales simultanées entre et au travers des milieux thermo-ioniques des espaces-temps électroniques des bases nucléotides ADN, dans les connexions synaptiques de notre cortex cérébral et le système nerveux. Au niveau du ’’focus’’ c’est à dire au point de convergence ’’0-Time-Space’’ (alignement optimal des 12 graphes) , les notions de temps circulaire (passé, présent, et futur), ainsi que les vitesses limites ou supérieures de la lumière (sous-luminique, luminique et hyperluminique) et des ondes temporelles et de leur ’’Information’’ (ondes psi) qui leur sont associées, n’y ont plus aucun sens puisque leur vitesse respective est par définition la dimension (la 5ème) de la ’’Signification’’ Elle-Même et son ’’Information’’ est de l’hyper-espace parcouru en quantum/bits de temps rétro activés logarithmiquement au travers 4 cônes d’espace relatif décalés en 6 variables temporelles.
Dans les contextes internes ordinaires de conscientisations psycho-homéostasiques (qui relèvent de la psyché) et qui régulent les processus holographiques et hologrammiques (température, concentration des substances...etc), l’ ’’Information de la ’’Signification’’ est tronquée (au travers des 6 ’’portails’’ temporels des espaces-temps électroniques) à partance d’échelles descendantes de fréquences hyperluminiques, luminiques (seuil de la barrière de la lumière) et in fine sous-luminiques à environ 3000 trillions de hz.
Ces fréquences descendantes s’inscrivent dans une dynamique de conscientisation décroissante : énergétique, quantique, atomique, moléculaire, cellulaire, tissulaire, organique...et in fine psychique (aux environs de 450 Mhz). L’ ’’Information de La ’’Signification’’ est dans une large part, dispersée aux travers des espaces-temps électroniques de toutes les bases nucléotides de la masse de notre structure psychophysique. Sa masse est constituée par la somme de tous ses (6) espaces-temps électroniques opposés et du vide quantique absolu entre ses isotopes, elle est donc pleine de vide subséquent à la gravité basique ambiante dans leur milieu ionique. Ce vide relativise à la fois les processus homéostasiques mais également les processus psychiques selon sa plus ou moins grande compression. On peut compresser les espaces de vide électroniques d’un noyau atomique par une force duale électromotrice opposée et contrarotative (2 vortex gémellaires) électromagnétiques d’accélération progressive centripète radiale-axiale ou tangentielle (de l’extérieur vers l’intérieur comme un cyclone) au sein desquels ses éléments quantiques et chimiques peuvent être amenés à leurs conditions extrêmes selon des lois de ’’tonalité’’. Ces lois de ’’tonalité’’ concordent des fréquences matière - anti-matière par effets de résonances qui débouchent sur un point de ’’libération’’ à partir de 96% de la vitesse de la lumière, et par lesquels les éléments quantiques et chimiques de matière et d’anti-matière fusionnent par scissibilité.
La plupart des mouvements liés à nos technologies actuelles sont axial-radial (centrifuges) et inducteurs de bruit de chaleur et de friction, c’est à dire de dynamique fissile désunifiante, dispersive, gabegique, polluante pour notre environnement et nuisible pour nos fonctions psychiques (qui interfère dans les fonctions de collapses d’ondes temporelles psi). A l’opposé, une dynamique duale centripète comme un cyclone ou une tornade qui sont la manifestation d’une même force duale s’exprimant dans un différentiel de températures et de fréquences résonantes et opposées, et qui se déplace contra-rotativement de l’extérieur vers l’intérieur avec une célérité et une vélocité croissante, agit par convergence, concentration et amplification de gravité instable et de compression d’ondes temporelles psi tendant vers le point de libération Unifiant : Chaleur x Froid = Unité = Le Tout qui correspond à l’Energie ’’point-0’’ (ce principe de dualité thermique s’observe dans les réactions plasmiques des milieux ionisés à 0° Kelvin ex : les effets de givre sur les réacteurs à plasmas). Au point de libération, deux forces opposées s’annihilent en s’unifiant, et créent un champ gravifique exponentiel implosif (aspirant et lévitant) générant ainsi une distorsion à la fois sur l’espace et le temps.
Ce principe de courbure influe sur les densités temporelles, si l’on compresse l’espace on densifie le temps : son énergie et son ’’Information’’ (ondes temporelles psi) augmentent graduellement par transfert ’’glich-time’’ d’une densité d’espace à une autre plus faible. Au niveau des bases nucléotides, ceci se traduit graduellement par des facultés optimisées ’’d’absorption’’ dans les dimensions sub-nanomètriques atomiques de toutes les fréquences acoustiques et de toutes les longueurs d’onde (en angströms) dans un seul cône d’espace-temps ici et maintenant, et de décodifications simultanées de quantum/bits en temps presque nul (en deçà des femto-secondes). C’est le principe unificateur qui débouche sur La Sur-Unité ou ’’hyper-conscientisation’’ de la ’’Signification’’ en une seule densité temporelle de convergence paroxysmale avec le ’’0-Time-Space’’ du temps vertical !
La technologie pulsante non scalaire de champs électro-plasmiques est en mesure de cohérer des ondes temporelles psi de gravité instable de l’hyperespace, de les amplifier et les concentrer pour influer sur la gravité basique faible. Ceci est impossible avec des fréquences magnétiques de forces conventionnelles d’accélération centrifuge dans un système linéaire. Au niveau des antennes du MWO, les fréquences pulsées des champs électro-plasmiques de fréquences très élevées, étaient capables par leurs effets de torsion centripète, d’influer sur l’orientation des champs bio-électriques et bio-magnétiques plus faibles au niveau des 6 dipôles (’’portails’’ temporels) au travers du tube thermo-ionique (exemple imagé : l’inclinaison angulaire des pales d’hélicoptère pour exercer une poussée lévitante dans l’air ambiant). Les 6 dipôles de notre structure psychophysique ont la particularité d’être diamagnétiques au sein du tube thermo-ionique dans leur milieu ambiant de gravité basique faible, c’est à dire qu’ils s’opposent gravifiquement et naturellement par leurs orientations angulaires à 90° de leurs champs électriques et magnétiques alignés, à toute aimantation de polarités + -
Les champs électriques s’opposent ainsi à toute compression constante entre leurs champs magnétiques respectifs et donc à tout ’’effet lentille’’ mais sont susceptibles de l’être par des champs multi étagés ascendant des fréquences radioactives via des interactions nucléaires amplifiées par méthodes hétérodyne et superhétérodyne. Ces méthodes sont analogues à celles utilisées naguère en radiotélégraphie et qui utilisaient les interférences produites entre les ondes reçues et les ondes utilisées par le générateur local (l’émetteur) à l’intensité désirée par le récepteur. Cette technologie de triangulation psycho-bio-physique relève d’un principe de syntonisation à logique topographique multi-valente spatialisant orthogonalement les 3 infimes faisceaux saser-laser dans les contextes hologrammiques ordinaires assujettis à la gravité basique. Ces 3 infimes faisceaux composent une signature ’’maser’’ zippée (verrouillage temporel calé sur le ’’0-Time-Space’’) et propre à tout individu et à toutes structures psychophysiques dissipatives en général. Dans ces paramètres ordinaires de gravité basique, cette signature radie par effet hétérodyne de micro fréquences peu élevées. A un niveau plus élevé, lorsque les champs électriques et magnétiques des 6 dipôles et tous les 3 axes des entités élémentaires (matière et anti-matière) sont suffisamment alignés, il se produit graduellement un effet sur-amplifié nommé ’’superhétérodyne’’ de triangulation des 3 infimes faisceaux entre le ’’Réseau Matriciel Cristallin’’ les nano cristaux ADN et le système ’’ Hyper Psychique. La signature ’’maser’’ ainsi amplifiée, le système ’’Hyper Psychique’’ par ses fonctions analogiques digitales en système télé-sub-nanomètrique saser-laser via les 3 infimes faisceaux, peut localiser et cibler avec grande précision un atome donné ou tous les atomes d’un groupe de cellules et les exciter sans affecter leurs noyaux. Ce procédé oblige, dans leur contexte hologrammique, un processus décodificateur numérisé (de nombres entre 0 et 12 relatifs aux 12 états de la matière) au niveau des espaces -temps électroniques des bases nucléotides, qui se manifeste par une scissibilité d’anti-matière avec leurs isotopes. C’est un phénomène de fusion froide entre le spectre positron et le spectre électron des 12 graphes. Les atomes pendant cette scission, captent de la ’’Signification-Information’’ dans une variable temporelle quelconque et reviennent à leur état quantique initial en libérant un bio-photon porteur d’une nouvelle bio-information .
Cet effet ’’glich-time’’, fait qu’un atome peut exister dans l’ici et maintenant pendant que ses isotopes stockent et accumulent une ’’Information’’ d’une variable temporelle d’un autre cône d’espace relatif donné. Aucune autre base cognitive rétro/pré-mnémonique nucléaire ne peut lui être comparée. Ce processus est à la base de toutes les manifestations psycho-bio-physiques dans toutes les échelles de conscientisation pré et/ou rétro cognitive, et qui sont encore (faussement) interprétées comme paranormales. Cette mnémo-psycho-technique interagit avec nos fréquences psychiques ordinaires qui sont comprises dans un registre d’environ 450 Mhz car assujetties au seuil de conscientisation psychophysique dans un registre de fréquences entre le spectre ultraviolet et infrarouge c’est à dire en dessous de 3000 trillions hertz (toutes les cellules vibrent dans cette échelle de fréquences). A son plus haut degrés d’amplification la signature ’’maser’’ permet d’élever ce seuil de conscientisation et les fréquences psychiques au-delà de l’infrarouge dans l’échelle de la lumière blanche aux environs de 3000 trillions hertz (à 96% du point de libération). A partance de ce seuil, le système ’’Hyper Psychique’’ active la fonction ’’Phaser’’ c’est à dire l’effet ’’glich-time’’ paroxysmal ou convergence ’’0-Time-Space’’ (sans rapport de vergence) avec les nano cristaux ADN. Les espaces électroniques sont ultra compressés au point extrême de ’’libération’’ et leur milieu ionique (du tube et ses ramifications) absorbe une colossale énergie de fréquences vertigineuses de Pure ’’Signification’’ de vitesse hyperluminique (au-delà du mur de Planck) ! .
La fonction ’’Phaser’’ est une Connaissance ultime en matière de technologie qui rend compte des processus radioactifs nucléaires et interactifs dans les phénomènes de rémissions spontanées ou d’ auto guérisons (pseudo-miracles !). Au niveau neuro-physiologique cette psycho-technologie permet d’activer l’ ’’Information’’ dans les réseaux synaptiques des aires cérébrales et de moduler (élever et transcender) tous les états de conscientisation. En termes de plasticité cérébrale, ce phénomène s’accompagne par une transition bio-chimique ’’vitrifiante’’ au niveau des nano-cristaux mésomorphes ; ceux-ci modifient leur holostructure en taille ’’diamant’’ et dont chacune de leur facette réfracte la lumière blanche diffractée (sans rapport de vergence dioptrique) par le Dipôle Originel au travers du ’’focus’’ : les 3 infimes faisceaux peuvent alors coïncider avec n’importe quelle raie spectrale des 12 graphes. Toutes les échelles de conscientisation sont optimalement alignées et Unifiées sur Celle du Dipôle Originel.
Cette Connaissance ultime nous révèle comment manipuler l’espace, le temps et son énergie, la matière et son ’’Information’’ et nous permet d’interpréter correctement tous les phénomènes encore considérés dans le conscient (et l’inconscient) collectif comme paranormaux ! Lakhovsky l’a appliquée dans la conceptualisation de son MWO pour aborder une nouvelle thérapeutique radicale sous l’angle de la psychophysique (psycho-biologie et psycho-neuro-physiologie). La morpho-psycho-biologie quantique et atomique, recèle les modèles conceptuels basiques qui sont pré-holographiés dans le ’’Réseau Cyber-Noétique’’, ils préfigurent les futures technologies liées à la lumière (électro-plasmique).