Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
INTRO : Civilisation Atlante, Déluge Atlantide et civilisation Égyptienne [ 02:50 ] Constructions, Mégalithes Trilithon de Baalbek [ 04:26 ] Constructions, Mégalithes Jérusalem [ 05:24 ] Prêtes qui ont survécu au cataclysme de la constellation du Lion [ 06:52 ] Temps Nouveau : Naissance de l’Égypte, Eaux du Nil [ 07:45 ] Sphinx, Réincarnations, Raisons de Vivre: l' Élévation Spirituelle (Sagesse et Connaissance par la Dualité et la Polarité) [ 10:00 ] Zodiaque Dendérah, Cycle Cosmique de 12 ères / constellations [ 11:21 ] Enseignements et Processus d'évolutions de l'Âme [ 13:08 ] Dieux, Premiers Temples et Religions (Atum Râ, à Memphis Ptah, à Hermopolis Thot, à Tebas Amon Râ) [ 16:00 ] Enseignement des Prêtres pour guider les peuples [ 17:41 ] L'Oeil d'Horus : Symbole d'une caste de Prêtres [ 21:19 ] Temples d'enseignements : Transmission des Secrets Univers-L [ 24:42 ] Louxor : Liens entre Temple, Corps et Esprit pour s'élever [ 25:42 ] Philae : Élévation par la perception, sentiments et émotions [ 27:12 ] Intelligence du Coeur: Différence entre "Pensée" et "Méditation" [ 29:14 ] 3 Niveaux / 3 Temples pour la Transmission [ 33:00 ] Étude des Animaux et Insectes en détail [ 37:13 ] 7 Chakras : 7 Niveaux d’Énergie, de Pouvoir et de Force [ 39:02 ] Préparation et Énergies des Pyramides [ 40:23 ] Khéops, la Pyramide parfaite et les Vibrations de l'Amour [ 41:25 ] Solides de Platon, Forces de Gravité et Géo-Polymères [ 43:35 ] Conclusion Documentaire traitant de la fin de l'Atlantide et du début de l'Égypte. Il explique en détail et en globalité le fonctionnement de la civilisation Égyptienne orchestrée par une caste de prêtres. Ces prêtres voulant perpétuer le savoir des Atlantes ont dirigés en secret l'ascension d'une des civilisations les plus évoluée de l'histoire humaine. Des monuments anciens au début des religions monothéistes, de l'illumination en passant par l'étude de la précession des équinoxes, ce documentaire est bourré d'informations pour la plupart occultées ou mal interprétées par nos livres d'école. Cette science et cette grande sagesse était parvenue en Égypte des siècles plus tôt avec les réfugiés du continent disparu, l'Atlantide, où de grandes réalisations humaines avaient été accomplies. De ces Atlantes rescapés du désastre, sans doute les plus sages, vint la connaissance des lois naturelles et des principes secrets qui permirent à l'Égypte de s'élever du plus primitif état d'existence à un niveau supérieur dans le domaine des arts et des sciences. Ce fut durant cette période d'une centaine d'années seulement, où la grande sagesse fut apportée en Égypte et joyeusement acceptée par ses souverains, que l'Égypte abandonna ses huttes grossières et ses habitations souterraines, créa sa magnifique architecture et construisit ces édifices prestigieux, et développa son artisanat merveilleux jusqu'à son apogée. L'Ancien Empire est d'ailleurs considéré comme l'âge d'or de l'Égypte. Mais la prêtrise païenne découvrit bientôt que cette grande connaissance et cette sagesse affaiblissaient son influence sur le peuple. C'est pourquoi elle inventa et établit officiellement ses principes religieux mythologiques qui graduellement amenèrent les Égyptiens à des croyances basées sur des idées superstitieuses, et détruisirent leur foi en leurs propres pouvoirs et capacités et en firent des mercenaires stupides et irréfléchis et des esclaves. Les enseignements de cette prêtrise furent soigneusement établis de siècle en siècle pour cacher la sagesse et détruire l'œuvre des anciens maîtres. Ce fut dans le but de préserver cette sagesse secrète et ce grand héritage de connaissance et d'empêcher sa disparition complète du pays d'Égypte que certains des plus sages souverains et diplomates Égyptiens furent amenés à établir les Écoles Secrètes de Mystères. Nous parlons de ces écoles comme s'il y en avait eu de nombreuses en Égypte. En fait, il n'y avait qu'une école de mystères bien qu'elle ait eu un certain nombre de branches ou de lieux d'enseignement dans différentes parties d'Égypte. Les enseignements et les activités de cette organisation ne représentaient qu'une école. On ne lui donna aucun nom et elle n'eût aucun symbole particulier autre qu'une marque par laquelle un membre pouvait l'identifier ou se faire reconnaître lui-même comme initié. L'inscription indique que le siège ou principal centre des écoles de mystères d'Égypte se situa d'abord dans l'ancienne ville de Philadelphie, puis a Memphis avec une branche dans un lieu appelé Mizraïm, puis plus tard encore à Thèbes et à Louxor. Finalement, le dernier siège des Écoles de Mystères fut Akhetaton, la ville d'Akhénaton, sur les rives du Nil, à l'emplacement de l'ancienne ville de Tell el-Armarna.
Les obélisques et la géométrie sacrée sont au cœur des mystères ésotériques et de la connaissance cachée transmise à travers les âges. Utilisés par les Égyptiens, les Romains et même dans l'architecture moderne, ces structures ne sont pas de simples monuments, mais des antennes énergétiques, liées aux forces cosmiques et telluriques.
1. L’Obélisque : Un Pont entre le Ciel et la Terre
Les obélisques sont des monuments élancés en pierre monolithique, souvent en granit, qui étaient érigés dans les temples et places sacrées de l’Antiquité.
🔹 Symbolisme de l’Obélisque
Rayon de soleil figé : Consacrés au dieu solaire Râ, les obélisques étaient considérés comme des vecteurs d’énergie divine.
Connexion terre-ciel : Comme une aiguille pointée vers le cosmos, ils symbolisaient l’ascension spirituelle et la transmission énergétique.
Clé vibratoire : L’orientation et la forme des obélisques respectent des principes de résonance et de géométrie sacrée, amplifiant certaines énergies.
🔹 Obélisques et Fréquences Vibratoires
Les matériaux utilisés (comme le granit rose d’Assouan, riche en quartz) possèdent des propriétés piézoélectriques, ce qui signifie qu’ils peuvent emmagasiner et transmettre de l’énergie sous forme de vibrations.
L’électromagnétisme naturel du lieu était amplifié par l’obélisque.
Des théories suggèrent que les obélisques agissaient comme des antennes énergétiques, captant des fréquences telluriques et cosmiques.
2. La Géométrie Sacrée et la Puissance des Formes
La géométrie sacrée est un langage universel utilisé par les bâtisseurs des temps anciens pour harmoniser les structures avec les forces invisibles de l’univers.
🔹 L’Obélisque et le Nombre d’Or
Les proportions des obélisques suivent souvent le Nombre d’Or (Φ = 1,618), présent dans la nature, l’architecture et même l’anatomie humaine.
Cette structure permettrait une circulation énergétique optimale, en résonance avec les lois de l’univers.
🔹 Alignements Astronomiques et Réseaux Énergétiques
De nombreux obélisques sont alignés avec des constellations comme Orion ou Sirius, suggérant une connexion avec des cycles cosmiques.
Certains pensent qu’ils faisaient partie d’un réseau énergétique global, relié aux lignes telluriques (Ley Lines), similaires aux méridiens du corps humain.
3. Obélisques, Énergie et Pouvoirs Occultes
Dans l’ésotérisme, les obélisques sont souvent associés à des pratiques mystiques et occultes.
🔹 L’Obélisque comme "Amplificateur d’Énergie"
Il capte l’énergie tellurique (de la Terre) et la projette vers le ciel.
Il pourrait être utilisé pour élever la conscience et amplifier certaines intentions spirituelles.
Certains ésotéristes pensent qu’ils peuvent agir comme points d’ancrage énergétique pour influencer une ville ou un lieu sacré.
🔹 Lien avec les Sociétés Secrètes
Les Francs-maçons ont souvent utilisé des obélisques dans leurs constructions, reconnaissant leur puissance symbolique et énergétique.
On retrouve des obélisques dans des endroits-clés comme Washington DC, Rome, Paris, Londres, souvent en des lieux d’influence.
4. Conclusion : L’Obélisque, Technologie Sacrée Oubliée ?
Les obélisques ne sont pas de simples monuments, mais des structures codées contenant des secrets sur l’énergie, la géométrie et la connexion entre le visible et l’invisible.
[ 02:50 ] Constructions, Mégalithes Trilithon de Baalbek [ 04:26 ] Constructions, Mégalithes Jérusalem [ 05:24 ] Prêtes qui ont survécu au cataclysme de la constellation du Lion [ 06:52 ] Temps Nouveau : Naissance de l’Égypte, Eaux du Nil [ 07:45 ] Sphinx, Réincarnations, Raisons de Vivre: l' Élévation Spirituelle (Sagesse et Connaissance par la Dualité et la Polarité) [ 10:00 ] Zodiaque Dendérah, Cycle Cosmique de 12 ères / constellations [ 11:21 ] Enseignements et Processus d'évolutions de l'Âme [ 13:08 ] Dieux, Premiers Temples et Religions (Atum Râ, à Memphis Ptah, à Hermopolis Thot, à Tebas Amon Râ) [ 16:00 ] Enseignement des Prêtres pour guider les peuples [ 17:41 ] L'Oeil d'Horus : Symbole d'une caste de Prêtres [ 21:19 ] Temples d'enseignements : Transmission des Secrets Univers-L [ 24:42 ] Louxor : Liens entre Temple, Corps et Esprit pour s'élever [ 25:42 ] Philae : Élévation par la perception, sentiments et émotions [ 27:12 ] Intelligence du Coeur: Différence entre "Pensée" et "Méditation" [ 29:14 ] 3 Niveaux / 3 Temples pour la Transmission [ 33:00 ] Étude des Animaux et Insectes en détail [ 37:13 ] 7 Chakras : 7 Niveaux d’Énergie, de Pouvoir et de Force [ 39:02 ] Préparation et Énergies des Pyramides [ 40:23 ] Khéops, la Pyramide parfaite et les Vibrations de l'Amour [ 41:25 ] Solides de Platon, Forces de Gravité et Géo-Polymères
L’Œil d’Horus et la Connaissance Cachée
L’Œil d’Horus, ou Oudjat, est un symbole égyptien ancien représentant :
La protection et la clairvoyance.
La connexion entre le monde physique et le monde spirituel.
Une connaissance cachée, transmise aux initiés.
Ce symbole est souvent associé aux mathématiques sacrées. En effet, les fractions utilisées dans les hiéroglyphes de l’Œil d’Horus suivent une structure géométrique et proportionnelle, qui pourrait suggérer une connaissance avancée des harmonies mathématiques et vibratoires.
Dans ce cadre, certaines théories ésotériques postulent que les Égyptiens possédaient une compréhension des énergies subtiles et auraient même pu utiliser des technologies avancées pour exploiter ces forces.
2. Saqqarah et la "Machine Quantique"
Saqqarah est l’un des sites les plus anciens d’Égypte, notamment célèbre pour :
La pyramide à degrés de Djéser, attribuée à l’architecte Imhotep.
Les catacombes mystérieuses, notamment le Serapeum, où se trouvent d’énormes sarcophages en granit pesant jusqu’à 80 tonnes.
Certains chercheurs alternatifs et ésotéristes avancent que Saqqarah était bien plus qu’un site funéraire. Ils suggèrent que l’architecture de la pyramide et des temples environnants formait une structure énergétique, capable de capter ou d’amplifier des forces invisibles.
🔹 Théorie de la machine quantique
L’idée est que les temples et pyramides servaient à manipuler des énergies quantiques, via :
L’alignement avec les étoiles – Une connexion avec des champs énergétiques cosmiques.
Les matériaux spécifiques (granit, quartz) – Capables de stocker et transmettre de l’énergie électromagnétique.
Les vibrations et fréquences sonores – Les structures résonnent à des fréquences précises, comme des circuits d’ondes scalaires.
Cela rappelle les recherches modernes sur la résonance de Schumann, les effets des vibrations sur la matière, et même certaines expériences de Tesla sur la transmission d’énergie sans fil.
3. Lien avec la Physique Quantique et Tesla
Tesla et l'Égypte
Nikola Tesla parlait de l’énergie libre et de la possibilité d’exploiter le champ électromagnétique terrestre. Certains pensent qu’il aurait redécouvert un savoir ancien, utilisé en Égypte antique.
L’idée est que :
Les pyramides et structures sacrées de l’Égypte fonctionnaient comme des capteurs d’énergie.
La technologie des ondes stationnaires (ondes scalaires) pourrait expliquer certains phénomènes liés aux temples anciens.
Il existerait un champ énergétique global qui pourrait être utilisé pour des applications avancées (guérison, lévitation, transmission d’énergie).
Lien avec la physique quantique
Les particules subatomiques existent dans un état flou jusqu’à ce qu’elles soient observées.
Les vibrations et fréquences influencent directement la matière.
Les anciens Égyptiens auraient pu comprendre une science vibratoire permettant d’interagir avec ces phénomènes.
4. Conclusion : Science Perdue ou Interprétation Moderne ?
L’Œil d’Horus et Saqqarah sont-ils les vestiges d’une science perdue ?
Certains pensent que les Égyptiens maîtrisaient une forme avancée de physique énergétique.
D’autres estiment que ce ne sont que des coïncidences et interprétations modernes basées sur des découvertes scientifiques récentes.
Le lien avec Tesla et la machine quantique suggère que l’humanité pourrait redécouvrir une connaissance cachée, unissant science et spiritualité.
Documentaire traitant de la fin de l'Atlantide et du début de l'Égypte. Il explique en détail et en globalité le fonctionnement de la civilisation Égyptienne orchestrée par une caste de prêtres. Ces prêtres voulant perpétuer le savoir des Atlantes ont dirigés en secret l'ascension d'une des civilisations les plus évoluée de l'histoire humaine. Des monuments anciens au début des religions monothéistes, de l'illumination en passant par l'étude de la précession des équinoxes, ce documentaire est bourré d'informations pour la plupart occultées ou mal interprétées par nos livres d'école. Cette science et cette grande sagesse était parvenue en Égypte des siècles plus tôt avec les réfugiés du continent disparu, l'Atlantide, où de grandes réalisations humaines avaient été accomplies. De ces Atlantes rescapés du désastre, sans doute les plus sages, vint la connaissance des lois naturelles et des principes secrets qui permirent à l'Égypte de s'élever du plus primitif état d'existence à un niveau supérieur dans le domaine des arts et des sciences. Ce fut durant cette période d'une centaine d'années seulement, où la grande sagesse fut apportée en Égypte et joyeusement acceptée par ses souverains, que l'Égypte abandonna ses huttes grossières et ses habitations souterraines, créa sa magnifique architecture et construisit ces édifices prestigieux, et développa son artisanat merveilleux jusqu'à son apogée. L'Ancien Empire est d'ailleurs considéré comme l'âge d'or de l'Égypte. Mais la prêtrise païenne découvrit bientôt que cette grande connaissance et cette sagesse affaiblissaient son influence sur le peuple. C'est pourquoi elle inventa et établit officiellement ses principes religieux mythologiques qui graduellement amenèrent les Égyptiens à des croyances basées sur des idées superstitieuses, et détruisirent leur foi en leurs propres pouvoirs et capacités et en firent des mercenaires stupides et irréfléchis et des esclaves. Les enseignements de cette prêtrise furent soigneusement établis de siècle en siècle pour cacher la sagesse et détruire l'œuvre des anciens maîtres. Ce fut dans le but de préserver cette sagesse secrète et ce grand héritage de connaissance et d'empêcher sa disparition complète du pays d'Égypte que certains des plus sages souverains et diplomates Égyptiens furent amenés à établir les Écoles Secrètes de Mystères. Nous parlons de ces écoles comme s'il y en avait eu de nombreuses en Égypte. En fait, il n'y avait qu'une école de mystères bien qu'elle ait eu un certain nombre de branches ou de lieux d'enseignement dans différentes parties d'Égypte. Les enseignements et les activités de cette organisation ne représentaient qu'une école. On ne lui donna aucun nom et elle n'eût aucun symbole particulier autre qu'une marque par laquelle un membre pouvait l'identifier ou se faire reconnaître lui-même comme initié. L'inscription indique que le siège ou principal centre des écoles de mystères d'Égypte se situa d'abord dans l'ancienne ville de Philadelphie, puis a Memphis avec une branche dans un lieu appelé Mizraïm, puis plus tard encore à Thèbes et à Louxor. Finalement, le dernier siège des Écoles de Mystères fut Akhetaton, la ville d'Akhénaton, sur les rives du Nil, à l'emplacement de l'ancienne ville de Tell el-Armarna. Origine du documentaire : España-Colombia Année 2000 Titre original : El Ojo De Horus Réalisateur : Fernando Malkun Remastérisé par Bruno Lemage : Magie Univers L le 21 juillet 2021
Documentaire traitant de la fin de l'Atlantide et du début de l'Égypte. Il explique en détail et en globalité le fonctionnement de la civilisation Égyptienne orchestrée par une caste de prêtres. Ces prêtres voulant perpétuer le savoir des Atlantes ont dirigés en secret l'ascension d'une des civilisations les plus évoluée de l'histoire humaine. Des monuments anciens au début des religions monothéistes, de l'illumination en passant par l'étude de la précession des équinoxes, ce documentaire est bourré d'informations pour la plupart occultées ou mal interprétées par nos livres d'école. Cette science et cette grande sagesse était parvenue en Égypte des siècles plus tôt avec les réfugiés du continent disparu, l'Atlantide, où de grandes réalisations humaines avaient été accomplies. De ces Atlantes rescapés du désastre, sans doute les plus sages, vint la connaissance des lois naturelles et des principes secrets qui permirent à l'Égypte de s'élever du plus primitif état d'existence à un niveau supérieur dans le domaine des arts et des sciences. Ce fut durant cette période d'une centaine d'années seulement, où la grande sagesse fut apportée en Égypte et joyeusement acceptée par ses souverains, que l'Égypte abandonna ses huttes grossières et ses habitations souterraines, créa sa magnifique architecture et construisit ces édifices prestigieux, et développa son artisanat merveilleux jusqu'à son apogée. L'Ancien Empire est d'ailleurs considéré comme l'âge d'or de l'Égypte. Mais la prêtrise païenne découvrit bientôt que cette grande connaissance et cette sagesse affaiblissaient son influence sur le peuple. C'est pourquoi elle inventa et établit officiellement ses principes religieux mythologiques qui graduellement amenèrent les Égyptiens à des croyances basées sur des idées superstitieuses, et détruisirent leur foi en leurs propres pouvoirs et capacités et en firent des mercenaires stupides et irréfléchis et des esclaves. Les enseignements de cette prêtrise furent soigneusement établis de siècle en siècle pour cacher la sagesse et détruire l'œuvre des anciens maîtres. Ce fut dans le but de préserver cette sagesse secrète et ce grand héritage de connaissance et d'empêcher sa disparition complète du pays d'Égypte que certains des plus sages souverains et diplomates Égyptiens furent amenés à établir les Écoles Secrètes de Mystères. Nous parlons de ces écoles comme s'il y en avait eu de nombreuses en Égypte. En fait, il n'y avait qu'une école de mystères bien qu'elle ait eu un certain nombre de branches ou de lieux d'enseignement dans différentes parties d'Égypte. Les enseignements et les activités de cette organisation ne représentaient qu'une école. On ne lui donna aucun nom et elle n'eût aucun symbole particulier autre qu'une marque par laquelle un membre pouvait l'identifier ou se faire reconnaître lui-même comme initié. L'inscription indique que le siège ou principal centre des écoles de mystères d'Égypte se situa d'abord dans l'ancienne ville de Philadelphie, puis a Memphis avec une branche dans un lieu appelé Mizraïm, puis plus tard encore à Thèbes et à Louxor. Finalement, le dernier siège des Écoles de Mystères fut Akhetaton, la ville d'Akhénaton, sur les rives du Nil, à l'emplacement de l'ancienne ville de Tell el-Armarna.
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Les obélisques, structures emblématiques de l'Égypte ancienne, sont des monuments ésotériques riches en significations symboliques et géométriques. Originellement dédiés au dieu solaire Rê, ils étaient conçus pour représenter un rayon de lumière pétrifié reliant la Terre au ciel. Leur forme élancée et leur pointe orientée vers le haut évoquent une quête spirituelle et une connexion cosmique. Dans l’histoire, ces structures ont souvent été déplacées vers d’autres continents, notamment en Europe et en Amérique, symbolisant un transfert de pouvoir et de connaissance. Les obélisques furent intégrés dans des conceptions géométriques complexes au sein des villes, soulignant une harmonie entre les éléments terrestres et célestes. Leur positionnement, souvent en lien avec les méridiens, les points cardinaux ou les alignements stellaires, reflète une profonde compréhension des énergies telluriques et cosmiques. L’obélisque est aussi un symbole prisé dans la franc-maçonnerie et d'autres cercles ésotériques pour son pouvoir occulte et son rôle dans l’architecture sacrée. Associé à la géométrie sacrée, il incarne des concepts universels tels que le chiffre d’or et les proportions divines, visant à établir une harmonie entre l’homme et l’univers. En résumé, l’histoire des obélisques révèle un entrelacement fascinant de symbolisme spirituel, de connaissances scientifiques avancées et d’intentions architecturales subtiles, faisant de ces monuments des porteurs de mystères transcendant les époques.
Ce documentaire, intitulé « El Ojo De Horus », propose une vision alternative de l’histoire en reliant la fin de l’Atlantide au début de la civilisation égyptienne. Voici les points clés qu’il aborde :
Transmission de savoir Atlante :
Le film avance que des réfugiés atlantes, porteurs d’un savoir scientifique et spirituel très avancé, auraient transmis leurs connaissances en Égypte. Ce savoir inclurait des lois naturelles et des principes secrets permettant une avancée rapide dans les domaines des arts, des sciences et de l’architecture.
Rôle de la caste sacerdotale :
Selon ce récit, une caste de prêtres, désireuse de conserver et de perpétuer ce savoir, aurait orchestré en secret l’ascension de l’Égypte. Leur influence se serait traduite par la promotion d’un enseignement qui, d’abord, permettait une grande effervescence culturelle et technique durant une période courte (environ cent ans), correspondant à l’âge d’or de l’Ancien Empire.
Transition vers un dogme religieux :
Le documentaire explique qu’une fois que ce savoir diffusé devenait potentiellement libérateur pour le peuple, la prêtrise païenne aurait délibérément instauré des croyances religieuses mythologiques. L’objectif aurait été de détourner l’attention du savoir authentique, en instaurant une forme de contrôle social par le biais de superstitions et de dogmes, rendant ainsi le peuple dépendant et moins autonome.
Les Écoles Secrètes de Mystères :
Pour préserver cet héritage et protéger les initiés, certains souverains et diplomates égyptiens auraient mis en place une école unique de mystères, dont les branches s’étendaient à travers plusieurs villes (Philadelphie, Memphis, Thèbes, Louxor, et enfin Akhetaton). Ce système secret permettait aux étudiants soigneusement sélectionnés de se réunir en toute sécurité afin d’approfondir ce savoir ancien.
Contexte et réception :
Originaire d’un projet Espagne-Colombie et réalisé en 2000 par Fernando Malkun (remastérisé en 2021 par Bruno Lemage pour Magie Univers L), le documentaire s’inscrit dans une tradition de récits alternatifs qui contestent les versions historiques officielles. Bien que ces théories soient captivantes et enrichissent l’imaginaire ésotérique, elles restent en marge du consensus scientifique et historique établi, qui s’appuie sur des preuves archéologiques et des recherches critiques.
Cette approche offre une lecture symbolique et ésotérique de l’histoire de l’Égypte, en insistant sur l’idée que la connaissance perdue d’une civilisation mythique (Atlantide) aurait permis l’essor d’une des civilisations les plus emblématiques de l’humanité, tout en étant ensuite délibérément occultée par des forces cherchant à centraliser le pouvoir.
Tout comme il existe un ordre parfait permettant à la vie d'exister et de fonctionner, il existe des symétries et des ordres numériques incroyables dans le Coran. Explorer ceux-ci peut approfondir notre appréciation à la fois du Coran et du monde.
Les études sur les codes numériques et gématriques dans le Coran montrent une grande variété dans leurs résultats. Certains considèrent une telle approche comme une preuve majeure de l'origine divine du Coran, tandis que d'autres la jugent inutile voire absurde. Ces études ont produit des connexions intéressantes et des faits vérifiables, ainsi que des affirmations inacceptables et des abus. Cet article est une modeste tentative pour proposer une voie intermédiaire entre les extrêmes.
Il y a trente nombres entiers distincts mentionnés dans le Coran : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 19, 20, 30, 40, 50, 60, 70, 80, 99, 100, 200, 300, 1000, 2000, 3000, 5000, 50000 et 100000. Les nombres en italique dans la liste n’apparaissent qu’une seule fois. Les huit fractions distinctes utilisées dans le Coran sont 1/10, 1/8, 1/6, 1/5, 1/4, 1/3, 1/2 et 2/3, certaines d’entre elles apparaissant plus d’une fois. Le Coran fait également référence de manière générale à tous les entiers pairs et impairs, comme le déclare : « Et par le nombre pair et par le nombre impair… » (89:3). En plus de l’ensemble des entiers qui définissent les nombres dénombrables, il est même possible de trouver des références générales aux nombres indénombrables dans le Coran (à savoir les réels, qui incluent également les rationnels comme sous-ensemble) : « Et si vous essayez de dénombrer les bienfaits de Dieu, vous ne sauriez les compter. Dieu est en vérité Pardonneur et Miséricordieux » (16:18).
Le système de valeurs gématriques en arabe, également connu sous le nom d’/abjad/, attribue un nombre entier à chaque lettre de l’alphabet arabe [1]. Ce système existait bien avant l'Islam et a été utilisé par de nombreux érudits et saints après l’avènement de l’Islam. Il existe essentiellement six systèmes /abjad/ : majeur, grand, petit (standard), mineur, marqué et non marqué. La pratique de prédire des événements futurs en utilisant les systèmes /abjad/ sur des textes sacrés est parfois appelée /hasab al-jifr/, /hasab al-jummal/ ou gématrie. Les valeurs numériques du système /abjad/ standard sont les suivantes :
Avant d'aborder les codes numériques et gématriques dans le Coran, il pourrait être utile de rappeler un autre aspect mystérieux des nombres entiers. La plupart des petits entiers sont associés à un symbolisme souvent utilisé dans les traditions soufies. Pour comprendre les bases de ce symbolisme mystique, les versets où ces nombres apparaissent devraient être étudiés attentivement. De plus, la lettre arabe correspondant à chaque nombre dans le système gématrique (/abjad/) devrait être prise en considération. Le verset 2:196, par exemple, déclare « dix (jours) complets », suggérant un sens de complétude et de maturité pour le nombre 10, car le mot /kamilah/ dans le texte original dénote de tels sens. Par coïncidence, la lettre arabe /ya/ a la valeur /abjad/ de 10 ; c'est la dernière lettre de l'alphabet arabe et elle clôt le verset. De même, le nombre 3 est perçu comme représentant rassemblement et force. Il est mentionné dans une tradition [2] comme étant le nombre minimum pour former un groupe ou une congrégation. Nous lisons également le verset 36:14 qui fait référence à cela : « Quand Nous leur avons envoyé deux [messagers] mais qu’ils les ont rejetés, Nous les avons renforcés avec un troisième, et ils ont dit : "En vérité, nous sommes envoyés à vous." » D'autre part, la lettre /jim/ a la valeur /abjad/ de 3 et est la première lettre de la racine du verbe /j-m-a/ qui a donné naissance à la plupart des mots indiquant le rassemblement, tels que /jumua/, /jamaah/, etc. La plupart des petits entiers sont associés à un symbolisme numérologique similaire.
Dans toute la création, nous voyons des signes évidents de mesures précises et de proportions délicates au niveau de la perfection. Il n’y a aucun défaut ni imperfection dans la création. Si le livre créé de l'univers présente de telles mesures délicates, pourquoi le livre parlé du Coran ne devrait-il pas être étudié sous cet angle ? En effet, les érudits les plus méticuleux ont étudié la formulation du Coran et la proportionnalité dans sa composition de mots, et ont découvert de nombreux mystères remarquables. Dans une tradition (faible), nous lisons que le savant juif Huyayy bin Akhtab a suggéré au Prophète Muhammad, paix et bénédictions sur lui, que la vie de sa communauté serait courte en indiquant les lettres isolées /alef-lam-mim/ au début du chapitre al-Baqarah [3]. Ces lettres s'additionnent pour atteindre la valeur 71. Le Prophète sourit et lui dit qu'il y en a d’autres comme cela, et récita /alef-lam-mim-sad/ (qui s'additionne à 161), /alef-lam-ra/ (qui s'additionne à 231), et /alef-lam-mim-ra/ (qui s'additionne à 271). Cet incident montre que le Prophète n’a pas rejeté la validité de tels calculs d'emblée et a cité quelques exemples supplémentaires pour son auditeur.
Nous trouvons également des références dans le Coran à l'acte divin de dénombrer et d'évaluer. Le verset 78:29 déclare : « Mais Nous avons compté toutes choses par écrit [dans un livre] », et le verset 72:28 dit « et Il a embrassé tout ce qui est avec eux et a compté toutes choses en nombre. » Le dénombrement de toutes choses est lié au nom divin al-Alim, l’Omniscient, et procède du nom al-Muhsi, qui signifie le Comptable, l’Évaluateur et le Numérateur de Tout. C’est donc une forme de réflexion que d'étudier les trésors numériques du Coran, à condition de ne pas l'étudier comme une fin en soi, de ne pas en faire une moquerie et de ne pas oublier le but principal de poursuivre sa guérison et sa guidance. Comme pour toutes les questions, nous devrions chercher une approche équilibrée entre les deux extrêmes. Il n'est pas approprié de considérer les codes numériques dans l'écriture comme la preuve principale de ses vérités et de leur accorder trop d'importance. D'autre part, il n'est pas correct de les rejeter, en les déclarant nuls et insignifiants.
On sait qu'il existe un cycle naturel de 19 ans entre la lune et le soleil. C'est-à-dire que la pleine lune apparaît au même endroit dans le ciel pendant environ 19 ans [4]. Nous trouvons de manière remarquable, par exemple, que les mots « soleil » et « lune » ont été mentionnés ensemble exactement 19 fois dans le Coran. Il s'avère qu'il existe d'autres codes numériques miraculeux concernant le nombre 19. Le premier chapitre révélé dans son intégralité (chapitre 1, l’Ouverture) comporte 19 lettres dans son premier verset, le /basmalah/. De même, le dernier chapitre révélé (chapitre 110, le Secours) comporte également 19 lettres dans son premier verset. (Nous notons que le /basmalah/ est considéré comme un verset du Coran uniquement au début du 1er et au milieu du 27e chapitres.) Il est également intéressant de noter que la première révélation (les cinq premiers versets du chapitre 96, l'Adhérence) contient 19 mots. En outre, il s'agit du 19e chapitre à partir de la fin du Coran dans l'ordre séquentiel. Le dernier chapitre révélé (chapitre 110, le Secours) contient également 19 mots. Permettez-moi de citer un autre exemple concernant le nombre 19 : le pilier fondamental de la foi islamique est l'unité de Dieu. Le nombre de fois que le mot /wahid/ (qui signifie un) est utilisé pour faire référence à l'unité de Dieu est de 19. Incidemment, la valeur /abjad/ du mot /wahid/ est également de 19.
D'autres nombres en dehors de 19 présentent des connexions mystérieuses similaires. Par exemple, le nombre de lettres distinctes utilisées dans le premier chapitre (al-Fatihah, l'Ouverture) et dans le dernier chapitre (al-Nas, l'Humanité) dans l'ordre séquentiel du Coran est de 22. En outre, les deux chapitres comportent 7 versets en comptant le /basmalah/. Le chapitre 112, intitulé la Sincérité de la Foi, décrit l'attribut divin d'unité. Il comporte 11 lettres dans son premier verset, ce qui correspond à la valeur /abjad/ du nom divin /huwa/ (Lui) qui fait référence à l'Être Divin seul, sans considération d'autres noms ou attributs.
Bien que les avis diffèrent parmi les érudits, il est communément admis que l’ordre séquentiel et les noms de tous les chapitres du Coran ont été établis par révélation divine. Les chapitres les plus longs se trouvent généralement au début et les plus courts vers la fin ; cependant, leur ordre séquentiel n’a pas été déterminé en fonction de leur longueur ou de leur ordre chronologique, mais bien de la révélation [5]. Nous soulignons quelques merveilles à cet égard pour illustrer des preuves supplémentaires de l’ordre et de la dénomination divins des chapitres du Coran. Le chapitre intitulé La Nuit (/al-Layl/) est le 92e chapitre du Coran. Le mot « nuit » est répété 92 fois dans tout le Coran, y compris sous ses formes singulière et plurielle (/layl/ et /laylah/). Un autre exemple concerne la valeur gématrique de 57 pour le mot /al-hadid/, le fer. Le chapitre nommé al-Hadid, le Fer, est le 57e chapitre du Coran. La valeur /abjad/ de « fer » sous forme indéfinie, sans l'article « le » au début (c'est-à-dire, simplement le mot /hadid/), est de 26, ce qui correspond précisément au numéro atomique du fer. De plus, le mot « fer » n’apparaît qu'une seule fois dans ce chapitre, précisément dans le verset 26. De telles merveilles dans le Coran sont si nombreuses qu’il est impossible d'argumenter en faveur du hasard et de la coïncidence.
Un autre type de code numérique trouvé dans le Coran est la distance entre certains mots, mesurée en termes de nombre de mots ou de lettres entre deux mots donnés. Dans l’histoire des « gens de la caverne » dans le chapitre al-Kahf, par exemple, la durée de leur sommeil dans la caverne est donnée comme étant de 309 ans (18:25). Il s’avère que leur histoire dans le Coran est racontée en 309 mots. C’est-à-dire qu’il y a précisément 309 mots entre les deux mots /labithu/ (ils restèrent) qui apparaissent dans les versets 18:12 et 18:26, du début de la narration à la fin, y compris ces deux mots et en comptant la conjonction /wa/ (et) comme un mot séparé.
Les statistiques sur les lettres et les mots dans le Coran révèlent des proportions intéressantes. Par exemple, le mot /shahr/ (mois) est répété 12 fois sous sa forme singulière. Les mots /rajul/ (homme) et /imraah/ (femme) sont répétés chacun 24 fois. De même, les mots /malak/ (ange) et /shaitan/ (diable) sont répétés chacun 88 fois. Même une liste modeste de telles relations contient de nombreux éléments ; nous avons souhaité n'indiquer ici que quelques cas.
Il y a 29 chapitres dans le Coran qui commencent par des lettres isolées, appelées /huruf-u muqattaa/. Elles sont considérées comme des codes miraculeux [6] qui contiennent de nombreux secrets : elles indiquent certains événements futurs, ont des relations avec le domaine invisible de l'existence, le contenu général du chapitre et les noms divins de Dieu. Ces lettres présentent également de nombreuses caractéristiques numériques intéressantes. La lettre /qaf/, par exemple, apparaît comme une lettre isolée au début de deux chapitres, à savoir les chapitres 42 (al-Shura, la Consultation) et 50 (le Qaf). Il est étonnant de constater que la lettre /qaf/ est répétée 57 fois dans ces deux chapitres. C’est remarquable, car le chapitre 42 est plus de deux fois plus long que le chapitre 50.
Bediuzzaman Said Nursi a énuméré plusieurs exemples miraculeux où une phrase ou un verset du Coran contient des références à des événements significatifs de notre époque à travers sa valeur /abjad/. Il a, par exemple, expliqué que la phrase /tarmihim bihijaratin/, « les frappant avec des pierres » dans le verset 105:4, fait allusion à l’utilisation d’avions de guerre pour les bombardements de la Seconde Guerre mondiale qui ont ravagé une grande partie de l'Europe [7]. La valeur /abjad/ de cette phrase est de 1359, ce qui correspond à l’année 1941 lorsqu’on la convertit en années du calendrier solaire. Le chapitre 105, l’Éléphant, raconte brièvement l’histoire du peuple de l’éléphant et comment leur puissante armée a été complètement détruite par des nuées d’oiseaux transportant des pierres dans leurs becs et serres. Le contenu du chapitre ainsi que sa formulation font référence aux tueries de masse pendant la Seconde Guerre mondiale. Le traité de Nursi, intitulé Le Premier Rayon, répertorie plusieurs autres cas où la valeur /abjad/ d’un verset a prédit la date d’un événement futur de manière figurative.
Les caractéristiques géométriques du magnifique *mushaf* (les rouleaux du Coran) calligraphié par Ahmed Husrev Efendi, un élève de Bediuzzaman, méritent également d'être mentionnées ici [8]. Bediuzzaman Said Nursi a observé que les noms divins « Allah » étaient tous parfaitement alignés les uns en dessous des autres (appelé *tawafuq*) dans toutes les pages des rouleaux du Coran inscrits par le calligraphe Hafiz Othman au 19e siècle. Hafiz Othman a pris le verset le plus long (*ayat al-mudayanah*, le verset du prêt, 2:282) comme taille pour une page et a utilisé le chapitre 112 comme taille d'une ligne, inscrivant ainsi l'intégralité du Coran de façon harmonieuse, sans qu'aucun des plus de 6000 versets ne dépasse la page suivante. Cependant, les caractéristiques relevées par Nursi n'avaient pas été notées avant son époque. Bediuzzaman a demandé à ses élèves d'écrire une nouvelle copie où de telles caractéristiques seraient manifestement visibles, donnant ainsi naissance au magnifique *mushaf* que nous lisons aujourd'hui. Non seulement le nom d'Allah, mais aussi d'autres noms divins, les noms des prophètes et certains mots ordinaires dérivés de la même racine sont parfaitement alignés, avec quelques exceptions.
Je tiens à conclure en soulignant de nouveau que ces merveilles numérologiques extraordinaires ne doivent pas être perçues comme une fin en soi, ni étudiées simplement pour le plaisir ou pour le divertissement : « En vérité, le Coran est une déclaration décisive ; et il n'est pas un objet de divertissement... » (86:13-14). Ces merveilles numériques doivent être considérées comme une invitation à étudier la sagesse sublime et les significations profondes du Coran. De plus, les quelques exemples mentionnés ici montrent clairement que modifier une partie quelconque de l'écriture divine, que ce soit dans son libellé ou son agencement, briserait les codes dans leurs chapitres respectifs, ou dans l'ensemble de l'Écriture. Le Coran est le testament final, et toutes ses caractéristiques sont déterminées par la révélation divine et sont protégées sous la garde divine telle qu'elle a été révélée à l'origine.
**Références**
1. Yakit, I. 2003. *Abjad Calculation and Date Deduction in Turkish-Islamic Culture*.
2. Abu Dawud, *Jihad*, 79.
3. Tafsir ibn Kathir, *al-Baqarah*, verset 2:1.
4. Meeus, Jean. 1997. *Mathematical Astronomy Morsels*, Willmann-Bell.
5. Yazır, Elmalili Hamdi. 1979. *Hak Dini Kur'ân Dili*, Istanbul : Eser Yayınları, IX, 6431.
6. Nursi, Bediuzzaman Said. 2010. *The Words*, 25e Parole, NJ : The Light, Inc. p. 395.
7. --- *Risale-i Nur Külliyatı*, *Sikke-i Tasdik-i Gaybi*, p. 55.
8. --- 2010. *The Rays*, 11e Rayon, NJ : The Light, Inc.
La première référence documentée aux cartes de tarot en Europe provient des écrits de l'Abbé de la Rive, qui avance que les cartes de tarot sont arrivées en Espagne vers 1267, puis introduites en Italie par des nobles castillans. Plus tard, le chroniqueur italien Giovanni Covelluzo rapporte qu’un jeu de cartes a été introduit à Viterbe en 1379 par des mercenaires, potentiellement d'origine sarrazine, et nommé « Naib ». Certains historiens pensent que cela pourrait évoquer des influences égyptiennes ou islamiques, mais les preuves restent faibles.
Hypothèses Égyptienne et Chinoise
Une autre théorie avance que les cartes de tarot pourraient avoir des origines égyptiennes, liée à un ancien fragment conservé au Musée d'art islamique, qui est parfois associé aux cartes des cours égyptiennes. Cependant, ce lien reste très hypothétique. Par ailleurs, en Chine, le dictionnaire Ching-tse-tung de 1120 mentionne l’invention de jeux de cartes pour l’empereur et sa cour. Cette origine orientale pourrait, selon certains, avoir transité vers l’Europe via les commerçants arabes, mais aucun lien direct n’est établi.
Le Mythe de l’Origine Tsigane
Une idée fausse, popularisée au XIXe siècle par des auteurs comme J.A. Vaillant, est que le tarot serait d’origine tsigane. En réalité, les cartes de tarot étaient déjà présentes en Europe bien avant l’arrivée des Roms venus d’Inde.
Associations Mystiques et Occultes
Le renouveau mystique des cartes de tarot commence en France avec Alliette, plus connu sous le nom d’Étteilla, qui popularise leur utilisation à des fins divinatoires et leur attribue un savoir occulte. Antoine Court de Gébelin, dans Le Monde Primitif (1781), renforce cette idée en avançant que le tarot symbolise des connaissances secrètes.
En 1853, Julia Orsina publie Le Grand Etteila, ou l’Art de Tirer les Cartes, qui associe davantage le tarot à l’occultisme. Plus tard, l’occultiste Éliphas Lévi relie les 22 Arcanes majeurs aux lettres de l’alphabet hébreu et intègre le tarot à la Kabbale, une tradition mystique juive. Son ouvrage, Dogme et Rituel de la Haute Magie, établit ainsi le tarot comme un outil mystique et symbolique.
L’Ordre de la Golden Dawn et le Symbolisme Avancé
L’Ordre britannique de la Golden Dawn, fondé en 1888, influence profondément le tarot moderne. Les leaders, comme Samuel Liddell Mathers, associent le tarot à la Kabbale et lient les cartes aux lettres hébraïques, aux signes du zodiaque et aux éléments. Le tarot de la Golden Dawn accentue un symbolisme unique, intégrant des thèmes celtiques et astrologiques.
En 1977, Robert Wang publie une version du tarot de la Golden Dawn sous la direction d'Israel Regardie, un ancien initié, qui cherche à restaurer les symboles et couleurs d'origine du deck.
Les symboles et les couleurs d'origine du tarot de la Golden Dawn sont essentiels pour comprendre sa structure ésotérique et sa signification. Voici un aperçu des principaux éléments :
Symboles
Les Arcanes Majeurs :
Chaque Arcane majeur représente des concepts et des archétypes universels. Par exemple, le Fou symbolise le nouveau départ et l’innocence, tandis que la Grande Prêtresse représente l'intuition et le subconscient. Les symboles sont souvent liés à des thèmes mythologiques et mystiques.
Les Arcanes Mineurs :
Composés de quatre suites : Bâtons (associés au feu et à l'inspiration), Coupes (liées à l'eau et aux émotions), Épées (représentant l'air et le intellect), et Deniers (associés à la terre et aux aspects matériels). Chaque carte de ces suites a des significations spécifiques qui se rapportent à la vie quotidienne.
Kabbale et Astrologie :
Les cartes sont aussi associées à des lettres hébraïques et à des signes astrologiques. Par exemple, les 22 cartes majeures sont souvent reliées aux 22 lettres de l'alphabet hébreu, renforçant leur dimension mystique. Schéma de Couleurs :
Les couleurs utilisées dans le tarot de la Golden Dawn ont des significations ésotériques précises. Le rouge, par exemple, est souvent associé à l'énergie et à l'action, tandis que le bleu représente la sagesse et la tranquillité. Le vert est lié à la croissance et à l'harmonie, et le jaune à la clarté et à la joie .
Les Quatr de l'Ordre :
La Golden Dawn a introduit un système de quatre échelles de couleurs pour ses cartes : Roi, Reine, Prince et Princesse, chacune ayant des associations avec les éléments et les aspects de la personnalité. Ces échelles de couleurs sont conçues pour renforcer la dimension spirituelle des cartes 【9†source】.
Le tarot de Crowley, basé sur le système de la Golden Dawn, a aussi introduit des modifications aux couleurs pour s'adapter à ses propres interprétations symboliques, ce qui a influencé la perception moderne du tarot .
La magie rituelle, comme décrite dans The Complete Golden Dawn System of Magic, comprend un ensemble de rituels cérémoniels qui visent à favoriser le développement spirituel et à faciliter les pratiques magiques. Voici un aperçu des éléments clés abordés dans le livre :
1. Rituels d'Initiation
Le livre fournit des instructions détaillées pour les rituels d'initiation, qui sont cruciaux pour entrer dans l'Ordre et pour l'initiation dans des niveaux plus élevés de connaissance magique. Ces rituels impliquent souvent des éléments symboliques et des enseignements ésotériques qui aident à préparer le novice à une compréhension plus profonde de la magie.
2. Invocation des Divinités
Une partie essentielle des rituels est l'invocation de diverses divinités. Cela peut inclure des dieux et déesses provenant de différentes traditions religieuses, chacun ayant son propre rôle et son propre pouvoir. Les rituels d'invocation sont conçus pour établir un lien spirituel avec ces entités et pour recevoir leur guidance ou leur bénédiction.
3. Rituel de Banissement Moindre du Pentagramme
Ce rituel, qui est fondamental dans la pratique de la magie cérémonielle, est utilisé pour purifier l'espace et éliminer les énergies indésirables avant de commencer d'autres rituels. Il est souvent pratiqué par les occultistes comme une forme de protection personnelle, permettant d'établir un environnement sacré.
4. Symbolisme et Correspondances
Chaque rituel est imbibé de symbolisme, et le livre examine les correspondances entre les rituels, le Tarot, la Kabbale, et d'autres systèmes de croyance. Ces relations sont essentielles pour comprendre comment les différentes pratiques interagissent et se renforcent mutuellement.
L'association du tarot avec la Kabbale hébraïque, particulièrement dans le système Golden Dawn, souligne le lien entre ces deux pratiques. Les lettres hébraïques sont souvent associées aux arcanes majeurs du tarot, ce qui permet de créer un système interconnecté de symbolisme et de correspondances, enrichissant ainsi les pratiques magiques .
4. **Développement tarot est également perçu comme un outil de développement personnel et spirituel. Les cartes permettent aux individus d'explorer leur subconscient, d'analyser leurs défis et de trouver des solutions à travers une perspective magique. Cela crée un lien dynamique entre la magie et le processus de découverte de soi .
Conclusion
Le tarot et la magie partaelation symbiotique où les cartes agissent non seulement comme des outils de divination, mais aussi comme des instruments de transformation personnelle et spirituelle.
Ce qui suit est tiré des pages 160-162 de « La vie secrète des humains ».
Ce que James Vogh semble avoir manqué dans son excellente enquête [ Le Treizième Zodiaque ], c'est l'importance psychologique écrasante de la toile d'araignée elle-même. C’est une clé qui révèle de nombreux autres mystères. La véritable araignée construit sa toile en établissant d'abord des lignes droites rayonnant à partir d'un point central. Ensuite, à partir de ce point central, il se déplace en spirale vers le bord extérieur , déposant un fil transversal largement espacé au fur et à mesure. Mais lorsqu'il atteint le bord extérieur, il tourne et s'enroule désormais en spirale vers l'intérieur, posant ainsi le fil transversal étroit de la bande finie. Au fur et à mesure, il rassemble le cordon spiralé original se déplaçant vers l'extérieur , qui n'était qu'une sorte d'esquisse ou de guide structurel.
N’avons-nous pas, dans ces deux actes de l’araignée, l’explication de l’ancienne danse en spirale intérieure et extérieure du labyrinthe ? Parfois, les anciens danseurs étendaient et rassemblaient un fil – mais il existe également de nombreux témoignages confirmant la légende. Ainsi, lorsque Thésée fut condamné par le roi Minos à être enfermé dans le labyrinthe avec le redoutable Minotaure, Ariane (la fille de MInos, tombée amoureuse de Thésée) lui donna secrètement une pelote de fil pour qu'il puisse trouver son chemin. encore dehors.
Cette ruse de la pelote de fil avait été suggérée à Ariane par Dédale. Minos souhaitait maintenant tuer Dédale, qui s'enfuit. Minos croyait que Dédale se cachait à la cour du roi Cocalus, alors il se rendit à Cocalus avec une énigme. Voici une coquille d'escargot et un fil, dit-il à Cocalus. Comment enfiler la coque sans la casser ? Minos savait que Cocalus apporterait l'énigme à Dédale, ce qu'il fit ensuite. La solution de Dédale était d'attacher le fil à une fourmi, qui suivait ensuite le chemin de la coquille en spirale jusqu'au bout et vice-versa.
C'est également Dédale qui procura le taureau qui fit l'amour à Pasiphaé, l'épouse de Minos, union qui donna naissance au monstre à tête de taureau le Minotaure. Pasiphaé est la déesse de la Lune – et elle est aussi la mère d'Ariane. Ariane représente donc aussi la Lune. À leur tour, certains érudits considèrent qu’Ariane et Arachné ne font qu’un. Mais le fait que tous deux soient très impliqués dans les fils, les labyrinthes et le tissage ne fait en aucun cas de doute.
Ce que nous avons examiné le plus brièvement possible ici est une masse de preuves qui pointent encore et encore vers des liens concluants mais secrets entre les labyrinthes, les labyrinthes, les spirales, les fils, les araignées et les lunes.
Mais il y a bien plus dans ces secrets que ce que les érudits traditionnels ont imaginé. James Vogh a fait la suggestion intéressante suivante. La place légitime d'Arachné, la déesse araignée et le treizième signe manquant du zodiaque, se situe entre le Taureau le Taureau et les Gémeaux les Jumeaux sur le zodiaque conventionnel à douze signes. (Sur le zodiaque révisé de Vogh, la maison d'Arachné s'étend du 16 mai au 13 juin.) Vogh propose que le mot « Minotaure » soit une forme d'anagramme entre « geMINi » et « TAURus ». Le fait que l’ordre des deux maisons du zodiaque soit inversé dans l’anagramme ne pose aucun problème. De tels renversements, jeux de mots, utilisation des initiales uniquement des mots dans des phrases pour en épeler le sens, et ainsi de suite, sont des lieux communs absolus dans les écrits et les paroles des kabbalistes, des mystiques et des adeptes à travers les âges. Ils essayaient toujours de préserver et de communiquer les vérités anciennes à ceux qui avaient des yeux pour voir, tout en les cachant au regard des stupides ou des non-initiés.
L’image centrale de la mosaïque de la synagogue de Beth Alpha est un excellent exemple pictural d’un tel message au sens caché. Elle a le croissant de lune sur son côté gauche (et le croissant de lune est la lune la plus puissante de toutes – voir Gardiens de la sagesse ancienne ). Sa coiffure contient treize éléments. Elle gouverne les quatre saisons (ou peut-être les quatre éléments – terre, air, feu et eau) et les huit planètes (?) avec des rênes ou des fils – et nous devons encore considérer toutes les implications du fil. Il s’agit en fait d’Arachné, la déesse araignée, l’ancienne et véritable dirigeante de l’univers.
Quant au Minotaure, habitant au centre du labyrinthe, il symbolise donc le mystère central, et en tant que fils de la Lune, il est aussi une référence déguisée à elle. Je pense moi-même aussi que le Minotaure est une référence déguisée au cervelet (le cervelet fortement plié et froissé est même plus un labyrinthe qu'une noix). Le Minotaure est donc l'être humain à « tête cervelet ». Et comme une naissance en Arachné est par excellence le signe de l'individu psychique (voir plus bas), les différentes interconnexions sont parfaites.
Mais revenons pour l’instant à la toile d’araignée elle-même, le symbole le plus important de tous. J'espère que nous avons clairement indiqué que tous les labyrinthes et labyrinthes sont des toiles symboliques. Les lignes droites et radiales de la toile d'araignée sont les mêmes lignes droites de la pensée logique et rationnelle : et aussi en même temps les rayons du soleil, symbole de la conscience éveillée. La ligne en spirale de la toile est le symbole de la pensée intuitive et inconsciente, de l'approche oblique latérale de l'esprit mystique – la pensée du « mouvement du chevalier », comme on l'appelle, dans une image tirée des échecs. Cette pensée oblique et non linéaire opère surtout la nuit dans les rêves, et la Lune elle-même est également un symbole de la pensée inconsciente. D'ailleurs, les preuves scientifiques s'accumulent selon lesquelles les phases de la Lune sont directement liées à la quantité et à la vivacité des rêves, une croyance ancienne en tout cas.
Mais les choses ne s’arrêtent pas là. Lorsque l’araignée réalise sa deuxième et dernière spirale, elle rend le fil collant. Mais il resterait désormais lui-même fidèle à sa propre toile. Ainsi, l'araignée arrache sa toile et la substance collante s'organise en gouttelettes aux intervalles dictés par les lois de la vibration harmonique. L'araignée peut désormais parcourir la toile en touchant uniquement les parties non collantes.
Les araignées communiquent de manière complexe avec leurs partenaires et leurs petits en faisant vibrer différentes harmoniques sur la toile. La mère parle ainsi à ses enfants : « restez dans le nid, venez manger, restez immobiles là où vous êtes sur la toile, il y a du danger », etc. Nous ne devons pas sérieusement douter que les anciens méditants aient observé et compris tout cela.
Dans la Grèce antique, on croyait que les planètes étaient disposées en fonction de la distance par rapport au soleil selon les lois des harmoniques – et c’est presque vrai, sinon tout à fait. Les harmonies de la gamme musicale et les positions relatives des planètes étaient considérées comme l'expression des mêmes lois fondamentales de vibration dans l'univers – d'où l'expression « la musique des sphères ». Ces idées sont sans doute bien plus anciennes que les Grecs.
Nous pouvons maintenant voir comment les anciens ont tout reconstitué dans leur vision de l’univers. (N’oublions pas ici que la devise centrale était « comme en haut, ainsi en bas ». Ce qui se passe dans les cieux est le même que ce qui se passe en bas.)
Le Soleil est le centre de la toile et ses rayons droits maintiennent les planètes en position. Mais la Lune, avec sa trajectoire erratique, est l’araignée que sert la toile. Et nous, l’humanité, sommes les enfants de l’araignée – d’où le cordon ombilical du nouveau-né. C’est encore une fois le fil d’araignée qui relie le bébé au centre de l’utérus labyrinthique. (Et on disait que les arbres étaient le cordon ombilical qui reliait la Terre au ciel.)
Mais de nombreux fils de la Lune sont invisibles. Le fil qui remonte les marées est invisible : c'est le magnétisme. Le fil qui attire l’aimant flottant vers le nord est invisible : c’est le magnétisme.
De là, il n'y a qu'un pas de plus vers la « toile du destin » et le « fil de la vie » que les Destins (ou les Fileurs, comme on les appelle aussi) coupent lorsque nous mourons.