Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
rusty james news
Publicité
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
22 février 2014

Deux chercheurs allemand ont ont prouvé que la pyramide de kheops a plus de 15 OOO ans

kheops

Les autorités égyptiennes sont vent debout contre deux archéologues allemands. Leur crime? Avoir vandalisé la pyramide de Khéops pour prouver leur thèse.

Deux chercheurs de l'Université de Dresde ont en effet mené une expédition non-autorisée dans la célèbre pyramide dans le but de prouver que la grande pyramide de Gizeh n'a pas 4500 ans mais... 20.000 ans.

Pour ainsi faire, ils ont "gratté" le cartouche rouge contenant le nom du pharaon sur un mur d’une chambre funéraire, puis transporté les échantillons pour les faire analyser dans leur pays. Depuis, les deux Allemands affirment que les fragments expertisés confirment leur théorie et que les pyramides de Gizeh sont bien plus anciennes que le règne de Khéops.

Comme le rapporte le site News.com, cette méthode a été vivement condamnée par les experts et les autorités égyptiennes. "C'est totalement faux et absurde", a déclaré Ahmed Saeed, professeur de civilisation ancienne de l'Université du Caire.

Leurs travaux ont ainsi été invalidés fin novembre, mais au-delà de leur thèse, les deux archéologues sont accusés d'avoir enfreint la loi égyptienne et la convention de l'Unesco en s'introduisant dans la pyramide et en ramenant des échantillons sans autorisation.

Après cette atteinte à l'une des 7 merveilles du monde, le ministère de la Culture et le Conseil des Antiquités égyptiennes ont interdit toute coopération avec l'université de Dresde qui soutenait les deux chercheurs, ainsi qu'avec le laboratoire où les échantillons volés ont été analysés.

Les noms des apprentis archéologues ont été ajoutés à la liste de surveillance des aéroports, a précisé News.com. S'ils retournent en Egypte, ils seront arrêtés.

Source :

Publicité
29 janvier 2014

les secrets de ÎLE DE PÂQUES ET de la CIVILISATION DE L’INDUS

the_anunnaki___zoom_detail_3___by_bergamind-d332mp9

ÎLE DE PÂQUES ET
CIVILISATION DE L’INDUS
autrefois sur la planète Terre toutentière. Une « civilisation première » semble être responsable de similitudes et de parallèles dans le domaine des langues, de la culture, de la religion, de l’archéologie et de l’ethnologie qui se manifestent auprès de civilisations bien éloignées, comme celle des polynésiens, de l’Égypte d’avant les dynasties, des premiers Ariens de l’Inde, des Mayas et des Incas. Lore Hasselmann Les « murs incas » sur l’île de Pâques ressemblent à l’époque précolombienne du Pérou et l’archaïque statue Tikuturi à celle de l’époque pré inca et ensuite les signes Rongo-Rongo que l’on retrouve sur des milliers de sceaux dans la vallée de l’Indus. Charles Berlitz dit, à ce sujet, dans son livre : « Le huitième continent Berceau de toutes les cultures » « Les constructions en pierre de très hauts autels disséminées dans le monde entier font conclure à une civilisation commune, de laquelle ne sont restées conservées que les grandes pierres de ce type, remarquable de construction résistant au temps. La civilisation mégalithique de Malte — l’une des plus anciennes civilisations de la zone méditerranéenne — est évaluée à plus de 8.000 ans. Les cités et les tombes entourées de murs circulaires sur les îles Canaries qui ressemblent tellement aux ruines de Malte que l’on pourrait croire qu’elles ont été érigées par les mêmes architectes, semblent être même encore plus anciennes. D’autres anciennes constructions sur Malte ressemblent par contre aux murs de pierre du Pérou et aux murs et platesformes sur lesquelles s’élèvent les bustes en pierre de l’île de Pâques. »
pt12090
Chez les Mayas et dans le premier type de construction de Mykonos se trouve la même sorte de console. Les tours de pierre rondes sur la côte irlandaise ressemblent aux nurages de Sardaigne et aux chulpas rondes du Pérou avant l’époque des Incas (Sillustani). De grands cercles de pierre en Angleterre comme Stonehenge et la construction de Glastonbury qui fait près de 50 km, trouvent leur pendant dans des lieux de découverte préhistoriquesdans les plaines côtières de l’Europe occidentale et dans les différentes parties de l’Amérique indienne. Charles Berlitz : « Les murs de pierres complets ajoutés les uns aux autres découverts dans le Zimbabwe africain ont une similitude remarquable avec les murs de Cuelap dans la jungle du Pérou oriental (jusqu’à la réalisation de la ceinture en pierre du bord supérieur du mur) et avec les forteresses de pierre des îles Aran devant la côte occidentale de l’Irlande.Ces organisations de pierre fortifiées si semblables entre elles dans leur construction — malgré l’éloignement de milliers de kilomètres — sont bien évidemment très vieilles, mais leur âge précis est difficile à évaluer, puisque des monuments de pierre qui ont plus de 50.000 ans ne peuvent être datés. » Le docteur Manson Valentine, paléontologue,géologue et archéologue sousmarin à Miami a réalisé d’abondantes expéditions sous-marines surtout dans le triangle des Bermudes et sur les hauts-fonds des Bahamas. Il dit : « Toute la région des hauts-fonds des Bahamas se trouvait, pendant la dernière époque glacière, au-dessus
du niveau de la mer et a été par la suite submergée par la montée de la mer. J’ai voulu vérifier la thèse géologique qui stipule que, si les grands seuils sous-marins des Bahamas étaient encore une terre sèche dans un passé pas trop éloigné, ce qui semble assez sûr, doivent alors se trouver, dans les eaux profondes de cette région, desindices d’une ancienne colonisation par les hommes.

paques_moai
À la question : « Quel peuple, à votre avis, a construit ces rues ou ces murs ? » il répond : « C’est le peuple qui a aussi érigé les énormes constructions en Amérique centrale, les têtes de pierre de Tehuantepec,les gigantesques plates-formes de Baalbek au Liban et à Malte en Méditerranée, Stonehenge en Angleterre, les murs de
aussi les menhirs représentent le premier exemple connu de l’art. On trouve ces menhirs partout sur la Terre : en Bretagne, en Terre de Feu, en Afrique, en Inde, au Cachemire, en Chine et en Mongolie. La religion solaire de la pierre droite était une religion monothéiste. Des pyramides sur l’île de Pâques Les pyramides ont aussi une signification solaire. Leurs arêtes et les pentes de leurs couloirs à l’intérieur représentaient les rayons du soleil et leur façon de tomber sur la Terre à travers les bouts de nuages. L’existence des pyramides sur l’île de Pâques est aussi décrite dans un vieux livre espagnol du capitaine Don P. Gonzales de Haedo : « … qui proviennent de l’ancien continent pacifique et sont recouvertes aujourd’hui,par l’intermédiaire du déluge, par des sédiments. »« Les statues de l’île de Pâques sontdes menhirs consacrés au dieu Crom et les autels faits de pierre volcanique ont pour nom Tepl. Il s’ensuit que, en Polynésie, les
dieux Crom et Ra sont entièrement identiques.» (Marcel Homet)Cette affirmation vaut pour les statues « archaïques ». Les statues de la période « classique » sont des réservoirs collecteurs pour la Mana, cette force cosmique qui peut être comparée à l’énergie abondante produite par les rayons du soleil.Elles ne cessent d’être en relation étroite avec le culte solaire des Anciens.
pt60784
À cette époque-là, la planète Vénus, qui s’était détachée de Jupiter, passa près de la Terre et des pierres effritées par elle tombèrent dans l'Océan Pacifique dans les environs de l’île de Pâques. Il s’agissait de pierres rouges fortement chargées en magnétisme.Les initiés de Mu connaissaient l’existence des champs magnétiques et ils surent les utiliser. Ils possédaient la force d’utiliser les propriétés magnétiques de la matière pour créer un champ d’induction et ce champ, ils l’appelèrent Mana. En utilisant les propriétés magnétiques de cet aimant naturel, les initiés créèrent des champs d’une telle intensité qu’il était possible de transporterdes masses en pierre de plusieurs tonnes.Gerton de Wageningen écrit dans son ouvrage sur les minéraux :« … les minéraux, là où on les rencontre,confèrent à quelques types de structure des propriétés magnétiques marquées
et cela se trouve dans la lave ainsi que dans d’autres roches. Cependant ces cristaux, qui représentent de tout petits aimants, sont justement présents dans la lave quand la masse n’est pas encore entièrement solidifiée. Et il est significatif qu’ils ont ensuite tendance à s’aligner d’après le champ magnétique existant au moment de leur formation. »Nécessité d’un étonnant savoir Un savoir étonnant était nécessaire pour utiliser les propriétés de ces véritables petits aimants inclus dans la lave refroidie des Moais. Un vieil insulaire a dit à Francis Mezière :« Les Moais contrôlent la force des vents antarctiques et transmettent leur force unie à une puissante pierre volcanique rouge qui limite le triangle du monde insulaire du Pacifique. »Le savoir concernant toutes ces choses physiques est mort avec la défaite des longues oreilles par les oreilles courtes qui, — d’après eux — ne disposaient plus de Mana. Ils affirmèrent que les statues ne se laissaient plus bouger de leur place, qu’elles ne vivaient plus. On mit un tabou sur la carrière et ce fut la fin des activités des sculpteurs.Les érudits de la terre-mère Mu, initiés aux secrets du cosmos, avaient des connaissances qui s’étendaient jusqu’à l’astronomie. Les initiés observèrent la circonvolution de Vénus et ont pu calculer à l’avance ce qui arriverait.

Jean Prachanécrit dans son livre : « Le secret de l’île de séparés et, en partie, l’harmonie architectonique entre l’île de Pâques et
l’Amérique du Sud. Sous la pression des indigènes, les descendants des initiés de Mu ont atteint, des milliers d’années plus
tard, la vallée de l’Indus où ils fondèrent les villes Harappa et Mohenjo-Daro car la civilisation là-bas se manifesta soudainement
et se développa pleinement au 4ème siècle. Les coutumes de Mu semblent avoir laissé leurs empreintes aussi en Chine. Eux aussi portaient de longues
oreilles comme signe de sagesse et de longévité. Dans la musique aussi, il y a des parallèles. La musique de l’île de Pâques
ne ressemble pas à la musique polynésienne d’autrefois. On peut seulement la comparer à la musique archaïque chinois

pt22424
Sous le symbole du dieu unique Comme les descendants de Mu devaient maintenir en vie la tradition, elle fut écrite. Des mémoires ont été conçus
dans une forme symbolique et incompréhensible aux laïques, mémoires qui comprenaient toutes les connaissances des
initiés de Mu, connaissances spirituelles et scientifiques qui avaient permis à ce peuple des milliers d’années avant nous de
créer une civilisation mondiale, placée sous le signe du soleil comme symbole du dieu unique. L’exposé renferme aussi la
tragédie du continent disparu. Sir John Marshall écrivit en 1927 après son expédition dans la vallée de l’Indus dans son livre « Mohenjo-Daro »
qu’il s’agissait d’une civilisation hautement développée et tout particulièrement centralisée, qui ressemblait beaucoup aux
civilisations contemporaines de Mésopotamie et d’Égypte, bien qu’elle leur était supérieure à certains égards. Les découvertes de Harappa et
Mohenjo-Daro montrent une civilisation extrêmement raffinée. Dans les deux villes se développa une société de paysans et de commerçants
qui contrôlait une région de 1.500 km de long sur environ 800 km de large. Cela signifie que la civilisation de l’Indus s’est étendue
jusqu’au Cachemire, ce qu’attestent les récentes fouilles à Bursahama près de Srinagar. Sept menhirs, des monolithes travaillés pesant
des tonnes, constitués de deux sortes de pierre, le granit et le diorite vert, ont été mis au jour et sont les témoins d’unecivilisation autrefois hautement développée sur le Jhelam, l’affluant de l’Indus. Beaucoup de choses demeurent ici encore enfouies et attendent qu’on les découvre.
Les habitants de Mohenjo-Daro et de Harappa ont construit des bains chauds bien dessinés et des maisons à l’architecture
compliquée et habile qui étaient étonnamment supérieures aux constructions des Égyptiens et des Asiatiques occidentaux
de la même époque.

Ancient_Harappa_Civilisation

On sait aussi qu’ils ont domestiqué de nombreuses espèces animales et qu’ils priaient des dieux
qui habitaient sur des étoiles. Cette civilisation du 4ème siècle avant J.C. qui apparut si pleinement instruite et développée,
connaissait des choses modernes comme la canalisation, les poids et mesures et avait une écriture. Cette civilisation a de
nouveau disparu d’une manière énigmatique. Y a-t-il eu des inondations catastrophiques qui ont détruit les villes de la vallée
de l’Indus ? Des transformations climatiques ont-elles suscité un assèchement de cette région irriguée et fertile ? Jusqu’à
présent on sait seulement que Harappa a été attaquée par l’Ouest vers 1.800 à 1.500 avant J.C. et que Mohenjo-Daro

GreatBathPic_large

a été abandonnée sciemment à la même époque. On a fait dans les deux lieux une découverte inhabituelle : à hauteur du niveau
des rues d’autrefois on a mis au jour des squelettes dont l’orientation et la posture donnaient l’impression que ces hommes
ont essayé de se protéger d’un danger. Les recherchent ont montré que ces squelettes
étaient radioactifs. Explosion atomique à Mohenjo-Daro ?
Lorsqu’on visite Mohenjo-Daro, on est frappé par le fait que, vers le centre de la station, se trouvent des briques qui présentent
une surface émaillée et des bords fondus. Ces briques présentent partiellement de profondes crevasses et ont une couleur
très noire. Il est indéniable qu’elles ont été soumises à une action de chaleur extraordinairement forte. Charles Berlitz dit à ce sujet : « La
théorie selon laquelle la Terre aurait été frappée dans le passé par une guerre atomique suffisamment dévastatrice pour transformer le climat, faire fondre les glaciers, influer sur la rotation de l’axe de la planète et, — comme c’est dit dans les légendes — faire changer de place terre et mer,
relève de la science-fiction. Une guerre atomique dans le passé lointain est naturellement une des nombreuses raisons possibles de la disparition des civilisations anciennes de la Terre.

mohenjodaroskeletons543px

  »Les écrits classiques de l’Inde parlent de la bombe atomique,
d’armes  pour faire  une guerre chimique, de fusées et de vols spatiaux. Ces écrits sont restés incompréhensibles pendant des siècles, jusqu’à ce que l’humanité ait atteint un degré de développement atomique connu des ancêtres depuis déjà des milliers d’années avant. Une guerre atomique
préhistorique ? Lors de fouilles archéologiques en 1947 en Irak on a fait une étrange découvertes : après avoir travaillé sur quelques couches de civilisations et les avoir traversées et après avoir mis au jour d’indéniables artéfacts babyloniens et sumériens, on est tombé sur une couche argileuse de 4 m d’épaisseur avec des sédiments, couche qui a fait conclure à une forte inondation. Sous la couche de flux on a découvert
une couche fondue émaillée qui présentait une grande similitude avec les sols désertiques d’Alamogordo au Nouveau Mexique, cicatrisés et brûlés par le premier essai atomique.

Les habitants de la vallée de l’Indus ont laissé derrière eux un écrit que personne jusqu’à présent n’a encore pu déchiffrer.
On a trouvé à Mohenjo-Daro et à Harappa plus de 2.000 briques taillées, gravées et séchées à la chaleur. Elles comportent des scènes mythologiques
et religieuses ou des animaux comme des buffles, des taureaux, des chèvres, des tigres, etc. Chaque sceau porte une inscription, mais on ne peut pas approfondir la signification des signes — comme pour les écrits de l’île de Pâques ! L’alphabet de l’île de Pâques est plus ancien
que celui de Mohenjo-Daro et d’Harappa puisque c’est celui-là qui a inspiré celui-ci. Ce ne sont pas à vrai dire des signes primitifs, mais des signes très compliqués qui reviennent souvent. Charles Berlitz écrit :« Sur les tables Rongo-Rongo on voit des formes humaines qui sont soigneuseÎle
de Pâques et civilisation de l’Indus Impression revue n° 29 > http://www.ovnis-news.com Thérèse Molinierment gravées et tiennent des tubes en
forme de U de quatre longueurs différentes.Quelques unes de ces formes tiennent un tube à l’intérieur duquel on voit quelquechose qui ressemble à un plongeur.
Dans la vallée de l’Indus, on trouve exactement les mêmes formes avec des petits tubes en forme de U et il se trouve aussi une forme qui agite un de ces tubes avec un plongeur à l’intérieur. » Cette concordance ne saurait être un hasard. Mais les statues de l’île de Pâques que l’on croyait uniques, on les a découvertes aussi en Australie à 8.000 km de Rapanui. On a aussi établi des comparaisons entre les textes du Rig Veda et l’écrit de Mohenjo-Daro et il est apparu que les symboles découverts dans la vallée del’Indus correspondent à ceux des textes des civilisations néo-hindoues.

Et c’est ainsi aussi que se sont retrouvés les symboles
Rongo-Rongo de l’île de Pâques dans les textes sacrés des peuplades de cette religion. Les chanteurs Rongo- Rongo ont construit des ponts par delà le
temps et l’espace. Était-ce pour cela que les habitants de Rapanui avaient donné à leur île le nom Te pito o te henua — Nombril
du monde ? La même écriture le long de l’Indus et dans la mer du Sud Il n’y a pas qu’à Harappa et à Mohenjo-
Daro qu’on a trouvé des idéogrammes semblables à ceux de l’île de Pâques, mais à une date récente aussi dans les environs
de Rockford dans l’État d’Illinois ainsi qu’à Mexico chez les plus anciennes traditions des Aztèques, les inscriptions du Codex Borbonicus. Il semble par conséquent qu’il y ait eu un système de communication mondial indépendant du temps et de l’espace, dont nous trouvons les traces partout dans le monde. Ces traces peuvent toutefois prendre des formes complètement inattendues. Ainsi y a-t-il, en radiologie, un pendule constitué d’un cylindre en bois avec une inscription sur la surface qui concorde absolument avec un idéogramme de l’île de Pâques qui a été souvent reproduit sur les tables.

On utilise ce pendule pour détecter des rayons non polarisés dont l’effet peut être influencé par la volonté de celui qui s’en sert.Pourquoi ce dessin sur un tel instrument ? Il semble qu’il y ait ici une relation avec les révélations qu’à faites le médium italien Béatrice Valvonesi à Dom Netoman.
Serge Hutin rapporte à ce sujet dans son livre : « Les civilisations inconnues » : « Il y a 7.000 ans vivait dans la vallée de l’Indus un peuple hautement cultivé qui avait profondément pénétré les secrets du cosmos. Il savait que notre globe se meut dans un champ de rayons cosmiques qui
correspond aux champs magnétiques ou électriques que nous connaissons aujourd’hui… Il savait en outre et avant tout qu’on peut polariser le globe
par un dispositif ; alors naissent deux pôles, qui ressemblent à ceux qu’un champ magnétique provoque dans une sphère métallique.
Des ondes cosmiques entrent par le pôle plus, traversent le globe et ressortent au pôle moins qui se trouve exactement au côté opposé. Ainsi les dons du ciel sont-ils apportés à la Terre et abandonnés à leur sortie du globe. Il savait enfin aussi que deux pôles opposés sont chargés de la
même force opposée que, par exemple, le degré de fécondité du pôle plus correspond constamment au degré d’infertilité du pôle moins. Comme ils souhaitaient pour leur pays un maximum d’ondes favorables, ce qui s’exprimait par la fertilité du sol, la santé de la race, l’épanouissement
de la vie, ils décidèrent d’installerun “collecteur” d’ondes contraires sur le pôle opposé. » Et Serge Hutin commente ainsi ces révélations :
« Le collecteur d’ondes contrai res n’était rien d’autre que les statues géantes. Ils s’inscrivirent volontairement — par pur altruisme
— consciemment à la maladie, à la faim, à la soif et enfin à la mort. Pour chaque être humain végétant au pôle de la mort il y
avait un être humain prospérant au pôle de la vie. » (La vallée de l’Indus). Les descendants des sages de Mu retournèrent à leur première patrie et accostèrent sur les îles Marquise, sur Pitcaim et en dernier sur l’île de Pâques — reliquat du continent Mu d’autrefois. Ces vestiges sur les Marquises et sur Pitcaim (Temples solaires et pétroglyphes d’hommes, d’animaux, d’oiseaux ainsi que des figures géométriques comme des cercles et des étoiles)attestent de ce peuplement et créèrent  ensuite la « période classique » sur l’île de Pâques en souvenirs des sages de Mu. Nous savons que la Terre est un aimant gigantesque, chargé deforces électromagnétiques.
Le Britannique John Micheli écrit dans « The View over Atlantis » :« … Le magnétisme naturel de la Terre était connu des hommes préhistoriques et
leur fournissait une énergie sur laquelle était synchronisée toute leur civilisation. » Il pense qu’il est possible que toutes les constructions cyclopéennes tout autour du globe appartiendraient à une même culture mondiale et que leurs constructeurs ne les auraient pas seulement érigées
pour caractériser les lignes de champs magnétiques, mais aussi pour les utiliser à des fins de contrôle du champ magnétique de la Terre. Les Chinois nommaient ces lignes


« Voies du Dragon » (lung – mei). D’après une vieille tradition chinoise, ces lignes et centres de force ne couvrent pas seulement
la Terre entière, mais sont aussi présentes dans le corps humain comme si la Terre vivante et le corps vivant de l’homme fonctionnaient en dépendant desmêmes forces. (Acupuncture comme représentation de lignes d’énergie précises dans le corps humain.) La théorie selon laquelle les forces magnétiques de la Terre étaient connues et contrôlées depuis longtemps déjà pourrait être une explication pour les emplacements
variés et inhabituels de constructions préhistoriques dans des régions de la Terre très éloignées les unes des autres. Elle inclurait tout : les constructions mégalithiques, les monticules de terre, les rues droites en Perse et en Amérique du Sud, les lignes de Nazca, du Chili et de
Californie et les Voies du Dragon en Chine. Également le système de transport énigmatique de la préhistoire, bouger les formidables blocs de pierre sur de lointaines surfaces et de profondes vallées pourrait trouver une explication par l’intermédiaire d’un branchement de l’énergie magnétique de la Terre. Car, d’après la tradition des Longues Oreilles, les statues regagnaient leur place d’elles-mêmes.
Source : Magazin2000 spécial n° 4.Pacifique_sud_map

27 janvier 2014

La cité perdue d'Akakor, et les fantasmes ésotériques d'Adolf Hitler

false_43

On sait aujourd’hui l’importance qu’Hitler accordai t aux sciences occultes en général ainsi qu’à la recherche de certains lieux i nsolites du monde. On sait aussi qu’il était entouré d’astrologues, de magiciens, de mediums, mais également de chercheurs qui parcouraient la planète pour lui rap porter des informations sur d’anciennes traditions, ou bien encore qu’il envoya it des explorateurs dans des contrées inconnues voire perdues. Hitler voulait dev enir le maître du monde et il faillit bien l’être si certaines forces ne s’étaien t pas vigoureusement opposées à son ascension. Pour l’histoire officielle, il est m ort dans son bunker à Berlin, là où ses restes furent retrouvés et plus tard conservés par les Soviétiques. Mais s’est-il bien suicidé ? De nombreux historiens ont traité le sujet, Hitler ét ait membre de la Thule-Gesellschaft fondé par Rudolf von Sebottendorff. Ses maîtres fure nt Guido von List et Dietrich Eckart. Ce dernier l’initia à une forme de magie noi re fondée sur des rituels puissants qui permettaient d’entrer en contact avec des entités particulièrement malfaisantes avec qui ils signaient des pactes. Mais celui qui devait ma rquer plus particulièrement le Führer fut incontestablement Ernst Pretzsche. Libraire d e profession, il avait longtemps vécu au Mexique et connaissait bien ce pays et ses coutumes occultes. Cette approche du continent Sud Américain allait certain ement offrir à Hitler des perspectives futures... UN PLAN OCCULTE POUR L’AMÉRIQUE DU SUD Le chef de l’Allemagne nazie a tenté, tout au long de la guerre, de créer des « ponts occultes » avec différents continents. L’exemple le plu s frappant fut sans doute le contact qu’il prit avec la Loge noire tibétaine par l’ intermédiaire de la Société du Vril ( voir article ) en la personne de Karl Haushofer.

Des Tibétains, émanation directe d'un groupe de mages noirs, utilisant les membres de cet Ordr e pour accomplir leurs propres desseins (source : Frabato le Magicien Ed. A. Moryason) . Certains s’expatrièrent même en Allemagne afin de former des groupes nazis d’élite. On retrouvera plus tard ces Tibétains, nus, assassinés ou suicidés à la fin du conflit, un poignard planté dans l’abdomen. Le but caché de la Société de Thulé était d e regrouper l’ensemble des Loges noires afin de maîtriser la planète et de mett re en place le scénario d’asservissement des peuples, qu’elle convoitait. Ainsi donc, afin de mener le plan orchestré depuis longtemps par les plus hauts dirigeants de l’Ordre noir, Hitler prit des contacts en différents points de la planète. Une région lui tint particulièrement à cœur : l’Amérique du Sud. Il y voyait là un lieu propice à l’implantation d’une « nouvelle race » parmi les peuples primitifs de la forêt amazonienne. Dans les années 30 il avait déjà commencé, avec l’aide des dirigeants brésiliens, à implanter des avant-postes dans ce pays. Les nazis enlevaient des dizaines d’enfants dans les orphelinats brésiliens pour les soumettre à des travaux forcés et torturés, ils devaient travailler sans répit. Les survivants de ces premier s camps de l’horreur réclament aujourd’hui réparation et  excuses à leur gouvernement. C’est aussi dans ces années là que des expéditions nazi es explorèrent la forêt amazonienne avec, en tête, de bien curieux projets. Deu x buts étaient visés. Le premier, en vue de l’implantation de la future race, était de trouver des ressources minières nécessaires à l’immigration des millions de col ons allemands qui devaient investir le territoire. Le deuxième était plus secret car il concernait l’exploration de la jungle afin de trouver un lieu bien précis.

Nous en reparlerons plus loin. C’est Joseph Greiner qui, dans les années 30 fut charg é de cette expédition partie depuis la lisière de la jungle guyanaise jusqu’à la fo rêt profonde à l’est du Brésil. Cette opération fut longtemps méconnue car quelle fut son vé ritable objet ? Des photos subsistent ainsi qu’un film de propagande où l’on voit l’explorateur et son équipe parcourir la jungle dans l’espoir de trouver le « lie u propice ». Greiner mourut de la fièvre jaune et jamais on ne connut véritablement le sens réel de sa mission. Joseph Greiner lors de son expédition Quoi qu’il en soit, même sa sépulture fut oubliée et l’on voit le symbole nazi sur la croix qui définit sa tombe. Longtemps on crut cette histoire « arrangée » jusqu’à ce que l’on retrouve sa trace il y a peu de temps. Dans un livre paru l’an dernier, The Guyana Project : A German Adventure On The Amazon , Jens Glüsing a, grâce à des cartes, des photos et des documents de l’expédition retrouvés dans une hacienda, dans les archives du Département d’Etat au Brésil, au musée de Rio et en Allemagne, reconstitué cette expédition. Nous pouvons ainsi avoir la preuve que le Troisième Reich avait bel et bien l’intention de s’implanter dans la jungle amazonienne de manière très active. Mais outre la recherche des ressources premières, quel était le but initial ? Pourquoi Hitl er était-il déterminé à mettre en place un plan d’une t elle envergure ? La tombe aujourd'hui La tombe dans les années 30 A LA RECHERCHE DE LA CITÉ PERDUE Je l’ai dit plus haut, les nazis recherchaient partou t des objets sacrés : le Graal, la Lance de Longinus, des livres rares, mais aussi le secret de lieux mythiques du monde. La terre de Thulé (ce nom fut très important pour le groupe fondateur puisqu’il se l’appropria), Montségur, les montagnes de l’Himalaya et bien d’autres, firent l’objet de recherches sérieuses.

P ourquoi cette frénésie, pourquoi tant de moyens financiers dépensés à cette seule fin ?

Q u’y avait-il de si important en Amérique du sud pour investir de telles sommes d’argent et mettre en place un plan d’invasion si important ? Pour tenter d’obtenir la ré ponse il nous faut remonter dans le tracé d’une histoire plus lointaine. Depuis des centai nes d’années, les explorateurs parlent d’un fabuleux trésor enfoui par les Incas et q ui serait à jamais caché aux yeux des profanateurs. Légende ou réalité, cela n’a pas e mpêché nombre de personnes avides ou d’explorateurs passionnés de partir à la re cherche de ce butin. Mais est-ce bien cela qu’Hitler voulut découvrir ? C’est peu probab le car la portée de ses plans dépassait de loin la seule recherche d’une richesse matéri elle. N’oublions pas qu’un de ses principaux initiateurs, Ern st Pretzsche, vécut - nous l’avons vu - de longues années au Mexique. Ce pays est très imprégné de culture maya et certains brujos gardent en secret le souvenir de l’histoire non officie lle de leur terre. De nombreuses légendes circulent encore aujourd’h ui au sujet de cités perdues au fin fond de la jungle que nul n’a jamais pu péné trer. Est-ce une de ces villes mystérieuses que cherchait l’explorateur Greiner ? La qu estion qui peut se poser est de savoir s’il est encore possible de trouver, dans la forêt vierge, une ville oubliée. Après tout, l’homme du XXème et du XXIème siècle conn aît suffisamment la planète pour pouvoir répondre à cette question.

Il semblerait que non puisque nous venons d’avoir connaissance l’année dernière de l’existence d’une tribu sauvage au cœur de la jungle amazonienne. Des photos montrent, qu’effrayés, i ls tirent à l’arc sur l’hélicoptère qui les filme. On peut donc aisément pe nser que d’autres peuples existent encore au sein de l’enfer vert. Il faut savoir q ue des vestiges incas et mayas et plus anciens même, restent à découvrir sous la voute é paisse des arbres de ces territoires inconnus, des vestiges qui surprendraient bo n nombre d’archéologues. Mais voilà, ces édifices sont cachés sous l’amas végétal impén étrable alors qu’ils étaient jadis à ciel ouvert. Que sait-on au juste de cet enfer vert, hors ses limit es explorables ? Pas grand-chose pour ainsi dire. Peu d’archives sont disponibles et les seules que nous possédons sont soit de vieilles légendes soit les rapports fournis pa r les conquistadores à l’époque de la colonisation. De nombreuses histoires existent, rapp ortées par la tradition orale ou consignées par des auteurs anciens. Ces archives sont in téressantes car aujourd’hui nul ne peut obtenir ce qui était jadis la culture d’un peuple indien oublié et qui se perd à cause d’une mondialisation dévorante. Toutefois, cert ains péruviens fidèles à la mémoire de leurs ancêtres, m’ont assuré de la perpétuat ion de ce savoir. Au XIXème siècle, l’historien anglais Prescott, dans son ouvrage sur le Pérou, mais surtout le Dr Tschudi, dans son livre Antiguedades perua nas, fait mention d'une légende Indienne, qui rapporte qu'un convoi de 10.00 0 lamas, chargés d'or partit payer la rançon de l’Inca, prisonnier des Espagnols, puis fut arrêté dans les Andes lorsque ses hommes apprirent que leur empereur venait de mour ir.

L'énorme trésor qu’ils transportaient fut si bien caché, que nulle trace ne fut retrouvée. Où fut-il caché ? Compte tenu de la connaissance du terrain et de l’énor me quantité d’or et de bijoux, la cache devait être certainement une ville inaccessible au regard des conquérants, donc bien enfouie dans la jungle. Un autre historien anglais, John L. Stephens, dans son li vre Incidents of travel in Center America 1846 , dit que : les descendants des Caciques et les Aztèques sont supposés avoir survécu, et exister encore dans les solitude s inaccessibles des  Cordillères, déserts dans lesquels aucun homme blanc n' a encore pénétré... et qu'ils y vivent comme vécurent leurs pères, construisant les mêmes édifices, avec les mêmes ornements de sculpture et de moulage; de grandes et vastes cours, des tours élevées avec de hautes séries de marches et gravant encore sur des tables de pierre les mêmes hiéroglyphes mystérieux . Il ajoute : Je me tourne vers cette vaste région inconnue, que pas une route ne traverse, et où l'imag ination nous dépeint cette mystérieuse cité, aperçue du sommet des Cordillères, peup lée d'aborigènes insoumis, et que nul n'a visités ni n'a vus. Où sont allées ces populations qui ont échappé aux massacres perpétrés par les séides de Pizarre et Cortes ? Il doit bien obligatoirement subsister des traces de ces villes ou mieux encore une population entière qui vit peut-être de nos jours et qui serait la descendance de ces derniers incas massacrés. Où serait cette ville ou ces villes secrètes considérées comme perdues ? Seraient-elles le fruit d’une imagination débridée ? Si l’on en croit le récit de quelques voyageurs qui ont vu de très loin ces cités perdues, depuis des promontoires rocheux, on peut imaginer qu'elles sont aujourd’hui encore jalousement préservées sous le sceau du secret et certaines personnes bien informées parmi les autochtones sont muettes à leur sujet. Un péruvien de Cuzco me racontait que seules quelques individus connaiss ent des passages dans la jungle et sont autorisés à aller et venir en de rare s endroits. Des tribus empêchent quiconque de pénétrer hors certains points et même le s autorités ne désirent s’aventurer au-delà de la zone permise, soucieux de ne pas déranger, comme si des accords non écrits avaient été engagés. Les Péruviens, pour la plupart, dans des localités comme Cuzco, sont encore très incas. Mais ce gen re de ville perdue n’existerait pas seulement dans le territoire péruvie n mais aussi plus haut en Amazonie, près du Mexique, du Guatemala et d’autres encore à l’ouest du Brésil dans la forêt d’émeraude.

J’aurai l’occasion d’en reparler d ans de prochains articles. LE MYSTÈRE AKAKOR Au début des années 1970 un journaliste de la télévision allemande, Karl Brugger, fit la connaissance d’un métis du nom de Tatunca Nara, par l’intermédiaire d’un de ses amis responsable d'une compagnie brésilienne de gardes forestiers. Certain que l'histoire de ce chef indien pourrait faire l’objet d’un bon article, il réunit les deux hommes dans un bar de Manaus au Brésil. Brugger, muni de son magnétophone, enregistra les propos de l’étrange personnage à la peau claire et aux cheveux bruns qui se disait être le prince d’une tribu très ancienne dont l’histoire remontait à 15 000 ans ! En raison des persécutions, sa tribu avait du rejoindre ses antiques cités souterraines perdues dans la jungle amazonienne. Il fit mention de la puissance des habitants qui, pourvus de pouvoirs magiques avaient du, à une lointaine époque, quitter la terre après avoi r bâti des édifices colossaux. Il lui fit aussi part des effroyables catastrophes que la Terre dût endurer en des temps très lointains et pourquoi les habitants de son peuple fu rent contraints de construire des villes souterraines. Tatunca Nara parlait un peu l’All emand et confia à Brugger que 2000 soldats allemands rejoignirent cette ville au n om mystérieux d’Akakor, après 1941. Le journaliste doutait de l’indigène et restait très circonspect quant à la réalité de son récit. Toutefois, en 1972, il monta une expédition , accompagné de Tatunca Nara chef de ce peuple qui portait le nom de Ugha Mongulala . Mais les énormes difficultés du voyage lui firent rebrousser chemin. Le chef d’Akakor, vraisemblablement très contrarié continua seul le voyage. Cet épisode et les différentes informations de son gui de, permirent à Brugger d’écrire Hitler et la cité perdue d'Akakor

 un ouvrage : Die Kronik Von Akakor (Chorniques d’Akakor) Ed. Econ. Dü sseldorf - paru en 1976.

Malheureusement aucune traduction ne fut faite en Français. Le journaliste reçut de Tatunca la transmission de certains passages de l’histoire de cette fabuleuse cité. Il avait de nombreux doutes concernant son mystéri eux interlocuteur et ne lui donnait pas toute sa confiance. Il semblait lui échappe r au détour de certaines conversations. Il faut savoir qu’en fait Tatunca Nara ét ait un faussaire dont le nom véritable était Gunther Hauck. Tatunca Nara Son histoire commence en 1968, lorsque dans les journaux on parle d’un chef indien blanc, cité pour avoir sauvé la vie de douze responsables brésiliens afin obtenir leur libération d’un groupe d’indiens q ui les tenait captifs. En raison de l'aide apportée, Tat unca Nara fut récompensé par un permis de travail et des papiers d'identité. Mais en fait ces documents lui auraient été octroyés pour service rendu auprès des autorités brésiliennes comme agent infiltré au sein de la guérilla. Le Gouvernement péruvien demanda même son extradition et par ordre du gouverneur d’Acre, Tatunca Nara fut arrêté en 1972. Mais selon Brugger Peu de temps avant son extradition vers le Pérou, des officiers de ses amis l'ont libéré de prison à Rio Branco et l’ont emmené à Manaus. Un dossier d'accusation affirme qu'il était un informateur de la DOI-CODI (Détachement des opérations d'information pour la défense interne) des opérations. Dans un rapport publié par le magazine Fantasy en 1990, le directeur général de la Romeu Tuma fédéral a indiqué que Gunther Hauck (alias T. Nara) était un assassin qui devait être jugé par le cod e pénal brésilien. Mais il est toujours libre à ce jour. Le livre de Brugger fut un réel succès dans plusieurs pays. Mais voilà que continuant ses investigations sur Akakor (malgré ses doutes certains concernant Tatunca Nara), il fut assassiné par une balle inconnue dans les rues de S ao Paulo. Qui était ce meurtrier ? Pourquoi a-t-on tué le journaliste ? En savait-il trop sur le dossier Akakor ? Il faut savoir que Tatunca Nara fut aussi suspecté pour l a mort de trois autres personnes : l'Américain John Reed, en 1980, le Suisse Her bert Wanner en 1984 et en Allemagne Christine Heuser en 1987. L’ancienne épouse Al lemande de Guther Hauck dit (rapporté en 1989 par le magazine allemand Der Sp iegel) avoir reconnu en Tatunca Nara son ex-mari mais celui-ci a nié ces assertions en montrant ses papiers brésiliens attestant ses origines indiennes ! Il est patent, dans cet imbroglio, que Tatunca Nara es t très difficilement cernable. De plus,

toutes les expéditions qui ont conduit à la reche rche d’Akakor se sont soldées par des échecs mais ont de plus coûté la mort à tous les explorateurs. Si Akakor est un mythe crée de toute pièce par l’ex Allemand devenu Indien, pourquoi tant de mystère et de meurtres autour de cette affaire ? LA PISTE NAZIE Brugger semblait être sur une piste importante en liant les nazis à Akakor. Bien que méfiant au sujet de Tatunca Nara, il croyait en son ré cit. L’ « Indien » a-t-il eu connaissance de certains dossiers ? Aurait-il rencontré un indigène qui lui aurait raconté cette histoire qu’il se serait ensuite appropr ié, ou bien encore était-il vraiment le détenteur de quelque secret ? Pourtant c’est lui qui, peu de temps après, partit en expédition avec un certain Schmid, ancien pilote de son état, en 1979, à la recherche de la cité perdue d’Akahim proche d’Akakor. Il mentionn a l’importance de trois pyramides existant dans cette ville antique que nul n e connaissait. Et curieusement, Hitler et la cité perdue d'Akakor

 c’est cette même année que la revue Veja mentionne la découverte, vue du ciel, de trois pyramides dans la jungle ! Le vrai faux Indien était bien informé. A ce jour nul n’a pu parvenir sur le site. Une fois de plus Tatunca Nara sema le trouble dans une histoire très mouvementée. Selon Brugger, le Troisième Reich avait estimé qu'il était essentiel que le Brésil (pendant la guerre) restât neutre pour donner aux so us-marins allemands la maîtrise de l'Atlantique Sud afin de pouvoir ensuite envahir ce pays. Tactique perfide. Mais les Etats-Unis ruinèrent leur plan en persuadant le gouv ernement brésilien de s’aligner sur la décision des Alliés. Face à cette coalition l’Allem agne décida alors de riposter en coulant 38 navires de la flotte brésilienne. Dans cett e perspective comment est-il possible que les Allemands aient pu mettre pied à ter re et se perdre dans la jungle avec 2000 personnes ? Tatunca Nara avait-il raison en disant que son peuple avait accueilli ces troupes pendant le conflit ? L’expéditio n de Joseph Greiner est une preuve de l’intérêt des Nazis pour cette région du glo be. Mais il y a plus curieux, selon les dires de l’investigatrice espagnole contemporaine D eborah Goldstern auteure d’un article sur ces liaisons allemandes au Brésil : des récits de témoins oculaires de l’époque ont vu débarquer de nombreuses chaloupes sur les côtes de Rio de Janeiro. Mais c’est surtout en mai 1945, à la veille de capitulat ion de l'Allemagne, que deux navires U-530 et U-977, ont quitté le nord de l'Alle magne pour l’Amérique du Sud. Environ trois mois plus tard, ils se rendirent en Argenti ne. En 1984 le Jornal do Brasil mentionna, dans ses colonnes, la mort de Brugger et précisa que des policiers s’étaient laissé allé à la confid ence en disant qu'il avait été assassiné pour des motifs politiques. Le journaliste éta it certainement en possession de dossiers importants concernant les rapports du Troisiè me Reich avec le Brésil et le dossier Akakor n’arrangeait rien à l’affaire. En effet, le malheureux avait certainement mis le doigt sur une histoire assez énigmatique dans laq uelle plusieurs éléments politiques et occultes étaient en jeu, car toute la d imension d’Akakor tant déniée à cause de l’insaisissable Tatunca Nara, pourrait se vérifi er avec la venue des nazis au Brésil à la fin de la guerre. Si l’improbable indien disait faux, alors l’histoire du Troisième Reich dans la jungle amazonienne le serait au ssi. Mais voilà, beaucoup d’éléments, peut-être trop au goût de certains, vienne nt dénouer en partie les fils emmêlés de l’énigme. Et c’est justement sur ce point q ue se basait Brugger et c’est pour cette raison qu’il croyait la version de Tatunca Nara . Le journaliste croyait en Akakor, même s’il prenait Gunther Hauck (alias Tatunca ) pour un aventurier peu recommandable.

Le monde souterrain d’Akakor n’était pe ut-être pas la fable que d’aucuns dénonçaient et dénoncent encore aujourd’hui. D’après Tatunca Nara, la puissante cité n’était plus, en 1963, que l’ombre de ce qu’elle fut par le passé lorsque les « dieux venus des étoiles » la gouvernaient il y a de cela 15 000 ans. Toutefois, existait encore toute la gloire qu’ils y avaient laissée. Seuls les habitants modernes n’étaient que de pâles représenta nts de ces fastes passés. Cette ville existait toujours avec sa structure souterraine et c’est là que les Allemands nazis auraient trouvé refuge. Karl Brugger écrivit : Akakor existe-t-elle réellement ? Peut-être pas exactement comme Tatunca Nara me l'a décrit, mais l a cité est indubitablement une réalité. Les nazis se préoccupaient d’Akakor et de sa ville soute rraine en raison des relations occultes qu’ils liaient avec certains groupes et nota mment le Tibet. Sous des prétextes de recherches ethnologiques, l’expédition faite avant la guerre dans cette région du globe n’avait pour but que de reprendre contact avec des groupes sombres qui auraient échappé à la destruction du continent atlante il y a de cela près de 12000 ans. C’est eux qu’ils allaient chercher au Tibet car ils vivraient, selon la légende, dans un monde souterrain flanqué dans les replis de l’Hima laya. Et c’est toujours dans cette perspective qu’ils voulaient conquérir la cité d’Akakor don t l’ancienneté était identique.

UNE INFORMATION INNATENDUE Malgré les remous de cette histoire et l’apparente i mplication des nazis durant la dernière guerre mondiale, il semble que des pièces man quent au puzzle. Tout porte à croire que le fond est vrai mais la forme semble échapp er à toute logique. Akakor trouve sa réalité grâce à la mouvance nazie dont 2000 r eprésentants y compris femmes et enfants seraient venus au Brésil pour élire domicile à dans cette ville antique. Cela semble invraisemblable, mais à en juge r par les récits des témoins, les affirmations de Tatunca Nara et les étrangetés autou r de la mort de Brugger, nous sommes en droit de nous poser quelques questions. Si le dossier n’était pas si gênant pourquoi tant de morts et pourquoi l’Ambassade d’All emagne a-t-elle été si peu coopéré ? On sait aussi que la traque des nazis, dans les décennie s qui ont suivi la guerre se sont principalement orientées vers l’Amérique du Sud. Mais une autre question se pose. Si le projet Akakor était aussi important pour le Troisième Reich, comment se fait-il qu’Hitler ne se soit pas impliqué directement et pourquoi est-il mort dans son Hitler et la cité perdue d'Akakor  bunker comme l’histoire officielle le mentionne, au lieu de rejoindre ses réfugiés ? Là encore, Brugger suivait des indices assez troublants et c’est probablement pour cette raison qu’il s’accrochait au récit de Tatunca Nara. Il est bien évident qu’à l’époque et jusqu’à récemment, il n’était pas question d’avoir l e moindre doute au sujet de la mort d’Hitler dans son bunker. Bien sûr, depuis longtemps, q uelques historiens émettent des doutes sur sa mort. En effet, les photos et le fi lm montrant son corps sont plus que suspectes. On a réussi aujourd’hui à démontrer qu’il s’agit d’un de ses sosies du nom de Gustav Weler. La photo ci-dessous supprime aujo urd’hui (avec la facilité de consulter images et vidéos donc de voir les supercheries) to ute forme de doute. Mais les Soviétiques ont montré les restes d’Hitler notamment son crâne, certifié par les « analyses dentaires » de l’époque. Jusqu’à aujou rd’hui ce crâne est conservé à Moscou.

Donc par la force de l’histoire nous ne pouvons que conclure à la mort du chef du Troisième Reich dans son bunker. Alors tout s’emb rouille à nouveau, car pourquoi Brugger était-il si déterminé à poursuivre son enquête ? Mais voilà qu’une information de dernière minute vient jeter une lumi ère nouvelle sur l’affaire. Le journal anglais Observer du 27 septembre 2009 déclare que des chercheurs américains viennent de démontrer que le fameux crâne attribué à Hitler, secrètement préservé pendant des décennies par les services secrets so viétiques, appartenait à une femme de moins de 40 ans, dont l'identité est incon nue. Les analyses d'ADN effectuées sur les os, actuellement détenus par les Ar chives d'Etat à Moscou, ont été effectuées au laboratoire de génétique de l'Université du Connecticut. Le scientifique Nick Bellantoni s'était rendu à Moscou il y a peu de temps pour inspecter les restes d’Hitler dans les Archives de l' Etat. Il a pu ainsi faire des prélèvements ADN avec des cotons. J'ai vu - dit-il - les photos de référence des Soviétiques concernant le sofa de 1945 où Führer trouva , doit-disant, la mort et je voyais les mêmes taches exactement sur les fragments d e bois et de tissu en face de moi, donc je savais que je travaillais avec des pièces authe ntiques. Les échantillons ont ensuite été rapatriés dans le Conn ecticut.

Au centre de l'université de génétique appliquée, Linda Strausbaugh a travaill é pendant trois jours sur les traces ADN. Nous avons utilisé les mêmes protocoles qui auraient ét é utilisées dans un laboratoire criminel, dit-elle, et nous nous sommes a perçus que ces échantillons n’étaient pas ceux d’Hitler. Cette découverte, très récente, vient donc poser un g rand problème aux historiens. Depuis 64 ans les manuels scolaires, les films, les essa is etc...nous disent que le chef du Troisième Reich est mort dans son bunker mais quid d es restes du corps ? Pourquoi a-t-on voulu à tout prix cacher la vérité ? O ù est passé Hitler ? Puisque les os sont maintenant identifiés comme étant ceux d’une femm e, les hypothèses de nouvelles pistes peuvent êtres ouvertes. On peut alors supposer qu’à la fin du terrible conflit de 1945 devant la disparition du Führer et pou r ne pas troubler à nouveau le monde entier, les gouvernements occidentaux ont cert ainement caché la vérité et c’est sans doute pour cela que de nombreux services secrets se so nt particulièrement orientés vers l’Amérique du sud. Selon toute vraisembl ance, le personnage le plus odieux du conflit était encore en vie. C’est sans aucun do ute, avec du recul, que l’on peut imaginer à quel point l’information qui va suivr e a du ébranler les instances secrètes des Services spéciaux de l’époque et interpeller Brugger dans son enquête. En effet, le 5 mars 1979, dans le journal allemand Bild Zeitung , une annonce parut, Hitler et la cité perdue d'Akakor  

guillaume-delaage

http://trendboiler.com/read/MTB1cjJuMw~~

http://www.guillaume-delaage.com/articles/05-lhistoire-a-la-lumiere-de-la-tradition/hitler.html

20 janvier 2014

Un couple de l'époque romaine enterré en se tenant la main depuis 1500 ans

un_couple_se tien_la_main_depuis_1500_ans

Les restes du squelette d'un couple de l'époque romaine, montrent qu'ils se tiennent par la main depuis 1500 ans.

D'après les archéologues italiens, l'homme et la femme ont été enterrés en même temps entre le 5ème et 6ème siècle après JC dans le centre-nord de l'Italie.

Portant un anneau de bronze, la femme est positionnée de sorte qu'elle semble regarder son partenaire masculin. "Nous pensons qu'ils ont été initialement enterrés avec leurs visages se regardant l'un et l'autre. La position des vertèbres de l'homme suggère que sa tête a bougé après la mort", explique Donato Labate, le directeur des fouilles à la surintendance archéologique d'Emilia-Romagna.

La découverte a été faite lors de travaux de construction à Modène.

Les fouilles ont révélé trois couches d'intérêt scientifique.


La couche plus profonde, à quelque 7 mètres de profondeur, contenait les restes de constructions romaines de l'époque, dont un four à chaux où était produit le mortier. Les ruines appartenaient à la banlieue de Modène (Modena), qui s'appelait alors Mutina.

Une couche intermédiaire, à une profondeur d'environ 3 mètres, comprenait 11 tombes, tandis qu'une troisième stratification au sommet de la nécropole, révélait sept tombes vides.

Mis au jour par l'archéologue Licia Diamanti, le couple de squelettes appartenait à la nécropole où se trouvaient les 11 tombes. Selon Labate, les tombes sont de simples fosses, ce qui suggère que les gens enterrés là n'étaient pas particulièrement riches.

La zone a subi plusieurs inondations de la rivière Tiepido à proximité; cela a pu contribuer à faire bouger le crâne du squelette masculin après l'enterrement. La nécropole était couverte d'alluvions, et au-dessus, sept autres tombes ont été construites.

Ces sépultures étaient donc vides; très probablement, ont-ils étaient recouverts par une inondation juste après leur construction. Il pourrait s'agir de l'inondation catastrophique qui a eu lieu en 589, telle que rapportée par l'historien Paul diacre (Paulus Diaconus).


Un examen plus approfondi pour connaitre l'âge et la cause de décès du couple.

Les deux squelettes, qui sont mal conservés, vont être étudiés par Giorgio Gruppioni, anthropologue à l'Université de Bologne. La recherche comprendra l'établissement de l'âge du couple, leur relation et la cause possible du décès.

"Dans l'antiquité, il n'est pas surprenant d'apprendre que des époux ou des membres d'une famille meurent en même temps: chaque fois qu'une épidémie, telle que la peste noire, ravage l'Europe, un membre de la famille meure souvent alors que la famille essayait d'enterrer un autre membre", explique Kristina Killgrove, anthropologue biologiste à l'Université de Caroline du Nord.

En 2007, un autre couple de squelettes, enfoui depuis 5000 à 6000 ans, avait été trouvé sur un site néolithique près de Mantoue, à seulement 40 kilomètres au sud de Vérone, où Shakespeare a placé l'histoire romantique de Roméo et Juliette.

"Les deux couples sont séparés dans le temps par cinq millénaires, et les deux évoquent une tendresse édifiante. J'ai été impliqué dans de nombreuses fouilles, mais je ne me suis jamais senti tellement ému", a déclaré Labate.

http://decouvertes-archeologiques.blogspot.hu/2011/10/un-couple-de-l-epoque-romaine-enterre.html

15 janvier 2014

El Hierro Tsunami campagne de peur pour coller avec une cabale apocalyptique imprimée sur un billet de 100$

el hiero tsunami rusty james


Les médias grand public et les spécialistes de propagande History Channel et National Geographic aimeraient vous faire frémir avec  des mots îles Canaries Volcan Tsunami :

Jetez un oeil comment The Weather Channel et sites Weather Underground faux rapports ci-dessous , LIVE :
 ces sites ont été acheté en 2012 par 2013 Les Rothschild ) .

Les récents tremblement de terre du 27 decembre révélent une signature qui n'est pas celle d'une activité sismique naturelle mais celle d'une explosion atomique

Très grandesafe_image

Screen-Shot-2013-12-28-at-00de plus de nombreux témoins rapportent qu'ils ont vu deux flash de lumière intense avant l'eruption du volcan.Donc, voici des infos  typiques de ce que les Rothschild voudrais que vous acceptiez  sur les  îles Canaries :

les sites qui préparent les esprits a une possibilité d'une catastrophe mondiale avec el hierro ne sont pas si innocent que çà rien qu'à voir le titre El Hierro Island's Volcano: Ash Reaches El Salvador Capital du site  en question http://www.weather.com/news/el-hierro-island-canary-islands-volcano-eruption-20131228

http://www.wunderground.com/news/el-hierro-island-canary-islands-volcano-eruption-20131228

il est clair que el hierro en s'effondrant dans la mer créerait un^tsunami qui frapperait la cote est des etats unis avec une vague de 300 m de haut ainsi l'ordo ab chaos permettrait de mettre les survivants sous le dictat de militaire et de la loi martial.

le plan de tous les évènements sont imprimés sur toutes les coupures de billet de dollar ainsi que une explosion nucleaire aux usa et la chute de el hiero dans la mer comme le demontre cette videos

Publicité
27 décembre 2013

Dieux & démons et magie noire de l'Égypte ancienne

441px-Egypte_louvre_066

Les dieux et déesses de l’Égypte antique représentent une foule considérable de plus d'un millier de puissances surnaturelles ; divinités cosmogoniques, divinités provinciales, divinités locales, divinités funéraires, personnification de phénomènes naturels ou de concepts abstraits, ancêtres déifiés, démons, génies, divinités étrangères importées, etc. Le terme égyptien pour dieu est netjer (nṯr) et son plus ancien hiéroglyphe représente vraisemblablement un mat enveloppé de bandelettes de tissu. Pour désigner le concept de la divinité, les glyphes alternatifs sont le faucon sur un perchoir et un personnage accroupi. D'autres termes existent pour désigner une divinité, tel baou (bȝw) ou sekhem (sḫm) mais leur diffusion fut de moindre importance.

L'iconographie divine fut dès les temps protohistoriques placée sous le caractère de la diversité. La plupart des divinités furent dotées de plusieurs modes de représentations. La forme zoomorphe est sans doute la plus ancienne, mais très vite on lui adjoignit la forme purement anthropomorphe. La forme composite qui mêle un corps humain à une tête animale, ou vice versa, est plus tardive mais apparaît tout de même dès le XXVIIe siècle avant notre ère. Le panthéon des dieux égyptiens ne fut jamais organisé de manière canonique et rigoureuse à la manière des anciens Grecs. Cependant l'anarchie n'est pas totale. Les prêtres de la cité d'Héliopolis élaborèrent l'Ennéade (psdt), un groupement de neuf divinités issues du démiurge. Ce groupe fit florès à travers tout le pays et toutes les villes d'importance se virent dotées de leur propre Ennéade, sans pour autant se tenir strictement au nombre neuf, synonyme de la multitude. Les autres regroupements sont le couple avec Osiris et Isis pour parangon et la triade qui est l'adjonction au couple divin d'un dieu enfant, manifestation du cycle de la régénération cosmique. Il semble que ce qui caractérise un dieu égyptien, c'est d'abord les nombreux rites qui lui sont consacrés ; l'offrande de la Maât par pharaon à une divinité étant le geste cultuel par excellence.

19 novembre 2013

Doc Le Temple de Salomon" une série les origines de la franc-maçonnerie, la Kabbale,et la magie noire

449px-Ingobertus_001

20 juillet 2013

Une forêt vieille de 50 000 ans découverte à 18 mètres de profondeur dans le Golfe du Mexique.

foret-sous-marine-Alabama

Il s'agit d'une forêt de cyprès chauve qui se situe au large des côtes de l'Alabama.

Selon les scientifiques, son exploration a certainement été rendue possible par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. Impressionnant Publié le 9 juillet 2013 RSS 3 1.2K 64 8 1.7K Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Crédit Reuters La Terre regorge de mille paradis. Mais aussi de mille mystères. Il existe en effet encore des endroits sur la planète que l'homme n'a pas exploré. Des zones inconnues, des territoires étrangers où la nature possède encore le dessus. Au fil des siècles, les découvertes archéologiques, scientifiques, naturelles se sont multipliées.

Ainsi, il n'est pas rare que l'actualité traite de ces sujets. (Retrouvez par exemple ici le panorama des plus grandes découvertes scientifiques de 2012). Mais, en géographie aussi, il demeure des secrets bien enfouis. Le mythe de l'Atlantide en est le parfait exemple. Depuis les calendes grecques, les chercheurs tentent vainement de mettre la main sur cette île qui serait enfouie dans les mers. Si, pour le moment, la mission s'avère impossible, les explorateurs sont parfois plus chanceux.

C'est le cas de Ben Raines, directeur de la fondation à but non lucratif "Weeks Bay". En réalité, il s'agit d'un des premiers plongeurs à avoir eu la chance d'explorer une forêt vierge sous-marine récemment découverte. Plus précisément, une forêt de cyprès chauve a été mise à jour au large des côtes de l'Alabama. Celle-ci était ensevelie depuis plus de 50 000 ans et protégé par un environnement dépourvu d'oxygène, selon le site LiveScience. Cette découverte a été rendue possible, selon les scientifiques, par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. "La forêt contient des arbres tellement bien conservés que, quand ils sont coupés, il y a des odeurs fraîches de sève de cyprès qui ressortent" assure Ben Raines dans Business Insider. Cette forêt a été retrouvée à 18 mètres de fond et à plus de 16 kilomètres des côtes de l'Alabama, en plein cœur du golfe du Mexique. Elle couvre une superficie de près d'un kilomètre carré. Malgré sa découverte en 2005, il a fallu attendre les dernières semaines avant de pouvoir l'explorer. En effet, son lieu a été tenu secret pendant plusieurs années.

Car cette découverte est totalement insolite comme le raconte Ben Raines. En le directeur de la fondation discutait avec un ami possédant un magasin de plongée. Celui-ci lui confie qu'un pêcheur local a trouvé un site regorgeant de poissons et dont la faune est particulièrement abondante. Mais le propriétaire ne souhaite pas donner plus d'indications à Ben Raines. A force de persuasion et après lui avoir fait jurer de ne pas le répéter, en 2012, son ami lui révélera tout de même l'emplacement de cet endroit si merveilleux. Et lorsque Ben Raines plonge, il est subjugué. Il se retrouve face à une véritable forêt vierge de cyprès en parfait état. Cette forêt est devenue un récif artificiel, attirant poissons, crustacés, anémones de mer et autres formes de vie sous-marines. Un véritable paradis océanique.


Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/foret-vieille-50-000-ans-decouverte-18-metres-profondeur-dans-golfe-mexique-781443.html#fEVL3AHEX4u0XzuT.99

 

Il s'agit d'une forêt de cyprès chauve qui se situe au large des côtes de l'Alabama. Selon les scientifiques, son exploration a certainement été rendue possible par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. Impressionnant Publié le 9 juillet 2013 RSS 3 1.2K 64 8 1.7K Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Crédit Reuters La Terre regorge de mille paradis. Mais aussi de mille mystères. Il existe en effet encore des endroits sur la planète que l'homme n'a pas exploré. Des zones inconnues, des territoires étrangers où la nature possède encore le dessus. Au fil des siècles, les découvertes archéologiques, scientifiques, naturelles se sont multipliées. Ainsi, il n'est pas rare que l'actualité traite de ces sujets. (Retrouvez par exemple ici le panorama des plus grandes découvertes scientifiques de 2012). Mais, en géographie aussi, il demeure des secrets bien enfouis. Le mythe de l'Atlantide en est le parfait exemple. Depuis les calendes grecques, les chercheurs tentent vainement de mettre la main sur cette île qui serait enfouie dans les mers. Si, pour le moment, la mission s'avère impossible, les explorateurs sont parfois plus chanceux. C'est le cas de Ben Raines, directeur de la fondation à but non lucratif "Weeks Bay". En réalité, il s'agit d'un des premiers plongeurs à avoir eu la chance d'explorer une forêt vierge sous-marine récemment découverte. Plus précisément, une forêt de cyprès chauve a été mise à jour au large des côtes de l'Alabama. Celle-ci était ensevelie depuis plus de 50 000 ans et protégé par un environnement dépourvu d'oxygène, selon le site LiveScience. Cette découverte a été rendue possible, selon les scientifiques, par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. "La forêt contient des arbres tellement bien conservés que, quand ils sont coupés, il y a des odeurs fraîches de sève de cyprès qui ressortent" assure Ben Raines dans Business Insider. Cette forêt a été retrouvée à 18 mètres de fond et à plus de 16 kilomètres des côtes de l'Alabama, en plein cœur du golfe du Mexique. Elle couvre une superficie de près d'un kilomètre carré. Malgré sa découverte en 2005, il a fallu attendre les dernières semaines avant de pouvoir l'explorer. En effet, son lieu a été tenu secret pendant plusieurs années. Car cette découverte est totalement insolite comme le raconte Ben Raines. En le directeur de la fondation discutait avec un ami possédant un magasin de plongée. Celui-ci lui confie qu'un pêcheur local a trouvé un site regorgeant de poissons et dont la faune est particulièrement abondante. Mais le propriétaire ne souhaite pas donner plus d'indications à Ben Raines. A force de persuasion et après lui avoir fait jurer de ne pas le répéter, en 2012, son ami lui révélera tout de même l'emplacement de cet endroit si merveilleux. Et lorsque Ben Raines plonge, il est subjugué. Il se retrouve face à une véritable forêt vierge de cyprès en parfait état. Cette forêt est devenue un récif artificiel, attirant poissons, crustacés, anémones de mer et autres formes de vie sous-marines. Un véritable paradis océanique. Voir une vidéo de cette forêt sous-marine :
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/foret-vieille-50-000-ans-decouverte-18-metres-profondeur-dans-golfe-mexique-781443.html#fEVL3AHEX4u0XzuT.99
Il s'agit d'une forêt de cyprès chauve qui se situe au large des côtes de l'Alabama. Selon les scientifiques, son exploration a certainement été rendue possible par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. Impressionnant Publié le 9 juillet 2013 RSS 3 1.2K 64 8 1.7K Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Crédit Reuters La Terre regorge de mille paradis. Mais aussi de mille mystères. Il existe en effet encore des endroits sur la planète que l'homme n'a pas exploré. Des zones inconnues, des territoires étrangers où la nature possède encore le dessus. Au fil des siècles, les découvertes archéologiques, scientifiques, naturelles se sont multipliées. Ainsi, il n'est pas rare que l'actualité traite de ces sujets. (Retrouvez par exemple ici le panorama des plus grandes découvertes scientifiques de 2012). Mais, en géographie aussi, il demeure des secrets bien enfouis. Le mythe de l'Atlantide en est le parfait exemple. Depuis les calendes grecques, les chercheurs tentent vainement de mettre la main sur cette île qui serait enfouie dans les mers. Si, pour le moment, la mission s'avère impossible, les explorateurs sont parfois plus chanceux. C'est le cas de Ben Raines, directeur de la fondation à but non lucratif "Weeks Bay". En réalité, il s'agit d'un des premiers plongeurs à avoir eu la chance d'explorer une forêt vierge sous-marine récemment découverte. Plus précisément, une forêt de cyprès chauve a été mise à jour au large des côtes de l'Alabama. Celle-ci était ensevelie depuis plus de 50 000 ans et protégé par un environnement dépourvu d'oxygène, selon le site LiveScience. Cette découverte a été rendue possible, selon les scientifiques, par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. "La forêt contient des arbres tellement bien conservés que, quand ils sont coupés, il y a des odeurs fraîches de sève de cyprès qui ressortent" assure Ben Raines dans Business Insider. Cette forêt a été retrouvée à 18 mètres de fond et à plus de 16 kilomètres des côtes de l'Alabama, en plein cœur du golfe du Mexique. Elle couvre une superficie de près d'un kilomètre carré. Malgré sa découverte en 2005, il a fallu attendre les dernières semaines avant de pouvoir l'explorer. En effet, son lieu a été tenu secret pendant plusieurs années. Car cette découverte est totalement insolite comme le raconte Ben Raines. En le directeur de la fondation discutait avec un ami possédant un magasin de plongée. Celui-ci lui confie qu'un pêcheur local a trouvé un site regorgeant de poissons et dont la faune est particulièrement abondante. Mais le propriétaire ne souhaite pas donner plus d'indications à Ben Raines. A force de persuasion et après lui avoir fait jurer de ne pas le répéter, en 2012, son ami lui révélera tout de même l'emplacement de cet endroit si merveilleux. Et lorsque Ben Raines plonge, il est subjugué. Il se retrouve face à une véritable forêt vierge de cyprès en parfait état. Cette forêt est devenue un récif artificiel, attirant poissons, crustacés, anémones de mer et autres formes de vie sous-marines. Un véritable paradis océanique. Voir une vidéo de cette forêt sous-marine :
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/foret-vieille-50-000-ans-decouverte-18-metres-profondeur-dans-golfe-mexique-781443.html#fEVL3AHEX4u0XzuT.99
Il s'agit d'une forêt de cyprès chauve qui se situe au large des côtes de l'Alabama. Selon les scientifiques, son exploration a certainement été rendue possible par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. Impressionnant Publié le 9 juillet 2013 RSS 3 1.2K 64 8 1.7K Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Crédit Reuters La Terre regorge de mille paradis. Mais aussi de mille mystères. Il existe en effet encore des endroits sur la planète que l'homme n'a pas exploré. Des zones inconnues, des territoires étrangers où la nature possède encore le dessus. Au fil des siècles, les découvertes archéologiques, scientifiques, naturelles se sont multipliées. Ainsi, il n'est pas rare que l'actualité traite de ces sujets. (Retrouvez par exemple ici le panorama des plus grandes découvertes scientifiques de 2012). Mais, en géographie aussi, il demeure des secrets bien enfouis. Le mythe de l'Atlantide en est le parfait exemple. Depuis les calendes grecques, les chercheurs tentent vainement de mettre la main sur cette île qui serait enfouie dans les mers. Si, pour le moment, la mission s'avère impossible, les explorateurs sont parfois plus chanceux. C'est le cas de Ben Raines, directeur de la fondation à but non lucratif "Weeks Bay". En réalité, il s'agit d'un des premiers plongeurs à avoir eu la chance d'explorer une forêt vierge sous-marine récemment découverte. Plus précisément, une forêt de cyprès chauve a été mise à jour au large des côtes de l'Alabama. Celle-ci était ensevelie depuis plus de 50 000 ans et protégé par un environnement dépourvu d'oxygène, selon le site LiveScience. Cette découverte a été rendue possible, selon les scientifiques, par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. "La forêt contient des arbres tellement bien conservés que, quand ils sont coupés, il y a des odeurs fraîches de sève de cyprès qui ressortent" assure Ben Raines dans Business Insider. Cette forêt a été retrouvée à 18 mètres de fond et à plus de 16 kilomètres des côtes de l'Alabama, en plein cœur du golfe du Mexique. Elle couvre une superficie de près d'un kilomètre carré. Malgré sa découverte en 2005, il a fallu attendre les dernières semaines avant de pouvoir l'explorer. En effet, son lieu a été tenu secret pendant plusieurs années. Car cette découverte est totalement insolite comme le raconte Ben Raines. En le directeur de la fondation discutait avec un ami possédant un magasin de plongée. Celui-ci lui confie qu'un pêcheur local a trouvé un site regorgeant de poissons et dont la faune est particulièrement abondante. Mais le propriétaire ne souhaite pas donner plus d'indications à Ben Raines. A force de persuasion et après lui avoir fait jurer de ne pas le répéter, en 2012, son ami lui révélera tout de même l'emplacement de cet endroit si merveilleux. Et lorsque Ben Raines plonge, il est subjugué. Il se retrouve face à une véritable forêt vierge de cyprès en parfait état. Cette forêt est devenue un récif artificiel, attirant poissons, crustacés, anémones de mer et autres formes de vie sous-marines. Un véritable paradis océanique. Voir une vidéo de cette forêt sous-marine :
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/foret-vieille-50-000-ans-decouverte-18-metres-profondeur-dans-golfe-mexique-781443.html#fEVL3AHEX4u0XzuT.99
Il s'agit d'une forêt de cyprès chauve qui se situe au large des côtes de l'Alabama. Selon les scientifiques, son exploration a certainement été rendue possible par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. Impressionnant Publié le 9 juillet 2013 RSS 3 1.2K 64 8 1.7K Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Crédit Reuters La Terre regorge de mille paradis. Mais aussi de mille mystères. Il existe en effet encore des endroits sur la planète que l'homme n'a pas exploré. Des zones inconnues, des territoires étrangers où la nature possède encore le dessus. Au fil des siècles, les découvertes archéologiques, scientifiques, naturelles se sont multipliées. Ainsi, il n'est pas rare que l'actualité traite de ces sujets. (Retrouvez par exemple ici le panorama des plus grandes découvertes scientifiques de 2012). Mais, en géographie aussi, il demeure des secrets bien enfouis. Le mythe de l'Atlantide en est le parfait exemple. Depuis les calendes grecques, les chercheurs tentent vainement de mettre la main sur cette île qui serait enfouie dans les mers. Si, pour le moment, la mission s'avère impossible, les explorateurs sont parfois plus chanceux. C'est le cas de Ben Raines, directeur de la fondation à but non lucratif "Weeks Bay". En réalité, il s'agit d'un des premiers plongeurs à avoir eu la chance d'explorer une forêt vierge sous-marine récemment découverte. Plus précisément, une forêt de cyprès chauve a été mise à jour au large des côtes de l'Alabama. Celle-ci était ensevelie depuis plus de 50 000 ans et protégé par un environnement dépourvu d'oxygène, selon le site LiveScience. Cette découverte a été rendue possible, selon les scientifiques, par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. "La forêt contient des arbres tellement bien conservés que, quand ils sont coupés, il y a des odeurs fraîches de sève de cyprès qui ressortent" assure Ben Raines dans Business Insider. Cette forêt a été retrouvée à 18 mètres de fond et à plus de 16 kilomètres des côtes de l'Alabama, en plein cœur du golfe du Mexique. Elle couvre une superficie de près d'un kilomètre carré. Malgré sa découverte en 2005, il a fallu attendre les dernières semaines avant de pouvoir l'explorer. En effet, son lieu a été tenu secret pendant plusieurs années. Car cette découverte est totalement insolite comme le raconte Ben Raines. En le directeur de la fondation discutait avec un ami possédant un magasin de plongée. Celui-ci lui confie qu'un pêcheur local a trouvé un site regorgeant de poissons et dont la faune est particulièrement abondante. Mais le propriétaire ne souhaite pas donner plus d'indications à Ben Raines. A force de persuasion et après lui avoir fait jurer de ne pas le répéter, en 2012, son ami lui révélera tout de même l'emplacement de cet endroit si merveilleux. Et lorsque Ben Raines plonge, il est subjugué. Il se retrouve face à une véritable forêt vierge de cyprès en parfait état. Cette forêt est devenue un récif artificiel, attirant poissons, crustacés, anémones de mer et autres formes de vie sous-marines. Un véritable paradis océanique. Voir une vidéo de cette forêt sous-marine :
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/foret-vieille-50-000-ans-decouverte-18-metres-profondeur-dans-golfe-mexique-781443.html#fEVL3AHEX4u0XzuT.99
Il s'agit d'une forêt de cyprès chauve qui se situe au large des côtes de l'Alabama. Selon les scientifiques, son exploration a certainement été rendue possible par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. Impressionnant Publié le 9 juillet 2013 RSS 3 1.2K 64 8 1.7K Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Crédit Reuters La Terre regorge de mille paradis. Mais aussi de mille mystères. Il existe en effet encore des endroits sur la planète que l'homme n'a pas exploré. Des zones inconnues, des territoires étrangers où la nature possède encore le dessus. Au fil des siècles, les découvertes archéologiques, scientifiques, naturelles se sont multipliées. Ainsi, il n'est pas rare que l'actualité traite de ces sujets. (Retrouvez par exemple ici le panorama des plus grandes découvertes scientifiques de 2012). Mais, en géographie aussi, il demeure des secrets bien enfouis. Le mythe de l'Atlantide en est le parfait exemple. Depuis les calendes grecques, les chercheurs tentent vainement de mettre la main sur cette île qui serait enfouie dans les mers. Si, pour le moment, la mission s'avère impossible, les explorateurs sont parfois plus chanceux. C'est le cas de Ben Raines, directeur de la fondation à but non lucratif "Weeks Bay". En réalité, il s'agit d'un des premiers plongeurs à avoir eu la chance d'explorer une forêt vierge sous-marine récemment découverte. Plus précisément, une forêt de cyprès chauve a été mise à jour au large des côtes de l'Alabama. Celle-ci était ensevelie depuis plus de 50 000 ans et protégé par un environnement dépourvu d'oxygène, selon le site LiveScience. Cette découverte a été rendue possible, selon les scientifiques, par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. "La forêt contient des arbres tellement bien conservés que, quand ils sont coupés, il y a des odeurs fraîches de sève de cyprès qui ressortent" assure Ben Raines dans Business Insider. Cette forêt a été retrouvée à 18 mètres de fond et à plus de 16 kilomètres des côtes de l'Alabama, en plein cœur du golfe du Mexique. Elle couvre une superficie de près d'un kilomètre carré. Malgré sa découverte en 2005, il a fallu attendre les dernières semaines avant de pouvoir l'explorer. En effet, son lieu a été tenu secret pendant plusieurs années. Car cette découverte est totalement insolite comme le raconte Ben Raines. En le directeur de la fondation discutait avec un ami possédant un magasin de plongée. Celui-ci lui confie qu'un pêcheur local a trouvé un site regorgeant de poissons et dont la faune est particulièrement abondante. Mais le propriétaire ne souhaite pas donner plus d'indications à Ben Raines. A force de persuasion et après lui avoir fait jurer de ne pas le répéter, en 2012, son ami lui révélera tout de même l'emplacement de cet endroit si merveilleux. Et lorsque Ben Raines plonge, il est subjugué. Il se retrouve face à une véritable forêt vierge de cyprès en parfait état. Cette forêt est devenue un récif artificiel, attirant poissons, crustacés, anémones de mer et autres formes de vie sous-marines. Un véritable paradis océanique. Voir une vidéo de cette forêt sous-marine :
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/foret-vieille-50-000-ans-decouverte-18-metres-profondeur-dans-golfe-mexique-781443.html#fEVL3AHEX4u0XzuT.99
Il s'agit d'une forêt de cyprès chauve qui se situe au large des côtes de l'Alabama. Selon les scientifiques, son exploration a certainement été rendue possible par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. Impressionnant Publié le 9 juillet 2013 RSS 3 1.2K 64 8 1.7K Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Une forêt sous-marine a été découverte au large des côtes de l'Alabama Crédit Reuters La Terre regorge de mille paradis. Mais aussi de mille mystères. Il existe en effet encore des endroits sur la planète que l'homme n'a pas exploré. Des zones inconnues, des territoires étrangers où la nature possède encore le dessus. Au fil des siècles, les découvertes archéologiques, scientifiques, naturelles se sont multipliées. Ainsi, il n'est pas rare que l'actualité traite de ces sujets. (Retrouvez par exemple ici le panorama des plus grandes découvertes scientifiques de 2012). Mais, en géographie aussi, il demeure des secrets bien enfouis. Le mythe de l'Atlantide en est le parfait exemple. Depuis les calendes grecques, les chercheurs tentent vainement de mettre la main sur cette île qui serait enfouie dans les mers. Si, pour le moment, la mission s'avère impossible, les explorateurs sont parfois plus chanceux. C'est le cas de Ben Raines, directeur de la fondation à but non lucratif "Weeks Bay". En réalité, il s'agit d'un des premiers plongeurs à avoir eu la chance d'explorer une forêt vierge sous-marine récemment découverte. Plus précisément, une forêt de cyprès chauve a été mise à jour au large des côtes de l'Alabama. Celle-ci était ensevelie depuis plus de 50 000 ans et protégé par un environnement dépourvu d'oxygène, selon le site LiveScience. Cette découverte a été rendue possible, selon les scientifiques, par le passage de l'ouragan Katryna en 2005. "La forêt contient des arbres tellement bien conservés que, quand ils sont coupés, il y a des odeurs fraîches de sève de cyprès qui ressortent" assure Ben Raines dans Business Insider. Cette forêt a été retrouvée à 18 mètres de fond et à plus de 16 kilomètres des côtes de l'Alabama, en plein cœur du golfe du Mexique. Elle couvre une superficie de près d'un kilomètre carré. Malgré sa découverte en 2005, il a fallu attendre les dernières semaines avant de pouvoir l'explorer. En effet, son lieu a été tenu secret pendant plusieurs années. Car cette découverte est totalement insolite comme le raconte Ben Raines. En le directeur de la fondation discutait avec un ami possédant un magasin de plongée. Celui-ci lui confie qu'un pêcheur local a trouvé un site regorgeant de poissons et dont la faune est particulièrement abondante. Mais le propriétaire ne souhaite pas donner plus d'indications à Ben Raines. A force de persuasion et après lui avoir fait jurer de ne pas le répéter, en 2012, son ami lui révélera tout de même l'emplacement de cet endroit si merveilleux. Et lorsque Ben Raines plonge, il est subjugué. Il se retrouve face à une véritable forêt vierge de cyprès en parfait état. Cette forêt est devenue un récif artificiel, attirant poissons, crustacés, anémones de mer et autres formes de vie sous-marines. Un véritable paradis océanique. Voir une vidéo de cette forêt sous-marine :
Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/foret-vieille-50-000-ans-decouverte-18-metres-profondeur-dans-golfe-mexique-781443.html#fEVL3AHEX4u0XzuT.99
14 juillet 2013

Les anciens Romains connaissaient l’Amérique: de nouvelles preuves mises à jour

3513899537

 

Un examen d’ADN démontre qu’il y avait des semences de tournesol dans les vestiges retrouvés dans l’épave d’un bateau coulé dans le Mer Tyrrhénéenne au II° siècle avant Jésus-Christ. Pourtant on croyait que cette fleur, vénérée par les Incas, avait été importée en Europe par les conquistadores...

 

En somme, on peut croire désormais que bien avant les Vikings, les Romains fréquentaient le continent américain. De nouveaux indices archéologiques convaincants semblent confirmer désormais que les navires romains entretenaient des relations commerciales avec l’Amérique. Elio Cadelo, vulgarisateur scientifique, l’a annoncé lors d’une conférence tenue en marge d’une conférence de presse à Bologne portant sur la série cinématographique archéologique “Storie del Passato”. Le documentaire “Quand les Romains allaient en Amérique” dévoile des choses surprenantes sur les anciennes routes de navigation.

 

Un indice fort probant nous est fourni par une analyse ADN de résidus d’origine végétale (appartenant à une pharmacie du bord) retrouvés dans les restes d’une épave romaine, récupérés le long de la côte toscane. Le naufrage du navire a dû avoir lieu entre 140 et 120 avant JC quand Rome, après avoir détruit Carthage, était devenue la seule superpuissance de la Méditerranée. Sur ce malheureux bateau devait se trouver un médecin, dont le matériel professionnel a pu être retrouvé quasi intact dans l’épave: il y avait là des fioles, des bendelettes, des outils chirurgicaux et des petites boîtes, encore fermées, qui contenaient des pastilles magnifiquement bien conservées et qui constituent aujourd’hui des éléments très précieux pour connaître la pharmacopée de l’antiquité classique.

 

Les nouvelles analyses des fragments d’ADN provenant des végétaux contenus dans les pastilles “ont confirmé l’utilisation, déjà observée, de plusieurs plantes pharmaceutiques, mais deux d’entre elles ont plongé les archéologues dans la perplexité”, a expliqué Cadelo lors de sa communication de Bologne, organisée par “Ancient World Society”. En effet, “on y trouvait de l’ibiscus, qui ne pouvait provenir que de l’Inde ou de l’Ethiopie, et, surtout, des graines de tournesol”.

 

D’après les connaissances communément admises jusqu’ici, le tournesol n’est arrivé en Europe qu’après la conquête espagnole des Amériques. Le premier à avoir décrit la fleur de tournesol fut le conquistador du Pérou, Francisco Pizzaro, qui racontait aussi que les Incas la vénéraient comme l’image de leur divinité solaire. On sait aussi que cette fleur, de dimensions imposantes et fascinante, était cultivée dans les Amériques depuis le début du premier millénaire avant notre ère. Mais on n’en avait trouvé aucune trace dans le Vieux Monde, avant son introduction par les marchands qui furent les premiers à fréquenter les “terres à peine violées” par les conquistadores ibériques.

 

Une autre curiosité s’ajoute à de nombreuses autres, que nous explique le livre de Cadelo qui dresse l’inventaire des trafics commerciaux antiques, inconnus jusqu’ici. Ainsi, cette surprenante découverte d’un bijou raffiné en verre recouvert de feuilles d’or provenant d’ateliers romains de l’ère impériale que l’on a retrouvé dans une tombe princière japonaise, non loin de Kyoto. Il s’agit d’une pièce de verroterie rehaussée d’or que des marchands marins romains emportaient avec eux pour en faire des objets d’échange. Mais on ne doit pas nécessairement penser que ce furent des marchands romains qui l’apportèrent au Japon; ce bijou a très bien pu être échangé en d’autres lieux avant d’arriver en Extrême-Orient. Par ailleurs, on a retrouvé des monnaies romaines lors de fouilles en Corée et même en Nouvelle Zélande. D’autres preuves de la présence en Amérique de navires phéniciens ou romains avaient été décrites dans la première édition du livre de Cadelo, où, entre autres choses, l’auteur dénonce notre ignorance absolue des connaissances astronomiques de nos ancêtres: par exemple, il y a, dans la “Naturalis Historia” de Pline l’Ancien une page peu lue où le naturaliste antique explique que le mouvement de rotation de la Terre autour de son propre axe peut se démontrer par le lever et le coucher du soleil toutes les vingt-quatre heures (près d’un millénaire et demi avant Copernic...). Et Aristote disait être certain que l’on pouvait atteindre l’Inde en naviguant vers l’Ouest: si Christophe Colomb avait pu monter cette page d’Aristote aux Rois catholiques d’Espagne, il se serait épargné bien du mal à les convaincre de lui confier trois caravelles.

 

(article trouvé sur le site du quotidien italien “Il Giornale”; http://www.ilgiornale.it/ ).

Un examen d’ADN démontre qu’il y avait des semences de tournesol dans les vestiges retrouvés dans l’épave d’un bateau coulé dans le Mer Tyrrhénéenne au II° siècle avant Jésus-Christ. Pourtant on croyait que cette fleur, vénérée par les Incas, avait été importée en Europe par les conquistadores...

 

En somme, on peut croire désormais que bien avant les Vikings, les Romains fréquentaient le continent américain. De nouveaux indices archéologiques convaincants semblent confirmer désormais que les navires romains entretenaient des relations commerciales avec l’Amérique. Elio Cadelo, vulgarisateur scientifique, l’a annoncé lors d’une conférence tenue en marge d’une conférence de presse à Bologne portant sur la série cinématographique archéologique “Storie del Passato”. Le documentaire “Quand les Romains allaient en Amérique” dévoile des choses surprenantes sur les anciennes routes de navigation.

 

Un indice fort probant nous est fourni par une analyse ADN de résidus d’origine végétale (appartenant à une pharmacie du bord) retrouvés dans les restes d’une épave romaine, récupérés le long de la côte toscane. Le naufrage du navire a dû avoir lieu entre 140 et 120 avant JC quand Rome, après avoir détruit Carthage, était devenue la seule superpuissance de la Méditerranée. Sur ce malheureux bateau devait se trouver un médecin, dont le matériel professionnel a pu être retrouvé quasi intact dans l’épave: il y avait là des fioles, des bendelettes, des outils chirurgicaux et des petites boîtes, encore fermées, qui contenaient des pastilles magnifiquement bien conservées et qui constituent aujourd’hui des éléments très précieux pour connaître la pharmacopée de l’antiquité classique.

 

Les nouvelles analyses des fragments d’ADN provenant des végétaux contenus dans les pastilles “ont confirmé l’utilisation, déjà observée, de plusieurs plantes pharmaceutiques, mais deux d’entre elles ont plongé les archéologues dans la perplexité”, a expliqué Cadelo lors de sa communication de Bologne, organisée par “Ancient World Society”. En effet, “on y trouvait de l’ibiscus, qui ne pouvait provenir que de l’Inde ou de l’Ethiopie, et, surtout, des graines de tournesol”.

 

D’après les connaissances communément admises jusqu’ici, le tournesol n’est arrivé en Europe qu’après la conquête espagnole des Amériques. Le premier à avoir décrit la fleur de tournesol fut le conquistador du Pérou, Francisco Pizzaro, qui racontait aussi que les Incas la vénéraient comme l’image de leur divinité solaire. On sait aussi que cette fleur, de dimensions imposantes et fascinante, était cultivée dans les Amériques depuis le début du premier millénaire avant notre ère. Mais on n’en avait trouvé aucune trace dans le Vieux Monde, avant son introduction par les marchands qui furent les premiers à fréquenter les “terres à peine violées” par les conquistadores ibériques.

 

Une autre curiosité s’ajoute à de nombreuses autres, que nous explique le livre de Cadelo qui dresse l’inventaire des trafics commerciaux antiques, inconnus jusqu’ici. Ainsi, cette surprenante découverte d’un bijou raffiné en verre recouvert de feuilles d’or provenant d’ateliers romains de l’ère impériale que l’on a retrouvé dans une tombe princière japonaise, non loin de Kyoto. Il s’agit d’une pièce de verroterie rehaussée d’or que des marchands marins romains emportaient avec eux pour en faire des objets d’échange. Mais on ne doit pas nécessairement penser que ce furent des marchands romains qui l’apportèrent au Japon; ce bijou a très bien pu être échangé en d’autres lieux avant d’arriver en Extrême-Orient. Par ailleurs, on a retrouvé des monnaies romaines lors de fouilles en Corée et même en Nouvelle Zélande. D’autres preuves de la présence en Amérique de navires phéniciens ou romains avaient été décrites dans la première édition du livre de Cadelo, où, entre autres choses, l’auteur dénonce notre ignorance absolue des connaissances astronomiques de nos ancêtres: par exemple, il y a, dans la “Naturalis Historia” de Pline l’Ancien une page peu lue où le naturaliste antique explique que le mouvement de rotation de la Terre autour de son propre axe peut se démontrer par le lever et le coucher du soleil toutes les vingt-quatre heures (près d’un millénaire et demi avant Copernic...). Et Aristote disait être certain que l’on pouvait atteindre l’Inde en naviguant vers l’Ouest: si Christophe Colomb avait pu monter cette page d’Aristote aux Rois catholiques d’Espagne, il se serait épargné bien du mal à les convaincre de lui confier trois caravelles.

 

(article trouvé sur le site du quotidien italien “Il Giornale”; http://www.ilgiornale.it/ ).

Un examen d’ADN démontre qu’il y avait des semences de tournesol dans les vestiges retrouvés dans l’épave d’un bateau coulé dans le Mer Tyrrhénéenne au II° siècle avant Jésus-Christ. Pourtant on croyait que cette fleur, vénérée par les Incas, avait été importée en Europe par les conquistadores...

 

En somme, on peut croire désormais que bien avant les Vikings, les Romains fréquentaient le continent américain. De nouveaux indices archéologiques convaincants semblent confirmer désormais que les navires romains entretenaient des relations commerciales avec l’Amérique. Elio Cadelo, vulgarisateur scientifique, l’a annoncé lors d’une conférence tenue en marge d’une conférence de presse à Bologne portant sur la série cinématographique archéologique “Storie del Passato”. Le documentaire “Quand les Romains allaient en Amérique” dévoile des choses surprenantes sur les anciennes routes de navigation.

 

Un indice fort probant nous est fourni par une analyse ADN de résidus d’origine végétale (appartenant à une pharmacie du bord) retrouvés dans les restes d’une épave romaine, récupérés le long de la côte toscane. Le naufrage du navire a dû avoir lieu entre 140 et 120 avant JC quand Rome, après avoir détruit Carthage, était devenue la seule superpuissance de la Méditerranée. Sur ce malheureux bateau devait se trouver un médecin, dont le matériel professionnel a pu être retrouvé quasi intact dans l’épave: il y avait là des fioles, des bendelettes, des outils chirurgicaux et des petites boîtes, encore fermées, qui contenaient des pastilles magnifiquement bien conservées et qui constituent aujourd’hui des éléments très précieux pour connaître la pharmacopée de l’antiquité classique.

 

Les nouvelles analyses des fragments d’ADN provenant des végétaux contenus dans les pastilles “ont confirmé l’utilisation, déjà observée, de plusieurs plantes pharmaceutiques, mais deux d’entre elles ont plongé les archéologues dans la perplexité”, a expliqué Cadelo lors de sa communication de Bologne, organisée par “Ancient World Society”. En effet, “on y trouvait de l’ibiscus, qui ne pouvait provenir que de l’Inde ou de l’Ethiopie, et, surtout, des graines de tournesol”.

 

D’après les connaissances communément admises jusqu’ici, le tournesol n’est arrivé en Europe qu’après la conquête espagnole des Amériques. Le premier à avoir décrit la fleur de tournesol fut le conquistador du Pérou, Francisco Pizzaro, qui racontait aussi que les Incas la vénéraient comme l’image de leur divinité solaire. On sait aussi que cette fleur, de dimensions imposantes et fascinante, était cultivée dans les Amériques depuis le début du premier millénaire avant notre ère. Mais on n’en avait trouvé aucune trace dans le Vieux Monde, avant son introduction par les marchands qui furent les premiers à fréquenter les “terres à peine violées” par les conquistadores ibériques.

 

Une autre curiosité s’ajoute à de nombreuses autres, que nous explique le livre de Cadelo qui dresse l’inventaire des trafics commerciaux antiques, inconnus jusqu’ici. Ainsi, cette surprenante découverte d’un bijou raffiné en verre recouvert de feuilles d’or provenant d’ateliers romains de l’ère impériale que l’on a retrouvé dans une tombe princière japonaise, non loin de Kyoto. Il s’agit d’une pièce de verroterie rehaussée d’or que des marchands marins romains emportaient avec eux pour en faire des objets d’échange. Mais on ne doit pas nécessairement penser que ce furent des marchands romains qui l’apportèrent au Japon; ce bijou a très bien pu être échangé en d’autres lieux avant d’arriver en Extrême-Orient. Par ailleurs, on a retrouvé des monnaies romaines lors de fouilles en Corée et même en Nouvelle Zélande. D’autres preuves de la présence en Amérique de navires phéniciens ou romains avaient été décrites dans la première édition du livre de Cadelo, où, entre autres choses, l’auteur dénonce notre ignorance absolue des connaissances astronomiques de nos ancêtres: par exemple, il y a, dans la “Naturalis Historia” de Pline l’Ancien une page peu lue où le naturaliste antique explique que le mouvement de rotation de la Terre autour de son propre axe peut se démontrer par le lever et le coucher du soleil toutes les vingt-quatre heures (près d’un millénaire et demi avant Copernic...). Et Aristote disait être certain que l’on pouvait atteindre l’Inde en naviguant vers l’Ouest: si Christophe Colomb avait pu monter cette page d’Aristote aux Rois catholiques d’Espagne, il se serait épargné bien du mal à les convaincre de lui confier trois caravelles.

 

(article trouvé sur le site du quotidien italien “Il Giornale”; http://www.ilgiornale.it/ ).


Publié dans archéologie | Lien permanent |

17 juin 2012

Ahriman : de l’Atlantide à la fin de notre civilisation post-atlantéenne

2459183031_small_1

 

Il existe un plan divin, or la liberté humaine ne peut s’exercer que dans la tension créatrice entre les pôles de Lucifer et Ahriman, croissance et mort, chaud et froid, création et destruction, mysticisme exalté et matérialisme scientiste. Pour comprendre l’évolution humaine et ainsi lire les signes des temps, il faut savoir remonter aux origines spirituelles des événements matériels historiques, être capables de lire l’histoire comme l’expression de métamorphoses spirituelles importantes au sein de l’humanité, de la terre et du cosmos. C’est ce que je propose de faire en exposant l’influence d’Ahriman-Satan dans l’évolution humaine.(2)

Ahriman en Atlantide

Au milieu de l’Époque lémurienne , Lucifer a introduit l’égoïsme dans l’homme, dans ses désirs, provoquant sa Chute. Au milieu de l’époque atlantéenne, en même temps que le germe du moi se durcissait, la possibilité du mal apparut - contre laquelle le Christ a implanté la loi morale du karma : la rétroaction des actes, paroles et pensées sur leur émetteur. Une partie de l’humanité a commencé à se réincarner en Lémurie, mais une autre partie est restée dans les mondes spirituels, en attendant les conditions matérielles plus denses de l’Atlantide pour s’incarner dans un corps doté d’un cerveau plus matériel, permettant de développer l’intellect individuel. C’est ce qu’exprime le récit biblique des « fils de Dieu » (fils d’Abel-Seth) qui s’unirent aux « filles des hommes », « filles de Caïn ». De cette union naquirent des géants, les rakshasas, qui séduisirent les Atlantes en leur enseignant les rudiments de la magie, et les menèrent dans les affres cataclysmiques de la magie noire. Ils leur enseignèrent notamment comment se réincarner dans un corps physique créé magiquement en manipulant l’activité de l’éther(3) dans la croissance du corps physique, contournant ainsi le circuit naturel de la reproduction humaine de même que la loi du karma. Des formes humaines grotesques, naines et géantes, comme les Néphilim du récit de la Genèse, furent engendrés par suite de l’abus de ces forces éthériques de croissance. Ainsi, en dévoyant les Mystères atlantes de Vulcain(4) , très attachés à la matière, Ahriman établit les premières écoles de magie noire. Les Atlantes accumulaient et distribuaient la force universelle du Tao, ou Vril, l’éthérique, à travers des réseaux de cristaux géométriquement et géographiquement disposés, dans le but de contrôler les forces des éléments, transporter les individus et les denrées et, sous le contrôle d’élites mégalomanes, pour manipuler l’esprit des masses. Alors que la Lémurie fut détruite par le feu souterrain déchaîné par les passions humaines, l’Atlantide fut inondée par le Déluge (-10 000) causé par l’abus des forces des éléments, mises au service de la magie noire la plus démesurée(5).

La corruption par Ahriman des Mystères de la grande époque post-atlantéenne

Environ dix mille ans avant notre ère, notre civilisation émergeait du déluge. 6000 ans avant notre ère, en contrepoids à la culture luciférienne omniprésente, des érudits bâtirent des obélisques, des tours de Babel(6) , des tours d’ivoire du haut desquelles ils développaient une science ahrimanienne de l’astronomie et des lois cosmiques. Les mystères commencèrent à dégénérer : les mystères de Mars se changèrent en sacrifices d’enfants, ce que symbolise le Minotaure du labyrinthe de Crète - l’inversion satanique du Temple de Salomon. Les mystères de Vénus, où se pratiquait la prostitution sacrée, dégénérèrent en magie sexuelle. La déviance des Mystères de Vénus est racontée dans la Bible dans la danse de Salomé à la cour du roi Hérode. Pour la récompenser, ce dernier lui concéda un voeux : qu’on lui apporte sur un plateau d’argent la tête de Jean Baptiste. Ce symbole représente aussi les mystères solaires corrompus, le courant « anti-Graal ».

 

Peu avant l’an 666, des aristotéliciens gnostiques, chassés par l’empereur Justinien, trouvèrent refuge en Perse à Jundi Shapur (Gondishapur), où ils établirent une grande École de sagesse grecque. On y enseignait une haute science anatomique, astronomique, chimique, mathématique et philosophique, éclairée par la Gnose devenue décadente. Les plus grands scientifiques de Jundi Shapur pratiquaient des formes perverties de méditation et de magie au cours desquelles Béhémot, ou Ahriman, leur apparaissait et les inspirait, déversant en eux son génie démoniaque instinctif et intellectualisé à l’extrême. Il leur inspira le matérialisme, la méthode scientifique moderne, le dualisme corps-âme(7), l’idée que l’âme ne survit pas à la mort et que la pensée n’est qu’un reflet passif de la Pensée universelle. C’est grâce à leur traduction d’Aristote en arabe que celle-ci a pu arriver jusqu’à nous, or ils en ont fait un aristotélisme tronqué, rationaliste et matérialiste. Le but d’Ahriman était de provoquer l’individualisation précoce de l’« âme-conscience », dont le développement ne devait commencer que vers 1414 pour culminer vers l’an 3000. À l’inverse de Lucifer qui fixe notre attention sur le passé (la Gnose) et nous ramène dans l’ancienne clairvoyance passive d’origine atavique, Ahriman veut précipiter le futur dans le présent prématurément. Si l’école de Jundi Shapur n’avait pas été massacrée par les musulmans fanatiques, Ahriman aurait atteint son but et les techniques modernes comme le moteur à explosion, l’électromagnétisme, le nucléaire et l’ordinateur auraient vu le jour en 666, alors que l’humain n’était pas assez mûr pour gérer un tel génie instinctif et automatique. Notre développement spirituel aurait avorté. La famille Ben Jesu a pu échapper au massacre est s’est enfuie à Bagdad, où Al Rachid et plus tard Avicenne et Averroès poursuivirent la tradition rationaliste arabe. De là vient la méthode scientifique moderne de Francis Bacon, qui n’est autre que la réincarnation d’Al Rachid. Bacon a en quelque sorte « tué » le spirituel dans le langage en la réduisant à une donnée pouvant être traduite en code binaire, principe précurseur de l’ordinateur et de l’intelligence artificielle. Bacon imaginait un futur où le progrès scientifique et le confort amené par les avancées techniques établiraient un paradis sur terre, une « nouvelle Atlantide » en Amérique. Depuis quatre siècles environ, le courant souterrain issu de Jundi Shapur répand le matérialisme philosophique et scientifique, préparant ainsi l’incarnation d’Ahriman, autour de l’an 1998. Il apparaît que les mêmes impulsions que celles qui ont mené à l’établissement de l’académie de Jundi Shapur seraient derrière le triomphe du matérialisme historique de Marx dans le marxisme léninisme, qui est à l’origine du bolchevisme. Des intellectuels de Jundi Shapur se seraient réincarnés dans les grands penseurs matérialistes du XIXe siècle. D’autres se seraient réincarnés dans les scientifiques concepteurs de la bombe atomique à Los Alamos, au Nouveau-Mexique. Le matérialisme ahrimanien de Jundi Shapur, en ce qu’il réalise le futur prématurément, est aussi à l’origine du développement de l’ordinateur et de l’intelligence artificielle à Silicon Valley.

 

En 1332, 666 ans après la chute de Jundi Shapur, deux puissants mages noirs du culte du Taotl mexicain, inversion satanique du Tao de l’Atlantide, se réincarnent en Philipe Le Bel, roi de France, et en le pape Clément V. Ces crapules sanguinaires ont ordonné l’éradication des Templiers et, du coup, de leur projet social digne du plus grand idéal moral(8). Sous la torture, les Templiers perdirent conscience et leur Ego en fut dissocié. Ce vide fut comblé par Baphomet-Ahriman et, sous l’effet de cette possession démoniaque, les tortionnaires ont pu leur extirper des faux aveux. Ainsi l’histoire officielle des Templiers est un tissu de mensonges.

 

Philippe Lebel reviendra au quinzième siècle en Ignace de Loyola, fondateur de l’Ordre des Jésuites. Pour les Jésuites, un ordre à la fois militaire et initiatique très élevé, ‘la Fin justifie les moyens’, c’est-à-dire que tous les coups sont permis pour défendre et servir les intérêts de la dictature mondiale de l’Église et du Pape. Leur initiation les endoctrine jusque dans leur fibre la plus intime, la volonté elle-même, que les rosicruciens considèrent comme sacro-saint et intouchable, et donc ne pouvant faire l’objet d’une influence directe.

 

L’Archange Michaël fit tomber le Dragon pour la première fois dans l’Ancienne Lune , une autre fois lors de la chute des anges de Lucifer, une autre lors de la chute d’Adam par laquelle l’égoïsme pervertit son âme, une autre fois causant des épidémies de bacille, de Peste et de variole, et enfin une dernière fois en 1879, en jetant les Esprits des ténèbres, anges et archanges déchus, dans nos têtes, qui sont devenues leur nouveau champ de bataille . C’est Lucifer qui a été jeté des mondes spirituels dans la tête des hommes; Ahriman, lui, vient de sous terre. Depuis 1879, des êtres ahrimaniens s’incarnent dans des individus hauts placés des sphères politico-économiques et influencent leur volonté inconsciente de façon à ce que le système global réprime toute impulsion de renouveau social. D’autres êtres ahrimaniens influencent l’intellect des matérialistes, d’autres ravalent l’humanité à son identification à la race et à la nation, d’autres enfin sont en fait les âmes de défunts qui, à cause de leur paresse, de leur matérialisme ou de leur immoralité, sont temporairement utilisés par Ahriman comme des instruments de destruction. Michael respecte à ce point notre liberté qu’il ne peut rien faire pour nous sauver du Dragon si nous ne le combattons pas en nous-mêmes. Or il faut comprendre qu’il ne s’agit pas d’éradiquer le mal mais de le transformer.

 

L’influence d’Ahriman est sans cesse croissante. Son domaine étant la matière, il inspire la pensée matérialiste, non pas seulement le consumérisme, mais aussi l’entendement du monde qui considère que les phénomènes matériels ont des causes strictement physiques ou chimiques. Ahriman soude la pensée au cerveau, enchaînant l’individu au matériel. La pensée devient alors passive, un pâle reflet des impressions sensorielles, et l’homme pense alors de façon abstraite, aride et intellectuelle, se percevant comme un animal intelligent (darwinisme) ou une machine biologique. Si Ève est séduite par le Serpent séducteur, le feu luciférien des passions, l’homme a la propension à servir Ahriman-Satan, Méphistophélès, l’intellect rusé et calculateur. Lucifer est chaud et gonfle l’égoïsme ; Ahriman est froid et sans âme. Ahriman voudrait pouvoir bloquer toute évolution spirituelle, nous enfermer dans la quête de confort, de plaisirs, d’avoirs, de savoirs, de pouvoirs, de prévisibilité, de structure, de formalité.

 

 

 

 

Le Gardien du Seuil

 

 

Le Seuil du spirituel se trouve à l’intérieur et à l’extérieur de soi : à l’intérieur c’est l’écran de la mémoire, à l’extérieur c’est le voile des apparences, la Maya. L’humanité a franchi le Seuil au début du vingtième siècle, avec la fin du Kali-Yuga et le retour éthérique du Christ qui, apportant avec lui les nouvelles facultés de clairvoyance permettant de le percevoir, annonce le début du nouvel âge de lumière. Or parce que l’humanité était mal préparée à cette traversée, les frontières du Seuil, qui normalement gardent les éléments subconscients sous le seuil de la conscience, ne sont plus aussi étanches qu’avant. Voilà qui explique la montée des troubles anxieux et des maladies mentales, qu’on doit comprendre comme un signe des temps. Le Gardien du Seuil nous cache le monde invisible, qu’on ne saurait voir sans frémir. On ressent sa présence lorsque, en s’approchant du Seuil, on est pris d’un brûlant sentiment de honte. En effet, le Gardien étant le produit des actes de nos vies antérieures et de notre vie présente, il se charge que notre karma nous revienne en bonne et due forme, du moins tant qu’on refuse de prendre sur soi cette responsabilité. Le Gardien est donc notre Double et il nous incombe de le transformer. Le double est un agrégat d’élémentaux constitués de nos pensées et impulsions de volonté qu’on ne maîtrise pas, dont on est inconscient, que l’on n’a pas transformé. Il faut toutefois prendre garde, car voir le Gardien en face, cette image hideuse de soi-même, est une expérience terrifiante, voire dangereuse. C’est pourquoi une préparation morale adéquate est exigée avant de franchir le seuil par des moyens occultes. Si la pensée logique et la conscience morale ne sont pas assez fortes au moment de franchir le Seuil, une entité ahrimanienne entre en nous à notre insu, sous le seuil de la conscience, d’où elle nous influence. On revient alors avec un passager clandestin à son bord. Lorsqu’un scientifique étudie les propriétés de la matière, il déchire le voile des apparences sensibles et franchit le seuil séparant le matériel du spirituel pour déboucher dans le monde soi-disant subatomique, la sous-nature , le royaume des élémentaux ahrimaniens(12). Inconscient de l’existence de tels êtres, il en est d’autant plus vulnérable qu’il regorge de pensées matérialistes. Sous leur influence, il se sent plus intelligent, rusé et astucieux. Dans le meilleur des cas, il peut recevoir une idée d'invention géniale; dans le pire des cas, il devient « savant fou » ou même un tueur sadique. Caligula et les Césars ont exigé l’initiation sans préparation et sont devenus des tyrans mégalomanes. En l’absence d’un juste sens moral, l’individu devient haineux, dominé par un intellect mis au service de ses instincts de destruction.

Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 > >>