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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
16 août 2014

Texte définitif de l’accord secret de libre échange entre le Canada est l’UE

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Le dévoilement d’une partie de l’accord commercial intervenu entre le Canada et l’Union européenne ne dit rien qui vaille aux mouvements altermondialistes.

L’Accord économique et commercial global entre le Canada et l’Union européenne (AECG) conclu la semaine dernière affaiblira notamment les pouvoirs des gouvernements face aux investisseurs étrangers, empêchera de lever une taxe sur les transactions financières et augmentera le prix des médicaments, déduit le Réseau québécois d’intégration continental (RQIC) d’un premier examen de ce qui serait une partie du texte de l’entente et qui a coulé dans les médias. Le regroupement québécois de syndicats, d’organismes d’aide au développement et d’autres organisations altermondialistes craint également qu’on ait fait des concessions importantes en matière de pouvoir des gouvernements provinciaux et locaux de se servir des contrats publics comme levier de développement économique, mais également de gestion de l’eau et de politique agricole.

« Il faudra plus de temps pour analyser tout cela »,a précisé d’emblée au Devoir le coordonnateur du RQIC, Pierre-Yves Serinet, à propos des quelque 520 pages dévoilées mercredi par une chaîne de télévision allemande. En plus d’être complexe et rédigé dans le langage hermétique propre aux négociateurs commerciaux, le document pose notamment comme problème de ne pas venir avec toutes ses annexes dans lesquelles les parties indiquent, entre autres, les secteurs qu’ils soustraient aux règles du traité.

 Le contenu de l’entente

 

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Il apparaît cependant déjà, si le document est véridique, que l’accord aura une disposition accordant, comme dans l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), aux investisseurs étrangers de poursuivre les gouvernements s’ils se sentent lésés. « On avait promis que ce droit serait plus étroitement encadré, mais ça ne paraît pas être le cas »,déplore Pierre-Yves Serinet.

La définition d’investisseur retenue se révèle très large. La future réglementation des gouvernements devra tenir compte de leurs « attentes légitimes » et des risques qu’ils courent. Les investisseurs conserveront tous leurs recours jusqu’à 20 ans après l’éventuelle sortie de l’une des parties de l’entente.

Tout indique aussi que les compagnies européennes ne seront pas soumises aux mêmes seuils à partir desquels Ottawa se donne le droit, s’il le juge souhaitable, d’empêcher des projets d’investissement et d’acquisition au Canada.

Le Conseil des Canadiens, une autre organisation altermondialiste, a aussi noté, mercredi, que l’entente reprend le libellé des demandes européennes sur l’allongement de la durée de la protection des brevets pharmaceutiques. On dit craindre que cela se traduise par une augmentation du coût des médicaments au Canada en plus d’ouvrir la porte à des poursuites de l’industrie.

Un rapide examen du document confirme aussi l’augmentation au Canada des quotas d’importation de fromage européen en échange du même geste d’ouverture pour le porc et le boeuf canadiens en Europe. Une période de transition de six ans semble avoir été prévue.

 

Le débat à venir

Ottawa a refusé de confirmer ou d’infirmer l’authenticité du document mercredi soir. « Le Canada ne commente pas les fuites de documents de négociations,a écrit par courriel à La Presse canadienne un porte-parole du ministre du Commerce international, Ed Fast. Nous avons déjà publié des communiqués complets décrivant les éléments de l’entente et démontrant clairement les bénéfices significatifs qu’elle procurera à toutes les régions du Canada dès qu’elle sera en vigueur. »

 Le Canada et l’Europe ont d’abord annoncé en octobre la conclusion d’une entente de principe, après quatre ans et demi de négociations, puis une entente sur un texte complet, la semaine dernière. Il resterait encore à traduire ce texte en langage juridique, puis en 25 langues, avant de le soumettre à la ratification des Parlements nationaux et européen, un exercice qui pourrait prendre encore deux ans.

 

Considéré comme le projet de traité commercial le plus ambitieux entrepris par le Canada, l’AECG porte sur un vaste ensemble d’enjeux, dont le commerce des biens et services, la coopération réglementaire, les contrats publics, l’agriculture, la protection des investisseurs et la mobilité de la main-d’oeuvre.

 Pierre-Yves Serinet se dit convaincu que le reste du texte de l’entente coulera bientôt. « C’est une bonne chose parce que cela permettra aux élus et à la population de mieux savoir de quoi il retourne et d’entreprendre enfin un débat démocratique. Il est encore temps, sinon on nous placera devant un fait accompli. »

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3 juillet 2014

Energies: Dragonfly, le Nouveau Virus Informatique

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Après le virus Stuxnet, qui avait espionné les centrales nucléaires iraniennes et mis hors service les centrifugeuses, c'est au tour des grands groupes énergétiques (pétrole, gaz, producteurs et transporteurs d'électricité, entreprises énergétiques, etc),  installés majoritairement aux Etats-Unis, en France, en Espagne, en Allemagne, en Italie, en Turquie et en Pologne d'être infectés par un nouveau virus. Au total, 84 pays sont concernés et plus de 1'000 entreprises.

Identifié sous le nom de Dragonfly, ce virus prend pour cible les systèmes informatiques de groupes et pourrait causer des dommages ou des perturbations dans l'alimentation en énergie dans ces pays.

Une fois ce virus installé dans l'ordinateur de la victime, il récolte toutes les informations du système et peut extraire les données du carnet d'adresses de l'ordinateur et tout autre liste de noms.

 

Alors que Stuxnet avait été développé par les américains et Israël, l'origine de ce virus et pour l'instant inconnu mais les pays de l'Est sont montrés du doigt.

Dragonfly a tous les aspects d'une opération financée par un Etat car il trahit des capacités techniques élevées dont l'objectif principal semble être le cyberespionnage, le potentiel de sabotage représentant une capacité secondaire.

Dragonfly, connu aussi sous le nom Energetic Bear, semble venir d'Europe de l'Est, vu les horaires d'activité de ceux qui le contrôlent. Le groupe derrière Dragonfly a utilisé différentes formes d'infection: des spams contenant de pièces jointes infectées et des outils de navigateur pouvant installer des logiciels malveillants, selon Symantec.

Les différents pays touchés par ce virus:

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http://2000watts.org/index.php/energytrend/petrole/1051-energies-dragonfly-le-nouveau-virus-informatique.html

1 juillet 2014

Une autre Manhattan chinoise vient s’ajouter à la liste des villes désertes .

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Une ville déserte



Les immeubles du district de Conch Bay, à Tianjin, en Chine.

Les cas comme celui-ci sont exactement la raison pour laquelle la Chine n’est pas prête de prendre le pas sur les Etats-Unis.

La croissance chinoise est exagérée, les mal-investissements abondent, les prix relèvent de l’absurde, et les opérations bancaires parallèles qui financent ces développements finiront par imploser.

 

En Chine, le mal-investissement ne cesse plus de prendre de l’ampleur. Techniquement, cette croissance vient s’ajouter au PIB, mais viendra un jour où elle devra être amortie.

Les villes fantômes, les centres commerciaux déserts et les gares vides de Chine font la une de journaux depuis des années. Le plus gros centre commercial du monde est inoccupé, et des villes entières sont complètement désertes.

Une autre ville vient désormais s’ajouter à la liste des villes désertes, et pas des moindres.

Le projet de la Chine de construire sa propre Manhattan voit le jour sur un fond d’immeubles de bureaux vides et d’hôtels inachevés, et vient souligner le risque d’un ralentissement de l’économie chinoise perchée au sommet d’un boom de l’investissement sans précédent.

Le paysage aux mille gratte-ciels du district de Conch Bay, dans la ville portuaire de Tanjin, n’a vu de près rien du tout de l’agitation d’une métropole, avec ses vitres de verre couvertes de poussière et ses constructions en suspens. La région a échoué à attirer de nouveaux locataires dès la fin de la construction du premier immeuble en 2010, chose qui s’avère être de mauvais augure pour le projet d’Yujiapu, situé de l’autre côté du fleuve Hai, qui prend exemple sur Manhattan et dont la construction est encore en progrès.

La zone déserte souligne les difficultés à laquelle se heurte la Chine, à l’aube du ralentissement d’une orgie de l’investissement financée par le crédit, pour soutenir la croissance et l’emploi au sein de la deuxième économie du monde. Un véhicule de financement gouvernemental de la région de Tianjin lié au développement a vu ses revenus chuter de 68% en 2013 pour passer à une quantité à peine aussi élevée que le tiers de ses dettes annuelles pour 2014.

« Des comptes devront être réglés », a expliqué Stephen Green, directeur de recherche chez Standard Chartered Plc, à Hong Kong. La vente d’obligations par les gouvernements locaux pour rembourser les prêts bancaires ne servent qu’à acheter du temps. « Les gens devront payer » pour ces erreurs grâce à des bail-outs, à une recapitalisation des fonds publics et à l’inflation.

Conch Bay a présenté quelques signes de vie le 19 juin à l'occasion d'une visite de journalistes de Bloomberg. La construction de Glorious Oriental, un complexe résidentiel et de bureaux composés de deux gratte-ciels, a été suspendue. Au nord de Conch Bay, le bâtiment principal de l’hôtel Country Garden Phoenix, l’un des plus gros hôtels d’Asie, n’est qu’une carcasse déserte qui ne présente aucun signe de travaux en cours.

 

Les appels passés aux bureaux du Glorious Oriental à Pékin et à Tianjin sont restés sans réponse.

Wang Wei, un résident de Tianjin de 34 ans, s’est rendu en voiture dans la région pour se faire une idée du prix des propriétés, simplement pour les y trouver six fois plus élevés que ce qu’il aurait été prêt à payer. « J’ai entendu beaucoup de choses à propos de Conch Bay, mais ce n’est pas un endroit où vivre – du moins pas pour le moment », a-t-il dit. Il n’y a pas de magasins, pas d’écoles, pas d’hôpitaux et pas de voisins ».

 

 

http://www.24hgold.com/francais/actualite-or-argent-une-ville-fantome-de-plus-en-chine.aspx?article=5603815972H11690&redirect=false&contributor=Mish.

28 mai 2014

Jean-Marie Le Pen voit dans le virus Ebola un moyen de réduire l'immigration

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La tête de liste FN aux européennes dans le sud-est a déclaré que le virus Ebola pouvait "régler en trois mois" la question de l'explosion démographique. Une déclaration qui pourrait lui faire perdre son immunité de député européen sitôt réélu. 

 

Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national et tête de liste aux européennes, a de nouveau dérapé en déclarant que le virus Ebole pouvait régler en trois mois le problème de l'immigration.

 

afp.com/Lionel Bonaventure

A 85 ans, Jean-Marie Le Pen ne changera pas. En marge de ce qui était peut-être son dernier meeting de campagne, mardi soir, à Marseille, le président d'honneur du FN a jugé que "Monseigneur Ebola peut régler en trois mois" la question de "l'explosion démographique".  

Jean-Marie Le Pen, qui discutait notamment avec le maire FN de Cogolin, Marc-Etienne Lansade et était entouré de plusieurs personnes dont deux journalistes de l'AFP, expliquait lors de ce cocktail de presse la teneur de son discours prévu une heure plus tard au Palais de l'Europe du Parc Chanot de la cité phocéenne. C'est dans cadre qu'il a expliqué que le virus Ebola, qui sévit actuellement en Afrique occidentale, pourrait régler la question de l'immigration.  

En déplacement à Valence, dans la Drôme, Le Pen père est revenu sur ses déclarations de la veille. "Je ne vois pas comment on peut polémiquer sur un tel sujet. Moi, je suis un adversaire résolu de tout ce qui touche à l'intégrité des populations, mais on n'y peut rien (...) Moi, je dis que la France doit se préparer à subir le choc, le torrent migratoire, par l'extension continue de la population mondiale", a-t-il expliqué.  

Le virus Ebola est, selon lui, une "maladie terrible". "Comme les guerres nucléaires ou internes, il est de nature à modifier cette évolution [démographique] qui en elle-même est catastrophique." 


En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/politique/fn/jean-marie-le-pen-voit-dans-le-virus-ebola-un-moyen-de-reduire-l-immigration_1545213.html#SUSgGdqtcRy2Dcmd.99

23 mai 2014

DOC : L'effondrement du monde Materialiste vers un monde Spirituel

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Partie 1 Film documentaire réalisé par Jean-Baptiste Cousin à propos de la chute du système économique, (qui engendrera guerre civile, 3eme guerre mondiale et nouvel ordre mondial ) et la venue du monde Spirituel. PLAN Partie 1: -Début de la crise en Septembre 2008 - lien avec L'apocalypse de St Jean - La marque de la Bête = Puce RFID = Nouvel Ordre Mondial = Projet Sataniste. Partie 2: -Bête Masse Média = Télévision - controlé par les Banques (corruption) - exemple de Dieudonné et le chantage à l'antisémitisme. Masse Media force à vouloir toujours plus (travail, argent, croissance). Apocalypse - Hécatombe d'animaux - 3eme Guerre Mondial, guerre civile. Partie 3: -Conclusion (le problème n'est pas d'ordre économique, politique ou militaire mais Spirituel) - Conscience nouvelle - Enfants Indigos - Dieu : Religion et Spiritualité - Changements de dimension (énergie) - vers une conscience spirituel - Les grands Maîtres - Nous sommes Tous Maîtres. Intervention de : Alain Soral Pierre Jovanovic Dieudonné M'Bala M'bala Pierre Hillard Aaron Russo Mr Mondialisation Lilou Mace Sylvie Simon Neal Donald Walsh

 

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23 avril 2014

Etats-Unis : les fermiers armés font reculer les forces armées fédérales !

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« C’est une affaire qui a été littéralement censurée dans les grands médias alignés, mais qui provoque un buzz et une onde de choc historiques aux Etats-Unis et au-delà :

En effet, des citoyens armés étasuniens, armés jusqu’aux dents, sont parvenus à faire reculer les Fédéraux armés eux aussi jusqu’aux dents dans une sombre affaire de bétail et de redevance au Névada, dans le Grand Ouest des Etats-Unis où les milices armées sont autorisées.

Tout a commencé lorsque le fils d’un puissant fermier dirigeant le « Bundy Ranch » s’est opposé physiquement, en pleine steppe désertique du Névada à la saisie de plusieurs centaines de têtes de bétail par le BLM, le Bureau fédéral en charge du prélèvement de la taxe sur le fermage :

Cliven Bundy, 67 ans, rancheur au Névada, refusait de longue date de verser un droit pour faire paître ses bêtes au BLM (Bureau of Land Management), estimant qu’en bon patriote américain il n’a pas à entretenir des fonctionnaires « étrangers » à sa terre, jusqu’au moment où la police fédérale est venue saisir des centaines de bêtes sur le terrain : A ce moment, le fils a décidé de bloquer le passage du convoi qui emmenait ses bêtes et a été attaqué par un chien policier lancé contre lui.

Tout a très vite dégénéré, puisque les habitants du secteur ont immédiatement afflué pour apporter leur soutien au Ranch Bundy, obligeant la police Fédérale à déployer des blindés et des hélicoptères pour tenter d’imposer le calme.

Face à ce déploiement de force fédérale particulièrement démonstratif, des milices armées ont décidé à leur tour de s’inviter dans ce face à face sans précédent, affluant par dizaines de tout le pays, avec notamment le site anti-NWO Infowars.com comme médiateur (au sens attalien du terme) de cette affaire :

Très vite des snipers armés jusqu »aux dents ont été déployés par la police fédérale, tandis qu’en face d’autres snipers « citoyens », eux-mêmes armés jusqu’aux dents, se déployaient autour des policiers et les tenaient en joue.

 

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En haut : sniper et spotter du BLM tenant en joue les protestataires
En bas : sniper et spotter miliciens en position de tir vers les forces paramilitaires du BLM

Crainte d’un nouveau Wacco et recul des Feds

La tension est devenue extrêmement vive entre les agents fédéraux représentant le gouvernement US et les milices armées représentant les citoyens US, au point qu’à la moindre étincelle, tout pouvait dégénérer et provoquer un drame pire peut-être que la tragédie de Wacco.

C’est pourquoi le gouvernement d’Obama a semble-t’il capitulé face à la démonstration de force des citoyens rassemblés autour du Ranch Bundy, décidant non seulement de quitter les lieux, mais aussi de laisser paître  les animaux saisis puis repris de force par les fermiers locaux !

Cette capitulation historique des agents fédéraux face à des citoyens étasuniens organisés et armée a été totalement censurée dans les médias alignés US comme européens : il faut dire qu’elle illustre de manière spectaculaire la défiance de plus en plus grande et déterminée des populations étasuniennes « de base » face au Pouvoir et aux élites US. »chevaux

Source

http://rt.com/usa/nevada-ranch-armed-feds-520/

7 avril 2014

Manifestations anti-austérité monstres à Bruxelles

                                                                                                                                                                        

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Plusieurs dizaines de milliers de manifestants venus d'une vingtaine de pays européens ont parcouru la capitale belge vendredi. Leur message était simple : "l'austérité ne fonctionne pas".
 
La recette de l'austérité chère à Bruxelles et à la BCE a toujours fait grimacer. Désormais elle fait hurler, même dans les calmes artères de la capitale belge. Vendredi ce sont ainsi plusieurs dizaines de milliers de manifestants, venus d'une vingtaine de pays européens, qui ont défilé à Bruxelles à l'appel des syndicats pour dénoncer une austérité inefficace et réclamer aux dirigeants de l'UE une "autre voie" plus sociale pour l'Europe.
 
La première "euro-manifestation" de l'année a rassemblé "plus de 52.000 personnes de 21 pays", s'est réjoui Bernadette Ségol, la secrétaire générale de la Confédération européenne des syndicats (CES), qui misait sur la présence de 40.000 personnes. Ils étaient 25.000 selon la police.
 
"Austérité = pauvreté durable"
 
Parti de la gare du Nord, le cortège - aux couleurs des syndicats belges - a parcouru les boulevards de la capitale belge pour se rendre jusqu'au quartier abritant les institutions européennes. Il a réclamé une Europe plus sociale : "Mesures d'austérité = pauvreté durable", "People, not profit", pouvait-on entre autres lire sur les panneaux brandis.
 
"Les responsables européens ne veulent pas entendre notre message, pourtant simple : leurs politiques en réponse à la crise financière ne suffisent pas et ont en réalité aggravé la crise sociale et économique. Notre message est que l'austérité ne fonctionne pas", a expliqué Bernadette Ségol.
 
Affrontements et lancers de pavés
 
Si la plupart des manifestants, Belges mais aussi venus de France, de Pologne, du Danemark, d'Espagne ou de Grèce, ont marché dans la calme, scandant leurs slogans et lançant des pétards, quelques affrontements sévères ont toutefois eu lieu.
 
Les dockers (ouvriers portuaires) d'Anvers et de Gand se sont notamment désolidarisés de la marche pacifique pour prendre la tête du cortège dès le départ et ont cherché la confrontation en lançant des projectiles, notamment des pavés, en direction des forces de l'ordre. En réponse, celles-ci ont utilisé un canon à eau et des gaz lacrymogènes.
 
Pour un "virage à gauche"
 
L'objectif du rassemblement était "d'offrir une nouvelle voie à l'Europe, sans austérité mais avec des investissements forts pour une croissance durable et des emplois de qualité", a commenté Emanuela Bonacina, porte-parole de la CES.
 
"Un virage à gauche est indispensable", a plus clairement estimé la chef du syndicat socialiste belge FGTB, Anne Demelenne, en réclamant un "plan Marshall" pour relancer l'économie européenne.
 
Plus de 26 millions d'Européens sont sans emploi. Il y a 10 millions de chômeurs de plus qu'en 2008, et dans 18 des 28 pays de l'UE les salaires réels ont chuté, font remarquer les syndicats européens.
 
"Et la situation des jeunes est pire encore: 7,5 millions de jeunes Européens ne travaillent pas, ne suivent pas d'études ou de formation", a souligné Bernadette Ségol, en évoquant le risque d'une "génération perdue". 
Les manifestants ont également dénoncé la concurrence des travailleurs venus de pays de l'UE où les salaires sont plus faibles, et ont réclamé la mise en place d'un Smic européen.
 
http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20140404trib000823719/manifestations-anti-austerite-monstres-a-bruxelles.html

25 mars 2014

2 millions d’Espagnols dans la rue pour réclamer un peu de dignité des manifestants venus de toutes les régions d'Espagne

 

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"On voit la dichotomie entre les discours et la réalité. On voit 2 millions d’Espagnols qui sont allés réclamer un peu de dignité… C’est quand même énorme ! Ils ne sont pas allés réclamer des sous, ils sont allés réclamer un peu de dignité (…) C’est sûr que Monsieur Rajoy, quand il dit que ça va mieux, ça va mieux !" Des milliers de manifestants venus de toutes les régions d'Espagne ont défilé samedi dans les rues de Madrid contre la politique du gouvernement Rajoy. Des affrontements avec les forces de l'ordre ont fait des dizaines de blessés dans la soirée. Ils dénoncent "l'urgence sociale". Des dizaines de milliers de manifestants venus de toutes les régions d'Espagne ont défilé, samedi 22 mars, à Madrid, pour réclamer la fin de la politique d'austérité du gouvernement Rajoy - imposée par l'Union européenne. Certains manifestants de cette "marche de la dignité" avaient traversé le pays et parcouru à pied des centaines de kilomètres pour venir crier leur mécontentement. Agitant des drapeaux, une immense foule a envahi le centre de la capitale pour le plus grand défilé organisé depuis ceux de 2012. Tous avaient le sentiment d'une grande injustice.

Les manifestants s'indignaient de payer le marasme économique, les déficits publics et le sauvetage bancaire européen de plus de 40 milliards tandis que, selon eux, les responsables de l'explosion de la bulle immobilière, de la corruption et des abus bancaires continuent de s'enrichir. Comme un symbole, un gigantesque doigt d'honneur a surgi de la foule. "Le peuple se réveille. C'est fini la fête", assurait une pancarte accrochée au doigt. "Nous voulons du travail. Nous ne pouvons pas accepter que des millions de personnes au chômage doivent retourner chez leurs parents", a lancé Jorge Balbas, un chômeur de 24 ans de Burgos (nord) rappelant que plus d'un jeune actif espagnol sur deux est au chômage. En fin de soirée, des affrontements entre protestataires et forces de l'ordre ont éclaté. La police a chargé à plusieurs reprises et tiré des balles en caoutchouc contre des jeunes qui jetaient des projectiles, montaient des barricades, cassé les vitrines des banques et enflammé des poubelles. Les incidents ont fait 71 blessés légers dont 30 policiers et 41 manifestants, selon les services de secours Samur, précisant que 13 personnes avaient été hospitalisées. La police a interpellé 17 personnes. L'austérité sans précédent appliquée par le gouvernement depuis son arrivée fin 2011 a donné lieu à deux grèves générales en 2012, avec des centaines de milliers de personnes dans la rue. La mobilisation s'est ensuite essoufflée, dans un pays asphyxié par la récession, la crise de l'emploi et un plan d'économies de 150 milliards d'euros.

16 février 2014

L'avocat de Dieudonné donne sa Vérité !

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Isabelle Coutant-Peyre est un des avocats de Dieudonné. Elle revient sur les accusations qui pèsent sur son client et dénonce l'acharnement dont il fait l'objet ainsi que les atteintes à la présomption d'innocence.

14 novembre 2013

Bonnets rouges : des dérives autonomistes derrière les revendications sociales

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Des Bretons affublés de bonnets rouges défilant sous une marée de drapeaux noir et blanc : l'image a fait le tour de la planète. Les ouvriers bretons licenciés défilent à l'appel des patrons bretons sous un même drapeau, le drapeau breton. Le drapeau breton montre que les Bretons sont tous unis pour mener le même combat séculaire : les bons Bretons sont en révolte contre la France. Ils veulent leur liberté, la « liberté armorique » revendiquée au XVIIe siècle lors de la révolte dite des « bonnets rouges » (qui, en fait, étaient aussi bien bleus).

Pour les patrons de l'agroalimentaire qui appellent à manifester, la liberté a un sens bien précis. Pour les élus à l'origine de cette énorme opération de propagande, il a un sens non moins précis. Ce qui les rassemble se résume en un mot : autonomie.

Les premiers sont fédérés en un lobby qui réclame le droit d'en finir avec la République et ses lois contraignantes : c'est ce qui s'appelle en attendant mieux « droit à l'expérimentation ». Les seconds appuient ce projet en vue de faire de la Bretagne une nation tenant sa place dans une Europe des peuples et ethnies solidaires.

A la tête des premiers, Alain Glon, ex-président de l'entreprise Glon-Sanders et président de l'Institut de Locarn. A la tête des seconds, Christian Troadec, maire de Carhaix, fondateur du parti autonomiste Nous te ferons Bretagne, soutenu par le Parti breton, indépendantiste, relais de l'idéologie de Locarn.

UNE STRATÉGIE DE L'ENTRISME

Electoralement, ils ne représentent rien (aux élections régionales, la liste de Troadec n'a pas obtenu 5 % des voix). Politiquement, ils mènent le jeu face à un pouvoir incapable de leur tenir tête, faute d'avoir su faire pièce, dès l'origine, à une stratégie de l'entrisme menée depuis tous les points d'accès possible : gauche ou droite, écologie ou développement sans contrôle de l'agroalimentaire, appels aux droits de l'homme pour défendre l'homme breton exclusivement, apologie de la Résistance bretonne et assimilation de la Résistance au combat breton mené par les nationalistes alliés aux nazis, et, pour finir, appel des ouvriers à défiler au nom de la Bretagne derrière les patrons qui les licencient.

Les ouvriers défilent : la démonstration est faite, ils sont bretons. Leur identité les amène à se révolter : ils se mettent des bonnets rouges sur la tête. Ils se révoltent au nom de leur nation niée, le drapeau le prouve : ils brandissent des drapeaux noir et blanc.

Personne ne rappelle que le sinistre drapeau noir et blanc a été inventé par un druide raciste comme symbole antirépublicain, à partir d'hermines représentant les évêchés de la Bretagne féodale, la Bretagne d'avant la Révolution française tant honnie par les autonomistes dont il était l'un des chefs. Personne ne rappelle que la sanglante jacquerie dite des « bonnets rouges » était dirigée contre la noblesse et le clergé bretons autant et plus que contre les fermiers du roi.

Et surtout, personne ne se demande qui sont ces patrons qui sonnent le tocsin contre l'écotaxe et distribuent des bonnets au peuple pour l'enrôler dans une croisade identitaire. Produit en Bretagne (300 entreprises, un phare bleu sur fond jaune garantissant la qualité du « made in Breizh »), bon label, bons patrons – ils font plier Paris : c'est une victoire.

Seuls sont interrogés à ce sujet les autonomistes, Alain Glon, pour l'Institut de Locarn, Jakez Bernard, pour Produit en Bretagne, Romain Pasquier, Ronan Le Coadic, Christian Troadec… La « misère armorique » fait le beurre du séparatisme.

LA PREMIÈRE D'UNE LONGUE SÉRIE

Présentée comme née spontanément d'une révolte atavique des Bretons contre l'impôt, écotaxe ou gabelle, cette opération médiatique a été soigneusement orchestrée et d'ailleurs présentée dès l'origine comme la première d'une longue série. On ne peut la comprendre qu'en la prenant pour ce qu'elle est, à savoir une phase particulièrement voyante de la réalisation du projet politique poursuivi par le lobby patronal breton.

Voilà quelques années, tenter d'expliquer le rôle du Club des Trente ou de l'Institut de Locarn dans la dérive identitaire à laquelle on assiste en Bretagne vous exposait à vous faire accuser de conspirationnisme. L'un des premiers soutiens de l'Institut, Patrick Le Lay, jurait ne pas le connaître. De même, des responsables de Produit en Bretagne assuraient n'avoir aucun lien avec Locarn.

Les statuts de ces associations ont pourtant été déposés à la sous-préfecture de Guingamp : l'association Institut de Locarn, culture et stratégies internationales a été déclarée le 5 avril 1991 ; Produit en Bretagne le 9 février 1995, bizarrement, à première vue, précédée, le 2 juin 1993, par une Association Coudenhove-Kalergi-Aristide-Briand ayant, elle aussi, son siège à l'Institut de Locarn.

Le comte de Coudenhove-Kalergi est le fondateur de l'Union paneuropéenne, dont les principes fondamentaux peuvent être lus en ligne : « L'Union paneuropéenne reconnaît l'autodétermination des peuples et le droit des groupes ethniques au développement culturel, économique et politique. » « Le christianisme est l'âme de l'Europe. Notre engagement est marqué par la conception chrétienne des droits de l'homme et des principes d'un véritable ordre juridique. »

L'ÉTAT-NATION DOIT DISPARAÎTRE

Le projet de l'Institut de Locarn a été exposé par son fondateur, Joseph Le Bihan, en 1993, sous le titre « Genèse de l'Europe unifiée dans le nouveau monde du XXIe siècle » : la France n'a plus d'avenir ; l'Etat-nation doit disparaître ; il faut liquider l'éducation nationale, les services publics et surtout les services culturels, en finir avec l'héritage de la Révolution française, syndicalisme, laïcité, et autre boulets : « Nous allons réintégrer cette Europe de la civilisation et de la propreté qui existe déjà en Allemagne, en Suisse et dans certains pays nordiques. »

Le plus beau jour de l'histoire de l'Institut, d'après son fondateur, a été, en juin 2006, le jour où le président du conseil régional socialiste, Jean-Yves Le Drian, est venu y présenter son projet pour la région. Depuis, la messe est dite et la collusion sans mystère. Nul espoir que la gauche s'oppose au projet obscurantiste de Locarn – dont les Bretons ne voudraient pourtant pas s'ils étaient consultés.

Le discours ethniciste des élus socialistes qui ont fait entrer les autonomistes de l'UDB au conseil régional s'inscrit dans la droite ligne de celui des patrons bretons et la labellisation de la Bretagne sur base identitaire semble irrémédiable.

Alain Glon, lors de l'université d'été de Locarn, déclarait : « Notre problème, c'est la France » et donnait pour modèle l'action des Flamands susceptible de faire éclater la Belgique en ethnorégions.

L'écotaxe a bien servi. Sous bonnet d'acrylique fabriqué en Ecosse, les bons Bretons sont venus fournir les troupes. On les faisait danser en chapeaux ronds, ils défileront en bonnets rouges. Le lobby breton a gagné : la guerre ne fait que commencer.

Françoise Morvan (Ecrivaine, traductrice et spécialiste du folklore breton)

Françoise Morvan est l'auteure du « Monde comme si –Nationalisme et dérive identitaire en Bretagne » (Actes Sud/Babel, 2005)

http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/11/13/bretagne-des-derives-autonomistes-derriere-les-revendications-sociales_3513215_3232.html

 

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