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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
17 avril 2013

Une famille expulsée chaque quart d'heure en Espagne

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Manifestation contre une expulsion Terrassa, près de Barcelone (Photo Plataforma Afectados Hipotecas)

ESPAGNE. Une étude du Collège national des Huissiers a mis à jour le chiffre stupéfiant du nombre d'expulsions réalisées en 2012 en Espagne : 30 034 familles ont été délogées l'an dernier, soit 115 expulsions par jour ouvré, ou encore... une expulsion toutes les 15 minutes !

En incluant les logements secondaires les biens immobiliers confisqués par les banques atteignent 38 778.

Les régions de Madrid, Valencia, la Catalogne et l'Andalousie sont les plus touchées par un phénomène aux graves conséquences sociales. Ce qui justifie la tension politique, et les manifestations croissantes des comités de soutien aux expulsés, dont la stratégie vise aujourd'hui à accentuer la pression jusqu'aux alentours des résidences privées des ministres.

En réponse, la « numéro deux » du Partido Popular et coreligionnaire de Mariano Rajoy, Maria Dolores de Cospedal, accuse ces manifestants de « nazis ». De l'huile sur un feu qui semble totalement échapper au gouvernement espagnol.

D'autant que le rythme des expulsions se maintient à un niveau toujours aussi alarmant.

 

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22 mars 2013

Comment l’'Europe est sur le point de faire de la BCE un monstre incontrôlable

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Le Parlement européen et les Etats membres de l'Union européenne sont parvenus à un accord permettant à la Banque centrale européenne de superviser la quasi-totalité des banques de la zone euro dès 2014.

 la BCE : a soumis les peuples de la zone euro en 6 étapes

 

1 Au commencement était déjà un pouvoir régalien, magistral, systémique et souverain, le pouvoir ultime de création monétaire, l’autorité sur les banques centrales nationales et de facto sur les banques commerciales. Quand on y pense ce n’est pas rien, surtout quand il y a en face non pas 1 gouvernement mais 17, fort divisés dans leurs préférences, dans leurs structures, dans leur positionnement dans le cycle économique. 

2 Une nanoseconde après cette création ex-nihilo inédite et foudroyante (et fort peu démocratique, mais passons), la BCE se voit dotée des mêmes attributs que la Bundesbank, car sinon les Allemands n’auraient pas abandonné leur cher Mark :

Primo, une indépendance hyperbolique, quasi-religieuse, concrètement : la responsabilité du banquier central ne sera jamais engagée et le manque de transparence sera total (contrairement aux autres banques centrales, la BCE ne communique pas les minutes de son comité de politique monétaire, par exemple, donc concrètement on ne sait jamais ce qui s’y passe, qui vote quoi en interne ? y-a-t-il seulement un vote ?), autrement dit c’est l’immunité dans l’impunité, aucune évaluation n’est possible et l’article 15 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen se trouve violé au quotidien. Tout cela est scellé par un Traité qui est moins facile à modifier que les lois qui régissent les mouvements des planètes (en raison de l’hétérogénéité des préférences, évoquée plus haut), alors qu’il avait fallu attendre 1992 pour que l’indépendance de la Bundesbank ait une valeur constitutionnelle. Open bar.

Deusio, cette technocratie qui est aux commandes pourra choisir elle-même (le Traité est assez flou et presque américain sur ce point, qui évoquait l’inflation ET la croissance) son objectif. Sans surprise, ce sera la seule maitrise de l’inflation, alors même que celle-ci a été dans la pratique éradiquée partout en Occident depuis le début des années 80. Luxe supplémentaire, la BCE pourra choisir la mesure de l’inflation qui l’arrange le mieux (elle a choisit la mesure la plus maximaliste et celle qui a le moins de signification économique, l’indice des prix à la consommation), et pourra se référer aux agrégats monétaires seulement quand ça l’arrange (c'est-à-dire pas souvent depuis 2008). Free as a bird.

Tertio, les hommes de la BCE seront choisis exclusivement parmi la population croissante des européens non-économistes, c'est-à-dire parmi des fonctionnaires aux CV impeccables mais qui ne sont pas des spécialistes des questions monétaires (il ne faudrait surtout pas faire comme la Réserve fédérale ou la Banque d’Angleterre). Parmi les 20 ou 30 experts européens de ces questions, aucun n’a jamais travaillé pour la BCE, même à temps partiel. A Francfort il y a bien un staff d’économistes, mais ils sont recrutés sur des critères très Bundesbank (pas de lecteurs de Scott Sumner, pas de dissidents, autodafé des livres de Milton Friedman) et ils sont de toute façon peu écoutés. No debate, no problem.

3 Quelques mois après cette fondation ratée, la BCE a commencé son impérialisme institutionnel par le plus simple et le plus efficace : un anschluss sur la politique de taux de changes (« Mr euro, c’est moi, ma signature est sur les billets », disaient Duisenberg comme Trichet). Cette OPA hostile était certes assez prévisible : quand on fixe les taux d’intérêt courts, concrètement on a la main sur une partie des parités de changes, et il était illusoire de penser que le fantomatique Eurogroupe puisse un jour tenir le rôle équilibrant que joue le Trésor aux Etats-Unis. Ceci dit, étant donnée la « pensée » anti-Friedman qui règne à Francfort (on devrait plutôt appeler cette ville Mark-cher), cet abandon croissant des questions de changes a eu des conséquences tragiques, en particulier à partir de 2007 où l’euro est clairement devenu la monnaie des cocus à l’échelle globale.

Pour une zone euro où la main d’œuvre est déjà chère et l’immobilier hors de prix, voir l’ensemble de ces valeurs libellées dans une monnaie maintenue artificiellement trop chère (par le refus de la BCE de faire comme les autres banques centrales des taux à 0% et des programmes d’achats massifs d’actifs) est un vrai problème, une source d’accélération des sorties de capitaux et des spirales déflationnistes à la périphérie. La BCE s’en moque comme de son premier symposium sur la compétitivité.

4 A partir de 2008, la BCE récupère de facto la surveillance budgétaire puisque le Pacte de stabilité explose et que son gardien (la Commission européenne) se retrouve démonétisé. Cela faisait longtemps qu’elle attendait ça : pouvoir exercer du chantage sur les gouvernements de son choix, ne plus simplement donner des leçons d’orthodoxie mais s’immiscer directement dans les processus budgétaires, et punir les fautifs via son influence déterminantes sur les marchés obligataires (qui font ce qu’elle le demande de faire : vous ne trouverez personne dans les salles de marchés modernes pour se positionner face à une banque centrale déterminée).

Elle invente donc la conditionnalité : je vous aide mais en contrepartie vous devez faire de l’austérité au pire moment (les économistes ne désignent pas ça comme de l’orthodoxie mais comme de la stupidité, passons), et des réformes structurelles au moins sur le papier (libérer l’offre productive en pleine crise de la demande, très malin), d’ailleurs si les décrets d’application tardent ce n’est pas grave car au fond l’objectif est 100% politique, un pur rapport de force (si par malheur la croissance revenait, l’inflation aussi peut-être). Sinon, bobo : coup d’Etat contre Papandréou, coup d’Etat contre Berlusconi, l’ordre règne quand on dirige les spreads de taux. Le pouvoir, c’est sympa, surtout quand on en abuse.

En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/comment-europe-est-point-faire-bce-monstre-incontrolable-mathieu-mucherie-675493.html#wIcMIyTIGd6M0fRy.99

19 mars 2013

LES 4 OBJECTIFS DE CE RACKET SANS PRÉCÉDENT DES BANQUES DE CHYPRE

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Le racket sans précédent organisé par l’UE, la BCE et le FMI sur l’ensemble des comptes bancaires de particuliers ouverts à Chypre obéit à trois objectifs explicites, et probablement à un quatrième objectif implicite :

  • 1°) renflouer conjointement l’État chypriote et les banques chypriotes au bord de la faillite.

Au lieu que l’État chypriote garantisse les dépôts des épargnants, il donne l’équivalent des pertes aux banques qui vont les utiliser pour rembourser leurs créanciers (parmi lesquelles il figure notamment des banques chypriotes et non-chypriotes). 

  • 2°) limiter les pertes de banques non-chypriotes qui auraient prêté à Chypre.

En évitant la faillite de l’État chypriote et des banques chypriotes, la mesure vise en second lieu à limiter les pertes de banques non-chypriotes qui auraient prêté à Chypre. Y compris, bien entendu, d’éventuelles banques françaises.

  • 3°) « sauver l’euro »

Si l’on rackette tous les particuliers qui ont des dépôts à Chypre, c’est en définitive pour que Chypre ne soit pas considéré comme “en défaut” et c’est en définitive, encore et toujours, pour prétendument « sauver l’euro ». Je rappelle néanmoins que l’euro n’est, de toute façon, pas viable sur long terme. Cette grandiose extorsion de fonds opérée sur les patrimoines des déposants chypriotes ne servira, au mieux, qu’à prolonger l’agonie… et à renflouer les banques.

  • 4°) lancer un ballon d’essai pour tester l’acceptabilité sociale d’un tel vol organisé

Cet objectif n’est évidemment pas mis sur la table par les responsables européistes. Cependant, il se murmure dans les couloirs de la Commission européenne et de la BCE que ce dispositif testé à Chypre aura valeur de test. Un tabou vient d’être brisé, qui est celui de la protection des déposants et des épargnants. Les dirigeants du monde politique et bancaire vont maintenant observer si la population chypriote va laisser ou non ce racket se produire sans réagir. C’est dire si la suite des événements va être importante.

UNE OPÉRATION DE RACKET VICIEUSEMENT PRÉMÉDITÉE EN FONCTION DU CALENDRIER LITURGIQUE ORTHODOXE

Comme nous l’enseignent les films et les enquêtes de police, l’organisation des grands hold-up par des gangs mafieux n’est jamais laissée au hasard. Tout y est toujours minutieusement planifié.

Il en a été de même pour cette opération de racket : son organisation et son calendrier ont été conçus de façon particulièrement vicieuse.

En effet, l’accord entre l’UE, le FMI, la BCE et les autorités chypriotes a été conclu, non pas « dans la nuit de vendredi à samedi » comme l’affirme le journal Le Monde mais dans les journées des 14 et 15 mars.

Cet accord n’a été présenté comme arraché au cours de la nuit qu’à des fins de mise en scène. C’est ce qui a permis de n’annoncer publiquement la « taxe exceptionnelle » que le samedi 16 mars au matin, afin que les habitants de l’île méditerranéenne ne l’apprennent qu’à leur réveil en ce début de week-end.

De la sorte, les Chypriotes se sont retrouvés coincés car ils ont trouvé les banques fermées lorsqu’ils s’y sont précipités pour y sortir le maximum de numéraire. Des files d’attente se sont constituées devant les distributeurs de billets mais la plupart des automates avaient déjà été mis hors d’état de fonctionnement. 

Mieux calculé encore, les Chypriotes ont également réalisé qu’ils ne pourraient pas sortir d’argent ni le dimanche 17 mars ni même le lundi 18. Car lundi est une journée exceptionnellement fermée, du fait du calendrier orthodoxe qui fixe, cette année, au 18 mars la date mobile du « lundi pur » (Καθαρά Δευτέρα en grec).Le « lundi pur » est une fête mobile du calendrier liturgique orthodoxe. il se situe quarante jours avant le Samedi de Lazare, veille des Rameaux, et 48 jours avant la Pâque orthodoxe. C’est la date qui marque, après le dimanche de Carnaval, le début du Grand Carême. C’est aussi la date qui représente traditionnellement le début du printemps. À cette occasion, les Chypriotes, comme les Grecs, partent pique-niquer et consomment du pain azyme, pendant que les enfants jouent au cerf-volant.L’affaire avait été parfaitement calculée et préméditée car lundi 18 mars est le jour où tombe, en 2013, le “lundi pur” de la religion orthodoxe. Les banques chypriotes resteront donc fermées jusqu’à mardi 19, ce qui offre le temps suffisant aux équipes d’informaticiens des banques d’opérer le « prélèvement » sur chaque compte au cours du week-end.

18 mars 2013

Interrogations sur une possible manipulation des cours de l’or et de l’argent

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Selon le Wall Street Journal, le régulateur américain des marchés dérivés (CFTC) se penche actuellement sur la façon dont les prix de l’or et de l’argent sont fixés à Londres, se demandant notamment s’ils ne sont pas vulnérables à une manipulation.

Si aucune enquête n’a été officiellement ouverte, la CFTC « étudie différents aspects de la fixation des prix, y compris pour savoir si elle est suffisamment transparente. »

Les prix de l’or sont fixés deux fois par jour au cours d’une téléconférence entre cinq banques – Barclays, Deutsche Bank, HSBC, Bank of Nova Scotia and Société Générale – tandis que l’argent est fixé par les trois derniers. Les prix servent de référence au reste des marchés liés aux métaux précieux.

Cet intérêt accru des autorités intervient suite au scandale de manipulation du Libor, le plus important taux interbancaire du monde, par un certain nombre de grandes banques, dont Barclays et RBS.

La CFTC enquête déjà sur la manipulation du cours de l’argent

En 2008, suite aux allégations de nombreux investisseurs, la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) a entamé une enquête sur une possible manipulation de cours sur le marché de l’argent. Mais le régulateur américain n’a jamais publié de rapport officiel et serait même sur le point d’abandonner l’enquête, faute de preuves pour appuyer une procédure judiciaire.

En octobre 2010, Bart Chilton, l’un des cinq commissaires à la CFTC, avait estimé que « des initiatives frauduleuses » avaient été prises pour « contrôler et dévier » l’évolution des prix du métal gris. De gros intervenants sur le marché auraient, selon lui, parié des montants énormes sur la baisse des cours.

JPMorgan, le plus gros acteur sur le marché de l’argent avec HSBC, avait en particulier été montré du doigt par plusieurs opérateurs, ainsi que de nombreux investisseurs.

Sources : Wall Street Journal / Goldbroker.com / Le Journal du Siècle


25 février 2013

Innovons ! Surprenons la Mondialisation ! Exploitons notre potentiel !

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Réunissons les dépôts de nos revenus et de nos épargnes en un même établissement bancaire que nous allons choisir tous ensemble, après avoir mis en concurrence tous les établissements bancaires.

Ce ne sont pas les banques qu’il faut nationaliser, ce sont nos dépôts et nos épargnes qu’il faut « nationaliser citoyennement »!

Si demain, nous sommes 30/40 millions et plus de français unis en un même mouvement, faisant tous nos dépôts dans une même banque et que nous y déposons également toutes nos épargnes, nous serons devenus une véritable force face à la mafia politique, industrielle et bancaire de la Mondialisation.

Si 30 millions de français déposaient mensuellement leurs revenus dans un même et unique établissement bancaire et d’une simple valeur de 1000€, cela représente 1000€ x 30 000 000 = 30 000 000 000€, TRENTE MILLIARDS D’EUROS ! Imaginez la réalité du dépôt !

Nous serons alors une véritable force de frappe !

Cette union sera un partenaire incontournable de l’établissement bancaire choisi et nous pourrons exiger d’être membre du conseil d’administration afin d’avoir droit de regard et de décision sur l’exploitation et les bénéfices de nos dépôts et épargnes.

N’oubliez pas que quand vous déposez 1000€ sur votre compte, la banque s’octroie le droit d’en dépenser 9000€. Donc quand nous déposons mensuellement 30 milliards d’Euros les banques dépensent 270 milliards d’Euros que l’on nous demande de rembourser. Cela fait réfléchir…

Imaginez la tête d’un de ces PDG bancaires recevant une union citoyenne qui lui déclare : « Monsieur le PGD nous sommes 30 millions d’usagers prêts à s’inscrire sur vos livres, soi un dépôt mensuel de 30 milliards d’Euros ou 360 000 000 000 € annuel et un dépôt de 11 000 milliards d’Euros d’épargnes également à votre disposition, comment faisons nous ? »

Je vous laisse apprécier la réaction de ce garçon face à une telle situation. Sans oublier que, si une telle organisation était Européenne, nous ne parlerons plus de 30 milliards mensuels, mais de 300 milliards et voir plus évidemment…

Croyez vous que les choses ne changeraient pas face à un tel état de fait ?

C’est tout le système bancaire et le système politique qui seraient remis en cause, et c’est nous, les citoyens, qui retrouveront notre véritable statut !

L’union fait la force, c’est pour cela que l’escroquerie de la Mondialisation, des banques et de la politique fonctionnent, qu’attendons nous pour nous unir ??

Soyons aussi intelligents que la Mondialisation et les politiques, cette union peut faire levier à tous les niveaux de la société.

Actuellement l’ouverture à la concurrence est une hypocrisie notoire, nous savons que tous les fournisseurs se mettent d’accord entre eux pour mieux nous berner. La concurrence c’est à nous les consommateurs, de la créer, de la gérer et non de la subir.

Si demain nous sommes 30/40 millions de Français unis et que nous mettons tous les fournisseurs en concurrence, que ce soit la nourriture, les services bancaires, l’automobile, la téléphonie, l’énergie, les pétroliers, la politique etc. toute cette mafia viendra nous manger dans la main pour avoir nos bonnes grâces.

Si demain nous sommes 30/40 millions de citoyens unis en même mouvement, le parti politique qui voudra être élu sera obligé de prendre en compte et d’appliquer les demandes des 30 ou 40 millions d’électeurs, la majorité des électeurs.

C’est par la remise en cause citoyenne des usages économiques et politiques au niveau national, européen, que nous retrouverons notre véritable identité citoyenne, que nous retrouverons nos droits et le respect que tous ces gens nous doivent, car c’est nous qui les faisons vivre.

Si un internaute passe le message à 10 de ces amis et que ces 10 amis passent le message à 10 de leurs amis et ainsi de suite, en sept vagues de messages toute la France et même plus peut être informé du système  et s’organiser en conséquence :

1 / 10 amis x 10 amis = 100 contacts

2 / 100 X 10 = 1000 contacts

3 / 1000 X 10 = 10 000 contacts

4 / 10 000 X 10 = 100 000 contacts

5 / 100 000 X 10 = 1 000 000 contacts

6 / 1 000 000 X 10 = 10 000 000 contacts

7 / 10 000 000 X 10 = 100 000 000 contacts

Il existe en France assez de matière grise et de citoyens intègres au chômage et en exercice  pour mettre en place ce système et le faire fonctionner.

Même si on vous a convaincu que vous ne pouviez rien changer, nous pouvons tout changer si nous faisons confiance à nos qualités de citoyens libres et intègres. Nous sommes aussi intelligents que la Mondialisation, les banquiers, mais nous devons devenir solidaires comme ils le sont malgré qu’ils font tout pour nous en dissuader.

Il n’y a que par l’argent que nous pouvons intervenir en notre faveur face à la mafia de la Mondialisation et des politiques, car seul l’argent est leur raison de vivre. Par conséquent l’argent est l’unique moteur pouvant nous permettre de reprendre le pouvoir, le pouvoir qui nous revient de droit conformément à la Constitution Française.

Mon message n’est pas une incitation à la révolution, à la violence, mais un appel solennel à la conscience citoyenne afin de réhabiliter nos droits, nos vies, et protéger celles de nos parents et de nos enfants dans le plus grand respect des institutions et de la solidarité, la vraie.

Considérez ma proposition comme utopique est tout à fait légitime, j’en ai conscience. Rappelez vous en mars 2011, Hollande Président, utopie ! Quand 1953 un fou américain et une poignée de voyous organisent la faillite des états et condamnent à la misère et à la famine la terre entière, utopique aussi ! Qu'en 2013, le Président français accepte l'abolition du droit du travail utopique ??

Non tout cela est bien réel et pourtant aussi incroyable que cela puisse paraître !

L'avenir nous appartient, alors arrêtons les querelles partisanes et agissons vite car la Mondialisation, par la voix de l’Europe et de la « crise » de la zone Euro va finir, et sans tarder, de nous asservir, de nous ruiner avec la complicité des élus sous des prétextes fallacieux comme la perte du triple A, la croissance bloquée tout comme le PIB etc... Tout cela est un synopsis écrit et réalisé par les sectes mafieuses de la Mondialisation et joué par les politiques.

Voulez-vous attendre d’être transformés en esclave comme les grecs, les Italiens, les Portugais, les Espagnols etc., que nos enfants, leurs enfants et petits enfants vivent l’esclave de notre laxisme face à la voyoucratie d’une économie orchestrée dans l'unique but de nous nuire ?

Récemment aucun élu ou prétendant au trône n’a passé d’appel national pour créer une union nationale citoyenne économique semblable à ma proposition, car ils ont pleinement conscience qu’ils perdraient tous les privilèges qu’ils se sont octroyés sur le fruit de nos vies.

Internet c’est la rue d’aujourd’hui !

Passez le message, réagissons, organisons nous, l'urgence est de mise et notre salut ne viendra pas des politiques mais de notre volonté à croire en nous même !

Correspondance sur le site :

http://labolitiondelaraison.over-blog.com

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15 février 2013

France bientôt l’obligation de voter ? et sanction de 15 EUR pour les abstentionnistes .

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C’est une proposition de loi déposée le 6 février dernier, mais sans doute passée inaperçue en plein débat sur le mariage homo. Déposée par dix députés UMP le texte propose de faire du droit de vote « une obligation ».

Souhaitée par Thierry Lazaro, Daniel Fasquelle, Thierry Mariani, Paul Salen, Michel Voisin, Laure de La Raudière, Jean-Pierre Vigier, Fernand Siré, Valérie Lacroute et Bernard

 

Brochand, elle transforme le droit de vote en obligation de vote.

La sanction pour les abstentionnistes ? Une amende de 15 euros. 45 euros en cas de récidive « dans les cinq ans ». Les députés UMP à l’origine de la proposition de loi prévoient tout de même des dérogations, en apportant la « preuve de son impossibilité par procuration », ou en « cas de force majeure ». Les citoyens seraient alors exemptés de cette obligation de vote.

Une proposition de loi qui vise à répondre à « la persistance de l’abstention à chaque scrutin », et qu’ils justifient également par des raisons historiques. Ils écrivent :

Si le vote est un droit, il doit être également un devoir en l’honneur et en mémoire de celles et de ceux qui ont versé leur sang pour notre Patrie.

Une proposition de droite, mais qui compte déjà un solide soutien à gauche : Claude Bartolone. Dès novembre 2012, le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone se déclare favorable à l’obligation de voter.

Pendant la période de chaos à l’UMP, l’Assemblée nationale a adopté une proposition de loi de l’UDI donnant son feu vert à la reconnaissance du vote blanc. « Un premier pas » vers l’obligation de voter, jugeait Claude Bartolone.

Le droit de vote est déjà obligatoire dans de nombreux pays, dont certains voisins : la Belgique, le Luxembourg, ou l’Autriche. Plus loin, l’Australie a adopté le principe en 1924.

Source et proposition de loi dans son intégralité: lelab.europe1.fr

8 février 2013

Qui contrôle l’argent ? Une banque centrale du monde, responsable devant personne !

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~Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Une organisation internationale immensément puissante dont la plupart des gens n’a jamais entendu parler contrôle secrètement toute la source monétaire mondiale. Elle est appelée la Banque des Règlements Internationaux (ou BRI, BIS en anglais pour Bank for International Settlements) et elle est la banque centrale des banques centrales. Elle est localisée à Bâle en Suisse et possède des succursales à Hong Kong et à Mexico City. Elle est essentiellement une banque centrale du monde dont les membres ne sont pas élus et ne sont responsables devant personne ; elle possède une immunité totale contre toute imposition que ce soit ainsi que contre les lois nationales. Même Wikipedia admet “qu’elle n’est responsable devant aucun gouvernement”. La BRI fur utilisée pour blanchir l’argent des nazis durant la seconde guerre mondiale, mais de nos jours, le but de la BRI est de guider et de diriger le système financier global et sa planification centralisée.

Aujourd’hui, la BRI se compose de 58 banques centrales et elle a bien plus de pouvoir sur la performance de l’économie américaine (et au delà de toute autre économie) dans l’année à venir que n’importe quel politicien. Tous les deux mois, les banquiers centraux du monde se réunissent à Bâle pour une nouvelle “réunion sur l’économie mondiale”. Durant ces réunions, des décisions sont prises qui affecteront la vie de chaque personne sur la planète et pourtant personne d’entre nous n’a quoi que ce soit à dire ou y redire. La Banque des Règlements Internationaux est une banque qui fut créée par l’élite mondialiste et elle opère pour son bénéfice; elle est supposée être une des pierres angulaires du système économique unique mondial émergeant. Il est primordial que nous éduquions les gens sur cette organisation, sur ce qu’elle est, ses plans de domination de l’économie mondiale.

Malheureusement, seulement un tout petit nombre de personnes est au courant de ce que la BRI est en realité et encore moins de gens sont au courant des réunions sur l’économie mondiale qui se tiennent à Bâle tous les deux mois.

Ces réunions firent l’objet d’un article récent du Wall Street Journal (in the Wall Street Journal…)

Chaque deux mois, plus d’une douzaine de banquiers se rencontrent ici un dimanche soir pour discuter et dîner ensemble au 18ème étage de ce bâtiment cylindrique contemplant le Rhin.

Les discussions qui s’y tiennent sur l’argent et l’économie sont plus qu’académiques. A la table se tiennent les patrons des plus grosses banques centrales mondiales, représentnat des pays qui produisent annuellement plus de 51 000 milliards de dollars en PIB, les trois-quarts de l’économie mondiale.

L’article poursuit sur le descriptif de la pièce où se tiennent ces réunions sur l’économie mondiale. Cela semble sorti tout droit d’un roman…

Le patron de la Banque d’Angleterre Mr King mène les discussions du dîner dans une pièce décorée par la firme aerchitecturale suisse Herzog & de Meuron, la même entreprise qui a créée le “nid d’oiseau”, stade olympique des JO de Pékin. (NdT: Nous avons dit à maintes reprises ici même que la City de Londres, où siège la Banque d’Angleterre, est le véritable centre de l’économie mondiale et que Wall Street n’existerait pas sans la City, cette disposition des réunions et sa hiérarchie ne fait que confirmer cet état de fait..). Les hommes ont des places désignées autour d’une table ronde qui trône au milieu d’une pièce parfumée d’orchidées blanches, encadrée de murs blancs, d’un plafond noir et de vues panoramiques.

Les banquiers centraux qui se rassemblent lors de ces réunions ne sont pas là seulement pour socialiser. Aucun membre du personnel des banques n’est admis à ces réunions et celles-ci s’effectuent dans une atmosphère de secret absolu…

Les affaires sérieuses suivent les entrées, le vin et les petites discussions, d’après des personnes familières avec ces dîners. Mr King traditionnellement demande à ses collègues de parler des conditions économiques de leur pays respectif. D’autres posent des questions. Les réunions n’ont aucun transcrit, compte-rendus officiels ou officieux, aucun personnel des banques n’y est admis. Ainsi donc , la destinée de l’économie mondiale est-elle exclusivement déterminée par un groupe de banquiers centraux, personnes non élues, non-représentatives, au cours de réunions secrètes dont personne n’entend jamais parler ?

Cela ne semble pas très “démocratique”.

Néanmoins, ceci est la direction vers laquelle la “gouvernance mondiale” nous emmène. L’élite (NdT: auto-proclamée il va sans dire…) croit que les “grandes décisions” sont bien trop importantes pour être laissée “aux gens” et donc la vaste majorité des “institutions internationales” qui ont été établies par cette “élite”, opèrent de manière totalement indépendante du processus démocratique.

Il est bien triste de constater que tout ceci a été planifié de la sorte depuis bien longtemps.

Dans un récent article intitulé: “Who Runs The World? Solid Proof That A Core Group Of Wealthy Elitists Is Pulling The Strings“, j’ai inclus une citation du professeur d’histoire de l’université de Georgie, Carroll Quigley, citation d’un livre qu’il écrivit en 1966 et dans lequel il parlait des grands plans que l’”élite” avait pour la Banque des Règlements Internationaux:

Les puissances du capitalisme financier avaient un but plus ambitieux, rien de moins que de créer un système de contrôle financier mondial, qui serait mis dans des mains privées et qui serait capable de dominer le sytème politique de chaque nation ainsi que l’économie mondiale dans son entièreté. Ce système devait être contrôlé de manière féodale par les banques centrales mondiales agissant de concert par le biais de réunions secrètes fréquentes au cours lesquelles des accords seraient établis pour y parvenir. Le summum de ce système serait la Banque des Règlements Internationaux (BRI) de Bâle en Suisse, une banque privée possédée et contrôlée par les banques centrales mondiales, étant elles-mêmes des entreprises privées.”

A cette époque, la BRI commençait seulement son rôle majeur dans les affaires internationales. Mais au fil des ans, la BRI devint de plus en plus importante. Ce qui suit est un extrait d’un article de Ellen Brown (by Ellen Brown)

“Pendant des années la BRI tint profil bas, opérant de derrière le rideau depuis un hôtel abandonné. Ce fut là que des décisions importantes telles que dévaluer ou réévaluer des monnaies furent prises, ou fixer le prix de l’or, réguler les paradis fiscaux, augmenter ou baisser les taux directeurs. En 1977, la BRI abandonna son anonymité en échange d’un QG plus efficace. Le nouveau bâtiment fut décrit comme “une tour circulaire de 18 étages s’élevant au dessus de la cité médiévale comme un réacteur nucléaire complètement déplacé.” Le bâtiment fut vite reconnu comme “La tour de Bâle”. Aujourd’hui la BRI a une immunité gouvernementale, ne paie aucun impôt et possède sa propre force de police privée. Elle est, comme l’avait envisionné Mayer Rothschild, au dessus des lois.

Oui, ceci ressemble beaucoup à la Tour de Babel comme vous pouvez le constater sur la photo de cette article ( in this article). Une fois de plus, l’”élite”mondialiste essaie d’unifier l’humanité sous un système unique et ceci n’est certainement pas une bonne chose.

Beaucoup de ces élitistes sont totalement convaincus que la “gouvernance mondiale” correspond à ce dont l’humanité a désespérément besoin. Ils nous disent même publiquement ce qu’ils comptent faire, mais les gens n’écoutent pas.

Ceci par exemple, est un extrait du discours que l’ancien président de la Banque Centrale Européenne (BCE), Jean-Claude Trichet, fît au Council on Foreign Relations (CFR) à New York…

Dans le domaine de la coopération de la banque centrale, la réunion sur l’économie mondiale constitue le forum principal, qui se réunit au QG de la BRI à Bâle. Ces dernières années, ce forum a réuni 31 gouverneurs de banques centrales comme membres permanents plus un certain nombre de gouverneurs se rendant aux réunions sur une base de rotation. La réunion sur l’économie mondiale, à laquelle tous les gouverneurs de Banque Centrale des économies systémiques émergentes participent, est devenue le groupe principal de gouvernance mondiale parmi les banques centrales.

Le discours s’appelait “La gouvernance mondiale aujourd’hui”, et vous pouvez trouver le transcript complet ici: right here. La plupart des gens n’ont jamais entendu parler d’une chose telle qu’ “une réunion sur l’économie mondiale” pour la simple et bonne raison que les médias n’en parlent que très, très rarement. Ils sont trop occupés à mettre sous les feux de la rampe les derniers scandales des célébrités ou les dernières escarmouches entre les démocrates et les républicains.

Si vous allez sur le site internet de la BRI, vous y verrez que les objectifs de l’organisation paraissent pour le moins innocents et même un peu ennuyeux…

La mission de la Banque pour les Règlements Internationaux (BRI) est de servir les banques centrales dans leur recherche de stabilité monétaire et financière, de développer la coopération internationale dans ces domaines et d’agir comme une banque pour les banques centrales

De manière générale, la BRI remplit sa mission en:

  • Promouvant la discussion et en facilitant la collaboration entre les banques centrales
  • Soutenant le dialogue avec les autres autorités qui sont responsables de la stabilité financière.
  • Conduisant des recherches sur les problèmes politiques confrontant les banques centrales et les autorité de supervison financières.
  • Agissant comme contre-partie principale pour les banques centrales dans leurs transactions financiéres et
  • Servant d’agent ou de trustee en connexion avec les opérations financières internationales.

Le bureau principal est à Bâle en Suisse et il existe deux bureaux de représentation internationale: un dans la région administrative spéciale de Hong Kong pour la République Populaire de Chine et un autre à Mexico City.

Mais quand vous commencez à regarder aux détails de l’opération, les choses deviennent bien plus intéressantes.

Comment donc la BRI parvient-elle à réaliser la “stabilité monétaire et financière” ? Un article publié sur Invertor Insight ( on investorsinsight.com) décrit comment cela est accompli…

C’est fait par le contrôle des devises. Elle détient actuellement 7% de toutes les devises du monde, dont l’unité de mesure a été changée en Mars 2003 du Franc suisse or aux Special Drawing Rights (SDR), une monnaie artificielle dont la velur est basée sur un panier de monnaies (44% de US$, 34% d’Euros, 11% de Yen japonais et 11% de Livres britanniques)

La banque contrôle également une énorme quantité d’or, qu’elle à la fois stocke et prête, lui donnant un très bon levier sur le prix des métaux et la puissance que cela apporte sur le marché, car l’or demeure toujours la seule monnaie universelle. Les réserves d’or de la BRI ont été listées dans le dernier rapport en date (2005) à 712 tonnes. Quel est la quantité d’or en stock et la quantité prêtée ? Information non divulguée.

En contrôlant les changes ainsi que l’or, la BRI peut s’engager sur du long terme à déterminer les conditions économiques de tout pays. Rappelez-vous que la prochaine fois que Ben Bernanke (NdT:patron de la Réserve Fédérale américaine) ou le président de la BCE annoncent un hausse des intérêts, vous pouvez parier que cela ne s’est pas fait sans l’accord du bureau de la BRI.

Ces dernières années, il est devenu de plus en plus évident qui possède véritablement le pouvoir.

Quand Barack Obama parle, les marchés bougent en général très peu.

Quand Ben Bernake parle, les marchés répondent souvent avec de vastes mouvements.

Un article récent publié sur CNBC et intitulé: ““Central Banks: How They Are Ruling the Financial World” détaillait l’impact énorme qu’ont eu les banques centrales sur le système financier mondial en 2012…

En tout, 13 autres banques centrales dans le monde ont suivi la Fed et ramené leur taux d’intérêt très proche de zéro dans un effort de conserver les liquidités et de doper leurs économie malades. Ces 14 économies représentent un incroyable 65 000 milliards de dollars en obligations de capitalisation de marché et d’équités combinés d’après Bank of America Merrill Lynch.

Plus loin dans le même article, l’auteur parle des sommes très importantes d’argent que les banques centrales ont créé de l’air du temps…

“Quand vous additionez toutes les banques centrales du monde, cela représente 9000 milliards de dollars”, a dit Marc Doss, investisseur en chef pour la banque privée de la Wells Fargo. “Cela revient à créer la seconde plus grande économie mondiale de rien, de l’air du temps”.

De fait, la banque centrale est un fait économique par lui-même, un empire représentant un marché de multi-trillions dollars qui massage et manipule les marchés, qui répond au doigt et à l’œil à la moindre nouvelle émanant des comités décisionnaires de ces entités.

Qui contrôle l’argent alors ?

Les banques centrales du monde le font.

Et qui donc contrôle ces banques centrales ?

La Banque pour les Règlements Internationaux le fait.

Si nous n’aimons pas ce que fait la BRI, que pouvons-nous y faire ?

Rien. La Banque des Règlements Internationaux est au-dessus des lois…

Peut-être nous sentirions mieux à propos de la BRI si elle était un plus transparente, mais la vaste majorité de ce qu’elle fait, incluant la réunion bimestrielle de ses membres, est enveloppée du mystère du secret. Peut-être plus inquiétant encore, est que la BRI échappe à tout contrôle. De par les droits qui lui sont accordés par la grâce du Conseil Fédéral Suisse, toutes les archives de la banque, tous ses documents et “toute donnée médiatique” sont “inviolables en tout lieu et en tout temps”. De plus, les employés et officiers de la BRI “jouissent de l’immunité de toute jurisdiction criminelle et administrative, dans la mesure où cette immunité n’est pas levée de manière formelle… et ce même après qu’une personne ait cessé d’être officiellement employée de la banque”. Finalement, aucune plainte contre la BRI ou ses dépositaires ne peut être appliquée “sans l’accord préalable de la banque.”

En d’autres termes, elle peut faire absolument ce qu’elle veut, sans conséquence aucune. Que dites-vous de ce parapluie administratif complètement étanche ?

Si la BRI veut “intervenir” dans les marchés financiers, elle le fait tout simplement.

Si la BRI désire sauver de grosses banques ou des nations entières, elle le fait tout simplement.

La BRI me rappelle cette vieille blague:

Q: Où s’assoit un gorille de 400 kg ?

R: Absolument où il le veut.

Alors, quel est le futur pour la BRI ??

Beaucoup ont spéculé que le but n’est éventuelelment que d’obtenir une monnaie mondiale unique, qui ne sera administrée que par une banque centrale unique. La BRI utilse déjà les SDR, considérés comme un précurseur de la monnaie unique à venir. La BRI a joué un grand rôle dans l’adoption de l’Euro et une intégration plus avant des monnaies est certainement dans l’agenda des années à venir…

Au bout du compte, la façon dont vous ressentirez la BRI ne sera que le reflet de ce que vous ressentirez pour une monnaie unique. La banque fut un participant important de la création de l’Euro comme la monnaie commune de l’Europe. Il y a des rumeurs que le prochain projet est de persuader les Etats-Unis, le Canada et le Mexique de passer à une monnaie régionale similaire, qui sera peut-être appelée “l’Amero” et il est logique d’assumer que le but ultime de la banque est une monnaie unique mondiale. Ceci simplifierait les transactions et solidifierait vraiment le contrôle des banques sur l’économie planétaire.

Mais si les Etats-Unis abandonnaient un jour le dollar, ceci constituerait une gifle majeure à notre souveraineté nationale.

Quand quelqu’un d’autre contrôle votre monnaie, il importe peu qui fait les lois. (NdT: Ceci est pourtant déjà en cours aux Etats-Unis puisque la Banque de la Réserve Fédérale est un cartel de banques privées transnational, la monnaie bidon qu’est le dollar US est déà contrôlé par les banques transnationales depuis 1913…)

Malheureusement, l’élite mondialiste semble être absolument obsédée par l’idée d’une monnaie unique mondiale, un système économique unique mondial et un gouvernement mondial le régissant.

Rien de tout ceci ne va se produire cette année, mais les choses bougent en ce sens. Avec chaque nouvelle crise qui émerge, les solutions qui nous seront imposées impliqueront toujours plus de centralisation et toujours plus de mondialisation.

Que pensez-vous donc de tout cela ?

5 septembre 2012

L'économie américaine sera dépassée par celle de la Chine en 2016

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Le Fonds monétaire international vient de larguer une bombe, et personne ne s'en  ai aperçu.
Pour la première fois, l'organisation internationale a fixé une date pour le moment où l '«âge d’or de l’Amérique» prendra fin et l'économie américaine sera dépassée par celle de la Chine.
Et il est beaucoup plus proche que vous ne le pensez.
Selon les dernières prévisions officielles du FMI, l'économie Chinoise dépassera celle de l'Amérique en termes réels en 2016 - à peine cinq ans à partir de maintenant.


Mettez-le quelque part dans votre agenda.
Il fournit un contexte douloureux pour les querelles de budget qui se déroule en ce moment à Washington. Il soulève des questions énormes sur ce que le système de sécurité internationale va ressembler dans une poignée d'années. Et il jette un nuage incertain à la fois sur le dollar américain et le marché du géant Trésor US, qui ont été calés pendant des décennies par leur statut privilégié et le passif de la puissance hégémonique du monde.
Selon les prévisions du FMI, qui était tranquillement sur le site Web du Fonds il ya deux semaines, celui qui est élu président des États-Unis l'année prochaine - Obama? Mitt Romney? Donald Trump? - Sera le dernier à la présidence de la plus grande économie du monde.
La plupart des gens ne sont pas préparés pour cela. Ils ne savent même pas  que c'est tout près. Écoutez des experts de diverses tendances, et ils vous diront ce moment des décennies. La plupart des baissiers mettront  le chiffre dans le milieu des années 2020.
Mais ils font des mauvais calcul. Ils sont seulement la comparaison des produits intérieurs bruts des deux pays en utilisant les taux de change actuel.
C'est une comparaison en grande partie vide dans le sens en termes réels. Les taux de change évoluent rapidement. Et les taux de change de la Chine sont faux. La Chine sous-évalue artificiellement sa monnaie, le renminbi, grâce à une intervention massive sur les marchés.
La comparaison qui compte vraiment
En plus de comparer les deux pays sur la base des taux de change, l'analyse du FMI s'est également tourné vers le vrai, l'image en termes réels des économies en utilisant "les parités de pouvoir d'achat." Cela se compare ce que les gens gagnent et dépensent en termes réels dans leurs économies nationales.
En vertu de PPP, l'économie chinoise augmentera de 11,2 milliards de dollars cette année à 19 milliards de dollars en 2016. Pendant ce temps la taille de l'économie américaine passera de 15.000,2 milliards de dollars à 18.000,8 milliards de dollars. Ce serait prendre des parts de l'Amérique dans la production mondiale qui baissera de 17,7%, plus bas dans les temps modernes. La Chine devrait atteindre 18%, et à la hausse.
Il ya 10 ans, l'économie Américaine était trois fois la taille de la Chine.
Naturellement, toutes les prévisions sont faillibles. Temps et circonstances à tous. La date effective à laquelle la Chine dépasse les États-Unis pourrait venir encore plus tôt que le FMI prévoit, ou un peu plus tard. Si les grands coups mastodonte Chinois un peu, un nombre croissant de peur que cela, il pourrait même retarder les choses de plusieurs années. Mais le résultat n'est guère mis en doute.
C'est plus qu'une histoire de statistiques. C'est la fin de l'Âge d'or de l’Amérique. Un stratège obligataire en Europe m'a dit il ya deux semaines, "Nous assistons à la fin de l'hégémonie économique de l'Amérique."
Nous avons vécu dans un monde dominé par les États-Unis aussi longtemps qu'il n'y a plus personne en vie qui ne se souvient de rien d'autre. L'Amérique a dépassé la Grande-Bretagne comme le leader mondial de la puissance économique dans les années 1890 et n'a jamais regardé en arrière.
Et ces deux pays vivent sous des règles très similaires d'un gouvernement constitutionnel, le respect des libertés civiles et les droits de propriété. La Chine est différente. L'âge de la Chine sera très différent.
Victor Cha, conseiller principal sur les affaires asiatiques au Washington Center for Strategic and International Studies, m'a dit les voisins de la Chine en Asie sont déjà éveiller aux dangers. «La région est essentiellement a la recherche aux États-Unis d'une manière qu'il n'a pas fait dans le passé, dit-il. «Ils voient les États-Unis comme un contrepoids à la Chine. Ils ont également voir l'hégémonie américaine sur le dernier demi-siècle comme relativement bénigne. En Chine, on voit l'émergence d'une puissance économique qui n'est pas bienveillant, qui peut être prédateur. Ils ne le voient pas comme une hégémonie bénigne. "
La montée de la Chine, et le déclin relatif de l'Amérique, est la plus grande histoire de notre temps. Vous pouvez voir ses implications partout, des usines de volets dans le Midwest à la flambée des coûts du pétrole et d'autres produits. L'automne dernier, lorsque j'ai assisté à une conférence à Londres sur l'investissement agricole, j'ai été frappé par le nombre de personnes qui y ont raconté des histoires sur les intérêts Chinois qui s'arrachent des terres agricoles et des fournitures alimentaires –en Afrique, Amérique du Sud en Chine et ailleurs.
Ceci est le résultat de décennies au cours de laquelle la Chine a poursuivi avec succès des politiques économiques visant à l'expansion nationale et de la puissance, tandis que les États-Unis ont adopté une ou l'autre de libre-échange ou, à défaut d'un meilleur terme, l'apaisement économique.
"Il ya deux systèmes dans une collision", a déclaré Ralph Gomory, professeur de recherche à l'école NYU Stern affaires. "Ils ont une forme d'État-guidée du capitalisme, et nous avons un ancien beaucoup plus libre du capitalisme." Ce que nous avons vu, dit-il, est «un changement majeur dans la capacité des États-Unis à la Chine. Ce que nous avons fait est cotée emplois pour les bénéfices. Les emplois sont passés à la Chine. La capacité érode aux États-Unis et se développe en Chine. C'est très destructeur. C'est une raison importante pour laquelle les États-Unis deviennent de plus en plus polarisée entre une petite classe très riche et une classe moyenne en pleine érosion. Les gens qui obtiennent les bénéfices sont très différents de ceux qui ont perdu du salaire. "
Le prochain chapitre de l'histoire ne fait que commencer.
Spree U. S. dépenses Won't Work
Ce que la montée de la Chine des moyens de défense et les affaires internationales, a à peine été abordé. Les États-Unis sont maintenant entrain de dépenser des sommes gigantesques - d'une économie en difficulté - pour tenter de conserver sa place au soleil.
C'est une leçon que nous pourrions en apprendre davantage à un prix avantageux de la triste histoire des empires britanniques, espagnols et autres. Ca ne fonctionne pas. Vous ne pouvez pas rester au top, si votre économie ne fonctionne pas.
De même, pour le point, voici ce que cela signifie économiquement, et pour les investisseurs.
Il ya quelques années j'étais en train de déjeuner avec des investisseurs les plus intelligents que je connais, basée à Londres, gérant de hedge funds  Crispin Odey. Il a fait l'argument selon lequel les marchés sont raisonnablement efficaces, la plupart du temps, à la fixation des prix. Où sont-ils plus susceptibles d'échouer, cependant, c'est en anticipant correctement et les prix élèves révolutionnaires, «paradigme» des changements - que ce soit une hausse de technologies de rupture ou de changements révolutionnaires dans la géopolitique. Nous vivons un moment.
Le marché américain du Trésor continue de fonctionner sur l'hypothèse qu'il restera toujours la référence mondiale de l'argent. Les écoles de commerce enseignent encore aux étudiants, par exemple, que le taux d'intérêt sur les obligations à 10 ans du Trésor est le «taux sans risque" sur l'argent. Et il a été pendant plus d'un siècle. Mais tout cela est fonction de l'âge dor de l’Amérique.
Pas étonnant que tant de personnes ont été acheté de l'or. Si le dollar des États-Unis cesse d'être la monnaie de réserve du monde unique, que sera L'euro ? il serait bien si elle agit comme le vieux deutschemark. Si c'est juste la drachme grecque de la traînée ... pas tellement.
La dernière fois que la  puissance hégémonique dominant le monde a perdu sa capacité à diriger les choses seul, a été au début du siècle passé. C'est alors que les États-Unis et l'Allemagne avaient dépassés la Grande-Bretagne. Il ne tourne pas bien.
Mise à jour avec la réaction du FMI
Le Fonds monétaire international a répondu à mon article.
Dans un communiqué envoyé à MarketWatch, le FMI a confirmé le rapport, mais a contesté mon interprétation des données. En comparant les économies américaine et chinoise à l'aide "du pouvoir d'achat à parité», selon elle, "n'est pas la mesure la plus appropriée. Parce que les niveaux de prix PPP sont influencés par des services non échangeables, qui sont plus pertinents localement que globalement."
Le FMI a ajouté qu'il préfère comparer des économies en utilisant les taux de change du marché, et qu'en vertu de cette comparaison, les Etats-Unis sont  actuellement de 130% plus grand que la Chine, et sera toujours 70% plus d'ici 2016."
Mon point de vue?
Le FMI est en droit de faire valoir ses arguments. Mais son argument soulève plus de questions qu'elle n'apporte de réponses.
Tout d'abord, aucune mesure n'est parfaite. Tout le monde le sait.
Mais c'est aussi vrai du PIB, ce sont chiffres. L'ouragan Katrina, par exemple, a amélioré le PIB des États-Unis, car il a suscité un grand nombre d'activités économiques - comme la fourniture de secours d'urgence et la reconstruction des maisons. Est-ce qu'il ya quelqu'un qui pense sérieusement que Katrina a été un net positif pour les États-Unis? Toutes les statistiques ont besoin de mises en garde.
Deuxièmement, les économies sont comparés en utilisant des taux de change simple, comme le suggère le FMI, pose d'énormes problèmes.
Les marchés des devises fluctuent. Ils représentent les rentrées de fonds internationaux, et non pas la production réelle.
Le dollar américain a baissé de près de 10% contre l'euro jusqu'à présent cette année. Quelqu'un suggère que la taille réelle de l'économie américaine a reculé de 10% en comparaison avec l'Europe au cours de cette période? L'idée est absurde.
La Chine supprime activement du renminbi sur le marché des devises grâce à des achats massifs de dollars. En conséquence, le renminbi est sous-évalué profondément sur les marchés des changes. Une simple comparaison des économies sur leurs taux de change qui manque complètement.
Parité du pouvoir d'achat n'est pas une mesure parfaite. Il n'en existe pas. Mais il mesure la production des économies en termes de biens et services réels, pas seulement du papier-monnaie. C'est pourquoi il est largement utilisé pour comparer les économies. Le FMI publie des données PPP. Il en va de l'OCDE. De nombreux économistes comptent sur eux.

 

Article en Anglais  de Brett Arends is a senior columnist for MarketWatch and a personal-finance columnist for The Wall Street Journal

 

Traduction en Français de Luc Banemeck Senior Strategist Consultant chez City consulting and engineering group

CONSEIL

10 août 2012

Espagne-des-cadenas-sur-les-poubelles-pour-empecher-la-recuperation-de-nourriture

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Girone a annoncé mardi avoir installé des cadenas sur les poubelles des supermarchés pour empêcher toute récupération de nourriture. Ce phénomène a pris de l'ampleur avec l'aggravation de la crise.

La mairie indique avoir pris cette décision en collaboration avec les propriétaires de supermarchés, "face au risque pour la santé que peut comporter la consommation d'aliments jetés dans les conteneurs et l'alarme sociale que cela provoque".

"En ce moment, il n'y a qu'un conteneur devant les supermarchés qui est fermé avec un cadenas et qui contient des aliments dont la date de péremption est dépassée ou en mauvais état, afin d'empêcher qu'ils soient récupérés par des indigents", a déclaré un porte-parole de la ville.

La mairie de Girone a également mis en place un système d'information destiné à diriger les personnes qui en ont besoin "vers un centre de distribution de nourriture pour qu'on leur offre, de manière urgente, un panier d'aliments de base".

Des agents sociaux se tiendront près des conteneurs-poubelles pour informer le public.

La mairie, qui a lancé cette initiative inédite avec trois grands supermarchés, souhaite l'étendre à d'autres grandes surfaces. 

http://www.sudouest.fr/2012/08/07/espagne-des-cadenas-sur-les-poubelles-pour-empecher-la-recuperation-de-nourriture-789190-4803.php

2 juillet 2012

Le coup final de l´esclavage des peuples, par l’endettement

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Diffusez et faites diffuser aux citoyens, juristes et experts « intègres », d´urgence les informations, explications et documents ci-dessous, ne serait-ce que pour exiger un accès adéquat en langue française à ces documents afférents à la « BANQUE-MES ». Merci !

« Ils » – (en l’occurrence, TOUS les politiques) - veulent à tout prix finaliser, mettre en œuvre, et ceci sans retour possible, ce projet scélérat dans les prochains jours et semaines, sous prétexte d’urgence, et avant que la résistance des peuples enfin informés ne devienne trop importante.  

Vous trouverez ci-dessous des explications, dans les grandes lignes, rédigés de manière synthétique, et des conclusions de personnalités, référentes en la matière, dans les documents joints, dont TOUS les politiques nationaux, – quel que soit leur parti – ainsi que ceux de l’UE, disposent depuis au moins MAI 2011…, et auxquels ils ont déjà donné leur accord !

 

Pour le lecteur « pressé »…. – veuillez s.v.p. au moins lire la dernière partie de ce long article : les informations et explications du passage « Contrat et Banque-MES »

Étapes des « coups d’État » expliqués ci-dessous [2a – 2d,5]

1. 07/06/2010 : installation du FESF, « Fonds Européen de Stabilité Financière »

2. 25/03/2011 : les États membres de la zone euro mettent en place le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) après signature de l’accord modifiant l’article 136 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, afin de contourner, sans avoir notamment à passer par un referendum, l´article 125 du traité UE, interdisant explicitement l´aide financière d´un pays à l´autre ( clause de « non-renflouement ») 

3. 24/06/2011 : signature de l’accord « Contrat BANQUE-MES » sur la création et installation d’une Institution que nous appellerons ici, n’ ayant pas accès à une version française du contrat , et pour éviter la confusion avec des termes déjà existants, la « BANQUE-MES ». 

Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF) [1]

Comme la « BANQUE-MES » est un élargissement du FESF, et que le FESF doit être intégré en 2013 dans la « BANQUE-MES » , nous devons tout d’abord présenter le FESF dans ses grandes lignes :

Supposez, pour mieux comprendre ce qui suit, que votre pays, A, est comme une maison, dont vous, le peuple, assurez l’entretien, - et sur la valeur de laquelle une banque peut accorder un crédit, par inscription d’hypothèque (la valeur de la maison est donc la garante d’ une dette ).
Surtout ne pas confondre montant d’un crédit, et montant garanti  : la banque accorde/met à disposition par exemple 100 € de crédit, mais elle exigera, d´après ses propres estimations de la valeur de votre maison, l´inscription d´une hypothèque = garantie, qui régulièrement dépasse le montant du crédit accordé en contrepartie, ici par exemple 500 € de garantie, pour le crédit de 100 €.

EN 06/2010

1. Les pays A (le vôtre…), B, C , D, (etc) créent une Société Anonyme (SA) luxembourgeoise - le Fonds Européen de Stabilité Financière (FESF, une Société Privée, qui possède la personnalité juridique d’après le droit luxembourgeois), et s’engagent par contrat envers elle. Chaque pays devient par ce contrat un actionnaire, en fournissant à la SA des engagements de garantie inconditionnelle et irrévocable (une inscription d’hypothèque sur votre maison), à hauteur du taux de participation à la SA qu’ils ont acceptée

2. La mission du FESF (en tant qu´intermédiaire/fournisseur de crédit entre pays et banques), est limitée dans le temps, et prend fin à l’échéance au 30/06/2013.
Jusqu´à cette date, le FESF doit veiller à ce qu’à tout moment un volume de disponibilités financières (contractuellement, des crédits jusqu´à globalement un plafond de 440 milliards d’euros – montant maximal global plafonné) puisse être mobilisé, au cas où votre pays A, et/ou le pays B, C , D, soi(en)t diagnostiqué(s) comme « en difficultés économiques » par les marchés financiers privés (banques, agences de notation etc) : dans ce cas, le FESF organisera un « Plan d’Austérité  » pour ce pays, et lui accordera ensuite, après son acceptation de ce Plan d’Austérité, un crédit « très avantageux », obtenu avec l’ « aide » et auprès d’organismes de capitaux privés ( Banques, Assurances, Industrie, Fonds divers, etc - nommés ci-après génériquement « Banques »).

3. Or, ce sont précisément ces Banques qui décident AUSSI à quelle hauteur doit se situer la garantie (l´inscription d’hypothèque sur votre maison) à laquelle s’engagent, inconditionnellement et irrévocablement, les pays ABCD,
 
a) pour sécuriser le crédit accordé au pays en « difficulté »

b) ainsi que pour le restant des disponibilités mobilisables du FESF (soit 440 milliards d’euros, moins la somme de(s) credit(s) déjà accordé(s) au(x) pays en difficulté). En conséquence, le montant de l’hypothèque grevant les « maisons » ABCD croît (théoriquement jusqu´à un montant illimité) en permanence, sans pour autant que le plafond de crédit, limité à 440 milliards d’euros, s’élève. (pensez ici aux fameuses mises en scène, et lancements d´alertes des banques , agences de notation, etc - toujours au « bon moment » - et vérifiez les diverses interventions, et augmentations des garanties, depuis juin 2010). Par suite, les propres notations « de fiabilité économique » (la valeur de la maison) des pays ABCD sont, en tout état de cause, affaiblies, ce qui fait donc aussi évoluer à la hausse le coût de leurs propres crédits ( dettes publiques ) dejà existants.

4. Garantir de manière inconditionnelle et irrévocablement :

a) inconditionnellement signifie que les pays ABCD, en cas d’insolvabilité d’un pays débiteur, devront payer (selon leurs taux de participation au FEFS) la dette de celui-ci auprès des Banques, sans pouvoir à aucun moment s’en défendre juridiquement.
 
b) irrévocablement : Les pays ABCD doivent supporter cette charge des garanties d’emprunts, jusqu’à l’apurement total de la dette du pays débiteur –

lequel apurement n´est bien sûr pas du tout souhaïté par les banques , bien au contraire. Donc, au bas mot, ce sont NOS hypothèques éternelles…

Ce sont donc toujours les banques, qui établissent le « Diagnostic » de faiblesse économique , et qui fournissent les « Remèdes », dont ils sont les seuls profiteurs !
Les Nations et les Peuples concernés sont ainsi, avec l’aide active de leurs dirigeants et représentants, dépossédés de tout pouvoir de décision et de gestion pour leur propre pays.

Le peuple Grec l´a bien compris en disant : « Nous ne voulons pas de votre argent !  »

Et, puisque ce premier coup bas fonctionne comme prévu, et qu’entre temps les peuples s’occupent, comme voulu, à s’entre-déchirer, la prochaine étape du plan devrait passer relativement inaperçue :

==> le FESF, à DURÉE LIMITEE d’existence de par son contrat fondateur, à relative visibilité de fonctionnement, et avec un MONTANT de dette « relativement » LIMITÉ,

sera remplacé par

==> la création et installation PERMANENTE d´une organisation supranationale, dont le capital et les garanties, inconditionnels et irrévocables, supportés par les peuples , seront à HAUTEUR ILLIMITEE ==> la « BANQUE-MES »

UE

Cela ne marche pas, selon vous ? C’est anticonstitutionnel ?..... Eh bien, voilà longtemps que les dirigeants et représentants des peuples ABCD – quelle que soit leur couleur politique, et avec participation active de chacun - ont abdiqué de la souveraineté de ceux-ci, petit à petit, au profit d’une entité nommée Union Européenne.

Aujourd´hui, plus de 80 % des lois et règlements qui s’imposent à nous, dans tous les domaines, (social dont retraite !, énergie, affaires étrangères, sécurité, santé, alimentation, éducation, etc etc), sont décidés au niveau de l’Union Européenne (UE), et sachez que
 
==> le Droit de l’UE s’impose au Droit National !

L´organigramme de L´UE n´ est rien d´autre que celui d´une grande Multinationale, et votre pays n´en est qu´une filiale – une dépendance de la maison de Maitre !
Nos « représentants » élus ne sont TOUS que des chefs de division - des exécutants d’ordres venus d’ailleurs, ils n’ont aucun pouvoir réel de décision.

(Pensez donc une seconde à la Belgique – qui perdure sans gouvernement ! – prenant ses ordres de l’UE directement, et finit même, sans autorité supérieure propre……par « décider » d’entrer en guerre….)

Le 25/03/2010, l’UE a communiqué aux représentations gouvernementales des pays membres les projets de contrat et statuts de création de la « BANQUE-MES », et de modification du contrat FESF, avec pour instructions d’en bricoler des textes susceptibles d’être signés avant fin juin 2011 (fin du « semestre européen ») , ce qui s’est effectivement produit le 24/06/2011 !

Toujours le 25/03/2011, les traîtres aux peuples des pays de la zone euro se sont engagés à l’ínscription d´un « frein à l´endettement » (réduction des déficits, et interdiction de toute dette supplémentaire destinée à subventionner des besoins sociaux) dans chacune des Constitutions Nationales actuelles,– tous processus à exécuter à une vitesse record, et, dans la mesure du possible, sans que les Peuples – nous – s’en aperçoivent. [3a+3b]

Et nous en arrivons là au Contrat de création de la « BANQUE-MES », - signé le 24/06/2011 conformément aux instructions de l’UE, - et auquel nous, les peuples, n’avons officiellement à ce jour toujours pas accès.

Le « Contrat BANQUE-MES  » et la « BANQUE-MES » [4]

Les développements qui suivent reposent sur un document au périmètre très large, que nous nommerons « Contrat BANQUE-MES », document disponible uniquement en langues allemande et anglaise, qui a été publié sur internet depuis quelques semaines seulement.

Nous n’évoquerons ici , - afin que cette note reste lisible, mais également afin que vous, le peuple, puissiez réagir le plus rapidement possible - que quelques points non-exhaustifs des processus : « ENTRÉE EN VIGUEUR » , « ESCLAVAGE POUR DETTE » et « FORME INSTITUTIONNELLE ».

ENTRÉE EN VIGUEUR

L´entrée en vigueur de ce contrat ne dépend PAS du nombre de pays qui ratifient OU approuvent OU intègrent celui-ci .
Il suffit théoriquement qu´un seul partenaire contractant signataire ait souscrit au 31/12/2012, pour rendre possible l`installation de la « BANQUE MES ».

La diabolique construction du texte ouvre non seulement une mise en œuvre anticipée (et non pas tributaire de la date-butoir du 31/12/2012 ainsi que l’apparence en est donnée) mais PREVOIT la possibilite d´un RÉAJUSTEMENT des critères et seuils de participation, afin que l’entrée en vigueur du texte se fasse bien dans l’espace-temps qu’ils ont prévu [notamment voir Art.42+43]

Ne restez par conséquent pas sans réagir, dans l’espoir de blocage du processus, du fait qu´un ou quelques Etats refuse(nt) de l’intégrer, ou que des dirigeants traîtres à leur Nation ne parviennent pas à l’imposer – c´est ainsi que nous avons perdu notre souveraineté au profit de l’UE ! Chaque nation doit faire acte de résistance – tant que nous sommes encore des nations différenciées !

L´ESCLAVAGE POUR DETTE

1. La « BANQUE-MES » est créée sous clause de DUREE ILLIMITEE – et un Etat signataire n’a aucune possibilité de sortir du processus ! – votre « maison » appartient à jamais aux Banques, les peuples sont à jamais, inconditionnellement et irrévocablement, les garants et cautions des dettes auprès des banques – lesquelles ont un intérêt majeur à ce que cet endettement ne prenne jamais fin.

2. La « BANQUE-MES » est explicitement destinée à augmenter en permanence et de manière illimitée sa capacité de prêt, fixée prévisionnellement à 500 milliards d’euros !

3. Le montant de départ des garanties exigées des pays membres est à hauteur de 700 milliards d’euros (voir ci-dessus les explications sur les garanties, qui en théorie peuvent croître de manière illimitée).

4. La « BANQUE-MES » annonce qu’elle a pour mission de « garantir la stabilité financière de l’ensemble de l’Eurozone » ET que son but est d’ « obtenir et maintenir la plus haute notation des Agences, pour les principaux organismes bancaires  ». Le besoin en capitaux sera donc énoncé….par les banques !

5. Les Etats doivent ensemble verser (et devront donc pour ce faire contracter des dettes supplémentaires envers les banques) à cette « Architecture Financière », à partir de 2013, un montant de départ de liquidités de 80 milliards d’euros - qui devra être en permanence réabondé en cas d’utilisation. La « BANQUE-MES » doit explicitement engager ces fonds sur les marchés financiers, afin de faire croître « avec discernement » notre argent ainsi risqué….

6. La « BANQUE-MES » a tout pouvoir pour réquisitionner AUTOMATIQUEMENT et selon sa propre appréciation, auprès de chacun des Etats membres, le montant des capitaux qu’elle décrètera nécessaires pour éviter qu´un accident de paiement ( catégorie à laquelle appartiennent aussi les échéances de versement d’intérêts d’emprunts ! ) ne porte préjudice…aux banquiers créanciers, ce qui signifie que la « BANQUE-MES » a le contrôle sur tous les budgets des Etats membres, budgets constitués de l’argent des peuples, et de leurs impôts.

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Comprenez-vous maintenant ce que signifie l’exigence d’inscription d’un « Frein a l´Endettement », et d’une « Maîtrise des Déficits et des Dettes Souveraines », dans les législations supérieures des Etats membres : Les peuples devront, de par la Loi, « épargner »…. au meilleur service des banques… !

Et comme toutes ces belles personnes savent très exactement quels ravages ils commettent envers les peuples, ils se construisent, avec la « BANQUE-MES », un espace de non-droit, un petit Etat en soi (Nota : les textes créateurs sont de même architecture que ceux de la Banque de Règlements Internationale, et ceux du FMI) :

FORME INSTITUTIONNELLE [ notamment voir art.26-33]

1. Le siège de la « BANQUE-MES », une Organisation Internationale, est situé au Luxembourg, et dans son périmètre physique ne sera en vigueur que le corpus de Droit de la « BANQUE-MES » , et non pas celui d’autres pays, non plus, expressément, que celui des Etats membres de la « BANQUE-MES ».

2. La « BANQUE-MES » détient la personnalité et la capacité juridiques, peut donc contractualiser, transiger, etc.

3. Toutes les propriétés matérielles – où que ce soit dans le monde – de la « BANQUE-MES », bénéficient d’immunité et d’inviolabilité (par exemple, un immeuble appartenant à la « BANQUE-MES » ne peut être saisi, on ne peut y pénétrer sans consentement, ni le perquisitionner, même pour des recherches ordonnées par une décision judiciaire – et aucun document ou dossier appartenant à la « BANQUE-MES » ne peut être communiqué sous contrainte).

4. La « BANQUE-MES » est libre de toute imposition et taxation, - droits de douane et TVA éventuellement acquittés doivent leur être « restitués »….

5. Les collaborateurs de la « BANQUE-MES » n’acquittent pas d’impôt sur le revenu dans leur pays d’origine, sur leurs salaires et indemnités - financés par les peuples ! - versés par la « BANQUE-MES » en tant qu´ employeur.

6. Tous les collaborateurs de la « BANQUE-MES » sont assignés à vie à la confidentialité sur leurs missions. Ils jouissent d’une immunité juridique, ainsi qu’EXPLICITEMENT LES REPRÉSENTANTS des Etats membres (Ministres des Finances , etc) qui travaillent avec la « BANQUE-MES », ou sont missionnés auprès d’elle….

Concrètement, cela signifie que, lorsque le peuple aura enfin compris qu’il a été pillé et vendu, et qu’il voudra faire payer leur ardoise aux traîtres à la nation, ceux-ci pourront se réfugier dans les propriétés de la « BANQUE-MES », acquises avec l’argent du peuple, et sous la protection de forces de sécurité, payées par le même peuple…

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Tout au long de l'histoire de l'humanité, la création de dissensions et rivalités entre les peuples a été un ingrédient indispensable pour gagner ce « jeu », dont le but ultime est qu’au bout du compte, les banques possèdent TOUT, que ce TOUT soit « grec », « allemand », « français »…..

- DIVIDE ET IMPERA -


Cet article a été publié sur le site d'Agora Vox,

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