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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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28 août 2014

La Pierre de Londres (London Stone) et l'histoire de Brutus le Troyen fondateur de l'angleterre

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La London Stone daterait d’il y a plus de 3000 ans et, on pense plus précisément à l’époque Romaine. Certains pensent qu’elle serait connectée avec le point central mystique de Londres, voir de toute la Grand Bretagne. Elle est considérée comme étant la gardienne de la ville, et etait un lieu de culte et de rassemblement pour les proclamations légales, un endroit où toutes les distances depuis Londres étaient mesurées, en endroit mentionné par Shakespeare et Dickens. La London Stone est maintenant placée à un endroit légèrement différent de sa place initiale et est protégée par une grille en fer dans un mur sur Cannon Street.
  • Époque pré-romaine :
Une des nombreuses légendes raconte que la ville de Londres fut trouvée par Brutus le Troyen – Brutus de Troy – autour de 1070 avant JC soit environ 1000 ans avant l’invasion Romaine. Après la destruction de la ville de Troy, les habitants durent trouver de nouvelles terres. Brutus, un prince troyen, dit avoir été guidé vers l’île blanche d’Albion (l’Angleterre) par la déesse Diana. Après avoir navigué sur la Tamise, il aurait d’abord dut combattre une race de géants menée par Gog et Magog. Puis la ville fut appelée « Troia Newydd » soit la « Nouvelle Troy » qui devint plus tard « Trinovantum » et on appela « Briton » les gens qui y habitaient. Brutus installa son palace à l’endroit où est maintenant le Guildhall, ainsi qu’un temple en l’honneur de Diana sur la colline où y il y a la Cathédrale de St Paul. Certains racontent que la London Stone est une pièce de l’autel de ce temple. Brutus est supposé avoir été enterré sur l’autre colline sacrée connue de nos jours sous le nom de Tower Hill et il y a des statues des Gog et Magog au Guildhall.
On raconte aussi que la London Stone est le reste d’un ancien cercle de pierres qui se tenait autrefois au sommet de Ludgate Hill (là où se tient maintenant la Cathédrale de St Paul). Le Roi Lud vivait dans la ville vers 73 avant JC et on raconte que c’est lui qui l’aurait étendue. Elle devint ensuite connue sous le nom de « Caer-Ludd » soir la « Ville de Lud ». Quand il mourut, il fut enterré à l’endroit que l’on pensait être le plus haut, connu maintenant sous le nom de Ludgate.
D’autres encore pense que la London Stone date de l’époque des Druides et qu’elle aurait pu servir d’autel pour les rituels païens ou bien de pierre pour les sacrifices. Il y en a même qui pense qu’il s’agirait de la pierre de laquelle Arthur aurait retiré Excalibur mais cette thèse est avancée à propos de plusieurs endroit dans le pays donc elle semble peu fiable.
Quoiqu’il en soit ce qui est sure c’est que cet endroit de Londres à été très important pendant longtemps : en 1840, lors de fouilles pour construire les égouts de Bush Lane près de la station de métro Cannon Street, on retrouva des restes de grands murs appartenant à une construction de l’époque pré-romaine, peut être même d’un palace.
  • Époque romaine :
La théorie la mieux acceptée concernant la London Stone se tient durant la construction de la ville fortifiée pendant l’époque romaine. Elle fut établit au point le plus haut, là où la Tamise  pouvait être traversée, et le travail sur la ville commença aux alentours de 50 avant JC. Bien sure, il y avait déjà une population existante mais grâce à la construction de la ville, elle put rapidement bénéficier de sanitaire, de la médecine, de l’éducation, du vin, des systèmes d’irrigation, des rues, des systèmes d’eau fraîche et potable et de la santé publique. Un grand amphithéâtre fut construit à l’endroit du Guildhall – dont les restes sont exposés dans la Guildhall Art Gallery – et plusieurs constructions furent élevées à Ludgate.
Peut être qu’une fois établit, Londres, comme toutes les autres villes de chefs Romains, avait besoin d’un point central. Un mile romain de l’époque équivaut à un peu moins d’un mile anglais de nos jours et les constructeurs des routes plaçaient des bornes avec les miles inscrits dessus pour indiquer les distances donnant ainsi un point de repère pour les voyageurs. Mais pour que ce système fonctionne, il fallait un seul point de référence. Augustus ordonna une pierre centrale, placée dans le forum de Rome : une colonne de marbre de 2,5 mètres de haut, recouverte de bronze et connue sous le nom de Milliaire d’Or. Cette colonne marqua le départ, le « point zéro » pour les mesures des « autoroutes » romaines. Il y a une colonne similaire à Constantinople et la London Stone est peut être le reste d’une colonne comme celle-ci.
  • L’histoire et la London Stone :
Selon l’historien du 16ème siècle John Stowe, la première référence à la London Stone remonte à un livre ayant appartenu à Athelstan d’Angleterre au 10ème siècle. En effet, dans les descriptions d’endroit à louer par exemple, il est souvent mentionné « à coté de la London Stone ». C’était aussi un point de repère en 1198 quand on la mentionnait sur les cartes comme « Lonenstane » ou « Londenstane », les gens qui vivaient près de cette pierre s’appelaient d’ailleurs les Londenstane et le premier Maire de Londres se nommait Henry Fitz-Ailwin de Londonestone ce qui voulait dire Henry, fils d’Ailwin de London Stone.
Puis au travers des années, la London Stone devint l’endroit où les lois étaient passées, où l’on faisait les proclamations, où on réclamait les dettes, où on prêtait serment, des fois avec des cérémonies, peut être accompagné de trompettes et de tambours, et devant une foule.
    • La rébellion de Jack Cade :
Henry VI était un roi impopulaire qui imposait des taxes très importantes ce qui rendait les gens de plus en plus pauvres – alors que lui vivait une vie de pacha dans sa cours ou du reste, la corruption était très présente. Un irlandais du nom de John Mortimer qui vivait dans le Kent et qui s’était auto proclamé Jack Cade, lança une rébellion pour protester contre les lois, les taxes et l’extorsion de nourriture et de biens. Les rebelles voulaient justice and affirmaient que le Roi ne respectait pas le serment solennel qu’il avait fait et qu’il avait promis de respecter. Une de leurs revendications était que Richard Plantagenet – le Duc de York – soit rappelé de son exile en Irlande et que le Roi prenne sa place.
Les partisans de Cade n’étaient pas que des paysans et il y avait aussi des propriétaires et des bourgeois. Bien qu’on ne sache pas exactement combien de rebelle il y avait, on estime que Cade en a rassemblé entre 20 000 et 46 000 à Blackheath. Cade a aussi surement mené les rebelles du Kent sur Deptford Bridge et dans Londres. Ils se sont ensuite arrêtés à la London Stone que Cade aurait frappé avec son épée puis il se serait autoproclamé Maire. Il les aurait ensuite emmené au Guildhall puis à la Tour de Londres pour faire entendre leurs revendications.
Bien que la rébellion échoua, le Roi leur accorda son pardon et ils purent quitter Londres. Cependant, on raconte que beaucoup d’entre eux – dont Cade – furent retrouvés mort à l’extérieur de la ville, de façon assez mystérieuse quelques semaines après. Le Roi ordonna que le corps de Cade soit ramené à Londres où il fut écartelé et coupé en quatre. Il fut ensuite décapité et sa tête fut placée avec beaucoup d’autre sur un coté du London Bridge. Beaucoup de rebelles se retrouvaient tués et leur tête placée au même endroit qui devint connu comme étant le « Harvest of the Heads » soit la « Récolte des Têtes ».
    • Les autres connections royales :
Le Dr John Dee (1527 – 1608) était une personne très intelligente et très connue l’époque. Il était connu pour sa compréhension de l’occulte et sa grande collection de livre sur le sujet. Même si il n’était pas toujours populaire, il était le préféré de la Reine Elizabeth qui le consultait souvent. Dee était fasciné par les supposés pouvoirs de la London Stone et décidé de vivre à coté pendant un moment.
  • La London Stone comme point de repère :
En 1598, John Stow décrit la London Stone comme étant très grande. Cette pierre était autrefois utilisée comme point de repère et se tient depuis plusieurs centaines d’années au centre de Cannon Street. Il paraitrait que cet endroit à un lieu direct avec ce que l’on appelle l’alignement des sites (il s’agirait de lignes imaginaires reliant certains grands sites préhistoriques). Quoiqu’il en soit, au 18ème siècle, il a été décidé d’élargir la route pour qu’elle puisse supporter l’important trafic qui passait dessus. En 1742, la London Stone bloquait déjà le passage des transports. On décida alors de bouger la pierre du coté Nord de la rue et de la placer sur le trottoir contre le mur de l’Église St Swithin. Cette église a été construite sur le site d’une ancienne église qui fut détruite lors du Grand Incendie de Londres de 1666.
En 1789, les officiers de la paroisse de l’Eglise de St Swithin enlevèrent la London Stone « parce qu’elle était gênante ». Thomas Maiden, un imprimeur, vivait dans une maison pas loin et il protesta contre la décision de l’église, clamant qu’elle devait être préservée du fait de son importance. Grace à sa détermination il gagna et la pierre fut remise en place, contre le mur placé au sud de l’église – donc pas tout à fait à son endroit initial – certainement pour qu’elle soit moins « gênante » pour l’église.
En 1869, les marguilliers décidèrent de mieux sécuriser la pierre et de mettre des barreaux en fer autour « pour une protection plus efficace et la transmission au générations futures ». Une plaque sur laquelle est inscrite leur action fut installée, en anglais et en latin. La même année, Charles Dickens écrivit une série d’article sur les points de repère dans le journal et il qualifia la pierre « curieuse relique du vieux Londres ».
A l’inverse des autres capitales, Londres n’a pas de point de repère unique pour mesurer les distances. Certains utilisent Trafalgar Square, d’autres Westminster Bridge, Hyde Park Corner, Marble Arch ou Whitechapel. Les Londoniens du 19ème siècle pensaient surement que c’était un problème et il y eut des suggestions pour installer un obélisque qui montrerait les distances et qui aurait pu être placé à coté de la Poste près de St Paul.
  • Le déplacement de la pierre :
La London Stone était dans le mur de l’église de St Swithin jusqu'à ce que cette dernière fût bombardée en 1940. Par chance la pierre elle-même ne fut pas touchée mais elle fut temporairement relogée au musée de Guildhall pour la mettre en sécurité. Finalement, l’église fut complètement détruite en 1960. Les fouilles effectuées sur le site avant la reconstruction révélèrent une strate brulée datant de la l’époque de la Reine celtique Boadicée – indiquant peut être l’importance du site avant même que l’on construise par-dessus. Elle est connue pour avoir menée une armée pour détruire plusieurs villes Romaine, incluant Londres.

La London Stone fut ensuite relogée dans le mur de la construction qui remplaça l’église et qui est actuellement un magasin de sport, et beaucoup de personnes passent devant sans même se douter de ce qu’est cette pierre.

http://uklegacies.blogspot.fr/2010/09/la-pierre-de-londres-london-stone.html

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19 août 2014

Agni Yoga et Lucifer matérialisme spirituel et huitième sphère

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Fondateurs de l'Agni Yoga (yoga du feu), Helena et Nicolas Roerich (l'inspirateur de la pyramide tronquée du novo ordo seclorum du dollar américain) faisaient du channeling pour les Mahatmas Frère Morya et Frère Koot Humi de la Fraternité Blanche cachée dans les vallées inaccessibles de l'Himalaya, à Shamballah (c n'estpas la vraie Shamballah céleste du Christ, la nouvelle Jérusalem, les Mahatmas parlent ici de la Shamballah terreste, son double luciférien à penchant démoniaque genre parode de roi du Monde, Agartha et compagnie).
L'inspirateur d'Helena Roerich lui parlent de leurs laboratoires, auxquels personne ne peut avoir accès ans "un appel" et "sans guide". Il parle de ses "appareils de vision à distance" (double vue avec des moyens extérieurs), de ses "miroirs prismatiques" etc. C'est décrit de façon grossièrement matérielle: appareils téléscopiques et d'autres qui collectent l'énergie psychique, d'autres qui mesurent la tension du feu dans l'espace.ils prétendent que tous leurs appareils onctionnent non seulement du niveau raffiné mais aussi du niveau physique. toutes ces visions sont irrémédiablement imprégnées des concepts de la science matérialiste moderne, apparaissant dans une forme hautement matérielle, laissant paraître le spectre de la 8e sphère.  

Le nom d'Urusvati devient souvent, du sanskrit signifiant lumière de l'étoile du matin - vénus, donc Lucifer. C'est ainsi qu'Héléna appaelait son inspiration. Dans un des versets du livre (tous très répétitifs et hypnotisants à la longue...), ça dit que Urusvati connais les tours Chung (les tours ou seraient situées les "laboratoires" et "observatoires" des mahatmas).
Nicolas Roerich raconte avoir souvent vu des appareils volants non identifés: " si vous travesez le remarquable plateau tibétain avec ses vagues magnétiques et ses extraordinaires phénomènes optiques ("miracles de lumière"), si tu en entend parler ou en voit toi-même, tu viens d'en apprendre sur les mahatmas. Je n'ai pas l'intention de vous convaincre de leur existence. Plusieurs les ont vu, ont conversé avec eu, ont reçu des lettres ou des objets de leur part." Dans un autre article il reporte au lama tibétain: "Lama, non loin de Ulan-Davana (au Nord du tibet) on a vu un énorme vautour... il a traversé le ciel et est entré dans la trajectoire d'un objet lumineux radiant, magnifique brillant sous l'éclat du soleil. Les yeux du lama se sont mis à briller: "Shamballah te protège, son povoir protecteur te suit sous l'aspect de cette matière radiante, as-tu remarqué dans quelle direction il allait?""  Selon Prokofieff, cela n,a rien à voir avec la vraie Shamballah, mais bien avec la 8e sphère. Ce sont des imaginations luciférianisées de l'ancienne Lune, remplies de matière volée de l'évolution terrestre actuelle, dont Ahriman se charge de rendre matériel et visible sous la forme d'hallucinations. Ahriman interfère dans nos perceptions et nous ilusionne à leur égard.

Dans son livre elle énumère les nombreux cas ou les mahatmas ont aidé les humains par de nombreux émissaires. Les influences peuvent être psychiques ou complètement matérielles. Les rencontres peuvent être faites par lettres (contenant parfois de l'argent - bcp d'argent - ou des instructions pécises) mais tjrs de source totalement inconue. Des personnages mystérieux entrent en contact et donnent des conseils à des politiciens, artistes, inventeurs. Parfois les mohatmas apparaissent physiquement en personne ou parfois, aux élèves les plus avancés, dans un corps éthérique.
Roerich dénonce souvent Ahriman, mais il l'appelle Lucifer. Et Lucifer, cest en fait l'inspiration derrière toute la doctrine canalisée par lui et sa femme, de même que par Blavatsky et Sinnet: il parle de "la chute de Lucifer en Atlantide", mais il se trompe: cet événement correspond en fait, selon la science spirituelle, à la chute d'Ahrimane au milieu de l'Atlantide. Lucifer estdéchu depuis bcp plus longtemps. Roerich mélange Lucifer et Ahriman, il ne peut donc distinguer leurs influences respectives. Dans sa description des forces de la lumière contre les ténèbres, il oppose en fait inconsciemmenmt Lucifer et Ahriman.
La doctrine est du matérialisme spirituel qui se prend pour une science spirituelle. le spirituel serait rien d'autre que de la "matière plus raréfiée, plus raffinnée", des "vibrations plus hautes" (David Icke et plein de Newagers pensent ça). Ils prétendent même qu'il n'y a rien en dehoprs de la matière, aucun esprit en dehors de la matière!  
Il ne faut pas confondre les mahatmas avec les authentiques boddhisattvas de Shamballah (Bouddha et plein d'autres), qui sont les représentants du Logos de la Lune. Le problème est qu'ils sont inconscients de refléter l'ancien Soleil, ils ne réalisent pas qu'is ne font que servir le logos solaire, le Christ. Bouddha (Mercure) en est conscient. Bouddha a été le messager du Christ du Soleil vers Vénus.

la huitième sphère selon Steiner (par S.O. Prokofieff):
Lucifer a initié la création de la 8e Sphère en conservant illicitement de la substance de l'ancienne lune jusqu'au jourd'hui. Dansles formes de l'ancienne lune, on peut reconnaître la clairvoyance origienelle, devenue aujourd'hui atavique parce que sortie de son contexte temporel. La développememt de l'ancienne Lunne est tel une réfléxion des lois des mondes spirituels. En Saturne, la chaleur (l'intuition) et le physique humain sont nés. En Soleil l'air et le vent (l'inspiration) s'est ajouté, de même que l'éthérique humain. en Lune, le liquide-spongieux (l'imagination) s'est formée, de même que l'astral humain. Le minéral et la conscience de veille ne sont apparues que sur Terre.  Des imaginations réfléchissant les mondes spirituels, la substance de l'ancienne Lune, ont été conservées par Lucifer. Dans la 8e sphère aujourd'hui, on a affaire à des densifications (minéralisées) des imaginations de l'ancienne Lune.  C'est Ahriman qui le fournit en stock minéral volé à notre évolution terrestre.  C'est un faux phénomène, dans le sens qu'il est illégal, qu'il est faussé, truqué, complètement artificiel. C'est l'intention commune de Lucifer et Ahriman de faire dévier l'évolution terrestre et l'humain dans la 8e sphère ce qui ferait avorter la transformation de la Terre en Jupiter (nouvelle Jérusalem). Développer un penchant pour le matérialisme occulte nous incline vers la pente menant tout droit à la 8e sphère. Aprèes la mort, la personne risque fort de se faire voler une partie de son corps astral par un Lucifer désireux de l'entraîner dans la 8e sphère et de l'imprégner de matière.Dans cette existence spectrale, à mi-chemin entre le matériel et le psychique, les formes gagnent un poids et une mesure, "comme" dans le monde physique, mais plus comme une réalité virtuelle. Relier les anciennes traditions des védas aux théories d'Einstein, vioilà selon l'auteur, une des inspirations des mahatmas aujourd'hui, guidant vers un matérialisme spirituel qui inaugure déjà un dangereux penchant pour la huitième sphère. La volonté risque aussi de sombrer dans la 8e sphère. Lucifer et Ahriman veulent s'emparer de la matière du cerveau, qui est inmprégné de sagesse dans sa construction. Penser des pensées matérialistes les en imprègne, renforçant la 8e sphère.

Le retour du Maitreya est attendu par les théosophistes et bcp de newagers. on prétend qu'il complète la triade Christ-Bouddha-Maitreya.

Nicolas Roerich a dédié une bonne partie de ses toiles à Ghengis Khan, représentant de la clairvoyance atavique atlante luciférianisée. Il parle d'un graal venu d'une autre planète, tombée du ciel, mais plus comme une pierre brute ou le chalice d'Amrita, qui a une similarité avec le soma des hindous. Mais son lapis exilis est luciférien, pas imprégné du Christ, c'est un vieux chalice qui n'est pas devenu le Graal, refusant le sang du christ, le Soleil.  

Les références à un monde plus raffiné, au feu derrière les apprences, sont liées au fait qu'il s'agit d'un Agni yoga: yoga du feu. C'est encore la même matière rafinée, raréfiée, monde de feu cosmique. Il faut en effet éthériser le sang le remplir de feu, mais les tedhniques des roerich et du théorophisme le font en fonction des anciennes techniques liées au cosmos passé de sagesse. Ce n'est pas la force christiques qui entre dans le sang dans le cas de l'Agni yoga. Le vrai mystère du coeur enflammé (sacré-coeur) ne s'y trouve pas. Notons aussi l'effet hyupnotisant de la lecture du livre Agni yoga et l'insistance sur la dépendance envers les mahatmas. Le risque de perdre sa libre-volonté (free will) est grand et nourrit la 8e sphère. Dépendance envers un maître et matérialisme occulte : la volonté glisse vers la 8e sphère

. un plan a été donné à Roerich par son maître mahatma: 1) la puissances des USA doit se faire sentir (Roerich était membre des services secrets et ambassadeur pendant un temps aux USA) partout dans le monde afin que personne n'ose attaquer une si grande puissance 2) toutes les configurations astrologiques sont favorables à la négociation et à une signature subséquente par le Président. Le but est d'unir les Amériques, surtout Amérique du nord et du sud.

Helena Roerich relate de nombreux cas où des émissaires des mahatmas auraient influencé des politiciens, des artistes, des inventeurs. Les influences peuvent être psychiques ou strictement matérielles. Les contacts peuvent se faire via des lettres contenant des montants d’argent ou des instructions précises, mais toujours de source inconnue ou renvoyant à Shamballa.  Ils peuvent apparaître en personne physiquement ou en vision à leurs disciples, dans leur corps éthérique.  Les Roerich les ont rencontré physiquement des émissaires des mahatmas et quelques fois les mahatmas eux-mêmes à Londre, à New York et dans le Nord-Est de l’Inde. Hors de leur corps physique, Helena et Nicolas ont souvent été emmenés dans les laboratoires des mahatmas. 

Alors que l’anthroposophie de Steiner se voulait une synthèse créatrice de la science occidentale et du courant rosicrucien, le théosophisme voulait unir la science matérialiste à l'ancienne sagesse indo-tibétaine (luciférienne) qui cultive une relation de dépendance au guru. C'est Lucifer (Orient) et Ahrimane (Occident) sans leur médiateur pacificateur Christique représenté par l'Europe centrale et l'Europe de l’Est, martyrs de l'expérience socialiste. En plus d’avoir donné l’impulsion du bolchévisme , les mahatmas ont donné l'inspiration, via les Roerich – vendus à la « cause » du bolchévisme depuis 1920 - et les loges occidentales, à la mouvance mi-communiste mi-bouddhiste et, de concert avec les loges franc-maçonniques, à la sécularisation. Collectivisme et dialectivisme étaient à l'honneur, car pour eux la science et technologie étaient impossibles en l’absence du communisme. Le bolchevisme devait, selon eux, libérer l'humanité grâce au « mahatma Lénine » ; s’opposer ne serait-ce qu’un peu au bolchevisme revenant alors « à s’opposer au plan des Rois du monde ». Marx a été contacté par un émissaire des mahatmas à Londres ; Lénine, en Suisse. Ils ont répondu chaleureusement à l’annonce du règne de Shamballa, uneère de Communauté Mondiale (le communisme et le bolchevisme). Les mahatmas donnaient des instructions précises. En 1934, par exemple, ils ont donnée les instructions suivantes : les États-Unis ne doivent pas se désarmer mais au contraire faire sentir leur domination partout sur la planète de façon à dissuader toute attaque ; les conditions astrologiques sont propices à la négociation d’une union entre l’Amérique du Nord et du Sud en un Grand État ; il faut garder l’œil sur l’Est, ce qui inclut pour eux la Russie, et il faut que l’Amérique aide ce Orient promis à un Grand Futur.  Il doit donc exister un bloc Russe-asiatique  face à un bloc Américain pour obtenir la paix mondiale. Pour les mahatmas, le Président sera ainsi prêt à déclarer et instaurer l’Union mondial, inspiré par les lois cosmiques que révèlent les mahatmas. Dans une lettre de 1934, on lit que les mahatmas considéraient Roosevelt comme « leur Rayon ».

 

23 juillet 2014

Groupe secret de scientifiques le Majestic 12

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Majestic 12 (aussi connu sous le nom de Majic 12, Majestic Trust, M12, MJ 12 ou MJ XII) est le nom de code d'un groupe secret de scientifiques, chefs militaires et personnes du gouvernement, formé en 1947 sous l'ordre du Président des États-Unis, Harry S. Truman.

L'objectif était de s'informer sur les activités d'OVNI, après l'incident de Roswell, où un engin extraterrestre se serait écrasé tout près de Roswell, au Nouveau-Mexique, en Juillet 1947. Ce groupe est un élément majeur pour ceux croyant que le gouvernement connait l'existence des OVNI, mais ne confirme pas la véracité au grand public.

La controverse de Majestic 12:

Sans pouvoir préjuger de la question de l'existence des ovnis, la présence de la MJ-12 parmi les institutions fédérales est en soi une toute autre question. Le FBI ouvrit une enquête le 15 septembre 1988, soit l'année suivant la publication d’Opérations spéciales du comité Majestic-12. Le 30 novembre suivant, le bureau des investigations spéciales de l'US Air Force confirma au FBI que les documents étaient des faux. Mais plusieurs auteurs et personnalités phares de la théorie du complot pensent qu'il s'agit d'une conspiration du silence.

Histoire supposée de la Majestic 12:

À en croire les Opérations spéciales du comité Majestic-12, cette agence aurait été fondée le 24 septembre 1947, peu après le supposé crash d'ovni à Roswell, sur recommandation du Dr. Vannevar Bush et du Secrétaire à la Marine des États-Unis James Forrestal par un décret-secret — procédure d'exception aux USA — du président Harry S Truman. Le but de cette agence aurait été de décrypter les principes de certaines technologies, voire d'appliquer des techniques dites de rétroconception (reverse engineering) sur le matériel déjà récupéré. Le premier directeur de cette agence, aurait été le célèbre Vannevar Bush, docteur du prestigieux Massachusetts Institute of Technology, qui a occupé durant l'année 1947 le poste de PDG de la société AT&T. La création de cette agence n'apparaît dans aucun texte officiel, ni dans l'organigramme de la défense des États-Unis. Ce qui n'a rien d'étonnant étant donnée la nature du secret...

La mort du Secrétaire Forrestal le 22 mai 1949 aurait laissé une place vacante jusqu'au 1er août 1950, date à laquelle le Général Walter B. Smith aurait été désigné comme remplaçant permanent.

Les documents relatifs au MJ 12 furent présentés à la presse en juin 1987 par l’ufologue américain William Moore , - ufologue qui s’intéressa de près au cas Roswell et principal propagateur de la théorie du complot et du conspirationnisme -, au cours du symposium annuel du MUFON (Mutual Ufo Network), une des principales associations ufologiques américaines. Les documents seraient parvenus sous forme microfilmée (35 mm.) en 1984 à un ami producteur de Moore, Jaime Shandera. Ce dernier et W. Moore s’étaient associés dans une recherche tous azimuts de documents officiels concernant les ovnis. Le film aurait révélé un document de huit pages adressé au président Dwight Eisenhower et rédigé par le contre-amiral Roscoe Hillenkoetter. Voici la transcription du texte qui accompagnait la révélation faite au président, de l’existence du groupe MJ et de l’identité de ses membres, dont la personnalité et les parcours seront étudiés plus avant :

Le 24 juin 1947, un pilote civil volant au-dessus des « Cascads Mountains » dans l’État de Washington observait neuf aéronefs en forme de disque volants en formation à une très grande vitesse. Bien que ce ne soit pas la première observation connue de ce type d’objets, ce fut la première à monopoliser une aussi grande attention dans les médias publics. Des centaines de rapports d’observation d’objets similaires suivirent. Beaucoup d’entre eux émanaient de sources militaires et civiles hautement crédibles. Ces rapports résultaient d’efforts indépendants poursuivis par divers services militaires pour établir la nature de ces objets dans l’intérêt de la défense nationale. Un grand nombre de témoins furent entendus et il y eut beaucoup de tentatives vaines d’utilisation d’avions pour poursuivre en vol ces disques dont beaucoup attestaient la réalité. La réaction du public fut par moments proche de l’hystérie.

Malgré ces efforts, aucun indice substantiel n’avait été recueilli avant qu’un fermier local ne rapporte le crash d’un de ces disques dans une région reculée du Nouveau-Mexique, située approximativement à 75 miles [120 kilomètres] au nord-ouest de la base aérienne de Roswell (actuellement « Walker Field »).

Le 7 juillet 1947, une opération secrète fut montée pour assurer la récupération des débris de l’engin en vue d’une étude scientifique. Au cours de l’opération, une expédition de reconnaissance fit la découverte de quatre petits humanoïdes ayant été apparemment éjectés du vaisseau avant qu’il n’explose.

Ceux-ci étaient tombés à terre à environ 2 miles [3,2 km.] du site du crash. Les quatre étaient morts et sérieusement décomposés du fait de l’action des prédateurs et de l’exposition aux intempéries durant environ une semaine avant qu’ils ne soient découverts. Une équipe spéciale de scientifiques fut chargée d’emmener les corps afin de les étudier. Les débris de l’épave furent également acheminés en divers endroits[réf. nécessaire]. Les témoins civils et militaires de la région furent débriefés et il fut donné à de nouveaux reporters une version de l’histoire selon laquelle l’objet n’était qu’un ballon-météo expérimental mal guidé.

Des efforts d’analyse secrets furent organisés par le général Twining et le Dr. Bush, agissants sous les ordres directs du Président, amenèrent à un consensus préliminaire (19 septembre 1947), selon lequel le disque semblait être un petit vaisseau de reconnaissance. Ces conclusions se basaient en partie sur la taille de l’objet et sur le manque apparent d’un quelconque provisionnement identifiable. Une analyse similaire des quatre corps des occupants fut menée par le Dr. Bronk. La tentative de conclusion de ce groupe (30 novembre 1947), fut que quoique ces créatures furent d’apparence proche de l’humain, les processus biologiques et d’évolution responsables de leurs développements étaient apparemment complètement différents de ceux observés ou postulés chez l’Homo-sapiens. L’équipe du Dr. Bronk suggéra le terme d’ « Entités Biologiques Extraterrestres » ou « EBE » et l’adopta comme le terme standard de référence pour ces créatures avant qu’une désignation plus définitive ne vienne un jour à être désignée.

Comme il était virtuellement certain que cet aéronef n’était originaire d’aucun pays de la Terre, de considérables spéculations furent concentrées autour de la question de leur point d’origine et des moyens employés pour parcourir de telles distances. Mars était et demeurait une possibilité, quoique certains scientifiques, comme notamment le Dr. Menzel, affirmaient que nous avions vraisemblablement affaire à des êtres issus d’un tout autre système solaire.

De nombreux exemples de ce qui apparut comme une forme d’écriture, furent retrouvés parmi les débris. Les efforts fournis pour les déchiffrer se révélèrent vains. Également vains furent les efforts déployés pour déterminer la méthode de propulsion ou la nature du mode de transmission de la source d’énergie du vaisseau. Ce type de recherches a été compliqué par l’absence complète d’éléments identifiables tels que des ailes, propulseurs, jets ou autres méthodes conventionnelles de propulsion et de guidage et il en fut de même concernant le manque total d’installations métalliques, tubes à vide et autres composants électroniques similaires et reconnaissables. Il fut établi que l’unité de propulsion avait été complètement détruite lors de l’explosion qui avait provoqué le crash.

Le besoin du plus grand nombre d’informations additionnelles concernant ce vaisseau conduisit à l’établissement du projet de l’US Air Force connu sous le nom de Projet SIGN en décembre 1947. Afin de préserver la sécurité, les liaisons entre SIGN et le Majestic 12 furent limitées à deux rencontres au sein de la Division Renseignement de l’Air Materiel Command, dont le rôle était de laisser filtrer certains types d’informations par différents canaux. SIGN évolua en Projet GRUDGE en décembre 1948. L’opération est actuellement en train d’être conduite sous le nom de code BLUE BOOK, avec des liaisons maintenues au travers de l’US Air Force qui est la tête du projet.

Le 6 décembre 1950, un second objet, probablement d’une origine similaire, heurta la terre à une grande vitesse dans la région de El Indio Guerrero, à la frontière entre le Texas et le Mexique, après avoir suivi une longue trajectoire au travers de l’atmosphère. Avant qu’une équipe de chercheurs ne soit parvenue sur les lieux, ce qu’il restait de l’objet avait été complètement incinéré. Le plus de matériel qu’il fut possible de récolter, fut acheminé pour études jusqu’aux installations de Sandia (Nouveau-Mexique).

Les implications sur la sécurité nationale sont d’une importance continue, en ce qui concerne les motivations et les intentions ultimes de ces visiteurs qui demeurent inconnus. De surcroît, une recrudescence dans l’activité de surveillance de ces vaisseaux commença en mai, continuant tout l’automne de cette année et laissant à penser que de nouveaux développements étaient imminents. C’est pour ces raisons, aussi bien pour d’évidentes considérations internationales et technologiques, que pour le besoin suprême d’éviter à tout prix la panique du public, que le groupe Majestic 12 décida unanimement de maintenir les plus strictes précautions de sécurité, sans interruptions au cours des différentes administrations…

Les documents MJ se poursuivaient sur un mémorandum au secrétaire à la Défense daté du 24 septembre 1947, signé de la main du président Truman et lui donnant toute latitude, ainsi qu’au DCI et au Dr. Vannevar Bush, pour l’établissement de l’organisation Majestic 12, ainsi que deux mémorandums datés de 1953 et 1954 avisant le général Twining de réunions secrètes relatives au groupe MJ et à la sécurité nationale. Le mémorandum Truman de 1947 indiquait en appendice A :

    Je continue à croire que toute réévaluation des dispositions arrêtées concernant cette affaire doit demeurer du ressort exclusif du bureau du Président après discussions appropriées avec vous-même, le docteur Bush et le DCI [Director of Central intelligence].

La question de la validité:

Beaucoup d’auteurs avaient formulé l’hypothèse, bien avant la mise à jour des documents MJ, qu’une organisation ultra-secrète paragouvernementale, gérait le fait ovni et la politique de secret à ce sujet. On trouve trace de cette idée dans le livre de Edward J. Ruppelt, « Face aux soucoupes volantes ». Le lieutenant Ruppelt, né en 1922 et décédé d’une crise cardiaque en 1959, avait été entre 1951 et 1953, le directeur du projet Blue Book, prétendument chargé de l’étude des observations d’ovnis. Relevé de ses fonctions en 1953, Ruppelt s’efforça de briser le silence gouvernemental concernant le sujet. Ces propos sont donc parés d’une certaine crédibilité, attendu qu’il fut dès les années cinquante et de par ses fonctions, étroitement lié au phénomène ovni. «  Un seul groupe de gens a eu accès à nos archives. Il ne s’agissait pas de fanatiques ni d’écrivains de pacotille, mais de savants engagés par le gouvernement : des spécialistes des fusées, des physiciens nucléaires et des experts des renseignements. Ils s’étaient groupés pour étudier nos rapports parce qu’ils avaient la conviction que certains de ceux-ci, ceux des lumières de Lubbock en particulier, concernaient vraiment des véhicules interplanétaires ». Comme nous le verrons dans une prochaine partie, d’autres témoignages évoquèrent le même type d’organisation, ainsi que le très haut degré de classification du dossier pour les pouvoirs publics américains.

Ainsi, la révélation de l’existence de ces documents connurent un grand retentissement et furent recueillis le 15 septembre 1988 par l’antenne du FBI à Dallas (Texas). Une enquête administrative fut mise en œuvre afin de déterminer la validité de ces documents et la raison de leur étalage dans les médias, le FBI étant le principal organe de contre-espionnage des États-Unis. Le 30 novembre 1988, le FBI affirma avoir déterminé de façon certaine que les documents MJ étaient des faux, mais l’agitation ne cessa pas pour autant dans le monde ufologique qui ne put pas manquer d’être troublé par les personnalités des différents membres, tous très liées au fait ovni. Il convient cependant de noter, de prime abord et à la décharge des sceptiques, que les documents MJ ayant été expédiés à Shandera sous forme micro-filmée, personne n’eut jamais en main les documents originaux, ce qui en soit n’établit pas de façon absolue que le mémorandum soit un faux, mais relativise cependant les certitudes des plus acharnés défenseurs du conspirationnisme américain. C’est Philip Klass, éditeur de la revue « Skeptics Ufo Newsletter » et ardent négateur du fait ovni, qui porta les critiques les plus décisives sur les documents, particulièrement sur le mémorandum au Secrétaire à la Défense James Forrestal, signé par le président Truman. Klass constate que sur chacune des signatures de Harry Truman, le « T » dépasse du bas du texte et il note également que le président avait coutume d’apposer sa signature assez loin du corps du texte alors que ces caractéristiques ne se retrouvent pas sur le document MJ. Philip Klass retrouve ainsi une lettre du président en date du 1er octobre 1947, comprenant une signature identique à celle des documents MJ. La proportion de chances pour qu’une signature soit reproduite deux fois de façon parfaitement identique étant infinitésimale, les détracteurs du crash de Roswell en déduisirent que les documents étaient faux. Il est certain que les plus grandes réserves sont à formuler à l’égard de William Moore, qui aurait reconnu avoir travaillé pour le renseignement américain et contribué à la désinformation à ce sujet, mais aussi concernant le producteur Jaime Shandera, collaborateur de Moore, Charles Berlitz, co-auteur de « The Roswell incident » et malheureusement compromis dans des recherches burlesques sur le triangle des Bermudes et l’ « énigme » de l’Atlantide ainsi que Richard Doty alias « Falcon », informateur de Moore, ex-membre de l’AFOSI (Air Force’s Office of Special Investigations, organe de contre-espionnage de l’armée de l’Air américaine) et qui avait livré dès 1983 au journaliste Linda Moulton Howe, des informations similaires à celles contenues dans les documents MJ. Il est cependant indéniable que les mêmes réserves formulées quant aux travaux de dénégation systématique du fait ovni par le Dr. Menzel sont à adresser à Philip Klass qui occupe le premier rang outre-Atlantique, parmi les sceptiques acharnés dont l’obstination laisse à croire que cette activité est conceptuelle voire téléguidée, comme furent infiltrés dès leurs origines les principaux groupes ufologiques.

L’ufologue Richard D. Nolane a recensé certains autres points de détails qui contribuèrent à jeter le discrédit sur les documents MJ. «  - Le système de datation n’est pas tout à fait celui utilisé à cette époque par les militaires - La base de Roswell, Roswell Army Air Base en 1947 puis Walker Air Force Base par la suite, n’est pas toujours correctement nommée. - Le document MJ-12, censé être destiné au nouveau président des États-Unis, est d’une rédaction plutôt négligée, comportant trop de fautes de frappe. - Les grades de certains des militaires cités sont faux, ce qui paraît étrange dans un document militaire. - Il n’y a aucune trace d’un décret-loi du président Harry Truman daté du 24 septembre 1947 dans les archives de la Truman Library. - Selon ce qu’on a appris du crash de Roswell après l’apparition des documents fin 1984, et des recherches menées ces dernières années sur le témoignage de Kenneth Arnold et d’autres de cette époque, le texte comporte un certain nombre d’erreurs ou d’approximations inconcevables dans un document de ce niveau. - Présence anormale d’une formule de salutation dans un mémorandum. »

Il n’en reste pas moins que de nombreux témoignages viendront ultérieurement étayer la théorie du secret militaire et les prétendus membres du groupe Majestic 12 exercèrent réellement des activités très sensibles en lien avec le monde du renseignement, la recherche et le développement scientifico-militaire au plus haut niveau de l’État. Les documents MJ, dont la qualité de détails et de cohérence est frappante, sont peut-être le moyen utilisé par les détenteurs de cet hypothétique secret pour discréditer par avance d’éventuelles révélations qui auraient pu apparaître comme fondées. De par sa conception, tout semble indiquer que ce document ne saurait être l’initiative isolée d’un mystificateur en manque de publicité, mais une entreprise subtile d’action de désinformation, attendu que le meilleur moyen de brouiller les pistes est d’être parti-pris du débat en mêlant le vrai au faux, la réalité à la contrefaçon. Ce type de propagande destinée à orienter l’opinion est caractéristique de certaines opérations de désinformation orchestrées par de grandes centrales de Renseignement. C’est l’opinion de Stanton Friedman qui déclara : «  Je ne connais aucune preuve permettant de déterminer l’origine des documents… William Moore m’a appelé, en décembre 1984, après avoir développé le film reçu par Jaime Shandera contenant le « briefing » Eisenhower et le mémorandum Truman et Forrestal. C’était bien entendu trop explosif pour être publié sans preuve. Le fait que Menzel appartienne au MJ-12 rendait l’affaire plutôt suspecte, car il n’avait en apparence qu’une simple vie de professeur d’université. En 1986, je me suis rendu à Harvard et à Princeton afin de consulter les archives Menzel et Forrestal. C’est alors que j’ai découvert la double vie de Menzel. Au total je me suis rendu dans 18 services d’archives. En mars 1985… j’ai appris que les Archives nationales déclassifiaient des fichiers du quartier-général des services de renseignement de l’Air Force. Ils étaient susceptibles de contenir des dossiers intéressants comme des rapports top-secrets sur les ovnis. Nous avons donc surveillé de près cette déclassification et Jaime et William sont venus à Washington en juillet. Ils y ont découvert le mémorandum Cutler-Twining . Ce nouveau document permettait de montrer que Twining appartenait bien à une organisation spéciale nommée MJ-12. Il impliquait également le NSC (National Security Council), les plus proches conseillers du président des États-Unis. L’éditeur de la revue « Skeptical Enquirer », Philip Klass, a alors prétendu que ce mémo était un faux, car les caractères de la machine à écrire étaient en Pica alors que le NSC utilisait des caractères Elite. Il m’a proposé 1000$ si je trouvais au moins dix documents de la même époque, en Pica de la même taille et provenant de la NSC. Il a perdu ses 1000$. Je suis convaincu que certains des documents du MJ-12 sont authentiques et j’ai prouvé que d’autres étaient faux. Bien entendu, nous ne pouvons que spéculer sur les personnes impliquées dans cette affaire. Le gouvernement américain est immense et les « black budgets » annuels pour les renseignements atteignent 26 milliards de dollars, ce qui laisse de la place pour une implication des services secrets comme le National Reconnaissance Office (NRO), La National Security Agency (NSA), la CIA, la Defense Intelligence Agency (DIA)… ».

Comme reproduits en annexe, des documents déclassifiés font clairement référence au groupe MJ 12, mais leur authenticité demeure sujette à caution. Le mémorandum au général Twining, en date du 14 juillet 1954 et signé de l’assistant spécial du président Eisenhower, Robert Cutler fait référence à un briefing concernant le projet d’études spéciales MJ-12. Enfin, un mémorandum de la Maison Blanche, daté du 28 juin 1961 à l’intention du directeur de la CIA, dénote l’intérêt du président Kennedy pour la question. Le mémorandum est relatif à l’«examen des opérations secrètes MJ-12 relatives aux plans de guerre psychologique GOLD WAR ». Le président réclame également un bref résumé de ce dossier.

Les documents Cutler-Twining furent découverts en juillet 1985 aux Archives Nationales par Moore et Shandera. Or, cette recherche ne fut pas fortuite, puisque les ufologues furent guidés par un mystérieux informateur postant ses conseils aux quatre coins du monde. Le mémo Cutler-Twining de 1954 fut ainsi mis à jour entre deux classeurs de l’US Air Force récemment déclassifiés bien que son origine soit clairement différente du lot archivistique concerné. Bien que l’US Air Force et le FBI ne se soient jamais prononcés sur l’authenticité de ces documents, il y a lieu d’en douter. Comment concevoir en effet, la simple présence de ce document, émanant du conseiller du président américain, dans un lot d’archives militaires totalement étranger au fait ovni et le fait que le mémorandum ait pu échapper à la sagacité des services chargés de la déclassification de ces documents ?. Quiconque a pratiqué les archives sait qu’il est tout à fait possible d’y introduire des pièces pour peu qu’un descriptif détaillé n’accompagne pas le lot de documents officiels. Il faut donc voir plus vraisemblablement dans ces mémorandums, la main d’un des informateurs de Moore , en se contentant d’imaginer ses mobiles. La « désinformation amplifiante » de services de renseignement, évoquée par le rapport Cométa pourrait être une explication plausible et judicieuse. En occupant les ufologues avec d’interminables querelles autour de documents habilement conçus mais faux, les services secrets les empêchaient de concentrer leurs investigations sur d’autres points et déconsidéraient lentement le cas Roswell qui commençait à émerger lentement de l’oubli. On voit mal en tout cas qui d’autre pourrait être l’auteur d’une telle manœuvre qui demandait des moyens non négligeables.

L’extraordinaire implication, autant concernant les membres supposés du Majestic 12 que de certains ufologues comme William Moore ainsi que leurs informateurs, semble indiquer une présence active d’officines de renseignement. Si l’US Air Force et le gouvernement n’avaient rien à dissimuler ayant trait à la récupération d’une technologie extraterrestre, comment alors expliquer ses multiples dénégations et la présentation incomplète des événements faites dans les différents rapports publics ? Comment ne pas mettre en corrélation les différents témoignages relatifs aux événements de Roswell et la création du National Security Council (NSC), seule agence américaine non assujettie aux dispositions de la loi sur la liberté de l’information, créée le 26 juillet 1947, trois semaines après le prétendu crash de Roswell et au sujet de laquelle l’ufologue Jean Sider affirmera qu’il s’agit peut-être là du véritable groupe Majestic 12 ?

Le rapport du GAO rend un court avis concernant les documents MJ, répercutant les affirmations de différents services de renseignement selon lesquels aucune preuve n’établirait que ces documents sont authentiques, sans affirmer cependant qu’ils ne le sont pas. Toutefois, il accrédite de façon décisive la théorie selon laquelle ce groupe aurait eu une existence réelle, ce qui pose encore la question de savoir si, de la sorte, et en révélant sur un support factice de véritables informations, on n’obtient point là le meilleur moyen de neutraliser toute révélation ultérieure.

« RAPPORT SUPPLEMENTAIRE/ LETTRE DU GAO AU MEMBRE DU CONGRES SCHIFF CONCERNANT LES ARCHIVES LIEES AU « MAJESTIC 12 »…

En réponse à votre demande, nous avons demandé à plusieurs agences leurs avis sur l’authenticité des documents écrits rendus publics supposés attribués au Majestic 12. L’origine de ces documents est inconnue, mais il se peut qu’ils représentent des documents gouvernementaux très classifiés expliquant les procédures relatives aux objets volants non-identifiés, et le crash d’un appareil en forme de disque près de Roswell, Nouveau-Mexique, en juillet 1947.

Depuis le début des années 1980, plusieurs agences fédérales ont été contactées par des personnes non-gouvernementales et on leur a demandé de déterminer l’authenticité des documents Majestic. Les agences contactées incluent :

- Le Bureau de sécurité des informations classifiées (responsable de la surveillance et de la sécurité des programmes d’informations de toutes agences de la branche exécutive qui créent ou conservent des informations relevant de la sécurité nationale). - Le Bureau du Secrétaire de l’Armée de l’Air, adjoint pour la sécurité et le programme d’enquêtes, ainsi que les Archives nationales.

Ces agences ont répondu aux demandes de renseignements en affirmant que leur connaissance du Majestic 12 a été limité aux documents qui leur ont été soumis par des personnes non-gouvernementales. Ces agences ont ajouté qu’elles ne trouvent pas de documents relatifs au Majestic 12 dans leurs archives. D’ailleurs, la conclusion définitive des agences concernant l’authenticité du Majestic 12 est une seule et même réponse : il n’y a pas de preuves que les documents écrits Majestic 12 constituent des documents réels créés originellement par la branche exécutive. D’après le Bureau de sécurité des informations classifiées et l’armée de l’Air, les documents Majestic 12 ne doivent pas être traités comme s’ils avaient été réellement classifiés par une agence de la branche exécutive ou du gouvernement officiel. Nous n’avons rien trouvé dans notre travail qui puisse contredire les conclusions délivrées par ces agences.

Nous avons aussi demandé aux archivistes des bibliothèques de Harry Truman et Dwight Eisenhower, leur avis sur l’authenticité des documents Majestic 12. Les archivistes nous ont dit qu’ils ont reçu plusieurs demandes de renseignement du public à propos de ces documents ces dernières années. Dans leurs recherches de documents liés à cette affaire, parmi les documents de renseignement classifiés et ceux du NSC, ils n’ont rien trouvé concernant les documents Majestic 12 ou d’autres références s’y rapportant.

Pour finir, durant notre étude des documents disponibles auprès du public par le bureau de Sécurité des informations classifiées du fait des demandes en vertu de la loi sur la liberté de l’information, nous sommes tombés sur un message daté du 17 novembre 1980. Le message, qui semble provenir de l’Air Force’s office of Strategic intelligence (AFOSI), [organe de renseignement de l’armée de l’Air, particulièrement occupé de contre-espionnage], contient les mots « MJ Douze ». Nous avons contacté l’AFOSI afin de déterminer l’authenticité du message de 1980. Dans une lettre daté du 28 février 1995, le commandant de l’AFOSI nous apprenait qu’une recherche dans les archives de ce service, n’avaient pas permis de divulguer une copie officielle du message. Le commandant nous a également confirmé qu’en relation avec une précédente demande en vertu de la loi sur la liberté de l’information, l’AFOSI a été contacté pour déterminer l’authenticité des documents MJ. À cette date, l’AFOSI conclue que ces messages sont faux.

Avec nos sentiments les meilleurs, Richard DAVIS, Directeur, Analyste de Sécurité nationale ».

En conclusion, l’AFOSI ne nia pas la réalité du message contenant les mots « MJ12 » mais prétendit n’en plus trouver la trace, affirmant par ailleurs que les documents MJ étaient des faux. À défaut d’imputer à la duplicité de ces officines gouvernementales, les doutes fondés des enquêteurs, il demeure certain que la dialectique de communication de ces agences fut sans nul doute une raison pour ne pas se contenter de ces explications maladroites et l’on peut finalement, sans risque d’être taxé de paranoïa, s’interroger sur la destruction des archives de la base de Roswell, celles de la police militaire stationnée à Roswell au moment des faits et le refus de l’Air Force de fournir au GAO la copie du rapport mentionnant les mots « MJ 12 ». Ainsi, si l’on peut légitimement douter de la validité de ces documents, ce que n’a pas manqué de faire la plupart des ufologues, il y a lieu d’être plus prudent concernant la non-existence de ce groupe. En outre, si les documents MJ procèdent d’une opération de désinformation, ses effets furent particulièrement opérants. Au fil des émissions à sensation sur le sujet et parce que Shandera et Moore ne mirent jamais leurs convictions en doute, ces ufologues ont été très largement ostracisés jusque dans le milieu ufologique lui-même. Par ailleurs, ces documents ont servi de preuve à un prétendu complot entre les extraterrestres et le gouvernement, entre les mains d’ « ufologues » comme John Lear et William Cooper, mort en 2001 sous les balles d’une fusillade, contribuant de la sorte à la postérité de mouvements extrémistes et délirants tel que celui dit de la « Lunatic fringe ».

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19 juin 2014

Derrière le masque Gandhi L'apôtre de la non-violence a fait 500'000 morts

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Gandhi derrière le masque 
L'apôtre de la non-violence a fait 500'000 morts

Auteur: Alain Daniélou


Tous les hommes politiques présentés comme des saints par les médias doivent être regardés avec beaucoup de suspicion. Qu’ils se nomment Barack Obama, l'Abbé Pierre, Che Guevara ou Sœur Thérésa, leur image est presque systématiquement utilisée par les forces noires comme un panneau de lumière cachant de sombres intérêts. En guise d'exemple, nous publions un extrait du livre d’Alain Daniélou, Histoire de l’Inde, concernant Ghandi, «l’apôtre de la non-violence» qui a été responsable de la mort d’un demi-million d’hindous.

Mohan bas Gandhi (1869-1948) était le fils d’un fonctionnaire au service d’un petit prince du Kathiawar. Il fit en Angleterre des études d’avocat et devint membre du barreau de Londres. C’est vêtu de la redingote noire et du col rigide de l’avocat anglais qu’il se rendit en Afrique du Sud pour diriger un mouvement qui réclamait l’égalité des droits pour les Indiens et les Européens.
Après un bref séjour dans les prisons de Pretoria, il arriva en Inde en 1914 et commença aussitôt à jouer un rôle dans l’effervescence politique qui régnait durant la Première Guerre mondiale.

Gandhi s’empara de la direction du parti du Congrès et en éloigna les grands leaders modérés qu’avaient été Tilak, Lajpat Rai, S.N. Banerjee et Gokhale.
Peu à peu, Gandhi changea sa personnalité et son apparence. Le jeune avocat révolutionnaire anglicisé, venu d’Afrique du Sud, se mua en moine indien, demi-nu et vêtu de bure. On prétendit que cette transformation lui avait été suggérée par le leader musulman Mohammed Ali Jinnah.
L’aspect de prophète de Gandhi impressionna les Occidentaux. Ses compagnons lui donnèrent le titre de Mahatma («grande âme»). Toutefois, il ne convainquit jamais les élites du monde traditionnel hindou qui le considéraient comme un imposteur et un dangereux politicien.
L’usage fait par Gandhi de la théorie de la non-violence comme arme politique n’a rien à voir avec la tradition hindoue. La non violence est une technique de perfectionnement strictement individuelle et qui ne relève que du plan spirituel. Elle ne peut servir à des fins politiques, ni avoir de place dans le gouvernement des États. Toute la Baghavad Gita, livre sacré majeur de l’Inde, est une leçon donnée à Arjuna qui voulait renoncer à la violence et manquer ainsi à son devoir de prince et de soldat.
Gandhi a en fait été – grâce à ses théories sur la non-violence – l’instrument de massacres à une échelle presque sans précédent historique, qui ont précédé et suivi la division de l’Inde.

L’hindouisme n’est pas une religion, dans le sens que l’on donne généralement à ce mot. Il n’y a pas, dans l’hindouisme, de prophètes qui aient établi une fois pour toutes des «vérités» qu’il faut croire ou des règles de conduite inaltérables et communes pour tous. L’hindouisme est une philosophie, un mode de pensée, qui pénètre et coordonne tous les aspects de la vie et cherche à l’harmoniser avec un monde infiniment diversifié, dont les causes profondes sont hors de portée de l’esprit humain. Même dans les classes sociales les moins évoluées, la tolérance apparaît comme une vertu fondamentale. Chacun cherche à faire de son mieux, selon ses capacités, mais nul ne peut savoir quel est le chemin qu’un autre doit suivre pour se rapprocher du divin, pour réaliser ce qu’il est car tous les êtres sont différents. Et nul ne peut juger des intentions mystérieuses des dieux qui font naître l’un riche, beau, intelligent, robuste, l’autre pauvre, laid, stupide ou malade.
La violence, l’assurance excessive, le dogmatisme irréfléchi, le prosélytisme des musulmans et des chrétiens, semblent aux hindous des attitudes naïves et impies.
Quel fou peut se prétendre informé des intentions secrètes des dieux? C’est pourquoi les conversions des hindous à l’Islam et au Christianisme ont été rares et n’ont eu lieu que dans les classes sociales inférieures; et cela par la force, par intérêt, ou par nécessité de survie. Ces conversions restent le plus souvent superficielles. Il existe de très nombreux musulmans dans l’Inde qui sont végétariens, observent les règles de purification hindoues, vénèrent Kali la déesse de la mort et chantent les amours de Krishna.

Les manœuvres politiques qui permirent de soulever l’une contre l’autre ces deux communautés, – pourtant très imbriquées depuis des siècles – avaient été préparées de longue date dans le but de conduire à une division de l’Inde, avec l’idée de permettre à l’Angleterre de maintenir son contrôle sur le continent indien, lorsque l’indépendance paraîtrait inévitable.
Prenant prétexte des émeutes qu’il avait lui-même organisées, le gouvernement britannique proposa une division de l’Inde, entre le Pakistan musulman et une Inde hindoue (Bharat). Ce qui fut accepté par Gandhi et par le Congrès, malgré l’opposition de tous les éléments modérés, hindous et musulmans.
En mettant sur le même plan l’Inde et le Pakistan, l’Angleterre divisait le continent entre un État laïc multireligieux, où les droits des citoyens étaient définis par des lois modernes, et un État théocratique – le Pakistan – où seule était admise la loi coranique qui ne reconnaît aucun droit aux non-musulmans et fait de leur meurtre une vertu. Les partis hindous ne furent jamais consultés par Nehru – qui était agnostique – et Gandhi, cet illuminé réformiste qui ne représentait en rien la population hindoue.
Le déguisement de Gandhi en saint homme fut un masque habilement utilisé pour faire croire au monde qu’il représentait les hindous.

Suite à la partition, plus de la moitié des musulmans restèrent en Inde; en revanche, les hindous du Pakistan furent spoliés, massacrés, privés de droits civiques et de protection. Les survivants quittèrent en masse leurs maisons, leurs terres, leurs villages, dans un exode qui fut l’un des plus effarants des temps modernes. Des millions de malheureux prirent refuge dans une Inde déjà surpeuplée. Beaucoup moururent de faim et de misère dans des camps improvisés ou dans les rues de Calcutta, transformées en cour des miracles. Les massacres et les transferts de population qui suivirent la partition furent effrayants. Une estimation modérée fait état de 500'000 morts et de dix millions de personnes déplacées.
Quand la tension créée par les réfugiés menaça de provoquer un massacre des musulmans restés en Inde, Gandhi – qui était parti pour essayer de calmer l’agitation du Bengale – revint à Delhi pour défendre les musulmans menacés de représailles et pour exiger le paiement au Pakistan d’une partie des réserves monétaires.
Le 20 janvier 1948, il fut assassiné alors qu’il assistait à une réunion de prières à New Delhi. La raison principale de cet assassinat, par un jeune brahmane appartenant au parti orthodoxe, était l’inquiétude causée par l’hostilité de Gandhi envers les institutions traditionnelles des hindous. Cette hostilité était considérée comme beaucoup plus pernicieuse que l’indifférence des Anglais.
Une autre raison était l’attitude trop conciliante de Gandhi envers les musulmans, malgré les massacres terribles qui avaient précédé et suivi la partition de l’Inde. Gandhi recommandait de gagner la coopération par l’amour et le désintéressement, alors que les musulmans de l’Inde et du Pakistan chantaient partout: «Nous avons eu le Pakistan pour une chanson, Delhi nous coûtera une bataille». Toute publication du plaidoyer que prononça le meurtrier pour expliquer son geste a été interdite en Inde.

http://www.crom.be/fr/documents/gandhi-derriere-le-masque

9 juin 2014

le 6 juin 1964, Charles de Gaulle refusait de commémorer "le débarquement des anglo-saxons"

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"Depuis plusieurs jours, tous les médias de grande diffusion de notre pays consacrent une place considérable à la commémoration du 70e anniversaire du débarquement anglo-américain en Normandie le 6 juin 2014. Cet événement n’est pas seulement l’occasion d’une intense activité diplomatique ; il est également utilisé comme une commémoration omniprésente et sans nuance à la gloire des Alliés, et plus spécialement des Américains.

Bien entendu, nul n’ignore que des milliers de soldats sont morts lors du débarquement de Normandie, essentiellement américains, anglais et canadiens, mais aussi, en plus petit nombre, quelques autres nationalités dont quelques dizaines de soldats français. Ils ont joué un rôle décisif dans la fin de l’Occupation allemande en France et ils méritent à ce titre toute notre gratitude et tout notre respect.

 

Mais il n’échappe à personne que cet éloge permanent des États-Unis revêt une dimension politique et géopolitique marquée. Affirmer à longueur d’antenne que les États-Unis ont « libéré la France » en 1944 ne peut avoir pour effet que d’assourdir, et même de faire taire, les critiques contre la politique actuelle de Washington. La commémoration avec un tel faste du débarquement du 6 juin 1944 ne peut inciter au contraire qu’à soutenir l’actuelle politique américaine tous azimuts, qu’il s’agisse par exemple des événements en Ukraine ou des négociations sur le Grand Marché Transatlantique.

C’est pourquoi cette opération à grand spectacle – dont les enjeux implicites en terme de propagande sont énormes – doit être examinée sans complaisance. Et nous avons d’autant plus de raisons d’être vigilants que, lorsque Charles de Gaulle était à l’Élysée, il ne fut jamais question de célébrer en grandes pompes cette date du 6 juin.

Le Chef de la France Libre avait même obstinément refusé de commémorer le 20e anniversaire du débarquement, le 6 juin 1964, ce qui avait contraint le président américain Johnson et le Premier ministre britannique Harold Wilson à renoncer à leur venue en France.

En fait, l’Homme du 18 juin refusa toujours de commémorer cette date, que ce fût son 5e, son 10e, son 15e ou son 20e anniversaire. Et s’il avait une position aussi intransigeante – ce qui est a priori incompréhensible pour les jeunes générations – c’est qu’il avait de bien solides raisons pour cela.

Puisque personne, ni sur la scène politique ni dans les médias, n’explique cette attitude, c’est une raison supplémentaire pour que l’UPR le fasse.

Pourquoi Charles de Gaulle refusa-t-il toujours de commémorer le débarquement du 6 juin ?

En réalité, nous savons très exactement les raisons pour lesquelles Charles de Gaulle refusait systématiquement de commémorer le débarquement de Normandie le 6 juin. Il s’en est longuement expliqué devant Alain Peyrefitte, en 1963 et en 1964, alors que celui-ci était son ministre de l’information et qu’il le voyait en tête-à-tête plusieurs fois par semaine.

Il suffit donc de relire les passages pertinents de l’ouvrage de Peyrefitte C’était de Gaulle, tome 2, paru en 1997.

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19 mai 2014

Bilderberg : Fuite de documents : Plan pour une monnaie unique Européenne dès 1955.

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L’Elite mondialiste avait discuté d’un agenda pour la création de l’Euro près de 40 ans avant que cela ne soit codifié par le Traité de Maastricht en 1992.

Une fuite de documents de la conférence du groupe Bilderberg de 1955 qui s’est tenue en Allemagne, révèle qu’il a été discuté d’un agenda pour créer l’UE et sa monnaie unique l’Euro, des décennies avant que ces plans ne soient présentés, contredisant les affirmations des démystificateurs qui affirment que le groupe Bilderberg n’a aucune influence sur les événements mondiaux.

Une fuite de documents de la rencontre qui a eu lieu les 23-25 Septembre 1955, au Grand Hotel Sonnenbichi à Garmisch-Partenkirchen en Allemagne de l’Ouest, a permis qu’ils soient publiés par le site Wikileaks hier.

Comme nous l’avions d’abord rapporté en 2003, une équipe enquêtant pour la BBC avait été autorisée à avoir accès aux données de Bilderberg confirmant que l’UE et l’Euro ont été les créations intellectuelles de Bilderberg. Ils ont probablement lu les mêmes documents publiés par Wikileaks.

Ce n’est que le mois dernier que le vicomte de Belgique, actuel président du groupe Bilderberg, Etienne Davignon, s’est vanté que Bilderberg avaient aidé à créer l’Euro en introduisant l’agenda politique pour une monnaie unique au début des années 90.

Cependant, les documents montrent que l’agenda pour créer un marché commun européen et une monnaie unique remonte à plusieurs décennies plus tôt.

Le sommaire du rapport des discussions de la rencontre de 1955 parle d’un  » besoin pressant de rassembler le peuple allemand et les autres peuples d’Europe dans un marché commun. »

Le document donne un aperçu du plan  » pour arriver le plus rapidement possible à un degré d’intégration des plus élevés, à commencer par un marché commun européen. »

Juste deux ans plus tard, en 1957, la première incarnation de la Communauté Economique Européenne (CEE) était née, qui créait un marché unique entre la Belgique, la France, l’Allemagne, l’Italie; le Luxembourg, et les Pays Bas. La CEE s’est graduellement élargie les décennies suivantes jusqu’à devenir la Communauté européenne, l’un des trois piliers de l’Union européenne, officiellement créée en 1993.

Le sommaire du texte de Bilderberg 1955, parle brièvement d’un consensus comme quoi  » il serait peut être mieux de procéder au développement d’un marché commun par traité plutôt que par la création de nouvelles institutions supérieures ». La CEE a été effectivement créée via le Traité de Rome, signé le 25 Mars 1957.

Le même processus continue d’être suivi jusqu’à maintenant avec le Traité de Lisbonne, qui livre de vastes pans de souveraineté nationale à l’UE avec l’accord des présidents et premiers ministres des pays européens, plutôt que via la création arbitraire de nouvelles institutions, méthode qui révèlerait le fait que la création d’un super état fédéral de l’UE est de par sa nature même totalitaire.

Malgré cela, les démystificateurs essaieront encore d’affirmer que l’idée d’un marché commun européen était dans l’air dans les années 50 et que Bilderberg ne faisaient que discuter des idées politiques contemporaines.

Cependant, on ne peut pas dire la même chose de la monnaie unique européenne, qui n’a même pas été introduite sous forme de billets et pièces avant Janvier 2002, ayant d’abord été codifiée dans le Traité de Maastricht de 1992. Les documents prouvent que les membres de Bilderberg avaient poussé à son introduction quelque 40 ans plus tôt.

Le sommaire du document stipule que « le porte parole européen a exprimé son inquiétude sur le besoin d’une monnaie unique, et a indiqué que de son point de vue cela impliquerait nécessairement la création d’une autorité politique centrale ».

Effectivement, la monnaie unique européenne, l’Euro, n’a été introduite qu’après la création d’une autorité politique centrale, l’Union européenne.

Le document insiste également sur « la nécessité d’amener le peuple allemand dans un marché commun européen aussi rapidement que possible » ajoutant que le futur était en danger sans une « Europe Unie ».

Nous apprenons également que  » un participant des US a confirmé que le soutien enthousiaste des Etats Unis pour l’idée d’intégration n’avait pas faibli, bien qu’il y ait eu en Amérique une hésitation considérable sur comment manifester cette enthousiasme. Un autre participant des US a pressé ses collègues européens d’aller de l’avant avec l’unification de l’Europe en s’attachant moins aux considérations idéologiques, et, par dessus tout, en étant concret et en oeuvrant rapidement ».

Malgré une pléthore d’exemples qui s’appuient effectivement sur des preuves de l’implication de l’agenda Bilderberg dans les politiques actuelles et les développements géopolitiques sur la scène mondiale, les démystificateurs des médias de l’establishment continuent de dénigrer des chercheurs indépendants qui osent affirmer que les rencontres secrètes de 150 des personnes les plus influentes et les plus puissantes qui discutent du futur de la planète, ne seraient que des ateliers de débats informels, dénonçant de telles affirmations comme étant des  » théories du complot ».

Pourtant, la « théorie du complot » la plus risible jamais émise c’est bien celle de ces démystificateurs suggérant stupidement qu’un évènement qui attire des titans des gouvernements, de l’industrie, des banques, des affaires et du monde universitaire, où les problèmes mondiaux les plus urgents de l’actualité sont discutés, tout ceci dissimulé derrière un black out médiatique conjointement accepté, n’a rien à voir avec les évènements futurs mondiaux.

L’agenda Bilderberg 2009 a déjà fait surface avant la rencontre du 14-17 Mai, à Vouliagmen en Grèce. Selon le journaliste d’investigation Daniel Estulin, l’un des objectifs de Bilderberg c’est de dénigrer les activistes et politiciens qui s’opposent au Traité de Lisbonne en plantant dans les médias des histoires désobligeantes afin de réduire au silence ceux qui s’opposent à un super état fédéral de l’UE que le groupe Bilderberg a minutieusement cultivé depuis ses premières rencontres dans les années 50, un fait, prouvé par les propres documents internes de Bilderberg, et non pas une théorie du complot.

Paul Joseph Warson

Source : https://wikileaks.org/wiki/Bilderberg_meeting_report_Garmisch-Patenkirchen,_1955

http://www.wikibusterz.com/bilderberg-fuite-de-documents-plan-pour-une-monnaie-unique-europeenne-des-1955/

7 mai 2014

La révolution tant attendue pour l’énergie libre ? viendra de l'ardeche

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Le 7 avril 2014, à Joyeuse, en Ardèche, le chercheur indépendant Jean-Christophe dévoile son réacteur à résonance, au rendement surunitaire (116%). Il le met à disposition du public en licence libre de droit. La tant attendue pour l’énergie libre ?

 

Si le de Mr Dumas tient ses promesses, nous sommes à la veille d’une nouvelle ère. Outre la capacité de produire de l’énergie à moindre , on peut faire confiance aux chercheurs (si on les laisse faire), pour trouver des applications auxquelles nous ne pensons même pas encore, comme toutes les inventions antérieures. Souhaitons que cette invention, qui fonctionne déjà, se développe.

 

L’ENERGIE LIBRE DE TESLA

 

EXPROPRIEE PAR LES MILITAIRES

 http://www.reso-off.fr/energie-libre-de-tesla

 

Je resterai bref sur l’énorme scandale écœurant qu’a provoqué l’œuvre de Nikola Tesla parce qu’il suffit d’aller sur Internet pour connaître toute cette sombre histoire. Nikola Tesla fut un ingénieur de génie, né en 1856 en Croatie. Il a fait une formidable carrière. Ingénieur chef chez Edison, il a inventé ensuite la radio chez Marconi, puis la technique du radar et le rayon laser. Le problème est que ses brevets les plus secrets ont été mis au service du complexe militaro-politique américain. Ils ont servi en particulier à la réalisation actuelle d’un système ultrasecret et effrayant, le système HAARP, autrement appelé « bouclier anti-missiles ». (voir chapitre 11-4 Le très sombre complexe international politico-militaire). Ce système a été mis au point avec des budgets astronomiques secrets par la défense des USA contre un ennemi potentiel, lanceur de missiles provenant de la stratosphère. Donc on pourrait dire un bouclier pour se protéger d’un ennemi qui n’existe pas officiellement. Personne ne s’en inquiète !

 

Le grand ingénieur qui s’est fait volé tous ses brevets
A l’origine, avant HAARP, l’un des premiers brevets de Nikola Tesla s’appelait Energie gratuite ou libre. Sa découverte provenait de sa constatation basique que l’espace présent entre les atomes de matière n’est pas vide mais rempli d’énergie. Selon Tesla le vide absolu naturel n’existe jamais. La concentration d’énergie entre les atomes de la matière est extrêmement élevée, de l’ordre de 5000 kw /heure par cm3 ; elle est par contre difficilement perceptible et pour la mettre à jour, il faut la faire traverser par des champs électromagnétiques très élevés. Nikola Tesla prétendait que cette énergie naturelle s’appelait traditionnellement ‘‘ Akasha».

 

Elle était connue des Anciens qui l’utilisaient. Il en avait fait la preuve expérimentale dans ses laboratoires. Il réussit même à faire des générateurs fonctionnant selon ce principe et il réussit à faire ainsi fonctionner des moteurs automobiles mais aussi à provoquer des vibrations terrestres comparables à des séismes et des vibrations pouvant provoquer des tempêtes modifiant le climat. Pour transmettre l’énergie, il inventa un système qui dispensait de l’utilisation de câbles et de lignes à haute tension. Il maîtrisait le transfert d’énergie à distance sans perte de puissance, contrairement à l’utilisation des réseaux filaires. Il utilisa donc l’Akasha à des fins industrielles. En conséquence, d’après lui, il était impossible de manquer d’énergie. Il suffisait de savoir exploiter l’énergie cosmique universelle contenue dans l’Akasha. Pour faire une comparaison, selon lui, c’est comme si quelqu’un se trouvant assis au fond d’une piscine une tasse à la main, se serait demandé comment la remplir d’eau.

 

La physique officielle tourne l’œuvre de Tesla en ridicule.
Plus grave encore, il n’est pas surprenant que les monopoles industriels de l’énergie aient acheté pour une misère de dollars tous ses brevets et les aient mis au secret le plus absolu. Secret très relatif puisque secrètement aussi des laboratoires militaires américains et russes ont étudié le travail de Tesla de manière intensive depuis les années 50 pour développer des armes sophistiquées dont le système HAARP (voir chapitre 11-4 Le très sombre complexe international politico-militaire). Vous découvrirez plus loin, dans ce livre, la capacité militaire qu’ont acquise les grandes puissances avec une telle arme qui remise la bombe atomique au musée. En parlant à certains qui travaillaient dans l’industrie militaire, j’ai eu la surprise de voir qu’ils considéraient HAARP avec un certain intérêt positif. Selon leur logique, plus certaines puissances avaient un armement fatal, plus la guerre serait évitée et la paix maintenue. La paix sous haute tension, est-ce vraiment la paix ? C’était la logique des Romains « Qui veut la paix, prépare la guerre ». Mais les Romains considéraient aussi que tous ceux qui n’étaient pas de leur civilisation étaient des Barbares. Donc j’étais étonné que certains proches des milieux militaires puissent voir HAARP favorablement. Vous aurez plus d’infos au chapitre 11-4. De leur côté ils trouvaient déplacé que quelqu’un qui n’était pas du tout du milieu puisse chercher des informations qui ne concernaient pas le grand public.

 

L’histoire de l’énergie gratuite ou libre
Avant la 2ème guerre mondiale, la compagnie viennoise Kertl construisait les turbines à vortex électromagnétique de l’ingénieur Victor SCHAUDERGER. Il fut, avec l’américain Nikola Tesla, le premier à construire une turbine produisant de l’énergie gratuite. En 1941 les ingénieurs : Von Neumann, Edward Cameron, Alhed Bielek, construisirent un complexe souterrain caché qui était situé prés de San Francisco. Il y avait là une machine à fabriquer de l’énergie gratuite et qui était opérationnelle.

 

Elle produisait une puissance de 3,15 Mégawatts. En 1942 cette expérience fut interdite pour cause de non-conformité à la législation. La machine fut détruite. Les autorités américaines déclarèrent officiellement que la seule source d’énergie du futur serait nucléaire. En 1950, l’ingénieur John R. Searl, employé par la compagnie Midland Electricity Board, a mis au point un générateur selon le principe du vortex électromagnétique. Une fois que la machine atteignait un seuil de potentiel, la quantité d’énergie produite dépassait considérablement l’énergie consommée.

D’autres ingénieurs tels Michael Faraday, Bruce De Palma, Adam Trombly arrivèrent tous aux mêmes résultats très favorables avec d’autres systèmes du même type. En 1985 le docteur Hastings, physicien en chef de la compagnie Sperry Univac Corporation, fit une communication scientifique disant que le 19 Septembre 1985 il avait testé l’appareil mis au point par l’ingénieur Joseph Newman. Son rendement était phénoménal. Il a été mesuré jusqu’à 1400% de l’énergie consommée. Le 21 Mars 1986 cette information parut dans le journal : << The Guardian>>.

 

En 1987 ce générateur fut installé à la place du moteur à essence d’un véhicule de course .Le pilote enregistra une surpuissance très avantageuse. Un peu auparavant en 1980, le docteur bien connu Wilhelm Reich, émigré aux USA, fut arrêté pour avoir développé sans licence sa machine dite << à énergie libre >>. Il a pu cependant continuer ses essais en prison et sous la protection bienveillante de la CIA.

En Juin 1992, l’ingénieur Jurgen Sievers député et directeur de la compagnie allemande Becocraft est arrêté aussi. Sa société est dissoute pour avoir commercialisé sans licence une autre machine dite << à énergie gratuite >>. Tous les ingénieurs cités ici ont vu leur carrière brisée pour ne pas avoir respecté le dictat des autorités dirigeant la science internationale. Bien loin de servir l’humanité, ces autorités garantissent la suprématie des multinationales industrielles.

 

Ces dernières font et défont les gouvernements, tout en polluant dangereusement la planète. Elles procèdent en interne à des recherches secrètes et privilégient les énergies dont le rendement financier est le plus élevé. Elles interdisent les recherches sur l’énergie gratuite.

 

Elles tyrannisent les chercheurs qui se hasarderaient à le faire. Elles influencent les facultés à cacher la vérité sur ce type d’énergie naturelle et libre. Si celle-ci était mondialement reconnue ce serait la ruine des grandes familles des actionnaires de l’industrie du pétrole comme du nucléaire. Et pourtant le développement de cette énergie serait la solution parfaite à une grande partie des problèmes énergétiques dont souffre aujourd’hui notre monde !

 

 


Rencontre d'un génie inconnu
Nikola Tesla (1856-1943)

 

 

Préface

Un sondage effectué parmi les élèves du premier cycle de l’INSA de Lyon, donnèrent des résultats surprenants : sur les 87 réponses que j’ai reçues, environ 4 étudiants étaient capables de me fournir des informations pertinentes sur Nikola Tesla, ce qui représente 5 % des étudiants interrogés. C’est très peu vu l’environnement scientifique dans lequel l’étude a été faite.

Cela est d’autant plus étonnant que Tesla a donné sa vie à la science, restant célibataire toute sa vie pour se consacrer pleinement à sa passion : l’invention. Au cours de sa vie, il a inventé de très nombreuses machines, dont certaines sont révolutionnaires, capables de bouleverser le monde entier. Personne n’en a jamais entendu parler.

C’est pourquoi nous avons décidé de choisir ce thème pour notre exposé. Il nous a semblé primordial dans une carrière de scientifique de connaître l’existence de cet homme remarquable ainsi que sa carrière qui fut semée d’embûches. Il a été à l’initiative de très nombreux progrès dans les sciences et techniques. Beaucoup de ses créations sont utilisées aujourd’hui quotidiennement sans que personne ne se pose la question de savoir quel a été le scientifique qui leur a permis d’avoir cette qualité de vie aujourd’hui. Le but de notre exposé est de mieux faire connaître ce génie méconnu, ainsi que ses inventions ingénieuses.

Nous axerons notre dossier sur la vie de Tesla et ses inventions ainsi que ses applications, et non pas sur les aspects techniques de toutes ses inventions. Il nous faudrait alors bien plus de temps et d’énergie pour comprendre dans les détails toutes ses inventions. Aujourd’hui encore, des scientifiques reprennent les travaux de Tesla. Pour toutes les inventions nommées dans ce dossier, il nous est possible d’en fournir une explication scientifique même si elles ne figurent pas dans le dossier. Nous tenons à le préciser car il est possible, à un premier égard, de supposer que ces machines contredisent les lois de la physique.

Pour finir, le débat nous aidera à réfléchir sur sa méconnaissance et sur la réaction de la société – publique ou scientifique – face aux nouvelles découvertes et inventions.

14 avril 2014

Révélations sur le château de Chambord

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Nous sommes devant la façade principale d'un vaisseau de conte de fées ; il étale avec force et raffinement la blancheur de sa pierre. On appelle ces grands monuments des « vaisseaux » mais saviez-vous que l'on a répertorié sur les murs 27 graffiti de bateau ? La façade du château de Chambord présente 7 arches décoratives qui émergent de l'eau des douves. Cela suggère l'idée d'un pont sur lequel serait bâti le palais. Un peu comme à Chenonceaux mais juste à l'état de suggestion. Embarquons sur ce grand navire pour un voyage inhabituel plein de surprises !       Le château de Chambord est le plus grand des châteaux de la Loire. Il est l'œuvre du roi François 1er qui en a soutenu la création tout au long de son règne. Posé en pleine nature, il n'a jamais été vraiment utile ; il est un pur symbole de la Monarchie française … ainsi qu'une pièce de puzzle.
Voici le plan du donjon de Chambord. Une observation attentive de sa forme carrée révèle une infrastructure, une grille rationnalisée de 25 cases. Il est judicieux de distribuer l'alphabet sur cette grille, à raison d'une lettre par case. Avec notre alphabet de 26 lettres, une est en trop. On supprime le J : dans les textes anciens les lettres I et J sont représentées par le même caractère.

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       Cette grille de lettres est en fait une clef majeure qui véhicule bien des informations ! On la retrouve dans les cathédrales de Reims et Beauvais. 

 

 

 

 

 

 

chambord-huitMoyenne Interprétation confirmée par les lettres NAVEZ qui occupent comme un sceau le milieu et les coins du carré. Le mot « nave », ici dans une forme plurielle, désignait un « navire, un bateau ».

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Les lettres NAVIREZ occupent des emplacements symétriques ; ce mot peut se comprendre de deux façons. Il indique une forme conjuguée du vieux verbe « navirer », c'est-à-dire « naviguer » ; cette forme impérative nous dit « Navirez ! », c'est-à-dire « Naviguez ! » Il est possible de comprendre ce « Navirez » comme le pluriel de « Navire ». On peut en inférer que Chambord est dans une relation secrète avec l'idée de « navire ».

 

     


 

 

      

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Le mot NAUF, synonyme de « nef, vaisseau » a été inventé à la même époque où des architectes commençaient à travailler sur le projet Chambord. Ce mot « nauf », lui aussi,  s'écrit en symétrie sur le donjon !

Un navire? Comme c'est étrange...

Comment ne pas penser que certains mots de la langue française ont été ajustés pour coïncider avec un certain chiffrage de l'architecture ? Il n'était pas impossible au Roi de France de faire travailler de concert des architectes, des linguistes et des mathématiciens, pour donner au Code son amplitude maximale. Ainsi, les chiffres et les lettres furent-elles mises à contribution pour déposer des messages codés, à la fois simples et complexes, et à plusieurs niveaux.  

 

 

 

       Qui fut l'architecte du château de Chambord ? On ne conserve aucun document précis pour le certifier : certains croquis de Léonard de Vinci donnent néanmoins à penser que c'est lui qui dessina les grandes lignes du projet. François Ier avait invité Léonard à venir s'installer en France ; les deux hommes sympathisèrent,  passant de longues heures à philosopher ensemble. En tant que « Premier peintre, architecte et mécanicien du roi », il serait logique que le maître italien ait participé au projet majeur du règne.

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       Léonard de Vinci est cet homme étonnant qui, en plus d'être un peintre majeur de l'Histoire, a laissé des milliers de feuillets sur lesquels il a dessiné et commenté ses idées scientifiques et techniques, toutes plus surprenantes les unes que les autres. Un de ses grands centres d'intérêt concernait la création d'une machine volante. Alors que le moteur n'avait pas encore été inventé, lui dessinait déjà une hélice, qui annonçait le principe de l'hélicoptère ! Il semblait savoir que l'Homme s'élancerait un jour dans l'espace… comme s'il avait de bonnes raisons de le croire, par exemple un accès à une science cachée. Le secret des Rois de France serait cette connaissance d'un dépôt que nous aurait légué une haute civilisation antique. Imaginons un Léonard bien différent de son image de génie universel : dans une salle souterraine inconnue, il est penché sur des tablettes de pierres antiques. Il cherche à déchiffrer ces hiéroglyphes inconnus ; il recopie sur son carnet ce qu'il comprend de ces dessins énigmatiques. Il transmet au futur une partie du legs de l'Atlantide !    

 

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       Le morceau de bravoure du château de Chambord est un escalier de 9 mètres de diamètre situé au centre du donjon. Il comporte deux vis enroulées ensemble, ce qui a fait dire à certains que deux personnes pouvaient l'emprunter sans se croiser. Notons que Léonard de Vinci nous a laissé des croquis d'escaliers fantastiques entremêlant simultanément plusieurs volées.

Le plafond circulaire qui surmonte cet escalier prodigieux affiche des caissons, en alternance des « F » et des Salamandres. On remarque l'étrangeté des « F » qui sont tous écrits à l'envers, comme en hommage à Léonard qui utilisait une écriture inversée dans ses carnets. 

  

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Imitons le grand Léonard et soyons audacieux. Le double escalier de Chambord ressemble à la double hélice de la molécule d'ADN ! (Image Wikipedia). L'ADN est présent dans le noyau de toutes nos cellules ; il sert de support à l'information génétique et à l'hérédité. Les deux brins de la molécule d'ADN enroulés en double hélices sont donc un excellent symbole de la connaissance du Vivant.

 

       Deux raccords chiffrés semblent avoir été déposés par les concepteurs de l'escalier. Du rez-de-chaussée à la terrasse, chacun des deux escaliers comporte 146 marches. Les scientifiques nous apprennent que l'ADN possède quatre bases azotées (adénine, guanine, cytosine, thymine) tandis qu'à chaque tour de spirale, il déploie 10,5 paires de bases. Mathématiquement, on trouve que : 146 x 10,5 = 1533. Il existait justement la date de 1533 gravée sur un chapiteau de la tour-lanterne, au-dessus de l'escalier.

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       Si l'on observe le dessin de la « vis » d'un escalier en colimaçon, on constate que la forme n'est pas loin de l'hélice dessinée par Léonard. Imaginons un mouvement rotatif autour du noyau central : les marches prennent alors appui sur l'air et génèrent une force ascendante ! Les MARCHES ? Il amusant de constater que le mot ARCHE désignait en ancien français un « navire, un vaisseau ». Amusant et intrigant, car peut-être le mot « marche » a-t-il été inventé et ajusté pour « coller » avec une certaine codification ? Hypothèse pas si folle qu'il y paraît ; nous aurons l'occasion de revenir sur cette idée. En résumé, un escalier en colimaçon évoque facilement une hélice d'engin volant.

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À noter d'ailleurs que certains escaliers de Chambord, dont celui de la tour-lanterne, présente sur leur noyau une ornementation suggestive. Une sorte de corde, ou de liane, semble enroulée sur le pilier central, comme pour suggérer un effet de torsion. Comme si l'escalier avait été contraint et qu'il allait un jour se détendre en provoquant une rotation de plus en plus rapide ! Et hop, décollage ! Le mot LIANE est en plus l'anagramme du mot ALIEN, vieux mot de la langue française, qui nommait : « ce qui est étranger, ce qui vient d'un autre lieu. » On parle bien ici d'une technicité du vol connue de Léonard de Vinci, qui en aurait codé des bribes à Chambord. Dans cette éventualité, il est évident que cette science sophistiquée venait d'ailleurs, d'une ALIÈNE, une « terre étrangère », par exemple, l'Atlantide. Ses habitants voyageaient dans le ciel sur une AILE, le symbole naturel du vol. Les mots nous guident.

 

 

 

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Le château de Chambord comporte d'ailleurs 2 ailes, de pierre certes, mais tout à fait aptes à faire décoller les interprétations.

 

 

 

 

 



Pragmatiquement, à quoi ça sert, un escalier ? Avant tout à monter aux étages supérieurs. Justement, au-dessus de l'escalier à double révolution, il y a une sorte de fusée ! Quoi, une fusée ? Oui. Une fusée est un objet dont la fonction est de s'élever à la verticale. Effectivement, l'étrange tour-lanterne de Chambord se décompose en deux parties, d'abord le début d'une tour qui se termine en terrasse, sur laquelle est posée la fusée en question.

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Les grands disques des ailerons sont ornés en alternance de la Salamandre et de l' « F » emblématique de François. La Salamandre est l'emblème alchimique du Feu, ce qui coïncide bien avec le décollage d'une fusée. Quant à la lettre F, elle est l'initiale du mot « Fusée » ! Mais alors? La fusée de Chambord, quatre siècles avant les lanceurs américains, est donc signée de sa lettre initiale ! On est libre d'y voir un simple effet du hasard… mais les plus audacieux (ou les plus fous ?) penseront aux Fées ou aux Elfes, ces créatures d'un autre monde aux pouvoirs fantastiques.

 

    

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       Enlevons notre casque d'astronaute pour mieux respirer et revenons vers notre fusée. Elle est donc posée sur une petite tour, une « hauteur » : ce mot pouvait se dire au Moyen Age un PUI. Vous avez dit bizarre ? Le centre de l'escalier à doubles révolutions évoque tout à fait un PUITS qui s'élèverait vers le ciel, vers la fusée de la terrasse. On ne sait pas si c'est Léonard de Vinci qui en a dessiné les formes et l'esthétique, mais ce noyau central a quelque chose de futuriste. La vision de cette structure semble tirée d'un film de science-fiction ! Elle ressemble à un accélérateur de particules ou encore à l'intérieur d'un vaisseau spatial. Il convient de se souvenir de l'épisode biblique de l'Exode : le peuple israélite était guidé dans sa marche, le jour par une colonne de nuée, la nuit par une colonne de feu. De nos jours, ce sont des ovnis en forme de « cigare » que l'on observe parfois dans le ciel. De la colonne au cigare, la comparaison a changé mais on peut penser que les objets décrits sont de la même nature. 

  Une surprise considérable nous attend : il est conseillé d'attacher sa ceinture de sécurité. Un autre mot se trouve déposé dans la grille, un mot que l'on croyait moderne, un mot essentiel. Les ovnis que l'on a aperçus à toutes les époques semblent provenir d'une civilisation extérieure à la Terre. Les lettres de EXTRATERRESTRE sont distribuées en symétrie sur la grille du donjon ! Imitons les commentaires des émissions de télévision :  « Ou alors tout ceci n'est-il que pur hasard ? Une simple projection de nos fantasmes ? » Et pourquoi pas : « La vérité ne sera probablement jamais connue. » Mais heureusement, Didier Coilhac est là pour éclairer les murs avec le modeste faisceau de sa lampe-torche. En attendant une époque Moyenneplus réceptive...

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   Est-il bien certain que les fusées n'ont pas existé avant le XXe siècle ? Ces dessins datent de l'époque de la construction du château de Chambord. L'aventurier écrivain Robert Charroux nous explique qu' «une fusée spatiale à trois étages, à carburant solide, du type même des fusées lancées du Cap Kennedy, fut techniquement inventée en 1529. Elle s'envola dans l'espace en 1555, de la ville de Sibiu en Roumanie. Des milliers de témoins ... assistèrent à l'expérience qui fut couronnée de succès.» Conrad Haas, dans un manuscrit d'époque, rapporte l'invention des fusées. Il mentionne des détails qui paraissent extraordinairement en avance sur son temps: fusées à deux ou trois étages d'ignition, batterie de fusée, ailettes de guidage en forme de delta, et «maisonnette volante» au sommet de la fusée ! (Source : « Le Livre du Mystérieux Inconnu » de Robert Charroux, p 26, Edt Robert Laffont. L'affaire fut exhumée par M. Doru Todericiu, professeur des Sciences et Techniques à l'Université de Bucarest ; en 1961, il découvrit un vieux manuscrit de la bibliothèque de Sibiu (Roumanie ) contenant le cahier de Conrad Haas.)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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kubrickhttp://www.didier-coilhac.com/chambord.html(Image du film "2001, l'Odyssée de l'Espace" de Stanley Kubrick.)

7 avril 2014

De l’influence d’Abraham sur les sciences ésotériques hindoues et chinoises.

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Murée derrière de hauts plateaux glacés et des déserts brûlants, bien plus que par la Grande Muraille, souvent perméable aux invasions barbares, la Chine se replia longtemps sur elle-même.  Malgré des soubresauts ponctués de périodes de stabilité et de chaos,  la Chine demeure la plus vieille civilisation pérenne du monde. Cette continuité tient notamment au fait que les peuples étrangers qui l’ont conquise (les Mongols au XIIIe siècle et les Mandchous au XVIIe siècle) n’y ont pas imprimé leur marque mais ont adopté les coutumes et le système administratif chinois pour gouverner l’Empire.
Ce superbe isolationnisme qui a permis à la Chine d’élaborer une culture originale, de l’enrichir tout le long des millénaires, notamment grâce à des  emprunts après de civilisations voisines, tel que le Bouddhisme en provenance d’Inde, et de la transmettre au fil des générations jusqu’à aujourd’hui. Cette culture n’a d’égale qu’une seule autre: celle des Hébreux. Le terme même d’"Hébreu" qui vient de leur ancêtre biblique Evér, qui signifie « isolé, solitaire, de l’autre côté », et voulant le rester. Les Hébreux Ivrim se situent étymologiquement et culturellement  de l’autre côté du fleuve, évér la naar,.  Quel que soit le fleuve, la montagne ou le peuple parmi lequel ils vivent, ils sont ailleurs. N’est ce pas cela qui leur est d’ailleurs reproché depuis la nuit des temps ? Le premier antisémite notoire qui fut aussi  le plus grand prophète qu’auront compté les nations, à savoir Bilaam, a théorisé ainsi sa détestation vis-à-vis des Hébreux « Voilà un peuple qui demeurera solitaire, il ne sera pas compté parmi les nations ». (Nombres 23 :9)
Ce n’est donc pas la topographie qui a isolé les Hébreux des autres peuples comme ce fut le cas des Chinois, mais la volonté farouche de garder leur culture intacte pour ne pas la voir pervertie par les nations au milieu desquelles ils ont séjourné. Les Empires égyptiens, mésopotamiens, précolombiens, grecs ou romains se sont, soit engloutis dans les sables de l’histoire, soit se sont métamorphosés au point où il n’est guère possible de reconnaître dans les civilisations modernes la marque de leurs ancêtres. Seuls les hébreux et les Chinois pour n’avoir pas été pollués par les civilisations environnantes ont su rester eux-mêmes durant des millénaires.
Qu’est ce qui distingue fondamentalement les deux cultures ? Durant leur exil  les Hébreux sont éclatés dans la partie occidentale du monde. Il n’y a pas une nation, un seul peuple parmi les 70 nations répertoriées dans la Torah qui n’ait pas eu ses juifs. L’Extrême-Orient par contre n’a pas bénéficié, ou vu  imposer, cette présence, et de ce fait n’a pas profité, ou eu à subir, du principal leg que les Hébreux ont apporté à l’humanité. Quel est ce leg ? Les Hébreux ont apporté à l’humanité D.ieu et son Nom le qui s’est imposé dans toutes les civilisations et langues occidentales : God, Gott et toutes ses variantes saxonnes, Deus,Theos, Dieu et ses déclinaisons gréco-latines,  El , Allah.
Cette soif insatiable de connaitre D.ieu soit pour se lier à lui soit pour se révolter contre lui, comme le firent les constructeurs de la tour de Babel, n’a jamais cessé en Occident depuis Abraham, voire depuis Adam, le premier homme à se voir insuffler une âme. La mission du peuple juif, nous disent les Rabbins, consiste à faire connaitre aux autres peuples de l’Occident, ce qu’ils estiment être le véritable Nom de D.ieu, afin que dans les temps futurs D.ieu ne soit qu’un et son Nom Un.
A l’inverse, D.ieu et son Nom n’ont pas franchi la frontière occidentale de la Chine, et, si jamais ce fut le cas dans les temps anciens, les civilisations extrêmes orientales se sont empressées de l’enfouir, de l’occulter ou bien simplement de l’oublier.
Le Rav Ouri Cherki, à qui je dois une grande partie de cet article, nous fait état d’une conférence fort intéressante donnée par un grand érudit extrême-oriental. A la fin de la conférence une étudiante israélienne  se rapproche de l’érudit en question et lui demande : vous nous avez parlé de religion mais vous n’avez pas mentionné une seule fois dieu. Le conférencier semble se réveiller de son sommeil et balbutie : Ah oui , effectivement , il y a des choses intéressantes à dire , mais … La religion sans dieu ou qui ne mentionne pas le Nom de D.ieu serait donc tout à fait possible en Extrême Orient. Au contraire,  dieu dérange, perturbe; il vaut mieux qu'il soit enfoui, on se passe très bien de lui.
Pour Lao Tseu l’absence du Nom est même essentiel : Il disait : "Le Tao que l'on peut nommer n'est pas le Tao". Cette pudeur ne l’empêche pas de reconnaître qu’il y avait quelque chose d’indéterminé avant la naissance de l’univers. Mais ce quelque chose est muet et vide. Il est indépendant et inaltérable. Il circule partout sans se lasser jamais. "Ne connaissant pas son nom, je le dénomme "Tao".
A l’inverse, la curiosité des Hébreux, et de  tous les peuples occidentaux  à leur suite, pour ce qui est le nom de D.ieu est insatiable. Lorsque D.ieu enjoint à Moïse de partir vers ses frères emprisonnés en Egypte pour les libérer, la question de Moïse, anticipant celle qui ne manquerait pas de lui être posée, fuse : S’ils me demandent quel est ton nom que leur dirais-je ?
Ce point est magistralement résumé dans la prophétie d’Isaïe (59 :19) « Ainsi on craindra le nom du Seigneur (Chém) dans les régions où le soleil se couche et sa gloire  kavod) dans les régions où le soleil se lève ». Le terme Kavod, traduit communément par « gloire » se rapporte aux manifestations tangibles et visibles de la création, qui seules importent. En Occident, le Nom est essentiel ; alors qu’en Orient ce sont ses œuvres et ses manifestations qui le sont.
Où commence et où se termine  l’Extrême-Orient ?
Là où précisément on cesse de s’intéresser au Nom de D.ieu pour se préoccuper de son Kavod, de sa Gloire. Des frontières géographiques épousent également les frontières métaphysiques qui divisent le globe terrestre en deux entités distinctes qui n’ont pratiquement pas entendu parler l’une de l’autre pendant des millénaires. Au delà du désert du Punjab  commence un immense territoire qui a été déconnecté pendant des millénaires de l’Occident. Il comprend l’Inde, la Chine, le Japon,  le Vietnam la Thaïlande, le Tibet. Au nord du désert de Punjab se dresse  la chaîne de  l’Himalaya, puis la Mongolie, suivie des déserts glacés de la Sibérie..
Dieu aurait  bâti son monde en deux entités distinctes qui comportent de grandes difficultés à communiquer l’une avec l’autre. Jusqu’à Marco Polo, on avait pratiquement oublié que la Chine existât.
Il importe de rappeler que le peuple juif ne se considère pas comme faisant partie des 70 Nations qui composent l’Humanité. Il serait en quelque sorte la 71 ème nation, échappant ainsi à la dichotomie Orient-Occident. A l’inverse des civilisations occidentales qui ne se préoccupent que de Son Nom, et par là même, de la progression nécessaire de la civilisation et du progrès , des cultures orientales qui mettent l’accent sur son Kavod , l’objectif des Juifs est d’associer à la fois Son Nom et Sa Gloire.  Baroukh chém kevod Malkouto, que soit béni le Nom de Sa Gloire, suit  systématiquement l’éternelle profession de foi juive qui affirme l’Unicité de D.ieu : Chema Israël, écoute Israël l’Éternel ton D.ieu, l’Eternel est Un.  Or les Hébreux sont bien obligés de reconnaître que leur influence sur les pays du soleil levant a été des plus limitées. En est-il bien ainsi ?
Abraham, après la mort de Sarah a épousé une certaine Kétoura dont le nom en hébreu signifie « encens ». Kétoura ne serait autre, au dire de certains de nos commentateurs, qu’Agar en personne, qui a donné naissance au fils aîné d’Abraham, à savoir Ismaël. (Si vous voulez en savoir d’avantage reportez vous à mon essai « Ismaël et ses frères »). Kétoura mit au monde 6 garçons (Zimran, Yokchan, Medan, Midyan, Ichbak et Choua’h) qui seront  les alliés naturels d’Ismaël, voire ses frères tout simplement, dans le cas où Agar et Kétoura seraient effectivement  une seule et même personne. Il  est écrit dans la Torah (Genèse 25 :6 ) "Abraham donna tout ce qu’il avait à Isaac, et aux fils de ses concubines, il fit des cadeaux  et les envoya, de son vivant, loin d’Isaac, en Orient, dans le pays de de l’Orient". 
Ce passage biblique est troublant et appelle plusieurs questions Qu’a t-il donné exactement à Isaak qu’il ne puisse le partager avec ses autres fils,  pourquoi cette insistance à citer deux fois le mot Kédém, Orient, quel est ce  fameux pays de Kédém, qu’est-ce qu’Abraham a  pu donner aux fils de ses femmes, alors qu’il est écrit qu’il donna tout ce qu’il possédait à Isaak. Car manifestement il n’y a pas que les enfants de Kétoura qu’il a envoyés en Orient puisque le texte nous dit : « les fils de ses servantes ».
Pour tenter de répondre à ces questions attachons nous à la personnalité d’Abraham.
 Abraham a beaucoup bourlingué : de Our Kasdim, à proximité de l’embouchure de l’Euphrate sur le Golfe Persique (bien que certains commentateurs situent Our kasdim bien plus au nord et plus proche de Haran), à Haran, en haute Mésopotamie. De là en terre de Canaan, et pour finir, un aller-retour en Egypte. Abraham, en pur révolutionnaire agitateur, a détruit non seulement les idoles en terre cuite que vendait son père Téra'h, mais a tenté de combattre  les idées reçues, voire les idéologies en place. Au départ, son action avait une portée universelle ; à savoir convaincre tous les peuples  de la terre de renoncer à leur idolâtrie pour reconnaître et servir le D.ieu Un. Ces ambitions cosmopolites furent balayées en un instant lorsque D.ieu lui enjoignit de cesser son prosélytisme tous azimuts pour s’occuper de lui-même : « marche pour toi », soit, rien que toi et personne d'autre, vers le pays de Canaan, fonde un Peuple et alors, mais alors seulement, Je te ferai devenir une grande nation, et toutes les familles de la terre seront bénies par toi.  Quand ? Cela n’est pas spécifié. Donc, la condition sine qua non  pour que le message d’Abraham soit reçu, consiste à l’implanter dans un peuple précis, sur une terre aux frontières bien définies. De là il pourra rayonner. De part sa paternité tardive, Abraham pensa au départ que son héritier naturel, de ses biens et de sa pensée, serait Ismaël, son aîné  jusqu’à ce que D.ieu l’en dissuade en lui précisant que c’est d’Isaak que naîtra sa filiation, son Alliance, et que c’est à la descendance d’Isaak que reviendra la terre de Canaan. Ismaël ne fut pas floué pour autant ; il deviendra une grande nation.
En voyageant, Abraham acquit aussi de nouvelles connaissances. Nos sages nous disent que lors de son voyage en Egypte il apprit toutes sortes de sortilèges, des « noms de l’impureté », nous explique Rashi, destinés à combattre les mauvais esprits et les démons, qu’il n’intégra pas évidemment dans son Monothéisme intransigeant transmis à Isaak, mais qui, peut-être pourraient lui servir plus tard à d’autres fins.
Ce moment arriva à la fin de sa vie où, comme nous l’avons vu précédemment, il donna tout ce qu’il possédait à Isaak, et, aux fils de ses concubines, il fit des cadeaux. Ces cadeaux sont , nous disent encore nos Sages, ces sciences occultes qui n’avaient aucune utilité pour Isaak mais qui pourraient être bien utiles à ses autres enfants dans les contrées lointaines extrême- orientales vers lesquelles il les envoya.
Abraham, ce révolutionnaire dérangeant devint  bien évidemment célèbre dans toutes les contrées à l’est et à l’ouest de Canaan, de l’inde jusqu’en Egypte. Qui n’entendit parler d’Abraham à cette époque ? Prônant le D.ieu Un, Abraham fut perçu par les habitants des contrées lointaines, qui reçurent l’information de façon tronquée;  les moyens de communication à l’époque n’étant pas ce qu’ils sont devenus  aujourd’hui,  comme dieu lui-même.
Voltaire, dans son Dictionnaire philosophique rapproche le nom indien Brahman du nom hébreu Abraham. Qui sommes nous pour contester la géniale intuition d’un des plus grands antisémites qu’ait connu l’histoire récente. Et il est vrai que les deux noms se ressemblent singulièrement sur le plan phonétique. Qui plus est, Brahma avait une femme du nom de Sarasvati, Sarah Svasti ; cela ne vous rappelle rien ?
Un grand maître de l’ésotérisme islamique Abdul  karim al Jili (14 e siècle) confirme l’intuition voltairienne et nous dit que les brahmanes prétendent eux-mêmes être les descendants d’Abraham. Ils affirment détenir un livre rédigé pour eux de la part d’Abraham. Ce livre contiendrait les vérités fondamentales et comprendrait 5 parties; quatre d’entre elles sont compréhensibles par tout un chacun, la cinquième n’est compréhensible que par un petit nombre, et celui qui arrive à la saisir adhère à la religion de Mahomet.
Or qui est Brahma, si ce n’est l’Esprit suprême, créateur de la matière et de l'univers ; définition qui s’apparente singulièrement au D.ieu Un, créateur ex nihilo de toute chose, comme ne cesse de le prôner Abraham. Et qui sont les Brahmanes, si ce n’est les membres de la caste hindoue sacerdotale, la première des quatre grandes castes en Inde; les instruits et les éclairés.
Une lecture erronée du texte biblique peut aussi être à l’origine de l’association/confusion Abraham- Brahma. En effet il est écrit (Genèse 2 :4) : « Voici les origines du ciel et de la terre lorsqu’ils furent créés ». Le mot « créés » se dit en hébreu Bé’hibaram. Et nos sages interprètent ce verset en transformant le mot Bé Hi’baram en Abraham.  Ce qui donne lieu à trois significations possibles, dont les deux premières sont largement commentées dans le Talmud. La première  est que le ciel et la terre ne furent créés que pour Abraham qui a introduit la Mida de Hésséd (l’attribut de bonté) dans le monde. La seconde, est que le monde fut créé grâce à la lettre Héi (cinquième lettre de l’alphabet hébraïque) qui fut ajoutée à Avram qui devint ainsi Abraham. Le Talmud de Babylone (Men. 29 :2) nous explique en effet que le monde d’ici bas fut créé par la lettre Héi et le monde d’en haut par la lettre Youd. La lecture serait donc la suivante Bé Héi Baram, avec Héi, ils furent créés. Une autre explication qui découle d’une lecture rapide du texte serait que ce serait Abraham lui-même qui aurait créé le Ciel et la terre; attribuant au Patriarche dont se réclament les Hébreux et les Musulmans, la paternité de la création;  le transformant ainsi en dieu lui-même. 
Il n’est pas concevable qu’aux fils de ses épouses illégitimes, qu’il envoya vers l’Orient extrême, Abraham ait légué des cadeaux empoisonnés, des  noms de l’impureté sans utilité aucune . Il est bien plus probable qu’Abraham a légué à ses fils les sciences ésotériques, mystiques, numérologiques, méditatives et astrologiques qu’il avait acquises dans ses pérégrinations entre la Mésopotamie et l’Egypte, et muries tout le long de sa vie. Il leur lègue les connaissances qui feront écho dans les contrées où ils se rendront et  leur permettront de devenir des personnages importants, des savants et des prêtres, des hommes d’influence.
Il faut noter que les écrits mystiques tels les Véda ( et plus particulièrement le Riga Véda,  texte éminemment monothéiste) furent écrits, plus ou moins, à l’époque où vécut Abraham, soit 1800 ans avant l’ère ordinaire et que le Yi Jing, soit le Classique des Changements, qui est le plus ancien texte chinois, date du premier millénaire avant l’ère ordinaire. Or, il  est plus que vraisemblable que ces sciences étaient bien plus avancées dans le Moyen-Orient, entre l’Egypte et la Mésopotamie,  qu’elles ne le furent en Inde, et dans des contrées encore plus orientales telles que la Chine et le Japon.  

Selon la tradition juive, les fils d’Abraham ne partirent donc pas les mains vides dans l’Orient lointain. Ce qu’il advint d'eux, et de cette science et des techniques de formation de toutes choses qui en découlent, seul l’avenir nous le dira, quand seront dressées et révélées les influences exactes de la cabale juive les sciences ésotériques hindoues et chinoises

http://geopolitique-biblique.blogspot.fr/2013/02/de-linfluence-dabraham-sur-les-sciences.html

30 mars 2014

Benjamin Franklin sacrifiait -il des petits enfants ? Des restes humains sous sa maison de Londres...

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Le sataniste et franc-maçon Benjamin Franklin : 

des cadavres découverts chez le Père de la Constitution US !

 

Le 11 février 1998, un ouvrier restaurant la maison londonienne du Père de la Constitution américaine trouva les restes de six enfants et de quatre adultes, cachés sous sa maison, au 36 Craven Street, à côté de Trafalgar Square. La nouvelle fut même annoncée par la grande presse britannique comme The Sunday Times. Les cadavres datent de l’époque où Benjamin Franklin occupait les lieux de 1757 à 1762 et de 1764 à 1775.

Cela vous étonne-t-il ?

Pourtant, le Time du 7 juillet 2003, sur sa couverture, demande si Benjamin Franklin, figurant sur les billets de cent dollars, appartenait à la secte satanique du The Hell Fire Club. Dans un ouvrage publié en 1989, The Occult Conspiracy, Secret Societies, Their Influence and Power in World History (La conspiration occulte, les sociétés secrètes, leur influence et leur pouvoir dans l’histoire du monde), l’écrivain anglais Michael Howard relate le passé sataniste de Benjamin Kranklin, qui fut une des personnes les plus influentes de la Révolution américaine, et devint Franc-maçon en 1731. Il entra dans la loge St John de Philadelphie, reconnue comme première loge maçonnique en Amérique. Il fut également nommé au grade de Grand-Maître de la loge St John. Journaliste, il écrivit plusieurs articles défendant les loges qui furent publiés dans The Pennsylvania Gazette. En 1732, il contribua à la rédaction des statuts de sa loge et en 1734, il publia Constitutions, le premier livre maçonnique édité en Amérique.

Dans les années 1770, en tant que diplomate des colonies américaines, Franklin devint Grand Maître de la loge des neuf sœurs, à Paris. Le marquis de Lafayette et l’officier de marine écossais John Paul Jones, qui adhéraient à cette même loge, combattirent dans la Guerre d’indépendance américaine. À Paris, Franklin utilisait ses contacts maçonniques pour collecter des fonds et acheter des armes pour les rebelles américains.

Franklin était un Grand Maître Rosicrucien et œuvrait au cœur des opérations Illuminati pour étendre le contrôle invisible de l’empire britannique en Amérique. Les Illuminati, via les Francs-maçons, contrôlaient et manipulaient les deux côtés (britannique et américain) de la Guerre d’Indépendance tout en contrôlant la Révolution française.

Benjamin Franklin était l’« agent 72 » du bureau de renseignement britannique fondé par le mathématicien et alchimiste anglais Dr John Dee (alias 007). Pendant cette période, Benjamin Franklin était en contact avec les sphères du pouvoir londonien. Il partageait leurs intérêts maçonniques et occultes. Sir Francis Dashwood, était le chancelier de l’Exchequer (Echiquier), la Chambre des comptes britannique, et le fondateur d’une société secrète appelée Frères de St Francis de Wycombe, plus connue sous le nom de The Hell Fire Club.

Michael Howard expose que The Hell Fire Club n’était pas un club ordinaire. Situé dans les souterrains d’un bâtiment ayant l’apparence d’une église anglaise, les membres de ce cercle y descendaient à plusieurs dizaines de mètres de profondeur dans une série de tunnels, de pièces et de cavernes, où ils forniquaient avec des prostituées et offraient des sacrifices occultes à Satan. Dieu seul sait ce que les démons faisaient en ces lieux !

Benjamin Franklin était un occultiste dévoué à Satan, comme tant de politiciens. Le premier-ministre britannique Winston Churchill était par exemple un druide sorcier. Le terme de The Hell Fire Club (Club des flammes de l’enfer) montre qu’il s’agit d’une défiance et d’un blasphème. Les labyrinthes de la secte de Franklin étaient disposés de telle manière que l’on avait l’impression de descendre en enfer.

Lors de la première réunion du club sataniste, en mai 1746, ils se rencontrèrent à la George and Vulture public House, au Lombard Street, London. L’adhésion initiale était limitée à douze membres mais ce chiffre augmenta rapidement. Bien qu’il n’en fût pas membre officiel, Benjamin Franklin assistait occasionnellement aux rencontres du club. Les membres s’appelaient entre eux « frères ». Francis Dashwood était l’« abbé ». Les femmes, quant à elles, étaient des « nonnes ». Ils étaient passionnés par les dévotions à Bacchus et à Venus. Leur devise « Fay ce que vouldras », empruntée à François Rabelais, sera reprise par Aleister Crowley. Franc-maçon du 33e degré, ce mage sataniste du XXe siècle, avoue qu’il sacrifia, de 1912 à 1928, cent cinquante enfants par an, dans son livre : Magick in theory and practice (La magie en théorie et en pratique), ch. XII : Of the bloody sacrifice and matters cognate (À propos des sacrifices sanglants et des sujets apparentés).

Le George and Vulture public House disparut dans un incendie en 1749 ! Cependant, il fut rapidement reconstruit. Les rencontres s’effectuèrent aussi chez les membres. Francis Dashwood construisit un temple dans le village londonien de West Wycombe à côté duquel furent trouvées des catacombes : un endroit idéal pour certainement y cacher les dépouilles après les avoir désossées et décharnées ! La première rencontre à West Wycombe fut tenue en 1752 pendant la nuit de Walpurgis. En 1762, des tensions internes et des rivalités politiques transformèrent le club en champ d’affrontements publics. Il fut finalement dissous.

Evangeline Hunter-Jones, député et présidente des Amis de la maison de Benjamin Franklin expose que « les os brûlés étaient enterrés profondément, probablement pour les cacher et il y a tout lieu de penser qu’il y en a encore ». Mais pour disculper Benjamin Franklin, elle rétorque que durant ses longues absences, son ami le Dr Hewson, aurait pu effectuer des dissections de cadavres pour ses recherches. Car, en effet, la plupart des ossements montrent des marques de dissection et des traits de scie. Un crâne a été percé de plusieurs trous. Brefs, voilà des cadavres bien dérangeants chez un sataniste ayant appartenu aux plus hautes sphères d’influences européennes et américaines !

 La vie du Père de la Constitution de la plus grande démocratie renvoie bien aux déclaration du représentant des Illumianti américain, Albert Pike, Franc-maçon du 33e degré, qui dans Morals and Dogmas (1871) affirmait que le Dieu caché de la Franc-maçonnerie était Lucifer. L’essence luciférienne de la secte est dénoncée entre autres dans La guerre occulte (1925) par l’ancien Franc-maçon du 29e degré, Paul Copin-Albancelli.

Vous comprendrez ainsi pourquoi en démocratie il est toujours délicat de dénoncer le pédo-satanisme.

 

Laurent Glauzy
http://www.hiram.be/Benjamin-Franklin-bouffait-il-des-petits-enfants_a8546.html

 

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