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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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- des organismes
9 juin 2018

La terre a-t-elle vraiment des milliards d’années ?

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Résumé : L’adoption d’un âge de la terre en millions d’années, à partir du dixneuvième
siècle, résulte d’une volonté délibérée, chez certains géologues, d’exclure le
Déluge biblique de leurs « systèmes de la terre ». Toutes les sciences s’étant alignées
sur la géologie, il en résulte une vision du monde dans laquelle la Genèse perd toute
valeur historique et l’homme sa place unique et centrale dans la Création : si la terre a
été faite pour l’homme, pourquoi Dieu, créateur du temps comme de l’espace, aurait-il
attendu des millions d’années pour l’y introduire ?
On mesure par là toute l’importance d’une approche critique des âges proposés sous
le masque de la science par des savants dont nous savons, par leur correspondance, que
leur but n’était pas de servir la vérité mais de détruire l’autorité de la Bible.
Tant que leur intelligence s’est laissée marquer par l’Ecriture, les
hommes ont cru que les paysages au milieu desquels ils vivaient1 avaient
été façonnés par le Déluge. Ils se voyaient ainsi constamment rappeler la
tutelle divine sur les sociétés, et que la terre n’avait d’autre mission que
d’assurer aux hommes un habitacle à leur mesure. Le sens cosmique
menait ainsi tout droit au Dieu de la Révélation et à sa Providence.
Il n’est donc pas exagéré de dire que la croyance au Déluge est le
critère décisif d’une authentique pensée chrétienne. Ce rôle essentiel nous
fut signalé par saint Pierre dans sa deuxième épître : « Car ce n’est pas en
suivant des fables habilement inventées que nous avons fait connaître la
puissance et l’Avènement de notre Seigneur Jésus-Christ ; c’est pour avoir
contemplé sa majesté (…). Si Dieu en effet n’a pas épargné l’ancien
monde, ne préservant que huit personnes, dont Noé, héraut de justice,
tandis qu’il amenait le Déluge sur un monde d’impies, (…)
c’est que le Seigneur sait délivrer les hommes pieux de l’épreuve et garder
les impies pour les châtier au jour du Jugement. »
Certes il existe aujourd’hui bien des penseurs chrétiens qui ne croient
pas ou plus au Déluge. Mais en posant une borne à la puissance divine, en
dissociant l’histoire de la terre d’avec l’histoire sainte, ils paient malgré
1 L’exode rural et l’urbanisation font que la plupart de nos contemporains n’ont sous
les yeux que du béton et des arbustes. L’humanité s’est ainsi refermée sur elle-même,
et cette perte de repères cosmiques directs est sans soute pour beaucoup dans l’autorité
abusive qu’exerce la télévision : cette étrange lucarne assure un succédané de lien
cosmique et nourrit seule la vision du monde et les cogitations.

eux un tribut au naturalisme, ce même naturalisme qui a toujours constitué
l’alternative (et donc l’adversaire) de la pensée chrétienne.
Il ne faut pas s’étonner si les ennemis du christianisme, dès le dixhuitième
siècle, se sont attachés à combattre la croyance au Déluge, en
proposant une autre origine aux roches sédimentaires. Les savants de
l’époque des Lumières eurent du moins le mérite de ne pas celer cette
motivation à leurs travaux. Ainsi Buffon, lorsque la Sorbonne condamna
dans son Histoire Naturelle (1749) 16 propositions contraires à la Bible,
expliqua à son ami Hérault de Séchelles : « Il faut une religion pour le
peuple. (…) Quand la Sorbonne m’a fait des chicanes, je n’ai fait aucune
difficulté de lui donner toutes les satisfaction qu’elle a pu désirer : ce
n’est qu’un persiflage, mais les hommes sont assez sots pour s’en
contenter. »2
Dans son Dictionnaire philosophique, Voltaire consacre un long article
aux coquilles. Ils s’agit des coquillages que Pline l’Ancien déclarait déjà
avoir rencontré sur les plus hauts lieux des Alpes, et dont les intelligences
même les plus frustres faisaient la preuve évidente d’une vaste incursion
marine, donc du Déluge. Poussé par sa haine du Christ, le sire de Ferney
utilisa sa fortune, redevable à la traite des nègres autant qu’aux libéralités
du roi de Prusse, pour démontrer que les fameuses coquilles n’existaient
pas. Il paya des journaliers pour arpenter les flancs du Saint-Gothard, du
Saint-Bernard et de la Tarentaise - en vain - et conclut son article en niant
triomphalement l’origine marine de ces ammonites que les Anciens
avaient pris pour des coquilles mais qui n’étaient, selon lui, que des
« curiosités de la Nature », des restes pétrifiés de reptiles terrestre lovés
sur eux-mêmes.
Le philosophe aurait pourtant dû savoir que le hasard ne crée pas de
formes…Mais la haine est un carburant qui donne au moteur de
l’intelligence des ratés : on est si pressé de croire ce qu’on souhaite, que
l’examen critique des preuves n’apparaît pas toujours nécessaire…
En s’avançant ainsi sans masque, les ennemis du christianisme
provoquèrent des réactions contre leur géologie. En 1751, la Sorbonne
avait condamné Buffon pour exclure le Déluge lorsqu’il écrivait : « Ce
sont les eaux rassemblées dans la vaste étendue des mers qui, par le
mouvement continuel du flux et du reflux, ont provoqué les montagnes,
les vallées et les autres inégalités de la terre ; (…) et ce sont les eaux du
ciel qui peu à peu détruisent l’ouvrage de la mer, qui rabaissent continuellement

la hauteur des montagnes, qui comblent les vallées, les
bouches des fleuves et les golfes, et qui, ramenant tout au niveau, rendront
un jour cette terre à la mer, qui s’en emparera successivement, en laissant
à découvert de nouveaux continents entrecoupés de vallons et de
montagnes, en tout semblables à ceux que nous habitons aujourd’hui. »3
Qui plus est, de grands géologues, au début du dix-neuvième siècle,
remirent le Déluge au rang des causes probables des roches sédimentaires.
Ainsi Cuvier, sur le continent, fondateur de la paléontologie, académicien
et Pair de France, et Buckland, en Angleterre, fondateur des collections
fossiles d’Oxford puis Doyen de Westminster. Face à ce bastion
intellectuel et social, la tactique de l’ennemi sut s’adapter. Avocat de
formation, libéral (whig) déterminé, Charles Lyell comprit que le
Parlement ne pourrait renforcer ses pouvoirs sans affaiblir l’autorité de
nature religieuse dont jouissait la monarchie. Le même Dieu qui a créé la
terre et l’a peuplée, établit des princes au-dessus des hommes pour les
gouverner, quitte à les écarter Lui-même quand, à l’instar de Saül, ils
finissent par Lui déplaire. Dans cette perspective biblique, s’opposer au
monarque revient à s’opposer à Dieu. La seule issue pour les libéraux était
donc d’affaiblir l’autorité de la Bible.
En démontrant que le Déluge ne s’était pas réellement produit tel que
l’enseigne la Genèse, puisque les roches trouvaient une autre explication,
Lyell fut le tacticien génial qui fit basculer l’opinion savante et, par
ricochet, toute la société occidentale. Les « systèmes de la terre » qui
l’avaient précédés restaient assez sommaires pour être facilement réfutés
sur des cas particuliers. Les Principes de Géologie que Lyell publia en
1830-1832, manifestent une très grande habileté persuasive. Le titre,
inspiré des Principia de Newton, laisse entendre que la nouvelle science
exposée sera aussi certaine que l’astronomie et la mécanique, ne faisant
qu’appliquer des principes généraux indiscutables. Le corps du livre,
comme plus tard l’Origine des Espèces de Darwin (dont Lyell arrangea la
publication chez son éditeur Murray), consiste en une accumulation
d’observations disparates, laissant le lecteur sur l’impression que l’auteur
a tout vu, tout étudié, et que les fameux principes ne souffrent aucune
exception. Or le premier de ces principes, qui donna son nom à l’école
« actualiste » encore dominante aujourd’hui, consistait précisément à ne
 
retenir dans la science que les phénomènes effectivement observés4. Dès
lors, mais sans le dire, en proposant une chronologie de la terre fondée sur
le comptage des strates et l’estimation du temps de dépôt correspondant à
chaque strate, la formation des principales roches se trouvait reportée à des
millions d’année. Le déluge biblique, si tant est qu’il eût existé (puisque
Lyell ne l’avait pas observé lui-même), ne pouvait prétendre à mieux qu’à
une inondation locale ayant laissé des trace dans la mémoire des
Babyloniens…
La pétition de principes est évidente : La science est fondée sur les
seuls phénomènes observés ; nous n’observons pas de déluges
aujourd’hui5 ; donc le Déluge biblique n’a pas lieu d’être pris en compte
par la géologie.
Mais Lyell ne se contentait pas d’exclure a priori le Déluge.
On ne détruit bien que ce que l’on remplace . Il expliquait toutes les
roches sédimentaires par de longues et tranquilles périodes de dépôts
successifs, alternant avec des périodes d’activités volcanique et des
surrections transformant en continents les anciens fonds marins.
Pourtant on observe aujourd’hui des phénomènes catastrophiques
brusques : raz-de-marée, coulées de boue, glissements de terrain, etc… Il
eut été plus sage d’imaginer que des phénomènes analogues, mais plus
amples, avaient pu se produire, que d’extrapoler à l’infini un phénomène
(le dépôt unitaire d’une strate) jamais observé en réalité.6
Ni la logique, ni les faits n’étaient donc du côté de Lyell, mais son
discours persuasif rendit vraisemblable ce que nous savons, nous, ne pas
être vrai. Un siècle plus tard, tout a basculé. Les géologues
« diluvianistes » ont disparu des publications. Les millions d’années que
Lyell avait avancés pour la terre, sont acceptés sans esprit critique par les
plus grands philosophes et, on le verra dans les articles de Jonathan F.
Henry, les autres disciplines scientifiques s’alignent sur la chronologie
longue de la terre. La préhistoire vient opportunément projeter un discours
sur les fossiles humains ou simiesques, datés par la géologie, et les

sciences humaines s’empêtrent dans une vision évolutionniste de l’homme
dont le seul effet certain est de rendre éphémère tout ce qu’on en déduit.
Cette vaste mise en scène qui meuble la brumeuse perspective tracée
par la géologie, a pour effet de reléguer au rang des mythes l’histoire
décrite dans la Genèse. Vérité scientifique et vérité religieuse se trouvent
ainsi disjointes, et l’autorité intellectuelle est devenue l’apanage de la
seule science. Au lieu d’être le cadre sûr où se forgent les pensées, la Bible
elle-même doit se situer dans le cadre de cette nouvelle vision du monde :
il reviendra donc à la science de décréter ce qui est acceptable dans le
texte révélé.
L’homme s’est ainsi fait juge de la Parole de Dieu, pour son malheur
puisque le sens de l’histoire collective comme du destin individuel ne peut
être donné que par l’Auteur de la Création Lui-même. Surtout, en excluant
le surnaturel de l’horizon des sciences, on introduit un biais idéologique
analogue aux préjugés marxistes qui, avec Lyssenko, ont stérilisé une
génération entière de biologistes soviétiques.
L’âge de la terre n’est donc pas une question mineure qui peut être
laissée à l’arbitrage d’un siècle à venir : cette question est la clé perdue qui
nous redonne accès au paradis de la pensée authentiquement chrétienne, là
où le savant peut converser librement avec Dieu dans le jardin de la
nature, comme Adam chaque soir dans l’Eden, à l’orée de l’humanité.
* * * * * * * * * * * * * *

2 D. Tassot, La Bible au risque de la Science, F.-X. de Guibert, 1997, p.222. 
Le Cep n°28. 3ème trimestre 2004
44 Le présent est la clé du passé, selon la formule déjà due à Hutton (1726-1797), mais
popularisée par Lyell.
5 De fait, Dieu s’est engagé à ne plus en envoyer d’autres (Genèse : 8 ; 22) et le
cataclysme final se fera par le feu.
6 Cf. Guy Berthault, Vers une sédimentation fondée sur l’observation, Le Cep n°4, p.9. 
Le Cep n°28. 3ème trimestre 2004
6
Rappel :3 Buffon, Histoire Naturelle générale et particulière, Paris, de l’Imprimerie Royale,
1749, t.I, p.124.
Cassettes (ou CD) disponibles sur la question des datations :
- C 0007 La géologie à la croisée des chemins,
par Guy Berthault
- C 0206 Le mythe des datations absolues,
par Jean de Pontcharra
- C(D) 0405 La terre a-t-elle vraiment des milliards
d’années ?Le Cep n°28. 3ème trimestre 2004

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26 mai 2018

Le mebendazole stoppe LE CANCER POUR 2$ "Big Pharma" espère que vous n'en entendrez jamais parler.

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C'est un médicament qui semble trop beau pour être vrai, mais ça l'est. Et obtenir ceci - il ne coûte que quelques dollars et c'est dans la plupart des pharmacies locales. Son succès anticancéreux a été bien documenté dans des revues (que je vais vous montrer) - même avec des cancers qui ne réagissent pas aux autres chimiothérapies. Alors qu'il tue les cellules cancéreuses, il ne cause aucun dommage aux cellules normales et a peu ou pas d'effets secondaires. Ça s'appelle le mebendazole et "Big Pharma" espère que vous n'en entendrez jamais parler.

Mebendazole (MBZ)


Si vous avez déjà pris soin de jeunes enfants, alors vous êtes probablement familier avec ce médicament sous le nom de Vermox, Ovex, Antiox et Pripsen. Il est généralement prescrit pour traiter les oxyures, les vers ronds, les vers de fouet et les ankylostomes - des organismes qui trouvent une maison indésirable dans nos intestins. Depuis un certain temps, les scientifiques savent comment cela fonctionne, mais la méthode de la mort appliquée aux parasites ciblés ne les intéresse guère. Mais cela a depuis changé.

Comment ça marche...

Cette partie suivante devient un peu technique. Je vais essayer d'expliquer les choses d'une manière générale. Je ne suis en aucun cas un scientifique ou des biologistes, mais je partagerai avec vous ce que j'ai appris.

L'une des idées fausses que les gens ont à propos d'une cellule est qu'elle contient un noyau, une paroi cellulaire et tout ce qui se trouve à l'intérieur (cytoplasme) des glissements dans un liquide ou un gel. En effet, l'intérieur d'une cellule contient une sorte d'échafaudage constitué de micro-tubules, également appelés broches , qui ont la capacité de s'assembler et de se démonter rapidement. Ce réseau de micro-tubules rigides à l'intérieur de la cellule lui donne forme, structure et a également la capacité de transférer des organites et diverses molécules à différentes parties de la cellule, fonctionnant comme un système ferroviaire. Mais sa fonction la plus vitale est la division cellulaire.

 

Le mébendazole est connu pour interférer et inhiber l'assemblage des broches, empêchant ainsi la capacité de division des cellules. La cellule finit par mourir de vieillesse ou d' aptose . Le mébendazole est hautement sélectif et cible en quelque sorte seulement les cellules cancéreuses (ainsi qu'une foule de parasites intestinaux). À la fin de cet article, je vais publier quelques-uns des nombreux articles scientifiques reconnaissant ces faits.

Vous verrez également pourquoi il n'y a pratiquement aucun intérêt pharmaceutique dans le mébendazole. Les grandes compagnies pharmaceutiques font la promotion de médicaments de chimiothérapie plus toxiques parce qu'il n'y a pas de marge bénéficiaire dans le mébendazole. C'est encore un autre exemple de bénéfice d'entreprise l'emportant sur les avantages humains.

Qu'est-ce que le cancer?

Quand une cellule se divise, la notion commune est que les deux cellules résultantes sont exactement identiques. Ce n'est pas correct. Le processus de copie de l'ADN n'est pas parfait et il y a généralement des erreurs, bien qu'elles ne soient généralement pas graves. En fait, si une cellule a trop d'erreurs dans son code ADN, elle ne pourra pas se reproduire et les erreurs disparaîtront avec cette cellule.

Les cellules humaines ont un nombre maximum de fois qu'elles peuvent se reproduire avant que les erreurs accumulées n'empêchent finalement la reproduction - c'est ce qu'on appelle la Limite Hayflick . La plupart des scientifiques conviennent que ce nombre est d'environ 60 fois.

Cette durée de vie "programmée" d'une cellule est déterminée par la longueur d'une chaîne bénigne de molécules attachées aux extrémités des bobines d'ADN. Comme les leaders sur un film de film, ceux-ci se détachent ou deviennent désalignés au cours du processus de réplication et fournissent une zone tampon, protégeant le vrai code ADN. Plus le leader d'une cellule, appelé télomère , est long, plus il peut se reproduire et plus longtemps un organisme peut vivre.

Les biologistes ont découvert que les cellules cancéreuses sont des cellules dans lesquelles le code de l'ADN endommagé entraîne l'activation du télomère , ce qui le fait repousser. La limite de hayflick devient infinie. La mutation rend la cellule essentiellement immortelle! Le cancer fait ses dégâts en survivant et en surpassant les cellules normales.

La lutte contre le cancer en a été une d'isolement et d'empoisonnement sélectif des cellules. Lorsque les cellules cancéreuses se sont intégrées dans les tissus vitaux, cela devient un problème majeur. Souvent, les attaques chirurgicales de tissus cancéreux semblent stimuler leur croissance encore plus, ce qui entraîne une rechute temporaire avec repousse. De même, la chimiothérapie et la radiothérapie ne sont pas suffisamment sélectives pour protéger les cellules saines et leur méthode de mort est toxique.

Le mébendazole est différent. Il ne tue pas les cellules avec du poison. Il empêche spécifiquement la cellule de se reproduire.

Qu'est-ce que Big Pharma a fait?

Le mebendazole a été synthétisé pour la première fois par Janssen Pharmaceutical (plus tard acheté par Johnson & Johnson) en 1968. Sa valeur en tant que médicament anti-ver était reconnue et en 1972 le mebendazole était commercialisé sous le nom de Vermox. Parce que l'utilisation prescrite éliminait les parasites, elle était peu coûteuse et largement utilisée. La toxicité sélective du mébendazole vis-à-vis des cellules cancéreuses n'a pas encore été découverte.

En 1960, le gouvernement américain a déclaré la guerre contre le cancer et a financé le Centre national des sciences de la chimiothérapie contre le cancer. Cette agence a reçu plus de 1000 échantillons de produits chimiques - principalement synthétiques - qui ont été exposés à une variété de cellules cancéreuses animales et humaines.

Cela a dû être comme une scène du film Andromeda Strain , où des milliers de substances ont été testées pour tuer le virus extraterrestre ramené dans une sonde interstellaire. Avec de tels nombres d'échantillons, on s'attendait à ce que certains s'avèrent efficaces pour tuer les tumeurs. Et c'est exactement ce qui est arrivé.

En 1964, un travailleur d'un entrepreneur du Centre pensait inclure une chimie naturelle dans l'étude. Il a soumis une résine de l'écorce de l'if du Pacifique (Taxus brevifolia), une espèce en voie de disparition endémique de l'État de Washington. Il a tué les cellules tumorales sans nuire aux cellules saines. Ils l'ont appelé Taxol.

L'inconvénient de cette découverte est qu'il a fallu 12 000 livres d'écorce d'if fraîche pour produire seulement 10 grammes de Taxol! Au début, aucune compagnie pharmaceutique n'était intéressée à développer le médicament et les essais avec des sujets humains ont été remis à plus tard. Ce n'est qu'en 1979, quand le Taxol a interféré avec les micro-tubules, qu'il a suscité un regain d'intérêt en tant que médicament anticancéreux rentable.

Le même mais différent

Les chercheurs ont découvert la valeur des inhibiteurs des microtubules en 1978. Le plus sûr, le mébendazole, était déjà sur le marché comme traitement pour les vers, et il était bon marché. Pour qu'une société pharmaceutique investisse dans une cure contre le cancer, elle devait réaliser un bénéfice. Donc le meilleur candidat suivant était la résine dans le Pacific Yew - Taxol.

Le taxol est un inhibiteur des microtubules ... en quelque sorte. Plutôt que d'empêcher la formation des tubules, comme le mébendazole, le Taxol agit comme une colle et empêche le démontage des tubules. C'est un processus appelé la polymérisation . Cela endommage la structure interne de la cellule d'une manière non liée uniquement à la division cellulaire. Les effets secondaires de Taxol sont nombreux, alors que le mébendazole a la réputation d'être inoffensif et bien toléré.

mebendazole

Mais il y a une autre grande différence entre le Taxol et le mébendazole - le prix. Taxol coûte plus de 200 $ la dose par rapport à 2 $ pour certaines pilules Vermox à croquer.

Un agent prophylactique?

Avant d'énumérer les études, je ne pouvais pas m'empêcher de me demander pourquoi une personne ne prendrait pas le mébendazole périodiquement dans sa vie pour purger le corps des cellules cancéreuses. Il est connu pour être bien toléré avec peu de toxicité. Dans certaines des études que je vais citer, le mébendazole a été pris avec Tagamet (MC) pour réduire les effets métaboliques du foie et augmenter les concentrations sanguines. Cela semble être une idée qui devrait être explorée.

Le mébendazole n'est actuellement pas reconnu comme médicament anticancéreux. Le manque d'investissement de Big Pharma dans la réalisation de nombreux essais et protocoles ne changera probablement pas ce statut. Mais les médecins sont capables de prescrire le médicament à leur discrétion. Et les gens ordinaires devraient être en mesure de sécuriser eux-mêmes ce médicament.

Comme promis - voici quelques références pour d'autres recherches sur le mébendazole :

 

Le mébendazole médicament antihelmintique induit l'arrêt mitotique et l'apoptose par dépolymérisation de la tubuline dans des cellules de cancer du poumon non à petites cellules , Ji-ichiro Sasaki, Rajagopal Ramesh, Sunil Chada, Yoshihito Gomyo, Jack A. Roth et Tapas Mukhopadhyay, Molecular Cancer Therapy Novembre 2002 1; 1201
"... l'administration orale de MZ chez la souris a provoqué un fort effet antitumoral dans un modèle sc et réduit les colonies pulmonaires dans les métastases pulmonaires induites expérimentalement sans aucune toxicité par rapport aux souris traitées par paclitaxel. [Nous soulignons] Nous supposons que les cellules tumorales peuvent être défectueux dans une fonction de point de contrôle mitotique et sensible à l'inhibiteur de fuseau MZ La formation de fuseau anormal peut être le facteur clé déterminant si une cellule subit l'apoptose, alors que les inhibiteurs de microtubules forts provoquent la toxicité même dans les cellules normales ... "
Le mébendazole provoque un puissant effet antitumoral sur les lignées cellulaires cancéreuses humaines in vitro et in vivo , Tapas Mukhopadhyay, Ji-ichiro Sasaki, Rajagopal Ramesh, et Jack A. Roth, Clinical Cancer Research Septembre 2002 8; 2963

"Nous avons trouvé que le mébendazole (MZ), un dérivé du benzimidazole, induit une réponse apoptotique dépendante de la dose et du temps dans les lignées cellulaires du cancer du poumon humain.MZ a arrêté les cellules en phase G2-M avant le début de l'apoptose Le traitement par MZ a également entraîné une libération mitochondriale du cytochrome c, suivie d'une mort cellulaire apoptotique.MZ semblait également être un puissant inhibiteur de la croissance des cellules tumorales avec peu de toxicité pour le WI38 normal et l'ombilical humain. cellules endothéliales veineuses.Lorsqu'il était administré à des souris nu / nu, le MZ inhibait fortement la croissance des xénogreffes de tumeurs humaines et réduisait significativement le nombre et la taille des tumeurs dans un modèle expérimental de métastase pulmonaire. En évaluant l'angiogenèse, nous avons trouvé des densités de vaisseaux significativement réduites chez les souris traitées par MZ par rapport à celles chez les souris témoins. Ces résultats suggèrent que MZ est efficace dans le traitement du cancer et d'autres maladies dépendantes de l'angiogenèse ... "
Le mébendazole induit l'apoptose via l'inactivation de Bcl-2 dans des cellules de mélanome chimiorésistantes , Nicole Doudican, Adrianna Rodriguez, Iman Osman et Seth J. Orlow, Molecular Cancer Research , août 2008 6; 1308

"... Nos résultats suggèrent que cette approche de dépistage est utile pour identifier les agents prometteurs dans le traitement du mélanome même chimiorésistant et identifie le mébendazole comme un puissant agent cytotoxique spécifique du mélanome ..."
Le mébendazole inhibe la croissance de lignées cellulaires de carcinome corticosurrénal humain implantées chez des souris nues , Daniele Martarelli, Pierluigi Pompei, Caterina Baldi et Giovanni Mazzoni, Cancer Chemotherapy and Pharmacology, Volume 61, Numéro 5, 809-817

« Le corticosurrénalome est une tumeur rare de la glande surrénale qui nécessite de nouvelles approches thérapeutiques comme le diagnostic précoce est difficile et un mauvais pronostic malgré les thérapies utilisées. Récemment, mébendazole a été prouvé être efficace contre les cancers différents. Le but de notre étude était d'évaluer Si le mébendazole peut s'avérer thérapeutiquement utile dans le traitement du carcinome corticosurrénal humain, nous avons analysé l'effet du mébendazole sur des cellules de carcinome adrénocortical humain in vitro et après implantation chez la souris nude. également étudié.Le mébendazole a significativement inhibé la croissance des cellules cancéreuses, in vitro et in vivo, les effets étant dus à l'induction de l'apoptose. De plus, le mébendazole a inhibé l'invasion et la migration des cellules cancéreuses in vitro et la formation de métastases in vivo. Dans l'ensemble, ces données suggèrent que le traitement par le mébendazole, également en association avec des thérapies standard, pourrait fournir un nouveau protocole pour l'inhibition de la croissance du carcinome corticosurrénalien ... "
La monothérapie par le mébendazole et le contrôle à long terme des maladies dans le carcinome adrénocortical métastatique , Irina Y. Dobrosotskaya, MD, Ph.D., Gary D. Hammer, MD, David E. Schteingart, MD, Katherine E. Maturen, MD, Francis P. Worden, MD, Pratique endocrinienne , Volume 17, Numéro 3 / Mai-Juin 2011

"... Un homme de 48 ans atteint d'un carcinome corticosurrénalien a présenté une progression de la maladie avec des traitements systémiques incluant le mitotane, le 5-fluorouracile, la streptozotocine, le bevacizumab et la radiothérapie externe. 100 mg deux fois par jour, en monothérapie, dont les métastases ont d'abord régressé puis sont restées stables.Tout en recevant le mébendazole comme unique traitement pendant 19 mois, sa maladie est restée stable. Il n'a pas eu d'effets indésirables cliniquement significatifs et sa qualité de vie était satisfaisante. Sa maladie a ensuite progressé après 24 mois de monothérapie par le mébendazole. Conclusion: Le mébendazole peut permettre une maîtrise à long terme des carcinomes métastatiques de la corticosurrénale. Il est bien toléré et les effets indésirables associés sont mineurs. ... "
Le mébendazole antiparasitaire montre un bénéfice de survie dans 2 modèles précliniques de glioblastome multiforme , Ren-Yuan Bai, Verena Staedtke, Colette M. Aprhys, Gary L. Gallia et Gregory J. Riggins, Neuro Oncology , (2011) 13 (9): 974-982

"... le mébendazole a significativement prolongé la survie moyenne jusqu'à 63% dans les modèles de gliomes de souris syngéniques et xénogreffes orthotopiques.Le mébendazole a été approuvé par la Food and Drug Administration des États-Unis pour les infections parasitaires, a une longue expérience d'utilisation humaine sûre et a été efficace dans nos modèles animaux avec des doses documentées comme sûres chez l'homme.Nos résultats indiquent que le mébendazole est un nouveau traitement antitumoral potentiellement thérapeutique qui pourrait être testé dans des essais cliniques ...
MISE À JOUR 2016: Plusieurs publications supplémentaires sur l'utilisation du mébendazole pour traiter le cancer du cerveau:

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in any medium, provided the original work is properly cited. Repurposing Drugs in Oncology (ReDO)—mebendazole as an anti-cancer agent Pan Pantziarka1,2, Gauthier Bouche1 , Lydie Meheus1 , Vidula Sukhatme3 and Vikas P. Sukhatme3,4 1 Anticancer Fund, Brussels, 1853 Strombeek-Bever, Belgium 2 The George Pantziarka TP53 Trust, London KT1 2JP, UK 3 GlobalCures, Inc, Newton, MA 02459, USA 4 Beth Israel Deaconess Medical Centre and Harvard Medical School, Boston, MA 02215, USA Correspondence to: Pan Pantziarka. Email: anticancer.org.uk@gmail.com