La physique habituelle dit qu'aucun corps dans l'Univers ne tombe plus vite qu'un autre corps :
c'est l'expérience de Galilée qui, du haut de la Tour de Pise, fit tomber une grosse et une petite
pierre et constata qu'elles tombaient à la même vitesse.
Au cours d'une expérience Bruce DePalma découvrit que les objets en rotation tombent plus vite
que les objets sans rotation.
En prouvant qu'un objet en rotation tombe plus vite qu'un objet fixe, on invalide complètement la
base même de la théorie de la Relativité d'Einstein pour qui, suivant en cela Galilée, tous les objets
tombent à la même vitesse.
{Livre, Age cosmique aux USA (L'), Schiff J.M., Ed. Albin Michel}
En 1837, Andrew Crosse (électricien et scientifique amateur) fit des expériences pour produire des
cristaux de silice par synthèse en faisant passer un courant continu de basse tension. A sa grande
surprise, le 26ème jour les formes qu'il a observé par le biais de lentilles prirent la forme d'un
insecte. Le 28ème jour ces petites créatures bougeaient leurs pattes. Quelques jours plus tard,
elles se séparaient de la pierre et bougeaient à leur gré.
"Ces insectes semblent appartenir au genre Acarien mais il reste à déterminer s'ils appartiennent à
une espèce connue; certains disent non."
Weeks (un autre amateur) a réussi le même genre d'expériences.
Faraday, dans un article lu au Royal Institute, déclarait que des apparitions similaires s'étaient
produites au cours de ses propres expériences mais il ne savait pas si l'on pouvait les considérer
comme "un cas de production ou de revivification".
{Magazine, Nexus, No 4, 09-10/1999}
Dans un bouillon de culture contenant de minuscules traces de lithium, le biologiste allemand
Erwin Santo avait implanté des bactéries, donc des organismes qui ne sont pas encore des
cellules, le noyau cellulaire leur faisant défaut. Il les avait laissées reposer pendant dix-sept
heures, sous une température ambiante supérieure à la normale, dans ce bouillon de culture; au
bout de cet intervalle de temps, elles s'étaient associées en cellules nettement reconnaissables
avec leur noyau et leur plasma, assez similaires aux globules blancs. Et ces cellules vivaient...
La plus précoce grossesse authentifiée semble être celle de Lina Medina, de Lima, au Pérou, qui
mit au monde par césarienne un bébé de 6 livres et demie en 1939. L'heureuse maman avait
quatre ans et huit mois. Il ne s'agit nullement d'un canular car des docteurs américains, qui
examinèrent la fillette au Pérou, affirmait qu'elle ne pouvait guère avoir plus de cinq ans. Deux cas
d'accouchement de gamine ont été signalés en 1971 , l'un près de Cordoba, l'autre à Buenos
Aires.
En Octobre 1965, naquirent dans une maternité de Berlin les deux jumeaux Frank et Lutz Dohm,
l'un précédent l'autre de 10 minutes. 17 mois plus tard l'ami de Melle Dohm, âgée de 38 ans, s'en
remettait à un tribunal pour contester l'une des deux pensions alimentaires qu'on exigeait de lui. Il
était pleinement d'accord pour reconnaître le petit Frank mais non Lutz qui était "le portrait craché"
d'un autre ami d'Ursula Dohm, lequel la fréquentait assidûment 9 mois avant la naissance des
jumeaux.
Un journal à sensation annonçait en 1971, qu'un tribunal de Duisbourg avait eu à se prononcer sur
une circonstance analogue. L'expertise médicale avait établi que seul un des jumeaux avait une
composition du sang correspondant à celle du mari.
D'après un article du British Medical Journal, paru en 1956, et écrit par le Dr Stanley Balfour-Lynn,
éminent ostétricien londonien, une anglaise de 30 ans avait donné naissance à un bébé alors
qu'elle était encore vierge.
{Livre, Terriens ou extra-terrestres ? merveilles et mystères de la nature humaine, Michel Granger
Les scientifiques ont découvert certains codes inscrits dans certains segments de l'ADN.
Ils ont également trouvé des segments qu'ils estiment être superflus (appelés junk ADN). Ces brins
d'ADN, qui étaient auparavant demeurés à l'état latent, vont être activés.
D'après les Pléiadiens :
"Dans nos enseignements, nous avons toujours mis l'emphase sur l'importance de l'oxygène parce
que l'oxygène alimente les codes et éveille l'ADN de sa latence".
Cet éveil de l'ADN permettra de perfectionner tous ses sens, prolonger la vie, etc...
{Livre, Messagers de l'Aube, Barbara Marciniak, Ed. Ariane}
On sait aujourd'hui que l'ADN des enfants de nos jours changent. Chez les humains normaux
seulement 20 codons sont en activité. Certains enfants de nos jours en ont 24. (Source : "l'ancien
secret de la fleur de vie" tome 2, Drunvalo Melchizedek, Ed. Ariane)
{Magazine, Soignez-vous, Santé Pratique}
"Ma mère a deux ADN !
BIOLOGIE CELLULAIRE
Nous sommes tous des chimères : notre organisme héberge toute sa vie des cellules de notre
mère, de nos grands-parents ou frères et soeurs aînés, recueillies pendant notre gestation.
Margot Kruskall, médecin au Beth Israel Deaconess Medical Center de Boston (Massachussets), a
été confrontée à un cas étrange il y a cinq ans. Sa patiente, que nous appellerons Jane, avait
besoin d'une greffe de rein, si bien que les membres de sa famille - son mari et ses trois fils- ont
subi des examens sanguins pour voir si l'un d'entre eux ferait un bon donneur. Mais, en même
temps que les résultats, Jane a reçu un vrai coup de matraque : la lettre lui annonçait que deux de
ses trois fils n'étaient pas d'elle, alors même qu'elle les avait conçus naturellement avec son mari,
qui en est incontestablement le père. Qu'est ce que c'était que cette histoire ?
Kruskall et son équipe ont mis deux ans à résoudre cette énigme. Ils ont fini par découvrir que
Jane était une chimère, un mélange de deux individus - deux fausses jumelles [hétérozygotes] qui
avaient fusionné dans l'utérus pour devenir un seul organisme. Certaines parties de son corps
provenaient du premier, les autres du second. Deux de ses fils ont hérité de l'un de ces profils
génétiques, le troisième de l'autre.
Avec Jane, on a certes affaire à un cas extrême. Mais, à en croire certaines études, nous serions
tous plus ou moins des êtres chimériques. Loin d'être composés d'une seule lignée cellulaire
génétique, nos organismes sont cellulairement bâtards. Nous regorgeons de cellules venant de
nos mères, voire de nos grands-parents et de nos frères et soeurs. Cela peut paraître un peu
choquant a priori. L'idée d'héberger des cellules d'autrui ne fait pas bon ménage avec notre sens
de l'individualité. Mais ces "étrangers" nous permettent peut-être de rester en bonne santé.
Pendant la grossesse, le sang de la mère et celui du foetus sont séparés, mais certaines cellules
parviennent à franchir la barrière placentaire, ce qui veut dire que l'on peut avoir emprunté des
cellules à sa mère et inversement. En fait, entre 80 et 90% des mères ont des cellules ou de l'ADN
de leur enfant dans le sang pendant la grossesse, et 50% d'entre elles les gardent pendant
plusieurs décennies après l'accouchement. C'est ce qu'on appelle le microchimérisme. Si votre
mère a eu un enfant après vous, certaines de vos cellules peuvent être passées dans l'organisme
de votre frère cadet. Et les jumeaux peuvent s'échanger des cellules dans le ventre de la mère, en
particulier s'ils se partagent le placenta. Ainsi, une seule personne peut abriter toute une
population de cellules différentes appartenant à plusieurs générations.
"Les femmes hébergent des cellules à la fois de leur mère et de leurs enfants", commente J. Lee
Nelson, immunologiste au Fred Hutchinson Cancer Research Center, à Seattle.
Dans une étude à paraître dans la revue Arthritis & Rheumatism, Lee Nelson et sa collaboratrice
Natalie Lambert expliquent qu'en analysant des échantillons sanguins prélevés sur 32 femmes
saines elles ont découvert que 22% d'entre elles portaient des globules blancs de leur mère -
environ 50 pour 1 million de cellules sanguines. Et cela vaudrait également pour les hommes.
Cette découverte suscite bien des interrogations. Comment se fait-il que ces envahisseurs
cellulaires ne soient pas éliminés par le système immunitaire ? Ces cellules se divisent-elles à
l'intérieur de l'hôte ? Et pourquoi la mère et l'enfant échangent-ils des cellules ? En ce qui concerne
le passage des cellules foetales dans le corps de la mère, il n'est pas impossible que ces cellules
encouragent le système immunitaire de la mère à tolérer le foetus. Après tout, la grossesse
équivaut à héberger un organe transplanté pendant neuf mois, et les chercheurs en matière de
greffe savent depuis un certain temps que le microchimérisme causé par les lymphocytes de la
greffe, lorsqu'ils se mélangent avec ceux de l'hôte, peut encourager celui-ci, dans certains cas, à
accepter la transplantation. "En revanche, on ne sait pas à quoi servent [les cellules foetales] à
long terme", reconnait Lee Nelson.
Pour ce qui est du passage des cellules maternelles au foetus, il semblerait qu'elles jouent un rôle
majeur dans la santé de l'enfant qui va naître. Au dire de Lee Nelson, les cellules de la mère
pourraient contribuer à la réparation des tissus, en particulier pendant la vie intra-utérine. Des
types inconnus de cellules maternelles traverseraient le placenta pour s'intégrer à l'organisme du
foetus. Le microchimérisme pourrait obliger les immunologistes à récrire leurs manuels."
{Magazine, Courrier International, No 683, 4 au 10 décembre 2003, Ma mère a deux ADN !, New
Scientist, Londres, Claire Answorth