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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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7 décembre 2009

conaissez vous les nanobes des organismes vivants ......

LES NANOBES : des organismes vivants en deçà du micron (extrait de "Culture Net 2013")

    Ces deux articles sont tirés d’une revue peu connue mais tout à fait passionnante : EFFERVISCIENCES. Éditions Midinnova, 51 route d’Espagne, 31000 -
TOULOUSE. (Extrait de la revue n°40).Voilà qui complète et démontre mieux encore le travail d’Antoine Béchamp sur les microzymas. Bonne lecture !

    << Pas de vie sans ADN ! Cet adage néopastorien constitue un frein puissant à l’étude, par les laboratoires académiques, de ces organismes nouvellement
identifiés, qui semblent ubiquitaires, et qui pourraient révolutionner notre appréhension du Vivant.


    A la fin du second millénaire, la majorité des biologistes sont persuadés de connaître tous les types d’êtres vivants qui peuplent la planète. En effet, comment des formes de vies inconnues auraient-elles pu échapper à la sagacité des observateurs et à la sophistication de leurs moyens d’observations ? Et pourtant, une découverte qui pourrait s’avérer aussi fondamentale que la mise en évidence du monde microbien pas Pasteur vient en 1990 sonner le glas de ces tranquilles certitudes, poser de nouvelles questions et dégager de nouvelles possibilités.
Cette année là, le Professeur Rober L. Folk, géologue de l’université du Texas, observe au microscope électronique à balayage d’étranges structures ovoïdes de très petite taille dans des roches carbonatées précipitant dans des sources thermales. Au lieu de ne pas prêter attention à ces dernières comme nombre de ses collègues l’aurait fait, il les examine avec attention. Les petites sphères qu’ils observent ont un diamètre compris entre 30 et 200 Nm et ont tendance, tout comme certaines bactéries, à former des chaînettes.

À cause de cette ressemblance et en raison d’une taille dix fois inférieures à ces dernières, il nomme ces objets “nano-bactéries” et propose de les interpréter comme étant des formes de vies jusqu’alors inconnues. Par la suite, Folk lui-même ainsi que d’autres chercheurs vont identifier des nanobactéries dans d’autres roches plus communes comme les argiles ou des silicates. Dans certains échantillons rocheux, elles sont si nombreuses que Folk les compare à “des haricots enfermés dans un filet” et selon lui ces “êtres” pourraient bien constituer une part notable de la biomasse de notre planète.

Cette découverte d’organismes inconnus, effectuée par des géologues, n’est pas accueillie dans la joie par la communauté scientifique, loin de là !

    A ce sujet, le Professeur Folk rapporte que la “première présentation orale de cette idée (l’existence des nanobes) ne provoqua dans mon auditoire
qu’un silence gêné…”

        Nombreux sont en effet ceux pour qui les nanobes ne sont qu’un artefact d’origine strictement minérale ou de simples débris provenant de bactéries classiques, voire un simple résultat de la méthode d’observation utilisé et ne sont donc qu’une illusion. Leur principal argument concerne la taille des nanobes : ils sont trop peu volumineux pour contenir la machinerie biochimique complexe commune à tous les êtres vivants connus, des bactéries aux baleines…
Leur biochimie serait donc largement différente de celle des autres êtres vivants, ce qui remettrait en cause les grandes lignes de l’évolution des organismes
sur notre planète.

Il devrait en effet exister une taille minimum pour un être vivant : celle qui lui permet de contenir toutes les molécules considérées comme étant indispensables à la vie (acides nucléiques, ribosomes, enzymes…).

Le problème, c’est que si l’on calcule cette taille, le résultat obtenu ne cadre même pas avec les connaissances récentes les mieux établies : on obtient environ 200 nm pour les bactéries les plus petites alors que les mycoplasmes, bactéries bien connues responsables d’infections urinaires et respiratoires, atteignent… 150 nm !


    Pire encore, des microbiologistes pugnaces ont indubitablement mis en évidence dans le sol et l’océan des “ultra-micro-bactéries” d’une taille voisine de 80 nm seulement. Pour trouver son chemin, la vie a apparemment besoin de beaucoup moins de bagages que nous ne le supposions.

Malgré les objections réitérées — mais bien mal étayées — des sceptiques de tout poil, des nanobes sont découverts en quantité toujours plus grande dans des échantillons de roche d’origine variée. Lorsque Mc Kay met en évidence sur la météorite ALH 84001 des formations allongées qui ressemblent fortement à des nanobes fossilisés, d’autres chercheurs examinent des météorites connues et découvrent des structures similaires non seulement dans les météorites ALH mais aussi dans celle d’Allende, de Murchison et de Tataouine.

Seules trois explications sont alors possibles :

- les nanobes sont des artefacts d’origine minérale,

- les nanobes sont des formes de vies terrestres ayant contaminé les météorites,

- les nanobes sont des formes de vies primitives, liées aux minéraux, et répandues largement dans tout l’univers.


    Un aspect reste alors à éclaircir : doit-on considérer les nanobes comme des formes fossiles ou d’authentiques êtres vivants, capables donc de se reproduire ?

    Des éléments de réponse étonnants vont venir, en 1998, de l’étude de grès australiens recueillis lors de forages pétroliers off shore à plus de 4000 m sous la surface océanique, soit à des températures d’environ 150°C et des pressions de 2000 atmosphères.



    Malgré le scepticisme et le silence écrasant de la communauté scientifique, le statut biologique des nanobes est alors établi par le Professeur P. Uwins, de l’université du Queensland, qui démontre clairement que “les nanobes ne sont pas des structures cristallines minérales et sont composés de carbone, d’oxygène et d’azote”.



    Mieux encore, après avoir noté des similarités morphologiques entre les nanobes et des champignons microscopiques dix fois plus grands, l’équipe du Pr. Uwins montre que les nanobes sont capables de se reproduire et contiennent probablement des acides nucléiques…

    Les organismes observés par cette équipe au moyen d’un microscope à balayage extrêmement puissant (et onéreux ! il n’en existe que quelques unités dans le monde) ont en effet la forme de fibrilles enchevêtrées, comme un feutre, ce qui rappelle la forme d’un mycélium. Les colonies de nanobes ont une vitesse de croissance surprenante, et envahissent littéralement les milieux de culture qui leurs sont proposés (quand ils ne s’évadent pas !), formant en quelques semaines des colonies denses de filaments gris, bruns ou blanc. Les diverses morphologies observées suggèrent même l’existence d’un cycle de reproduction correspondant à celui des moisissures. Les nanobes posséderaient alors une reproduction de type sexuée ce qui est considéré comme un caractère plutôt évolué…

    La résistance physique des nanobes semble extrême : observés en microscopie électronique, les échantillons montrent qu’ils conservent leur capacité à se développer malgré le vide intense, les faisceaux d’électrons et les rayonnements auxquels ils ont été soumis. Cette résistance pour la moins inhabituelle est même utilisée par certains auteurs pour leur dénier le statut d’être vivant. Et pourtant…


    Ultérieurement, l’équipe de recherche du Pr Uwins confirmera la présence d’acides nucléiques contenus dans l’équivalent d’un  “noyau” lové, enfermé dans une “membrane” minéralisée extrêmement résistante qui rend l’étude des nanobes très difficile.

        Actuellement, ces chercheurs tentent de cultiver des nanobes afin d’obtenir une quantité d’acides nucléiques (ADN ou molécule autoréplicative plus simple ?) suffisante pour permettre l’étude de sa composition et de sa séquence. Il deviendra alors possible de comparer le génome de ces organismes à ceux que nous connaissons, ce qui permettra de faire des hypothèses sur leur origine et nous donnera des indications sur leur biochimie, qui pour l’heure nous est inconnue.

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7 mai 2009

déficit colossal pour Obama qui chasse le gaspillage

07.05.2009 La Maison Blanche a présenté jeudi son projet de budget détaillé pour l'exercice 2010, année de la relance de l'économie mais aussi du début, encore modeste, de la réduction d'un déficit public gigantesque pour l'administration de Barack Obama.

Le président Barack Obama après la présentation du budget 2010, le 7 mai 2009 à Washington ©  Jim Watson

Le président, dont le premier exercice entier va être compliqué par une conjoncture économique défavorable, a insisté en présentant ce budget sur la chasse au gaspillage.

"On dépense beaucoup d'argent inutilement, inefficacement, et, dans certains cas, de manière vraiment ahurissante", a-t-il dit.

Comme annoncé en février, la Maison Blanche compte durant l'exercice 2010 (qui débutera en octobre) réduire le déficit public aux environs de 1.200 milliards de dollars, contre 1.750 milliards estimés pour l'exercice en cours (qui s'achève en septembre).

Autrement dit, pour chaque dollar dépensé, seuls deux-tiers sont financés par des recettes fiscales et le tiers restant par l'endettement.

La moitié des économies proviennent du budget de la défense, qui continue cependant d'augmenter à un moment où les Etats-Unis restent engagés en Afghanistan et en Irak.

Les subventions agricoles et l'éducation sont aussi des sources d'économies conséquentes.

Un volume de plus de 1.300 pages détaille, par administration et par département (les ministères), l'affectation des quelque 3.400 milliards de dollars de dépenses de l'Etat fédéral sur l'exercice 2010.

Elles comprennent une "réserve" de 250 milliards de dollars mise à disposition du département du Trésor pour intervenir dans le secteur financier, sans autre détail. "L'administration travaillera avec le Congrès pour déterminer la taille et la forme adéquates de tels efforts", s'est bornée à indiquer la Maison Blanche.

La majeure partie (environ 350 milliards de dollars sur 787 milliards) du plan de relance voté en février par le Congrès doit aussi être dépensée sur cet exercice.

Les opérations militaires à l'étranger sont dotées de 130 milliards et la sécurisation de la frontière avec le Mexique de 27 milliards.

Symbolisant la volonté d'éliminer le superflu, le Bureau de gestion et du budget (OMB) de la Maison Blanche a publié un document qui énonce 121 dépenses obsolètes et inefficaces supprimées ou considérablement réduites.

Le montant de 17 milliards de dollars ainsi économisé est "une belle somme, même dans les normes de Washington", a jugé M. Obama.

Mais c'est "une fraction de pourcentage par rapport aux milliers de milliards que ce budget ajouterait à la dette publique", a tonné le chef de l'opposition républicaine au Sénat, Mitch McConnell. "Il est clair qu'il y a beaucoup plus à faire pour protéger nos enfants et petits enfants", a-t-il insisté, mettant en garde contre le poids de l'endettement pour les générations futures.

Le Congrès à majorité démocrate avait approuvé fin avril un projet de budget préliminaire, et doit se prononcer sur ce projet détaillé.

"Même si le Congrès ne devrait pas donner son accord à tous les changements proposés par l'exécutif, le processus (d'audit sur les dépenses inutiles) et les projets qui en résultent sont un pas dans la bonne direction et un signe de discipline budgétaire", a estimé le président de la commission budgétaire de la Chambre des représentants, John Spratt.

3 mai 2009

Grippe: USA, Canada et Mexique appellent à ne pas freiner le commerce

02.05.2009 Les Etats-Unis, le Canada et la Mexique ont appelé samedi dans une déclaration commune à ne pas tirer prétexte de la grippe porcine pour entraver le commerce international.

Le ministre de l'Agriculture américain Tom Vilsack en Italie le 19 avril 2009 ©  Andreas Solaro

"Nous exhortons avec force la communauté internationale à ne pas se servir de l'apparition de la grippe porcine pour limiter inutilement le commerce", déclarent le ministre de l'Agriculture américain Tom Vilsack, et ses homologues du Canada et du Mexique, Gerry Ritz et Alberto Cardenas, dans un communiqué publié à Washington.

Les trois ministres plaident également pour que toutes les décisions des Etats "soient prises sur la base de preuves scientifiques solides",

Le virus H1N1 de la grippe porcine (grippe A) ne se "transmet pas par la nourriture. Des organisations internationales comme l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), l'Organisation mondiale des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (OAA) et l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) ont toutes répété que la consommation de viande de porc et de produits dérivés ne présente aucun risque sanitaire de contracter la grippe porcine", ajoute le texte.

La grippe porcine apparue au Mexique est dénommée grippe A (H1N1) par l'OMS. Elle a fait officiellement 16 morts au Mexique et un aux Etats-Unis.

"Les autorités canadiennes, américaines et mexicaines ont insisté sur le fait qu'elle n'avaient trouvé aucun cas de grippe dans le cheptel porcin", ajoutent les trois ministres.

"L'épidémie actuelle de grippe H1N1 se transmet d'homme à homme. Les autorités sanitaires de nos trois pays abordent ensemble la question, mettant l'accent sur la nécessité qu'il y a à coopérer et faire front commun contre ce nouveau virus", ajoutent-ils.

Le Canada et les Etats-Unis sont membres du Groupe des Sept (G 7). Ce forum de pays développés réunissant également l'Allemagne, la France, la Grande-Bretagne, l'Italie et le Japon, a redit le 24 avril son engagement "à résister à l'érection de nouvelles barrières à l'investissement ou au commerce" qui viendraient entraver les efforts des différents gouvernements de la planète pour sortir le monde de la crise économique.

3 mai 2009

L'OMS redoute une pandémie de grippe porcine

Depuis son siège de Genève l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a, dans l'après-midi du samedi 25 avril,  prévenu que le nouveau virus grippal à l'origine d'un début d'épidémie au Mexique et aux Etats-Unis  est clairement doté d'un «potentiel pandémique».

L'OMS appelle tous les pays à augmenter leur niveau de veille épidémiologique. L'ensemble des autorités sanitaires internationales étaient déjà depuis quelques jours en alerte après la découverte d'une bouffée épidémique due à un nouveau virus grippal d'origine animale responsable ces derniers jours d'une soixantaine de morts au Mexique. Fait inquiétant: la plupart des victimes étaient en bonne santé et âgées de 25 à 45 ans. Plus d'un millier de personnes souffrant de pneumonie sont en observation dans le pays. Huit cas bénins de la maladie viennent également d'être identifiée au Texas et en Californie. Principale question soulevée assiste-t-on ici au début d'une nouvelle pandémie grippale hautement pathogène ?

En France le ministère de la santé a, samedi 25 avril, annoncé la mise en place d'une «conférence de presse quotidienne» sur ce sujet. La première se tiendra le dimanche 26 avril à 15 heures sous de  Roselyne Bachelot. Un «centre de crise» a d'ores et déjà été mis en place par les autorités françaises pour émettre notamment des recommandations à destination des Français résidant au Mexique ainsi que des conseils aux voyageurs.

« Ces mesures ont été mises en place parce que l''on sait très bien que les déplacements aériens ou maritimes sont nombreux. Il n'est pas exclu qu'une personne malade, donc potentiellement contagieuse, puisse entrer en France ou en Europe» a expliqué Didier Houssin, responsable de la Direction générale de la  santé. Les mesures de surveillance et de vigilance sont «destinées à identifier le  plus tôt possible l'apparition d'un cas sur le terriroire national.  Il faut s'attendre dans les jours qui viennent à ce qu'on ait des suspicions de cas avec des personnes en provenance du Mexique.» Le professeur Houssin a d'autre part précisé que l''Institut national de veille sanitaire avait  activé son dispositif de veille pour le cas où une suspicion de cas serait observé rapidement, l'authentifier et prendre les mesures nécessaires.

Outre-Atlantique une série d'initiatives ont depuis peu été prises par les autorités sanitaires mexicaines pour réduire les mouvements de population et donc les risques de transmission inter-humaine de l'infection. Vendredi 24 avril, l'armée mexicaine a commencé à distribuer gratuitement des masques individuels de protection. Toutes les écoles, les lycées et et les universités publiques et privées ont été fermés dans la capitale (où vivent 20 millions de personnes) ainsi que dans l'Etat de Mexico. Il en va de même pour les  théâtres et les musées.

Les autorités de la capitale mexicaine ont  demandé à la population d'éviter de prendre les transports en commun, de ne pas s'embrasser ou plus se serrer la main pour se saluer. Autre symptôme éclairant de l'inquiétude des autorités: les deux rencontres de football de Première division prévues dimanche 26 avril à Mexico seront bien disputées, mais à huis clos. Le président mexicain Felipe Calderon et le maire de Mexico, Marcelo Ebrard, ont suspendu toutes leurs activités initialement prévues pour se consacrer à l'organisation de la lutte préventive. L'aéroport de la capitale demeure en activité et aucune décision de mise en quarantaine ou de fermeture des frontières n'a été prise.

Aux Etats-Unis le président Barack Obama est tenu informé de l'évolution de la  situation et la Maison-Blanche a déclaré prendre l'alerte très au sérieux. Des « centres opérationnels d'urgence » ont été mis en  place. Au Canada, la ministre de la santé  a appelé la population à la plus grande vigilance. D'autre part six pays latino-américains a priori non touchés  (Costa Rica, Nicaragua, Brésil, Pérou,  Chili et Colombie) ont décrété un état d'alerte sanitaire ou annoncé des mesures préventives.

A Genève au siège de l'OMS, où l'on se dit « très inquiet », on a activé  un centre d'opération chargé de récolter et de centraliser toutes les informations virologiques et épidémiologiques. La directrice générale de l'OMS, Margaret Chan, rentrée dans la nuit du 24 au 25 avril de Washington à Genève a participé dans l'après-midi du samedi 25 avril à une téléconférence en liaison avec  la commission d'urgence du Règlement sanitaire international (RSI). La commission d'urgence pourrait très bientôt formuler des recommandations, concernant  un relèvement de l'alerte vis à vis d'un risque de pandémie -pouvant conduire à des décisons de fermeture des frontières et de réduction des mouvements de transports aériens. 

Le 24 avril une certaine confusion demeurait encore quant au type de virus responsable de ce début d'épidémie. Selon l'OMS les premiers cas mortels observés au Mexique seraient dus à une infection par le virus grippal de type A/H1N1 connu pour être responsable d'une forme de grippe porcine. Mais Dave Daigle, porte-parole des Centres américains pour le contrôle et la surveillance des maladies (CDC) a déclaré que le nouvel agent pathogène était constitué de plusieurs souches. Il serait ainsi selon lui le produit d'une série de mutations et de réassortiments génétiques et composé d'éléments provenant de virus d'origine à la fois aviaire, porcine et humaine, une situation semble-t-il jamais vue jusqu'à présent. L'information a été confirmée dans la matinée du 25 avril. Selon les responsables du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies  «il y a un risque, même réduit, d'apparitions de virus au potentiel pandémique.» La plupart des  centres de référence de virologie agréés par l'OMS travaillent actuellement à décrypter la composition génétique et moléculaire de ce nouveau virus afin d'en identifier l'origine et de tenter d'en évaluer le caractère pathogène.

Le 25 avril une certaine confusion règnait aussi quant aux mesures pouvant être prises en terme de vaccination ou de prescription médicamenteuses.  Selon Armando Ahued, responsable sanitaire de la municipalité de Mexico un «antivirus spécifique» serait disponible et le pays disposerait d'un million de doses du médicament. Il s'agit du Tamiflu (ou oeltamivir) de la multinationale pharmaceutique Roche. Les autorités sanitaires mexicaines ont annoncé le 24 avril que le recours au médicament était préférable à une campagne de vaccination antigrippale de masse. Elles avaient pourtant annoncé une campagne de vaccination quelques heures plus tôt avant que l'OMS ne laisse entendre que les vaccins antigrippaux actuellement disponibles n'étaient pas efficaces contre la nouvelle souche virale émergente.

Jean-Yves Nau

2 mai 2009

limage subliminale et illusion d'optique le cerveau nous trompent

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fixez cette image et observé ce qui est fixe bouger voilà votre réalité notre esprit se trompe  peut être somme nous sujet a un univers en hologrammes crée  par des impulsion électromagnétique que notre cerveau recode en image et nous créant ainsi notre réalité et notre monde que voyons nous réelement . Est-ce réellement nos sens qui ne sont pas bien ajustés à notre monde physique tridimensionnel ? Ou serait-ce en réalité autre chose ? Bien sûr, il est plus aisé pour l'Ego de déclarer que nos sens sont maladroits et/ou mal entraînés et que nous voguons à tâtons dans le monde physique, mais à y regarder de plus près, à bien analyser la situation, nous devons en conclure tout autrement : notre cerveau ne suit pas la danse. Nos yeux ne nous envoient pas d'informations qui stipulent que « la ligne n'est pas droite » ou que « les cercles tournent », ils nous envoient l'image telle quelle est, immobile et bien droite. Nos oreilles ne nous transmettent pas « Sept bicycles à espace » alors qu'en réalité notre interlocuteur a dit : « C'est ici que ça se passe ». C'est notre organe pensif qui interprète, à tort, l'information. Quelque chose se passe de travers au niveau de nos neurones pour ainsi dire, car c'est au niveau du traitement de l'information qu'il y a défaillance et non au niveau de l'information elle-même. L'illusion, la Mâyâ ne réside donc pas à l'extérieur de nous, dans le mauvais fonctionnement de nos capteurs physiques, mais bien à l'intérieur de nous, dans le décodage de l'information reçue. C'est notre interprétation de la réalité qui est fausse. Et Dieu, s'il existe vraiment, sait combien il est facile de nous tromper à ce niveau. Exemplifions encore un peu plus.

  • Un jeu classique, que tous les enfants s'amusent à se faire mutuellement, est le fameux « tes bras passent au travers du sol ». Étendu au sol à plat ventre, les bras droits au-dessus de la tête, face contre terre, la première personne se ferme les yeux et se laisse prendre les mains par la seconde. Celle-ci lève les bras de la première à environ un demi-mètre du sol, maintient cette position une trentaine de secondes et commence à les redescendre tranquillement. La personne couchée par terre, une fois son visage au sol, croit qu'incessamment ses bras et ses mains vont aussi toucher le plancher alors qu'en réalité ils sont encore à plus d'une dizaine de centimètres de celui-ci. La seconde continuant de descendre très tranquillement, la première a la sérieuse impression que ses bras et ses mains passent au travers du sol. Si vous ne l'avez jamais fait, tentez-le, ça vaut le coup.


  • Un autre exemple intéressant : Selon une étude de L'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers dnas un mot n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenìre soeint à la bnnoe pclae. Le rsete puet êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujorus lrie snas porlbème. C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot. La peruve !


  • Nous parlons d'illusion, mais que dire du contrôle ? Ferait-il lui aussi partie de l'illusion ? Restez assis, levez votre pied droit du plancher et faites-lui faire des cercles dans le sens des aiguilles d'une montre. Pendant que vous faites des cercles avec votre pied droit, dessinez le chiffre 6 dans les airs avec votre main droite. Votre pied changera de direction. Si ce n'est pas le cas, tentez de le faire avec le côté gauche. Un contrôle illusoire ? allez pour le fun une autre image
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30 avril 2009

Un grizzli comme meilleur ami et témoin à son mariage

Ce grizzli de 450 kg est le meilleur ami de Casey Anderson, un naturaliste qui l'a sauvé lors de sa naissance. Depuis l'homme et l'animal sont devenus inséparables grâce à une amitié et une confiance à toute épreuve     les_maries_et_le_grizzli_10334_w560jeu_dans_l_herbe_10342_h140casey_anderson_et_le_grizzli_brutus_10346_w560

30 avril 2009

nouveau viagra Viagra à appliquer sur la peau, bientôt dans le commerce ?

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États-Unis - Des chercheurs auraient mis au point un traitement absorbé directement par la peau et qui aurait des effets similaires, voire plus efficaces, que le Viagra. les recherches n'ont pour l'instant été menées que sur des rats mais sont plutôt concluantes : sur sept rats soumis au traitement, cinq ont manifesté des signes d'excitation. Le remède en question fonctionne par application directe sur la peau de nanoparticules qui agiraient activement sur les dysfonctionnements érectiles. Les chercheurs pensent même que ce traitement serait plus efficace que le Viagra qui commence à produire ses effets seulement une heure après avoir été ingéré. Ici, les effets seraient quasiment instantanés. Ce traitement éviterait, en outre, les effets indésirables de la petite pilule bleue qui peut entraîner des maux de tête ou des rougeurs. Si ces premiers résultats sont encourageants, les tests doivent encore être approfondis, notamment pour s'assurer de l'efficacité du médicament sur les humains.

Un concurrent au Viagra à appliquer sur la peau, bientôt dans le commerce ?

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