Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rusty james news
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
actualite sur le net et dossier sante et conseils - commentaires
25 juillet 2013

Supercherie vaccinale de Merck exposée par deux de ses virologistes

biohazard_by_shiceicedice

Selon deux chercheurs de Merck qui ont déposé en 2010 une plainte en vertu du False Claims Act [loi sur les fausses déclarations] – plainte qui vient d’être décachetée juste maintenant –,

Le fabricant de vaccin Merck a sciemment falsifié les données de ses essais sur le vaccin des oreillons, trafiqué les échantillons sanguins avec des anticorps d’origine animale, vendu un vaccin qui, en réalité, favorise les épidémies d’oreillons et de rougeole, et arnaqué les gouvernements et les consommateurs qui achètent le vaccin en pensant qu’il est « efficace à 95% ».

 Supercherie vaccinale de Merck exposée par deux virologistes

Selon deux chercheurs de Merck qui ont déposé en 2010 une plainte en vertu du False Claims Act [loi sur les fausses déclarations] – plainte qui vient d’être décachetée –,

Le fabricant de vaccin Merck a sciemment falsifié les données de ses essais sur le vaccin des oreillons, et trafiqué les échantillons sanguins avec des anticorps d’origine animale, vendu un vaccin qui, en réalité, favorise les épidémies d’oreillons et de rougeole, et arnaqué les gouvernements et les consommateurs qui achètent le vaccin en pensant qu’il est « efficace à 95% ».

Selon Stephen Krahling et Joan Wlochowski, deux anciens virologistes de Merck, la compagnie Merck s’est adonnée intégralement aux agissements suivants : à savoir .

Merck a sciemment falsifié les résultats de ses essais du vaccin des oreillons afin de fabriquer un « taux d’efficacité de 95% ».

Pour ce faire, Merck a trafiqué les échantillons sanguins avec des anticorps d’animaux afin de gonfler artificiellement l’apparition d’anticorps dans le système immunitaire. Comme l’a rapporté CourthouseNews.com :

Merck a aussi ajouté des anticorps d’origine animale à des échantillons de sang pour obtenir des résultats de tests plus favorables, bien qu’il sût que le système immunitaire humain ne produirait jamais ce genre d’anticorps, et que les anticorps créaient un scénario de test de laboratoire qui, selon la plainte, « ne correspond en aucune manière à la vie réelle, n’est pas en corrélation avec elle, ou ne représente pas... la neutralisation des virus chez les personnes vaccinées ».

Merck a ensuite utilisé les résultats falsifiés du test pour escroquer le gouvernement de Zunie de « centaines de millions de dollars pour un vaccin ne conférant aucune immunisation adéquate. »

Faisant que plus d’enfants ont été infectés par les oreillons, le vaccin frauduleux de Merck a en réalité contribué à pérenniser les oreillons en Amérique. (Ça alors ! Vraiment ? C’est ce que Natural News rapporte depuis des années... les vaccins sont en réalité élaborés pour maintenir le cours des épidémies, car c’est vachement chouette pour perpétuer le business !)

Merck a utilisé sa fausse allégation du « 95 pour cent d’efficacité » pour monopoliser le marché des vaccins et éliminer tout concurrent possible.

  Selon les virologistes de Merck, la supercherie vaccinale de Merck a cours depuis la fin des années 1990.

Le vaccin de Merck n’a jamais été testé contre le virus des oreillons dans le « monde réel », en pleine nature. Au lieu de cela, les résultats des tests ont tout simplement été falsifiés afin d’obtenir le résultat souhaité.

Cette tromperie a été entièrement mise en place « en toute connaissance de l’autorité et avec l’approbation de la haute direction de Merck. »

Selon les documents du tribunal (voir ci-dessous), les scientifiques de Merck « étaient témoins de la falsification abusive des tests et des données dans laquelle s’est engagé Merck pour gonfler artificiellement les conclusions sur l’efficacité du vaccin. »

Les services de santé de Chatom poursuivent Merck en vertu du Sherman Antitrust Act, pour violation de garantie et violation des lois sur la protection du consommateur

Suite à l’ouverture de la plainte de 2010 en vertu du False Claims Act, les services de santé de Chatom, en Alabama, ont senti que quelque chose puait. Il y a trois jours, Chatom a déposé une plainte contre Merck. Le dossier de cette action judiciaire est ici :
www.naturalnews.com/gallery/documents/Chatom-Lawsuit-Merck-Mumps.pdf

  Entre autres choses choquantes, le dossier allègue :

  • ...durant une dizaine d’années, [Merck s’est adonné à] falsifier et contrefaire la véritable efficacité de son vaccin.
  • Merck a signalé frauduleusement et continue déloyalement de faire remarquer dans ses étiquetages et ailleurs que son vaccin contre les oreillons a un taux d’efficacité au plus haut de 95 pour cent.
  • En réalité, Merck sait, et a pris des mesures positives pour dissimuler – à l’aide de techniques de test abusives et de falsification de données de test – que l’efficacité de son vaccin contre les oreillons est, et ce depuis au moins 1999, de très loin inférieure à 95 pour cent.
  • Merck avait conçu une méthodologie de test qui évaluait son vaccin contre une souche moins virulente du virus des oreillons. Après que les résultats n’aient pas donné l’efficacité souhaitée par Merck, il a abandonné cette méthodologie et dissimulé les conclusions de l’étude.
  • ...incorporant l’usage d’anticorps d’origine animale pour gonfler artificiellement les résultats...
  • ...détruisant les preuves de falsification des données et mentant ensuite à un enquêteur de la FDA...
  • ...menaçant de prison un virologiste de la division vaccin de Merck, s’il signalait la supercherie à la FDA...
  • ...il y a les victimes ultimes, les millions d’enfants qui chaque année reçoivent un vaccin contre les oreillons qui ne leur donne pas un niveau de protection adéquat. Et, bien qu’il s’agît d’une maladie qui, selon les Centers for Disease Control (CDC), était censée être éradiquée à ce jour, le vaccin raté de Merck a permis à cette maladie de perdurer, avec d’importantes épidémies continuant de se produire.

Les services de santé de Chatom allèguent également que le vaccin frauduleux de Merck a contribué à l’épidémie d’oreillons de 2006 dans le Midwest, et à l’épidémie de 2009 ailleurs. Ils disent, « Il en est resté un risque important de résurgence des épidémies d’oreillons... »

 L’enquête ne fait que commencer

Natural News a seulement commencé à enquêter sur cette nouvelle-choc incroyable concernant Merck et l’industrie du vaccin. Nous sommes plongés dans les documents du tribunal pour identifier les informations supplémentaires pouvant être pertinentes dans cette affaire, et nous prévoyons de vous rapporter ces informations prochainement.

Pour la petite histoire, Merck nie toutes les allégations. Ça surprend quelqu’un ?

Sources de cet article

Natural News tient à remercier CourthouseNews.com pour sa couverture sur cette affaire. L’article original est ici :

www.courthousenews.com/2012/06/27/47851.htm

Action judiciaire de Chatom contre Merck :

www.naturalnews.com/gallery/documents/Chatom-Lawsuit-Merck-Mumps359

http://www.amessi.org/Supercherie-vaccinale-de-Merck-exposee-par-deux-de-ses-virologistes

Plainte de 2010 en vertu du False Claims Act 2011 contre Merck, par deux de ses anciens virologistes :

www.naturalnews.com/gallery/documents/Merck-False-Claims-Act.pdf

Annonce de l’action en justice dans les médias internationaux :

www.nasdaq.com/article/lawsuit-claims-merck-overstated-mumps-vaccine-effectiveness-20120622-00532

Publicité
Publicité
23 juillet 2013

LA DISPARITION DES MALADIES INFECTIEUSES N’EST PAS DUE AUX VACCINS

220px-INF3-280_Health_Diphtheria_is_deadly_-_protect_your_child_by_immunisation_Artist_J_H_Dowd


 
     L
es chiffres le prouvent, les courbes le montrent : les vaccins n’ont pas éradiqué les épidémies. Bien au contraire, ils ont favorisé l’émergence de maladies d’autant plus redoutables qu’elles surviennent sur des sujets adultes au système immunitaire affaibli.
Il existe actuellement un rejet très net du principe vaccinal à cause des nombreux effets secondaires graves qu’il génère. Cependant, même les victimes de l’obligation vaccinale persistent à affirmer que, malgré les risques, les vaccins ont « éradiqué » les maladies infectieuses de la planète.
 
   Or, dès que l’on se penche sur la question, on s’aperçoit qu’il n’en est rien et que certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins semblent ignorer. Ainsi, en 1348, la peste noire fit périr la majorité de la population française, puis elle a sévi pendant des siècles à travers le monde pour s’éteindre totalement sans aucune vaccination. Le choléra a, lui aussi, semé la terreur dans notre pays pour disparaître totalement sans aucun vaccin. Si la vaccination contre ces maladies avait existé et avait été obligatoire durant ces périodes critiques, il est probable que l’on aurait attribué cette disparition aux bienfaits des vaccins. Or, il faut imputer ces régressions à d’autres facteurs. Quant à la lèpre, qui existe encore dans certains pays à l’état endémique, elle ne cause plus de ravages comme elle le fit par le passé et les grandes épidémies ne sévissent plus, bien qu’il n’existe aucun vaccin contre cette maladie.
D’une manière générale, il suffit d’observer les courbes de déclin des maladies pour s’apercevoir que ce déclin a toujours commencé bien avant l’introduction des vaccins.
 
8435815214_3bc73893dd.jpgTuberculose et BCG
  Un certain nombre de pays ne vaccinent pas contre la tuberculose, notamment les États-Unis, car 
le fait d'avoir reçu le BCG entraîne un test tuberculinique positif qui brouille le diagnostic de la maladie en cas de tuberculose. Le fait de vacciner contre le BCG rend plus difficile l'identification de l'infection. On ne peut donc attribuer la diminution spectaculaire des cas de tuberculose au vaccin.
COURBE.JPG
En 1975, la Suède a décidé d'interrompre la vaccination systématique des nouveau-nés. L'incidence de la tuberculose a continué à décroître au même rythme.
Dans son numéro spécial de février 1997, le Bulletin Epidémiologique signalait que sur « 7 594 cas de tuberculose déclarées en France en 1996, parmi les 293 enfants de moins de 15 ans atteints, dont le statut vaccinal est connu, 70 % ont été vaccinés [...]. De nombreuses études montrent que lors d'une épidémie il y a autant de personnes atteintes chez les vaccinés ou les non vaccinés. »
 Et si l’on observe la courbe de mortalité en Allemagne entre 1750 et 1950, on remarque que les cas ont diminué bien avant la vaccination.
 
poumon.JPG
Quant à la courbe de mortalité en Grande-Bretagne entre 1865 et 1964, elle permet de constater une diminution régulière et spectaculaire des cas, avec des paliers durant les deux guerres, bien avant l’introduction du vaccin en 1955.
En outre, selon le document sur la tuberculose publié par l’OMS en 2003, 1980 il y avait 29 991 cas en Allemagne et 17 199 cas en France. Or la RFA a supprimé en 1973 l'utilisation du BCG, et la RDA en 2001, il n'y a plus que 6 959 cas de tuberculose, soit 84 cas par million d'habitants en Allemagne, mais en France, malgré (ou à cause de) l'obligation vaccinale qui n’a été supprimée qu’en 2007, on trouve encore 96 cas par million d'habitant soit un total de 5 814 cas. D’ailleurs, contrairement aux « craintes » des services de santé, lorsque ce vaccin n’a plus été obligatoire et que l’incidence du vaccin a très fortement chuté, on n’a pu déceler le moindre signe d'augmentation des cas liée à cette diminution. Au contraire, il s’est produit une nette diminution des méningites tuberculeuses et moins de cas de tuberculose chez les enfants, même dans les régions les plus exposées.
   L’un des arguments avancés pour le maintien du BCG est qu'il protégeait efficacement de la méningite tuberculeuse. Or, dés 1973, le Dr F. Freerksen, directeur de l’Institut de Biologie Expérimentale, précisait : « Le dogme de l’absence de méningite tuberculeuse chez les vaccinés doit être abandonné (entre 1964 et 1968, à Vienne, sur quatre méningites tuberculeuses, deux se sont produites chez des sujets vaccinés). » (cf. Le Concours médical, 20 avril 1974, t. 96 [16], p. 2 529-2 530). L’année même, la République Fédérale allemande supprimait ce vaccin. Pour sa part, le Pr. Costil, de l’hôpital Trousseau à Paris, a pu observer huit cas de méningite tuberculeuse, survenus entre 1978 et 1988, chez des enfants vaccinés avec le BCG (cf. Profil du 13 juillet 1989).
On cite souvent le décès de 6 enfants âgés de moins de 5 ans par la tuberculose en 1995, mais on « oublie » toujours de dire que, sur les 6 enfants, 3 étaient correctement vaccinés par ledit BCG.
2703076718_de67d81226.jpgLe cas de la diphtérie
   Le déclin naturel de la diphtérie est inscrit au crédit de l’action vaccinale, alors qu’il s’agit d’un phénomène spontané de régression épidémique dans tous les pays d’Europe, qu’il y ait eu vaccination ou pas.
La diphtérie est aussi un exemple frappant de la disparition de la maladie avant la vaccination systématique. En Australie, dès 1923, K. R. Morre avait remarqué que la diphtérie avait autant régressé dans les localités non vaccinées que dans celles où les vaccinations avaient été recommandées. Son étude a paru dans le Bulletin de l’office intérieur d’hygiène publique en 1926. Depuis cette époque, de nombreuses observations basées sur les chiffres fournis par l’OMS ont montré une décroissance identique de la diphtérie en Allemagne, en Hongrie, en Suisse, en Pologne et aux États-Unis (fig. 3).
courbe2.JPGEUROPE.JPG
Deces.JPG
evolution.JPG
Quant au Japon non vacciné et au Canada vacciné, l’incidence n’est pas la même, mais la diminution des cas est tout aussi spectaculaire (fig. 4). Entre 1944 et 1952, le Japon, qui avait entrepris une campagne vaccinale, l’arrêta à la suite d’une quarantaine d’accidents vaccinaux mortels. Pourtant, le déclin de la maladie fut remarquable, de onze à quinze fois moins de morbidité et de mortalité, alors que le pays souffrait encore des conséquences de sa défaite  : sou alimentation et misère extrême. Comme le signale Fernand Delarue dans son ouvrage L’Intoxication vaccinale, « si la vaccination a semblé faire merveille au Canada, la non-vaccination a elle aussi réalisé des prodiges au Japon ».
   En France, de 1945 à 1950, le nombre de décès est tombé de 1839 à 121 chez les enfants de 1 à 14 ans (vaccinés) et de 517 à 34 chez les moins de 1 an (non vaccinés), soit une baisse de 93 % dans les deux cas. Le déclin naturel de la diphtérie est inscrit au crédit de l’action vaccinale, alors qu’il s’agit d’un phénomène spontané de régression épidémique dans tous les pays d’Europe, qu’il y ait eu vaccination ou pas. L’étude la plus complète sur l’incidence de la vaccination antidiphtérique a été faite en 1954 par le Pr Robert Rendu et est parue le 20 février de la même année dans le Journal de médecine de Lyon. « Comme cette régression “spectaculaire” a plus ou moins coïncidé avec l’extension de la vaccination dans tous les pays civilisés du monde, on a en a conclu que c’était l’anatoxine qui avait fait reculer la diphtérie. »
Par ailleurs il ne faut pas oublier que la vaccination contre la diphtérie a été suivie par des épidémies de poliomyélite directement liées à la vaccination anti-diphtérique.
 
1862878322_4480be40a5.jpgPoliomyélite et tétanos
   Vers la fin des années 40, on dénombra en Angleterre et au pays de Galles de nombreux cas de poliomyélite après l’injection du vaccin antidiphtérique, ce qui mena à interdire le vaccin dans ces pays en avril 1950. Et sur 1308 cas de paralysie survenus à cette époque chez des enfants âgés de 6 mois à 2 ans, 170 cas étaient liés à une injection antidiphtérique (fig. 5).
    Pour le tétanos, la situation est différente. La maladie n’étant pas contagieuse, elle ne se transmet donc pas par contact d’individu à individu, et elle n’est pas immunisante. « Puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux pro- téger de la maladie ? » demandait en 1949 le Dr Robert Rendu, de la faculté de médecine de Lyon, dans La Presse médicale. Entre 1943 et 1947, cinq millions au moins d’enfants ont été vaccinés, soit plus de la moitié de la population âgée de 1 à 14 ans. « Cette vaccination massive aurait dû entraîner une diminution considérable du nombre de décès, or les statistiques officielles montrent que le nombre de décès infantiles par tétanos n’a guère varié de 1943 à 1947 (un décès en moyenne par département et par an). »
La courbe de la mortalité moyenne annuelle due au tétanos en Grande-Bretagne et au pays de Galles montre que celle-ci avait amorcé sa descente des décennies avant le début de la vaccination (fig. 6).
En résumé, ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, alors que dans ces deux pays, cette vaccination est obligatoire.
 
Chlorure de magnésium
  L’enseignement médical nous prévient que la maladie succède à une plaie profonde, souillée de terre ou à une brûlure profonde. Mais il existe des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance. Il semblerait que le tétanos, comme la diphtérie, soit une conséquence d’un manque de magnésium.
Il faut savoir que les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu et du Pr Delbet. Nicolas Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie. Pierre Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical. C’est dans une lettre adressée au Dr Neveu en date du 16 novembre 1944 qu’il révèle : «La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’académie a trouvé, après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »
Il ressort de ce rapport que l’Académie de médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vies, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins.
    Les cahiers de biothérapie (n° 39, septembre 1973) ont publié les résultats des docteurs Fumeron et Neveu, confirmés par le Dr Chevreuil, de Nantes, et concernant des personnes atteintes de tétanos et considérées comme perdues : ils ont obtenu des résultats spectaculaires en injectant 5 grammes de chlorure de magnésium dans 20 cm3 de sérum physiologique par voie intraveineuse.
Selon l’OMS, le taux d’anticorps (ou antitoxine) de 0,01 UI/ml est considéré comme protecteur. Mais la présence d’anticorps n’est pas une garantie de sécurité, aussi impose-t-on des rappels tous les cinq ans aux enfants et tous les dix ans aux adultes pour « assurer » la restauration de l’immunité. Or, dans le journal médical Neurology (t. 42, 1992), Crone et Rider citent le cas d’un patient âgé de 29 ans atteint d’un tétanos sévère alors qu’il avait été hyper-immunisé en vue de produire une immunoglobuline antitétanique. Son taux d’anticorps était de 3 300 fois le taux considéré comme protecteur.
L’Unicef a acheté 4,3 milliards de doses de vaccins anti tétanos en quinze ans sans faire baisser le moins du monde l’incidence de la maladie.
De même, en 1991 à l’hôpital de Dar es-Salaam, en Tanzanie, sur 10 cas de tétanos chez les nouveau-nés, 9 mères avaient des taux d’anticorps suffisants pour protéger le bébé (jusqu’à 400 fois le taux protecteur).
En août 1987, eut lieu à Leningrad la VIIIe conférence internationale sur le tétanos. Ce fut l’occasion de faire le point sur le vaccin que les représentants de l’OMS voulaient inclure dans un vaste programme de vaccination. Le Dr Masar démontra alors que sur 28 cas de tétanos en Slovaquie, 20 malades avaient été correctement vaccinés. D’ailleurs, l’Unicef a acheté 4,3 milliards de doses en quinze ans sans faire baisser le moins du monde l’incidence de la maladie.
 
1437335893_212f5588db.jpgArmées vaccinées
   Dans l’armée française, la plus vaccinée des armées alliées (plus de quatre millions de vaccinations d’octobre 1936 à juin 1940), le taux de morbidité tétanique par mille blessés est resté le même pendant la campagne de 1940 qu’avant ces vaccinations massives. Dans l’armée grecque, non vaccinée, la fréquence du tétanos au cours de la dernière guerre a été sept fois moindre que dans l’armée française.
Dans l’armée américaine, pendant la Deuxième guerre, il y eut 10 millions de mobilisés, un demi-million de blessés et 12 cas de tétanos, 6 chez les non-vaccinés et 6 chez les vaccinés.
En Belgique, le Dr Kris Gaublomme a rassemblé toute une série d’articles, publiés dans The International Vaccination Newsletter de septembre 1996, qui corroborent les observations précédentes.
On proclame volontiers que ce vaccin est le mieux toléré et le plus anodin, mais son innocuité est loin d’être démontrée. Les effets indésirables ne sont pas rares et peuvent être graves sur le court ou le long terme.
 
6099700957_63750ed9ea.jpgVaccin anti-hépatite B 
    Il en est de même pour le vaccin anti-hépatite B. Lors de la folie vaccinale de 1994 qui a permis de vacciner la moitié de la population française, la courbe de la Courly, qui réunissait les échantillons sanguins provenant de la surveillance épidémiologique de 70 laboratoires d’analyses biologiques dans la région lyonnaise, montrait que l’on avait douze fois plus de cas d’hépatite B en 1978 qu’en 1992. Cette courbe confirmait une nette diminution des cas observés depuis cette époque, donc avant la campagne publicitaire de 1994 en faveur du vaccin.
Entre 1963 et 1979, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90 %, mais cette amélioration est évidemment attribuée aux seules vaccinations, alors que la baisse des cas correspond aux mesures prises pour éviter les transmissions par seringues chez les drogués et des contaminations par le sang chez les transfusés.
Un constat devrait nous surprendre : depuis l’obligation vaccinale pour le personnel de santé, la décroissance des cas aurait dû être deux fois plus rapide chez eux que dans la population générale, or elle est identique.
 
12078312Flambée de rougeole 
  Aux États-Unis, en 1958, on répertoriait environ 800 000 cas de rougeole, mais en 1962, une année avant l’introduction du vaccin, ce chiffre était brusquement tombé à 3 000 (fig. 7). Pendant les quatre années suivantes, ce chiffre a continué à baisser alors que les vaccins administrés pendant cette période furent jugés par la suite parfaitement inutiles au point d’être abandonnés. Cependant, les vaccinations ont repris de plus belle dès 1978 et, d’après le Dr Mendelsohn, « la mortalité par rougeole a été multipliée par 25 depuis ces campagnes vaccinales ». En résumé, aux États-Unis, la rougeole est en constante augmentation depuis les vaccinations. Et un constat alarmant a été publié en 1995 par les laboratoires SmithKline Beecham, pourtant fabricants de vaccins : « Les rougeoles ont été 18 fois plus nombreuses aux USA en 1990 (27 672 cas) qu’en 1983, malgré une vaccination systématique contre la maladie depuis 1978. » Et en 2006, les CDC (Centers for Desease Control and Prevention) signalaient que 89 % des enfants d’âge scolaire qui avaient contracté la rougeole étaient vaccinés.
En 1986, au Canada, le nombre de cas de rougeole était sept fois plus élevé qu’en 1985. La Suède a abandonné ce vaccin dès 1970 et l’Allemagne dès 1975. La France incrimine paradoxalement le faible taux de couverture vaccinale, alors qu’elle atteint pourtant en moyenne plus de 95 %, et des chiffres alarmistes sont avancés pour pousser les gens, y compris les adultes, à se faire vacciner.
rougeole.JPG   
 
8591289554_21c1422fa3.jpgOreillons et coqueluche
   Il en est de même pour les oreillons, car on a constaté que les fortes couvertures vaccinales (environ 97,6 %) n’empêchent pas l’apparition de la maladie. En avril 2006, une sérieuse épidémie d’oreillons s’est déclarée dans huit États du centre des États-Unis. Ce fâcheux « incident » n’a pas empêché les CDC de persister à affirmer que « le vaccin est efficace à 90 ou 95 % et que l’immunité dure alors plus de 25 ans, sans doute la vie entière ».
Au Royaume-Uni, la mortalité par les oreillons a chuté à partir de 1915, alors que la vaccination n’est intervenue qu’à la fin des années 60 (fig. 8).
Capturer.JPG 
annee.JPG
moyenne.JPG
    Pour ce qui est de la coqueluche, des épidémies se sont déclarées dans des populations à couverture vaccinale très élevée (entre 81 % et 91 %), notamment en Afrique du Sud en 1988-19899, ou aux États-Unis, où le nombre de cas a doublé. Ainsi, en 1993, dans le Massachusetts, 218 étudiants furent atteints par la coqueluche, alors que 96 % d’entre eux étaient vaccinés.
Le British Medical Journal of Medicine (n° 19 de 1995) mentionne des flambées épidémiques dans les pays où s’est généralisée la vaccination, et en 1998, le même journal signalait des épidémies de coqueluche en Hollande, Norvège et Danemark, malgré une couverture vaccinale de 96 %.
De son côté, Le Quotidien du médecin du 5 janvier 1994 signalait que des élèves avaient été contaminés par des camarades vaccinés, et non le contraire comme on le prétend souvent.
Le vaccin a fait disparaître les symptômes de la coqueluche, qui n’existe presque plus sous sa forme habituelle, mais il a fait apparaître des formes différentes de la maladie qui atteignent à présent les adultes et les adolescents avec plus de gravité la plupart du temps. La coqueluche est devenue une maladie de l’adulte (J. Trop. Pediatr. vol. 37, 1991).
    En 1980, l’OMS claironnait l’éradication de la variole après avoir lancé en 1962 une dernière campagne « d’éradication » à l’échelle mondiale. Consciente que cette vaccination ne parvenait pas à enrayer le mal, l’OMS préconisa alors d’abandonner la vaccination de masse au profit d’une stratégie dite de «surveillance-endiguement». Ces déclarations officielles du 28 novembre 1972 émanaient du chef du service d’éradication de la variole à l’OMS, le Dr Donald A. Henderson. Elles furent ensuite reprises par Le Monde du 21 décembre 1977 et par les Affiches parisiennes et départementales.
Ainsi, l’OMS reconnaît que la disparition de la variole n’est pas due à la vaccination systématique, mais bien à des mesures « d’hygiène » au sens large, seul rempart efficace à la propagation des germes. Mais combien de personnes savent aujourd’hui que la disparition de cette maladie n’est pas due à la vaccination de masse ?           
59455404_48982478cc.jpgDes facilitateurs de maladies
     En résumé, pour attester de l’action bénéfique des vaccins, on se base sur le taux d’anticorps obtenu après une injection. Certes, tout antigène introduit dans l’organisme produit une réaction. La plupart du temps, le système immunitaire exprime cette réaction par la production d’anticorps, mais leur présence ne prouve pas qu’ils vont immuniser l’individu. Leur augmentation signe souvent un affolement des défenses immunitaires. Dans certains cas, ils fortifient la maladie et sont « facilitants ». Leurs mécanismes de régulation se trouvent souvent débordés, ce qui fait que des combinaisons anticorps-antigène, appelées « complexes immuns », restent en circulation dans l’organisme, occasionnant des maladies graves. Quant à leur durée de vie produite par un antigène vaccinal, elle est toujours plus courte que celle des anticorps naturels, ce qui indique que la vaccination met en jeu des mécanismes très différents de ceux que provoque la maladie naturelle.
    Les vaccins facilitent l’émergence d’autres maladies d’autant que le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents. C’est à ce phénomène que Mirko D. Grmek, professeur d’histoire de la médecine à l’École des hautes études, donne le nom de « pathocénose », qui peut expliquer les apparitions et les disparitions des épidémies. Ainsi, la vaccination antivariolique a rendu plus virulent le bacille de Koch, ce qui explique le fléau de la tuberculose au XIXe siècle.    La vaccination contre la diphtérie couplée avec la vaccination anti-coquelucheuse a rendu virulent le virus de la polio, aussi a-t-on eu des pics épidémiques quelques années après la vaccination systématique contre la diphtérie. Le vaccin contre la polio accompagné du cocktail prévu par le calendrier vaccinal a contribué à l’effondrement du système immunitaire et à l’installation d’un syndrome d’immunodéficience acquise.  
      Le vaccin contre l’hépatite B complète les ravages causés par les autres vaccins et, s’attaquant au système nerveux de l’individu, il facilite l’installation de maladies auto-immunes qui favorisent un vieillissement prématuré. Les vaccins de même que les antibiotiques ne font que diminuer la vitalité du terrain, sa résistance naturelle, et l’altération du terrain devient une source de cancérisation. Et lorsque l’on considère qu’un enfant vacciné ne développe pas telle ou telle maladie et qu’il est immunisé, la réalité est bien différente : il n’a plus la force de réagir. Les maladies chroniques s’installent chez ceux qui ont un niveau de vitalité, d’énergie, très bas. Ils ne font pas de réactions violentes car l’organisme est sapé de l’intérieur.
Atteintes cérébrales
      4092914530_97262bd71b.jpgD’après Harris Coulter, éminent spécialiste américain de l’histoire des vaccinations, dans son livre Vaccination, social violence and criminality, toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. Ce phénomène s’accompagne d’une détérioration des gaines de myéline dans le cerveau. Ces modifications pathologiques conduisent à des handicaps divers et des problèmes de comportement. On considère qu’aux États-Unis, un enfant sur cinq a subi des atteintes cérébrales. Toute manifestation démyélinisante subite semble être directement imputable aux vaccinations, d’autant que des chercheurs ont découvert une similitude entre certains virus et la structure protéidique de la myéline. Cette découverte capitale explique pourquoi nombre de maladies auto-immunes apparaissent après la vaccination : le corps ne reconnaît plus l’antigène à combattre et s’attaque à ses propres cellules, entraînant des maladies très invalidantes sur le long terme.
Actuellement, les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées et ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l’évidence, il s’agit d’une faillite de la vaccination, qui non seulement a de terribles effets pervers mais n’a jamais « éradiqué » une maladie.
Après cette lecture, les victimes de l’obligation vaccinale ne pourront plus affirmer que malgré les risques les vaccins ont « éradiqué » les maladies infectieuses de la planète, et ces trop nombreuses victimes ne devraient plus hésiter à mettre en balance les terribles effets secondaires des vaccins et la « prétendue éradication » des maladies infectieuses.
 
Sylvie Simon
Autres sources :
 
Fernand Delarue, L’Intoxication vaccinale, éd. du Seuil, 1977.
A.   Flahault, Bulletin épidémiologique hebdomadaire n° 20, 1995.
Médecine et hygiène, 12 janvier 1983.
Arch. Intern. Med, 1994.
Dr Jean Pilette, La Poliomyélite: quel vaccin? quel risque? L’Aronde, 1997.
Science, vol. 29, 19-7-85.
20 juillet 2013

L’incroyable imposture de la réforme bancaire

CANALBLOG

La réforme bancaire à la française dont on nous a tant parlé vient d’être adoptée définitivement par le parlement ce mercredi 17 Juillet.

Le projet était ambitieux et devait originellement, entre autres, limiter le Trading Haute Fréquence, donner plus de moyens à l’état pour lutter contre les risques systémiques et séparer « les activités des banques qui sont utiles à l’investissement et à l’emploi de leurs opérations spéculatives. » tel que l’avait annoncé le candidat Hollande pendant sa campagne.
Allons nous  enfin en terminer avec le chantage du « too big to fail » ?

La réponse est des plus prévisible, non.
Seules seront isolées de leurs activités de dépôt « les activités spéculatives réalisées par les banques pour elles-mêmes, en leur nom propre », soit entre 0,75 % et 1,5 % du produit net bancaire des banques françaises de l’aveu de Frédéric Oudéa, PDG de la société générale.

Mais pourquoi ce chiffre n’est alors pas mentionné dans le texte de loi et cette dernière élargie à d’autres activités?
Pour « raisons de confidentialité et de respect du secret des affaires » à en croire ce même texte. Les activités de marché représentaient pourtant selon les chiffres fournies par les banques elle-même près de 40 % de leur bénéfice avant la crise.
Aller plus loin dans la séparation n’aurait « pas été productif » et apparaît comme « non nécessaire » selon Mr Moscovici.

Quant au Trading Haute Fréquence qui consiste à programmer des ordinateurs pour acheter chaque milliseconde des titres afin de profiter de chaque écart de prix, il n’est pas non plus interdit contrairement à ce que veulent nous faire croire notre premier ministre et nos principaux médias.
On nous dit qu’on va ralentir la machine en imposant un délai de 0,50 secondes entre chaque modification d’un ordre précédemment acquis, du moment que cela ne concerne pas les « activités de tenue de marché ».

Or, comme le révèle L’Expansion, « les activités de haute fréquence sont majoritairement enregistrées comme des activités de tenue de marché » et même les traders sont « inscrits auprès des places boursières comme des teneurs de marché ».
Ainsi, grâce à un lobbying intense, 90% du Trading Haute Fréquence ne sera pas concernée par cette réforme.

Après de telles concessions réalisées par les banques, il fallait bien une petite compensation.
Et quelle compensation ! Après avoir obtenu sous Sarkozy l’autorisation de distribuer le Livret A, il était nécessaire de pouvoir bénéficier un peu mieux des 363 milliards d’euros de l’encours du livret A et du livret développement durable.

Et cette fois-ci, c’est Mediapart qui lance la charge : « À l’avenir, les banques pourront conserver 50 % des sommes récoltées sur le livret d’épargne populaire au lieu de 30 % actuellement. Surtout, la Caisse des dépôts s’engagerait à l’avenir à reverser aux banques tous les excédents d’épargne récoltés sur le livret A et le livret développement durable, au-delà d’un ratio de 135 % de ses ressources par rapport à ses emplois (le ratio est aujourd’hui de 173 %). Par un simple décret, le gouvernement s’apprête ainsi à redonner au moins 25 milliards d’euros de l’épargne réglementée aux banques ! »

Alors certes, on nous dit que c’est pour mieux relancer l’économie, en finançant par exemple les PME, mais quand on sait que les prêts aux entreprises stagnent depuis des années et représentent à peine 10 % des encours dans leur bilan, on peut se permettre d’avoir un doute.

Et malgré les alertes répétées de l’Autorité de Contrôle Prudentiel (ACP) sur le risque de faillite important des banques françaises (incapables de nettoyer leurs bilans malgré les 1000 milliards à taux zéro injectés par la BCE)  en cas de nouvelle crise, cette réforme semble pour l’instant satisfaire tout le monde, y compris la grande partie des français à qui l’on répète tous les jours qu’ils paieront désormais moins d’agios.

Finalement, cette réforme bancaire est  moins contraignante que celles votées en Allemagne et en  Angleterre voire aux Etats-Unis. Pour preuve, Christian Nijdam, de la société d’analyse indépendante AlphaValue estime que cette réforme touche « à peine 0,5 % du produit net bancaire global de BNP Paribas. » 

En France, la spéculation a encore de très beaux jours devant elle.

Lilian D – News360xhttp://news360x.fr/lincroyable-imposture-de-la-reforme-bancaire/

17 juillet 2013

Nicolas Sarkozy et l’Euro: chronique d’un aveuglement

sarkozy-2012

Nous vivons actuellement une période de grande confusion intellectuelle. Le discours tenu par Nicolas Sarkozy lors de la réunion de l’UMP, le parti du centre-droit français, le prouve.
Qu’a dit l’ancien Président ? Tout simplement que la mort de l’Euro c’est la mort de l’Europe, et la mort de l’Europe, c’est bien connu, c’est la guerre. À ce tableau apocalyptique ne manquent plus que les pluies de sang, la Peste et le Cholera ! Les propos de Nicolas Sarkozy manquent complètement de sérieux et ils le discréditent. Ce sont des propos de fin de banquet, indignes d’un ancien responsable politique de son niveau.
Le nombre d’économistes qui ont pris conscience, non seulement des dangers de l’Euro mais surtout de l’inéluctabilité de sa mort, ne cesse d’augmenter ces derniers mois. On l’a vu récemment avec l’ancien chef des études économiques de la CNUCED, Heiner Flassbeck, ou avec le livre de l’économiste portugais João Ferreira do Amaral Porque devemos sair do Euro (Pourquoi nous devons quitter l’euro), et ceci sans compter les prix « Nobel » comme Paul Krugman et Dani Rodrick dont la critique de la monnaie unique est dévastatrice. Pourtant, le personnel politique français se distingue de droite à gauche, à l’UMP tout comme au PS, par sa frilosité et son inconscience sur cette question. Ce n’est visiblement pas le cas en Allemagne où Oskar Lafontaine, ancien Président du SPD et co-fondateur du parti de gauche Die Linke, mais aussi des hommes politiques du centre-droit ont pris nettement position pour une fin rapide de l’Euro.
Avec de nombreux économistes, dont certains appartiennent au monde l’entreprise comme d’autres au monde universitaire comme on a, dans un texte commun (1), mis en garde les gouvernements européens sur les dangers que l’Euro fait courir à l’Union européenne. Aujourd’hui, en effet, le plus grand danger pour la construction européenne provient de l’Euro qui épuise les économies et condamne les dirigeants à des politiques à courtes vues aux conséquences suicidaires. Si l’Europe est aujourd’hui menacée c’est par les 19,3 millions de chômeurs qu’il y a dans la zone Euro, un chiffre qui s’est accru par rapport à mai 2012 de 1,46 millions. Si l’Europe est effectivement menacée c’est par la récession qui touche les pays de l’Europe du Sud et qui est provoquée par les politiques mises en œuvre dans le seul but de sauver l’Euro.
Tout le monde comprend que la fin de la monnaie unique ne signifiera pas la fin de l’Union Européenne. L’Euro n’est pas le drapeau de l’Europe ; ce n’est qu’un instrument, et il est temps de reconnaître qu’il a fait faillite. En fait, cette faillite date même d’avant la crise de 2007. Déjà, la croissance était plus faible dans la zone Euro que dans les pays de l’UE qui ne sont pas membres de l’Euro, et elle était encore plus faible par rapport aux pays de l’OCDE qui n’étaient pas membres de la zone Euro.
C’est d’ailleurs injurier gravement les pays de l’UE qui ne sont pas membres de la zone Euro, comme la Grande-Bretagne, le Danemark, la Pologne, ou la Suède, pour ne citer que ces derniers, que d’affirmer que la mort de l’Euro entraînera la fin de l’UE.
La question n’est donc pas de savoir si cette explosion va se produire mais quand aura-t-elle lieu. Peut-être la crise viendra-t-elle de la Grèce et du Portugal qui sont aujourd’hui étranglés par les politiques d’austérité mises en place conjointement par l’Union européenne et la Banque Centrale Européenne. Peut-être cette crise sera provoquée par l’Espagne, qui coule sous nos yeux ou par l’Italie qui s’enfonce toujours plus dans la crise. Peut-être enfin cette crise viendra d’un blocage de l’Allemagne, et l’on sait que le tribunal constitutionnel de Karlsruhe doit se prononcer sur la légalité des dernières opérations de la BCE et pourrait bien les considérer illégales car entrant en concurrence avec d’autres mesures prises dans le cadre du Mécanisme Européen de Solidarité ou MES. Mais, quel que soit le scénario, cette crise surviendra. Les autorités monétaires ont épuisé leurs moyens d’action.
Quand la crise surviendra, ce serait folie que de s’accrocher à l’Euro, ce dont rêvent encore des politiciens français comme Pierre Moscovici (le Ministre des Finances) ou Harlem Desir, le calamiteux responsable du Parti Socialiste. Il faudra ou constater ou prononcer la dissolution de l’Union Monétaire. Mais à cela, pour l’instant, nul n’est prêt. Et c’est bien cette incapacité de regarder la réalité en face, à gauche comme à droite, qui pose aujourd’hui un redoutable problème. Remarquons ici que si cette dissolution était prononcée par un conseil européen, elle resterait une décision européenne et conforterait, en un sens, les autres institutions de l’Union européenne. C’est l’UE qui se déciderait à mettre fin à une expérience malheureuse. Politiquement, cela a une grande importance.
Économiquement, il faudra naturellement mettre en place immédiatement dans chaque pays un contrôle des capitaux sur le modèle de celui qui a été mis en place à Chypre pour éviter la spéculation. Ensuite, dans chaque pays on convertira les comptes bancaires (compte courant et comptes d’épargne) en monnaie nationale au taux de 1 pour 1. Cette opération se fera sans douleur pour la population dont l’épargne mais aussi les dettes seront ainsi transformées de l’Euro en monnaie nationale. Puis on procèdera à des dévaluations de fait, dont le montant peut être calculé sans grandes difficultés (-25% pour la France, -30% pour l’Italie…). Les dettes seront re-libellées automatiquement en monnaies nationales pour ce qui concerne les bons du Trésor qui ont été émis nationalement. Telle est la règle du droit international qui s’appliquera alors. Il faut savoir que, pour la France, cela porte sur 85% du montant de la dette, qui sera ainsi automatiquement re-libellé en Francs. Bien entendu les produits importés des pays ayant réévalué par rapport à nous augmenteraient tandis que nos exportations verraient leurs prix baisser. Pour le litre de super, et compte tenu de l’importance des taxes dans le prix final, cela représenterait une hausse de 7,5%. Par contre, le prix en Dollar d’un Airbus baisserait de 5% à 7% ... (2)
La croissance reviendrait très vite dans la totalité des pays d’Europe du Sud. Des calculs montrent que l’on pourrait avoir une croissance totale de 15% à 22% dans les quatre années suivant la dissolution de l’Euro pour la France. Cette croissance serait aussi très forte en Espagne, en Italie et surtout en Grèce qui pourrait avoir dans les deux premières années après la dissolution de l’Euro un gain de 18% à 25%.
(1)The European Solidarity Manifesto.
(2) Et ceci en incluant le fait qu’environ 40% du prix final de l’avion est issu de composants fabriqués hors de la zone Euro…
L’opinion exprimee dans cet article ne coïncide pas forcement avec la position de la redaction, l'auteur étant extérieur à RIA Novosti.

*Jacques Sapir est un économiste français, il enseigne à l'EHESS-Paris et au Collège d'économie de Moscou (MSE-MGU). Spécialiste des problèmes de la transition en Russie, il est aussi un expert reconnu des problèmes financiers et commerciaux internationaux.Il est l'auteur de nombreux livres dont le plus récent est La Démondialisation (Paris, Le Seuil, 2011).


http://fr.rian.ru

Ll'Europe c'est le 4e Reich de hitler un plan décidé lors de la perte de la guerre ,aujourd'hui qui dirige l'europe l'allemagne ,ils viennent de gagner la guerre économique ,l'europe n'a jamais eu vocation de perdurer juste de vous embarquer vers la galère du  nouvel ordre mondial avec  sa monnaie unique qui remplacera toutes les monnaies une fois foi que les sytèmes tomberont il créeront un seul système c'est le but finale de toute cette mascarade et ni sarko ni hollande n'y pourront rien  car ils sont les marionnettes des grandes familles qui les choisissent  et lorsque Ces pantin réaliseront il sera trop tard,

Le slogan la france forte est un clin d'oeil  car en allemand francfort Elle est notamment le siège de la Banque centrale européenne (BCE)et c'est  à Francfort que se trouve le centre principal des Illuminés de Bavière
12_messeturm_outside5

La "Messe Turm" (Tour de la Foire), édifice symbole de Francfort, surmontée d’une pyramide maçonnique. Le gratte-ciel est le siège de l’Institut monétaire européen de Francfort, et de la bourse de Francfort. Construit en 1991, il détenait jusqu’en 1997 le record de l’édifice le plus haut d’Europe (256 m).

Souvenez  vous le père de la construction europpéenne  VGE à fait volte-face ,en fait ils ne connaissent jamais la finalité du plan on flatte leur ego et on leur donne le pouvoir et çà suffit à les griser .

http://rustyjames.canalblog.com/archives/2013/07/17/27664443.html article VGE ici:

Publicité
Publicité
Publicité