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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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amental… ma partie preferee sue ellison
7 juin 2017

Pourquoi la mort n'est pas le terme final de nos âmes ?


aedazda

On peut s'appuyer sur l'existence de l'âme et son indépendance à l'égard du corps comme une preuve indiscutable de la résurrection, et d'un univers après la mort.

Les savants qui se sont penchés sur les aspects obscurs de l'âme ont émis plusieurs hypothèses. Mais au fur et à mesure que prennent de l'ampleur les débats philosophiques, que les sciences se répandent et que s'accroît la culture, des signes plus évidents de l'existence de l'âme en tant qu'entité indépendante voient le jour, bien que nous n'ayons pas réalisé le succès total au sujet de la connaissance de la nature de l'âme, et que nous n'ayons pas écarté les voiles sur tous les secrets complexes de cet élément éternel.

Pour cette raison, la religion  considère la nature de l'âme comme une vérité insaisissable que l'homme ne connaîtra jamais avec précision. Quand on interrogea le Prophète - que la paix de Dieu soit sur lui et sur ses descendants - au sujet de l'âme, il répondit:

«Et ils t'interrogent sur l'Esprit - Dis: «L'Esprit est de l'affaire de mon Seigneur.» Et on ne vous a apporté que peu de science.»42

Des  siècles sont passés depuis cette réponse au cours desquels le domaine du savoir humain s'est étendu par rapport à ce qu'il était au temps des Prophètes , et rien de fondamental n'est venu compléter cette réponse. De nos jours encore le secret de l'âme ici échappe à l'entendement humain, et nul n'a pujusqu'le percer, ni l'expliquer. Nous demeurons donc à cet égard, comme le Coran l'a clairement énoncé, enveloppés dans un voile de mystére et de confusion et il semble peu probable qu'on parvienne un jour à le lever.

* * *

 Le philosophe français Henri Bergson écrit à ce sujet:

«Posons comme postulat, comme le fit Platon, une définition de l'âme, et disons qu'elle ne se désintègre pas car elle est simple, ni ne se corrompt car elle est indissociable; et qu'elle est éternelle de par sa nature. Puis après, nous aborderons, par la voie de déduction, l'idée de la descente des âmes dans le temps, puis l'idée du retour à l'éternité. Mais que direz - vous à un homme qui nie l'existence de l'âme ainsi définie? Et comment résoudrez - vous réellement les questions relatives à l'âme, son principe réel, son devenir réel, ou plutôt comment pourrez - vous vous les poser en termes réels? Tout ce que vous aurez fait sera de réfléchir en théorie sur un concept intellectuel peut - être vide, ou d'expliquer incidemment le sens d'un mot attribué par la société à une partie du réel, découpée pour les commodités du discours?

La décision demeurera profonde tant que la définition sera fortuite (accidentelle).
Après deux mille ans de réflexion basée sur lui, le concept platonique n'a guère fait progresser d'un seul pas, notre connaissance sur l'âme.»
43

Le docteur Chaucer, chercheur anglais écrit:

«Certains ont affirmé que l'ensemble des actes mécaniques du cerveau constituent le «moi» ou «l'essence».
D'autres encore ont prétendu que l'on devrait lui ajouter une étincelle mystérieuse qui sort du corps au moment de la mort.

Vous savez que les philosophes ont longtemps réfléchi sur l'âme, sa nature, sa place dans le corps, et si elle est périssable ou éternelle. Mais cette question n'a toujours pas reçu une solution définitive, et continue d'être l'objet de réflexion des savants.
Beaucoup de penseurs, des temps récents, ont décidé d'étudier la question sous un autre angle, et se sont fixés pour règle d'écarter le problème complexe et obscure de l'âme et d'étudier seulement la mentalité et la psychologie, c'est-à dire un ensemble de sentiments, de croyances et d'idées.»
44

Si l'homme prêtait vraiment attention à son échec dans le domaine de la connaissance de l'âme, comment pourrait - il se retenir de reconnaître qu'il existe une force mystérieuse qui nous incite à nous incliner devant le Créateur et à Le glorifier?

Personne, même parmi les matérialistes dont les opinions divergent radicalement avec celles des adeptes des religions, n'a pu aller jusqu'à nier cette vérité. Ils reconnaissent comme acceptables les sciences comme la psychologie, et la médecine psychosomatique; mais la différence essentielle réside en ce que les savants religieux et les métaphysiciens croient en l'existence d'une autre chose qui concerne la vie humaine, qui est distincte au corps materiel, et qui fait partie des réalités pures et immatérielles, dotée d'une nature spécifique, et qui est la source de la méditation et de la reflexion.

Cela ne veut pas dite que le corps et l'âme soient distincts dans la réalité, l'un étant complétement indépendant de l'autre. Ils forment deux réalités liées, ayant en même temps deux natures différentes.

Quant à la pensée philosophique matérialiste, elle tourne autour de l'idée qu'il n'existe pas d'essence indépendante de la matière appelée Ame.
Ils persistent dans cette idée en arguant de ce que toute l'activité du cerveau et de ses systèmes obéissent aux lois de la matière, et ne consiste qu'en effet physique, et des actions et réactions chimiques des cellules cérébrales et nerveuses.

Notre système nerveux transmet nos perceptions à l'organe central qui est le cerveau, et ces perceptions constituent une unité dont on ne peut dissocier les parties les unes des autres; les phénomènes spirituels ne sont rien d'autre que ces activitiés physico - chimiques. Et lorsque les cellules de cerveau se disloquent et se dispersent, que les réactions entre les différents organes du corps s'annulent, et que les cellules cessent de se mouvoir et de se reproduire, il ne reste alors rien de la réalité de l'homme qu'un corps matériel. On ne peut donc pas admettre une forme de subsistance spirituelle, et l'existence d'une chose d'essence différente, indépendante et non - naturelle, et cela parce que la modalité d'apparition des êtres et de leur subsistance est conditionnée par les liens matériels dans le temps et dans l'espace.

Et c'est là que diverge la conception divine de la conception matérialiste, et que chacune prend sa propre orientation.

* * *

Si nous admettions la thèse matérialiste, l'homme ne consisterait qu'en un appareil composé d'instruments et de différents moyens, et qui perd la vie et la faculté de penser lorsque se disloque l'influence réciproque entre les parties de sa matière corporelle.

Cette thèse ne peut pas expliquer la nature de l'esprit humain, ni celle de l'homme lui - même.
Il est vrai que le corps obéit aux lois de la physiologie, mais cela ne veut pas dire que l'homme est entièrement régi par des lois matérielles. Il est également vrai qu'il existe un lien entre les phénomènes spirituels et les cellules cérébrales, en ce sens que l'esprit n'est capable, dans cet univers, d'aucune activité, autrement que par l'intermédiaire d'un ensemble de moyens et de causes.
Les cellules du cerveau et les neurones et les réactions chimiques du cerveau, tout cela constitue des moyens pour l'esprit, et ce dernier exerce son activité par l'intermédiaire de ces moyens.

On peut s'interroger dès lors si l'esprit et ses activités - comme la volonté, la décision, la compréhension constituent - ils des réalités indépendantes de la matière, ou bien sont - ils des réalités matérielles pures dépendantes des lois matérielles en toute circonstance et dans toutes les conditions?

Lorsque nous parlons avec une personne éloignée de nous au moyen d'un appareil téléphonique, l'auditeur principal est - ce nous ou bien le combiné?
Il en va de même au sujet du cerveau. Les cellules cérébrales constituent les outils de travail de l'esprit et ne créent pas l'esprit. Et tous les arguments avancés par les matérialistes pour démontrer leur thèses, établissent seulement qu'il existe une relation entre les perceptions de l'homme et les cellules de son cerveau, et non que ce dernier accomplit l'acte de perception, et aucun penseur adepte de la religion ne prétend que la pensée est éloignée de toute influence des cellules cérébrales.

Les savants matérialistes ont beau s'appuyer sur les sciences expérimentales et les travaux de laboratoires pour démontrer le lien entre la perception et l'intellect d'une part, et les réactions chimique cérébrales d'autre part, cela ne prouve rien d'autre sinon que les nerfs et le cerveau ont un rôle décisif et déterminant dans la réalisation de la perception et des situations psychologiques.
On ne peut en aucun cas conclure de ces expériences que la réalité de l'esprit et de l'âme ne consiste en rien d'autre qu'en ces moyens et en ces réactions chimiques et physiques. Enfin, démontrer cette relation ne suffit pas pour éclaircir les propriétés de la perception et de la conscience.

* * *

Pour donner un exemple, comparons l'esprit à l'énergie électrique employée pour faire fonctionner un appareil donné. A chaque rupture de courant électrique l'appareil connaîtra une phase de mort apparente, bien que l'ensemble de ses pièces soient en bon état.

Par conséquent, la relation de l'âme et du corps cesse avec la mort de l'homme, mais cette rupture ne signifie pas dépérissement et anéantissement del'âme et de l'esprit. C'est un état comparable à celui que connaissent un appareil téléphonique, un récepteur radiophonique ou de télévision quand ils sont en panne. Nous ne percevons aucune voix, et nous ne voyons aucune image sur l'écran, parce que le moyen de liaison a cessé de fonctionner, alors que l'image et le son existent partout, sans que pour notre part nous les percevons. Nous n'en avons conscience que lorsqu'ils nous sont transmis par ces appareils.

Donc, de même que dans le cas d'une panne du combiné téléphonique, du récepteur radiophonique ou de la télévision, le son et l'image continuent d'être émis, et ont une existence indépendante du fonctionnement de ces appareils, de même l'âme humaine jouit de son autonomie tout en étant liée au corps, et ne disparaît pas avec le dépérissement du corps.

* * *

Nous savons que le fonctionnement des différents organes du corps - qui se ressemblent plus ou moins - est fondamentalement différent du fonctionnement du cerveau. Par exemple, le fonctionnement des reins et de tous les organes consiste en activité physique et chimique et est lié avec le système interne.

Alors que les phénomènes spirituels sont liés au monde extérieur, et distincts de notre existence. Il est évident que le monde extérieur ne se présente pas à la profondeur de notre existence; il nous faut cerner les entités extérieures par la connaissance et le savoir, et les cellules du cerveau sont incapables d'accomplir une telle mission.

Ces cellules ont beau subir l'influence du milieu extérieur, comme toutes les parties du corps, elles ne peuvent accéder à une connaissance de ce milieu. S'il en était ainsi, nous nous servirons de notre système digestif ou de notre poumon pour appréhender les choses extérieures. Par conséquent, les particularités de nos perceptions nous démontrent la domination d'une autre réalité sur notre existence.

Lorsque nous discernons entre le vrai et le faux, que nous percevons la beauté et la distinguons de la laideur, nous traitons en réalité de chose s extérieures que nous soumettons à des criteres. Il existe donc une force qui discerne le vrai du faux, le juste et l'erreur, et c'est cette force qui peut nous expliquer la réalité obscure de l'âme, car lejugement et le discernement échappent au cadre du système nerveux, et procèdent de la pensée et de l'activité intellectuelle, et l'on ne peut les expliquer par les sens et l'expérimentation.

Cette lumière invisible qui emplit notre intimité et nous confère la capacité de discerner entre le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, n'est autre que cette réalité absolue, cette âme éternelle qui est l'axe de tous les événements temporels, et qui demeure fixe et indissociable.

* * *

Il existe une autre réalité pour démontrer l'indépendance de l'âme: c'est l'unité de la personnalité que l'on retrouve tout au long de la vie de l'individu.

Sans doute, la connaissance qu'a l'homme de son existence n'est pas la même qu'il a des objets extérieurs.

Car la connaissance de ces derniers se fait par l'intermédiaire des représentations mentales de ces objets. Par conséquent, notre connaissance des objets extérieurs relève de la «science acquise» ('ilm hossouli), alors que la connaissance de l'homme de sa propre existence ne se fait pas par la représentation mentale.

C'est un savoir présent en lui en tout temps et inséparable de lui. C'est pourquoi on l'appelle: «science présentielle » ('ilm hodhouri).

C'est une science permanente, ne connaissant ni altération ni dépérissement. Iljouit de la continuité et de l'invariabilité dans la conscience, les sens et l'observation. Cette science est considérée comme représentant le savoir le plus évident de tout être humain.

Cette réalité qui échappe aux deux règles de changement et dépérissement propres à la réalité objective (extérieure), qui dirige et domine le corps terrestre eu n'obéit à aucune contrainte biologique, et que nous appelons le «moi», est une seule et même chose depuis les premières étapes de la viejusqu'à ses derniers instants; et c'est par elle que l'homme accède à l'éternité.

Au point de vue des rangs existentiels, elle se situe toujours sur un niveau qui ne se confond jamais avec celui de la matière. Tout homme garde et préserve l'unité de sa personnalité tout au long des étapes successives de sa vie.

Voyons à présent si cette réalité particulière est cet ensemble de cellules cérébrales ou quelque chose d'autre.

Nous savons que l'ensemble des cellules du cerveau se renouvellent complètement tous les 7 ans environ, grâce à l'alimentation que le corps recoit de l'extérieur.
Certaines cellules se transforment en énergie, et de nouvelles cellules naissent pour remplacer celles qui sont mortes..Et tout êtrevivant est ainsi reconstitué plusieurs fois dans sa vie, en raison des changements et transformations que subissent les cellules et les organes de son corps.

Si notre existence se réduisait seulement à ces parcelles de matières, et que n'existait aucune force invisible dominant cette communauté cellulaire et l'ordre régissant le corps, notre essence devrait nécessairement présenter des caractéristiques matérielles. Et aucun être humain n'aurait eu la conscience d'être toujours la même personne qu'il fut dix ans auparavant, car le système nerveux et le cerveau ainsi que tout le corps auraient, pendant cette période de temps, renouvelé toutes leurs cellules. Or, chacun de nous a conscience d'être doté d'une réalité permanente invariable tout au long de sa vie, et qui est ce qu'on appelle la personnalité.

* * *

Tout homme peut méditer sur son intérieur, (bâtin), et concevoir l'existence en lui d'une âme pure, différente qualitativement de son existence physique. Chacun de nous perçoit en lui - même une sorte d'autonomie, de continuité, de présence constante; et ce sont là des faits incompatibles avec l'existence matérielle en constante transformation.

Une chose qui exerce sa souveraineté sur le corps, et qui ne lui ressemble pas en ce qu'elle échappe à l'anéantissement, ne peut pas être considérée comme un produit de la matière ni soumise à ses lois. De telles hypothèses sont incapables d'expliquer la réalité humaine.

Chris Morisson dit:

«Il est admis que l'existence et la formation de cet univers ne sont pas accidentelles, car le système de l'univers fonctionne selon des lois déterminées.
L'émergence de l'homme doué de la raison et de la faculté de penser, parmi le règne animal, est une question encore plus importante et plus confuse qu'on ne le pense.

Son apparition n'est pas due à des évolutions matérielles, mais nécessairement à l'intervention du Créateur. Ainsi, l'homme devient un instrument mécanique fonctionnant sous le contrôle d'une autre main.
Nous nous demandons alors:
«Qui contrôle cette machine? Quelle est la main qui la fait mouvoir?»

La science n'a pas pu encore connaître ce gérant, mais il est indiscutable pour les savants que ce Régisseur n'est pas un être matériel.
Tout notre progrès se résume, jusqu'à présent dans l'idée que Dieu a insufflé dans notre existence une lueur de Sa science. L'homme traverse en ce moment l'âge de l'adolescence dans la création. Il a commencé à concevoir l'existence de l'âme. Il utilisera graduellement cette faveur céleste pour connaître la dimension de l'éternité et de l'immortalité en soi.»
45

Si les manifestations de l'âme faisaient partie des particularités du corps, et résultaient des activités du cerveau ou du fonctionnement du système nerveux, comment nous expliquerions - nous la permanence et la subsistance de la personnalité?

L'explication avancée par certains matérialistes basée sur la relativité du moi, et sur l'idée que l'essence tout en étant la même subit des transformations et des changements, cette explication est poétique, illusoire, et ne présente rien de scientifique, et ne rend pas compte de l'unité de la personnalité.

Cette explication erronée procède d'une mauvaise compréhension et signifie queje ne suis pas l'homme d'il y a quelques instants, je suis quelqu'un qui a pris sa place, mais je m'imagine aussi que je suis le même homme.

Outre cela, les représentations constituent des actes qui émanent de moi, et ce n'est pas le moi qui est un ensemble de représentations différentes se succédant les unes aux autres et se trouvant dans le cerveau.

* * *

Nous percevons deux réalités dans notre existence.
L'une est la structure apparente du corps, et qui fait l'objet des sciences expérimentales. L'autre consiste en choses non - sensorielles qui ne sont pas des reflets et des réactions du corps, comme la reflexion, la compréhension, le désir, l'amour, la colère, la conscience, et qui ne se prêtent pas aux sciences expérimentales et ne peuvent être mesurées en termes matériels.

Il s'agit de réalités différentes, supérieures au corps et le dominant, comme lorsqu'un homme se montre prêt à mourir pour échapper à une vie d'opprobre. Il rompt les contraintes biologiques de son corps, se refuse à manger, ou décide même de faire une grève de la faim jusqu'à la mort.

Nous faisons face à un sujet réel expérimental. Avec quelle logique matérielle pourrions - nous analyser cette volonté d'airain qui vajusqu'à sacrifier le corps pour des idéaux et des aspirations mentales?

Prétendre que l'homme n'est rien qu'un ensemble de fonctions biologiques matérielles exige de donner au préalable des explications sérieuses et logiques à ces questions. Si le moi se résumait au corps, comment pourrait - il en même temps commander et exécuter les ordres?

Tous ces commandements de la volonté, la maîtrise des différents instincts et des éléments du corps, sont une preuve manifeste de l'existence d'un élément supérieur distinct de la matière, duquel procède la volonté humaine, et cette prééminence d'une forme de l'existence sur l'autre nous conduit à une réalité supra temporelle.

Dieu dit dans le Saint Coran:

«... Et par l'âme et comme Il l'a ordonnée, en sorte qu'Il lui a inspiré son libertinage de même que sa piété.»46

Du point de vue coranique, l'homme est doté, à titre particulier, d'une essence caractérisée par la compréhension et le mouvement. Compréhension parce qu'elle est capable d'intuition, et mouvement parce que cette essence est la source d'un ensemble d'actes qui servent de fondements à la piété ou à la corruption.

Quelle est donc cette essence caractérisée par la conscience et la force? Tous les organes du corps ne jouissent pas de ces caractéristiques.

Il est donc nécessaire que le corps ait pour corollaire une essence autonome et authentique dotée de ces propriétés que nous avons mentionnées.

La matière présente une réaction qui peut servir de révélateur des agents stimulants; et cette réaction est la même dans les mêmes conditions. L'eau gèle dans le froid; les minéraux se dilatent sous l'effet de la chaleur; ce sont là des réactions naturelles invariables. Mais l'homme a la capacité de réagir de façon totalement différente, et même contradictoire, devant un même agent. Cela nous montre que l'âme, et la volonté qui émanent de lui, sont des choses immatérielles échappant aux propriétés de la matière.

* * *

L'opération de perception montre que celle - ci comprend deux choses: le moyen, l'organe de perception, comme l'oeil par exemple, et la puissance de perception.

Il existe une loi physique qui dit que tout être ne pouvant pas percevoir le mouvement du système dans lequel il se trouve, doit observer ce système de l'extérieur, et constater le mouvement des choses et le passage du temps.

L'homme ne peut pas observer par exemple le mou vement de la terre tout en étant sur elle; il doit se situer à l'extérieur de son système.

Par conséquent, si nos facultés perceptives ne se situaient pas hors du mouvement permanent du temps, nous n'aurions pas pu percevoir son passage. Donc la perception du temps est une preuve manifeste de l'extériorité de nos facultés perceptives.

Si nous supposions que notre perception varie d'in stant en instant, et se mouvait avec le temps, nous ne pourrions guère saisir le mouvement temporel, car notre perception serait émiettée, chaque partie devenant indépendante de l'autre.

Donc pour percevoir le temps, il est nécessaire que nos facultés perceptives se situent hors du mouvement du temps, et le dominent. Ainsi, est prouvée l'existence d'une faculté perceptive, comme réalité indéniable, indépendante du temps.

Donc, une partie de la réalité humaine vieillit et meurt avec le temps, une autre partie demeure hors de l'atteinte des vagues du temps, ne disparaît pas, et ne connaît point d'extinction L'Imam Ali, l'Emir des Croyants, dit:

«Ô hommes! Nous avons certes été créés, tous, pour la permanence et non pour l'extinction. Vous serez donc transférés de cette demeure - ci. Faites donc un bon viatique pour ce lieu ou l'on vous conduit et ou vous serez pour l'éternité.»47

* * *

Parmi les propriétés de la matière, il existe un rapport particulier entre le contenant et le contenu. Par conséquent, l'être le plus grand ne peut pas s'intégrer entièrement dans l'être le plus petit.

Par exemple, si, nous nous trouvant sur des hauteurs élevées, nous contemplions de larges vallées, des plaines immenses, ayant une végétation luxuriante, des oiseaux, des rocs énormes entassés les uns sur les autres, et que toutes ces choses étaient représentées en détail dans notre esprit, à la manière d'une grande page d'un livre ouvert devant notre âme et notre regard intérieur, ces différentes images, si étendues dans la réalité, trouveraient - elles place dans notre cerveau et dans ses cellules infimes, avec toutes leurs particularités?

Cette matière limitée peut - elle contenir en elle toutes ces choses énormes sans que rien n'y manque?
Il est certain que la raison répond négativement à cette question. Car nous savons tous qu'un être physiquement plus grand ne peut entrer dans un volume inférieur au sien. N'est - il pas nécessaire que le conte nant soit plus grand que le contenu ou au moins égal à lui?

Nous pouvons aisément nous représenter mentale ment une grande ville, avec ses bâtiments, ses avenues, ses jardins, ses autobus et ses habitants. Sur la base de la loi de l'incompatibilité du grand avec le petit, il semble comme évident que les images mentales sont très grandes, et ne sauraient être contenues par les cellules microscopiques du cerveau. Car il est indiscutable que la correspondance n'est possible que si le contenu est inférieur au contenant ou s'il y a égalité entre eux, alors que notre faculté perceptive présente des propriétés et des caractéristiques déterminées qui ne peuvert s'appliquer aux propriétés de la matière. Elle ne peut par conséquent pas être relative seulement à un ensemble de relations physiques qui l'accompagnent et avec lesquelles elle fonctionne.

Nous ne pouvons donc admettre ce fait qu'en cas de réalisations des images mentales; nous connaissons une autre sorte d'existence - outre un ensemble préalable de réactions physico - chimiques - ayant des caractéristiques particulières se situant hors des propriétés du corps matériel. Cette nouvelle sorte d'existence a entre autres propriétés, celle de pouvoir contenir des domaines immenses et de conserver en elle des images perceptives indélébiles

* * *

Les matérialistes disent: L'apparition de ces images dans le cerveau est comparable à la représentation d'un livre volumineux par un microfilm qui montre les choses dans des dimensions réduites, mais qui peut les restituer au besoin dans leurs vraies dimensions.

Mais où se trouv e le lieu de ces grandes images dans le cerveau et le système nerveux?

Ou bien nous nions l'existence de ces grandes images dans le cerveau, ou bien nous leur trouvons un lieu adéquat. Or personne ne peut nier l'existence de ces représentations, et si l'âme était matérielle, et que la perception n'était que l'activité cérébro - spinale, les grandes images n'auraient pas pu s'adapter et s'ajuster aux petites cellules, car elles demanderaient plus d'espace. Alors que dans le cas du microfilm, il n'existe dans la réalité que le livre et les films très petits.
Il faut admettre l'intervention d'un élément invisible qu'est l'âme, et qui est une réalité pure, capable de créer des grandes images, après une série d'opérations cérébro - spinales, qui n'en constituent que des préalables et des préparatifs. Ainsi, le problème est résolu, et nous évite les explications insuffisantes et étroites.

D'autre part, la distinction et la dissociation entre les phénomènes mentaux et les phénomènes physiques est nécessaire. Ces deux sortes de phénomènes ne présentent pas les mêmes caractéristiques et la même nature. La matière est toujours accompagnée d'un ensemble de propriétés générales, comme l'acceptation de représentations différentes, alors que les phénoménes mentaux ne le sont pas. Par conséquent, cette dualité et l'abscence de ressemblance nous conduisent aussi à reconnaître l'indépendance de l'âme et son autonomie.

* * *

Les êtres matériels exigent un développement graduel dans le temps et dans l'espace. Tout être subissant des transformations et des changements graduels a besoin de l'espace; et le mouvement engendre par lui même son temps. Outre cela, le déterminisme nécessaire des êtres matériels est la mort dans le temps, et leur entrée dans l'obscurité du néant.

De même, parmi les phénomènes matériels, il ne s'en trouve aucun qui ne puisse se prêter au fractionnement, soit au moyen d'instruments appropriés, soit mentalement en raison de leur infimité. Mais, en revanche, les phénomènes psychiques échappent à cette règle.

Nous nous représentons un grand immeuble sans que nous ayons pour cela besoin de temps.

Toutes sortes de visages, de formes, de couleurs, de noms, de nombres, de numéros, de mots, de titres s'accumulent dans la mémoire, sans qu'elles se mélangent, ou qu'elles s'effacent les unes les autres.

L'esprit perçoit toutes sortes de paysages et d'images et tout incident petit ou grand, l'enregistre et le conserve. Même si nous oublions des choses, celles - ci n'en demeurent pas inscrites à jamais dans le registre de l'âme, et ressurgissent, en certaines occasions et sous l'effet de certains facteurs, à la surface de la mémoire.

Où sont déposées dans le cerveau toutes ces choses avant de surgir brusquement à la vitesse de l'éclair dans notre esprit? Où se trouvent ces images mentales qui constituent un secret stupéfiant?
L'explication matérialiste à ce sujet est - elle réaliste?

Les idées peuvent - elles naître des accidents matériels; et des lignes tracées sur les cellules du cerveau? Les cellules et les circonvolutions cérébrales peuvent - elles enregistrer les évènements et faits puis les restituer à l'esprit en toute fidélité et en détail?

Cette explication n'irait - elle pas à l'encontre de la réalité?
Si le cerveau était le centre réel de la pensée, les idées et notions qu'il contient devraient disparaître et mourir lorsque meurent les cellules qui les portent.

* * *

Nous changeons de cellules cérébrales plusieurs fois dans la vie, et l'image de nos amis et de nos frères demeure inchangée et fixe dans notre mémoire depuis notre jeune âge.
Si notre cerveau changeait entièrement son contenu, y compris nos connaissances précédentes, pour le remplacer par de nouvelles cellules, il serait impossible de se référer au savoir passé. Toutes nos perceptions ultérieures ressembleraient à celles qui les ont précédées, mais pas elles - mêmes. Alors que nous savons que notre référence aux sujets anciens vise à rénover des notions, et non à renouveler la science, et si nos concepts ètaient matériels, il aurait été impossible de se rappeler les connaissances précédemment acquises.

Le philosophe Henri Bergson dit:

«Mais nous rappelons seulement que l'observation des faits, normaux ou morbides, par les sens et la conscience, nous démontre l'insuffisance des explications physiologiques de la mémoire, et qu'il est impossible d'attribuer au crâne la préservation des souvenirs.
Nous pouvons suivre les épanchements successifs de la mémoire, depuis les cas où elle se referme et ne libère que les informations dont la nècessité est impérieuse pour l'accomplissement de l'acte entrepris jusqu'au degré où elle secoue tout le passé qui ne s'oblitère jamais totalement.
Nous avons dit à titre de comparaison que ce faisant, nous montons du sommet du cônejusqu'à sa base. Le cône n'entre au contact de la matière qu'à son sommet Mais dès que nous traversons le sommet, nous entrons dans un domaine nouveau. Quel est ce nouveau domaine? Appelez - le esprit, ou si vous préférez, appelez - le âme, saufqu'il faut convenir sur le sens qu'on donnera au terme.

Sous ce terme, nous entendons un ensemble d'expériences, non une définition conventionnelle. De cette étude expérimentale, nousoboutirons à la possibilité ou à l'éventualité de la survivance de l'âme après le corps, car nous aurions désormais constaté de façon tangible dans cette vie quelque chose révélateur de l'indépendance de l'âme à l'égard du corps.
Cette éternité de l'âme ne constitue qu'un aspect de son autonomie. Oui, notre connaissance des conditions de la subsistance après la mort, en particulier de sa durée serait très insuffisante: s'agit - il d'une subsistance à terme, ou d'une permanence éternelle?
Mais nous nous serions, pour le moins, guidés vers un point pouvant faire l'objet de l'expérience, et il sera possible de montrer la réalité de façon irréfutable. Et il sera possible que notre connaissance prenne la voie du progrès. C'est ce que nous avons appelé l'expérience du monde inférieur. Et si nous passons à présent au monde supérieur, nous rencontrerons un autre type d'expérience, l'intuition mystique, qui est associée à l'essence divine. Ces deux expériences se rencontrent - elles? Cette subsistance après la mort, - qui semble assurée à toutes les âmes, du fait même qu'une partie de leurs activitiés sont indépendantes désormais du corps -, cette subsistance est - elle semblable à celle acquise par les âmes supérieures dès ce monde inférieur?

Rien ne nous sera plus utile, pour en connaître davantage que deux choses qui sont l'élargissement et l'approfondissement de ces deux expériences.»48

On ne remarque pas un lien entre les dégâts et l'atrophie qui atteignent le cerveau d'une part et l'oubli des évènements d'autre part. Alors que la moindre défaillance d'un souvenir déterminé entraîne une défaillance de la cellule liée à ce souvenir.
Si certaines cellules cérébrales venaient à se perdre, l'homme souffrira d'un handicap dans la faculté de parole, mais ses souvenirs seront préservés et ne seront pas altérés.

Mais dans le cas de traumatismes craniens graves, quand le cerveau connaît une inflammation chronique, ou bien la destruction de quelque partie, l'équilibre se rompt entre le cerveau et les souvenirs, car l'oubli se produit toujours selon une règle précise et particulière Le malade oublie d'abord les noms de ses amis et de son entourage, puis enfin oublie les mots se rapportant à des actes.

Ici, nous ne remarquons aucun lien entre la perte subie par le cerveau, et l'oubli des souvenirs, au point de vue de l'ordre, de la quantité, et de l'étalement dans le temps. Alors que selon la thèse des matérialistes, il devrait nécessairement exister un lien direct entre le dommage subi par la mémoire, et le dommage matériel qui a atteint le crâne.

Ces réalités nous prouvent que le crâne n'est que l'instrument permettant d'enregistrer les souvenirs et les notions, et dans l'opération de remémoration, le cerveau ne joue qu'un rôle intermédiaire de transformation des objets mentaux en phonèmes, en paroles. Sa mission se résume dans l'instauration d'un lien entre l'âme et l'univers matériel.

Nous avons donc besoin, en matière d'objets mentaux, d'un phénomène supérieur à la cellule cérébrale, en l'occurence l'âme pure indépendante de la matière, et aux lois de laquelle seront soumis tous les souvenirs, les notions et les représentations.

Le Professeur Guy ton écrit dans son ouvrage intitulé La Physiologie, considéré comme une référence à ce sujet:

«Le problème le plus difficile dans l'étude de la conscience, de la pensée, de la mémoire et de l'apprentissage réside en ce que nous ignorons le mécanisme nerveux d'une idée quelconque.»

* * *

Les lois et les concepts ne sont pas divisibles, et les cellules cérébrales ne leur servent pas de refuge. Ces perceptions et évidences sont liées à une entité immatérielle.
Par exemple, quand nous disons: «cet oiseau est vert», il n'y a pas de doute que l'oiseau est susceptible de différenciation, et que la couleur verte peut aussi être différenciée, mais le concept de la couleur de cet oiseau ci n'accepte nullement l'indétermination.

Si nous considérons la pensée comme un produit de la matière, l'indétermination générale qui s'ensuivrait devrait nécessairement trouver sa conceptualisation; et celle - ci n'est possible que par l'esprit. Or, la pluralité, l'indétermination du genre ne se prête pas à une conceptualisation.

Par conséquent lorsqu'un des actes de l'esprit - qui est la pensée-, perd toute trace matérielle, qui est indétermination et pluralisme, nous en concluons qu'il est caractérisé par l'immatérialité; et il est nécessaire alors que la source de la pensée, - qui est l'âme - possède également cette qualité d'immatérialité. Nous avons ainsi pu montrer l'immatérialité de l'âme à travers l'immatérialité de la pensée.

De ce qui précède, il s'avère que les arguments illusoires et froids auxquels ont recours les matérialistes pour réfuter la métaphysique, outre qu'ils reposent sur des hypothèses non - fondées, comme celles de réduire les phénomènes vitaux comme la reflexion, la conscience et la perception à des phénomènes matériels, peuvent être combattus avec des preuves logiques solides.

De pareilles théories ne peuvent pas lever le voile qui recouvre les secrets de la réalité, car les sciences expérimentales ont proclamé leur impuissance à connaître la nature et le mode opératoire de ces phénomènes.

Si le système philosophique matérialiste se montre incapable d'apporter des réponses à ces questions, il tombera en désuétude, comme une monnaie n'ayant plus cours légal. Enfin, quand la philosophie aura atteint sa maturité, que la pensée atteindra son plein développement, et que l'homme se dégagera des perspectives étroites qui le condamnent à l'unidimensionnalité, la philosophie matérialiste sera jetée dans la poubelle de l'histoire, comme d'autres conceptions périmées.

Lorsque l'esprit se déconnecte de la matière pyramidal il rejoint les désirs plus profond de l’âme,
pour ne former plus qu'un son corps devient connecté au cube par ses aspirations spirituelles alors il découvre la plénitude et la pleine croissance de son être et retourner au Paradis perdu Au commencement l'homme vivait en harmonie avec le cube d’où il tirait son énergie et son rayonnement

 

http://travelmeant.net/fundamentals_of_religion/day_of_resurrection/la_resurrection

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4 juillet 2016

Crémation et destruction metaphysique du corps humain

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Si un film était tourné pendant le cycle de combustion du corps, beaucoup de proches du défunt pour ne pas parler des autres seraient saisis et certainement passablement bouleversés et perturbés au plus profond de leurs convictions au cours de la première étape: en effet lorsque les flammes viennent lécher le corps, la température montant généralement à plus de 1200°, celui-ci se redresse sur son séant comme momentanément réanimé pour se recroqueviller, se rétrécir et finalement se transformer en cendres en s'effondrant.

Le chapitre 18, verset 10 du Deutéronome peut s'appliquer en partie comme un interdit explicite de l'incinération d'un corps humain, ou de l'avortement puisque bon nombre de fœtus sont détruits par le feu... et bien qu'il soit tiré de l'Ancien Testament, il est une référence d'interdit majeur d'une actualité brûlante si l'on soumet notre époque à un examen critique où un grand nombre de personnes se tourne vers l'occultisme pour trouver une réponse ou une ébauche de réconfort dans ces pratiques abominables et qui représentent autant de fissures qui minent notre quotidien à notre insu parfois, les chrétiens n'y échappant pas à cause du degré d'errance et de perte de certaines valeurs de base.

" [...] Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien, d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel ". (De 18/10)

chez les musulmans le premier homme a avoir été enterré fut Abel  Allah envoya un corbeau qui se mit à gratter la terre pour lui montrer comment ensevelir le cadavre de son frère. Il dit : “Malheur à moi ! Suis-je incapable d'être, comme ce corbeau, à même d'ensevelir le cadavre de mon frère ? ” Il devint alors du nombre de ceux que ronge le remords. »

[Sûrate 5, V- 27-31).

cela fait sourire souvent les non croyants en disant ce sont que des fables d'anciens pourtant la science a decouvert récemment ceci :  Le corbeau est réputé pour être le seul oiseau à enterrer ses morts après un curieux rituel funéraire au cours duquel plusieurs spécimens se réunissent autour de la dépouille de leur congénère mort en croassant ,

Ne nous y trompons pas, notre corps ne nous appartient pas: c'est un pret pour notre passage sur terre un vehicule qu'il faudra rendre et le laisser retourner a sa forme originel poussiere , crée de terre il retournera à la  terre ...c'est le sens de la parabole de la vie et de la mort....jetter un corps au feu c'est le juger avant son jugement a la damnation

ce quon oublie de dire de cette pratique c'est que aucun corps ne tombe en cendre il reste souvent des os comme le crane qui sont ensuite fracassés et mis en miette sans menagement .....

La crémation est interdite au niveau spirituel pendant les trois jours du décès.
Il faut laisser le corps astral terrestre restituer toutes les informations à l'âme. il existent les hut cellules qui forment la fleur de vie a la conception et qui ne se detruit jamais lors de la mort
Le feu terrestre détruit certaines informations importantes concernant l'expérience terrestre de l'âme.
C'est un délai à respecter le 3 comme le fameux nombre palindrome (666 ou 333)

LE CATHOLICISME : Depuis 1963 le Vatican a mis fin à près d'un siècle 'interdiction formelle de la crémation.
LE PROTESTANTISME : Les protestants ont autorisé la crémation dès 1887.
L'ISLAM : dans la tradition islamique, il est formellement interdit de brûler les corps après la mort.
LE BOUDDHISME : La crémation n’est pas obligatoire, elle est néanmoins recommandée et très pratiquée.
LE JUDAÏSME : la crémation demeure un interdit dans l'orthodoxie rabbinique.
LES ORTHODOXES : admettent la crémation.
L'HINDOUISME : la règle veut que les Hindous soient incinérés après leur mort.

Il existe une horloge spirituelle, qui est sous l’autorité de la règle de trois.
Soit 72 minutes (3x24 mn) [ le nombre des vertus de Dieu, des loges maçonniques et philosophales de l’homme]
Soit trois jours ce qui constituent 72 heures ( le nombre des vertus de Dieu, des loges maçonniques et philosophales de l’homme )
Pour rompre le cordon occulte du corps, pour les âmes fortes 72 minutes suffisent à briser ce lien et pour les âmes les plus faibles 3 jours sont nécessaires.
Il faut laisser le temps à l’âme de lire le livre de sa vie passée sur terre, ce livre est constitué de soixante douze pages.
Comme nous ne connaissons pas les facultés spirituelles de l’âme, dans le doute nous devons respecter les trois jours avant d’incinérer le corps.



Inhumation alchimique = 222 [ la règle de trois, dans le doute laissons le corps se décomposer en terre pour finir son oeuvre alchimique]
Terre = 66 = L’homme = Livre [ Genèse 3.19, Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front jusqu’à ce que tu retournes à la terre dont tu as été tiré. Car tu es fait de poussière, et tu retourneras à la poussière. ]
Livre de vie = 999 [ laissons l’âme du défunt lire son livre de vie pendant trois jours, une expérience à ne pas perdre dans les abîmes du feu de la crémation]

" [...] Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ? Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu ". (1 Cor. 6/19-20)

" [...] puis Dieu lui donne un corps comme il lui plaît, et à chaque semence il donne un corps qui lui est propre ". (1 Cor 15/38)

L'agrément donné par l'Eglise Catholique Romaine, apaisant pour les consciences qui souffriraient d'un reste de scrupules, n'est qu'une abomination de plus à rajouter au compte de "sa" Tradition purement humaine, de son non respect de la Parole de DIEU, de ses falsifications multiples, bref ce qui fait d'elle la Grande Prostituée décrite par Jean au cours de sa vision... provoquant chez lui " un grand étonnement ", dans son Apocalypse alors qu'il assiste à un déploiement de fléaux de toutes sortes et encore difficilement imaginables à notre époque habituée aux effets spéciaux.

Des transgressions, des interdits, des malédictions, des abominations cités dans les Ecritures font l'objet de sanctions et la destruction qui s'ensuit est assurée par le feu.

" [...] Celui qui sera désigné comme ayant pris de ce qui était dévoué par interdit sera brûlé au feu, lui et tout ce qui lui appartient, pour avoir transgressé l'alliance de l'Eternel et commis une infamie en Israël ". (Jos. 7/15)

" [...] Vous brûlerez au feu les images taillées de leurs dieux ". (Deut 7/25)

Peut-on délibérément livrer le corps d'un défunt aux flammes tout en faisant abstraction du caractère de sanction grave qui caractérise un procédé de destruction d'abominations et autres faits de désobéissance susceptibles d'être frappés de la même malédiction ? Rappelons-le, la Bible n'emploie jamais le mot " enfer " mais l'expression " étang de feu et de soufre " pour définir les tourments Eternels dans lequel seront jetés les " corps de résurrection " qui auront été donnés, tout comme aux sauvés, aux perdus et aux incroyants.

L'affreuse coutume de la crémation, nous la trouvons chez les païens, mais aussi chez les israélites qui étaient tombés dans l'idolâtrie: ils faisaient passer leurs fils par le feu en hommage à Moloch (Deut 12:31, Ez 20:31, 2Rois 16:3, 17:17, 21:6).

Si nous lisons attentivement 1 Corinthiens 15, nous comprenons mieux encore toute l'abomination qu'il y a à brûler les cadavres. Inspiré par l'Esprit Saint, Paul y affirme que le corps terrestre semé corruptible ressuscite incorruptible (V42-44). Cela signifie que dans le corps mortel se trouve une semence spirituelle, non analysable du point de vue matériel, mais pourtant si réelle et si forte que son immortalité se manifeste à la résurrection (Phil 3:21).

Dans la même ligne de pensée, nous rappellerons ce que notre Seigneur a dit de Son propre corps : " En vérité, en vérité je vous le dis, si le grain de blé qui est tombé en terre ne meurt, il reste seul: mais s'il meurt, il porte beaucoup de fruit " Jean 12:24.

Si l'esprit et l'âme de quelqu'un entrent dans le royaume des morts à son décès - soit au paradis dans la gloire, soit dans la nuit éternelle dans l'attente du jugement dernier - ils restent cependant, selon le net enseignement de l'Ecriture, attachés par des liens invisibles à leur corps inhumé jusqu'à la résurrection. Quiconque se fait incinérer s'insurge d'une manière sacrilège contre l'ordonnance divine. Cela ne restera évidemment pas impuni.  

Le roi Josias a détruit le premier crématorium (2 Rois 23:10); et dans l'Ancienne Alliance, les partisans de l'incinération furent punis par Dieu "parcequ'ils avaient brûlé, calciné les os du roi Edom (Amos 2:1-3).

Que l'on lise également avec attention le verset 3 du chapitre 6 du livre de l'Ecclésiaste : "Quand un homme aurait cent fils, vivrait un grand nombre d'années, et que les jours de ses années se multiplieraient, si son âme ne s'est point rassasiée de bonheur, et si de plus il n'a point de sépulture, je dis qu'un avorton est plus heureux que lui". Cette affirmation biblique est absolument claire : quiconque se fait incinérer "n'a point de sépulture" , car qui dit "tombeau" dit "cadavre".  Dans son livre " Merveilles de l'âme", le professeur Dr Karl Ludwig Schleich décrit la semence spirituelle, dont question ci-dessus, en ces termes : 

"Elle est le noyau nucléaire de la cellule, cette concentration du germe protoplasmique de la cellule qui doit être considérée comme une espèce d'organe central, un cerveau, une âme de la cellule, semblable au jaune de l'oeuf, comme la partie essentielle des unités vitales microscopiques. Ces dernières, le noyau nucléaire, restent en vie dans n'importe quelles circonstances; il n'y a pas de mort pour elles, mais seulement un état latent comme celui des spores, une attente, un certain sommeil, jusqu'à ce qu'elles refassent valoir leurs petites énergies immortelles dans un merveilleux cycle de vie par un transfert de rythmes.(1)

Aucune digestion, aucun ferment, aucun acide (pas trop fort cependant), rien ne peut détruire leur vie presque cristallisée. Seul le feu les dissout ! Mais tel est le dessein de la nature. Par conséquent, la mort des cellules par les flammes est absolument contre nature. Il faut interdire à tout prix la crémation qui est une des plus graves erreurs de la civilisation !

Chaque noyau nucléaire qui se libère dans le sol porte et conserve quelque chose de l'être physique et psychique du corps en décomposition. Il y a donc un cycle de vie, un principe d'immortalité dans l'organisation corporelle.

Voilà les raisons pour lesquelles nous considérons l'incinération comme une acte absurde..." fin de citation.

Ainsi parle un savant. S'il abhorre l'incinération pour des raisons scientifiques, nous, nous fondons notre rejet sur la Parole de Dieu. Ce qu'il affirme ici s'inscrit dans la ligne de 1 Corinthiens 11:14 :" La nature même ne nous enseigne-t-elle pas ...? "

Quelqu'un d'autre qui se place dans l'optique de la foi interprète comme suit la grande vérité selon laquelle le corps contient une semence : " le grain de blé déposé dans la terre germe et produit une tige, puis un épi, et porte enfin du fruit : mais s'il est brûlé, ce processus est impossible. Invisible à l'oeil et inaccessible au scalpel, se trouve dans notre corps :  une fois mis en terre, elle mûrira en résurrection. Mais la crémation la détruit d'une manière sacrilège; elle est, dès lors, un système satanique de destruction fort raffiné !"

C'est à dessein que je m'en tiens à la seule Parole de Dieu et ne m'arrête pas aux témoignages, crédibles certes, portant sur les souffrances de ceux qui se font brûler sciemment, volontairement. Mais que le puissant archange Michel ait disputé à Satan le corps de Moïse (Jude 9), cela prouve que notre corps, après le départ de l'âme et de l'esprit, doit échapper à l'incinération.

Plusieurs soulèveront cette objection : mais qu'en est-il des martyrs qui ont été brûlés à cause de leur foi? Nous leur répondrons : ils sont de ceux qui, par amour pour Jésus, ont été privés de leur vie par la violence. En Matthieu 3:9, le Seigneur dit aux pharisiens et aux scribes : " ... de ces pierres-ci, Dieu peut susciter des enfants à Abraham ". Jésus-Christ , qui a prononcé ces paroles, est celui qui donnera à chacun de Ses martyrs, Ses témoins, un corps de résurrection. N'a-t-il pas merveilleusement délivré Ses trois fidèles serviteurs de la fournaise ardente de Nebucadnetsar ? ( Dan 3:19-27, Isaïe 43:2).  

La chose se fera également pour ceux qui sont devenus introuvables à la suite d'incendies, d'explosions, d'accidents par acides particulièrement mordants. Il en ira de même pour ceux qui, aux temps des nazis, ont brûlé dans des fours à gaz, ou encore pour ceux dont le corps a été détruit sous des régimes politiques violents. A chacun d'eux, Dieu donnera un corps de résurrection. Mais se faire volontairement incinérer équivaut, en gravité, à commettre un suicide. Qui s'engage par écrit à confier son cadavre aux flammes n'est évidemment pas un martyr. Il déshonore et outrage le corps que Dieu, le Créateur, lui a donné.

L'argument avancé par les partisans de la crémation - qu'il n'y a plus suffisamment de place pour enterrer les morts - ne tient pas. L'Eternel a dit " Remplissez la terre ! " Celle-ci est loin d'être remplie par les vivants - ne devrait-il pas y avoir assez de place pour les corps des saints endormis en Christ ?!

C'est assurément une forme d'apostasie à l'égard du Dieu d'Eternité que de mépriser Sa Parole de son vivant ! Mais si on le fait par-delà la mort, cela ne pourra produire que de terribles effets. Recevez donc cette mise en garde contre la crémation satanique !

Dans bon nombre de pays, aucune loi ne régit l'utilisation ou la destination des cendres déposées dans une urne, au sortir du crématorium. Elles peuvent être conservées, dispersées, partagées... et ce bien sûr, sans bourse délier, un argument de poids à notre époque qui s'ajoute à bien d'autres tout aussi évidents et attractifs. En effet le caveau, la tombe, la concession ne sont plus nécessaires. Et puis l'espace terrestre doit être alloué aux vivants. Ce que l'on peut admettre dans des points de surpopulation comme il en existe en Inde mais certainement pas au Canada par exemple.

 

Combien coûtent les frais d'obsèques.

Combien coûtent les frais d'obsèques.

 

L'argument financier est souvent exposé dans les publicités émanant des pompes funèbres.

 

Jérusalem est éternelle, vos investissements aussi!

Jérusalem est éternelle, vos investissements aussi!

 

Et en matière de publicité, même l'Eternité est évoquée et mise en argumentation...

Entre le décès et la " livraison " au crématorium, au moment de la préparation du corps, on peut parfois entendre des réflexions dans le milieu familial qui en disent long sur le nouvel état d'esprit de notre génération perverse et de plus en plus abâtardie, comme celle qui suit, explicite à elle seule : " pourquoi toiletter et apprêter le corps du défunt puisqu'il est destiné à être réduit en cendres dans les heures à suivre ".. 

Un autre argument concerne les frais de rapatriement d'un corps qui sont pratiquement annulés que ce soit pour les charges occasionnées pour le transport ou celles de la prise en charge en phase finale pour l'enterrement par une entreprise de pompes funèbres.

Des associations de défense de crématistes ont été crées afin de faire appliquer les vœux testamentaires de ceux-ci à condition qu'ils soient " à jour " dans le versement de leurs cotisations comme le stipule le règlement de l'une d'entre-elles, située au pied de la cathédrale de Clermont-Ferrand, comme si l'ombre du monument de pierre pouvait accréditer quelque peu le bien fondé de tels organismes et rassurer les visiteurs, qui viennent timidement se renseigner et trouver un soutien ou malheureusement pour certains, y trouver une solution morale pour confirmer de façon logique leur conviction nihiliste intime. Ce qui revient à dire qu'il ne faut pas par exemple sombrer dans le coma plusieurs semaines avant de " rendre " l'âme et être ainsi défaillant pour ce qui est du versement de ces cotisations. La brochure de cette association cite en exemple des personnages " importants " qui ont choisi de se faire incinérer comme la speakerine de télévision " Jacqueline HUET " en omettant de rappeler qu'elle s'était suicidée !

 

11 juillet 2014

Entités prédatrices de l'humanité Néphilims/reptiliens et vampires

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Disons-le tout de suite, le vampirisme existe, bien sûr, à tous les degrés imaginables, y compris celui qui ne cesse d'alimenter littérature et cinéma, à quelques détails près.

Je ne vais pas consacrer cette page à l'explication du phénomène, ce serait évidemment trop long. Cependant, je pense important d'aborder le sujet de la mort et de la non-mort ("nosferatu", terme qui, en vieux roumain, signifie à peu près "celui qui ne meurt jamais").

L'état de non-mort est produit de multiples manières (dont une "pseudo initiatique", et à laquelle s'adonna le célèbre prince de Valachie, Vladimir "Tepes" Drakul, ayant inspiré Bram Stocker pour son oeuvre "Dracula"). Toujours est-il que le vampirisme, au stade le plus avancé, permet en effet de ne pas mourir après la mort du corps (disons, de rester rivé à la matière dense et de conserver le contrôle sur elle, et sur les "vivants").

Il faut tout d'abord comprendre ce qu'est précisément le vampirisme. La "technique", l'objectif, disons, consiste à absorber l'énergie vitale d'autrui afin de pallier à l'impossibilité d'en produire soi-même lorsque le corps est mort. Cet apport d'énergie fraîche permet à ce dernier de ne pas se décomposer, et donc de garder substantiellement intacte la "corde d'argent" entre l'âme et le corps. Cette "corde" est un lien d'énergie subtile reliant en effet l'âme et le corps au sein duquel elle s'enracine par ce moyen. C'est ce qui différencie un simple fantôme, une entité errante sans réelle influence sur la matière, et un être physique, incarné, qui s'y ébat et s'y développe. La conscience spirituelle étant prise en charge par la conscience biologique (engendrée par le cerveau grâce à la présence de l'esprit, de l'âme, enracinée par la corde d'argent), on peut comprendre d'où vient la raison évidente pour laquelle une grande part de la population du monde ne croit en l'existence d'autre chose que ce qui est immédiatement perceptible, le corps n'étant qu'une sorte de scaphandre permettant de vivre au creux de la matière alors que nous ne sommes finalement que pur esprit.

C'est cet avantage que le vampire refuse de perdre, en plus d'une somme impressionnante de pouvoirs psychiques qui lui est dévolue de par son état vampirique, semi-magique, et disposant malgré tout des atouts des plans du Bas-Astral, allant se ressourcer au sein du plan Vital de la Terre (origine fluidique de tous les cauchemars de l'humanité).

L'énergie dont il a un besoin vital se trouve en très grande proportion dissoute dans le sang, mais sans qu'il soit forcément nécessaire d'en absorber pour en extraire la précieuse vitalité de sa victime. Il peut parfaitement la vampiriser à distance, sans contact physique. En fait, le vampire cumule les avantages d'un esprit désincarné et d'un être humain incarné. Il a autant de pouvoir sur la matière (ou presque) que ce dernier, et pourtant, il lui est possible de disparaître à la vue et de rejoindre les plans spirituels proches de la matière, mais suffisamment éloignés pour ne plus être perceptibles.

Tentative d'accès à la condition vampirique par saturation de sang frais humain.
Technique très risquée se soldant par un échec dans 90% des cas en moyenne. Le mythe du "buveur de sang" viendrait plutôt de la caste "initiatique" intimement associée au vampirisme, le plus célèbre, toujours grâce à Bram Stocker, étant "l'Ordre du Dragon Renversé" auquel appartenait Vladimir Drakul (mais il en existe d'autres, contemporains, beaucoup à Londres, et un, tout particulièrement, à Paris). Son initiateur et Grand-Maître de l'Ordre, était un certain "Abraham le Juif" dont le nom d'initiation était "Eléazar" (nom d'origine hébraïque extrêmement répandu), lui-même enseigné par un mage égyptien appelé Abramelin. Comme dans tous les cercles noirs et satanistes, le sang et la mort sont les deux fers de lance de la politique de terreur appliquée par ceux d'entre eux qui la pratiquent, ainsi que le symbole de leur pouvoir. Mais le "mythe" du vampire est connu depuis la plus haute antiquité et avant cela même; il semblerait qu'il ait "toujours" existé.

En outre, il apparaît que, pour un vampire nouvellement "créé", absorber l'énergie vitale dissoute dans le sang, appelée "Lumière Astrale", est beaucoup plus facile en absorbant le sang lui-même, plutôt qu'en la filtrant à travers le Plan Astral; les subtilités des Plans subtils ne lui étant pas forcément et immédiatement accessibles. En effet, c'est avec le temps et l'expérience qu'il sera amené à les apprendre, raison pour laquelle, plus un vampire est ancien, plus il est difficile d'en venir à bout.

Il existe un livre intitulé "La magie sacrée", ou"Livre d'Abramelin le Mage", que ceux qui le connaissent pour s'être contentés de le feuilleter ou même le lire candidement, trouveront certainement très inspiré d'une grande sagesse et très empreint de piété (revoilà une manifestation de la maestria de l'Illusion...). Ce livre contient des valeurs "renversées" (ou "inversées"); il établit sur six mois la procédure d'un rituel "initiatique" visant à fusionner tout d'abord la conscience de veille avec celle du double sous-plantaire, ensuite parachève cela en faisant de même avec, si possible, l'ensemble des strates de conscience, permettant ainsi, en quelque sorte, de faire émerger à la surface du monde physique le double sous-plantaire; le reflet prenant possession de ce dont il est le reflet en quelque sorte.

Par bien des aspects, le vampirisme est une absolue abomination. Non par rapport à l'ampleur du mal dont il est la cause, mais parce qu'il s'oppose de plein fouet à l'équilibre dualistique des lois naturelles de l'univers, violant le tao, et outrepassant même, dans certains cas, les limites imposées par l'application des manifestations karmiques elles-mêmes. D'où l'intérêt énorme que représente le vampirisme pour la conscience de l'Ombre, voyant en cela une possibilité d'aller encore au-delà de ce qui lui est possible d'atteindre habituellement.

Le texte de "La magie sacrée, ou Livre d'Abramelin le Mage" est bien sûr crypté (bien que faiblement). Tenter de réaliser ce rituel, même sans la clef permettant d'en connaître le sens exact, enchaîne le praticien candide à un egrégore d'aliénation psychique qui, peu à peu... le videra de sa substance vitale. Personnellement, je ne connais AUCUN livre plus dangereux que celui-là, pas même le Necronomicon que l'on dit à juste titre "maudit"; Lovecraft s'étant contenté de ne se faire que le relai de quelque chose de bien plus puissant que lui!

Quant aux moyens de contrer le vampire, la croix ne marche pas, ou alors vraiment très peu (ce symbole, devenu religieux, a trop été perverti depuis l'aube du Christianisme pour qu'il ait quelque effet fondamental sur lui). L'ail fonctionne, à condition qu'il soit consumé sur des charbons ardents afin d'en dégager les huiles essentielles (encore qu'en en ayant beaucoup consommé, le sang puisse en être suffisamment empreint pour représenter une certaine forme de gêne pour le vampire, mais, néanmoins toute relative), idem pour le camphre et le citron (avec une préférence tout de même pour le camphre). L'eau bénite est plus qu'incertaine mais peut se révéler efficace si le prêtre effectue, lors de sa bénédiction, le travail "magique" qu'il est sensé effectuer à cette occasion (je connais certaines paroisses catholiques où le bénitier est rempli d'eau du robinet, sans même qu'une bénédiction symbolique soit faîte dessus). Le pieu dans le coeur (à condition que ce soit le plexus solaire et non le coeur lui-même) est lui aussi redoutable, mais à condition de trouver le corps physique du vampire qui est son point d'ancrage au monde de la matière, donc son point faible.

Lui enfoncer le pieu, ou n'importe quoi de contondant, quelle qu'en soit la matière, dans le plexus solaire, le diaphragme, placé transversalement le long de l'abdomen juste sous les côtes, revient à détruire cet organe qui, seul, a la propriété d'y amarrer la corde d'argent. Ce lien brisé, le vampire disparaît comme n'importe quel trépassé sans réel autre pouvoir... mais l'histoire n'en est alors pas fini pour autant; être "mort" ne signifie pas "avoir cessé d'exister"!

Le tout est tout de même de réussir à atteindre le corps physique du vampire, ce qu'il ne laissera pas faire facilement on peut s'en douter. Il est en outre redoutablement bien gardé, en général, soit totalement inaccessible ou très bien caché. Il a souvent été question de meutes de chiens enragés gardant le corps du vampire au péril de leur vie, ou de déments dévolus à sa cause corps et âme.

La mort n'est donc pas une fin, et encore moins pour le vampire que pour quiconque, car il s'agit pour lui d'une réelle naissance à une condition sensée être gratifiante, une condition de puissance, de pouvoirs, et d'absolue immortalité. Des dynasties entières de la noblesse roumaine s'y sont adonnées entre le quinzième et le dix-huitième siècle (dont peut-être la plus célèbre des praticiennes du vampirisme et du culte rendu à Satan, chaque jour de sa vie jusqu'à celui de sa mort, aux côtés de son frère avec lequel elle entretenait une sulfureuse relation incestueuse, c'est Erszebeth Bathory).

Partout, la trace des vampires fut consignée et il en reste des procès-verbaux originaux à la Bibliothèque Nationale à Paris, signés par des délégations préfectorales de l'époque. Les points géographiquement reconnus comme étant les plus atteints par le fléau vampirique étaient la Roumanie, en effet (rendue célèbre par Stocker, bien sûr), mais aussi la Hongrie, l'Autriche, et, plus particulièrement, l'Auvergne et la Lorraine pour ce qui est de la France.

Il faut aussi savoir qu'il existe des magiciens noirs qui pratiquent ce genre de sport, allant absorber l'énergie vitale de leurs victimes, détruisant ainsi leurs ennemis tout en se gonflant d'une vitalité dérobée sur des êtres humains qu'ils s'acharnent à transformer en "zombies" d'abord, puis en esclaves, et finalement en cadavres!

Le vampirisme occulte est une tragique réalité, quel que soit le moyen employé ou le but poursuivi, même s'il tend à disparaître, surtout pour ce qui est des vampires au sens premier du terme; les conditions de "vie" en l'état de "non-mort" sont devenues quelque peu... difficiles, ces derniers temps.

Pour ceux qui seraient tentés par un accroissement de leur force vitale, mais que le goût du sang ou de la mort ne tente pas forcément, j'ai pensé mettre à leur disposition un schéma radionique d'une déconcertante simplicité, découvert et mis au point par un certain Monsieur H.O.BUSBY, l'un des pionniers en matière de découvertes radioniques, et qui a pour propriété de générer une intense énergie vitale, seulement "volée" à la nature qui ne demande qu'à en faire bénéficier qui sait le lui demander gentiment. Vous en trouverez donc la recette de fabrication à la rubrique "Petit grimoire".*



* Voici une réalisation radionique en volume, testée et mis au point par R. FELSENHARDT et Bernard-Georges CONDE, ce dernier se distinguant par les travaux fantastiques qu'il a réalisés en matière de radionique et d'actions à distance. Il est également l'héritier spirituel du Docteur LEFEBURE, fondateur du "Phosphénisme".




Cette forme, enfermée dans une boîte, génère par émission due à sa forme, une puissante énergie vitale naturelle dont vous pouvez profiter et faire profiter à l'infini, sans léser qui que ce soit, et entièrement non imposable! Cette énergie revitalisera tout organisme biologique vivant.

  • Placez la fenêtre d’émission face au plexus solaire, à environ une dixaine de centimètres.
  • En aucun cas ne maintenez l’exposition plus de cinq minutes d’affilée; trois minutes semble être une moyenne maximale acceptable. Il vaut nettement mieux avoir recours à l’émission de cette forme ving fois par jour à raison de deux minutes chaque fois, plutôt qu’une seule exposition d’une demi-heure qui pourrait se révéler dangereuse ! Pour celles et ceux qui ont une grande habitude de la pratique de la rédiesthésie, vous pouvez estimer à l’aide d’un pendule le temps d’exposition idéal à votre cas propre.
  • Utilisez cette forme exclusivement telle qu’elle se présente ci-contre, c’est-à dire le haut en haut et le bas en bas. En renversant la boîte ou en la montant de façon différente, la forme ne rayonne plus. Si vous la souhaitez efficace, utilisez-là donc uniquement dans cette position.
  • Lorsque vous l’utilisez afin de vous recharger, soyez assis et détendu, la boîte sur les genoux.

Respectez exactement les proportions et mesures de la forme émettrice repésentée en rouge. Nos amis Canadiens qui usent de mesures différentes des mesures en usage en Europe devront faire un exercice de convertion, mais pourront également se contenter de reproduire cette forme aux dimensions qui leur conviendront. En effet, la taille de la boîte n’a guère d’importance dans la mesure où elle n’a ni celle d’une boîte d’allumettes, ni celle d’un semi-remorque ! Seul le rapport entre les dimensions des différents côtés de la forme est important. Voici donc, exprimées en millimètres, les dimensions conseillées des différents côtés de la forme, représentés par les lettres de l’alphabet allant de A à P, totalisant donc 16 côtés en tout.

A B C D E F G H I J K L M N O P Base
176 68 32 38 34 64 20 24 30 24 20 20 18 20 22 42 50


La “Base” dans ce tableau représente le morceau de la forme qui vient se ficher dans le double fond de la boîte et destiné à rendre la forme stable au sein de sa boîte ; l’ensemble peut être réalisé en carton blanc épais (2 millimètres d’épaisseur au moins).

Lorsque vous n’utilisez pas votre émetteur, veillez d’une part à coucher la boîte de façon à ce que la forme ne rayonne pas, et d’autre part, couvrez-la d’un linge de manière la protéger de la poussière, par souci de discrétion, et pour éviter tout risque d’éventuelle exposition au rayonnement micro-vibratoire même si elle est en position couchée !

Conseil :

Souvenez-vous qu’un rayonnement radionique, aussi profondément bénéfique soit-il, devient systématiquement néfaste à la moindre saturation, puis dangereux en cas d’abus manifeste, et finalement mortel en cas d’exposition permanente. La radionique n’est pas un sujet léger et encore moins de plaisanteries. Une vigilance sans partage doit être exercée à son propos !



Tiré du livre de CONDE et FELSENHARDT : "Les bases fondamentales de la radionique", aux éditions Jacques Bersez.

clonage lignée de sang  vampire ou demon ? étrange et les cas sont légions !

a la 7 e minute alec baldwin sous couvert de l'humour fait une declaration des plus claires dans une pub pendant le superbowl , est ce vraiment de l'humour .....?

11 juillet 2014

COMMENT ON DEVIENT IMMORTEL par Joël Labruyère

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Il y a deux façons de procéder. La première est de suivre la voie régulière qui permet à l'âme de retrouver ses facultés divines originelles. La seconde est la voie anormale qui pousse un être à se hisser dans les degrés supérieurs de la hiérarchie qui contrôle la dimension terrestre.

Sur la première voie, celle du Retour au cœur du Père, on sort définitivement du système des dimensions déconnectées de l'Univers interne, alors que sur la voie irrégulière, on prend un titre de Maître ou de demi-dieu qui ne dure que le temps d'un cycle, après quoi, on retourne à la case départ. Les vrais spirituels empruntent la voie régulière, ils sortent du circuit de l'incarnation et de la souffrance, alors que les initiés des basses hiérarchies entretiennent la roue du monde, perpétuant l'exploitation et la douleur ici-bas.




Qui sont ces initiés irréguliers ?

On le devient lorsqu'on veut s'élever par la volonté, la recherche du pouvoir, la célébrité et la gloire en ce monde. On peut emprunter une voie de fausse sainteté comme les initiés de la " main droite " qui ont cultivé une personnalité raffinée, ou au contraire - mais cela revient au même - on peut prendre la voie de la " main gauche " en développant la puissance qui vous hisse au dessus de l'humanité ordinaire. Dans les deux cas, si l'on va assez loin dans le développement choisi, on peut s'octroyer un poste dans la hiérarchie terrestre, au service d'un égrégore.




Peut-on devenir un immortel irrégulier par l'art ou la science ?

Tout à fait. Depuis le développement de la médiatisation, un être qui devient célèbre au plan international prend naturellement, grâce à son charisme, une place de choix dans la hiérarchie planétaire. C'est ainsi que des chanteurs de rock ou des vedettes de cinéma ont gagné une promotion sur une dimension invisible. L'artiste peut être totalement dépravé, ou bien au contraire, il peut s'agir d'un grand humanitariste. Le résultat est sensiblement le même car grâce à son charisme médiatique, la personnalité est devenue si lumineuse sur le plan astral, qu'elle règne sur la portion de l'humanité accordée à sa fréquence. Ici, bien et mal ne sont que les deux faces du jeu de la dualité terrestre. Mais, bien entendu, les humains qui se sont hissés au rang de demi-dieux grâce à leur talent ou leur action, sont aux yeux des masses des êtres divins. Le système politique les identifie par des médailles, des décorations, des prix, afin d'authentifier leur pouvoir occulte. Ainsi, lorsqu'un personnage de la scène médiatique reçoit une décoration au niveau national ou international, cela symbolise sa promotion dans la hiérarchie invisible. Ces décorations ont une fonction magique, à l'image des titres ronflants qu'on confère aux initiés de la hiérarchie ecclésiastique ou maçonnique. Chaque grade maçonnique symbolise un degré atteint dans les basses hiérarchies invisibles, mais il faut avoir fait preuve de ses mérites au service du " prince de ce monde " pour gagner une place de choix dans son administration.




Un chanteur de rock, par exemple, peut-il obtenir cette gratification ?


Prenons les exemples célèbres, comme Mick Jagger, Paul Mc Cartney ou Bob Dylan - sans oublier Elvis Presley qui est une idole qui reçoit un culte religieux. Ainsi, aujourd'hui, lorsqu'un américain sait qu'il va mourir, il dit qu'il va rejoindre Elvis !
Mick Jagger, le provocateur des Rolling Stones qui chantait " sympathie pour le diable " a été décoré du titre de Lord d'Angleterre. Symboliquement, c'est recevoir en héritage un domaine sur la face invisible de l'empire britannique. (Idem pour le Beatle Paul Mc Cartney)

Bob Dylan, le prince des poètes de la génération rock, a été promu à un rang élevé par les autorités maçonniques américaines et internationales. On se souvient de son accolade avec Jean-Paul II, après que Dylan soit d'abord passé à la synagogue de Rome. Nombre de pays l'ont décoré du titre de chevalier des arts et des lettres, ce qui témoigne de l'honneur qui lui est accordé sur la dimension occulte.

Ces artistes médiatisés et idolâtrés ont travaillé pour gonfler certains égrégores, et chaque travail reçoit son salaire. Rien n'est laissé au hasard. Que l'on s'appelle Mère Térésa ou Madonna, c'est le même combat professionnel pour la promotion dans la hiérarchie luciférienne. Il n'y a qu'une faible nuance entre la bonté ostentatoire des grands humanitaristes, et la sensualité des stars. Il faut avoir rendu de bons et fidèles services aux basses hiérarchies, que l'on en soit conscient ou pas. A un certain moment, l'initié sait qu'il est un élu car les pouvoirs qui lui sont octroyés en ce monde sont exorbitants - célébrité, richesse, honneur, pouvoir. Toutefois, l'élu qui ne marche pas droit risque d'être jeté aux oubliettes.




Qu'arrive t-il aux célébrités assassinées ou qui meurent prématurément ?


Généralement, elles sont expédiées de l'autre côté pour être utilisées comme médiums afin de transmettre aux loges occultes des informations sur le futur. Tout a un sens dans l'économie des hiérarchies planétaires. Comme on dit : " chaque cheveu est compté ".

Un élu du système hiérarchique planétaire est un être qui dispose de qualités spirituelles particulières. Il a signé un pacte pour obtenir son pouvoir, son talent, et sa fortune anormale. Il s'est engagé à être un serviteur. Il peut focaliser l'énergie de millions d'êtres afin de redistribuer cette énergie astrale sur d'autres dimensions, au bénéfice des basses hiérarchies.




L'immortalité des grands personnages est donc factice et relative ?


Oui, elle ne dure que le temps d'un cycle, et seulement si l'entité qui a été élue est capable de gérer habilement sa " carrière magique ".
Le fantôme d'Elvis Presley ne sera pas éternellement une idole à laquelle l'Amérique rendra un culte. D'autre part, il n'est pas certain que l'entité Elvis Presley soit capable de diriger consciemment sa carrière magique dans l'au-delà. Son image est utilisée, mais l'entité n'avait pas atteint un niveau de maîtrise occulte suffisante. C'est un instrument. Peu à peu l'image astrale s'estompe et disparaît.
Quoi qu'il en soit, la fonction ésotérique de la gloire en ce monde, c'est de constituer autour de personnalités charismatiques des foyers d'alimentation énergétique. Les stars sont des esclaves de la Grande Babylone. Les grands personnages politiques sont au dessus des célébrités dans la hiérarchie car les stars ne sont que leurs serviteurs, leurs bouffons, éventuellement leurs prostituées. C'est pourquoi aucune célébrité du show business n'attaque le système qui la fait vivre, et qui pourrait la faire mourir. Certaines vedettes jouent les révoltés dans un cadre contestataire délimité, mais jamais ils ne dévoileront les secrets initiatiques - à condition qu'ils comprennent comment ça fonctionne !
Le système est protégé. Un artiste peut prendre un profil de rebelle avant d'accéder au succès, mais dès qu'il est célèbre, il joue le jeu comme un enfant obéissant, ou il est renvoyé en bas.

Brigitte Bardot a égratigné le système, mais pas jusqu'aux responsabilités supérieures, car elle en est un produit, dès avant sa naissance.
Elle dispose d'un certain égrégore, et possède une petite niche de " sainteté " dans la hiérarchie, quoique seulement pour le reflet astral de ses années glorieuses. Elle est donc dans le coup, même si le système l'épingle pour ses positions politiquement incorrectes, lesquelles ne lui vaudront pas un titre d'éternelle comme d'autres stars conscientes des mécanismes ésotériques, et qui sont des initiés.
Bardot est protégée pour son image astrale encore vivace, mais qui s'effrite.
Pour tenir un égrégore, il faut avoir développé une conscience luciférienne puissante au service de l'ordre mondial. Bardot sera récupérée après sa mort si elle ne choisit pas de sortir du système.

Ces entités peuvent-elles échapper un jour au désir de briller et d'être reconnues ? Accède t-on au plus haut niveau de la célébrité si on ne le désire pas depuis de nombreuses incarnations ?




Et les grands noms du passé ?


Ces êtres dont la gloire fut posthume n'étaient pas médiatisés de leur vivant, et seule leur image astrale peut être utilisée par les entités occultes qui gèrent la circulation énergétique à leur profit.
C'est comme de racheter les droits d'un auteur en faisant fructifier la valeur commerciale de son nom. Certains égrégores exercent un droit d'exploitation sur l'image de tel saint ou personnage historique et captent ainsi les sentiments attachés à son nom, mais l'âme du personnage n'est plus dans ce circuit.
Par exemple, François d'Assise aurait refusé de servir de stimulant pour entretenir un culte de sa personnalité, mais cela n'empêche pas l'égrégore catholique romain d'utiliser son image de sainteté pour vampiriser les adorateurs du " poverello ".

Cette organisation de vampirisation astrale est la " Grande Babylone ", avec ses dieux et ses héros. C'est une mafia occulte qui gère les images des grands personnages mondiaux, lesquels ne sont pas impliqués dans ce syndicat, soit qu'ils sont sortis définitivement du circuit des renaissances, ou sont incarnés à nouveau sur la terre dans le plus grand anonymat.

Par exemple, lorsque Platon s'est réincarné pour la dernière fois, c'est dans la personnalité d'un écrivain du 19ème siècle totalement inconnu. Les grands rôles ne sont pas obligatoirement ceux que l'histoire enregistre. Tout ceci est très aléatoire. Par exemple, Vincent van Gogh est mort pauvre et inconnu. Or, l'une de ses peintures est la plus chère du monde. Dès lors, on parle beaucoup de lui, et l'on a construit un mythe autour de son image, sans qu'il soit impliqué dans ce cirque.
Il s'est formé un culte autour de l'image astrale de van Gogh. Il est peu probable qu'il découvre qu'il n'a été durant son périple ici-bas qu'un peintre raté, mystérieusement devenu le plus cher du monde !

Tout cela est très occulte. Pourquoi un homme qui n'aurait pas vendu une croûte de son vivant, devient-il un mort richissime ? Le monde invisible détourne à son profit les œuvres puissantes. On pourrait citer Mozart et nombre de génies, maudits durant leur existence, mais que le système récupère pour son ambiance culturelle, qui sinon serait stérile et creuse.
Certains médiums racontent aux gens qu'ils ont été tel personnage du passé. Selon les modes, c'est un prêtre égyptien ou une princesse celtique. C'est de la sottise. Il faut se souvenir que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute.




Qui gère le circuit de la célébrité ?


Des entités irrégulières se sont octroyées une place dans les basses hiérarchies grâce à un développement occulte qui leur permet de ne pas revenir en incarnation. Ces entités sont organisées en concessions exploitant les réserves énergétiques de l'âme humaine. Ce commerce malsain remonte à une très haute antiquité. Ces entités ont parfois usurpé l'identité et même l'apparence des dieux qui coiffent au le circuit du système solaire. Ces faux dieux et ces entités irrégulières forment les basses hiérarchies planétaires. C'est un circuit fermé rejeté hors du monde divin.

Il s'entretient par la récupération de l'énergie de l'âme humaine qui seule peut synthétiser la force universelle fondamentale. C'est pourquoi, la méthode privilégiée pour capter l'énergie de l'âme demeure les rites et la prière. Du fait que les religions ont perdu le monopole du culte des divinités, il s'est développé un système médiatique international qui pompe une énergie énorme quoique d'un taux vibratoire déprécié. Ce système permet donc aux célébrités d'accéder au statut de demi dieux aux yeux des foules qui veulent des idoles à adorer à la place des divinités démodées.

Cette crise nécessitera au final de faire apparaître un personnage messianique qui se présentera comme le sauveur, l'avatar divin descendu sur la terre. Les loges orientales et occidentales se disputent à ce sujet, sans compter le messianisme juif qui voudrait imposer son roi David.
Un consensus sera adopté, si ce n'est déjà fait. Que le spectacle commence !

Nous avons parlé de la pseudo immortalité des " maîtres " de la hiérarchie planétaire. Nous voyons que pour parvenir à s'élever dans ces degrés il faut avoir développé un pouvoir occulte spécial. Ce pouvoir est lié à la kundalini inférieure, et ne présente aucun caractère libérateur au sens spirituel. Dès lors, comment un être qui n'emprunte pas ce chemin de puissance, peut-il sortir du circuit terrestre ?

La condition pour sortir du circuit c'est de ne pas s'y enchaîner d'avantage. Par conséquent, il faut comprendre que le développement de nos pouvoirs naturels - comme le recommande l'occultisme - est une entrave plutôt qu'une aide.
Nous n'avons pas à rechercher plus de pouvoir si nous voulons sortir d'un circuit planétaire où l'on se hisse précisément en développant une puissance anormale.
Si l'on ne recherche ni la célébrité, ni les pouvoirs occultes, ni la gloire, ni la fortune en ce monde, alors, on est déjà à moitié sorti d'affaire, car nous n'intéressons plus les basses hiérarchies qui vivent de l'exploitation des ambitions mondaines. On nous considèrera alors comme des créatures sans importance, des minables, des ratés, ce qui est tout à notre avantage, car les entités lucifériennes qui surveillent le circuit planétaire, ne peuvent imaginer qu'on puisse rechercher une autre lumière que celle qui illumine leur univers d'illusion.

On devient intérieurement des petits enfants, et l'air de rien, on sort du bac à sable sans se faire remarquer. Bien entendu, il faut couper les liens avec les séductions de la Grande Babylone, ses passions, ses tentations et ses illusions - tout ce qui mobilise les hommes ordinaires.
Ce n'est évidemment pas facile lorsqu'on a une personnalité développée, car celle-ci veut devenir toujours plus grande, plus intelligente, plus forte, plus douée, etc…
Il faut traverser et vaincre les trois tentations dans le désert : l'orgueil, le pouvoir et l'attachement aux richesses. C'est dire qu'il faut prendre le chemin inverse de ceux qui deviennent importants, et qui sont dès lors récupérés par les basses hiérarchies qui les tentent avec l'appât de la gloire, du pouvoir et de la richesse.

Comment un être doté d'une personnalité développée peut-il se libérer ? Celui qui brille d'un certain charisme, qui est ambitieux, peut-il échapper à la tentation de la célébrité, du pouvoir et de la richesse ?

Il doit prendre conscience que le développement de ses pouvoirs personnels le conduiront à pactiser avec des puissants - au plan visible ou invisible - qui pourraient faire de lui leur allié ou un serviteur, s'ils détectent en lui un potentiel.
Les monastères et les loges maçonniques sont remplis d'esclaves qui plient l'échine, à cause de l'orgueil spirituel ou mondain qui les dévore.
Si l'on a une personnalité ambitieuse, volontaire ou téméraire, il est évident qu'on ne doit pas refouler ce que l'on est. Il faut convertir nos défauts en vertus en restituant à l'univers l'essence de nos pouvoirs individuels. Que celui qui a le sens de l'organisation, trouve sa place dans un groupe spirituel de bonne foi où il pourra faire profiter les autres de ses capacités. Que celui qui est ambitieux recherche un but spirituel élevé à la mesure de son désir. Que celui qui est un meneur, aide les autres à avancer vers la lumière, en montrant l'exemple du dévouement et de l'ardeur. Alors, celui qui a des défauts liés à l'orgueil, le goût du pouvoir ou le désir d'expansion, les mettra au service de son désir de vérité et de libération.

Les serviteurs de la vérité ne sont ni indécis, ni dénués de volonté. Leur volonté ardente est convertie en volonté de servir.
Sur la voie spirituelle régulière, on agit avec volonté et détermination, mais on ne cherche pas de profit personnel, alors que sur la voie irrégulière, on recherche uniquement le pouvoir pour soi-même.
Les deux immortalités, la vraie et la fausse, découlent de deux attitudes inverses : servir Dieu ou servir le monde.
Les idées new age, confuses et complaisantes, ainsi que la religiosité mondaine, tentent de conjuguer ces tendances inconciliables. Mais il n'y a qu'une voie d'immortalisation, c'est sortir du circuit de la mort.




Alors, comment devient-on immortel ?

Sur la voie régulière, il faut le désir sincère et conscient de revenir à notre origine - pour autant que l'on ait conservé la nostalgie de ce paradis perdu.
Sur la voie des anormaux des basses hiérarchies, il faut le désir de devenir un dieu en enfer - parce qu'on ne sait plus d'où l'on est venu, et qu'on ne voit pas d'autre façon d'avancer que la fuite en avant.
Entre les deux, il y a les tièdes, ceux qui se demanderont toujours quel chemin est le plus sécurisant, ou pour la majorité, qui ne se demandent rien du tout.

3 juillet 2014

Notre identité et notre conscience sont définies par l'âme

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Nombreux sont les matérialistes qui nient l'existence de l'âme humaine , prétendant que l'être humain est réduit à un amas de matière , et que la conscience, la raison, et l'intellect humaine n'ont pour origine que des "réactions chimiques" à l'intérieur du cerveau humain .Cependant , cette allégation est complètement renversée par les observations et découvertes scientifiques modernes .La science a prouvé que la conscience humaine ne peut être réduite à de la matière et que cette conscience ne peut être expliquée en terme de fonctions du cerveau . Aujourd'hui, de nombreux chercheurs sont convaincus que la conscience humaine est due à une source inconnue au-delà des neurones du cerveau et des atomes inconscients qui la le forment .
Dans son livre :"the Mystery of the mind" , le neurochirurgien canadien Wilder Penfield

Wilder Penfield

 fait la conclusion suivante :"
"Après des années d'efforts pour expliquer la raison uniquement sur la base des actions du cerveau , je suis arrivé à une conclusion : il serait plus simple ( et plus logique) d'adopter l'hypothèse que notre être consiste en deux éléments fondamentaux ( cerveau et pensée[ ou âme] ) . car il est certain qu'il sera toujours impossible d'expliquer la conscience sur la base des actions neuronales du cerveau..je suis forcé à choisir l'hypothèse que notre être est basé sur deux éléments fondamentaux " (Wilder Penfield, The Mystery of the Mind: A Critical Study of Consciousness and the Human Brain, Princeton, New Jersey, Princeton University Press, 1975, p. 80.
Deux autres évidences soutiennent cette conclusion : d'une part l'ensemble des cellules du cerveau humain sont détruites régulièrement, et remplacées par d'autres cellules, si l'on suit l'hypothèse matérialiste : toutes nos mémoires, nos souvenirs, nos idées, notre identité devraient disparaitre au bout de sept années ( toutes les cellules de notre corps sont remplacées chaque sept ans maximum ) , or l'être humain garde avec lui ses souvenirs et son identité tout au long de sa vie , ce qui rejette complètement l'hypothèse matérialiste , d'autre part si l'on considère le cerveau humain et une brique , et qu'on remplace chaque électron dans le cerveau humain par un électron qu'on récupère de la brique et vice versa , que vas t il se passer ? la brique devient elle consciente ? l'homme perdra t il sa conscience ? la réponse est évidente : la brique ne deviendra jamais consciente car la conscience ne dois pas son origine aux atomes ou électrons inconscients , mais à l'existence d'une âme consciente qui perçoit , réfléchit et décide .
Le célèbre physicien britannique Roger Penrose explique ces faits dans son livre The Emperor's New Mind :

"Qu'est ce qui donne à une personne particulière son identité individuelle? s'agit il des atomes qui composent son corps ? son identité dépend elle d'un choix particulier d'électrons, protons et autres particules composant l'atome ? il existe au moins deux raisons pour que ce ne soit pas vrai . D'une part, il y a un changement continu dans la

Notre identité invividuelle est elle dependante des Atomles qui composent notre corps , se demande Roger Penrose .

 matière de tout corps vivant, cela s'applique particulièrement aux cellules du cerveau . malgré le fait qu'aucune nouvelle cellule n'est produite après la naissance, la grande majorité d'atomes de toute cellule vivante ( incluant chaque cellule de cerveau) et ainsi toute la matière de nos corps a été remplacée plusieurs fois depuis notre naissance .
la seconde raison vient de la physique quantique ... si un électron dans le cerveau d'un humain fut obligé d'être échangé avec un électron d'une brique, l'état du système sera exactement le même qu'avant, aucune différence, la même chose pour les protons et toute autre particule, atomes, molecules...si le contenue matériel d'une personne fut échangé avec celui qui y correspond dans les particules des briques d'une maison, rien ne se passera "
(Roger Penrose, The Emperor's New Mind, Penguin Books, 1989, pp. 24-25,

Le rôle du cerveau


Dans l'optique de ce qu'on vient de voir , une question se pose quant au vrai rôle du cerveau , lorsqu'on découvre par la voie de l'imagerie médicale que certaines parties du cerveau sont sollicitée pour une fonction donnée ( l'ouïe , l'odorat..) certains se précipitent de conclure que c'est bien une preuve que c'est le cerveau qui perçoit cette

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Le cerveau n'est ici qu'un outil de transmission, exactement comme fait un ordinateur qui transmet les ordres qu'on lui écrit et les affiche sur un écran

fonction , ce qui est complètement absurde , le scientifique évolutionniste Thomas Huxley , malgré son acharnement pour le darwinisme ( au point ou l'on l'appelle le Bull Dog de Darwin) avoue :
"Comment une chose aussi remarquable que l'état de conscience puisse résulter d'un irritant tissu nerveux, c'est aussi incrédible que l'apparition de Génie lorsque Aladin frotta sa lampe" Steven Pinker, How The Mind Works.
Le cerveau n'est ici qu'un outil de transmission, exactement comme fait un ordinateur qui transmet les ordres qu'on lui écrit et les affiche sur un écran , l'être qui perçoit est celui qui se trouve devant cet écran , et non pas l'ordinateur en lui même .
Diane Ackermann a décrit ce qu'est la conscience en utilisant ces mots :
" le cerveau est silencieux, obscur et bête. Il ne sent rien, ne voit rien.. le cerveau peut se jeter à travers des montagnes ou à travers l'espace. il peut imaginer une pomme et l'expérimenter comme étant réelle. cependant le cerveau connait à peine la différence entre une pomme imaginaire et une pomme observée .... le cerveau n'est pas la raison, cette dernière est comme un fantôme dans une machine ".Ackermann, An Alchemy Of Mind , p. 5
Le fantôme dans la machine dont parle Ackermann n'est autre que l'âme que dieu a octroyé à ses créatures vivantes , le corps n'est qu'une enveloppe de chair , notre identité et notre conscience sont définies par l'âme que dieu nous as donné .

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25 décembre 2012

L'amour est la force supérieure qui guide les mondes.

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Lorsque l'amour pour toutes les créatures, quelles qu'elles soient, commence à être une réalité vécue dans le coeur d'un disciple et que l'amour de soi n'existe plus, c'est là l'indication qu'il approche du portail de l'initiation et qu'il peut prendre les engagements préliminaires nécessaires, avant que son Maître ne puisse, en son nom, le proposer comme candidat à l'initiation. S'il ne se soucie plus des souffrances et des peines du moi inférieur, s'il lui est indifférent que la joie vienne ou non sur son chemin, si l'unique but de sa vie est de servir et de sauver le monde, et si les besoins de son frère ont pour lui plus d'importance que les siens propres, alors le feu de l'amour irradie son être et le monde peut se réchauffer à ses pieds. Cet amour doit être manifesté pratiquement et ne pas rester une théorie, un simple idéal et un sentiment agréable. Il s'est développé au travers des difficultés et des épreuves de la vie, si bien que la première impulsion vitale est maintenant dans le sens du sacrifice de soi et de l'immolation de la nature inférieure (1-169/70).


2. On pourrait écrire un traité sur cette question et elle ne serait pas épuisée. La lumière se fera si nous réfléchissons profondément aux trois expressions de l'Amour : L'Amour dans la Personnalité, l'Amour dans l'Ego, l'Amour dans la Monade. L'Amour dans la personnalité se développe progressivement en passant par les stades de l'amour de soi, pur et simple et entièrement égoïste, à l'amour de la famille et des amis, à l'amour des hommes et des femmes, jusqu'à ce qu'il en arrive à l'amour de l'humanité, ou conscience de l'amour de groupe, qui est la caractéristique prédominante de l'Ego.


Un Maître de Compassion aime ses pareils et ceux de sa race ; il demeure et souffre avec eux. L'Amour dans l'Ego se développe progressivement à partir de l'amour pour l'humanité jusqu'à l'amour universel – un amour qui s'exprime non seulement en amour de l'humanité, mais aussi en amour des évolutions des dévas dans leur totalité et de toutes les formes de manifestation divine. L'Amour dans la Personnalité est l'amour dans les trois mondes ; l'Amour de l'Ego est l'amour dans le système solaire, tandis que l'Amour dans la Monade exprime une certaine
mesure d'amour cosmique et embrasse beaucoup de choses en dehors du système solaire (3-503/4).
3. L'amour est le motif qui a poussé à la manifestation et c'est l'amour qui maintient tout en progression ordonnée ; l'amour entraîne tout sur le sentier du retour jusqu'au sein du Père et l'amour rend finalement parfait tout ce qui est (3-504).


4. A mesure que l'évolution progresse on observe un développement graduel de la capacité d'aimer, qui passe par les stades d'amour au sein du couple, d'amour de la famille, de l'entourage et de tout l'environnement. Avec le temps, le patriotisme fait place à l'amour de l'humanité, souvent l'humanité représentée par l'un des Grands Êtres (3-505).

5. L'homme apprend le pouvoir de l'amour dans sa signification occulte. Il donne et, par conséquent, il reçoit. Il vit une vie de renoncement et les richesses du ciel se déversent sur lui. Il donne tout et se trouve comblé. Il ne demande rien pour lui et il est l'homme le plus riche de la terre (4-89).


6. Cette énergie de l'amour est concentrée principalement dans le Nouveau Groupe de Serviteurs du Monde, afin de servir les desseins de la Hiérarchie qui a choisi ce groupe comme principal canal d'expression. Ce groupe est composé de tous les disciples universels, comme de tous les initiés à l'oeuvre ; ses membres se recrutent dans tous les groupements d'idéalistes et de serviteurs et dans les rangs des individus les plus représentatifs dans le domaine de la pensée, en particulier dans la sphère de l'amélioration et de l'élévation de la condition humaine. La puissance de l'Amour-Sagesse peut s'exprimer à travers eux. Ces personnes sont souvent incomprises, car l'amour qu'elles expriment diffère grandement de l'intérêt personnel affectif et sentimental que témoigne le travailleur ordinaire. Elles s'occupent essentiellement des intérêts et du bien du groupe auquel elles sont affiliées ; les petits problèmes de l'individu, occupé de ses intérêts mesquins, ne les concernent pas au premier lieu. Cela expose ces serviteurs à la critique des individus, et il leur faut apprendre à vivre avec cette critique sans y faire attention. Le véritable amour de groupe est plus important que les rapports personnels, bien que ceux-ci doivent être entretenus quand le besoin s'en fait sentir. Notez que je dis le besoin. Les disciples apprennent à discerner les nécessités découlant de l'amour de groupe et à se comporter conformément au bien du groupe, mais il est difficile à l'individu égocentrique de percevoir la différence. C'est par le truchement de ces disciples qui ont appris à discerner entre les mesquines préoccupations de l'individu absorbé par ses intérêts personnels et les nécessités urgentes du travail et de l'amour de groupe, que la Hiérarchie peut travailler et amener les changements nécessaires, qui sont essentiellement des changements de conscience (9-23/4).


7. L'amour, pour beaucoup de gens et même pour la majorité, n'est pas réellement l'amour, mais le mélange du désir d'aimer et de celui d'être aimé, et la volonté de faire n'importe quoi pour manifester et évoquer ce sentiment et, par conséquent, se sentir plus à l'aise dans sa propre vie intérieure.
C'est ce soi-disant amour, fondé surtout sur la théorie de l'amour et du service, qui caractérise tant de relations humaines, telles que, par exemple, celles entre époux et entre parents et enfants. Aveuglés par le mirage de leur sentiment, sachant peu de chose de l'amour de l'âme qui est libre et laisse aussi libres les autres, ils errent dans un épais brouillard, traînant souvent avec eux ceux qu'ils désirent servir afin d'attirer une réponse affectueuse. Etudiez le terme "affection", et vous verrez sa véritable signification. L'affection n'est pas l'amour. C'est le désir que nous exprimons par l'activité du corps astral et qui influence nos relations ; ce n'est pas un mouvement spontané de l'âme, exempt de désir, qui ne demande rien pour le soi séparé. Le mirage du sentiment emprisonne et désoriente tous les braves gens ; il leur impose des obligations qui n'existent pas, produisant un mirage qui doit être finalement dissipé par l'afflux d'un amour véritable et désintéressé (10-53/4).
8. Je ne vous donne qu'une pensée à répéter lorsque vous vous sentez découragé, fatigué ou affaibli :
"Au centre de tout amour, je demeure, et rien ne peut m'y atteindre ; de ce centre, je sortirai pour aimer et pour servir" (5-607/8).


9. Que l'amour soit la note-clé de vos relations, car le pouvoir qui doit sauver le monde est la précipitation de l'amour (13-299).
10. L'amour n'est ni un sentiment ni une émotion ; ce n'est pas non plus un désir ou un motif égoïste d'agir avec rectitude dans la vie journalière. L'amour est la force supérieure qui guide les mondes

24 mars 2011

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