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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
archeologie
27 janvier 2012

Des artéfacts Mayas découverts sous une avenue

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Lors de la pose de nouveaux tuyaux et câbles sur l'avenue Burns à San Ignacio, dans l'ouest du Belize, des ouvriers ont trébuché sur une cache d'artéfacts mayas datant de plus de deux mille ans.


 Le site Maya Cahal Pech se trouve non loin au Sud de San Ignacio. D'après le Directeur de l'Archéologie du Belize, le Dr Jaime Awe: "Ce que nous avons ici sont trois bocaux, ou ollas comme on les appelle en espagnol, et, par le style de ceux-ci, par la façon dont ils ont été faits, nous savons qu'ils datent de la fin Préclassique ou entre 300 avant JC à la naissance de Christ, il y a donc plus de 2000 ans. Le type d'artéfact que nous avons trouvé indique un ménage ordinaire, pas d'élite, ni de dirigeants qui eux vivaient plus près du centre de Cahal Pech. 
Un des aspects intéressant à propos des artéfacts découverts est que nous croyons qu'ils sont l'indice de quelques maisons d'anciens Mayas; elles se trouvaient là sur le chemin de Cahal Pech dont elles devaient faire partie. Peut-être, ces habitations ont-elles étaient recouvertes par des crues (de la rivière voisine Macal) et les habitants les ont abandonné pour se déplacer vers les hauteurs."


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Récipient Maya découvert sous l'avenue Burns à San Ignacio, Belize. Image credit Belize Institute of Archaeology.

Source:

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16 janvier 2012

Decouverte d'une pyramide en Indonésie plus grande que celle d'Egypte.

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Le mont Sadahurip à Garut, Java de l'ouest, appelé "la pyramide de garut"  est actuellement en train d'être examiné par des équipes d'archéologistes pour voir si en fait ce mont ne sera pas une structure humaine.


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En utilisant des instruments géo-électriques afin de mesurer la résistance des différentes couches géologiques, ils ont déterminé qu'effectivement cette structure ne pouvait pas être de formation naturelle. Un relevé 3D de la topographie locale supporte également l'hypothése humaine.

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Les analyses au Carbone 14 révélent de la terre daterait de 6000 avant Jc alors qu le sol plus profonfd est daté de 7500 avant JC. Avant de tester les archéologies ont fait différentes excavations et ont trouvé un certain nombre de roches couvertes d'écritures.

 


Ils calculent que cette pyramide serait plus grande que celle de Giseh , la hauteur étant estimée à au moins 200 m et aurait été construite vers 10 000 avant JC. La Deutsche Orient-Gesellscaaft (DOG) avec le professeur Bonatz , actuellement en charge, va rencontrer Stephen Oppenheimer de l'université d'Oxford afin d'accéder à des fonds pour accélérer des fouilles et déterminer la validité des récentes trouvailles. Source originale

 

Vu le nombre de pyramide à travers le monde il est clair qu'une énorme civilisation a dominé le monde mais l'histoire est un mensonge que nul ne conteste ........

18 novembre 2011

Fontainebleau a-t-il été le centre d’une ancienne civilisation inconnue ?

hittite© Edith Guérin

 

La forêt de Fontainebleau est l'une des plus grandes et plus belles forêts de France, elle s'étend sur 17 702 ha, auxquels il faut ajouter les 3 300 ha de la forêt domaniale des Trois Pignons.
Entre les arbres et les rochers aux formes fantastiques, on peut sentir cette atmosphère magique. Le mystère de la forêt de Fontainebleau a fait l’objet d’une vive controverse. La question se pose toujours : Fontainebleau a-t-il été le centre d’une ancienne civilisation inconnue ?

Le passé géologique de Fontainebleau

Le passé géologique de la forêt reste assez mal connu. Son passé historique encore plus. Jusqu’à vers 1830, l’ensemble du massif n’était qu’une énorme tache blanche sur la carte de l’Ile-de-France.
On ne fréquentait alors que les abords de l’antique « forêt de Bière », ancien nom du lieu. Même les brigands, qui échappaient là aux gendarmes royaux, hésitaient à s’enfoncer dans cette immense forêt.
Des légendes circulaient sur des habitants mystérieux qui hantaient la forêt. On disait que le Grand Veneur ou le Chasseur Noir veillaient. Gare à qui les rencontrait sur son passage ! Ils étaient toujours accompagnés d’une meute de chiens diaboliques.
Bien évidement, ces légendes écartaient curieux et promeneurs, à une époque, où la nature et la faune qui l’habitait étaient méconnues et considérées comme dangereuses.

Etude des grottes de Fontainebleau
fontai_ele© Edith Guérin
Ce que l’on sait c’est que pendant plusieurs dizaines de milliers d’années, des hommes ont habité certaines grottes de la forêt. Ils y ont tracé de nombreuses figures et des signes qui continuent à poser des problèmes aux préhistoriens.
Ces signes s’échelonneraient, selon J.-L. Baudet, le chercheur qui les a le mieux étudiés, sur une période qui couvre près de 30 000 ans, de l’interglaciaire riss-würm jusqu’à l’âge de fer.
Les plus anciens signes sont très frustres : de simples lignes abstraites marquées dans le grès des rochers.
Les plus récents représentent des figures humaines ou animales, ainsi que des symboles plus élaborés, dont la signification exacte nous échappe.
Les spécialistes ont noté une ressemblance entre plusieurs de ces figures et celles trouvées dans d’autres sites préhistoriques énigmatiques.

Une écriture mystérieuse
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On a également trouvé quelques tombes néolithiques au coeur de Fontainebleau. L’une d’elles est surmontée de blocs en forme de gisants. S’agit-il de blocs naturels ou aménagés par l’homme ?
Cette tombe a livré plusieurs petites sculptures de pierre. Elle a été fouillée au début des années 60 par le poète et archéologue amateur Robert Ganzo.
Les sculptures ont été contestées par les chercheurs officiels qui les considèrent comme de simples fantaisies de la nature.
Pourtant, il est à souligner que d’autres vestiges néolithiques ont été mis au jour autour de Fontainebleau.
De plus, certaines tablettes, retrouvées par R. Ganzo, dans une des tombes posent un problème archéologique considérable.
En effet, ces tablettes étaient recouvertes d’idéogrammes qui évoquent irrésistiblement une écriture.
Ce qui est officiellement impossible. L’écriture est sensée être née bien plus tard, au Proche-Orient. Officiellement, les premiers écrits sont apparus à Sumer vers 3 300 avant notre ère. On inscrivait des pictogrammes sur des tablettes d’argile.
Vers 3000 avant notre ère, les signes se transformèrent en suites de traits : l’écriture cunéiforme.
L'écriture Hittite pictographique a été créée aux environs de 1500 avant notre ère.
Pourtant, il existe plusieurs autres exemples d’écritures préhistoriques, antérieures aux civilisations du Proche-Orient.
L’énigme de Glozel, dans la haute Loire française, est une des plus controversée.
Les tablettes de Tartarie, datées de 4 000 ans avant notre ère, sont un autre sujet de controverse. En effet, ces tablettes ont été retrouvées en Transylvanie. Cela laisserait donc supposer que l’écriture n’est pas née en Mésopotamie, berceau de la civilisation de Sumer, mais au cœur des steppes de l’Europe orientale.
La communauté scientifique argue que la datation au carbone est tout simplement erronée.
Il y a une certaine ressemblance entre les idéogrammes de Fontainebleau et les caractères laissés par la civilisation hittite.
Faut-il pour autant faire des anciens habitants du massif de Fontainebleau les ancêtres des tribus qui sont parties coloniser l’Orient ?

Les rochers de Fontainebleau
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© Edith Guérin
Ce sont sans doute les plus visibles et étranges vestiges du passé de Fontainebleau. Il est difficile de ne pas s’interroger sur leurs formes.
Là encore, la question se pose : ces rochers ont-il été taillés par l’homme ou par la nature ?
On peut observer une exactitude figurative vraiment surprenante pour certains rochers. Certains reproduisent une otarie, un éléphant, des tortues géantes, un oiseau de proie …
Est-ce l’érosion naturelle qui s’est exercée au long des millénaires sur les formations rocheuses en grès ?
A notre connaissance, aucun de ces animaux, n’a évolué dans cette partie du monde, même à une époque lointaine. Mais que sait-on vraiment du passé de notre planète ?
Nos ancêtres, dans les grottes, peignaient leur quotidien et les animaux qui les entouraient. Cette mystérieuse civilisation n’a-t-elle pas tout simplement voulu, elle aussi, retranscrire les animaux de la vie quotidienne .
Il y a un peu trop de coïncidences et de fantaisies de la nature dans toute cette affaire.
Fontainebleau attend toujours que l’on veuille bien se pencher sur son passé. Peut-être qu’un jour, Fontainebleau deviendra le Stonehenge français.

*
http://www.dinosoria.com/fontainebleau.htm

24 octobre 2011

Découverte : Les Aryens en chine il y'a 9000 ans

Les Aryens en Chine

Mark Deavin

En juillet 1996, deux étudiants qui pataugeaient dans la rivière Columbia, à Kennewick dans l'Etat de Washington, trébuchèrent sur les restes du squelette d'un Européen mâle d'âge adulte. Tout d'abord les anthropologues supposèrent qu'il s'agissait d'un pionnier mort à la fin du 19ème siècle. Mais la datation au radiocarbone montra que le squelette était âgé d'environ 9300 ans. En fait, «l'Homme de Kennewick» est la dernière d'une série de découvertes d'anciens squelettes, qui tendent à confirmer la théorie que quelques-uns des premiers habitants de l'Amérique du Nord étaient des Européens, qui émigrèrent à partir du continent eurasiatique par un pont de terre à travers la Mer de Bering vers la fin de la dernière ère glaciaire, il y a environ 12 000 ans. Le Docteur Robert Bonnischen, directeur du Centre pour l'Etude des Premiers Américains, à l'Université de l'Etat de l'Oregon, pense que «l'Homme de Kennewick» jette le doute sur l'exactitude du terme «Paléo-Indien», qui est habituellement utilisé pour décrire cette période de la préhistoire américaine. «Peut-être que certains de ces types étaient précisément des Paléo-Américains», admet-il.

Bien sûr, de tels faits posent un problème majeur à la version «politiquement correcte» de l'histoire, qui encourage l'idée selon laquelle les Américains Blancs ont honteusement volé leur pays aux Indiens. Il n'est donc pas surprenant qu'on aie tenté de dissimuler au public les faits concernant «l'Homme de Kennewick». Encouragés par le gouvernement Clinton, les Indiens Américains ont réclamé le squelette, invoquant une loi fédérale de 1990 qui assure la protection de leurs sites funéraires. Leur intention déclarée était de l'enterrer immédiatement dans un endroit secret, et d'empêcher ainsi de futurs examens scientifiques et des tests ADN. Cependant, huit anthropologues américains, clamant que les Indiens et le gouvernement fédéral craignent les implications de la découverte, ont entamé une action juridique en octobre 1996, pour empêcher tout enterrement secret du squelette.

En fait, «l'Homme de Kennewick» est un élément nouveau et important, qui s'ajoute à un ensemble d'indications qui suggèrent que pendant la période du Haut-Paléolithique, entre -- 10 000 et -- 35 000 environ, les Blancs -- c'est-à-dire des hommes semblables aux Européens modernes -- ne vivaient pas seulement en Europe, mais aussi dans une zone s'étendant de l'Asie du nord jusqu'au Pacifique. En Sibérie et dans d'autres régions orientales ils furent finalement refoulés et absorbés par des peuples mongoloïdes, bien que des poches isolées de gènes européens aient survécu jusqu'à nos jours en Asie du nord. Le peuple métissé des Aïnous au Japon en est un exemple.

La crédibilité de cette théorie a été spectaculairement renforcée dans les dernières années par la découverte remarquable de plus d'une centaine de corps d'Européens naturellement momifiés, vieux de 2400 à 4000 ans, dans la région du bassin du Tarim [70 km à l'ouest de l'ancien lac du Lop Nor, NDT], en Chine de l'ouest. Etonnamment bien préservées par le climat aride de la région, ces momies témoignent de l'existence d'un peuple de type nordique, avec une culture avancée, splendidement habillé avec des tuniques, des pantalons, des bottes, des bas, et des chapeaux. Dans une grande tombe, les corps de trois femmes et d'un homme furent découverts. L'homme, âgé d'environ 55 ans à sa mort, était d'une taille d'au moins 1m80 et avait des cheveux châtain clair qui étaient en train de blanchir. L'une des femmes les mieux préservées était d'une taille de 1m80, avec des cheveux châtain clair tressés en nattes. [Illustrations ; ci-dessus : le Sinkiang (Tuskestan chinois), plus grande province de Chine, où se trouve le site du bassin du Tarim. Ci-dessous : un Européen de grande taille, aux cheveux clairs, enterré il y a 3000 ans en Chine de l'ouest. Les corps momifiés de douzaines de ses congénères ont été découverts dans la même région.]

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Parmi les objets découverts avec les corps se trouvaient des manteaux de fourrure, des gants de cuir, et un miroir décoré, alors que les femmes avaient des sacs contenant des petits couteaux et des herbes, probablement à usage médicinal. A Cherchen, dans le sud du désert de Takla Makan, on découvrit le corps momifié d'un enfant, probablement âgé de guère plus de trois mois à sa mort, enveloppé dans de la laine brune, et les yeux recouverts de petites pierres plates. A côté de sa tête il y avait une coupe à boire faite dans une corne de bovidé, ainsi qu'un «biberon» fait d'une mamelle de brebis, qui avait été coupée et cousue pour pouvoir contenir du lait. Une momie mâle portait même les traces d'une opération chirurgicale sur son cou, les incisions ayant été recousues avec du crin de cheval. 

En fait, plusieurs momies de type européen avaient déjà été découvertes dans la région du bassin du Tarim au début de ce siècle, l'une d'entre elles ressemblant à une femme celte, et une autre à un vagabond bohémien. Toutes étaient habillées de beaux vêtements, incluant un chapeau avec des plumes, ayant une ressemblance frappante avec les coiffures alpines encore portées de nos jours dans les Alpes. Mais ces premières découvertes, vieilles d'environ 2000 ans, furent rejetées comme étant des corps d'Européens isolés qui s'étaient égarés dans cette région, et elles furent ainsi considérées comme n'ayant pas de signification culturelle ou historique.

En effet, les spécialistes modernes, en accord avec la mode de l'Histoire «politiquement correcte», ont eu tendance à nier les preuves de tout contact ou échange précoce entre la Chine et l'Ouest pendant cette période, considérant le développement de la civilisation chinoise comme une affaire essentiellement intérieure, coupée de toute influence extérieure. Plus encore, toute diffusion de peuples ou de culture était supposée avoir eu lieu de l'est vers l'ouest, les Européens ayant été civilisés par les Chinois. L'éminent spécialiste de la Préhistoire Gordon Childe, par exemple, résuma en 1958 la Préhistoire européenne comme étant l'histoire de «l'irradiation de la barbarie européenne par la civilisation orientale». (1)

Mais les dernières momies découvertes dans le bassin du Tarim sont trop nombreuses, trop anciennes, et trop riches d'enseignement, pour pouvoir être rejetées de cette manière. [Cependant, ces découvertes n'ont été connues du grand public qu'à partir du milieu des années 90, alors que les premières momies ont été découvertes à partir de 1978-1980, NDT.] Et, plus important, elles ont aidé à rouvrir le débat à propos du rôle que les Européens ont pu jouer dans les origines de la civilisation en Chine, quelques archéologues recommençant à arguer que les Européens pourraient bien avoir été à l'origine de l'introduction en Chine d'éléments de base tels que la roue et les premiers objets en métal. Cela renforce sérieusement les théories qui furent proposées au début du siècle, mais qui furent ultérieurement enterrées sous une avalanche de pensée «politiquement correcte». En 1912 par exemple, un universitaire réputé de Cambridge, A.C. Haddon, nota dans The Wanderings of Peoples la possibilité que l'élément civilisateur de la vieille civilisation chinoise aurait pu être introduit par la migration d'un peuple plus cultivé venant de l'ouest. 

A présent, selon le Dr Han Kangsin, un anthropologue de l'Institut d'Archéologie de Pékin, l'existence des squelettes et des momies souligne clairement le fait que les premiers habitants de la région du bassin du Tarim étaient des Blancs, apparentés aux Cro-Magnons de l'Europe paléolithique. Cette théorie est soutenue par le Dr Victor Mair, spécialiste des anciennes langues et cultures asiatiques à l'Université de Pennsylvanie, qui encouragea la principale expédition qui découvrit les momies. Il est devenu le principal avocat de la théorie selon laquelle des groupes importants d'Européens étaient présents dans le bassin du Tarim longtemps avant les actuels habitants de la région, suggérant que les peuples turcophones n'arrivèrent pas dans cette région avant le 8ème siècle av. JC environ. Ultérieurement, pense-t-il, les nouveaux venus chassèrent les Européens, encore que le principal groupe ethnique de la région aujourd'hui, les Ouïgours, compte parmi ses membres des individus avec des cheveux et un teint inhabituellement clairs.

En réalité, la preuve de l'existence d'un peuple indo-européen, à présent disparu, qui vivait en Asie centrale, existe depuis longtemps. Les membres de ce peuple sont connus sous le nom de Tokhariens, et sont décrits plus précisément sous le nom de Arsi, qui est apparenté au sanscrit Arya et au vieux-persan Ariya, signifiant Aryen : «ce qui est noble et digne». Leur langue, qui présente des similarités avec les branches celtiques et germaniques du tronc commun indo-européen, est conservée dans des manuscrits datés entre le 6ème et le 8ème siècles après JC, et de solides preuves de son existence peuvent être trouvées aussi loin qu'au 3ème siècle.

En dépit du fait que des manuscrits tokhariens ont été trouvés seulement pour la période la plus récente, les linguistes ont occasionnellement identifié des mots tokhariens dans des manuscrits écrits en gandhari prakrit, une langue vernaculaire du nord-ouest de l'Inde qui était utilisée comme langue administrative dans une grande partie du bassin du Tarim du 3ème au 5ème siècle après JC. Les Tokhariens étaient aussi connus antérieurement sous le nom de Yue-zhi (ou Ru-zhi), qui sont cités dans des textes chinois datés du 5ème siècle après JC, dans les limites d'ancienneté définies par la datation des momies du bassin du Tarim.

Les Tokhariens sont représentés de manière frappante sur des peintures murales à Kizil et Kumtura (non loin de la ville chinoise de Ku-Che, dans les montagnes du Tien Shan au nord du bassin du Tarim) comme des Européens d'allure fière, de grande taille, avec des cheveux roux ou blond-roux, nettement divisés au milieu, des longs nez, des yeux bleus ou verts, des visages allongés. Les Yue-zhi du premier siècle avant JC sont aussi décrits dans des statues peintes à Khalchayan (à l'ouest de la rivière Surkhan, dans l'ancienne Bactriane). Eux aussi sont dépeints comme des Européens avec des longs nez, des visages fins, des cheveux blonds, la peau rose, et des yeux bleus clairs. On sait par des sources historiques que pendant le 2ème siècle av. JC, les «grands Yue-zhi» se déplacèrent du nord-ouest de la Chine jusqu'à Ferghana et la Bactriane, qui se trouve sur le flanc le plus éloigné du Pamir. A partir de là ils partirent au sud à travers l'Hindou Kouch vers l'Afghanistan et la partie nord du subcontinent indien, où ils fondèrent le puissant empire Kushan. Ce dernier, en retour, étendit à nouveau son pouvoir jusqu'au bassin du Tarim, et avec lui se répandit le Bouddhisme, qui atteignit finalement la Chine.
 

«Les nouvelles découvertes obligent à un réexamen des vieux livres chinois qui décrivent des individus historiques ou légendaires, de grande taille, avec des yeux bleus ou verts, de longs nez, de grandes barbes, et des cheveux roux ou blonds. Les spécialistes ont traditionnellement raillé ces récits, mais il semble maintenant qu'ils pourraient se révéler exacts.» (Victor Mair)

Une hypothèse qui rencontre une faveur croissante est que la migration de ces Indo-Européens commença avec leur invention du chariot à roues. Travaillant avec des archéologues russes, le Dr David W. Anthony, anthropologue au Hartwick College à New York, a découvert des débris de roues de chariots dans des tumulus funéraires vieux de 5000 ans, dans les steppes de la Russie du sud et du Kazakhstan. Cette série d'investigations a un rapport direct avec la question des momies européennes en Chine, parce que des roues en disque, formées de trois pièces, similaires à celles qui ont été découvertes en Asie de l'ouest et en Europe, datées du 3ème et du 2ème millénaire av. JC, ont été découvertes dans le désert de Gobi, au nord-ouest du bassin du Tarim. De même, des roues à rayon datant du début du 2ème millénaire av. JC ont été mises à jour dans un autre site non loin de là. 

La plupart des chercheurs acceptent à présent la thèse selon laquelle le lieu de naissance des véhicules tirés par des chevaux et l'utilisation des chevaux comme montures se trouvait dans les steppes d'Ukraine, plutôt qu'en Chine ou au Proche-Orient. Comme le Dr Anthony et ses collègues l'ont montré par leur étude au microscope des dents de chevaux, des chevaux étaient déjà harnachés en Ukraine il y a 6000 ans. De même, des chars de bois avec des roues à rayons ont été datées d'environ 2000 ans av. JC, dans la même région. En comparaison, les chars n'apparaissent en Chine qu'environ 800 ans plus tard. Des chevaux enterrés rituellement, similaires à ceux de l'ancienne Ukraine, ont aussi été mis à jour dans le bassin du Tarim, ainsi 
que des débris de roues de véhicules faites par l'assemblage de trois planches de bois polies et parallèles. Des véhicules avec des roues à peu près identiques ont été découverts dans les plaines d'Ukraine et datées de 3000 ans av. JC.

Un grand nombre d'objets découverts dans les tombes des momies du bassin du Tarim ont fourni des preuves importantes de la domestication du cheval. Cela inclut un mors en bois et des rênes en cuir, une cravache consistant en une seule lanière de cuir attachée à un manche de bois, un morceau de bois avec des lanières de cuir, et une selle de cuir rembourrée, parfaitement réalisée. Cela semble confirmer que les momies appartenaient à une culture nomade de cavaliers, qui se répandit à partir des plaines de l'Europe de l'est. Cela renforce aussi la conviction grandissante des archéologues, que l'extension de la langue, de la culture, et du stock génétique indo-européens est peut-être liée à l'extension graduelle des techniques de domestication du cheval et des véhicules tirés par des chevaux, depuis leur région d'origine en Europe, il y a 6000 ans.

Ces découvertes ont des conséquences extrêmement importantes pour la compréhension des origines de la civilisation chinoise, puisqu'on a maintenant démontré que le char fut connu en Chine seulement vers le milieu du second millénaire av. JC, à peu près à l'époque du développement de la métallurgie du bronze et de l'écriture. Par conséquent, ces faits suggèrent que les chariots et les chars furent introduits en Chine à partir de l'ouest par les Indo-Européens. Cela démontre aussi que la pénétration européenne en Chine ne commença pas avec l'ouverture de la Route de la Soie, que les livres d'histoire datent habituellement du 2ème siècle av. JC, mais au moins 2000 ans plus tôt, au tournant du Néolithique et de l'Age de Bronze, lorsque la totalité de l'Eurasie fut reliée culturellement et technologiquement par les migrants européens. 
 

 
Des vagues migratoires s'étendant sur une période d'au moins 7000 ans (de -- 8000 à -- 1000) emmenèrent les Aryens depuis leur habitat d'origine du nord de la Mer Noire jusqu'en Europe de l'ouest, en Inde du nord, en Chine de l'ouest, et en Amérique du nord (par le détroit de Bering).

En fait, en 1951 l'archéologue allemand Robert Heine-Geldern était déjà parvenu à montrer une série de similarités entre les techniques de la métallurgie en Europe et en Chine, vers 800 av. JC. Sa démonstration incluait de l'équipement pour les chevaux, des épées à deux tranchants, des haches et des pointes de lances, dont il situait l'origine dans les centres métallurgiques du Halstatt et du Caucase. Arguant qu'une «migration reliante» s'était déroulée depuis l'Europe à travers l'Asie, il suggéra que l'émergence de la culture des Dong en Chine du sud pourrait s'expliquer par des influences venant directement d'Europe, pendant les 9ème et 8ème siècles av. JC. (2)

Deux ans plus tard, l'archéologue russe bien connu S.I. Rudenko nota l'existence de momies ayant une apparence européenne dans les tombes royales de Pazyryk dans les monts de l'Altaï, datées des 5ème et 4ème siècles av. JC. Cette démonstration fut ultérieurement appuyée par John Haskins de l'Université de Pittsburgh, qui suggéra que les Yueh-zhi (un ancien nom chinois pour désigner les Tokhariens) de la région de Pazyryk dans l'Altaï, pourraient avoir été apparentés aux Celtes de l'Europe continentale.

Précisément, les momies du bassin du Tarim ont fourni de nouvelles preuves qui appuient la thèse de Heine-Geldern. Quelques-uns des objets trouvés avec les momies suggèrent fortement un lien avec la «période des haches à douille», caractérisée par ses haches de bronze à douille (ayant un manche de bois creux inséré du côté opposé à la lame) et d'autres objets en bronze, tels que des couteaux avec des manches en forme d'animaux. La «période des haches à douille», qui est datée d'environ -- 1800 à -- 1000, s'est étendue sur toute l'Europe et cadre bien avec certains aspects de la culture du cheval et du char, qui met l'accent sur la chasse, avec l'utilisation de différentes sortes d'arcs. 

Ainsi une nouvelle crédibilité a été donnée à des théories précédemment ignorées et ridiculisées, à propos des origines et du développement de la civilisation en Chine. A la lumière de ces nouvelles découvertes, Edwin Pulleyblank de l'Université de la Colombie Britannique argua récemment que l'influence européenne pourrait avoir été un facteur important pour l'unification des états chinois et l'établissement du premier empire chinois centralisé, par Chinchi Huangti en l'an 221 av. JC. Il souligne l'arrivée de l'extérieur, à la lisière de la steppe chinoise, de la technique militaire des archers montés, mentionnés explicitement pour la première fois dans les sources chinoises en l'an 307 av. JC. A l'ouest, les archers montés apparaissent avec les Scythes, étroitement apparentés aux Celtes, qui sont mentionnés pour la première fois dans les sources moyen-orientales vers l'an 800 av. JC et dont le mode de vie est décrit en détail par l'historien grec Hérodote. Ironiquement, ce fut la technique des archers montés, typique du nomadisme classique, qui domina la steppe européenne et qui rendit possible l'émergence des grands empires de la steppe des Singnou, des Turcs et des Mongols qui plus tard terrorisèrent l'Europe.

Pulleyblank suggère précisément que la technologie européenne fut copiée par les Chinois et retournée contre ses inventeurs. En effet, une analogie frappante avec l'extension de l'utilisation des archers montés aux frontières de la Chine peut être vue dans la manière dont la découverte des chevaux par les Indiens du Mexique, du fait des Espagnols, et de leur utilisation guerrière, a transformé les Grandes Plaines d'Amérique du nord au 19ème siècle. Cette théorie de l'imitation [des techniques européennes] par les peuples mongoloïdes est aussi appuyée par la présence de nombreux mots d'origine indo-européenne dans les strates les plus archaïques des langues apparentées au chinois. Cela inclut des mots comme «cheval », «traces», «charrette», «roue », et «vache», et cela aussi suggère que ce furent les Européens qui apportèrent tout cela en Chine.

Les échantillons de textiles, datés de la fin du second millénaire av. JC, découverts dans les tombes du bassin du Tarim, fournissent aussi la preuve de la diffusion de la technique sophistiquée des Européens jusqu'en Chine. L'un des fragments était une pièce de tissu en laine avec un dessin à carreaux, nécessitant l'utilisation d'un fuseau à tisser qui n'a jamais été associé auparavant avec la Chine ou l'est de l'Asie à une date aussi reculée. Irene Good, spécialiste de l'archéologie du textile à l'Université de Pennsylvanie, a confirmé que le dessin des carreaux était virtuellement identique, sur les plans stylistique et technique, aux pièces de textiles découvertes en Autriche et en Allemagne sur des sites datant d'une période un peu plus tardive.

Le Dr Elizabeth J.W. Barber, linguiste et archéologue à l'Occidental College de Los Angeles, et auteur de Prehistoric Textiles (Princeton University Press, 1991), confirme que les Chinois n'utilisèrent pas et ne connurent même pas le fuseau à tisser, mais en eurent connaissance par l'influence de l'ouest, et seulement après la période des Han. Il est significatif qu'il y ait de nombreuses ressemblances entre les momies du bassin du Tarim et «l'Homme des glaces» [le fameux « Ötzi», NDT], vieux de 5000 ans, découvert en 1991 dans les Alpes autrichiennes. Cela inclut le type et le style des vêtements, les objets personnels, le symbolisme religieux solaire, et les tatouages magiques ou décoratifs, ainsi que le type racial distinctif.

Ces découvertes semblent par conséquent confirmer de plus en plus l'existence d'une culture celtique s'étendant à travers l'Eurasie, il y a au moins 4000 ans. Comme l'a souligné James Opie, universitaire spécialiste des instruments en bronze et des motifs décoratifs sur les anciens textiles, il est hautement significatif que les entrelacs celtiques, les svastikas, et les motifs à thème animalier, aient été découverts depuis l'Europe, à travers l'Iran, jusqu'à la Chine. La religion des Celtes archaïques -- ainsi que celle des Scythes -- était une religion solaire, et les svastikas à trois ou quatre branches utilisées comme symboles solaires sont des éléments omniprésents dans l'art celtique. De même, les Européens du bassin du Tarim montrent un net penchant pour les spirales solaires, les tatouant sur leurs visages et les gravant sur les brides de leurs chevaux. Cela en soi suggère qu'il s'agissait de Nordiques, qui furent et qui ont toujours été des adorateurs du Soleil et du Ciel, et plus généralement de la Nature. Comme l'a dit le Dr Michael Puett, historien des civilisations d'Asie de l'est à l'Université de Harvard, les momies du bassin du Tarim révèlent clairement un processus de diffusion culturelle depuis l'Europe, vers l'extérieur.

Tout cela renforce la thèse du pionnier de l'archéologie, Colin Renfrew, qui contesta l'idée précédemment admise que la culture préhistorique commença au Proche-Orient ou en Asie centrale, et fut «diffusée» seulement plus tard vers l'Europe «barbare». Ces nouvelles découvertes confirment que les préalables culturels à la civilisation sont beaucoup, beaucoup plus anciens en Europe qu'on le croyait, et suggèrent que loin que l'Europe ait été civilisée depuis l'extérieur, ce fut plutôt le reste du monde, incluant l'Asie, qui fut civilisé par les colons européens. (3)
 
 

1. V. Gordon Childe, Antiquity, 32 (1958), 70

2. J. P. Mallory, In Search of the Indo-Europeans (Londres 1989), 59.

3. Colin Renfrew, Before Civilization (New York 1974).

15 août 2011

L'énigme de Richat Le Grand Oeil Bleu de l’Afrique

L’œil du Sahara en Mauritanie 7

Le Grand Oeil Bleu de l’Afrique en Mauritanie, visible depuis l’espace, n’est pas un cratère de météorite comme l’a laissé croire sa forme et ses cercles concentriques typique des impactes de météores.

Deux expéditions en 2003 (il aura fallut deux expéditions pour finalement comprendre) ont conclu fondements à l’appui, que c’est une formation géologique d’origine terrestre.

Le principe en résumé : en profondeur, un sole composé d’une alternance de couches de calcaire — fragile — et de couches de quartz ou granite — solide. Une bulle de magma a poussé par dessous formant un relief (classique, rien de spéciale jusque là). La bulle de magma était accompagné d’eau très chaude, qui a dissous le calcaire du renflement, fragilisant sa structure par des zones vides entre les couche de granite. Finalement, fragilisé, l’ensemble s’est effondré, et les relief circulaire restant sont les reliquats des couches de quartz qui n’ont pas été dissous ni érodés.

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7 août 2011

Le plus ancien temple de pierre jamais découvert

01-gobekli-tepe-pillars-714Le toponyme turc Göbekli Tepe se traduit en français par « la montagne du Nombril », en référence à sa forme. Sur ce site repose le plus ancien temple de pierre jamais découvert (datation estimée entre - 11500 et -10000 avant notre ère[1]). Il aurait fallu plusieurs centaines d’hommes pour le construire et les travaux auraient duré de trois à cinq siècles. La civilisation mégalithique à l’origine de ce site est encore très mal connue.
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Göbekli Tepe est le plus ancien exemple répertorié d'architecture monumentale.

 Les archéologues ont alors mis au jour un sanctuaire monumental, parmi les plus anciens connus en Occident, devançant d'environ 70 siècles les plus anciennes pyramides égyptiennes. Le temple en lui-même est une colline artificielle, aux murs faits de pierres sèches non sculptées. Chaque pièce étant une construction mégalithique ronde. À ce jour, quatre enceintes dessinées par d'énormes piliers de calcaire pesant plus de 10 tonnes ont été dégagées. Selon Klaus Schmidt, « elles symbolisent des assemblées humaines, et les pierres levées, disposées en cercle, représentent des personnages stylisés. » Certains indices nous laissent à penser que beaucoup de choses restent à découvrir. Au vu de la façon dont sont sculptées les pierres, la pierre était probablement extraite avec des pioches en pierre.
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Il y a quelques années, Klaus Schmidt et son équipe découvrirent une pierre en forme de T, à moitié extraite d'un lit de pierre à chaux, à un kilomètre du site. Cette énorme pierre mesure 9 mètres de long et était apparemment destinée à rejoindre les autres piliers de Göbekli. « La pierre est fendue, elle a donc dû se casser », explique Schmidt, « lorsque cela est arrivé les constructeurs l'ont probablement abandonnée pour en commencer une autre. »

Tout cela nous montre qu'il y a probablement d'autres pierres de cette hauteur qui n'ont pas encore été découvertes. En effet, les analyses géomagnétiques des montagnes artificielles de Göbekli Tepe indiquent qu'au moins 250 pierres supplémentaires seraient encore enfouies dans le sol.
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A ce jour, quarante pierres monumentales en forme de T et atteignant 3 mètres de haut ont été sorties de terre, la plupart gravées. Sur certains piliers, on peut voir de nombreux animaux finement représentés (serpents, canards, grues, taureaux, renards, lions, sangliers, vaches, scorpions, fourmis). Certaines de ces gravures ont été volontairement effacées, peut-être en préparation d'autres représentations.
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Se basant sur les importantes représentations d'animaux, Schmidt indique qu'il doit s'agir d'une culture shamanique à rapprocher de la culture sumérienne et mésopotamienne. La présence de gravures de points décoratifs et de motifs géométriques, fréquents dans ces cultures, semblerait corroborer cette hypothèse. On trouve des motifs utilisant des points comme à Byblos, beaucoup de motifs identiques à Nemrik, Helwan et Aswad. On peut donc supposer des pratiques rituelles proches. Toutefois, » selon Klaus Schmidt, « une chose étrange s'est produite vers 8000 av. J.-C., pendant la transition vers l'agriculture : Göbekli Tepe a été enterrée délibérément, et non pas par une coulée de boue. Pour des raisons inconnues, les bâtisseurs ont décidé d'enterrer le site. La terre que nous retirons sur les pierres a été placée ici par l'homme. Toutes ces collines sont artificielles

7 août 2011

Le site d'Olympie aurait été détruit par des tsunamis

zeus-olympieLe site d’Olympie – lieu des jeux du temps de la Grèce antique pour ceux qui ne le sauraient pas – a-t-il, autrefois été détruit par un tremblement de terre ? C’est ce que l’on a longtemps pensé mais il pourrait bien qu’il n’en fut rien, si l’on en croit les dernières découvertes. C’est le genre de nouvelles qui serait parfaitement tombé une année bissextile, ou plutôt, une année de Jeux Olympiques, mais bien évidement, ce n’est pas le cas. Cela n’enlève cependant rien à son intérêt, bien évidement :

Le site d'Olympie aurait été détruit par des tsunamis

Le site d’Olympie n’aurait pas été détruit par des séismes mais plutôt par des tsunamis selon un groupe de chercheurs allemands. Les huit mètres de sédiments recouvrant le site lorsqu’il a été redécouvert il y a environ 250 ans seraient bel et bien d’origine marine.

Selon les historiens, les derniers Jeux olympiques se seraient déroulés en 393 après J.-C., peu après l'édit de l’empereur Théodose ordonnant l'abandon des lieux de cultes de la religion grecque. Une partie des fonctions du mécanisme d'Anticythère ne servait donc plus à rien. Selon les archéologues, le site d’Olympie aurait ensuite été complètement détruit en 522 et 551 après J.-C. par des tremblements de terre. Les siècles suivants, il aurait été enfoui sous une couche d'alluvions de plusieurs mètres d'épaisseur, déposée par la rivière Kladeos, avant d’être redécouvert en 1766 par Richard Chandler, helléniste et archéologue britannique. Les fouilles n’y ont commencé réellement qu’en 1829 avec l'expédition de Morée.

Pour Andreas Vött de l'Institut de géographie de l'Université Johannes Gutenberg de Mainz, en Allemagne, la thèse de la destruction par des séismes est fausse. Plus précisément, comme il l’affirme aujourd’hui avec des collègues allemands, ce sont des tsunamis causés par des séismes qui ont causé tout à la fois la destruction et l’enfouissement du site d’Olympie. Vött et ses collègues se sont engagés dans un vaste projet d’investigation des traces laissées par des paléo-tsunamis en Méditerranée au cours des derniers 11.000 ans, plus précisément, ceux s’étant produits dans sa partie Est. Cela n’est pas étonnant, c’est en fait au niveau de l’arc hellénique que se produisent de nombreux tremblements de terre puisque c’est un arc tectonique lié à la subduction de la plaque africaine sous la plaque de la mer Egée.

Les chercheurs ont donc examiné de plus près le site d’Olympie, situé à seulement 22 kilomètres de la mer et à 33 mètres d’altitude. Du temps des Jeux olympiques, il ne devait être qu’à guère plus 8 kilomètres de la côte toutefois. Leur conclusion quant à la nature des sédiments recouvrant le site a rapidement été la suivante : « Tant par la composition que l'épaisseur des sédiments que nous avons trouvés à Olympie, nous voyons que cela ne cadre pas avec le potentiel hydraulique de la rivière Kladeos et avec l'inventaire géomorphologique de la vallée. Il est hautement improbable que cela ait pu être le travail de ce ruisseau », a déclaré Andreas Vött.

En fait, les forages effectués ont montré la présence de coquilles de mollusques (bivalves et gastéropodes) ainsi que les restes de micro-organismes tels que les foraminifères. Ce sont des preuves claires d'une origine marine des sédiments. On y trouve même des tsunamites. On ne peut donc guère échapper à la thèse d’une destruction causée essentiellement par des tsunamis, d’autant plus que l'analyse des différentes couches de sédiments dans la zone d'Olympie suggère que ce scénario s'est réalisé à plusieurs reprises au cours des 7.000 dernières années.

Il y a d’autres observations qui plaident en la faveur de cette thèse. Les ruines des colonnes du temple de Zeus ne les montrent pas empilées les unes sur les autres, comme ce devrait être le cas si elles étaient tombées suite à un séisme, mais bien étalées comme si elles avaient flotté, emportées par un flot de sédiments. Des analyses sédimentologiques, géochimiques, géomorphologiques et surtout géochronologiques plus détaillés sont en cours. Elles devraient fournir des datations qui permettront de lever les derniers doutes quant à l’origine de la destruction d’Olympie. Encore un peu de patience...

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/terre-3/d/le-site-dolympie-aurait-ete-detruit-par-des-tsunamis_31369/

19 juin 2011

Anciennes civilisations et places mystérieuses

13-points-d-ENERGIELey Lignes  et  vortex forment ce qu'on appelle communément la Grille mondiale ou de la grille planétaire naturellement l'énergie électromagnétique. . Lorsque ces lignes se croisent sont appelés noeuds, et ils sont 'hot spots' de l'énergie. In addition, these lines create geometric patterns, and in particular there are ten 'triangles', called vortices. En outre, ces lignes de créer des motifs géométriques, et en particulier il ya dix «triangles», appelé vortex. . Le Triangle des Bermudes au large des côtes des Bermudes, et le Triangle du Diable au large des côtes japonaises ne sont que deux exemples des tourbillons.

. La grille d'énergie planétaire fonctionne à travers certaines formes géométriques qui suivent une symétrie spécifique. Les grilles de répondre aux différents points d'intersection formant une sorte de matrice. . Ceci est équivalent à des points d'acupression sur notre corps.  Ces points de la grille peut être trouvé à certains des endroits les plus grande puissance sur la planète. Platon, philosophe grec, qui vivait environ 427 à 347 avant JC reconnu les modèles de grilles.Il a conçu une théorie sur sa conviction que la structure de base de la terre a évolué d'une forme géométrique simple au plus complexe des formes géométriques. . Ces formes est devenu connu sous le nom solides platoniciens. They are: cube (4), tetrahedron (3), octahedron (8), dodecahedron (12), and icosahedron (20). Ils sont: cube (4), le tétraèdre (3), l'octaèdre (8), le dodécaèdre (12), et l'icosaèdre (20).

. Platon, dans sa Timeaus associés à chaque forme avec l'un des éléments, terre, feu, air, éther, et l'eau. . La grille énergétique de la Terre depuis les débuts de son cours évolutif, a évolué à travers chacune de ces formes pour ce qu'elle est aujourd'hui. ." Chaque forme, superposées les unes sur les autres pour créer une sorte de tous les domaine de l'énergie globale qui est la base même de la terre tenant tous ensemble. "

5 juin 2011

Découverte d'un tunnel de 120 mètres de long menant à des chambres funéraires sous une ancienne ville mexicaine.

rusty_james_archeologie_pyramide_mexiqueTeotihuacan
Des archéologues ont découvert un tunnel de 120 mètres de long menant à des chambres funéraires sous une ancienne ville mexicaine.

C'est sous l'ancienne ville de Teotihuacan, au Mexique, que des archéologues ont fait une découverte qui pourrait se révéler être l'une des plus grandes du 21ème siècle, rapporte le Dailymail.

Grâce à un radar, les explorateurs ont trouvé un tunnel long de 120 mètres sous la terre, couvert de symboles. Les archéologues ne se sont pour l'instant aventurés que dans sept des 120 mètres mais pensent qu'il mène à trois chambres, des chambres qui pourraient, selon eux, expliquer les croyances de la civilisation mésoaméricaine.
Teotihuacan___Temple_of_Quetzalcoatl_figure
"On sait déjà que Teotihuacan a été construite comme une réplique de comment ils voyaient le cosmos et l'univers. On imagine que le tunnel doit être une reproduction de ce qu'ils imaginent comme l'intérieur de la Terre.", a expliqué Sergio Gomez Chavez, archéologue à Mexico.

Le site de Teotihuacan regorge de mystères en tous genres, avec ses pyramides et ses labyrinthes de temples et d'avenues. La création de cette ville est estimée à 100 avant JC. La cité aurait existé jusqu'au huitième siècle, avec une population de 200 000 âmes en moyenne.

Les archéologues considèrent qu'ils ont seulement exploré 5% de cette mystérieuse cité, malgré plus de 100 ans de recherches, et espèrent faire un bond en avant avec la découverte de ce fameux tunnel.

3 juin 2011

Etrange histoire d'artefacts cachés en dessous de crop circles

rusty james crop circleLe plus grand et le plus compliqué des pictogtrammes allemands a été découvert un matin du 24
juillet 1991, à Grasdorf près de Hildesheim en basse saxe par des joggers. Il couvrait une
superficie de 6000 mètres carrés! -Appelée sur les lieux très rapidement, la journaliste scientifique
Claudia Briva, prit plusieurs photos et vidéos de l’événement. Au développement des clichés, une
étrange source d’énergie semblait ressortir de l’environnement du crop circle, que l’on ne pouvait
voir sur le moment. Une mesure de radiations donna un résultat de 172 % plus élevé que dans
l’environnement normal.
Une étude détaillée par le chercheur Michael Hesemann, nous démontre que ce
crop-circle ressemble en tout point à des symboles culturels d’une fort ancienne
civilisation du passé. Selon lui,on a affaire à un message qui s’adresse à la
mémoire collective de l’humanité. Selon la journaliste Claudia Briva, si c’est un
être humain qui l’a fait,on a affaire à un “être exceptionnel”,voir un génie de
l’organisation et de l’orientation spatiale ! Ce qui est encore plus étonnant est
que trois plaques constituées de trois éléments (bronze,argent et or) agglomérés
furent trouvé à 46 centimètres sous terre, les plaques de bronze et d’argent étant
actuellement en la possession d’un indistriel allemand. Les plaques ont ont été
présentées par l’ufologue Hesemann lors de sa conférence internationale UFO, “Dialogue avec
l’Univers”, à Düsseldorf, en Allemagne, en Octobre 1992 et utilisée à nouveau quand il a filmé un
bout de vidéo sur le cas Grasdorf pour l’émission de télévision américaine, “Encounters” en avril,
1994 .

Énigme sous un crop circle allemand rusty james

En outre, l’avocat de Tugingen M. Roemer-Blum, a organisé une évaluation scientifique à l’Institut
fédéral allemand pour la recherche des matériaux (Bundesanstalt für Materialpufung) à Berlin. La
méthode de fabrication et d’agglomération des éléments d’or, de bronze et d’argent des trois
plaques est sans précédent : Leur conclusion, après avoir soigneusement analysé les deux plaques a
été : La première (de couleur argentée) se composait principalement d’argent très pur (quel
euphémisme), l’autre alliage qui le compose étant inférieur à 0.1%. Le poids de l’assiette était de
4.98 kgs. La deuxième assiette (couleur bronze) consistait en un alliage cuivre-étain (la teneur en
étain s’élevait à 10% -15%), les traces de fer et de nickel étaient inférieures à 0%. Cela signifie que
le métal argenté était composé de 99,9% d’argent pur, plus pur que l’argent sterling. En outre, une
analyse spectrographique des deux plaques a prouvé qu’elles n’avaient pas été faite à partir d’un
bloc, mais d’une sorte de conglomérat de pépites d’argent et de morceaux de cuivre et d’étain
naturel du même type que ceux qu’on trouve dans la forêt de Harz en Allemagne, non loin de
Grasdorf. Elles ont été produites, soit par chauffage à un degré qui a partiellement fondu les
métaux - ou dans un environnement à faible gravité.L’origine de ces trois plaques est restée inconnue depuis toutes ces années. Le dessin représenté sur
les trois plaques, correspond au plan du crop circle. Les ufologues allemands croyaient à l’époque
qu’il pouvait s’agir de trois pièces d’un train d’atterrissage (ou plus précisément d’un tripode). A
l’heure actuelle, on ne sait pas ce que sont devenues ces trois plaques, et le mystère du crop-circle et
de ses artéfacts n’est toujours pas résolu.

Chaque plaque représentait les mêmes symboles que le crop circle et toutes trois furent trouvées au milieu des trois cercles soulignés par un arc.

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"Ce dessin est composé de sept symboles et de treize cercles. La croix dans le cercle est un symbole solaire que l'on retrouvera dans la croix celtique. Ces signes sont visibles dans les peintures rupestres scandinaves et dans l'alphabet multimillénaire d'Afrique du Nord chez les Berbères : Le tifinagh.
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Le crop circle est placé sur un des lieux de culte les plus anciens d'Europe. Il devait y avoir un chemin de pèlerinage préhistorique à cet endroit. l'alignement fait référence à l'alignement planétaire du 11 09 2012 alignement aussi des 3 pyramides d'egyptes ,il semblerait que les monuments dans le monde serait tous près pour un avènement et cela prédit  de longue date nous sommes à une époque charnière pour l'humanité son histoire semble etre alignée sur notre époque.

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