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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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13 février 2014

Doc sur les pyramides de Lambayèque de la civilisation Sican

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A l’ombre de la cordillère des Andes, en Amérique du Sud, la vallée de Lambayèque a été le théâtre de la naissance et du déclin d’un peuple baptisé Lambayèque (également connu sous le nom de Sicàn). Cette civilisation pré-inca est beaucoup moins connue que celle des Mayas ou des Incas.
Les Lambayèques étaient obsédés par la construction des pyramides. Aujourd’hui, seuls quelques vestiges témoignent du nombre impressionnant de monuments qu’abritait cette vallée.
Pourquoi cette civilisation était-elle obsédée par la construction de ces pyramides ? Pourquoi ont-ils abandonné les trois sites ? Pourquoi il y a-t-il tant de squelettes ensevelis à côté des temples ?
Et enfin, que s’est-il passé de si tragique pour qu’une telle civilisation s’effondre en si peu de temps ?
C’est à toutes ces questions que l’équipe internationale d’archéologues a pu répondre ces dernières années.
Archéologues, climatologues et experts en médecine légale ont uni leurs efforts pour résoudre les mystères du peuple Lambayèque.

Une véritable obsession pour les pyramides

De nombreuses civilisations, à travers le monde, ont construit des pyramides mais aucune n’était à ce point obsédée par ce type de constructions.
On a dénombré environ 250 monuments dans la vallée. Erodées au fil du temps, ces pyramides ont fini par se fondre dans le paysage sous forme de collines. Dans la vallée de Lambayèque, trois grands sites se détachent :

  • Lampa Grande avec une immense pyramide de plus de 50 m de haut sur 200 m de large
  • Batan Grande avec une bonne douzaine de pyramides
  • Túcume avec ses 26 pyramides

Túcume est le plus grand complexe archéologique du peuple Lambayèque.

Grands bâtisseurs, ce peuple ne connaissait pas l’écriture. Leur nom leur a été donné par les archéologues en référence à la vallée.
Les Lambayèques ont prospéré dans cette région à partir de 700 de notre ère.

Au moins 12 autres civilisations ont construit des pyramides mais aucune ne ressemble à celles de cet étrange peuple.

Les datations au carbone 14 montrent que la première pyramide de Túcume a été construite autour de 1100 de notre ère.
Pendant 400 ans, ce peuple en a construit d’autres et ajouter des extensions à celles existantes.

Pourquoi les Lambayèques ont-ils construit autant de pyramides et à quoi servaient tous ces monuments ?

La fonction des pyramides Lambayèques

Quand on pense aux pyramides, le premier exemple qui vient à l’esprit est celui des pyramides d’Egypte.
Ces tombeaux pointus étaient destinés à accueillir les souverains après leur mort.
Les pyramides aztèques ou mayas pouvaient éventuellement abriter un tombeau mais leur principale fonction était d’être le siège de rituels bien précis.

Les pyramides construites par les Lambayèques sont totalement différentes. A Túcume, les 26 monuments sont de tailles différentes et construites en cercle autour d’une montagne, le Cerro la Raya.

Le site couvre plus de 1 500 km². Une construction se détache des autres : une gigantesque plate-forme rectangulaire, la Huaca Larga.
C’est la plus grande pyramide du monde avec ses 700 m de long sur plus de 20 m de haut. La terrasse est aussi grande que 7 terrains de football.

L’intérieur des pyramides est dépourvu de salles. Aplanie au sommet, une rampe permettait d’y accéder. Des couloirs et des espaces ouverts s’enchevêtrent en haut du monument.

Des milliers de personnes ont travaillé jour après jour à l’édification de ces gigantesques pyramides. Les briques étaient confectionnées à partir de boue séchée puis cuites au soleil.

C’est le sommet des pyramides qui a permis aux chercheurs d’en comprendre la fonction. Contrairement aux Egyptiens, il ne s’agissait nullement de tombeaux.
En fait, le sommet était habité par un seigneur. On a mis au jour de nombreux vestiges dont des salles richement décorées, des fours ou des restes alimentaires.
Les pyramides étaient donc des lieux de résidence permanentes aux seigneurs qui gouvernaient la région.

Le devant des pyramides, constitué d’un immense espace à ciel ouvert, était réservé aux grandes cérémonies publiques.

Mais, à Túcume, il y a 26 pyramides ce qui signifie que 26 seigneurs étaient rassemblés au même endroit.
Pourquoi un tel rassemblement ? Et pourquoi construire de tels monuments simplement pour héberger un seigneur ?

Pyramides et montagnes sacrées

Dans l’ancien Pérou, les montagnes sont sensées abriter des pouvoirs religieux et magiques.
Les dieux, vraiment puissants, vivent dans les montagnes. Quand ils étaient en colère, ils terrorisaient la population.
Un dieu avait le pouvoir de vie ou de mort. C’est lui qui donnait la vie grâce à l’eau qu’il faisait descendre des Andes. Sans cette eau, la vallée n’aurait été qu’un immense désert.

Ce n’est pas un hasard si les 26 pyramides de Túcume sont construites autour d’une montagne. D’après les scientifiques, quand les Lambayèques construisaient une pyramide, ils construisaient en fait une réplique de la montagne, dotée des mêmes pouvoirs surnaturels et capable de contrôler les forces de la nature.

C’est pourquoi les Lambayèques se sont tués à la tâche pour construire des monuments qu’ils croyaient investis des pouvoirs magiques des montagnes.

Et tout comme les dieux vivaient au sommet des montagnes, les seigneurs vivaient au sommet des pyramides pour protéger le peuple.

Mais qu’est ce qui les effrayait tant dans cette vallée ? Et pourquoi avaient-ils besoin d’autant de pyramides pour se protéger ?

De mystérieux abandons

Les datations au carbone 14 révèlent quelque chose de surprenant. Les trois principaux sites n’ont jamais été habités en même temps.
Chaque ville a été bâtie après que la précédente a été abandonnée :

  • Pampa Grande (600-750 de notre ère)
  • Batan Grande (750-1100 de notre ère)
  • Túcume (1100-1500 de notre ère)

L’abandon de Túcume sonna le glas du peuple Lambayèque.

Il existe cependant un lien commun dans ces trois villes. Un incendie a ravagé le sommet des monuments juste avant l’abandon de la ville.
Ces monuments en portent encore la trace. En effet, la couleur rouge des murs est due à un feu très intense.
On n’a retrouvé aucune trace d’invasion, ni de combats. Ce sont donc les habitants eux-mêmes qui ont mis le feu aux pyramides, détruisant ce qu’ils avaient mis des centaines d’années à construire.

Pour comprendre un tel comportement, il faut savoir que dans les croyances d’Amérique du Sud, le feu était utilisé pour purifier les endroits maudits.

Cette vallée était-elle maudite ? D’une certaine manière, on peut répondre « oui » car les catastrophes naturelles s’y sont succédées.
Les strates archéologiques de Batan Grande révèlent que la ville a été frappée de plein fouet par un mur d’eau.
Le site proche de Moche a été enseveli par une gigantesque et fulgurante tempête de sable.

On sait aujourd’hui que ces catastrophes climatiques sont provoquées par le phénomène appelé El Nino.
Cette région en est d’ailleurs toujours la cible.

Mais, pour les gens, ces catastrophes ne pouvaient être que l’expression de la colère des dieux.
Donc, si ces phénomènes se produisaient, c’est que les seigneurs et les pyramides n’avaient pas su les protéger.

A chaque nouvelle catastrophe qui provoquait de nombreux morts, des famines et des épidémies, la population quittait la ville pour trouver protection ailleurs.
Devenue maudite, la pyramide était incendiée.

C’est ce qui explique qu’autant de pyramides émaillent la vallée.

Cependant, à Túcume, les choses sont bien différentes.

Les sacrifices rituels de Túcume

A Túcume, il n’existe aucune trace de catastrophe naturelle. C’est durant l’été 2005 que les archéologues ont découvert pourquoi cette cité a été abandonnée et surtout pourquoi ce peuple a brutalement disparu.

Tout a commencé par la découverte des vestiges d’un passage à deux voies bordé de murs qui menait autrefois à la ville.
Cette ruelle en forme de labyrinthe tournait plusieurs fois autour de la cité pour déboucher devant un endroit précis : un temple de taille modeste, le temple de la Piedra Sagrada.
La population de Túcume y faisait ses offrandes pour les dieux.

Mais, dans les dernières semaines, ce temple est devenu le théâtre d’offrandes beaucoup plus sinistres.

Ce sont les nombreux corps découverts à l’extérieur du temple qui ont fourni les réponses. 119 corps ont été découverts, ensevelis sur cinq niveaux.
La plupart de ces gens ont été décapités. Parmi eux, il y avait quelques femmes et des enfants.
Le dernier niveau correspond aux derniers jours avant l’abandon de la ville. Les corps sont beaucoup plus nombreux à ce dernier niveau ce qui montre que les sacrifices se sont multipliés.

Grâce au travail des archéologues et aux récits d’anciens chroniqueurs espagnols, on sait comment les rituels se déroulaient.

L’élite des seigneurs Lambayèque et le gouverneur inca se rassemblaient autour du temple. Le grand prêtre soufflait des poudres colorées sur la pierre sacrée, symbolisant le dieu de la montagne.
En se parant d’un masque, il montrait qu’il endossait le rôle d’un dieu.

Les victimes étaient droguées. La drogue administrée paralysait le corps mais laissait la victime consciente.
Elle savait qu’elle allait mourir mais était incapable d’opposer la moindre résistance. Elle s’agenouillait et le prêtre se tenait derrière elle.
Une fois la gorge tranchée et la tête coupée, le prêtre retirait le cœur pour l’offrir aux dieux.

Un couteau sacrificiel, le tumi, a été découvert sur le site.

On sait que les peuples amérindiens pratiquaient le sacrifice humain mais pourquoi les Lambayèques ont-ils autant intensifié ces sacrifices ?

Du sang pour les dieux

L’effarante histoire des Lambayèques trouve sa source dans l’arrivée des conquistadors en 1532. Ils ont débarqué au Pérou, très loin de la vallée.
.
Vénérés à leur arrivée car assimilés à des dieux, ils ont très vite été craints, d’autant plus qu’ils arrivaient sur des chevaux, un animal inconnu en Amérique du Sud.

Les éléments retrouvés sur le site montrent que lorsque les Espagnols sont arrivés au Pérou, les Incas avaient déjà pris le contrôle de la vallée. Or, les Lambayèques partageaient avec les Incas une même croyance, à savoir que les envahisseurs étaient le signe de la colère des dieux. Il fallait donc les apaiser.

Un an après l’arrivée des envahisseurs, Les Lambayèques ont appris qu’ils avaient tué leur chef suprême, le demi-dieu incas.
Cette mort déclencha une vague de panique. Les habitants de la vallée devaient offrir aux dieux ce qu’ils avaient de plus précieux : des êtres humains.

Il fallait nourrir les dieux avec du sang humain pour les apaiser et repousser l’invasion.

Mais, les sacrifices n’ont pas stoppé les Espagnols. Plus la peur grandissait, plus cette peur devenait incontrôlable.
Vers la fin, les corps s’empilaient devant le temple.

Pour ce peuple, les pyramides avaient perdu leur pouvoir surnaturel. Elles n’avaient pu les protéger.
Ils y mirent donc le feu pour purifier la ville.


Le peuple Lambayèque (1 de 3) par rochelion
Le peuple Lambayèque (2 de 3) par rochelion
Le peuple Lambayèque (3 de 3) par rochelion

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5 avril 2013

"Cancer, la barbarie de l'incompétence" de Michel Dogna

chimio canalblog inscription rusty james

Dans un récent article de CNN intitulé ''Ma mastectomie préventive : rester en vie pour mes enfants'' une mère fait enlever ses seins et ses ovaires sur simple présomption de terrain favorable à futur cancer.

Déclarant qu'elle a suivi la recommandation pressante de son gynécologue, Allison Gilbert a fait enlever chirurgicalement ses ovaires en 2007 et ses deux seins au début de cette année. Elle déclare :''La décision d'une opération chirurgicale sans avoir de cancer n'a pas été facile, mais elle m'a semblé logique. Ma mère, ma tante et ma grand-mère sont toutes mortes d'un cancer du sein ou des ovaires, et j'étais testée positive pour le gène du cancer du sein.''

Oui, de plus en plus de médecins encouragent maintenant les patients à se faire enlever des parties du corps jugées à risque pour prévenir un cancer éventuel. (y compris un cancer du cerveau ???)

Pour les hommes c’est pareil ; c’est ainsi que l’on estime à un million le nombre d’américains à qui l’on a abusivement enlevé la prostate soit préventivement suite à un adénome soit en faisant croire à un début de cancer. (En France on a du mal à connaitre les chiffres). Tout cela semble insensé, pourtant la communauté médicale dans sa majorité pense que c'est un exploit médical d'accomplir une mutilation physique au nom de la prévention d'un cancer… Cela me fait penser dans Astérix, aux Normands qui coulaient  leur propre bateau en voyant seulement s’approcher la barque des gaulois.

Cette nouvelle mode est le critère de la non-reconnaissance de la science officielle à propos de la relation directe du mode d’alimentation avec le cancer. Remarquez que les chattes et les chiennes n’avaient jamais de cancer de la mamelle avant l’apparition des boites et des granulés ; de plus elles partagent souvent nos restes. Aussi aurait –il été intéressant de faire une petite enquête sur les coutumes nutritionnelles de la famille Gilbert…..

Par ailleurs, on reste pantois devant la reprise enthousiaste des médias qui glorifient cet autosacrifice de mutilation en tant que manifestation héroïque d'affection envers la famille et les amis.

Mais surtout, nous avons là la preuve éclatante que la médecine officielle avoue implicitement son propre constat d’échec face au cancer, d’autant plus lorsque l’on connait le chiffre officiel à l’échelle mondiale annoncé par l’OMS concernant la survie à 5 ans suite à la recette unique : la chimiothérapie, qui est de 2,2% ! 

Il se dit même que les gens meurent plus souvent de leur chimio que de leur cancer. Qui tenterait raisonnablement une quelconque action avec 98% de chances d’échouer ? Pourtant il existe depuis longtemps différents traitements naturels et des cures de désintoxication qui, sans pour autant être efficaces à 100% - ce qui est assez normal - offrent statistiquement des résultats infiniment plus satisfaisants que les méthodes traumatisantes des grands labos.

Mais cet « exercice illégal de la guérison » a toujours été sauvagement combattu par la dictature médico-pharmaceutique qui comme toute religion fanatique et intégriste interdit d’aller voir ce qui se passe ailleurs que dans leur chapelle. En attendant, tant pis pour tous ceux qui se laissent embarquer par l’autorité agressive des oncologues qui vont même jusqu’à  menacer leurs « victimes » de perdre l’assistance sociale s’ils n’obtempèrent pas à leurs injonctions !!! Je n’exagère pas, cela m’a été rapporté tant de fois….

Un jour, un médecin stomatologue me dit confidentiellement au cours d'une réunion de famille :

- « Entre nous, un cancer, on ne s’en sort jamais, on ne fait que reculer l’échéance… » 

- Je lui répondis « Comment cela ? Que fais-tu des légions de gens qui ont été guéris définitivement avec le CARZODELAN, extrait pancréatique d’enzymes (qui curieusement  suite à près de 40 années de succès a été interdit), de la CURE BREUSS qui existe depuis plus de 300ans, les résultats par la simple MACROBIOTIQUE, sans compter les différents remèdes pourchassés tels les PEROXYDASES DE SOLOMIDES, le 714 X DE NAESSENS, l’ASIATONIC (champignon chinois), etc. »

- Il me rétorqua la réponse classique «C’est que ce n’étaient pas de vrais cancers…. »

- Je lui dis alors « Tu es gonflé, qui est-ce qui avait dépisté les tumeurs cancéreuses, c’est bien vous les médecins ; donc tu avoues que l’on ne peut pas vous faire plus  confiance pour le diagnostic que pour le traitement ! »

Je peux en outre renvoyer à juste titre le même raisonnement à la cancérologie en disant que les seuls succès de leurs traitements « politiquement corrects »ne s’appliquent qu’à des faux diagnostics de cancers…..

Enfin j’en profite ici pour rappeler une fois de plus qu’il existe une cure de désintoxication cellulaire de 60 ans d’âge qui règle de très nombreuses maladies, dont le cancer, et certaines maladies classées orphelines, en quelques mois, c’est la CURE GERSON accompagnée des lavements au café, que j’ai dévoilée en France il y a 4 ans et que j’ai expliquée en détail dans un livret édité par Guy Trédaniel.

C’est une prise en main personnelle assez contraignante, mais les Docteur Gerson et Kelley qui ont  sauvé des milliers de personnes promettaient un sauvetage de près de 40% des patients en phase terminale du cancer. Alors avant de vous laisser découper en morceaux, brûler ou chimiquer, renseignez vous d’abord en dehors du menu unique qu’on vous impose, c’est votre droit le plus absolu, et ensuite…..C’est vous qui voyez... Au moins, maintenant, vous êtes informés.

Michel Dogna

 

Je me suis guérie d'un cancer de la gorge à l'automne 2005 grâce à la cure Breuss, et je viens de me sortir d'un cancer du colon descendant par la cure de Gerson et Kelley, échappant ainsi aux opérations et chimio et autres joyeusetés que la machine allopathique me proposait....!!!!

 

Santé Mensonges & Propagande

On pourrait en parler comme preuve irréfutable, une fois pour toutes, de la tromperie de l'industrie conventionnelle du cancer. Non seulement la chimiothérapie, qui est la méthode standard de traitement du cancer aujourd'hui, est, selon l'étude un fiasco total, mais elle est au complet détriment du malade cancéreux. Publiées dans le journal Nature Medicine, les choquantes découvertes qui, sans surprise, ont été ignorées de la communauté scientifique dominante, éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie obligent les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.

"La liberté commence où l'ignorance finit." Victor Hugo

27 mars 2013

Un réseau de galeries et de cavernes sous l’Equateur et le Pérou renfermerait deux bibliothèques

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Un réseau de galeries et de cavernes sous l’Equateur et le Pérou renfermerait deux bibliothèques
contenant des livres de métal gravés et des tablettes de cristal. Plusieurs expéditions ont tenté de
découvrir ce trésor, en vain. Un fabuleux défi archéologique. « Pour moi, c’est la plus incroyable, la
plus fantastique histoire du siècle » s’écrit en 1972 l’aventurier suisse Eric Von Däniken dans son
ivre The Gold of the Gods
De quoi s’agit-il ? D’une bibliothèque de livres de métal découverte en 1965 sous le sol du Pérou et
de l’Équateur par l’entrepreneur austro argentin Juan Moricz. Selon Däniken, passionné d’énigmes
archéologiques, Moricz l’aurait accompagné en 1972 au coeur des mystérieuses galeries
souterraines qu’il décrit ainsi: « Tous les couloirs forment des angles droits parfaits, parfois étroits,
parfois larges. Les murs sont lisses et semblent polis. Les plafonds sont plats et on dirait parfois
qu’ils ont été enduits d’une, sorte de vernis... Mes doutes quant à l’existence de galeries
souterraines se sont envolés comme par magie et j’ai ressenti une immense joie. Moricz a affirmé
que les couloirs comme ceux dans lesquels nous passions s’étendaient sur des centaines de
kilomètres sous le sol de l’Équateur et du Pérou. » Cependant, pour des raisons floues, Von Däniken
ne verra pas la bibliothèque tant convoitée...
Peu de temps après, Moricz confie à des journalistes de Der Spiegel et du Stern qu’il n’est jamais
allé dans la caverne avec Däniken... La réputation de ce dernier en prend un coup. L’auteur de best
sellers pour qui les dieux sont d’anciens astronautes et qui voit dans cette bibliothèque, comme dans
Les pyramides ou les statues de l’Île de Pâques, la preuve de l’existence de visiteurs extraterrestres,
ne s’en remettra jamais tout à fait. Personne n’a fait remarquer que si Von Däniken avait menti, il
aurait brouillé les pistes pour éviter que l’on puisse remonter à Moricz aussi facilement.
L’hypothèse la plus vraisemblable est que Moricz a montré au moins l’entrée du souterrain à Von
Däniken, mais qu’il l’a ensuite regretté : peut-être s’était-il engagé à ne jamais dévoiler ce secret.
Plus tard, il confiera avoir emmené l’auteur suisse de Guayaquil à Cuenca, pour y rencontrer le Père
Carlos Crespi et admirer sa collection d’artefacts énigmatiques. Ne disposant pas de suffisamment
de temps pour conduire Von Däniken au «véritable endroit », ils auraient décidé de lui montrer une
petite caverne, à une trentaine de minutes de Cuenca, certifiant qu’elle était reliée au réseau. Cette
révélation mettra un terme à la controverse von Däniken-Moricz, mais pas au mystère entourant la
bibliothèque de livres de métal elle-même.
En 1975, Stanley Hall, un Écossais, décide d’organiser une expédition britannico-équatorienne pour
explorer la Cueva de los Tayos ; il s’agit d’une expédition purement scientifique. S’il y a bien une
bibliothèque de livres de métal issue d’une civilisation perdue, la première étape consistera à
dresser la carte du site. C’est le principal et unique but de l’expédition; il n’est pas question de
chasse aux trésors. Prévue pour trois semaines, l’exploration est une entreprise conjointe des armées
britannique et équatorienne, secondée par une équipe de géologues, botanistes et autres spécialistes.
Sans oublier une figure honorifique: Neil Armstrong, l’astronaute, enchanté de se joindre à cette
mission.
Le 3 août 1976, alors que l’expédition touche à sa fin, Armstrong pénètre enfin dans le réseau de
galeries : aucune trace de livres en métal. Néanmoins, l’équipe répertorie au passage quatre cents
nouvelles espèces végétales ainsi qu’une sépulture abritant un corps en position assise. On établira
par la suite que la tombe remonte à l’an 1 500 av. J.- C., et qu’au solstice d’été, le soleil devait
’illuminer.
Après la mort de Moricz en 1991, Hall décide de retrouver le «troisième homme », celui qui a guidé
Moricz sur le site en question et dont l’Austro-Hongrois n’a jamais voulu révéler l’identité. Hall,
lui, le retrouve : Petronio Jaramillo. «J’avais un nom et un annuaire téléphonique, explique-t-il.
Mais il y avait un tas de Jaramillo à Quito. J’ai fini par le trouver — ou, plutôt — sa mère. En
septembre 1991, elle m’a donné le numéro de téléphone de son fils. Je lui ai téléphoné. Il m’a dit
que nos chemins avaient mis seize ans avant de se croiser. Il souhaitait me rencontrer, et a déclaré
qu’il lui fallait trois jours pour me mettre au courant.»
Jaramillo confirme que lorsque Moricz est arrivé à Guayaquil en 1964, il s’est associé à un homme
de loi, Gerardo Pefia Matheus. Moricz aurait parlé à Matheus de sa théorie selon laquelle le peuple
hongrois serait à l’origine de presque toutes les civilisations. Par le biais de connaissances, Moricz
rencontre Jaramillo et s’approprie peu à peu son histoire. Pour Jaramillo et Hall, si Moricz n’avait
pas concentré toute l’attention sur la Cueva de los Tayos (qui n’est pas le véritable emplacement de
la bibliothèque), l’expédition de 1976 aurait pu déboucher sur la découverte du siècle. Nul doute
que Moricz avait décidé dès le départ que la bibliothèque des livres en métal était son héritage.
Lorsque Hall montre à Moricz un manuscrit sur l’expédition de 1976, Moricz refuse tout net de le
Lui rendre ! Cela met un terme à leur amitié, et Hall ne comprendra ce geste qu’en 1991, en
s’apercevant que le manuscrit mentionne le nom de Jaramillo...
Jaramillo et Hall se lient d’amitié et Hall apprend de la bouche même de Jaramillo la véritable
histoire de la bibliothèque de Tayos - qui ne se trouve pas du tout dans la Cueva de los Tayos
Jaramillo raconte avoir pénétré dans la bibliothèque en 1946, à l’âge de 17 ans. Il l’a découverte
grâce à un oncle connu sous le nom de «Blanquito Pelado» à qui la population Shuar locale a confié ce secret. Ce qu’il décrit ferait rêver n’importe quel archéologue: une bibliothèque composée de
milliers de gros livres en métal empilés sur des étagères, chacun pesant en moyenne vingt kilos,chaque page rem plie d’un même côté d’idéogrammes, de dessins géométriques et d’inscriptions
écrites. Il évoque une seconde biblio thèque contenant des petites tablettes dures, lisses, translucides
— ressemblant à du cristal sillonnées de rainures parallèles incrustées, empilées sur des plateaux
inclinés sur des tréteaux couverts de feuille d’or, il décrit des statues humaines et zoomorphiques
certaines sur de lourds socles cylindriques), des barres métalliques de différentes formes, ainsi que
des «portes » scellées — peut- être des tombes — couvertes de mélanges de pierres fines colorées,
l voit un grand sarcophage, sculpté dans un matériau dur translucide, contenant le squelette couvert
de feuille d’or d’un être humain de grande taille.
En résumé, un incroyable trésor, entreposé à l’écart, comme caché en prévision de quelque désastre
imminent. Jaramillo ajoute qu’un jour, il a descendu sept livres des étagères pour les étudier, mais
Ils étaient si lourds qu’il n’a pu les remettre en place. Trop lourds pour être sortis de la bibliothèque
et révélés au monde ? Jaramillo n’a jamais fourni la moindre preuve matérielle de ses affirmations
et souhaite rester dans l’ombre, Quand Hall lui demande pourquoi il n’a jamais pris de photos, il
répond que «cela ne prouverait rien ». D’autres découvertes, telles que la tristement célèbre
Burrows Cave aux États- Unis, démontre qu’il ne suffit pas de voir pour croire. Pourtant, Jaramillo
déclare avoir laissé ses initiales dans les sept livres déplacés pour prouver qu’il a bien pénétré ces
Dieux en personne.
Jaramillo et Hall préparent activement «l’expédition de l’occupation ». Ils ont pris contact avec
divers ambassadeurs et hommes politiques ; puis ils ont informé la communauté scientifique.
Jaramillo a l’intention de conduire l’équipe sur les lieux, où elle passerait trois à quatre mois (durant
la saison sèche) à répertorier le contenu du site et à s’assurer que rien ne disparaisse. Tout resterait
sur place. Seul un rapport de recommandations résulterait de cette expédition, qui impliquerait
l’Unesco. Mais en 1995, des avions à réaction péruviens bombardent une base militaire
équatorienne et le projet connaît son premier revers. En 1997, Hall profite d’une importante
conférence d’anthropologie pour promouvoir le projet. Six anthropologues s’y intéressent, Mais
Cette même année, le régime politique de l’Équateur change et Hall rentre en Écosse avec sa
famille, Néanmoins, les préparatifs de l’expédition se poursuivent.
Mais c’est en 1998 que l’expédition connaît sa plus grosse déconvenue. La mère de Petronio
Jaramillo annonce, par téléphone, à Hall que son fils avait été assassiné, A-t-il été abattu à cause des
projets qu’il nourrissait ? La vie en Amérique du Sud ne vaut pas cher, comme tous ceux qui y ont
séjourné ou vécu le savent. Ce jour-là, Jaramillo portait sur lui une importante somme d’argent. Un
banal vol de rue, à proximité de chez lui a stoppé dans son élan l’une des plus grandes découvertes
du monde.
Moricz et Jaramillo sont morts. Hall a plus de soixante ans, Va-t-il faire cavalier seul et vouloir’approprier la bibliothèque ? Hall n’est pas un chasseur de trésors, Il souligne que la région est un -
si ce n’est le - véritable El Dorado. Il y a de l’or partout ; les routes en sont presque littéralement
pavées. Même si les livres de la bibliothèque sont en or — bien que Jaramillo n’ait jamais parlé d’or
mais de «métal» (en fait, il semble y avoir eu du cuivre, puisque Jaramillo a vu une couleur verte
sur les livres) — il y a plus d’or à l’extérieur de la bibliothèque qu’à l’intérieur, Si Moricz se
trouvait dans la région, c’est parce qu’il possédait de vastes concessions aurifères ; il s’intéressait à
a bibliothèque non pour sa valeur monétaire mais pour son importance historique.
Par le passé, divers chasseurs de trésors ont tenté de conquérir la caverne. Le Comte Pino Turolla
prend contact avec Jaramillo dans les années 60 grâce aux mêmes intermédiaires que ceux
ntervenus entre Moricz et lui. Turolla était obsédé par la Salle des archives de Cayce, et pour lui, la
bibliothèque de livres en métal serait la preuve absolue de la probité des prophéties de Cayce. Mais
entre Turolla et Jamarillo, le courant ne passe pas. Turolla doit donc se passer de l’aide de
l’Équatorien et décide de fouiller seul autour de la Cueva de los Tayos, mais il en revient bredouille.
L’Indiana Jones le plus actif aujourd’hui est Stan Grist, qui a connu Juan Moricz ainsi que son
confident, Zoltan Czellar, lequel était également un grand ami de Hall. En 2005, Grist témoigne :
«Tandis que j’écris ces mots, je suis en négociations avec le groupe indigène des Shuars qui vit près
de la Cueva de los Tayos et dont il faut la permission pour entrer dans la zone des cavernes et
l’explorer. Je projette d’organiser une expédition dans les mois à venir pour rechercher l’entrée
secrète de la caverne donnant accès à la supposée bibliothèque de livres de métal. Beaucoup de gens
ont pénétré dans la caverne par l’entrée verticale connue, située près du sommet de la montagne.
Toutefois, je pense qu’il est quasiment voire totalement impossible de l’atteindre par cette accès- là.
On ne peut accéder à l’entrée secrète qu’en passant sous l’eau »
Hall confirme: « Jaramillo a toujours dit que l’entrée se trouvait sous la rivière
». Mais cette rivière
ne se situe pas à proximité de la Caverne, Il s’agit de la rivière Pastaza. Bien que Hall n’ait jamais
eu connaissance de son emplacement de la bouche même du guide équatorien, il organise un voyage
sur le site avec Mario Petronio, le fils de Jaramillo. Malheureusement, le voyage sera abandonné
avant que le « point zéro
» n’ait pu être atteint. En mai 2000, Hall y retourne: « Pendant que nous
préparions l’expédition, dans les années 90, chaque fois qu’on se disait qu’il fallait impérativement
du matériel de plongée, Petronio répondait que même si elle [ l’entrée de la caverne] était sous la
rivière, nous n’aurions pas à nous mouiller pour autant. » Hall m’a montré des cartes aériennes,
faisant remarquer un virage dans la rivière qui rencontre une ligne de faille, dont on sait qu’elle
s’ouvre dans un réseau de cavernes qui court sur plusieurs kilomètres. Selon lui, cette ligne de faille
 preuve d’un ancien tremblement de terre - a ouvert le réseau souterrain, que quelqu’un a jadis
découvert et utilisé pour y installer la bibliothèque de livres de métal. Hall a visité ce lieu et en
déduit qu’il cadre parfaitement avec la description de Jaramillo.
Hall a 64 ans lorsqu’il se rend dans la région pour la dernière fois ; il en a aujourd’hui 70. Il se dit
qu’il ne connaîtra vraisemblablement jamais le fin mot de l’histoire. Toutefois, il ne la considère pas
comme son histoire et ne veut pas commettre la même erreur que Moricz. C’est pourquoi le
17janvier 2005, Hall a informé le gouvernement équatorien de l’emplacement de la caverne
correspondant à la description de Jaramillo et qui, il l’espère, fera l’objet d’une expédition. Pour
ceux qui sont intéressés, sachez que le site est situé à 77° 47’ 34» de longitude ouest et à 1° 56’ 00»
de latitude sud. GoogleEarth vous en rapproche beaucoup et peut satisfaire une curiosité initiale.
Mais connaître l’emplacement ne signifie pas qu’il sera facile à trouver.
Hall pense qu’il faudra des décennies ou bien un changement de paradigme avant que des gens
puissent coopérer de façon à prendre connaissance fructueusement les lieux, Il affirme que
l’expédition de 1976 n’a réussi que parce qu’un régime militaire était au pouvoir : «une
bureaucratie démocratique submergera l’expédition avant qu’elle ne traverse la moindre rivière
marécageuse ». Ce dont on a besoin, c’est de coopération et de transparence. Trop de gens ont
essayé d’utiliser la bibliothèque pour appuyer leur propre théorie, qu’elle fasse entrer en jeu des
extra-terrestres, des Hongrois à la conquête du globe ou encore Edgar Cayce et sa Salle des
archives. C’est peut- être pour cela que les missions étaient vouées à l’échec. Peut-être devrions-
nous simplement laisser la bibliothèque parler d’elle-même. Les réponses aux questions telles que «
qui l’a bâtie? », «d’où venaient-ils? », « qu’ont-ils accompli?
», etc. se trouveront peut-être à
l’intérieur de la construction elle-même. Après tout, c’est une bibliothèque...
Philip Coppens
Traduction : Jean-Marc Jacot
Source
:
Nexus n°46

La bibliothèque aux livres de métal par FINDECAN0
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