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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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27 mars 2014

Danger de la Cigarette électronique : 1.400 cas d'empoisonnement par e-liquide

Le liquide utilisé pour remplir les e-cigarettes serait potentiellement mortel. De nombreux cas d'empoisonnements ont déjà eu lieu aux États-Unis.

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 POISON. Les dangers de la cigarette électronique ne sont peut-être pas là où l’on pense. Alors que la question de son innocuité est encore discutée, c'est le liquide utilisé pour les remplir qui représente un danger certain. Des cas d’empoisonnements suite à l’ingestion du contenu des petites fioles aux États-unis alertent les autorités. Le sujet a fait l’objet d’un article de mise en garde dans le New York Times.

1414 cas d’empoisonnements accidentels avec des e-liquides

Selon le journal américain, une seule cuillère de liquide nicotinique peut être létale pour un enfant et moins d’une cuillère à soupe à haute concentration peut l'être pour un adulte.

INGESTION. Depuis 2011, il y a déjà eu un mort aux États-Unis et un suicide par injection de nicotine. Mais de nombreux cas (moins graves) sont de plus en plus répertoriés par des appels téléphoniques vers les centres anti-poison : 1414 cas d'empoisonnements en 2013 et 651 depuis le début de l'année 2014. La plupart de ces cas concernaient des enfants, qui touchaient ou avalaient les liquides contenus dans les petites fioles aux couleurs vives. 

Le e-liquide est plus toxique que la nicotine

NEUROTOXINES. En terme de risque d’empoisonnement, le e-liquide est bien plus dangereux que le tabac car il est absorbé plus rapidement, même à faible concentration, explique le New York Times. Il contient des neurotoxines (molécules toxiques pour le système nerveux) qui peuvent provoquer des nausées, des lésions et entraîner la mort.

Lee Cantrell, directeur du bureau de San Diego du centre antipoison de Californie déclare que "la question n'est pas  de savoir si un enfant va être gravement empoisonné ou être tué. La question c'est de savoir quand."

 

Infographie : Comment fonctionne la e-cigarette ? (Damien Hypolite, Sciences et Avenir)

Les e-liquides ne sont pas réglementés aux États-Unis

Contrairement à la France, où il existe une réglementation pour les e-cigarettes (pas de vente aux mineurs, seuil maximum de 20 mg/mL de nicotine), la Food and Drug Administration (autorité de santé américaine) a uniquement annoncé une prochaine réglementation mais sans donner de détails ni de dates.

 

Source(s) : Sciences et Avenir / Par Simon ASSOUN, le 26.03.2014

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2 mars 2014

BI polaire : le machiavélisme de Big Pharma, qui médicalise à outrance nos émotions.

Très grandepsychiatrie chaos controlé

La maladie bipolaire, ou trouble bipolaire, a le vent en poupe.

Curieuse formule pour une pathologie mentale… Evidemment, mais être bipolaire, c’est très tendance, et ça peut vite vous tomber dessus.

En 2014 ce trouble caracole en tête des diagnostics de santé mentale.

Le terme déjà (belle invention marketing) est bien plus élégant, bien plus valorisant que celui de « maniaco-dépression » ou de « psychose maniaco-dépressive » qu’il a remplacé.

Et à travers ce changement de dénomination, la définition médicale a tellement été élargie qu’il suffit parfois de souffrir de simples sautes d’humeur, de légère dysthymie, d’anxiété, d’irritabilité ou de dépression répétée mais légère pour être condamné à vie à de lourds traitements.

A en juger par les courriers que nous recevons, beaucoup d’entre vous sont confrontés à cette maladie, inquiets à la suite d’un diagnostic, affolés à l’idée de prendre à vie des pilules indésirables. Vous nous demandez des conseils, des solutions naturelles que l’on dit inexistantes.

Certains dénoncent le machiavélisme de Big Pharma, qui  médicalise à outrance nos émotions. La psychiatrie est maintenant le 1er marché pharmaceutique aux Etats-Unis.

Mais nombre d’entre vous expriment aussi une vraie souffrance, poignante. Car même si ce déséquilibre thymique est surévalué, surexploité, quand la maladie de l’humeur se déclare vraiment, c’est un calvaire qui commence.

On ne va pas forcément plus mal sans médicament

Alors entre mensonges et réalités, comment s’y retrouver, comment se soigner au mieux quand on est réellement touché ?

Pour cela, il est essentiel de connaître la « vraie » maladie bipolaire, et de savoir la reconnaître.

Pour cela, la vigilance s’impose face aux « stabilisateurs de l’humeur », « psychorégulateurs », « thymorégulateurs »… lithium, carbamazépine, acide valproïque et autres remèdes dérivés des médicaments inventés il y a 60 ans pour la schizophrénie, et que l’on prescrit au tout venant.

Il existe des moyens naturels permettant de juguler la maladie, d’en atténuer les symptômes et sinon de la faire reculer, au moins de la stabiliser. De toute façon les drogues dures (ces fameux stabilisateurs) ne font pas mieux : elles détruisent la santé à petit feu et entretiennent une autre forme de folie.

C’est un peu comme après une lourde chimiothérapie : la maladie est anéantie, et le patient avec…

Si vous êtes confronté à ce diagnostic, vous pouvez parfaitement décider de vous éviter ces ennuis. Si vous êtes déjà sous traitement, vous pouvez décider de les réduire progressivement et de sortir de l’abrutissement.

Vous avez toujours la liberté de décider d’aller mieux sans ces drogues ! Sauf  dans les cas graves, vous n’irez pas plus mal !

La maladie du tout Hollywood

Aux Etats-Unis les « coming out » de stars se succèdent sur les networks : « Je suis bipolaire. J’ai des hauts et des bas et je suis sous traitement ».

Britney Spears, Jim Carrey, Stephen Fry ou Mel Gibson sont bipolaires. Comme l’actrice Catherine Zeta-Jones, l’égérie de cette maladie.

Catherine Zeta-Jones joue son rôle à merveille. En avril 2011, elle décide de se faire hospitaliser pour ce trouble déclenché selon elle par le stress consécutif au cancer de la gorge de son Michael Douglas de mari. Depuis elle répète à l’envi : « Si ma révélation d’être bipolaire peut encourager les gens à demander de l’aide, alors cela vaut la peine »…

Bien avant elle, le chanteur Sting, avait chanté « Lithium sunset », une ode à la gloire du lithium, le premier médoc à s’être attaqué au mal : «… Je vais mieux, je sens votre lumière sur mon visage. Guéris mon âme, ô Lithium coucher du soleil »

Et la mode a pris chez nous. En 2010, le comédien Benoît Poelvoorde s’est confessé publiquement : « Je suis bipolaire comme pas mal de monde ».  D’autres vedettes ont suivi et l’épidémie galope tandis que les forums de « bipotes » font florès sur le Web.

Une aubaine publicitaire pour l’industrie des thymorégulateurs.

5 millions de Français bipolaires, mon œil !

Selon les chiffres officiels, cette maladie toucherait en France près de 2 millions de personnes. Et on estime que 10 millions de personnes, soit 1 Français sur 6, en souffrent directement ou par l’intermédiaire d’un proche (cette maladie perturbe tout l’entourage).

Mais si l’on prend en compte comme certains experts les troubles apparentés, telles la cyclothymie ou la dysthymie, c’est au moins le double de personnes qui sont touchées, soit près de 5 millions… On peut même vous déclarer « bipolaire monopolaire » (sic), ce qui est arrivé à l’un de mes amis qui souffre de dépression chronique.

5 millions, mon œil ! Vu les conséquences du stress de nos vies trépidantes et émotionnellement chargées, le médecin généraliste (formé en la matière par les labos) a vite fait de vous diagnostiquer un petit travers « bipolaire ». Mais rassurez-vous, il y a 80% de chances que ce diagnostic soit faux. Même les psychiatres n’en peuvent plus, qui sont de plus en plus nombreux à s’élever contre ce qu’ils qualifient d’« impérialisme bipolaire ».

Une « épidémie » créée de toute pièce par les labos

La maladie bipolaire est un ensemble de syndromes (catégorie « fourre-tout » par définition) qui a été créée et peu à peu élargie par les labos, via le DSM.

Les sains d’esprit sont des malades qui s’ignorent…C’est le postulat de travail de l’APA, l’Association psychiatrique américaine, l’organisation la plus influente dans le monde de la santé mentale. Son fameux DSM, « Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders » (je vous en ai déjà parlé ici) énumère un demi-millier de troubles et ne cesse d’élargir les critères des maladies mentales de sorte que tout le monde est à peu près concerné.

C’est sous l’influence de l’APA (dont l’indépendance des experts vis-à-vis des labos a maintes fois été mise en cause) que le Prozac a révolutionné la santé mentale, que l’OMS nous parle d’une « crise mondiale » de dépression et recommande toujours sa molécule, la fluoxétine, comme traitement.

C’est par la même supercherie de cette organisation psychiatrique (via le DSM IV de 1994 révisé en 2000) que le chiffre officiel des bipolaires (comme des enfants hyperactifs, des autistes, etc.) a bondi ces dernières années.

Qu’est-ce que la (vraie) maladie bipolaire ?

Nous avons tous des variations de l’humeur, des sautes d’humeur, des hauts et des bas. Des « jours sans » aussi. Et il arrive parfois que sur des périodes plus longues, une semaine voire dix jours, nous soyons en forme ou à l’opposé, las et fatigués. Ce peut être dû à la saison, à une période difficile au niveau professionnel, affectif ou social, mais il arrive que nous ne trouvions pas d’explication à ces modifications. Au fond, nous sommes tous maniaco-dépressifs comme disait Ronald Fieve qui fut l’un des premiers à s’intéresser à cette maladie. L’industrie pharmaceutique l’a pris à la lettre !

La réalité, c’est que chez un vrai bipolaire, ces hauts et ces bas ressemblent à des montagnes russes tant ces changements d’humeur prennent une ampleur démesurée. On perd le contrôle de sa vie, réduite à une courbe sinusoïdale. On est pris en tenaille entre deux pôles extrêmes et opposés, la dépression la plus noire et l’exaltation la plus vive.

Les périodes difficiles, durant lesquelles tristesse et désespoir dominent, peuvent durer des mois. On se sent bon à rien. Puis suivent, à l’opposé, des périodes d’euphorie, d’excitation (manie ou hypomanie) : tout s’accélère, la pensée, les projets, les actions. On se sent si bien et tout puissant.

Quand ces deux extrêmes s’alternent périodiquement, c’est la maladie, une maladie handicapante souvent porteuse de graves conséquences : divorces, licenciements, faillites personnelles, ennuis judiciaires parfois, suicides…

Comment être sûr(e) du diagnostic ?

Dans son expression la plus virulente, quand les hauts et les bas s’enchaînent diaboliquement, le diagnostic du trouble est facile.

Mais en phase débutante ou atténuée (cas le plus fréquent), la maladie bipolaire n’est pas facile à cerner. La limite entre les hauts et les bas d’une vie ordinaire et des hauts et des bas plus accentués est mince.

De l’aveu même des psychiatres spécialisés, il faut du temps pour trancher. Cela ne se fait pas en une ou deux consultations. Il faut des mois et parfois des années pour distinguer une légère hypomanie d’un état de bien-être non pathologique.

Votre généraliste vous déclare bipolaire parce que vous êtes régulièrement déprimé(e) ou excité(e) ? Donnez-vous du temps… Allez voir un psychiatre et revenez consulter ce dernier, surtout quand vous n’en éprouvez pas le besoin parce que « tout va bien »… Ce « tout va bien » peut masquer une phase hypomaniaque et il n’est pas rare de tomber dans le déni (on se sent si bien en phase « haute ») en se croyant simplement dépressif chronique.

Avant de se prononcer, un bon thérapeute vous suivra donc dans le temps. Et il vous demandera de venir accompagné d’un proche à qui il demandera de vous inciter à prendre contact avec lui s’il détectait chez vous cette tendance à la super forme. Car autant l’esprit détecte facilement la dimension pathologique de la dépression, autant il reste comme aveugle face au dérèglement hypomaniaque.

Artistes et décideurs sont les premiers touchés

Il n’existe pas de profil prédisposant à la maladie, à l’exception d’une catégorie de population : les décideurs, les artistes, les grands génies, quels que soient leurs domaines d’activité, sont 10 à 20 fois plus touchés.

On comprend mieux leur manie d’arborer cette affection comme un signe distinctif (au contraire de la dépression « monopolaire », toujours honteuse)…

Berlioz, Rossini… Ray Charles, des écrivains comme Balzac, Baudelaire, Victor Hugo, Hemingway, des peintres comme Gauguin, Munch, Van Gogh ou Marylin Monroe et Francis Ford Coppola dans le cinéma ont souffert de ce trouble. La liste est longue. Et tout le monde connaît « Dr Jekyll et Mr Hyde » mais ignore que l’écrivain Robert Louis Stevenson s’est probablement inspiré de son mal pour ce récit.

Gérard Garouste, l’un de nos peintres contemporains, connu pour avoir décoré l’Elysée, est aussi sévèrement maniaco-dépressif. Dans son autobiographie, « L’intranquille », il raconte avec force et lucidité sa souffrance, ses délires et ses dépressions, ses séjours en hôpital entre deux éclaircies, et comment la maladie l’a poussé vers la peinture. Il écrit aussi : « Etre heureux est dangereux pour moi »

De grands hommes d’Etat étaient maniaco-dépressifs, nous dit-on :  Napoléon, Lincoln, Roosevelt, Churchill. La liste là aussi est longue.


 »On peut se demander si cette maladie ne serait pas une forme de sélection génétique d’une sous-population nécessaire à toute société, puisque c’est celle qui fournit les aventuriers, les bâtisseurs, les créateurs… ». Je l’ai lu dans un ouvrage sérieux.  L’auteur y va fort mais cette prédisposition peut aussi s’expliquer simplement.

Le « tiercé perdant » pour tomber malade

Les artistes, les créateurs, les leaders d’opinion, les dirigeants, vivent de fortes phases d’excitation, expérimentent l’ivresse du pouvoir ou de la création et ont souvent des rythmes de vie saccadés.

Ils sont aussi exposés à des comportements excessifs. Ce sont là typiquement des conditions qui font le lit de la maladie.

Le trouble bipolaire a plusieurs origines. Trois domaines sont déterminants : la biologie (une vulnérabilité génétique disent les psy mais j’ajouterai aussi sûrement un organisme malmené par l’alimentation), la psychologie (une personnalité fragile, hypersensible), et les évènements de la vie (traumatismes psychologiques). Il faut aligner ce « tiercé perdant » pour tomber malade, une faiblesse dans un ou deux de ces domaines ne suffit pas. C’est une maladie très moderne car multifactorielle et liée au culte de la performance. Pas étonnant qu’elle flambe.

Voici quelques facteurs qui favorisent la survenue du trouble bipolaire :

-       Un tempérament passionné,

-       Une nature excessivement énergique,

-       L’ivresse de la création ou du pouvoir : on travaille des heures d’affilée sans dormir et sans ressentir aucune fatigue. On ne s’arrête plus, on dépasse les bornes en tout.

-       Le culte de la performance et l’hyperactivité : si vous travaillez 80 heures par semaine, si vous êtes connectés jour et nuit sur vos ordi, vos boîtes mail, vos téléphones portables, si vous courez après les signes extérieurs de réussite, vous êtes peut-être déjà hypomaniaques. Combien le sont, sans le savoir tant les symptômes collent aux « normes » et aux rythmes modernes ?

De type 1, 2, 3 ou un peu de tout ?

Il n’y a pas si longtemps les maniaco-dépressifs étaient tenus pour « fous ». A l’époque on ne considérait que les formes intenses du trouble bipolaire, celles qui caractérisent ce que l’on appelle aujourd’hui le trouble bipolaire de type 1. Dans cette forme (TB1), la personne alterne des périodes de dépression profondes avec des phases de manie délirante souvent dangereuse (elle prend soudain sa voiture à la nuit tombée pour traverser la France, dépense le double de son salaire en une journée ou « traquée par les forces du mal » se jette d’un pont !).

Mais le trouble de type 2 est bien plus commun. Cette forme (TB2) se traduit par des dépressions toujours aussi intenses mais des périodes hautes moins importantes. On développe de « petites manies » : c’est l’hypomanie. Ce stade est assez proche de la cyclothymie et de ses fluctuations modérées, qui peuvent dégénérer mais pas forcément, et devant lesquelles le généraliste empressé vous collera l’étiquette « bipolaire ».

Depuis peu, on parle d’un nouveau type : le type 3. Les psychiatres ne s’en vantent pas car cet état (TB3) est provoqué par la prescription inadéquate ou excessive d’antidépresseurs, ce qui déclenche des hypomanies. L’usage de drogues (l’alcool par exemple) donne le même résultat.

Enfin il existe aussi des états mixtes (un quart des cas) : c’est la superposition simultanée de symptômes dépressifs et de symptômes maniaques. Cet état mixte, invivable, entraîne un risque important de passage à l’acte, et de suicide réussi.

Après le Prozac, le « miracle » Zyprexa

Le traitement conventionnel du trouble bipolaire passe par des psychotropes de dernière génération, les « antipsychotiques atypiques ». Ces médicaments sont déjà les plus rentables du monde, juste derrière les statines. En tête des meilleures ventes : le Zyprexa, la plus belle invention depuis le Prozac…

Un membre de ma famille, que l’on croyait bipolaire (le diagnostic s’est depuis révélé erroné) a été traité au Zyprexa. Il a pris 12 kg en 6 mois, est devenu hagard et a fini par arrêter d’avaler ces pilules qui l’installaient dans un malaise permanent.

Ce médicament aussi nuisible que coûteux pour la collectivité a été lancé à la fin des années 90. Ses effets indésirables et ses prescriptions hors indications ont valu 1,5 milliard de dollars d’amendes au laboratoire Ely Lilly et les procès continuent. En France, son principe actif, l’olanzapine, est simplement sous surveillance…

Le Dr David Healy, psychopharmacologue de renommée international affirme que pendant les essais cliniques de précommercialisation, le taux de suicides, de tentatives de suicide, de morts et de prise de poids liés au Zyprexa a été « le plus élevé de tous les médicaments psychotropes de l’histoire ».

Conçue pour la schizophrénie, cette pilule est maintenant prescrite sans distinction aux déprimés, aux bipolaires, aux patients âgés atteints de démence et même aux jeunes « à risques », en prévention bien sûr…

Des remèdes déments

En quelques années, une foultitude de « thymorégulateurs » (pour la plupart anti-schizophrénique, antiépileptique ou ciblés sur la démence) ont vu le jour : Risperdal, Neurontin, Epitomax, Séroquel, Dépakine, Depakote, ou dernièrement Xéroquel…

La bipolarité, comme la dépression, est considérée comme la conséquence d’un dérèglement biochimique du cerveau provoqué par des facteurs déclenchant sur fond de prédisposition génétique. C’est sur la base de ce consensus médical triomphant (depuis l’invention du Prozac) que les labos prétendent travailler à la ré-harmonisation, à la régulation de nos humeurs. Ce « dérèglement biochimique » n’a jamais été clairement démontré, mais les médicaments, eux, le provoquent !

Si vous lisez l’anglais, je vous conseille l’excelllent livre du journaliste d’investigation américain Stephen Fried, « Bitter Pills–Inside the hazardous world of legal drugs ». Sorti en 2013, « Amères Pilules–Dans le monde dangereux des drogues légales » dévoile les coulisses du business de la maladie bipolaire, explique pourquoi tant de gens sont étiquetés bipolaires, et pourquoi se passer de ces médocs peut vous sauver la vie

Des effets secondaires jamais vus

Le premier grand remède de cette maladie a été le sel de lithium. Ce régulateur des influx nerveux reste un classique (Téralithe). C’est un métal, quelque chose d’assez naturel donc mais qui, à l’usage, n’est pas dénué de dangerosité (la dose efficace étant très proche de la dose toxique) et d’effets délétères (léthargie, tremblements, risques de diabète insipide, psoriasis… et presque toujours hypothyroïdie). Beaucoup de gens ne le tolèrent pas.

Mais ces inconvénients sont mineurs comparés aux lourds effets secondaires des antipsychotiques atypiques qui ont pris la relève :

-       prise de poids rapide et importante (en dizaine de kilos !),

-       élévation du taux de cholestérol,

-       augmentation du taux de glucose avec risque de diabète,

-       élévation spectaculaire des risques de maladies cardiovasculaires et d’AVC,

-       dyskinésie (mouvements saccadés involontaires, notamment du visage et de la bouche),

-       déclin mental,

-       risques de suicide,

-       réduction des tissus (gris et blanc) du cerveau (effet mesuré par imagerie médicale et rapporté par l’American Journal of Psychiatry) !!!

A part la prise de poids, et ce n’est même pas sûr, le médecin ne vous mettra en garde sur aucun de ces méfaits. Et quand votre ordonnance comprend aussi un antidépresseur, un anxiolytique, des sédatifs et hypnotiques, imaginez le cocktail. Un bipolaire a 15% de risques de mourir par suicide et perd en moyenne 8 à 9 ans d’espérance de vie. Ces statistiques portent forcément sur les bipolaires suivis en psychiatrie !

Des solutions alimentaires d’attaque

Une fois de plus, le meilleur moyen d’éviter ce naufrage médicamenteux (quand il est encore temps), ou de s’en défaire progressivement avec le suivi de thérapeutes est d’ordre alimentaire.

On sait que les changements alimentaires peuvent entraîner des fluctuations de l’humeur et de nombreux patients souffrant de la maladie présentent des carences en vitamines, minéraux, une intoxication aux métaux (aluminium notamment), une dysbiose intestinale (la santé du ventre est de plus en plus impliquée dans les maladies dites « mentales »). D’où l’intérêt d’un apport en :

-       Inositol : selon plusieurs travaux scientifiques récents, notamment ceux de l’équipe britannique du chercheur Robin S.B. Williams, l’inositol (ou vitamine B7) est au cœur de la maladie. L’inositol est indispensable au bon fonctionnement du cerveau et sa carence entraîne troubles nerveux et de l’humeur.

Le foie et le cœur de bœuf en sont d’excellentes sources mais je vous conseille plutôt des noix fraîches, des légumineuses ou de la levure de bière.

L’inositol existe aussi sous forme de complément alimentaire. Dans ce cas il est conseillé de le prendre en association avec du malate de magnésium (chélateur, ce psycho-relaxant chasse les métaux lourds), et du sélénium (que l’anxiété et la dépression n’aiment pas)

-       Oméga 3 : c’est l’une des recommandations majeures du Dr Giachetti, expert de cette maladie, avec qui j’ai commis un livre pratique et facile à lire *. Ce psychiatre n’hésite pas à explorer des pistes en phytothérapie, en aromathérapie et à recourir à la luminothérapie.

Une étude de 1999 de Harvard a montré que les oméga 3 réduisent les symptômes de dépression et augmentent les périodes de rémission. Des chercheurs pensent maintenant qu’ils fonctionnent de la même manière que le lithium et l’acide valproïque des thymorégulateurs. Des deux principes actifs des oméga 3, l’EPA est ici le plus important. Il faut donc choisir des capsules riches en EPA plutôt qu’en DHA.

La complémentation est le moyen le plus pratique mais la consommation de poissons riches en oméga 3 (pas d’élevage) me paraît bien meilleure.

L’huile de lin, et surtout l’huile de périlla, qui bat tous les records en acides gras poly-insaturés précurseurs d’ EPA et de DHA, sont des alternatives intéressantes pour les végétaliens.

-       Lithium : ce sel minéral naturel, on l’a vu, joue lui aussi un rôle-clé.
Les types de lithium médicamenteux tels que le carbonate de lithium et le citrate de lithium, impliquent d’importantes doses et entraînent des troubles métaboliques.
 
Mais sous forme d’orotate, le lithium traverse en petite quantité la barrière sang/cerveau et se montre disponible là où il manque, sans aucun effet secondaire.

-       Vitamine D3 : sa carence, largement sous-estimée (lire ici) favorise aussi le déséquilibre émotionnel et mental.

Par contre, gare aux remèdes naturels recommandés pour la dépression : le millepertuis est exclus en cas de traitement et les autres plantes (griffonia, rhodiola…) aident à sortir de la dépression mais au risque de vous faire « grimper dans les tours » comme les antidépresseurs que les médecins ont bien du mal à doser pour cette pathologie.

L’opportunité de prendre sa vie en main

Ces solutions conviendront parfaitement à une personne souffrant de trouble bipolaire léger (TB1). Elles seront aussi utiles en cas de TB2 pour sortir d’un traitement avilissant, mais à condition que l’on soit acteur de son rétablissement. C’est l’occasion de reprendre en main sa vie. Cette maladie touche corps, âme et esprit. Elle demande un soin holistique. Soit :

-       Une bonne compréhension des troubles et de leurs facteurs déclenchant, sans déni (le piège).

-       La nécessité de faire équipe avec un psychiatre avisé et doté de tact, son psychothérapeute (les TCC sont assez efficaces), son naturopathe, son homéopathe (certains savent traiter cette maladie, les noms circulent sous le manteau), son aromathérapeute (les huiles essentielles agissent fortement sur l’humeur), son praticien de médecine ayurvédique si l’on veut…

-       En phase « up » de remettre au lendemain les projets utopiques, de temporiser ; en phase « down » de se reposer, en service minimum.

-       De faire un travail de « psychoéducation » : c’est une bonne béquille pour la gestion du Soi, du stress, des émotions, du physique. Rien ne remplace le contact direct avec le thérapeute et le soutien de l’entourage mais il existe un excellent guide pratique** pour aider le malade à mieux cerner son trouble grâce à des tests, à suivre son évolution à travers grilles et graphiques, à mieux se connaître par la prise de notes, à le stabiliser en identifiant les signes précurseurs de phases et en anticipant par des trucs méthodiques.

Devant cette maladie, on ne peut faire l’économie d’apprendre à devenir son propre coach.

-       D’avoir une bonne hygiène de vie, rythmée : faire attention à la qualité de son alimentation, ne pas boire d’alcool ou très peu, fuir les toxiques, dormir du mieux possible en se couchant à heure raisonnable, aménager son rythme de travail si possible, s’appuyer sur ses proches pour entretenir une vie sociale, faire de l’exercice sans excès.

-       De savoir se reposer et surtout se relaxer. Toutes les techniques psychocorporelles sont bonnes à prendre : yoga, relaxation, shiatsu, do in, méditation.

-       D’animer sa sensibilité mais sans trop : musique, films, spectacles…

-       En cas de doutes, de découragement, de faire appel à une personne de confiance, capable de vous écouter.

-       D’accepter ses émotions.

-       De se souvenir qu’être bien, ce n’est pas être hypomane ou maniaque !

Cet entraînement quotidien est indispensable pour sortir de l’engrenage. Ce peut être long mais encore une fois c’est possible.

La fée électro

On a tous en tête l’image d’un Jack Nicholson grimaçant de douleurs dans le film « Vol au dessus d’un nid de coucou » sous l’effet d’électrochocs punitifs. Mais l’électro-convulsivo-thérapie (ECT) ou sismothérapie n’a plus rien à voir avec le film de Milos Forman.

L’ECT sauve des vies. C’est une méthode efficace pour les malades résistants aux traitements et pour les cas les plus graves. Quelque 100 000 ECT sont pratiquées chaque année en France. Les appareils de convulsivothérapie délivrent des stimulations électriques par impulsions, faibles mais suffisantes pour provoquer une crise d’épilepsie de quelques secondes, le tout sous anesthésie générale et curarisation (5 minutes).

Les accidents sont très rares, les effets secondaires se résument à une perte de mémoire plus ou moins marquée des événements entourant la séance.

Si l’on met de côté l’anesthésie (dont les effets peuvent être compensés par des moyens naturels), c’est une méthode assez proche de l’électrothérapie des médecines alternatives. Bien plus douce en tout cas que les médocs. On ne sait pas comment ça marche, mais ça marche.

Des solutions non invasives d’avenir

C’est comme la stimulation magnétique transcrânienne (SMT), méthode récente consistant à envoyer de petites impulsions électromagnétiques au cerveau. Un traitement d’avenir qui non seulement atténue les phases dépressives mais améliore les capacités cognitives (Cf. une récente étude australienne publiée par la revue Plos One).

Ne soyons pas surpris par l’efficacité mystérieuse de ces méthodes peu invasives. Car n’en déplaise à ceux qui prétendent tout expliquer en faisant commerce de nos émotions (en les nivelant par le bas), notre cerveau reste l’un des plus grands mystères que la science ait à percer.

L’humeur peut être maladive, c’est certain, mais la cupidité sans borne de Big Pharma a ses limites. Au nom de quoi devrions-nous tous être d’humeur égale ?

Dominique Vialard

 

* « La maladie bipolaire expliquée aux souffrants et aux proches », Dr Raphaël Giachetti, Dominique Vialard (Odile Jacob, 2012).

** « Manuel de psychoéducation-Troubles bipolaires », Dr Christian Gay (l’un des grands experts français), Marianne Colombani (architecte bipolaire) (Dunod, 2013).

- See more at: http://www.alternativesante.fr/bipolaires-ne-vous-laissez-pas-tuer-a-petit-feu/#sthash.NENvNvK3.dpuf

21 octobre 2013

Le risque d'un défaut de paiement des États-Unis pourrait conduire la Chine à se débarasser du dollar

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Le risque d'un défaut de paiement des États-Unis pourrait conduire la Chine à accélérer la diversification de ses immenses réserves de devises, à l'heure où Pékin appelle à «désaméricaniser» l'économie mondiale et souhaite internationaliser le yuan.

Faute d'un accord budgétaire in extremis au Congrès, le Trésor américain ne sera plus autorisé à emprunter à partir de mercredi soir et les États-Unis pourraient se trouver en défaut de paiement d'ici la fin du mois pour la première fois de leur histoire.Le choc de confiance diminuerait alors la valeur des actifs en dollars de la Chine -- en premier lieu ses énormes réserves de devises, les plus importantes du monde avec 3660 milliards de dollars fin septembre, constituées très majoritairement de billets verts.«Si vraiment un défaut se concrétise, le gouvernement chinois accélérera avec détermination la diversification de ses réserves en devises, et se reportera sur des émissions obligataires d'autres pays jugés plus sûrs», a souligné Liao Qun, économiste de Citic Bank International.«La Chine pourrait ainsi réduire le volume de bons du Trésor (américains) en sa possession. Elle aurait ses raisons pour le faire, même si ce serait extrêmement difficile», a-t-il indiqué à l'AFP.La Chine est le principal détenteur de dette américaine, avec 1277 milliards de dollars en bons du Trésor, suivis de près par le Japon avec 1140 milliards, selon les derniers chiffres du gouvernement américain.Pékin devrait cependant se garder de se séparer d'une trop grosse partie de ses actifs, ce qui risquerait d'amplifier le désarroi des marchés financiers... et de réduire en conséquence la valeur des bons du Trésor et dollars encore en sa possession.D'autant que Pékin n'a guère d'alternative: très rares sont les autres types d'actifs dans le monde en volume suffisant pour offrir un débouché aux gargantuesques liquidités chinoises, avertissent les experts.

À plus long terme, le Japon pourrait lui aussi entreprendre de rééquilibrer son portefeuille, même si la dépendance de Tokyo vis-à-vis de Washington empêchera toute évolution brutale, a noté Yoshikiyo Shimamine, économiste en chef de l'institut Dai-ichi à Tokyo.

«Aucun instrument financier n'est aussi liquide que les bons du Trésor», et il serait difficile pour une économie majeure de s'en passer, a-t-il cependant tempéré.Mais la Chine se montre également très inquiète de l'onde de choc que provoquerait un défaut de paiement de Washington pour l'économie mondiale et la croissance chinoise encore cruellement dépendante des exportations et investissements étrangers.«Un défaut aurait bien entendu un impact très net sur l'économie aux États-Unis et aurait donc des conséquences négatives pour l'économie chinoise», avertit Sun Junwei, économiste de HSBC.

Signe de leur inquiétude grandissante, dirigeants et médias d'État chinois ont multiplié ces derniers jours les avertissements et appels au compromis entre parlementaires américains, pointant les relations «inséparables» qui lient les économies des deux pays.«Nous exigeons que les États-Unis, comme pays émetteur de la principale devise de réserve dans le monde, et en tant que première puissance économique, prennent leur responsabilité», a martelé le vice-ministre des Finances Zhu Guangyao mardi.De son côté, l'agence officielle Chine nouvelle a estimé dimanche dans un commentaire cinglant que c'était «peut-être le bon moment pour une planète abasourdie de commencer à envisager la construction d'un monde désaméricanisé».«Les économies émergentes doivent avoir davantage leur mot à dire dans les institutions financières internationales», a-t-elle plaidé, évoquant «la création d'une nouvelle devise de réserve» pour remplacer le dollar, et une évolution du Fonds monétaire international (FMI), où Pékin ne pèse guère plus que l'Italie.Une réforme de la gouvernance du FMI est préparée depuis trois ans mais son entrée en vigueur est bloquée par le veto de fait des États-Unis qui doivent la faire ratifier par le Congrès.

Dans le même temps, Pékin semble très désireux de promouvoir l'internationalisation du yuan, dont la convertibilité reste pourtant farouchement contrôlée.La Chine a ainsi conclu mardi un accord avec le Royaume-Uni pour renforcer le rôle du renminbi (autre nom de la monnaie chinoise) à Londres -- où des entreprises émettent depuis le printemps 2012 des émissions obligataires en yuans, ce qui demeure encore aujourd'hui exceptionnel en dehors de Hong Kong.De son côté, la banque centrale chinoise a récemment passé des accords de swap monétaire avec ses homologues européenne et britannique, facilitant l'accès aux yuans des établissements financiers basés en Europe.

7 août 2013

TOUS les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

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Plusieurs personnes nous ont déjà demandé en matière de vaccination "Qui faut-il croire?". Pour nous, très clairement, cette question est hélas mal posée car celui qui croit s'en remet en fait à des arguments d'autorité, alors que celui qui préfère SAVOIR, fait le choix d'informations objectives, dont la valeur et la pertinence sont universelles, indépendamment de celui qui les expose ou de la langue utilisée.La question centrale en matière de vaccination et qui concerne en fait tous les vaccins, quels qu'ils soient, est donc la suivante: CROIRE ou SAVOIR? Croire que les vaccins sont bien évalués ou SAVOIR et surtout COMPRENDRE en quoi et pourquoi tous les vaccins sont des produits expérimentaux et les vaccinés, des cobayes qui s'ignorent.Comme vous allez vous en rendre compte, les exigences règlementaires imposées aux vaccins sont nettement plus laxistes que ne le sont celles imposées aux autres médicaments en général, et même aux cosmétiques....Voici les quatre grandes raisons qui font de tous les vaccins, depuis toujours, c'est à dire depuis plus de 200 ans, des produits expérimentaux et de la vaccination en général, la plus grande expérimentation sans consentement jamais réalisée dans toute l'histoire de l'humanité:

1°) On ne compare JAMAIS les vaccins à des placebos réels (= substances neutres, inertes) pour évaluer valablement leurs effets secondaires réels; on donne alors des autres vaccins ou d'autres substances intrinsèquement toxiques comme l'aluminium dans le faux groupe placebo, de façon à "diluer" les effets secondaires du nouveau vaccin testé puisque, par contraste, les effets secondaires du faux groupe placebo se trouvent ainsi gonflés avec une telle astuce bien commode, ce qui permet ainsi aux fabricants de conclure que "le nouveau vaccin a un profil de sécurité acceptable par rapport au (faux) groupe placebo!" Un des pseudo-arguments scandaleux des officiels pour justifier la non réalisation de telles études réellement scientifiques et donc réellement comparatives, est de décréter que cela ne serait pas éthique !!!! Mais dire cela, c'est donc décréter a priori, de façon dogmatique et non scientifique que les vaccins font donc forcément GLOBALEMENT plus de bien que de tort!  

 La VRAIE Science ne refuse jamais de savoir par peur de ce qu'elle risque de trouver et qui pourrait malmener les intérêts financiers en jeu. On est donc dans un système hypocrite qui estime plus éthique de préserver les intérêts de Big Pharma, quitte à imposer à tous des vaccins expérimentaux qui font de nous tous des cobayes qui s'ignorent!! (NB: en fait, pour être complet et précis, ils recourent à des placebos pour le volet "efficacité" donc évaluation des taux d'anticorps produits par un nouveau vaccin; du coup, le mot "placebo" apparaît dans les comptes-rendus d'études que lisent les médecins pressés dans leurs revues sponsorisées mais peu si pas aucun ne se rend compte du drame sanitaire que représente le fait de se priver de vrais groupes neutres en matière d'évaluation de la tolérance!!)

 2°) Aucune étude des effets secondaires à long terme alors que les maladies auto-immunes post-vaccinales peuvent prendre des mois voire des années à se déclarer! Gardasil? Des effets secondaires évalués sur seulement 14 jours après chacune des doses? Engerix B (= vaccin hépatite B)? 5 jours seulement!! Twinrix (vaccin anti-hépatite B et A imposé aux professionnels de santé)? 4 jours seulement selon des documents confidentiels de la firme elle-même que nous avons pu consulter!!! Et là aussi, ce sont des vaccins contenant notamment de l'aluminium. Par comparaison, il faut savoir que les effets des contraceptifs oraux ont eux été évalués sur des décennies! [Lire aussi la lettre qu'avait écrit le Dr J. B Classen au British Medical Journal en 1999 pour s'indigner de cette absence d'études à long terme.]

 3°) Autre passe-droit, les vaccins sont dispensés de la moindre analyse pharmacocinétique, contrairement aux autres médicaments. Cette analyse est pourtant capitale puisqu'elle consiste très précisément à étudier le devenir et la répartition des différents composants du médicament une fois administré (donc comment les composants se diffusent, où ils vont se loger, s'ils persistent ou non et si oui où et combien de temps, comment ils sont métabolisés, comment ils sont éliminés et par quelle voie etc.). Ce genre d'études serait pourtant d'autant plus importante pour les vaccins que, contrairement aux autres médicaments, en cas d'effets secondaires, on ne sait pas arrêter la prise, une fois que c'est injecté, c'est irréversible! Si cela avait été réalisé, des milliers de cas inutiles de maladies, notamment dégénératives, auraient pu être évités et l’aluminium, qui migre notamment au cerveau, cessé d’être utilisé dans les vaccins alors qu’il l’est depuis… 1926.Chose intéressante à ce sujet, les aveux accablants du Dr Nathalie Garçon, responsable du Centre Mondial des Adjuvants chez GSK, au sujet de l'aluminium vaccinal. Cette doctoresse déclarait en effet en 2002 aux USA à l'occasion d'un symposium sur la sécurité des adjuvants que: "En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour la consommation humaine, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l'alun arrivait maintenant, il ne serait pas accepté." [cfr page 220 de ce workshop aux USA]

Si "personne ne sait" ce qu'il advient d'une telle substance faisant partie d'une majorité de vaccins une fois qu'ils sont injectés, on est donc bien clairement dans quelque chose d'expérimental et les mots ne sont donc ni trop forts, ni exagérés, ni usurpés. Il faut pouvoir appeler un chat, un chat!

 4°) Enfin, Xième passe-droit dramatique, les vaccins sont aussi dispensés, là encore contrairement aux autres médicaments (et même aux cosmétiques qui eux ne sont jamais obligatoires!) de tests destinés à évaluer leurs potentiels cancérogène, mutagène et tératogène, c'est à dire leur capacité d'induire un cancer, une mutation de notre ADN (dont certaines débouchent aussi sur des cancers) et des maladies chez la descendance (alors qu'on préconise désormais la vaccination aux femmes enceintes... y compris contre la grippe & bientôt aussi contre la coqueluche). Les notices francophones ne mentionnent plus que les vaccins sont dispensés de ces tests, sans doute pour ne plus trop rebuter les patients, mais les notices américaines des vaccins identiques, de même composition, continuent elles de le mentionner (cf. point 13.1). Ce passe-droit est d'autant plus scandaleux que les vaccins contiennent pourtant plusieurs composants notoirement cancérogènes (pensons au formaldéhyde, reconnu comme cancérigène certain par le CICR qui dépend pourtant de l'OMS!!)!

 Le Dr Deborah Novicki de Novartis a confirmé que ces tests pour évaluer la cancérogénicité n'avaient pas été effectués sur l'adjuvant à base de squalène des vaccins H1N1 (le MF59) ni sur aucun des vaccins du groupe et qu'il n'était pas prévu que cela se fasse. « Nous n’avons pas testé le potentiel cancérogène du squalène MF59 de notre vaccin H1N1 ni d’aucun autre de nos vaccins et nous n’avons pas l’intention de le faire. » a-t-elle déclaré lors d'une réunion à l'Agence Américaine du Médicament (FDA). [cfr p. 391]Si ces études avaient été réalisées de façon rigoureuse et indépendante, vaccin par vaccin, avant de comparer des populations ayant reçu plusieurs types de vaccins à la fois, et que ce genre d'études avaient réellement montré que la santé des gens vaccinés n'est pas sensiblement moins bonne que celle des gens réellement non vaccinés, alors et seulement alors cela aurait du sens et ce serait éthique de promouvoir la vaccination. Alors et seulement alors, on pourrait dire que la vaccination n'est pas expérimentale et qu'elle a réellement été évaluée scientifiquement. Alors et seulement alors, les experts officiels seraient crédibles quand ils affirment que la vaccination est non dangereuse

 Mais à l'heure actuelle, compte tenu de ces carences graves dans l'évaluation de TOUS les vaccins, l'attitude des pouvoirs publics et de tous les prosélytes de la vaccination consiste à promouvoir dans les faits une EXPERIMENTATION HUMAINE SANS CONSENTEMENT, ce qui est illégal et contraire au Code de Nuremberg. Pour aboutir à la rédaction de ce Code de Nuremberg, il est tout de même bon de se rappeler qu'il a fallu deux Guerres Mondiales et des millions de morts, peut-être des gens de VOTRE famille. De même, il est aussi fondamental de se rappeler que TOUTES les expérimentations sans consentement sont prohibées en vertu de ce Code, "même si l'expérimentation est motivée par des besoins de santé publique."Voici en effet un extrait d'une présentation disponible sur youtube du Dr Delépine sur les essais cliniques en cancérologie:

Voilà, vous savez maintenant l'essentiel, la véritable quintessence de la question des vaccins, le noeud du problème et le point commun entre tous les vaccins, quels qu'ils soient.

 Vous savez maintenant pourquoi la lutte actuelle en France contre l'aluminium vaccinal est totalement incomplète et ne s'attaque en réalité qu'à "un seul tentacule de la pieuvre." (les vaccins au phosphate de calcium n'ayant par ailleurs jamais satisfait aux critères énumérés ci-dessus non plus)

 Sachant ces informations, vous avez à présent LE CHOIX d'accepter ou de refuser en conscience pour vous et vos enfants des produits expérimentaux dont l'infinité et la gravité des conséquences possibles n'ont donc encore jamais été évaluées scientifiquement.

 A ce propos, sachez que même des médecins des firmes pharmaceutiques, comme par exemple le Dr Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur (aussi consultant pour l'OMS!) admettent qu'ils ne savent tout simplement PAS comment marchent les vaccins... Or s'ils ne le savent pas, c'est bien parce que la vaccination n'est pas sous-tendue par une Science rigoureuse, solide et véritable!

 Médecins, journalistes, avocats, hommes ou femmes politiques, adolescents, futurs parents, malades chroniques, voyageurs, ... nous sommes tous concernés et nous devons, sur base de ces carences règlementaires graves, savoir désormais QUOI réclamer, quoi exiger, quoi dire devant les tribunaux et quoi modifier au niveau des législations concernées.

 

L'avenir, la santé et l'intégrité des générations futures dépendront en grande partie de notre capacité collective à exiger et à obtenir ces modifications règlementaires, même bien sûr au prix de devoir arrêter complètement la vaccination aux termes de résultats probablement accablants que craignent comme la peste les fabricants et les autorités depuis maintenant bien trop d'années déjà....

 

                 

17 février 2013

Le vaccin HiB provoque le diabète de type 1 selon l'étude du British Medical Journal

 

Il est étonnant de voir comment la manipulation des statistiques permet d’accorder un laissez-passer aux vaccins. En voici un exemple : une étude affirme qu’il n’y a aucune augmentation du diabète de type 1 statistiquement significative après la vaccination HiB. Une lecture attentive des chiffres documente cependant une histoire complètement différente.

 

Par Heidi Stevenson,12 février 2013. (Gaia Health)

 

Dans une espèce de double langage étonnant, le British Medical Journal (BMJ) a publié une étude dont les conclusions montrent qu’il n’y a pas de lien entre le vaccin HIB et le diabète, bien que les chiffres montrent clairement que ce lien existe.

 

Il reste donc peu de doute quant au fait que le vaccin HiB provoque le diabète de type 1.

 

Comment a-t-on donc réussi cette espèce de prestidigitation ? Grâce aux statistiques bien évidemment.

 

L’étude a examiné trois groupes distincts d’enfants finlandais :

 

·          Cohorte 1 : 128.936 enfants nés entre le 1er octobre 1983 et le 1er septembre 1985, 24 mois avant que le vaccin de Haemophilus Influenzae type B (HiB) ne soit administré.

·          Cohorte 2 : 59.238 enfants nés entre le 1er octobre 1985 et le 1er septembre 1987 (nombres impairs) auxquels on a administré le vaccin HiB respectivement à 3, 4, 6 mois et à 14 -18 mois.

·          Cohorte 3 : 57.114 enfants nés entre le 1er octobre 1985 et le 1er septembre 1987 (jours pairs) auxquels on a administré le vaccin HiB une seule fois, soit à 24 mois.

 

Pour simplifier : la Cohorte 1 n’a pas reçu le vaccin HiB. La Cohorte 2 a reçu 4 doses du vaccin HiB à 18 mois et la Cohorte 3 a reçu une simple dose du vaccin à 24 mois.

 

Ci-dessous le tableau reprenant les résultats de l’étude :

 

 HIB-tableau-1

 Traduction de ces chiffres en pourcentages :

 

·          Cohorte 1 (pas de vaccin HiB)) : 0,34% ont fait le diabète de type 1

·          Cohorte 2 ( 4 vaccins HiB) :        0,40% ont fait le diabète de type 1

·          Cohorte 3 ( 1 vaccin HiB) :          0,37% ont fait le diabète de type 1.

 

Comme les taux de diabète de type 1 sont relativement faibles, les auteurs ont pu affirmer qu’il n’y avait pas de différence statistiquement significative dans les taux de diabète de type 1 chez les trois groupes. Dans certains cas, il s’agit d’une approche valable. Toutefois dans le cas qui nous occupe ce n’est certainement pas le cas. Ce qui importe, c’est la relation entre les groupes et non les chiffres globaux.

 

Il est dès lors raisonnable d’affirmer :

 

·          Les enfants qui ont reçu une seule dose du vaccin anti-HiB avaient 8,8% plus de risque de développer un diabète de type 1 que ceux qui n’avaient  reçu aucun vaccin HiB.

·          Les enfants qui ont reçu 4 doses du vaccin anti-HiB avaient 17,6% plus de risque de développer un diabète de type 1 que ceux qui n’avaient reçu aucun vaccin HiB.

 

Il s’agit là d’une découverte importante. Ces résultats viennent confirmer, et s’ajoutent à ceux qui concernent des milliers d’enfants finlandais qui souffrent aujourd’hui de diabète de type 1 à la suite du programme de vaccinations.

 

Les auteurs de l’étude ont complètement ignoré un fait bien connu, à savoir que les effets indésirables ne se présentent pas souvent dans de petits groupes étant donné qu’ils ne sont pas très fréquents. Pour que la réalité se manifeste, il s’agit d’étudier le problème sur de grands groupes. Alors seulement on pourra constater que le vaccin HiB est bel et bien à l’origine du diabète de type 1 chez un grand nombre d’enfants.

 

HiB-tableau-2

Ce graphique provient du rapport du BMJ. Il concerne seulement deux cohortes qui ont reçu le vaccin HiB, mais la distinction entre les deux est évidente : les enfants qui ont reçu le plus de doses de vaccins et qui les ont reçues plus tôt dans leur vie sont précisément ceux qui sont le plus susceptibles de développer un diabète de type 1.

 

Les enfants qui n’ont pas reçu le vaccin HiB ont moins de la moitié de chances de développer un diabète de type 1. (8,8% contre 17,6%).

 

On peut noter ici le tour de passe-passe statistique qui est utilisé pour masquer les véritables résultats. Il est à noter que la fréquence du diabète de type 1 est donnée en termes de personnes/année ? Qu’est-ce que cela veut dire que 300 cas de diabète se produiront au fil des années sur 100.000 personnes ? En fait, cela ne veut pas dire grand-chose. Ces chiffres ne vous disent pas combien d’enfants développent un diabète. La seule chose qu’ils montrent c’est que les enfants qui ont reçu plus de doses du vaccin HiB étaient davantage susceptibles de faire un diabète de type 1 – mais ces chiffres ne nous disent pas combien en plus. Il s’agit d’un faux-fuyant sans éclaircissement.

 

LES VERITABLES IMPLICATIONS

 

Quand on planifie des programmes de vaccinations qui concerneront des millions de personnes, ces différences importent ; elles revêtent même une grande importance.

 

Dans le cas de la vaccination HiB en Finlande - une population de 5,4 millions de personnes et 55.000 bébés qui naissent chaque année – cela signifie 33 cas de diabète de type 1, par an, et cela chaque année.

 

Nous pouvons considérer que le taux de natalité en Finlande est relativement faible, mais si nous extrapolons maintenant aux Etats-Unis avec une population de 314 millions d’habitants, cela fait environ 58 fois plus de personnes. Le calendrier de vaccinations américain est quasi le même que celui de la Finlande.

 

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L’administration du vaccin anti-HiB aux Etats-Unis aux mêmes taux qu’il fut administré en Finlande, aurait comme résultat que 1.914 enfants développeraient un diabète de type 1 chaque année.

 

Ce sont donc des milliers de cas supplémentaires de diabète de type 1, et ces cas de diabète ne sont comptabilisés que jusqu’à l’âge de 10 ans!

 

Donc année après année, ce sont des milliers d’enfants qui développeraient un diabète de type 1 à la suite de la vaccination HiB. Toute argumentation qui prétendrait que nos vues ne sont pas réalistes irait à l’encontre du volume de connaissances qui démontrent bel et bien que cette maladie est devenue beaucoup plus répandue.

 

Ces enfants auront sûrement une vie beaucoup plus courte suite à leur état de santé dégradé. Leur développement neurologique est susceptible d’être entravé, leur intelligence diminuée à la suite de dommages cérébraux structurels. Nous savons tous que le diabète est susceptible de provoquer des neuropathies, de la gangrène qui nécessite parfois l’amputation de membres.

 

A mon humble avis, cette étude n’est rien d’autre que de la science de pacotille, une pseudo étude destinée à donner l’impression qu’il n’y a aucun lien entre le vaccin HiB et le diabète de type 1. Il n’empêche que la vérité est clairement révélée par les chiffres mêmes de l’étude. On est en droit de se demander comment les pseudo-scientifiques, les médecins, les gens de Big Pharma, les Agences gouvernementales et les Fondations vouées à la promotion des vaccins peuvent encore se regarder dans la glace.

 

Source:

 

Association between type 1 diabetes and Haemophilus influenzae type b vaccination: birth cohort study, BMJ; Marjatta Karvonen, senior researcher; Zygimantas Cepaitis, researcher; Jaakko Tuomilehto, research professor; BMJ 1999;318:1169

 http://www.initiativecitoyenne.be/article-le-vaccin-hib-provoque-le-diabete-de-type-1-l-etude-du-british-medical-journal-115353367.html

 

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8 février 2013

Un neurotoxique notoire impliqué dans l'autisme et les troubles du développement de l'enfant.

 

4Le Journal du Médecin le prouve une fois de plus dans sa Lettre du Médecin n°1127 de ce 4 février 2013,

 

Au point n°4 de cette newsletter en effet, voici ce qu'on pouvait lire:

 

 

Pas un seul instant le Journal du Médecin n'ose évidemment rappeler la présence de mercure toxique dans plusieurs vaccins antigrippaux pourtant préconisés aux femmes enceintes et qui alourdiront par conséquent immanquablement "la barque toxique" dans laquelle le bébé va naître, une barque faite de mercure mais aussi de formaldéhyde cancérigène (aussi contenu dans les vaccins antigrippaux, lisez donc les notices svp!!) et d'aluminium car plusieurs vaccins sont à présent recommandés en cours de grossesse, comme par exemple des rappels diphtérie-tétanos-coqueluche (Boostrix), comme cela se fait au Royaume-Uni notamment... au prétexte de "protéger" le nourrisson!! Le Boostrix contient une belle dose d'aluminium, un neurotoxique notoire impliqué dans l'autisme et les troubles du développement de l'enfant. Il est évidemment beaucoup plus "politiquement correct" de se contenter de conclure "qu'il faut notamment remplacer le thon par d'autres poissons" mais il serait pourtant ô combien plus honnête et surtout plus efficace d'informer les parents sur les dangers des amalgames dentaires au mercure ainsi que sur l'administration insensée et totalement injustifiée du moindre vaccin pendant la grossesse et l'allaitement! Rappelons en effet, comme l'ont fait des chercheurs de l'INSERM en France, que l'exposition précoce (au cours de la vie foetale ou postnatale) à divers polluants chimiques, fait courir un risque d'altération de l'ADN avec en conséquence, l'apparition possible de maladies graves à l'âge adulte (apparition différée donc... qui pensera dès lors à "faire le lien"??).

 

Il est aussi nocif de sous-entendre et absurde de laisser croire qu'il y aurait certains seuils "sûrs" ou non problématiques de substances qui sont toujours toxiques pour tous les êtres vivants!

 

Songez-y surtout bien à temps, et rappelez-vous bien que votre enfant à naître ou déjà là ne peut compter QUE SUR VOUS pour penser à le protéger de ce genre de risque concret qui est hélas hypocritement ignoré par les autorités!!

1 septembre 2011

Un énorme tremblement de terre dans la baie de tokyo à venir

Un énorme tremblement de terre dans la baie de tokyo à venir
La possibilité d'un tremblement de terre amplifiée par déplacement simultané dans deux ou plusieurs endroi sous Tokyo a augmenté depuis le grand tremblement de terre à l'Est du Japon , selon l'Université de l'Institut de recherche sur les séismes de Tokyo...
26 février 2011

Vaccins: La court suprème US ne reconnait pas aux parents le droit d'attaquer les laboratoires

Vaccins: La court suprème US ne reconnait pas aux parents le droit d'attaquer les laboratoires
AP) WASHINGTON, DC - La Cour suprême a rendu un jugement fédérale interdisant des poursuites contre les fabricants de médicaments sur les effets secondaires graves de vaccins de l'enfance. Le tribunal a voté 6-2 contre les parents ;un enfant qui a poursuivi...
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