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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
cancer du sein
10 mai 2019

Les teintures capillaires ont un lien direct avec le cancer du sein

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Natural News ) Bien que la mort de leurs mèches puisse sembler une nécessité absolue pour beaucoup de femmes à mesure qu’elles vieillissent et que le gris commence à s’instaurer, de nouvelles recherches finlandaises devraient mettre les femmes en pause, car elles indiquent que ce rituel de beauté apparemment inoffensif pourrait être lié à un risque élevé de cancer du sein .

Dans le cadre de sa thèse de doctorat, la chercheuse Sanna Heikkinen de l' Université d'Helsinki et du Finnish Cancer Registry ontexaminé des informations autodéclarées provenant de 8 000 femmes finlandaises atteintes du cancer du sein et de 20 000 autres témoins. Heikkinen a observé une augmentation de 23% du risque de cancer du sein chez les femmes qui teignaient régulièrement les cheveux .

Des recherches antérieures ont également montré que les femmes qui teignent régulièrement leurs cheveux courent un risque accru de développer d'autres cancers, notamment le cancer du cerveau, le cancer de la vessie et la leucémie. Des scientifiques britanniques ont également mis en garde par le passé contre les dangers des kits de teinture pour cheveux à la maison et des teintures professionnelles appliquées dans les salons de coiffure.

Une explication possible du risque élevé est que certaines substances chimiques présentes dans le colorant capillaire réagissent avec d'autres polluants présents dans l'air pour former des tumeurs lorsqu'elles sont utilisées de manière continue.

Une étude marquante menée en 2000 par des chercheurs de l' Université de Californie du Sud et publiée dans l' International Journal of Cancer a révélé que les femmes qui se teignent les cheveux tous les mois doublent leurs risques de cancer de la vessie. Ils ont également constaté que le risque continuait d'augmenter avec une utilisation prolongée et que les coiffeurs travaillant avec des teintures pour cheveux avaient un risque encore plus élevé.

Ces constatations choquantes ont incité la Commission européenne, l'organe responsable de la rédaction de la législation pour l'Union européenne, à procéder à un examen immédiat. Les résultats de cet examen ont amené la Commission à retirer son soutien aux produits de coloration des cheveux en Europe . La Commission avait alors indiqué que les preuves ne prouvant pas la sécurité des teintures capillaires étaient insuffisantes. Tout en reconnaissant qu'une étude approfondie confirmant leur sécurité prendrait des années, ils ont estimé qu'il était impératif de protéger les consommateurs dans l'intervalle en déconseillant l'utilisation de ces produits . Ils se sont notamment déclarés préoccupés par les effets à long terme d'une substance chimique appelée paraphénylènediamine, ou PPD, couramment utilisée dans les colorants capillaires.

 

L' Institut national pour la sécurité et la santé au travail (NIOSH) du CDC met en garde contre les dangers de la para-phénylènediamine et note: «Un contact répété ou prolongé peut provoquer une sensibilisation de la peau. Une exposition par inhalation répétée ou prolongée peut provoquer de l'asthme. La substance peut avoir des effets sur les reins, entraînant une insuffisance rénale. "

Les recommandations de la Commission européenne ont suscité des inquiétudes chez de nombreuses femmes à l'époque. Aux États-Unis, près du tiers des femmes se colorent régulièrement les cheveux.

Plusieurs autres problèmes de santé sont également liés à l'utilisation de colorants capillaires, notamment l' asthme et les réactions allergiques graves .

Teintures à cheveux bricolage

Néanmoins, la réalité est que très peu d’entre nous ont le courage de vieillir sans aider un peu plus la nature en couvrant le gris de nos cheveux. Heureusement, il existe plusieurs colorants naturels disponibles sur le marché, ou si vous voulez être absolument en sécurité et créer votre propre couleur de cheveux chez vous, voici quelques suggestions:

Si vos cheveux naturellement blonds ont besoin d'un regain de couleur, essayez de faire une infusion de thé à la camomille en procédant comme suit: Placez huit sachets de thé à la camomille dans une casserole d'eau qui vient de bouillir, mais a été retirée de la chaleur. Laissez le thé infuser pendant 30 minutes, puis ajoutez une tasse de yogourt et quelques gouttes d'huile de lavande à l'infusion. Masser le mélange sur les cheveux propres, laissez-le pendant 30 minutes, puis rincez-le doucement et laissez vos cheveux sécher naturellement.

Pour rétablir la couleur des cheveux plus foncés, préparez un pot de café biologique propre en utilisant un rôti foncé sans arôme. Une fois le café refroidi, versez-le dans une cuvette et passez au-dessus de l'évier, passez le mélange dans tous vos cheveux. Laissez-le dans vos cheveux pendant 15 minutes, puis rincez-le sous la douche. Vous devez savoir que certains cheveux plus clairs peuvent devenir rougeâtres plutôt que brun foncé.

Pour ceux qui cherchent à restaurer leur rouge naturel, ne cherchez pas plus loin que le thé rouge à l'hibiscus. Trempez cinq de ces sachets de thé dans de l'eau bouillie pendant 30 minutes. Lorsque le thé est suffisamment froid, imprégnez-le de tous vos cheveux. Laissez agir environ une heure, puis rincez et lavez comme d'habitude.

Les sources incluent:

DailyMail.co.uk 1

DailyMail.co.uk 2

Helsinki.fi

HealthScamsExposed.com

USC.edu

CDC.gov

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6 mars 2017

Une biologiste moléculaire explique comment le THC du Cannabis tue complètement le cancer

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De l’Université Compultense de Madrid, Espagne, le Dr Christina Sanchez a étudié les effets anti-tumoraux du THC, le principal composant psychoactif du cannabis, pendant plus d’une décennie. Elle fournit de l’information saine qui explique exactement comment le THC tue entièrement les cellules cancéreuses – sans effets nocifs sur les cellules saines.

Sa recherche est un complément au travail d’autre, comme le scientifique britannique, Wai Liu, un oncologue de l’Université de l’école de médecine de Saint-George de Londres. La recherche de Liu révèle aussi comment le THC a « une puissante activité anti-cancer, » et peut « cibler et désactiver » les voies qui permettent aux cancers de se développer de manière significative.

Liu souligne que les compagnies pharmaceutiques dépensent des milliards sur des médicaments qui font la même chose, alors que la plante de cannabis le fait naturellement. Dans la vidéo suivante:

le Dr Sanchez explique exactement comment THC fait le sale boulot d’éliminer les cellules cancéreuses en activant les récepteurs cannabinoïdes propres de l’organisme, la création d’endocannabinoïdes. De plus, le cannabis peut le faire sans effets psychoactifs.

« Il y a beaucoup de cancers qui devraient répondre assez bien aux agents du cannabis », a déclaré Liu. « Si vous parlez d’une société pharmaceutique qui a dépensé des milliards de livres en essayant de développer ces nouveaux médicaments qui ciblent ces voies, le cannabis fait exactement la même chose – ou certains éléments des composés du cannabis font exactement la même chose – si vous avez quelque chose qui est naturellement produit et qui a des répercussions sur les mêmes voies que ces fantastiques médicaments qui coûtent des milliards alors travaillont aussi dessus  ».

Cela arrive à un moment important où les états légalisent la marijuana médicale et ou le gouvernement fédéral reçoit la pression de radier le cannabis des drogues illégales.

Une définition archaïque et erronée d’une plante dont les Feds disent «n’a pas de valeur médicinale», même si elles détiennent de nombreux brevets sur la plante…

Les fédéraux se battent toujours contre la marijuana, en dépit d’avoir de nombreux brevets sur la plante.

Brevet US n ° 6.630.507, par exemple, est pour les cannabinoïdes en tant qu’antioxydants et neuroprotecteurs. Serait-ce la raison pour laquelle ils traînent les pieds sur la déclassification de cette plante précieuse?

En fait, trois scientifiques du ministère de la Santé et des Services sociaux ont déclaré dans l’abstrait – ou un résumé – de leurs résultats soumis avec la demande de brevet:

« Les cannabinoïdes ont prouvés leurs application particulière comme neuroprotectant, par exemple en limitant les dommages neurologiques suivant des lésions ischémiques, tels que l’AVC ou un traumatisme, ou le traitement de maladies neurologiques, comme la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et la démence du VIH. »

Certes, ils savaient qu’il pouvait traiter le cancer aussi.

Dans les textes hindous le cannabis était connu comme une «herbe sacrée. ‘Il a également été utilisé en médecine traditionnelle chinoise depuis des siècles. Le cannabis peut remplacer les médicaments toxiques, et réduire considérablement la douleur. Les études du Dr Sanchez ne font qu’ajouter à la sagesse séculaire qui entoure l’usage médicinal de cette plante phénoménale.

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Dix conseils contre le cancer du sein

Le cancer du sein touche en moyenne une femme sur huit. Le professeur Henri Joyeux, chirurgien cancérologue, propose dix solutions pour prévenir l’apparition de la maladie, améliorer ses chances de guérison si le cancer s’est déclaré et éviter la récidive.

Des gestes simples permettent d’éviter l’apparition du cancer du sein

 -Avoir un enfant avant 30 ans

Plusieurs études ont prouvé que les femmes qui ont eu un enfant avant 30 ans avaient moins de risques de développer un cancer du sein. La grossesse modifie en effet certains gènes dans le tissu mammaire.

 -Allaiter pendant au moins six mois

Les chercheurs expliquent en partie l’augmentation des cancers du sein par la diminution de la pratique de l’allaitement. En France, seulement 60% des bébés sont allaités à la naissance, contre 99% en Norvège et en Suède.

 -Faire du sport au moins deux fois par semaine

Une importante prise de poids augmente de 25% le risque de décès chez une femme atteinte d’un cancer du sein. La pratique régulière du sport évite de se laisser envahir par les kilos.

 -Préserver son équilibre affectif

Le stress est un terrain favorable au cancer. Que l’on soit malade ou en bonne santé, il est essentiel d’exprimer ses souffrances et de préserver un équilibre affectif, en donnant et en recevant de l’amour de ses proches.

 -Limiter la prise d’hormones

Le Pr Joyeux déconseille formellement le traitement hormonal substitutif à la ménopause. L’idéal serait également d’éviter de prendre une contraception hormonale pendant plus de 5 ans, en privilégiant les mini-pilules.

 7-Suivre un régime végétarien

Selon des chercheurs britanniques, bannir la viande et le poisson réduirait de 12% les risques de cancer. Une alimentation végétarienne garantit un meilleur apport en calcium, en vitamine C et en fibres.

 8-Consommer un seul produit laitier par jour

Selon Henri Joyeux, les hormones stéroïdes et les facteurs de croissance présents dans les produits laitiers peuvent jouer un rôle de perturbateurs endocriniens et agir négativement sur les glandes mammaires.

 9-Prendre le soleil

L’exposition au soleil permet de fabriquer de la vitamine D. Or une récente étude de l’Inserm prouve que le risque de développer un cancer du sein est 25% inférieur chez les femmes ayant un taux sanguin de vitamine D élevé.

 10- Prévenir très tôt les excès de l’alcool

Consommer beaucoup d’alcool avant 25 ans favorise nettement le risque de cancer du sein. Les parents ne doivent pas hésiter à mettre leur fille en garde dès le plus jeune âge.

Études de l’action des cannabinoïdes contre le Cancer

Sources:

http://naturalsociet…cer-completely/

L’auteur de l’illustration du site est Sandra Véringa son site http://www.esprits…ent-cancer.html/


http://aidersonprochain.com/une-biologiste-moleculaire-explique-comment-le-thc-tue-completement-le-cancer/#k1o8ZfxkYMyxdTF4.99
16 février 2017

Big Pharma admet enfin que le cannabis tue les cellules cancéreuses

 

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En avril 2015, l’Institut national de l’abus des drogues a reconnu que le cannabis tue les cellules cancéreuses et réduit de façon spectaculaire la croissance de nouvelles cellules cancéreuses du cerveau. Ce fut une admiration surprenante, étant donné que la position du gouvernement fédéral sur le cannabis le conserve comme un médicament de l’annexe 1 sans « bénéfice médical ».

La recherche a continué en dépit de ce barrage routier, et maintenant l’industrie pharmaceutique pourrait réellement aider à surmonter l’obstination du gouvernement sur le cannabis comme médicament.

La société britannique GW Pharmaceuticals a testé les extraits de cannabis ces dernières années et a maintenant des preuves cliniques que certaines formulations réduisent le taux de mortalité des personnes atteintes de Glioblastome Multiforme (GBM), une forme de cancer du cerveau qui tue habituellement les patients dans les deux ans. Les résultats de l’étude de phase 2 de la preuve de concept ont été annoncés le 7 février.

Combiné au temozolomide, le médicament utilisé actuellement pour traiter le GBM, la survie médiane des patients était de plus de 550 jours, comparativement à 369 jours sans le traitement du cannabis. Le traitement CBD (cannabidiol) -THC (tétrahydrocannabinol) a contribué à un taux de survie d’un an de 83 pour cent, contre 53 pour cent pour les traitement sans-cannabis.

Des études antérieures ont montré qu’une combinaison CBD-THC « a conduit à une réduction synergique de la viabilité des cellules de gliome U87MG », et la « co-administration de temozolomide avec THC et CBD avait d’autres effets synergiques, entraînant une réduction significative de la viabilité cellulaire. »

Dans son communiqué de presse, GW a noté qu’il existe d’importantes recherches oncologiques sur les cannabinoïdes pour traiter plusieurs formes de cancer, avec 15 publications sur les effets positifs sur la croissance et la suppression des tumeurs – en particulier dans la promotion de l’autophagie ou « le processus d’autodégradation réglementée par cellules. »

« Nous croyons que les signaux d’efficacité démontrés dans cette étude renforcent encore le rôle potentiel des cannabinoïdes dans le domaine de l’oncologie et de fournir à GW la perspective d’un nouveau produit cannabinoïdes candidat dans le traitement du gliome », a déclaré le PDG Justin Gover.

GW peut être considéré comme l’un des plus respectables sociétés pharmaceutiques. Au lieu de lutter activement contre la légalisation du cannabis – comme les sociétés américaines l’ont fait en finançant de la propagande anti-pot avant les initiatives électorales – GW adopte la puissance du cannabis.

GW Pharma est sur le point de faire approuver un médicament dérivé du cannabis appelé Epidiolex pour traiter les enfants souffrant d’épilepsie sévère. Il sera déposé pour approbation cette année aux États-Unis et au Royaume-Uni. Les essais ont montré une « importance statistique élevée » pour aider les patients, dont certains souffrent de 80 crises graves par jour.

Bien sûr, nous savons déjà à travers d’innombrables exemples que l’administration de CBD ou d’autres types d’huile de cannabis arrête les saisies dans leurs voies pour les enfants souffrant d’épilepsie. C’est pourquoi une entreprise du Colorado a produit un spray de cannabis nasal qui arrête à plusieurs reprises les crises dans les 20 secondes.

Alors que de nombreux États reconnaissent maintenant cette réalité et légalisent les extraits de cannabis pour les saisies, Epidiolex a le potentiel d’offrir un traitement efficace à l’échelle nationale. Il mettra également la classification absurde du cannabis et de ses dérivés comme médicament de l’annexe 1 au test ultime.

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http://www.worldwidenetwork.fr/big-pharma-admet-enfin-que-le-cannabis-tue-les-cellules-cancereuses/

1 avril 2016

Monsanto, un demi-siècle de scandales sanitaires

La condamnation, lundi 13 février, du géant américain de l'agroalimentaire Monsanto, poursuivi par un petit agriculteur charentais intoxiqué par un herbicide, est une première en France. A l'échelle de l'histoire de la multinationale, centenaire, cette condamnation ne constitue qu'une péripétie judiciaire de plus dans un casier déjà très chargé.

PCB, agent orange, dioxine, OGM, aspartame, hormones de croissance, herbicides (Lasso et Roundup)… nombre de produits qui ont fait la fortune de Monsanto ont été entachés de scandales sanitaires et de procès conduisant parfois à leur interdiction. Mais rien n'a jusqu'ici freiné l'irrésistible ascension de cet ancien géant de la chimie reconverti dans la biogénétique et passé maître dans l'art du lobbying. Portrait d'une multinationale multirécidiviste.

    • Un géant de la chimie… explosif
    • Depuis sa création en 1901 à Saint-Louis, le petit producteur de saccharine devenu un des principaux semenciers de la planète n'a cessé de défrayer la chronique. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l'explosion accidentelle d'une usine de plastique Monsanto provoquée par celle d'un cargo français chargé de nitrate, qui fit 500 morts à Texas City en 1947, est ainsi restée dans les annales comme l'un des premiers désastres de l'industrie chimique.

      Deux ans plus tard, c'est au tour d'une deuxième usine de la firme, à Nitro en Virginie, de partir en fumée. Cette fois-ci, la responsabilité de l'entreprise est engagée. Plus de deux cents ouvriers développent des chloracnés, un trouble aussi rare que sévère de la peau, rapporte Marie-Monique Robin, lauréate du prix Albert-Londres, dans son documentaire Le monde selon Monsanto.

      L'accident révèle que le produit phare de la marque, l'herbicide 2,4,5-T, contient des niveaux élevés de dioxines, des substances hautement toxiques et cancérigènes, de composition assimilable à celle des polychlorobiphényles (PCB). La première étude suggérant la dangerosité potentielle de la dioxine était connue de Monsanto dès 1938 : la commercialisation de l'herbicide se poursuivra pourtant pendant près de quarante ans, avant son interdiction dans les années 1970.

      Monsanto, qui a dirigé l'usine de Nitro entre 1934 et 2000, a par ailleurs fait l'objet d'une plainte déposée en 2007 par 77 habitants de Virginie atteints de cancer, qui accusent la compagnie d'avoir diffusé "illégalement" de la dioxine dans les environs de l'usine.

      • PCB : le procès de la honte

       

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      En 2001, 3 600 habitants de la ville d'Anniston, en Alabama, attaquent Monsanto pour une contamination aux PCB. Selon un rapport déclassifié de l'Agence de protection de l'environnement des Etats-Unis (EPA), Monsanto a déversé pendant près de quarante ans des milliers de tonnes de déchets contaminés dans un ruisseau et une décharge à ciel ouvert, au cœur du quartier noir de la ville.

      La façon dont The Washington Post rapporte l'histoire est édifiante : "Des milliers de pages de documents de Monsanto – dont beaucoup sont estampillés 'CONFIDENTIEL : lire et détruire' – montrent que pendant des décennies, la multinationale a dissimulé ce qu'elle faisait et surtout ce qu'elle savait. En 1966, des responsables de l'entreprise avaient découvert que des poissons immergés dans ce ruisseau se retournaient sur le dos en moins de dix secondes, pissant le sang et perdant leur peau comme s'ils avaient été bouillis vivants. Ils ne l'ont dit à personne", raconte le quotidien américain.

      En 1975, une étude menée par Monsanto révèle que le PCB provoque des tumeurs chez le rat. La multinationale décide d'en changer les conclusions, de "légèrement tumorigènes" à "n'apparaît pas cancérigène". "Nous ne pouvons nous permettre de perdre un seul dollar" : ainsi se conclut l'un des mémos consultés par The Washington Post.

      Monsanto a finalement été jugée coupable en 2002 d'avoir pollué "le territoire d'Anniston et le sang de sa population avec les PCB". La firme sera condamnée à payer 700 millions de dollars de dommages et intérêts et à assurer le nettoyage de la ville. Aucune peine de prison n'a été retenue contre les responsables de l'entreprise.

      En février 2007,The Guardian révèle que le géant agrochimique a appliqué les mêmes méthodes sur plusieurs sites en Grande-Bretagne entre 1965 et 1972. Le quotidien a eu accès à un rapport gouvernemental montrant que 67 produits, dont l'agent orange, la dioxine et des PCB, ont été identifiés dans une carrière au pays de Galles. En France, la fabrication et l'utilisation des PCB sont interdites depuis 1987.

      • Agent orange : condamné pour "empoisonnement"

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      Durant ces mêmes années, entre 1961 et 1971, Monsanto produit l'agent orange, constitué à partir de l'herbicide 2,4,5-T, dont la dangerosité est largement connue depuis l'explosion de l'usine de Nitro. Ce défoliant sera massivement déversé par l'aviation américaine au-dessus des forêts vietnamiennes pendant la guerre. Les conséquences se font encore sentir aujourd'hui, avec de nombreux cancers et des malformations de naissance au Vietnam, ainsi que des séquelles diverses chez nombre d'anciens combattants américains.

      Dans les années 1970, des vétérans du Vietnam ouvrent une Class Action contre les producteurs de l'agent orange. Monsanto se retrouve, au côté de six autres entreprises, accusé principal d'un procès en réparation pour empoisonnement. En 1987, les sept producteurs de l'agent orange sont condamnés à verser 180 millions de dollars à un fonds de compensation destiné aux soldats américains.

      Durant le procès, Monsanto présentera des études scientifiques démontrant l'absence de lien entre l'exposition à la dioxine et les nombreux cancers dont souffraient les vétérans, pour les débouter de leur action. Il sera démontré au début des années 1990 que ces études se fondant sur les conséquences de l'explosion de l'usine de Nitro en 1949 étaient biaisées.

      Cette fraude scientifique sera confirmée par le National Research Council, qui constate que les études de Monsanto "souffraient d'erreurs de classification entre les personnes exposées et non exposées à la dioxine, et qu'elles avaient été biaisées dans le but d'obtenir l'effet recherché". L'affaire sera relatée en 1990 par Greenpeace et le chercheur Joe Thornton dans un rapport intitulé Science for Sale.


      En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/
23 octobre 2014

le blushwood berry ,une plante australienne fait régresser en quelques heures des cellules cancereuses

 

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Une étude, dont les résultats intitulés «Intra-Lesional Injection of the Novel PKC Activator EBC-46 Rapidly Ablates Tumors in Mouse Models» ont été publiés dans la revue dans la revue PLOS ONE, a permis de montrer, dans des essais précliniques sur la souris, que EBC-46, une molécule extraite de la graine d’une euphorbiacée, Hylandia dockrillii (le blushwood berry, qui ne pousse qu’au nord de l’État australien du Queensland, dans les Atherton Tablelands), est efficace contre des tumeurs solides, qu'elle fait régresser en quelques heures et, semble-t-il, sans générer d'effets secondaires.

En fait, il s'agit d'une confirmation car des essais préliminaires, qui avaient porté «sur des chiens, des chats et des chevaux» et aussi «sur des diables de Tasmanie, ces marsupiaux carnivores d'apparence canine et dont les populations sont décimées par une épidémie de cancer de la face», avaient mis en évidence son effet bénéfique «par application sur la surface de la tumeur et, surtout, par injection à l’intérieur».

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EBC-46 «serait opérante contre une large variété de cancers: prostate, sein, poumons, ou encore les mélanomes et les tumeurs dans le cou» en provoquant «une nécrose des tissus et une destruction des vaisseaux sanguins».

Plus précisément, cette molécule «agit en activant la protéine kinase C, comme le fait un produit connu, l’ester de phorbol PMA» avec cependant, une vitesse et une efficacité plus grandes.

Dans l'étude ici présentée, les essais précliniques sur la souris ont montré que «dans la plupart des cas, une injection unique provoque la mort des cellules tumorales en quatre heures»
, sans effets secondaires notables, et que la régression de la tumeur est durable «dans plus de 70 % des cas».

Dès lors, des essais cliniques vont pouvoir être entrepris chez l’Homme «puisqu’ils ont été approuvés par les autorités sanitaires d'Australie».

Il faut cependant souligner que l’EBC-46 «n’agit que sur des tumeurs avec lesquelles cette molécule est mise en contact direct»

 

* publiés dans la revue Plos One

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25 septembre 2013

Le plus inutile et le plus dangereux des dépistages est celui du cancer du sein.

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Le « dépistage » a tout va est devenu à la mode. Tout comportement de notre corps doit être soumis à de fréquentes et régulières vérifications : surveillance de la tension, de la prostate, du taux de cholestérol, du diabète et bien d'autres pathologies qui nous menacent sournoisement. Il existe ainsi des campagnes-promotions de dépistage qui font la fortune des laboratoires et les belles heures des médias qui n'éprouvent aucune gêne à nous rappeler plusieurs fois par jour qu'il est urgent de faire vérifier notre corps comme nous le faisons pour nos moteurs de voitures.

Mais le plus inutile et le plus dangereux des dépistages est celui du cancer du sein. À travers les medias, toutes les instances de santé incitent les femmes à faire, chaque année, une mammographie pour éviter ce cancer, mais personne ne signale à toutes celles qui vont se conformer à ces examens qu'ils comportent de nombreux risques.

Le Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la situation, il y a trente ans. Pour lui, les « dictateurs du scalpel et du radium » ont su entretenir pendant des décennies une propagande mensongère sur l'efficacité de leur pratique en s'appuyant sur l'argument non vérifiable qu'un diagnostic précoce donne au cancéreux toutes les chances de guérir. Il affirmait : « Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu'elle n'en dépiste. » D'autres médecins partagent ce point de vue.

« Le champ du cancer aux États-Unis est délimité par un monopole médical qui assure un flot constant de bénéfices pour les compagnies pharmaceutiques, les firmes de technologie médicale, les instituts de recherches et les Agences gouvernementales telles que la FDA, le National Cancer Institute, et l'American Cancer Society. » Cette déclaration vient de deux cancérologues réputés, le Dr John Diamond, membre du Royal Australian and New Zealand College of Psychiatry et ancien Président de l'Académie Internationale de Médecine Préventive, et le Dr Lee Cowden, de l'Université St Louis du Missouri. Tous deux sont bien placés pour savoir de quoi ils parlent.

Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements.

Déjà, en 1995, le Dr Samuel Epstein, président de la Coalition pour la Prévention du Cancer, Médaille d'Or de l'Académie de Médecine Albert Schweitzer, auteur de plusieurs centaines d'articles scientifiques sur le sujet, profitait d'une journée nationale de mammographie organisée le 18 octobre aux États-Unis, pour dénoncer les dangers de cette pratique qui, pour lui, n'a jamais fait la preuve de son utilité. Il a insisté sur le fait que lorsque le cancer du sein est ainsi détecté, il existe depuis au moins huit ans et a donc déjà touché les ganglions lymphatiques ou d'autres organes, particulièrement chez les femmes jeunes. Dans son important ouvrage The Politics Of Cancer revisited, paru en 1998 mais non traduit en français, il critique très largement le lobby du cancer et soutient que chez les femmes en pré-ménopause, un cancer détecté sur quatre n'est pas un vrai cancer, mais qu'en revanche, un cancer sur quatre n'est pas détecté.

Les années passées depuis cette époque n'ont pas changé son opinion et, douze ans plus tard, il confirmait ces déclarations dans un article intitulé « Les dangers cachés des mammographies chez les femmes en pré-ménopause ». « Quoique l'on vous dise, refusez les mammographies de routine, particulièrement si vous êtes en pré-ménopause. Les rayons augment vos chances d'attraper un cancer. »

En effet, la pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, ce qui correspond à la très forte radiation subie par les femmes qui se trouvaient à un kilomètre et demi de l'endroit où furent larguées les bombes atomiques sur le Japon.

Pour Epstein, ajoutées à une angoisse inutile, les mammographies répétées augmentent les risques de cancer. « Des études récentes basées sur les dix années précédentes indiquent une augmentation très nette des cancers quelques années après le début de ces examens fréquents, ce qui confirme la grande sensibilité des seins en pré-ménopause et l'effet carcinogène des radiations ».

La dose moyenne de rads reçus en mammographie pour deux images par sein est de 1 à 4 unités, mais d'après le Pr Epstein, la dose peut parfois être dix fois supérieure. Et Rosalie Bertell, l'une des autorités les plus respectées internationalement en ce qui concerne les dangers des radiations, affirme que chaque rad augmente de 1 % les risques de cancer du sein et correspond à une année de vieillissement. Ces deux spécialistes du cancer ont réitéré leur avertissement dans un article très détaillé et édité par le prestigieux International Journal of Services en 2001 (31(3) : 605-615), intitulé « Les dangers et la non-fiabilité des Mammographies », avec le concours de Barbara Seaman, fondatrice et directrice du Women's breast cancer movement. L'article explique que la plupart des cancers ont été détectés par les malades eux-mêmes et que rien ne vaut la palpation mensuelle de leurs seins par les sujets à risque, « une pratique alternative efficace et sans danger ».

Le Pr Epstein est loin d'être le seul à critiquer cette habitude et le NCI (National Cancer Institute) a publié des statistiques qui montrent que chez les femmes de moins de 35 ans, les mammographies peuvent provoquer 75 cancers pour 15 cancers correctement diagnostiqués.

Après avoir passé en revue toute la littérature mondiale disponible sur le sujet, les docteurs Wright et Muller, de l'Université de Colombie Britannique, ont recommandé l'annulation du financement public des mammographies parce que le « bénéfice obtenu est minime et le mal causé est important. » D'après le Lancet du 1er juillet 1995, les études les plus complètes ne montrent pas de taux de survie accru grâce aux mammographies de routine.

Le NIH (National Institute of Health) estime que ces examens occultent 10 % des tumeurs malignes chez les femmes de plus de 50 ans. À son tour, une étude suédoise menée sur 60 000 femmes a démontré que 70 % des tumeurs détectées par mammographie n'étaient pas des tumeurs. Or, outre le stress émotionnel causé par ces diagnostics erronés, ces femmes ont aussi subi des biopsies toujours dangereuses.

Quant au Dr James Howenstine, médecin américain qui a 34 ans de pratique privée et hospitalière, il signale que « des campagnes massives encouragent les femmes à avoir une mammographie chaque année. Ce rituel annuel génère des résultats faux positifs et faux négatifs qui mènent à des opérations inutiles et une considérable anxiété chez les femmes incorrectement diagnostiquées. »

Enfin, le 8 janvier 2000, The Lancet publiait une étude danoise qui réduisait à néant l'espoir des cancérologues qui croyaient alors qu'en dépistant plus précocement les cancers du sein par mammographie, on réussirait à faire baisser leur incidence et leur mortalité. Le journal concluait qu'en termes de mortalité, une politique de dépistage du cancer du sein « ne serait pas justifiée ».

Une étude publiée en 2005 par le New England Journal of Medicine, confirme que 30 % des cancers chez les femmes de 40 ans ne sont pas détectés par les mammographies.

Et en mars 2006, le mensuel La Recherche signalait à son tour, dans son numéro 395, que « la mortalité par cancer du sein a très peu diminué depuis 20 ans », alors que « les cas diagnostiqués, eux, explosent ». Le journal ajoutait que certains experts dénonçaient les effets pervers du dépistage qui « conduirait à détecter et à traiter des tumeurs mammaires qui n'auraient pas mis la vie de la patiente en danger ».

Le Dr Ken Walker, gynécologue à Toronto, mais aussi le plus célèbre des journalistes médicaux canadiens sous le pseudonyme de « Dr Gifford-Jones », partage son avis : « Les femmes de 40 à 49 ans qui subissent régulièrement des mammographies, sont deux fois plus susceptibles de mourir d'un cancer trois ans plus tard que celles qui gardent leurs seins sous leurs chemisiers ». Ce médecin diplômé d'Harvard estime lui aussi que les diagnostics précoces constituent un mensonge car « il faut huit ans pour qu'une tumeur soit assez importante pour être décelée, ce qui laisse le temps aux cellules cancéreuses de se propager dans l'organisme. Cela n'est pas vraiment un diagnostic précoce ».

À ses yeux, des milliers de femmes servent de cobayes depuis de nombreuses années, pendant que la Médecine cherche de tous côtés les causes du cancer, des bactéries aux gènes, sans penser une seule seconde que l'un des principaux responsables est l'industrie du cancer elle-même.

Ces mammographies exposent les tissus sensibles du sein à des radiations dangereuses, alors que les spécialistes estiment qu'il n'existe pas de « dose acceptable » de radiation. Pour le Pr Anthony Miller, de l'Institut National du Cancer de Toronto, l'ADN du sein est plus vulnérable aux doses réduites de radiation que les tissus thyroïdiens ou la moelle des os.

D'après Diana Hunt, diplômé du centre médical d'UCLA, spécialiste des rayons X, « les radiations reçues par le sein au cours d'une seule mammographie correspondent à 11,9 fois la dose absorbée annuellement par le corps entier ».

La pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, En conséquence, si une femme commence à subir des mammographies annuelles dès l'âge de 55 ans, à 75 ans elle aura reçu 20 rads. Évidemment, ce pourcentage est proportionnel à l'âge du début des mammographies, ce qui est effarant à l'heure actuelle où elles sont pratiquées de plus en plus tôt. En comparaison, les femmes qui ont survécu aux bombardements de Hiroshima ou Nagasaki ont absorbé 35 rads.

Et plus les cellules du sein sont jeunes, plus leur ADN est endommagé par les radiations. En outre, ce risque est multiplié par 4 chez les femmes porteuses du gène A-T, soit environ 1,5 à 2 % des sujets. Le pourcentage peut sembler minime, mais on estime qu'aux États-Unis environ 10 000 cancers par an sont dus aux mammographies chez les femmes porteuses de ce gène. Une seule mammographie augmente de 4 à 6 fois leur risque de cancer.

Ces recommandations ont été confirmées par la

Task Force (groupe de travail) du ministère de la santé des États-Unis qui recommande de retarder les mammographies jusqu'à l'âge de 50 ans, lorsque la poitrine est moins sensible aux radiations. La coalition nationale du Cancer du sein s'est jointe à ces conseils qui s'appuient sur l'augmentation de ce cancer de 20 % depuis 1975 malgré la multitude de mammographies et les milliards dépensés par les assurances.

Pour les jeunes femmes, les chiffres sont encore plus inquiétants, car une étude du Canadian National Breast Cancer, qui date de 1992, a démontré une augmentation de 52 % de la mortalité par cancer du sein chez les jeunes femmes qui subissent des mammographies. En outre, les femmes enceintes exposées aux radiations mettent leur fœtus en danger avec des risques de leucémies ou de malformations, et les enfants exposés aux radiations peuvent à leur tour développer un cancer du sein à l'âge adulte. Ajoutons à ce terrifiant constat que depuis l'introduction des mammographies, l'incidence d'un certain carcinome du sein aurait augmenté de 328 %.

Le Dr William

John Gofman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à Berkeley et chargé de cours à l'école de médecine de l'université de Californie à San Francisco, spécialiste des effets biologiques des rayons X et des dangers nucléaires, lauréat du prix Nobel, estimait que 75 % des nouveaux cas de cancer étaient provoqués par les irradiations médicales comme les rayons X, scanners, mammographies, tomographies et fluoroscopies. Il leur imputait également la responsabilité de nombreux cas de maladies coronariennes.

Alarm und Fehlalarm

» (Alertes et fausses alertes), Markus Grill signale que « les cabinets de radiologie reçoivent les citadines, alors que des "Mammobil" se rendent à domicile dans les campagnes. 54 unités mobiles sillonnent actuellement l'Allemagne, l'une d'elles appartient à un groupement de radiologues. Coût de l'investissement : 400 000 euros, dont 200 000 pour l'appareil de radiographie. Si chaque jour ouvrable, soit 250 jours par an) 80 femmes se font examiner au tarif de 57 euros remboursés par les caisses, l'équipement spécialisé génère un chiffre d'affaires de plus d'un million d'euros par an. L'intérêt économique est évident pour les radiologues. »

Et il pose la question qui dérange : « Mais l'intérêt pour la santé publique est-il équivalent ? »

Le Spiegel conclut : « On estime que chaque médecin devra examiner en moyenne par trimestre 225 individus en bonne santé et gagnera 21 euros pour les 20 minutes passés (75 minutes par jour). Pour le suivi classique d'un patient, le médecin reçoit 13 euros par mois, pour un examen approfondi 30 euros. Les dépistages sont par conséquent motivés surtout par l'intérêt financier. »

Telle est également la conclusion de Peter Sawicki, Directeur de l'IQWiG (Institut allemand de la qualité et l'efficacité du système de santé), qui pense que les études « sérieuses » répondent aux critères d'une médecine qui prend en compte les éléments scientifiques probants et non les simples « avis d'experts ».

« Pour l'individu lambda, la probabilité d'échapper au cancer grâce aux dépistages se situe entre 0,05 % et 0,1 %. Autrement dit, si 1 000 à 2 000 personnes participent sur plusieurs années aux programmes de dépistage, seule l'une d'entre elles sera sauvée. » Ce comportement, rare actuellement chez la plupart des médecins, lui a coûté sa démission forcée de l'Institut. Cela n'a rien de surprenant car l'industrie pharmaceutique allemande s'est plainte à maintes reprises du comportement de l'Institut et particulièrement de celui de son directeur qui les a souvent empêchés de mettre certains médicaments sur le marché. En outre, Peter Sawicki s'évertuait à réclamer aux laboratoires les études non publiées, ce qui n'est pas « médicalement correct ».

En Allemagne, on pratique en moyenne cinq fois plus de frottis que dans le reste de l'Europe, alors que les femmes allemandes meurent de ce cancer beaucoup plus souvent que dans d'autres pays.

Quant à la ministre de la santé, Ulla Schmidt, elle est une fervente du dépistage au point que, malgré de nombreuses protestations, elle a inclus dans la loi de santé publique le paragraphe 62 pénalisant financièrement tous les malades d'un cancer qui ne se sont pas soumis aux dépistages recommandés.

Tout ceci nous prouve bien que la réalité médicale n'a rien à voir avec la propagande organisée par les laboratoires et si bien relayée par les médias.

En France, les « contrats d'amélioration des pratiques individuelles » (Capi) sont souscrits de manière volontaire et individuelle par les praticiens, pour une durée de trois ans. Les médecins signataires s'engagent à atteindre 16 objectifs de santé publique dans trois domaines : la prévention (par exemple améliorer les taux de patients âgés vaccinés contre la grippe et de dépistages du cancer du sein), un meilleur suivi des pathologies chroniques comme le diabète ou l'hypertension, et l'optimisation des prescriptions de médicaments. Dix mille praticiens, soit plus d'un sur six, ont ainsi signé un contrat avec l'Assurance-maladie.

Sous la plume d'Olivier Auguste, Le Figaro du 25 septembre 2009 nous prévenait : « Les volontaires recevront jusqu'à 7 euros par an et par patient s'ils atteignent certains objectifs, comme le nombre de patients âgés vaccinés ou de patientes ayant effectué une mammographie. »

Les syndicats médicaux sont hostiles à cette relation directe entre médecin et Sécurité Sociale, mais notre remarquable ministre Roselyne Bachelot s'est réjouie du succès des Capi.

On savait déjà que la recherche de rentabilité se retrouve partout, toute profession confondue. On le savait pour la Police, la Gendarmerie, les impôts et autres administrations, mais il est invraisemblable qu'un médecin touche, en dehors de ses honoraires, une prime au rendement des dépenses de santé. Et cela pour des examens qui, non seulement n'ont pas fait la preuve de leur utilité, mais ont bel et bien fait la preuve de leur nocivité.

Sylvie SIMON

"Tout le monde devrait savoir que l'essentiel de la recherche sur le cancer relève, dans une large mesure, de l'escroquerie et que les grandes organisations de recherche sur le cancer négligent leur devoir envers ceux qui les soutiennent".

Linus Pauling Prix Nobel de chimie 1954 et de Paix 1962

 

22 mai 2011

Infos sur le cancer du sein à lire et diffuser à vos amies.

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Cancer du sein Je fais parvenir ceci à tout le monde parce que>> cela a tellement de sens. S'il-vous-plaît envoyez-le à toutes les>> personnes que vous aimez et même aux autres. Mesdames... Soyez sur vos gardes! Messieurs... envoyez ceci aux>> dames de...
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