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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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15 août 2015

L’Histoire de la Vitamine B17 (Laetrile)

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Dans les années 1940, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils (le Dr E.T. Krebs, Jr.) ont publié un document intitulé « La Thèse Unitaire ou Trophoblaste du Cancer », dans le Medical Record, de New York. Dans les années qui ont suivi, l’équipe formée par le père et le fils firent des recherches sur les co-enzymes et sur la possibilité que le cancer pourrait résulter d’une carence en vitamines. Dans le début des années 1950, ils émirent l’hypothèse que le cancer est causé par l’absence d’un composé alimentaire essentiel, manquant dans l’alimentation moderne de l’homme, identifié comme faisant partie de la famille des nitrilosides, qui se trouve dans plus de 1200 plantes comestibles. Ils apprirent, l’existence du royaume des Hunzas, dans les montagnes Himalayennes situées au nord du Pakistan, et où il était dit que ce peuple vivait « sans cancer ».

Les Docteurs Krebs savaient qu’ils mangeaient de grandes quantités d’abricots, mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait des substances pouvant lutter contre le cancer … jusqu’à ce qu’ils ont apprennent que les Hunzakuts mangent également les semences contenues dans les noyaux d’abricot, qui sont riches en nitrilosides ! Les nitrilosides sont particulièrement répandues dans les graines d’abricots, les pêches, les pommes, le millet, les fèves germées, le sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix, y compris les amandes amères. Les Dr. Krebs ont pu extraire certains glycosides des plantes qui contenaient les nitrolosides, et finalement, ont effectué une demande de brevet pour le procédé de production du métabolite formé par ces glycosides, en vue d’une utilisation clinique. Il nomma ceci « Laetrile ».

Il a fallu plusieurs années, et la réalité des essais cliniques effectués à travers le monde, avant qu’un modèle ne soit proposé afin de rationaliser l’utilité de la Laetrile dans la prévention, ainsi que pour le traitement du cancer, après tout ce temps, le nom de « vitamine B17″ fut reçu. Les Hunzakuts consomment entre 100-200 fois plus de B17 dans leur alimentation, que l’Américain moyen, en raison principalement du fait de manger les graines d’abricots, et aussi beaucoup de millet. Fait intéressant, l’argent n’existe pas, au Hunza. La richesse d’un homme se mesure par le nombre d’abricotiers qu’il détient. Et la nourriture la plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d’abricot, l’une des plus importantes sources de B17 sur la Terre. Les équipes visiteuses de médecins ont trouvé les Hunzacuts exempts de cancer. L’une des premières équipes médicales chargée d’étudier les Hunza, était dirigée par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr. Robert McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA, du 7 janvier 1922, il a indiqua : « Les Hunza n’ont pas d’incidence connue avec le cancer. Ils bénéficient d’une abondante récolte d’abricots. Ils les sèchent sous le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation ».

Mais pourquoi n’avez-vous pas entendu parler de la vitamine B17 ? Cela semble si simple ! Eh bien, la vérité sur cette question, c’est que l’Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même ordonné le fait qu’il soit illégal de vendre la B17. La Mafia Médicale a monté avec grand succès, des campagnes «effrayantes», basées sur le fait que la vitamine B17 contient des quantités «meurtrières» de cyanure. Ceci est manifestement faux. Des études montrent que la vitamine B17 est inoffensive pour les tissus sains.

Voici pourquoi : chaque molécule de B17 contient une unité de cyanure d’hydrogène, une unité de benzaldéhyde et deux unités de glucose (sucre) bien verrouillés ensemble. Pour que le cyanure d’hydrogène devienne dangereux, il faut d’abord nécessairement déverrouiller la molécule qui le libérera, une astuce qui ne peut être effectuée que par une enzyme appelée bêta-glucosidase, qui n’est présente partout dans le corps humain, qu’en quantités infimes, mais par contre, en grande quantité dans un seul endroit : les cellules cancéreuses.

Ainsi, le cyanure d’hydrogène n’est déverrouillé que sur le site où se trouve le cancer, et ce, avec des résultats radicaux, qui deviennent tout à fait dévastateurs pour les cellules cancéreuses, puisque l’unité de benzaldéhyde se déverrouille en même temps. Les cellules cancéreuses obtiennent un double coup, à la fois de cyanure et de benzaldeyhde ! Le benzaldéhyde est un poison mortel en lui-même, mais quand il fait équipe avec le cyanure, le résultat en fait un poison 100 fois plus mortel que lorsqu’il agit seul. Les cellules cancéreuses sont littéralement oblitérées !

Mais tout ceci n’est-il pas sans danger pour le reste des cellules du corps ? Un autre enzyme, le rhodanese, toujours présent en quantités beaucoup plus imortantes que l’enzyme de déverrouillage beta-glucosidase dans les tissus sains, a la capacité de dégrader entièrement, à la fois le cyanure, et le benzaldéhyde, en thiocyanate (une substance inoffensive), et en salicylate (qui est un tueur de douleur semblable à l’aspirine). Fait intéressant, les cellules cancéreuses malignes ne contiennent pas de rhodanese du tout, ce qui les laisse complètement à la merci des deux poisons mortels. Tout ce processus est connu sous le nom de toxicité sélective, puisque seules les cellules cancéreuses sont spécifiquement ciblées et détruites.

Les centaines d’études cliniques menées par de nombreux médecins compétents dans le monde entier, y compris celles qui sont dirigées par le Dr. Ernesto Contreras à l’Oasis of Hope Hospital au Mexique, nous donnent toute confiance, que le traitement avec la thérapie B17 ne présente aucun danger pour les cellules normales. Ce sont de mauvaises nouvelles pour l’Industrie du Cancer. Les graines d’abricots ne sont pas chères … vraiment pas chères … pas aussi coûteuses que leur dernier cocktail médicamenteux de chimiothérapie.

‘‘J’ôtais les pépins et jetais les pommes. Maman récupérait les pommes de la corbeille et cuisinait des tartes’’.
~ Jason Vale

Mon ami, Jason Vale, a écopé d’une condamnation à mort par ses médecins, dans le milieu des années 1990, lorsqu’on a découvert qu’il avait un cancer en phase « terminale ». Il a appris, grâce à des recherches approfondies, que les gens qui avaient un cancer, découvraient des propriétés curatives dans les pépins de pommes et les noyaux d’abricots, lesquels, comme je l’ai mentionné ci-dessus, contiennent de grandes quantités de vitamine B17.

Jason a immédiatement commencé à se sentir mieux, en mangeant des pépins de pommes et des noyaux d’abricots, dans le cadre de son régime alimentaire quotidien. Dans un court laps de temps, le cancer de Jason a littéralement disparu. Lorsque l’histoire « Extraordinaire » de Jason fut diffusée à la télévision nationale, dans le milieu des années 1990, cela à provoqué une audience si grande que le même reportage a été diffusé une deuxième fois, la semaine suivante.

L’enthousiasme des spectateurs fut si grand que Jason se retrouva inondé d’appels téléphoniques, provenant de personnes résidant dans tout le pays. Au cours des années suivantes, Jason a littéralement aidé des milliers de gens, à traiter avec succès leur cancer, en consommant des semences de noyaux d’abricot.

Jason fut victime d’une opération coup de poing de « Gestapo », décidée par la FDA, il a été condamné le 18 juin 2004, à soixante-trois mois de prison et trois ans de liberté surveillée, par un tribunal de district des États-Unis dans le District Est de New York. Son crime ? La vente de graines d’abricot sur son site web, et de dire aux gens la VERITE sur leurs propriétés curatives. Bienvenue au « pays de la liberté et dans la patrie des braves ».

Après avoir purgé près de quatre ans de prison, Jason a été libéré de la maison d’arrêt au début de 2008. Le site web de Jason est www.ApricotsfromGod.info.http://www.cancersortezdelaboite.com/l%E2%80%99histoire-de-la-vitamine-b17-laetrile/

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4 juin 2015

LES RAYONS ULTRAVIOLETS ET LE CANCER DE LA PEAU

RACHEL BARAN

Parfois bénéfique, parfois mortel, les bains de Soleil ne sont pas nouveaux. Cette mode a démarré au début du siècle avec la publication d'une photo d'un mannequin qui avait passé 1 semaine sur un yacht privé afin d'avoir un magnifique teint cuivré. Cependant, les gens de l'époque ne savait pas que les rayons U.V. pouvait être fatals pour la peau. Je traiterai de l'effet des rayons U.V., du cancer de la peau, des méthodes pour se protéger et quelques découvertes récentes à propos des rayons U.V.

LES RAYONS ULTRAVIOLETS

L'effet des rayons ultraviolets, plus souvent appelés U.V., sur la peau sont désastreux. La couche d'ozone s'amincissant progressivement, ils sont de moins en moins filtrés. Ainsi, 2 types de rayons U.V. nous atteignent maintenant, les UVA et les UVB. Il y a aussi les UVC mais ils sont encore complètement filtrés par la couche d'ozone fort heureusement car les rayons UVC sont encore plus dangereux que les UVB qui sont plus dangereux que les UVA. Il y a très peu de temps, nous pensions que seul les UVB étaient dangereux car ils sont moins énergétiques que les UVA. Cependant, le rayonnement qui nous atteint est composé de 9 fois plus de UVA que d'UVB ce qui fait en sorte que les UVA sont tout aussi dangereux que les UVB. Les UVA causent eux aussi le cancer mais d'une manière différente. Pour mieux vous expliquer les dommages causés par les UV sur la peau je vais me baser sur un exemple simple. Admettons que vous vous étendez au Soleil sans vêtement ( un maillot au minimum :) et sans crème solaire. Après quelques minutes seulement, les UVB entraînent l'apparition de cellules nécrotiques à l'intérieur de votre peau. Celles-ci meurent à court terme. Les UVB activent aussi la production de prostaglandines, des substances libérées lors du processus inflammatoires qui dilatent les capillaires. Aidés par les UVA et les infrarouges contenus dans le rayonnement solaire qui provoquent un échauffement de la peau et la dilatation des vaisseaux sanguins, ils provoquent la rougeur. Les lésions aux cellules de l'épiderme et la dilatation des vaisseaux aboutissent aux fameux coup de soleil. Quand la brûlure est sérieuse, les vaisseaux dilatés exsudent de l'eau qui forme des cloques et fait décoller l'épiderme. Le coup de soleil n'est pas dangereux en soi car les lésions finissent par guérir et tout rentre dans l'ordre. Cependant, des dommages irréparables ont été fait à vos cellules et les conséquences ne se feront sentir que dans plusieurs années. Les UVA font vieillir prématurément la peau, ce phénomène s'appelle le photovieillissment. La désorganisation des molécules de collagène et d'élastine, deux protéines qui assurent la solidité et la souplesse de la peau, est la cause de ce vieillissement. La profilération des fibroblastes, les cellules constitutives du derme, est aussi entravée par les UVB. Les rayons UV faut donc bien leur travaille de destruction en endommageant autant le derme que l'épiderme. Les UV altèrent aussi la fonction immunitaire de la peau en s'attaquant aux cellules de Langerhans et aux lymphocytes qui constituent le système de défense.

LE CANCER DE LA PEAU

Parce qu'elles sont victimes de coups de soleil à répétition, certaines personnes voient leurs chances d'attraper un cancer de la peau augmenter. Il existe trois types de cancer de la peau. Le cancer basocellulaire est le plus bénin et le plus fréquent car il n'engendre jamais de métastases. Le cancer spinocellulaire ou le épidermoïde est peu fréquent mais plus dangereux en raison des métastases qu'il engendre. Ces deux types de cancer sont entraîné par les cellules du derme et ils se manifestent dans les régions souvent exposées au Soleil. Ils prennent l'apparence d'une lésion ulcérée, d'une croûte ou d'une simple boule. Le taux de guérison de ces cancers sont excellent s'ils sont détectés à temps. Le mélanome, qui représente 10% des cancers cutanés, est plus inquiétant car il produit des métastases très rapidement s'il s'enfonce sous le derme. Il résulte de la mutation d'un mélanocyte, responsable de la pigmentation de la peau. Les mélanomes se présentent sous forme de taches foncées ou d'un grain de beauté qui grossis, dont la forme change ou que la couleur se modifie.

LES MESURES DE PROTECTION

En conséquence, pour éviter un cancer de la peau, il faut prendre des mesures de protection autant en été qu'en hiver. Je vous en énumère ici quelques-unes mais même si vous les appliquer toutes et que vous voyez des rougeurs apparaître, il vaut mieux se mettre à l'ombre.

  • Au soleil, couvrez-vous le plus possible et portez un chapeau à large bord.
  • Évitez de vous exposer entre 10 h et 16 h et faites attention au soleil du Sud, car plus on se rapproche de l'équateur, plus les rayons sont directs!
  • Attention au sable, à la neige et à l'eau qui reflètent des rayons nocifs.
  • Au soleil, appliquez toujours un écran solaire dont le facteur de protection est de 15 ou plus qui bloque les rayons UVA et UVB. Cependant, évitez les écrans solaire de FPS 60 car ils contiennent des substances cancéreuses la plupart du temps.
  • Évitez les lampes solaires : leurs rayons ultraviolets sont dangereux.
  • Méfiez-vous de la brume, des nuages et du brouillard, car 80 % des rayons solaires dangereux les traversent.
  • Apprenez à vos enfants à se protéger, car les effets nocifs du soleil sont cumulatifs et une personne qui a eu un coup de soleil important en bas âge à beaucoup plus de chances de développer un cancer.
  • Consultez votre médecin si vous notez une modification à votre épiderme ou d'un grain de beauté.

LES DÉCOUVERTES RÉCENTES

Cependant, certaines découvertes récentes font peur au dermatologue car certaine pourrait détruire toutes les années de prévention qu'ils ont fait. En Mai 1998, un étudiant en maîtrise de génétique moléculaire à l'université Laval, Vickram Bissonauth, à mener une expérimentation à l'aide de peau humaine reconstituée en laboratoire. La peau reconstituée a ensuite été badigeonnée de crème PreSun FPS­30, puis exposée pendant plus de 30 minutes à une lumière blanche similaire à celle que le Soleil émet (donc, contenant des rayons UVA et UVB). L'étudiant a testé trois doses d'irradiation: 2000, 4000 et 8000 kilojoules au mètre carré. 1000 kilojoules au mètre carré correspondant à une heure au soleil à midi, un jour d'été à Québec. Le résultat est alarmant et surprenant, l'analyse des coupes de la peau au microscope à révéler que plus l'exposition avait été intense, plus la structure de la peau était désorganisée et le nombre de cellules nécrosées important. Les dommages causés à l'ADN des cellules augmentaient également en flèche. Au delà de 2000 kilojoules au mètre carré, la protection offerte par le PreSun FPS­30 n'est plus totale", conclut Vickram Bissonauth. Et cela est troublant parce que l'on a toujours cru que la protection des crèmes solaires de FPS-30 était totale. Il reste donc les crèmes de FPS-45 et + que l'on a vu apparaître sur le marché il n'y a pas très longtemps mais Roger Leblanc, un chimiste de l'Université de Miami, prétend que les nouvelles crèmes " ultra­protectrices ", de facteur de protection solaire (FPS) 60, contiennent souvent certains métaux, dont le bioxyde de titane. Or, dit­il, ces substances induiraient des réactions biochimiques avec la peau pouvant provoquer des cancers. Ces propos ont soulevé la colère des dermatologues, qui craignent que le public recommence pour cette raison à s'exposer au soleil sans protection. Une autre découverte qui ne fait pas le bonheur des dermatologues est qu'un peu de soleil ferait du bien. En effet, nous sommes peut-être allé trop loin dans la lutte au bronzage. Comme dans toute chose, la modération a bien meilleur goût. Ainsi, certaines personnes ne s'exposent pratiquement plus au soleil mais cela peut-être très mauvais. Malgré les risques, une exposition modéré au soleil les compenseraient largement. Le facteur en cause : la vitamine D, fabriquée par notre corps lorsque la peau est exposée au soleil. La vitamine D protège de toutes sortes de maladie comme le rachitisme, les attaques cardiaques, la dépression saisonnière, le psoriasis et la sclérose en plaques. Mais les chercheurs veulent simplement rappeler que ceux qui évitent complètement le soleil font une erreur aussi grave que ceux qui en abusent. Plus récemment en août 1999, une étude faite par des chercheurs de l'université du Texas le coup de soleil serait un suicide contrôlé des cellules dénaturées de la peau afin d'empêcher un cancer de la peau. Malheureusement, le mécanisme n’est pas efficace à 100%. S’infliger délibérément des brûlures ne protège pas contre la terrible maladie. Laurie Hill, qui a dirigé cette recherche dont les résultats sont publiés dans Science a exposé deux groupes de souris préalablement rasées aux rayons ultraviolet. L’un de ces groupes était composé de souris modifiées génétiquement, chez qui la protéine ordonnant le suicide des cellules était absente. Dans ce groupe spécial, 70% des individus ont subi des mutations des cellules potentiellement cancérigènes. Chez les souris normales, le taux de mutations dangereuses n'a été que de 5%.

En conclusion, même si le cancer de la peau augmente en flèche et que les effets désastreux des rayons U.V. ont été prouvés, nous faisons toujours quelques découvertes qui viennent redorer le blason du soleil. Mais il ne faudra jamais oublier que le soleil est dangereux si nous en abusons et qu'il est mieux d'appliquer les mesures de protection que de les ignorer.

30 octobre 2014

Les AKG jouent un rôle important dans le traitement des maladies du sang et irradiations

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Vous avez sans doute entendu parler d'un remède connu des vieux amateurs de médecines naturelles sous le nom de "huile de foie de requin du Groenland". Un peu comme l'huile de foie de morue. Si vous ne connaissez pas cette vieille pratique nordique, vous avez peut-être entendu parler des alkylglycérols extraits de cette huile de requin, des lipides qui ont longtemps défrayé la chronique comme traitements complémentaires du cancer et qui, finalement, ont été boudés par le grand public (qui leur a préféré les Oméga 3). Pourquoi ? Parce que les alkylglycerols sont extraits du requin et de nombreuses personnes se privent de ce remède afin de ne pas participer au massacre des requins...

La malédiction de ce poisson, c'est que tout est bon chez lui : la chair et les ailerons se mangent, du cartilage on fait des compléments alimentaires, avec les dents, des bijoux, avec la peau, des sacs et des chaussures et pour finir, on extrait de son foie une huile, dont le squalène qu'elle contient est largement exploité par l'industrie des cosmétiques qui en met partout (dans les lotions, les déodorants, les crèmes solaires, les baumes à lèvres, le maquillage...).

Avertissements

La triste réalité, en 2013, c'est que 3 millions de requins sont exterminés chaque année et que certaines espèces des profondeurs sont menacées d'extermination. L'extraction des alkylglycérols ne représente qu'une part très infime du business de l'huile de foie de requin, laquelle passe massivement par l'exploitation du squalène par l'industrie des cosmétiques.

Mais, n'ayant nullement l'intention de participer de près ou de loin à ce massacre, je vous dirai trois choses avant d'aller plus loin :

1. Si l'huile de foie de requin est un précieux remède, il n'est pas nécessaire d'en abuser. C'est un produit à réserver à ceux qui en ont besoin ou à utiliser ponctuellement en prévention. Les peuplades scandinaves et du pourtour arctique qui en ont toujours consommé pour ses propriétés fortifiantes et cicatrisantes continuent à le faire de façon raisonnée, l'huile de foie étant ici un sous-produit de leur pêche et non le fruit de pratiques barbares comme le « livering » (rejet des carcasses après extraction du foie !).

2. Il est tout à fait possible de ne pas participer à ce massacre en se fournissant chez des laboratoires qui utilisent des espèces de requins non menacées et qui peuvent garantir que les foies employés ne sont que des sous-produits de la pêche. Ils ne sont pas nombreux mais ils existent.

3. Il ne faut pas confondre les alkylglycérols et le squalène dont on tire aussi des compléments alimentaires vendus sous le nom « d'huile de foie de requin »

Pourquoi les requins ne sont-ils jamais malades ?

Le requin n'a pas l'apanage des alkylglycérols (AKG) puisque ces alcools gras découverts en 1922 (et synthétisés par Robinson, prix Nobel en 1930) font aussi partie du corps humain. Le lait maternel en contient une bonne quantité et ils sont naturellement présents dans la graisse du foie, de la rate, et dans la moelle osseuse.

Autrement dit dans toutes les parties stratégiques de nos défenses immunitaires. Ils y jouent un rôle-clé puisqu'ils sont entre autres à l'origine des facteurs d'agrégation des macrophages. Mais dans le foie de requin, qui est un animal qui n'a pas muté depuis près de 400 millions d'années, on estime que ces alkylglycérols sont présents à 50%. Or un foie de requin de taille normale est rempli d'une centaine de litres d'huile !

Depuis longtemps intrigués par ces poissons qui peuvent vivre 100 ans sans contracter pratiquement aucune maladie grâce à ce qui ressemble à un système de surveillance immunitaire sans faille, les scientifiques s'accordent à attribuer cette résistance aux infections et aux tumeurs aux AKG.

Des centaines d'années d'usage traditionnel et des dizaines d'années de constatations scientifiques

Les Japonais appellent l'huile de foie de requin « samedawa » : panacée. Cette appellation traditionnelle résonne avec le roman « Le vieil homme et la mer », un classique fort bien documenté d'Hemingway, où l'huile de foie de requin apparaît comme un trésor de santé : « Et de même il buvait une tasse d'huile de foie de requin chaque jour au grand pot qu'il gardait dans sa cabane, là où la plupart des pêcheurs gardent leur matériel. La plupart des pêcheurs en haïssent le goût. Mais il n'y avait rien de pire que de se lever aux heures où ils se levaient, et c'était ce qu'il y avait de meilleur contre les rhumes et les grippes, et bon pour les yeux aussi. ».

Dans la médecine traditionnelle scandinave, et ce depuis les Vikings, l'huile de foie de requin a toujours eu une place de choix. On l'utilisait surtout pour les problèmes digestifs mais aussi pour traiter des situations aussi particulières qu'un gonflement des ganglions lymphatiques. En 50 ans, il y eu des centaines d'observations scientifiques réalisées. Il ne s'agit peut-être « que » d'études in vitro ou sur des animaux mais cette littérature est très documentée.

Voici donc ce qu'il faut retenir de l'action de ces précieux « messagers » du système immunitaire : - Les AKG jouent un rôle important vis-à-vis des macrophages (globules blancs) mais ils participent aussi à l'activation et la modulation de la production des globules rouges et des plaquettes. D'où leur intérêt dans le traitement des maladies du sang ainsi que dans la réparation des dégâts hématologiques liés aux irradiations.

- Les AKG sont aussi à l'origine des plasmogènes qui sont des antioxydants et des modulateurs de la fluidité des membranes cellulaires. A ce niveau membranaire, les AKG présentent la capacité d'inhiber une protéine, la Kinase C, impliquée dans la prolifération cellulaire anarchique. D'où leur intérêt dans l'action préventive des terrains cancérigènes.

- Les AKG interviennent dans l'activation et la modulation du facteur d'agrégation plaquettaire (PAF) qui joue un rôle crucial dans la maîtrise des réponses inflammatoires. D'où leur intérêt devant les rhumes, les grippes, les allergies (je connais des personnes qui en font des cures de printemps pour passer la saison des pollens), toutes les inflammations en général, l'asthme, les rhumatismes, le psoriasis...

Et des effets bénéfiques encore inexpliqués

Sur 50 ans, les utilisateurs des alkylglycerols sont évidemment nombreux. C'est à travers cette expérience populaire non négligeable qu'ont été rapportés des effets inattendus qui trouvent difficilement, pour le moment, une explication claire. Il apparaît par exemple que les alkylglycerols sont un traitement efficace de l'eczéma du nourrisson (on en met dans le biberon et c'est tout)...

De nombreux consommateurs d'AKG ont eu la surprise de voir les symptômes du syndrome de Raynaud (maladie des doigts gelés) disparaître après une courte période d'utilisation. De la même manière, on ne comprend pas pourquoi les forces spéciales de plusieurs pays passent de grosses commandes d'AKG... Elles n'ont sûrement pas toutes du psoriasis... En fait, on ne sait pas vraiment ce qui fonctionne dans ce produit, mais ça fonctionne, et souvent de manière imprévisible.

Adjuvant des thérapies anti-cancer depuis 2006

Les AKG sont de puissants immunomodulateurs et jouent probablement un rôle en tant que tels directement actif sur les tumeurs et les métastases. C'est ce que semble indiquer les résultats d'études menées en Suède par l'Institut de neuroscience de Göteborg qui montrent des effets cytotoxiques (entraînant la mort des cellules tumorales) des AKG sur des carcinomes ovariens, mammaires et prostatiques. Cela reste cependant à confirmer.

En revanche, leurs bienfaits longtemps supposés dans le traitement d'appoint du cancer ont été vérifiés cliniquement grâce à une étude menée sur 10 ans par le centre anti-cancer de Montpellier. Ses résultats, publiés en 2006, confirment d'autres travaux suédois du Karolinska Institute auquel on doit la mise en lumière des principales propriétés des AKG.

Cette étude randomisée en double aveugle contre placebo a abouti à des résultats très clairs dans le cas de la prise en charge du traitement du cancer du sein. La supplémentation en AKG en accompagnement de la chimiothérapie ou des rayons :

  • a fait diminuer, chez 66% des femmes, les érythèmes radiques (les plaques rouges sur la peau occasionnées par les radiations),
  • a divisé par 2 les symptômes asthéniques (dépression de l'état général par affaiblissement des fonctions des organes et des systèmes),
  • a amélioré par un facteur de 5 la qualité de vie (perte de cheveux, fatigue, sommeil, humeur...) des patientes lors de leur traitement,
  • a permis de protéger l'immunité générale des patientes en empêchant la leucopénie (chute des globules blancs) et l'effondrement des plaquettes. Ce qui a eu pour effet d'éviter les infections secondaires dues à la baisse du système immunitaire consécutive aux traitements.

Ces effets protecteurs (observés également dans l'accompagnement du traitement du cancer du rectum et du côlon) ont poussé le Pr Henri Joyeux, cancérologue reconnu, à prescrire des AKG à ses propres patients. Les AKG n'interfèrent pas avec les traitements classiques (sinon en les favorisant) et ne provoquent aucune toxicité ou effet secondaire.

Un produit unique depuis 35 ans

Le succès des AKG ne date pas d'hier, je vous l'ai dit. Il existe donc sur le marché de nombreux produits mais tous n'ont pas la même rigueur de fabrication, et la même composition. Pour être capable de vous en conseiller un, je suis remonté aux sources de la découverte des alkylglycerols.

Le « père » des alkylglycerols, un Suédois, le Dr Brohult (le premier à en avoir étudié les propriétés thérapeutiques au début des années 50) a été non seulement celui qui a découvert les Omega 3 mais aussi le premier à déposer un brevet sur l'extraction des alkylglycerols. La propriété de son brevet est toujours entre des mains suédoises et appartient à la société Natumin Pharma (une herboristerie devenue un laboratoire) qui, depuis des années, n'a cessé d'améliorer le procédé d'extraction afin de préserver les 4 familles d'AKG présentes dans l'huile de foie de requin, dont les alkylglycérols méthoxy-substitués, très fragiles. Ces alkylglycérols sont vendus sous la marque Ecomer en France

Une pêche sous contrôle

Vous vous doutez que j'ai vérifié d'où venaient les requins. Une seule espèce est ici concernée, en l'occurrence abondante dans l'Atlantique nord : Squalus Acanthias ou Aiguillat commun. Cette espèce ne fait pas partie des listes des espèces marines en danger de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) et les requins, bien plus petits que les requins du Groenland, sont pêchés à la ligne pour leur chair (que l'on retrouve dans les fish and ships).

Simplement les entrailles, au lieu d'être jetées, sont récupérées. Rien à voir avec la pêche en grands fonds ou le ratissage des océans à l'asiatique : ici s'appliquent les quotas européens et les normes des Nations Unies relatives à la pêche durable et raisonnée. Cette population de requins Squalus Acanthias est stable et n'est nullement menacée par la diffusion de l'huile de leur foie. Par ailleurs, comme les AKG sont des huiles extrêmement résistantes, elles ne souffrent pas de l'oxydation rapide qui touche généralement les huiles, ce qui permet de les conserver longtemps, autrement dit de mieux gérer la ressource.

Un processus de production transparent

L'extraction des AKG résulte d'un processus assez complexe, réalisé à des températures élevées : le premier distillat (le liquide récupéré de l'alambic) est séparé en couches ; la couche supérieure est retirée pour être traitée (lavage à la vapeur pendant 1 heure) tandis que la couche inférieure est éliminée.

Cette huile lavée l'est une seconde fois avec une solution alcaline, un procédé permettant d'éliminer tous les acides gras nocifs, puis le résultat est purifié (métaux lourds, impuretés diverses) avant un dernier lavage à la vapeur (qui expurge les résidus oxydés) et l'extraction finale des AKG. Le résultat est garanti sans métaux lourds ni produits toxiques et débarrassé au fil de ce méthodique processus du squalène, des graisses indésirables, des excès de vitamines A et D et du cholestérol du requin.?Et évidemment, il n'y a pas de colorant, aucun conservateur ou additif.

Gare au squalène et autres chimères...

Le squalène présenté aujourd'hui comme ayant les même propriétés que les alkylglycérols, est en fait un produit banal de l'industrie du requin. Les alkylglycérols extraits de l'huile de foie de chimère, qui connaîssent un certain succès depuis le milieu des années 2000, s'ils sont extraits de manière sérieuse, ont peut-être les mêmes effets que les AKG de requin, mais ils n'ont jamais été étudiés. Il faut aussi rappeler que la chimère est un poisson d'abysse en voie d'extinction qui rassemble de faibles populations, qui se reproduit peu et n'est pêché que pour son foie.

Une tasse quotidienne, peut-être pas...

Après ses vertus immunitaires et ses propriétés anti-cancer, qui ont monopolisé la recherche depuis 1952 (et suscité tant de copies de l'original...), c'est désormais sur son action générale sur la santé humaine que s'orientent maintenant les chercheurs. Je ne serais pas surpris que les alkylglycérols rentrent un jour dans la panoplie des produits anti-vieillissement. En attendant, à moins d'être un courageux pêcheur dans sa cabane comme Santiago qui avalait sa tasse quotidienne, il faudra vous contenter de quelques capsules.

http://www.alternativesante.fr/alkylglycerols/les-alkylglycerols-c-etait-mieux-que-les-omega-3

29 octobre 2011

Attention alerte au maquillage cancérigène pour HAlloween

Attention alerte  au maquillage cancérigène  pour HAlloween
Merci d'alerter vos amis ...à diffuser aux parents .. L'institut Ecology Center a trouvé un ou plusieurs métaux lourds toxiques dans les 100 pour cent des 31 produits de maquillage d'Halloween testés. Plus de la moitié (16 sur 31) des produits testés...
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