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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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23 septembre 2014

Mises en garde et dangers : les effets de l'oranur* et du dor des accumulateurs d'orgone

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Un des problèmes courants rencontrés lors de l'utilisation de l'accumulateur est la difficulté de trouver un environnement énergiquement propre où s'en servir. L'énergie orgonale de l'atmosphère est très sensible à certaines formes de perturbation ou d'agitation. De manière assez semblable au protoplasme vivant, l'énergie orgonale peut être excitée ou irritée, et certaines influences environnementales peuvent l'amener à un état toxique. Si l'atmosphère énergétique de votre maison ou de votre voisinage a été ainsi rendue toxique, l'usage d'un accumulateur est déconseillé ou conseillé seulement avec de grandes précautions, car il sera très difficile d'accumuler autre chose qu'une charge toxique.

Par exemple, des accumulateurs d'orgone, particulièrement ceux destinés à des expériences biologiques ou à un usage sur l'être humain, ne doivent jamais être utilisés dans des pièces contenant des appareils irritants pour l'orgone tels que :

  • lampe fluorescente
  • poste de télévision
  • ordinateur ou micro-ordinateur
  • autres appareils à tubes cathodiques
  • four à micro-ondes ou cuisinière à courant à induction
  • couverture électrique (même si elle est seulement branchée mais éteinte);
  • machine diathermique, à rayons X
  • moteur électrique à balais
  • appareil à induction ou bobinage
  • autres appareils électromagnétiques
  • détecteur de fumée radioactive de type ionisant
  • horloge, montre ou autre appareil contenant des matières radioactives, lisibles dans le noir (les matériaux phosphorescents qui fonctionnent selon le principe de l'absorption de lumière sont acceptables)
  • autres matières radioactives ou fortes vapeurs chimiques.

L'accumulateur d'orgone ne doit pas même pas être utilisé dans un bâtiment où les appareils les plus puissants de la liste ci-dessus (comme les machines à rayons X) sont utilisés ou bien ont été récemment utilisés. Les expériences réalisées par Reich et, plus récemment, par d'autres dans de grands hôpitaux d'Allemagne, ont démontré que les équipements à rayons X annihilent les effets revitalisants de la radiation orgonale. De plus, on note un effet de persistance de la toxicité énergétique pendant un certain temps après que les appareils irritants ont été éteints et sortis de la pièce ou du bâtiment. Les accumulateurs d'orgone doivent de même ne pas être utilisés dans le voisinage immédiat ou à proximité des installations suivantes

  • système radar des aéroports
  • relais de transmission à micro-onde ou pour téléphone cellulaire
  • lignes à très haute-tension
  • tours d'émission AM, FM ou TV
  • centrales, installations de stockage de combustible ou de déchets nucléaires 
  • installations militaires avec stockage de bombes nucléaires
  • zones d'essais nucléaires passés ou actuels

Reich et d'autres chercheurs associés à ses travaux émirent des mises en garde à propos de la nocivité de ces équipements dès les années 1940 et 1950 mais ce n'est qu'aujourd'hui que des études épidémiologiques viennent corroborer leurs observations à propos de effets négatifs sur les êtres vivants. Une partie du problème provient de ce qu'en montrant la corrélation entre deux événements, on ne prouve pas qu'il existe entre eux une relation de cause à effet. On doit seulement montrer ou démontrer en quoi consiste le mécanisme et démontrer objectivement chaque étape séparant les deux éléments corrélés, pour prouver qu'il existe bien un lien de cause à l'effet. Dans la plupart des cas, c'est une méthode très sage mais qui est très inégalement appliquée dans le domaine scientifique. Les théorèmes orthodoxes sont rarement soumis à un examen critique relatif à la question de savoir s'ils répondent ou non à ce critère strict (ex. : " mauvais gènes ", " virus ", etc.) tandis qu'on refuse de financer ou qu'on rejette ou qu'on réprime purement et simplement les théories hétérodoxes pour la moindre de leurs faiblesses. Il arrivera de même que les pollueurs industriels utilisent cet argument pour ne pas assumer la responsabilité des dommages qu'ils ont causé à l'environnement.

En ce qui concerne les questions énergétiques, selon les meilleurs calculs des physiciens, un faible rayonnement ne devrait pas avoir d'effet délétère sur un organisme vivant. L'énergie présente dans un rayonnement de faible intensité, tel qu'elle est détectée avec les instruments conventionnels de détection du rayonnement atomique, n'est tout simplement pas suffisante pour causer des dommages significatifs. Or ces dommages ont lieu. J'insiste sur le problème que posent les " instruments conventionnels de détection du rayonnement atomique " parce qu'une des grandes erreurs de la physique provient de ce que si un instrument ne mesure pas un désordre environnemental, ce désordre ne s'est pas produit. L'erreur réside dans la fausse hypothèse selon laquelle leurs instruments de détection d'énergie doivent mesurer 100 % de n'importe quelle perturbation. Cette hypothèse invérifiable est bien sûr remise en cause par les manifestations biologiques et épidémiologiques qui montrent qu'il y a bel et bien un effet. Qui plus est, il y a une grande méfiance du corps dans les sciences modernes, comme en témoigne le fait que lorsque le commun des mortels est rendu malade par les appareils irradiants modernes il n'est pas cru, ou est considéré avec suspicion.

C'est précisément ici que les découvertes de Reich sur l'énergie orgonale apportent une clarification, puisque l'énergie vitale (et les perturbations qu'elle subit) ne peut pas être détectée avec les appareils de détection nucléaire ou électromagnétique ordinaires. On doit modifier les instruments pour la capter ou utiliser des méthodes entièrement différentes. L'orgone est aussi un continuum d'énergie qui établit une connexion entre les installations ou appareils perturbateurs (centrale nucléaire, émetteur radio et micro-ondes, lampe fluorescente, poste de télévision) et la créature vivante qui est affectée. Comme le champ orgonal local de la terre, ou le champ énergétique d'une maison, est gravement perturbé par ces équipements, le champ énergétique de la personne située dans cet environnement est perturbé lui aussi.

La physique moderne reconnaît en partie l'existence de ces connections ; on dit en effet que les bombes nucléaires, les réacteurs nucléaires et les installations qui y sont liées émettent en énormes quantités des neutrinos théoriques, indétectables et contre lesquels il n'y a pas de protection. Ces neutrinos s'échappent à grande vitesse de ces installations, pénétrant toute forme de blindage anti-radiations et affectant le corps de tout individu se trouvant à des kilomètres à la ronde. En théorie, ils ne causent aucun dommage mais c'est une simple hypothèse. Le fait majeur observé selon les meilleures théories de la physique classique, c'est que le cÏur du réacteur nucléaire laisse constamment échapper une énergie significative qui traverse le lourd bouclier du réacteur et se répand dans la campagne environnante, et qu'aucun détecteur de radiation classique ne permet de déceler. À partir des découvertes de Reich, il apparaît que cette énergie perdue ne se décharge pas sous forme de " particules " mais est déchargée directement dans le continuum énergétique de l'orgone cosmique, lequel se retrouve grandement agité et surchargé. Étant donné la capacité de l'énergie orgonale de pénétrer les substances matérielles, ces troubles énergétiques sont rapidement propagés vers l'extérieur à travers le bouclier du réacteur, pour affecter les créatures vivantes et le climat dans la zone environnante.

Il en est de même à propos du dilemme concernant les maladies provoquées par un électromagnétisme de faible intensité. Ce rayonnement ne devrait pas rendre les gens malades, mais il les rend bel et bien malades. Ici la difficulté théorique vient de ce que la physique affirme que les ondes électromagnétiques sont transmises à travers la campagne et autour du globe sans aucun médium de transmission. Cette position est identique à celle de quelqu'un qui travaillerait sur les ondes sonores ou les vagues, en niant l'existence de l'air ou de l'eau. Or les " ondes de particules " nucléaires et électromagnétiques ont besoin d'un médium dans lequel se propager. Le grand mythe de la physique moderne est que ce médium n'aurait jamais été découvert ; c'est l'erreur dont nous avons parlé au chapitre précédent.

Les équipements et installations nucléaires et électromagnétiques ont bel et bien des effets délétères sur la santé de gens qui y travaillent et qui habitent aux alentours, qu'on admette ou non le point de vue bioénergétique décrit ici. En général, les risques pour la santé ne sont pas également répartis au sein d'une population donnée. Certaines personnes ayant une énergie très élevée ou très basse, et généralement les sujets très jeunes et très âgés sont plus sensibles à ces énergies toxiques et y réagissent plus vite et plus fortement. On peut citer quelques cas. J'ai rencontré une secrétaire qui fut incapable de passer d'une machine à écrire à un ordinateur à traitement de texte. À chaque fois qu'elle s'asseyait devant l'ordinateur, elle ressentait un goût métallique dans la bouche et devenait nauséeuse. Cet effet durait plusieurs semaines après une seule exposition à l'ordinateur. Son patron et ses amis pensèrent qu'elle était folle, mais elle était simplement plus sensible qu'eux. Dans un autre cas, j'ai rencontré un individu qui vivait à un kilomètre et demi d'une grande station d'émission radio qui répandait sur la région entière une forte dose d'électromagnétisme à des fréquences radio et micro-ondes. Quand il eut compris le danger de sa situation, ses enfants avaient contracté une leucémie et il dut quitter la région. Les praticiens qui sont confrontés à de tels symptômes n'émettent habituellement pas un diagnostic se fondant sur l'écologie énergétique de l'environnement résidentiel ou professionnel du patient. Dans un chapitre à venir, je donne une liste des moyens pratiques à utiliser pour se protéger et protéger son accumulateur de ces risques environnementaux.

Les observations de Reich sur les aspects négatifs pour les êtres vivants de ces équipements et installations ne peuvent pas s'expliquer à l'aide les théories conventionnelles de la physique et de la biologie, mais elles ont été confirmées dans une mesure plus grande ou moins grande. Les divers dispositifs et appareils électromagnétiques et nucléaires de la liste ci-dessus sont connus pour irriter l'énergie orgonale, et la mettre dans un état de violence sauvage, frénétique que Reich appela l'effet oranur. L'oranur fut découvert par inadvertance après qu'une petite quantité d'une matière nucléaire eut été introduite dans un puissant accumulateur d'orgone. Reich entreposait plusieurs grands accumulateurs à 20 couches à l'intérieur un accumulateur encore plus grand, de la taille d'une pièce, dans son laboratoire de la zone rurale du Maine. Lorsqu'il introduisit la matière radioactive dans cet environnement fortement chargé, le champ d'énergie orgonale de l'ensemble de la région montagneuse où se situait son laboratoire fut plongé dans un état d'agitation violente, immédiatement sensible et visible. Les laborantins tombèrent assez gravement malades et les souris de laboratoire élevées dans un autre bâtiment moururent en grand nombre.

Reich observa que l'effet oranur persistait longtemps après que la matière nucléaire eut été ôtée des accumulateurs du laboratoire, rendant les installations inutilisables pendant plusieurs années. Soumise à cette agitation oranurique persistante l'énergie orgonale finissait par être immobilisée et par " mourir ". Reich donna à cet état de mort énergétique le nom de dor, qui est l'abréviation de deadly orgone [orgone mortel]. Une pièce chargée de dor semble insupportablement étouffante, et on a du mal à y respirer. On s'y sent aussi constamment déshydraté, du fait de la nature hygroscopique du dor. Quelques personnes réagissent au dor par des Ïdèmes, et Reich et ses collaborateurs identifièrent une forme particulièrement grave de mal-de-dor : l'organisme réagit par la léthargie, l'immobilité et l'absence de contact émotionnel. Ces effets sont tout à fait tangibles, sensibles et mesurables.

Cet accident expérimental fut riche d'enseignements sur l'énergie vitale de l'atmosphère, et une publication de Reich de 1951, intitulée L'expérience oranur, décrit cet événement crucial. Plus tard, Reich identifia un certain nombre d'autres sources d'oranur plus ou moins intense qui peuvent troubler l'énergie orgonale dans une maison, un bureau, un bâtiment, un quartier ou une région.

Dans la plupart des logements, les sources les plus courantes d'irritation de l'orgone sont le poste de télévision, le four micro-onde et les lampes fluorescentes de tous types (les lampes dites " à spectre solaire " sont moins nocives mais n'éliminent pas ce problème). Les lampes fluorescentes produisent souvent des plantes hyper-actives avec des feuilles très larges, surdimentionnées et incitent faussement à penser que ces lampes sont " bénéfiques ". Quelques études ont montré que les êtres déprimés voient activité ou leur métabolisme stimulé lorsqu'ils sont exposés à des lampes fluorescentes. Nous en voyons des exemples lorsque les victimes de dépression hivernale, de dépression post-partum ainsi que la " dépression " des employés de bureaux, constatent que leur degré d'activité augmente temporairement lorsqu'ils sont soumis à l'oranur des tubes fluorescents. Dans de nombreux cas, l'accroissement de l'activité est liée à la fréquence ou à la couleur de la lumière, qui exercent aussi une influence. Mais les études de ces problèmes ne considèrent généralement pas que l'excitation par l'oranur des tubes fluorescents soit un facteur à prendre en compte. Or l'oranur est produit par tous les types de lampes fluorescentes, de postes de télévision et de fours à micro-ondes. On peut le mesurer objectivement par la perturbation du potentiel électrique d'une plante d'appartement exposée à ces appareils, par l'utilisation d'un compteur Geiger chargé à l'orgone, ou en procédant à des mesures nombreuses des fonctions de l'accumulateur et en observant des perturbations qui apparaissent dans les conditions d'oranur ou de dor.

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Dans n'importe quel quartier d'une grande ville, les émetteurs et réémetteurs radio, les radars d'aéroport et les relais de communication téléphoniques constituent aussi des dangers, étant producteurs d'oranur. Comme les fours à micro-ondes et les postes de télévision, ils laissent échapper des quantités relativement élevées de rayonnement dans leur environnement immédiat. Les détecteurs à infrarouges des portes à ouverture automatique, ou les interrupteurs automatiques, fonctionnent aussi dans la plage des micro-ondes du spectre infrarouge, tout comme les lecteurs de code-barre des bibliothèques ou des magasins installés pour révéler les petits larcins. Ces petits détecteurs sont suffisamment puissants pour déclencher le détecteur de radar policier de votre voiture à plusieurs centaines de mètres, et constituent un danger pour les travailleurs obligés de rester à côté jour après jour ; dans ce cas, le risque réel est tout simplement inconnu. Comme les fours à micro-onde et les postes de télévision, ils sont susceptibles d'exposer la personne " moyenne " à une dose " moyenne " qui est irrationnellement jugée inoffensive. Jusqu'à ce qu'on en sache plus, autant opter pour la prudence. N'installez pas votre accumulateur à proximité d'un de ces appareils.

De même, les centrales nucléaires sont autorisées à ventiler (ou plutôt, à décharger) des quantités significatives d'une radiation mesurable dans l'eau de refroidissement et l'air de ventilation qui traversent ces installations. À part le fait que la population locale respire, et souvent boit, ces rejets, qui s'accumulent dans la chaîne alimentaire, il y a le problème de l'oranur et du dor. L'un et l'autre sont créés par les centrales nucléaires, et l'énergie atmosphérique de ces zones s'en trouvera affectée, un état qualitatif l'emportant sur un autre. Les gens sensibles peuvent littéralement sentir la différence quand un réacteur nucléaire a fonctionné dans une région pendant un certain temps, et des observations minutieuses révèlent parfois des modifications du climat.

Les essais nucléaires souterrains causent peut-être le plus de ravages, parce qu'il frappent et agitent le champ de l'énergie orgonale de toute la planète. Certains éléments donnent à penser que les accès climatiques, tels que la sécheresse ou les fortes tempêtes, auxquelles s'ajoutent les épidémies de " grippe ", pourraient être déclenchés par les essais nucléaires souterrains, du fait de la perturbation générale du champ énergétique terrestre. Quelques éléments de preuve, actuellement à l'étude, inclinent à penser que la Terre entière est perturbée dans sa dynamique de rotation et que la haute atmosphère est surchauffée et troublée par les essais nucléaires. Ces effets n'ont pas de sens du point de vue de la biologie ou de la physique classiques, qui nient l'existence d'un quelconque principe énergétique vital et partent de l'hypothèse que l'espace est " vide ". Du point de vue la biophysique de l'orgone, ces effets ont en revanche un sens.

Sur le plan biophysique, l'effet d'oranur est perçu par les personnes sensibles comme une sensation d'énervement, de surexcitation, voire de chaleur ou de légère fièvre. Telle personne ressentira une agitation continue ; telle autre va se contracturer légèrement lorsqu'il se manifeste ; il arrive aussi qu'il provoque des explosions de colères. Un oranur accentué affecte chaque personne à son point faible et tend à amener des symptômes médicaux latents à la surface. Il arrive aussi que la paume des mains présente une moiteur caractéristique ou qu'il soit presque impossible de trouver le sommeil. On observe aussi une tendance à ne pas pouvoir se concentrer de manière cohérente sur un travail ou sur une autre activité. La manifestation atmosphérique de l'oranur est également celle d'une surcharge. Le ciel garde une couleur bleue intense, mais une vapeur caractéristique finit par apparaître à l'horizon. En cas d'oranur, les nuages ne s'agrègent ni ne grossissent , en partie à cause de la forte charge et de la grande agitation de l'atmosphère qui ne peut pas se contracter, et parce que la charge à l'intérieur des nuages les empêche de croître au delà d'un certain point. Les vents peuvent devenir chaotiques comme s'ils étaient inquiets. Les orages commencent ordinairement à se fragmenter ou se disperser lorsqu'ils approchent une région touchée par l'oranur. L'atmosphère paraît " anxieuse " ou " tendue ", comme si elle reflétait les conditions générales de surcharge. Les pluies diminuent, particulièrement lorsque l'oranur finit par céder la place à un état de dor, immobile, mortel.

Le dor se manifeste aussi dans l'atmosphère, et lorsqu'il est suffisamment étendu, il s'accompagne de phénomènes de sécheresse ou de désertification. Il apparaît dans le paysage sous la forme d'une vapeur gris-métallique qui réduit la visibilité, rend la lumière solaire brûlante, rend les pluies acides ou empêche totalement la pluie de tomber. Il réduit les nuages à l'état de lambeaux, pareils à de la charpie de coton légèrement salie et les empêche de grossir au-delà d'une certaine taille, assez faible. De petits nuages inhabituels de couleur noire ou gris foncé apparaissent parfois ; contrairement aux autres petits nuages de la zone frappée, ces nuages grisâtres conservent leur couleur terne même lorsqu'ils sont directement éclairés par le soleil. Il s'agit de ce que Reich a appelé des nuages de dor. Souvent ils se forment et se reforment continuellement au-dessus de certaines régions comme s'ils étaient liés énergétiquement à cet endroit.

Si l'oranur et le dor coexistent souvent dans une région donnée, l'une de ces formes prédominera généralement sur l'autre. Comme il s'agit de phénomènes énergétiques, l'oranur et le dor ne peuvent pas être " balayés " par le vent, quoique un bon orage réussisse parfois à les capter et les chasser. Dans les cas d'oranur ou de dor exceptionnellement intenses, les orages sont bloqués et déviés, causant une sécheresse prolongée. Les régions désertiques sont généralement chargées de grandes quantités de dor, particulièrement dans les zones déprimées de la topographie. Les régions comportant plusieurs installations de production d'énergie, de retraitement et de stockage de déchets nucléaires auront tendance à être fortement chargées à la fois en dor et en oranur. Ces régions connaissent souvent des périodes de sécheresse répétées, étant donné que l'énergie vitale y est rarement dans son état naturel et est régulièrement surexcitée ou anéantie.

Comparons les descriptions ci-dessus des états d'oranur et de dor avec l'énergie orgonale dans son état scintillant et palpitant normal. Lorsque le continuum orgonal conserve un état de pulsation atmosphérique sain et vigoureux, on observe des cycles réguliers d'alternance entre la pluie et le beau temps. L'atmosphère est propre et transparent, lumineux et croquant, sans brume notable dans l'atmosphère. Il existe un bon contraste entre les nuages et le ciel bleu jusqu'à l'horizon. Le ciel dégagé est d'un bleu profond et la limite des nuages est nette et précise. Les nuages conservent une forme arrondie comme des pousses de choux-fleurs, et se maintiennent verticalement sans pencher sur les côtés ni s'effondrer. Les montagnes lointaines présentent une coloration bleutée ou violette. La végétation est également luxuriante et craquante, pleine de vie. Les oiseaux sont actifs, ainsi que les autres espèces animales. Le soleil chauffe mais ne brûle pas immédiatement. La sensation subjective globale par beau temps est celle d'une grande expansion, d'une abondance d'énergie, d'un contact direct avec la nature et d'une vitalité débordante. Respirer est si facile que l'air semble littéralement envahir les poumons. La plupart des gens se sentent exceptionnellement vivants et alertes, et plus détendus que d'habitude. Tout ce qui vit pousse vers le haut, contre la pesanteur, comme pour exprimer le surgissement et la nature doucement expansive de l'énergie vitale. Par temps de pluie, on se sent peut-être moins rempli d'énergie ou somnolent, mais cela reste agréable. La pluie tombe avec une régularité cyclique.

La plupart des gens âgés se rendent compte que cette qualité de l'atmosphère devient de plus en plus rare. On l'observait plus communément dans le passé qu'à présent. Les états brumeux, stagnants de dor deviennent de plus en plus la " norme ", à tel point que beaucoup de jeunes gens, surtout dans les grandes villes polluées, ne savent pas ce que peut être une véritable journée de grand beau temps. Par exemple, les vieux pilotes de ligne se souviennent de l'époque où la brume de dor n'était présente que sur quelques zones industrielles de nord-est des États-Unis. Aujourd'hui, en revanche, on peut observer la brume de dor sans solution de continuité, de la côte est à la côte ouest, ainsi que très loin au large ! De même, avec la déforestation et la désertification rampantes en cours sur toute la surface du globe, les déserts liés au dor s'étendent à des régions qui étaient autrefois luxuriantes et humides. Dans les régions humides, à mesure que l'atmosphère se dorise, les orages réguliers sont remplacés par un crachin brumeux acide. Des naturalistes ont observé que l'éclat bleu de l'orgone qui surplombait les montagnes disparaissait environ deux ans avant la mort massive de la forêt, phénomène qui est lié lui aussi à la pollution brumeuse et stagnante de l'air. En effet, l'éclat orgonal bleu des océans, des rivières, des forêts et l'atmosphère disparaît à une vitesse inquiétante, annonçant l'effondrement d'écosystèmes entiers. Juste à ce moment où l'on identifie l'énergie vitale, elle est en train de disparaître sous l'effet de la pollution.

Pour décrire les états énergétiques de l'oranur et du dor, Reich utilisa l'exemple d'un animal sauvage placé dans une cage. Au début, l'animal réagit avec fureur pour essayer d'échapper à l'enfermement. Ensuite, il s'épuise et devient inerte et léthargique. Cette réaction, observée par les gardiens de zoo du monde entier, a été également confirmée par John Ott dans son ouvrage Health and Light (Santé et lumière). Ott a démontré que les souris de laboratoire exposée aux radiations perturbantes d'un poste de télévision commençaient par être surexcitées ; ensuite les même souris devenaient inertes et léthargiques, et finissaient par être frappées de maladies dégénératives. Ott donna de nombreux exemples où les conduites agressives des animaux d'élevage, tels que les visons et les poissons d'aquarium, cessaient dès qu'on ôtaient les lampes fluorescentes génératrices d'oranur. Les lampes fluorescentes installées dans les salles de classe produisent des effets similaires sur les écoliers. Certains maîtres d'école ont observé qu'il était souvent facile d'interrompre le chahut dans une salle de classe en éteignant les lampes fluorescentes.

J'ai observé une réaction identique chez des enfants qu'on laissait passer d'énormes quantités de temps à " regarder " la télévision. Dans les premières phases de l'exposition à la télévision, souvent l'enfant ne se concentre guère sur l'émission. Il veut simplement que la télé soit allumée, et il s'occupe souvent à autre chose tout en étant installé devant. On observe souvent cette conduite étrange dans des familles entières où, le soir, ou le week-end, l'activité familiale tourne autour de la grosse télé couleur. Personne ne semble prêter attention à l'émission en cours, du moment que la télévision est allumée. Comme les souris de laboratoire cocaïnomanes, les enfants et les adultes peuvent souffrir d'accoutumance par l'effet d'oranur du poste de télévision. Par la suite, comme les souris d'Ott, ils plongent dans un état d'inertie, de léthargie ou d'immobilité &emdash; ce qu'on appelle familièrement le couch-potato syndrome (syndrome du télé-scotché) qui est parfois annonciateur d'une maladie dégénérative. Certes, il y a là un élément émotionnel à l'Ïuvre, les adultes et les enfants tendus utilisant la télévision pour échapper à une situation sociale ou familiale malheureuse. Mais rappelons-nous la découverte de Reich selon laquelle l'orgone est l'énergie des émotions. L'effet de la télévision n'est pas une simple fuite " cognitive " ; il est aussi bioénergétique.

On observe très nettement cette forme bioénergétique d'accoutumance électromagnétique/oranurique quand quelqu'un essaye d'éteindre le poste de télévision. Les enfants agités ou léthargiques qui baignaient dans le rayonnement de la télévision, mais ne prêtait qu'une attention distraite à l'émission, se mettent soudain à protester vivement parce qu'on essaie de l'éteindre. Même les adultes souffrant de ce syndrome sont troublés à l'idée d'éteindre la télévision, qui les obligerait à sortir de cet état de légère catatonie pour établir un contact émotionnel (bioénergétique) avec d'autres êtres humains. Certes, le contenu de l'émission joue aussi un rôle : plus les sollicitations sont violentes, cruelles et sexuellement excitantes, plus elles touchent les attentes sexuelles refoulées et la colère rentrée qui affectent les gens dans notre société pour nourrir davantage encore leur syndrome. Les télé-scotchés, adultes comme enfants, ne regardent que rarement, voire jamais, les chaînes éducatives.

Autre réaction du même type, celle de l'enfant qui n'a plus de pièces de monnaie ou à qui l'on ordonne de quitter une salle de jeux vidéo. Ce sevrage provoque l'angoisse et même de violents éclats chez l'enfant comme chez l'adulte. Ott a montré que ces appareils, en particulier les postes de télévision et les tubes fluorescents, provoquent souvent l'hyperactivité chez les enfants. D'autres chercheurs actuels ont observé des troubles du comportement similaires, qui renforcent l'isolement social et la rigidité affective chez les jeunes enfants qui sont intoxiqués par leur ordinateur. Certains enfants drogués d'ordinateur souffrent désormais de cataracte du fait de l'exposition constante au CTR (tube à rayon cathodique) des ordinateurs, et la leucémie pourrait aussi être une maladie liée à la technologie. L'oranur dans les salles d'ordinateurs scolaires et dans les salles de jeux vidéo est si intense qu'il en devient immédiatement sensible. Les rayons télévision des grands magasins, qui comptent aussi beaucoup de tubes fluorescentes, frappent également le passant occasionnel d'une grande quantité d'oranur.

J'ai observé personnellement un cas évident d'intoxication au rayonnement de la télévision chez trois enfants hyperactifs qui passaient des heures chaque jour devant le poste mais n'accordaient qu'une légère attention au contenu des émissions. Dès l'instant où ils rentraient de l'école, le poste devait être allumé. Lorsque la télévision fut finalement éteinte (la mère exaspérée dut couper le fil électrique pour venir à bout de ses gosses ingénieux), on entendit une plainte de protestation douloureuse et une période d'agitation pire encore s'ensuivit. Cependant, au bout d'une semaine environ, les enfants finirent par se calmer et commencèrent à se trouver de nouveaux amis et de nouvelles activités, et leur hyperactivité disparut complètement. La mère se débarrassa du gros téléviseur couleur et se procura un petit poste noir et blanc. Même si les enfants eurent par la suite la permission de regarder le poste noir et blanc autant qu'ils le désiraient, ils ne retombèrent jamais dans le même piège et le syndrome d'hyperactivité ne réapparut pas. Dans tous ces exemples, le système énergétique de l'être humain était devenu intoxiqué à l'agitation électromagnétique/oranurique, qui exigea un effort conscient et déterminé pour la surmonter.

Quand on utilise un accumulateur d'orgone dans un environnement oranurique ou dorique, toutes les considérations ci-dessus sont de la plus haute importance, étant donné que l'accumulateur amplifie les conditions énergétiques présentes dans l'environnement local, quelles qu'elles soient. Si de l'oranur ou du dor est présent, l'accumulateur amplifiera ces tendances et conférera un caractère toxique, nocif à sa charge. Dans certains cas, les effets de l'oranur et du dor sont à la fois persistants et répandus et ne peuvent pas être modifiés par une simple modification de objets dans votre maison. C'est souvent le cas dans les grandes villes polluées et toujours le cas dans les régions proches de centrales nucléaires. En ce qui concerne les centrales nucléaires, une distance d'environ 50 à 80 kilomètres est un minimum pour se protéger des effets biologiques des émissions de radiations faibles ainsi que pour utiliser un accumulateur. De même, si vous vous trouvez à quelques kilomètres de lignes à très haute tension, ou d'un grand émetteur de radio, l'utilisation d'un accumulateur est déconseillée. Pareillement, n'utilisez pas un accumulateur si votre zone a été récemment victime d'un accident nucléaire ou de retombées radioactives.

Dernière série de recommandations. On ne devra jamais utiliser un accumulateur dans un mobile-home ou une maison couverte d'une enveloppe ou de panneaux d'aluminium. L'aluminium donne un caractère nocif à l'énergie orgonale, et il est conseillé de ne pas vivre à l'intérieur de telles structures, même si un accumulateur n'y est pas construit ou entreposé. Les mobile-homes avec des parois de bois sont sans danger. Cependant, on notera que certains mobile-homes et bâtiments sont isolés avec de la fibre de verre qui comporte un renfort en aluminium. Si cette sorte d'isolation est utilisée en grande quantité, elle aura quasiment le même effet que des parois en aluminium et fera de la maison un grand accumulateur en aluminium. De même, les maisons à toiture métallique ou les nouvelles constructions à armature en acier et non en bois agirons un peu à la manière d'un grand accumulateur. J'ai vécu dans de telles structures durant de courtes périodes et, même sans accumulateur, elles ont tendance à accumuler de fortes charges. Elle peuvent troubler le cycle du sommeil et entraîner une amplification de l'effet d'oranur en cas d'utilisation de tubes fluorescents, de fours à micro-ondes ou de postes de télévision. Les maisons modernes conçues pour réaliser des économies d'énergie ont souvent une ventilation insuffisante, ce qui aggrave encore la situation énergétique. Personne n'aurait envie de vivre à l'intérieur d'un accumulateur, et la surcharge qui apparaît spontanément à l'intérieur de telles structures aura tendance à rendre à moitié fou la plupart des gens sensibles.

Apprenez à reconnaître le dor et l'oranur, de sorte que si jamais vous vous sentiez mal à l'intérieur d'un bâtiment ou d'un accumulateur, vous puissiez prendre les dispositions adéquates pour en éliminer les effets. Aérez la pièce et vérifiez qu'il n'y a aucun poste de télévision, tube fluorescent et autre appareil en fonctionnement dans les pièces voisines ou aux étages supérieur ou inférieur. S'il y a déjà un accumulateur dans les lieux, aérez-le aussi et apprenez à le laver à l'eau. Suivez les indications fournies au chapitre suivant pour " Nettoyer votre environnement énergétique ". La sensation subjective éprouvée dans un accumulateur devrait être une sensation de chaleur, de bien-être et de détente. D'où l'extrême importance d'apprendre à connaître son environnement énergétique ainsi que la sensation de son propre corps et de ses organes. Il est clair que les facteurs liés à la vie " civilisée " ont souvent des effets nettement négatifs sur le champ énergétique orgonal de la terre, comme sur votre maison et sur vous-même. Tout ce qui peut troubler ou agiter le champ énergétique orgonal de l'atmosphère terrestre, ou de votre maison affectera gravement aussi votre propre énergie vitale. Le prochain chapitre est centré sur ce qui peut être fait pour diminuer ou éliminer ces effets toxiques.

 

*le DOR (dead orgone) est l'orgone totalement épuisé, mort, et l'ORANUR (orgone/uranium) est l'orgone surexité, frébrile, "énervé".

http://acorgone.chez.com/mise-et.htm

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22 septembre 2014

Orgone positive, bénéfique, cette énergie est vivante et dissippe les chemtrails

 

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Orgone est le nom donné par Wilhelm Reich à l’énergie vitale omniprésente de par la création. Certains l’ont appelée «Ch’i», «Prana», «Ether», «cinquième élément», etc.
Il fut le premier scientifique sérieux et intègre à se pencher sur l’existence et les propriétés de cette énergie, pourtant ses travaux furent dénigrés et calomniés, et il mourut en 1957 dans une prison américaine.

Cette énergie vitale, dans laquelle baigne l’ensemble de la réalité dans laquelle nous évoluons, se rencontre sous diverses formes.

Deux d’entre elles nous affectent directement :

  • Orgone positive, Orgone positive, bénéfique, cette énergie est vivante et donne la vie. En anglais, elle est nommée Positive Orgone ou POR.
  • Orgone négative, ou plus précisément morte et stagnante. En anglais, elle est nommée Dead Orgone ou DOR.

La DOR est créée surtout par les pensées et les émotions négatives, le mensonge, la violence, ou l’utilisation de technologies électromagnétiques ou radioactives diverses tels télévision, radio, micro-onde, nucléaire, lignes haute-tension, antennes à téléphonie mobile, etc.

Orgonite ?

L’orgonite est une technologie toute simple, inspirée et dérivée des travaux de M. Reich et améliorée par M. Don Croft, qui permet de transmuter (purifier) la DOR en POR.

Cette technologie est éprouvée, des milliers d’individus ont observé ses effets sur toute la planète.

Certains ont réussi à accomplir ce qu’on aurait pu autrefois qualifier de miracles :

  1. Dépolluer les eaux du lac Ontario
  2. Briser la sécheresse en Afrique du sud
  3. Éliminer les chemtrails de régions entières
  4. Soulager des malades atteints d’affections dégénératives

Et bien d’autres surprenants résultats !

L’orgonite est obtenue en mélangeant trois ingrédients essentiels :

  • des particules de métal
  • de la résine polyester ou époxy (ou encore du sucre)
  • un ou des cristaux de quartz et des minéraux (pierres précieuses ou semi-précieuses)

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Comment cela fonctionne-t-il ?

Disons rapidement que le métal attire et repousse à la fois le DOR, et que cette énergie traverse alors des couches successives de métal et de longues chaînes moléculaires de polymères à base de carbone (la résine). Ce faisant, l’énergie est excitée et son taux vibratoire augmente, la purifiant ainsi en quelque sorte. Les cristaux et les pierres servent ensuite à «colorer» et diriger l’énergie purifiée dans l’environnement.

le "chembuster" élimine les chemtrails comme montré si bas.

 

2 photos prisent à une heure d'intervalle après une journée intensive d'épandage

 

Ont peux observer 2 type d'effet que le Chembuster a sur les épandage en aréosol soit

  • Une élimination quasi instantané ( 0.30 à 2.00 minute) d'un tracé chimique directement au-dessus du chembuster

 

  • Et une dissipation graduelle des nuages chimiquement créés par les avions d'épandage et les tours cellulaires dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres autour d'un chembuster. C'est le phénomène qui arrive le plus souvent et qui est le plus facile à observer.


  • femme-medecine.ch
    une excellente brochure est disponible gratuitement sur le site de MaRa, orgonaute


l'orgonite , cloudbuster et chembuster ... par franco17320


Chembuster vs Chemtrails par keke_boys

Cloudbusteredit400w

L’orgone : énergie de la Vie

De 1935 à sa mort en 1957, d’abord en Europe puis aux États-Unis, Wilhelm Reich s’intéresse de plus en plus à l’énergie de la vie, à la forme énergétique de la vie, sous toutes ses manifestations. Il crée une méthode thérapeutique originale, la “végétothérapie” et, lorsqu’il considère avoir mis expérimentalement en évidence l’existence d’une énergie de vie, qu’il baptise orgone (organe-orgasme), il regroupe tous ses travaux sous le nom d’orgonomy (orgonologie en français).

Installé à Oslo, Wilhelm Reich entame des recherches sur la charge bioélectrique de la peau et des muqueuses. Ces recherches, très en avance sur son temps et jugées par certains scandaleuses, sont centrées sur La fonction électrique de la sexualité et de l’angoisse. Elles démontrent par des mesures faites à l’aide d’un oscilloscope enregistrable, que le potentiel électrique des zones érogènes varie notablement en fonction directe d’une sensation, agréable ou désagréable. Wilhelm Reich les poursuivra jusqu’en 1938. Elles le conduiront à présenter le plaisir et l’angoisse comme les deux pôles de la vie végétative, le premier comme l’expression vive de l’énergie vitale allant du centre du corps vers sa périphérie, se tournant vers le monde, la seconde comme étant le vif mouvement centripète de cette énergie allant de la périphérie du corps vers son centre, se protégeant du monde. Elles l’amèneront ainsi à passer de l’analyse du caractère à une méthode agissant directement sur le corps et l’équilibre neurovégétatif de la personne, qu’il nomme végétothérapie.

En Allemagne, les Nazis ferment les Centres de consultation d’hygiène mentale et sexuelle. Un mandat d’arrêt est lancé contre Wilhelm Reich. À Berlin on brûle ses livres et toutes les publications de la Sexpol.

Il publie ensuite une étude sur le Réflexe orgasmique, Attitude musculaire et Expression corporelle, publiée en 1937. Ce réflexe est de l’ordre de l’orgasme car il est une participation globale du corps à la fonction vitale de la respiration, qui est accompagnée de libres mouvements ondulatoires, parfois convulsifs lorsqu’elle est profonde. Avant la décharge orgasmique lors de l’étreinte sexuelle, ce mouvement ondulatoire est amplifié par sa résonance couplée à celui du compagnon ou de la compagne, pour s’étendre à l’ensemble de l’organisme, psyché comprise. La décharge énergétique amoureuse (vitale) commune est complète et englobante lors de l’acmé sous forme de convultions involontaires : c’est ce qu’on nomme orgasme. Suit ensuite une période de détente et de gratification envers la/le partenaire et la vie en générale. Cette période de relachement fait aussi partie de l’orgasme, comme conséquence, bien évidemment.


Bions

La question suivante est : “Ce réflexe de plaisir et d’angoisse, de tension et de détente, d’alternance entre la charge et la décharge relève-t-elle aussi du monde microscopique ?”. Wilhelm Reich se rend à l’Institut de Biologie d’Oslo pour y requérir des culture de protozoaires et d’amibes. On lui répond qu’il lui suffit seulement de faire tremper pendant quelques jours de l’herbe ou de la salade dans de l’eau pour en obtenir une : ces substances retiennent sur leur surface tous les “germes aériens” qui donnent naissance à ces macrophages ! En respectant ce protocole, il poursuit sur l’amibe le phénomène de contraction et de détente (acide/sucré) et leur relation bioélectrique.

Mais parallèlement il observe aussi le processus même de la transformation de l’herbe en protozoaires et en amibes. Ce qu’il remarque est différent de ce qu’on lui a dit : il semblerait que les protozoaires et les amibes proviennent, au travers d’un processus toujours identique, de l’herbe ou de la salade en décomposition même. Le végétal semble se déliter en vésicules (auxquelles il donne le nom de bions) qui ensuite s’amassent les unes aux autres pour s’entourer d’une pellicule, d’une peau dans laquelle elles s’organisent en mouvements pulsatoires. Elles se transforment alors en “proto-protozoaires” qui donneront ensuite soit des protozoaires soit des amibes. Face à ces découvertes auxquelles on oppose le sempiternel “cela provient des germes aériens”, Wilhelm Reich lessive, ébouillante, cuit à l’autoclave ses préparations et, chose étrange, le phénomène de décomposition bioneuse est amplifié. Il pousse ses recherches sur les matières minérales et voit le fer, lui aussi, se décomposer lentement en bions, vésicules visibles à grossissement microscopique faible à moyen, présentant grossièrement la forme d’un hématite gonflée, de couleur jaunâtre, réfractant le bleu et dotée, en lumières indirecte, d’un champ coloré bleu. Qu’en est-il des “germes aériens” ?

Il est un fait que le processus adopté pour la stérilisation des substances soumises à l’observation, ne concoure pas à proprement parlé à l’élimination de la vie, mais, au contraire, au développement de la vie sous une forme précise ; c’est l’exact procédé inverse utilisé pour la stérilisation des confitures : les mélanges (à base de blanc d’eau, de lécithine, de bouillon de soupe) sont des éléments nutritifs, favorable au développement de la vie, même soumise à des contrainte extrêmes telles que la cuisson à l’autoclave (120°) durant vingt minutes.

Après trois ans de recherches, parution en 1938 à Oslo, de Die bione, zur Entstehung des vegetativen Lebens (Les bions), étude sur ce qu’il considère être des vésicules d’énergie vivante, visibles au microscope à fort grossissement (entre 20 et 4000 fois), présentant aussi des stades de transition entre la matière non-vivante (purement minérale) et la matière vivante (déjà animale). Étude qui intéresse quelques scientifiques, mais qui lui vaut d’être traité par beaucoup de “charlatan, fou, psychopathe, délirant…”. Une campagne de presse pour grande part organisée des psychiatres norvégiens fait de lui un “paranoïaque” ayant séjourné en asile psychiatrique ; il s’avera plus tard que le colporteur de cette faramineuse nouvelle avait lui-même dû séjourner en hôpital psychiatrique et avait été un ancien collaborateur de Wilhelm Reich à Berlin.

Il fit une communication de ces découvertes à l’Institut des Sciences de Paris, qui en donna la vérification au français Roger Du Theil. Celui-ci confirma les faits. Mais l’Institut, au moment de sa publication, voulu adjoindre une “introduction” au texte de Wilhelm Reich, qui dénigrait toute découverte originale faite par lui ; il refusa alors la publication de sa communication.

Un laborantin, lors d’une démonstration, se trompa un jour, et porta à incandescence du sable de plage (au lieu de limaille de fer) pour le plonger dans le bouillon de culture à stériliser. À l’observation au microscope, la décomposition a offert à la vue de gros paquets de vésicules, qui reçurent le nom de “bions SAPA”.

Les bions SAPA étaient remarquable en ceci que toutes les personnes qui les ont observés pendant suffisamment longtemps au microscope contractent une conjonctivite. Diminuant la fréquence de ses observations sur les conseils de son médecin, et cependant sans vouloir en cesser l’observation, Wilhelm Reich fabriqua une petite boite en fer dotée d’une ouverture à laquelle on pouvait adapter un petit système de grossissement optique : il s’agissait de savoir si la conjonctivite était provoquée par une “sorte” de rayonnement, et dans ce cas, de pouvoir observer ce rayonnement dans le noir le plus complet. Il y avait, effectivement, dans la boîte contenant une culture de bions SAPA, un rayonnement de particules bleutées de la taille d’une très petite tête d’épingle s’y déplaçant comme aléatoirement de part en part en zigzaguant. Intrigué, il sortit quand même la culture de bions de l’enceinte métallique, la recouvrit d’une tissu de laine pour l’isoler thermiquement et constata que, même sans la culture de bions, le rayonnement y était encore présent.

C’est pour mieux observer ce rayonnement, qu’il se fit construire une boîte de structure semblable (alternance de métal et de laine) de la taille suffisante pour pouvoir y tenir assis. Il donna plus tard, après de nombreuses observations autour de ce qu’il avait nommé orgone, dans un livre “La fonction de l’orgasme : La biopathie du cancer” un résumé de son travail. Et l’enceinte métallique était le prototype de l’accumulateur d’orgone.

Son intérêt pour le cancer se précisa dans l’observation de la décomposition bioneuse : une cellule vivante, lorsqu’elle meurt, se décompose et libère sa charge orgonale sous la forme de bions. Suivant sa vitalité initiale, se libèrent aussi des “bacilles T” (todt) “visibles” à un grossissement de 3000 à 4000 fois. “Visibles” car on sait bien qu’un tel grossissement ne donne à voir que du trouble, le grossissement optique atteignant ses limites vers 2500 fois environ. Mais l’avantage essentiel de l’observation optique est que la matière observée peut l’être encore vivante, tandis qu’une observation électronique met dans l’obligation d’utiliser une matière précédemment tuée.

Le cancer est mit en relation avec une insuffisance d’oxygénation des tissus, un blocage émotionnel, une stase énergétique et une désintégration excessivement rapide des cellules. Et sa guérison, ou le ralentissement de la décomposition bioneuse présentant un excès de bacilles T, est soumise à une régénération des tissus de l’organisme par une recharge en énergie orgonale, et l’élimination conséquentielle de ces bacilles T. L’élimination de ces derniers est essentielle, car en s’agglutinant autour des charges orgonales que sont les bions, ils s’en accaparent l’énergie, d’une part, et d’autre part, leur nombre excédentaire les rend difficiles d’élimination par les voies naturelles. Rétablir la santé, c’est rendre à l’organisme vivant l’amplitude suffisante de sa pulsatilité : un organisme à l’amplitude pulsatile restreinte se voit dans l’impossibilité de retirer de son environnement – par une ample respiration, une nourriture attrayante et saine, la satisfaction que l’on requiert du contentement de vivre et de créer sa vie – l’énergie nécessaire à son entretient et sa régénération.

En 1939, quelques jours avant que la guerre n’éclate, Wilhelm Reich pose le pied sur un embarcadère de New York, aux États-Unis, sur l’invitation officielle de Bronislav Malinovski avec lequel il s’était lié d’amitié. Là, de cette date à 1941, il donnera un cours sur “Les aspects biologiques de la formation du caractère” à la New School for Social Research. Quoi dire encore, sinon que le FBI s’intéresssa à son cas, peu après son arrivée, en le maintenant quelques jours en prison, car il avait été un jour adhérent au Parti communiste ?

Il poursuivra ses recherches dans son laboratoire privé. Il en vient à considérer que ce qu’il nommait “bioénergie” est en fait une énergie-vie qui anime le cosmos dans son ensemble et que, présente dans l’atmosphère (qui fait partie du cosmos !), elle agit sur le vivant comme une énergie biologique spécifique pour des éléments de la vie spécifiques. Il la nomme alors orgone (1940), mot construit sur la racine grecque organ, “bouillonner d’ardeur”, d’où dérivent les mots orgasme, organisme et organe. Pour la densifier, à des fins expérimentales, il fit tapisser une chambre entière de feuilles de métal, obscure à la lumière, afin d’y installer d’autres accumulateurs pour voir la tension de charge orgonale en ce lieu bien supérieure à l’environnement dans le but d’en mieux observer, à l’aide d’instruments de mesure (thermomètre, électroscope, appareils par lui inventés), les modalités de fonctions. Wilhelm Reich expérimente sur des souris saines des injections de bacilles T, qui induisent des cancers à l’endroit précis de l’injection, et sur des souris cancéreuses des injections de bions, ce qui retarde la mort de l’animal. Il entreprend la vingtième expérience (XX experience) : après avoir fait séjourné de l’eau distillée dans un accumulateur d’orgone, il la met à geler à l’air libre, enfouie dans le sol, ou mise dans un accumulateur dehors et constate qu’au coeur de la glace formée s’est agglomérée une substance colloïdale, contenant elle aussi, à l’observation microscopique, des bions libres : la vie est présente partout, s’immisce partout là où la sollicite, il suffit d’ouvrir les yeux pour s’en apercevoir et de cesser de la tuer parce qu’on en craint les manifestations à l’extérieur de soi comme on en craint les manifestations à l’intérieur de soi.

Dans les années 1945, une violente campagne de diffamation se déchaînera contre lui. L’accumulateur d’orgone est devenu, sous la plume d’une journaliste, une boîte à érection et Orgonon (le laboratoire de Wilhelm Reich) un lupanar.

Albert Einstein

Albert Einstein

Le 13 janvier 1941, il se rend à Princeton où il a rendez-vous avec Albert Einstein. L’entretien, très cordial, pendant lequel Wilhelm Reich expose ses expériences sur l’orgone à un scientifique bienveillant et intéressé, dura près de cinq heures. Ils conviennent que Wilhelm Reich lui envoie un petit accumulateur d’orgone pour qu’il puisse vérifier par lui-même certains résultats inexplicables par les lois physiques connues. Car le mouvement orgonal va du potenciel orgonal le plus faible au potenciel orgonal le plus fort (plus il y a de tension d’orgone, plus l’orgone attirera l’orgone, jusqu’à un point maximal où il se déchargera de sa tension excédentaire – nuages, attraction planétaire, mouvements galactiques, la tourmente en général précédant ce point de décharge), on constate que son principe est opposé au principe de Carnot qui dit que le mouvement des forces physiques va du potenciel le plus fort (haut) au potenciel plus faible (bas).Einstein l’assure que “si les observations se confirment, il soutiendra sa découverte”. Wilhelm Reich apporta lui-même ce petit accumulateur les premiers jours de février. Celui-ci fut installé sur une table dans la cave d’Einstein et aussitôt ils firent ensemble quelques observations. Einstein demanda à poursuivre ses observations pendant quelques jours encore et promit à Wilhelm Reich de lui écrire, ce qu’il fit dix jours plus tard. Dans sa lettre il confirmait d’abord ce qu’il avait observé lors de l’installation de l’accumulateur et les jours qui suivirent ; puis il indiquait comment l’un de ses assistants avait alors attiré son attention sur les “phénomènes de convection calorifiques existant dans la cave”. Cette réponse fut pour Wilhelm Reich un coup très dur. Moins d’une semaine plus tard, il envoya à Albert Einstein une longue lettre-mémoire d’observations qui balayait l’interprétation (le manque de perception de ce qui peut se passer dans la base qui soutient le rez-de-chaussée devait y être pour quelque chose) de son assistant. Einstein ne répondit rien.

En 1942, il publie La fonction de l’orgasme (version en langue anglaise, différente de Die Funktion des Orgasmus de 1927), ouvrage en grande partie biographique qui présente une synthèse de ses recherches.

Il trouve à acheter tout au nord des États-Unis, dans l’Etat du Maine, en pleine nature, un grand domaine qu’il baptise Orgonon pour s’y installer à résidence. Il y fait construire un ensemble comprenant sa propre maison, un laboratoire, un observatoire astronomique et une salle de cours pour ses étudiants, des annexes. C’est là qu’il développera la dernière partie de son œuvre, celle qui concerne surtout la biophysique de l’orgone. Plusieurs conférences internationales seront organisées dans ces lieux … souventes fois agrémentées des vicissitudes du FBI lors de l’obtention des visas de frontières.

De son union avec Ilse Ollendorff (dont la biographie sur son mari est très intéressante), naît, en 1944, un fils : Peter. Son intérêt pour l’observation des nouveau-nés s’accroît, comme devant lui croît un petit être plein de vie. Il réaffirme avec vigueur l’importance d’une attitude préventive de la névrose chez l’enfant et l’adolescent.

La dernière décade (1947-1957) sera marquée, toute entière, par ses démêlés avec l’administration et la justice états-uniennes, ce qui ne l’empêchera pas de poursuivre ses recherches sur l’énergie de la vie et de s’intéresser à divers phénomènes atmosphériques.

Suite à un article diffamatoire dans le Harper’s Magazine, en 1947, les difficultés recommencent. C’est l’époque de l’utilisation intensive des accumulateurs d’orgone (Acorg) avec la participation de patients. Ces accumulateurs lui vaudront de graves ennuis avec la pointilleuse Food and Drug Administration qui l’accuse de publicité frauduleuse et de charlatanisme, quand bien même il ne faisait pas commerce de ces accumulateurs, se contentant de les louer en contrepartie d’une participation aux frais et charges inhérents à cette location. Wilhelm Reich dénie à cette administration la moindre compétence pour juger de ses techniques thérapeutiques et encore moins de la plus simple des découvertes scientifiques.

En 1950, il crée, à New York, l’Orgone Energy Clinic, destinée au dépistage des maladies énergétiques (biopathies), et l’Orgonomic Infant Research Center, dédié à l’étude de la sauvegarde de l’enfant depuis le stade prénatal jusqu’à l’adolescence. Il écrit Children of future.

Installation définitive à Orgonon où, le 15 décembre 1950, débute l’expérience Oranur (Orgonotic Anti-Nuclear Radiation). Wilhelm Reich enferme une aiguille de 1 gramme de radium (radio-actif) dans un accumulateur à vingt couches situé dans la chambre des accumulateurs. L’objectif est de vérifier si l’orgone concentrée peut contrer les effets mortifères des radiations atomiques : la désintégration de la matière sera-t-elle contrée par la matière qui construit la vie ? Ce fut une catastrophe. Des souris situées jusqu’à une centaine de mètres de là moururent de cancer ou de déshydratation, l’ensemble des bâtiments était entouré d’une masse d’ambiance sombre, lourde, oppressante, les pierres se dégradèrent à vue d’oeil. Les oiseaux se turent. Tous les participants tombèrent gravement malades, le laboratoire était rendu inutilisable durant de mois. L’énergie de vie avait été excitée au plus haut point, comme rendue folle, ce qui l’avait vite épuisée et elle cherchait à retirer de la vie de tout ce qui l’entourait. Wilhelm Reich avait déjà remarqué qu’un tube pointé vers le ciel au dessus de l’eau provoquait un léger souffle d’air visible par des rides sur la surface de l’eau. Il eut l’idée d’enterrer le “DOR” (Deadly Orgone Radiations) en l’obligeant à retourner à la terre en pointant une série de tubes, reliés à un puits, sur le nuage de dor qui chapeautait les environs : le premier cloudbuster avait donné une solution au résultat de l’expérience. Mais il est évident que l’énergie nucléaire est incompatible avec une construction positive de la vie au sens végétal et animal du terme. L’utilisation industrielle de la décomposition de la matière est aberrante, dangereuse, nuisible et induit l’aberrance en raidissant plus encore la structure caractérielle des personnes par la production ici-et-maintenant d’une énergie de vie, de la vie, totalement épuisée sur lesquelles elle se répercute. On ne peut percevoir la vie qu’en fonction de ses propres sensations, et la vie épuisée sans satisfaction ne percevoit plus d’elle-même qu’une sombre souffrance.

En 1952, construction d’un cloudbuster (têteur d’éther ou chasseur de nuages) destiné à agir au travers de l’orgone atmosphérique sur la concentration ou la dissipation de l’énergie orgonale responsable de la formation des nuages ou des ouragans (l’orgone attire l’eau et l’eau attire l’orgone). Expérimentation durant l’été au Texas ; les journaux locaux signalent plusieurs pluies inespérées. La Superposition cosmique en résulte, bientôt suivie de Contact with space. Les déserts sont des endroits de la terre où s’est amassée, pour des raisons topologiques ou géographiques, une grande quantité d’énergie totalement épuisée, avide d’eau ; et on sait que l’eau c’est aussi la vie. En soutirant de ces endroits le dor, en rétablissant la faculté du lieu à attirer et retenir l’humidité, les algues et les mousses repoussent, et retiennent de plus en plus d’eau qui, à son tour, se prête aux gonflement et à la germination des graines de l’herbe ! Et l’herbe attire la pluie. Le monde est un organisme vivant, compréhensible comme un gigantesque ensemble que l’organisme humain est à même d’appréhender dans la mesure où il se considère lui-même comme un sensationnel organisme vivant. Une année ou deux avant que la forêt ne meurt, elle a perdu déjà son champ orgonal, il est déjà visible que son énergie a été épuisée, qu’elle ne retient plus l’eau.

La même année, un représentant des Archives Sigmund Freud, Kurk Eissler, vient l’interviewer sur ses relations passées avec S. Freud. Au cours de deux longues conversations enregistrées au magnétophone, il discute de son œuvre et de leurs relations avec “ce grand homme, ce maître”. Il en résultera un livre très vivant : Wilhelm Reich parle de Freud. Cependant les archives du “maître” relatives aux relations épistolaires de Wilhelm Reich et de Freud, restent hélas hermétiques à la publication.

1954. Devant son refus de répondre à une citation en justice, parce qu’il estime qu’aucune cour juridictionnelle ne peut rendre de jugement sur aucunes découvertes scientifiques (souvenons-nous de Galilée et de son “elle tourne quand même“), le juge prescrit la destruction des accumulateurs et la destruction par le feu ses livres contenant le mot orgone car “l’orgone n’existe pas” (J. D. Clifford, juge états-unien dans son rendu de justice), c’est-à-dire de la majeure partie de ses œuvres, considérées comme “propagande” ou “textes publicitaires” ! Le FBI vient chez lui détruire à la hache ce qui est qualifié de “machines à orgone” bien que les accumulateurs soient des instruments entièrement passifs.

En automne il part quand même pour l’Arizona où il réalise avec un cloudbuster l’opération OrOp-Desert. L’opération est télévisée ; les journaux confirment son succès : “Il pleut dans le désert reverdit !”. L’orgone n’existe toujours pas.

Les dernières années de sa vie sont marquées par les tracas du procès et la recherches d’équations cosmiques. Condamné à deux ans de détention pour outrage à la cour, car un de ses assistant a été arrêté lors du déplacement d’un têteur d’éther (cloudbuster) à plus de 1000 km de là, Wilhelm Reich est incarcéré le 12 mars 1957 au pénitencier fédéral de Danbury, Connecticut. Le 22, on le transfère à celui de Lewisburg en Pennsylvanie où il se porte volontaire pour suivre un protocole d’expérimentation médicamenteuse, afin de voir réduite sa peine. Toute prison détruit, autant que ces protocoles, celle-ci tuera encore : Wilhelm Reich y mourra dans la nuit du 3 novembre. Il comptait se remarier avec une nouvelle compagne et aller vivre en Suisse pour y poursuivre libre ses études du vivant libre en train de vivre libre.

 

Le gouvernement des Etats-Unis n’est pas habilité à traiter de la Loi Naturelle Fondamentale. Or l’orgonomie est une branche de la Science Naturelle Fondamentale… Se présenter au tribunal pour “défendre” la Recherche Naturelle Fondamentale constitue en soi un acte absurde. En effet, tout investigation dans ce domaine se situe en dehors de la compétence juridique d’une administration sociale quelle qu’elle soit. Le droit de l’Homme à la connaissance doit être protégé, si le terme Liberté doit signifier plus qu’un slogan politique vide de sens. Je ne comparaîtrai pas devant le tribunal pour “me défendre” contre un plaignant dont la nature même de la plainte prouve qu’il ignorait tout de la science naturelle…

Réponse écrite de Wilhelm Reich adressée aux juges

4 juin 2014

Geoingenierie : Le carbonate de calcium utilisé dans les chemtrails

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Le calcaire, riche en carbonate de calcium, est la matière première pour la production de chaux. Ce produit était déjà connu et utilisé par les différents peuples de l’Antiquité. En raison de son grand danger, le travail a été confié à un petit nombre de travailleurs bien formés. Ils le mélangent avec du sable pour le mortier utilisés dans la construction. Le calcaire, réduit à des fragments de la taille de quelques centimètres, a été introduit dans des fours spéciaux, chauffés à 800-1000 degrés Celsius pendant environ dix heures, pendant lesquelles s’est produit le prétendu "burnout", une réaction chimique qui libère du dioxyde de carbone (CO2) et produit de l’oxyde de calcium ou de la chaux vive. La chaux est une substance blanche, très poreuse et hygroscopique. Lorsque mouillé avec de l’eau, la chaux déclenche une réaction thermique par lequel la température monte jusqu’à 300 degrés Celsius. S’il est mis en contact avec un matériel inflammable, le feu prend rapidement.

La diffusion de carbonate de calcium avec les chemtrails est, comme nous l’avons déjà noté, nuisibles à l’agriculture. Les sols calcaires, en fait, sont impropres à la culture: le principal défaut de la fertilité des sols calcaires est due à l’immobilisation de certains nutriments. Ce défaut est doux dans les sols modérément calcaires, mais se produit de façon plus intense au-dessus de pH 8. Peu de plantes montrent leur plein potentiel productif dans ce type de terrain.

En plus de cette implication, il est évident que le composé d’essai est soumis à des réactions chimiques et thermiques liés aux propriétés hygroscopiques et aussi a l’absorption de l’humidité. L’effondrement des valeurs hygrométriques de l’atmosphère et l’augmentation des températures, un résultat typique de beaucoup d’activités d’aérosols, sont des phénomènes qui peuvent être expliquées en remettant en question le carbonate de calcium, tandis que le bien-diabolisé dioxyde de carbone, selon des études récentes, n’est pas décisif dans ce que l on appel "l’effet de serre".

Donc des valeurs thermiques exceptionnellement élevées pour cette période, peu ou très peu de chutes de neige, sont des situations induites par la géo ingénierie clandestine et illégale et n’est pas un phénoméne naturel.

 

Des millions de tonnes de chlorure de calcium sont produites annuellement aux seuls USA. En 1990, son cours était de 182 $ par tonne. C’est un composé qui possède de nombreuses applications :
Du fait de son caractère très hygroscopique, il

peut être utilisé pour sécher l’air, d’autres gaz ou des liquides organiques ou des semences . Lorsqu’il absorbe l’eau ou la vapeur d’eau de la substance à sécher, il se transforme en saumure :
CaCl2 + 2 H2O → CaCl2·2H2O
Le processus de dissolution du chlorure de calcium est très exothermique et des températures supérieures à 60 °C peuvent être atteintes rapidement. L’ingestion de pastilles de chlorure de calcium peut donc occasionner de graves brûlures.
Du fait de la chaleur émise lors du processus de dissolution, le chlorure de calcium peut être utilisé pour faire fondre de la glace. Au contraire du chlorure de sodium, il n’est pas nocif pour le sol et les plantes. Il peut également agir à des températures plus basses que le chlorure de sodium. Pour cet usage, il se présente sous la forme de petites boules de quelques millimètres de diamètre (comme sur la photo au début de la page).
Il est utilisé lors du mélange du béton pour accélérer la prise et le rendre plus dur.
Il est utilisé sur certaines autoroutes pour fixer la poussière : en réagissant avec l’humidité de l’air, il permet de maintenir une fine couche liquide à la surface de la chaussée ce qui maintient la poussière.
Le chlorure de calcium a un goût amer. Il est ajouté aux aliments cuisinés industriellement pour augmenter la dureté cellulaire de la nourriture, comme par exemple dans les cornichons, olives, compotes de pommes, haricot-princesse en bocaux.
Il est aussi utilisé en biologie moléculaire, celui-ci permet en effet de rendre des bactéries compétentes en dégradant leurs lipopolysaccharides de surface. Il les rend ainsi apte à la transformation par un vecteur. Il peut aussi servir comme agent de transfection cellulaire avec des cellules animales.
Il peut également être utilisé en alimentaire (numéro E509), notamment pour solidifier les alginates, gélifiant.
Les solutions de CaCl2 ont la propriété de rendre les parois cellulaires de certaines bactéries plus poreuses (notamment E. coli). Cela en fait un produit utilisé en laboratoire dans la recherche génétique.

Le chlorure de calcium est irritant. Il doit être manipulé avec des gants. Il est relativement sans danger à manipuler, mais il ne doit pas être ingéré. Comme il réagit de manière exothermique avec l’eau, il peut occasionner des brûlures de la bouche ou de l’œsophage.

C’est un matériau très hygroscopique qui doit donc être conservé dans des récipients bien fermés.

15 avril 2014

Un sénateur italien demande l’abolition du secret d’Etat sur les chemtrails

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Rodolfo Ragonesi, le PDG de la Fondation Gaia, est vraiment un homme exceptionnellement courageux et déterminé. Alors que la quasi-totalité des organisations écologiques et scientifiques restent silencieuses sur la géo-ingénierie climatique flagrante et hautement toxique déployée en permanence dans le ciel à travers le monde, Rodolfo Ragonesi prend position et exige des réponses. Ses efforts pour exposer la vérité à Malte sont décrits dans ce lien : http://www.geoengineeringwatch.org/gaia-foundation-calls-for-more-transparency-on-cloud-formations/

Les dominos de silence et de réponses évasives concernant la géo-ingénierie commenceraient-ils à tomber ? Oui, mais le temps n’est pas de notre côté. Chaque jour, les épandages chimiques aériens continuent dans le monde, les éco-systèmes de la planète sont poussés vers le point de rupture totale et de basculement. C’est à chacun d’entre nous de se lever et de s’investir dans cette bataille, la plus critique, pour révéler la géo-ingénierie climatique clandestine et  y mettre un terme. Nous avons tous la responsabilité de soutenir des hommes comme Rodolfo Ragonesi qui jouent un rôle crucial dans la lutte pour le bien commun.

220px-Domenico_Scilipoti dans Outils/Bon à savoirSes efforts semblent avoir contribué au déclenchement des demandes de divulgation actuellement déployées par le sénateur italien Domenico Scilipoti comme indiqué dans l’article traduit ci-dessous.

L’appel de Domenico Scilipoti pour abolir le secret d’Etat sur les chemtrails
Rome, 27 Mars 2014

Demande d’abolition du secret d’État sur ​​les chemtrails. Cette demande  du sénateur Domenico Scilipoti fait suite à une interrogation de sa part sur la question lors de la dernière législature. Ainsi, après la déclassification des audiences du repenti Schiavone qui a permis d’identifier les trafiquants de déchets sur la terre de feu, et la demande de déclassification des documents concernant la mort d’Ilaria Alpi ( journaliste italienne tuée en Somalie en 1994, dans le cadre de la découverte de déchets toxiques), le sénateur du parti « Forza Italia » exige à nouveau l’abolition du secret d’Etat  sur ​​les chemtrails, espérant ainsi dévoiler l’intrigue internationale perpétrée contre les citoyens. Il écrivait en 2002 : « L’Italie, en la personne de Vittorio Prodi et les Etats-Unis, ont signé un accord bilatéral sur la recherche sur le climat. En 2003, l’ancien ministre Martino autorisait l’US Air Force à survoler l’espace aérien italien ». A partir de ce moment-là, selon le sénateur de « Forza Italia », notre pays aurait été exposé à un risque élevé pour la santé de ses citoyens. Les traînées chimiques laissées par les avions en vol dispersent des métaux lourds dans l’air, polluant les pluies qui endommagent l’agriculture. Scilipoti a demandé au Président du Conseil (Le Premier ministre italien) d’abolir ce secret d’Etat.

http://www.agenparl.it/articoli/news/politica/20140327-scie-chimiche-scilipoti-chiede-l-abolizione-del-segreto-di-stato

http://toxicleaks.org/blog/category/desecretazione/


Chemtrails en France – Un politique brise le... par rikiai

23 octobre 2013

Géo-ingénierie : scientifiques, milliardaires et militaires s’allient pour manipuler l’atmosphère

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Pulvériser du soufre dans la stratosphère, modifier la chimie des océans… Pour contrer le réchauffement climatique, des techniques de manipulation du climat à grande échelle sont à l’étude. Des projets déjà expérimentés, hors laboratoire et sans aucun contrôle international, qui attirent scientifiques, milliardaires et compagnies pétrolières. Alors que des organisations de la société civile demandent un moratoire, les militaires s’y mettent et appellent à se doter d’armes météorologiques. La « géo-ingénierie », une nouvelle menace environnementale et… anti-démocratique ?

Dans les arcanes gouvernementales, on la surnomme « le plan B ». Son vrai nom, la « géo-ingénierie ». Pour contrer le réchauffement climatique, plutôt que de miser sur les réductions de gaz à effet de serre, des chercheurs étudient des dispositifs de manipulation du climat à grande échelle. Au menu, des techniques allant de l’ensemencement en fer des océans à la gestion du rayonnement solaire. Des expérimentations sont déjà menées. Considérées comme fantaisistes il y a vingt ans, ces recherches sont désormais suivies de près par les gouvernements. L’ONG internationale ETC Group, qui travaille sur les technologies émergentes, a publié une carte de ces expériences de géo-ingénierie et de modifications du climat, depuis 60 ans. L’Amérique du Nord, l’Europe et l’Australie font partie des trois zones les plus actives (en rouge sur la carte) en terme de géo-ingénierie.

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Modifier la composition chimique des océans

Quelque 45 techniques de géo-ingénierie sont recensées dans l’encyclopédie Wikipedia. Clive Hamilton, dans son livre Les apprentis sorciers du climat [1], examine huit d’entre elles, considérant les autres comme « purement imaginatives », voir « spéculatives ». Chercheurs et investisseurs se concentrent principalement sur les techniques de capture du carbone, avec un intérêt particulier pour les océans. Nos océans constituent une formidable éponge à carbone grâce au rôle joué par les phytoplanctons, qui fournissent par photosynthèse plus de la moitié de l’oxygène de la planète. Pour favoriser l’éclosion de ces planctons marins, une douzaine d’expériences de « fertilisation en fer » ont été conduites par les scientifiques depuis le début des années 90.

Une expérience de trois mois conduite dans l’océan Austral en 2009 a refroidi les espoirs placés dans l’ensemencement en fer. Quatre tonnes de poussières de fer ont été éparpillées sur une zone de 300 km2. Rapidement, une efflorescence de phytoplanctons est observée, mais elle s’arrête au bout de deux semaines. La fertilisation des mers grâce au fer ne donnerait donc naissance à du phytoplancton que pour un court laps de temps. « Ensemencer les mers de fer n’est pas non plus sans conséquence écologique, ajoutent les auteurs de l’ouvrage Scénarios d’avenir [2]. Accroitre leur teneur en fer contribue à accélérer le processus déjà en cours d’acidification des océans. » La fertilisation peut aussi avoir des répercussions sur toute la chaine alimentaire marine. Ces risques n’ont toutefois pas empêché un businessman californien de déverser 100 tonnes de sulfate dans l’océan Pacifique, sur une zone de 10 000 km2, en toute illégalité, en juillet 2012 (lire notre article).

Pulvériser du soufre dans la stratosphère

Autre technique en vogue, la pulvérisation d’aérosols soufrés. En 1991, les cendres projetées dans l’atmosphère par le mont Pinutabo assombrissent suffisamment la Terre pour la refroidir d’environ 0,5°C pendant une année. Avant que la situation ne revienne à la normale une fois le nuage de cendres retombé au sol [3]. Partant de ce constat, la Royal Society, l’académie des sciences britanniques, considère la pulvérisation d’aérosols soufrés dans la stratosphère comme « la plus prometteuse » des méthodes de gestion du rayonnement solaire [4]. Ces minuscules particules d’aérosols seraient pulvérisées sous forme de dioxyde de soufre, de sulfure d’hydrogène ou d’acide sulfurique. Paul Crutzen, prix Nobel de chimie, a estimé à 5 millions de tonnes par an la quantité de soufre nécessaire pour bloquer environ 2 % du rayonnement solaire !

Imaginez une flotte d’aéronefs, volant à haute altitude, équipés de réservoirs et de dispositifs de pulvérisation. L’utilisation de canons de l’artillerie navale, de ballons ou d’un tuyau suspendu dans le ciel sont également à l’étude... Si ces aérosols étaient pulvérisés par des avions de chasse, il faudrait chaque année un million de vols d’une durée de 4h chacun ! [5] D’autres études évoquent des impacts sur le niveau des précipitations. Cette technique pourrait gravement perturber la mousson indienne, compromettant les ressources alimentaires de près de 2 milliards de personnes. Dernière objection de taille : « L’impossibilité de tester cette technique sans mise en œuvre grandeur nature », conclut Clive Hamilton.

Des brevets qui attirent les milliardaires

Un duo de scientifiques nord-américains est très impliqué dans la recherche en géo-ingénierie : David Keith, physicien, et Ken Caldeira, spécialiste des sciences de l’atmosphère. David Keith détient avec d’autres le brevet du « Planetary Cooler » (réfrigérateur planétaire), un dispositif d’absorption du carbone. Il a créé une start-up, Carbon Engineering Ltd, pour développer une technique de capture de CO2 dans l’air, à l’échelle industrielle. Parmi les investisseurs de ces sociétés : Bill Gates, mais aussi le milliardaire canadien N. Murray Edwards, magnat du pétrole qui a fait fortune dans les sables bitumineux en Alberta. Quant à Ken Caldeira, il est associé à Bill Gates au sein de la société Intellectual Ventures, qui a fait breveter plusieurs technologies, notamment le « StratoShield » (strato-bouclier) : des tuyaux suspendus à des ballons dirigeables dans le ciel permettant de disperser des aérosols soufrés.

Bill Gates a engagé plusieurs millions de dollars pour financer la recherche en géo-ingénierie [6], et aider au financement d’une série de rencontres sur la géo-ingénierie. La deuxième fortune mondiale a soutenu financièrement deux scientifiques de Harvard pour tester au Nouveau-Mexique du matériel visant à injecter des minuscules particules dans la stratosphère (lire notre article). Il a aussi investi dans la société Silver Lining qui travaille sur les techniques d’éclaircissement des nuages marins. « Pas moins de 10 personnes affiliées à Silver Lining figurent parmi les 25 auteurs d’un des principaux articles sur l’éclaircissement des nuages » relève Clive Hamilton. Richard Branson, un autre milliardaire, propose une récompense de 25 millions de dollars dans le cadre du défi « Virgin Earth Challenge » à quiconque concevra le meilleur plan pour extraire le carbone de l’atmosphère.

Solution miracle pour les pétroliers et les conservateurs

« Ceux-là mêmes qui contestent la réalité du réchauffement montrent un intérêt croissant pour l’ingéniérie du climat », souligne Clive Hamilton (lire notre article sur les climatosceptiques). Quoi de mieux que cette solution miraculeuse permettant de ne pas changer le mode de développement actuel et sa consommation massive d’énergies fossiles ? Plusieurs compagnies sont sur les rangs, à l’instar de la Royal Dutch Shell qui finance une étude sur l’ajout de chaux dans les mers. Steven Koonin, alors directeur scientifique du géant pétrolier BP (avant de travailler au département de l’Énergie des États-Unis), est à l’origine d’une réunion d’experts pour le compte de l’entreprise Novim Group. Elle a abouti en 2009 à un rapport influent sur l’ingénierie du climat.

La géo-ingénierie est aussi appuyée par plusieurs think tanks conservateurs. « La géo-ingénierie apporte la promesse d’une réponse au réchauffement climatique pour seulement quelques milliards de dollars par an. Au lieu de pénaliser les Américains moyens, nous aurions la possibilité de répondre au réchauffement climatique en récompensant l’inventivité scientifique... Stimulons l’ingéniosité américaine. Assez du diktat vert », a déclaré le républicain Newt Gingrich, ancien président de la chambre des représentants des États-Unis. Tout est bon pour maintenir la société de consommation à son niveau actuel. Un intérêt stratégique qui n’a pas échappé aux forces armées.

Développer les « armes météorologiques »

Cela fait des décennies que les stratèges militaires veulent « faire de la météo une arme ». Au milieu du 20ème siècle, Bernard Vonnegut, un physicien américain, découvre la capacité de l’iodure d’argent à agglomérer la vapeur d’eau des nuages en gouttes. II suffit donc d’ensemencer les nuages avec ce composé inorganique pour faire pleuvoir – quasiment – à volonté. En 1967, l’US Air Force lance l’opération Popeye. Chaque jour, des avions bombardent les nuages vietnamiens d’iodure d’argent, modifiant la climatologie locale, pour tenter d’embourber les lignes de communication de la guérilla communiste [7]. Ce premier usage guerrier de la géo-ingénierie sera dévoilé le 3 juillet 1972 par le New York Times. Il faudra quatre ans de négociations pour que les Nations Unies adopte une Convention interdisant la modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles [8]. Mais en 1996, des officiers de l’US Air Force rendent un rapport appelant les États-Unis à de doter d’armes météorologiques d’ici… 2025.

« Parmi les scientifiques travaillant dans l’armement s’est développée l’idée que la compréhension et le contrôle exercé sur la technologie suffiraient à les rendre sûres », analyse Clive Hamilton. Edward Teller, à qui est attribuée la co-paternité de la bombe H, propose en 1997 de prévenir le réchauffement de la planète en bombardant l’atmosphère de particules qui réfléchiraient la lumière incidente du soleil. Coût : un milliard de dollars. « Comme d’autres, Teller ressent la fascination du nucléaire et de la puissance de la technologie moderne, soulignent les auteurs de Scénarios d’avenir. C’est probablement de cet enthousiasme obsessionnel pour les armes atomiques et de cette très puissante "arrogance technologique" que Teller en est venu à la géo-ingénierie ».

En octobre 2011, un autre rapport soutenant fortement la recherche en géo-ingénierie est publié par le think tank Bipartisan Policy Center. Le journaliste du Guardian John Vidal décrit ce groupe de travail comme « la crème du lobby scientifique et militaire émergent en faveur de la gé-oingénierie » [9]. Parmi ce lobby, David Wehlan, directeur des systèmes de défense chez Boeing qui a travaillé pendant de nombreuses années sur des projets d’armement à la DARPA, l’agence de recherche du Pentagone. La DARPA a elle-même convoqué une réunion sur la géo-ingéniérie. Une étude commandée par le Pentagone en 2003 conseillait déjà d’examiner de manière urgente les options de géo-ingénierie pour contrôler le climat... [10]

Quel pays aura la main sur le « thermostat planétaire » ?

Cette arrogance technologique américaine a son pendant en Russie. Le scientifique russe Yuri Izrael, vice-président du Giec jusqu’en 2008, a été le premier à conduire une expérimentation en situation réelle de dispersion d’aérosols, par hélicoptère à basse altitude. Connu pour son climato-scepticisme, il défend la géo-ingénierie plutôt que les réductions d’émissions. « En Chine, des tensions existent déjà entre les provinces au sujet de l’ensemencement des nuages pratiqué depuis longtemps dans le pays, certaines provinces accusant les autres de "voler leur pluie" », pointe également Clive Hamilton. Aujourd’hui, la géo-ingénierie devrait requérir une gouvernance mondiale morale et politique, selon ETC Group. Or, la probabilité que les 193 membres des Nations Unies se mettent d’accord est très faible.

« Si un filtre solaire était entièrement déployé pour réduire la température de la terre, il faudrait au moins dix ans d’observations climatiques mondiales pour séparer les effets de ce filtre, des autres causes liées à la variabilité climatique », illustre Clive Hamilton. Comment savoir par exemple si une sécheresse en Inde ou au Pakistan est causée par le réchauffement climatique ou par ce filtre solaire ? « Et si l’Inde souffre des effets des variations mondiales, alors que les États-Unis bénéficient d’un temps plus clément, il importe beaucoup de connaitre le pays ayant la main sur le thermostat planétaire ».

Quand la science fiction devient une option politique

Dans les années 90, ces projets de manipulation délibérée du climat étaient majoritairement considérés comme de la sympathique science-fiction, ou comme des diversions détournant des politiques de réduction des émissions. « Ce qu’il y a de nouveau, c’est que la géo-ingénierie est sortie de certains cercles fermés de scientifiques, académiques et autres groupes de recherche pour entrer dans les salles de négociation intergouvernementales », commente Joëlle Deschambault, d’ETC Group. Ces techniques sont ainsi mentionnées dans le « résumé à l’intention des décideurs », du dernier rapport du Giec rendu public le 27 septembre 2013.

Le rapport du Giec évoque deux techniques : la gestion du rayonnement solaire et l’élimination du dioxyde de carbone [11]. Les auteurs conviennent qu’ils disposent d’une mince littérature scientifique pour véritablement évaluer ces techniques et leurs impacts. Selon une source proche du ministère du Développement durable, l’idée d’intégrer la géo-ingénierie dans le dernier rapport du Giec remonte à une réunion de 2010 en Corée du Sud. « Il commençait à y avoir des publications dans ce domaine-là, et les représentants des différents pays ont jugé qu’il valait mieux en parler », précise t-il à Basta !. Pour Geneviève Azam de l’association Attac, cette seule évocation leur donne une légitimité, en dépit du moratoire des Nations unies sur ces technologies adopté en 2011 [12].

Les lacunes du droit international

« Tant que n’aura pas lieu un débat approfondi visant à établir comment les divers pays souhaitent procéder en la matière, un moratoire sur l’ensemble des activités de géo-ingénierie hors laboratoire représente la seule voie sensée »,préconise ETC Group. Un certain nombre de traités stipulent déjà l’interdiction de causer des dommages transfrontaliers. Les pays de la Convention de Londres, qui réglemente les rejets en mer, et ceux de la Convention sur la diversité biologique, ont adopté des résolutions interdisant les expériences d’ensemencement par le fer, sauf sous certaines conditions, des études d’impact préalables et un encadrement strict.

Mais le droit international présente d’énormes lacunes. Aucun texte par exemple n’empêche un individu de déployer un bouclier solaire par dispersion d’aérosols soufrés.... Les pays ne sont pas davantage respectueux du droit international de l’environnement. En 2008, l’Allemagne a déclaré que la résolution de la Convention sur la diversité biologique était « non contraignante », lorsque son ministère de la Recherche a décidé d’approuver une expérience de fertilisation des océans avec du fer.

Les nouveaux apprentis sorciers du climat

Une des options portées par des organisations de la société civile serait de créer un nouveau traité ou une nouvelle agence internationale de supervision des différentes techniques de géo-ingénierie. En attendant, les recherches et expérimentations à ciel ouvert se poursuivent. Le gouvernement chinois a inscrit récemment la géo-ingénierie parmi ses priorités de recherche en géosciences, rappelle Clive Hamilton. En France, l’Agence nationale de la recherche finance un atelier de réflexion prospective sur la géo-ingénierie, qui devrait aboutir à un rapport fin 2013.

« Les travaux récents en sciences du système Terre ont fait progresser notre connaissance de manière significative mais ils ont également révélé l’étendue vertigineuse de notre ignorance », rappelle Clive Hamilton. Les modifications du système climatique ne peuvent être isolées des modifications des autres éléments du système Terre. Quelques individus et institutions aspirent néanmoins à mener des expériences aux conséquences bien incertaines pour l’ensemble de la planète. Et Clive Hamilton d’interroger : « Ne sommes-nous pas en train de jouer à Dieu, avec les risques que cela comporte ? »

Sophie Chapelle

http://www.bastamag.net/article3404.html

http://lesmoutonsenrages.fr/2013/10/22/geo-ingenierie-scientifiques-milliardaires-et-militaires-sallient-pour-manipuler-latmosphere/#more-53333

une chose faut arrêter de prendre les gens pour des imbéciles çà fait déjà plus de 50 ans qu'ils nous pulvérisent leur poison sur nous ils viennent juste de découvrir la possibilité de le faire et pour notre bien en plus mdr...............article qui a pour but de manipuler non le climat mais vos cerveaux...

ce qui est bien c'est qu'il suffit de voir quels sont les sites qui répandent de telles sornettes ainsi vous venez tout bonnement de comprendre dans quel camps ils sont .......de plus le titre ne dit pas pour manipuler le climat mais l'atmosphère ,comme çà l'idée ne vous viendrait même pas qu'il puisse le faire .................

@Sophie_Chapelle sur twitter

Photo de Une : CC Sascha Pohflepp

P.-S.

A lire sur ce sujet :
- Clive Hamilton, Les Apprentis sorciers du climat : raisons et déraisons de la géo-ingénierie, coll. Anthropocène, Ed. Seuil, 2013.
- ETC Group, Géopiraterie : argumentaire contre la géo-ingénierie, 2010, à télécharger ici.
- Bertrand Guillaume, Valéry Laramée de Tannenberg, Scénarios d’avenir : futurs possibles du climat et de la technologie, Armand Colin, 2012.

Notes

[1Clive Hamilton, Les Apprentis sorciers du climat : raisons et déraisons de la géo-ingénierie, coll. Anthropocène, Ed. Seuil, 2013.

[2Bertrand Guillaume, Valéry Laramée de Tannenberg, Scénarios d’avenir : futurs possibles du climat et de la technologie, Armand Colin, 2012.

[3Alan Robock, Martin Bunzl, Ben Kravitz et Georgiy L. Stenchikov, « A test for geoengineering ? », Science, vol. 327, 29 janvier 2010.

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23 octobre 2013

Révélation d'un mécanicien avion sur l'équipement pour pulvériser les chemtrails

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Pour des raisons que vous comprendrez en lisant, je ne puis divulguer mon identité.
Je suis mécanicien d’aviation pour une importante compagnie aérienne.
Je travaille sur l’une de nos bases de maintenance située dans un grand aéroport.
Je pense avoir découvert des informations que vous trouverez importantes.

D’abord je devrais vous parler au sujet de la « hiérarchie » chez les mécaniciens.
C’est important pour mon histoire et pour la cause pour laquelle vous vous êtes consacré.
La mécanique exige de travailler sur trois choses : l’avionique, les moteurs, ou les commandes de vol.

Les mécaniciens qui travaillent sur ces systèmes sont considérés en haut de la « hiérarchie ».
Viennent ensuite les mécaniciens travaillant sur l’hydraulique et les systèmes de climatisation.
Puis viennent ceux travaillant sur le service et les autres systèmes non essentiels.

Mais en bas même de la liste viennent les mécaniciens des systèmes de traitement des déchets... aucun mécanicien ne veut travailler sur les pompes, les réservoirs, et les canalisations servant à stocker les détritus des toilettes... mais dans chaque aéroport où j’ai travaillé il y avait toujours 2 ou 3 mécaniciens se proposant de travailler sur les systèmes des toilettes. 

Les autres mécaniciens les laissent faire de bon cœur.. .pour cette raison vous n’avez que 2 ou 3 mécaniciens travaillant sur ces systèmes dans chaque aéroport.
Personne ne prête beaucoup d’attention à ces types et aucun mécanicien n’en fréquente un qui travaille seulement sur les systèmes des détritus... en fait, je n’avais jamais beaucoup pensé à cette situation jusqu’au mois dernier.

Comme la plupart des compagnies aériennes nous avons des accords réciproques avec les autres compagnies qui utilisent cet aéroport... si elles ont un problème avec un avion, l’un de nos mécaniciens saura se débrouiller avec lui... de même si l’un de nos avions a un problème sur un aéroport où une autre compagnie aérienne a une base de maintenance, elle retapera notre avion... un jour le mois dernier, j’ai été appelé de notre base pour travailler sur un avion pour une autre compagnie aérienne. 

Quand j’ai reçu l’appel l’agent technique d’exploitation ne savait pas quel était le problème.

Quand j’ai rejoint l’avion j’ai découvert que le problème était dans le système de traitement des détritus... je n’avais rien d’autre à faire que ramper dedans et arranger le problème.
Quand je suis entré dans le compartiment je me suis rendu compte que quelque chose ne collait pas... il y avait là-dedans plus de réservoirs, de pompes, et de canalisations qu’il en fallait... j’ai d’abord supposé que le système avait été modifié... il y avait 10 ans que j’avais travaillé sur l’un d’eux. 

Pendant que j’essayais de trouver le problème j’ai rapidement réalisé que la tuyauterie et les réservoirs supplémentaires n’étaient pas reliés au système de traitement des ordures.

Je venais juste de découvrir ça quand un autre mécanicien de ma compagnie est venu.
C’était l’un des mécaniciens qui travaillaient d’habitude sur ces systèmes.
J’ai été heureux de lui rendre son job. Pendant que je partais je l’ai interrogé sur l’équipement supplémentaire... il m’a dit de « me préoccuper de ma partie d’avion et de le laisser se décarcasser avec la sienne ! ».

Le jour suivant j’étais sur l’ordinateur de la compagnie pour rechercher un schéma de câblage.
Pendant que j’y étais j’ai décidé de rechercher l’équipement supplémentaire que j’avais trouvé.
À ma stupéfaction les manuels ne montraient aucun des équipements supplémentaires que j’avais vu de mes propres yeux le jour précédant. 

Je me suis même connecté aux dossiers du fabricant et n’ai toujours rien trouvé.
À ce moment-là, j’étais vraiment déterminé à découvrir ce que faisait cet équipement.
La semaine suivante nous avons eu trois de nos avions dans notre hangar principal pour l’inspection périodique... il y avait des mécaniciens rampant partout dans l’avion durant ces inspections... ayant juste fini mon poste, j’ai décidé d’aller voir le système des détritus sur l’un de nos avions.

Avec tous les mécaniciens autour j’estimais que personne ne remarquerait quelqu’un de plus sur l’avion... l’avion que j’ai choisi avait bien l’équipement supplémentaire !
J’ai commencé à suivre le tracé du système de canalisations, des pompes, et des réservoirs.
J’ai trouvé ce qui semblait être l’unité de contrôle du système.

C’était une boîte de commande d’avionique semblant standard sauf qu’elle n’avait aucune sorte d’inscription... je pouvais retrouver les fils de commande de la boîte vers les pompes et les valves mais il n’y avait pas de circuit de commande entrant dans l’unité.
Les seuls fils entrant dans l’unité étaient l’alimentation raccordée au principal bus de distribution de courant de l’avion.

Le système avait un grand réservoir et deux plus petits.
C’était difficile à dire dans le compartiment exigu, mais il semblait que le grand réservoir pouvait contenir 50 gallons (190 litres)... Les réservoirs étaient reliés à un dispositif de remplissage et à une valve de purge qui traversait le fuselage juste derrière la valve de purge du système de détritus... Quand j’ai eu l’occasion de rechercher ce raccordement sous l’avion je l’ai trouvé ingénieusement caché derrière un panneau, sous le panneau servant à accéder à la vidange des déchets. 

J’ai commencé à suivre la tuyauterie des pompes.
Ces tubes mènent à un réseau de petites tubulures qui se terminent sur les rebords arrière des ailes et des stabilisateurs horizontaux.

Si vous regardez de près les ailes d’un gros avion vous verrez un ensemble de fils, d’environ la grosseur de votre doigt, s’étendant du rebord arrière de la surface des ailes.
Ce sont les mèches de décharge statique.
Elles servent à dissiper [dans l'air] la charge d’électricité statique qui s’accumule sur l’avion en vol. 

J’ai découvert que les tubulures de ce mystérieux système mènent à une mèche de décharge statique sur trois.
Ces mèches « avaient été évidées » afin de pouvoir être traversées par ce qui doit être déversé par les tubulures.

C’était pendant que j’étais sur l’aile que l’un des cadres m’a repéré.
Il m’a ordonné de sortir du hangar, me disant que mon poste était fini et que je n’avais été autorisé à aucune heure supplémentaire.
Les deux jours suivants étaient très occupés et je n’avais pas le temps de continuer mes recherches.
En fin d’après-midi, deux jours après ma découverte, j’ai été appelé pour remplacer une sonde de température de moteur sur un avion devant décoller dans deux heures.
J’ai fini le travail et suis retourné à la paperasserie.

Environ 30 minutes plus tard le haut-parleur m’a appelé pour que j’aille voir le directeur général. Quand je suis entré dans son bureau j’ai constaté que notre représentant syndical et deux autres que je ne connaissais pas m’attendaient.
Il m’a dit qu’un problème sérieux avait été découvert.
Il a dit que j’avais fait l’objet d’un procès-verbal et que j’étais suspendu pour avoir fait de fausses écritures.
Il m’a remis un formulaire disciplinaire déclarant que j’avais fait de fausses écritures sur la sonde de température de moteur que j’avais installée quelques heures avant.

J’étais sidéré et je commençais à protester.
Je leur ai dit que c’était ridicule et que j’avais effectué ce travail.
Le syndicaliste a alors pris la parole, recommandant d’aller jeter un coup d’œil sur l’avion et voir si nous pouvions tout arranger.
C’est à ce moment que j’ai demandé qui étaient les deux autres hommes. Le directeur général m’a dit qu’ils étaient inspecteurs de la sécurité de la ligne aérienne sans me donner leur nom.
Nous sommes allés à l’avion, qui au lieu d’être en l’air était garé sur notre rampe de maintenance.

Nous avons ouvert le capot du moteur et le syndicaliste a retiré la sonde.
Il a vérifié le numéro de série et dit à tout le monde que c’était l’ancien instrument.
Ensuite, nous sommes allés à la baie des casiers où reviennent les pièces.
Le syndicaliste a vérifié mon rapport et a tiré du casier une boîte scellée.
Il a ouvert la boîte et a retiré la sonde de température de moteur avec le numéro de série de celle que j’avais installée.
Il m’a été dit que j’étais suspendu pendant une semaine sans salaire et de partir immédiatement.

Le premier jour de ma suspension, j’étais assis chez moi me demandant que diable m’était-il arrivé... Ce soir-là j’ai reçu un coup de téléphone... La voix m’a dit :
« Maintenant vous savez ce qui arrive aux mécaniciens qui fourrent le nez là où ils ne le devraient pas... La prochaine fois que vous commencerez à travailler sur des systèmes qui ne vous concernent pas vous perdrez votre travail. 

Comme il se trouve que je me sens chevaleresque, je pensent que vous pourrez retourner au travail bientôt » CLIC.
De nouveau je me suis relevé.
J’ai déduit que ce qui était arrivé était directement lié à mon relevé de la mystérieuse tuyauterie.

Le matin suivant le directeur général m’a appelé.
Il a dit qu’en raison de mon excellent dossier pour mon travail passé, la suspension avait été réduite à un jour et que je devais me présenter immédiatement au travail.
La seule chose à laquelle je pouvais penser était qu’est-ce qu’ils essayaient de cacher et qui sont-ils ! 

Ce jour de travail s’est passé comme si rien n’était arrivé... Aucun autre mécanicien n’a mentionné ma suspension et mon syndicaliste m’a dit de ne pas en parler.
Cette nuit-là je me suis connecté sur internet pour essayer de trouver quelques réponses. Je ne me rappelle pas maintenant comment j’y suis arrivé, mais j’ai trouvé votre site.
C’est alors que tout est venu ensemble.

Mais le matin suivant au travail j’ai trouvé une note à l’intérieur de mon casier verrouillé.
Elle disait, « La curiosité a tué le chat. Ne regardez pas les sites internet qui ne vous concernent pas. »... Eh bien c’est ça... ILS me surveillent.
Eh bien vous savez déjà ce qu’ils font.
Je ne sais pas ce qu’ils pulvérisent mais je peux vous dire qu’ils le font.
Je me dis qu’ils utilisent les « camions de douceurs ».
Ce sont les camions qui vident les réservoirs de détritus des toilettes.

Les aéroports sous-traitent habituellement ce travail et personne ne s’approche de ces camions... Qui voudrait se tenir à côté d’un camion plein de merdes.
Pendant que ces types vident les réservoirs de détritus ils remplissent les réservoirs du système de pulvérisation... Ils connaissent le chemin de vol des avions, ainsi ils programment probablement l’unité de commande pour commencer à vaporiser au bout d’un certain temps après que l’avion ait atteint une certaine altitude. 

Les becs de pulvérisation dans les fausses mèches de décharges statiques sont si petits que personne dans l’avion ne verra le truc. Que Dieu nous vienne en aide. Un citoyen !

http://journal100limites.blogspot.ca

11 septembre 2013

James Webb – La crise existentielle chez les enfants surdoués

Source : Supporting Emotional Needs of the Gifted (SENG) via Davidson Institute,  »Existential depression in gifted individuals », via The Unbound Spirit)

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Posté par Sofo. Photo Claire Gibbs.

D’après mon expérience, les personnes surdouées et talentueuses sont plus susceptibles de connaître une forme de dépression qu’on appelle une crise existentielle. Bien que quiconque puisse traverser un épisode de crise existentielle suite à un décès important ou la peur de perdre un proche, qui met en évidence le caractère éphémère de la vie, les personnes ayant une grande capacité intellectuelle sont plus enclines à avoir spontanément une crise existentielle. Parfois, cette crise existentielle est liée à l’expérience de désintégration positive évoquée par Dabrowski (1996).

La crise existentielle est une dépression qui survient quand un individu affronte certaines questions fondamentales de l’existence. Yalom (1980) décrit quatre questions (ou « préoccupations ultimes ») – la mort, la liberté, l’isolement et l’insignifiance. La mort est un événement inévitable. La liberté, dans un sens existentiel, renvoie à l’absence de structure extérieure. C’est-à-dire que les humains n’entrent pas dans un monde structuré de lui-même. Nous devons donner au monde une structure que nous créons nous-mêmes. L’isolement témoigne du fait que quelle que soit la proximité avec une autre personne, il reste toujours une distance, et nous sommes toujours seuls. L’insignifiance découle de ces trois points. Si nous devons mourir, si nous construisons notre propre monde, et si chacun de nous est ultimement seul, alors quel est le sens de la vie ?

Pourquoi ces préoccupations existentielles reviennent de manière disproportionnée chez les surdoués ? En partie parce qu’avant même d’en arriver à ces notions, une analyse et réflexion sérieuse est nécessaire, plutôt que juste se concentrer sur les aspects superficiels et quotidiens de la vie. D’autres caractéristiques plus spécifiques aux enfants surdoués les y prédisposent également.

Comme les enfants surdoués sont capables d’imaginer comment les choses pourraient être autrement, ils sont souvent idéalistes. Cependant, ils voient en même temps que le monde est loin d’être ce qu’il pourrait être. Comme ils ont un caractère passionné, les enfants surdoués ressentent une profonde déception et frustration quand les idéaux ne sont pas atteints. De même, ces jeunes comprennent rapidement les incohérences, l’arbitraire et les absurdités de la société et des comportements qui les entourent. Les traditions sont remises en question ou contestées. Par exemple, pourquoi il a-t-il des restrictions aussi sévères liées au sexe ou à l’âge ? Pourquoi les gens adoptent des comportements hypocrites qui leur font faire le contraire de ce qu’ils disent ? Pourquoi les gens disent des choses qu’ils ne voulaient pas dire ? Pourquoi tant de gens sont si inconscients et insensibles dans leurs relations avec les autres ? A quel point une personne peut changer le monde ?

Quand les enfants surdoués tentent d’échanger ces préoccupations avec les autres, ils rencontrent généralement des réactions qui vont de l’étonnement à l’hostilité. Ils découvrent que les autres personnes, et surtout de leur âge, ne partagent clairement pas leurs préoccupations, et au contraire se concentrent plutôt sur les problèmes concrets et sur le fait de répondre aux attentes des autres. Ces jeunes, surtout les plus doués, se retrouvent souvent isolés dès le CP et parfois aussi de leur famille car ils constatent que les autres ne sont pas disposés à discuter de ces graves questions.

Quand leur caractère passionné se mélange à leur potentiel multiple, ces jeunes sont extrêmement frustrés par les limites existentielles de l’espace et du temps. Il n’y a tout simplement pas assez d’heures dans une journée pour développer tous les talents qu’ont la plupart de ces enfants. Faire des choix parmi les possibilités est en effet arbitraire; il n’y a pas de choix qui soit « ultimement le meilleur ». Il est même difficile de choisir une vocation si l’on a un choix de carrière à faire entre des passions, des talents et un potentiel sensiblement égal pour le violon, la neurologie, les mathématiques théoriques et les relations internationales.

La réaction des jeunes surdoués face à ces frustrations (encore une fois avec passion) est souvent la colère. Mais ils découvrent vite que leur colère est vaine, car elle est dirigée en fait vers le « destin » ou d’autres choses qu’ils ne peuvent pas contrôler. Une colère qui n’a pas d’impact se transforme rapidement en dépression.

Dans une telle dépression, les enfants surdoués essaient généralement de trouver un sens, un point d’ancrage qui leur permette de sortir du bourbier de « l’injustice ». Mais souvent, plus ils essayent de s’en sortir, plus ils prennent conscience que leur vie est finie et brève, qu’ils sont seuls et qu’ils ne sont qu’un très petit organisme dans un monde assez grand, et qu’il y a une liberté effrayante en ce qui concerne la façon dont on choisit de vivre sa vie. C’est à ce moment-là qu’ils s’interrogent sur le sens de la vie et demandent, « La vie n’est-elle que ça ? N’y a-t-il pas ultimement de sens ? La vie n’a-t-elle de sens que si je lui en donne un ? Je suis un organisme minuscule, insignifiant, seul dans un monde absurde, arbitraire et capricieux où ma vie n’a pas d’effet, et où je finis par mourir. Est-ce tout ce qu’il y a ?« .

Ces préoccupations sont courantes chez les adultes réfléchis qui traversent les crises du milieu de la vie. Cependant, ces questions existentielles sont très inquiétantes quand elles sont récurrentes dans un esprit de douze ou quinze ans. Ces crises existentielles méritent une attention particulière, car elles peuvent être des précurseurs au suicide.

Comment pouvons-nous aider nos brillants jeunes à faire face à ces questions ? Nous ne pouvons pas faire grand-chose en ce qui concerne la finitude de notre existence. Cependant, nous pouvons les aider en leur apprenant à sentir qu’ils sont compris et pas si seuls que ça, et qu’il y a des moyens de gérer leur liberté et leur sensation d’isolement.

Dans une certaine mesure, on peut réduire la sensation d’isolement en montrant simplement à l’enfant que quelqu’un d’autre comprend les problèmes qu’il/elle affronte. Même si votre expérience n’est pas exactement la même que la mienne, je me sens beaucoup moins seul si je sais que vous avez eu des expériences plutôt similaires. C’est pourquoi les relations sont extrêmement importantes dans l’adaptation à long terme des enfants surdoués (Webb, Meckstroth and Tolan, 1982).

Une façon particulière de briser la sensation d’isolement passe par le toucher. Les enfants qui vivent la solitude existentielle ont le même besoin d’être tenus et touchés que les autres. Le touché semble être un aspect fondamental et instinctif de l’existence, comme en témoigne le lien mère-enfant ou le syndrome de « retard de croissance ». J’ai souvent « prescrit » des câlins quotidiens pour un enfant souffrant de crise existentielle et ai conseillé aux parents d’adolescents réticents à leur dire : « Je sais que que ne veux peut-être pas un câlin, mais j’ai besoin d’un câlin. » Une étreinte, un léger toucher sur le bras, une bousculade espiègle, ou même un « high five » peuvent être très important pour un tel enfant, car cela établit au moins un lien physique.

Les questions et les choix qu’implique la gestion de sa liberté sont plus d’ordre intellectuels, par opposition aux aspects rassurants du contact comme solution sensorielle à une crise émotionnelle. Les enfants surdoués qui se sentent dépassés par la myriade de choix d’un monde non structuré, peuvent trouver un grand réconfort à étudier et rechercher les moyens alternatifs qui ont permis à d’autres personnes de structurer leur vie. En lisant comment d’autres personnes ont choisi des chemins spécifiques pour grandir et s’épanouir, ces jeunes peuvent utiliser la bibliothérapie comme une méthode pour comprendre que les choix sont simplement des bifurcations sur le chemin de la vie, et qu’ils peuvent tous les conduire à un sentiment d’accomplissement et de réalisation (Halsted, 1994). Nous avons tous besoin de construire notre propre philosophie personnelle de croyances et de valeurs pouvant servir de cadres valables pour nos vies.

Ce sont ces questions existentielles qui conduisent tant d’individus surdoués à s’impliquer aussi intensément dans des « causes » (qu’elles soient universitaires, politiques et sociales, ou idéologiques). Malheureusement, ces questions existentielles peuvent également provoquer des périodes de dépression, souvent mélangées à des tentatives désespérées, maladroites, de « s’intégrer ». Aider ces personnes à identifier les questions existentielles de base peut être utile, mais seulement si c’est fait de manière gentille et tolérante. En outre, ces jeunes devront comprendre que les questions existentielles ne peuvent être traitées en une seule fois, mais devront être fréquemment revues et reconsidérées.

En substance, donc, nous pouvons aider de nombreuses personnes qui ont des crises existentielles si nous pouvons leur faire comprendre qu’elles ne sont pas si seuls, et si nous pouvons les encourager à adopter le message d’espoir du poète afro-américan Langston Hughes :

Accroche-toi bien à tes rêves, car si les rêves meurent, la vie est un oiseau aux ailes brisées qui ne peut pas voler. Accroche-toi à tes rêves, Car s’ils s’envolent, La vie est un champ stérile couvert de neige. 

~Langston Hughes

Références

Dabrowski, K. (1966). The Theory of Positive Disintegration. International Journal of Psychiatry, 2(2), 229-244.

Halsted, J. (1994). Some of My Best Friends Are Books: Guiding Gifted Readers from Pre-School through High School. Scottsdale, AZ: Gifted Psychology Press, Inc. (Formerly Ohio Psychology Press).

Webb, J. T., Meckstroth, E. A. and Tolan, S. S. (1982). Guiding the Gifted Child: A Practical Source for Parents and Teachers. Scottsdale, AZ: Gifted Psychology Press, Inc. (formerly Ohio Psychology Press).

http://newsoftomorrow.org/vie/surdouance/james-webb-la-crise-existentielle-chez-les-enfants-surdoues

Yalom, I. D. (1980). Existential Psychotherapy. New York: Basic Books.

1 septembre 2013

La Chine rachète Détroit

detroit chine rusty james

 

Detroit a subi l’apocalypse… mais on y trouve des opportunités d’investissement prometteuses. L’immobilier, par exemple. Demandez aux Chinois.

Fox News rapportait début août que les agents immobiliers de Detroit ont été inondés de demandes pour des biens bon marché provenant d’investisseurs chinois. Une agence a même vendu 30 biens à un seul acheteur.

“Après que Detroit se soit mise en faillite le 18 juillet, l’immobilier de la ville s’est retrouvé dans les sujets en vogue sur la plate-forme de social media chinoise, Weibo, selon un rapport de Quartz.com”.

“Les nouvelles de la faillite, associées à un reportage de la télévision chinoise en mars affirmant qu’on pouvait acheter deux maisons à Detroit pour le prix d’une paire de chaussures en cuir, ont éveillé l’intérêt des investisseurs”.

Il ne semble pas que ces investisseurs cherchent à habiter ces maisons, ni même à les louer. La plupart paraissent acheter pour investir, espérant que le prix grimpera. Cela semble plutôt idiot, considérant que le déclin de Detroit dure depuis des décennies.

Pourquoi cet intérêt de la part des investisseurs chinois ?

En mai, le New York Times expliquait que des dizaines d’entreprises chinoises s’implantaient à Detroit pour s’infiltrer dans le secteur automobile américain :

“Les entreprises chinoises investissent dans des entreprises américaines et dans de nouvelles technologies automobiles — des ceintures de sécurités aux pare-chocs vendus au détail –, et embauchent des ingénieurs et des designers expérimentés afin d’absorber le talent et l’expertise des constructeurs [américains] et de leurs fournisseurs”.

“Même si elle commence par les batteries et les pièces automobiles, le développement de l’activité chinoise devrait finir par engendrer la vente de voitures chinoises aux Etats-Unis”.

Les entreprises chinoises ont essayé de garder cette implantation des industriels automobiles chinois à Detroit aussi discrète que possible afin d’éviter la levée de boucliers vécue par les constructeurs japonais lorsqu’ils ont installé leurs usines aux Etats-Unis dans les années 80.

Les Chinois savent reconnaître une occasion quand ils en voient une. Ils achètent l’or par pleines brouettées depuis quelques années et possèdent une bonne partie de la dette souveraine US. Detroit est peut-être la nouvelle propriété à entrer sous leur contrôle — un petit nodule économique créé pour exporter des dollars vers l’Asie en toute discrétion.

 
Source : La-chronique-agora

6 juillet 2009

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