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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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19 septembre 2018

Argile et création de l'homme à la lumiére de la science

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Pour la géologie et science du sol, le terme argile correspond à l’ensemble des minéraux présentant une taille inférieure à 2 µm dans une roche. Cette coupure granulométrique est héritée des études pétrographiques effectuées par microscopie optique à la fin du XIXe siècle

C’est une terre qui dispose d’une richesse remarquable en minéraux et oligo-éléments.
Les plus connus sont le CALCIUM, le MAGNESIUM, le SILICIUM, CUIVRE, SELENIUM, COBALT, MOLYBDENE
Des chercheurs Américains ont découvert que l’argile aurait constitué les premiers acides aminés qui se trouvent dans certaines protéines permettant ainsi l’enchaînement d’acides ribonucléiques ( ARN) avec ceux de l’(ADN).

De plus Dans le corps humains on retrouve : C, H, O, N, P, S
Et Dans l'argile pareil : C, H, O, N, P, S

Tout ce qui est vivant ou provient de ce qui est vivant est surtout basé sur C,H,O,N (puis à moindre dose, P, S, Cl, Na, K, Mg, Ca, Fe...)

Lorsque nous examinons aujourd'hui le corps humain, nous réalisons que de nombreux éléments présents dans la terre sont aussi présents dans le corps humain. Les tissus vivants sont composés à 95% de carbone, d'hydrogène, d'oxygène, d'azote, de phosphore et de soufre etc. Dans un autre verset  Dieu dit :

Histoire de la création d'Adam

Lorsque Dieu voulut créer Adam, il ordonna à Gabriel d'enlever de la face de la
terre une poignée de chaque espèce d'argile : de la noire, de la blanche, de la
rouge, de la jaune, de la bleue et de chaque espèce différente. Gabriel vint au
milieu de la terre, à l'endroit où se trouve aujourd'hui
le temple de la Kaaba.

Quand ton Seigneur dit aux anges : "Je vais créer d'argile un être humain. Quand Je l'aurai bien formé et lui aurai insufflé de Mon Esprit, jetez-vous devant lui, prosternés." (Coran, 38 : 71-72)

7 L’Eternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant.

 Alors Yahvé Dieu modela l’homme avec la glaise du sol, il insuffla dans ses narines une haleine de vie et l’homme devint un être vivant. » (Gn 2,7)

Nous avons certes créé l'homme d'un extrait d'argile. (Coran, 23 : 12) en regardant de plus près je viens de m'appercevoir  que le verset 23 est le nombre exact d'élément qui composent l'homme et 12 le nombre exact de macro élément .comme dans le tableau ci dessous

 

 

 

 

Un silicate est un sel dérivant de la silice (SiO2).

 

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en fait qui ne s'est pas mis a douter entendant nous avons crée lhomme a partir d'une boue argileuse une mixture une synthese d'argile

et pourtant il est vrai que l"homme est composé de tous les mineraux  et oligo element present dans le sol argileux alors au vu de la complexité des élément ci dessus il est peu probable que des gens ne disposant nullement de connaissance scientifique du 19 e siecles pouvez inventer une telle histoire .

en lisant l'histoire de la creation d'adam je suis tombé sur ce passage qui m'a appris quà son epoque le serpent avait 4  pattes je fus assez surpris "lorsque Adam fut dans le paradis, Eblîs chercha un moyen d'y entrer
aussi par la ruse, de tromper Adam et de l'égarer. La crainte de Ridhwân,
Gardien  du paradis, l'empêcha d'y entrer. Il se mit donc à tourner autour du

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paradis pour voir s'il pourrait parvenir à s'y jeter un jour ou l'autre. Enfin,
un jour, il vit le serpent qui en était sorti. Le serpent avait alors quatre
pieds comme les chameaux.
On rapporte que dans le paradis il n'y avait rien de plus beau que le serpent,
excepté Adam. La science vient a peine de valider ce fait ici "


Cette nouvelle espèce, baptisée Tetrapodophis amplectusvivait au début du Crétacé entre 146 et 100 millions d'années. La redécouverte au Brésil d'un fossile de serpent, qui s'avère être doté de quatre pattes, un spécimen unique, suggère que les ancêtres de ces reptiles avaient une origine terrestre et non marine, selon une étude publiée, jeudi 23 juillet, dans la revue américaine Science (en anglais).

Par Mis à jour le 24/07/2015 | 15:30 , publié le 24/07/2015 |

preuve que meme les histoires les plus surprenantes ont toujours un fond de verité ,alors ne niez jamais sans chercher une preuve car nous sommes qu'au debut des révélations de la science car son savoir est encore limité sur l'origine de la vie et de l'univers .

 

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7 juin 2017

Pourquoi la mort n'est pas le terme final de nos âmes ?


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On peut s'appuyer sur l'existence de l'âme et son indépendance à l'égard du corps comme une preuve indiscutable de la résurrection, et d'un univers après la mort.

Les savants qui se sont penchés sur les aspects obscurs de l'âme ont émis plusieurs hypothèses. Mais au fur et à mesure que prennent de l'ampleur les débats philosophiques, que les sciences se répandent et que s'accroît la culture, des signes plus évidents de l'existence de l'âme en tant qu'entité indépendante voient le jour, bien que nous n'ayons pas réalisé le succès total au sujet de la connaissance de la nature de l'âme, et que nous n'ayons pas écarté les voiles sur tous les secrets complexes de cet élément éternel.

Pour cette raison, la religion  considère la nature de l'âme comme une vérité insaisissable que l'homme ne connaîtra jamais avec précision. Quand on interrogea le Prophète - que la paix de Dieu soit sur lui et sur ses descendants - au sujet de l'âme, il répondit:

«Et ils t'interrogent sur l'Esprit - Dis: «L'Esprit est de l'affaire de mon Seigneur.» Et on ne vous a apporté que peu de science.»42

Des  siècles sont passés depuis cette réponse au cours desquels le domaine du savoir humain s'est étendu par rapport à ce qu'il était au temps des Prophètes , et rien de fondamental n'est venu compléter cette réponse. De nos jours encore le secret de l'âme ici échappe à l'entendement humain, et nul n'a pujusqu'le percer, ni l'expliquer. Nous demeurons donc à cet égard, comme le Coran l'a clairement énoncé, enveloppés dans un voile de mystére et de confusion et il semble peu probable qu'on parvienne un jour à le lever.

* * *

 Le philosophe français Henri Bergson écrit à ce sujet:

«Posons comme postulat, comme le fit Platon, une définition de l'âme, et disons qu'elle ne se désintègre pas car elle est simple, ni ne se corrompt car elle est indissociable; et qu'elle est éternelle de par sa nature. Puis après, nous aborderons, par la voie de déduction, l'idée de la descente des âmes dans le temps, puis l'idée du retour à l'éternité. Mais que direz - vous à un homme qui nie l'existence de l'âme ainsi définie? Et comment résoudrez - vous réellement les questions relatives à l'âme, son principe réel, son devenir réel, ou plutôt comment pourrez - vous vous les poser en termes réels? Tout ce que vous aurez fait sera de réfléchir en théorie sur un concept intellectuel peut - être vide, ou d'expliquer incidemment le sens d'un mot attribué par la société à une partie du réel, découpée pour les commodités du discours?

La décision demeurera profonde tant que la définition sera fortuite (accidentelle).
Après deux mille ans de réflexion basée sur lui, le concept platonique n'a guère fait progresser d'un seul pas, notre connaissance sur l'âme.»
43

Le docteur Chaucer, chercheur anglais écrit:

«Certains ont affirmé que l'ensemble des actes mécaniques du cerveau constituent le «moi» ou «l'essence».
D'autres encore ont prétendu que l'on devrait lui ajouter une étincelle mystérieuse qui sort du corps au moment de la mort.

Vous savez que les philosophes ont longtemps réfléchi sur l'âme, sa nature, sa place dans le corps, et si elle est périssable ou éternelle. Mais cette question n'a toujours pas reçu une solution définitive, et continue d'être l'objet de réflexion des savants.
Beaucoup de penseurs, des temps récents, ont décidé d'étudier la question sous un autre angle, et se sont fixés pour règle d'écarter le problème complexe et obscure de l'âme et d'étudier seulement la mentalité et la psychologie, c'est-à dire un ensemble de sentiments, de croyances et d'idées.»
44

Si l'homme prêtait vraiment attention à son échec dans le domaine de la connaissance de l'âme, comment pourrait - il se retenir de reconnaître qu'il existe une force mystérieuse qui nous incite à nous incliner devant le Créateur et à Le glorifier?

Personne, même parmi les matérialistes dont les opinions divergent radicalement avec celles des adeptes des religions, n'a pu aller jusqu'à nier cette vérité. Ils reconnaissent comme acceptables les sciences comme la psychologie, et la médecine psychosomatique; mais la différence essentielle réside en ce que les savants religieux et les métaphysiciens croient en l'existence d'une autre chose qui concerne la vie humaine, qui est distincte au corps materiel, et qui fait partie des réalités pures et immatérielles, dotée d'une nature spécifique, et qui est la source de la méditation et de la reflexion.

Cela ne veut pas dite que le corps et l'âme soient distincts dans la réalité, l'un étant complétement indépendant de l'autre. Ils forment deux réalités liées, ayant en même temps deux natures différentes.

Quant à la pensée philosophique matérialiste, elle tourne autour de l'idée qu'il n'existe pas d'essence indépendante de la matière appelée Ame.
Ils persistent dans cette idée en arguant de ce que toute l'activité du cerveau et de ses systèmes obéissent aux lois de la matière, et ne consiste qu'en effet physique, et des actions et réactions chimiques des cellules cérébrales et nerveuses.

Notre système nerveux transmet nos perceptions à l'organe central qui est le cerveau, et ces perceptions constituent une unité dont on ne peut dissocier les parties les unes des autres; les phénomènes spirituels ne sont rien d'autre que ces activitiés physico - chimiques. Et lorsque les cellules de cerveau se disloquent et se dispersent, que les réactions entre les différents organes du corps s'annulent, et que les cellules cessent de se mouvoir et de se reproduire, il ne reste alors rien de la réalité de l'homme qu'un corps matériel. On ne peut donc pas admettre une forme de subsistance spirituelle, et l'existence d'une chose d'essence différente, indépendante et non - naturelle, et cela parce que la modalité d'apparition des êtres et de leur subsistance est conditionnée par les liens matériels dans le temps et dans l'espace.

Et c'est là que diverge la conception divine de la conception matérialiste, et que chacune prend sa propre orientation.

* * *

Si nous admettions la thèse matérialiste, l'homme ne consisterait qu'en un appareil composé d'instruments et de différents moyens, et qui perd la vie et la faculté de penser lorsque se disloque l'influence réciproque entre les parties de sa matière corporelle.

Cette thèse ne peut pas expliquer la nature de l'esprit humain, ni celle de l'homme lui - même.
Il est vrai que le corps obéit aux lois de la physiologie, mais cela ne veut pas dire que l'homme est entièrement régi par des lois matérielles. Il est également vrai qu'il existe un lien entre les phénomènes spirituels et les cellules cérébrales, en ce sens que l'esprit n'est capable, dans cet univers, d'aucune activité, autrement que par l'intermédiaire d'un ensemble de moyens et de causes.
Les cellules du cerveau et les neurones et les réactions chimiques du cerveau, tout cela constitue des moyens pour l'esprit, et ce dernier exerce son activité par l'intermédiaire de ces moyens.

On peut s'interroger dès lors si l'esprit et ses activités - comme la volonté, la décision, la compréhension constituent - ils des réalités indépendantes de la matière, ou bien sont - ils des réalités matérielles pures dépendantes des lois matérielles en toute circonstance et dans toutes les conditions?

Lorsque nous parlons avec une personne éloignée de nous au moyen d'un appareil téléphonique, l'auditeur principal est - ce nous ou bien le combiné?
Il en va de même au sujet du cerveau. Les cellules cérébrales constituent les outils de travail de l'esprit et ne créent pas l'esprit. Et tous les arguments avancés par les matérialistes pour démontrer leur thèses, établissent seulement qu'il existe une relation entre les perceptions de l'homme et les cellules de son cerveau, et non que ce dernier accomplit l'acte de perception, et aucun penseur adepte de la religion ne prétend que la pensée est éloignée de toute influence des cellules cérébrales.

Les savants matérialistes ont beau s'appuyer sur les sciences expérimentales et les travaux de laboratoires pour démontrer le lien entre la perception et l'intellect d'une part, et les réactions chimique cérébrales d'autre part, cela ne prouve rien d'autre sinon que les nerfs et le cerveau ont un rôle décisif et déterminant dans la réalisation de la perception et des situations psychologiques.
On ne peut en aucun cas conclure de ces expériences que la réalité de l'esprit et de l'âme ne consiste en rien d'autre qu'en ces moyens et en ces réactions chimiques et physiques. Enfin, démontrer cette relation ne suffit pas pour éclaircir les propriétés de la perception et de la conscience.

* * *

Pour donner un exemple, comparons l'esprit à l'énergie électrique employée pour faire fonctionner un appareil donné. A chaque rupture de courant électrique l'appareil connaîtra une phase de mort apparente, bien que l'ensemble de ses pièces soient en bon état.

Par conséquent, la relation de l'âme et du corps cesse avec la mort de l'homme, mais cette rupture ne signifie pas dépérissement et anéantissement del'âme et de l'esprit. C'est un état comparable à celui que connaissent un appareil téléphonique, un récepteur radiophonique ou de télévision quand ils sont en panne. Nous ne percevons aucune voix, et nous ne voyons aucune image sur l'écran, parce que le moyen de liaison a cessé de fonctionner, alors que l'image et le son existent partout, sans que pour notre part nous les percevons. Nous n'en avons conscience que lorsqu'ils nous sont transmis par ces appareils.

Donc, de même que dans le cas d'une panne du combiné téléphonique, du récepteur radiophonique ou de la télévision, le son et l'image continuent d'être émis, et ont une existence indépendante du fonctionnement de ces appareils, de même l'âme humaine jouit de son autonomie tout en étant liée au corps, et ne disparaît pas avec le dépérissement du corps.

* * *

Nous savons que le fonctionnement des différents organes du corps - qui se ressemblent plus ou moins - est fondamentalement différent du fonctionnement du cerveau. Par exemple, le fonctionnement des reins et de tous les organes consiste en activité physique et chimique et est lié avec le système interne.

Alors que les phénomènes spirituels sont liés au monde extérieur, et distincts de notre existence. Il est évident que le monde extérieur ne se présente pas à la profondeur de notre existence; il nous faut cerner les entités extérieures par la connaissance et le savoir, et les cellules du cerveau sont incapables d'accomplir une telle mission.

Ces cellules ont beau subir l'influence du milieu extérieur, comme toutes les parties du corps, elles ne peuvent accéder à une connaissance de ce milieu. S'il en était ainsi, nous nous servirons de notre système digestif ou de notre poumon pour appréhender les choses extérieures. Par conséquent, les particularités de nos perceptions nous démontrent la domination d'une autre réalité sur notre existence.

Lorsque nous discernons entre le vrai et le faux, que nous percevons la beauté et la distinguons de la laideur, nous traitons en réalité de chose s extérieures que nous soumettons à des criteres. Il existe donc une force qui discerne le vrai du faux, le juste et l'erreur, et c'est cette force qui peut nous expliquer la réalité obscure de l'âme, car lejugement et le discernement échappent au cadre du système nerveux, et procèdent de la pensée et de l'activité intellectuelle, et l'on ne peut les expliquer par les sens et l'expérimentation.

Cette lumière invisible qui emplit notre intimité et nous confère la capacité de discerner entre le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, n'est autre que cette réalité absolue, cette âme éternelle qui est l'axe de tous les événements temporels, et qui demeure fixe et indissociable.

* * *

Il existe une autre réalité pour démontrer l'indépendance de l'âme: c'est l'unité de la personnalité que l'on retrouve tout au long de la vie de l'individu.

Sans doute, la connaissance qu'a l'homme de son existence n'est pas la même qu'il a des objets extérieurs.

Car la connaissance de ces derniers se fait par l'intermédiaire des représentations mentales de ces objets. Par conséquent, notre connaissance des objets extérieurs relève de la «science acquise» ('ilm hossouli), alors que la connaissance de l'homme de sa propre existence ne se fait pas par la représentation mentale.

C'est un savoir présent en lui en tout temps et inséparable de lui. C'est pourquoi on l'appelle: «science présentielle » ('ilm hodhouri).

C'est une science permanente, ne connaissant ni altération ni dépérissement. Iljouit de la continuité et de l'invariabilité dans la conscience, les sens et l'observation. Cette science est considérée comme représentant le savoir le plus évident de tout être humain.

Cette réalité qui échappe aux deux règles de changement et dépérissement propres à la réalité objective (extérieure), qui dirige et domine le corps terrestre eu n'obéit à aucune contrainte biologique, et que nous appelons le «moi», est une seule et même chose depuis les premières étapes de la viejusqu'à ses derniers instants; et c'est par elle que l'homme accède à l'éternité.

Au point de vue des rangs existentiels, elle se situe toujours sur un niveau qui ne se confond jamais avec celui de la matière. Tout homme garde et préserve l'unité de sa personnalité tout au long des étapes successives de sa vie.

Voyons à présent si cette réalité particulière est cet ensemble de cellules cérébrales ou quelque chose d'autre.

Nous savons que l'ensemble des cellules du cerveau se renouvellent complètement tous les 7 ans environ, grâce à l'alimentation que le corps recoit de l'extérieur.
Certaines cellules se transforment en énergie, et de nouvelles cellules naissent pour remplacer celles qui sont mortes..Et tout êtrevivant est ainsi reconstitué plusieurs fois dans sa vie, en raison des changements et transformations que subissent les cellules et les organes de son corps.

Si notre existence se réduisait seulement à ces parcelles de matières, et que n'existait aucune force invisible dominant cette communauté cellulaire et l'ordre régissant le corps, notre essence devrait nécessairement présenter des caractéristiques matérielles. Et aucun être humain n'aurait eu la conscience d'être toujours la même personne qu'il fut dix ans auparavant, car le système nerveux et le cerveau ainsi que tout le corps auraient, pendant cette période de temps, renouvelé toutes leurs cellules. Or, chacun de nous a conscience d'être doté d'une réalité permanente invariable tout au long de sa vie, et qui est ce qu'on appelle la personnalité.

* * *

Tout homme peut méditer sur son intérieur, (bâtin), et concevoir l'existence en lui d'une âme pure, différente qualitativement de son existence physique. Chacun de nous perçoit en lui - même une sorte d'autonomie, de continuité, de présence constante; et ce sont là des faits incompatibles avec l'existence matérielle en constante transformation.

Une chose qui exerce sa souveraineté sur le corps, et qui ne lui ressemble pas en ce qu'elle échappe à l'anéantissement, ne peut pas être considérée comme un produit de la matière ni soumise à ses lois. De telles hypothèses sont incapables d'expliquer la réalité humaine.

Chris Morisson dit:

«Il est admis que l'existence et la formation de cet univers ne sont pas accidentelles, car le système de l'univers fonctionne selon des lois déterminées.
L'émergence de l'homme doué de la raison et de la faculté de penser, parmi le règne animal, est une question encore plus importante et plus confuse qu'on ne le pense.

Son apparition n'est pas due à des évolutions matérielles, mais nécessairement à l'intervention du Créateur. Ainsi, l'homme devient un instrument mécanique fonctionnant sous le contrôle d'une autre main.
Nous nous demandons alors:
«Qui contrôle cette machine? Quelle est la main qui la fait mouvoir?»

La science n'a pas pu encore connaître ce gérant, mais il est indiscutable pour les savants que ce Régisseur n'est pas un être matériel.
Tout notre progrès se résume, jusqu'à présent dans l'idée que Dieu a insufflé dans notre existence une lueur de Sa science. L'homme traverse en ce moment l'âge de l'adolescence dans la création. Il a commencé à concevoir l'existence de l'âme. Il utilisera graduellement cette faveur céleste pour connaître la dimension de l'éternité et de l'immortalité en soi.»
45

Si les manifestations de l'âme faisaient partie des particularités du corps, et résultaient des activités du cerveau ou du fonctionnement du système nerveux, comment nous expliquerions - nous la permanence et la subsistance de la personnalité?

L'explication avancée par certains matérialistes basée sur la relativité du moi, et sur l'idée que l'essence tout en étant la même subit des transformations et des changements, cette explication est poétique, illusoire, et ne présente rien de scientifique, et ne rend pas compte de l'unité de la personnalité.

Cette explication erronée procède d'une mauvaise compréhension et signifie queje ne suis pas l'homme d'il y a quelques instants, je suis quelqu'un qui a pris sa place, mais je m'imagine aussi que je suis le même homme.

Outre cela, les représentations constituent des actes qui émanent de moi, et ce n'est pas le moi qui est un ensemble de représentations différentes se succédant les unes aux autres et se trouvant dans le cerveau.

* * *

Nous percevons deux réalités dans notre existence.
L'une est la structure apparente du corps, et qui fait l'objet des sciences expérimentales. L'autre consiste en choses non - sensorielles qui ne sont pas des reflets et des réactions du corps, comme la reflexion, la compréhension, le désir, l'amour, la colère, la conscience, et qui ne se prêtent pas aux sciences expérimentales et ne peuvent être mesurées en termes matériels.

Il s'agit de réalités différentes, supérieures au corps et le dominant, comme lorsqu'un homme se montre prêt à mourir pour échapper à une vie d'opprobre. Il rompt les contraintes biologiques de son corps, se refuse à manger, ou décide même de faire une grève de la faim jusqu'à la mort.

Nous faisons face à un sujet réel expérimental. Avec quelle logique matérielle pourrions - nous analyser cette volonté d'airain qui vajusqu'à sacrifier le corps pour des idéaux et des aspirations mentales?

Prétendre que l'homme n'est rien qu'un ensemble de fonctions biologiques matérielles exige de donner au préalable des explications sérieuses et logiques à ces questions. Si le moi se résumait au corps, comment pourrait - il en même temps commander et exécuter les ordres?

Tous ces commandements de la volonté, la maîtrise des différents instincts et des éléments du corps, sont une preuve manifeste de l'existence d'un élément supérieur distinct de la matière, duquel procède la volonté humaine, et cette prééminence d'une forme de l'existence sur l'autre nous conduit à une réalité supra temporelle.

Dieu dit dans le Saint Coran:

«... Et par l'âme et comme Il l'a ordonnée, en sorte qu'Il lui a inspiré son libertinage de même que sa piété.»46

Du point de vue coranique, l'homme est doté, à titre particulier, d'une essence caractérisée par la compréhension et le mouvement. Compréhension parce qu'elle est capable d'intuition, et mouvement parce que cette essence est la source d'un ensemble d'actes qui servent de fondements à la piété ou à la corruption.

Quelle est donc cette essence caractérisée par la conscience et la force? Tous les organes du corps ne jouissent pas de ces caractéristiques.

Il est donc nécessaire que le corps ait pour corollaire une essence autonome et authentique dotée de ces propriétés que nous avons mentionnées.

La matière présente une réaction qui peut servir de révélateur des agents stimulants; et cette réaction est la même dans les mêmes conditions. L'eau gèle dans le froid; les minéraux se dilatent sous l'effet de la chaleur; ce sont là des réactions naturelles invariables. Mais l'homme a la capacité de réagir de façon totalement différente, et même contradictoire, devant un même agent. Cela nous montre que l'âme, et la volonté qui émanent de lui, sont des choses immatérielles échappant aux propriétés de la matière.

* * *

L'opération de perception montre que celle - ci comprend deux choses: le moyen, l'organe de perception, comme l'oeil par exemple, et la puissance de perception.

Il existe une loi physique qui dit que tout être ne pouvant pas percevoir le mouvement du système dans lequel il se trouve, doit observer ce système de l'extérieur, et constater le mouvement des choses et le passage du temps.

L'homme ne peut pas observer par exemple le mou vement de la terre tout en étant sur elle; il doit se situer à l'extérieur de son système.

Par conséquent, si nos facultés perceptives ne se situaient pas hors du mouvement permanent du temps, nous n'aurions pas pu percevoir son passage. Donc la perception du temps est une preuve manifeste de l'extériorité de nos facultés perceptives.

Si nous supposions que notre perception varie d'in stant en instant, et se mouvait avec le temps, nous ne pourrions guère saisir le mouvement temporel, car notre perception serait émiettée, chaque partie devenant indépendante de l'autre.

Donc pour percevoir le temps, il est nécessaire que nos facultés perceptives se situent hors du mouvement du temps, et le dominent. Ainsi, est prouvée l'existence d'une faculté perceptive, comme réalité indéniable, indépendante du temps.

Donc, une partie de la réalité humaine vieillit et meurt avec le temps, une autre partie demeure hors de l'atteinte des vagues du temps, ne disparaît pas, et ne connaît point d'extinction L'Imam Ali, l'Emir des Croyants, dit:

«Ô hommes! Nous avons certes été créés, tous, pour la permanence et non pour l'extinction. Vous serez donc transférés de cette demeure - ci. Faites donc un bon viatique pour ce lieu ou l'on vous conduit et ou vous serez pour l'éternité.»47

* * *

Parmi les propriétés de la matière, il existe un rapport particulier entre le contenant et le contenu. Par conséquent, l'être le plus grand ne peut pas s'intégrer entièrement dans l'être le plus petit.

Par exemple, si, nous nous trouvant sur des hauteurs élevées, nous contemplions de larges vallées, des plaines immenses, ayant une végétation luxuriante, des oiseaux, des rocs énormes entassés les uns sur les autres, et que toutes ces choses étaient représentées en détail dans notre esprit, à la manière d'une grande page d'un livre ouvert devant notre âme et notre regard intérieur, ces différentes images, si étendues dans la réalité, trouveraient - elles place dans notre cerveau et dans ses cellules infimes, avec toutes leurs particularités?

Cette matière limitée peut - elle contenir en elle toutes ces choses énormes sans que rien n'y manque?
Il est certain que la raison répond négativement à cette question. Car nous savons tous qu'un être physiquement plus grand ne peut entrer dans un volume inférieur au sien. N'est - il pas nécessaire que le conte nant soit plus grand que le contenu ou au moins égal à lui?

Nous pouvons aisément nous représenter mentale ment une grande ville, avec ses bâtiments, ses avenues, ses jardins, ses autobus et ses habitants. Sur la base de la loi de l'incompatibilité du grand avec le petit, il semble comme évident que les images mentales sont très grandes, et ne sauraient être contenues par les cellules microscopiques du cerveau. Car il est indiscutable que la correspondance n'est possible que si le contenu est inférieur au contenant ou s'il y a égalité entre eux, alors que notre faculté perceptive présente des propriétés et des caractéristiques déterminées qui ne peuvert s'appliquer aux propriétés de la matière. Elle ne peut par conséquent pas être relative seulement à un ensemble de relations physiques qui l'accompagnent et avec lesquelles elle fonctionne.

Nous ne pouvons donc admettre ce fait qu'en cas de réalisations des images mentales; nous connaissons une autre sorte d'existence - outre un ensemble préalable de réactions physico - chimiques - ayant des caractéristiques particulières se situant hors des propriétés du corps matériel. Cette nouvelle sorte d'existence a entre autres propriétés, celle de pouvoir contenir des domaines immenses et de conserver en elle des images perceptives indélébiles

* * *

Les matérialistes disent: L'apparition de ces images dans le cerveau est comparable à la représentation d'un livre volumineux par un microfilm qui montre les choses dans des dimensions réduites, mais qui peut les restituer au besoin dans leurs vraies dimensions.

Mais où se trouv e le lieu de ces grandes images dans le cerveau et le système nerveux?

Ou bien nous nions l'existence de ces grandes images dans le cerveau, ou bien nous leur trouvons un lieu adéquat. Or personne ne peut nier l'existence de ces représentations, et si l'âme était matérielle, et que la perception n'était que l'activité cérébro - spinale, les grandes images n'auraient pas pu s'adapter et s'ajuster aux petites cellules, car elles demanderaient plus d'espace. Alors que dans le cas du microfilm, il n'existe dans la réalité que le livre et les films très petits.
Il faut admettre l'intervention d'un élément invisible qu'est l'âme, et qui est une réalité pure, capable de créer des grandes images, après une série d'opérations cérébro - spinales, qui n'en constituent que des préalables et des préparatifs. Ainsi, le problème est résolu, et nous évite les explications insuffisantes et étroites.

D'autre part, la distinction et la dissociation entre les phénomènes mentaux et les phénomènes physiques est nécessaire. Ces deux sortes de phénomènes ne présentent pas les mêmes caractéristiques et la même nature. La matière est toujours accompagnée d'un ensemble de propriétés générales, comme l'acceptation de représentations différentes, alors que les phénoménes mentaux ne le sont pas. Par conséquent, cette dualité et l'abscence de ressemblance nous conduisent aussi à reconnaître l'indépendance de l'âme et son autonomie.

* * *

Les êtres matériels exigent un développement graduel dans le temps et dans l'espace. Tout être subissant des transformations et des changements graduels a besoin de l'espace; et le mouvement engendre par lui même son temps. Outre cela, le déterminisme nécessaire des êtres matériels est la mort dans le temps, et leur entrée dans l'obscurité du néant.

De même, parmi les phénomènes matériels, il ne s'en trouve aucun qui ne puisse se prêter au fractionnement, soit au moyen d'instruments appropriés, soit mentalement en raison de leur infimité. Mais, en revanche, les phénomènes psychiques échappent à cette règle.

Nous nous représentons un grand immeuble sans que nous ayons pour cela besoin de temps.

Toutes sortes de visages, de formes, de couleurs, de noms, de nombres, de numéros, de mots, de titres s'accumulent dans la mémoire, sans qu'elles se mélangent, ou qu'elles s'effacent les unes les autres.

L'esprit perçoit toutes sortes de paysages et d'images et tout incident petit ou grand, l'enregistre et le conserve. Même si nous oublions des choses, celles - ci n'en demeurent pas inscrites à jamais dans le registre de l'âme, et ressurgissent, en certaines occasions et sous l'effet de certains facteurs, à la surface de la mémoire.

Où sont déposées dans le cerveau toutes ces choses avant de surgir brusquement à la vitesse de l'éclair dans notre esprit? Où se trouvent ces images mentales qui constituent un secret stupéfiant?
L'explication matérialiste à ce sujet est - elle réaliste?

Les idées peuvent - elles naître des accidents matériels; et des lignes tracées sur les cellules du cerveau? Les cellules et les circonvolutions cérébrales peuvent - elles enregistrer les évènements et faits puis les restituer à l'esprit en toute fidélité et en détail?

Cette explication n'irait - elle pas à l'encontre de la réalité?
Si le cerveau était le centre réel de la pensée, les idées et notions qu'il contient devraient disparaître et mourir lorsque meurent les cellules qui les portent.

* * *

Nous changeons de cellules cérébrales plusieurs fois dans la vie, et l'image de nos amis et de nos frères demeure inchangée et fixe dans notre mémoire depuis notre jeune âge.
Si notre cerveau changeait entièrement son contenu, y compris nos connaissances précédentes, pour le remplacer par de nouvelles cellules, il serait impossible de se référer au savoir passé. Toutes nos perceptions ultérieures ressembleraient à celles qui les ont précédées, mais pas elles - mêmes. Alors que nous savons que notre référence aux sujets anciens vise à rénover des notions, et non à renouveler la science, et si nos concepts ètaient matériels, il aurait été impossible de se rappeler les connaissances précédemment acquises.

Le philosophe Henri Bergson dit:

«Mais nous rappelons seulement que l'observation des faits, normaux ou morbides, par les sens et la conscience, nous démontre l'insuffisance des explications physiologiques de la mémoire, et qu'il est impossible d'attribuer au crâne la préservation des souvenirs.
Nous pouvons suivre les épanchements successifs de la mémoire, depuis les cas où elle se referme et ne libère que les informations dont la nècessité est impérieuse pour l'accomplissement de l'acte entrepris jusqu'au degré où elle secoue tout le passé qui ne s'oblitère jamais totalement.
Nous avons dit à titre de comparaison que ce faisant, nous montons du sommet du cônejusqu'à sa base. Le cône n'entre au contact de la matière qu'à son sommet Mais dès que nous traversons le sommet, nous entrons dans un domaine nouveau. Quel est ce nouveau domaine? Appelez - le esprit, ou si vous préférez, appelez - le âme, saufqu'il faut convenir sur le sens qu'on donnera au terme.

Sous ce terme, nous entendons un ensemble d'expériences, non une définition conventionnelle. De cette étude expérimentale, nousoboutirons à la possibilité ou à l'éventualité de la survivance de l'âme après le corps, car nous aurions désormais constaté de façon tangible dans cette vie quelque chose révélateur de l'indépendance de l'âme à l'égard du corps.
Cette éternité de l'âme ne constitue qu'un aspect de son autonomie. Oui, notre connaissance des conditions de la subsistance après la mort, en particulier de sa durée serait très insuffisante: s'agit - il d'une subsistance à terme, ou d'une permanence éternelle?
Mais nous nous serions, pour le moins, guidés vers un point pouvant faire l'objet de l'expérience, et il sera possible de montrer la réalité de façon irréfutable. Et il sera possible que notre connaissance prenne la voie du progrès. C'est ce que nous avons appelé l'expérience du monde inférieur. Et si nous passons à présent au monde supérieur, nous rencontrerons un autre type d'expérience, l'intuition mystique, qui est associée à l'essence divine. Ces deux expériences se rencontrent - elles? Cette subsistance après la mort, - qui semble assurée à toutes les âmes, du fait même qu'une partie de leurs activitiés sont indépendantes désormais du corps -, cette subsistance est - elle semblable à celle acquise par les âmes supérieures dès ce monde inférieur?

Rien ne nous sera plus utile, pour en connaître davantage que deux choses qui sont l'élargissement et l'approfondissement de ces deux expériences.»48

On ne remarque pas un lien entre les dégâts et l'atrophie qui atteignent le cerveau d'une part et l'oubli des évènements d'autre part. Alors que la moindre défaillance d'un souvenir déterminé entraîne une défaillance de la cellule liée à ce souvenir.
Si certaines cellules cérébrales venaient à se perdre, l'homme souffrira d'un handicap dans la faculté de parole, mais ses souvenirs seront préservés et ne seront pas altérés.

Mais dans le cas de traumatismes craniens graves, quand le cerveau connaît une inflammation chronique, ou bien la destruction de quelque partie, l'équilibre se rompt entre le cerveau et les souvenirs, car l'oubli se produit toujours selon une règle précise et particulière Le malade oublie d'abord les noms de ses amis et de son entourage, puis enfin oublie les mots se rapportant à des actes.

Ici, nous ne remarquons aucun lien entre la perte subie par le cerveau, et l'oubli des souvenirs, au point de vue de l'ordre, de la quantité, et de l'étalement dans le temps. Alors que selon la thèse des matérialistes, il devrait nécessairement exister un lien direct entre le dommage subi par la mémoire, et le dommage matériel qui a atteint le crâne.

Ces réalités nous prouvent que le crâne n'est que l'instrument permettant d'enregistrer les souvenirs et les notions, et dans l'opération de remémoration, le cerveau ne joue qu'un rôle intermédiaire de transformation des objets mentaux en phonèmes, en paroles. Sa mission se résume dans l'instauration d'un lien entre l'âme et l'univers matériel.

Nous avons donc besoin, en matière d'objets mentaux, d'un phénomène supérieur à la cellule cérébrale, en l'occurence l'âme pure indépendante de la matière, et aux lois de laquelle seront soumis tous les souvenirs, les notions et les représentations.

Le Professeur Guy ton écrit dans son ouvrage intitulé La Physiologie, considéré comme une référence à ce sujet:

«Le problème le plus difficile dans l'étude de la conscience, de la pensée, de la mémoire et de l'apprentissage réside en ce que nous ignorons le mécanisme nerveux d'une idée quelconque.»

* * *

Les lois et les concepts ne sont pas divisibles, et les cellules cérébrales ne leur servent pas de refuge. Ces perceptions et évidences sont liées à une entité immatérielle.
Par exemple, quand nous disons: «cet oiseau est vert», il n'y a pas de doute que l'oiseau est susceptible de différenciation, et que la couleur verte peut aussi être différenciée, mais le concept de la couleur de cet oiseau ci n'accepte nullement l'indétermination.

Si nous considérons la pensée comme un produit de la matière, l'indétermination générale qui s'ensuivrait devrait nécessairement trouver sa conceptualisation; et celle - ci n'est possible que par l'esprit. Or, la pluralité, l'indétermination du genre ne se prête pas à une conceptualisation.

Par conséquent lorsqu'un des actes de l'esprit - qui est la pensée-, perd toute trace matérielle, qui est indétermination et pluralisme, nous en concluons qu'il est caractérisé par l'immatérialité; et il est nécessaire alors que la source de la pensée, - qui est l'âme - possède également cette qualité d'immatérialité. Nous avons ainsi pu montrer l'immatérialité de l'âme à travers l'immatérialité de la pensée.

De ce qui précède, il s'avère que les arguments illusoires et froids auxquels ont recours les matérialistes pour réfuter la métaphysique, outre qu'ils reposent sur des hypothèses non - fondées, comme celles de réduire les phénomènes vitaux comme la reflexion, la conscience et la perception à des phénomènes matériels, peuvent être combattus avec des preuves logiques solides.

De pareilles théories ne peuvent pas lever le voile qui recouvre les secrets de la réalité, car les sciences expérimentales ont proclamé leur impuissance à connaître la nature et le mode opératoire de ces phénomènes.

Si le système philosophique matérialiste se montre incapable d'apporter des réponses à ces questions, il tombera en désuétude, comme une monnaie n'ayant plus cours légal. Enfin, quand la philosophie aura atteint sa maturité, que la pensée atteindra son plein développement, et que l'homme se dégagera des perspectives étroites qui le condamnent à l'unidimensionnalité, la philosophie matérialiste sera jetée dans la poubelle de l'histoire, comme d'autres conceptions périmées.

Lorsque l'esprit se déconnecte de la matière pyramidal il rejoint les désirs plus profond de l’âme,
pour ne former plus qu'un son corps devient connecté au cube par ses aspirations spirituelles alors il découvre la plénitude et la pleine croissance de son être et retourner au Paradis perdu Au commencement l'homme vivait en harmonie avec le cube d’où il tirait son énergie et son rayonnement

 

http://travelmeant.net/fundamentals_of_religion/day_of_resurrection/la_resurrection

25 septembre 2016

Preuves de la télépathie comportementale de masse

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Certains chercheurs le soupçonnaient déjà depuis longtemps, surtout des ethnologues, anthropologues, des spécialistes des systèmes d'informations et des spécialistes du comportement, il existait une forme inconnue de transmission des informations d'individus ou d'un groupe d'individus à un autre groupe d'individus d'une même espèce, même extrêmement éloignés l'un de l'autre et sans contacts physiques. Le phénomène a été également constaté par les archéologues et surtout les spécialistes de datations : des comportements et inventions humaines ont bien littéralement traversé les océans ou les espaces vides trop rapidement pour qu'il y ait des contacts physiques entre ces différentes sociétés humaines n'ayant pour certaines aucun lien tribal entre elles. 

Le principe semble être celui-ci : quand un nombre suffisant d'individus adopte les mêmes comportements, attitudes, concepts, avantages et désavantages, ce comportement se transmet directement et à grande échelle, et très rapidement, à l'ensemble de la famille (lointaine ou non) de ce groupe répartie sur le monde entier. On pourrait considérer par exemple que la création d'un menhir taillé par un homme, un jour qu'il en ait eu l'idée pour x raison, ait été admise comme bénéfique par sa tribu dans un premier temps, qui a commencé à faire de même. Marquage de lieux, signalisation aux bateaux, religion, peu importe la motivation. Du moment que celle-ci est assez forte, les menhirs se répandent dans toute la région et les tribus (amies ou ennemies d'ailleurs)... jusqu'à ce qu'un nombre suffisant d'humains de l'époque aient bien assimilé le principe du menhir dans sa culture (même s'il n'en fabrique pas lui-même) et que, comme un signal, un homme reçoit l'idée et une tribu se met à fabriquer des menhirs à l'autre bout du monde dans des îles...

La réalité de ce phénomène télépathique liant tous les individus d'une espèce a été prouvée assez récemment, grâce à l'observation constante de tribus de singes asiatiques. Une transmission de données et des modifications de comportement ont été prouvés sur des lieux distants et sans contacts physiques entre des singes isolés dans des îles différentes. 

Ces scientifiques ont étudié des macaques (macaca fuscata) sur l’île de Koshima en 1952. Certains de ces singes avaient appris à laver des patates douces et les scientifiques ont alors observé que ce nouveau comportement s'était répandu à tous les jeunes singes de l’île par mimétisme.

Watson prétend cependant que ce comportement se serait même répandu aux singes de toutes les îles avoisinantes sans qu’il y ait la moindre transmission visible et cela au moment où un nombre clé aurait été atteint, le fameux centième singe, à partir duquel l’espèce entière aurait acquis un nouveau savoir.

L’histoire a été rendue populaire par Ken Keyes dans son livre « le centième singe » dont il applique le concept à la société humaine. Depuis, l’histoire a été acceptée comme un fait et est apparue dans de nombreux ouvrages dont certains écrits par des universitaires.

Synapseimag

Une découverte récente apporte de l'espoir sur une maladie comme Alzheimer, mais pourrait avoir des conséquences sur cette transmission d'une mémoire collective à l'ensemble de l'espèce.

Des chercheurs ont annoncé avoir réussi à réactiver la mémoire de rats après avoir effacé une partie de leurs souvenirs. "Nous pouvons créer un souvenir, l’effacer et le faire resurgir", a déclaré le Dr Roberto Malinow, professeur de neurosciences à l’université de Californie San Diego School et co-auteur de l’étude publiée ce dimanche 1er juin dans la revue Nature. Des américains avaient déjà pu effacer complètement des souvenirs, mais de là à les réactiver, c'était une autre histoire... mais c'est possible !

Bon, on le soupçonnait déjà grâce à certains travaux reconnus grâce à la suggestion magnétique (hypnose) qui pouvait refaire surgir des souvenirs du passé et remonter dans le temps, mais ces nouveaux travaux en tests réels sur des rats viennent d'en apporter une preuve physique incontestable.

Manipuler les synapses

Les chercheurs sont partis du principe que les souvenirs s'inscrivent dans le cerveau à travers l'affaiblissement ou le renforcement des synapses (ces zones de contact entre deux neurones), et ils ont voulu vérifier l'hypothèse qui indique que c'est l'affaiblissement de ces synapses qui efface les souvenirs alors que leur renforcement les améliore.

Pour ce faire, le choix s'est porté sur un comportement facilement observable. Ils ont conditionné les rongeurs à associer un stimulus à une peur. En principe, les rongeurs, souvent habitués à vivre dans des endroits sombres se méfient naturellement d'une trop forte lumière subite. Les chercheurs ont donc influencé les synapses des rongeurs avec de la lumière, à l'aide de l'implantation d'une fibre optique dans une région précise de leur cerveau. En même temps, une décharge électrique était délivrée dans une patte de l'animal afin que ce dernier associe la peur de la décharge à l'impulsion lumineuse. (un type de procédé qui ne sera jamais acceptable (mais accepté un jour ?) sur l'être humain).

Ils se sont aperçu qu'en modifiant la fréquence de l'impulsion lumineuse, ils influaient sur la peur contractée par les rongeurs. A basse fréquence le souvenir de la décharge s'évanouissait alors qu'au contraire, avec des impulsions à haute fréquence, la peur d'être électrocuté refaisait surface.

" Nous pouvons entraîner un animal à avoir peur, à ne plus avoir peur, puis à avoir peur à nouveau, en stimulant les nerfs avec des fréquences qui renforcent ou affaiblissent les synapses", explique Sadegh Nabavi, co-auteur de l'étude. La preuve en a été apportée par l'analyse des changements chimiques survenus dans les synapses manipulées, qui confirmait bien le renforcement ou l'affaiblissement de celles-ci.

" Nous avons montré que les lésions qui apparaissent dans le cerveau des patients atteints d'Alzheimer affaiblissaient les synapses de la même façon que nous l'avons fait pour effacer la mémoire des rongeurs", conclus le Dr Roberto Malinow. En effet, les personnes atteintes par cette maladie subissent dans leur cerveau l'accumulation de la bêta-amyloïde responsable de l'affaiblissement des connexions synaptiques. Le même type d'affaiblissement que celui provoqué par les impulsions lumineuses de basse fréquence induitent dans le cerveaux des rats.

source : http://www.sciencesetavenir.fr/sante/20140603.OBS9296/des-chercheurs-parviennent-a-effacer-puis-restaurer-la-memoire-sur-commande.html

Des découvertes importantes sur la mémoire des êtres vivants mais aussi sur les liens intimes entre la conscience et les ondes, les fréquences qui devraient considérablement modifier à plus ou moins court terme... l'ensemble de la conscience humaine. Mais nous commençons déjà à entrevoir en même temps les très fortes possibilités de manipulations de cette mémoire, tant individuelle donc que collective... car en effet, si nous arrivons à manipuler artificiellement le comportement des cerveaux humains pour lui faire accepter ou non un comportement précis, comme on l'a fait pour des rats, on peut tout en faire, d'un esclave total à des millions d'inventeurs et créateurs... si, au lieu d'apprendre aux singes à laver des patates douces, on lui apprenait à entasser des pierres l'une au-dessus de l'autre pour s'abriter du vent, la race finirait-elle par créer un mur et une maison ?... On a pu apprendre à certains grands singes des signes de langages sourd-muet et ils ont pu échanger avec l'être humain... si on apprend à des centaines de gorilles ces signes de communication, les gorilles sauvages en afrique vont-ils aussi un beau jour commencer à se faire ces signes entre eux pour communiquer ? Idem pour les dauphins dont on commence à étudier avec succès le langage fait de variations de fréquences sonores ?

Une autre donnée qui semble intéressante, même s'il faut encore réfléchir aux implications diverses, c'est bien cette possibilité de ramener des souvenirs à priori effacés. Si vous effacez votre disque dur, il faut des outils spécifiques pour pouvoir restaurer les données... et il ne faut pas que des données aient été réécrites par-dessus... Or, des souvenirs (y compris pour des rats) s'accumulent en permanence quand un individu est éveillé, rien que la vision, le son et les mouvements environnants apportent des souvenirs au cerveau, qui s'inscrivent donc bien quelque part en permanence... la transmission à distance de données comportementales comme constaté inclue-t-elle donc une "sauvegarde" des données ailleurs que chez l'individu, mais au niveau de son ADN commun, ou encore d'une conscience collective non physique mais faite d'ondes et fréquences ? On sait que rien ne se perd dans l'univers, y compris l'énergie... la conscience du vivant ne peut donc se perdre non plus au niveau individu par la mort : tout comme le corps physique retourne à la poussière qui sert à la nature pour d'autres fonctions, la conscience animale et humaine retourne à la nature de sa conscience collective réelle (qui existe parce qu'un nombre suffisant d'individus "y croient "?)...

Tout ceci pose plus de questions encore que de réponses, mais il est utile de prévenir le monde de ces connaissances nouvelles qui s'accumulent (sans qu'elles soient très diffusées par les médias officiels) tant pour les espoirs, que pour les dangers qu'elles apportent... 

Synapm e

Synapses

Au niveau des synapses les informations sont transmises par voie chimique par l'intermédiaire de molécules appelées neuromédiateurs ou neurotransmetteurs.

Dans certain type de synapse comme celles des jonctions neuromusculaire, il intervient un seul type de neurotransmetteur, dans d'autres comme celles qui se trouvent dans le système nerveux central plusieurs neuromédiateurs différents interviennent.

Les neuromédiateur sont synthétisés dans les vésicules synaptiques situées à la terminaison de la cellule présynaptique et sont libérées dans l'espace intersynaptique lorsqu' arrivent suffisamment de potentiels d'action à cette terminaison.

Les neurotransmetteurs diffusent ensuite dans l'espace intersynaptique et sont captés par des récepteurs moléculaires spécifiques situés sur la membrane de la cellule postsynaptique.

Ceci va déclencher, lorsque la concentration des neurotransmetteurs capté par les récepteurs est suffisamment élevée, des modifications dans la cellule post synaptique tel que la création de potentiels d'action, modifications dans la forme ou le métabolisme de certaines molécules et entraîner des phénomènes tels que la contraction, sécrétion ou autre.)

La plupart des neurones sont très fortement interconnectés. Les neurones pyramidaux du néo-cortex dans l'encéphale établissent en moyenne 10 000 connections avec d'autres neurones.

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/sciences/preuves-de-la-telepathie-comportementale-de-masse.html

http://bio.m2osw.com/gcartable/systeme%20nerveux/synapses.htm

24 février 2016

La mesure de la beauté créée dans la nature: le nombre d'or

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dès lors qu'une structure équilibrée est aboutie de manière harmonieuse ou remarquable en termes d'application ou de fonction, alors nous pouvons y chercher une fonction du Nombre d'Or... Le Nombre d'Or n'est pas le produit d'une imagination mathématicienne, mais un principe naturel lié aux lois de l'équilibre. (1)

On peut se demander ce qu'ont en commun les pyramides d'Egypte, le portrait de Mona Lisa par Léonard de Vinci, les tournesols, les escargots, la pomme de pin et nos doigts.

La réponse se trouve dans une séquence de nombres découverte par le mathématicien italien Fibonacci. Ces nombres, qu'on appelle également les nombres de Fibonacci, sont caractérisés par le fait que chacun d'entre eux représente la somme des deux nombres qui le précèdent. (2)

Les nombres de Fibonacci

fibonacci

L. Pisano Fibonacci

0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, 144, 233, 377, 610, 987, 1597, 2584, …

Les nombres de Fibonacci ont une propriété très intéressante. Lorsque vous divisez en séquence un nombre par le nombre qui le précède, vous obtenez deux nombres qui sont très proches l'un de l'autre. En fait, ce nombre après le 13ème de la suite devient invariable, et on l'appelle "la proportion dorée".

La proportion dorée = 1.618

233 / 144 = 1.618

377 / 233 = 1.618

610 / 377 = 1.618

987 / 610 = 1.618

1597 / 987 = 1.618

2584 / 1597 = 1.618

Le corps humain et la proportion dorée

Lorsque les artistes, les scientifiques et les designers mènent leurs recherches ou conçoivent leurs travaux, ils utilisent le corps humain, dont les proportions sont établies d'après la proportion dorée, comme mesure de référence. Léonard de Vinci et le Corbusier aussi ont utilisé le corps humain comme unité de mesure pour réaliser leurs œuvres. C'est pour cette même raison que le Neufert, un ouvrage de référence majeur de l'architecture moderne, est basé sur les proportions du corps humain.

Petite

leonardo_da_vinci

Leonardo de Vinci a utilisé la proportion dorée lorsqu'il a décrit les proportions du corps humain.

La proportion dorée dans le corps humain

Les rapports proportionnels "idéaux" suggérés comme existant parmi les nombreuses parties d'un corps humain moyen et correspondant approximativement aux valeurs de la proportion dorée peuvent être définis comme ci-dessous : (3)

Le niveau M/m dans le schéma ci-dessous est toujours équivalent à la proportion dorée. M/m = 1,618

golden_ratio01

Le premier exemple de la proportion dorée dans un corps humain moyen est lorsque la distance du nombril à la plante des pieds est considérée comme une unité, la hauteur de l'être humain est équivalente à 1,618. D'autres proportions dorées dans un corps moyen sont:

La distance entre les extrémités des doigts et le coude / la distance entre le poignet et le coude,
La distance entre la ligne de l'épaule et le sommet de la tête / la longueur de la tête,
La distance du nombril au sommet de la tête / la distance de la ligne de l'épaule au sommet de la tête,
La distance du nombril au genou / la distance du genou à la plante des pieds.

La main

Lâchez la souris de votre ordinateur et observez votre index. Vous avez toutes les chances d'y contempler une proportion dorée.

Nos doigts sont composés de trois parties. La proportion des deux premières sur la longueur totale du doigt donne la proportion dorée (à l'exception des pouces). Vous verrez que la proportion du majeur à l'auriculaire est également une proportion dorée. (4)

Vous avez deux mains, dont les doigts de chacun sont divisés en trois parties. Chaque main est composée de cinq doigts, et seulement huit d'entre eux sont articulés selon le nombre d'or: 2, 3, 5, 8 correspondent aux nombres de Fibonacci.

La proportion dorée sur le visage de l'homme

Il y a sur le visage humain plusieurs proportions dorées. Cependant inutile d'aller chercher une règle et d'essayer de mesurer les faciès des gens, car elles correspondent au "visage humain idéal" décrit par les scientifiques et les artistes.

Par exemple, la largeur totale des deux incisives centrales de la mâchoire supérieure par rapport à leur hauteur donne la proportion dorée. La largeur de la première dent, depuis le centre jusqu'à la seconde dent, correspond également à la proportion dorée. C'est ce qui peut être considéré par les dentistes comme des proportions idéales. Les autres proportions dorées du visage humain sont les suivantes:

La longueur du visage/la largeur du visage,
La distance des lèvres à l'endroit où se croisent les sourcils/la longueur du nez,
La longueur du visage / la distance des extrémités de la mâchoire à l'endroit où se croisent les sourcils,
La longueur de la bouche/la largeur du nez,
La largeur du nez/la distance entre les narines,
La distance entre les pupilles / la distance entre les sourcils.

La proportion dorée dans les poumons

Dans des recherches menées de 1985 à 1987 (5), le physicien américain B. J. West et le Dr. A. L. Goldberger ont révélé l'existence d'une proportion dorée dans la structure du poumon. Le réseau des bronches qui constitue le poumon est caractérisé par une asymétrie. Par exemple, la trachée se divise en deux bronches principales, une longue (gauche), et une petite (droite). Cette division asymétrique se retrouve dans les subdivisions internes des bronches. (6) It was determined that in all these divisions the proportion of the short bronchus to the long was always 1/1.618.

Le rectangle d'or et la structure de la spirale

Un rectangle d'or est un rectangle dont le rapport longueur sur largeur est égal à la proportion dorée. Supposons qu'un carré est dessiné sur la longueur de la largeur du rectangle, traçons un rayon de cercle entre les deux coins du carré. Puis dessinons un carré et un rayon de cercle dans le dernier coin, et répétons l'opération pour tous les autres rectangles dans le rectangle principal. On finira par obtenir une spirale.

L'esthéticien britannique William Charlton nous explique pourquoi nous sommes autant captivés par la spirale, qui est utilisée depuis des millénaires, et affirme que notre fascination pour les spirales est due au fait que nous pouvons facilement en visualiser la structure. (7)

Dans la nature on trouve des spirales basées sur la proportion dorée, et qui ont toutes des structures tout à fait particulières. Les spirales des tournesols et de la pomme de pin en sont des exemples parfaits. Un autre exemple de la toute puissance de Dieu et du fait qu'Il crée toute chose avec mesure est le fait qu'on retrouve ce processus de développement en spirale logarithmique chez de nombreux êtres vivants. Quelles que soient les formes des créatures en fin de développement, les courbes de la spirale sont toujours les mêmes et la forme principale ne varie jamais. En mathématiques aucune autre forme ne possède une telle propriété. (8)

La structure des coquilles

nautilus

La structure parfaite de la coquille du nautile contient la proportion dorée.


Alors qu'ils faisaient des recherches sur les coquilles de ces créatures appelées mollusques, vivant au fond des mers, les scientifiques ont été intrigués par la forme et la structure des surfaces externe et interne des coquilles:

La surface interne est lisse, tandis que l'extérieur est cannelé. Le corps du mollusque est à l'intérieur de la coquille et la surface interne des coquilles devrait être lisse. Les bords extérieurs de la coquille augmentent la rigidité de la coque et en renforcent ainsi la solidité. Les formes des coquilles surprennent par leur perfection et l'efficacité des moyens utilisés pour sa création. L'idée de la spirale dans les coquilles est exprimée par une forme géométrique parfaite, avec une conception d'une beauté stupéfiante. (9)

Les coquilles de la plupart des mollusques se développent à la manière d'une spirale logarithmique. Bien sur il ne fait aucun doute que ces animaux sont totalement inconscients du calcul mathématique le plus simple, sans parler des spirales logarithmiques. Alors comment ces créatures en question peuvent-elles savoir que c'est là la meilleure façon pour elles de se développer? Comment ces animaux, que quelques scientifiques décrivent comme "primitifs", peuvent-ils connaître leur forme idéale? Il est impossible qu'un tel développement se réalise en l'absence de toute forme de conscience ou d'intelligence. Malgré ce que disent certains scientifiques, une telle conscience n'existe ni chez les mollusques, ni même dans aucun autre élément de la nature. Il est absolument absurde de chercher à expliquer de telles choses par le hasard. Cette structure ne peut être que le fruit d'une intelligence et d'un savoir supérieur, et sa conception appartient à Dieu Tout Puissant, Créateur de toutes choses :

Mon Seigneur embrasse tout dans Sa science. Ne vous rappelez-vous donc pas? (Coran, 6: 80)

Sir D'Arcy Thompson, éminent biologiste dans ce domaine, qui a décrit ce genre de développement comme un "développement gnomique", a déclaré qu'il était impossible d'imaginer un système plus simple, pendant le développement de la coquille, que celui basé sur l'élargissement et l'extension conformément à des proportions identiques et invariables. Comme il l'a souligné, la coquille évolue régulièrement, mais la forme demeure la même. (10)

L'un des meilleurs exemples de ce type de développement est celui du nautile qui ne mesure que quelques centimètres de diamètre. C. Morrison décrit ce processus de développement, lequel est exceptionnellement difficile à programmer même pour l'intelligence humaine, en affirmant que le long de la coquille du nautile, s'étend une spirale interne consistant en un certain nombre de chambres avec des parois de nacre. Lorsque l'animal grandit, il construit au niveau de l'entrée de la coquille une seconde chambre plus grande, puis il se déplace vers cette dernière en fermant la porte derrière elle avec une couche de nacre. (11)

Les noms scientifiques d'autres créatures marines avec des spirales logarithmiques, contenant différentes proportions de développement dans leurs coquilles sont:

Haliotis Parvus, Dolium Perdix, Murex, Fusus Antiquus, Scalari Pretiosa, Solarium Trochleare.

Les ammonites qui sont des créatures marines qu'on ne retrouve plus que sous la forme fossilisée, avaient également des coquilles qui de développaient en forme de spirale logarithmique.

Les mollusques ne sont pas les seules créatures vivantes chez qui on retrouve ce développement en forme de spirale. Les cornes des animaux tels que les antilopes, les chèvres et les béliers finissent leur croissance en forme de spirale sur le principe de la proportion dorée. (12)

La proportion dorée dans l'organe de l'audition

La cochlée dans l'oreille interne humaine sert à transmettre les vibrations sonores. Cette structure osseuse, remplie de liquide, a une forme spirale logarithmique avec un angle fixe de ?=73°43´ comprenant la proportion dorée.

Les cornes et les dents qui croissent en forme de spirale

On peut trouver des exemples de courbes basées sur la spirale logarithmique dans les défenses d'éléphants et de mammouths maintenant disparus, dans les griffes des lions et les becs de perroquets. L'araignée eperia tisse toujours ses toiles en forme de spirale logarithmique. Parmi les micro-organismes connus comme le plancton, la globigérine, les planorbes, le vortex, les terebras, les turitelles et les trochidés, tous sont structurés en spirale.

La proportion dorée et le monde microscopique

coneflower

Le nombre d'Or, la beauté mesurée

Les formes géométriques ne se limitent en aucun cas aux triangles, aux carrés, aux pentagones ou aux hexagones. Ces formes peuvent également se regrouper ensemble de diverses façons pour engendrer de nouvelles formes géométriques tridimensionnelles. On peut par exemple en premier lieu citer le cube et la pyramide. En plus de ceux-ci, cependant, il y a aussi de telles formes tridimensionnelles comme le tétraèdre (avec quatre faces égaux), l'octaèdre, le dodécaèdre et l'icosaèdre, que nous ne rencontrerons probablement jamais dans notre quotidien et dont nous n'avons peut-être jamais entendu les noms. Le dodécaèdre comporte 12 faces pentagonales et l'icosaèdre 20 faces. Les scientifiques ont découvert que ces formes peuvent toutes se substituer mathématiquement les unes aux autres, et que cette transformation se fait avec des proportions liées à la proportion dorée.

Les formes tridimensionnelles qui contiennent la proportion dorée sont très répandues parmi les micro-organismes. Nombreux sont les virus qui ont une forme icosaèdre. Le plus célèbre d'entre eux est l'adénovirus qui se compose de 252 sous-unités protéiques, qui sont toutes présentées de façon régulière. Les 12 sous-unités dans les coins de l'icosaèdre ont la forme de prismes pentagonaux. De ces coins apparaissent des structures semblables à des tiges.

Aaron Klug et Donald Caspar de l'Université Birbeck à Londres ont été les premiers, dans les années 50, à découvrir que les virus apparaissaient avec des formes contenant la proportion dorée. Le virus polio fut le premier auquel cette caractéristique fut attribuée. Le rhinovirus a la même forme que le virus polio.

Pourquoi ces virus ont-ils des formes basées sur la proportion dorée, des formes que mentalement il nous est très difficile de visualiser? A. Klug, qui a découvert ces formes explique:

Mon collègue Donald Caspar et moi avons montré que la structure de ces virus pouvait être expliquée en termes de généralisation de symétrie icosaédrique permettant de relier des unités identiques d'une façon quasi-équivalente avec une petite mesure de flexibilité interne. Nous avons listé toutes les structures possibles, ayant des similitudes avec les dômes géodésiques conçues par l'architecte R. Buckminster Fuller. Néanmoins, tandis que les dômes de Fuller doivent être assemblés en suivant un code plutôt complexe, la structure du virus lui permet de se construire seul. (14)

Une fois de plus la description de Klug révèle une vérité évidente. Même dans les virus, qui sont considérés par les scientifiques comme étant "les êtres vivants les plus simples et les plus petits", on retrouve une structure organisée avec intelligence et perspicacité. (15) Cette structure a rencontré plus de succès, et est supérieure à celles de Buckminster Fuller, l'un des architectes les plus éminents au monde.

Le dodécaèdre et l'icosaèdre apparaissent également dans les squelettes en silice des radiolaires, des micro-organismes marins unicellulaires.

Les structures basées sur ces deux formes géométriques, comme le dodécaèdre régulier avec des structures en forme de pied surgissant de chaque coin, et les nombreuses formations sur leurs surfaces forment les corps d'une beauté changeante des radiolaires. (16)

Le Circigonia Icosahedra, de forme icosaèdre, avec un squelette dodécaèdre est un autre exemple de ces organismes qui mesurent moins d'un millimètre. (17)

La proportion dorée dans l'ADN

Tous les êtres vivants sont individuellement caractérisés par cette molécule qui a été créée avec une forme basée sur la proportion dorée. La molécule d'ADN, qui contient le programme génétique de toute une vie, est basée sur la proportion dorée. Elle est constituée d'une double hélice perpendiculaire enroulée. La longueur de la courbe de chaque hélice est de 34 angstr¶ms tandis que la largeur est de 21 angstrœms. (Un angstrœm, c'est un cent millionième de centimètre). Les chiffres 21 et 34 sont deux nombres consécutifs de Fibonacci.

La proportion dorée dans les cristaux de neige

On retrouve également la proportion dorée dans les structures cristallines. La plupart de ces structures sont trop minuscules pour pouvoir être observées à l'œil nu. Toutefois vous pouvez les voir dans les flocons de neige. Les nombreuses variations, courtes et longues, les pointes qui composent le flocon de neige, tout se rapporte à la proportion dorée. (18)

La proportion dorée dans l'espace

Dans l'univers il y a beaucoup de galaxies en spirales, dont les structures renvoient à la proportion dorée.

La proportion dorée et la physique

On rencontre les suites de Fibonacci et la proportion dorée dans les domaines qui se rapportent à la physique. Lorsque qu'on projette de la lumière sur deux couches de verres contiguës, une partie de cette lumière traverse le verre, une autre partie est absorbée, tandis que le reste est reflété. Ce phénomène est appelé "réflexion multiple". Le nombre de chemins empruntés par le rayon lumineux à l'intérieur du verre avant qu'il n'en ressorte dépend du nombre de réflexions auquel il est soumis. En conclusion, lorsque nous déterminons le nombre de rayons qui en ressort, nous trouvons qu'il correspond aux nombres de Fibonacci.

Dans la nature on peut ainsi observer des structures vivantes, ou non, appartenant à des espèces très différentes, mais qui sont toutes formées selon une même formule mathématique bien spécifique. C'est là une preuve évidente que toutes ces créatures ont été spécifiquement conçues. Les artistes connaissent cette règle esthétique qu'est la proportion dorée, et l'utilisent pour leurs travaux. Les œuvres d'art basées sur cette proportion représentent la perfection en esthétisme. Les végétaux, les galaxies, les micro-organismes, les cristaux, et les êtres vivants conçus d'après cette règle, que les artistes imitent, sont tous des exemples de la supériorité créatrice de Dieu. Dieu nous révèle dans le Coran qu'Il a créé toute chose avec mesure, comme par exemple dans les versets suivants :


(...) et Dieu a assigné une mesure à chaque chose (Coran, 65: 3)

(…) Et toute chose a auprès de Lui sa mesure. (Coran, 13: 8)


--------------------------------------------------------------------------------

1- Mehmet Suat Bergil, Do?ada/Bilimde/Sanatta, Altyn Oran (La Proportion Dorée dans la Nature/Sciences/Arts), Arkeoloji ve Sanat Yayinlari, 2nde édition, 1993, p. 155.
2- Guy Murchie, The Seven Mysteries of Life, First Mariner Boks, New York, pp. 58-59.
3- J. Cumming, Nucleus: Architecture and Building Construction, Longman, 1985.
4- Mehmet Suat Bergil, Do?ada/Bilimde/Sanatta, Altyn Oran (La Proportion Dorée dans la Nature/Sciences/Arts ), Arkeoloji ve Sanat Yayinlari, 2nde édition, 1993, p. 87.
5- A. L. Goldberger, et al., "Bronchial Asymmetry and Fibonacci Scaling." Experientia, 41 : 1537, 1985.
6- E. R. Weibel, Morphometry of the Human Lung, Academic Press, 1963.
7- William Charlton, Aesthetics: An Introduction, Hutchinson University Library, London, 1970.
8- Mehmet Suat Bergil, Do?ada/Bilimde/Sanatta, Altyn Oran (La Proportion Dorée dans la Nature/Sciences/Arts), Arkeoloji ve Sanat Yayinlari, 2nde édition, 1993, p. 77.
9- "The 'Golden' spirals and 'pentagonal' symmetry in the alive Nature," online at: http://www.goldenmuseum.com/index_engl.html
10- D'Arcy Wentworth Thompson, On Growth and Form, C.U.P., Cambridge, 1961.
11- C. Morrison, Along The Track, Withcombe and Tombs, Melbourne.
12- "The 'Golden' spirals and 'pentagonal' symmetry in the alive Nature", online at: http://www.goldenmuseum.com/index_engl.html
13- J. H. Mogle, et al., "The Stucture and Function of Viruses," Edward Arnold, London, 1978.
14- A. Klug, "Molecules on Grand Scale," New Scientist, 1561: 46, 1987.
15- Mehmet Suat Bergil, Do?ada/Bilimde/Sanatta, Altyn Oran (La Proportion Dorée dans la Nature/Sciences/Arts), Arkeoloji ve Sanat Yayinlari, 2nde édition, 1993, p. 82.
16- Mehmet Suat Bergil, Do?ada/Bilimde/Sanatta, Altyn Oran (La Proportion Dorée dans la Nature/Sciences/Arts), Arkeoloji ve Sanat Yayinlari, 2nde édition, 1993, p. 85.
17- For bodies of radiolarians, see H. Weyl, Synnetry, Princeton, 1952.
18- Emre Becer, "Biçimsel Uyumun Matematiksel Kuraly Olarak, Altyn Oran" (La proportion Dorée, loi mathématique d'une harmonie formelle), Bilim ve Teknik Dergisi (Magazine des Sciences et de la Technologie), janvier 1991, p. 16.
19- V.E. Hoggatt, Jr. and Bicknell-Johnson, Fibonacci Quartley, 17: 118, 1979.

8 avril 2014

la télépathie est la propagation de l’information à une vitesse infinie

 

La densité zéro, condition de la télépathie

dgg


La densité zéro est la condition de propagation de l’information à une vitesse infinie. Cela révèle un mécanisme qui expliquerait la nonlocalité et la télépathie.

L’information pourrait être transmise instantanément de n’importe quel point de l’univers à n’importe quel autre. Cela veut dire que toute l’information sur tout ce qui arrive, partout dans l’univers, est instantanément disponible n’importe où. Afin d’être protégée de la surcharge d’information,chaque conscience doit donc être enveloppée
d’une barrière filtrante très efficace programmée au sein de la structure calculatrice de l’I-ther. La propagation de l’information n’est donc plus limitée à la vitesse de la lumière, comme dans la relativité.
En fait, certaines expériences de vision à distance permettent de déduire que l’information se déplace plus vite que celle-ci.


Des expériences de vision à distance conduites au cours d’une journée d’étude de la SPR le 24 avril 2004 ont été décrites par Edwin May et publiées plus tard dans la Paranormal Review (2005). Il s’agissait de
la vision de Io, satellite de Jupiter. Le satellite a été observé au moment où il disparaissait dans l’ombre
de la planète. Les phases de cette disparition ont été déterminées à quinze reprises avec une précision de dix secondes, mais l’événement n’a été observé au télescope que quarante minutes plus tard. May avança alors l’hypothèse que la différence de temps pouvait s’expliquer par la précognition et suggéra qu’une nouvelle sorte d’espace était peut-être concerné.


Près de quatre fois la vitesse de la lumière
Mais il y a peut-être une autre explication. Tandis que la Terre et Jupiter parcourent leurs orbites, la distance qui les sépare varie d’un maximum de 967 800 000 km à un minimum de 588 800 000 km. Même lorsqu’elles sont au plus loin, la lumière, qui se déplace à 300 000 km/s, met 53,8 minutes pour parcourir cette distance. Donc le temps maximal de la vision à distance eut été de 53,8 – 40 = 13,8 minutes, ce qui donne une vitesse correspondante de 1 170 000 km/s, soit 3,9 fois la vitesse de la lumière. La Physique de la Sur-vie prédit que la télépathie se propage à une vitesse infiniment grande, ce qui correspondrait à une distance de séparation de 720 000 000 km, soit environ la moyenne entre les deux extrêmes. [NdT : 720 000 000/300 000 = 2 400 sec., soit 40 min.] Si May avait inclus la date de l’expérience,
un astronome aurait pu calculer la distance qui séparait les deux planètes à ce moment. On aurait alors pu comparer avec les valeurs données ici.

Des preuves de la vie après la vie
Victor Zammit (2006) offre quantité de preuves del ’existence de la vie après la vie. Emma Heathcote- James (2004) en apporte d’autres, et de nombreux livres traitent du sujet. J’en apporte davantage dans ma nouvelle vulgarisation (Pearson 2008). Tout celavient appuyer la théorie présentée ici mais avec plus de détails. On y trouve aussi une histoire de la science et les raisons pour lesquelles cette théorie s’est heurtée à une fin de non recevoir. Le lecteur
s’y verra proposé quelques expériences réalisables à domicile, qui sont des répliques de découvertes dues
Fig. E : réseau I-ther avec âme, cerveau et matière
ither
Les âmes (consciences) figurent comme des portions évoluées du réseau structurel de l’I-ther. Chacune possède une barrière informationnelle filtrante, programmée dans l’I-ther, séparant
 e subconscient du conscient. Seul ce dernier agit sur le cerveau présumé fonctionner comme un servomécanisme. La barrière filtrante
garantit que la seule information qui puisse atteindre le conscient soit reflétée par la matière. Des yeux connectés aux cerveaux regardent tous un objet cristallin. C’est ainsi que tous les conscients sont maintenus dans l’illusion qu’ils sont des individus isolés, de sorte qu’ils puissent acquérir de l’expérience en interagissant de manière cohérente. Cependant, tous les subconscients de l’univers  sont inter-connectés par la structure I-ther amorale et c’est cet ensemble qui génère l’univers matériel. Seules des fuites contrôlées dans les
barrières filtrantes de deux personnes – bénéficiant d’une sorte de résonance – permettent un transfert d’information par télépathie.

Le « paranormal » s’explique brièvement comme suit :


le cerveau est entouré d’une âme, fragment hautement évolué de la structure de l’I-ther, et par conséquent immortelle. Chaque âme comporte un sub-conscient et un conscient séparés par une barrière informationnelle filtrante entourant ce dernier. Le conscient enveloppe et régit le cerveau matériel. Cependant, les
sub-conscients de tous les esprits sont inter-connectés par la structure de l’I-ther et forment la supra-conscience génératrice d’univers parallèles interpénétrés ; les mondes de l’esprit et le nôtre. La barrière informationnelle filtrante laisse passer l’information de tous les conscients vers leurs subconscients respectifs dans le but d’enrichir le « tout » des expériences individuelles. Par contre, le flux d’information en sens inverse est inhibé afin d’éviter la
surcharge. Autre facteur important, l’information ne peut accéder au conscient que par l’intermédiaire des cinq sens matériels. C’est ainsi que la matière apparaît en tant que seule réalité et impose à l’esprit un environnement temporaire restrictif. Cela contraint les individus à interagir de façon intelligible au moyen de la compétition et de la coopération qui leur permettent de progresser. Ils le font sans se rendre compte qu’ils ne forment qu’un dans l’I-ther

fleuve

il se pourrait que l'univers ait été créée par la pensée , et quelle a   duré 6 jours ,le temps tel que nous le connaissons n'existe que sur notre terre il est en rapport avec la gravité certaine planète de notre système ,leur  temps est beaucoup plus dense, une année dure 150 ans alors si Dieu existe il est éternel et dans la densité de temps dans laquelle il a crée l'univers , il se peut qu'il soit si dense que 6 jours aurait suffit a la création de la terre ce n'est pas aussi farfelue que l'on puisse  penser ,cela dépend de l'espace temps d'origine de la création qui est loin d'être le notre ou la vie d'un homme ne dure en fait une micro-seconde en comparaison ,alors nos vie sont destinées car facilement observable si je devais anticiper les 3 prochaines seconde ce serait très facile pour un simple homme mais pour un être supérieur je ne peux imaginer le degrés de connaissance de tout en instantané cela dépasse tout ce que l'on pourra jamais imaginer

Avant le Big bang le temps n'existe pas (le notre) ,alors il est évident que les 6 jours font référence aux temps de la création .ou 1; jour représenterait des milliards d'année .De plus la pensée est créatrice ,il se pourrait bien que l'univers ne soit qu'une pensée une vibration que nous percevons comme une réalité cette vision n'existerait que dans notre dimension finie,et notre esprit serait sur un autre plan infini pour cette raison que nous pouvons prévoir et pressentir les évènements à venir ou pratiquer la télépathie et cela en instantané,l'univers serait comme notre esprit le miroir ou se projette une pensée créatrice qui se reflete dans toute chose et cela à l'infini.  R.james

 

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