« Je n’ai aucun doute que cette affaire du « bébé secoué » finira un jour par être enregistrée comme l’une des pires pages de l’histoire de la pédiatrie. » Dr A. Kalokerinos
Le 15 janvier 2014, Monsieur John Sanders a été condamné à la prison à vie sans possibilité de libération pour le meurtre de sa petite fille Ja’Nayah âgée de 12 semaines et qui est décédée 24 heures après avoir reçu 8 vaccins en une seule journée.
Quand elle est née, Ja’ Nahah était un bébé normal, en parfaite santé et, avant de quitter l’hôpital, elle a reçu, comme d’ailleurs aussi sa maman Marrie, les vaccinations de routine. Deux jours plus tard, au cours d’un examen de routine, le médecin a dit à Marrie que son bébé avait perdu du poids (quelques livres) depuis la naissance et lui a demandé de ramener l’enfant le lendemain pour effectuer des tests.
La maman a préféré ignorer le conseil du médecin jusqu’au prochain rendez-vous, date à laquelle le bébé devait recevoir ses vaccins de routine, car elle pensait qu’il n’y avait aucun problème avec sa petite fille.
Une histoire tragique de vaccins ?
C’est une décision que Marrie regrette aujourd’hui amèrement, parce que peu de temps avant le rendez-vous suivant, la santé de Ja’Nayah a commencé à se détériorer ; elle n’arrêtait pas de vomir. Comme Marie était fort inquiète au sujet de la santé de l’enfant, elle en fit part au médecin au cours de la visite suivante.
Toutefois, le médecin parut quelque peu indifférent et dit à Marrie que sa petite fille mangeait probablement beaucoup trop. Au lieu d’examiner à fond l’enfant, comme on aurait pu s’y attendre, le médecin, ignorant les signes avant-coureurs d’une altération possible de la santé de l’enfant, administra huit vaccins à cet enfant malade comme il était prévu dans le carnet de vaccinations : le triple vaccin DTCa, le vaccin polio, le vaccin contre le Rotavirus, le vaccin contre l’hépatite B, le vaccin contre la méningite et le vaccin Hib.
Marrie a expliqué à Vactruth :
« Après que Ja’Nayah fut de retour à la maison après avoir reçu ses vaccins, elle n’était plus du tout le même bébé. Avant les vaccins, c’était un bébé heureux et gai. Mais après, elle n’a plus été aussi gaie et rayonnante. Elle a commencé à avoir une respiration sifflante ; elle était congestionnée et n’arrêtait pas de vomir. Quand elle pleurait, elle émettait un cri inhabituel comme si elle pleurait de douleur. Après les vaccins, son père a acheté du Tylénol pour nourrissons. On lui en administrait deux fois par jour. »
Une fois encore, Marrie décida de ne pas importuner le médecin parce qu’il lui avait dit que les bébés ne sont souvent pas très bien après les vaccins.
Il s’agit ici d’un mythe que l’on répète chaque jour aux mamans au sujet des vaccinations. Selon moi, rien ne peut être plus éloigné de la vérité. Il va de soi que si les vaccins étaient si bons, ils ne provoqueraient pas de la fièvre chez les bébés en bonne santé et ne provoqueraient pas des éruptions cutanées ou des crises.
Bien que Marrie s’était séparée de son partenaire, elle décida de lui rendre visite avec Ja’Nayah quelques semaines plus tard.
Marrie raconte :
« La nuit avant la rencontre avec John, Ja’Nayah avait été très difficile et irritée. Je lui ai finalement donné un biberon et elle a fini par s’endormir. Le lendemain matin je dus m’absenter et je confiai Ja’Nayah à John. Moins d’une heure après mon départ, je reçus un message de John me disant que l’enfant avait cessé de respirer et qu’il avait été transporté à l’hôpital. L’ayant rappelé, il m’expliqua que le bébé s’était réveillé en hurlant. Pendant qu’il se trouvait dans la cuisine pour lui préparer un biberon, le bébé avait cessé de hurler, et quand il s’approcha de l’enfant, celle-ci ne réagissait plus.
Quand je l’ai conduite à l’hôpital, où nous sommes restés environ une heure, elle était inconsciente. Elle a ensuite dû être transférée dans un autre hôpital où elle a eu un CT-scan. Le médecin qui l’avait examinée me dit qu’étant donné l’hémorragie qu’il avait vu au cerveau, il avait l’impression que l’enfant avait l’air d’avoir été secoué. J’ai immédiatement téléphoné à John pour lui demander pourquoi il avait secoué notre bébé. Il me répondit qu’il n’avait nullement fait pareille chose.
Quand nous étions à l’hôpital, la petite a dû subir une chirurgie du cerveau et recevoir des transfusions sanguines. Elle est finalement morte dans mes bras après avoir passé 12 heures à l’hôpital. »
Marrie dit qu’elle croit absolument que John n’a pas secoué Ja’Nayah. Ce n’est qu’après avoir reçu ses vaccins de routine que la petite est devenue malade. Cependant malgré ce fait, John fut immédiatement arrêté pour avoir tué la petite Ja’Nayah de 12 semaines.
Depuis, il a été emprisonné à vie sans possibilité de libération pour avoir commis un meurtre.
Qu’est-ce qui a tué la petite Ja’Nayah ?
Alors, John est-il responsable du décès de Ja’Nayah, ou l’enfant a-t-elle souffert de graves réactions à la suite des vaccinations, comme le suspecte sa maman ?
Quand j’ai pris connaissance du rapport d’autopsie, j’ai réalisé qu’il était rempli d’inexactitudes et soulevait pas mal de questions. A la page1 du rapport, il est précisé :
« Ja’Nayah Sanders, un bébé de 3 mois de sexe féminin, aurait été présenté au centre de Santé Mc Laren en arrêt cardio-respiratoire. Après réanimation, le bébé a été transféré à l’hôpital de Sparrow. Un CT Scan a montré une hémorragie sous durale. Au cours d’une craniotomie, il fut noté que le cerveau ne pulsait plus. Les complications des lésions cérébrales ont entraîné l’hypoxie, une coagulation intravasculaire disséminée, une acidose métabolique et une pneumonie. L’enfant est mort au cours de l’hospitalisation. C’est le 04.01.2013 que l’enfant a été admis à l’hôpital. Le bébé a été déclaré mort à 22h.30.
Selon les témoignages, Ja’Nayah n’avait pas été malade dans un passé récent. Le bébé n’avait pas reçu de médicaments. Aucune malformation congénitale n’avait été notée ; l’enfant avait reçu les visites appropriées. Dans un passé récent, l’enfant n’avait pas été en contact avec des personnes ou des animaux malades. Il n’avait non plus pas été placé en garderie. La maman a commencé les soins prénataux à 8 semaines de grossesse. A la naissance qui a été normale (vaginale), le bébé n’a pas eu de problèmes de santé. Le bébé est né à terme. Il a été nourri au lait maternisé Enfamil. L’enfant aurait été normal, heureux et ludique 24 heures avant d’être incapable de réagir. La température du corps était de 96 degrés (système américain). Entre 8 et 9 heures du matin, le jour du décès, le père signale avoir été préparer un biberon pour le bébé et pendant qu’il était en train de le remplir, le bébé a cessé de pleurer. Il est allé voir ce qui se passait. C’est à ce moment qu’il s’est aperçu que l’enfant était sans réactions et ne respirait pas. Le père de Ja’Nayah a de suite appelé son oncle. Ce dernier est arrivé en voiture et a emmené Monsieur Sanders et le bébé à l’hôpital McLaren à Lansing, Michigan. (passages soulignés par l’auteur de l’article). »
Le rapport du médecin légiste ne semble pas du tout correspondre à ce qu’a déclaré la maman.
Il est clair que cette petite fille était malade les deux fois qu’elle avait été vue par le médecin. Malgré ce fait, le médecin a omis d’examiner Ja’Nayah et à continué de la vacciner bien que l’enfant était clairement malade.
Il est intéressant de relever ce que le rapport d’autopsie précise également :
« Système gastro-intestinal : des sections représentatives des petit et gros intestins sont exemptes d’anomalies histopathologiques importantes. La muqueuse superficielle de l’estomac montre que des hémorragies se sont produites assez tôt. »
Cela pourrait vouloir dire que le bébé avait souffert d’un certain degré de gastrite. Ce fait aurait pu expliquer les vomissements continuels de l’enfant et ultérieurement les saignements de l’estomac. [1]
Le médecin légiste a également signalé que les poumons de Ja’Nayah étaient congestionnés. Cela pourrait correspondre aux déclarations de Marrie qui évoquait la respiration sifflante et la congestion observées après que l’enfant ait reçu ses huit vaccins.
Le nom d’une autre enfant apparaît sur les scans
Le rapport d’autopsie n’est pas le seul à poser de sérieuses questions sur la manière dont les preuves ont été recueillies et présentées au tribunal. Il est apparu que plusieurs analyses (scans) utilisées comme preuves pour condamner Monsieur Sanders semblent être au nom d’un autre enfant !!! Comment chose pareille est-elle possible ?
Les analyses de Ja ‘Nayah se sont-elles trouvées dans le dossier d’un autre enfant ? Il s’agirait alors d’une faute médicale grave de la part de l’hôpital qui soulève de nombreuses questions à propos de la manière dont cette affaire a été traitée pour préparer le procès.
Ja’Nayah souffrait-elle d’un problème de santé sous- jacent ?
La petite Ja’Nayah est morte 24 jours après avoir reçu huit vaccins en un seul jour.
Serait-il possible que Ja’Nayah ait souffert d’une carence en vitamine C ? Cette carence est souvent causée par l’administration de plusieurs vaccins.
En 2006, le Dr Michael Innis a écrit un article qui a été publié dans le « Journal des Médecins et des Chirurgiens Américains » dont le titre était : « Les vaccins, menaceraient-ils le pronostic vital ? - Maladie de Barlow et questions au sujet du syndrome du bébé secoué », article dans lequel il se demandait si oui ou non les ecchymoses inexpliquées, les hémorragies subdurales, les hémorragies rétiniennes actuellement diagnostiquées comme faisant partie du syndrome du bébé secoué, étaient causées par les parents qui secouaient violemment leurs enfants, ou plutôt par une carence en vitamine C, suite à l’administration de plusieurs vaccins. [2]
Son article examinait deux affaires distinctes de bébés qui étaient tombés malades peu de temps après avoir reçu plusieurs vaccins. Les deux enfants avaient souffert de fractures et d’hémorragies cérébrales.
Dans son analyse, le Dr Innis précisait :
« Pour autant que nous sachions, personne n’a mesuré les taux sanguins de vitamine C ou d’histamine dans les cas supposés de mort subite du nourrisson. L’existence possible d’une carence en vitamine C est une hypothèse qui s’appuie sur des résultats cliniques, radiologiques ou de laboratoire. Il y a plusieurs caractéristiques communes aux deux cas qui font penser, et qui sont compatibles avec un diagnostic de carence en vitamine C :
1. Il avait été signalé que les mères avaient eu des problèmes nutritionnels et ne s’étaient pas senties bien au cours de leur grossesse.
2. Les mères ont fumé pendant leurs grossesses, ce qui a contribué à réduire leurs taux de vitamine C, comme celui de leurs nourrissons
3. Les deux bébés étaient nourris au biberon (formule pour nourrissons) alors qu’ils étaient malades. On n’a pas invité les mères à donner un supplément de vitamine C.
4. Les deux parents ont rapporté les premiers signes compatibles avec la maladie de Barlow : ecchymoses spontanées chez un nourrisson et cicatrisation retardée chez l’autre.
5. Les deux enfants avaient des carences en acides aminés essentiels et non essentiels nécessaires à la production du collagène, ce qui est vraiment essentiel pour prévenir le scorbut.
6. Les deux nourrissons présentaient des signes de dysfonctionnement du foie.
7. Des fractures inexpliquées ont été observées chez les deux enfants.
En plus des niveaux faibles d’acides aminés pour le deuxième nourrisson, il existait des preuves supplémentaires de malnutrition (l’albumine sérique, les taux de calcium et d’hémoglobine étaient tous peu élevés.)
L’expérimentation animale a montré que l’administration de vitamine C peut contrer certains effets néfastes de la nicotine chez les nouveau-nés. Ceci suggère que les mères qui fument peuvent compromettre les taux de vitamine C de leurs enfants. »
Le Dr Innis a étudié tout le dossier de Ja’Nayah. Il a confirmé que cet enfant avait une maladie sous-jacente et que les vaccinations auraient pu le conduire à la mort.
Un appel va être lancé pour libérer le père de la prison à vie.
D’autres preuves montrent les dangers que représentent les vaccinations multiples
Il semble que les recherches et les travaux du Dr Innis rejoignent un article écrit par le regretté Dr A.Kalokerinos, MD intitulé : « Les bébés secoués » dans un passage qui porte le titre : « Le rôle joué par l’administration de vaccins ».
Le Dr Kalokerinos précisait :
« Je voudrais pouvoir éviter de parler de ce sujet mais ne le puis. Il n’est pas question de se demander s’il faut oui ou non administrer des vaccins. La question à se poser est la suivante : « Les vaccins jouent-ils un rôle dans la pathogenèse du syndrome du bébé secoué ?
Dans plusieurs cas (probablement un nombre important), l’effondrement final se produit dans un délai assez court après l’administration d’un vaccin. Dans le cas de Sally Clark, la chose s’est produite pour les deux bébés. La mère a refusé que son troisième bébé soit vacciné. Ce bébé est né après qu’elle fut inculpée.
Il n’existe pas le moindre doute dans mon esprit (ce que je dis se base sur une très longue expérience) que, malgré les avis contraires, il n’est pas sage d’administrer des vaccins chez des nourrissons malades- y compris chez des enfants qui font un « rhume ». Ceci, parce qu’au cours d’infections (y compris les « rhumes ») des endotoxines sont susceptibles d’être produites dans le tube digestif en quantités excessives et les processus de détoxification du foie sont susceptibles d’être débordés.- Certains praticiens répliqueront que dans de nombreuses situations, les enfants « ont toujours un rhume ». Ceci s’applique tout particulièrement aux aborigènes australiens. La réponse à ce problème est l’administration de vitamine C et de zinc qui permet de réduire énormément les risques (mais pas nécessairement complètement)
Les mécanismes impliqués dans l’administration des vaccins comprennent la formation excessive d’endotoxines. Le fait d’avoir connaissance de la chose permet de suivre la voie vers le développement des pathologies rencontrées dans les cas de soi-disant « bébés secoués ». (Souligné par l’auteur de l’article)
Il a conclu :
« Je n’ai aucun doute que cette affaire du « bébé secoué » finira un jour par être enregistrée comme l’une des pires pages de l’histoire de la pédiatrie. Et le plus triste dans tout cela est ceci : alors que des médecins de renom s’affairent à rassembler des « preuves » pour soutenir l’accusation, des questions essentielles qui pourraient sauver de nombreuses vies sont, non seulement ignorées, mais combattues, détruites avec une hostilité redoublée. (Souligné par l’auteur de l’article) [3]
Il s’agit d’un excellent article dans lequel le Dr Kalokerinos explique très clairement son point de vue.
Conclusion
Malgré les préoccupations évidentes de Marrie au sujet de ce que sa petite fille avait peut-être eu à souffrir à la suite des vaccins, ces derniers auraient été la dernière chose qui soit venue à l’esprit de quiconque quant il s’est agi de condamner Monsieur Sanders. En fait, absolument aucun expert de quelque domaine de la médecine que ce soit n’a été invité à témoigner pour la défense de Monsieur Sanders. Cette affaire a été traitée unilatéralement sur base de preuves floues et fragiles.
La seule chose qui aurait permis à l’accusation de savoir vraiment si Monsieur Sanders avait secoué sa petite fille à mort aurait été une vidéo ou la version d’un témoin oculaire crédible. Etant donné qu’il n’y avait ni vidéo, ni récit de témoin crédible, les soi-disant « preuves » ne devraient être considérées que comme de simples rumeurs ou conjectures.
Ce cas démontre une fois encore que d’autres causes possibles de la détérioration de la santé de l’enfant, y compris les effets secondaires des vaccins, ont été ignorées pour permettre de rejeter le blâme sur une personne. Monsieur Sanders devrait être libéré immédiatement. Il devrait pouvoir poursuivre cet hôpital pour incompétence médicale, faute médicale et séquestration abusive.
Références
http://www.initiativecitoyenne.be/article-le-pere-d-une-petite-fille-emprisonne-a-perpetuite-sans-possibilite-de-liberation-conditionnelle-apr-122144785.html
1.http://www.merckmanuals.com/professional/gastrointestinal_disorders/gastritis_and_peptic_ulcer_disease/gastritis.html
2. www.jpands.org/vol11no1/innis.pdf
3. http://www.freeyurko.bizland.com/kaloksb1.html
Source: Vactruth
« Il existe des preuves scientifiques qui montrent que les nourrissons peuvent, à des moments critiques, faire de graves réactions aux vaccinations. Les vaccinations sont la cause le plus probable de la mort subite du nourrisson et du syndrome du bébé secoué. » Dr Viera Scheibner, Ph.D
VACCINATION AND THE DYNAMICS OF CRITICAL DAYS by Viera Scheibner, PhD