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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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energie libre
17 novembre 2018

Cadillac développe une voiture qui peut rouler 100 ans sans carburant

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le constructeur américain Cadillac met au point un prototype de voiture futuriste capable de rouler plus de 100 ans sans carburant. Derrière ce concept en collaboration avec Laser Power Systems, se cache en réalité un moteur au thorium, qui ne fonctionne donc pas au carburant, et dont la consommation est extrêmement faible. Encore plus économe que la voiture électrique même, cette automobile fonctionne donc au thorium, un minéral noir qui est l’un des plus denses au monde.

Cette source d’énergie pourrait donc fortement se démocratiser dans les prochains concepts automobiles, tellement elle est économe et disponible en quantité. Seulement 8 grammes sont nécessaires pour faire rouler le modèle Cadillac pendant un siècle ! Une idée novatrice qui ouvre une voie vers de nouvelles sources d’énergie. À l’heure où le pétrole se raréfie de jour en jour, Cadillac a trouvé une nouvelle source de carburant qui pourrait offrir de belles performances à l’avenir. L'exploitation du thorium par des réacteurs nucléaires à sels fondus paraît néanmoins aujourd'hui être la voie la plus prometteuse ; elle est à l'étude dans plusieurs pays comme la France, les États-Unis, la Chine13, l'Inde et le Japon.

À l'exception de la France, tous ces pays ont récemment décidé d'engager des efforts industriels significatifs dans cette direction. En France, des scénarios théoriques prometteurs ont été étudiés intensivement par le CNRS depuis le début des années 2000. En particulier, le Laboratoire de Physique Subatomique et de Cosmologie de Grenoble (LPSC) 14 a développé un concept de réacteur à sels fondus « non modéré », dit MSFR (pour Molten Salt Fast Reactor, un type de réacteur à neutrons rapides), qui paraît susceptible d'offrir des caractéristiques de fonctionnement très favorables remplissant tous les critères des réacteurs de quatrième génération (cf. Forum International Génération IV) :

utilisation optimale du thorium comme matériau fertile abondant, permettant de faire de la surgénération - compte tenu des réserves connues, les ressources énergétiques disponibles seraient au moins 500 fois supérieures à celles que peuvent procurer les réacteurs actuels de deuxième génération (PWR, filière canadienne CANDU à uranium naturel, RBMK russes, …).

Au rythme actuel de production d'énergie nucléaire, les réserves potentielles se chiffrent en dizaines de milliers d'années.

le cycle du combustible ne crée que peu de plutonium et d'actinides mineurs et génère par conséquent des déchets radioactifs beaucoup plus faciles à gérer ; certains groupes de promotion de la technologie15 qualifient même cette voie « d'énergie nucléaire verte », dans la mesure où elle pourrait contribuer significativement à la réduction des émissions de gaz à effet de serre sans présenter les inconvénients des réacteurs nucléaires actuels.

une grande sûreté intrinsèque de fonctionnement, du fait de coefficients de vide et de contre-réaction thermiques très négatifs empêchant la réaction de s'emballer d'elle-même, et ce malgré l'absence de modérateur ;

le circuit primaire du réacteur à sels fondus opère à la pression atmosphérique ambiante et ne met en œuvre que des substances chimiquement stables ; le risque de contamination radioactive ou d'incendie en cas de fuite est donc très faible ;

l'utilisation de combustibles nucléaires liquides permet d'envisager un traitement chimique in situ des matières fissiles ; on éviterait ainsi d'avoir à décharger le cœur et à effectuer un retraitement externe, avec comme corollaire la nécessité du transport des matières radioactives ;

 

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26 novembre 2017

Comment augmenter l'énergie humaine selon Tesla

 

 

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Pouvons-nous apprendre à exploiter notre énergie?

Le principe le plus fondamental, le programme de base de toute vie, est de faire des économies d'énergie. Quoi que vous fassiez, quoi que vous aimiez, tout ce qui vous fait du bien, ce sont toutes des réponses psychologiques qui vous montrent comment être plus économe en énergie.

La vie aspire à l'énergie, et inconsciemment, vous choisirez toujours le chemin de moindre résistance à cause de cela. C'est pourquoi les aliments riches en calories ont meilleur goût, pourquoi chaque fois que vos croyances sont mises en question, vous refusez naturellement tout argument, et pourquoi les gens se sentent plus déprimés quand il n'y a pas de soleil dehors.

Mais quelle est la source de notre énergie? Comment pouvons-nous gagner plus d'énergie? Comment pouvons-nous élever notre conscience et augmenter notre intelligence?

Nikola Tesla a parfaitement conclu la principale source d'énergie humaine, la plus fondamentale, et comment augmenter notre énergie et évoluer en tant qu'espèce:

Demandons-nous d'abord: d'où vient tout le pouvoir moteur? Quel est le ressort qui anime tout le monde? Nous voyons l'océan monter et descendre, les fleuves coulent, le vent, la pluie, la grêle et la neige battent nos fenêtres, les trains et les bateaux à vapeur vont et viennent; on entend le bruit des voitures, les voix de la rue; nous sentons, sentons et goûtons; et nous pensons à tout cela. Et tout ce mouvement, de la poussée de l'océan puissant, à ce mouvement subtil impliqué dans notre pensée, n'a qu'une cause commune.

Toute cette énergie émane d'un seul centre, d'une seule source, le soleil. Le soleil est le ressort qui conduit tout. Le soleil maintient toute la vie humaine et fournit toute l'énergie humaine.

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 Le soleil est la source de toute énergie.

3 étapes pour cultiver votre énergie

Ce qui suit vous fera comprendre presque tout sur le style de vie de Nikola Tesla; pourquoi il était végétalien, pourquoi il était obsédé par l'énergie libre, pourquoi il méprisait l'ignorance et les imbéciles. Mais comment pouvons-nous augmenter l'énergie humaine? Il y a 3 étapes.

1. Augmenter la masse humaine

Afin d'augmenter l'énergie, nous devons penser en termes de vitesse. Si par exemple, il y a un train et que vous ajoutez un autre wagon, 3 choses peuvent arriver. Soit le wagon se déplace à la même vitesse que le train, auquel cas la vitesse du train augmentera légèrement . Le wagon a une vitesse moindre, auquel cas le train entier diminuera sa vitesse . Ou le wagon a une vitesse plus élevée, auquel cas le train entier augmentera significativement sa vitesse . Nous pouvons penser comme ça:

S'il y a une famille avec des enfants du même degré d'illumination que les parents, c'est-à-dire une masse de la même vitesse, l'énergie augmentera simplement proportionnellement au nombre ajouté. Si elles sont moins intelligentes ou avancées, ou masse de «plus petite vitesse», il y aura un très léger gain d'énergie; mais s'ils sont plus avancés, ou masse de «plus grande vitesse», alors la nouvelle génération ajoutera très considérablement à la somme totale de l'énergie humaine.

Selon Nikola Tesla, construire une masse musculaire (avec des poids) équivaut à ajouter une masse de «vélocité moindre» et je ne la recommanderais pas « mais un exercice modéré » assurant le bon équilibre entre l'esprit et le corps et la plus grande efficacité de performance , est, bien sûr, une exigence primordiale ".

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 Tesla recommande un exercice équilibré et conscient par rapport à la construction musculaire.

La nourriture est l'un des éléments les plus importants de l'augmentation de votre masse. Ce que nous considérons comme de la nourriture n'est que de la lumière solaire traitée. Les plantes, avec leur photosynthèse, combinent le carbone, l'hydrogène et l'oxygène, et les lient à la lumière du soleil, formant la molécule CHO (graisse) que nous consommons à travers la nourriture et brûlons pour l'énergie. Cependant, l'énergie réelle provient de la libération des photons de lumière entre les liaisons chimiques. C'est ce qui produit de la chaleur. C'est ce qui donne des calories, qui sont des photons stockés. Nous mangeons la lumière du soleil pour l'énergie!

Fruits, légumes, viande; tout ce que nous mangeons a consommé les molécules CHO (glucides) que les plantes ont créées. L'énergie que nous consommons à travers notre nourriture est en fait la même énergie - ou la même lumière du soleil - que les plantes ont utilisée pour forger ces éléments ensemble.

Lorsque nous mangeons de la viande, nous consommons des molécules CHO déjà consommées et inutilisées (inutilisées parce que la CHO n'est créée que par la photosynthèse). C'est en quelque sorte un CHO de seconde main. Consommer de la CHO directement à partir de plantes, de fruits et de légumes équivaut à ajouter une masse de «plus grande vitesse»,

Il est certainement préférable d'élever des légumes, et je pense donc que le végétarisme est un éloge louable de l'habitude barbare établie. Le fait que nous puissions subsister avec de la nourriture végétale et réaliser notre travail même de manière avantageuse n'est pas une théorie, mais un fait bien démontré. De nombreuses races vivant presque exclusivement de légumes ont un physique et une force supérieurs. Il ne fait aucun doute que certains aliments végétaux, comme la farine d'avoine, sont plus économiques que la viande, et supérieurs à ceux-ci en ce qui concerne les performances mécaniques et mentales.

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 Les fruits et légumes sont, dans un sens, juste la lumière du soleil traitée.

La consommation de nourriture d'occasion est l'une des principales limites que nous nous imposons pour évoluer vers une espèce plus intelligente, plus aimable et moins animale. Nikola Tesla dit:

Pour nous libérer des instincts et des appétits de l'animal, qui nous retiennent, nous devons commencer à la racine même de laquelle nous nous élançons: nous devons opérer une réforme radicale du caractère de la nourriture.

Le jeu, la ruée vers les affaires, et l'excitation, particulièrement sur les échanges, sont des causes de beaucoup de réduction de masse.

Le whisky, le vin, le thé, le tabac et d'autres stimulants sont responsables du raccourcissement de la vie de nombreuses personnes et devraient être utilisés avec modération. Mais je ne pense pas que des mesures rigoureuses de suppression des habitudes suivies à travers de nombreuses générations sont louables. Il est plus sage de prêcher la modération que l'abstinence.

Consommez de la nourriture plus proche du soleil, évitez les grossissements inutiles de votre corps qui utilisent invariablement plus d'énergie, évitez les habitudes de gaspillage d'énergie et les addictions malsaines qui ne servent qu'à votre ego. Chaque homme qui pratique ce conseil ajoute un «wagon» avec une vitesse plus élevée au «train humain» que nous sommes tous.

2. Réduire la force qui retient la masse humaine:

La force qui retarde le mouvement de l'homme est en partie frictionnelle et en partie négative.

Pour illustrer cette distinction, je citerai, par exemple, l'ignorance, la stupidité et l'imbécillité comme certaines des forces purement frictionnelles , ou des résistances dépourvues de toute tendance directive.

D'un autre côté, la vision, la folie, la tendance autodestructrice, le fanatisme religieux, etc., sont toutes des forces négatives , agissant dans des directions définies.

Pour réduire ou surmonter complètement ces forces retardatrices dissemblables, des méthodes radicalement différentes doivent être employées. On sait, par exemple, ce qu'un fanatique peut faire, et l'on peut prendre des mesures préventives, l'éclairer, le convaincre et, peut-être le diriger, transformer son vice en vertu; mais on ne sait pas, et on ne peut jamais savoir, ce que peut faire une brute ou un imbécile, et il faut traiter avec lui comme avec une masse, inerte, sans esprit; lâché par les éléments fous.

Une force négative implique toujours une certaine qualité, souvent assez élevée, bien que mal dirigée, qu'il est possible de tourner à bon escient; mais une force de friction sans direction implique une perte inévitable. Evidemment alors, la première réponse générale à la question ci-dessus est: tournez toute la force négative dans la bonne direction et réduisez toute force de frottement.

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 L'ignorance est sans direction et finit inévitablement par une perte d'énergie.

Simplement dit, une force de frottement est ignorante, sans direction, et sans qualité, contrairement à la force négative qui est de haute qualité mais dans une mauvaise direction. La plupart du temps, une force de friction n'entraîne qu'une perte d'énergie, peu importe où elle est dirigée, tandis qu'une force négative peut entraîner une augmentation significative de l'énergie humaine si elle est orientée vers une direction stratégique appropriée. Tesla conclut:

Il ne fait aucun doute que, de toutes les résistances frictionnelles, celle qui freine le plus le mouvement humain est l'ignorance. Non sans raison dit l'homme de sagesse, Bouddha: "L'ignorance est le plus grand mal du monde". La friction qui résulte de l'ignorance, et qui est considérablement augmentée en raison des nombreuses langues et nationalités, ne peut être réduite que par la propagation de connaissance et l'unification des éléments hétérogènes de l'humanité. Aucun effort ne pourrait être mieux dépensé.

Individuellement, cela peut s'expliquer par le maintien d'un équilibre constructif entre nos talents et nos défauts; établir la paix entre nos ténèbres et la lumière, et les unir dans un but mutuel et plus grand. Ceci, bien sûr, doit être accompagné d'apprentissage, de curiosité et de réduction de l'ignorance individuelle à propos de l'Univers qui nous entoure.

Nettoyer vos chakras est aussi essentiel que de prendre un bain dans le contexte de la réduction de la force qui retarde votre énergie. Permettre à l'énergie de circuler librement à travers votre propre corps assure une réduction de la friction. Il diminue le gaspillage de votre énergie en luttant contre les émotions négatives qui obstruent vos pools énergétiques.

girl-nature-chakras Vous pouvez nettoyer vos chakras avec du yoga, des cristaux, de l'exercice et de la visualisation.

Selon Nikola Tesla, la guerre ne devrait pas être interrompue soudainement car cela peut entraîner quelque chose de pire que la guerre.

La guerre est une force négative, et ne peut pas être tournée dans une direction positive sans passer par les phases intermédiaires. C'est un problème de faire une roue; tourner dans un sens, tourner dans la direction opposée sans le ralentir, l'arrêter et l'accélérer de nouveau dans l'autre sens.

Par conséquent, nous ne devrions pas viser à arrêter la guerre, mais plutôt la réorienter vers un but mutuel de l'humanité. Par exemple, au lieu de nous battre nous-mêmes, nous pouvons rediriger notre énergie vers une exploration des différentes parties de notre galaxie. Bien sûr, doucement et progressivement, et avec un bon entretien.

Nikola Tesla explique pourquoi la guerre n'est pas une force de frottement mais un caractère négatif:

Il est douteux que des hommes qui ne seraient pas prêts à se battre pour un principe élevé seraient bons pour n'importe quoi.

À son avis, la guerre serait mieux faite en échangeant de la main-d'œuvre pour les machines qui prendront le coup.

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 Comme la guerre, ce missile est une puissante force négative.

Pour comprendre comment cela peut arriver, nous devons d'abord comprendre comment la guerre a commencé. Il a commencé avec la loi du plus fort, où les hommes physiquement plus faibles ont été complètement mis à la merci des hommes physiquement plus forts. Cependant, les hommes les plus faibles ont développé l'intelligence, en raison de leur efficacité énergétique, et ont développé des moyens d'utiliser des pierres et des bâtons et de fabriquer des armes. Aujourd'hui, les guerres sont tenues par des hommes assis dans une pièce fumant des cigares, contrôlant complètement les forces physiques avec leur intelligence. Le futur verra que l'intelligence crée des machines, qu'ils contrôleront à la place des hommes, jusqu'à ce que la guerre soit principalement intellectuelle et que le facteur physique soit complètement hors de propos.

Pour conclure: Utilisez vos talents pour guider vos défauts. Trouvez la paix et éliminez les forces de friction avec la raison, en vous et autour de vous.

3. Augmenter la Force Accélérant la Masse Humaine:

Parmi les trois solutions possibles au problème principal de l'augmentation de l'énergie humaine, celle-ci est de loin la plus importante à considérer, non seulement en raison de sa signification intrinsèque, mais aussi en raison de son influence intime sur les nombreux éléments et mouvement de l'humanité.

Comment augmentez-vous la force qui déplace la masse humaine?

Il suffit d' exercer plus d'énergie et de l'exercer dans la direction la plus efficace possible.

Notre monde est conduit par des machines sous un système créé par notre «force motrice» ou travail. La masse des gens ne bouge pas chaotique mais systématiquement, suivant un ordre comme une horloge. Si nous diminuons notre puissance motrice, nous serons involontairement emprisonnés par le même système que nous avons créé seul.

C'est pourquoi l'augmentation de la puissance motrice est la clé pour augmenter l'énergie humaine. L'augmentation constante du pouvoir moteur entraînera une augmentation constante de l'énergie humaine. Tesla dit:

La puissance motrice signifie le travail. Augmenter la force en accélérant le mouvement humain signifie donc effectuer davantage de travail.

Mais comment un homme peut-il augmenter constamment son énergie? N'y aura-t-il pas un moment où l'homme ne pourra plus travailler? N'y aura-t-il pas un point où faire plus de travail devient nuisible à l'homme, peut-être même malsain?

Il y a un secret. Quand un homme applique son effort dans la direction du mouvement humain collectif, l'effort devient le plus efficace, et avec moins d'énergie est accompli plus.

Cela signifie qu'au fur et à mesure que de plus en plus de gens travaillent vers un objectif mutuel, on en fait plus, avec moins d'effort, ce qui entraîne une augmentation de l'énergie mutuelle.

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 Lorsque les gens concentrent leur énergie sur un objectif commun, on en fait plus avec moins d'effort.

Pensez-y comme faire tourner une roue. Au début, pour commencer à déplacer la roue à une fraction de sa vitesse potentielle, vous devez dépenser beaucoup d'efforts et d'énergie. Lorsque vous commencez à déplacer la roue et à appliquer un effort dans la direction de son mouvement, moins d'effort est requis et plus elle tourne vite. En fin de compte, avec moins d'effort que ce qui était initialement requis, vous pouvez le faire tourner d'innombrables fois, plus rapidement.

C'est la même chose avec l'énergie humaine!

Le secret de l'énergie est qu'elle est éternelle dans l'Univers, où presque rien n'est. Votre énergie, peu importe où vous la dépensez, restera pour toujours et s'étalera si elle n'est pas dirigée. C'est pourquoi il est crucial de concentrer vos efforts. Comme vous dépensez votre énergie dans une direction, avec le temps, cette énergie s'accumulera et moins d'effort et d'énergie seront nécessaires pour accomplir beaucoup plus. C'est vrai globalement et individuellement.

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 Faire de grands changements dans le monde n'est possible qu'avec un effort et une énergie combinés.

Imaginez ce que nous pouvons accomplir si nous concentrons tous nos efforts sur la création de moyens plus durables de produire de l'énergie, de nettoyer la terre, de réduire la faim, de trouver des solutions pour les voyages interstellaires et d'éduquer. Concentrer votre force motrice et vos efforts sur un seul objectif, dans la bonne direction du mouvement, accélérera la vélocité et vous rapprochera de votre objectif. Avec le temps, vous dépenserez moins d'efforts et réaliserez plus. Gagnez plus, gaspillez moins, dépensez efficacement, apprenez. C'est la formule secrète pour augmenter l'énergie humaine collective, selon le grand esprit de Nikola Tesla. C'est ainsi que nous élevons notre intelligence et évoluons en tant qu'espèce.

Par Dejan Davchevski http://upliftconnect.com/

28 septembre 2017

Viktor Schauberger Génie exploité, bafoué et occulté

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Lorsque l’énergie libre verra enfin le grand jour, il ne sera que légitime d’élever à la gloire de pionniers occultés, qui furent les pierres d’achoppement de la science du 21ème siècle, des statues commémoratives et une loyale citation dans les futurs livres d’histoire : il s’agit entre autres des deux plus grands : Nikolas Tesla et Viktor Schauberger, que nous allons présenter ici.
Le principe des vortex (mini-tornades provoquées) furent la pierre d’achoppement des géniales réalisations de Schauberger ; celui-ci fut néanmoins largement calomnié et tourné en dérision parce que ses travaux contredisaient les théories de « l’establishment » scientifique et bureaucratique, menaçant ainsi leur crédibilité et leur réputation.

Viktor est né le 30 juin 1885 à Ulrischberg en Haute Autriche, dans une famille de forestiers. À 18 ans, il refusa catégoriquement de suivre la trace de ses deux frères et d’aller à l’université, ayant constaté comment cela avait affecté leur pensée. Il suivit donc son instinct naturel en devenant jeune garde forestier, métier où il put à loisir exercer son sens acéré de l’observation.
Il écrivit : « Je pouvais rester assis des heures sur la berge et regarder l’eau couler sans me lasser. À l’époque, j’étais encore inconscient du fait qu’il restait caché dans l’eau, le plus grand des secrets. »

Un jour d’hiver très froid, alors qu’il était sur le point de traverser un torrent de montagne très rapide, il chassa une truite stationnaire de sa tanière, alors qu’il cherchait un point d’appui ferme pour son bâton dans le lit du torrent. Sa fuite rapide comme l’éclair en amont provoqua immédiatement chez lui un certain nombre de questions : « Comment la truite était-elle capable de s’enfuir en amont comme un filet de lumière au mépris de toutes les lois de la gravité ? Et comment était-il possible à ce poisson de se tenir si immobile, se manœuvrant lui-même avec de légers mouvements de ses nageoires de queue dans ce flux largement torrentiel, qui faisait tellement s’agiter mon bâton que je pouvais difficilement m’y cramponner ? Quelles forces permettaient à la truite de vaincre son propre poids corporel sans effort aussi rapidement, et au même moment d’en faire autant avec le poids spécifique de l’eau puissante coulant contre elle ? Et pourquoi l’eau ne gèle-t-elle pas même pendant des froids sévères avec une température en dessous de –30°C ?. »

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On peut aussi lire dans ses écrits : « Comme le temps passait, je commençais à jouer avec les forces secrètes de l’eau. J’abandonnais ma soi-disant conscience libre et permettait à l’eau d’en prendre possession pour un temps. Petit à petit, je réalisais qu’on pouvait détacher sa conscience du corps et l’attacher à celle de l’eau. Quand ma propre conscience retournait vers moi, la psyché de l’eau, la plus dissimulée souvent, me révélait les choses les plus extraordinaires. De cette façon, j’étais capable d’expérimenter des choses qui avaient échappé à l’attention d’autres gens, parce qu’ils étaient ignorants du fait qu’un être humain soit capable d’envoyer sa libre conscience dans ces endroits où les yeux ne peuvent pas voir. En pratiquant cette vision les yeux bandés, je développais un lien avec la nature mystérieuse dont j’apprenais lentement à percevoir et comprendre l’être essentiel. »

L’ascension

En 1920, après qu’il eut mis au point un système de transport fluvial « Le Steryrling », Schauberger fut remarqué par le gouvernement autrichien qui demanda au Pr Forchheimer d’examiner les étonnantes théories de cet inventeur. Celui-ci fut littéralement enthousiasmé. Le 1er janvier 1930, le Pr Wilhelm Exner, Président de l’Académie des Sciences, reçut des mains de Schauberger son traité sur la fonction de freinage des vortex et leur relation avec la température de l’eau intitulé, « Turbulence ». Mais, sur les recommandations de Forchheimer, le document fut mis sous scellés car la science n’était pas prête à recevoir un « tel dérangement ». Admettre son concept aboutissait à l’effondrement de la sacro sainte loi de conservation de l’énergie, et ce ne fut qu’en 1974 qu’il sera remis au grand jour, par Walter, le fils de Viktor.

Entre 1930 et 1933, Viktor Schauberger travailla sur un système de régénération de l’eau produisant une eau potable de qualité supérieure. Mais, cette machine ultra puissante en resta au stade du prototype, en raison d’un barrage systématique de l’administration, en particulier au travers d’un ennemi juré, le Dr Ehrenberger. Pourtant l’invention de Viktor répondait à un cuisant besoin (déjà à l’époque) de réhabiliter les eaux du Rhin et du Danube, sur la demande d’une commission internationale. D’ailleurs, Ehrenberger et une certaine équipe de hauts fonctionnaires n’ont cessé de saper sa carrière et ses relations, par d’incessantes calomnies, fausses informations et dénigrements de ses œuvres, bref le faisant passer pour un imposteur, car Viktor risquait de menacer leurs positions académiques. Quoiqu’on ait pensé de Schauberger en Autriche à cette époque, les termes de ses capacités et déclarations contenues dans son livre publié et intitulé « Notre stupide travail – la source de la crise mondiale » arrivèrent à d’autres oreilles, dont celles d’un certain Adolf Hitler.

Entrevue avec Hitler

À une époque où les relations entre l’Autriche et l’Allemagne étaient au plus bas, Viktor fut convoqué à une audience à la Chancellerie du Reich à Berlin. Tout fut arrangé très vite et Viktor quitta l’Autriche pour Berlin pour un meeting avec Hitler, qui l’accueillit chaudement comme un compatriote, lui disant avoir étudié tous les rapports sur ses travaux, et être très impressionné par ce qu’il avait lu.

Trente minutes avaient été allouées pour les discussions, et le Pr Max Planck avait été requis pour un rôle de conseiller scientifique (un peu avant qu’il soit destitué sans ménagement de sa position de conseiller privé).Cet échange de vue dura en fait une heure et demie durant lesquelles Schauberger expliqua l’action destructive de la technologie contemporaine et ses inévitables conséquences.
Il lui exposa tous les processus naturels de mouvement et température, la relation vitale entre les arbres, l’eau et la productivité du sol, en effet, toutes choses qu’il considérait devoir être sérieusement étudiées, comprises et pratiquées, pour créer une société viable et soutenable.
Quand Viktor eut terminé son explication, Max Planck, qui était resté silencieux, fut interrogé pour donner son opinion sur les théories naturelles de Viktor. Sa réponse fut la constatation révélatrice et remarquable du fait que « la science n’a rien à voir avec la nature ».
Hésitant un moment à rentrer dans cette étonnante admission, Viktor fit ensuite référence au soi-disant Plan Goering, disant que s’il était institué, il minerait et détruirait les fondations biologiques de l’Allemagne. Comme résultats, le 3ème Reich se terminerait en 10 ans au lieu des 1000 années annoncées (Viktor n’était pas si loin de la vérité dans son estimation).

Durant le début de la conversation, Hitler avait été enthousiaste mais il devint fortement perturbé sur ce qu’il venait d’entendre et donna l’ordre à ses conseillers techniques et économiques (Messieurs Keppler et Wiluhn) de discuter avec Viktor sur ce qui pouvait être fait. Une fois à l’extérieur de la porte, ces deux hommes demandèrent à Viktor comment il en était arrivé là. Courroucé par leur air condescendant, il répliqua sèchement : « Par la même porte par laquelle je viens de sortir ! » No comment ! Voyant que ses idées n’avaient aucune chance d’être acceptées et les laissant là bouche bée. Il retourna à son hôtel et repartit pour l’Autriche le matin suivant. Cependant Keppler et Wilhun eurent leur revanche plus tard, après l’Anschluss le 13 mars 1938.

Élimination ratée de peuV. Schauberger

À Vienne, un peu plus tard, alors qu’il prenait le thé avec Mme Mäda Primavesi, une figure bien connue de la haute société, Viktor s’excusa en disant qu’il serait absent une vingtaine de minutes, pour un examen médical de routine de ses blessures de la Première Guerre Mondiale, à la clinique proche de l’Université de Vienne, pour obtenir son éligibilité à la continuité de sa pension de guerre. Comme il ne revint pas, et furieuse d’avoir été si rudement délaissée, Mme Primavesi se mit en tête de le retrouver. Rageuse, elle alla là où il vivait et s’étant entendu dire par sa femme qu’il n’était pas de retour, et que ce comportement ne lui était pas habituel, elle alla alors à la clinique.

Prenant au collet le directeur, le Pr Pölz, qu’elle connaissait bien, elle refusa de le quitter tant qu’on n’aurait pas préalablement retrouvé Viktor. Elle finit par le trouver dans le quartier réservé aux fous. Il reposait calmement sur un lit dans un vêtement étroit attendant une injection mortelle qui était alors la procédure standard du 3ème Reich pour éliminer les malades mentaux et autres sujets « indésirables ». Malgré le nouvel ordre instauré par l’Anschluss et l’épée de Damoclès maintenant en permanence au-dessus de sa tête, Viktor continua tranquillement ses recherches. Dès qu’il avait trouvé quelque chose qui marchait, il notait le fait et passait à un nouveau projet. Il n’était jamais intéressé par commercialiser ses découvertes.

Comme jamais auparavant, il poursuivit ses recherches sur les moyens de générer l’énergie à partir de l’eau, à travers l’interaction de formes complémentaires mais opposées.

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Inventions récupérées

En 1936, il déposa des brevets pour une turbine à air, qui utilisait un « compresseur » centripète et une tubulure de sortie rayée au centre.
Suivirent des brevets d’application dans lesquels ces concepts étaient améliorés.
Bien que toute trace de ceux-ci aient depuis disparu (!), l’appareil décrit était non seulement capable de transformer l’eau de mer en eau douce, mais il pouvait aussi être exploité pour propulser les avions et les sous-marins. Une fois encore, Viktor fut victime de tromperie et ses idées furent usurpées. Dans un document daté de 1941, il décrit comment le Pr Ernst Heinkel – le designer du premier avion à réaction ayant réussi à voler pour la première fois le 27 août 1939 – avait illégalement eu connaissance des applications préliminaires de Viktor au Bureau des Brevets à Berlin, par l’intermédiaire de ses avocats en brevet, Lehmann-Harlens. Les ayant étudié soigneusement, Heinkel avait exprimé son désintérêt mais avait inauguré immédiatement un programme de recherche secret, utilisant cette information dans une forme modifiée pour améliorer la performance de son chasseur.

Enrôlé de force par Himmler

En 1943, malgré ses blessures de guerre et ses 58 ans, Viktor fut déclaré apte au service actif et incorporé dans la Waffen SS, tombant sous le contrôle de Himmler qui le contraignit à participer à la recherche d’une nouvelle arme secrète. Pourvu d’un logement convenable à Schloss Schönbrunn – proche du camp de concentration de Mathausen, pour fournir la force de travail des ingénieurs prisonniers, Viktor voyait sa vie menacée s’il ne se conformait pas aux ordres et ne continuait pas ses recherches. En dépit de ces menaces, Viktor traîna les pieds et exigea du commandement SS le droit absolu de sélectionner les divers ingénieurs dont il avait besoin. Il exigea même que chaque technicien qu’il choisissait soit retiré complètement du camp, nourri correctement, habillé de vêtements civils, sinon ils seraient improductifs. Comme il l’expliquait, les gens qui vivent dans la menace pour leurs vies et sous un grand stress émotionnel, ne peuvent pas travailler avec créativité ni de manière conséquente. Etonnamment, les SS furent d’accord et ainsi Viktor sélectionna entre 20 et 30 ingénieurs, pilotes et autres personnels qualifiés pour les faire installer dans diverses maisons près de lui.

Quand ils furent tous installés, Viktor les exhorta à travailler aussi dur qu’ils le pourraient, mais sans aucun espoir de penser à s’enfuir sous peine d’être punis et exécutés. Ils commencèrent à travailler volontairement et, alors qu’ils ne comprenaient pas ce que Viktor cherchait à atteindre, ils suivirent ses instructions fidèlement. Deux machines furent construites, l’une appelée « Répulseur » et l’autre « Répulsine », le nom reflétant les forces actives en elles. Après la guerre, toute l’information récupérée fut confisquée puis séquestrée par les alliés (russes, français, anglais et Américains) et n’est donc pas disponible pour le grand public.
De même, on ne retrouve aucune trace disponible des brevets de l’époque de Viktor (ce qui n’empêchera pas l’information de ressortir plus tard comme c’est toujours le cas et comme nous le verrons plus loin).

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Sous l’occupation américaine

D’un certain point de vue, Viktor Shauberger pouvait se considérer comme plutôt chanceux après la guerre, parce qu’avec son groupe d’ingénieurs, il avait été évacué par les SS à Léonstein en Haute Autriche à cause du bombardement de Vienne, et donc en mai 1945, il était sous juridiction des forces américaines d’occupation. Au Leonstein, Viktor fut placé sous bonne garde pendant neuf mois par les américains, pour glaner à leur profit de l’information sur sa période de recherche en temps de guerre, dans les énergies « supérieures » de Mathausen et Leonstein, et en partie pour le soustraire à un éventuel enlèvement par les russes.

On trouve confirmation de tout cela dans une lettre de Viktor au Ministre allemand de la Défense, Franz Joseph Strauss, du 28 février 1956. Dans cette lettre, il relate comment le dernier appareil, sur lequel il avait travaillé, avait été saisi seulement quelques jours après un vol réussi par des membres des services secrets américains, qui semblaient très bien informés sur son existence. Son composant le plus important, qui avait été oublié dans la hâte de partir, avait été récupéré par les russes dans son appartement de Vienne, lequel avait ensuite été détruit par une explosion. Viktor fut apparemment menacé d’un internement s’il était assez fou pour continuer ses recherches dans ce domaine (ce qui confirme la peur engendrée par l’intérêt de ses travaux).

Durant cette période de l’après-guerre immédiate, la nourriture était extrêmement rare et beaucoup de gens souffraient de malnutrition. Quand il fut relâché, sans ressources, il se déplaça à Salzbourg fin 1946, et commença à appliquer son énorme potentiel de connaissance aux systèmes de culture alors en place.

Une triste fin de vie

En collaboration avec Franz Rosenberg, il fut en mesure de démontrer comment des accroissements de productivité pouvaient être atteints en utilisant les connaissances qu’ils avaient acquises en Bulgarie, avant la guerre. Hélas, tout progrès dans cette région ayant été bloqué par des politiciens corrompus en 1949, il retourna à ses études sur l’implosion, la génération d’énergie et le mouvement de l’eau, essayant avec ses fonds limités de faire fructifier ses recherches antérieures. Ces travaux furent consignés à l’Université Technique de Stuttgart en 1962, sous l’égide du Pr Franck Pöpel.

Sept mois et demi avant sa mort, Viktor est écœuré par toutes les trahisons qu’il a subies. Il en fait part à un ami dans une lettre où il écrit : « J’ai toujours été obligé de fournir une preuve. Chaque fois que je le faisais, j’étais volé à tel point qu’aucune autre voie n’était ouverte pour moi, autre que de rester silencieux une fois encore » … « chaque fois que j’ai produit quelque chose, tout ce qu’on me donnait, c’était des broutilles… » et « si je révèle tout cela, ce sera simplement étouffé, car les pouvoirs politiques et les doctrines de l’Eglise en seraient ébranlées… J’ai l’intention de retourner vers la forêt pour mourir en paix ».

En fait, le dernier chapitre de sa vie fut une histoire lamentable où s’étant laissé courtiser par les Américains, il est allé aux Etats-Unis croyant être enfin reconnu et récompensé de son immense travail.
En fait, ce fut la plus grande trahison de sa vie qui le fera mourir brisé le 25 septembre 1958 après avoir déclaré : « Je ne suis plus propriétaire de mon esprit et de mes pensées. Après tout ce que j’ai fait, il ne reste plus rien. Je suis un homme sans futur. Ils ont dit que j’étais fou. L’espoir, c’est qu’ils aient raison. Mais, si j’ai raison et que la science a tort, alors que Dieu pardonne à l’humanité. »

Le moteur à implosions de Schauberger… et ses applications…

Le moteur à implosion de Schauberger était un moteur rotatif à propulsion alimenté par un générateur autonome, l’exact contraire du moteur à explosion. Viktor Schauberger était un défenseur de « l’implosion au lieu de l’explosion », il rejetait le moteur à explosion car il soutenait qu’il contredisait les lois naturelles, étant donné que c’est un phénomène destructeur.

Le moteur à implosion fut développé durant la Seconde Guerre mondiale par le Troisième Reich. Félix Ehrenhaft l’aida à réaliser les calculs destinés à la réalisation de son moteur. Il comportait un circuit fermé avec un mélange d’eau et d’air, mu par un moteur électrique fourni par l’aviation allemande, et il atteignait 20 000 tours par minute. Le modèle A fut mis en marche sans l’autorisation de Schauberger, les amarres le retenant se rompirent, faisant s’écraser et se détruire l’engin contre le toit du hangar. Se basant sur la résistance des vis, Schauberger estima la force ascensionnelle de l’engin à 228 tonnes. Ce moteur à implosion faisait diminuer la température au centre, en violation des principes de la thermodynamique.

Cette technologie donna naissance aux ailes lenticulaires (Flugscheiben) du régime nazi : les Haunebu et les Vril, dont il n’a subsisté que des photographies. C’est à cette période que Schauberger se lia d’amitié avec Werner von Braun, ce qui explique que la Nasa ait pu récupérer cette technologie détenue par les nazis, pouvant continuer à la perfectionner secrètement, en amusant la galerie avec ses fusées spatiales d’un principe de base en fait complètement dépassé !…

https://micheldogna.fr/viktor-schauberger/

5 août 2017

Le secret final de l'énergie libre

CouvertureSecretFinal

 

THE FINAL SECRET OF FREE ENERGY

© 1993 T. E. Bearden

Version française - version dubbed into french
Traduction: Alfred Smile
A.D.A.S.
P.O. Box 1472
Huntsville, AL 35807
9 Février 1993 (Révisé le 23 Mars 1993)

 

Partie I

 

Avant-propos (*)

Ce document contient concrètement le secret pour libérer l'énergie du vide simplement, utilisant un nombre varié de source de potentiel (batterie, générateur électrostatique, etc..). L'objectif est de réaliser des appareils à énergie du vide pour le débutant. J'ai découvert le 'principe clé' en une trentaine d’années.

J'ai établit des définitions claires et précises afin de comprendre clairement le procédé. Ce document contient donc les points essentiels établis pour comprendre l'extraction de l'énergie du vide.

L'électromagnétisme est une discipline faussement fondée et incomplète. Par exemple la définition de l'énergie est fausse. Laissez-moi vous énumérer quelques-unes de ces anomalies rencontrées dans le modèle l'électromagnétisme classique comme suit:

-la définition de la charge et du potentiel ne sont pas définies .Les algorithmes pour calculer une amplitude sont bafouées. L'électromagnétisme fait encore usage des champs de force comme causes de tous les phénomènes EM. Il est dit depuis 1959 que les forces sont des effets et non des causes, que les champs de forces EM existent seulement à travers la particule de masse, chargée dans le système physique et que le potentiel est la première cause dans un phénomène EM. La masse et la force n'ont aucunes définitions adéquates, exactes et réelles en électromagnétisme. L'amplitude d'une charge électrique sur un électron n'est pas quantifiable. Elle est plutôt implicite étant une fonction de l'amplitude du flux de photons virtuel échangé entre le vide et la particule chargée. Quand la particule chargée est placée dans un potentiel diffèrent de l’actuel, alors l'amplitude du flux de photons virtuel et enfin l'amplitude de la charge électrique sur l'électron est altérée. La mécanique quantique n'a plus rien à démontrer quand à l'existence d'un éther. Le fait que les champs de forces EM et d'ondes existent dans l'éther est complètement faux.

Seuls, les potentiels et gradients de potentiels existent dans le vide. Les ondes EM dans le vide ne sont pas des champs de forces d'ondes tel qu'il est encore enseigné. A la place des ondes EM il y a oscillation de potentiels et gradients de potentiels. Les potentiels sont caractérisés par la présence d'une structure interne faite par une paire d'onde EM bidirectionnel où les paires d'ondes EM sont en blocage de phase dans une série 
d’harmoniques. Dans une paire d'onde photons et anti-photons sont constamment en couplage et découplage (gravitons à deux spin).C'est ainsi que gravitation et électromagnétisme sont maintenant unifiés

Aucun livre papier ou document ne fait référence aux équations de James Clark Maxwell .Les théorie de Maxwell et ses équations ont été rédigé en quaternion, les quels sont un système mathématique complet .L'électromagnétisme est une discipline échouée qui ne demande que ce qu'on la refasse. Jusque là le modèle présent bloque l'énergie libre, l'antigravité, une physique des champs unifiés, et une théorie unifiée de l'interaction esprit-matière.

Quelques définitions

  • Le vide quantique mécanique : Il se compose d'un intense flux de particules virtuelles (VPF).
  • Énergie et potentiel : L'énergie est synonyme de potentiel et vice versa .Elle est désordonnée statique ou dynamique.
  • Potentiel scalaire : Il est désordonné / dynamique dans le VPF du vide.
  • Potentiel vecteur : Il est désordonné / statique dans le VPF du vide.

 

Structure interne du potentiel scalaire

Structure d'un potentiel scalaire

Le potentiel prend l'aspect d'un flux de particules composé de deux ondes superposées dans l'espace mais inversées dans le temps (une onde [onde+anti-onde] ou [photon+anti-photon] :

StPotScal

 

Un potentiel de l'autre coté de l'univers

Donc nous avons un parfait flux intérieur de particules virtuel (VPF), développé dans le potentiel scalaire électrostatique. Nous avons aussi une disposition ordonnée parfaite développée dans ce potentiel. Quand nous rassemblons un simple ensemble de charge sur une balle ou une petite région de celle-ci, le potentiel scalaire EM de cette charge provient à travers l'univers. En cela nous avons une série d'harmoniques infinies d'ondes EM en phase dans le temps et l'espace s'en allant de la charge vers tout point distant de l'univers entier. Et nous avons une série d'harmoniques infinies d'ondes EM en phase « bloqué » dans l'espace et en phase inversé dans le temps, venant de tout point de l'univers qui revient à la source constituée des charges collectées.

 

Un potentiel est une rivière d'énergie

Le point est que vous avez dévoilé la présence d'une rivière cachée, possible grâce à deux chemins d'énergie entre cette collection de charges et tous les autres points dans l'univers. Il y a une énergie infinie dans chacune de ces ondes et anti-ondes développées. Mais dans une région localisée, la densité d'énergie dans chaque onde est finie. Aucun champ de force n’existe dans le vide, juste des gradients de potentiel.

Le potentiel d'ondes scalaire est en faite un potentiel d'ondes scalaire longitudinal. Les ondes EM dans le vide sont des ondes EG (électro-gravitationnel).

L'énergie interne est illimitée, infinie

Un potentiel statique qui est pareil à un excès d'énergie – est de façon interne – dynamique infini et illimité. Puisque l'énergie interagit localement avec la matière nous parlerons de densité d'énergie local (joules / Coulomb).

Un principe d'une grande importance

La seule façon que vous pouvez d'avoir un gros morceau ou un montant fini d'énergie pour être dissipé dans un circuit comme travail est d'avoir avant tout un potentiel de densité d'énergie local interagissant avec un collecteur local de masse fini. L'interaction normale de masse du collecteur local se fait par les électrons libres du circuit.

Tension, force, gradients de potentiel, charges et travail

Maintenant, intéressons-nous aux aspects des circuits. La tension est essentiellement définie comme étant une chute de potentiel. C'est la dissipation (de façon désordonnée) d'un montant fini de gradients de potentiel. Mais la seul façon d'obtenir un montant fini de gradients de potentiel (énergie) est d'abord en faisant interagir le gradient de potentiel interne /fini et de densité d'énergie en excès avec un collecteur de masse fini. Soit:

[Joules / Coulomb disponible pour être collectés]x[ Coulombs déjà collectés] = excès de Joules déjà collectés avec l'interaction des coulombs, disponible pour la dissipation. Donc la tension est réellement la dissipation d'une collection finie de gradients de potentiel d'énergie EM en excès. La dissipation de potentiel ou gradients de potentiel n'existe pas. Vous ne pouvez donc pas définir l'énergie (=potentiel) comme étant de la propre dissipation.

Nous capturons un gradient de potentiel à l'aide de quelques masses chargées - localement – habituellement des électrons libres sous la forme de gaz d'électrons libres – dans notre circuit. Nous exprimons la densité d'énergie finie d'un gradient de potentiel (avant collection sur les charges), dans la région local (Joules / Coulomb).Le dit-gradient de potentiel est un changement vers le potentiel ambiant ,et donc , il contient un excès de densité d'énergie (l'amplitude peut-être soit positive soit négative).Puis nous recueillons ce potentiel (densité de potentiel) sur un certain nombre de Coulomb, plaçant de minuscules petits gradients de potentiel à travers chaque électrons libres (couplage). Sur chaque particule ayant fait la collection d'un petit gradient, il y a une minuscule force F (s’écrit F°(ma) ,avec (ma) indivisible et inséparable).

Donc ce petit électron potentialisé se déplace tout seul dans le circuit. Dans la charge le petit électron subit secousses et accélérations, d’où radiation d'énergie. L'électron potentialisé s'est débarrassé du gradient réduisant la force à zéro.

 

Collection et dissipation de l'énergie

Nous considérons la densité d'énergie locale de potentiel scalaire en termes de Joules par seconde. C'est à dire dans une sphère spécifique de charge, le montant d'énergie collecté depuis un gradient de potentiel sur le nombre fini de charges collectant cette énergie est égale au nombre de Joules d'énergie par Coulomb multiplié par le nombre de Coulomb recevant le gradient de potentiel. Dissipation: Les Coulombs activés multipliés par l'excès d'énergie collecté par Coulomb activé donne le montant d'énergie dissipé dans la charge (travail effectué).

Nous définissons la collection comme la connexion du gradient de potentiel (une source) vers la masse chargé dans un élément du circuit (le collecteur), où un délai de temps fini pour potentialiser les électrons libres ne permet pas encore le déplacement comme du courant. Dans le collecteur pendant ce délai les électrons piégés sont activés par un gradient de potentiel en couplage avec ces derniers.

Techniquement le temps de délai dans le collecteur est appelé temps de relaxation, dans le cas de gaz d'électron libre (dans un fil ou un élément de circuit).

Pendant ce temps de relaxation les électrons potentialisés sont piégés, sans mouvements comme pour le courant .Chaque capture d'un nouvel électron libre entraine un petit gradient supplémentaire, mais aucun courant ne circule encore. Autrement dit, pendant le temps de relaxation fini, le potentiel est extrait depuis la source et ceci sans circulation de courant. Durant ce temps de relaxation, seul un courant de VPF est extrait de la source et y est réinjecté en continue par les échanges violents du VPF du vide avec les charges bipolaires de la source. Aucune énergie n'est consommée par et dans la source durant ce temps de relaxation mais il y est extrait des densités d'énergie libre. Cette densité d'énergie libre en couplage avec une quantité finie d'électrons nous donne un montant d'énergie collecté fini. Dans ce contexte, laissons l'opération se répéter pour donner une forme utilisable d'énergie libre.

 

Le gaz d'électrons

Une approche de type mécanique classique est nécessaire bien que se soit les lois de la mécanique quantique qui régissent le processus.

Quand un circuit est connecté à une source de gradient de potentiel (batterie), la première chose qui se passe immédiatement est que le gradient de potentiel s'emballe sur le fil relié le parcourant à la vitesse de la lumière.

Sur la surface du fil conducteur le gradient d'énergie se couple aux électrons libres dans le gaz d'électrons libres. Cependant à l'intérieur du fil ces électrons peuvent fortement résister, l'essentiel du déplacement du courant se fait donc à la surface du conducteur et se phénomène s'appelle effet de peau.

 

Force, gradients de potentiel couplé et translation d'électrons

Électrons couplés a un gradient de potentiel le tout en mouvement

Quand l'électron est activé par un gradient de potentiel couplé, il se déplace de lui même jusqu'à ce qu'il perde de son activation ou gradient de potentiel couplé.

Le champ de force EM est connu pour ses effets existant seulement dans et sur la particule chargée et n'existant pas séparément mais aussi n'existant pas dans le vide. Dans ce cas nous avons clairement indiqué que le gradient de potentiel du vide fourni le potentiel pour produire un champ électrique antiparallèle sur et dans une masse chargée par couplage. Un électron potentialisé se déplace uniquement grâce à une force. L'électron potentialisé accélère constamment. Cependant il est maintenu dans un état qui l'empêche de parcourir le fil directement.

L'électron doit sortir de l'intérieur du fil pour se poster à la surface de celui-ci pour être en mesure de se déplacer en tant que courant .Le collecteur est soit une bobine soit un condensateur le tout en matériau 
« spécial ». L'objectif est d'avoir un matériau qui a pour effet d'empêcher la circulation du courant et de maintenir les électrons (obtenu dans un gaz d'électrons libres), temporairement fixes – les électrons continuent de « battre » / « tournoyer » violemment à l'échelle microscopique, mais n'effectuent pas de translations à l'échelle macroscopique – pour un délai fini (temps de relaxation) – à la suite de quoi rassemblés tous ensemble à la surface ils sont préparés pour la circulation du courant. Pendant ce délai fini de temps de relaxation les électrons seront appelés NNTE (No Net Translation Electron). Durant ce délai de non courant les électrons deviennent potentialisés / activés par le gradient de potentiel « imprimé » à travers le collecteur.

 

Le secret de l'énergie libre

2 cycles / 2 circuits

(1) Nous connectons le collecteur à une source primaire de potentiel (batterie), pendant le cours instant où le courant ne circule pas – mais potentialise. C'est à dire pendant le délai du temps de relaxation nous permettons au flux de particules virtuelles (VPF) de circuler sur les électrons NNTE du collecteur pour les potentialiser et les activer – mais pas encore pour leurs permettre de circuler comme courant – mais seulement de les laisser se déplacer transversalement dans le fil du collecteur. Ceci est la capture d'un montant spécifique de gradient de potentiel à l'aide de la source (batterie) vers le collecteur. Nous avons gratuitement élevé la charge du collecteur qui fonctionne après quoi comme une source (batterie) secondaire.

(2) Le collecteur potentialisé est alors brusquement déconnecté de la source primaire (batterie), pour être branché sur un circuit fermé comportant une charge – et la source, la batterie, se trouve connectée à rien à ce moment là (sauf certainement à une densité d'énergie de gradient de potentiel du vide).Pour résumé ce qui a été ponctionné depuis la source est un gradient de potentiel seulement – sans circulation de courant.

Vous avez simplement multiplié la densité d'énergie locale de gradient de potentiel (appelé tension et qui est un excès de Joules/seconde), par le nombre de charges de Coulombs qui est activé dans le collecteur.

Aucun travail sur la charge de la source primaire (résistance interne de la batterie) n'a été permis - soit pas de circulation de courant d'électron n'a eu lieu dans le circuit [batterie-collecteur]. Nous n'avons pas permis cela.

A la place on s'est servi du collecteur activé comme une batterie temporaire secondaire. L'utilisation de cette 
« batterie » secondaire avec la charge se fait de façon tout à fait conventionnel. L'énergie EM capturée sera dissipée et la « batterie secondaire » ne sera plus potentialisée / activée.

 

Le circuit standard pour l'extraction d'énergie

Le circuit conventionnel

Le potentiel « source » bipolaire est connecté en circuit fermé avec la charge. Ceci connecte la résistance interne de la batterie et celle de la charge en série. Les électrons traversent la charge externe du circuit à travers la résistance interne de la batterie, du pôle – au pôle +. La dissipation d'énergie dans la résistance interne de la batterie est du travail qui dérange « la chimie » de la batterie qui s'efforce de maintenir la séparation des charges. De cette manière la séparation des charges de la source (qui est le seul accès au gradient de potentiel d'énergie), est en train de disparaître par la circulation du courant et la batterie qui à son tour se voit détruire le gradient de potentiel.

 

L'énergie de la charge externe est gratuite aux prix de l'énergie de la source

Ici est le secret de l'énergie libre électrique. L'énergie fournissant du travail à la charge est gratuite. La seule énergie qui coûte est celle utilisée à l'intérieur de la source par la résistance interne …
(Les compagnies d'électricité nous roulent dans la farine au sujet du gâchis d'énergie fait par nos appareils)

 

Toute énergie est gratuite

Pas un seul watt d'énergie peut ne pas provenir, en aucune manière, du vide !

 

Dissipation de l'énergie collectée

Le cycle de travail

Le gradient de potentiel est transféré dans le circuit de charge à travers la circulation des électrons lors de la connexion du collecteur potentialisé au circuit de charge. L'électron ne se soucie pas si la batterie est reliée ou non, il est son propre moteur de bateau avec sa propre petite machine de conduction. Lors du passage dans la charge les électrons éjectent leurs petits gradients de potentiel. Quand tous les électrons potentialisés ont irradiés dans la charge, ils ne sont plus alors potentialisés.

Notes de ce que l'on a fait

Nous avons pris quelques densités d'énergie EM capturées c'est à dire un gros morceau de gradient de potentiel, depuis la source puis nous l'avons connecté au collecteur. Sur un collecteur le gradient de potentiel est couplé, potentialisé et activé à ses électrons NNTE. Donc le collecteur à recueilli un montant fini d'excès d'énergie de Joules par Coulomb le tout multiplié par le nombre de coulomb capturés sur ses électrons libres devenus maintenant excité, activés. Désormais nous basculons le collecteur potentialisé à la charge. Rapidement le temps de relaxation dans le collecteur expire. Les électrons potentialisés dans le collecteur sont libérés pour se déplacer dans la charge externe du circuit. L'éparpillement, les chocs, les collisions, les accélérations irrégulières dans la charge éliminent le gradient de potentiel sur les électrons de conduction avec rayonnement EM soit rayonnement de chaleur. En se débarrassant des photons, les électrons perdent leur petit gradient de potentiel et aussi leur activation (excès d'énergie EM).

 

Qu'est-ce que l'énergie dans un circuit électrique

Énergie dans un circuit électrique

Il est un principe limpide.
L'énergie dans un circuit électrique implique seulement la potentialisation et la dépotentialisation des électrons porteurs dans ce circuit. Les circuits électriques utilisent simplement les électrons comme porteur de gradient de potentiel circulant depuis la source vers la charge. La secousse-accélération des électrons-activés dans la charge cause la perte du gradient de potentiel dans l'espace environnant sous forme de chaleur appelé aussi rayonnement EM.

Suite des opérations

Une fois le cycle II terminé nous reconnectons le collecteur à la source (cycle I) pour recommencer à nouveau la collection de gradients de potentiel d'énergie. Alors nous basculons à nouveau le collecteur une fois potentialisé sur le circuit externe de charge (cycle II) suite à quoi les électrons libre potentialisés vont pouvoir perdre leur gradient de potentiel au travers de la charge par rayonnement EM (chaleur).Nous pouvons se faire succéder le cycle I et II autant de fois que nous le souhaitons. Si vous permettez au courant de circuler lors du cycle I, vous réduisez alors la séparation de charge à l'intérieur de la batterie qui s'efforce de fournir le potentiel de la source.

Tout gradient de potentiel (excès de densité d'énergie piégé), est libre d'accès

Le potentiel est dû à l'échange violent de VPF entre le vide et les charges bipolaires séparés fournissant le gradient de potentiel de la source. L'énergie de l'univers entier est en circulation à travers le potentiel de la source. Vous pouvez avoir toute l'énergie piégée que vous souhaitez depuis la source.

Les règles du fer

Si vous établissez un courant, vous détruisez la barrière de bipolarité fournissant le gradient de potentiel (densité d'énergie de la source). Dans ce cas la source est en cours de destruction. Si vous n'établissez pas de courant vous ne détruisez pas la barrière de bipolarité et la source reste intacte. Dans ce cas vous pouvez continuez d'utiliser la source et d'extraire de l'énergie EM piégé à jamais.

 

Encore des définitions

Énergie : Elle est désordonnée et repose sur le VPF.

Énergie EM : Elle est désordonnée et repose sur le flux de photons virtuels du vide.

Énergie statique : Elle est un modèle ordonné, stationnaire avec respect d'un observateur externe.

Énergie dynamique : Elle est un modèle ordonné, non stationnaire avec respect d'un observateur externe.

Potentiel : Il est un modèle désordonné et qui repose sur le flux de particules virtuelles (VPF) du vide.

Potentiel scalaire : Il est un modèle ordonné et qui ne se déplace pas avec respect d'un observateur externe.

Potentiel vecteur : Il est un modèle ordonné qui est en mouvement avec respect d'un observateur externe.

Potentiel scalaire EM : Il est dynamique et repose sur le VPF du vide avec respect d'un observateur externe.

Encore une fois Énergie et Potentiel ont la même définition. Le potentiel est en fait de l'énergie piégée.

 

Le concept double de la Tension

Avant-propos

Le Voltmètre influence la mesure prise (à travers sa résistance interne de mesure) et rigoureusement les valeurs deviennent erronées.

On ne peut de toute évidence mesurer l'énergie ou potentiel comme de la Tension.

Toutefois pour clarifier et améliorer la compréhension des circuits électriques à énergie libre nous aurons besoin d'équations (pseudo-équations) en corrélation avec les moyens de mesures et d’expérimentations actuelles. Bien que faisant du tord à la rigueur d'esprit du scientifique dans le domaine de l'énergie libre.

Les pseudo-équations

T  : trapped (piégé)

m : translated (en mouvement)

d : dissipate or dissipating (dissipé …)

K : energie

V = Volt = chute de potentiel ou potentiel dissipé = rayonnement EM dans la charge (chaleur) = travail effectué par la charge

f : potentiel scalaire électrostatique

coul : Coulombs

i = ampère = dissipation des Coulombs potentialisés par seconde pendant la circulation du courant = amps toujours en translation = Amps sont des Coulombs par unité de temps, seconde, qui sont en train de dissiper leur excitation.

[Il y a seulement amps (avec super conductivité exclut) quand il y a une chute de potentiel à travers une charge (les électrons potentialisés traversent la charge)].

n : nombre d'électrons par Coulomb = 6,3.10^18 électrons/coulomb. 

Df = VT

Travail : Kd = Vd x ampd x sec = watts x sec = puissance x temps = Vd x (could/sec) x sec

-->>Dans le switching nous switchons KT  vers Kd donc :

 KT ==> Kd

Mais :     VT  x coulT = KT

Ou    :     Énergie piégée par Coulomb piégé : [VT] = [KT] / [coulT]

              MONTANT D'ENERGIE PIEGEE A CHAQUE CYCLE : [KT] = [VT] x [coulT]

C'est donc ce à quoi nous souhaitons connaître : le montant d'énergie piégé que l'on peu transférer dépend du nombre d'électron piégé dans le gaz d'électron libre piégé dans le collecteur et du gradient de potentiel appliqué à ces Coulombs piégés pour les potentialiser.

 

Temps de relaxation et semi conducteurs

Temps de relaxation

Le temps que prend les électrons libres dans un conducteur pour atteindre la peau du conducteur (surface fil), après que le potentiel soit appliqué est, évidement, appelé le temps de relaxation. Durant ce temps les électrons libres dans le gaz sont piégés jusqu'au moment de la production de courant (dissipation du potentiel). Cependant, immédiatement après la fin du temps de relaxation, un courant apparaît et la dissipation de l'énergie piégée commence.

Dans le cuivre le temps de relaxation est incroyablement, rapide. C'est environs : 1,5.10^-19 sec. Bien que dans le quartz c'est environs 10 jours ! Donc tel que vous le voyez nous avons besoin d'être situé entre ces deux valeurs et donc nous aurons à mixer ou doper les matériaux. Nous devons avoir un temps de relaxation suffisamment long tel que nous pouvons collecter et  

basculer confortablement entre les cycles I et II. Mais aussi le temps de relaxation nécessaire doit être assez court pour permettre des décharges rapides dans la charge, dès que nous connectons ensemble la source primaire et le collecteur. Plutôt que du simple cuivre nous aurions besoin d'un matériau semi-conducteur dégénéré.

Matériau semi-conducteur dégénéré

Un matériau semi-conducteur est intermédiaire entre un bon conducteur et un isolant. C'est un matériau non-linéaire et dopé. Un matériau semi-conducteur est un matériau qui a toutes ses bandes d'énergie pleines et remplies d'électrons, et enfin qui semble être un conducteur. Avec un tel matériau dopé on peut augmenter le temps de relaxation.

Du bon fil de cuivre... sûrement pas !

Les inventeurs de circuit sur-unitaire obtiennent plus de puissance à la sortie qu'à l'entrée. Mais dès que l'un d'eux cherche à améliorer l'appareil sur-unitaire avec utilisation de composants et matériaux purs et de meilleure qualité... BOOM ! Il n'y a plus du tout de sur-unité. Explication : La plupart des inventeurs obtinrent des effets de succès (parfois irréguliers), lorsqu'ils se débattaient avec des matériaux oxydés, usés, et vieux. En fait moins bon est le matériau meilleur sera le résultat. Plus c'est contaminé et dopé mieux c'est !

Le moment où vous aurez décidé de construire un circuit avec du bon fil de cuivre connecté entre la batterie ou un autre type de source et la partie du circuit contenant le collecteur, vous pourrez dire au revoir à la sur-unité. Vous aurez perdu ça dans le cuivre après les premières 1,5.10^-19 secondes !

Pensez d'un bon conducteur réellement tel que le cuivre comme un matériau linéaire essentiellement. Linéaire signifie énergie conservatrice. La sur-unité peut seulement être obtenue avec un effet hautement non-linéaire. Donc votre conducteur doit être constitué de matériaux non-linéaires. En fait ils doivent être des matériaux de type semi-conducteur dégénéré. Pour le circuit le cuivre et le fil de cuivre doivent être dopés.

L'installation électrique (tout le circuit) doit être constituée d'un matériau semi-conducteur dégénéré (DSC). 
Les industriels peuvent fabriquer cela avec le temps de relaxation désiré.

C'est un tel câblage qui doit être utilisé pour relier la source au collecteur. Le collecteur lui aussi doit être de cette nature. Le collecteur est soit un condensateur soit une bobine.

A l'inverse du collecteur vers la charge on veut utiliser du bon conducteur, du fil de cuivre sera parfait.

Maintenant que cela est fini, l'affaire est dans le sac. Pour la fabrication du matériau DSC, il faudra simplement au préalable calculer un temps de relaxation adéquat pour être adapté et intégré aisément dans le circuit avec les composants qui agissent sur le « switching ». Exemple : pour une valeur de 1 ms on pourrait même utiliser des composants mécaniques, alors qu'avec des nanosecondes les composants seront plus chers peut-être...

Donc dans le collecteur vous calculez le nombre de coulombs piégés que vous avez. Mesurez la « tension 
piégé » (densité d'énergie de potentiel de courant gratuit par coulomb) que vous extrayez depuis la source lors du temps de relaxation après connexion au collecteur. Multiplié le nombre de coulombs piégés dans le collecteur par la tension piégée durant la phase de collection, et vous avez le montant d'énergie en Joules que vous recueillez gratuitement, sans payer pour ça, depuis la source pour un nombre souhaité de cycles.

 

Sources, collecteurs et puissance

Mesurez l'énergie du vide

Vous êtes en train de posséder l'excès d'énergie électrique directement depuis le vide, comme cité plus haut. Le vide va gracieusement reconstituer toute la « tension piégé » depuis la source primaire durant le temps de relaxation des électrons. (Nous ne somme pas obligés d'attendre que le temps de relaxation des électrons soit atteint pour basculer le collecteur sur la charge externe du circuit).

La source peut-être presque rien

Vous pouvez utiliser comme source un simple fil élevé pour se placer entre la Terre et l'Ionosphère avec
200-300V/m. Le fil doit être dopé...

Finalement vous devez ajuster la répétition des « switching » en les synchronisant avec le temps de décharge avec la charge comme suit : (le temps en série est Dt1+Dt2+Dt3+Dt4)

(1) : extraire l'énergie piégé (potentiel), depuis la source sur le collecteur pendant le temps Dt1,

(2) : Basculer le collecteur sur la charge pendant le temps Dt2,

(3) : Attendez la décharge du collecteur à travers la charge durant le temps Dt3,

(4) : Re basculez le collecteur vers la source pendant le temps Dt4.

Limité seulement par un seul modèle?

Évidement il existe des variantes, je vous ai juste donné les points essentiels de la réussite. On peut combiner plusieurs collecteurs, utiliser de la THT pour la source ou placer une batterie à la place de la charge, etc, …

 

 

Partie II

 

 

INFORMATIONS SUPPLEMETAIRES SUR

LE SECRET FINAL DE L'ENERGIE LIBRE

Mise à jour : 15 février 1994
© 1994 T. E. Bearden1994

Use of Step-Charged Capacitor as the Collector by Tom Bearden

 

 

Introduction

Suite à de nouvelles découvertes et de nouveaux brevets déposé, j'ai ainsi rédigé se document.

 

Sommaire de l'invention

Une méthode et un appareil pour l'extraction d'énergie d'onde EM bidirectionnel depuis le vide par le gradient de potentiel scalaire à travers les terminaux d'une source électrique, collectant l'excès d'énergie dans un collecteur sans entropie, puis de façon séparé déchargeant l'énergie collecté à travers la charge pour exécuter un travail, sans renvoyer le courant de la charge à travers la source primaire contre son gradient de potentiel. C'est à dire, contre sa bemf (back-emf). Retirer le courant de la charge interne de la source réduit substantiellement la production de travail à l'intérieur de la source pour ne pas dissiper sa bipolarité. Disant que le travail de dissipation interne étant bien connu pour être la cause d'épuisement de l'habilité de la source à continuer de fournir une emf vers le circuit externe. Par réduction de ces dissipations internes, la source est capable de fournir plus d'énergie pour de la dissipation dans la charge externe qu'il en est pour la charge de la source. La source est capable d'opérer de façon sur-unitaire. LE système est dit ouvert, il extrait et utilise l'excès d'énergie EM depuis une libre circulation dans la source externe (le flux d'échange entre le vide environnant et la source bipolaire fait de cette dernière un système ouvert).

Ce système sur-unitaire peut opérer avec une grande efficacité, sans violation des lois de la physique, de façon analogue, mais entièrement différente, à peu près comme une pompe à chaleur (frigorifique). La bipolarité de la source est utilisée premièrement comme une antenne dipôle pour recevoir l'énergie d'onde EM bidirectionnel circulant depuis le vide et pour diriger cette énergie sans entropie à l'aide de composants « switcher » vers le collecteur ! La conduction des électrons dans le collecteur est temporairement restreinte, lesquels sont en train d'être sur-potentialisé par excès d'énergie en train d'être collecté sur eux. Le collecteur et ses électrons sur-potentialisés sont alors déconnectés de la source et connectés maintenant à travers la charge tel un circuit fermé et séparé. Les électrons dans le collecteur et leur excès d'énergie sont alors automatiquement relâchés pour circuler comme le courant en une décharge à travers la charge. Cette énergie effectue un travail dans la charge. Le collecteur (une fois l'énergie dissipée dans la charge), se rebranche sur la source pour un nouveau cycle de collection.

Fig1B

Figure 1A : Circuit type utilisant un générateur de rampes pour charger le condensateur sans travail, avec décharge séparé de l'énergie collecté sur la charge sans épuisement substantiel sur la source primaire.

Fig1A

Figure 1b : Circuit type pour charger un collecteur en semi-conducteur dégénéré (DSC), avec de simples impulsions sans travail appréciable avec décharge séparée de l'énergie collecté sur la charge sans épuisement substantiel sur la source primaire.

 

Toutes sources électrique de potentiel est déjà une source d'énergie libre

La source agit comme une antenne dipolaire pour recueillir en permanence le courant du potentiel scalaire (d^/dl), (courant se déplaçant sans masse), depuis le vide. Pour les conditions pour une charge libre, (di*/dl) est continuellement reçue depuis le vide par n'importe quel dipôle, et la circulation d'énergie est continuellement échangée en va et vient depuis le dipôle. Cet échange d'énergie libre avec le vide est vrai dans deux points : dans notre circuit qui possède un circuit ouvert de tension ou ddp (différence de potentiel), entre les deux pôles de la source. Les sources d’antennes dipolaires d'énergie libre sont partout. Nous avons juste à apprendre comment casser la symétrie dans l'échange de leurs flux d'énergie avec le vide, collecter quelques influx circulant librement et distribuer cet excès d'énergie collecté vers une charge séparée et isolée. Autrement dit nous avons simplement qu'à copier sur les pompes à chaleur (frigorifique).

Fig2

Figure 2 : Pourquoi les systèmes d'énergie électrique actuels ont une efficacité opérationnelle sous-unitaire?!

 

Condensateur (chargé par pulse) comme collecteur

Continuons notre recherche par un matériau spécial pour un temps de relaxation de gaz d'électrons prolongé pour le collecteur, un alliage composé de 98% d'Aluminium et 2% de Fer.

Cycle 1 (collection d'énergie) :

Cycle2

 

Puis temps de relaxation atteint :

Cycle1-b

 

Cycle 2 (dissipation d'énergie)

Cycle1-a

Cependant la production de cet alliage est assez onéreuse, c'est pourquoi nous recherchons autant que nous le pouvons d'autres solutions.

En attendant, on peut faire déjà autrement. Utilisons un condensateur normal pour le collecteur, en le chargeant avec un générateur de rampes. La preuve que ceci peut librement charger un condensateur avec de l'énergie, sans avoir à effectuer du travail appréciable est déjà connu dans la littérature. Vous pouvez charger un condensateur sans entropie et essentiellement sans avoir à établir un courant de masse d'électrons.

Pour faire court, nous considérons que le condensateur peut-être chargé sans déplacement de masse (d'électrons), de circulation de courant.

Nous envisageons, dans l'usage du circuit, que le déplacement «d'électrons sans masse » est un courant de potentiel scalaire (dØ/dl) - un courant de potentiel pure (d'énergie EM capturé), le long du conducteur ou à travers le vide.

 

Opération avec circuit à 2 fils, fermé, conventionnel

Là il y a circulation de courant dans ce circuit fermé, au travers la charge et le reste du circuit. Les électrons seront considérés comme un fluide matériel pour du travail à faire, pour transporter et décharger l'excès d'énergie EM et en forçant les électrons à revenir à travers la force électromotrice de retour (bemf), qui recharge encore les électrons envoyés avec un excès d'énergie EM, sous la forme d'excès de petites densités d'énergies capturées Ø’S, sur chaque électron recyclé.

Quelques excès de Ø collectés sur les électrons sont dissipés dans la charge comme du travail utile, mais seule la moitié est dépensée (le reste perdu en friction, inefficacité, etc), et ceci sans excès de Ø, petite densité d'énergie capturée.

Ces circuits à boucle fermé sont sous-unitaire perpétuellement (cf. fig. 2).

A noter que ces circuits sont tout de même des circuits ouverts « branchés » sur le vide et recevant en permanence de l'énergie libre, mais ils ont le défaut d'être conçu de manière suicidaire.

 

Efficacité opérationnelle

Nous définissons operational efficiency Alpha comme la puissance moyenne dans la charge divisé par la puissance moyenne à l'intérieur de la source pour dissiper et détruire la barrière de bipolarité.

 

Thermodynamique et système à sur-unité ouvert et en déséquilibre (asymétrique)

Dans cette approche nous avons un circuit ouvert lors de tous cycles de collections, avec une source externe qui reçoit un flux d'énergie sans relâche. Nous avons exprès cassé la symétrie d'échange avec le vide, d'énergie du système, en séparant dans l'espace et à travers le temps, l'opération par un cycle de collection d'énergie et un autre cycle de dissipation d'énergie. L'efficacité opérationnelle de la sur-unité est possible sans violation des lois de la nature. Bien que l'équilibre dans le flux d'énergie local ait été cassé, celui dans le flux d'énergie global ne l'a pas été.

 

Courant de déplacement sans masse

C'est la technique que nous utilisions. On utilise le déplacement de courant sans masse pour charger le condensateur, plutôt que le flux de courant d'électrons (habituel).C'est un flux d'énergie réel néanmoins. Il est un phénomène bien connu dans le chargement d'un condensateur. Un coté du condensateur charge déjà l'autre coté à l'aide justement de se déplacement de courant sans masse, transportant de l'énergie EM réel à travers l'espace qui sépare les deux plaques du condensateur - les électrons eux-mêmes ne traversent pas cet espace.

Le déplacement du courant est toujours bien connu pour être un transport d'énergie libre sans aucune dissipation en puissance ou/et travail. En établissant un déplacement de courant sans masse, seulement à partir de la source antenne à la place d'un flux de courant d'électrons, vous pouvez établir du travail gratuit ou du non travail, sans dissipation d'énergie de la source-antenne.

Le ' truc ' est d'empêcher la circulation de la composante masse (déplacement longitudinale des électrons) du courant électrique dans la source primaire lors du processus de collection.

Dans le document 1/3 nous avons expliqué que ceci pouvait être fait en utilisant pour collecteur un matériau semi-conducteur dégénéré avec un temps de relaxation du gaz d'électrons relativement étendu. Dans ce document il aura été plutôt question de charger gratuitement un condensateur par un générateur de rampes pour des raisons économique.

TBearden

Ci-dessus Tom Bearden théoricien et inventeur en énergie libre

 

 

Partie III

 

APPAREILS ELECTRIQUES SUR-UNITAIRE - PRATIQUE

PRACTICAL OVERUNITY ELECTRICAL DEVICES

© T.E. Bearden - 13 Mai, 1994

 

LEGENDE:

 = produit scalaire

Ø = Champ potentiel électrostatique scalaire

 = Nabla (désigne soit le gradient d'une fonction en analyse soit une connexion de Koszul en géométrie différentielle).

|x| = valeur absolue de x

uf = microFarad

La charge n'est pas quantifiée

La valeur de la charge est changeante lorsque celle ci se déplace dans le circuit et elle se représente par une fonction selon le contexte du potentiel.

 

Les deux composantes du courant électrique

La seule façon de comprendre l'énergie libre est d'abord d'appréhender le courant électrique tel que constitué par deux courants couplés ensemble : [(dØ/dt) (dm/dt)].

Le composant (dØ/dt), est connu et mal compris, il est le déplacement de courant sans masse.

Le composant (dm/dt), est le déplacement de courant de masse.

L'opérateur  signifie couplé à ou sur le point de le faire.

L'opérateur de couplage représente une opération bien réelle : l'échange de photons virtuels entre le potentiel du vide et la masse chargée.

 

La masse est un composant interne de force

C'est à travers la force que la masse prend toute son importance (exemple F=(ma)). On trouve la masse par exemple dans un champ électrique qui est défini comme étant la force par coulomb. Un champ électrique n'existerait pas sans la composante de masse. Un champ scalaire électrostatique ( Ø)cherche à se coupler à la masse d'une charge q tel que (Ø+ Ø)m et de là un champ-E (champ électrique), est créé et existe 
E s -[( Ø)(q)]/|q|. C'est ainsi que la masse devient un composant incontournable de force.

Un condensateur idéal est celui qui est un bloqueur d'électrons

Dans un condensateur classique les plaques et le diélectrique sont en mouvement due aux forces électrique. 
Il s'en suit un courant d'électrons se dissipant dans la source pour faire du travail... Il existe cependant des condensateurs rigidifiés (~$400 à $2000 le condensateur de 1 µF)...

Un condensateur idéal ne laisse pas passer de courant d'électrons mais laisse seulement passer le courant sans masse tel que décrit dans les équations de Maxwell.

 

Composant de blocage d'électrons

Il y a le « transistor semi-conducteur Fogal » du nom de l'inventeur William J. Fogal (un ami de Bearden - détenteur des brevets [5430413 High gain low distortion faste] et [5196809 High gain low distortion faste]). 
Il permet la séparation du courant en deux composants, bloquant uniquement le composant de flux de masse (les électrons).

Le transistor de Fogal bloque le passage des électrons au niveau des pattes, mais laisse le déplacement du courant dØ/dt de potentiel scalaire à travers lui.

 

Énergie, flux, montant fini d'énergie, collecteur

Le flux de courant (dØ/dt) est énergie alors que le flux de courant de masse (dm/dt) est du travail dans le circuit. Toutes mesures à l'aide d'un instrument de mesure ne seront que travail et non le calcul du montant de l'énergie. L'énergie ne peut-être mesurée en pratique et en théorie, à priori.

 

Secret de la sur-unité

La charge (masse chargé), fournie un flux libre sans masse d'énergie EM à partir du vide qui peut-être dirigé vers un collecteur qui emmagasine le tout dans un champ-E ou un champ-B.

Cependant le premier secret de l'énergie libre est le blocage de la composante de charge électrique de masse 
dm/dt du courant dq/dt permettant au flux d'énergie sans masse (dØ/dt)• de circuler vers le collecteur pour obtenir un champ-E ou un champ-B.

Le deuxième secret concerne la façon dont le deuxième cycle se déroule.

La masse du circuit de charge externe et la masse du collecteur devraient être les mêmes pour que le courant d'électrons chargés retourne à travers la fem-back de la source primaire, tel que autant d'excès de travail sera fait à l'intérieur de la source pour dissiper ses séparations de charges que de travail fait dans la charge externe. Dans ce cas la sur-unité serait détruite ! D'où la nécessité d'utiliser deux circuits isolés.

 

Un simple appareil sur-unitaire à boucle ouverte

 

Figu1

Cette figure montre un très simple mais puissant appareil à sur-unité, utilisant un semi-conducteur à blocage de charge [charge blocking semiconductor (CBS) (such as a Fogal semiconductor)], alimenté en AC.

Le ' truc ' du circuit c'est une source AC pour contrôler le CBS qui utilise une partie de l'énergie pour s’auto-alimenter et qui ne laisse passer toujours, uniquement, que la composante sans masse du courant dans le circuit de sortie. Le potentiel scalaire de sortie du CBS est obtenu avec l'enroulement primaire du transformateur élévateur de tension. Le gain en courant du CBS dépendra de la charge connectée dessus, et de son habilitée à bloquer le champ-E des charges capturées en augmentation, comme un flux d'énergie libre (dØ/dt) qui s'établit à travers lui par la charge. Ainsi la charge et le CBS doivent être le mieux pensés/choisies pour ne pas faire échouer nos plans. L'enroulement primaire du transformateur avec le potentiel scalaire (dØ/dt) produit un champ-H. Il emmagasine l'excès d'énergie dans ce champ. C'est un champ-H magnétique normal. 
Tout champ-H est produit par (dØ/dt). Ce champ-H se couple à l'enroulement secondaire. Dans le circuit secondaire le courant est un courant d'électrons et peut circuler sans contrainte du CBS. C'est un courant de masse chargée qui circule désormais dans la charge.

 

Amplification de puissance libre

Si on place un ampèremètre à la sortie du CBS, entre lui et le primaire du transformateur, le courant sans masse sera lu comme si de rien n'était (comme avec un courant d'électrons).

 

La résistance négative: un système (auto-alimenté et CBS) en boucle fermé

Figu2

Le dessin montre le bouclage fermé de l'appareil de tel façon que le système une fois lancé et stable peut se voir retirer la source d'alimentation du circuit.

Une résistance négative accepte des électrons entrant inertes depuis son pôle négatif, mais accepte aussi l'énergie (dØ/dt) entrante depuis le vide comme des photons virtuel se laissant absorbé par des électrons inertes tel que  Ø est ajouté au courant d'électrons créant un excès d'électrons excités.

La résistance négative est maintenant connue pour être une source d'énergie libre auto-contenue.

 http://www.magnetosynergie.com/Pages-Fr/Presentez/SecretFinal/FR-LeSecretFinal-01.htm

 

Et les liens vers les originaux en langue anglaise : 

Partie 1. http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%209%20Feb%201993/indexold.html
Partie 2.http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%20of%2015%20Feb%201994/index.html
Partie 3. http://www.cheniere.org/techpapers/Final%20Secret%2013%20May%201994/index.html

 

Site Internet de Thomas E. Bearden : http://www.cheniere.org/

5 août 2017

Secrets esoterique de l’énergie des pyramides et Tesla

 

pyramid11

 

La pyramide possède t’elle des propriétés énergétiques ? C’est ce qu’on peut lire dans de nombreux manuels d’ésotérisme. Depuis l’Antiquité, elle représente  la plus reculée le meilleur rapport entre force et équilibre. Elle confirme que les Anciens possédaient la connaissance des lois fondamentales de l’univers et avaient eu accès au monde des énergies subtiles. Utilisée par différentes civilisations dans différentes régions du monde, elle peut avoir deux développements très différents : la forme traditionnelle que l’on retrouve en Egypte et en Chine s’oppose à la pyramide en cône tronqué connue surtout en Amérique centrale et du Sud.
Ces deux développements revêtent une grande importance, car le résultat énergétique est totalement différent.

LES ENERGIES DE LA PYRAMIDE
La radiesthésie (mais également la kinésiologie) peut prouver le rôle important joué par les pyramides au niveau énergétique. Dans ce cas, il ne s’agit pas d’énergies connues, mesurables par des instruments normaux, mais d’énergies subtiles que l’on ne peut déceler que par voie radiesthésiste ou par les effets qu’elles ont sur l’environnement ou les êtres vivants. Ces effets peuvent être étudiés en laboratoire avec des modèles de différents types (avec des matériaux qui en représentent uniquement la structure et avec des parois ouvertes, ou bien avec des structures et des parois pleines). En outre, les résultats obtenus sont répétables et à chaque fois identiques. La pyramide agit à l’égard de l’énergie comme un amplificateur, comme un’accumulateur ou comme un blindage puissant, selon la manière dont elle est positionnée dans l’environnement.

EMISSIONS PROPRES DE LA PYRAMIDE
La physique microvibratoire nous explique que la pyramide émet des ondes de forme qui lui sont propres (voir Thèmes : Ondes déforme) et qui sont substantiellement négatives pour la matière vivante. Or ce phénomène s’avère lorsque la pyra-mide est positionnée selon un certain schéma prenant comme référence les points cardinaux.
Cela constitue une preuve que les ondes de forme sont la résultante de l’interaction entre la structure géométrique d’un objet et le champ magnétique terrestre, qui est capturé par celle-ci, « informé » et émis à nouveau, avec des caractéristiques propres. La pyramide la plus connue, reproduite plus de soixante fois dans l’Egypte pharaonique après une période d’élaboration (voir la pyramide de Joser) est celle qui est dotée, dans sa partie supérieure, du pyramidion classique (appelé ben ben).
Si elle est positionnée avec les quatre faces tournées vers les quatre points cardinaux, elle n’émet pas d’ondes de forme et conserve toutes les émissions énergétiques à l’intérieur de sa structure.
Cela signifie que si elle est posée au-dessus d’un nœud géopathogène, l’influx négatif est bloqué et ne sort pas.
Des relevés radiesthésistes effectués à l’intérieur de la pyramide de Khéops (ainsi que dans d’autres pyramides du même type) ont révélé que les réseaux énergétiques qui entourent le globe, tels que le réseau de Curry et celui d’Hartmann, ne sont pas présents à l’intérieur de la pyramide. Une orientation différente de ce type de pyramide provoque toutefois des émissions d’un type différent.

Plusieurs cas peuvent se présenter :
1) outre le fait que les faces sont tournées vers les points cardinaux ;
2) la pyramide peut se trouver orientée avec les sommets du carré de la base vers les quatre points cardinaux : dans ce cas il n’y aura pas d’ondes de forme émises mais, quel que soit le type d’énergie présent à l’intérieur de la pyramide (positive ou négative) elle sera dégagée librement vers l’extérieur ; 3) la pyramide est désaxée par rapport aux deux solutions précédentes : non seulement elle libérera l’énergie qu’elle (ou le lieu où elle se trouve) émet normalement mais elle irradiera également des ondes de forme négatives qui lui sont propres.

LA PYRAMIDE TRONQUÉE
La pyramide tronquée, caractéristique des structures pyramidales de l’Amérique centrale (civilisation aztèque) ou du Sud, présente les mêmes caractéristiques que la pyramide traditionnelle positionnée avec les sommets de la base orientés vers les quatre points cardinaux, ne bloquant par conséquent aucun type d’énergie.
En outre, elle émet vers le haut l’énergie présente en elle.
Il est intéressant de réfléchir sur le rôle des pyramides d’Amérique centrale. En effet, sur les terrasses placées à leur sommet étaient sacrifiés des êtres humains (des milliers et des milliers chez les Aztèques). Or, la pyramide tronquée a la capacité de recueillir l’énergie sous-jacente (par exemple géotellurique provenant du milieu environnant) et de la projeter vers le haut, où se trouvaient généralement les victimes sacrificielles. Dans ce cas, les prêtres sont généralement représentés soit complètement nus (ils entrent en interaction positive avec l’énergie du lieu) soit lourdement revêtus (ils doivent se protéger contre un milieu hostile) tandis que les victimes sont toujours nues (choisies selon la polarité appropriée). Leur sacrifice libère de l’énergie et entre en interaction comme un catalyseur entre les influx négatifs recueillis dans l’environnement et projetés vers le haut et l’influx positif du champ énergétique rappelé du haut vers le bas, pour assurer une neutralisation des opposés et une amélioration énergétique environnementale.

QUELQUES RECHERCHES RECENTES …
Selon le Dr Philip Callahan, de granit rose – qui a été utilisé dans la construction de la Chambre des Rois de la Grande Pyramide – est l’une des substances les plus paramagnétiques. Il a mesuré le calcaire, qui a couvert la Grande Pyramide, est diamagnétique ». Paramagnétique se dit d’une substance qui acquiert une aimantation de même sens que le champ magnétique dans lequel on la plonge, mais qui perd cette aimantation lorsqu’on la sort du champ.Si le moment magnétique résultant est nul : le matériau est diamagnétique . Lorsqu’on le soumet à un champ magnétique extérieur , il réagit faiblement en créant un champ magnétique contraire ( ceci est dû à la déformation des nuages électroniques ) Le cône de forme et de la forme pyramidale sont souvent considérés comme l’équivalent d’énergie. Les deux sont dit pour générer un champ de spin de l’apex.

Vous pouvez voir ici une photo Kirlian montrant le tourbillon d’énergie en double hélice sortant du sommet de la pyramide.

Secrets de l’énergie des pyramides et Tesla dans Bienvenue ici le blog RS017 hardy1
Légendes Mary et Dean Hardy de Allegan dans le Michigan. Les Hardys ont pris une pièce d’or et l’ont suspendue à la Chambre du Roi niveau d’une Grande Pyramide réplique grandeur nature. Après un certain temps la pièce en or a présenté des gouttes d »huile » à sa surface. Un autre expérimentateur a reproduit cette exprience avec une autre pyramide. Cette expérience reprend les travaux du Dr Dee Nelson de 1979.
Le Tesla Coil ou bobine Tesla est placé au niveau de la Chambre du Roi. Il se compose de deux ou parfois trois circuits électriques couplés en résonnance. Ce mécanisme fut inventé par le scientifique américaino- serbe-  Nikola Tesla autour de 1891. Il est généralement utilisé pour produire un courant d’électricité de très haute tension,faible, et de haute fréquence en courant alternatif.

 

Joshua Gulick suggère que la pyramide est le « feu secret » des alchimistes. Il affirme qu’il a utilisé ce feu secret pour dissoudre l’or métallique dans l’alchimique de l’or et que cette huile de l’or a séché, tout d’abord en une poudre blanche, puis une poudre rouge. Ces produits de l’or sont bien décrits dans la littérature alchimique comme des étapes vers la pierre philosophale. Selon Joshua : « Le grand secret de l’alchimie est ce qu’on appelle le« feu secret », quelque chose qui peut, au fil du temps, dissoudre l’or en une poudre blanche. Il est dit que l’ensemble du processus est complété par ce« au feu »sans interaction humaine. Il est également dit que le processus est «un jeu d’enfant», et ça l’est vraiment. Le secret du feu qui dissout l’or est une énergie émise par une forme pyramidale. Pas très étonnant, le mot «pyramide» est traduit par «feu au milieu. »
J’ai utilisé [...] une pièce d’or suspendu au milieu d’une pyramide de huit pieds de haut et de sections de tube en cuivre qui forment une image pyramidale. La pièce exsude un liquide qui sèche en une poudre blanche. Il ne s’agit pas de condensation comme la pièce est à la température de l’air et l’humidité est faible. J’ai nettoyé la pièce, et le liquide / poudre réapparaît. Ce n’est pas une propriété signalé normalement de l’or, mais il est tout à fait cohérent avec la première étape du processus alchimique, obscurément liés dans les textes que j’ai étudiés.  »

Selon d’autres auteurs, c’est cette forme d’énergie qui a été utilisé pour faire léviter des blocs de pierre lors de la construction des pyramides.

hard Energie des Pyramides . dans Energie des Pyramides 

Selon les auteurs du livre « Pyramid Energy » la photo ci-dessus appelée Bobine Caducée a été utilisée pour faire léviter des blocs de pierre qui ont été utilisées pour construire les pyramides. Les chemins ont été construits, flanquée de rangées de sphinx, le long de laquelle un circuit appelé solitron créait un vortex en spiral, et était alimentée par des bobine générateurs.

Deux antennes entre lesquelles un « vortex » faisait léviter les pierres.
Les prêtres égyptiens utilisant ces bobines utilisées, un passif (sur la gauche) et un actif (à droite). La bobine active été reliée à la terre sur des « points sacré » et prenait donc sa source dans le réseau énergétique planétaire. La raison pour laquelle les scientifiques d’aujourd’hui ne peuvent pas dupliquer cette prouesse est simple, car «ils n’ont pas étudié la source d’alimentation appelé grille électromagnétique terrestre. » Hardy & Killick expliquent plus en détail:

« Les anciens ont utilisé ce réseau pour parvenir à la lévitation et à la communication dans le monde entier. C’est la raison pour laquelle des pyramides se trouvent dans le monde entier. La pyramide de Kheops en Egypte est générateur d’une bobine et a été construit pour puiser dans la grille de la Terre. Le panneau de contrôle principal de cette grille a été l’arche de l’alliance. » [Hardy & Killick, Pyramid Energy, p. 165. p. 169]

QUELQUES EXPERIENCES AVEC LES PYRAMIDES
Comment se fait-il qu’une simple pyramide de carton aiguise une lame de rasoir usagée ? ou parvienne à momifier un morceau de viande placé à l’intérieur ? Pourquoi certains volumes émettent-ils une énergie d’origine inconnue et cependant mesurable ? C’est toute l’énigme des « ondes de forme », et des curieux phénomènes dont elles paraissent responsables qui se pose là. Un mystère que la science voudrait bien expliquer et dont certaines civilisations de la haute Antiquité avaient peut-être percé le secret… Dans le dossier n » 91304, au Bureau des inventions de Prague, il y a la description d’un appareil bien insolite qui est prosaïquement décrit sur la page de garde comme L’ustensile à usage d’aiguisoir de lames de rasoir. Le système a été déposé en 1959 par un ingénieur du nom de Karel Drbal, bien connu en Tchécoslovaquie parce qu’il y fut, entre autres, responsable de la création du réseau national de télévision. L’aiguisoir est décrit comme une pyramide de carton ou de plastique qui mesure 23,40 cm de côté sur 15, 10 de hauteur. Elle comporte une base carrée, amovible. sur laquelle on la pose comme une cloche. Sur cette base sont dessinées les médianes, et à leur intersection se trouve un petit parallélépipède de la taille d’une boîte d’allumettes. Il est spécifié que les dimensions de ce dernier n’ont pas une importance capitale mais qu’elles ne doivent toutefois pas excéder 6.50 cm de hauteur. L’idéal est 5 cm. ce qui correspond au tiers de la pyramide.

Pour utiliser le système. il faut une boussole. car on oriente la pyramide de façon que L’une des médianes se trouve très exactement sur un axe nord-sud- Il est aussi indispensable de procéder à distance de tout appareil électrique ou électromagnétique. La lame de rasoir émoussée est posée sur le socle de 5 cm, les tranchants tournés face à l’est et à l’ouest. On place la pyramide sur sa base au-dessus de la lame et on attend six jours. La lame est affûtée. Drbal prend soin de préciser que, par la suite, il suffit de la remettre dans la même position sous la pyramide pour qu’elle retrouve son fil du jour au lendemain ! Ce qui est incroyable. c’est que ça fonctionne sans que l’on puisse expliquer pourquoi ni comment !
Ce n’est bien sûr qu’une hypothèse. déclare l’ingénieur tchèque. Mais il semble que toute évolution chimique, physique, biologique de la matière se produisant dans un espace donné varie en fonction de la forme de cet espace- Pourquoi ? On l’ignore tout à fait. Mais force est de constater qu’en utilisant des formes appropriées, la pyramide, en l’occurrence. On accélère ou on ralentit le processus… Pourquoi la Pyramide ? Et plus particulièrement, dans le cas de l’aiguisoir de Prague, à l’échelle de celle du pharaon Chéops, en Egypte ?

Modestement, Drbal, dans ses Mémoire. avoue ne pas. être tout à fait à l’origine de la découverte. Au début des années cinquante, raconte-t-il. un touriste français (mais oui), M. Bovis, visite la pyramide égyptienne. Dans la chambre mortuaire, un fait l’intrigue. L’humidité y est grande, et pourtant des cadavres de chats. d’insectes et de rongeurs, sans doute morts après avoir pénétré et s’être perdus dans les galeries. n’ont pas pourri, ils se sont littéralement momifiés. Bovis se demande alors si l’architecture même du tombeau ne serait pas pour quelque chose dans le phénomène. Il se dit que les prêtres égyptiens possédaient sans doute des connaissances que nous ne pouvons pas soupçonner sur les propriétés de certaines matières, de certaines formes ou de certaines lignes de force capables de modifier un processus naturel comme celui de la décomposition des matières organiques…

( …) Enel et lui-même parvinrent à la conclusion que toute la statuaire, l’architecture et même le graphisme de certaines civilisations de l’Antiquité obéissaient à ces lois des émissions de forces. Lignes, volumes, disposition, orientation…, tout était calculé pour générer un équilibre idéal, une intégration parfaite dans l’espace de certains lieux et de certains hommes privilégiés…Une science perdue ou volontairement occultée ? Une science ou une magie mais ne se rejoignent-elles pas quelque part ? qui aurait donné le Nombre d’or des plus grands monuments sacrés de jadis ? Le mathématicien Ravatin et son organisme de recherches, le groupe Ark’All, se demandent si ces formes d’énergies inconnues ne jouent pas avec des structures du continuum autres que celles prises en compte par notre science d’aujourd’hui. Avec les émissions d’énergies dues aux formes, conclut le célèbre parapsychologue soviétique Sergueïev, sans doute irions-nous beaucoup plus loin, si nous en savions davantage, qu’avec toute notre électricité et notre nucléaire. Il y a certainement des raisons pour que ces connaissances se soient…perdues. Malgré tout, peut-on, quotidiennement, utiliser ces ondes de forme ?

Le docteur Serge V King est un des plus grands spécialistes au monde des pyramides et autres structures propres à émettre des « ondes de forme ou de force », qu’elles soient positives ou négatives. N’ayant aucun intérêt immobilier dans l’affaire Onan pas plus qu’ailleurs. son propos est donc uniquement scientifique. Voici écrit-il dans l’introduction de son livre Pyramidal Energy Book (« Manuel de l’énergie des pyramides » en français) une liste de ce que la pyramide est susceptible d’accomplir. L’ordre n’est pas préférentiel (et la liste n’est pas complète) :

  Aiguiser les lames de rasoir et la coutellerie ;

  Adoucir le café, le thé et le tabac

  Donner à l’eau du robinet un goût d’eau de source ;

  Stimuler la croissance des plantes ;

  Accélérer le temps de germination des graines ;

  Conserver la nourriture ;

  Rehausser les saveurs naturelles ;

  Faire mûrir les fruits et les légumes ;

  Retarder la croissance des algues et empêcher celle des bactéries ;

  Améliorer la réception de la radio et de la télévision ;

  Recharger les batteries ;

  Augmenter la conscience et rendre la relaxation plus profitable ;

  Stimuler le processus de guérison et alléger la douleur ;

  Rendre et enlever la ternissure ;

étrange pyramide !!!
envoyé par contrelapenseeunique.
Chercheurs en énergie des pyramides :
Page du Dr. J.D. Nelson of the University of Wyominghttp://www.keelynet.com/unclass/hardy1.htm http://rso17.unblog.fr/2013/09/03/secrets-de-l%E2%80%99energie-des-pyramides-et-tesla/
Page de Joshua Guilck http://www.subtleenergies.com/ormus/tw/pyramidgold.htm
Twin Serpents http://www.subtleenergies.com/ormus/tw/2serpents.htm

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1 août 2017

Stanley Mayer un génie du 20 siecle de l'energie libre moteur à hydrogene

Ingénieur en électricité possédant d'une grande expérience, Stanley travaillait sur la fusion de l’hydrogène à température ambiante.

Il a été l'auteur de divers brevets en océanographie, monitoring cardiaque et systèmes de validation bancaires (42 en tout dont 10 au Canada). Début 1989, il a eu un traitement de faveur au bureau des brevets : certains de ses brevets ont été acceptés en 1993. La plupart d'entre eux font partie de la section 101, où l'accord pour le brevet dépend d'une démonstration réussie. Dans ce bureau les brevets de Meyer furent expédiés en 8 mois, ce qui est un délai court et inouï qui prouve qu'ils ont pensé que cette technologie était importante, d'autant plus que dans d'autres textes il est dit au contraire que 200.000 applications de brevets étaient en attente.

Il a travaillé pour la Fondation Battelle dans l'Ohio, à la mise au point du projet Gemini à la NASA et aussi au système d'alimentation en énergie sur le concept EBED pour le projet Guerre des Etoiles.

Il possédait des sociétés qui fabriquent de tels équipements et il a occupé des fonctions de co-sponsoring dans des affaires internationales.

Avec son frère, ancien ingénieur en électricité de l'USAF, il a monté une opération de plusieurs millions de dollars dans le domaine du transport et des pièces détachées.

Il avait l'esprit d'entreprise. La technologie Water Fuel Cell (W.F.C., nom de la technologie et de la société de Meyer) est la propriété de Stanley A. Meyer de Grove City dans l'Ohio. De nos jours, la W.F.C. International n'a pas de représentants officiels en Angleterre. Mais, malgré des controverses, au Royaume Uni, des membres du Parlement, des scientifiques du Ministère de la Défense, étudient la W.F.C. de Meyer tout comme de grands groupes industriels et des gouvernements étrangers.

Il a financé seul son travail scientifique, reconnu et récompensé par des organismes nationaux et internationaux, et a été élu inventeur de l'année dans le Who'Who américain de 1993. (Il a ensuite reçu des soutiens substantiels du Canada, d'Angleterre, et de Suède.

 


LE DECES DE STANLEY MEYER

Le 29 mars 1998, Eugène Mallove * rédacteur en chef de Infinite Energy confirmait sur Internet le décès de Stanley, âgé de 57 ans, après avoir appelé le service de pompes funèbres à Evans (information reprise par W. Bahman de P.A.C.E. et D.V.S.).

Le 21 mars, Stanley avait dîné dans un restaurant de Grove City en compagnie d’autres personnes. Il est brusquement sorti de table en disant qu’il avait été empoisonné, puis il a couru vers sa voiture sur le parking et s’est effondré.

Sa famille, sa femme Marylin, son frère jumeau Stefen Foster, un autre frère Henry, sa sœur Barbara Feret, une ribambelle de neveux et nièces, lui même n’ayant pas d’enfants, ont du se résigner à l'absence d'obsèques. Sa dépouille fut emportée pour être autopsiée. Les premières conclusions ont indiqué que sa mort était due à une maladie artérielle, mais comme la maladie incriminée aboutit très rarement à la mort, un autre examen en toxicologie a été ordonné, dont les résultats n’étaient toujours pas communiqués en avril 1998.

Inge et Adolf Schneider du NET journal (que nous remercions pour l'autorisation de publier la photo ci-dessus) avaient rendu visite à Meyer en septembre 1997. Stanley leur avait assuré qu’il avait signé des contrats avec des firmes américaines pour commercialiser sa voiture. Jerry Decker avait appris de Stanley même, rencontré à Denver que sa voiture était presque au point. Il était en bonne santé et plein d’énergie. En mars, il était sur le point d’avoir un grand succès pour la pose de la première pierre d’un centre de recherches de $50 millions à Grove City.

 

From: E.F. Mallove
Subject: Meyer IS dead
Date: Sunday, March 29, 1998 10:38 AM

I just called the funeral home listed in the announcement of Meyer's death. I used directory information to get the number.
The gentleman there at Evans Funeral Home confirms that Meyer had indeed died and that there was a service there. I hope this ends speculation about the reality of Meyer's death.

Gene Mallove

Ce 29 mars 1998, Eugène Mallove ne se doutait pas qu'il avait lui-même rendez-vous avec son assassin le 14 mai 2004...

 


 

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BREF HISTORIQUE DES MOTEURS A EAU.

Il est utile de replacer le travail de Meyer dans son contexte historique, car, en fait, on dit "fonctionnant à l'eau" pour parler de véhicules qui, en réalité sont alimentés en hydrogène.

La théorie concernant l'énergie de l'eau date de 120 ans. En 1874, Jules Verne avait eu la vision de ce "charbon du futur fournissant sans limites lumière et chaleur à un point tel qu'on ne l'avait jamais rêvé". A la même époque, August Otto, le père du moteur moderne à combustion interne, faisait des expériences avec l'hydrogène qu'il préférait à "l'abominable pétrole". Arrhenius, le grand physicien Scandinave, posait la théorie moléculaire qui régirait la dissociation moléculaire libre que Meyer démontre de nos jours.

L'Amirauté Britannique a expérimenté son premier moteur à eau dans les années 30, sous la direction de l'ingénieur en chef Richmond. Pendant la guerre le gaz de l'eau a été largement utilisé. Dans les années 50 British Petroleum a aussi investi sur cette idée. Vers 1970 Channel Islands a beaucoup parlé d’une Morris Mini Minor fonctionnant à l'eau, mais qui, après de grandes promesses de financement pour sa commercialisation, est rapidement tombée dans l’oubli.

Un scientifique d'Europe de l'Est durement éprouvé, Yull Brown (voir son dossier dans le sommaire des Carburants alternatifs) a mis au point un appareil dont le carburant est l'eau. Dans les années 70, l'Assemblée Législative de New South Wales a eu connaissance de l’expérimentation d'une voiture équipée d'un moteur à gaz - eau consommant 3,78 litres aux 1600 km.

Récemment, un jeune Californien a conçu un système simple et bon marché pour les voitures. Après avoir été mis en garde par le DoE de ne pas tenter de commercialiser le dit système (ce qui en démontre la simplicité), il a mis ses plans dans le domaine public.

Tous ces véhicules utilisent des systèmes qui produisent le gaz que l’on brûle à bord.

Les nouvelles technologies de l’hydrogène produisent 20 à peut-être 1000 fois plus d'énergie que les autres. La Royal Society a examiné un moteur dont l’efficacité est multipliée par un facteur de 4 à 6. Une communication officielle était prévue.

D'autres travaux (cités dans le prochain dossier "Sur la piste de l'Energie Libre…" ) comme ceux de Roger Billings ou l'"hypercar" de Amory Lovins, convertissent le gaz en électricité. L'amiral Griffin qui avait essayé en vain de perfectionner la voiture à eau du Dr Henry Cornish est entré en contact avec Meyer. Il a ainsi pu assister en personne à une de ses démonstrations.

W.F.C. affirme pouvoir remplacer les hydrocarbures utilisés de nos jours. Il suffit de moderniser l’injection des moteurs à combustion internes au moyen d’un contrôle électronique (par puce) simple et peu onéreux. Pour l’automobile, un kit W.F.C. se compose d'injecteurs contrôlés par puces et que l’on peut installer en moins d’une heure en les vissant dans les trous des bougies. Dans le cas des diesels, des avions et des gros générateurs de courant actuels, des adaptateurs similaires remplaceraient les injecteurs de carburant comme pour les brûleurs industriels. Des outils de soudure fonctionnant avec l'eau sont déjà vendus par plusieurs autres compagnies (Gaz de Brown probablement).

Pour un coût estimé à $1500, le procédé de Meyer n’est pas cher comparé à celui ($25.000) nécessité par l’adaptation des véhicules à la batterie - hydrogène. Cette dernière, basée sur une membrane à échange de particules n’est donc pas une technologie convenable pour les pays en voie de développement. De plus, il n’existe pas d’industrie qui fabrique ces batteries.

Meyer a aussi inventé des systèmes autonomes pour le chauffage domestique, et l'industrie, ainsi que pour la production d'eau chaude et de vapeur. Autres retombées  de l'application du principe de W.F.C. dessalement de l’eau de mer, traitement des déchets, purification de l'eau (virus et bactéries étant tués par la fréquence et la chaleur) et modules traitant les oxydes et régénérant l’air .

 


 

CARACTERE EXCEPTIONNEL DU PROJET W.F.C.

Il ne s'agit pas d'électrolyse classique: il n’y a pas d'électrolyte, pas d'usure discernable d'électrode, pas d’énergie gaspillée en chaleur. En fait, le bénéficiaire de l’énergie surabondante disponible dans l’eau est la santé publique. En effet, selon le US National Board of Standards, l'eau contient 2,5 fois plus d'énergie que le pétrole.

Dans la W.F.C. de Meyer, l'eau est dissociée en gaz au moyen d’une tension électrique produite par des impulsions de courant continu à haut voltage (20 à 40 kV) à la fréquence de 10-15 kHz (d'autres sources Internet donnent 50 Mhz et de moins d'1mA.) L'inductance, en série avec la capacité amorce des résonances à l'intérieur de la molécule. Celles-ci ont pour effet de casser les liaisons covalentes entre les atomes d'hydrogène et d'oxygène, en utilisant très peu d'énergie. Les deux gaz ainsi séparés le restent jusqu'à ce qu'une énergie suffisante soit disponible pour les recombiner à nouveau sous forme d'eau. Ces principaux points sont repris pour créer une tension au niveau de la particule.

C’est vraiment l'oscillation de la particule qui joue un rôle de générateur d'énergie.

Meyer dit que, dans un élément d'injection de W.F.C., on a accès à un ZPE supplémentaire. C’est à travers un orifice situé dans le noyau, et que la tension électrique fait ouvrir et fermer que l’on peut faire travailler le ZPE. C'est une impulsion explosive plutôt qu'un éclair d'allumage miniature, qui fait mouvoir les pistons et alimente la transmission normalement tout en produisant seulement de la chaleur et un brouillard d'eau en échappement. Meyer décrit un processus similaire pour la division de molécules d'oxydes d'azote.

On peut atteindre une énergie considérable, dépassant de loin celle de la simple combustion de l'hydrogène. Des brûleurs industriels ont été conçus pour fonctionner au million de BTU/h.

Selon les calculs, la masse de ZPE est de l'ordre de 10 x 1093 gm par cm3 . L’énergie qui y est contenue équivaut à 2,5 millions de BTU par gallon d'eau (3,78 l aux USA). Le "vide" à l'intérieur de la molécule est grouillant d'énergie, comme on le sait déjà depuis 1873 avec James Clerk Maxwell et même depuis des milliers d'années dans les sciences orientales et la tradition. La molécule d'eau est l’intermédiaire qui permet de puiser dans l'éther.

 


 

TENTATIVES DE PROMOTION DE W.F.C. AU ROYAUME UNI

L'amiral Griffin, a été un des premiers à tenter d'obtenir une crédibilité scientifique et un financement industriel pour >une initiative privée d’expérimentation de la technologie W.F.C.. En tant que contrôleur de la Navy, et au nombre des créateurs de la Royal Navy moderne, il était responsable, de la mise en place du plan de développement de la technique basée sur l'hydrogène. Il s’était chargé des applications maritimes de W.F.C. et avait planifié une conversion de la Flotte.

Au premier stade de sa campagne, le but était de convaincre les militaires anglais et les représentants de l'industrie, que la technologie W.F.C. fonctionne, et qu'il était possible de traiter avec Meyer, celui-ci ayant d’ailleurs donné son accord pour une expérimentation d'un an prévue sur un bateau alimenté à l'eau, aux docks Ste Catherine à Londres.

Pour les articles scientifiques et les voyages des experts chez W.F.C., l'Amiral a dépensé personnellement 30.000 £, et Sebastian de Ferranti 10.000 £ (parmi d'autres sources de financement.) Pendant 6 ans, recherchant soutiens et engagements, l'Amiral Griffin a contacté sans succès plus de 100 départements du gouvernement et une partie des plus grandes industries avant de trouver enfin un commanditaire financier.

La façon dont l’amiral a conduit sa campagne a été soumise à quelques critiques relatives à la faisabilité et aux prétentions du plan initial. Toutefois, cette campagne laisse entendre que l'"Establishment" connaît bien le travail de Meyer. L'agence de recherche de la Défense et le MoD ont montré leur intérêt dans le développement des activités de Meyer.

Une exploitation de la technologie Meyer alliée à une certaine éthique, excluant les applications militaires, recevrait un plus grand soutien international. C’est vers des zones géographiques où existent des besoins majeurs, et pour des buts plus respectables, tels que l'approvisionnement en eau potable et le maintien de l'agriculture indispensable, qu’il faudrait s’engager.

 


 

INITIATIVES DANS LE DEVELOPPEMENT DE LA TECHNOLOGIE W.F.C.

Meyer était engagé dans la constitution d'un réseau de concessions, et il mettait au point des applications spécifiques sous autorisation de licence.

On dit que des contrats de développement du type "Proof of Concept" portant sur plus de $200 M sont en cours avec de grands groupes industriels. La NASA et l'USAF ont un accès direct à la technologie de Meyer car ses activités sont soumises à la loi sur la sécurité nationale aux USA. Lors de sa dernière visite chez Meyer, l'Amiral a pu observer le développement des travaux sur un certain nombre de moteurs allant des tondeuses auto portées aux grosses locomotives diesel, en passant par les tracteurs ordinaires.

On mentionne aussi dans le bulletin de W.F.C. d'autres initiatives provenant d'autres pays, et, en Amérique, un réseau commercial est prévu pour adapter les systèmes en modernisant les véhicules existants. Il y avait des séminaires réguliers sur les investissements, et Meyer employait des équipes de spécialistes.

Des recherches ont été faites pour établir des centres au dehors de l'Amérique. On a cité le Royaume Uni (jusqu’au décès de l’Amiral) ainsi que la Suède et l'Ukraine. Meyer tient beaucoup à ne pas augmenter les risques de concentration de toute l’activité dans un seul centre. De nombreux organismes, bien connus comme le MITI au Japon et ETZ en Allemagne ont tenté, en vain de reproduire les travaux de Meyer.

On dit que Meyer n'a pas produit les articles scientifiques convenant aux revues de ses pairs, ce qui explique que les rapports sur son travail aient été limités. Etant donné la résistance au NET en général et la compétition naturelle dans les domaines de l'énergie, c'est compréhensible. Les brevets US ont été accordés sous la clause d'une "mise en pratique" équivalente, selon Meyer, à des essais indépendants.

Il y a eu des controverses dans les médias au sujet de son travail mais pas encore d’enquête véritable et complète. Meyer qui avait trouvé qu'un article paru dans New Energy News était trop partial et déformé a demandé qu'il en soit publié un autre. Les matériels de commercialisation sont avares de détails au sujet des processus impliqués.

On a tenté plusieurs fois d'"acheter" Meyer aussi bien dans son travail que personnellement, et il a été victime de provocations. Il est facile de comprendre sa prudence, car il semble attendre avant d'agir, que se diffuse largement l'idée que l'eau peut être un carburant. Il projette plutôt de contrôler sa technologie pour s’assurer que son invention sera dévolue au bien de l’humanité.

Il existe une vidéo de 1993 de ISNE, présentée par INE. Fin 1995, une compagnie de télévision anglaise, INCA a rendu visite à W.F.C.. L’émission "Ca marche avec de l'eau", commentée par Arthur A. Clarke a été suivie de nombreuses demandes de renseignements, et de visites d'organismes tels le DRA (Ministère de la Défense) et une prestigieuse Université. Un membre de la Chambre des Communes a également contacté W.F.C. et suit ses progrès.

Stanley Meyer s’était rendu en Angleterre et dans certains pays d'Europe en Octobre 96. Il avait exposé à plusieurs industriels la viabilité de la technologie W.F.C.. De nombreux contrats "Proof of Concept" ont concerné les domaines de l'aviation, l'agriculture, du chauffage domestique et industriel, des transports par voies de terre et maritime (en particulier la technologie Hyperdrive ® qui concerne essentiellement un sous-marin de pointe.)


 

ARTICLES DE JOURNAUX SCIENTIFIQUES ET UNIVERSITAIRES

Voici de nombreuses confirmations basées sur des essais dans des laboratoires gouvernementaux et universitaires.

28 ème IECEC Intersociety Energy Conversion Engineering Conférence, août 1993 : " démonstrations répétées devant de nombreux témoins "…

Aeronautic and Space Administration (NASA) Documentation : " utilité de ce procédé pour l'aéronautique "…

Ray Bachnak, Docteur en physique, Professeur et Président de Electronic Engineering Technology, Franklin University, Columbus, Ohio 1996 : " le circuit VIC ® doit accomplir la fonction prévue "…

Dr. T. Nagypal, Professeur à l'Université de Vienne, et Ingénieur consultant dans l'Industrie : " mais votre théorie fonctionne…l'efficacité est de 300 % "…

Rea O' Neill, Professeur de technologie scientifique, Institut de technologie de Dublin, Irlande : " c'est une méthode assurément différente du processus d'électrolyse classique, c'est une technologie qui pourra fournir aux véhicules un carburant alternatif dans un proche futur "…

Amiral Sir Anthony Griffin, Contrôleur de la British Navy (en retraite), Rapport Perkins, 1993 : " L'Université du Sussex a réussi à produire de l'hydrogène à partir d'une installation de montage expérimentale basée sur les circuits de Meyer "…

Professeur Robert Bailey, Département d'Ingénierie Mécanique, Université d'Etat de l'Ohio, Grove City, dans un article du 06/03/1996 intitulé: "Intervention divine" : " Il n'y a aucun doute: cela fonctionne "…

Paul Czysz, Professeur en Aéronautique, Université de Saint-Louis, consultant auprès de la NASA, Programme Equinoxe de Canal 4, à Londres, émission du 17/12/1995 : " Ca marche avec de l'eau" : " c'est une technologie qui capte manifestement le ZPE "…

Science Explained, le monde de la science au quotidien, Colin, A. Ronan, Editeur général, Copyrighted Science Book, 1993…confirme que l'atome d'oxygène a une charge électrique négative, et que celui d'hydrogène a une charge positive…

Les Notes Cliffs de 1993 de Harold D. Nathan, Docteur en physique, vérifient l'effet de liaison électrovalente inhabituel entre des structures moléculaires gazeuses et liquides dans des équations où chaque groupe d'ions atomiques différents a un symbole de charge électrique positive ou négative.

De nombreux laboratoires indépendants d'universités ont confirmé l'importance de la tension élevée pour un courant faible.

Gary L. Johnson de l'Université d'Etat du Kansas a intitulé son rapport: "Explosions dans l'eau induites par l'électricité". Il y indique qu'il a découvert que la force de l'explosion augmentait avec le voltage et que le volume d'eau diminuait.

Roy Azevedo, Peter Graneau et Charles Millet de l'Université Northeastern, ainsi que Neal Graneau du Collège Royal de Londres ont intitulé leur rapport: "De puissantes explosions de plasma -eau". Ils y confirment des résultats semblables en utilisant un voltage pulsant de 30 à 40 kilovolts.

Les docteurs Ukrainiens Eugene Antonov et Vladimir Dresyiannikov, ont vérifié comme les précédents chercheurs les différents aspects de la technologie brevetée de Meyer.

 


 

LES CONTRATS W.F.C.

Après des années de recherche et de mise au point, la technologie W.F.C., est arrivée au stade de conception du système et de préfabrication par les premiers financements des contrats W.F.C. Proof of Concepts. Ceci signifie que l'on s'attend à la fabrication prochaine aux normes industrielles, de modules W.F.C..

Cependant, il faudra alors que l'eau prenne l'appellation de carburant, et que la technologie W.F.C. soit testée et certifiée pour l'EPA et convienne aux règlements d'autres gouvernements. Quand on en sera là, l'objectif de W.F.C. d'utiliser l'eau comme carburant pourra émerger au grand jour. Les concessions W.F.C. prospéreront, et la dépendance aux carburants fossiles touchera à sa fin. C’est une foi qui a animé toutes les démarches de W.F.C.. Après beaucoup de travail, on s’attend à la voir atteindre son but.

Le contrat " Proof of Concept ", en quatre points, est une sorte de contrat unique qui protège aussi bien W.F.C. que celui à qui il est concédé, utilisateur et / ou compagnie maîtrisant parfaitement une haute technologie.

L’Agrément International W.F.C. sur l'accord de contrat désigne les paramètres du système d'énergie à modifier et établit les termes et conditions particulières portant sur la totalité du contrat.

Le Contrat de projet W.F.C. International concerne la construction de deux systèmes de kits de prototype W.F.C., aux fins d'essais et de mises au point aux normes industrielles, en vue de la production. W.F.C. fournit au signataire les spécifications de la conception, et celui-ci construit les prototypes. W.F.C. fournit aussi l'interface électronique et le logiciel nécessaires pour lancer les modules.

L’acceptation contractuelle de l’Agrément International de licence de brevet W.F.C., énonce les conditions et les termes pour une licence de fabrication à l’échelle d’une grande distribution W.F.C..

L’Agrément pour contrat de concession industrielle de W.F.C. International, mentionne les termes et les conditions d'une licence de concession industrielle sur une zone géographique donnée. Cette licence n'entrera pas en conflit avec les concessionnaires locaux mais encouragera la croissance des concessions.

W.F.C. soutient de nombreux contrats dans des domaines énergétiques divers dont le premier porte sur le chauffage domestique et industriel ainsi que les transports avec l’important projet Proof of Concept  de Résonateur à vapeur industriel W.F.C.® . Ce module peut être adapté sur d'énormes chaudières industrielles et stabiliserait les coûts énergétiques d'un grand nombre d'industries. De plus, il empêche l'eau de geler quand on utilise l'injecteur à carburant eau W.F.C. dans l'application choisie.

 


 

DES CONTROVERSES MALHONNETES, DES FREINS…

Récemment, W.F.C. a été déclaré coupable d’une fraude grossière, accusé de ne pas avoir montré quoi que ce soit qui fonctionne, ni de quelconques progrès. Les plaignants étaient des investisseurs d’un programme de carburant concurrent. Aucun des trois témoins " experts " n’avait de références scientifiques et parmi eux, il s’en trouvait deux qui avaient tenté précédemment de prendre la direction de W.F.C.. Lors du procès, le juge a été jusqu’à couper l'enregistrement audio du tribunal pendant une démonstration de la technologie W.F.C..

Meyer (qui depuis 1980 avait dépensé plus de 1,6 millions de dollars) a donc déposé une requête en rejet de la décision de cette cour de justice contre le juge qui a bafoué les lois du Conseil Supérieur de Justice de l’Ohio alors même que la confirmation scientifique se déroule.

Au cours d’une réunion prévue au Parlement britannique, à la Chambre des Lords, Meyer devait parler de la W.F.C. et de la production d’énergie par l’extraction de l’hydrogène de l’eau. Mais cette réunion a été annulée à la dernière minute.

 


 

LES AVANTAGES ECOLOGIQUES DE W.F.C.

Le sous-produit de l'injecteur W.F.C. ® est un brouillard d'eau qui retourne à l'environnement, où il recevra à nouveau l'énergie du soleil par absorption de l'énergie photonique. On peut alors recueillir cette eau sous forme de pluie, et la recycler de nouveau dans le moteur, que ce soit en système ouvert ou fermé.

La technologie W.F.C., spécialement conçue pour convenir aux transports, participe à la dépollution de l'atmosphère, en empêchant le prélèvement de l'oxygène nécessaire à la respiration, en éliminant le rejet d'oxydes chimiques dans l'atmosphère, tel qu'il se produit aujourd'hui avec les combustibles fossiles, en revitalisant les niveaux d'énergie des molécules d'air, et en dissociant les oxydes chimiques déjà présents, depuis 70 ans.

Avec la technologie W.F.C., le moteur à combustion interne, au lieu d'être un système polluant, devient un système purificateur d'air Conscient de cet avertissement et des signes évidents des dangers majeurs encourus par la planète, des chercheurs du monde entier font connaître, grâce à Internet, les avantages de la technologie W.F.C..

 


 

L'OSCILLATION DE LA PARTICULE EN TANT QUE GENERATEUR D'ENERGIE.

C'est ainsi que Meyer définit lui-même le processus relatif à la W.F.C. (qui fait l’objet de 26 brevets US et internationaux et dont un plus grand nombre encore sont en cours).

Depuis longtemps les scientifiques ont observé que des atomes stimulés de différentes façons sur des fréquences résonantes particulières provoquent la libération de l'énergie qu'ils contiennent. Thomas Edison en a fait la démonstration en utilisant un flux de courant pour faire osciller les atomes d'un filament dans une ampoule, dans le but de produire une énergie lumineuse. Gordon Gould a utilisé l'oscillation des particules en faisant absorber puis rayonner à nouveau par un atome l'énergie de photons cohérente dans ce que l'on appelle Laser. Le précurseur du Laser, se servait de cette même oscillation avec l'absorption et le re-rayonnement de l'énergie électromagnétique, ce qui donnait la propagation de micro ondes appelée Maser.

Des instruments de musique qui utilisent des caisses de résonance amplifient les ondes sonores, et se servent ainsi également de l'oscillation des particules en absorbant puis ré - émettant à nouveau l'énergie acoustique amplifiée.

On peut s'interroger sur la cause des éclairs ou sur ce qui alimente l'énergie d’un ouragan ou d’une tornade, phénomènes naturels fréquents. Chaque réponse a un point commun  : le " fléchissement " ou l'oscillation de la molécule d'eau. L'éclair se produit lorsque le front de l'orage " fléchit " les atomes de molécule d'eau exposés à des nuages d'orage à charge électrique négative.

Le fléchissement de la molécule d'eau présente dans le courant d'air tourbillonnant que constitue un ouragan ou une tornade, libère une énergie énorme qui aide à la formation de l'orage. Une élévation de la température initiale fait tourbillonner l'air, délimitant ainsi une zone d'humidité dans le courant d'air. Le courant tourbillonnant de l'air ascendant crée une tension électrique opposée sur les molécules d'eau qui se trouvent dans l'atmosphère chargée par l'électricité du courant d'air en déplacement. Cette tension " fléchit " électriquement les atomes pour libérer l'énergie qui alimente l'ouragan ou la tornade.

 


 

D'OU PROVIENT CETTE ENERGIE ET COMMENT EMANE-T-ELLE DE L'ATOME?

Soumis à une pulsation électrique, un orifice d'énergie, localisé dans le noyau de l'atome, est physiquement contraint à s'ouvrir pour permettre à une plus grande quantité d'énergie de pénétrer dans le spectre d'énergie de l'atome.

L’énergie est libérée par l'intermédiaire des atomes dans notre univers. C'est ce qui a été quantifié par l'équation d'Einstein E=mc2. Quand il a élevé au carré la vitesse de la lumière, il s'est aperçu que le potentiel d'énergie lumineuse était plus grand que la troisième dimension dans laquelle nous existons. Cette énergie universelle ou ZPE, pénètre continuellement dans notre troisième dimension par les orifices d'énergie des atomes. C'est ce qui permet à toutes les structures atomiques de la troisième dimension d'exister ou bien de se maintenir dans un état d'équilibre atomique. S'il n'en était pas ainsi, aucune des formes de vie connues n'existerait. Comment se fait-il qu’une minuscule graine donne un séquoia géant ? Comment l'enfant dans le sein de sa mère peut-il subir une structuration atomique pour entretenir la vie? Ni la graine ni la mère ne tirent assez d'énergie du soleil ou de la nourriture pour pouvoir fabriquer ne serait - ce qu'un atome. Comment l'univers poursuit-il son expansion parallèlement à la création de sa masse physique?

Il semble que l'énergie nécessaire à la création de l'univers et de la vie tels que nous les connaissons émanent du noyau de l'atome, par l'intermédiaire de l'orifice d'énergie. C'est ainsi que tous les atomes fonctionnent en tant que générateurs d'énergie.

Jusqu'ici, il a fallu une grande énergie d’entrée pour que le processus d'oscillation de l'atome libère de l'énergie. C'est ce que démontre avec violence un dispositif thermonucléaire qui ouvre réellement, puis détruit, l'orifice d'énergie des atomes d'uranium 235 et 238.

Mais c'est dans le déclenchement de ce processus à un faible niveau énergétique que réside le secret. Le processus devient alors réalisable économiquement, et utilisable par un consommateur moyen. Pour accomplir cet exploit, Meyer a eu l'idée de se servir de champs de voltage de polarité opposée sur la molécule d'eau. Ceci produit une tension électrique qui fait que les atomes de la molécule d'eau dépassent l'état d'équilibre atomique et se dissocient ou se scindent en gaz hydrogène et oxygène.

Aux environs de 40 kilovolts les gaz prennent automatiquement feu, ce qui produit une énergie thermique explosive (gtnt). A de plus hauts voltages, même, et à la fréquence de résonance de la molécule d'eau, l'orifice d'énergie est ouvert et on peut alors voir une libération contrôlée, de fantastiques quantités d'énergie.

Cette méthode ne dépense pas de grandes quantités d'énergie puisque la tension n'est pas consommée dans un circuit électronique. L'énergie n'est ni créée, ni détruite mais libérée à partir de l'atome (voir figure 2)

Meyer appelle ses électrodes des exciteurs, en fait, ce sont des plaques parallèles en acier inox placés en parallèle ou selon un schéma concentrique. La production de gaz semble être inversement proportionnelle à la distance qui les sépare, le brevet indique 1,5 mm pour de bons résultats. La vraie différence réside dans l'alimentation de la batterie pour laquelle Meyer se sert d'une inductance externe qui paraît être en résonance avec la capacité de la batterie - l'eau pure ayant apparemment une constante diélectrique d'environ 5 - ce qui produit un circuit parallèle résonant. Ce circuit est excité par un générateur à impulsion à haute puissance, avec ensemble la capacité de la batterie et une diode de redressement, le tout formant un circuit de pompage de charge.

Selon Harold Aspden, Meyer se sert de tubes métalliques concentriques immergés dans l'eau et renvoie les impulsions entre les tubes ce qui induit des effets de champs rayonnants augmentant vraisemblablement la dissociation ionique des molécules d'eau et produit l'hydrogène et l'oxygène avec l'énergie captée dans l'éther. (New Energy News août 96)

 

Figure 1- Optical thermal lens ®

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Le développement W.F.C. de la technologie EASER ® maîtrise ensuite cette puissance, sans toutefois détruire l'atome et son orifice d'énergie (voir figure 7).

Cette libération d'énergie dans EASER ® vient de la seule "flexion" de l'atome d'hydrogène (ou de tout autre atome) par des tensions électriques pulsantes dans un environnement de vide. Le EASER ® devient donc ainsi un soleil miniature contrôlable.

L'élément le plus courant sur Terre, l'hydrogène, est le carburant parfait en raison de sa grande énergie et de sa disponibilité. L'atome d'oxygène soutient notre vie. L’eau, combinaison d'hydrogène et d'oxygène, est aussi bien génératrice de vie que purificatrice. Il est donc fort à propos d'utiliser l'eau en tant que source d'énergie propre et recyclable.

 


 

CONFIRMATION DE LA TECHNOLOGIE W.F.C.

Depuis 1985, W.F.C. s’est employé à persuader la communauté scientifique de changer sa façon de comprendre la nature de la molécule d'eau et des forces qui agissent sur elle. Il lui fallait comprendre que la molécule d'eau est chargée en dipôle électrique, et qu'il y a là une force d'attraction électrique entre les atomes de charge opposée. Il n'existe pas de force électromagnétique entre les atomes différents de la molécule d'eau, puisque les 8 électrons de l'orbite extérieure "L" des atomes d'oxygène se mettent par paire et tournent dans des directions opposées. L'orbite "L" de l'atome d'oxygène admet jusqu'à 8 électrons mais pas plus pour la stabilisation de la molécule d'eau.

La force d'attraction électrique est équivalente aux deux électrons d'hydrogène partagés occupant l'orbite "L" de l'atome d'oxygène chargé négativement. Le potentiel de tension appliqué pendant la pulsation de la molécule d'eau n'est pas consommé dans le circuit électronique. Le stress électrique de polarité électrique opposée favorise l'oscillation moléculaire, comme dans un générateur à énergie.

Il ne faut qu'une force d'attraction extérieure pour dissocier la molécule d'eau; ce sont les champs de tension opposée agissant sur la molécule d'eau qui sont la cause de ce stress. Finalement, des gouttelettes d'eau peuvent être converties instantanément en énergie thermique explosive (gtnt) à des niveaux de tension plus élevés (jusqu'à 40 kilovolts et plus).

 

Figure 2 - Burner Nozzle ®

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Suite logique : le montage des tuyères de brûleur industriel W.F.C. ® . Le brûleur peut répondre à tous les besoins de chauffage, de la maison individuelle aux mégawatts des centrales électriques en passant par le brûleur industriel d’une puissance de l'ordre du million de BTU/h. Avantage de la technologie W.F.C.: cette buse de brûleur peut être adaptée pour remplacer de vieux brûleurs, ou bien peut faire partie d'un nouveau système de chauffage.

Des contacts intéressants ont été pris avec la marine, les transports aériens, les producteurs d'électricité, des entreprises de dessalement de l'eau de mer, et de traitement de déchets toxiques ou non. Les contacts outre-mer comprennent l'Angleterre, l'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, la Suède, le Canada, l'Australie, la Nouvelle Zélande, la Thaïlande, l'Inde, la Corée et l'Ukraine. Les contacts américains incluent Hawaï et l'Alaska ainsi que presque tous les états. Les USA et le monde se préparant à entrer dans l'ère de l'hydrogène, W.F.C., sera le mieux placé pour répondre aux besoins en énergie du monde entier.

 

Figure 3 - W.F.C. Industrial Steam Resonator®

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Mis au point aux normes industrielles avec un contrat Proof of Concept, cet appareil formé d’une rangée de tubes, chauffe l’eau sans flamme apparente, à la température choisie, et sous différentes conditions climatiques.

Ses applications sont nombreuses : bains industriels, chauffage des piscines et des serres, chauffage domestique à eau ou à air, injection de vapeur pour détruire les mauvaises herbes.

 


 

LA DUNE BUGGY W.F.C.

 

Figure 4

      

 

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Au volant, Stanley Meyer, Dr Russel E. Fowler, Directeur du personnel et de la présentation de la technique de W.F.C., (second à partir de la droite)

Aux USA, l’intérêt se porte plus sur une voiture alimentée à l'eau, en Angleterre, sur un bateau et en Suède, sur un chauffage individuel.

Une Dune Buggy a été modifiée en 1985, pour participer à une course de 1900 miles en Novembre 1991, en Australie. Dans sa batterie à eau, qui reste froide après plusieurs heures de fonctionnement, le processus de combustion thermique utilise l’oxygène de l’eau au lieu de l’extraire de l’atmosphère. Meyer compte miniaturiser son système.

On peut comparer le coût estimé du système Meyer modernisé destiné à l’automobile - 1500 dollars déboursés uniquement lors de l’installation - aux 14.000 dollars d’achat de carburant qui seraient nécessaires pour alimenter la même voiture pendant toute sa durée d’utilisation. On pourrait produire 11000 de ces équipements par jour.

L'utilisation des gaz ionisés provenant de l'air ambiant peut favoriser l'augmentation énergétique de la flamme en portant le taux de combustion de gaz au niveau de celui des carburants fossiles.

L'absorption de l'énergie des photons soutient le " temps atomique " restant pour permettre, grâce à une étincelle adéquate, une mise à feu des gaz de combustion (hydrogène et oxygène de l'eau) présents et soumis au stress électrique pulsant. La fréquence de pulsation appliquée, ainsi que l'amplitude de voltage, et le calibrage volumétrique de la gouttelette d'eau déterminent la production d'énergie. Une seule goutte d'eau de 7,4 µl (micro litre) suffit à faire fonctionner un moteur à injection à combustion interne de 50 chevaux. Avec une gouttelette d'eau de 148 µl par cycle d'injection, c’est un moteur à injection de 1000 chevaux qui peut fonctionner. (voir figure 7)

 

Figure 5 - W.F.C. Water Fuel Injector ®

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La modification d'une voiture est probablement un des projets les plus stimulants en raison de la variété de systèmes qu'il faut étalonner avec les protocoles de tests de fiabilité. C'est ce que W.F.C. est sur le point d'accomplir car elle achève la programmation informatique et aussi celle d'autres composants électriques et du hardware. On perfectionne aussi l'injecteur à carburant eau W.F.C. qui peut convenir à tous les besoins énergétiques couverts par la combustion de carburants fossiles. Il peut remplacer les bougies des voitures, les injecteurs de diesel, les orifices d'injecteurs dans les moteurs d'avions et les turbines à vapeur, et les orifices des tuyères dans les moteurs de fusée alimentés à l'eau.

 

Figure 6 - Converting Water Droplets instantly

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Dans cet injecteur, variante de la cavité résonante W.F.C. ® qui accroît le dégagement d'énergie du processus W.F.C., les gouttelettes d'eau sont converties instantanément en gaz hydrogène et oxygène mis à feu dans un champ de tension à impulsions. Cet injecteur a été tout spécialement mis au point pour libérer l'énergie par l'orifice de l'atome (voir figure 10). Les gouttelettes d'eau arrivent selon un certain débit dans la cavité résonante effilée qui fonctionne comme un guide d'ondes de tension. La gouttelette d'eau soumise aux impulsions à haut voltage de polarité opposée, est instantanément transformée en ses deux composants gazeux (voir figure 10). Immédiatement après, avec une tension électrique supérieure, les gaz libérés deviennent des gaz ionisés (éjection d'électrons), et sont finalement rejetés loin de l'orifice de la buse d'injecteur à eau carburant W.F.C. ® d’allumage du gaz.

 

Figure 7 - Voltage tickling of state space ®

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La forme effilée de la sonde de voltage positif au centre, amplifie la séquence d’impulsions de voltage pour augmenter continuellement le stress électrique sur les gaz libérés de la molécule d'eau, tout le long de la cavité résonante qui fonctionne comme un circuit de compression de voltage…activant ainsi, le stade d'amorçage d'énergie que l'on appelle Voltage Tickling of State Space ®

L'injecteur W.F.C. ® accomplit en un seul instant plusieurs fonctions continues à savoir

- la libération des gaz hydrogène / oxygène provenant de la gouttelette d'eau injectée

- l'oscillation des gaz combustibles flottant librement sous le stress électrique pulsant qui fait osciller la particule comme un générateur d'énergie

- et enfin l'ionisation des gaz combustibles par l'émission d'un électron juste avant que les gaz sous pression soient éjectés par l'orifice de la buse.

Quand les gaz expulsés en tension reviennent à un état d'équilibre stable, les atomes de gaz " en flexion " libèrent l'énergie - déclencheur qui fait démarrer et propage le processus de combustion du gaz, dont on utilise l'énergie.

Selon ses caractéristiques électriques et physiques, la cavité résonante W.F.C. ® peut satisfaire à différents besoins énergétiques. Par exemple, dans le domaine du transport automobile, elle devient injecteur à carburant eau. Celui-ci remplace la bougie d'allumage classique d'un moteur à essence ou diesel, sans que l'on ait besoin de changer le moteur. L'injecteur peut aussi être conçu en série pour convenir à l'adaptation et la modernisation de chaudières industrielles ou dans le montage de tuyères de brûleurs W.F.C.

Dans ces cas-là, les injecteurs W.F.C. ® sont spécifiquement conçus pour convertir instantanément et à la demande les gouttelettes d'eau en énergie explosive thermique (gtnt). C'est ce qui permet à la technologie de l'injection de l'eau carburant d'être en conformité avec la National Security Energy Act de 1992.

Cette loi exige d’utiliser de l'oxygène dans la combustion du gaz hydrogène pour faire fonctionner la Dune Buggy ou n'importe quel autre moteur à combustion interne. Pour recevoir l'appellation de nouveau, un carburant doit donc ajouter de l'oxygène à son processus de combustion. Et parmi toutes ses propriétés admirables, l’eau, justement, fournit son propre oxygène.

La conversion de la gouttelette d'eau en énergie thermique explosive instantanée, au moyen d'un cycle d'injection permet aussi à la technologie W.F.C. d'être en conformité avec les directives de sécurité nationale aux USA car elle prévient tout risque d'explosion lors d'une collision. En effet, l'eau est le meilleur moyen de stocker l'hydrogène, puisqu’il y est contenu et ne peut donc pas y brûler.

 

Figure 8 - W.F.C. Exhaust Air Reclaimer Technology ®

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Le développement de la technologie de régénération d'air W.F.C. ® , (figure 8) est perfectionné pour éliminer les émissions possibles d'oxyde d'azote (ou gaz hilarant), ainsi que d'autres gaz indésirables. Le mélange à deux pour un d'hydrogène avec l'oxygène dans la molécule d'eau est assuré continuellement à travers l'injecteur à carburant eau W.F.C., ce qui donne une formation de quantités négligeables d'oxyde d'azote. Si toutefois une molécule d'oxyde d'azote se formait, le Air Reclaimer ® en séparerait simplement les éléments en azote et oxygène. Le sous-produit de ce type d'injecteur est un brouillard d'eau qui retourne à l'environnement. La technologie W.F.C. de régénération de l'air peut vaincre la liaison électrovalente de ces oxydes, (comme pour la dissociation de la molécule d'eau), en les plaçant dans des zones de voltage de polarité opposée

 


 

L'UTILISATION DE L'EAU EN CARBURANT

L'eau contenant deux fois et demi plus d'hydrogène que l'essence, l'énergie de l'eau libérée en énergie thermique explosive, équivaut à plus de 2 millions de BTU par gallon (3,78 litres aux USA) d'eau. C'est ce qui se passe, avec une tension électrique pulsée, d'abord sur la molécule d'eau, puis sur les atomes des gaz hydrogène et oxygène.

 

Figure 9 - Electrical Polarization Process

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En commençant par le processus de polarisation électrique W.F.C. ® , (voir figure 9) et en continuant avec le processus de fracture de l'hydrogène, on libère de plus en plus d'énergie. Quand les atomes d'hydrogène et d'oxygène sont soumis aux impulsions de tension, les électrons sont contraints de s'éloigner du noyau des atomes. Leur spin orbital décroît et les atomes entrent alors dans un état de non équilibre. A chaque nouvelle impulsion, les électrons sautent sur des niveaux d'énergie plus élevés, puisque les atomes cherchent à redevenir stables. C'est ce qui fait osciller l'atome et donne le phénomène de libération d'énergie à travers l'oscillation de la particule - générateur d'énergie. A l'étape suivante d'augmentation différentielle, les électrons qui sautent sont alors éjectés loin de la molécule allongée soumise à la tension électrique. Cette diminution dans la masse atomique fait que l'orifice d'énergie s’agrandit…ce qui libère, à partir de l'atome, de bien plus grandes quantités d'énergie explosive thermique (gtnt) qu'auparavant.

Le potentiel de voltage négatif (B-) et le potentiel de voltage positif (B+) de même intensité, mais opposé, surmonte la force de liaison électrovalente des atomes d'hydrogène et d'oxygène de la molécule d'eau. Ceci oblige l'atome d'oxygène porteur d'une charge électrique négative à être attiré vers la zone de voltage stationnaire positif (B+), alors qu'au même instant, les atomes d'hydrogène chargés positivement sont attirés électriquement vers le champ de tension stationnaire négatif (B-).

Cette force d'attraction électrique opposée accomplit instantanément trois fonctions dans une séquence d'événements:

1 - la molécule d'eau s'allonge

2 - le rapport de temps partagé des électrons de la structure atomique de l'hydrogène et des atomes de gaz est changé, ce qui affaiblit la liaison électrovalente entre les atomes d'hydrogène et d'oxygène,

3 - le fait de pulser et d'augmenter la tension électrique sur la molécule d'eau affaiblit le champ magnétique des atomes de gaz combustible, ce qui provoque l’extinction de la covalence de la molécule d'eau en réduisant la vitesse orbitale de spin des électrons concernés et soumis à la tension électrique.

Ces 3 étapes permettent alors, à un très faible niveau d'énergie initiale, de désunir les atomes de gaz composant la molécule d'eau. Cette entrée d’énergie dépend beaucoup du voltage et démarre dans la gamme du millivolt / milliampère. Cependant, la fuite d'ampères est maintenue à son minimum, tandis que le voltage augmente considérablement. C'est à 40 kilovolts et au-delà que les deux gaz s'enflamment automatiquement, lorsqu'ils sont dissociés. Le processus est économique, puisque l'on maintient l'ampérage à son minimum et que le champ de tension de polarité n'est pas consommé dans un circuit électrique. Et il est aussi sans danger, puisque l'hydrogène pur n'est pas stocké, mais brûle à la demande avec les atomes d'oxygène de l'eau. De plus, la technologie des Inventions W.F.C. ne crée pas d'énergie mais libère seulement l'énergie déjà présente dans les atomes d'hydrogène et d'oxygène, se conformant ainsi aux lois de la thermodynamique. "Amorcés " électriquement, les atomes fonctionnent comme des générateurs d'énergie. Les lois de la thermodynamique s'appliquent seulement une fois que l'énergie est libérée de l'atome.

Cette dissociation ou fission unique de la molécule d'eau a été favorisée par l'invention du VIC ® (circuit amplificateur de tension W.F.C. voir figure 10).

 

Figure 10 - W.F.C. Voltage Intensifier Circuit ®

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Celui-ci est tout spécialement conçu pour maintenir la fuite d'ampères à son niveau le plus bas, ce qui permet au potentiel de tension de polarité opposée d'accomplir le travail nécessaire à la séparation des atomes de la molécule d'eau. Grâce aux caractéristiques d'inductance du VIC ® et à sa conception unique, on peut augmenter la tension aux niveaux requis. On peut aussi réduire le flux d'ampères tout en permettant au potentiel de voltage de polarité opposée d'opérer la séparation de la molécule d'eau chargée électriquement en bipolaire, et ce au moyen d’une force d'attraction électrique opposée, ou stress électrique. L'auto inductance répartie sur chaque bobine empêche essentiellement un afflux d'ampères (ou retarde le flux de courant) sur l'orifice d'eau.

Simultanément, la capacité répartie sur chaque bobine provoque une augmentation du potentiel de voltage appliqué, avec des polarités opposées placées en vis à vis dans la molécule d'eau : le processus de polarisation électrique ® est ainsi accompli. Chaque bobine fonctionne ensuite en tant que bobine d'impédance (self) chargeante dont la résonance s'accorde aux propriétés diélectriques de l'eau, lorsque la fréquence de pulsations est ajustée pour s'attirer un minimum de flux d'ampères, alors que le potentiel de voltage tente de monter vers l'infini (si le circuit électrique le lui permettait.) L'augmentation du nombre de spires de chaque bobine qui est directement relié à l'augmentation de l'amplitude du voltage de pulsation appliqué, augmente le stress électrique au-dessus de l'orifice d'eau.

Dans tous les travaux d'ingénierie relatifs à tous les systèmes, dont chaque processus bénéficie de celui qui l'a précédé et l'amplifie, la technologie de la conception électronique programmable par EEPROM ® assure sécurité et fiabilité des produits W.F.C. De plus, cette technologie se prête à une production de masse, puisque on maîtrise très bien depuis quinze ans la microélectronique et l'injection de plastique moulé.

 

BrevetMeyer

21 mars 2017

RUSSIE énergie libre : ils veulent reconstruire la tour de Tesla pour fournir de l’énergie à la planète entière

tesla-coil-marx-generator-642x361« High Voltage Marx and Tesla Generators Research Facility » (Centre de Recherche des Générateurs Tesla et Marx à Haut Voltage). L’appareillage de test, qui fait partie de l’Université d’ingénierie électrique de Moscou, se trouve dans la paisible ville d’Istra, à 40 km à l’ouest de Moscou.

Imaginez, de l’énergie propre sans fil, disponible pour n’importe qui dans le monde, que l’on peut connecter sur des voitures ou des avions à zéro émission, de l’électronique qui se rechargerait toute seule, des appareils sans fil exploitant tous de l’énergie par l’intermédiaire d’une antenne radio. Cela peut ressembler à de la science-fiction, mais cela est basé en fait sur des découvertes vieilles d’un siècle de Nikola Tesla.

C’était son plan pour la tour Wardenclyffe jusqu’à ce qu’elle ait été réduite à néant par des industriels, parce qu’ils ne pouvaient pas la contrôler et la doser. La tour était un amplificateur et un émetteur d’ondes radio traversant l’atmosphère et à laquelle les appareils électroniques pouvaient librement s’alimenter. Tandis que beaucoup de micro-utilisations de ce type d’énergie commencent à apparaître, une application à large échelle est encore absente.

Deux scientifiques russes espèrent changer cela en construisant la tour « émettrice d’énergie sans fil » de Tesla.



Leonid Plekhanov et Sergey Plekhanov, tous les deux diplômés de l’institut de la physique et de la technologie de Moscou, croient qu’en combinant les plans de Tesla avec les matériaux modernes et d’autres découvertes récentes, ils réussiront à donner de l’énergie propre à la planète entière.

« Les matériaux et le matériel modernes nous fournissent une incroyable occasion de réimplémenter l’invention de Tesla, et d’établir une solution aux problèmes de transmission d’énergie d’aujourd’hui ! Nous avons recréé une version de la tour Wardenclyffe de Tesla fondée sur ses principes, mais à l’aide des matériaux et composants électroniques avancés modernes et nous sommes prêts à la construire », écrivent-ils sur leur href="https://www.indiegogo.com/projects/let-s-build-a-planetary-energy-transmitter" target="_blank" rel="nofollow">page de crowdfunding.

Les tours fonctionnent fondamentalement pour magnifier l’énergie électrique et pour la transmettre par l’intermédiaire d’ondes radio à travers le globe en utilisant le « guide d’ondes entre la Terre et la ionosphère comme une sorte de simple fil. »

« Nikola Tesla a imaginé que cette technologie propre alimenterait des maisons et des véhicules électriques, y compris des avions. Mais aujourd’hui les utilisations semblent sans fin. Michael Jaeger a astucieusement expliqué le potentiel de l’énergie sans fil dans un article daté de 2012 :

Les émetteurs de puissance approvisionnés par des installations de production pourraient envoyer des mégawatts de puissance avec des millions de volts à des fréquences gigahertz dans l’atmosphère en tant qu’ondes radio, et les appareils mobiles comme les téléphones portables pourraient la saisir à travers l’air, plus aucun besoin de batteries. Tous les véhicules pourraient être électriques avec des émissions zéro, et selon le nombre d’émetteurs et la puissance de sortie de ces émetteurs, on pourrait théoriquement conduire à travers tout le pays sans que cela exige de grandes batteries. Les maisons auraient des antennes pour les brancher à la grille d’alimentation plutôt que des fils. Les pertes de puissance seraient minimales, pas comme aujourd’hui. Nos grilles d’alimentation voient par habitude des pertes de puissance de 8 pour cent. Il n’y aurait aucun encombrement de ligne d’alimentation, ce qui produit de grandes pointes dans l’évaluation localisée du prix dans le marché de gros de l’électricité en raison de la limitation de transmission par ligne. On éliminerait des coûts d’infrastructure pour transmettre sans risque l’énergie.

Cela raisonne, comme un futur assez étonnant.

 




Supportez ce projet chez IndieGoGo.
** Cet article a été initialement décrit sur Activist post.**

Source: http://www.neotrouve.com/?p=5485

 

24 septembre 2016

John Searl l'homme qui construisait des soucoupes volantes

The John Searl Story Free Energy

En 1968, l’ingénieur britannique John Searl accomplissait devant les médias le premier vol d’une soucoupe volante civile, montrant ainsi aux yeux du monde que la surunité et l’antigravité ne relevaient pas de la science-fiction.
Source: http://peswiki.com/index.php/Directory:Searl_Effect_Generator_(SEG)

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Le brevet international des russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l’Académie des Sciences de Moscou, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu’un système sur-unitaire est réalisable. Pour faire cela, ils se sont basés sur les travaux de John Searl, un scientifique britannique, qui dés 1968 mis au point un système capable de léviter.
« Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capables de convertir diverses formes d’énergie, dés lors qu’un certain régime de fonctionnement critique est atteint. Lorsque le régime critique est atteint, l’installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome. »
(source: Morphéus N°23, Septembre/Octobre 2007, www.morpheus.fr)


John Roy Robert Searl né le 2 mai 1932 est un inventeur britannique de Wantage en Angleterre.

Searl prétend qu'entre 1946 et 1956 il a conçu et construit un objet connu sous le nom de Générateur à effet Searl (Searl Effect Generator-SEG) capable d'antigravité et de mouvement perpétuel, en violation de la première loi de la thermodynamique.

source: wiki

Citer
John Roy Robert Searl est né le 2 mai 1932 dans une famille anglaise très pauvre. A l’âge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sœur et placé dans une famille d’accueil. Depuis l’âge de quatre ans et demi, jusqu’à dix ans il s’est mis à faire deux rêves par an dont l’un était la suite de l’autre. A dix ans, il a pensé que ces rêves avaient un sens et il a essayé de les interpréter.



Searl est l’un des nombreux inventeurs qui découvrit un moyen de générer de l’énergie gratuite et sans limites ainsi qu’une force d’antigravité, simplement en montant des systèmes rotatifs.

A quatorze ans, il construisit son premier Space Energy Generator (SEG) grâce au financement d’un gentleman âgé, M. George Haines qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de M. Haines se mettait à accélérer lorsque Searl plaçait les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ se développait autour de lui, il perdait de sa gravité, décollait et percutait le plafond à la grande surprise de M. Haines qui, lui, comptait sur un générateur et non un objet volant.

Le SEG restait collé au plafond jusqu’à ce qu’il sorte et disparaisse ; c’est ainsi que six modèles furent définitivement perdus . Searl ne savait pas comment contenir le champ produit. Pour M. Haines c’était de drôles de pétards à tirs uniques et ‘’ terriblement coûteux ! ’’ selon Searl.

Un témoignage anonyme

Searl, en 1949 travaillait pour la Compagnie des Midlands comme simple assembleur d’appareils électroniques. C’est en autodidacte qu’il étudia le mécanisme des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendre une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à s’éloigner de l’axe de rotation tandis que la polarité positive tendait à s’en rapprocher.

En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d’une dynamo rotative composée de bagues collectrices oudisc-rotorsegmenté, que l’on mettait en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés dans sa périphérie. A l’aide d’un appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité qu’elle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser lorsqu’il se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge alors que l’électricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.

Il acheva dès 1952, sa première magnéto, d’un diamètre de un mètre. Le rotor était constitué d’un disque segmenté qui, en tournant, transmettait l’énergie à un stator périphérique formé d’électroaimants lesquels contribuaient à produire la force électromotrice. Avec l’aide d’un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d’un petit moteur. Comme prévu, sa génératrice produisit de l’électricité mais à un taux qui dépassa largement ses attentes. A une vitesse relativement faible, elle était de l’ordre de 100.000 volts estimée d’après l’électrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d’ozone. Searl dit : '' Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l’énergie à la sortie excédait celle d’entrée. A partir de ce moment, la production d’énergie semblait virtuellement sans limites. ''

C’est alors que se produisit un phénomène totalement inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l’appareil commença à s’élever de terre, rompit le cordon d’alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l’air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu’à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur - effet corona - , l’air était devenu rose fluorescent tant l’ionisation qu’il produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l’induction électromagnétique

Finalement, le rotor de la génératrice s’emballa à une vitesse fantastique et l’appareil ‘’tomba’’ dans l’espace comme si la gravitation terrestre était inversée et on ne l revit jamais.

Aussitôt que la génératrice franchit un certain seuil d’énergie potentielle de l'ordre de milliards (sic) de volts, la puissance fournie se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau virtuellement illimité. Les mesures prises la situaient à des milliards (sic) de watts. A ce niveau de puissance, la génératrice et toutes ses composantes paraissent s’affranchir de la force d’inertie ; mais en se libérant de l’attraction terrestre, elles semblent aussi attirer à elles des morceaux de matière puisqu’elles ont tendance, en s’élevant, à arracher des mottes de gazon. (Voir l'effet d'écran que M. David explique par suppression d'une certaine quantité de gravitons ce qui annule ainsi une partie de la poussée gravitationnelle en direction de la Terre).

Il y a tout lieu de croire que la génératrice provoque une tension dans l’espace qui l’entoure. L’effort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme d’un champ magnétique dont l’énergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à l’espace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par le fait même une sorte de mouvement perpétuel. Ce processus démontre à l’évidence qu’il n’y a qu’une infime proportion de tissu spatial traversant l’appareil qui est convertie en énergie.

Au cours des expériences suivantes, Searl monta ses turbines dont deux de 10 mètres de diamètre, plus fermement dans le sol. Mais celles-ci s’arrachaient encore de la terre emportant avec elles leurs fondations. Elles semblaient produire une puissante force d’antigravité et d’après le cratère de forme hémisphérique laissé dans le sol, on déduisit que cette force opérait sur une sphère dont le générateur était le centre. Searl venait de ‘’tomber’’ sur d’extraordinaires phénomènes associés avec le mouvement de vortex.

Le Pr Searl a construit ensuite 40 disques à lévitation, contrôlés, que M Haines démontait ensuite pour protéger la technologie, les pièces étant utilisées pour la génération suivante. Le dernier appareil fabriqué était Demo 1, malheureusement perdu lui aussi. Ce n'était pas un petit modèle tenu par des fils mais un vaisseau de 6,40 mètres de diamètre, capable de voler et qui pesait des tonnes.

Des effets curatifs du SEG : Les appareils de Searl ont été détruits sauf deux donnés à des malades dont l’un d’eux avait une espérance de vie de quelques mois en raison d’une maladie des poumons. Le SEG a un avantage certain, il produit des décharges d’ions phénoménales aux effets curatifs. Searl avait été un jour brûlé par l’huile bouillante d’un récipient qu’il transportait dehors et qu’une malencontreuse ouverture de porte lui fit renverser. De plus, il était en sang. Deux semaines plus tard, il n’avait absolument plus aucune cicatrice.

John Searl offre son invention : tout le monde fait la sourde oreille

Dans les années 70, Searl qui était patriote offrit d’abord sa technologie à l’Angleterre. A la Reine et au Prince, il fit savoir ceci :

" Voudriez accepter ceci, je peux vous montrer comment construire cet appareil pour produire de l’énergie et pour fabriquer réellement un nouveau type de vaisseau aérien, ou simplement un appareil capable de remplacer l’avion."

Dans leurs réponses la Reine et le Prince le remercièrent vivement mais ne désirèrent pas le voir.

Searl offrit alors son invention aux USA. Il fit une démonstration à la base de l’Air Force d’Edwards. Au cours de la démonstration, il fit, à la télécommande, faire un tournant à 25 g. Les hommes de la base lui ont dit : ‘’Bon, cela pourrait tuer tous les passagers à bord des avions, nous ne voulons pas voir cet appareil, trop dangereux, nous ne pouvons pas nous en servir .’’

Searl, déconcerté fit ensuite un certain nombre d’essais pour déterminer la valeur des forces " g " internes de son appareil. Dans un de ces essais, un peu stupide, une ampoule contenant un élément radioactif était suspendue à l’appareil. Elle était censée se casser sous une force de 2 g. Searl fit subir à l’appareil diverses évolutions qui auraient pu le détruire, mais au retour, l’ampoule était intacte, démontrant ainsi que la relativité à l’intérieur de l’appareil n’était pas la même que dans un aéronef classique.

En 1989, Searl offrit sa technologie à Munich, en Allemagne et à un groupe de scientifiques autorisés à travailler dessus, du moins en R&D pour fabriquer un SEG. Le contrat de fabrication n’est pas connu, ses termes en seront discutés quand les offres seront présentes et qu’il sera alors possible de parler aux investisseurs devant l’appareil en fonctionnement.

Les médias et le Pr Searl

Les quatre plus grandes chaînes de télévision anglaises ont des vidéos complètes sur les disques en vol, on peut les demander à BBC1 qui se propose de les vendre – cher : 32 livres pour les 30 premières minutes et 10 livres pour chaque image plus 17,5 % de taxes - au Pr Searl (qui est à la recherche de tous documents puisque les siens ont été détruits).

24/01/1976BBC.1Nationwide Prog ram

28/10/1988BBC.1 Daytime

May 1994Southern Oregon Public Television & Local Access Cable

16/07/1994Radio WCVE

08/09/1994Radio WCVE

29/05/1995KRO Ararat Radio Station,Hilversum.

La presse écrite a beaucoup parlé de Searl :

Daily Mirrorrdu 13/03/1968

Hants & Berks Gazettedu 04/07/1969

Sunday Mirrordu 28/11/1971

Parade Magazinedu 19/05/1973

Daily Expressdu 25/04/1978

The Chronicle Toowoombadu 19/07/1995, Queensland, Australia

Perth Paper,du 07/08/1995, Western Australia

Hendon Timesdu 02/11/1995

Raum & Zeitde Décembre 1984, avril-mai, Juin-Juillet, Octobre Novembre 1989, et Janvier-Février1990

MAG2000vers 1968, n° 4 Février-Mars 1995, et n°103 Août-Septembre 1996

Dansk Institut For koogisk TeknikNo 21 –2 05/10/1990

UFO NORGE1991

Extra Ordinary Science Symposium EditionVol.VI Issue 2,n°1 Mai 1994

SAFE NEWSn°1 oct / nov / déc 1989

A chaque conférence, Searl a l’appareil avec lui ce qui lui permet d’en faire la démonstration. Un générateur à effet Searl a été présenté au congrès de la DVS à Denver en 1994.

La destruction du travail de Searl

En 1982, alors qu’il était occupé à une de ses expériences, dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe d’officiers pénétra chez lui, confisqua son appareil et arracha le câblage électrique. Il fut jugé pour vol d’électricité à la compagnie locale et condamné à payer une amende. Comme son appareil ne lui fut jamais rendu, il refusa de payer l’amende, et ce refus l’amena en prison. Sa femme et ses enfants n'ont jamais rien su de plus sur le travail de Searl que ce qui s'est dit à la télévision ou dans les articles à son sujet.

Le Pr Searl avait demandé à Gunnar Sandberg d'aller chez lui et retrouver des papiers y compris le registre de tous ses témoins. Sandberg s'y est rendu mais a dit au Pr qu'il y avait trop de choses et qu'il y retournerait plus tard. Pendant qu’il était incarcéré, sa maison fut incendiée. les autorités ont brûlé tous ses papiers avec le consentement de sa femme.

Il a fallu quatre jours pour détruire des années de travail et l'équivalent de 5 millions de livres. Sa femme, seule à en connaître la raison, est responsable de son emprisonnement et de l'incendie. Cet épisode entraîna leur séparation et le Pr Searl ne veut plus rien savoir de sa famille. Selon un témoignage, Le Pr Searl aurait vécu à Birmingham après 1987 sous un nom d'emprunt.


Des manœuvres indélicates

D'après un récit de Searl datant de décembre 1996, certains ont cherché à s'approprier " L'effet Searl " - controversé - tout en cherchant à le copier et tout en disant ne jamais l'avoir observé…

Lors d'une conférence au Danemark, le Dr Andreas Heerfordt a vivement critiqué Searl au sujet de rapports écrits par d'autres personnes sur l'effet Searl (critiques reprises dansElectric Spacecraft Journal).

Le Dr Heerfordt affirmait que G. Sandberg ne pouvait témoigner avoir vu des faits inhabituels en rapport avec les aimants utilisés par Searl. Sandberg était par ailleurs lié par contrat avec Collins qui s'attribue la propriété de " l'appareil Collins " supérieur selon lui à celui de Searl, mais qui n'avait pas fait ses preuves auprsè du Dr Edwards de l'Université. Sandberg avait cherché à obtenir la signature de Searl car l'Université où Collins travaillait avait besoin de son expérience ( Sandberg ayant cassé pour l'étudier un aimant prêté par Searl).

Collins cherchait à négocier les droits de son appareil en Australie en omettant bien de mentionner le nom de Searl.

Le Pr Searl disposant de milliers d’articles de journaux et d’émissions de télévision sur son travail dit ne rien avoir à prouver à M. Heerfordt ni à Electric Spacecraft Journal. Searl recommande à M. Heerfordt de lire ses livres pour connaître son appareil (ce qu’il n’avait toujours pas fait en décembre 1996).

Searl ne donnera pas davantage d'informations ni ne fera de démonstrations pour M. Heerfordt qui selon lui est seulement intéressé pour ce qu'il pourrait vendre sans que J. Searl n'en bénéficie.

Le S.E.G. de Searl, le rêve perdu

Le travail de Searl avait attiré des visiteurs par centaines (dont des gens célèbres) qui signaient le livre d’or et y écrivaient leurs commentaires. Tout a été perdu dans l’incendie.

Searl voulait voler lui-même sur un de ses appareils car il avait été déçu des refus des pilotes d’essais craignant les facteurs G élevés et les hauts voltages. Il était quasiment prêt à le faire grâce à l’investissement d’amis de Nouvelle Zélande. Le terrain était prêt, les trois passagers choisis. Searl venait juste d’obtenir son diplôme pour voler avec passagers (ce qui est bien autre chose qu’une licence de Piper Club) lorsqu’il a été arrêté.

Pendant qu’on le persécutait, il dut laisser pendant longtemps sa plus grande maquette sans surveillance, mais il la croyait en sûreté. Récemment, (1996 sans doute) il voulut la récupérer. Malheureusement, pendant ce temps, la personne qui lui avait permis d’utiliser son terrain était décédée, et sa femme avait tout vendu. Le nouveau propriétaire, un policier, avait vendu l’appareil pour le cuivre - cinq tonnes environ.

Cette déception était d’autant plus grande pour Searl que tout le reste avait été détruit. Même les photos provenant des différentes personnes ayant travaillé avec lui arrivaient au compte-goutte. L’affaire n’avait pas reçu de publicité et la plupart des films et photos ont été détruites. Toute personne disposant encore de photos ou de films des appareils de Searl est priée de contacter John A. Thomas à l’adresse de D.I.S.C. (ci-après).


Description d'un S.E.G.


 



Un SEG est composé d’une série de trois anneaux et de rouleaux qui circulent autour sans les toucher. L’appareil a un cylindre de néodymium contenu dans des anneaux de nylon, de fer et d’aluminium. Searl a choisi le nylon 66 car il a une qualité négative élevée ainsi qu’une double configuration de liaison (le nylon est utilisé comme semi-conducteur dans une diode).

Le premier anneau contient douze rouleaux (plus éventuellement, mais pas moins) correspondants au douze cycles ou phases minimum d’un moteur linéaire. Tous les détails de construction sont basés sur la Loi des Carrés. En observant une coupe, on voit que le SEG utilise le carré de quatre.

L’appareil est stationnaire : les électrons sont émis de l’élément central et ils circulent dans les autres éléments. L’élément central choisi est au néodyme, le Professeur Searl le connaissait depuis 1946 et l’a utilisé bien avant sa " découverte " par l'USAF en 1966. Cet élément découvert depuis 1885 était utilisé dans la fabrication de certains types de verre qui ne transmettent pas les rayons infrarouges. Sans le nylon, le SEG se comporterait comme un laser, une impulsion sortirait, s’arrêterait, se reconstruirait. Le nylon agit comme barrière de contrôle pour donner un flux régulier d’électrons dans le SEG.

Les balais capteurs d’électrons sont sur les bords externes du SEG et conçus pour être utilisés dans des véhicules à antigravité. Un jeu de transformateurs classiques en forme de C collectent l’énergie à utiliser et la transfèrent à l’endroit où elle doit être utilisée. Les appareils anti-g sont un peu différents des générateurs classiques en ce sens qu’au lieu d’alimenter en 240 v comme en Europe et 130 V comme aux USA, il sort des centaines de millions de volts.


Les Champs magnétiques imprimés

Les rouleaux ont un pôle nord et un pôle sud primaires comme les plaques. Le pôle nord du rouleau étant bien sûr attiré par le pôle sud de la plaque. D’habitude, ils se calent droit dessus et ne sont pas capables de se déplacer, particulièrement avec le néodyme. Mais il y a un champ secondaire imprimé inscrit sur ces aimants au moyen d’un composant à courant alternatif. En imprimant un tel champ magnétique sur le rouleau, le Pr Searl était capable de faire circuler les rouleaux autour de la barre, même vers un angle de 90 ° parce que les lignes (voies) des champs sont imprimés sur les aimants.

Pour faire ces aimants, il faut un composant à courant alternatif pour influencer le champ de courant continu. Quand le champ est déformé de multiples pôles se forment à la surface des rouleaux et des anneaux. La fréquence utilisée est différente sur les rouleaux et les anneaux, ce qui crée une non unité entre les deux faces de manière à empêcher aux aimants de réussir l’unité en allant vers une orientation nord-sud.

L’impression, qui se fait en Allemagne, est difficile à réaliser. Il faut imprimer les lignes magnétiques et refroidir sans provoquer de cassure. On utilise des bobines pour ce faire, en supprimant d’abord les champs existants puis en produisant ensuite le champ imprimé, et enfin en refroidissant le composant terminé. On contrôle à l’oscilloscope la forme de l’onde imprimée.

Si l’on place les rouleaux sous de la limaille de fer sur une feuille, on obtient des résultats inhabituels…un grand modèle sur chaque pôle, quasiment aucun modèle angulaire dans un arc entre les pôles. Il y a à la fois des pôles en couches et des pôles individuels, cette uniformité des pôles à l’extérieur étant très importante, ces pôles magnétiques étant leurs propres moteurs primaires.

Le SEG est remarquable car aucune de ses parties n’est en contact avec les autres, il n’y a donc aucune friction. Les rouleaux planent sur le champ magnétique en raison du composant courant alternatif inscrit sur eux. Ils ne décolleront pas à cause du courant continu qui leur a été imprimé. Ils circulent autour du premier anneau à 400 km à l’heure et deux fois et demi plus vite en allant vers l’extérieur.


L’effet Searl est mesurable

Au séminaire de l’Université du Middlesex à Londres, le 10/03/1996, le Pr Searl a utilisé des instruments de mesure facilement disponibles pour prouver sa découverte. Il a commencé sa démonstration avec un segment construit selon ses indications spécifiques. Il a alors fait toucher une sonde venant de l’oscilloscope au centre du segment, l’autre sonde touchant l’anneau extérieur à ce segment. Le résultat a été visible sous forme de crête observée sur l’oscilloscope. Ce pic a montré qu’il existe vraiment une charge lorsqu’une combinaison d’éléments est pressée et mise en forme d’une façon bien déterminée. Searl a montré une charge de 3 volts toutes les cinq millisecondes, un de ses associés a même pu obtenir 12 à 15 volts.

Le circuit se déplace à travers les éléments en couches dans le segment qui montre un potentiel négatif, c’est à dire, une libération d’électrons qui est une preuve de charge.

Il est donc possible d’extraire de l’électricité de notre environnement, et seulement avec les éléments ambiants. Le segment émet un flux d’électrons en captant le potentiel de cette fabrique d’espace environnant. Il y a donc là une source d’électrons qui est transmise du noyau interne du segment vers son périmètre, et continuellement libérés.


Importance du choix de l’élément

En observant la Table des Eléments, Searl a remarqué que la structure atomique de chacun est illustrée et a découvert que les éléments qui convenaient le mieux étaient hexagonaux, ce qui n’est pas le cas du fer. Il les utilise en conjonction avec une configuration hexagonale pour capter la meilleure manière de développer l’effet.

Les poudres qui doivent avoir une granulation spécifique, un poids atomique et des dimensions exactes sont assemblées pour répondre aux exigences de la Loi des Carrés. Ce sont les éléments du centre qui ont le poids atomique le plus lourd (néodymium 60 utilisé dès le premier SEG).

La Loi des Carrés


 La Loi des Carrés, assez complexe (John Thomas l’a étudiée de très près) est basée sur trois et (trois seuls) groupes de carrés de groupe 1, 2 et 3. Les carrés du groupe 1 comprennent tous les nombres impairs, ceux du groupe 2 ont tous les nombres pairs divisibles par quatre, et tous les nombres impairs non divisibles par quatre sont dans le groupe 3. Dans ses livres, Searl signale qu’un carré de groupe 1 tourne.

Dans ces carrés, la somme de tous les nombres en lignes horizontales, verticales ou diagonales donne le même nombre. Dans le passé, on les nommait Carrés magiques, ce n’est donc pas une nouvelle technique. John Thomas a fait une extrapolation d’un carré de groupe 2 dans un cube déployé. Il s’est rendu compte qu’il se trompait en pensant que la même valeur serait obtenue pour toutes les directions des lignes. Avec ce cube, il a trouvé qu’il y avait un modèle de commutation impliqué que l’on pouvait mettre en équation le modèle de commutation des carrés avec celui vu dans le cube, ce qui conduisait à un monde en trois dimensions.

 



Il était ensuite possible de passer facilement à un modèle de commutation dans les valences atomiques ou la structure atomique

La découverte fortuite et heureuse du système de contrôle des S.E.G.

Un jour, le Pr Searl donnait une interview filmée pour un journal. Il finissait à peine de dire que son appareil ne s’arrêtait pas, que celui-ci stoppa. Searl en resta bouche bée. Mais c’était le meilleur coup de chance qu’il pouvait lui arriver car Searl a pu grâce à cela contrôler ses disques avec à un circuit de télécommande mécanique ou électronique.

Il réalisa immédiatement que la clé se trouvait dans la fréquence, la caméra vidéo s’était abaissée sur le SEG pour le prendre en gros plan. L’harmonique ou la fréquence de résonance émise par la caméra vidéo résonnait sur la fréquence primaire du SEG et la neutralisait, ce qui faisait que les pôles arrivaient à l’unification et stoppaient.

Il se passe des choses curieuses dans les disques de Searl. Un vide se produit et se développe au centre, siège d’un champ libéré de l’inertie. C’est le principe même utilisé dans le SEG (Space Energy Generator) et qui fait qu’une masse de métal en rotation projette les électrons sur le bord d’un accumulateur-récepteur. Il est alors possible de capter ces énergies électrostatiques à haute densité, (comme dans une machine de Wimshurst ou Testatika ou une machine de Hyde). Ou bien, la rotation peut faire fonctionner un autre générateur.

Le rêve retrouvé de Searl

On pourrait penser que tout le travail de Searl est perdu, comme celui des Tesla, Keely, Schauberger, Carr et tant d’autres qui ont été contraints de garder leurs secrets pour ne pas se les voir voler ou les voir exploiter dans de mauvaises mains. Quelles fabuleuses inventions auraient pu sortir de l’esprit de ces grands hommes à la lumière de nos découvertes modernes ?

Mais Searl n’est pas homme à s’arrêter, il a une volonté de fer et se voue à offrir sa technologie pour un monde meilleur. Il a diffusé ses travaux dans son livre " la Loi des Carrés ".

En 1989 le Pr Searl a donné des conférences à Munich, à Einsiedeln en Suisse au congrès international sur l’énergie

En 1990, à l’école de médecine de Munich, à l’Institut de l’Environnement au Danemark suivi d’une tournée de trois semaines de conférences

En 1994, au congrès INE de Denver Colorado

En 1996, à l’Université du Middlesex, au Centre Commercial Ilsington et à l’école supérieure du comté de Mill Hill

Trois séminaires étaient prévus en 1996 en Angleterre

Le Pr Searl poursuit avec acharnement ses travaux en dépit de grandes difficultés et il met actuellement au point un générateur d'électricité basé sur sa technologie. Il souhaite que cela atteigne le public avant une autre censure ou destruction. Il croit que le temps est venu pour que le monde dispose de cette technologie pour le plus grand bénéfice de l'humanité et la réparation des dommages causés à la couche d'ozone par la pollution mondiale.

Direct International Science Consortium : D.I.S.C.

Le siège de D.I.S.C., fondé en mars 1995, est à Londres

13 Blackburn Mower Strand, Grahame Park Estate London NW9 5NG

Tél : +44 (0) 181 200-0714 Fax : +44 (0) 181 200-5932

D.I.S.C.détient la connaissance nécessaire à : la construction d’un SEG de 11 kW à usage domestique sur 240V ou 110V en courant alternatif (il peut être construit pour l’industrie à tous voltages et ampérages) et à la construction d’un vaisseau volant dénommé véhicule à anti - (IGV).

Neuf personnes entourent le Pr Searl, dont John Thomas, co-fondateur. Il est possible d’appeler le Pr Searl au Tél. 0181 200 0714, Fax 0181 200 5932 ou par e-mail sur le site http://www.moose.co.uk/userfiles/prof.j.searl/index.html

Il existe d’autres correspondants aux USA, en Allemagne, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Australie

Parmi eux, des physiciens, des ingénieurs, pilotes d’avions, informaticiens et d’autres personnes qui font connaître les travaux de Searl et ses livres

Adresse aux USA : John A. Thomas Jr, 373 Rock Beach Road, Rochester, New York 14617-1316

Tél : +1 716 467 2694 Fax:+ 1 716-338-2663 –e-mail : discjt@servtech.com

Voir une nouvelle conception de SEG par Dave Squires sur le site de Jean-Louis Naudin. Cette extension faite d'après les travaux sur le moteur électrostatique à capacité et haut voltage, le PFT MK2 n'a pas encore été expérimentée mais son auteur pense que le déséquilibre de vecteur S -Poynting est la cause du mouvement des rouleaux. http://www.fortunecity.com/tattooine/delany/256/html/newseg.htm



Source:http://quanthomme.free.fr/energielibre/gravitation/GR_Inventeur1.htm

7 septembre 2016

Le génie méconnu de Nicolas Tesla

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Un sondage effectué parmi les élèves du premier cycle de l’INSA de Lyon, donnèrent des résultats surprenants : sur les 87 réponses que j’ai reçues, environ 4 étudiants étaient capables de me fournir des informations pertinentes sur Nikola Tesla, ce qui représente 5 % des étudiants interrogés. C’est très peu vu l’environnement scientifique dans lequel l’étude a été faite.

Cela est d’autant plus étonnant que Tesla a donné sa vie à la science, restant célibataire toute sa vie pour se consacrer pleinement à sa passion : l’invention. Au cours de sa vie, il a inventé de très nombreuses machines, dont certaines sont révolutionnaires, capables de bouleverser le monde entier. Personne n’en a jamais entendu parler.

C’est pourquoi nous avons décidé de choisir ce thème pour notre exposé. Il nous a semblé primordial dans une carrière de scientifique de connaître l’existence de cet homme remarquable ainsi que sa carrière qui fut semée d’embûches. Il a été à l’initiative de très nombreux progrès dans les sciences et techniques. Beaucoup de ses créations sont utilisées aujourd’hui quotidiennement sans que personne ne se pose la question de savoir quel a été le scientifique qui leur a permis d’avoir cette qualité de vie aujourd’hui. Le but de notre exposé est de mieux faire connaître ce génie méconnu, ainsi que ses inventions ingénieuses.

Nous axerons notre dossier sur la vie de Tesla et ses inventions ainsi que ses applications, et non pas sur les aspects techniques de toutes ses inventions. Il nous faudrait alors bien plus de temps et d’énergie pour comprendre dans les détails toutes ses inventions. Aujourd’hui encore, des scientifiques reprennent les travaux de Tesla. Pour toutes les inventions nommées dans ce dossier, il nous est possible d’en fournir une explication scientifique même si elles ne figurent pas dans le dossier. Nous tenons à le préciser car il est possible, à un premier égard, de supposer que ces machines contredisent les lois de la physique.

Pour finir, le débat nous aidera à réfléchir sur sa méconnaissance et sur la réaction de la société – publique ou scientifique – face aux nouvelles découvertes et inventions.

Introduction

Carte d’identité de Nikola Tesla

Nikola Tesla voit le jour le 10 juillet 1856 à Smiljan, en Croatie près de la côte Adriatique et meurt le 7 janvier 43. Son père est un ecclésiastique serbe orthodoxe et sa mère est intelligente mais illettrée. Nikola est l’avant dernier d’une famille de cinq enfants. Ses parents voulaient qu’il se destine à l’Eglise ou à l’Armée.

Il a de très nombreuses qualités intellectuelles, comme une très grande mémoire photographique, un génie inventif, le don de visualiser avec une telle acuité qu’il n’a besoin ni de maquette, ni de schéma, ni même d’expérience. Sa représentation mentale rend les modèles parfaitement réels. D’ailleurs dit-il lui-même : « tout ce que j’invente fonctionne comme je l’ai imaginé, l’expérience se déroule comme prévu ». Dès petit, il invente des objets originaux. Il a eu une enfance troublée due à une histoire familiale très forte qui lui créa des troubles psychologiques et des phobies. C’est seulement à l’âge de 17 ans qu’il commence à s’intéresser vraiment à ses inventions. Tesla apparaît comme un autodidacte.

Décorations de Tesla

Il a reçu de son vivant de nombreuses distinctions académiques d’universités américaines et d’autres pays :

la médaille John Scott
la médaille Edison qui est considérée comme la plus grande reconnaissance dans le domaine électrique
de nombreux prix décernés par les gouvernements européens.
Mais il faudra 1975 pour que son nom figure au panthéon des inventeurs américains.


PORTRAIT DE NIKOLA TESLA

1ère PARTIE : L'ÉLECTRICITÉ

Ses débuts à l’école

En 1875 il rentre à l’école polytechnique de Graz en Autriche où il étudie les maths, la physique et la mécanique.

Son professeur de physique lui présente un appareil à courant continu qui fonctionne à la fois comme un moteur et une dynamo. L’inconvénient est que cette machine produit beaucoup d’étincelles. Tesla l’examine et propose de remplacer le courant continu en courant alternatif, ce qui conduirait selon le professeur à un mouvement perpétuel donc impossible.

L’idée de transformer cette machine ne le quittera plus : "pour moi, c’est un vœu sacré, une question de vie ou de mort. Je sais que je mourrai si j’échoue. Au plus profond de mon cerveau se trouve la solution, mais je ne peux pas encore l’exprimer".

Invention du moteur à courant alternatif

Le Moteur à Induction:

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Six ans plus tard, il présente une conférence à l’American Institute of Electrical Enginneers, où il révèle un nouveau principe scientifique, d’une simplicité éblouissante. Ses applications pratiques révolutionneront le monde technologique. Tesla vient de découvrir un nouveau système, le principe du champ magnétique rotatif, généré par des courants alternatifs au nombre de un ou plus déphasés les uns par rapport aux autres. Le moteur à courant alternatif est inventé.

Lutte pour la recherche d’un standard électrique

Dans les mois qui suivent cette conférence, il s’investit complètement dans le but d’inventer de nouvelles formes de machines à courant alternatif.

En 1883 il achève la construction de son premier véritable moteur à induction à courant alternatif. Incapable de provoquer l’intérêt de quiconque en Europe avec son procédé radical, Tesla accepta l’offre de Thomas Edison qui lui proposait de venir travailler aux USA.

L’année suivante, à l’âge de 28 ans, il décide de prendre le bateau et d’aller tenter sa chance pour aller travailler avec Edison aux Etats-Unis, où ce dernier vient de créer le réseau électrique qui alimente la ville de NY.

Ce réseau, basé sur le courant continu, souffre de sérieux malfonctionnements : accidents fréquents, pannes régulières, plusieurs incendies causés par l’électricité… De plus le courant ne peux être acheminé à longue distance (environ deux miles) car les lignes ne pouvaient supporter des tensions élevées, indispensables aux transmissions lointaines. Une centrale était nécessaire tous les deux miles.

Tesla intervient alors en parlant de son merveilleux moteur à induction à courant alternatif, selon lui tendance de l’avenir : "celui qui développera cette technique sera riche".

Edison n’est pas d’accord. Il met à contribution Tesla pour réparer l’installation électrique d’un paquebot, ce à quoi il arrive rapidement. Il découvre le moyen d’améliorer les dynamos primitives d’Edison et se voit proposé 50 000 $ pour continuer son travail.

Edison n’aime pas le génie de Tesla, il se sent menacé par ses inventions talentueuses. Le problème grandit entre les deux hommes, ce qui amène Tesla à démissionner.

Un groupe de financiers, conscients du potentiel économique, propose à Tesla de fonder sa société, ce qu’il fit. Malheureusement il se fait avoir et se retrouve sans argent, les financiers ayant récupéré son entreprise où il avait investit ses économies.

Un dirigeant d’une grande société, Westinghouse, s’intéresse de près à son courant alternatif. En 1886 on assiste à la première inauguration commerciale du système de courant alternatif. Son moteur à induction est reconnu rapidement comme un élément de technologie nouvelle. Westinghouse, le concurrent direct d’Edison, rêve d’approvisionner les Etats-Unis avec le courant alternatif, il signe un contrat avec Tesla, à titre de consultant. Une lutte titanesque s’engage entre Westinghouse-Tesla et Edison, elle tourne à l’avantage de Westinghouse-Tesla.

Installation du courant alternatif aux États-Unis

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Une des premières versions de sa Turbine :
Westinghouse, en janvier 1893, annonce que sa compagnie vient d’obtenir le contrat d’installation de toute l’infrastructure électrique. On utilisera bientôt exclusivement le courant alternatif de Tesla, système tant bafoué et calomnié. Toute l’électricité utilisée dans le monde à cette époque sera produite, transmise, distribuée et transformée au moyen de système polyphasé de Tesla. La transmission du courant sur des centaines voire des milliers de kilomètres n’est plus un problème. Les deux premières usines génératrices de courant sur le Niagara sont construites dès octobre 1893, dont une sur les chutes du Niagara. La première sera finie en 1896 et alimentera Buffalo. A New York, les tramways et les métros fonctionnent au courant alternatif, l’électrification des chemins de fer est en bonne voie.

L’industrie métallurgique a aussi besoin de hautes tensions que seul l’alternatif peut lui fournir, on assiste alors à un essor fulgurant de l’aéronautique. L’électricité permet de disposer à profusion d’énergie mécanique, calorifique, électromagnétique, ce qui entraînera une révolution extraordinaire pour l’industrie.

En 1906 Tesla invente une turbine : 4,5 kg et 30 chevaux vapeurs. Tesla pense qu’elle pourra faire baisser le coût de l’électricité en raison de faible coût de fabrication par rapport à ce qui se fait à l’époque.

2ème PARTIE : LA LUMIÈRE

Lampe à pastille de Carbone - lumière à haute fréquence

Le point fort de ses démonstrations dans ce domaine est la lampe à pastille de carbone, présentée en 1891.

Elle est constituée d’un tube à vide (mais contenant quelques ions à l’état gazeux) de 15 cm terminé par un petit globe de verre muni d’une minuscule pièce de matériau solide, montée à l’extrémité d’un fil de connexion unique avec la source de haute fréquence. La pastille centrale du matériau propulse électrostatiquement les molécules du gaz environnant vers le globe de verre, puis de la même façon les attirent ensuite, au rythme de la source haute fréquence. Au retour, en heurtant la pastille, les molécules la chauffent jusqu’à incandescence, dans un processus qui se répète plusieurs millions fois par seconde. La chaleur de la pastille incandescente se transfère aux molécules de la petite quantité de gaz dans le tube, et ainsi de la lumière est produite.

Cette lampe est très économique : pour la même dépense énergétique, elle est 20 fois plus brillante que l’ampoule d’Edison, celle utilisée de nos jours. Le seul problème est qu’il faut une source de courant à haute fréquence, ce qui n’est malheureusement pas compatible avec les 50 Hz traditionnels. Le tube néon est inspiré des découvertes de Tesla, mais son rendement n’est pas aussi intéressant.

Microscope électronique

La lampe à pastille de Carbone contient également le concept du microscope électronique.

On génère des particules qui sont envoyées en ligne droite à partir d’un minuscule point d’activité sur la pastille, maintenue à un potentiel élevé. Avec le courant continu, on arrive seulement à expulser les particules. Sur la surface du globe, les particules reproduisent en une image phosphorescente le dessin du point microscopique d’où elles sont émises.

En s’inspirant de cette constatation faite par Tesla, des scientifiques découvrent en 1939 la possibilité d’utiliser un microscope non plus avec de la lumière mais grâce à un flux d’électrons, ce qui donne une résolution beaucoup plus grande. La description par Tesla de l’effet obtenu avec sa lampe à pastille de carbone se retrouve quasiment sans changement dans les termes pour décrire le microscope électronique.

Accélérateur à particules

La lampe à particule contient aussi certains aspects des accélérateurs de particules. En effet, l’expulsion de particules à hautes vitesses dans les accélérateurs linéaires se retrouve dans la lampe. De plus, le phénomène de résonance (voir partie mécanique) intervient dans les accélérateurs de type cyclotron.

3ème PARTIE : LA MÉCANIQUE

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Invention d’un avion à décollage - atterrissage vertical

C’est en 1928, à 72 ans, que Tesla construit un modèle d’avion à décollage – atterrissage vertical. Le modèle de Tesla est un premier pas incontournable dans la recherche dans ce domaine. Il est remarquable qu’il en ait eu l’idée, à une époque où l’aviation n’en était encore qu’à ses débuts. Les plans de Tesla ont été utilisés ultérieurement dans les recherches américaines pour le développement de leur avions. En 1980 on s’émerveille encore devant la possibilité de faire des avions avec cette spécificité.

Les oscillations mécaniques et vibrations harmoniques : la résonance

En 1898 il teste un minuscule oscillateur qu’il attache à un pilier de fonte qui traverse un immeuble. Cela entraîne la vibration de tout l’immeuble et la panique des habitants qui croient à un tremblement de terre. Tesla vient de montrer l’effet de la résonance: « cette poutre n’aurait pas pu être détruite avec des massues, ni même avec des leviers : il a suffi d’une rafale de petits coups qui, pris séparément, n’aurait pas fait de mal à une mouche ». Il est possible q’un gringalet pousse une grosse personne sur une balançoire s’il le pousse toujours au bon moment pour permettre une amplification du mouvement.

Ce phénomène a aussi des applications en électricité.

L’Avion à décollage vertical :
4ème PARTIE : L'ÉNERGIE LIBRE

Introduction

C’est au cours de la conférence du 20 mai 1891 à l’American Institute of Electrical Enginneers de New York, que Tesla a pour la première fois parlé de l’énergie libre. Voici ce qu’il annonce : « Dans quelques générations nos machines seront propulsées par cette énergie disponible à tout endroit de l’univers.[…] Dans l’espace il y a une forme d’énergie. Est-elle statique ou cinétique ? Si elle est statique, toutes nos recherches auront été vaines. Si elle est cinétique – et nous savons qu’elle l’est – ce n’est qu’une question de temps, et l’humanité aura mis en harmonie ses techniques énergétiques avec les grands rouages de la nature ».

Tesla publie le 30 septembre 1894 un article dans lequel il expose sa théorie de la lumière, de la matière, de l’éther et de l’univers et affirme que 90 % de l’énergie des lumières électriques est gaspillée : « j’espère vivre assez longtemps pour être capable de poser une machine au milieu de cette pièce et la faire tourner par la seule énergie du milieu environnant »

Notion d’éther et d’énergie du champ du vide

Le concept d’éther a été introduit par Aristote pour désigner le cinquième élément. Ce terme englobait à l’origine tous les objets qui se trouvaient à l’extérieur de l’atmosphère terrestre. Les physiciens du Moyen-Âge postulait que l’éther est une substance qui remplit l’espace. Newton en a fait aussi référence. Plus tard, Maxwell pense qu’ « il n’y a aucun doute que les espace interplanétaires et interstellaire ne pas vides, mais remplis d’une substance qui existe en très grande quantité qui est régulière »

Des expériences ont été réalisées pour essayer de prouver l’existence de l’éther. Une expérience est restée célèbre. Si l’éther existait, il existerait des « vents d’éther » dues à la rotation de la terre, supposaient les physiciens de l’époque. Deux signaux ont été envoyés : l’un contre courant des vents d’éther, et l’autre dans la même direction. Les scientifiques attendaient un écart entre les temps mis par les deux signaux pour parcourir un même distance. L’expérience ne révéla aucune différence. De ce fait, on assista au refus du concept d’éther. Mais beaucoup de scientifiques pensent encore que le concept de l’éther n’est pas une fiction. D’ailleurs, voici la liste des scientifiques qui postulent pour l’existence de cet élément – pour ne citer que les plus connus :

Paul Dirac (Prix Nobel, 1933)
De Broglie (Prix Nobel, 1929)
A. Michelson (Prix Nobel, 1907)
A. Einstein (Prix Nobel, 1921)
Sir Oliver Lodge
Beaucoup d’autres Prix Nobel

De cet éther, peut être tirée de l’énergie. L’espace présent entre les atomes n'est pas vide, mais rempli d’énergie. Sa concentration est extrêmement élevée, de l’ordre de 5000 kWh par cm3 d’après certaines estimations. Elle est difficilement perceptible, à moins de la faire agir avec des champs électromagnétiques ou de la matière. Il serait impossible de manquer d’énergie car elle est omniprésente. Pour faire une analogie, on peut citer cet exemple : un homme assis au fond de la mer avec une tasse à la main se demande comment il peut remplir sa tasse d’eau. Par analogie, l’eau joue le rôle de l’énergie, et l’homme au fond de la mer, l’Humanité qui vit sur Terre. L’omniprésence de cette énergie nous fait oublier qu’elle existe et qu’elle est infinie.

Mais le concept de l’éther tend peu à peu à s’effacer dans les pensées des grands physiciens de l’époque. A l’âge de 15 ans, Albert Einstein (1879-1955) pensait comme beaucoup d’autres scientifiques, qu’il existait bel et bien un éther que l’espace n’était pas vide. C’est plus tard qu’il abandonna cette idée et qu’il réfuta ensuite pendant de longues années. C’est à ce moment là qu’il développa la théorie relativiste qui s’imposa auprès des physiciens. On ignora tout ce qu’Einstein dit plus tard au sujet de l’éther. En 1934, il revient à cette théorie en disant que l’espace ne pouvait être vide, que l’espace est un médium dynamique.

LES MACHINES À ÉNERGIE LIBRE

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La "N-machine" de Bruce DePalma :
Tesla est le pionner dans ce domaine. Il a été le premier à inventer une machine qui construisit une machine qui puisait son énergie dans une source infinie et inépuisable, l’énergie du point zéro, ou plus communément appelée énergie libre.
Tesla inventa une machine qui est non-seulement capable de s’auto-alimenter, mais qui tire de l’énergie de l’air environnant.

Son appareil était une bobine à électroaimants, pour laquelle il avait obtenu en 1894 un brevet. La forme de sa bobine permettait au système d’emmagasiner une quantité énorme d’énergie, en n’utilisant qu’une infime partie de cette énergie pour son propre fonctionnement. On peut la comparer à une voiture qui aurait un très grand réservoir d’essence toujours plein, et qui n’utiliserait que deux pour couvrir cent kilomètres.

De nos jours, des machines à énergie libre ont été construites et fonctionnent avec comme seul carburant l’air ambiant. Bruce DePalma est le plus connu des inventeurs en énergie libre avec sa N-machine. Il utilise dans sa machine des aimants très puissants pour mettre l’énergie de l’espace au travail sur la terre, car il considère que « l’aimant est une fenêtre sur l’énergie libre de l’espace ».

Il existe aussi une autre forme d’énergie libre : l’énergie Radiante. Tesla inventa un appareil capable de capter l’énergie directement du soleil. Ce procédé n’est pas très avantageux car son rendement n’est pas très élevé.

Actualités et mise à jour

Il est rare de voir dans les magazines des articles concernant l’éther et encore moins l’énergie libre puisque 95 % des personnes n’en ont jamais entendu parler. Mais dans le "Sciences et Avenir" de janvier 2002, dans le dossier « Les Hérétiques de la Science », Jean Pierre Vigier, probablement considéré comme le plus grand physicien français vivant, défend l’idée d’un éther matériel : « il y a un éther matériel, physique, qui porte les ondes et les particules, exactement comme la mer porte un navire ». Puis il continue en évoquant succinctement l’idée d’une énergie infinie : "Extraire de l’énergie du vide pour la convertir en une source inépuisable : vieux rêve ou fantasme".

Une expérience a été faite pour essayer de mettre en évidence la force du vide : "Ils construisent une balançoire de 500 micromètres carrés suspendue à quelques centaines de nanomètres du sol. Puis il approche une sphère à moins d’un micromètre. Même sans contact, la balançoire se pencha".

En physique quantique, le vide n’est pas vraiment vide, il est en fait le siège de fluctuations qui créent des particules virtuelles engendrant sur les plaques une force de pression attractive.

Les conséquences possibles

On peut trouver évidemment trouver une multitude de domaines dans lesquels l’usage d’une énergie propre et infinie serait très bénéfique. On peut citer l’automobile, le chauffage des habitations, plus généralement dans l’industrie. Il serait aussi très profitable de l’utiliser dans le domaine spatial. « Le génie inventif de l’homme nous permettra non seulement de voyager dans l’univers à une vitesse inimaginable, sur une trajectoire fixe. Il nous permettra aussi grâce à l’énergie que l’on pourra tirer de l’espace, d’être autonome et d’y séjourner pendant de longues périodes en consommant peu d’énergie »

Ces appareils à énergie infinie pourraient rendrent indépendants énergiquement la population. On peut imaginer des constructions privées d’appareils, de tailles variables : depuis le générateur dans son jardin, jusqu’à la centrale assez puissante pour éclairer toute une ville. Certains scientifiques pensent que c’est la voie à suivre pour l’avenir. D’autres, au contraire, pensent que "le fait de donner à la société une énergie abondante, bon marché et inoffensive, serait la pire des choses qui pourrait se passer sur cette planète, parce que les gens risqueraient de l’utiliser à des fins par forcément positives".

Réfléchissons un peu quant aux bienfaits que peuvent nous apporter une énergie propre et infinie : toutes les forêts, mers, lacs, océans, ne seraient plus menacés d’être à nouveau contaminés par des déchets radioactifs, par le pétrole. L’air dans les villes serait plus pur, le bruit incessant des voitures serait moindre. Les industries rejetteraient beaucoup moins de produits polluants dans l’air. Bref, on arriverait à augmenter la vitalité des gens, car ils respirerait un air pur, boirait une eau dépolluée, et se nourrisseraient d’aliments sains.

5ème PARTIE : LA RADIOCOMMUNICATION ET LA TRANSMISSION PAR ONDES

Tesla a ouvert la voie à la transmission d’énergie et d’informations, ainsi que de l’électronique moderne.

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À la base de tout : la bobine Tesla...

Une "Bobine Tesla" en fonctionnement :
C’est un transformateur à air avec des bobines primaires et secondaires réglées sur la résonance qui convertit à hautes fréquences des courants élevés de tensions relativement faibles, en courant faible de hautes tensions.

Tant que les fréquences sont élevées, les courants alternatifs de très hautes tensions s’écoulent largement sur la surface de la peau, sans causer de dommages. Des milliampères pénétrant dans les tissus nerveux peuvent tuer alors que beaucoup d’ampères sur la surface de la peau peuvent être tolérés pendant de brefs instants !

La bobine de Tesla sert en tant que dispositif de production de hautes tensions, toujours utilisé de nos jours sous une forme ou une autre dans tout récepteur radio ou de télévision ; elle deviendra très rapidement une partie de l’équipement de tout laboratoire de recherche universitaire.

Sa bobine a plusieurs applications médicales. En 1890, il est publié un article qui donne les valeurs thérapeutiques sur le corps humain du chauffage interne par des courants de hautes fréquences. Ce phénomène sera connu sous le terme de diathermie. Les médecins s’intéressent de plus en plus à l’oscillateur thérapeutique de Tesla, une petite bobine de tesla. Il vend des bobines médicales à des hôpitaux et laboratoires, ce qui lui rapporte beaucoup d’argent.

LE RADAR

Le radar est l’outil de défense de base de tous les pays du monde.

Tesla découvre le principe du radar en 1900, il le met au point et publie malgré des problèmes financiers les principes de ce qui deviendra, presque 3 décennies plus tard, le radar.

Il fonctionne comme les ultrasons des chauves-souris : on envoie un rayon concentré d’un courant de minuscules charges électriques vibrant à une très grande fréquence, puis après réflexion sur la cible, on réceptionne le rayon et après analyse on obtient une image de la cible.

Quinze ans après la description du radar par tesla, des équipes de chercheurs américains et français travaillent parallèlement d’arrache pied à mettre au point un système fonctionnant selon ses principes. En 1934, une équipe française met au point et installe des radars sur des bateaux et sur des stations terrestres en utilisant des appareils conçus précisément selon les principes énoncés par Tesla. Le radar a été d’une grande aide aux Anglais pendant la 2nd guerre mondiale pour prévenir les attaques aériennes des Allemands.

Les robots télécommandés

Tesla définit les bases de la télé-automatique. Il conçoit qu’on puisse un jour commander des véhicules à des centaines de kilomètres sans qu’il y ait d’équipage, en utilisant la télégraphie sans fil. Il crée deux navires robots télécommandés dont un est submersible.

Ses brevets de 1895 contiennent en réalité les spécifications d’un bateau torpille sans équipage muni de six torpilles de 4,20 mètres. Il affirme qu’un faible nombre de ces engins suffit pour « attaquer et anéantir une armada entière en une heure, et sans que l’ennemi puisse jamais localiser ni identifier la puissance qui le détruit ». Mais les conceptions de Tesla sont trop en avance pour l’époque et les responsables de la défense américaine considèrent son projet comme un rêve irréalisable qu’ils qualifient d’expérience de laboratoire.

Un navire télécommandé :

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Un navire télécommandé :
Tesla qui a tant œuvré pour inaugurer l’ère de l’automatisation, sent qu’il est dans un monde manifestement pas prêt.

Ses recherches le poussent notamment dans certaines bases de l’informatique : des inventeurs de la deuxième partie du 20ème siècle qui voulaient déposer des brevets dans le domaine informatique, se sont aperçus que Tesla les avaient précédés. « je suis étonné par la répugnance qu’éprouvent les gens qui travaillent dans le domaine des ordinateurs à y reconnaître la priorité de tesla, alors que Mrs Brattain, Bardeen, et Schockley ont été couvert d’honneurs pour l’invention du transistor, qui a fait des calculatrices électroniques une réalité physique ».


Radio et télécommunications

En 1893 Tesla fait un nouveau pas pour le progrès de la science en décrivant en détail les principes de l’émission radio. A Saint-Louis, il fait la première expérience publique de communication radio, fait que l’on attribue généralement à Marconi en 1895. Il s’ensuis une compétition acharnée entre les deux hommes.

Marconi arrive à Londres avec un récepteur TSF. Son dispositif est identique à celui que Tesla a décrit en 1893. Marconi nie avoir eu connaissance de système de Tesla, mais le service chargé d’examiner les demandes de brevets aux Etats-Unis rejettera cette dénégation invraisemblable. Marconi a transmis le 12 décembre 1901 la lettre S à travers l’océan Atlantique. Cette nouvelle fait la presse mondiale. En fait, il a utilisé le brevet fondamental de Tesla (n°645.576), déposé en 1897 et homologué le 20 mars 1900. Il a aussi utilisé 17 autres de ses brevets. Mais en 1943, la confusion est finie : la cour suprême des Etats-Unis établit que Tesla est bien l’auteur de la découverte initiale de la radio, injustement accordée à Marconi. Cette information n’a pas encore pénétré les encyclopédies mais les ingénieurs radio s’accordent pour dire que c’est bien Tesla qui est à la base de la radio.

À la suite, nombreux sont ceux qui vont utiliser les brevets de Tesla pour développer la radio commerciale.

Son premier dispositif de radio :

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Grâce à son puissant récepteur radio, il perçoit d’étranges sons rythmés. Il semble en fait qu’il ait entendu des ondes radio émises par les étoiles. Il faudra attendre 1920 pour que les astronomes isolent à nouveau ces signaux, connus sous le nom d’ondes cosmiques. Aujourd’hui l’écoute des étoiles est une pratique courante.

Le projet de radiodiffusion mondiale

Tesla n’abandonnera jamais l’idée d’un réseau mondial de télécoms. Il sait toutefois que l’époque n’est pas encore mûre et que le financement est un problème insurmontable : « l’humanité n’a pas atteint un stade suffisamment avancé pour se laisser mener de bon gré par l’instinct aigu du découvreur »

Tesla construit la tour de Wardenclyffe qui se veut être un centre mondial de radiodiffusion disposant de tous les services que l’on utilise aujourd’hui : interconnexions téléphoniques, synchronisation des faisceaux horaires, diffusion de bulletins d’informations sur les cours de la bourse, récepteurs de poches, réseaux de communications privées. Il en parle comme d’un système mondial de transmission d’informations.

Le Projet de la Tour Wardenclyffe :
6ème PARTIE : LA TRANSMISSION D'ÉNERGIE ET L'UTILISATION DES ONDES HAUTES ET BASSES FRÉQUENCES

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Introduction

En 1899, Tesla se retire dans les montagnes de Colorado Springs afin de faire des expériences sur les ondes électromagnétiques. Il construisit un laboratoire à haute tension, à haute altitude qui entourait la plus grosse bobine Tesla au monde. Ses recherches précèdent toutes celles sur l’électromagnétisme, « ses expériences présentent une étonnante similarité avec les travaux les plus tardifs en matière de communications à très basses fréquences ».

Au cours de ses multiples séjours dans son laboratoire, il réussit à concevoir un système de transmission d’énergie sans fil et découvrit le phénomène des ondes stationnaires. Nous verrons ensuite quelles sont les applications des inventions et découvertes de Tesla.

Transmission d’énergie sans fil

Lors d’une conférence, Tesla annonce qu’il peut voir son rêve le plus cher se réaliser : la transmission d’énergie sans aucun câble de connexion.

Un exemple de transmission d’énergie :
Tesla croit non seulement que le globe est un bon conducteur, mais que les hautes couches de l’atmosphères sont conductrices et que celles qui sont situées à des altitudes très modérées qui sont aisément accessibles, constituent une parfaite voie conductrice. Ainsi, il pense prouver ainsi que l’on peut transmettre de grandes quantités d’énergie électrique dans les couches supérieures de l’atmosphère, sur n’importe quelle distance.

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En plus du projet de radiocommunication qu’il pensait mettre en place avec la tour de Wardenclyffe, il veut établir un système de transmission d’énergie sans fil. Par conséquent, on disposerait d’énergie électrique en n’importe quel point du globe. C’est précisément avec ce projet que Morgan, le créancier de Tesla à cette époque, n’était pas d’accord. Morgan décida de retirer son aide financière. L’excuse était : « si tout le monde peut puiser de l’énergie où mettrons-nous le compteur ? ». Elle fut détruite en 1917.

Certaines de ses expériences à Colorado Springs sont relatés par des journalistes. D’après eux, Tesla a réussi à allumer 200 lampes à incandescence de 50 watts à 42 km de sa station.

Si ce procédé vient un jour à être mis en place dans le monde, il serait « sur le point de provoquer une révolution industrielle d’une ampleur inégalée ».

Analogie sur le principe de la transmission d’énergie sans fil:
Découverte de l’onde stationnaire

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Le 3 juillet 1899 est le jour de la découverte par Tesla du phénomène des ondes stationnaires. Voici les observations qu’il lui ont permis de déduire l’existence de ce phénomène.

Dans le Colorado, de nombreuses décharges naturelles d’éclairs s’observent régulièrement. Ce 3 juillet, il remarqua que ses appareils réagissent parfois plus fort aux décharges très éloignés qu’à celles qui sont plus proches. Un violent orage éclate : des signes s’intensifièrent, puis après être passé par un maximum, il décrurent, puis cessèrent. Tesla a observé ce phénomène à intervalle réguliers. Puis l’orage se déplace. Il se retrouve à 300 km et ce phénomène continue à se manifester avec une force constante.

Autrement appelée « onde Tesla », l’onde stationnaire, comme son nom l’indique, ne se déplace pas, contrairement aux ondes hertziennes. C’est par addition de deux ondes hertziennes que l’on obtient une onde stationnaire. Si l’on définit un point de l’espace et une onde passant par ce point. Le point va parcourir toute l’onde, et par conséquent le point et l’onde auront un mouvement relatif. Si l’on ajoute deux ondes hertziennes de même fréquence, on obtient une onde stationnaire. Le point précédemment défini, restera fixe par rapport à la nouvelle onde ainsi formée.

Ondes Stationnaires- exemple 1:tesla 14

 

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Ondes Stationnaires- exemple 2:
On voit bien que la courbe noire ne se déplace que verticalement et n’a pas de mouvement de translation, alors que les courbes verte et rouge se déplacent horizontalement.
Exploitation des découvertes de Tesla dans le domaine des ondes

Les découvertes de Tesla sur les ondes électromagnétiques peuvent avoir des répercutions importantes sur l’Humanité si elles sont utilisées à des fins destructrices. Voici quelques-uns uns des ces phénomènes qui peuvent être provoqués par l’utilisation des ondes électromagnétiques à très basses fréquences :

-Influence sur le climat

-Brouillage des liaisons radios et destruction des appareils électroniques

-Interférences dans les ondes émises par le cerveau, provoquant des troubles, des bourdonnements sonores

Nous verrons comment ces ondes sont probablement utilisées par des grandes institutions gouvernementales pour contrôler le climat, pour influencer la population, et certains comportements.

La guerre météorologique : le projet HAARP

HAARP est un centre de recherche Américain installé en Alaska, sur l’ionosphère. HAARP signifie ”High-frequency Active Auroral Research”. HAARP se fonde sur les recherches de Bernard Eastlund, qui s’est lui-même inspiré des travaux de Nikola Tesla.

Officiellement les scientifiques de ce centre de recherche travaillent sur un émetteur radio afin d’étudier l’ionosphère.

Officieusement, HAARP veut tirer parti de l’ionosphère pour en faire une arme à énergie. L’ionosphère est constituée de particules ionisées hautement chargées en énergie. Des recherches menées depuis un siècle par une série de scientifiques ont mis en évidence le fait que ce ”manteau énergétique” protégeant la terre, pouvait avec une technologie appropriée, devenir une arme stratégique de toute première importance.

Le projet étudie un puissant dispositif d’émissions à hautes fréquences, qui pourrait modifier localement l’ionosphère afin de neutraliser radars et radios, mais ce type d’émissions permettrait, d’après un chercheur au département de la Défense, d’agir sur la formation de phénomènes météorologiques, c’est un début de manipulation du climat.

C’est un projet de 30 millions de dollars de coût annuel que l’armée américaine présente comme d’innocente recherches sur l’ionosphère. Les promoteurs n’épargnent pas leurs dollars en campagnes de relations publiques et en publicité pour rassurer l’opinion américaine. Néanmoins, il est difficile de croire qu’il ne s’agit pas d’un projet à des fins militaires lorsque l’on sait que les vrais bailleurs de fond sont la Navy, l’Air Force, Raython (géant américain de l’armement) et le Département de la Défense.

Certaines institutions européennes sont inquiètent et « demande[nt] que soit établi un accord international visant à interdire à l’échelle mondiale tout développement et déploiement d’armes qui pourraient ouvrir la porte à toute forme de manipulation de l’homme ». Elles « considère[nt] que le projet HAARP, en raison de son impact général sur l’environnement, est un problème d’une portée mondiale ».

La guerre invisible des ondes

La recherche dans ce domaine est une préoccupation importante, ancienne et permanente des militaires. Ces redoutables armes sont en développement depuis plusieurs décennies, notamment dans les laboratoires Américains et russes. Les armes électromagnétiques sont développées dans le cadre d’inquiétantes collaborations entre le département de la Défense et de la Justice. Il existe un type d’arme très intéressant : les armes à basse et très basse fréquences : c’est la technologie ELF, Extremely Low Frequencies.

La fréquence de résonance de l’ionosphère est presque identique à celle du cerveau humain. L’ionosphère est donc une onde porteuse parfaite à partir de laquelle on peut atteindre le cerveau sans changer la fréquence d’émission. C’est ce lien entre la sphère électromagnétique de la Terre et les fréquences de résonances du cerveau qui est à la base des armes stratégiques.

Au cours du XXème siècle, on peut discerner quelques utilisations de ces ondes. De façon générale, elles sont utilisées pour refroidir les ardeurs d’association ou d’organes politique et syndicaux jugé trop militants par certains dirigeants. En voici un inventaire :

1962 : le signal de Moscou : les autorités américaines constatèrent que le personnel de leur ambassade à Moscou était exposé à des niveaux élevés de rayonnement électromagnétique. Il a fallu des années pour réaliser que les Soviétiques cherchaient à induire des effets biologiques, psychologiques et physiologiques.

1983-84 : les soviétiques voulaient les utiliser contre les forces rebelles afghanes

1987 : « un type d’arme radicalement nouveau, capable de dégrader les systèmes électroniques ou pouvant être utilisé en mode antipersonnel » (rapport du département américain de la Défense).

1989 : Boris Eltsine reconnaissait que le KGB avait en son temps étudié le recours à des émissions ELF pour tuer à distance par arrêt de la fonction cardiaque.

1996 : parution d’un article de Scientific Advisory Commitee de l’US air Force : «on peut envisager le développement de sources d’énergies électromagnétiques, dont le signal peut être pulsé, mis en forme et dirigé, qui pourront être couplés avec le corps humain de façon à empêcher les mouvements musculaires volontaires et à contrôler les émotions (et les actions), endormir, transmettre des suggestions, interférer avec la mémoire à court et à long terme, produire l’acquisition d’expérience ou effacé des expériences acquises»
Effets de ces ondes sur le corps humain

Au début des années 60, Pr Herbert König, a mis en évidence un certain nombre d’effet des basses et très basses fréquences. Dans les années 70, l’armée américaine a secrètement piloté des programmes de recherches sur ces effets. Ils ont confirmé la réalité des terribles effets induits par ces champs, c’est à dire des troubles cardiaques, l’altération des réflexes, un état de maladresse. Une irradiation chronique ou continue peut être à l’origine de tendances dépressives, troubles de la mémoire, affectation cutanées, hémorragies oculaires et même cancers.

Daniel Depris, physicien donne quelques explications : « la composante magnétique des rayonnements […] peut modifier le processus physico-chimique qui régit le métabolisme endocrinien, notamment au niveau de la glande thyroïde ».

On a pu aussi constaté la publication d’un mémorandum intitulé « entraînement biologique du cerveau par les radiations de basse fréquence » rédigé pour la NASA.

Exemple d’utilisation de ces armes psychotroniques en temps de guerre

Le principe de l’utilisation est simple : avec ces armes, il est aisé de priver de la conscience de veille tout soldat qui part à l’attaque et de lui enlever toute agressivité.

Le magazine 2000, n°97, déc. 93 indique à propos des armes psychotroniques :

« Vous souvenez-vous des images de la Guerre du Golfe lorsque des milliers de soldats irakiens sortirent de leurs tranchées en capitulant ? Ils se rendirent même aux journalistes qu’ils prenaient pour des soldats et ils furent la proie bienvenue des canons de l’artillerie américaine, bien qu’ils aient brandi leurs drapeaux blancs. De plus en plus d’experts militaires sont persuadés que ce n’est pas le ravitaillement, insuffisant des troupes de Saddam Hussein qui a provoqué cette capitulation soudaine et massive mais que ce sont bien les armes psychotroniques des Etats-Unis ».

On peut assister à la mise en place d’une arme capable de paralyser l’ennemi. Avec ce type d’arme, le premier but est de couper les systèmes électroniques ennemis. D’autres appareils produisent des ultrasons, des ondes de sons ELF qui provoquent des nausées et des vomissements et perturbent à l’extrême le sens de l’orientation des personnes ciblées.

Les armes à « énergie dirigée »

Tesla avait écrit sa théorie sur les armes à énergie dirigée avant le début du vingtième siècle. Son fameux « rayon de la mort », pensait-il, installerait la paix sur la terre parce qu’il pourrait détruire des cités entières partout dans le monde et instantanément.

Tesla annonce : « mon dispositif projette des particules de dimension relativement grande ou au contraire microscopique, nous permettant de transmettre sur une petite surface, à grande distance, une énergie des trillions de fois supérieure à celle de tout autre rayonnement ».

« Le Rayon de la Mort » :

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Conclusion

Nikola Tesla a œuvré toute sa vie pour la science, pour l’avancée de la connaissance et des techniques. Toute sa vie a été dédiée à l’étude de l’électricité et du magnétisme ainsi qu’à leurs applications possibles qui pour une très grande partie entrent en jeu dans notre société moderne.

À sa mort, des messages affluent du monde entier et déplorent la perte d’un grand génie. Trois lauréats du prix Nobel, Millikan, Compton, et James Frank lui adresseront un ultime hommage : « un des esprits les plus extraordinaires du monde, qui a montré la voie des importants développements techniques des temps modernes ».

Il est difficile de trouver un autre homme dont les visions et les inventions ont eu autant de répercussions directes que celles de Nikola Tesla sur le style de vie de toutes les populations des pays industrialisés. Comme le dit si bien B.A. Behrend, président du American Institute of Electrical Engineers : « Si nous devions saisir et éliminer de notre monde industriel les résultats des travaux de monsieur Tesla, les roues de l’industrie s’arrêteraient, les trains seraient immobilisés, nos villes seraient jetées dans la pénombre et nos usines seraient mortes […] Son nom marque une époque dans l’avancement de la science électrique. De ce travail jaillit une révolution… »

Compte rendu de Débat

Quelle est la réaction de la société face aux nouvelles théories
scientifiques, découvertes et inventions ?
Le débat commence sur l’énumération des découvertes et des inventions qui ont mis un certain temps avant d’être acceptées.

Il a été cité spontanément beaucoup d’exemples : la rotation de la Terre autour du Soleil (Galilée), la Terre ronde, la théorie de Darwin sur l’évolution ainsi que la disparition des dinosaures, et plus récemment la dérive des continents et les théories quantiques et relativistes (Einstein).

Est ensuite demandé à l’assistance les raisons qui empêchent à ces théories d’être acceptées dès le départ.

La première réponse fut l’appréhension du changement qui peut déranger certains et même certaines institutions, comme l’Eglise : des théories remettaient en cause quelques "vérités" religieuses (l’homme au centre de l’Univers). Il est de plus difficile d’admettre que l’on se soit trompé et de remettre en cause les fondements de sa pensée (relativité, la Terre ronde,…). Aussi, certaines théories sont d’autant plus difficiles à admettre qu’elles sont abstraites et donc difficile à s’imaginer.

On peut penser que de nos jours, il existe d’autres raisons d’ordres politique ou économique.

On a tout d’abord relevé une opposition entre le secteur public et privé, que certains attribuent à la forme de puissance qu’est l’argent. Grâce à cet outil, des grandes entreprises richissimes échappent aux contrôles gouvernementaux grâce à l’influence qu’elles ont sur le monde économique. Il existe une distinction entre les objectifs publics et les objectifs privés (gagner le plus d’argent). Il y a de plus moins de contrôles dans le secteur privé. Plusieurs exemples ont été cités, comme les entreprises pharmaceutiques et pétrolières qui forment des lobbies. Il a aussi été mis en évidence le problème du clonage, financé par des milliardaires, et qui échappe au contrôle des autorités.

On s’est ensuite demandé si ces grandes entreprises puissantes pouvaient influencer les domaines de recherche.

Il est apparu que le monde industriel n’avait comme souci principal que la rentabilité. Les ventes de brevets et procédés technologiques se négocient à prix d’or, ainsi la recherche se dirige essentiellement vers les domaines permettant la création de richesses. L’énergie occupe une place importante dans les préoccupations des entreprises.

Le débat s’oriente ensuite vers la possibilité de cacher certaines découvertes pour éviter de perdre de l’argent, ou tout du moins pour en gagner plus.

Trois exemples ont été cités...

Le premier concerne la pharmacologie : les grands groupes possèdent des brevets sur des médicaments qu’ils vendent très chers, alors que l’arrivée des médicaments génériques réduit fortement la facture. La trithérapie pour diminuer les effets du SIDA se vend très cher, ce qui ne permet pas aux pays Africains de se la procurer ; mais d’un autre côté, la recherche a coûté cher. On peut se demander quels intérêts auraient les grands laboratoires à commercialiser un vaccin qui arrêterait l’épidémie et freinerait donc les rentrées d’argent (bénéfices seulement à court terme).

L’invention d’une source d’énergie disponible en tout point de la Terre (thème développé dans l’exposé) poserait le problème de la facturation : en effet il ne serait pas possible de poser des compteurs. Les grands groupes énergétiques, notamment pétroliers, ne pourraient que s’opposer à cette nouvelle source d’énergie, même si elle réduisait le problème des inégalités dans le monde. L’accent est mis sur la toute puissance des lobbies pétroliers qui exercent de fortes pressions sur les États, dépendants de leur énergie.

Le problème a aussi été montré dans l’industrie automobile. Des innovations technologiques (airbag, ABS, ESP,…) n’ont pas été mises immédiatement en circulation (à part sur les voitures haut de gamme), non pour une raison de coût de fabrication mais afin de montrer au public une évolution constante des moyens de sécurité. Tant qu’une évolution n’est pas demandée par le public, les modèles n’évoluent pas car ils se vendent très bien dans leur état d’avancée technique.

Une dernière interrogation a été posée : la gloire est-elle plus importante que l’argent ? Plus précisément est ce que l’on préfère de nos jours faire une découverte servant l’humanité et ainsi être reconnu, par exemple par un Prix Nobel, ou bien travailler ²dans l’ombre² mais en gagnant des sommes fabuleuses car on permet à une entreprise de gagner de l’argent.

Il est apparu que la tendance penchait plutôt vers l’emprise de l’argent ; de toute façon l’argent procure une gloire à lui tout seul, il n’y a qu’à voir l’étalage des richesses qui se produit dans notre société pour s’en convaincre. Il est donc plausible que l’argent supplante la gloire ou la dignité dans le monde moderne.

On retiendra de ce débat qu’il y a une opposition entre le secteur public et le secteur privé dans le domaine de la recherche. On a, dans ce dernier, « perdu la vocation de la science qui est de faire avancer la technologie et de comprendre le monde ». Ce constat a été attribué à l’argent, qui a une place prépondérante dans notre société et dans notre vie ; ce pouvoir permet notamment aux sociétés fortunées, surtout dans le domaine de l’énergie et de la pharmacie, d’user d’influence et ainsi de contourner les lois ou d’exercer un contrôle sur la recherche, dans le but de faire toujours plus de profit.

En annexe, le débat s’est terminé sur l’énumération – non exhaustive – des domaines de recherche prometteurs pour le siècle prochain :

La théorie qui permettra la réunification des 4 forces de l’Univers (gravitationnelle, électromagnétique, nucléaire faible, nucléaire forte)
La fusion nucléaire permettant de produire de l’énergie avec l’hydrogène
L’intelligence artificielle

Livres à consulter :

"Coucou c’est Tesl - l’énergie libre", auteurs collectifs internationaux, Editions Felix, 1997.

"Le livre jaune n°5", auteurs collectifs internationaux, Editions Felix, 1997.
Energie libre et technologies, Jeane Manning, Louise Courteau éditrice, 2001.
Vidéo

"Science et Vie", dossier "La guerre des ondes", mensuel n°1009, octobre 2001.

"Sciences et Avenir", dossier "Les hérétiques de la science", mensuel, Janvier 2002.

"Sciences et Avenir", article "Gare à l’effet Casimir", mensuel, Décembre 2001.
Sites Internet

recherche Quanthomme : http://www.multimania.com/quanthomme/
les machines à énergie libre : http://www.multimania.com/pascuser/energie.html
Tesla, the electric magician : http://www.parascope.com/en/1096/tesindex.htm
L’énergie du point zéro : http://users.skynet.be/kurtgode/
The home of primordial energy : http://depalma.pair.com/index.html
http://www.pbs.org/tesla

Au cours de nos recherches, nous avons créé un annuaire qui répertorie des liens vers des sites contenant des informations sur l’énergie libre et sur une forme de complot que nous avons évoqués au cours de l’exposé : http://secretlinks.free.fr


"ÉNERGIE LIBRE ET TECHNOLOGIES" de Jeane Manning
(Dernier trimestre 2001, Louise Courteau Éditrice)

Le monde se trouve aujourd’hui dans une quête assidue de nouveaux moyens de productions d’énergie qui respectent l’environnement. Ce livre, paru fin 2001, a été écrit dans ce cadre, et présente des inventeurs qui sont convaincus que nous sommes entourés d’une mer d’énergie, sur laquelle nous pourrons nous brancher. J’ai choisi ce livre car il aborde largement la notion d’énergie du vide, appelée énergie libre, que nous avons détaillée dans l’exposé.

Jeane Manning est une journaliste indépendante qui depuis 1981, voyage à travers l’Amérique du Nord et l’Europe, pour rendre compte des technologies en nouvelle énergie. Ses articles et ses essais ont été publiés dans de nombreuses revues spécialisées.

Le livre commence par présenter les fondements de la nouvelle énergie. L’historique de la nouvelle énergie est retracée et sont présentés les personnes du passé qui ont été en avance sur leur temps dans leurs travaux. Nikola Tesla est même considéré comme le père de l’énergie libre.

La deuxième partie analyse de plus près l’énergie de l’espace, la physique sous-jacente et se penche sur quelques inventeurs qui ont réussi à la capter. De nombreuses machines et procédés sont présentés en expliqués en termes techniques.

La partie suivante explorent les autres technologies en nouvelles énergies, comme la fusion froide et la technologie thermique. Il est présentés des nouveaux moyens de productions d’énergie : l’énergie hydraulique, énergie solaire, énergie thermique. Mais les procédés qui mettent en jeu ces énergies plus conventionnels sont tout aussi révolutionnaires.

Pour finir, l’auteur traite des problèmes et des avantages liés au développement des nouvelles énergies. Il s’interroge comment la société pourrait passer d’une économie basée sur les énergies fossiles à une économie basée sur les nouvelles énergies. Les scientifiques et les inventeurs rencontrent des obstacles, essentiellement des harcèlements, concernant la mise sur le marché de leurs inventions. Le pouvoir de voir un jour apparaître sur le marché des machines à énergie libre est entre nos mains.

Telle est la première phrase de la préface écrite par Dr Brian O’Leary, physicien et ancien astronome : « ceci pourrait être l’un des livres les plus importants que vous ayez jamais lus ». Il va sans dire que ce livre présente des informations hors du commun et on ne peut qu’être affecté.

Ce livre est un hommage à tous les inventeurs et scientifiques qui furent les pionniers sur la scène des énergies nouvelles. Ces énergies sont infinies et en harmonie avec la nature. Il retrace la vie de nombreux inventeurs qui se sont dévoués pleinement à la recherche de ces nouveaux équipements, sacrifiant presque leurs vie pour la science.

Ils ont été victimes d’harcèlements et certains trouvèrent même la mort. Il est absolument nécessaire que ces informations parviennent au grand public pour que tout le monde sache ce qu’il se passe réellement concernant le secteur des nouvelles énergies. Le «Syndrome de la Répression » s’infiltre dans chaque aspect de tout développement révolutionnaire. Il faut mettre au courant le grand public au sujet de l’existence de tels moyens de production et œuvré pour la mise en place d’une économie basée sur les nouvelles énergies.

Je fus aussi très étonné de voir que tant d’inventions qui sont en harmonie avec la nature ont été construites et fonctionnent sans que personne n’en ait jamais pris connaissance. Ces informations si précieuses ont bien été gardées du grand public. La possibilité d’une indépendance totale vis à vis de l’énergie n’est pas une utopie.

Si tout le monde prenait la peine de s’informer et de prendre conscience des informations qui sont évoquées dans ce livre, la société pourrait subir des bouleversements sans précédant.

LA GUERRE DES ONDES
Sciences et vie n°1009 - octobre 2001


L’article traite de l’utilisation des ondes dans un domaine militaire. Ces armes « du futur » sont à énergie dirigée, elles envoient des ondes électromagnétiques dans une direction précise. Elles neutralisent l’ennemi, matériellement ou humainement, sans détruire la zone visée. Ces armes se classent selon la fréquence du rayonnement.

Les armes à basses ou très basses fréquence SLF et ELF (Super [30-300Hz] ou Extremely [0-30Hz] Low Frequencies) sont produites grâce à de grandes antennes semblables aux relais hertziens. Elles sont non-ionisantes, elles ne peuvent pas créer de dommages cellulaires. Les études montrent cependant qu’elles engendrent des troubles cérébraux (interaction avec la mémoire, altération des réflexes et des mouvements volontaires, contrôle des émotions , troubles cardiaques) car elles ont des fréquences proches de celles du cerveau ; elles ont été utilisées notamment en 1962 : le « Signal de Moscou ». Elles ne créent pas de dégâts matériels.

Les armes à micro-ondes (3.1010-3.1013Hz soit une longueur d’onde de 10-6m à 1cm) sont ionisantes : elles détruisent les tissus et chauffent les molécules d’eau (principe du four). Elles sont redoutables et peuvent atteindre, par l’intermédiaire de gigantesques antennes ou de compresseurs de flux terrestres (une explosion ou une puissante source d’énergie créent un fort courant dans une bobine de cuivre, ce qui induit une impulsion électromagnétique), transportés par missile ou dans l’espace (« Guerre des Etoiles »), une puissance de quelques milliers de milliards de Watts, ce qui équivaut à l’explosion d’une bombe à Hydrogène (le rayonnement n’a pas la même fréquence mais les effets se ressemblent). Sous une telle intensité de micro-ondes, les êtres vivants cuisent littéralement et tout le matériel électronique et informatique est instantanément détruit dans un très large périmètre. Cela ressemble à une explosion nucléaire sans le souffle ni la radioactivité (les émissions électromagnétiques occupent une place importante dans la dévastation d’une bombe H). Ces armes terribles ont déjà été utilisées par les Soviétiques contre les rebelles Afghans en 1984 et par les Américains pendant l’opération Tempête du désert de la Guerre du Golfe contre les systèmes de défense antiaériens et les postes de commandement irakiens.

Il existe aussi les ondes à hautes fréquences, que les USA étudient dans le cadre du projet HAARP. Ces ondes peuvent modifier localement l’ionosphère, et neutraliser radar et radio qui l’utilisent comme réflecteur ; elles pourraient aussi influencer le climat et devenir de terribles armes climatiques.

On peut se demander pourquoi l’existence des armes électromagnétiques, ayant des effets aussi importants que dangereux, est aussi peu divulgué, que se soit par les militaires ou les scientifiques. Les ondes, invisibles, difficilement détectables, passent pratiquement inaperçues dans la panoplie des militaires, alors qu’elles sont peut-être encore plus destructrices que les armes que le 20ème siècle a apportées : contrôle des personnes (basses fréquences), mêmes effets que la bombe atomique sans explosion (micro-ondes), contrôle climatique.

Il est étonnant de voir que les avis des scientifiques sur les effets des ondes basses fréquences sur l’homme soient partagés alors que les militaires les utilisent depuis longtemps (Signal de Moscou : 1962). Les compresseurs de flux et leurs micro-ondes sont opérationnels (Guerre du Golfe : 1991) et pourtant peu de monde semblent s’intéresser à leurs effets dévastateurs. L’article parle d’un « épais silence » autour de ces recherches, cela rejoint l’idée que les forces armées et les gouvernements cherchent à camoufler ces armes qui peuvent faire agir les personnes contre leur volonté, ce qui est contraire aux Droits de l’Homme, ou avoir des conséquences terribles sans que l’on puisse forcément en connaître l’origine (compresseurs de flux). Ces armes électromagnétiques ont des enjeux militaires, stratégiques et opérationnels considérables, et les gouvernements se gardent bien d’en divulguer la connaissance.

Cette idée rejoint la thèse implicite soutenue dans notre dossier . Certaines découvertes ou inventions, certains faits, sont cachées aux yeux du public pour des enjeux militaires, économiques ou politiques. Cela apparaît quand on relève les incohérences dans les informations qu’on (ce « on » reste à définir) nous donne, par exemple pour les sujets suivants : énergie, assassinat de Kennedy, Tesla, attentat du World Trade Center, extraterrestres…

Conclusion Générale...

Cet exposé, durant sa réalisation, nous a beaucoup fait réfléchir sur le rapport entre la science et le monde moderne.

Ainsi Nikola Tesla, qui a fait nombre de découvertes, et qui de son temps (au début du siècle) était l’un des scientifiques les plus reconnus, est passé dans l’oubli et n’est même pas mentionné dans les livres scientifiques ou les manuels scolaires. Les traces écrites parlant de lui sont rares, très peu de livres parlent de lui, et de façon succincte. Par contre, les sites Internet foisonnent sur lui en le présentant comme l’inventeur d’une machine permettant de créer de l’énergie à partir du vide : la machine à énergie libre. D’après ces personnes, plusieurs machines de ce type auraient été construites et fonctionneraient, cependant elles affirment que les lobbies pétroliers et certaines institutions cherchent à cacher depuis longtemps cette invention qui permettrait d’obtenir de l’énergie gratuite et à volonté. L’une des hypothèses expliquant l’oubli de Tesla serait donc ce « complot » contre la connaissance de cette invention, formidable si elle existe réellement.

L’absence de documents a été un obstacle à la réalisation de notre dossier, mais à force de recherches, notamment sur Internet, nous avons réussi à trouver certaines informations. La difficulté a aussi été de rester objectifs devant certains sites qui parlaient un peu trop vite peut-être de « complot ». Ce qui est sûr, c’est qu’il a énormément œuvré dans l’avancé technologique de notre siècle, soit par ses inventions (courant alternatif, radiocommunication,…), soit par les principes qu’il a posés et qui ont permis à d’autre de faire avancer la science (principe du radar,…).

Nous continuons nos recherches pour peut-être comprendre un jour un peu mieux son œuvre.

Nous espérons que cet exposé intriguera suffisamment pour que certaines personnes aient la curiosité de voir par eux-mêmes que quelque chose n’est pas très clair autour de Nikola Tesla.

Sources
http://cerfbleu.free.fr/serieux/tesla/exposeweb.htm

17 juillet 2016

Medecine informationelle scalaire de Nicolas Tesla utilisée par les élites

Medecine informationelle scalaire de nicolas tesla medecine secrète

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Correcteur d'Etat Fonctionnel (CEF) Russie, Santé (plaques De Koltsov, Dispositif Magnétique Homéopatique)

Correcteur d'Etat Fonctionnel (CEF)

La médecine informationnelle,

 

La médecine informationnelle est pratiquée depuis
une vingtaine d’années dans le monde entier. C’est une nouvelle
compréhension des processus de guérison chez l’homme. C’est une toute
nouvelle orientation de la science : des vertus médicinales, issues de
notre environnement, sont transmises à notre organisme par des
vibrations (des informations, enregistrées sur un petit support
magnétique de poche). Il s’agit du Correcteur d'Etat Fonctionnel (CEF), l’invention sans équivalent de Sergueï Koltsov.


CEF ouvert

La plaque de Koltsov, appelée encore clef de Koltsov,
est un dispositif magnétique de la taille d’un téléphone portable,
constitué de quatre fines plaques superposées, fabriquées en résine
magnétique de haute qualité, protégées à l’extérieur par un boitier en
plastique. La plaque de Koltsov a une particularité : elle n’a pas
d’alimentation électrique et puise l’énergie dans son environnement. Ses propres rayonnements sont si faibles sur le plan énergétique que l’on peut la qualifier à juste titre d’un dispositif magnétique homéopathique.

 

La médecine informationnelle n’attaque pas
l’organisme avec des substances étrangères. Elle apporte à notre corps
l’information qui normalise la structure du sang, de la lymphe et de
tous les liquides de l’organisme en général. Par conséquent, l’immunité
augmente, et l’organisme résout lui-même ses problèmes.

C’est la nature elle-même qui a soufflé à l’homme les idées
fondamentales de la médecine informationnelle. Depuis les temps anciens,
les gens ont repéré des endroits sur Terre, où viennent se reposer les
animaux, où les plantes se développent mieux. Après avoir visité ces
endroits, s’y être baignés ou avoir simplement bu de l’eau locale, les
gens reprennent rapidement des forces, les malades se rétablissent, les
femmes infertiles mettent des enfants au monde.

Aujourd’hui, les scientifiques ont trouvé des raisons à ces effets
miraculeux. Ce sont les flux d’énergie et d’information, provenant des
couches profondes de la terre, qui ont une importance capitale. Il
s’avère que la plupart de ces « lieux de force » se trouvent au-dessus
des zones de rupture dans l’écorce terrestre. C’est à travers ces
failles que la terre se débarrasse de l’excédent de son énergie. C’est
pourquoi ces lieux sont d’un niveau énergétique supérieur.

Aujourd’hui, on sait que les objets ramenés des lieux de force
gardent une mémoire de ces endroits et ont les mêmes pouvoirs. Mais ils
ne gardent pas cette information longtemps. Le talisman se décharge
progressivement et perd ses pouvoirs guérisseurs. Les scientifiques se
sont alors interrogés s’il était possible d’élaborer un matériau spécial
qui, tel un CD ou un disque dur, puisse garder cette information de
façon illimitée.

C’est d’abord l’eau qui a été utilisée comme le dispositif de mémoire
universel. L’eau est une substance naturelle d’une très grande capacité
informationnelle. En 1988 déjà, le scientifique français, Jacques
Benveniste, ses recherches en homéopathie à l’appui, avait supposé que
l’eau possédait une mémoire. Cette déclaration était si inattendue que
personne ne l’avait cru.

 

Le rôle de l’eau dans l’organisme humain est inestimable. L’eau est
le premier capteur de l’information provenant de l’environnement. Elle
réagit fortement aux effets extérieurs, en modifiant sa structure. Et
les changements structurels de l’eau véhiculent cette information sur le
plan cellulaire, en agissant de façon positive ou négative sur
l’organisme. Alors que l’eau est la base de notre vie, elle est présente
dans chaque cellule de notre corps et dans l’espace intercellulaire.
L’information, enregistrée et diffusée par l’eau, conditionne l’état de
notre organisme et donc, notre santé et notre longévité.

Ainsi, on peut aisément constituer une mémoire de l’eau.
Mais uniquement une mémoire à court terme. Sous l’influence des
facteurs extérieurs, la construction de l’eau ainsi créée se désagrège
rapidement. Grâce à sa perméabilité à l’information, l’eau est un
excellent intermédiaire, mais en aucun cas un support
d’enregistrement durable. Les rayonnements extérieurs ou le simple fait
de réchauffer l’eau ont pour conséquence d’altérer, voire d’effacer
complètement l’information enregistrée.

Mais les scientifiques ont persévéré, et leurs recherches ont enfin
porté leurs fruits. De nouvelles technologies ont permis de créer un
matériau qui a servi de base à un dispositif étonnant. Ce dispositif est
capable d’enregistrer, de conserver durablement et surtout, de diffuser
en permanence autour de lui l’information dont il est le vecteur, il
s’agit du Correcteur d’Etat Fonctionnel.


Source Wikipédia

Cet appareil a été fondé sur les idées développées par des physiciens
ingénieux du siècle passé : Nicola Tesla, Viktor Schauberger. L’un des
premiers à avoir découvert ces ondes étranges était le grand physicien Nicola Tesla. Il a appelé ces ondes « l’énergie radiante
». Il a découvert que ces ondes (plus tard, on les appellera « ondes
longitudinales » ou « ondes scalaires ») étaient capables de se propager
à une vitesse supérieure à celle de la lumière. Cette découverte était
si différente des visions de la physique traditionnelle, que les
scientifiques ont préféré la taire.

On a compris que l’échange d’information au sein de tous les systèmes vivants se faisait à l’aide des ondes scalaires.
C’est sur ces fréquences que communiquent nos cellules, et le principal
résonateur au sein de ces cellules n’est rien d’autre que la double
spirale ADN. Aujourd’hui, la connaissance des ondes scalaires et du
champ magnétique scalaire ainsi que leur usage dans la médecine
informationnelle deviennent progressivement l’apanage du monde
scientifique.

Des recherches ont montré que les champs de masse volumique qui se
créent autour de la plaque de Koltsov, ont une propriété étonnante. Ils
aident à contrebalancer les effets des champs géo-pathogènes extérieurs
de source naturelle et technologique et synchronisent les rythmes du corps humain avec les rythmes du champ magnétique terrestre et du rayonnement cosmique

Ce qui différencie surtout le Correcteur d’Etat Fonctionnel des
appareils physio-thérapeutiques, c’est qu’il agit sur l’être humain non
pas par la force mais avec de la simple information. En
effet, l’action de cet appareil n’est pas aussi directe et rapide que
celle des appareils physio-thérapeutiques, mais plutôt délicate et
prolongée, proche du naturel. C’est pourquoi il ne perturbe pas, mais
rééquilibre le fonctionnement de l’organisme.
On a appris à enregistrer sur le CEF des images complexes, copiées
sur des plantes médicinales, des minéraux ou des sources d’eau aux
vertus curatives. C’est la raison pour laquelle le CEF a un effet
bénéfique sur l’organisme humain. Ces informations sont transmises à
notre organisme par des vibrations au niveau cellulaire. Ce n’est pas un
placébo, et cela se vérifie par toute forme de diagnose ou de recherche
médicale

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