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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
energie libre
17 juillet 2016

Le moteur Heiss à énergie libre, permet de fabriquer du courant ou que vous soyez (vidéo)

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Le moteur Heiss est un moteur à énergie libre, il vous permet de fabriquer du courant ou que vous soyez. Ce tutoriel vous montre comment fabriquer de l’électricité avec du matériel de recyclage.

Je le répète, n’achetez rien, tout se recycle. Le meilleur fournisseur pour le moteur Heiss, c’est la récup’. Des moteurs Heiss vous en trouverez plein dans les poubelles. Sa pollue, moi je fait de l’électricité avec…

 

Le moteur Heiss, energie libre electricité gratuite par magnetisme

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16 juillet 2016

Les formes pensées sont de l'énergie quantique psychique

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Les anciens reconnaissaient l’idée que chaque être humain génère inconsciemment des énergies psychiques. Les écoles ésotériques du XIXe siècle donnèrent le nom de “formes-pensées” à ces énergies produites par la psyché. Selon elles, les formes-pensées sont le produit de désirs puissants qui peuvent se détacher totalement de leur auteur pour accomplir ce pourquoi elles ont été produites. Dans certains cas, lorsqu’elles sont suffisamment puissantes, les formes-pensées peuvent entrer en résonance avec d’autres individus, perpétuant leur durée de vie. Sigmund Freud a reconnu cette possibilité sans véritablement la nommer. Selon lui, “une attention uniformément flottante” permettait de capter l’inconscient du patient avec son propre inconscient.


C.G. Jung

L’hypothèse des formes-pensées rejoint également la définition des archétypes de C.G. Jung qui considère que l’être humain est géré par une énergie appelée “libido” (instinct de survie, sexualité, etc.). Cette énergie interagit avec la psyché produisant des symboles que Jung appelle “archétypes”. Tout comme les formes-pensées, les archétypes sont autonomes et peuvent entrer en résonance avec la conscience humaine. [...] Jung observa ce phénomène par l’étude des rêves alors que les écoles ésotéristes (plus particulièrement celle d’Annie Besant et du Révérend Leadbeater) par l’utilisation de la clairvoyance. Par Écoute Imaginaire, il est possible de les observer sous la forme de symboles visuels, auditifs ou kinesthésiques. Le décodage de ces symboles par Écoute Imaginaire permet de comprendre la représentation de la réalité que la personne s’est construite tout au long de sa vie. Il est intéressant de noter que certaines recherches scientifiques proposent l’idée que des énergies psychiques sont émises par des individus. F. Cazzamalli, professeur de neuropsychiatrie à l’université de Modène en Italie, l’a démontré dans les années 1920 :

“… les activités mentales sont à la base d’émissions électromagnétiques captables à distance. Ces émissions sont particulièrement intenses lors de tensions émotionnelles importantes et peuvent par contre ne plus être captées par l’appareil lorsque le sujet se calme148.”

Annie Besant

Annie Besant

Il est possible d’émettre l’idée que ces émissions électromagnétiques sont en fait l’expression, à un niveau électrique, des énergies psychiques pouvant être captées et décodées par notre support imaginaire. Les travaux du docteur Léonard Ravitz de l’université William and Mary permettent d’aller plus loin. Celui-ci démontra en 1959 que les changements du champ d’énergie d’une personne sont liés à son état mental et à sa stabilité psychologique. Il émit l’hypothèse qu’il existe un champ associé au processus de la pensée dont les perturbations se manifestent par des symptômes psychologiques. [...] Ainsi lorsqu’un individu émet des énergies psychiques qui ne sont pas en harmonie avec lui, celles-ci peuvent perturber la qualité énergétique de son champ biolumineux et à la longue, sa santé physique. On rejoint ici la vieille idée que la psyché influence le corps.

Concrètement, ça donne quoi ?

Une forme-pensée est la programmation d’une pensée ou d’une idée que l’on transmet ou dispose dans un emplacement spatio-temporel spécifique, afin de pouvoir créer un effet de pensée/idée à son contact. Pour mieux comprendre, prenons un exemple : vous êtes dans une librairie, et vous voyez un livre qui vous intéresse, seulement, vous n’avez ni argent ni papier et crayon sur vous pour l’acheter ou vous en rappeler. Comment faire pour ne pas oublier ? Vous allez créer une forme-pensée qui vous le rappellera dès que vous reviendrez chez vous ! Ainsi, dès que vous arriverez chez vous, vous allez recevoir le contenu de cette forme-pensée et vous allez pouvoir commander ce livre par internet.

Donc voilà pour la description, maintenant, voyons en les applications et comment ça fonctionne.

Comment en créer ?

Pour faire une forme-pensée, il n’y a rien de bien difficile. Au début, il vous faudra un peu de concentration et de volonté. A force de réussir, vous finirez par n’avoir besoin plus que de quelques secondes de concentration. Et puis c’est très pratique, donc n’hésitez pas à investir un peu de votre temps pour vous y entrainer.
Nous allons prendre le cas décrit dans l’introduction pour étudier comment faire, ainsi vous aurez directement un cas pratique.

Vous êtes donc dans une librairie, vous avez trouvé un livre qui vous intéressait, et vous voulez vous en rappeler. Pour l’exemple, le livre en question sera “Time Machine”, de H.G. Wells. Donc, la première chose à faire, c’est se concentrer. Il faut avoir l’esprit totalement disponible pour espérer réussir. Faites donc rapidement le vide, et maintenant, pensez à l’endroit spatio-temporel auquel vous voulez affecter la forme-pensée. Par spatio-temporel, j’entends vraiment spatial et temporel. Pourquoi ? Parce que vous allez pouvoir programmer votre forme-pensée sur la durée, ou la faire apparaître à un moment précis. Vous pouvez très bien décider par facilité de programmer la pensée “de maintenant” jusqu’à ce que vous la trouviez, mais vous pouvez aussi la programmer pour n’apparaître que dans 2 jours ou une semaine si vous savez que vous ne pourrez pas utiliser correctement cette forme-pensée avant.

Dans notre exemple, nous allons programmer la pensée pour qu’elle soit disposée devant l’ordinateur, et qu’elle arrive au moment où l’on sera sur internet.

Vous êtes donc concentrés, vous savez où et quand vous voulez envoyer cette pensée, et vous savez ce que vous voulez y inclure. Vous voilà prêt ! La procédure maintenant, va être d’imaginer une forme, soit quelconque, soit d’une sphère ou n’importe quoi, et de l’imaginer à l’endroit où vous voulez qu’elle soit. Ensuite, pour l’emplacement temporel, dans mon cas ce sera par rapport à des conditions, donc je vais les établir mentalement (en y pensant tout simplement) :  “cette  ne sera disponible devant mon ordinateur qu’au moment où je pourrais aller sur internet.”
Pensez-le clairement, soyez assurés de ce que vous dites, et il n’y a aucune raison pour que ça fonctionne pas 

Une fois que vous avez défini l’emplacement, définissez le contenu : “Me rappeler de commander “Time Machine” de H.G. Wells sur internet”.
Ensuite, vous pouvez le répéter une nouvelle fois si vous voulez ancrer un peu plus la forme-pensée, mais si vous êtes sûrs de vous, ça doit déjà être bon.

Maintenant, vous pouvez retourner à vos occupations et oublier ce livre. Quand vous rentrerez chez vous, au moment où vous serez sur internet, cette pensée vous reviendra subitement à l’esprit, et vous pourrez ainsi penser à commander ce livre.

Pour toutes les autres programmations, la base sera la même, vous n’aurez qu’à changer vos pensées pour les adapter à ce que vous voulez faire passer dans la forme-pensée. Si vous voulez rendre la forme-pensée accessible à d’autres personnes que vous, il vous suffit au moment de la programmation de définir qui pourra y avoir accès. Là, deux choix : soit vous nommez directement les personnes, soit vous désignez un groupe potentiel. Par exemple, “toutes les personnes qui passeront ici ne regarderont pas ce tag sur le mur”.

Donc voilà pour le comment, maintenant allons voir un peu du côté du pourquoi.

Pourquoi les utiliser ?

Les applications des formes-pensées sont assez vastes, mais il est à peu près certain que la plus grande utilité restera le bloc notes par pensées.

L’avantage, c’est qu’étant immatériel, il peut contenir beaucoup de choses, et des choses que vous n’avez pas forcément envie que d’autres puissent connaître. Et donc si vous avez peur de noter quelque chose parce que vous pensez que quelqu’un pourra le voir, une petite forme-pensée règlera le problème.

Par contre, n’allez pas trop vite dans le compliqué. Entrainez-vous tout d’abord sur des formes-pensées simples, histoire de vous familiariser avec la programmation de pensées. Une fois que vous maitriserez bien, vous pourrez passer à plus complexe.

çà c'est la version de supermarché  et le mensonge raccoleur nuageux ,les formes pensées ont toujours étaient utilisés pour tout autre chose ,

egregore

Les formes-pensées peuvent se manifester, selon la nature de la volonté qui les a engendrées, sous une diversité de formes. Sous la forme d’images oniriques que vous percevez généralement pendant le sommeil.

En effet, pendant le sommeil, dans les mondes intérieurs, sur le plan de matière subtile, l’âme perçoit ces formes. Ce sont parfois les formes engendrées par vos propres pensées dans la journée…

Ce sont quelquefois aussi les matérialisations des intentions d’autrui à votre égard. Les formes-pensées engendrées par des gens qui en veulent à votre bonheur dans l’entourage familial, professionnel, social…

Ce sont peut-être aussi les répercussions de votre propre vouloir: les répercussions de vos pensées, de vos paroles, de vos actes, de vos œuvres quotidiennes.

Ce sont peut-être enfin les évènements devant se produire dans votre vie, dans un avenir proche ou lointain; ou des réponses à vos prières ou à vos requêtes.

L’activité et l’influence occulte des formes-pensées

Les formes-pensées  sont de matière subtile. Elles transcendent les barrières de l’espace et du temps. Elles constituent l’un des vecteurs de l’influence à distance et la pierre de soutènement de la magie blanche et de la magie noire.

Lorsque vous regardez, admirez ou enviez quelqu’un. Lorsque vous avez des échanges amicaux et inamicaux avec une connaissance, un(e) ami(e), un adversaire. Lorsque vous pensez à une personne. Dans tous ces cas vos pensées se matérialisent immédiatement en formes-pensées. Qui se dirigent vers la personne. Et qui se fixent à elle.

Et inversement vous êtes aussi la victime inconsciente de milliers de formes-pensées engendrées par l’entourage familial, professionnel, social. Ces formes-pensées souillent votre corps astral.

Elles empêchent votre étoile de briller de mille feux. Elles peuvent aussi malheureusement, à la longue, attirer le mal, la malchance et le malheur dans votre vie.

Tout d’abord, les formes-pensées fixées au corps astral attirent des formes-pensées de même nature éparses dans l’univers engendrées par les milliards d’hommes et de femmes sur la surface de la Terre.

Elles s’accumulent et se condensent sans cesse en vertu de la loi d’attraction des affinités. Et elles influencent la personne regardée, admirée, enviée…

Ensuite des pensées similaires aux formes-pensées dirigées, projetées montent en cette personne. Faiblement dans un premier temps. Et dans un second temps avec force. Elles influencent les décisions, les jugements et les actes de cette personne.

Enfin, si rien n’est fait pour leur élimination, par suite de leur condensation, les formes-pensées peuvent se matérialiser en un précipité de matière dense. Elles obligent alors la victime à vivre jusqu’à la lie la forme engendrée: le divorce, la stérilité, l’échec scolaire…

Tel est le processus de l’envoûtement. Comment vous désenvoûter? Purifiez périodiquement votre corps astral des formes malveillantes et malfaisantes qui souillent votre corps subtil. Utilisez les plantes de désenvoûtement. Renseignez-vous aussi auprès des vendeuses de plantes médicinales…

La magie blanche et la magie noire

Les pensées se matérialisent, conformément à leur genre, en formes-pensées positives ou en formes-pensées négatives.

Les formes-pensées négatives se matérialisent, à leur tour, en évènements conformes à leur nature: maladies; accidents; malchance; déboires; perte de l’emploi….

Toutes les personnes, hommes, femmes, qui émettent des pensées négatives engendrant des formes-pensées négatives, malveillantes et provoquant le mal, font, ipso facto, sans le savoir, de la magie noire.

Par contre les personnes engendrant des formes-pensées positives et des évènements heureux font, sans le vouloir et sans le savoir, de la magie blanche.

La magie est l’art d’agir sur les êtres, les choses et les évènements avec efficacité par la parole, le geste, l’image, la pensée ou le recours aux forces naturelles.

Surveillez vos pensées

La création est pénétrée, interpénétrée, maintenue, soutenue et animée par la force de Dieu. La force divine qui flue partout depuis le Temple de Dieu, situé à l’extrême limite de la sphère divine, jusqu’aux confins inférieurs de l’univers comporte trois forces fondamentales: la force divine, la force spirituelle  et la force essentielle, deux gradations inférieures de la force divine.

Par votre origine spirituelle, vous êtes relié, par votre vouloir intuitif, étincelle de la force divine, à la force spirituelle que vous mettez en mouvement, dirigez par vos pensées et avec laquelle vous engendrez des formes-pensées, positives et négatives.

Vous devenez, ipso facto, par votre vouloir,  des anges de Lumière ou des ténèbres et des suppôts du diable.

Pour toutes ces raisons surveillez vos pensées. Pensez positivement. Remplacez vos pensées négatives par des pensées positives correspondantes chaque fois que celles-ci vous assaillent et vous perturbent.

Car toutes vos pensées retombent sur vous-même, en bien ou en mal en vertu de la loi.

« Quiconque est à l’origine d’une forme se trouve lié à l’oeuvre qu’il a créée, même s’il l’a destinée à autrui et il provoque par cette liaison le retour des radiations. » (2) Tenez-en compte.

(1) Abd- Ru-Shin. Dans la Lumière de la Vérité. Message du Graal. Tome 2 conférence 15 Page 82

(2) Abd-Ru-Shin. Dans la Lumière de la Vérité. Message du Graal. Tome2 conférence 2 Page 14

Si vous avez votre troisième oeil ouvert ,alors toute forme d'énergie que vous croiserait se matérialisera non plus dans le reve mais éveillé et la première fois si vous etes avec une personne réceptive ,vous lui ferez la peur de sa vie, ces formes pensées une fois activée vous allez en baver pour comprendre qu' elles ne sont pas réelles dans votre dimension à vous et vous croirez à une manifestation surnaturelle , il vous faudra emmettre la pensée " ce n'est pas réelle c'est une illusion avec une ferme conviction ,cette onde scalaire detruira et annulera l'effet de la forme pensée parasite ,ce n'est pas à la porté du premier venu, et je déconseille de jouer avec ces énérgies car de vraies entités peuvent s'en servir de diversion pour vous envahir et vous destabiliser si elle perçoive votre faiblesse ou interet  dans ces phenomènes , vous tomberez dans une grande paranoia cauchemardesque et hp direct , on se jette pas dans le vide sans parachute et ce parachute se construit doucement avec l'evolution de votre conscience et de vos connaissances , on brule pas les étapes  on monte pas sur un ring avec un champion du monde après 3 cours de boxe soyez modeste et méfiant . Rusty james.

Sources

11 avril 2016

tous les travaux sur L'Energie libre : L’énergie électromagnétique contenue dans l’espace et dans la matière.

SPREAD THE LIGHT

Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous verrons dans cet article que les laboratoires du monde entier commence à exploiter cette fameuse énergie. Certains éminents physiciens théoriques commencent à comprendre pourquoi et comment cela est possible. Plusieurs entreprises en sont au stade d’un début de mise sur le marché de ces dispositifs viables qui produisent nettement plus d’énergie que ce qui est nécessaire pour les faire fonctionner…


« Encore quelques générations qui passent, et nos machines seront conduites par la force obtenue à n’importe quel point dans l’univers… C’est une simple question de temps et les hommes réussiront à connecter leurs machines aux rouages mêmes de la nature. » – Nikola Tesla

En effet, il a été démontré que le vide contient une énorme quantité d’énergie, proche du zéro absolu (le point zéro), une énergie utilisable en abondance :

L’énergie libre, ou énergie du vide (éther).


C’est une source d’énergie renouvelable disponible gratuitement appelée aussi « énergie du point zéro ». C’est l’énergie électromagnétique contenue dans la trame de l’Univers. Elle est présente dans l’espace et dans la matière.

L’énergie libre occupe tout le « vide » qui nous entoure. L’énergie libre représente un paradoxe pour la science contemporaine : ou il existe dans l’univers une force gravitationnelle supérieure aux masses répertoriées, ou il y a une énergie invisible libre qui subirait l’effet d’une pression que l’on pourrait appeler cosmique. La physique quantique tend aujourd’hui à démontrer que chaque mètre cube d’espace autour de nous contiendrait une quantité phénoménale de cette énergie. À ce jour, toutes les techniques qui nous ont été rapportées pour la capter font appel à un principe de déséquilibre temporaire de la structure des ondes électromagnétiques, causant ainsi une transmutation matière/énergie et/ou transfert énergie/énergie…

Les recherches révèlent que cette source d’énergie peut être partiellement convertie en énergie utilisable. Celle-ci serait illimitée et non polluante, et tout comme le vent et le soleil, son utilisation serait gratuite.

Imaginez-vous que cela existe depuis 20 ans: en avez-vous déjà entendu parler? Non, puisque au contraire tout est fait pour enterrer la question.

Il existe beaucoup d’inventeurs indépendants qui ont construit des machines à énergie libre et dont les résultats ont été publiés au grand jour et vérifiés

( à qui nous allons rendre hommage ci-dessous ),

mais comme la communauté scientifique ne comprend pas les principes théoriques sur lesquels reposent ces inventions, elle en ignore tout simplement l’existence. Ainsi, tout va bien.

Et le commun des mortels de se dire : si ça existait, on en aurait entendu parler. Posons alors la question : qui vous en aurait parlé ?

Alors voilà :

Les machines à énergie libre constituent certainement les preuves tangibles de l’existence d’une forme d’énergie totalement ignorée du monde des sciences. Ce sont des machines qui transforment une certaine forme d’énergie non répertoriée par la science moderne, en énergie mécanique bien tangible. Ces machines produisent plus d’énergie qu’elles n’en consomment. N’en déplaise à quelques physiciens, cela ne viole pas le sacro-saint principe de conservation de l’énergie car la machine ne crée pas quelque chose qui n’existait pas auparavant, mais elle transforme quelque chose que l’on ne sait pas détecter en quelque chose d’utilisable.

La physique quantique nous a montré que beaucoup de lois physiques qui semblent figées et inflexibles sont en fait violées. Par exemple on découvre que l’univers est constitué de plusieurs dimensions, les particules de matière existent simultanément à plusieurs endroits de l’univers et il est possible de téléporter de la matière à travers de la matière ou de l’information à travers l’univers instantanément…

Ainsi le vide de l’univers est rempli d’énergie quantique en des proportions astronomiques et toutes ces informations ne font que donner du crédit aux machines à énergie libre et leur existence réelle.

Si on arrive, en polarisant légèrement ce vide par des phénomènes encore mal expliqués mais basés sur l’électromagnétisme, à récupérer un peu de cette énergie, les machines qui en sont injectées fournissent plus d’énergie qu’elles n’en consomment, elles ne font que « pomper » l’énergie là où elle est …et c’est la nature, présente partout, qui alimente l’énergie du vide.

L’appareil de Tesla destiné à capter l’énergie radiante du milieu naturel est décrit dans les brevets US N°685.957 et 685.958.


Depuis l’époque de Nikola Tesla, le public a généralement eu des difficultés à accéder à l’information sur ces transformations d’énergie.

Mais petit à petit ces appareils qui utilisent cette matière pour l’énergie sont maintenant acceptés dans les demandes de brevet, et sont d’ailleurs loin d’être considérés comme impossibles à réaliser par les cartels de l’énergie qui prennent très au sérieux la difficile tâche de désinformer à ce propos…

Et ces découvertes ne peuvent se faire qu’avec un effondrement des lois de la  physique telles que nous les connaissons depuis trois siècles.

La planète est dans une véritable impasse énergétique car les réserves de pétrole diminuent rapidement et nous allons tout droit vers des guerres du pétrole qui laisseront peu d’espoir à l’humanité compte tenu des milliers de têtes nucléaires qui seront inévitablement utilisées.

Nous n’avons pas d’autre espoir pour la survie de l’humanité que de développer de nouvelles technologies productrices d’énergie libre de façon à résoudre cette urgence énergétique, qui est aussi une urgence écologique, car la combustion des réserves fossiles de pétrole, charbon et de gaz, pollueront inexorablement la planète jusqu’à un point de non-retour.

Mais le scepticisme scientifique combiné à des plaintes pour harcèlement par les inventeurs, (corruption/rachat de brevets, menaces allant jusqu’à la disparition ou la mort d’inventeurs dans des circonstances troublantes…) rend très difficile que des dispositifs à énergie libre puissent retenir l’attention du grand public ou qu’ils soient évalués pour une production commerciale et de distribution. Pourtant une longue lignée d’inventeurs est apparue pour proposer de telles machines à  rendement surunitaire, l’expression surunitaire est la traduction du terme anglais overunity. Le mot désigne un système dont le niveau d’énergie augmente, sans aucune source externe définie, une idée que la science rejette depuis plus d’un siècle au moins.

Les principales pierres d’achoppement ont été la pensée scientifique rigide concernant la violation des lois de conservation de l’énergie, et de puissants intérêts pétroliers de l’énergie opposés à ce que des machines à énergie libre soient sérieusement étudiées.

Malgré tout, une longue succession de ces moteurs à énergie libre ont été développés, et ces faits doivent être diffusés, en raison de leur importance et de leurs conséquences multiples.

Il s’agit en effet d’offrir à notre civilisation la possibilité d’utiliser une nouvelle source naturelle d’énergie inépuisable, et sans effets nuisible sur l’environnement :

Déjà dans les années 1830,  Michel Faraday fit la démonstration que l’on pouvait générer une puissance électrique en faisant tourner un disque de cuivre adéquatement connecté dans un champ magnétique, sans qu’il n’y ait proportionnellement une puissance requise à l’axe du disque.

Mais d’où provient ce gain d’énergie ?

Hé bien c’est un nouveau chapitre de la physique qui s’est progressivement ouvert.

Mais la plupart de ces travaux  n’ont pas pu être abordés comme ceux des chercheurs subventionnés par des organismes institutionnels, comme le CNRS, le CERN, etc…

Ces chercheurs là étant financés par des fonds publics, ont à rendre des comptes pour justifier de leurs ressources et des budgets alloués à leurs équipes chaque année. Mais les travaux entrepris sur l’énergie libre, la plupart du temps, n’ont à rendre de comptes à personne, les moyens expérimentaux et le coût des demandes de brevets sont souvent assumés par les chercheurs sans aucune intervention extérieure d’aucune sorte, la liberté est donc totale et les choix n’engagent qu’eux-mêmes.

Et cette liste des inventeurs de moteurs électromagnétique à énergie libre, gratuite et non polluante, est une liste qui paraît longue mais qui est pourtant présentée de façon très succinte ci-dessous :

Viktor Schauberger


Les procédés par lesquels la Nature produit de l’énergie sont silencieux, mais ont intrinsèquement un rendement beaucoup plus élevé que nos technologies mécanistes, comme Viktor Schauberger (né le 30 juin 1885 et décédé le 25 septembre 1958) devait le prouver avec ses machines à implosion, d’une puissance prodigieuse. Cette technologie n’émet pas de déchets, ne pollue pas, et ne provoque pas de réchauffement planétaire ou autres dégâts nuisibles aux fragiles écosystèmes terrestres. Il inventa maints générateurs qui fournissaient une puissance de sortie largement supérieure à celle qu’ils absorbaient (puissance d’entrée), des moyens de propulsion pour avions, sous-marins et voitures, différents appareils destinés aux habitations, produisant de l’énergie, du froid ou de la chaleur, et d’autres, remarquables, qui transformaient une eau polluée en eau de source de haute qualité. Hélas, les prototypes en état de marche furent détruits à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, et on ne dispose pas de tout leurs plans détaillés.


William Baumgartner


du Nouveau Mexique a construit un générateur à implosion basé sur les travaux de Viktor Schauberger. Les premiers tests de sa turbine à eau montrèrent une surunité : plus d’énergie à la sortie qu’à l’entrée. Baumgartner pense que ce surplus d’énergie provient de l’énergie libre.

Leroy-Hatem

_En mai 1945, après 20 années de recherche, le chercheur et inventeur français Leroy-Hatem a découvert la dualité des énergies magnétiques, il a mis en pratique ses théories en élaborant des mécanismes qui fonctionnent selon les principes qu’il énonce :

- Galaxie magnétique

- Planétarium magnétique avec mouvement orbital

- Tracteur magnétique , etc…

Il est également à l’origine d’un système qui dénonce les erreurs de certains principes erronés (Newton, Bohr). Selon de trop nombreux scientifiques, la science est tellement parfaite que la remettre en cause en serait presque blasphématoire. La science ne devrait pourtant-t-elle pas être en perpétuelle évolution. Ne devrait-t-elle pas s’adapter aux faits et aux nouvelles découvertes ?

Walter Russell


Russell était un artiste, musicien, philosophe et auteur adulé. L’Académie des Sciences américaine le récompensa d’un doctorat honoris causa. Il avait découvert en 1927 des méthodes permettant de produire de l’hydrogène à bon marché. En 1990, Ron Kovac, chercheur en chimie, Toby Grotz, ingénieur en électricité, et Tim Binder, médecin naturopathe ont reproduit les découvertes de Walter Russell. Russell a aussi construit un appareil qu’il a nommé Générateur Optique à Dynamo-Russell, qui captait l’énergie libre. Toby Grotz a entrepris des recherches pour retrouver les plans originaux de cet appareil, et le 10 septembre 1961, cet appareil était opérationnel.

Tony Tyson


Directeur de la recherche en cosmologie sur la matière noire et l’énergie du vide (la matière noire constituant 90% de la masse de l’univers).

Dans le domaine de l’astrophysique, en cartographiant le ciel avec des télescopes, on s’est aperçu qu’à peine 1% de la masse céleste nous était visible, les 99% restants demeurant invisibles. C’est ce que les physiciens appellent la matière sombre. Si l’on enlève les corps denses (que l’on peut répertorier dans un espace donné) tels que les planètes, les astéroïdes et autres corps célestes visibles, on estime qu’il reste encore 90% de la matière dite sombre qui deviendrait identifiable uniquement par son effet sur la déviation de la lumière visible émise par le premier 1%, toujours vue avec le télescope. Cette masse de distribution non uniforme joue le rôle d’une lentille gravitationnelle, créant ainsi une vision astigmate du ciel étoilé. Aujourd’hui, grâce à un support informatique fort complexe, on peut rétablir les vraies positions des astres lumineux et en estimer assez exactement la valeur de la masse sombre dite exotique. Il n’y a aucun doute aujourd’hui, plus de 200 000 galaxies ont été étudiés par différents laboratoires d’astrophysiques à travers le monde et ils en tirent tous les mêmes conclusions :
· Matière sombre classique = 9 %
· Matière lumineuse = 1%
· Matière sombre exotique = 90% ou Énergie Libre.

Ken Shoulders


Le Dr Ken Shoulders a découvert dans les années 1980, « les amas de charge » ou charge clusters, ou Electrum Validum (qui signifie charge intense). En 1991, Shoulders a réussi a faire breveter sa découverte aux Etats-Unis en l’intitulant « Conversion de l’Energie en utilisant une Charge de Haute Densité ». C’est la première fois qu’un brevet dit que l’énergie de l’espace (énergie libre) peut être utilisée comme source d’énergie électrique utilisable.

Joseph Newman


Sa machine a un rendement de 800%. Il a fait vérifier son invention par le bureau des brevets américains, qui a conclu, après avoir envoyé une équipe d’ingénieurs bardés d’instruments de mesures, que sa machine fonctionne exactement comme il l’annoncé (c’est même cette équipe qui a calculé le rendement de 800%), sans aucune supercherie d’aucune sorte, ni source d’énergie cachée. Mais, étant donné qu’il n’existe pas de principes physiques reconnus selon lesquels on peut expliquer le fonctionnement de la machine, ce même bureau des brevets l’a informé qu’il ne pouvait donc pas délivrer de brevets. Point final : question réglée. Imaginez donc de quelle curiosité scientifique ils font donc preuve? Devant l’insistance de l’inventeur qui se bat depuis 18 ans pour faire reconnaître son invention, une commission d’étude composée de physiciens compétents s’est réunie en présence de Mr Newman, mandatée pat les organismes officiels pour désavouer son invention, mais c’est le contraire qui s’est passé. Les scientifiques étaient tellement intéressés par les résultats de Mr Newman ainsi que par son modèle théorique, que la petite réunion d’une heure qu’ils avaient prévue s’est vue durer de nombreuses heures, et beaucoup voulaient trouver des moyens pour creuser la question. Ces conclusions n’étant pas celles qui avaient été espérées par les instigateurs de la réunion, ils ont dé mandaté la commission et ont rédigé leur propre conclusion : sans intérêt. Il émigra au Japon pour continuer ses travaux.


Bruce de Palma


Mr Bruce De Palma, un physicien a conçu une machine à énergie libre. Il s’est vu confisquer son invention par les autorités officielles parce qu’il s’en servait pour alimenter en énergie électrique toute sa maison gratuitement. Interdiction lui a été faite. Il a dû aller lui aussi travailler avec des Japonais, qui travaillent actuellement avec lui à perfectionner un défaut de surchauffe de son moteur à énergie libre, qui ne peut pas fonctionner de manière continue opérationnellement. De Palma s’était aperçu qu’un objet puisait de l’énergie dans l’espace en tournant. Après de nombreuses recherches, il finit par concevoir une machine appelée N-Machine, utilisant des aimants superpuissants pour obtenir de l’électricité. Des tests en 1980 ont montré que le générateur produisait plus d’énergie qu’il n’en consommait.


Thomas Bearden


Tom Bearden, ingénieur en physique nucléaire, lieutenant-colonel à la retraite de l’armée américaine, a à son actif plusieurs publications dans le domaine de l’énergie du point zéro, des potentiels scalaires, de phénomènes exotiques de l’électrodynamique. Il possède aussi plusieurs brevets de machines « over-unity »…


Floyd Sweet


Il inventa un assemblage d’aimants et de Bobines de fils que Thomas Bearden appela Tube Triode Amplificateur du Vide (Vacuum Triode Amplifier = VTA). Cet appareil produisait plus d’énergie qu’il n’en consommait.

Wingate Lambertson


Le Dr Wingate Lambertson, ancien directeur de la Science et Technology Commission du Kentucky, après plus de vingt ans de recherches, est aujourd’hui sûr que l’énergie de l’espace peut être transformée en une source de courant fonctionnelle, grâce à un procédé qu’il a appelé le Monde en Neutrinos (World Into Neutrinos = WIN).

John Hutchinson


Ce scientifique autodidacte, pendant l’hiver qui précéda sa tournée au Japon de 1995, a construit un appareil fonctionnant à l’énergie de l’espace. Son convertisseur était basé sur le principe de résonance de Tesla. Hutchinson capta la même énergie pulsante et rythmée de Tesla en utilisant des cristaux de titanate de baryum. Plus tard, il créa le procédé appelé « Dirt Cheap » (utilisant comme composants de vulgaires pierres).

Bertil Werjefelt


Après s’être rendu compte que les générateurs classiques utilisant des aimants sont confrontés à un problème appelé résistance magnétique, ce conseiller en sécurité dans l’aviation, a amélioré le générateur classique en ajoutant un système tournant qui annule la résistance magnétique en la neutralisant avec les champs de force d’aimants additionnels. Il en résulte que le générateur donne plus de courant avec la même consommation d‘énergie. En 1995, lors d’une conférence, il expliqua que l’enseignement scientifique classique du magnétisme était incomplet depuis le début, et que, la communauté scientifique avait déclaré de manière précipitée qu’il était impossible d’utiliser le magnétisme comme source d’énergie.

Tony Cuthbert


Quelques inventions de Tony Cuthbert :

- boîte de vitesse et système de frein sans embrayage

- turbine : moteur hybride mi moteur mi turbine. Il permettait de propulser un paquebot avec un moteur de la taille d’une voiture Mini.

- séparateur magnétique : récupération de métaux par les aimants liquides.

- accélérateur de pluie.

- technologie de glace sous-marine.

- quelques mécanismes à énergie libre.

Le professeur Laughtar déclare : « un des problèmes de Tony est que certaines de ces inventions sont tellement révolutionnaires qu’elles menacent des technologies existantes. Là se trouve la difficulté lorsqu’il faut convaincre les industries dont il essaye de susciter l’intérêt.

Autres inventions :

*Les ferrofluides, utilisés avec un aimant, permettent :

- moyen de propulsion

- animer un coeur artificiel ou régénérer un coeur

- piste magnétique verticale (permettant de faire grimper un engin à la verticale)

* Moteur gravitationnel

- mécanisme qui capte l’énergie utilisable du champ gravitationnel terrestre

* Machine qui se déplace en plein air, sans propulsion apparente par fusée ni aucune poussée extérieure (contraire à la troisième loi de Newton).

www.cuthbert-physics.com


Erwin Laszlo


Scientifique et philosophe de réputation internationale, possède plusieurs doctorats en science de l’éther et des champs de l’énergie du vide.

Moray B. King


Ingénieur, un des pères fondateurs de la théorie de « l’énergie du point zéro ». Il a écrit plusieurs livres traitant de l’énergie de l’éther.

Harold Puthoff


Auteur de plusieurs ouvrages dont les fondements de l’électronique quantique, également directeur de l’institut des études avancées de Austin (Texas)

Peter Linderman


Reconnu comme un des experts mondiaux dans l’explication du phénomène de l’énergie radiante (une forme d’énergie du vide) telle que décrite par Nikola Tesla et employée par Edwin Gray dans son moteur électrique.

Thomas Francis Vallone


Titulaire de nombreuses maîtrises et doctorats en physique appliquée. A été président du reconnu « Integrity Research Institute » de Washington DC. Chercheur passionné, il a à son actif un nombre impressionnant d’articles et de livres touchant les nouvelles technologies.

Harold Aspden


Ancien directeur (retraité) de brevets pour IBM, a lui-même à son actif plusieurs brevets sur des machines pouvant être « over-unity ». Sur son site, il y a plusieurs publications expliquant la physique derrière certains de ces phénomènes :


Shiuji Inomata


Au japon, Shiuji Inomata, employé depuis trente cinq ans par le gouvernement du Japon, et travaillant aux Laboratoires Electrotechniques à Tsukuba (« La Cité de l’Espace » du Japon) a été autorisé par son gouvernement à créer une machine à énergie libre. Dernièrement, il fit une conférence pour les dirigeants du monde politique et industriel plus de six cents professionnels sont venus assister à son dernier séminaire. La Toshiba Corporation a débloqué deux millions de dollars pour le développement d’aimants supraconducteurs destinés à son nouveau générateur unipolaire.

Paramahamsa Tewari


En Inde, Paramahamsa Tewari, ingénieur directeur de projet dans la plus grande centrale nucléaire en construction, est autorisé lui aussi à concevoir sa machine à énergie libre.

R. Stirling


Le moteur inventé par ce pasteur écossais est très fiable, silencieux et d’un haut rendement. Entre autres utilisation, un sous-marin d’attaque suédois évolue grâce à ce mode de propulsion. Couplé à une parabole réfléchissante, le moteur Stirling permet de produire de l’électricité sans combustible.

John Bedini


Le moteur fonctionnant à l’énergie libre (énergie gratuite) de John Bedini existe depuis plus de quinze ans. Il fonctionne selon les principes de l’électromagnétisme découverts par Nikola Tesla avant 1900 au cours de ses essais à Colorado Springs.


Johann Grander


Il a développé un moteur magnétique ne nécessitant ni batterie, ni connexion au réseau électrique. Le magnétisme naturel des aimants est intensifié au point que de l’énergie commence à couler…

Le NEOGEN


Le Neogen Dynamo Project est une « jolie » version du RV-MULLER GENERATOR inventé par Bill Muller et Hector D. Perez. Deux sociétés russes commercialisent des génératrices d’électricité qui violent les règles de la physique actuelle. Il ne s’agit pas ici de vagues prototypes aperçus sur un site web, mais bel et bien d’une technologie qu’il est possible d’acheter :


Le LUTEC 1000


le 8 septembre 2005 Lou Brits and John Christie de Cairns (Australie) ont mis au point un générateur électromagnétique,. Ils annoncent une entrée d’énergie pour un petit générateur de 4,25 watts, en sortie 15,4 watts, soit 362 % :
http://quanthomme.free.fr/nouvelles/Nouvelles23032001.htm

La technologie EBM


(Energy By Motion – Energie Par le Mouvement) est peut être un espoir mais elle reste toujours au stade expérimental. Le professeur Szabo développe au sein de la société canadienne Electro Erg Ltd et de sa filiale hongroise Gamma Manager, la technologie EBM qui est appliquée dans la commercialisation de générateurs auto-alimentés d’une énergie électromagnétique illimitée et 100% propre. Son inscription à l’ordre du jour du parlement de l’Ontario et sa certification par une dizaine de scientifiques et universitaires plaident en faveur de l’avènement d’un véritable générateur à énergie libre.

Le brevet international des russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l’Académie des Sciences de Moscou, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu’un système sur-unitaire est réalisable. Pour faire cela, ils se sont basés sur les travaux de John Searl, un scientifique britannique, qui dés 1968 mis au point un système capable de léviter. Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capables de convertir diverses formes d’énergie, dés lors qu’un certain régime de fonctionnement critique est atteint, l’installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome.

Et plus récemment, un nouveau candidat au « Graal de l’énergie »,

La société STEORN


Elle offre une démonstration publique à la communauté scientifique, et au grand public, en révélant le nouveau moteur ORBO, à « rendement surunitaire » C‘est à Dublin depuis le mardi 15 Décembre 2009


Tôt ou tard, la batterie qui alimente votre ordinateur ou votre téléphone cellulaire finit par se vider, comme n’importe quelle batterie. Mais cette compagnie irlandaise entend prouver qu’elle peut fabriquer une batterie qui ne se videra jamais.

. ETC…ETC…ETC…




La fin programmée d'un paradigme obsolète


Une révolution scientifique qui sera matérialisée tout d’abord par l’effondrement du paradigme de la conservation de l’énergie, base de la thermodynamique, de la  mécanique, de la relativité et de la mécanique quantique…

Les VERTS et leur politique me font bien rire avec leurs Panneaux solaires, leurs éoliennes et leurs appels à payer une taxe Carbonne…
Si les verts le savent et ne font RIEN , c est une HONTE…HONTE à eux…..

Ils représenteraient parfaitement l’esprit de tromperie qui manipule et désinforme …

Pourquoi le sujet est-il ignoré ? car qui de nos jours a entendu parler de ces nombreux chercheurs et toutes leurs inventions ?

Qui a entendu parler de l’engouement des pays comme le Japon, l’Inde ou le Canada pour ces nouvelles technologies ?

Si nous écoutons la pensée officielle (relayée en masse dans les médias), quand on parle d’éolienne, de solaire, de géothermie, d’hydraulique et de biocarburants, nous avons presque fait le tour des solutions potentiellement existantes comme énergies alternatives. Et nous sommes obligés de nous rendre compte que ces solutions ont leur limite. Il sera difficile de remplacer le pétrole et le nucléaire avec elles.

Ce post est là pour montrer que les solutions mises en avant dans les médias ne sont pas les seules potentiellement existantes. Mais qu’il en existe beaucoup d’autres.

Le fait que personne ne parle d’une solution potentielle, cela signifie-t-il que cette solution n’existe pas ? Ou cela signifie-t-il que certains préfèreraient qu’elle n’existe pas ?

« le jour où l’homme mettra autant d’énergie à remettre en cause ses idées actuelles, qu’il en utilise pour remettre en cause les idées nouvelles; il commencera réellement à connaître le monde ».

Dans quelques années peut-être (cela dépend de la puissance des lobbys énergétiques pétroliers, nucléaires,… et de manière générale de tous ceux qu’une énergie à très faible coût empêcherait de s’enrichir, ainsi que de la très grande inertie des milieux scientifiques, due à leur orgueil et leur impossibilité d’admettre leur modestie face aux nombreuses inconnues de l’univers), des engins fonctionnant à l’aide de machines à énergie libre seront sur le marché, mais ce sera alors par la force des choses, et pas grâce à la bonne volonté.

« Il n’y a pas de crise de l’Energie, mais simplement une crise d’Ignorance » B.Fuller
 
 

 

 
_La plupart ne connaissent pas le Dr. astrophysicien russe Nikolaï A. Kozyrev :
 
Astrophysicien de renom en Russie Dr Nikolaï A. Kozyrev a prouvé hors de tout doute que cette source d’énergie avait existée, et, par conséquent, il est devenu l’une des figures les plus controversées de l’histoire de la communauté scientifique russe. Les implications impressionnante de son travail, et de tous ceux qui l’ont suivi, ont été presque entièrement cachée par l’ex-Union soviétique, mais avec la chute du rideau de fer et l’avènement de l’Internet nous avons enfin accès à «Russia’s Best-Kept Secret », qui change complètement notre compréhension de l’Univers.
 
  • "Combien de temps (en partant de 1984) faudra-t-il attendre pour que la conversion de l’énergie du champ de gravité soit disponible à grande échelle ? " écrivait le Dr Nieper en donnant l’exemple suivant. " Le 17 décembre 1903, les frères Wright effectuaient à Kitty Hawk le premier vol réussi, enfin, presque le premier. Car Karl Jatho, né en 1873, fonctionnaire municipal originaire de Hanovre, qui n'avait pas été autorisé à faire connaître son " hobby ", l’aviation avait pourtant réussi, dès le 18 août 1903 le premier vol avec moteur…un bond de 18 mètres à 1 mètre du sol, pour 40 mètres pour les frères Wright…Jatho est mort dans l’oubli le 8 décembre 1933. Entre les premiers vols de Jatho et des frères Wright et le premier jet Heinkel en 1939, il s’est écoulé 36 ans, et 56 avant le 707."

  • Mme le Dr Jacqueline Bousquet, Université Michel de Montaigne, Bordeaux écrit dans "Science dans la lumière"  St-Michel Editions 1992 : " ...les barrages sont disposés sur le chemin de certaines informations comme si un filtrage était effectué, ne laissant passer que ce qui est conforme aux théories du moment. Si nous comparions la société à un grand corps, analogue au corps humain, nous pourrions envisager quelque part un système immunitaire constitué d’individus non reconnaissables à première vue et dont la fonction serait d’empêcher que certaines découvertes viennent trop tôt, mettant ainsi en péril la survie du système sur lequel cette société est basée. Ceci serait valable si l’analogie pouvait être poussée jusqu’au bout et si, après une reconnaissance de l’étranger, suivait une tolérance afin d’essayer d’assimiler l’autre et de le faire sien. Ce n’est malheureusement pas le cas : le système fonctionne uniquement sur le rejet, se privant par là d’une quantité d’informations susceptibles de le faire évoluer. "

  • Wolf-Michael Catenhusen, président au Bundestag du groupe pour la recherche, et l’évaluation de l’avenir des technologies à Bonn dit : " ...Ces dernières années, j’ai déjà été informé par différentes sources sur la théorie du VFE. Toutefois, cela ne me passionne pas. C’est pourquoi je n’ai pas l’intention de m’investir davantage dans ce domaine..."

A comparer avec ces propos de Wolfram Bahman, secrétaire de PACE : " De nombreux chercheurs n’ont pu imposer leurs découvertes face à la résistance des banques, des grandes industries, des militaires, et des services secrets. Le combat contre la pollution mondiale grâce à l’acquisition d’énergie nouvelle peut être gagné, mais on se pose toutefois la question : doit-il être gagné ? "
 

Mauvaise foi

  • Herbert Pietschmann, professeur de physique théorique à l’Université de Vienne dit : " …je considère que l’inertie et la gravitation résultant des champs électromagnétiques, visions présentées par le Dr Puthoff, sont du charabia. Certains collègues qui ont fait de leur mieux pour obtenir un rendez-vous chez Methernita pour y analyser leur machine, m’ont dit qu’il fallait payer très cher pour pouvoir jeter un coup d’œil six mois plus tard. Si c’est vrai, il s’agit pour moi, d’une escroquerie. " Cette déclaration est vivement contredite par le Dr Nieper : " Faux, le convertisseur fonctionne sans l’ombre d’un doute, il lui a été aimablement et gratuitement présenté en 1983. "

  • Le 24/02/94, Pr Ernst U. von Weizsäcker de l’Institut Wuppertal pour l’Environnement, le Climat et l’Energie  : " ...Depuis plusieurs années, je suis de loin les informations sur le VFE. En tant qu’ancien biologiste dont la position se situe entre l’environnement et la politique, je ne suis pas en mesure de m’informer des comportements physiques véritables de ce type d’expériences et de ces affirmations comme on devrait pouvoir le faire à une telle place. Dès que les physiciens compétents et les électrotechniciens se seront mis d’accord sur le fait qu’il s’agit d’une technologie reproductible, je m’en occuperai de plus près."

  • Le 13/12/96, le Pr Weizsäcker de l’Institut de Climatologie, de l’Environnement et de l’Energie du Wuppertal  : " …je ne suis pas encore convaincu du bien fondé de l’énergie VFE. Quand la communauté scientifique se mettra d’accord, je serai prêt à m’informer de la portée politique de l’énergie ." (point de vue de la majorité des scientifiques qui a peu évolué depuis cette époque, NDLR).

 

Condamnations
 

Une cour de justice a du se prononcer au sujet d’une question scientifique, une première ?

L’affaire concernait Martin Fleischmann, Stanley Pons, Tullio Bressani, Giuliano Preparata, et Emilio Del Giudice contre le journal La Republicca s.p.a., Eugenio Scalfari et Giovanni Maria Pace. (voir dossier suivant sur la Fusion Froide).

En octobre 1991, la Republicca avait publié un article sous la plume de leur rédacteur scientifique Giovanni Maria Pace, qui avait fait la critique du livre " Faux Prophètes ", et avait principalement suggéré que la Fusion Froide était une fraude scientifique. Les noms de Fleischmann et Pons étaient mentionnés, ils étaient traités de " prêtres fornicateurs " (ce que Nature qualifie de langage coloré). Des lettres venant de Bressani (Turin), Preparata (Milan), et Del Giudice (Milan) ont été adressées au journal et publiées. Les cinq ont alors poursuivi en justice le journal, son rédacteur et le journaliste en demandant 8 milliards de lires de dommages (environ 5 millions de dollars).

La cour désigna le Pr. Giovanni Licheri de Cagliari pour évaluer les 105 pièces de preuves scientifiques présentées. Les cinq plaignants ont demandé au Prof. Daniele Gozzi (Rome) d’être leur conseiller. La Republicca, quant à elle, a choisi Douglas Morrison, du CERN, à Genève (voir Nature 363(1993)107).

Les deux parties fournirent ensuite des preuves écrites.

Décision du tribunal : la plainte de Fleischmann, Pons, Bressani, Preparata, et Del Giudice a été rejetée. La cour les a condamnés à payer les dépenses légales, environ 20.000 dollars…

Même si le tribunal a conclu que Fleischmann et Pons avaient présenté leurs résultats correctement car leur article avait été soumis à la publication le 13/03/1989, et avait été accepté le 22, avant la conférence de presse du 23, il a jugé que depuis 1991, les progrès avaient été minces et qu'il n’y avait pas de bonne théorie capable d’expliquer la Fusion Froide. Il y avait échec dans l’observation des produits de fusion (tritons, neutrons, protons, 3He, 4He et rayons gamma) qu’on était en droit d’attendre.

Le tribunal a dit que Fleischmann et Pons fournissaient des données différentes et contradictoires selon le moment, noté qu’ils avaient omis de citer les travaux du Pr Jones, critiqué leur façon de traiter avec la presse et de considérer les développements futurs, et a conclu qu’ils étaient loin de la réalité.

Pour le tribunal la plupart des scientifiques ayant abandonné la Fusion Froide, il a donc été jugé que les commentaires qu’avaient faits Giovanni Maria Pace dans l’exercice de sa profession étaient justifiés par les grandes discussions et contestations suscités par la Fusion Froide.

Ce jugement est à l'image de celui de l’American Physical Societyqui, sans prendre connaissance du dossier, a voté à main levée pour condamner toute expérience sur la Fusion Froide.

  • L’éminent professeur John Bockris, spécialiste en électrochimie, défenseur de la fusion froide et des transmutations à basse énergie fut, en 1993, accusé de fraude et contraint d’organiser ses conférences hors du campus de l’Université A&M au Texas à la suite d’une pétition de ses collègues. Il fut finalement "blanchi" par une commission d’experts.

Quelques exemples de censure, tracasseries et menaces
 

D'autres exemples seront évoqués plus loin dans les biographies de certains chercheurs.

- Julian Schwinger, un des pères de l’électrodynamique quantique, prix Nobel a démissionné de Physical Review Letters à la suite de leur refus de publier son article sur la Fusion Froide. Dans une lettre ouverte datée de 1991, Paul Brown écrivait :
" Depuis 1978, alors que j’étais étudiant, je suis impliqué dans la recherche sur l’Energie Libre. J’avais entendu de nombreuses histoires cauchemardesques au sujet de personnes qui avaient mis au point des choses intéressantes et avaient été persécutées, tracassées, voire même tuées…Le temps passant, vers 1982, mes travaux qui avaient une certaine portée subirent quelques critiques mineures et un scepticisme que je trouvais autant bénéfique que raisonnable…
Cependant les choses ont commencé à changer, lentement, de manière alarmante. Plus j’avais de succès dans ce que j’entreprenais, plus j’attirais des gens malhonnêtes et avides. En 1987, nous avons décidé que le temps était venu d’annoncer officiellement l'objet de nos travaux et leurs résultats…Et ce fut le début des pires ennuis. Depuis février 1987, ma compagnie et moi-même avons été persécutés par le Département d’Etat de la santé, puis le Département des Finances d’Idaho a porté plainte contre nous…j’ai commencé à recevoir des menaces, on m’a accusé de fraude, mon responsable fiscal puis ma femme furent agressés. On cambriola ma maison à trois reprises. On m’accusa deux fois de trafic de drogue. J’ai perdu ma maison, et tout récemment, la voiture de ma mère a subi un attentat à la bombe…Si je vous parle de tout cela, c’est pour vous dire qu’il ne s’agit pas de coïncidences. Je comprends maintenant pourquoi certains inventeurs disparaissent de la société. Mon conseil est le suivant : gardez un profil bas jusqu’à ce que vos travaux soient terminés, choisissez avec soin vos partenaires en affaires, protégez vous ainsi que votre famille, sachez que ces histoires de cauchemars sont vraies…ne perdez jamais la Foi ."
 
- William Hyde récent détenteur de brevet a écrit cet appel Urgent :
" Le Département d’Etat de l’Energie et divers grands groupes ont tenté, et continuent de le faire, de supprimer la technologie de l’énergie nouvelle. Ils se servent de tracasseries, de menaces de mort, de chantage, d’extorsion et ils emploient des gens chargés de faire des poursuites judiciaires sans fondement mais qui ruinent les inventeurs. Depuis cinq ans, je suis traîné dans les tribunaux pour des choses insignifiantes. Sans aide du peuple américain, je ne pourrai plus travailler dans ce domaine important de l’énergie car les sommes destinées à se battre contre la bureaucratie fédérale et des groupes fortunés sont prohibitives. J’ai déjà dépensé plus de $35.000, j’ai perdu 30 brevets pour l’étranger à cause de l’action du gouvernement. J’espère votre aide et vous en remercie d’avance. "
 
- Il existe d’autres exemples de censure manifeste de la recherche d’avant-garde dans Project Censored à l’Université d’Etat de Californie. Ses étudiants publient un bulletin ainsi qu’une compilation annuelle des cas les plus représentatifs à ce sujet. Il y a aussi le livre de John Coleman paru en 1992 Coleman Conspirators' Hierarchy: The Story of the Committee of 300, et Bankrupty 1995 (Figgie Jr. 1992) qui traitent des raisons qui sont derrière ces censures.

- Lors du Symposium sur la Technologie de l'Energie Non Conventionnelle le 23/09/1983 dont il a été le principal organisateur, Ken Mac Neil a commenté le texte de l'injonction de secret : Title 35, U.S. Code (1952) Sections 181-188, texte que de nombreux inventeurs ont reçu. Le texte complet peut être obtenu auprès de la Cornell Law Library.

Extrait du texte :

" Il est signifié au déposant de brevet nommé ci-dessus, à ses héritiers et tous ceux à qui il est transmis, et tous ses hommes de lois et agents ce qui suit :

Par la présente, notification vous est donnée qu'il a été trouvé dans votre application identifiée ci-dessus une matière dont la divulgation non autorisée serait préjudiciable à la sécurité nationale, et il vous est ordonné de ne publier ni divulguer en aucune manière l'invention ou toute matière s'y rapportant y compris des détails non publiés jusqu'à présent sur la dite application, et en aucune façon à toute personne n'ayant pas connaissance de l'invention avant la date de l'injonction, y compris tout employé des mandants, mais de garder le même secret excepté par consentement écrit obtenu préalablement du Commissaire aux Brevets, sinon elle tombera sous le coup de 35 USC (1952).

Toute autre application déjà enregistrée ou à venir contenant une quelconque partie significative de la matière de l'application identifiée ci-dessus tombe sous le coup de cette injonction. Si une autre application ne tombe pas sous le coup de l'injonction de secret, elle peut être portée à l'attention du Groupe de Sécurité, Licences et Examen, au Bureau des brevets.

Si, avant l'émission de l'injonction de secret, une quelconque partie significative de la matière soumise à examen a été révélée à qui que ce soit, les mandants informeront rapidement la personne de ce qu'elle encourt comme pénalités en cas de divulgation. Cependant si cette divulgation a lieu dans un pays étranger ou vers un ressortissant étranger aux USA, les mandants ne pourront pas informer la personne de l'injonction de secret. Au lieu de cela, ils fourniront rapidement au Commissaire des Brevets: date de la divulgation, nom et adresse du divulgateur, identification de la partie concernée et de toute autorisation par une agence gouvernementale d'exporter une telle partie. Si la matière soumise à examen est comprise dans une application de brevet étranger, ou un brevet, ceci doit être identifié…"

Selon l’information obtenue grâce au FOIA ,en 1991 le Pentagone a placé sous la censure 774 (290 en 1979) applications de brevet dont 506 d’entre elles l’étaient sur intervention de sociétés privées."

 
- Extrait de l’article de Joseph Roberts de Colorado Springs paru dans Extraordinary Science du printemps 1993.
Pourquoi des technologies pouvant apporter plus de bien être à tout terrien sont elles occultées? Une partie de la réponse, incomplète, tient au rôle des multinationales qui contrôlent réellement le gouvernement des USA et le monde entier. Elles maintiennent le statu quo, par cupidité, désir de puissance. Mais il y a incontestablement une autre composante à ce contrôle.

C’est le gouvernement de l’ombre qui empêche la diffusion de cette technologie. Des sociétés secrètes du monde entier, formant un réseau, comme les Illuminati, le Conseil des Relations Etrangères, le Groupe Bilderberg, la Commission Trilatérale ont des priorités différentes de celles des capitalistes, en ce sens qu’elles désireraient contrôler la technologie (de Newman par exemple), dans le but de former un gouvernement mondial soumis à leur contrôle.

Il se pourrait aussi qu’il existe à cette question une réponse beaucoup plus occulte apportée par le témoignage de Al Bielek, impliqué dans l’Expérience de Philadelphie pendant la 2èmeguerre mondiale. Il déclare avoir vu dans les installations du sous-sol de l’Université de Californie à Berkeley, dès 1941, une machine à Energie Libre.

( Bielek a animé des ateliers à la Conférence sur la Science Extraordinaire de Juillet 1993 à Colorado Springs).

Si son récit est exact, pourquoi tant de temps écoulé depuis l’existence de cette technologie ? Pourquoi est-elle cachée ? Auprès de qui - et cette question est aussi fondamentale que mystérieuse - le gouvernement s’est - il, à l’origine, procuré cette technologie ? C’est seulement lorsque les citoyens américains, tenant tête à leur gouvernement, le confrontent à des questions capitales comme celle-ci ( et non des fantasmes) et le poussent à assumer ses responsabilités, que la vérité non censurée peut apparaître. C’est alors que nous pourrons prendre soin de la Terre et préserver l'espèce humaine.

(On trouve des éléments complémentaires sur ce sujet dans Philadelphia Experiment de Brad Steiger, NDLR).
 
- Une lettre ouverte de Bruce de Palma adressée le 7/9/95 à SEA/US
" Absent des Etats-Unis depuis cinq mois je vous remercie pour tous vos articles sur la N-Machine. D' Australie où je réside, j’ai maintenant une vision plus claire de l’Amérique. J’ai reçu vos deux courriers, de William Hyde et de Paul Brown, mais je ne suis pas complètement au courant de leurs travaux. Finalement, ils s'aperçoivent que la technologie à Energie Libre est opprimée aux USA.
J’ajoute qu’il est vrai que j’ai eu des menaces de mort. La première fois, cela est venu d’Edgar Mitchell, l’astronaute qui m’a dit : "le gouvernement estime que, sans aucun doute, la N-Machine était la machine à Energie Libre qu’ils cherchaient et que si je tentais quoi que ce soit en Californie, on me ferait sauter la tête." La CIA m’a averti par l’intermédiaire de Mitchell que je ne pourrais quitter le pays car je serais kidnappé. C’était en 1980, on s’efforçait de m’effrayer alors que je devais me rendre à Hanovre, à la première conférence du Dr Nieper sur l’énergie du champ de gravité. Le Pr P. Tewari qui y a assisté fut récompensé pour sa N-Machine, appareil qui est à ce jour celui qui permet d’observer le plus nettement le phénomène d’Energie Libre.

Ces dernières années, mes inventions ont été confisquées par différents groupes, le premier étant la communauté Sunburst qui m’a aidé à construire la N-Machine mais quand leur chef a vu miroiter les dollars il a décidé de se passer de moi.

Ensuite, d’autres groupes ont tenté de me manipuler et de me contrôler, c’est à dire tout obtenir de moi, techniquement parlant. En fait, le contrat de Mitchell avec moi était relatif à une affaire qu’il essayait de monter et où il allait avoir à collecter de 150 à 300 millions de dollars, et faire démarrer une société de la taille de General Motors en trois à cinq ans. Je devais avoir un contrat de travail d’un an et $30.000 et la possibilité de toucher peut-être 1 ou 2 % de l’affaire. Mais, sur les conseils de mes avocats, j'ai refusé ce qui a fait piquer une colère à Mitchell.

Après j’ai été en affaire avec une compagnie du sud de la Californie, MicroCoGen, pour l’achat de N-Machines pour un système de cogénération, d’ailleurs excellent. De toute façon, la Southern California Edison leur fit faire faillite, car elle avait révisé à la baisse le tarif de courant des clients (dont elle avait obtenu la liste grâce à une certaine loi), ce qui les incitait ainsi à ne plus avoir besoin d’acheter les machines.

Plus récemment, lors d’une émission nocturne sur KPFK, (120000 watts NFM la plus puissante station du Mississippi, indépendante, non commerciale), sans avertissement, dès que j’ai été annoncé comme l’invité le plus controversé que Roy Truckman ait jamais eu, le courant fut coupé pendant trois heures. Enfin, cela peut être une coïncidence et je peux être paranoïaque. Mais en cas de panne d'émetteur, un service de maintenance est supposé exister, et justement, cette maintenance était prévue pour les jours suivants…

Toutes les affaires que j’ai essayé de bâtir pendant des années, même soigneusement documentées et mûrement réfléchies, et montées par des hommes de loi et des techniciens, ont fini en queue de poisson quelque part…Le temps passe et on n'obtient aucune réponse des agences gouvernementales censées agir.

Par exemple, la NASA a finalement été avertie par deux membres du congrès après mon passage dans une émission largement suivie dans la journée en Floride "For the People " de Chuck Harder. Ces deux membres ont demandé à la NASA de faire des recherches et ils se sont occupés de choses inutiles, ont fixé des dates puis les ont changées… Des gens de l’Air Force tenant à la plus grande discrétion sont venus me voir, pendant leur temps libre.

Au bout de quelque temps, vous êtes pénétré du message qui vous montre que vous travaillez dans un environnement très étrange, où la plupart des gens autour de vous croient à ce qui est bien, ou mal, à la raison, à la Constitution et aux hommes de loi, et à toute cette philosophie à laquelle nous nous raccrochons. Mais en réalité il existe un tas d’hommes de loi corrompus de mèche avec des hommes d’affaires et des politiciens corrompus qui feront n’importe quoi pour maintenir leur contrôle sur les ressources établies et se garantir toutes sortes de revenus car ils sont assis sur tout, et c’est comme ça, on doit payer pour ceci pour cela, morceau par morceau, tous les gallons, tous les kilowatts heure d’électricité. Pour eux il est impensable que l’on puisse avoir chez soi une source d’énergie indépendante. Si on prête attention à cette sorte de technologie, elle est immédiatement classée top secret, appliquée aux armes dont les plus modernes utilisent d’énormes quantités d’électricité, par exemple, les rayons de la mort Laser, les systèmes de propulsion de bateaux, les systèmes d’énergie de la guerre des étoiles, les systèmes d’énergie de la station Mars, etc.

C’est ainsi que, d’Australie, je vois l’Amérique comme un endroit où la Science est sous une chape (de plomb). Cela a commencé à la fin des années 50, quand la censure et le principe du top secret se sont instaurés. Il y avait alors des couches et des couches de classification et probablement seulement certains comités pouvant accéder à la classification "à lire seulement" etc.

Il devient très clair que la Science qui prospère sur le libre échange des idées est complètement stoppée si la communication ne lui est plus permise. Comme si cela ne suffisait pas, nous vivons sur une planète qui doit résoudre les problèmes de surpopulation et de manque de nourriture pour lesquels toute réponse technique serait la bienvenue…

C’est pourquoi, j’ai quitté l’Amérique, car elle a, selon moi, passé le point de non retour. Ici, en Australie, les gens sont plus ou moins d’accord sur le retard de trente ans qu'ils ont par rapport aux Américains, mais cela signifie qu’ils ont encore une chance de se ressaisir s’ils poursuivent une politique énergétique indépendante.

Ce que je suggère tient en ceci, : nous possédons des réseaux d’énergie globale, des copies de tous les articles sur l’Energie Libre circulent sur la planète. Cette conscience évite toutes les Universités et les monolithes placés sur la voie du progrès…il suffit d’un ordinateur et d’un modem. Sur le sujet de l’Energie Libre les Australiens mettent sur pied un système d’accès à un ordinateur de réseau où l’on aura accès à tous les articles.

…Je tiens à dire pour finir ce propos que l’Energie Libre existe, qu’elle mérite sa place dans la science et je ne mets pas seulement en avant la seule N-Machine. Certes, c’est un des appareils qui a montré une sur – unité mais elle n’est pas la seule machine dans ce domaine, ni le fin du fin. Elle convient davantage aux villes, avions, bateaux qu’aux maisons ou automobiles. Il y a des versions plus petites, sur différents principes qui conviennent mieux pour ces usages.

En attendant, je suggère que la Terre puisse adopter une économie basée sur l’hydrogène produit par une N-Machine, très efficace dans l’électrolyse de l’eau à bas voltages et ampérage élevé. L’hydrogène ainsi produit coûte de trois à cinq fois moins qu’actuellement. Des générateurs pourraient charger des réservoirs hydrides comme ceux du système mis au point par le Dr Gerald Schafflander qui avait construit une voiture à hydrogène. Son idée était de produire l’hydrogène à partir de cellules solaires dans un environnement désertique sans nuages. Ce système très pratique, permettrait d’arrêter complètement de brûler des carburants fossiles et de produire brouillard et pluies acides. Il serait bon de déterrer le brevet de Schafflander, voir même si lui-même n’est encore dans la prison où l’a mis le SEC, pour les mêmes raisons futiles qui ont tracassé Brown et Hyde…"
 

Interventions musclées
 

En 1991, lors d'un congrès à Boston, Paul La Violette, Dr en Physique du Vermont a fait rire son auditoire en incitant les membres de la police politique - spéciale énergie libre - assurément présents dans l'assistance à se manifester. Mais personne n'a bien sûr répondu à sa demande ! " Si une loi existe contre ces recherches, il faudrait au moins en informer les chercheurs " a-t-il dit un peu comme Ken Mac Neil l'avait fait en Georgie en 1994.
 

Et pourtant…

  • En 1985, Dennis Lee (voir BWT) a introduit sur le marché une super pompe à chaleur dans son état natal de Washington. Elle permettait d'économiser 70 à 80 % sur les coûts de chauffage et d'eau chaude. Les entreprises mécontentes de cette concurrence ont incité le bureau de l'attorney à lui faire un procès. Ensuite sa fabrique a été mise à sac presque chaque nuit. On lui a volé des papiers qui se sont retrouvés dans le bureau de l'attorney. Les médias et ses actionnaires ont été incités à le chasser. Malgré tous les obstacles, un procès ridicule qui exigeait de sa société qu'elle fasse ce qu'elle faisait déjà, la création délibérée de problèmes financiers, la compagnie poursuivit son chemin et partit à Boston où elle s'associa à une autre.

C'est là que Lee découvrit comment faire de l'électricité gratuite en utilisant la super pompe à chaleur. Ses travaux étaient soutenus par trois scientifiques aux références impressionnantes, un professeur du M.I.T., un ex-scientifique du DoD, et un ex-superviseur de chez Boeing, ingénieur électricien doté de 40 ans d'expérience.

Lee écrivit au DoE, aux membres du congrès, aux médias, sans réponse, sinon quelques unes pour dire " tenez-nous au courant" et une autre agressive. Il écrivit aussi au Président Carter, qui encourageait pourtant la recherche de sources d'énergies renouvelables.

A Boston, lors d'une démonstration fameuse, il fit la Déclaration d'Indépendance Energétique, dans la ville même où deux siècles auparavant avait germé la Déclaration d'Indépendance de l'Amérique. Il décida de développer lui-même un marché. Un des scientifiques qui le soutenait ayant insisté pour qu'il le rejoigne en Californie, il partit s'installer à Ventura et installa un laboratoire dirigé par ce même scientifique. Dans l'équipe se trouvaient aussi le "père" du Boeing 747", le concepteur de la coque des sous-marins modernes offerte à la Navy, un ancien chef de la recherche à Batelle, le concepteur de systèmes de poursuites pour la NASA, et un expert sur les moteurs à combustion interne. Ils ont mis au point dans leur atelier, un générateur, le LTPC (Low Temperature Phase Change), le moteur à chaleur Fischer (dont il sera question dans les prochains dossiers), un réacteur bicoannulaire adiabatique capable de brûler du charbon avec un rendement à 90 % et le Hot Box Thermal Storage Unit.

Lee, pourtant au courant de ce qu’avait vécu d’autres inventeurs, a pensé que des démonstrations soutenues par le public seraient une bonne protection. Il a offert à certains inventeurs la possibilité de voir développer et commercialiser leurs inventions. Il pensait aussi qu'une fabrication décentralisée serait préférable. C'est pourquoi il a vendu à un réseau de personnes impliquées dans la distribution et la fabrication des produits, des informations concernant la pompe à chaleur.

Le 12/01/88, Lee avait fait des démonstrations devant 350 personnes en exposant ses idées et sa technologie. Deux jours après, sans avertissement, 13 hommes armés et munis de gilets pare-balles firent irruption dans l'installation de recherche et emportèrent tous les prototypes. Ils prirent des photos de tous les employés, confisquèrent des papiers confidentiels relatifs à des inventions confiées par des inventeurs étrangers à l'entreprise. Cinq cent pages ont été volées, ce qu'ont nié les fonctionnaires malgré des preuves photographiques.

Un procès a été intenté à Lee pour fraude du plan de commercialisation en vigueur en Californie, le SAMP (Seller's Assisted Marketing Plan)

Pendant six mois, Lee a poursuivi son travail, mais il a été arrêté par des agents de Ventura en juin 1988, lors d'une rencontre avec une personne de son réseau. On lui avait trouvé plus de trente chefs d'accusation dont celui d'avoir fait neuf victimes. Alors que dans un tel cas, une caution de 5000 dollars est demandée, Lee s'est vu exiger un million de dollars. L'avertissement était clair pour ceux qui travaillaient avec lui.

Dans cette affaire, de nombreux juges ou autorités ont signé des ordres difficiles à justifier. Celui qui l'avait arrêté a reçu une promotion et fut chargé de la prison où Lee est resté dix mois interné en attendant le jugement. Pendant ce temps, sa société a été détruite par un groupe d'hommes apparemment commandités par le bureau du shérif. Le personnel de la prison a tout tenté pour l'empêcher de préparer son procès. Les scientifiques qui dirigeaient les recherches ont pris peur et quitté la région. Les vendeurs se sont vus menacés de 60 ans de prison sur la base de violation du SAMP. Lors d'une audition, il a été révélé, parmi d'autres faits que les agents de Ventura n'avaient pas seulement fait cette persécution discriminatoire, mais avaient manqué à leur devoir en ne préservant pas les témoignages matériels et avaient effrayé les témoins et menti aux "victimes" pour créer une affaire contre Lee. La compagnie d'assurance a changé par trois fois ses règles relatives à l'importante caution.

Un an après, les scientifiques ayant surmonté leur peur ont finalement témoigné que les technologies annoncées par Lee faisaient ce qu'elles annonçaient. Muni d'un solide dossier, Lee intenta une action en justice en cour fédérale contre les fonctionnaires de Ventura, mais aucune audition n'a suivi. Toutes ses tentatives vis à vis de la justice ont été rejetées. Sa famille qui vit dans le New Jersey poursuit son œuvre s'engageant à ne tirer les chèques qu'en cas de satisfaction. Lee, condamné à payer 750.000 dollars pour avoir été soupçonné d'une fraude de 20.000 dollars a enfin vu cette somme réduite à zéro par le juge de la haute cour Robert Soarès qui a déclaré que Dennis Lee n'était pas un danger pour la société, mais que le danger économique lui, était bien réel.

Nota : 15/10/2001 : Paul Pantoneest en train de dénoncerle contrat établi entre sa société et celle de Dennis Lee (qui a de nombreux détracteurs aux USA) ,car il a les preuves du fait que les termes de l'accord ne sont pas respectés.
 

Un exemple de détracteur

  • On trouve dans les propres pages Internet de BWT (ce qui démontre l’honnêteté de Lee) , les propos de son détracteur Eric Krieg. Ce dernier examine les propositions stupéfiantes de Dennis Lee pour une meilleure technologie mondiale dans sa "Déclaration d’indépendance énergétique". Ayant déjà vu des propositions similaires et gardant des doutes, il dit néanmoins qu’il lui souhaite de réussir.

Il dit par exemple : "Le 23/09/96, avec trois amis, je me suis rendu au Philly Corestates Center pour écouter Lee. D’après mon enquête, il a dépensé quelque $100.000 pour monter cette manifestation. Son style m’a intrigué : cela m’a fait penser à un démarcheur à domicile, à un catcheur professionnel, à Jim Bakker et Uri Geller…" Il recommande d’user de scepticisme pour examiner les 16 points énumérés par Lee.

"Dennis devrait être ouvert à mon offre d’essayer personnellement ses appareils en présence de représentants des principaux journaux...J’encourage toute personne, face à ses affirmations à garder avant tout l’esprit critique. Les scientifiques qui ont assisté à son show n'ont vu aucune preuve extraordinaire mais sont ouverts à toute preuve." L'illusionniste Randi, lui, a promis de verser un million de dollars en échange d'une simple preuve du fonctionnement de la machine de Lee.

Selon Krieg, Lee vendrait certains appareils $10.000 et accepterait les dons mais sans garantie de retour d'informations autres que celles données lors des démonstrations.

  • Evan Soule qui a fait devant 9000 personnes et avec l'inventeur une présentation du générateur de Newman au Superdôme à New Orléans a dit que Lee désirait combiner sa technologie avec celle de Newman. Mais il n'y a pas eu de suite car Newman et Soule ont ensuite eu connaissance des actions en justice menées contre Lee.

Protectionnisme

  • Les Japonais fabriqueraient en masse des appareils à sur-unité qui apparaîtront sur des voitures électriques japonaises que les Américains refusent d'importer tout comme celles au gaz fabriquées au Japon (Honda) et qui ont une autonomie extrêmement élevée.

  • En 1995, Mickey Kantor, avait bénéficié de l'aide de la NSA lors de discussions très serrées avec Tokyo sur les quotas d'importations de voitures.

  • Faut-il voir dans certains accords entre constructeurs automobiles comme celui, récent de Renault avec Nissan, une possibilité d'avoir, pour les français, un veto sur les importations japonaises ? Ou bien s'agit-il au contraire d'une volonté de contrôler la distribution de voitures électriques munies de moteurs à sur-unité qui sont sur le point d'arriver, irrémédiablement, sur le marché ?

L' accord franco-japonais présenté au conseil d'administration de Renault mais déjà tout décidé par les Ministres français de l'Industrie et des Finances (et qui provoquera certainement des licenciements dans les deux pays, dont ceux de cadres japonais notamment) est d'autant plus curieux que Renault a apporté fin mars 1999, moyennant un emprunt de 20 milliards, 35 % de participation à Nissan pourtant endettée à hauteur de 216 milliards.
 

Crédits réduits

  • Les partisans de la Fusion chaude, ont commis une fondamentale erreur de jugement. Comme ils sont absolument compétents dans la physique des plasmas gazeux, où peut et doit se produire la fusion d’éléments légers, ils ont attendu de toute fusion dans une pile électrochimique, sur ou près de la surface d’un réseau métallique, qu’elle soit similaire à une fusion dans un plasma de gaz.


C’est en condamnant la fusion froide que ces scientifiques pourraient sérieusement être dans l’erreur, et certains la font ! Et pour l’aggraver, quelques scientifiques, comme on les appelle, orientent leurs compétences vers du " lobbying " politique, et pire. Dans leurs tentatives peu judicieuses d’empêcher l’erreur d’arriver subrepticement dans les majestueuses salles du gouvernement, ces lobbyistes se sont servis de leurs compétences, pour empêcher au gouvernement (par le DoE) d’accorder des fonds à la recherche sur la Fusion Froide ce que déplore Edmund Storms, de Los Alamos. Ils ont condamné officiellement des scientifiques qui ont réussi, ils ont volontairement tenus éloignés de l’évolution dans ce domaine les meilleurs chercheurs, ils ont écrit et financé des livres tels " La mauvaise science ", " Trop chaud pour être manipulé ", et le " Fiasco scientifique du siècle ". Ils ont été nombreux à dénoncer les conférences sur la Fusion Froide comme étant la balle résiduelle d'après la moisson, sans aucun grain.

Le plus grand crime perpétré contre les inventeurs, les ingénieurs, les scientifiques travaillant sur la Fusion Froide, a été de pousser à la priver de ses droits.

"Quelque difficultés qu’il y ait à découvrir des vérités nouvelles, Il s’en trouve encore de plus grandes à les faire reconnaître"
Lamarck

 
LES ESPOIRS DANS LA RECHERCHE SUR L’ENERGIE DU VIDE
" Parce que leur propre industrialisation a conduit les occidentaux à conquérir les régions du globe où des cultures plus anciennes se désintégraient lentement ou restaient statiques, dans un état semi-fossile, la crise (de l’ensemble culturel euro-américain) a pris une ampleur mondiale. Elle est devenue la crise de la biosphère tout entière en même temps qu’une crise sociale et politique, et elle affecte les conquérants comme les peuples conquis.
Le seul moyen à la fois efficace et permanent d’éviter la catastrophe (que ce soit un lent enlisement ou un cataclysme soudain) est le suivant : il faut qu’un nombre suffisant d’individus consacrés à l’humanité et tout entiers dévoués à la cause parviennent à mettre en œuvre dans la totalité de leur être les fonctions du quatrième ordre - compassion, esprit holiste, capacité à concevoir et à œuvrer, irréductiblement et efficacement, pour l’édification d’une culture neuve, d’envergure planétaire. La Terre étant un champ d’activité organique limité et unitaire, rien ne saurait empêcher un ensemble culturel de s’organiser à l’échelle du globe. Mais cette culture devra s’articuler autour du principe de l’inclusivité pan-humaine, et son fonctionnement collectif manifester l’harmonie essentielle de fonctions clairement définies accomplies sur le mode créateur du " sacré .

Nous ne pouvons aujourd’hui que rêver de semblable société, que nous voulons plénière, harmonique, polyphonique et unanime, sans nulle certitude que nos enfants, ou nos arrière - petits - enfants la connaîtront. Pourtant si l’on ne donne pas un corps à la vision, si l’on ne met pas en forme les concepts et les idéaux susceptibles d’être concrétisés, on risque de laisser échapper la possibilité d’éviter la régression à l’état tribal, et à sa culture tout entière déterminée par les impératifs biologiques. L’humanité devrait alors tout recommencer, depuis le bas de l’échelle. Et quand bien même le mouvement serait irréversible et la régression inéluctable, une chose reste certaine ; si à l’automne des graines ne viennent pas se mêler aux feuilles mortes, nulle végétation ne viendra verdir le printemps qui suit. "

Dane Rudhyar dans " Un nouvel homme pour un nouvel âge’ ((Editions Universitaires Begedis 1984).

 

Faire face à la demande croissante d’électricité

  • Dans la prochaine décennie, pour satisfaire à la demande énergétique du monde entier, il faudrait 20.000 mégawatts. Comment produire de l’électricité pour une demande aussi grandissante ?...Pas avec les sources habituelles, ni les énergies renouvelables, trop chères, bien que réalisables.

Heureusement, trois technologies alternatives existent, avec COP de 4 à 8 comme l’a écrit Hal Fox dansNew Energy Newsen janvier 96 (elles seront décrites dans les prochains dossiers). Leur développement simultané dans la même décennie est un des exemples les plus intéressants de synchronisme dans l’histoire de la science. Et ces développements se sont faits partout indépendamment : 200 laboratoires dans 30 pays ont inventé 8 méthodes efficaces, 3000 articles sur ces 3 technologies sont réunis au Centre d’Information sur la Fusion à Salt Lake City, articles dont le point commun est d’être toutes les trois inexpliquées par les modèles scientifiques admis habituellement.

Première critique et réfutation des technologies HDCC (High Density Charge Cluster) et SMSM (Super Magnet Super Motors) : c’est contre la loi de conservation de l’énergie ! Mais ce n’est pas la loi qui est violée, c’est le concept sous jacent généralement accepté d’un éther vide. Si l’on accepte le concept d’un éther énergétique, on voit alors le HDCC et le SMSM comme des transformateurs d’énergie, qui sont, eux, des concepts tout à fait acceptables.

Il nous faut simplement réactualiser les idées des années 1800 et du début 1900, et il ne restera alors plus rien pour perturber nos chers modèles scientifiques.

1. Batterie Patterson PPC (Patterson Power Cell), à eau légère, électrolyte lithium, et catalyseur nickel-palladium. On estime à 3 à 5 trillions de dollars par an le marché de la PPC. Selon Eugène Mallove certaines grandes firmes sont prêtes à faire le saut dans la recherche sur la Fusion Froide.

2. La technologie des amas à charge de haute densité HDCC, développée dans les années 80, est devenue accessible au public lors de la sortie du brevet n° 5.018.180, en 1991. C’est à la connaissance de Fox le premier brevet, où on explique comment l’appareil trouve sa source d’énergie dans le ZPE ou une des sources d’énergie du futur, dont la caractéristique est d’être essentiellement illimitée. (Les brevets concernant la technologie de charge condensée ont été enregistrés à l'étranger sans que personne n'essaie de les bloquer.)

3- Des supermoteurs à superaimants capables de fournir plus du triple de puissance de sortie que celle d’entrée. Le dernier en date, celui de Takahashi, le SMSM, a été remis à des scientifiques et des ingénieurs expérimentés du Royaume Uni, pour une vérification indépendante. Le moteur, monté sur un véhicule électrique qui selon Fox, sera le principal moyen de transport du XXI ème siècle est capable de donner sa pleine puissance en côte, ou de recharger ses batteries lorsque la demande est moindre, sur du plat.

Le SMSM a été monté sur un scooter Honda et présenté en 1994 à des représentants de NISSAN, GEC-Marconi et Philips.

Comment de nouvelles technologies pénètrent-elles dans nos sociétés ?

  • Le téléphone a mis cent ans pour être installé dans un foyer sur deux dans les pays développés; l’ordinateur personnel a fait cela en 15 à 20 ans. Dans les deux cas, ces technologies ont du créer leurs propres marchés, faute de demande préexistante. Dans le cas de l’énergie, la demande est déjà présente, et en passe d’augmenter. Ce qui fait que, face à une demande croissante et une offre en baisse (par épuisement progressif des ressources), les coûts vont grimper sauf si le coût de l’énergie provenant de nouvelles sources est inférieur à celui des énergies traditionnelles.

  • Les pétroliers doivent-ils s’inquiéter? Absolument pas ! Le baril de pétrole valant $20 en 1993 en vaut 60 pour la chimie, et pas un seul des appareils à Energie Libre ne pourra remplacer le pétrole pour les produits chimiques. C’est ce que de "gros bonnets du pétrole" ont dit à Hal Puthoff car "ils constatent que le pétrole se raréfie rapidement. En l’utilisant pour l’industrie du plastique, pharmaceutique ou pour le Nylon, ils reconnaissent en tirer d’énormes profits. Utiliser actuellement essence ou gasoil revient à chauffer sa maison avec des Van Gogh et des Picasso. Les pétroliers aimeraient prolonger la durée de vie de leurs ressources pour gagner ainsi plus d’argent. La première chose qu’ils feraient serait d’acheter ces appareils à Energie Libre, peu coûteuse, pour avoir des raffineries plus efficaces. "

  • En Janvier 1981, l’Arabie Saoudite avait investi $100 millions à Stock Exchange de Tokyo. La banque centrale Saoudienne avait déjà établi un contact avec un agent de change Japonais pour exécuter une opération de bourse sur 3 à 6 mois. Les investissements Saoudiens se sont limités d’abord à un petit nombre d’entreprises de technologie de pointe. Si vous avez envie de suivre les Saoudiens achetez des actions Hitachi. C’est le Siemens Japonais qui profitera du développement soudain d’une nouvelle technologie. Les Saoudiens ont également d’autres intérêts chez Canon et Nippon Electric. Au Japon, il est courant de diffuser largement l'information pour améliorer les financements et attirer des techniciens de pointe. En 1981 déjà, le public japonais connaissait bien l'existence de la conversion de l'Energie Tachyon.

Pendant la période de transition où les nouveaux appareils commenceront à restreindre l’usage des combustibles fossiles, pétrole et gaz contribueront à alimenter les transports. Seules les industries charbonnières et nucléaires sont concernées par l’impact final des appareils à Energie Libre. Cependant le nucléaire appartient à des compagnies telles General Electric et Westinghouse aux USA qui peuvent passer avec profit de leur industrie radioactive polluante à une autre, propre et plus avantageuse. En effet, sous l’effet conjugué de l’enrichissement incessant du domaine des recherches sur de nouvelles énergies et de l’augmentation croissante des besoins en énergie non polluante, la demande de l’énergie Libre deviendra irrésistible. Les opportunités de produire et / ou commercialiser ces nouveaux systèmes seront immenses pour les industries de l’énergie.

Ce bouleversement économique et social inévitable entraîne des avis pas toujours optimistes. Mais toutes les réflexions à ce sujet sont utiles et légitimes…La période de transition peut être comparée aux sacrifices faits lors de tout début d’entreprise…Hal Fox pense que les consommateurs pourront bénéficier d’une énergie coûtant de trois à dix fois moins cher qu'aujourd'hui…La transition impliquera de nouvelles lois, des taxes plus élevées sur les anciennes technologies énergétiques dont les installations seront progressivement éliminées.

  • Selon un rapport publié pour les gardes côtes US : " La route vers 2012 : un regard vers les vingt années à venir", John L. Peterson, membre de l’institut Arlington annonçait que les énergies fossiles seraient devenues obsolètes d’ici 20 ans, et que les appareils utilisant le ZPE les auraient remplacés, non sans turbulences et désespoirs pour de nombreuses personnes.

Chacun sait bien ce que les taxes sur les carburants rapportent aux états. Les habitants des USA soit 5 % de la population terrestre consomment à eux seuls 25 % de l’énergie produite sur terre. Le coût global de l'énergie était donné pour 1992 à 22, 25 milliards de dollars. On comprend bien ce qui se passerait pour les Etats si les gens consommaient 20 % de carburant en moins.

Une projection vers le futur avec de nouveaux systèmes énergétiques.

D'après un article deFusion Factsen 1996

  • Tout comme la " prolifération " des micro-ordinateurs a remplacé de nombreux ordinateurs centraux industriels, on suppose (comme l'a fait Moray B. King) que les technologies à nouvelle énergie seront dirigées vers le consommateur et que l’on pourra installer un appareil dans chaque foyer, bureau, usine. Les plans sont ainsi simplifiés puisqu’il n’y a pas à prendre en considération les dépenses relatives aux infrastructures d’installation et de distribution d’énergie.

On prend pour hypothèse que

- la production d’énergie nouvelle, non polluante doit fournir 20.000 mégawatts pendant les dix prochaines années.

- il faut $1 d’infrastructure de fabrication pour produire chaque $10 de valeur de produits à énergie nouvelle par an sur 10 ans

- un appareil propre produisant une énergie gratuite en fonctionnement revient à $500 à la fabrication

- l'on dispose, en 1996 pour commencer de $100 millions et que les années suivantes, on puisse fabriquer et vendre des systèmes à énergie nouvelle en faisant 20 % de bénéfices réinvestis pour augmenter la production de l’année suivante

La question est : jusqu’où peut-on utiliser un investissement de $100 millions de 1996 pour fournir 20.000 mégawatts pendant 10 ans ?

 

Année 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009
MW produits 0 2 6 14 30 62 126 254 510 1022 2046 4094 8190 16382
MW cumulés   2 8 22 52 114 240 494 1004 2026 4072 8166 16356 32738
 

On suppose que les divers gouvernements autoriseront les organisations pionnières à conserver les 20 % de bénéfices nets pour réinvestir et construire des usines en l’espace d’un an. Il faudrait alors 12 ans pour produire 16.000MW. Par conséquent, en 13 ans, le monde pourrait profiter d’une augmentation considérable d’énergie nouvelle, abondante, non radioactive, non polluante.

Le coût total des installations de fabrication avoisinerait les $4.000.000.000.000 ce qui représente approximativement le seul coût annuel de toute l’énergie mondiale de nos jours.

Ce colossal effort de production augmenterait le niveau de vie énergétique de nombreuses populations du monde.

Le marché est ouvert

  • Peter Lindemann du Nouveau Mexique, inventeur et auteur dit qu’il faut bien que les gens parlent de cette révolution sociale et politique qui va toucher notre société dans un délai probablement inférieur à dix ans. Il est ridicule de penser que l’arrivée de l’Energie Libre mettrait tout le monde au chômage alors qu’il y aura énormément à faire. Les emplois ainsi créés fourniraient largement de quoi vivre. Pour lui, médias et " élites " au pouvoir seront confrontés à de grandes difficultés lorsque les gens s’apercevront que l’on aurait pu se passer de toutes les nuisances dues à nos carburants actuels.

  • H.D. Froning Jr de Mc Donnell Douglas Space Systems dit que l'on travaille déjà, en Californie sur l’utilisation des technologies à énergie nouvelle dans l’exploration spatiale.

  • Les Japonais importent 90 % de leur énergie. On ne pourra pas empêcher qu’un système à Energie Libre efficace et potentiellement commercialisable qu’ils adopteraient et soutiendraient, arrive sur le marché. Selon Mark Goldes, il n’existe pas de gorille assez énorme pour stopper une telle commercialisation… Pour le Dr Nieper , le gorille, aux USA, c’est l’immense pouvoir de la bureaucratie des industries ou de l’Etat qui se manifeste dans la conspiration contre les inventeurs (dont certains avaient des appareils inadaptés). Cette conspiration n’est plus aussi forte que par le passé pense-t-il et il vaut mieux qu’ils s’unissent pour développer les inventions qui fonctionnent.

Cette idée de conspiration organisée ( menaces et manœuvres visant à censurer les inventions portant sur l'Energie Libre) n'est pas partagée par Toby Grotz et John Davidson qui penchent, eux, pour une inertie subconsciente de l'opinion générale. C'est aussi l'avis de Jeane Manning, bien qu'elle ne doute pas des témoignages qu'elle a recueillis auprès de chercheurs et qui font état de menaces et voies de fait sur eux-mêmes, leur famille et leurs appareils.

  • Le passage à l’énergie nouvelle ressemble à celui réalisé entre le cheval et l’automobile, la radio et la télévision, et il ne peut être stoppé. Toutefois, il y a une différence : à l’avènement de l’automobile, un moyen de transport et de travail moins performant en rapidité mais non polluant est tombé en désuétude, alors que l’énergie nouvelle apportera performances et propreté. L’humanité n’a pas à trembler de peur à cette perspective puisqu’elle a tout à y gagner.

Et en France ?

  • Le gouvernement français a un plan d'action en faveur des demandes de brevets. Toutes les PME sont concernées. En Europe, à peine la moitié des demandes de brevets émanent d'Européens, le reste venant du Japon qui s'adjuge 91 % de son marché ou des Etats-Unis, 55 % du sien. En France, les dépôts en baisse constante depuis 1990 ont augmenté de plus de 3 %. La préparation du brevet et son coût, pour une durée de vingt ans de 35.000 F (seulement français) à 800.000 F (mondial), la protection inefficace sont causes de cette désaffection. De gros efforts vont être faits, l'INPI (Institut National de la Protection Industrielle) va inciter par "une bourse de l'innovation" les nombreux inventeurs français à déposer, mais sans abaisser les taxes qui représentent le quart du coût global du brevet. (La Montagne du 22.01.98)

  • Pour la première fois, l'Energie Libre a eu une audience publique, à défaut d'être officielle, c'était à Cavaillon en Janvier 1999, voir notre rubrique LES NOUVELLES en page d'accueil.

  • En France, la vente de véhicules électriques est en chute libre (300 véhicules en 8 mois en 1997, contre 1000 l'année précédente), notamment en raison de leur faible autonomie mais aussi du peu d'intérêt des concessionnaires pour commercialiser des voitures qui ne génèrent pas un service après-vente. Réalité "handicapante" :

Pour Renault : le manque de bornes de recharges et parking avec prises.

Chez Peugeot, les sociétés et collectivités ne renouvellent pas leur parc, trop récent, et le marché est quasi inexistant, artisanal. Même EDF a interrompu ses commandes…

Pour le Groupe Interministériel concerné, on explique la chute des ventes par un manque d'informations sur les exonérations fiscales de taxes pour les sociétés, la gratuité du stationnement, et la mise à disposition de bornes de recharge. La voiture électrique apparaît comme le véhicule le plus adéquat en ville, mais trop chère et trop peu autonome. Pour Renault et Peugeot, son développement reste lié aux progrès technologiques sur l'autonomie des batteries et ils pensent que le véritable marché se fera encore attendre, à moins d'une volonté des pouvoirs publics. (La Montagne 18/09/97)

  • Quant au solaire, les efforts de promotion sont surtout accomplis par des industries privées (et les écologistes) même si le marché existe. L'énergie éolienne est " récupérée " par les services d'Etat sous forme de champs d'appareils (sous lesquels le bétail peut se nourrir, ce qui est tout de même mieux que les centrales nucléaires). Il est à remarquer que les écologistes, américains en particulier dont Jeane Manning décrit fort bien la position de refus de l'Energie Libre sous prétexte de risques de gaspillage, oublient et / ou refusent de s'intéresser à d'autres méthodes de production d'énergie telles que celles évoquées dans nos dossiers.

Pour le Solaire et l'Eolien, sujets non développés dans nos dossiers, il existe de bonnes documentations.

1997 : Création d’un fonds de financement aux USA

  • Ce queInfinite Energyappelait de ses vœux est aujourd’hui réalisé : un investisseur sérieux, ancien directeur d’une grande société américaine, mais qui désire rester anonyme, a promis de lancer un financement pour la Fusion Froide et les technologies relatives à la nouvelle énergie. Avec 1 million de dollars au début, 5 ensuite, il a été suivi par plusieurs autres investisseurs privés pour fonder légalement ce financement dont l’objectif final est d’arriver à 10 millions.


C’est le Dr Daniel Cavicchio de Greenwich Venture Partners, qui réside à Greenwich, dans le Connecticut, qui va diriger ce Fond d’investissement pour les NET.

Super-Power Inc. qui concernera les appareils à sur unité, la transmutation, la neutralisation des déchets radioactifs sera aidée dans sa tâche par un certain nombre de scientifiques et ingénieurs dont ceux de Cold Fusion Technology.Inc de New Hampshire.

M. Cavicchio est diplômé en mathématiques, en physique, en sciences de la communication et informatique. Il a fait partie de très nombreuses et importantes firmes dont Aerospace Corporation AT&T, WesternElectric qui est devenue ensuite Lucent Technologies, General Electrics, CBS, Corning Glass, Hooker Chemicals and Plastics, filiale d’Occidental Petroleum.

En 1978, il est devenu directeur commercial de American Can Company, dans le secteur de l’emballage. Depuis 1984, avec ses autres partenaires de Greenwich Venture Partners, il s’occupe de racheter et reconvertir des sociétés comme, en 1986 Commonwealth Sprague Capacitor.Inc qui a vu alors ses ventes doubler et de nouveaux contrats conclus avec l’Inde et le Brésil.

En 1993, ce fut le tour de Spectra Optics Inc., société d’électronique travaillant pour la défense qui a vu ses ventes tripler et est maintenant bien placée pour réaliser une croissance rapide dans la détection d’armes chimiques, le contrôle de l’environnement et les applications de la détection de drogues.

Un mémorandum est disponible : J. Cavicchio Jr, Greenwich Venture Partners, Inc, 8 Sound Shore Drive, Suite 100, Greenwich CT 06830. Tél : 203-629-4447. Fax : 203-629-4848

  • Un groupe financier Brésilien, Follmann & Sons Ltd. dont les activités se situent dans le marché des pièces pour instruments de musique a décidé d’investir dans la production en série d’appareils qui semblent financièrement prometteurs dans le domaine de l’Energie Libre, l’antigravitation. Son but annoncé est de mettre à la disposition de groupes (petits et moyens) de personnes possédant une démarche alternative dans un premier temps au niveau de la production d’énergie et des transports afin de leur donner une indépendance par rapport aux méga intérêts…"Nous vous prions et serons reconnaissants de voir publier dans votre magazine (Nexus en 1998) notre lettre de manière à ce que nous puissions offrir un soutien financier aux chercheurs qui ont un appareil donnant des résultats positifs ou des capacités en ce sens. Nous prendrions également en charge la production industrielle."

Adresse : Rua 3 n° 570 Jardim Henrique Martins CEP 07600000, Mairiporã, São Paulo, Brésil.

 
COP Coefficient of Performance
DoD Department of Defense
DoE Department of Energy
FOIA Freedom of Information Act - Loi sur la liberté de l'information
IANS International Association for New Science
ICCF International Conference for Cold Fusion - Conférence Internationale sur la Fusion Froide
M.I.T. Massachusetts Institute of Technology
MITI Ministère du commerce International et de l'Industrie au Japon
NEDO New Energy Development organization
NEN New Energy News
NET New Energy technology
NHE LAB. Laboratoire New Hydrogen Energy
R&D Recherche & Developpement
SAFE Swiss Association for Free Energy - Association Suisse pour l'Energie Libre
SRI Stanford Research Institute
VFE Vacuum Field Energy - Energie du Champ du Vide
ZPE Zero Point Energy - Energie du Point Zero
 
livres :http://quanthomme.free.fr/energielibre/evolution/PageDVS_3.htm
 
- Energie libre et technologies, Jeane Manning , Editions Louise Courteau.
 
- Coucou c’est Tesla, l’énergie libre, Collectif d’auteurs, Editions Félix
 
- Et voir le post : « De l’energie au spirituel«
14 mars 2016

Thrive le film pour nous libérer du systéme en nous faisant avaler des couleuvres sur les ovnis

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Au sujet du documentaire Thrive, réalisé par, et c’est intéressant, James Foster Gamble, membre de la famille et de l’entreprise homonyme Procter&Gamble, 80 milliards en 2010. Une des plus grandes entreprises du monde, avec Nestlé ou Unilever.


Thrive signifie:
grandir vigoureusement, prospérer.

Prospérer définition:
s’enrichir, se développer, croître

Après l’avoir regardé, quelque-chose me chicanait sans savoir quoi. A part le mot « prospérer » qui ne me plaît pas, car contient « réussite », « enrichissement ». Ensuite j’ai revu un autre docu, le 3e volet de la série Zeitgeist pour observer comment son auteur approche son sujet, et là j’ai pigé.

Ce documentaire offre des observations authentiques et « alternatives » qui parlent à la curiosité et l’idéalisme pacifique de la plupart des gens tout en offrant un message consumériste sous-jacent. C’est du marketing pour vendre de l’immobilisme. Il utilise les codes actuels suggérant un éveil de la conscience qui se passe réellement en nous parlant de phénomènes passionnants, tout en véhiculant des informations contraires, le status quo du capitalisme. Une vraie hypocrisie. Ce n’est pas étonnant, quand on sait par qui est créé et financé ce projet. Une entreprise qui réalise un bénéfice annuel de 80 milliards de dollars tout en dégraissant quand cela optimise ses marges peut-elle remettre en cause le système qui lui a permis de « prospérer »?

thrive

Ci-contre: sur l’affiche du film, un œil qui voit enfin ou un œil qui vous épie?

Enoncer du vrai pour vendre du faux

Thrive montre plein de choses passionnantes mais le message, le fond,FAIT SOURNOISEMENT la promotion des ovnis et tous les phenomenes sont reliés entre eux point par point ,la belle philosophie qui en ressort ressemble a un cas typique dun gateau empoisonné ils racontent tout ce que vous voudriez entendre pour pouvoir vous installer le programme souhaité sur les ovnis qui est une fumisterie diabolique .......Rjames

Le mouvement Thrive, en français développement, épanouissement, est un autre axe des opérations de désinformation made in USA. Mais, finalement, c’est bien que ces couillonnades existent, car cela permet assez aisément de montrer comment on tente de gruger les gens… »
(jp-petit.org/Greer)

Comme par hasard, Foster vante également les mérites de l'énergie du point zéro. Il est secondé par un scientifique, Nassim Haramein.

 

Nassim_Haramein

Nassim Haramein, un des piliers du mouvement Thrive

 

Je vais peut être vous faire sourire en vous disant qu'Haramein a tenté "de me recruter" en prenant contact avec moi il y a quelques années, sous l'angle science. Il n'est effectivement pas dépourvu de connaissances en mathématiques, et en particulier en géométrie différentielle. Plutôt que de continuer à ramer avec la foule de ceux qui tentaient d'y voir clair en cosmologie, après avoir publié un article ou deux dans Physical Review, Harramein préféra mettre son glaive au service de la désinformation, de manière certainement plus lucrative que ce pourrait lui offrir une université.

En refusant, j'ai sans doute loupé une juteuse opportunité. En effet la surface de Boy et beaucoup plus sophistiquée et riche que le tore à gorge nulle, objet devant lequel James Foster Gamble était tombé en arrêt. J'ai toujours pensé, en utilisant en plus les textes Ummo, que j'aurais pu fonder une secte à côté de laquelle la scientologie aurait fait figure de jardin d'enfants.

J'avais également sous le coude des théorèmes susceptibles d'avoir un impact fort comme :

- Deux univers perpendiculaires à un même troisième sont parallèles entre eux

- Une fourchette dont les dents sont infiniment serrées s'appelle une cuillère

- Tout corps astral plongé dans un fluide astral, reçoit une poussée dirigées du bas vers le haut, égal au poids de la matière astrale déplacée.

Dans le film de Thrive vous retrouverez les mêmes thèmes, et très souvent les mêmes personnes, utilisées par Greer dans son film Sirius. Lui-même fait une brève apparition dans Thrive.

Greer c'est la désinformation dans tout ses etats .......à éviter de fait on le voit dans le projet sirius faire des veillées  et invoquer des extraterrestres pour quils apparaissent dit ils aux participants ,ce serait plus liée à de la manipulation cérébrales via des hologrammes ou stimuli par onde electromagnetiques qui permettrait de mettre en état d'hypnose les participants ébahis

 

22 février 2016

Un physicien en colère tenait à rendre publique ce qu’il pense du monde scientifique de L' énergie libre interdite .

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Un physicien en colère tenait à rendre publique ce qu’il pense du monde scientifique d’aujourd’hui dans un texte qu’il a écrit lui-même. Il y parle d’énergie libre interdite et de l’escroquerie du système actuel. Il donne des liens très intéressants. Il a choisit le média alternatif et philosophique Wikistrike pour s’exprimer. Nous tenions ici à le remercier. Ce texte est important, car voilà enfin un scientifique qui ose rompre le silence, dégouté par un système fasciste. Vive la démocratie et l’énergie libre !

Le savoir et la technologie comme base d’une civilisation contre la puissance des lobbys sur la recherche scientifique, voilà ce qu’il faut chercher ; ouvrons la boîte de Pandore, et mettons un terme à l’hégémonie du nucléaire, du pétrole et de toutes les autres ressources fossiles pour échapper à leurs conséquences dévastatrices sur notre environnement, notre TERRE.

Puisque quelques amis me l’ont si gentiment suggéré, au nom de la liberté d’expression, de mon mépris des Grenelle de l’environnement, de mon dégoût du nouveau cinéma – taxe carbone et MOX de Faux Cul Shima – et pour le bien être de tous, aujourd’hui, c’est l’heure du grand lavage de mains et de cerveau ! L’unique vérité est l’art de voir. Voyez.
Je fus chercheur et docteur en physique au THÉÂTRE de l’enseignement occidental, ce que je sais dépasse tout ce qu’on vous a appris et même tout ce qu’on vous a caché. C’est mon libre arbitre et ma recherche de la connaissance qui me l’ont révélé, à jamais merci à l’esprit philosophique français et à la culture des philosophes des lumières que j’ai adopté au cours de ma jeunesse d’expatrié.

Ce que je veux vous donner dans cet exposé, c’est une réalité simplifiée des propriétés cachées de cet univers, de sa compréhension viendra la fin de tous les problèmes de ce monde. Et viendra la motivation absolue de changer ce monde, avec un argumentaire solide et une vision future prometteuse qui n’existe plus dans aucun courant politique actuel petit ou grand.
Il s’agit des méthodes pour produire de l’énergie notamment sous forme électrique et quasi gratuitement en « consommant le vide de l’univers » et quelques technologies d’armement se basant sur les propriétés réelles du vide de l’univers. Et oui le vide n’est pas vide, c’est un océan d’énergie invisible dans une dimension (sous espace) que nous ne percevons pas par nos sens et le commun de notre technologie.

Vous pensez peut-être que le pétrole et le nucléaire sont les seules sources d’énergies qui existent, que les armes de votre armée sont les meilleures ?
Vous vous trompez tous, mais vous avez été trompés depuis au moins un siècle par des lobbys surpuissants, maléfiques, lesquels dirigent réellement ce monde en sélectionnant leurs dociles marionnettes les représentants (Obama, Hollande, Merkel, Ahmadinejad, …).

Lesquels pour exemple, au début du siècle dernier ont répondu à Nikola Tesla au sujet de son idée de générer de l’énergie électrique gratuite produite en puisant directement dans le vide énergétique inépuisable de l’univers, aussi rendant cette énergie accessible en tout point du monde sans fil : « Mais, Mr Tesla où allons nous placer le compteur ? », le principal actionnaire des projets de Tesla ce nommait déjà JP Morgan, lequel lui a rapidement coupé tout crédit, on comprendra cela pour continuer à exploiter les ressources fossiles et en tirer le maximum de profit entre amis. (1*)

Tenez maintenant dans votre esprit ces simples questions : de quoi dépend une civilisation ? Qu’est ce qui en fait sa puissance, sa liberté et son indépendance ?
Sa culture, sa langue, ses hommes politiques, son histoire, les infections mentales qui servent de religion, …. ! C’est beau, c’est du folklore, presque une pure perte de temps, un égarement nostalgique sans fin. Au fond nous partageons tous le même ADN, nous avons tous besoin de manger, et tous besoin d’énergie pour fabriquer ce dont nous avons besoin, faire grandir notre civilisation et notre bien être, nous simplifier l’existence et cela bien plus que d’une histoire ou encore une religion et une culture !

Alors une civilisation dépend peut être de son armée, et bien non, mais de la technologie et la connaissance utilisée par cette civilisation et son autonomie énergétique, donc des ressources pour atteindre cette autonomie, la clef d’une civilisation c’est son énergie et rien d’autre. Et si demain, une ressource nouvelle devait être le vide de l’univers, alors toute civilisation qui l’utiliserait deviendrait de facto indépendante de toutes les autres ressources dont notamment le nucléaire et le fossile et indépendante de tous les lobbys contrôlant ces dites ressources. Que pensez-vous de 1 millions de soldats rendus malades par une onde ! Ou morts ! Et bien ils n’auraient servis à rien ! Et tout le matériel dont ils disposaient avec ! Qui l’emporte ? Celui qui a le plus de connaissances même aux détriments d’une armée réduite, à l’extrême comme le disait Bonaparte « l’esprit l’emporte toujours sur l’épée », aujourd’hui c’est plus vraie que tout autre chose.

HAARP, le soit disant centre d’étude et de recherche atmosphérique américain situé en Alaska, il s’agit d’une arme en mesure de détruire toute forme de vie en quasi tout point du monde sur une zone dépendant de l’énergie disponible pour modifier les propriétés du vide de l’univers sur cette même zone et rendant ainsi ce même vide impropre pour toute forme de vie qui baignerait dedans ! Et bien d’autres phénomènes dont : tremblements de terre, catastrophes climatiques, rendre in-opérationnel tout équipement électronique, mur de plasma bouclier antimissile de telle sorte que le missile serait détruit durant son trajet immédiatement après avoir été détecté, et peut être même pour HAARP le dôme électromagnétique (à la façon Stargate, série dans laquelle l’énergie provient du vide) résistant aux explosions nucléaires et faisant écran à tous types de rayonnements y compris radioactifs et électromagnétiques ….

Et les armes atomiques, alors un cinéma de plus, il serait si facile de s’en protéger et si facile de châtier à distance n’importe quelle nation avec une arme électromagnétique. Ces technologies ainsi que les sources d’énergies autonomes puisant directement dans le vide de l’univers pour les faire fonctionner, depuis des décennies des nations les possèdent, de sources sûres les russes à un stade pleinement opérationnel (Kroutchev n’a-t-il pas laissé entendre que l’URSS possédait des super armes ?), les américains, et quelques autres à un stade plus ou moins avancé, bouche cousue avec les OVNI humains ce sont les secrets militaires les mieux gardés au monde. C’est Nikola Tesla qui a découvert expérimentalement, imaginé et développé le concept de l’arme électromagnétique ou rayon de la mort, il en a donné le principe de mise en œuvre et les explications nécessaires à quelques nations entres les deux guerres mondiales.

Le très éclairé docteur en physique et Colonel Tom Bearden de l’armée US en parle, en particulier au sujet des armes dites « secrètes » et des sources d’énergies alternatives, je vous conseille fortement de lire son site internet en anglais :
http://www.cheniere.org

Vous avez entendu parler des ovnis, et bien sachez qu’au moins une partie de ceux-ci sont humains et sont de simples applications de l’utilisation et de la manipulation de l’énergie du vide qui est la seule énergie capable de produire les phénomènes propres à un OVNI (anti gravité et accélération exponentielle).
Je vous suggère simplement de regarder ce brevet rédigé dans la langue de Molière sur le site de l’INPI (Institut Nationale de la Propriété Industrielle) :
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=FR&NR=2916316A3&KC=A3&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR

Bien sûr tous les scientifiques de la pièce de THEATRE, vous diront que tout cela est strictement impossible. Que ce n’est que du papier … de la théorie en dehors de la réalité, de la science fiction … y compris pour les armes électromagnétiques et les méthodes de productions d’énergie puisant dans le vide énergétique de l’univers, alors continuons un peu !
Maintenant, reconsidérez donc bien le cinéma qui est fait au sujet du programme nucléaire de l’Iran et à propos du pétrole et du contrôle des ressources fossiles partout dans le monde ! Son but, c’est déstabilisé l’ordre politique mondiale (de toute façon déjà soumis et pourri par tous types de lobbies économiques, politiques, voir même spirituels) dans le but d’assurer l’hégémonie des USA et pays vassaux ainsi que le modèle maléfique véhiculé par ceux-ci en le sauvant et le justifiant presque toujours par une guerre supplémentaire, bien sûr sous de spécieux prétextes acceptés comme sérieux par l’opinion publique manipulée (au fond il n’y avait pas d’arme de destruction massive en Irak, et Ben Laden n’est rien d’autre qu’une marionnette agente de la CIA, le 11 septembre un coup monté (2*) ).

Et pourquoi ? Car qui contrôle l’énergie d’une civilisation contrôlent cette civilisation. En l’occurrence, il est facile de contrôler le pétrole et le nucléaire puisque tous les deux dépendent directement de gisements localisés dans des pays ou des zones d’influences de superpuissance ou groupements de pays se comportant comme tel, donc qui contrôlent les dits pays politiquement ou économiquement en dispose. A l’opposé de cela, il devient impossible de contrôler des pays ou une civilisation qui disposeraient de sources d’énergie infinies émanant directement d’une nouvelle ressource incommensurable et disponible en tous points de la Terre ou de l’univers, ressource qui existe depuis au moins l’apparition de l’univers, ressources qui sont simplement l’application des lois réelles de l’univers à la science et à l’ingénierie, lois découvertes mais masquées et sempiternellement jamais enseignées aux détriments du bien être de toute l’humanité pour que se perpétue toujours la toute puissance de quelques lobbies qui finalement se partagent et contrôlent ce monde (il se dit que les 100 familles les plus riches de la Terre possèdent 80 % de ses ressources ).

Allons, avec de l’eau du robinet et voir même votre pisse, il est possible de faire des milliers de km avec tous les moteurs actuels à combustible fossiles en acceptant quelques modifications sur le système de carburation. Malheureusement en anglais, regardez les brevets de Stanley Meyer sur le site de l’INPI (Institut National de la Propriété Intellectuelle):
http://fr.espacenet.com/searchResults?locale=fr_FR&DB=fr.espacenet.com&ST=advanced&IN=MEYER+STANLEY+A

Il semblerait que ce brave sexagénaire de Stanley se soit effondré mort à la sortie d’un restaurant en mai 2006, certainement empoisonné, aussi son buggy de démonstration fonctionné à l’eau et en consommé très peu, certains affirment 3 l pour 1000 km, d’autres pour 100 km ! La technologie de Stanley Meyer étant relativement simple et accessible, demandez-vous donc pourquoi aucun constructeur automobile ne la propose ni ne l’exige ?

Allons, avec un ou des aimants, un ou des électro-aimants, un système oscillant mécanique ou électronique, quelques composants électroniques, il est possible de produire de l’énergie électrique ou mécanique sans fin ou perpétuelle, sans consommer quoi que se soit (si ce n’est le vide énergétique infinie de l’univers dans lequel nous évoluons et sur lequel est basé toute la VRAIE physique, celle de l’entendement et de la raison, le contraire de la fiction, des plagiats et postulats douteux d’Einstein et autres savants soumis défroqués uni neurone, pas un neurone pour surveiller l’autre !).

Vous ne me croyez toujours pas, je vous suggère de lire attentivement ces quelques brevets sur le site de l’INPI et cette fois ci en français et d’une technologie tout à fait accessible à quiconque, la surcapacité (rendement supérieur à 1 ou encore par exemple une machine qui consomme 1 watt pour en produire 2 ou plus) est quelques fois clairement mise en avant :
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=FR&NR=2399757A2&KC=A2&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=FR&NR=2363929A1&KC=A1&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=FR&NR=2528257A1&KC=A1&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=0152390A1&KC=A1&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=02073779A1&KC=A1&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=2006045333A1&KC=A1&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
…..
Et plus compliqué :
http://fr.espacenet.com/publicationDetails/biblio?CC=WO&NR=2007103020A2&KC=A2&DB=fr.espacenet.com&locale=fr_FR
http://www.google.com/patents?id=uissAAAAEBAJ&printsec=abstract&zoom=4&dq=pulsed+capacitor+discharge+electric+engine
http://v3.espacenet.com/publicationDetails/biblio?adjacent=true&KC=A&date=20070523&NR=2432463A&DB=EPODOC&locale=fr_FR&CC=GB&FT=D
……
La liste est très longue …. Par crainte de non recevabilité des brevets, bien souvent il n’est pas mentionné dans ceux-ci : sur unité, rendement supérieur à 1, sur capacité, machine perpétuelle, boucle close sont des termes prohibés…. Sérieusement il ne faut pas contredire les lois de la thermodynamique (3*). Bien sûr, ces inventeurs pour certains chercheurs et docteurs es science ne sont que des BOUFFONS qui amusent la galerie dans la pièce de THEATRE dans laquelle nous vivons et surtout à traiter comme tels. Et pour tous ceux qui veulent en savoir plus, un très bon site en français qui vous apprendra comment modifier votre voiture simplement pour consommer de l’eau jusqu’à 50% et par la même cesser de polluer, ou encore comment combiner le dioxyde de carbone (CO2) avec l’eau pour reformer du carburant, cela ne serait il pas plus judicieux qu’une taxe carbone ?

Regardez par vous-même :
http://quanthomme.free.fr/
Un autre en anglais très complet sur de nombreux phénomènes et machines à surcapacité les exploitants:
http://peswiki.com/

Sérieusement vous pensez que jamais les constructeurs automobiles, les producteurs d’électricité ne furent sollicités par ces inventeurs ou encore par des chercheurs. Alors votre naïveté est grande, au contraire ces inventeurs furent dans le cas de contacts avec les constructeurs automobiles sommés de se taire ou bien encore de mourir comme ce brave Stanley et d’autres.
En ce qui concerne la production d’électricité, c’est identique. Il fallait toujours consommer une ressource tarissable pour être crédible, ou encore s’aventurer dans des projets pharaoniques comme les centrales nucléaires, ou la recherche sur la fusion nucléaire mais seulement à chaud !!!

Depuis des lustres, un consommateur qui consomme jusqu’à ce qui devrait être gratuit, comme du carburant au lieu d’eau pour sa voiture, de l’uranium, du charbon, du gaz, … au lieu du vide énergétique de l’univers dans lequel nous vivons, lequel vide sans fin contient une énergie colossale (le milieu qui se trouve entre les atomes, entre les planètes, dans tous l’univers, autrefois appelé éther, à titre d’analogie chaque centimètre cube contient assez d’énergie pour recréer toute la matière visible de l’univers que nous voyons avec le plus puissant de nos télescope, ou encore assez d’énergie pour mettre en ébullition tous les océans de la terre !).

Si vous n’avez jamais entendu parler d’énergie libre, de machines à sur unité ou sur capacité possédant des rendements bien supérieurs à 100% ; c’est pour que vous viviez en esclave de la consommation, en consommant en premier de l’énergie payante tout en dépendant de celle-ci, et celle-ci dépendant de sources tarissables comme les énergies fossiles ou nucléaires actuelles, justifiant ainsi l’impérialisme et la guerre, les légitimant par la crise (pétrole à 150 dollars). Le tout savamment orchestré par des médias malveillants obéissants et n’étant point des journalistes mais une mafia de la Pravda démocratique mondiale nous gouvernant, laquelle se trouve directement aux ordres des sectes et lobbies les plus puissants.

C’est cela qui fait donc la force de ses lobbys maléfiques et c’est vous le moteur de cette force suite à l’ignorance dans laquelle ils vous ont plongé.
Maintenant, j’espère que vous comprenez que les lobbys maléfiques contrôlant ce monde à tous les niveaux de sa hiérarchie, fabriquent les crises et les guerres pour vous asservir, fabriquent l’esclave moderne ! Le travailleur idéal et s’enrichissent de manière infinie sur votre dos et votre crédulité !

Toutefois, le système d’enseignement actuel en est responsable car lui aussi est contrôlé par les lobbies notamment énergétiques. Si vous saviez le nombre de thèses de recherche financées par Elf, EDF, et autres géants, dès fois je me suis demandé si l’enseignement public l’était encore, libre de lui-même ou bien un instrument pour faire réaliser des économies aux groupes industriels qui soumettent directement leurs propres sujets d’études. Dans les universités les « bons professeurs » lavent le cerveau des étudiants, ne leur donnent pas la connaissance, ni même l’indépendance d’esprit pour l’accueillir. Au contraire tout est fait pour les étudiants ne puissent jamais l’atteindre, jamais ouvrir leurs yeux et voir par eux-mêmes, rarement se poser une question pertinente et surtout en dehors de ce qu’ils apprennent. Cela sans même qu’ils ne s’en rendent compte, la parole du professeur étant quasi divine et son courroux terrible.

Je fus obligé d’apprendre des décennies la loi de conservation de l’énergie (3*) comme étant un principe universel et général de l’univers ! Alors que c’est un cas particulier, en réalité cet univers est une mer d’énergie, de la matière qui le compose jusqu’à son vide, dans cet univers sans cesse de l’énergie semble apparaître de nulle part, c’est pourquoi l’univers est en expansion, sa matière noire manquante (supercherie de la physique) c’est l’énergie de son vide. Je fus obligé de ne jamais aborder certains prix Nobel comme Lee & Yang (4*) au sujet des théories des interactions faibles et la non conservation de la parité, et de la loi de la conservation de la parité et autres lois de symétrie en physique. D’ailleurs ceux-ci et quelques autres ne sont et seront jamais mentionnés dans aucun ouvrage de physique. Les aborder aurait signifié que cette parité ou symétrie puisse se rompre ou ne soit pas si parfaite ! Et que de l’énergie puisse jaillir de nulle part ! Comme la gravité par exemple ! Ou encore c’est aussi idiot que cela, mais le magnétisme d’un aimant est permanent et pour autant l’aimant ne se consomme pas (au sens d’une bûche qui brulerait pour produire une flamme, la masse de l’aimant ne diminue pas pour produire son champ). L’énergie nécessaire pour fabriquer l’aimant est des milliards de fois moindre que l’énergie constante cumulée restituée par le champ de l’aimant au cours de son immense durée de vie (estimée à plusieurs siècles).

Je fus obligé d’enseigner les fausses théories d’Einstein et de ne jamais le critiquer pour ne pas être un vilain antisémite en particulier dans l’esprit des meilleurs cancres de la classe. La relativité est une pure idiotie de la physique et ne décrit absolument pas l’univers dans lequel nous évoluons car tout simplement basée sur des hypothèses fantaisistes, des postulats erronés ! Invérifiable par ailleurs et suggérant que la vitesse de la lumière ne peut être dépassée car étant une constante absolue, c’est archi faux et cela a trompé des générations de chercheurs et trompe encore (des expériences de laboratoires prouvent que des ondes peuvent sous certaines conditions se déplacer plus vite que la lumière (5*) ). J’affirme aussi que toute la communauté scientifique honnête et contemporaine d’Einstein riait de la théorie de la relativité, dont Nikola Tesla et ses confrères … en particulier car Einstein pensait avant de se rétracter que le vide était bien vide. Einstein c’est l’anti pierre de Rosette de la physique, une tromperie impensable et rien d’autre.

Je fus obligé de cautionner des idées folles comme la recherche du boson de High (particule hypothétique qui serait à l’origine de la gravité), et pour le trouver la construction d’accélérateur de particules comme celui du CERN d’un coût de 6,3 milliards d’euros (entièrement financé par des fonds publics gouvernementaux), pour au final ne jamais rien trouver. La gravité s’expliquerait bien plus volontiers comme étant la conséquence d’une rupture de symétrie inhérente à la structure de l’atome et le vide de l’univers, l’atome ne pouvant exister dans ce vide énergétique que dans en état de pseudo équilibre entre lui-même et ce vide, duquel se génère un champ uniforme émanant et s’exerçant sur tout atome, ce champ fait partie des propriétés physiques de la structure de tout atome et du vide de l’univers (c’est ainsi car la structure de l’atome et du vide énergétique dans lequel il évolue sont ainsi, la gravité est le résultat d’un champ, non pas d’une particule, ni même ce champ est l’émanation d’une particule, mais plutôt d’une multitude d’interaction de la structure de la matière avec le vide de l’univers).
Avec ces 6,3 milliards d’euros, nous aurions pu changer le monde déjà mille fois, votre voiture roulerait en consommant le vide de l’univers, l’électricité deviendrait gratuite, il n’y aurait plus de stations services, de centrales nucléaires, de pylônes électriques, de pollution, et surtout plus de guerres pour courir derrières les ressources naturelles ou en assurer leurs transports en toute sécurité.

Pourtant, la presse du monde vous a vendu cet accélérateur de particules comme étant la solution à la compréhension de l’univers et de la matière qui le compose, il n’en ait rien ! C’est au contraire s’éloigner davantage de la réalité pour ne surtout pas confirmer la théorie de la super symétrie et tous ses développements possibles. Aussi cet accélérateur vous a été vendu par la presse internationale comme pouvant déboucher un jour sur un moyen de produire de l’énergie propre en grande quantité, c’est un mensonge ! Jamais de telles recherches ne jailliront un seul kilowatt exploitable industriellement ! Je fus obligé de mentir au sujet des phénomènes de fusion à froid (6*), de les nier, alors que ceux si sont bien réels et peuvent produire de l’énergie notamment sous forme de chaleur au même titre que les phénomènes de fission des centrales nucléaires classiques, mais cette fois ci sans matériaux radioactifs épuisables comme l’uranium et en plus produisant des déchets encore plus radioactifs.

Je me souviendrais toujours du 23 mars 1989, la « Une » du Financial Times titrait : deux électro chimistes, Stanley Pons et Martin Fleischmann, déclaraient avoir réussi à obtenir une réaction de fusion nucléaire lors d’une relativement banale expérience d’électrolyse dans de l’eau lourde. De nouveau, je fus obligé de mentir et d’expliquer que cela était au minimum une erreur d’interprétation au maximum une farce et surtout impossible. Pourtant, suivant l’avis de dizaines de physiciens qui ont reproduit et perfectionné l’expérience, ca fonctionne très bien avec un potentiel apte pour arrêter toutes les vieilles centrales nucléaires du monde ! Aucun budget pour approfondir sérieusement le sujet, les lobbys considèrent que seule la fusion à chaud est possible, aussi ils ne voudraient pas perdre trop rapidement ce qui fait leurs puissances, le contrôle des ressources naturelles épuisables rendues superflues par excès de connaissance ! Martin Fleischman fut tant écœuré par la presse aux contrôles des lobbies qu’il fut obligé dans le regret de se rétracter ….

Et je fus obligé et obligé de suivre le programme d’enseignement à la LETTRE, de choisir les sujets des thèses de mes étudiants ….. De qui et pour qui ? Des lobbys ignobles … qui aujourd’hui ont précipité l’humanité là où elle se trouve, dans un véritable et bien réel THEATRE en feu très proche de son effondrement.

Dans les années 70 – 80 ; nous parlions déjà de l’énergie libre et de théories sur l’univers bien plus avancées et proches de la réalité que tout ce que nous devions enseigner, nous fermions la porte du bureau et n’en parlions pas avec tous nos autres collègues, par crainte d’être catalogué hystérique et de recevoir aucun budget, une mutation, ou pire …
Quelques uns d’entre nous à travers le monde y ont d’ailleurs laissé leurs vies ou plus simplement furent sévèrement remis en place pour en avoir parlé en public ou encore proposé des machines ou technologies qui mettraient fin à l’hégémonie de la fission nucléaire et du fossile, ou encore même démontré seulement pour la simple curiosité que le vide n’est pas vide mais plein d’énergie !

Demain, pour vous et vos enfants, vous pouvez changez ce monde, le rendre propre, sans pollution, sans guerre, vous pouvez retrouver votre liberté, votre indépendance, cela dépend de vous !

Peuples souverains, serions nous victime d’une CONSPIRATION ? Un bon PROCÈS pour TROMPERIE s’impose. Jugeons sous le regard du savoir et la technologie le Grenelle de l’environnement, et les solutions toutes les unes les plus absurdes que les autres qu’il véhicule, ces Grenelle si chers au nabot roi de France. Jugeons la taxe carbone qui aura certainement bon dos sur le dos des plus pauvres d’entre nous et ainsi que tous ces faux écologistes de pacotilles ne présentant que des solutions dictées par les grands groupes industriels.

N’oublions pas aussi les leaders et grands actionnaires de ces grands groupes industriels autrefois entreprises publiques qui je vous l’assure en connaissance de cause maintiennent ce monde comme il est et le détruise chaque jour un peu plus au nom du sacro saint profit et contrôle de votre existence, sans quoi ils n’existeraient plus depuis belle lurette.
Chassons ces démons, ces mafias, ces lobbys, leurs marionnettes, leurs organisations, leurs sectes … ! Ce sont des assassins, des comploteurs, des manipulateurs, des usurpateurs …. Des criminels contre l’humanité, la paix sur Terre et le genre humain bien pires que tous ceux qu’ils vous présentent comme étant les pires.
Le monde dans lequel nous évoluons actuellement est une INSULTE à l’immense potentiel intellectuel du genre humain et à l’immense potentiel énergétique de l’univers dans lequel nous avons la chance d’évoluer !

Le changement s’impose partout y compris dans l’enseignement et dans la science, et pour que plus jamais cela ne se reproduise, partageons et rendons la connaissance publique, OPEN SOURCE, sans contrôles et censures des lobbies, un monde meilleur apparaîtra alors.

RÉVEILLEZ-VOUS … aux armes, à vos ateliers citoyens, votre avenir et celui de cette planète vous appartiennent ne les laissez point entre les mains de ces hypocrites aux sourires angéliques, votre génie est plus grand que toute la force de toutes leurs épées réunies. Le pouvoir c’est vous le BON PEUPLE.

Auteur : un physicien en colère - Source : WikiStrike

Notes :

(1) Il s’agit des expériences que Tesla réalise à Wardencliff, suite auxquelles il découvre que finalement ses expériences ouvrent une brèche dans le vide énergétique de l’univers et qu’il apparait alors une quantité d’énergie phénoménale semblant provenir de nulle part, une très grande quantité d’énergie devient alors disponible avec un très faible investissement énergétique, en fait l’investissement énergétique nécessaire à perturber le vide énergétique de l’univers inépuisable et présent de manière uniforme en tout point de celui-ci. Ces expériences furent arrêtées suite à l’arrêt de tout financement, les installations démontées. C’est à Wardencliff que Tesla démontre qu’il est possible de rendre disponible l’énergie du vide à grande distance de la source perturbatrice de celui-ci qui ouvre une brèche dans celui-ci. C’est l’expérience des lampes qu’il allume à plus de 20 miles de son émetteur perturbant le vide, lesquelles lampes s’allument en ‘pompant’ cette énergie rendue disponible dans le milieu ambiant par la perturbation générée. Pour faire apparaitre de l’énergie du vide il faut l’exister de manière électromagnétique en générant sur une bobine des pulses de courant continue de plus de 500 kV et moins de 100 microsecondes alors s’ouvre la porte et apparait dans ce vide un potentiel énergétique quasi infini et utilisable. Pour modifier les propriétés du vide et le rendre par exemple impropre à l’évolution de la vie il faut l’exciter cette fois avec les mêmes pulses mais avec des durées supérieures à 100 microsecondes sans toutefois dépassée une valeur limite. Dans ce cas le vide devient une arme inimaginable, Tesla parlait du rayon de la mort. Quelques brides des travaux de Tesla et les brevets relatifs à ces inventions sont disponibles sur internet.

(2) Le 11 septembre, effondrement des tours du World Trade Center, un tel effondrement ne peut se produire que par l’utilisation d’explosifs, les poutrelles coupées en biais comme au chalumeau que l’on voit sur quelques photos du site après l’écroulement et au cours de son nettoyage témoignent de la présence d’explosif de découpe. D’ailleurs des traces d’explosifs ont été retrouvées sur des échantillons provenant du site. Rien que cela suffit à contredire la version officielle offerte par le gouvernement américain et ses agences de scénaristes.

(3) Lois de la thermodynamique
a. L’énergie d’un système se conserve, en l’occurrence l’énergie ne peut que se transformer, et il ne peut pas apparaitre en sortie d’un système donnée plus d’énergie qu’en entrée. Cela est vrai seulement à l’échelle macroscopique d’un système sans tenir compte des mécanismes microscopiques ou voir quantiques sous jacents à un système.
Hors dans le cadre de l’énergie du vide de l’univers il s’agit de phénomènes quantiques donc sous jacents à la matière et au milieu (vide énergétique) dans lequel elle se trouve.
b. Irréversibilité des processus macroscopiques spontanés. Il n’existe pas de processus dont le seul effet serait de faire passer de la chaleur d’une source froide à une source chaude. L’évolution spontanée d’un système isolé se traduit donc toujours par une augmentation de son entropie, puisque la quantité de chaleur qu’il reçoit est nulle. Cette évolution est irréversible, car à la transformation inverse correspondrait une diminution d’entropie.
Entropie ; grandeur qui, en thermodynamique, permet d’évaluer la dégradation de l’énergie d’un système.
Cette loi devient désuète dans le cadre de l’étude de l’énergie du vide et des phénomènes relatifs à celle-ci, à nouveau la loi ne peut décrire que des phénomènes macroscopiques et non quantiques. De plus, même si on considérerait une machine à surcapacité qui puiserait son énergie du vide comme un système macroscopique, alors son entropie diminuerait au cours de son fonctionnement, d’ou le gain d’énergie du système.
c. L’énergie et l’entropie ne sont définies par les deux premiers principes que par leurs variations et, donc, qu’à une constante près. Le troisième principe énonce que, à la température de 0 K, l’entropie de tous les systèmes est nulle.
Hors comme les deux premiers principes sont inapplicables dans le cadre de l’étude du vide énergétique de l’univers, ce dernier postulat perd son sens.
Par constats logiques, ces lois ne peuvent donc décrire que des cas particuliers dans lesquelles il n’y a aucune interaction de la matière ou d’ondes électromagnétiques avec le vide énergétique de l’univers (niveau quantique et subatomique). Dans le cas contraire ces lois ne sont tout simplement plus valables.

(4) TSUNG DAO LEE & CHEN NING YANG (résumé et implications des deux prix Nobel)
Weak interactions and non conservation of parity. Nobel Lecture, December 11, 1957
The law of parity conservation and other symmetry laws of physics. Nobel Lecture, December 11, 1957
La forte prédiction de la rupture de la symétrie par Lee et Yang et les preuves expérimentales de Wu et cie en 1957 initie une grande révolution à travers la physique et pour cela le prix Nobel leur fut décerné.
Une des preuves de la rupture de la symétrie par Wu et cie est publiée en 1957, il s’agit de la rupture de la symétrie de charges opposées, comme cela ce produit aux extrémités d’un dipôle.
Cette asymétrie est utilisée par les charges et les dipôles pour extraire de l’énergie hors du champ électromagnétique du vide. Pourtant aucun traité d’ingénierie électrique ou d’électromagnétique classique ne mentionne les implications énergétiques de l’asymétrie de tout dipôle. Comme aucun traité ne mentionne que toute charge et dipôle s’épanchent librement dans une réelle et observable énergie électromagnétique continuelle, sans énergie d’entrée observable.
Ainsi aucun traité implicite n’assume que tout les champs électromagnétiques, potentiels, et énergie sont librement engendrés à partir de rien d’autres que leurs charges associées à leurs sources.
Non plus que la loi de conservation de l’énergie soit falsifiée, ou que la charge doit recevoir son énergie des fluctuations du vide.
La rupture de la symétrie signifie que quelque chose de virtuel mais réel devient observable dans le sens de conséquences physiques qui sont à l’origine de toutes les forces de la nature. La rupture de symétrie à l’extrémité des charges d’un dipôle signifie cela, une fois que les charges sont séparées pour former un dipôle alors le dipôle (ces extrémités chargées) absorbe continuellement des quantums d’énergie provenant du vide, intégrant ces quantums en photon réels et observables, et rejetant ainsi l’énergie électromagnétique réelle sous forme de photons dans toutes les directions à la vitesse de la lumière.
C’est pourquoi un aimant dipolaire (N-S) permanent, avec ses charges magnétiques opposées à ses extrémités, exhibe continuellement un champ magnétique dans l’espace l’entourant. Il y a donc un flux d’énergie électromagnétique continue extrait directement du vide et intégré en champ magnétique observable provenant de la structure même de l’aimant.

(5) La vitesse de la lumière n’est pas une constante, ni une limite.

Entre autres …

Université Berkeley de Californie, Université Technique de Vienne, des expériences de tunneling avec des lasers affichent des vitesses de l’ordre de 1.7 à 2.4 fois la vitesse de la lumière (Prof. Dr. Ferenc Krausz, Prof. Raymond Chiao).

Université de Cologne, institut de physique, Nimtz,G.: Instantanes Tunneln, Tunnelexperimente mit elektromagnetischen Wellen, Phys.B1.49, VCH Weinheim (1993) Nr.12, S. 1119-1120
Thoma, P., Weiland.T.: Wie real ist das Instantane Tunneln? Phys.Bl.50, VCH Weinheim (1994) Nr.4, S. 359-361. Des expérimentations avec des micro-ondes soumises à un effet de tunnel démontrent clairement des vitesses supérieures à celle de la lumière.

F. K. Preikschat, A Critical look at the theory of Relativity, Library of Congress Catalogue No. 77-670044. Extensive compilation of measurements of the speed of light. Clearly shows the speed of light is not constant but changes, sometimes even daily.

L’interprétation de la force de Casimir suggère aussi quelque chose qui se déplace plus vite que la lumière.

Barton, Gabrlel Physics and Astronomy Division University of Sussex, Brighten BN1 9QH, England, UR G.Barton@sussex.ac.uk. Travaux théoriques sur les aspects de la fluctuation du vide, incluant le problème de la vitesse superluminique de la lumière entre les plaques de Casimir.

Scharnhorst, Klaus Department of Physics, University of Wales Sw Singleton Park, Swansea SA2 8PP, Wales, UR T R.Scharnhorst@swansea•ac•uk Theorist, découverte de l’effet Scharnhost, la vitesse de la lumière est plus grande que c quand perpendiculaire aux plaques de Casimir.

L’hypothèse de base des théories d’Einstein – la vitesse de la lumière constante et paramètre limite – tombe littéralement à l’eau. La vitesse de la lumière n’est pas une limite physique de l’univers, la théorie de la relativité devient absurde en physique quantique.

“C’est absurde.” Nikola Tesla
“La théorie de la relativité est une mascarade mathématique, derrière laquelle se cache une inextricable mixture faite d’idées, de contradictions, de mensonges, de postulats arbitraires et ignorant toute logique saine ” Erich Ruckhaber
Erich Ruckhaber, Nikola Tesla To Einstein’s Theories, Rare Book and Manuscript Library, Columbia University, 15.4.1932. Entnommen aus J.T.Ratzlaff: Tesla Said, Tesla Book Company, pp. 238, ISBN O-914119-OO-1

“Une physique hybride, de contradictions et confusions fantastiques, aucun sens !” Johann Marinsek: Rationale Physik, S. 163, dbv-Verlag TU Graz, 1989, ISBN3-7O41-O176-1

Tout est à revoir suivant de nouvelles hypothèses.
(6) Voir le science et vie de mai 2004 qui titre en première page ‘Retour sur l’affaire de la fusion froide’, 15 ans après les premières expérimentations on y admet enfin que la fusion froide est une réalité accessible.

 

2) aucun des brevets cités n’est l’objet d’une promotion de celui-ci, ceux-ci sont donnés à titre d’exemple et pour une meilleure compréhension du sujet, certains d’entres eux sont aujourd’hui dans le domaine public et donc librement exploitables commercialement par quiconque.

3) pour des raisons évidentes de compréhension et de clarté de mes propos je ne puis m’étaler davantage dans la théorie et des formules, pour tous ceux qui veulent en savoir encore plus pour l’heure de l’éventuel procès :

http://www.bio-sport.fr/un-physicien-rompt-le-silence-lire-entierement/

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21 décembre 2015

L'Énergie Primordiale Cosmique, nommée Orgone .

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L'Énergie Primordiale Cosmique, nommée Énergie d'Orgone Cosmique, fut découverte dans l'intervalle des années 1936 et 1939 en Norvège. La découverte initiale a été pour l'essentiel complétée en 1940, dans le Maine, aux États-Unis. Ce fut alors le résultat de recherches compliquées dans les domaines de la nature en général et des fonctions bioénergiques de l'humain en particulier, étalée sur une période de quelques vingt années. Le découvreur en est Wilhelm Reich, docteur en médecine.

Depuis 1940, une organisation scientifique comprenant des médecins, des psychiatres, des physiciens, des biologistes, des éducateurs et des travailleurs sociaux, ainsi que des institutions sœurs de plusieurs pays, s'est lentement développée autour de la découverte de l'énergie de l'orgone cosmique.

Cette découverte fondamentale et révolutionnaire s'est frayée son propre chemin dans le public. La devise qui accompagne cette lente pénétration dans la pensée du public semble être :

"L'absence de publicité est la meilleure des publicités"

Quoique connue, estimée et appréciée dans beaucoup de pays par des cercles académiques, la découverte de l'énergie du cosmos est restée méconnue jusqu'à tout récemment du large public. Ce n'est pas réjouissant de prendre l'apparence d'une comète pour la plus grande partie des gens. En accord avec ses fonctions bioénergiques, cette connaissance progresse comme celle, lente, d'un arbre, plutôt qu'à la manière du flash brillant de l'éclair. Rien ne fait plus souffrir que le néfaste de la disparition d'une traînée lumineuse des yeux du public. C'est en cela que cette découverte trouve sa permanence.

En complète harmonie avec ses implications biologiques, une telle découverte préfère prendre le rôle d'un inconscient mais primordial événement plutôt que l'apparence d'une comète ou de l'hapax d'un éclair. Beaucoup de ses amis, inquiets à l'excès, ayant eu conscience du grand développement possible de sa découverte, ont enjoint le découvreur de "faire quelque chose de pratique" et quelque bruit à propos de celle-ci ; d'établir une "officine des relations publiques" ; de "s'assurer la 'bonne faveur' du public" ; de faire paraître d'imposants articles dans la presse quotidienne à propos de sa découverte de l'énergie de la vie ; d'obtenir l'approbation de telle ou telle autorité du domaine de la médecine ou de la physique ; en bref, de faire beaucoup de ces choses qui sont habituellement réalisées par des gens qui veulent faire en sorte que leur nom soit reconnu ou qui souhaitent vendre un produit de l'application des sciences comme un réfrigérateur, un ensemble vidéo, un médicament. Un déploiement abusif, en somme, de publicité qui rapporterait gros.

Le découvreur et ses coéquipiers ressentiront un moment de la culpabilité à négliger ainsi leur devoir, à la perte d'une chance possible, de ne pas soutenir les attentes de leurs censeurs de la conduite publique. Davantage encore, le silence qui entoure la grande découverte dans les arcanes du grand commerce, les sciences élevées, et la grande médecine constituent un moment une réelle menace pour les scientifiques travaillant dans le champ de l'orgonologie. De plus en plus de gens jasent sur cette découverte — lors des tea-parties, dans les hôtels de marque, dans les officines médicales, dans les cercles du gouvernement, dans les bureaux de la police secrète de beaucoup de pays. On en discute autant d'une bonne que d'une mauvaise manière : ici des gens ayant eu à profiter de plusieurs manières de vivre font un éloge de la découverte comme du plus grand résultat obtenu des sciences depuis des siècles ; là, elle est ridiculisée et calomniée d'une façon parfaitement dangereuse. Comme d'habitude, la mauvaise rumeur voyage plus rapidement que la bonne. Encore qu'aucune tentative ait été entreprise de la part du petit groupe de travailleurs en orgonologie pour faire paraître un article dans un journal, pour louer un panneau publicitaire, obtenir la faveur et les compliments que le public octroie si généreusement et si souvent par ignorance à des découvertes innocentes.

Il y a de nombreuses et de très sérieuses raisons pour ne pas suivre le grand et soudain chemin du cours habituel des choses des gains de la découverte.

Premièrement, les faits affluent avec trop de rapidité pour ne pouvoir être saisis correctement et entièrement que par un petit nombre de personnes.

Deuxièmement : chaque nouveau fait singulier qui se révèle de lui-même au chercheur orgonologiste semble contredire la plupart des croyances scientifiques depuis longtemps choyées comme, par exemple, la théorie des germes aériens en bactériologie ; la théorie de "l'électricité statique" en électrophysique ; la théorie des "ondes de chaleur" en météorologie ; la théorie des "radiations cosmiques" qui nous est allègrement remise en question à partir d'un lointain "espace vide" ; l'interprétation de nombreuses variantes, et sans équivoque, fonctions de la décharge spontanée de l'électroscope décrites comme "simples" résultats d'une incompréhensible "fuite naturelle" ; la Seconde loi de la thermodynamique avec son entropie ; la théorie des atomes et des particules électroniques comme les constituants primaires de l'Univers ; la parfaite crainte révérencielle qui gouverne chacune et toutes pensées d'une énergie de la vie qui soit concrète, mesurable et actionnable ; les observations microscopiques évidentes qui révèlent l'organisation naturelle des organismes cellulaires simples provenant de la détérioration des tissus et, même, provenant de l'énergie orgonale libre dans la congélation d'une eau hautement chargée (expérience XX) et dont on refuse si abruptement à orienter son attention dans les milieux actuels de la biologie ; et beaucoup, beaucoup de faits identiques, chaque d'eux étant doté une dimension cosmique.

Troisièmement, l'unique et ultime question qui semble résister à l'obtention d'une réponse qui est pourquoi, pas un, parmi plusieurs milliers de scientifiques habiles, consciencieux, travailleurs, n'a jamais rencontré les relations entre ces faits abondants et les observations qui démontrent indubitablement l'existence d'une ubiquitaire énergie cosmique visible, mesurable et manipulable.

Quatrièmement, les réactions émotionnelles que soulève cette découverte dans les milieux aussi bien profanes que scientifiques, où tout comme lors d'une rencontre avec une chose de nature dangereuse, il est d'abord nécessaire de comprendre et de rencontrer cette animosité.

Cinquièmement, avec chaque nouvelle année qui passe de ce dur travail, les nouvelles fonctions des lois fondamentales deviennent plus simples en même temps que la dimension de la découverte croît dans des proportions effrayantes. Il devient nécessaire de se restreindre soi-même à de petits secteurs des fonctions de l'énergie orgonale et de procéder principalement avec lenteur et précaution. Un grand balayage publicitaire submergerait le peu d'orgonologues présents d'arguments et de contre-arguments, de détails jusqu'à présent non explorés, et une énorme part du public de se mettre à débattre, ce qui étranglerait certainement le travail de recherche fondamentale à l'étouffer à mort.

Nous allons nous arrêter ici. Les arguments pour ne pas suivre les chemins habituels de proclamation de découvertes sont nombreux et de poids. Tout aussi dangereux est ce procédé qui, dû aux suspicions qui poussent à l'action ( "Pourquoi n'en avez-vous pas fait mention dans les journaux ?" et "Le médecin Untel n'a jamais entendu parler de vous") c'est inévitable.

Cependant, les découvertes de bases ont été éditées depuis 1938 en un flot continu de publications que l'on peut obtenir dans beaucoup de librairies de par le monde, mais qui sont peu appréciées des décapiteurs de l'opinion publique.

Cette situation commence à changer avec la crise internationale qui grandit et qui s'étend sur la planète. Avec la guerre atomique qui se profile à l'horizon, et avec notre connaissance des effets bioénergiques de l'énergie orgonale qui est à notre disposition, nous avons décidé de parer au plus pressé, mais sans trop d'anxiété. Depuis les années 1940, de plus en plus de gens en arrivent à prendre connaissance avec l'énergie orgonale dans plusieurs pays ; en conséquence, il semble possible maintenant de rencontrer un intérêt croissant par un effort entrepris pour une divulgation de cette information.

Le présent opuscule donne des indications sur le fonctionnement et la construction de l'accumulateur de l'énergie de l'orgone.

 

1. Qu'est-ce qu'un accumulateur d'énergie orgonale ?

L'accumulateur d'énergie orgonale est un instrument assemblé et matériellement agencé pour que l'énergie vitale [l'énergie de la vie N.d.T.], présente dans l'atmosphère de notre planète, puisse être recueillie, accumulée et rendue utilisable à des fins scientifiques, éducatives et médicales.

 

2. Qui a inventé l'accumulateur d'énergie orgonale ?

L'accumulateur d'énergie orgonale a été inventé par le chercheur en science et médecin Wilhelm Reich, dans les années 1940 aux États-Unis.

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3. Qu'est-ce que l'énergie de vie et quelle est sa relation avec l'énergie cosmique ?

L'existence d'une sorte spécifique d'énergie qui est en relation directe avec la vie, et qui la maintient, a été théoriquement présumée de longue date par des philosophes et des scientifiques. Dans leur lignée, Wilhelm Reich, mettant en relation les faits déjà connus, et ceux, nouveaux, qu'il a découverts, les a coordonnés de manière telle que l'existence d'une énergie vitale [l'énergie de la vie N.d.T.] devienne concrètement démontrable, utilisable et mesurable. L'énergie de l'orgone est le nom donné par Wilhelm Reich à cette énergie spécifique à l'intérieur des organismes vivants. L'existence de l'énergie orgonale à l'extérieur d'un organisme vivant, dans l'atmosphère, a aussi été démontrée. L'énergie (de vie) intime dérive de l'énergie d'orgone extérieure présente dans l'atmosphère. Ce qui est parfaitement logique puisque rien ne peut exister dans un organisme qui n'existe auparavant dans l'environnement de cet organisme vivant.

 

4. Quels sont, concrètement, les faits qui prouvent l'existence d'une telle énergie de vie universelle ?

En vue de comprendre la multitude des faits et des phénomènes connus qui sont en relation avec une énergie vitale spécifique, il est nécessaire d'abandonner de nombreux malentendus que contient la manière de penser scientifique.

L'enveloppe d'énergie orgonale de la Terre

Il est probable que tout un chacun a vu ce qui ressemble à une vague frémissante et vacillante dans l'atmosphère à l'approche du sol, près du sommet des montagnes, sur des routes, des lacs, sur l'océan, etc. Ces phénomènes semblables à des vagues sont communément appelés des "vagues de chaleur", sans pour autant qu'elles aient quelque chose qui soit en relation avec la "chaleur". La chaleur en soi est une sensation subjective, et non pas une énergie ou un fait objectif. Ce qui est objectif est uniquement l'expansion du mercure dans la colonne du thermomètre. Les ascendances d'air chaud, les ondes visibles aux sommets des montagnes ne montent pas mais se meuvent lors des jours clairs d'ouest en est, dans la direction du mouvement de rotation de la Terre. Elles se meuvent plus rapidement que le globe terrestre, sinon on ne pourrait pas en discerner en mouvement. Si ces ondes étaient de "chaleur" elles ne devraient être visibles que lors des jours "chauds" et devraient disparaître lors des jours "froids". Ce qui n'est pas le cas : chacun peut voir ces "vagues de chaleur" en haut des pics montagneux et à travers un télescope même par moins 30 degrés en dessous de zéro ; et chacun peut les voir disparaître lors des jours d'un été chaud peu avant la venue de grosses pluies ou de bourrasques. Par conséquent, ces ondes n'ont rien à voir avec une "chaleur". "Quelque chose" se meut d'ouest en est à la manière des vagues ; ce n'est pas de l'air, puisque l'air est invisible — personne ne peut voir une rafale de vent en mouvement quand bien même elle aurait une vitesse de 90 km/h. Au surplus, ces vagues vont de l'ouest vers l'est, tandis que le vent souffle de toutes les directions. Il est bien plus probable que les vents et les tempêtes de l'atmosphère soient les résultats des déplacements de l'énergie atmosphérique plutôt que quoi que ce soit d'autre. Pour un météorologiste, les "vagues de chaleur" sont la même chose que la

"mauvaise vue"

de l'astronome. Les astronomes souffrent grandement, lors de leurs observations des étoiles, de ce qu'ils nomment "mauvaise vue". L'acuité requise pour l'observation des étoiles est grandement perturbée par le tressaillement et la mouvance en forme de vague de l'atmosphère. Récemment des tentatives ont été entreprises pour éliminer cette mauvaise vue. C'est exactement la manifestation de ce que les études et les moyens de l'orgonologie constatent comme une "énergie orgonale atmosphérique".

"Électrostatique"

En électrophysique, l'énergie atmosphérique est reconnue comme étant "électrostatique". Tout auditeur de radio connaît les bruits de craquement émis par le poste, spécialement avant et pendant un temps orageux. Il déteste le choc qu'il reçoit au moment où il touche la partie métallique de sa voiture, lors des jours secs. Le pilote est particulièrement au courant des charges électrostatiques présentes au bout des ailes de son avion et il les craint. Des dispositifs ont été inventés pour éliminer ces charges des aéroplanes. Maintenant, quoi qu'il soit bien connu que l'air est empli "d'électrostatique" et qu'un simple éclair décharge des millions de volts d'énergie, il est en même temps reconnu que l'air est exempt d'électricité : sinon il ne serait pas et ne pourrait pas être un bon isolant à l'électricité, un fait parfaitement connu de tout électricien. Comment donc l'air peut-il être à la fois plein d'énergie et exempt d'électricité ? Ceci est impossible en terme d'électricité. Il n'est pas seulement possible mais aussi nécessaire de supposer que "l'électricité statique" n'est pas la même énergie que celle que l'on obtient par le déplacement de spires dans un champ magnétique, aussi nommée "électricité galvanique". "L'électricité statique" est une des manifestations de l'énergie de l'orgone atmosphérique. Cette énergie échappe à cette science de l'électricité parce qu'elle n'est pas de l'électricité. Elle suit des lois entièrement différentes de celles de l'électricité. Personne n'a reconnu jusqu'à ce jour, la source de l'énergie magnétique et électrique.

Le bleu du ciel

Le bleu est la couleur spécifique de l'énergie orgonale à l'intérieur et à l'extérieur de l'organisme. La physique classique tente d'expliquer l'azur du ciel par la dispersion du bleu et de la série des couleurs du spectre dans les gaz de l'atmosphère. Quoi qu'il en soit, il est un fait que le bleu est la couleur observée dans toutes les fonctions qui sont en relations avec l'énergie orgonale qu'elle soit cosmique, atmosphérique ou organique :

N'importe quel protoplasme, dans toute cellule ou bactérie, est bleu, ce qui est pris généralement, à tort, comme une "réfraction" de lumière. Ce qui est faux, puisque la même cellule dans les mêmes conditions de lumière, perd sont aspect bleuté lorsqu'elle meurt.

Des nuages d'orage sont profondément bleus à cause de la haute charge contenue dans la masse d'eau qu'ils retiennent en suspens.

Une chambre parfaitement obscurcie, si ses parois sont métalliques (on la nomme alors "chambre à orgone") ne montre pas un noir complet, c'est-à-dire exempt de toute luminosité, mais un noir bleuté ou bleu-gris. L'énergie de l'orgone produit une lumière, spontanément : elle est "luminescente".

L'eau des lacs profonds et des océans est bleue.

La couleur de la lumière irradiant du bois pourrissant est bleue ; ainsi que celle émanant de l'extrémité des paratonnerres, des feux de St-Elme et des aurores boréales.

La luminescence présente dans les tubes à vide chargés avec de l'énergie orgonale est bleue.

Changement de forme

Dans des conditions données pour naturelles, ou bien observées dans l'obscure d'une chambre à orgone, l'énergie orgonale se présente sous la forme d'un nuage se déplaçant avec lenteur, c'est-à-dire plus ou moins régulièrement réparti dans l'espace, sans changement notable, comme des mèches fines de concentration. Si elle est excitée de quelque manière, par exemple par la présence d'organismes vivants ou d'une énergie électromagnétique, les concentrations croissent en densité et en vitesse de déplacement ; ceci apparaît dans une chambre complètement obscure sous la forme de mèches plus grosses se changeant souvent en étincelles lumineuses, tirant sur le jaune, au déplacement rapide.

Universalité

Il n'y a pas moyen de décrire l'énergie orgonale, de séparer une certaine somme du reste de l'océan d'énergie de l'orgone cosmique. L'énergie orgonale pénètre tout avec des vitesses différentes. Elle est présente partout, différant uniquement en densité ou concentration. Les accumulateurs d'énergie orgonale fonctionnent partout.

Absorption et réflexion

Une matière qui s'avère être un bon isolant électrique, ou ce qui revient au même, est un mauvais conducteur électrique, est un bon absorbant d'énergie orgonale ; d'un autre côté, les matières métalliques ne conservent pas l'énergie orgonale, mais la rejettent rapidement après l'avoir attirée. Ceci peut être démontré à travers une série d'expériences particulières.

Les qualités de l'énergie orgonale atmosphérique qui viennent d'être décrites — universalité, absorption par les matières non-métalliques et réflexion par des matières métalliques — sont les principes de base sur lesquels est établie la construction de l'accumulateur d'énergie orgonale.

 

 

 

7. L'utilisation médicale d' accumulateur d'énergie orgonale

De l'irradiation orgonale générale de l'organisme

L'utilisation médicale de l'accumulateur d'énergie orgonale s'accomplit par des séances régulières, quotidiennes, en étant assis dans une enceinte irradiante. La ventilation de l'espace clos est assurée par des ouvertures en bas et en haut de la porte, suffisamment larges pour garantir une circulation de l'air frais. L'énergie de l'orgone atmosphérique ne "s'échappera" pas par ces ouvertures mais pénétrera les murs denses. Par rapport à l'accumulateur, l'organisme est le système énergétique le plus fort. En conséquence, un potentiel est créé de l'extérieur vers l'intérieur par le corps enfermé. Pour parler en terme de biophysique, l'organisme vivant constitue la première et l'enceinte accumulatrice la seconde entité d'un système orgonal irradiant, enveloppant. Les champs énergétiques des deux systèmes entrent en contact et après un moment, dont la longueur dépend de la tension bioénergique de l'organisme enclos, l'organisme vivant et le champ d'énergie de l'accumulateur, tous deux, commencent à luire, c'est-à-dire qu'ils commencent à être excités et, faisant contact, amènent chacun l'autre à un niveaux supérieur d'excitation. Ce fait commence à être perceptible à l'utilisateur de l'accumulateur d'énergie orgonale par la sensation de forts picotements, de l'échauffement, une relaxation, un rougissement du visage, et objectivement, à travers une montée de la température (0,5 à 1,5°C). La température corporelle doit être mesurée avant et pendant l'irradiation (et non après la séance).

Il n'y a pas de règles mécaniques pour établir la mesure du temps durant laquelle quelqu'un doit rester assis dans l'accumulateur. Des personnes biologiquement fortes ont besoin de plus courtes irradiations que des personnes affaiblies. Ceci parait évident puisque les systèmes énergétiquement forts établiront un contact des champs d'énergie rapidement, tandis que des organismes affaiblis auront besoin d'un temps plus long pour réagir.

L'expression "luminescence" est justifiée par la sensation d'une "douce lueur" qui est perçue par plusieurs utilisateurs de l'accumulateur. On peut rester dans cette lueur aussi longtemps que l'on se sent à l'aise et "luminescent". Une personne sensible sentira, après un moment, qu'elle "en aura assez". C'est la manifestation de la sensation d'un "plus rien n'arrivera davantage". Cela s'explique par le fait que, par un véritable processus d'autorégulation, l'organisme absorbera seulement l'énergie orgonale dont il a besoin. On ne peut pas comparer l'irradiation d'orgone avec le remplissage mécanique d'un tonneau par de l'eau ; erronée est cette idée selon laquelle d'autant on "déverse" d'énergie dans un organisme et d'autant c'est profitable. Après qu'un certain niveau ait été atteint, les sensations deviennent déplaisantes. Pression cérébrale, légère nausée, sensation d'inconfort général et vertiges sont les signes les plus communs indiquant qu'advient un excès d'irradiation. On doit simplement sortir de l'accumulateur et, si on a beaucoup trop insisté, qu'on aille un peu s'exposer à l'air frais et les symptômes de la surcharge disparaîtront rapidement. Sous aucun prétexte une personne ne doit rester assise dans l'accumulateur des heures entières ou, comme il arrive, y aller dormir. Cela peut causer de sérieux dommages (important vomissement, etc.). Il est préférable, si besoin est, d'utiliser l'accumulateur plusieurs fois par jour à de courts intervalles plutôt que d'y séjourner inutilement de manière prolongée. À ce stade de nos recherches, aucun accumulateur ayant plus de 3 couches ne devrait être utilisé sans supervision médicale.

La taille de l'accumulateur doit être ajustée à celle de la personne qui l'utilisera. Les parois métalliques intérieures ne doivent pas être éloignées de la surface du corps de la personne de plus de 5 à 10 cm environ. Un petit enfant dans un grand accumulateur n'attirera pas suffisamment l'énergie. La taille moyenne courante de l'accumulateur doit être appropriée pour le plus grand nombre. Les personnes de 1,80 m de haut ont besoin d'un accumulateur plus large.

Les personnes alitées peuvent remplacer l'usage régulier de l'accumulateur par l'usage d'un équipement spécial d'irradiation confectionné pour une utilisation au lit. Un jeu de couches (peu épaisses) est disposé sous le matelas et une partie couvrante est disposée sur le patient, la couverture de lit constituant une couche organique supplémentaire pour cette demie partie d'accumulateur. Le dosage de l'irradiation orgonale, à l'aide de cette couverture accumulatrice d'énergie d'orgone dépend une fois encore entièrement de chaque type de cas et de maladie.

Il n'est pas nécessaire de se déshabiller entièrement dans un accumulateur puisque l'énergie orgonale pénètre tout. Cependant, on évitera les vêtements trop épais ou de laine car cela préviendrait d'un contact et d'une luminescence rapide.

Les effets de l'irradiation sur des maladies particulières sont rarement ponctuels. Ainsi, une tumeur cancéreuse ne sera pas directement ou immédiatement touchée. Un refroidissement ne cédera pas dès les toutes premières séances. Une migraine ou une douleur rhumatismale pourra bien persister après une certaine période de temps. Cela est dû au fait que l'énergie orgonale produira d'abord son effet sur la totalité de l'organisme, sur l'arrière-fond à partir duquel le seul symptôme émerge. Ce ne sera seulement que lorsque la totalité de l'organisme, et particulièrement le système sanguin, sera suffisamment chargé que les symptômes tels que refroidissement, maux de tête, etc., commenceront à céder. En conséquence, ce n'est pas l'énergie extérieure mais le haut niveau d'énergie de l'intérieur bioénergique qui est responsable de l'amélioration dans le domaine symptomatique. Une tumeur cancéreuse au sein ne présentera aucune amélioration durant plusieurs semaines ; puis en peu de jours elle se réduira et décroîtra en taille une fois que l'organisme aura obtenu un niveau satisfaisant de charge bioénergique. L'accumulateur aide la nature présente dans l'organisme à s'aider lui-même. La même sorte de bactérie qui ne sera pas tuée par l'énergie orgonale dans un tube à essai sera tuée dans un organisme hautement chargé sous irradiation orgonale.

En moyenne, l'irradiation orgonale des humains demande entre 5 et 30 minutes quotidiennes. Lors d'un usage régulier, le temps nécessaire diminue. Un patient qui commence par des sessions d'une demi-heure finira à la fin du traitement par des sessions de 10 minutes. Cela dépend aussi du nombre de couches composant l'accumulateur. Un plus grand nombre de couches demandera un temps d'irradiation d'autant plus court. Mais il n'y a rien de mécanique pour ce qui concerne la longueur des séances.

Dans les cas de cancer, anémie, faiblesse bioénergique générale ("fatigue"), etc., le test sanguin Reich doit être entrepris à intervalles réguliers jusqu'à ce qu'un niveau bioénergique normal de l'organisme ait été obtenu. Il suffira parfois de un à deux mois.

Il doit être mis en évidence que seul un usage régulier de l'accumulateur procurera un effet, si c'est par ailleurs possible. Aucun résultat ne peut être envisagé lorsque l'accumulateur est irrégulièrement utilisé, avec des intervalles de temps longs entre les irradiations. En cas de maladie chronique, aucun résultat ne peut être obtenu en une ou deux semaines. Les refroidissements sévères et les sinusites demanderont une irradiation de la totalité de l'organisme se prolongeant sur plus de une à deux années pour montrer de bons résultats, qu'il est possible d'obtenir. Une forte fièvre cédera rarement au bout d'une première année, mais elle aura enfin diminué probablement durant la seconde ou la troisième année d'utilisation. Ceci est encore une fois dû au fait que c'est la totalité de l'organisme qui retrouve en premier lieu des fonctions proprement bioénergiques avant que les symptômes locaux puissent céder au traitement orgonal. Cela prouve d'une manière satisfaisante que l'énergie orgonale attaque l'arrière-fond de la maladie, la totalité du système et non pas simplement le symptôme local.

Dans l'accumulateur d'énergie orgonale, nous avons finalement à notre disposition un outil médical et prophylactique approprié pour venir à bout efficacement de ce que, habituellement et malheureusement, on appelle disposition à la maladie. Cette "disposition" est quelque chose de véritablement concret : c'est le bas niveau bioénergique et métabolique de l'organisme. Un organisme hautement chargé ne contracte pas de refroidissement si facilement par temps froid ; un organisme faiblement chargé contractera un refroidissement à la moindre brise. Un organisme hautement chargé ne permettra pas que se développe une infection putride locale aux poumons ou sur sa peau ; un faible, oui.

L'attention doit, en conséquence, être fondamentalement centrée sur le fonctionnement de l'organisme dans sa globalité. Les tests sanguins Reich sont des outils adéquats par lesquels il est possible de juger du niveau d'énergie de l'organisme.

La tuyère ("shooter")

Tandis que l'accumulateur d'énergie orgonale est devenu médicalement efficace pour la charge d'un système bioénergique dans son ensemble, la "tuyère" concerne uniquement des surfaces locales, c'est-à-dire une coupure ou une brûlure. La tuyère est construite en répondant aux mêmes principes que le grand accumulateur. Elle consiste, elle aussi, en plusieurs couches alternant matière organique et matière métallique qui la rendent efficace dans l'attraction et la concentration de l'énergie de l'orgone atmosphérique. Cette énergie accumulée à l'aide de la tuyère est maintenant orientée à travers un flexible métallique creux jusqu'à la région du corps qui doit être irradiée. Pour les petites surfaces (environ 1 cm2), il suffit de présenter l'extrémité du tube devant la coupure ou la brûlure à une distance d'environ 3 mm. Pour de larges surfaces, un entonnoir, correspondant à la surface à traiter, peut être inséré dans l'extrémité du tube. Seuls les entonnoirs de métal peuvent être utilisés ; des entonnoirs faits en plastique sont inefficaces. L'intensité de l'irradiation ne diminue pas avec la grandeur de la surface. Par une manière tout à fait autorégulatrice, davantage d'énergie orgonale est attirée et réfléchie vers la partie blessée pour aussi large que soit l'ouverture de l'entonnoir inséré dans l'extrémité du câble flexible creux. Le mécanisme des effets de l'irradiation consiste en ceci que les surfaces locales particulières attirent l'énergie de la tuyère en passant dans le câble creux. L'extérieur du câble doit être isolé avec une bande adhésive ou du plastique, une matière organique, de sorte à former en elle-même une structure irradiante dotée à l'intérieur d'une matière métallique et à l'extérieur d'une matière organique.

Au commencement de l'irradiation locale, on ne sent rien. Puis, graduellement, on commence à sentir de la chaleur et des picotements ; et si une douleur est présente, elle commence à céder au bout d'un moment, pour finalement disparaître après une période vraiment brève de grande intensité. Les douleurs de brûlures, de coupures, de contusions cesseront d'être cuisantes après quelques minutes. Au cas où l'épiderme a été écorché et que les couches profondes de la peau ont été exposées, du sérum apparaîtra rapidement et séchera aussitôt. On peut suivre le processus de guérison à mesure qu'il se produit. Lors de blessures, on peut voir en un quart d'heure une congestion locale se développant à partir des bords, en son fond la plaie qui s'égalise tandis que la rougeur initiale, due à l'injection de sang dans la périphérie, disparaîtra au fur et à mesure de la progression du processus. On ne doit pas trop longtemps irradier. En correspondance avec la taille de la blessure, 5 à 30 minutes devraient suffire pour enclencher le processus de guérison vers une évolution rapide. Une fois que l'on a pu constater les changements d'apparence de la plaie (la couleur, la profondeur, le dessèchement, l'égalisation), on peut cesser l'irradiation et appliquer les remèdes antiseptiques habituels, et irradier à nouveau après quelques heures, ou moins, en correspondance avec la sévérité de la blessure. Même de graves douleurs peuvent être rapidement stoppées après l'accident si l'énergie d'orgone est appliquée localement à l'aide de la tuyère. Dans des cas sévères de brûlure, l'expérience a montré le fait stupéfiant qu'aucune vésicule n'apparaît, et que la rougeur initiale disparaît lentement. La plaie guérit bientôt en quelques heures, les plus sévères demandant un jour ou deux. Seuls les processus chroniques, déjà avancés de dégénérescence demandent des semaines ou des mois de quotidienne irradiation. Mais ici aussi, de sévères lésions, telles que des varices ulcéreuses persistantes, céderont à l'irradiation d'énergie orgonale.

On doit être prudent lors de l'irradiation des yeux. La cornée ne doit pas être exposée plus de une minute à une irradiation proche. Il sera toujours plus profitable d'irradier plusieurs fois qu'une seule irradiation excessive en une fois. On ne verse pas de l'énergie orgonale comme on verse de l'eau dans un tonneau. L'organisme absorbe de santé seulement la quantité qu'il peut utiliser ; il se régule [se régale ! N.d.T] de lui-même.

Les yeux (avec les paupières closes), la région de la selle turcique entre les yeux, la région cordiale, tant à l'apex qu'à la base, la bouche et la région du plexus solaire peuvent être irradiés quotidiennement tandis qu'on est assis dans l'accumulateur, seulement aussi longtemps qu'on en ressent la pénétration de chaleur.

Pour les surfaces plus étendues, c'est à dire le cuir chevelu, on peut utiliser un large entonnoir de métal qui sera isolé sur sa face extérieure avec du coton et de la bande adhésive.

On ne doit pas attendre de miracles. Une plaie sévère ne peut pas être guérie en peu de minutes. Une patiente et répétitive irradiation de l'énergie orgonale aura plus de chance de donner un résultat.

L'énergie d'orgone stérilise aussi les plaies. Les observations au microscope ont montré que, par exemple, les bactéries vaginales seront immobilisées après seulement une minute d'irradiation après l'insertion d'une éprouvette remplie de laine d'acier préalablement chargée. Seule la périphérie de la plaie devra être traitée à l'iodine ou à un désinfectant similaire. Après une irradiation d'énergie d'orgone, un pansement vaselineux à l'acide borique ou simplement un gel de vaseline sera appliqué.

Ne mélangez pas l'irradiation orgonale avec d'autres procédés, d'autres applications de produits chimiques. L'énergie orgonale est une énergie véritablement forte. Nous ne connaissons pas à ce jour quelles sortes de produits peuvent convenir.

Des vitamines, des granions de fer en usage interne, de la pénicilline et autres drogues dérivées, conviennent avec l'énergie d'orgone. D'un autre côté, les simples mélanges inorganiques tels que les produits à base de sulfamides, ne doivent en aucune circonstance être utilisés, tant en usage interne qu'en usage externe, puisqu'ils embarrassent le processus de régénération induit par l'énergie orgonale. De la morphine peut être octroyée si possible, et à condition qu'une irradiation totale d'énergie orgonale ne puisse soulager la douleur.

Une tuyère à 3 ou 5 couches peut être facilement transportée et disposée en toute place où elle pourra être disponible. Une partie sortante, longue de 1 à 1,20 m, devrait suffire pour atteindre toutes les parties du corps.

Lorsqu'elles ont été ouvertes, les plaies intérieures devront être irradiées après l'opération pour une désinfection et une application de l'énergie guérisseuse.

Tout foyer devrait posséder une tuyère. Elle peut être facilement confectionnée pour un usage prévisible. On peut prendre pour discipline de collecter les expériences pratiques de l'usage de la tuyère à la maison lors de chaque occasion qui s'offre de l'utiliser.

Les indications de base de l'application de l'énergie orgonale

Il a été constaté que dans la plupart des cas, le processus de charge se régule de lui-même. Il pourrait cependant être plus angoissant dès lors que l'énergie orgonale ne puisse pas être appliquée mécaniquement, selon des mesures de temps rigoureuses et précises. L'énergie orgonale doit être appliquée comme on donne à l'organisme qui l'absorbe, un fluide en dosant précisément son besoin. Il n'y a pas deux organismes comparables en charge ou en capacité d'absorption d'orgone. Dans la majorité des cas une sensation d'inconfort, de dégoût, une pression à la tête ou de la nausée indiquent que la dose optimum a été dépassée. Cela ressemble tout à fait à l'ingestion de nourriture. Personne ne pèse par avance exactement le morceau de viande ou la quantité de légumes qui doivent être ingérés. L'organisme sain sait quand il doit cesser de manger parce qu'il sent un inconfort, ou bien par la sensation distincte "qu'il en a assez".

Cependant, il y a des cas où on ne peut avoir confiance en ces sensations subjectives, où on doit être prudent dans les recommandations données au patient de ne pas manger plus qu'une certaine quantité au détriment d'une faim persistante, ou de boire seulement une petite quantité d'eau. La même règle s'applique pour certaines biopathies pour ce qui concerne le respect de l'application de l'énergie de l'orgone.

On peut généralement diviser les biopathies en deux groupes. Un de ces groupes est généralement caractérisé par un niveau d'énergie chroniquement trop bas : les biopathies de sous-charge. Le second est généralement caractérisé par un surplus chronique de charge bioénergique : les biopathies de sur-charge. Il est évident que les premières biopathies répondront à des règles différentes, dans l'application de l'énergie orgonale, que les secondes.

A. Biopathies de sous-charges

Ici, la sensation "d'avoir suffisamment" de bioénergie est vraisemblablement totalement absente. La tolérance de charge est grande. Les patients sous-chargés sont capables de rester assis, même dans un accumulateur à 10 couches, pendant des heures sans en ressentir une quelconque sensation. Ce ne sera qu'après plusieurs semaines qu'une irradiation quotidienne persévérante procurera quelques degrés d'une sensation subjective en retour, suffisamment forte pour évoquer au patient "qu'il en aura assez". Il y a des maladies précises et des symptômes syndromatiques qui correspondent au premier groupe :

Dépressions chroniques et mélancolies ;

fatigue chronique ;

patients sous-alimentés ;

cancer, biopathies de rabougrissement, spécialement les types de retrait sur soi-même ;

et tous les cas où le champ d'énergie périphérique est bas et faible.

Dans ces cas, le danger d'une sur-charge d'irradiation est absente ou peu aigu, jusqu'à l'obtention d'un niveau d'énergie normale, qui doit être obtenu.

B. Biopathies de sur-charge

Le second groupe, de patients sur-chargés, consiste en :

tous types d'hypertensions vasculaires ;

haute pression sanguine ;

caractères hystériques ;

cas comportant une sévère stase sexuelle aiguë.

Pour ces cas, le niveau d'énergie dans l'organisme est très élevé et la tolérance à l'absorption d'orgone est basse. Après quelques minutes, un inconfort important prend place. Une précaution et une attention particulières doivent être portées dans l'irradiation par l'énergie orgonale pour les maladies suivantes :

maladies de décompensation cardiaque ;

pression sanguine supérieure à 15 ;

tumeurs cérébrales ;

artériosclérose ;

cas dénonçant un historique d'attaque d'apoplexie ;

inflammation de la peau, conjonctivite.

Dans ces cas, les premières irradiations doivent être de courte durée, sous un contrôle permanent de la pulsation cardiaque. Nous insistons encore une fois sur le fait que l'on ne doit pas utiliser d'accumulateur d'énergie orgonale comportant plus de 3 couches en dehors d'une supervision médicale spéciale, particulièrement en cas de sur-charge. La durée des séances peut être progressivement augmentée de fois en fois, jusqu'à ce qu'on soit sûr que ne soit plus possible un collapsus ou une soudaine contraction totale, due à la soudaine expansion du corps qui advient dans l'accumulateur. Éclatement des cellules sanguines, choc neurovégétatif, arrêt des pulsations cardiaques, sont tout-à-fait possibles dans de tels cas de sur-charge, par l'application de l'énergie orgonale en prenant place dans un, on le dit, accumulateur à 20 couches. Aucune mort due à une sur-charge n'est arrivée jusqu'à maintenant, durant les dix années d'application de l'énergie orgonale, mais cela ne doit pas être entièrement écarté. On portera spécialement un regard sur les cas de haute pression sanguine, qui peuvent réagir à l'expansion du système neurovégétatif (vagotonie) influencé par l'énergie d'orgone par l'apparition d'un pic, au lieu d'une baisse, de pression.

Une supervision médicale spéciale est absolument requise dans les cas suivants :

toutes les maladies énumérées du groupe B ;

chaque fois que l'énergie d'orgone est appliquée sur des maladies qui n'ont été jusqu'à présent pas étudiées en respectant les effets de l'énergie orgonale ;

dans tous cas de sur-charge dus à 

usage inapproprié de l'accumulateur ;

dans tous les cas qui demandent l'usage d'un accumulateur de plus de 3 couches.

Ces principales recommandations de précaution pourront suffire. Dans la généralité des cas, l'irradiation par l'énergie orgonale est inoffensive. C'est une énergie propre au corps et non pas une sorte d'énergie irradiante étrangère qui est utilisée. Cependant, des expérimentations sur la sur-charge ont été conduites à Orgonon pour déterminer les possibles réactions du système des cellules sanguines liées à une sur-charge chronique.

L'irradiation orgonale peut être appliquée avec de grands bénéfices et en dehors de tout danger, même avec une sur-irradiation, dans les maladies suivantes :

fatigue, anémie, biopathie carcinomateuse, à l'exception des tumeurs du cerveau et du foie, refroidissements ponctuels ou chroniques, rhume des foins, rhumatismes, arthrite, ulcères chroniques, toutes sortes de lésions, blessures, brûlures, sinusites, et quelques types de migraines.

Les névroses ne peuvent pas être résolues par l'énergie d'orgone physique. Seul l'arrière-fond somatique des biopathies et quelques conséquences somatiques des sévères névroses peuvent être soulagés ou diminués.

De plus amples recherches intensives sont indispensables pour l'établissement des indications des traitements par l'énergie orgonale des maladies qui n'ont pas été jusqu'ici traitées avec l'énergie de l'orgone. Une recherche est déjà en cours ou envisagées sur des maladies telles que, entre autres, poliomyélite, les scléroses en général et la leucémie.

 

8. Conditions pour la formation d'une opinion relative à l'accumulateur de l'énergie de l'orgone

Il arrive encore et encore qu'avec grand soin et précautionneusement présentées des découvertes d'orgonologie aient à rencontrer de simples "opinions" formulées en dehors de toute base d'observation ou d'expérimentation. Si de telles opinions sont émises par un chimiste ou un médecin, le profane les accepte comme un jugement faisant "autorité", sans plus s'occuper de savoir si cette opinion est établie sur des observations ou non. C'est ainsi, qu'une sorte "d'opinion publique" fausse se développe.

Puisqu'une telle "autorité" est ainsi abusive dans l'intérêt de pratiques mercantiles et politiques déloyales, nous devons insister sur le fait que, quelque soit l'absolu d'une opinion sur les applications médicales ou autres de l'énergie orgonale, il doit être d'abord démontré qu'elle suit des règles s'établissant sur l'observation des fonctions orgonales. En vue d'obtenir un jugement scientifique clair et sérieux sur les fonctions de l'accumulateur d'énergie orgonale, on doit d'abord :

Abandonner toute tentative de formulation d'opinion avant d'avoir d'abord travaillé avec l'énergie orgonale ;

Utiliser l'accumulateur avec régularité et commencer à s'initier à la manière fonctionnelle avec laquelle il fonctionne, c'est-à-dire, ses changements dans l'importance de ses dosages, la charge bioénergique de son utilisateur, les conditions de temps atmosphériques différentes, etc. ;

Mettre des gens malportants dans un accumulateur d'énergie orgonale et constater ce que l'accumulateur peut provoquer dans divers cas de maladies, blessures et brûlures ;

Mesurer et tenir un relevé des mesures effectuées sur une longue période de temps, mesures des différences de température et de la lente décharge de l'électroscope dans un accumulateur ;

Faire des observations dans une chambre obscure orgonale, tapissée de feuilles de métal ;

le dernier point et non le moindre, comprendre que cet examen des découvertes orgonologiques doit émaner des prémices de la théorie orgonale et non d'un autre point de départ. Un avion doit être critiqué et examiné selon ses aptitudes à se déplacer en vol et non pas sur son aptitude à se déplacer au sol. L'énergie orgonale ne peut pas être jugée en prenant pour point de départ le magnétisme ou les processus décrits par la chimie. Une autorité est quelqu'un qui sait de quoi il retourne et non pas quelqu'un qui n'a jamais fait qu'apprendre ce qu'il pense de ce qu'il connaît déjà. Un médecin n'est pas une autorité en matière d'accumulateur d'énergie orgonale à moins qu'il n'ait consciencieusement étudié l'accumulateur, qu'il l'ait régulièrement utilisé, qu'il se soit aperçu des réactions subjectives et qu'il ait mesuré les fonctions objectives. Ainsi, il n'y a pas d'autorité dans le champ de l'orgonologie autre que ceux qui ont continuellement étudié les fonctions de l'énergie orgonale.

Chaque et toute opinion prononcée concernant la validité de l'accumulateur d'énergie orgonale doit être testée à ces seules conditions ; ou ayant un point de départ qui correspond aux recommandations qui viennent d'être énoncées. Être pleinement conscient des grandes responsabilités mises en jeu, est une partie essentielle du travail qui doit être accompli.

 

9. Utilisation publique et responsabilité autour de la recherche sur l'énergie orgonale

L'énergie orgonale peut être obtenue comme l'eau ou l'air et est présente en quantité infinie. La seule chose dont il est besoin pour l'apporter au consommateur est un dispositif de capture ; c'est ce que, comme on l'a montré, fait l'accumulateur. Des dispositions, donc, doivent être prises pour que les gens les plus pauvres puissent profiter eux aussi de l'énergie orgonale concentrée.

Ainsi, il y a une responsabilité de la part des travailleurs orgonologistes de rendre accessible l'énergie orgonale au plus grand nombre de personnes. Mais il y a aussi une responsabilité de la part des bénéficiaires de l'énergie orgonale d'aider à sécuriser l'avenir des investigations relevant de l'énergie d'orgone. En particulier, il est nécessaire de prévenir l'imprudente exploitation de l'énergie orgonale aussi bien dans l'impitoyable recherche de profit qu'à travers l'indifférence de ces bénéficiaires concernant la recherche. En continuité avec cette disposition de base, il a été décidé en 1942 de permettre à des individus d'utiliser les accumulateurs d'énergie d'orgone à leur domicile contre une modique contribution mensuelle en faveur du Fond de Recherche sur l'Orgone. C'est jusqu'à présent les dispositions de discipline adoptées ; des contributions en échange de l'utilisation d'un accumulateur d'énergie orgonale sont, aujourd'hui, payées à la Fondation Wilhelm Reich, une institution publique sans profit. De cette façon, l'accumulateur d'orgone travaille pour la recherche sur l'énergie de l'orgone. Il n'est ni exploité par le distributeur, ni utilisé sans responsabilité de la part du consommateur, sans un regard sur la totalité de l'arrière-fond scientifique duquel émane cette production vitale. Les consommateurs reçoivent les bénéfices des nouveaux développements et nouvelles améliorations dans l'usage et la construction des accumulateurs d'énergie orgonale ; en retour, ils contribuent mensuellement à aider à subventionner les travaux de recherche fondamentale.

Il n'y a pas d'intention de créer un monopole dans la construction des accumulateurs d'énergie orgonale. Des usines peuvent prendre à leur charge la construction d'accumulateurs d'énergie orgonale à grande échelle en contrepartie de raisonnables royalties, et pour un raisonnable profit prélevé sur la vente de chaque accumulateur. Des plans sont aussi immédiatement disponibles pour apporter des informations à ceux qui ont l'intention de construire leur propre accumulateur. Mais, une fois encore, cela doit être réalisé de telle façon que le travail de recherche de base — qui croît rapidement et qui requiert de croissantes sommes d'argent pour support — soit financièrement assuré. Nous n'avons pas, à proprement parler, l'intention d'avoir une mainmise sur l'énergie orgonale, tel qu'on en a fait de plusieurs autres découvertes, afin que chacun en profite et qu'il sauve la recherche qui l'a rendue possible.

La Fondation Wilhelm Reich continuera à maintenir une implantation pilote centrale où de nouvelles dispositions et de nouveaux outils peuvent être testés et élaborés. Des unités équipées pour les techniques relatives au test sanguin Reich sont progressivement mises en place. Des cours spéciaux pour des instructeurs sont donnés pour qu'ils retournent chez eux afin de les divulguer auprès d'eux.

Ainsi, la discipline est de décentrer l'usage de l'énergie orgonale et de la rendre internationalement accessible. Mais — pour protéger le public aussi bien que le science de l'orgonologie — personne n'obtiendra d'information s'il refuse de coopérer à cette entreprise. Les noms des profiteurs et des escrocs seront exposés dans les publications de la Fondation Wilhelm Reich. Ceux qui procéderont pour eux-mêmes de leur propre initiative devront aussi apprendre que les fonctions de l'énergie orgonale correspondent à de nouvelles lois, dont la plupart sont accessibles uniquement à ceux qui travaillent continuellement en relations avec les fonctions orgonales.

Nous regrettons d'avoir à émettre ces avertissements. Ils sont, par ailleurs, nécessaires vis-à-vis de l'avidité omniprésente lorsqu'il est question d'exploiter le besoin humain et la misère, et vis-à-vis de l'irresponsabilité si évidente lorsqu'il s'agit d'une question d'aide à un travail de recherche fondamentale et non pas seulement de s'en accaparer. La découverte de l'énergie de la vie devrait être à la disposition de tous, mais elle doit aussi être protégée de l'irresponsabilité. Ceci est notre double tache.

Des informations complémentaires regardant l'accumulateur d'énergie d'orgone, le test sanguin Reich, et la supervision médicale lors de l'utilisation de l'accumulateur, pourront être obtenus auprès de la Fondation Wilhelm Reich, Orgonon, Rangeley, Maine, USA. [ou auprès d'acorgone ]

23 septembre 2015

Les trois manières d'intensifier l'énergie humaine

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SUN ENERGY

Nikola TESLA.Le moteur de l'humanité - L'énergie du mouvement -

Parmi la variété infinie de phénomènes que la Nature offre à nos sens, le seul à nous frapper réellement d'étonnement et d'admiration est cette activité incroyablement complexe que, dans son ensemble, nous appelons la vie humaine. Son origine mystérieuse porte le voile d'un passé éternellement brumeux, sa nature nous est incompréhensible à cause de sa complexité infinie, et son but est caché dans les profondeurs insondables du futur. D'où vient-elle ? Qui est-elle ? Vers quoi tend-elle ? Ce sont les grandes questions auxquelles les sages de tous les temps ont cherché à répondre.

La science moderne dit : le Soleil est notre passé, la Terre est notre présent et la Lune notre futur. Issus d'une masse incandescente, nous nous transformerons en une masse gelée. Les lois de la Nature sont impitoyables ; très vite nous sommes entraînés immanquablement vers notre perte. D'après Lord Kelvin, notre espérance de vie serait relativement courte, soit de quelque six millions d'années, après quoi la lumière éclatante du soleil se sera éteinte, sa chaleur fécondante aura disparu et notre propre Terre ne sera plus qu'un bloc de glace, fonçant dans la nuit éternelle. Toutefois, ne désespérons pas. Il subsistera toujours une faible étincelle de vie et il se pourrait que, sur une étoile lointaine, s'allume un nouveau feu. En effet, il semblerait que cette possibilité séduisante soit tout à fait réaliste, si l'on en juge les superbes expérimentations du professeur Dewar avec l'air liquide, qui ont prouvé que les germes de la vie organique ne sont pas détruits par le froid, quelle que soit son intensité ; par conséquent, ils peuvent voyager dans l'espace interstellaire. En attendant, notre route s'illumine des lumières éclatantes des sciences et des arts, dont l'intensité ne cesse d'augmenter ; ils font naître des merveilles et nous offrent des plaisirs qui nous aident grandement à oublier notre funeste destin.

Bien que nous n'arrivions pas à comprendre la vie humaine, nous savons avec certitude qu'elle est mouvement, de quelque nature qu'il soit. On ne peut parler de mouvement qu'en présence d'un corps qui est mû et d'une force qui le fait bouger. Partant, qui dit vie, dit masse animée par une force. Toute masse a son inertie et toute force cherche à perdurer. En raison de ces propriétés et conditions universelles, un corps quelconque, qu'il soit à l'arrêt ou en mouvement, aura tendance à rester en l'état, tandis qu'une force se manifestant où que ce soit et pour quelque raison que ce soit, engendre une force opposée équivalente, ce qui veut dire qu'immanquablement tout mouvement dans la nature doit être rythmique. Il y longtemps déjà que cette vérité toute simple a été énoncée par Herbert Spencer, quoique son raisonnement fût quelque peu différent. Elle est corroborée par toutes nos perceptions - par le mouvement d'une planète, le flux et le reflux des marées, par les répercussions de l'air, le balancement d'un pendule, les oscillations d'un courant électrique, et par tous les phénomènes infiniment variés de la vie organique. La vie humaine, dans son ensemble n'en atteste-t-elle pas ? La naissance, la croissance, la vieillesse et la mort d'un individu, d'une famille, d'une race ou d'une nation, sont-elles autre chose qu'un cycle ? Toutes les manifestations de la vie, même dans ses apparences les plus complexes - et l'homme en est un bel exemple -, même si elles sont compliquées et impénétrables, ne sont donc que des mouvements qui doivent être gouvernés par les mêmes lois mécaniques que celles qui régissent l'ensemble de l'univers physique.

Lorsque nous parlons de l'homme, notre conception doit être celle de l'humanité constituant un tout, et avant de mettre en pratique des méthodes scientifiques pour analyser son mouvement, nous devons d'abord l'accepter en tant que réalité physique. Mais qui donc douterait encore aujourd'hui que ces millions d'individus, avec leurs innombrables différences de types et de caractères, ne forment qu'une seule entité, une unité ? Bien que libres de penser et d'agir, nous sommes reliés entre nous comme les étoiles dans le firmament, par des liens résistant à toute épreuve. Ces liens, nous ne pouvons pas les voir, mais les ressentir. Si je me coupe le doigt, j'aurai mal ; ce doigt est une partie de mon corps. Si je vois un ami souffrir, je souffre aussi ; mon ami et moi ne faisons qu'un. Et si je vois un ennemi se faire abattre, j'en ai de la peine, bien qu'il ne soit qu'un amas de matière dont je ne me soucie pas plus que de tous les autres amas de matière dans l'univers. N'est-ce pas la preuve que chacun de nous n'est qu'une partie d'un tout ?

Ce concept est défendu par les doctrines religieuses les plus sages depuis des siècles, probablement parce que, non seulement il peut garantir la paix et l'harmonie entre les hommes, mais il incarne parallèlement une vérité bien fondée. Les bouddhistes l'expriment d'une manière, les chrétiens d'une autre, bien qu'ils disent tous deux la même chose : nous ne faisons qu'un. Toutefois, les preuves métaphysiques ne sont pas les seules que nous puissions avancer pour défendre cette idée. La science, elle aussi, reconnaît que les individus sont en connexion les uns avec les autres, bien que ce ne soit pas tout à fait dans le même sens où elle reconnaît que les soleils, planètes et lunes d'une constellation ne forment qu'un seul corps ; il ne fait aucun doute que dans un futur plus ou moins proche, nous en aurons des confirmations expérimentales, lorsque nos moyens et méthodes d'analyse psychiques et d'autres états et phénomènes seront hautement perfectionnés. En outre, cette grande entité humaine est éternelle. Les individus sont éphémères, les races et les nations apparaissent puis disparaissent, mais l'humanité survit. C'est en cela même que réside la différence majeure entre un individu et le tout. C'est également en cela que l'on peut trouver une explication partielle à beaucoup de ces merveilleux phénomènes héréditaires qui sont le fruit d'innombrables siècles d'influences minimes mais continues.

Partons du principe que l'humanité est une masse poussée par une force. Bien que ce mouvement n'ait pas un caractère de translation qui impliquerait un déplacement dans l'espace, il est soumis aux lois générales de la mécanique, et l'énergie associée à cette masse est mesurable, selon des principes bien connus, en multipliant la moitié du produit de la masse par le carré d'une vitesse donnée. Un boulet de canon, par exemple, possède au repos une certaine quantité d'énergie sous forme de chaleur que nous pouvons mesurer de la même manière. Nous disons que le boulet est constitué d'un nombre incalculable d'infimes particules appelées atomes ou molécules, qui vibrent ou tournoient les uns autour des autres. Nous déterminons leurs masses et leurs vitesses et calculons, à partir de là, l'énergie de chacun de ces minuscules systèmes ; en additionnant le tout, nous obtenons une idée de toute l'énergie thermique contenue dans le boulet qui, apparemment, est au repos. C'est de cette manière purement théorique que nous pouvons alors calculer cette énergie, en multipliant la moitié de la masse totale - c'est à dire la moitié de la somme de toutes les petites masses - par le carré d'une vitesse déterminée par la vitesse de chaque particule. C'est de cette même manière que nous pouvons envisager de mesurer l'énergie humaine, soit en multipliant la moitié de la masse humaine par le carré d'une vitesse que nous ne sommes pas encore en mesure de calculer. Toutefois, cette lacune n'affectera pas l'exactitude des conclusions que je vais en tirer et qui découlent d'un principe rationnel selon lequel toute la nature est gouvernée par les mêmes lois de masse et de force.

Cependant, l'humanité n'est pas une masse quelconque, constituée d'atomes et de molécules tournoyants, ne contenant que de l'énergie thermique. Elle est une masse avec certaines qualités supérieures, en raison du principe de vie créatif qui la caractérise. Sa masse, comme l'eau d'une vague dans l'océan, est continuellement renouvelée, la nouvelle remplaçant l'ancienne. En outre, elle grandit, se perpétue et meurt ; il y a donc altération indépendante du volume et de la densité de la masse. Et ce qu'il y a de plus extraordinaire, c'est qu'elle peut augmenter ou réduire la vitesse de son mouvement, grâce à son pouvoir mystérieux de s'approprier plus ou moins d'énergie d'une autre substance et de la transformer en énergie motrice. Toutefois, nous pouvons ignorer ces changements très lents et prétendre que l'énergie humaine se mesure par la moitié du produit de sa masse par le carré d'une certaine vitesse hypothétique. Cependant, quelle que soit notre manière de calculer cette vitesse, et quelle que soit l'unité de sa mesure, nous devons, en accord avec ce concept, arriver à la conclusion que le grand problème de la science est, et sera toujours, d'intensifier cette énergie ainsi définie. Il y a quelques années, je fus aiguillonné par la lecture de cet excellent ouvrage de Draper, "L'Histoire du développement intellectuel en Europe", qui décrit l'évolution de l'homme de manière très vivante, et je réalisai que le premier devoir de tout homme de science était de trouver une réponse à cet éternel problème. Je vais tenter de décrire brièvement certains des résultats de mes propres investigations.

Prenons le Diagramme A : M représente la masse de l'humanité. Cette masse est poussée en avant par une force f et repoussée par une autre force R, partiellement force de friction et partiellement force négative, qui agit dans la direction opposée et qui freine le mouvement de la masse. Une telle force antagoniste est présente dans tout mouvement et il faut en tenir compte. La différence entre ces deux forces est la force effective qui donne une vitesse V à la masse M dans le sens de la flèche sur la ligne représentant la force f. Conformément à ce qui a été dit plus haut, l'énergie humaine sera déterminée par le produit ½M V2 = ½ MV x V, M représentant la totalité de la masse de l'humanité, selon l'acception ordinaire du terme "masse", et V étant une vitesse hypothétique que, en l'état actuel de la science, nous sommes incapables de définir ou de déterminer avec précision. C'est pourquoi, intensifier l'énergie humaine, revient à augmenter ce produit et, comme nous allons le voir sous peu, il n'existe que trois manières d'atteindre ce résultat : elles sont représentées dans le Diagramme A. La première manière figure en haut du diagramme et il s'agit d'augmenter la masse (représentée par le cercle en pointillés), tandis que les deux forces en opposition ne changent pas. La deuxième manière figure au milieu du diagramme et il s'agit ici de réduire la valeur de la force de freinage R à une valeur r, tandis que la masse et la force d'impulsion ne changent pas. La troisième manière, représentée par la figure en bas du diagramme, consiste à augmenter la valeur de la force d'impulsion f à une valeur F, alors que la masse et la force de freinage R ne changent pas. Manifestement, il existe des limites absolues en ce qui concerne l'accroissement de la masse ou la réduction de la force de freinage ; toutefois, la force d'impulsion, elle, peut être intensifiée à l'infini. Chacune de ces trois possibilités présente une facette différente du problème majeur de l'intensification de l'énergie humaine ; nous allons maintenant analyser ses trois parties distinctes, dans l'ordre.

Première question : comment augmenter la masse humaine ? - La combustion de l'azote dans l'atmosphère.

Il existe manifestement deux façons d'augmenter la masse de l'humanité : premièrement, en stimulant et soutenant les forces et conditions qui permettent son développement et deuxièmement en faisant obstacle à et en réduisant celles qui ont tendance à la diminuer. La masse pourra augmenter à condition qu'elle surveille attentivement sa santé, en se nourrissant convenablement, en respectant la modération, en régulant ses habitudes, en promouvant le mariage, en surveillant constamment les enfants et, d'une manière plus générale, en respectant les nombreuses règles et lois des religions et de l'hygiène. Toutefois, une nouvelle masse peut se joindre à l'ancienne selon trois possibilités. Soit la nouvelle masse a la même vitesse que l'ancienne, soit elle a une vitesse inférieure ou supérieure. Pour obtenir une idée de l'importance relative de ces trois possibilités, imaginez un train, comptant une centaine de locomotives, qui roule sur des rails, et supposez que, pour augmenter son énergie motrice, quatre locomotives supplémentaires viennent le compléter. Si ces quatre locomotives avancent à la même vitesse que celle du train, l'énergie globale sera augmentée de 4% ; si leur vitesse est égale à la moitié de celle du train, l'augmentation ne sera que de 1%; mais si leur vitesse est le double de celle du train, l'augmentation de l'énergie sera de l'ordre de 16%. Cet exemple très simple montre bien qu'il est très important que la nouvelle masse ait une vitesse plus élevée. Ou, pour citer un autre exemple, si les enfants ont le même degré de développement que leurs parents - c'est-à-dire s'ils représentent une masse "de vitesse égale" - l'énergie augmentera simplement proportionnellement au nombre d'enfants. S'ils ont une intelligence ou un développement inférieurs, ils seront une masse "de vitesse inférieure" et l'augmentation de l'énergie ne sera que très faible. Par contre, s'ils sont plus avancés, soit une masse "de vitesse supérieure", alors cette nouvelle génération renforcera l'énergie humaine globale de manière très substantielle. Il est impératif d'empêcher toute arrivée d'une masse "de vitesse inférieure" à celle requise par cette loi que paraphrase ce proverbe, Mens sana in corpore sano (un esprit sain dans un corps sain). Par exemple, le fait de ne chercher qu'à développer la musculature comme cela se pratique dans certains de nos lycées, me semble équivalent à un apport de masse de "vitesse inférieure" et je ne le conseille pas, quoique mon point de vue fût différent lorsque j'étais moi-même étudiant. La première chose à faire est de pratiquer des exercices physiques avec modération, afin d'assurer un bon équilibre entre le corps et l'esprit, et le plus haut rendement intellectuel. L'exemple ci-dessus montre que l'objectif le plus important est celui de l'éducation, ou de l'augmentation de la "vitesse" de la masse nouvellement arrivée.

À l'inverse, il n'est guère besoin de préciser que tout ce qui va à l'encontre des doctrines religieuses et des lois d'hygiène tend à réduire la masse. Le whisky, le vin, le thé, le café, le tabac et autres excitants sont responsables de la baisse de la durée de vie de nombreuses personnes et devraient être utilisés avec modération. Toutefois, je ne pense pas qu'il soit judicieux de supprimer des habitudes ancrées depuis des générations en appliquant des mesures rigoureuses. Il est plus sage de prêcher la modération que l'abstinence. Nous sommes devenus dépendants de ces stimulants, et s'il est nécessaire de faire des réformes, elles devront être lentes et graduelles. Ceux qui consacrent toute leur énergie dans de tels buts feraient mieux de se tourner vers d'autres directions où ils seraient plus utiles, comme par exemple la distribution d'une bonne eau potable.

Pour chaque personne qui succombe aux effets d'un stimulant, il y en a au moins mille qui meurent des conséquences de l'absorption d'eau polluée. Ce liquide précieux, qui diffuse tous les jours une nouvelle vie dans nos corps, est parallèlement le principal vecteur des maladies et de la mort. Les germes de la destruction qu'il véhicule sont des ennemis d'autant plus menaçants qu'ils œuvrent subrepticement. Ils décident de notre sort pendant que nous vivons et jouissons de cette vie. La majorité des gens sont tellement ignorants ou peu attentifs dans leur consommation d'eau et les conséquences de ces négligences sont tellement désastreuses, qu'un philanthrope qui se consacrerait à informer ceux qui se nuisent de la sorte, ne pourrait pas se rendre plus utile. Si l'eau potable était systématiquement purifiée et stérilisée, la masse humaine augmenterait de manière considérable. Il faudrait faire respecter une consigne très stricte - qui pourrait être renforcée par le vote d'une loi -, à savoir de faire bouillir ou de stériliser l'eau dans tous les ménages et lieux publics. Le simple filtrage est insuffisant pour prévenir toute infection. Toute la glace à usage interne devrait être préparée artificiellement à partir d'une eau parfaitement stérile. S'il est généralement reconnu qu'il est très important d'éliminer les germes pathogènes de l'eau potable dans les villes, on ne fait cependant pas grand chose pour améliorer la situation actuelle, dans la mesure où l'on n'a pas encore découvert de méthode satisfaisante pour stériliser de grandes quantités d'eau. Grâce à des appareils électriques perfectionnés, il devient aujourd'hui possible de produire de l'ozone à bas coût et en grandes quantités, et ce désinfectant idéal semble être une solution heureuse à ce problème crucial.

La passion des jeux, le stress des affaires et l'excitation - principalement celle en milieu boursier - sont grandement responsables de la réduction de la masse, d'autant plus que les individus concernés sont des unités de valeur supérieure. L'incapacité de dépister les premiers symptômes d'une maladie et le fait de négliger cette dernière avec désinvolture, représentent d'importants facteurs de mortalité. En relevant soigneusement les moindres signes d'un danger imminent et en ciblant consciencieusement tous nos efforts pour s'en prévenir, nous suivrions non seulement les sages lois de l'hygiène dans l'intérêt de notre bien-être et la réussite de nos entreprises, mais nous agirions parallèlement au nom d'un devoir moral plus élevé. Chacun devrait considérer son corps comme le cadeau précieux de quelqu'un qui l'aime par-dessus tout, comme une merveilleuse œuvre d'art, dont la beauté et la maîtrise dépassent l'entendement humain, d'une délicatesse et d'une fragilité telles qu'un mot, un souffle, un regard, voire une pensée, est susceptible de la blesser. La malpropreté qui engendre la maladie et la mort est non seulement autodestructrice, mais aussi une habitude hautement immorale. En préservant notre corps de toute infection, en veillant à sa bonne santé et à sa pureté, nous exprimons notre vénération pour les principes supérieurs qui l'habitent. Celui qui suit les règles d'hygiène dans cet esprit, témoigne d'une grande exigence morale. Le relâchement des mœurs est un mal terrible qui empoisonne l'esprit comme le corps et qui est responsable de la grande réduction de la masse humaine dans certains pays. De nombreux penchants et coutumes actuels entraînent des résultats pareillement nuisibles. Par exemple, la vie en société, l'éducation moderne et les ambitions des femmes qui ont tendance à les éloigner de leurs tâches ménagères et à se comporter comme des hommes, vont obligatoirement les détourner de l'idéal élevé qu'elles représentent, réduire leur pouvoir de création artistique et entraîner la stérilité et un affaiblissement général de la race. Je pourrais citer un millier de maux supplémentaires mais, dans l'ensemble et relativement au sujet qui nous préoccupe, ils n'égaleraient jamais ce seul autre, à savoir le manque de nourriture engendré par la pauvreté, la misère et la famine. Des millions d'individus meurent chaque année faute de nourriture et, partant, la masse ne peut pas augmenter. Même dans nos communautés plus évoluées et malgré les nombreuses œuvres caritatives, cela reste, selon toute vraisemblance, le fléau majeur. Je n'entends pas par-là le manque absolu de nourriture, mais celui d'une alimentation équilibrée et saine.

Un des problèmes les plus importants d'aujourd'hui est donc d'arriver à obtenir de la bonne nourriture en grande quantité. En règle générale, l'élevage de bétail comme moyen de subvenir aux besoins de nourriture est répréhensible, parce que, compte tenu de ce que j'ai dit plus haut, cela conduirait inévitablement à un complément de masse de plus "faible vitesse". Il est certainement préférable de cultiver des légumes et c'est pourquoi je pense que le végétarisme est le meilleur moyen de se débarrasser des habitudes barbares actuelles. Il est manifeste que nous sommes capables de survivre en ne mangeant que des végétaux et même d'améliorer notre potentiel de travail. De nombreuses races, qui ne se nourrissent pratiquement que de végétaux, affichent une forme et une force physiques supérieures. Il ne fait aucun doute que certains végétaux, comme la farine d'avoine, sont plus économiques que la viande et sont mieux adaptés qu'elle pour atteindre de hautes performances mécaniques et mentales. En outre, une telle nourriture éprouve incontestablement moins nos organes de digestion et a une valeur inestimable, dans la mesure où elle nous nourrit mieux et nous rend plus sociables. En raison de ces faits, il faudrait tout mettre en œuvre pour que cesse cet abattage gratuit et cruel des animaux, qui témoigne de mœurs subversives. Afin de nous libérer des instincts et appétits bestiaux qui nous avilissent, il faut s'attaquer à leurs racines mêmes : nous devrions réformer radicalement notre comportement face à la nourriture.

Il semblerait qu'il n'y ait aucun besoin philosophique de nourriture. Il est tout à fait envisageable que des êtres organisés puissent vivre sans nourriture et puiser dans le milieu environnant toute l'énergie dont ils ont besoin pour le bon équilibre de leurs fonctions vitales. Un cristal nous apporte la preuve très nette de l'existence d'un principe vital formateur, et bien que nous soyons incapables de comprendre la vie d'un cristal, il n'en est pas moins un être vivant. À côté des cristaux, il se pourrait qu'il y ait d'autres formes de vie matérielles et individualisées, peut-être de constitution gazeuse ou composées de substances encore plus ténues. En raison de cette possibilité - voire probabilité - nous ne pouvons pas, d'amblée, renier l'existence de formes de vie organisées sur une autre sphère, tout simplement parce que nous pensons que ses facteurs planétaires ne permettent pas l'existence de la vie telle que nous la concevons. Par ailleurs, nous ne pouvons pas prétendre avec certitude que certaines de ces formes de vie n'existent pas ici, dans notre monde, au milieu de nous, car leur constitution et leur manifestation de vie sont susceptibles d'être d'une nature telle, que nous sommes incapables de les percevoir.

Évidemment, on pourrait envisager de produire une nourriture artificielle comme moyen d'augmenter la masse humaine ; toutefois, une démarche dans ce sens ne me paraît pas raisonnable, du moins pour le moment. Il n'est pas certain que ce type d'alimentation nous soit salutaire. Nos habitudes sont le produit d'adaptations séculaires continues et nous ne pouvons pas les changer de manière radicale, sans risquer de devoir subir des conséquences imprévues et, selon toute probabilité, désastreuses. Une expérience aussi équivoque ne devrait pas être tentée. Il me semble que le meilleur moyen de parer aux ravages du mal, serait de trouver des moyens pour augmenter la rentabilité des sols. C'est pourquoi la préservation des forêts est d'une importance qu'il ne faudrait pas sous-estimer ; parallèlement, il faudrait grandement préconiser l'utilisation de l'énergie hydraulique pour la transmission de l'électricité, ce qui, de bien des façons, éviterait que le bois ne serve de combustible et, partant, la déforestation. Toutefois, tous ces moyens ne permettent que des progrès limités.

Pour que la terre devienne plus productive, elle a besoin d'être fertilisée plus efficacement par des moyens artificiels. Partant, le problème de la production alimentaire se réduit à celui de la recherche du meilleur fertilisant. Nous ne savons toujours pas ce qui a rendu le sol fertile. Expliquer son origine reviendrait probablement à expliquer l'origine de la vie elle-même. La roche qui s'est désintégrée sous l'effet de l'humidité, de la chaleur, du vent et des intempéries, n'a pas pu, à elle seule, entretenir la vie. Une condition quelconque et inexpliquée a dû surgir, portant en elle un nouveau principe, qui permit la formation de la première couche susceptible d'entretenir des organismes inférieurs, comme la mousse. Les mousses alors contribuèrent par leur vie et leur mort à enrichir la qualité porteuse de vie du sol, ce qui permit à d'autres organismes plus complexes de se développer, et ainsi de suite, jusqu'à ce que s'épanouissent finalement des végétaux plus développés et la vie animale. Bien que les théories relatives à la fertilisation originelle du sol soient toujours controversées, force est de constater que le sol ne peut pas entretenir la vie indéfiniment et qu'il faut trouver le moyen de lui redonner les substances qui lui ont été retirées par les végétaux. Les composés d'azote sont les plus importantes et les plus précieuses de toutes ces substances et c'est pourquoi leur production à bas coût est la clé qui résoudra le problème majeur de la nourriture. Notre atmosphère est une source inépuisable d'azote et si nous savions l'oxyder et produire ces composés, l'humanité en serait le premier bénéficiaire.

Cela fait très longtemps que cette idée trotte dans la tête des scientifiques, mais jusqu'ici ils n'ont pas trouvé de moyens vraiment efficaces pour atteindre ce but. Le problème est d'autant plus ardu que l'azote a une inertie exceptionnelle et qu'il ne se laisse même pas combiner avec l'oxygène. Cependant, voilà que l'électricité vient au secours des scientifiques : les capacités de réaction en sommeil dans cet élément, peuvent être stimulées par un courant électrique adéquat. De la même manière qu'un morceau de charbon, bien qu'ayant été en contact avec l'oxygène pendant des siècles sans jamais brûler, va se combiner à lui lorsqu'il aura été allumé, l'azote excité par l'électricité va s'enflammer. Toutefois, je n'ai pas réussi à produire des décharges électriques susceptibles d'exciter de manière efficace l'azote atmosphérique jusqu'à une date relativement récente, bien que, déjà en mai 1891, j'aie expliqué lors d'une conférence scientifique, une nouvelle forme de décharge, ou flamme électrique appelée "feu électrique de St Elme" qui, en plus de son potentiel de produire de l'ozone en abondance, possède aussi les qualités exactes pour exciter des réactions chimiques. Cette décharge, ou flamme, mesurait alors seulement de 7,5 cm à 10 cm de long, son action chimique était tout aussi faible et, par conséquent, le processus de l'oxydation de l'azote fut un échec. Le problème était de savoir comment intensifier la réaction. Il fallait, manifestement, produire des courants électriques d'un certain type, afin de rendre le processus de l'ignition de l'azote plus efficace.

J'ai réalisé mes premiers progrès après avoir découvert que la réaction chimique de la décharge pouvait être considérablement amplifiée en utilisant des courants de fréquence ou de taux vibratoire extrêmement élevé. Ce fut un nouveau pas important, mais dans la pratique, il ne m'a pas permis d'aller beaucoup plus loin. J'allai donc étudier, dans une étape suivante, les effets de la tension électrique des impulsions du courant, de leurs formes d'onde et autres traits caractéristiques. Puis j'analysai l'influence de la pression atmosphérique et de la température, celle de la présence d'eau et d'autres éléments, et c'est ainsi que, progressivement, j'allai assurer les meilleures conditions pour déclencher la plus forte réaction chimique de la décharge et obtenir le plus haut degré d'efficacité du processus. Évidemment, les progrès furent lents ; toutefois j'avançai, petit à petit. La flamme devint de plus en plus grande et son effet d'oxydation de plus en plus intense. Alors qu'elle ne fut au début qu'une étincelle insignifiante de quelques centimètres de long, elle se transforma en un merveilleux phénomène électrique, un feu rugissant, dévorant l'azote dans l'atmosphère et mesurant entre 18 m et 21 m. Ce qui ne fut donc initialement qu'une hypothèse devint lentement, presque imperceptiblement, une réalité. Je n'en ai pas encore fini de mes travaux, loin s'en faut, mais si vous vous reportez à la figure 1, dont le titre est révélateur, vous verrez à quel point mes efforts ont été récompensés. La décharge qui est visible sous la forme d'une flamme a été produite par des oscillations électriques intenses qui passent par la bobine et qui excitent violemment les molécules électrifiées dans l'air. Cela permet de créer une puissante réaction entre deux constituants de l'atmosphère habituellement indifférents l'un à l'autre, qui se combinent très vite, sans que soit prise une mesure additionnelle quelconque pour intensifier la réaction chimique de la décharge. Lors de la production de composés d'azote selon ce procédé, il faudra évidemment veiller à utiliser tous les moyens qui permettent d'amplifier l'intensité de la réaction et l'efficacité du processus. Par ailleurs, il faudra prendre les dispositions nécessaires pour fixer les composants qui se seront formés, parce qu'ils sont en général instables, l'azote redevenant inerte en très peu de temps. La vapeur est un moyen simple et efficace pour fixer les composés de façon permanente. Les résultats obtenus montrent qu'il est possible d'oxyder l'azote dans l'air en quantités illimitées, en n'utilisant qu'une puissance mécanique bon marché et des appareils électriques très simples. De nombreux composés d'azote peuvent être produits à travers le monde de cette manière, à bas coût, et en quantité voulue ; et grâce à ces composés, le sol pourra être fertilisé et sa productivité ne cessera d'augmenter. C'est ainsi que l'on pourra obtenir une abondance de nourriture saine et bon marché, naturelle, et à laquelle nous sommes déjà habitués. Cette nouvelle source inépuisable de nourriture sera d'un secours inestimable pour l'humanité, car elle va contribuer à l'augmentation de la masse humaine et à une intensification énorme de son énergie. J'espère que bientôt le monde verra naître une industrie qui, d'ici quelque temps, atteindra une importance comparable à celle de l'industrie sidérurgique.

1 : "Pour brûler l'azote dans l'atmosphère " Ce résultat fut obtenu par la décharge d'un oscillateur électrique de 12 millions de volts. La tension électrique alternant 100 000 fois par seconde, excite l'azote normalement inerte et provoque sa combinaison avec l'oxygène. La décharge ressemblant à une flamme sur la photo mesure près de 20 m.

Deuxième question : comment réduire la force freinant la masse de l'humanité ? - La science des "téléautomates".

Comme je l'ai déjà dit plus haut, la force qui ralentit l'humanité dans sa marche est en partie une force de friction et en partie une force négative. Pour illustrer la différence entre ces deux forces, je dirai, par exemple, que l'ignorance, la bêtise et l'imbécillité sont des forces de pure friction, ou des résistances, dépourvues de toute tendance directionnelle. Quant aux fantasmes, à la démence, aux tendances autodestructrices, au fanatisme religieux, et aux types de comportement analogues, ce sont tous des forces à caractère négatif, qui agissent dans des directions bien définies. Afin de réduire, voire de vaincre ces forces de freinage dissemblables, il faut utiliser diverses méthodes radicalement différentes. Par exemple, on sait ce dont un fanatique est capable, et on peut prendre des mesures préventives, on peut lui expliquer, le convaincre et même le remettre dans le droit chemin et changer son vice en vertu ; mais il est impossible de prévoir les actes d'une brute ou d'un imbécile et on est obligé d'agir avec lui comme on le ferait avec une masse inerte, sans jugeote, déchaînée par les éléments furieux. Une force négative sous-entend la présence de quelque talent, qui est parfois remarquable, bien que mal orienté, mais qu'il est possible de maîtriser et de dompter à l'avantage de la personne. Par contre, une force de friction sauvage sous-entend immanquablement des dégâts. Par conséquent, la première réponse d'ordre général à la question ci-dessus est : il faut remettre toutes les forces négatives dans le droit chemin et réduire toutes les forces de friction.

Il ne fait aucun doute que, parmi toutes les résistances de friction, celle qui retarde le plus la progression de l'humanité est l'ignorance. Ce n'est pas sans raison que le sage Bouddha a dit : "l'ignorance est la plus grande plaie dans ce monde." La friction qui résulte de l'ignorance, et qui est largement amplifiée par les nombreuses langues et nationalités, ne peut être réduite que par la diffusion de la connaissance et la réunification de tous les éléments hétérogènes de l'humanité ; ce devrait être notre objectif principal. Bien que l'ignorance ait retardé la marche en avant de l'homme dans le passé, il est manifeste qu'aujourd'hui, ce sont les forces négatives qui prédominent. Parmi elles sévit une force beaucoup plus importante que les autres, à savoir les organisations militaires. Si nous considérons les millions d'individus - souvent les plus capables d'un point de vue mental et physique et qui sont le fleuron de l'humanité - contraints à une vie d'inactivité et de non-productivité, si nous considérons les immenses sommes d'argent nécessaires à l'entretien quotidien des armées et des machines de guerre qui demande un gros investissement humain, et tous ces efforts inutiles consacrés à la production d'armes et d'instruments de destruction, les pertes humaines et l'entretien d'un esprit barbare, il y a de quoi être consterné devant cet énorme gâchis résultant de ce contexte déplorable. Comment pouvons-nous combattre au mieux ce terrible fléau ?

Les lois et l'ordre public nécessitent le maintien de forces organisées. Aucune communauté ne peut exister et prospérer sans une discipline rigoureuse. Chaque pays doit pouvoir se défendre au besoin. La situation actuelle n'est pas le fruit du passé, et un changement radical ne peut pas s'opérer dès demain. Si les nations procédaient au désarmement en même temps, il est plus que probable que s'ensuivrait une situation pire que la guerre elle-même. La paix universelle est un très bel objectif, toutefois il ne peut être atteint d'un seul coup. Nous avons vu dernièrement que même les efforts les plus nobles des hommes investis de la plus grande puissance mondiale, n'ont pratiquement eu aucun effet. Et ce n'est pas étonnant, car l'instauration de la paix universelle est, pour le moment, matériellement impossible. La guerre est une force négative qui ne peut pas être transmuée en énergie positive, sans passer d'abord par les phases intermédiaires. C'est comme si l'on cherchait à faire tourner en sens opposé une roue en mouvement, sans d'abord la freiner, l'arrêter et la faire repartir dans l'autre sens.

On a prétendu que le perfectionnement d'armes de destruction massive mettrait un terme aux guerres. J'ai partagé ce sentiment moi-même pendant très longtemps, mais aujourd'hui je m'aperçois que c'est une grosse erreur. De tels développements en modifieront le déroulement, mais ils ne les empêcheront pas. Au contraire, je pense que chaque invention d'une arme nouvelle et chaque nouvelle recherche dans cette direction, ne font qu'appâter de nouveaux talents et compétences et attiser une nouvelle ardeur, car elles représentent un aiguillon et sont donc génératrices d'une force d'impulsion pour de nouveaux développements. Prenons comme exemple la découverte de la poudre à canon. Pouvons-nous imaginer un changement plus radical que celui qui a fait suite à cette découverte ? Imaginons que nous vivions à cette époque : n'aurions-nous pas pensé que le temps des guerres était révolu, maintenant que l'armure du chevalier devenait un accessoire ridicule et que la force physique et l'adresse, jusque-là vitales, perdaient toute leur valeur ? Pourtant, la poudre à canon n'a pas arrêté les guerres, bien au contraire, ce fut un stimulant puissant. Je ne crois pas non plus que les guerres pourront un jour cesser par le truchement de quelque développement scientifique ou idéologique, aussi longtemps que règneront des conditions semblables ou analogues à celles d'aujourd'hui, car la guerre est elle-même devenue une science et elle en appelle à certains sentiments les plus sacrés dont l'homme soit capable. En fait, on peut se demander si un homme qui refuserait de se battre au nom d'un principe élevé serait bon à quoi que ce soit. Ce n'est pas l'esprit qui fait l'homme, ni le corps du reste ; c'est l'esprit et le corps. Nos vertus et nos faiblesses sont inséparables, comme le sont l'énergie et la matière. L'homme n'existe pas en dehors de cette dualité.

Un autre argument de poids entendu fréquemment, dit que les guerres deviendront bientôt impossibles, sous prétexte que les moyens de défense surpassent les moyens d'attaque. Cette assertion est conforme à une loi fondamentale qui, en substance, dit qu'il est plus facile de détruire que de construire. Cette loi définit les compétences et la place de l'homme. Parce que s'il était plus facile de construire que de détruire, rien n'arrêterait plus l'homme de créer et d'accumuler sans limites. Cette conjoncture est impossible sur notre terre. Si un être avait un tel pouvoir, il ne serait pas un homme, mais un dieu. La défense aura toujours l'avantage sur l'offensive, mais il me semble qu'elle ne suffise pas pour arrêter les guerres. Il est possible de rendre les ports imprenables en mettant en place de nouveaux systèmes de défense, toutefois ceux-ci ne vont pas empêcher deux navires de guerre de s'affronter en haute mer. Et puis, si nous allons au bout de ce raisonnement, nous arriverons à la conclusion qu'il vaudrait mieux pour l'humanité que les rapports de force entre l'attaque et la défense soient inversés. Car si chaque pays, même le plus petit, pouvait s'entourer d'un mur complètement infranchissable et pouvait défier le reste du monde, on arriverait à une situation extrêmement défavorable au progrès de l'humanité. C'est en abolissant toutes les barrières qui séparent les peuples et les pays que la civilisation peut avancer le mieux.

D'autres encore prétendent que l'avènement de l'industrie aéronautique va favoriser la paix universelle. Cependant, je crois que là aussi, on se fourvoie totalement. Cette industrie va certainement émerger bientôt, mais elle ne changera rien à la situation. En fait, je ne vois pas pourquoi une grande puissance comme la Grande-Bretagne ne règnerait pas sur les airs comme sur les mers. Je ne voudrais pas que l'on me prenne pour un prophète, toutefois, je suis sûr que dans les prochaines années naîtra une "puissance de l'air" et que son centre ne sera pas loin de New York. Néanmoins, les hommes continueront joyeusement de se battre.

Dans l'idéal, le développement du principe de guerre devrait finalement conduire à la transformation de toute l'énergie de guerre en une énergie explosive purement potentielle, comme celle d'un condensateur électrique. De cette manière, l'énergie de guerre pourrait être conservée sans peine ; de quantité nettement moindre, elle pourrait cependant être beaucoup plus efficace.

Quant à la sécurité d'un pays face à une invasion étrangère, il est intéressant de relever qu'elle ne dépend que du nombre relatif - et non absolu - des individus et de l'importance de leurs forces et que, si chaque pays réduisait sa puissance de guerre dans les mêmes proportions, la sécurité s'en trouverait inchangée. C'est pourquoi il faudrait un traité international, dont l'objectif serait de réduire ces forces de guerre à un minimum - qui reste absolument indispensable, en raison de l'éducation toujours imparfaite des masses. C'est le premier pas sensé, si on cherche à réduire la force qui freine l'humanité dans sa progression.

Heureusement, il est impossible que les conditions actuelles perdurent indéfiniment, car un nouveau facteur commence à s'imposer. Les choses vont changer pour le mieux, c'est imminent, et je vais maintenant tenter de vous montrer ce qui, selon moi, sera la première avancée vers l'instauration de relations pacifiques entre les pays et par quels moyens elle pourra finalement être réalisée.

Remontons aux tout débuts, lorsque la loi du plus fort était la seule loi. L'étincelle de la raison n'existait pas encore et le faible était totalement à la merci du plus fort. Le faible alors commença à apprendre à se défendre. Il se servit d'une massue, de pierres, d'une lance, d'une fronde, d'un arc et de flèches et, au fil du temps, l'intelligence vint remplacer la force physique comme facteur décisif dans ses affrontements. Son caractère sauvage fut petit à petit tempéré par l'apparition de sentiments plus nobles et ainsi, imperceptiblement, après des siècles de progrès continus, nous avons passé de la bataille sauvage de la bête aveugle à ce que nous appelons "la guerre civilisée" d'aujourd'hui, au cours de laquelle les antagonistes se serrent les mains, se parlent avec courtoisie et fument des cigares durant les trêves, prêts à reprendre le conflit meurtrier au premier signal. Laissez dire les pessimistes, car c'est la preuve manifeste que l'homme a fait de grands et heureux progrès.

Et maintenant, quelle est la prochaine étape dans cette évolution ? Il n'est pas encore question de paix, loin de là. Le prochain changement qui devrait naturellement suivre les développements modernes, est la réduction continue du nombre d'individus engagés dans les guerres. Les dispositifs de guerre auront une puissance extrêmement grande, mais ne demanderont que peu d'hommes pour les manœuvrer. Cette évolution permettra la mise en place progressive d'une machine ou d'un mécanisme nécessitant de moins en moins d'opérateurs militaires, et il va de soi que les grandes unités lourdes, lentes et difficilement gérables seront abandonnées. L'objectif principal sera d'obtenir un dispositif de guerre ayant une vitesse et une puissance énergétique maximum. Les pertes humaines deviendront toujours plus faibles et, finalement, le nombre des personnes engagées dans les conflits diminuera ; le combat s'exercera alors seulement entre les machines, il n'y aura plus de sang versé, et les nations en seront les spectateurs concernés et présomptueux. Lorsque cette situation heureuse sera effective, la paix sera assurée. Toutefois, quel que soit le degré de perfection que l'on va apporter aux canons à tir rapide, aux canons de haute puissance, aux projectiles explosifs, aux torpilleurs ou à d'autres dispositifs de guerre, quel que soit leur degré de pouvoir destructif, cette condition ne pourra jamais être atteinte avec ce type de développement. Tous ces instruments ont besoin d'opérateurs : les machines ne peuvent pas se passer des hommes. Leur objectif est de tuer et de détruire. Leur puissance réside dans leur capacité à faire le mal. Aussi longtemps que les hommes se rencontreront sur des champs de bataille, le sang sera versé. Et le sang versé entretiendra toujours des passions barbares. Afin de briser cet esprit implacable, il faut renverser la vapeur, faire adopter un tout nouveau principe, quelque chose qui n'a jamais existé en temps de guerre : un principe qui, forcément, inévitablement, va transformer la bataille en simple spectacle, en pièce de théâtre, un conflit sans sang versé. Pour atteindre ce résultat, il faudra pouvoir se passer des hommes : les machines devront se battre entre elles. Mais comment atteindre ce qui paraît impossible ? La réponse est pourtant assez simple : construire une machine capable de se comporter comme si elle faisait partie d'un être humain - pas un simple appareil mécanique fait de leviers, de vis, de roues, de pièces intermédiaires et rien de plus, mais une machine possédant un principe supérieur, qui lui permettra de fonctionner comme si elle était pourvue d'intelligence, d'expérience, de raisonnement, de jugement, bref, d'un cerveau ! Je suis arrivé à cette conclusion après une vie de réflexions et d'observations, et je vais maintenant vous décrire brièvement comment j'ai réussi à accomplir ce qui, au début, ne semblait être qu'un rêve irréalisable.

Il y a très longtemps, lorsque j'étais un petit garçon, je souffrais de troubles singuliers qui, semble-t-il, étaient dus à une extraordinaire excitabilité de la rétine. Je voyais apparaître des images qui étaient tellement persistantes qu'elles troublaient ma vue des objets réels et entraient en interférence avec mes pensées. Lorsqu'on prononçait un mot devant moi, l'image de son concept se présentait alors de manière vivante devant mes yeux et, très souvent, il m'était impossible de dire si l'objet que je voyais était réel ou non. Ce phénomène me gênait beaucoup et m'angoissait, et j'ai tout essayé pour me débarrasser de ce sort. Mes tentatives furent vaines pendant longtemps et, je m'en souviens très bien, ce n'est que vers l'âge de 12 ans que j'ai réussi, pour la première fois, à effacer par la force de ma volonté une image qui s'était présentée. Je n'ai jamais été aussi heureux mais, malheureusement (du moins c'est ce que je pensais à l'époque), mes troubles réapparurent et mon anxiété avec eux. C'est alors que mes observations dont je parlais plus haut ont commencé.

Je remarquai, notamment, que chaque fois que l'image d'un objet apparaissait devant mes yeux, j'avais vu auparavant quelque chose qui me faisait penser à lui. Au début, je crus que c'était accidentel, cependant je me suis vite aperçu qu'il n'en était rien. Une impression visuelle, reçue consciemment ou non, précédait invariablement l'apparition de l'image. Peu à peu, mon désir de trouver, à chaque fois, ce qui était à l'origine de cette apparition d'images, se transforma bientôt en besoin. J'observai ensuite que, si ces images suivaient ma perception de quelque chose, mes pensées, elles aussi, étaient conditionnées de la même manière. Et là encore, j'eus le même désir de savoir quelle image avait déclenché mes pensées ; la recherche de cette impression visuelle originelle devint bientôt ma seconde nature. Cela devint un automatisme mental pour ainsi dire et, au fil des ans, cette pratique continue et presque inconsciente développa mon aptitude à localiser à chaque fois et, en règle générale, instantanément l'impression visuelle qui déclenchait mes pensées. Toutefois, ce n'est pas tout. Peu de temps après, je m'aperçus que mes mouvements s'exécutaient de la même manière, et à force de recherches, d'observations, de vérifications continues, année après année, je fus très heureux de pouvoir prouver, quotidiennement, par chacune de mes pensées et chacun de mes mouvements, que je suis un automate capable de se mouvoir, que ces mouvements ne font que répondre à des stimuli externes qui impressionnent mes organes sensoriels, et que je pense, agis et me déplace en conséquence. Je ne me souviens que d'un cas ou deux dans toute ma vie, où je fus incapable de localiser la première impression qui suggéra un mouvement, une pensée, ou même un rêve.

Fort de ces expériences, il m'est tout naturellement venu l'idée, il y a très longtemps, de construire un automate qui me représenterait d'un point de vue mécanique et qui réagirait comme je le fais aux influences extérieures, mais bien sûr d'une manière beaucoup plus primitive. Par ailleurs, il me fallait équiper cet automate d'une force motrice, d'organes de mouvement, d'organes de commande et d'un ou plusieurs organes sensoriels, adaptés de telle façon qu'ils puissent être excités par des stimuli externes. Je pensais que cette machine allait exécuter ses mouvements comme un être humain, dans la mesure où elle possédait toutes ses principales caractéristiques, ou composants, mécaniques. Pour compléter ce modèle, seules manquaient alors la capacité de croissance, de propagation et, surtout, l'intelligence. Dans ce cas précis, néanmoins, la capacité de croissance n'était pas nécessaire, puisque l'on peut construire une machine dont le développement est terminé, pour ainsi dire. Quant à sa capacité de propagation, on peut pareillement s'en passer, puisque dans un modèle mécanique, elle concerne seulement le processus de fabrication. Peu importe que l'automate soit constitué de chair et de sang ou de bois et de métal, pourvu qu'il soit capable de remplir toutes les tâches d'un être intelligent. Pour cela, il lui fallait un élément correspondant au mental qui contrôlerait tous les mouvements et opérations, et le ferait agir en toutes circonstances inattendues, en toute connaissance de cause, avec bon sens, jugeote et expérience. Il m'était facile d'incorporer cet élément dans la machine, en lui transmettant ma propre intelligence et ma propre compréhension. Je développai donc cette invention, et une nouvelle science venait de naître, à laquelle on donna le nom de "Téléautomatique", ce qui veut dire art de contrôler à distance les mouvements et opérations des automates. (Nous dirions aujourd'hui la robotique)

Ce principe pouvait évidemment être appliqué à tout type de machine se déplaçant sur terre, sur mer ou dans les airs. Lorsque je le mis en pratique la toute première fois, je choisis un sous-marin (voir figure 2). À l'intérieur, se trouvait une batterie à accumulation qui fournissait la puissance motrice. L'hélice, actionnée par un moteur, représentait l'organe de locomotion. Le gouvernail, actionné par un autre moteur alimenté également par la batterie, représentait les organes de commande. Quant à l'organe sensoriel, j'ai d'abord pensé utiliser un dispositif sensible aux rayons lumineux, comme une pile de sélénium, pour représenter l'œil humain. Toutefois, après réflexion suite à des difficultés expérimentales et autres, j'en conclus que le contrôle de l'automate ne pouvait pas s'effectuer de manière entièrement satisfaisante par la lumière, la chaleur radiante, les radiations hertziennes, ou par des rayons en général, c'est-à-dire par des perturbations qui passent en lignes droites à travers l'espace. Une des raisons était que tout obstacle entrant dans le champ entre l'opérateur et l'automate empêcherait le contrôle de ce dernier. Une autre raison était que l'appareil sensitif, représentant l'œil, devait être placé dans une position bien définie par rapport à l'appareil de contrôle à distance, et cette obligation limitait grandement le contrôle. Une troisième raison très importante était qu'avec l'utilisation de rayons il deviendrait difficile, voire impossible, de transmettre à l'automate des caractéristiques personnelles ou qui le distinguerait d'autres machines de ce type. Il fallait que l'automate réponde à un seul signal, tout comme une personne répond à un nom. Tous ces facteurs m'ont amené à penser que l'appareil sensoriel de la machine devait correspondre à l'oreille plutôt qu'à l'œil d'un être humain, car dans ce cas, ses actions pourraient être contrôlées indépendamment d'éventuels obstacles, sans avoir à tenir compte de sa position par rapport à l'appareil de contrôle à distance et, enfin et surtout, il resterait sourd et insensible, comme un serviteur fidèle, à tous les signaux, sauf à celui de son maître. Donc, pour le contrôle de l'automate, il devenait impératif d'utiliser à la place des rayons, des ondes ou des perturbations qui se propagent dans toutes les directions à travers l'espace, comme les sons, ou qui suivent des lignes de moindre résistance, quoique courbes. Je suis arrivé à mes fins en utilisant un circuit électrique placé à l'intérieur du bateau, et en l'ajustant ou en l' "accordant" exactement sur les vibrations électriques de même nature que celles qui lui étaient transmises par un "oscillateur électrique" à distance. Ce circuit en réagissant, quoique faiblement, aux vibrations transmises, influait sur des aimants et d'autres dispositifs qui commandaient les mouvements de l'hélice et du gouvernail, ainsi que les opérations de nombreux autres appareils.

2 : "Le premier Téléautomate utilisable en pratique". Machine dont tous les mouvements physiques et de translation, toutes les opérations du mécanisme intérieur sont contrôlés à distance, sans fil. Le sous-marin représenté sur la photo n'a pas d'équipage, il contient sa propre force motrice, son moteur à propulsion et de direction et de nombreux autres accessoires, qui sont tous contrôlés à distance et sans fil, par la transmission de vibrations électriques vers un circuit intégré dans le bateau et réglé de manière qu'il ne réponde qu'à ces seules vibrations.

C'est avec ces moyens très simples que je viens de décrire que l'intelligence, l'expérience et la capacité de jugement de l'opérateur à distance - son mental, pour ainsi dire - furent incorporés dans cette machine qui, partant, devenait capable de se mouvoir et d'effectuer toutes ses opérations avec bon sens et intelligence. Elle se comportait tout comme l'aurait fait une personne qui, les yeux bandés, obéit aux directives qu'elle reçoit par son ouïe.

Les automates qui ont été construits jusqu'à ce jour avaient "un mental emprunté", si l'on peut dire, car chacun n'était qu'une partie de l'opérateur à distance qui leur transmettait ses ordres intelligents ; toutefois cette science est encore balbutiante. Bien que cela ne soit pas concevable à l'heure actuelle, mon but est de démontrer que l'on peut inventer un automate qui aurait son "propre mental", et par-là j'entends qu'il sera indépendant de tout opérateur, livré entièrement à lui-même et capable de réagir à des facteurs externes affectant ses organes sensoriels et d'effectuer une grande diversité d'actes et d'opérations, comme s'il était pourvu d'intelligence. Il sera capable de suivre un trajet préétabli, ou d'obéir à des ordres donnés longtemps à l'avance. Il sera capable de discerner entre ce qu'il doit ou ne doit pas faire, de faire des expériences ou, en d'autres termes, d'enregistrer des impressions qui auront un rôle décisif dans ses actions subséquentes. En fait, j'ai déjà conçu un tel plan.

Bien que j'aie construit cette invention il y a de nombreuses années, et que je l'aie très souvent expliquée aux visiteurs lors de démonstrations dans mon laboratoire, ce n'est que bien plus tard, et après que je l'eus perfectionnée, qu'elle devint connue et que - et c'est tout naturel - elle donna lieu à des polémiques et fut l'objet de rapports sensationnels. Cependant, la plupart des gens n'ont ni saisi la véritable signification de cette nouvelle science, ni reconnu l'immense potentiel du principe sous-jacent. Pour autant que j'aie pu en juger des nombreux commentaires qui fusèrent alors, les résultats que j'ai obtenus étaient considérés comme étant parfaitement impossibles. Même les rares personnes qui étaient prêtes à admettre la faisabilité de mon invention, ne lui accordaient pas plus de valeur qu'à une torpille autopropulsée, destinée à faire sauter des navires de guerre, mais dont le succès n'était pas garanti. Comme il existe des torpilles guidées par des fils électriques et des moyens de communication sans fil, on en a déduit, d'une manière générale, que j'avais simplement réussi à diriger un tel bateau avec des rayons hertziens ou autres. Si mes résultats devaient se limiter à cela, mes progrès auraient, en effet, été bien minces. Toutefois, la science que j'ai développée ne se contente pas de faire changer de direction un navire en déplacement ; elle offre les moyens de contrôler parfaitement, à tous égards, les innombrables mouvements de translation, comme toutes les opérations de tous les organes internes d'un automate individualisé, quel que soit leur nombre. Les critiques du contrôle de l'automate à distance émanaient de personnes qui n'ont aucune idée des merveilleux résultats que l'on peut obtenir en utilisant des vibrations électriques. La science avance lentement, et il est difficile de faire face à, et d'accepter, de nouvelles vérités. Évidemment, ce principe permet de développer des armes tant pour la défense que pour l'attaque, et leur puissance de destruction est d'autant plus grande que la méthode peut être utilisée aussi bien dans les sous-marins que dans l'aéronavale. Il n'y a pratiquement pas de limites quant à la quantité d'explosifs qu'une telle machine peut transporter, ou à la distance à laquelle elle peut frapper, et il est quasiment impossible d'échouer. En outre, la puissance de cette nouvelle méthode ne réside pas uniquement dans son pouvoir de destruction. Elle introduit dans les guerres un élément qui jusqu'ici n'a jamais existé : une machine de combat sans équipage, qui peut servir les assaillants comme les défenseurs. Les développements continus dans cette direction doivent finalement faire de la guerre un combat entre machines, sans hommes et sans victimes - une situation qu'il est impossible d'atteindre sans cette nouvelle invention mais qui, à mon avis, est nécessaire en tant que préliminaire à une paix durable. L'avenir dira si j'ai eu raison ou tort. J'ai exposé mes idées sur ce sujet avec une profonde conviction, quoique en toute humilité.

L'instauration de relations pacifiques durables entre les pays serait le meilleur moyen de réduire la force qui empêche l'humanité d'avancer et, partant, serait la meilleure solution à cet important problème de l'humanité. Le rêve d'une paix universelle se réalisera-t-il jamais ? Espérons-le. Lorsque toute l'obscurité sera dissipée à la lumière de la science, lorsque toutes les nations n'en feront qu'une et que le patriotisme sera l'égal de la religion, lorsque tous parleront la même langue, qu'il n'y aura plus qu'un seul pays, un seul but, alors le rêve sera devenu réalité.

Troisième question : comment augmenter la force d'accélération de la masse humaine ? - L'exploitation de l'énergie solaire.

Des trois solutions possibles au problème majeur de l'intensification de l'énergie humaine, celle-ci est de loin la plus importante, non seulement à cause de sa signification intrinsèque, mais aussi parce qu'elle est en rapport intime avec tous les nombreux facteurs et conditions qui déterminent la marche de l'humanité. Afin de procéder avec méthode, il va falloir que je m'étende sur tous les facteurs qui, depuis le début de mes recherches, m'ont permis de trouver une solution, et qui m'ont conduit, petit à petit, aux résultats que je vais décrire maintenant. En ce qui concerne les forces majeures qui déterminent la marche en avant, il serait intéressant de revenir, dans un premier temps, sur l'étude analytique que j'ai faite, ne serait-ce que pour donner une idée de cette "vitesse" hypothétique qui, comme cela a été dit au début, sert à mesurer l'énergie humaine ; toutefois, si j'allais au fond de la chose maintenant, comme je désirerais le faire, cela me conduirait hors du cadre du sujet présent. Il me suffit de préciser que la résultante de toutes ces forces va toujours dans la direction de la raison et que c'est donc elle qui détermine, à tout moment, la direction de la marche de l'humanité. Cela signifie que tous les efforts entrepris dans le domaine scientifique, qu'ils soient d'ordre rationnel, utile ou pratique, doivent aller dans le sens dans lequel se déplace l'humanité. L'homme pratique et rationnel, le scientifique, l'homme d'affaires, le philosophe, le mathématicien ou le prévisionniste doit soigneusement planifier son travail, pour que ses effets aillent dans la direction de ce mouvement, car c'est alors qu'il sera le plus efficace ; c'est dans cette connaissance et cette compétence que réside le secret de son succès. Toute nouvelle découverte, toute nouvelle expérience ou tout nouveau facteur qui vient enrichir notre connaissance et qui est du domaine de la raison, aura des répercussions sur ce dernier et partant changera la direction du mouvement ; toutefois, celui-ci devra toujours aller dans le sens de la résultante de tous ces efforts qu'à ce moment-là nous estimons sensés, c'est-à-dire protecteurs de l'homme, utiles, profitables ou pratiques. Ces efforts concernent notre vie quotidienne, nos besoins et notre bien-être, notre travail et nos affaires, et ce sont eux qui font avancer l'humanité.

Toutefois, lorsque nous regardons ce monde affairé tout autour de nous, cette masse complexe qui journellement palpite d'activités, que voyons-nous, si ce n'est un immense rouage d'horloge actionné par un ressort ? Dès que nous nous levons le matin, nous sommes bien obligés de constater que tout ce qui nous entoure a été fabriqué par des machines : l'eau que nous utilisons a été pompée hors du sol par l'énergie vapeur ; notre petit-déjeuner vient de très loin par train ; les ascenseurs dans nos maisons et bureaux, les voitures qui nous y emmènent, fonctionnent tous à l'énergie ; lorsque nous faisons nos courses et dans toutes nos occupations journalières, nous dépendons encore d'elle ; tous les objets qui nous entourent nous en parlent ; et le soir, lorsque nous rentrons dans nos habitations fabriquées par les machines, tout le confort matériel de notre maison, notre poêle bien chaud et nos lampes nous rappellent, de peur que nous ne l'oubliions, combien nous sommes dépendants de l'énergie. Et si par malheur les machines s'arrêtent, lorsque la ville est paralysée par la neige ou que les activités qui entretiennent la vie sont arrêtées par quelque phénomène temporaire, nous réalisons avec effroi qu'il nous serait impossible de vivre sans énergie motrice. Énergie motrice veut dire travail. C'est pourquoi intensifier la force d'accélération de la marche de l'humanité signifie exécuter plus de travail.

Nous pouvons donc dire que les trois solutions possibles au gros problème de l'accroissement de l'énergie humaine, peuvent se résumer en trois mots : nourriture, paix et travail. Pendant des années, j'ai réfléchi et médité, je me suis égaré dans des spéculations et des théories en considérant l'humanité comme une masse mue par une force, comparant son mouvement inexplicable avec un mouvement mécanique ; cependant, en appliquant les lois rudimentaires de la mécanique à l'analyse de ce dernier, j'ai finalement trouvé ces solutions, et j'ai réalisé qu'elles m'avaient déjà été enseignées dans ma petite enfance. Ces trois mots sont les piliers du christianisme. Leur signification scientifique et leur sens sont devenus clairs pour moi : la nourriture doit augmenter la masse, la paix doit ralentir la force de freinage, et le travail doit intensifier la force d'accélération de la marche de l'humanité. Ce sont les trois seules solutions possibles à cet important problème, et chacune d'elles a la même fonction et vise le même but, à savoir l'intensification de l'énergie humaine. À la lumière de ceci, nous serons obligés de reconnaître que la religion chrétienne est remplie de sagesse, d'une profondeur scientifique et d'un grand sens pratique, et qu'elle est en contraste très net avec les autres religions. Elle est immanquablement le résultat d'expérimentations pratiques et d'observations scientifiques conduites pendant des siècles, alors que d'autres religions semblent issues de seuls raisonnements abstraits. Ses commandements principaux et récursifs sont le travail, d'inlassables efforts utiles et enrichissants, entrecoupés de périodes de repos et de récupération dans le but d'atteindre une plus grande efficacité. C'est donc à la fois le christianisme et la Science qui nous inspirent pour que nous donnions le meilleur de nous-mêmes, afin d'augmenter les performances de l'humanité. C'est ce problème, qui est le plus important de tous les problèmes de l'humanité, que j'aimerais approfondir maintenant.

La source de l'énergie humaine - Les trois méthodes d'exploitation de l'énergie solaire.

Posons-nous tout d'abord la question suivante : d'où vient toute cette force motrice ? Quel est le ressort qui fait tout avancer ? Nous voyons l'océan monter et descendre, les rivières s'écouler, le vent, la pluie, la grêle et la neige battre contre nos fenêtres, les trains et les bateaux à vapeur partir et revenir ; nous entendons le cliquetis des véhicules, les rumeurs dans les rues ; nous touchons, sentons et goûtons, et nous philosophons sur tout cela. Tous ces mouvements, depuis le flux de l'immense océan jusqu'à celui, très subtil, engendré par notre pensée, ont tous la même origine. Toute cette énergie émane d'un seul centre, d'une seule source : le soleil. Le soleil est le ressort qui fait tout avancer. Le soleil entretient toutes les vies humaines et fournit aux hommes leur énergie. Voici donc une nouvelle réponse à la grande question qui nous préoccupe : pour augmenter la force d'accélération de la marche de l'humanité, il faut mettre plus d'énergie solaire à son service. Nous honorons et vénérons ces grands hommes du passé dont les noms rappellent leurs succès immortels et qui furent des bienfaiteurs de l'humanité : le réformateur religieux et ses maximes de vie remplies de sagesse, le philosophe et ses profondes vérités, le mathématicien et ses formules, le physicien et ses lois, l'explorateur avec ses principes et secrets arrachés à la nature, l'artiste et ses œuvres d'art ; mais qui l'honore, lui, le plus grand de tous - qui connaît seulement son nom ? - celui qui, pour la première fois, a utilisé l'énergie solaire pour faciliter le travail d'un prochain plus faible que lui ? Ce fut le premier acte philanthropique dans l'histoire de l'humanité et ses conséquences furent inestimables.

L'homme disposait, depuis les tout débuts déjà, de trois possibilités pour exploiter l'énergie solaire. L'homme des cavernes, quand il réchauffait ses membres engourdis par le froid autour d'un feu qu'il avait réussi à allumer, se servait de l'énergie solaire emmagasinée dans son combustible. Lorsqu'il portait un fagot dans sa caverne pour y faire un feu, il transportait l'énergie solaire emmagasinée d'un endroit à un autre pour ensuite l'utiliser. Lorsqu'il hissait la voile sur son embarcation, il utilisait l'énergie solaire transmise à l'atmosphère ou au milieu environnant. Il ne fait aucun doute que la première utilisation citée est la plus ancienne. La découverte fortuite du feu apprit à l'homme sauvage à apprécier sa chaleur bienfaisante. Ensuite est probablement née en lui l'idée de transporter les braises rougeoyantes dans son abri. Et finalement, il apprit à se servir de la force des courants rapides de l'eau et de l'air. Il est caractéristique que dans les développements modernes les progrès se soient effectués dans le même ordre. L'utilisation de l'énergie emmagasinée dans le bois ou le charbon ou, d'une manière plus générale, dans les combustibles, conduisit à l'invention de la machine à vapeur. Ensuite, de grands progrès furent réalisés dans le cadre du transport de l'énergie, avec l'utilisation de l'électricité, qui permettait de transmettre l'énergie d'un point à un autre sans avoir à transporter le combustible. Mais pour ce qui est de l'utilisation de l'énergie dans le milieu ambiant, il semblerait qu'aucun progrès n'ait encore été réalisé.

Les derniers résultats des développements dans ces trois domaines sont : premièrement, la combustion froide de charbon dans une pile ; deuxièmement, l'utilisation efficace de l'énergie du milieu environnant ; et troisièmement, la transmission de l'énergie électrique sans fil vers n'importe quel lieu. Quel que soit le moyen pour arriver à ces résultats, leur application pratique nécessite un emploi massif de fer, et ce métal inestimable jouera sans aucun doute un rôle essentiel dans les développements à venir dans ces trois domaines. Si nous réussissons à brûler du charbon par un processus froid et si nous obtenons donc de l'énergie électrique d'une manière efficace et peu coûteuse, nous aurons souvent besoin de moteurs électriques dans le cadre de nos utilisations pratiques de cette énergie, c'est-à-dire de fer. Pour tirer l'énergie du milieu et pour utiliser cette énergie, nous aurons besoin de machines, donc encore de fer. Si nous voulons transmettre l'énergie électrique sans fil à une échelle industrielle, nous serons appelés à utiliser de nombreux générateurs d'électricité, donc encore une fois, du fer. Quoi que nous décidions de faire, le fer sera vraisemblablement, encore plus que par le passé, la ressource principale pour atteindre nos objectifs dans un futur proche. Il est difficile de dire pendant combien de temps son règne durera, car aujourd'hui déjà l'aluminium apparaît comme un rival menaçant. Pour le moment et parallèlement à la recherche de nouvelles sources d'énergie, il est essentiel de progresser dans la fabrication et l'utilisation du fer. De gros progrès sont possibles dans ces derniers domaines et ils sont susceptibles d'augmenter considérablement la productivité de l'humanité.

Les grandes possibilités offertes par le fer pour augmenter la productivité de l'humanité - Le terrible gaspillage dans la fabrication du fer.

De nos jours, le fer est de loin le facteur de progrès le plus important. Il contribue, plus que tout autre produit industriel, à accélérer la marche de l'humanité. L'utilisation de ce métal est devenue tellement courante et sa relation avec tout ce qui concerne notre vie est si intime, qu'il nous est devenu aussi indispensable que l'air que nous respirons. Son nom est synonyme d'utilité. Bien que l'influence du fer soit importante dans le développement actuel de l'humanité, sa contribution effective à la force poussant l'humanité en avant, est largement inférieure à ce qu'elle pourrait être. Tout d'abord, telle quelle est menée actuellement, sa fabrication engendre un énorme gaspillage de combustible, c'est-à-dire d'énergie. Par ailleurs, une partie seulement du fer obtenu est utilisée à des fins utiles. Une bonne partie va créer des résistances de friction, tandis qu'une autre grande partie va servir à développer des forces négatives qui retardent grandement l'avancée de l'humanité. C'est ainsi que la force négative de la guerre est presque entièrement constituée de fer. Il est impossible d'estimer avec précision l'ordre de grandeur de cette force de freinage la plus importante de toutes, mais elle est certainement très considérable. Si, par exemple, 10 représente la force d'impulsion positive actuelle résultant de toutes les utilisations utiles du fer, je ne pense pas exagérer en estimant la force négative de la guerre autour de 6, en considérant toutes ses influences et résultats négatifs. Sur la base de ces estimations, la force d'impulsion effective du fer agissant dans la bonne direction, sera la différence entre les deux nombres, soit 4. Mais si la fabrication des machines de guerre cessait, par le biais de l'instauration de la paix universelle, et si toutes les luttes pour la suprématie entre les pays se transformaient en compétition commerciale productive, durable et saine, la force d'impulsion positive apportée par le fer se mesurerait par la somme des deux nombres, soit 16, ce qui veut dire que cette force serait du quadruple de sa valeur actuelle. Bien sûr, cet exemple est juste donné pour que l'on ait une idée de l'énorme augmentation de la productivité de l'humanité, qui pourrait résulter d'une réforme radicale des industries sidérurgiques fournissant l'artillerie.

Une autre économie d'énergie tout aussi inestimable pourrait être obtenue en parant à l'énorme gaspillage de charbon qui est inévitablement lié aux techniques de production de fer actuelles. Dans certains pays, comme la Grande Bretagne, on commence à ressentir les douloureux effets de ce gaspillage de combustible. Le prix du charbon ne cesse d'augmenter et les pauvres en souffrent de plus en plus. Bien que nous soyons loin de "l'épuisement des mines de charbon" tant redouté, la charité nous ordonne d'inventer de nouvelles méthodes de production de fer, qui n'impliqueront pas de gaspillage barbare de ce matériau précieux, dont nous tirons aujourd'hui la plus grande partie de notre énergie. Il est de notre devoir de réserver ces stocks d'énergie aux générations futures, ou du moins, de ne pas y toucher aussi longtemps que nous n'avons pas trouvé le moyen de brûler le charbon de manière plus économique. Nos descendants auront besoin de plus de combustible que nous. Nous devrions être capables de fabriquer le fer dont nous avons besoin en utilisant l'énergie solaire, en ne gaspillant pas de combustible du tout. L'idée de faire fondre le minerai de fer avec des courants électriques obtenus à partir de chutes d'eau a, évidemment, déjà surgi dans l'esprit de ceux qui travaillent dans ce sens. J'ai moi-même passé beaucoup de temps à tenter de développer un procédé qui soit fonctionnel et qui permettrait de produire du fer à peu de frais. Après avoir étudié ce sujet plus à fond, j'ai découvert qu'il n'était pas rentable de fondre le minerai directement avec le courant électrique et, partant, j'ai développé une méthode qui est beaucoup plus économique.

Un nouveau procédé permettant une production économique du fer.

Avec ce projet industriel, tel que je l'avais développé il y a six ans, il s'agissait d'utiliser le courant électrique obtenu à partir de chutes d'eau, non pour faire fondre directement le minerai, mais pour décomposer l'eau dans un premier temps. Afin de réduire les coûts de l'installation, je voulais produire le courant dans des dynamos simples et très bon marché, que j'avais conçues spécialement dans ce but. Il s'agissait de brûler ou de re-combiner l'hydrogène libéré lors de la décomposition par électrolyse, avec l'oxygène de l'air, et non avec l'oxygène dont il venait d'être séparé. De cette manière, la presque totalité de l'électricité qui avait servi à la fission de l'eau était regagnée sous forme de chaleur grâce à sa liaison avec l'hydrogène. C'est cette chaleur qui devait servir à faire fondre le minerai. J'avais l'intention d'utiliser l'oxygène obtenu comme sous-produit lors de la fission de l'eau, à d'autres fins industrielles, ce qui aurait été certainement très rentable d'un point de vue financier, car c'est le moyen le plus économique pour obtenir ce gaz en grandes quantités. En tout cas, il aurait pu servir à brûler toutes sortes de déchets, les hydrocarbures bon marché ou le charbon de mauvaise qualité que l'on ne peut ni brûler à l'air libre, ni utiliser à d'autres fins utiles, ce qui permettait, par ailleurs, d'obtenir beaucoup de chaleur pour faire fondre le minerai. Pour que le procédé soit encore plus économique, j'envisageai, en outre, de prendre des dispositions pour que le métal chaud et les produits de la combustion, en sortant du feu, viennent chauffer le minerai avant qu'il ne soit placé dans le feu, ce qui permettait de réduire considérablement la perte de chaleur lors de la fonte. J'ai calculé que l'on pouvait fabriquer approximativement 20 000 kilos de fer par cheval-vapeur, par an, avec ce procédé. J'en ai largement déduit les pertes inévitables et la quantité citée ne représente que la moitié de celle que l'on pourrait obtenir en théorie. Me basant sur des estimations et sur des données pratiques se référant à un type de sable à minerai que l'on trouve en grandes quantités dans la région des Grands Lacs et même en comptant les frais de transport et de main d'œuvre, j'en conclus qu'en certains endroits, le fer pouvait être fabriqué à bien moindre coût qu'avec toutes les autres méthodes utilisées. Ce résultat pouvait s'obtenir d'autant plus facilement que l'oxygène, obtenu à partir de l'eau, pouvait servir à d'autres fins plus profitables que celle de faire fondre le minerai. L'installation augmenterait encore ses revenus si la demande de ce gaz devenait plus forte et, partant, le fer deviendrait encore meilleur marché. J'ai développé ce projet en visant essentiellement les intérêts industriels et j'espère qu'un jour un merveilleux papillon industriel sortira de la chrysalide poussiéreuse et endormie.

La production de fer à partir de sable à minerai par un principe de séparation magnétique est en soi très avantageuse, puisqu'il n'y a aucune perte en charbon ; mais l'utilité de cette méthode est limitée car il faut ensuite faire fondre le fer. Quant au concassage du minerai de fer, je pense que la seule manière intelligente d'y procéder, serait d'utiliser la force hydraulique ou une autre énergie obtenue autrement, sans brûler de combustible. Ce serait une grande avancée dans la fabrication du fer, si on utilisait un procédé électrolytique froid, car il permettrait d'extraire le fer à moindre coût et aussi de le fondre en formes voulues, sans recourir à un combustible. Le fer, tout comme certains autres métaux, n'a jusqu'ici pas pu être traité par électrolyse, mais il ne fait aucun doute que ce type de procédé froid va finir par remplacer la méthode actuelle grossière de coulée dans la métallurgie et ainsi mettre un terme à l'énorme gaspillage de combustible nécessaire aux réchauffements répétés du métal dans les fonderies.

Il y a quelques décennies encore, l'utilité du fer était basée presque uniquement sur ses remarquables propriétés mécaniques ; toutefois, depuis l'avènement de la commercialisation à grande échelle de la dynamo et des moteurs électriques, sa valeur pour l'humanité a augmenté considérablement à cause de ses qualités magnétiques uniques. Ces dernières ont encore été améliorées dernièrement ; tout a commencé il y a treize ans, lorsque je découvris que la performance d'un moteur alternatif pouvait être doublée en utilisant de l'acier doux Bessemer, au lieu du fer laminé comme à l'accoutumée. J'ai fait remarquer ceci à M. Albert Schmid, alors directeur d'une corporation industrielle travaillant dans ce domaine, dont les efforts inlassables et les compétences ont largement contribué à la suprématie de l'industrie électrique américaine. Il a suivi mes suggestions et a construit des transformateurs en acier, qui se sont avérés bien meilleurs. Les recherches ont alors continué sous la direction de M. Schmid et les impuretés de "l'acier" furent éliminées petit à petit (de l'acier il n'en portait que le nom, car, en réalité, c'était du fer doux) ; il en résulta bientôt un produit qu'il était difficile de vouloir encore améliorer.

L'ère imminente de l'aluminium - Le déclin de l'industrie du cuivre - Le grand potentiel économique de ce nouveau métal.

Les progrès réalisés ces dernières années sur la qualité du fer ne nous permettent pratiquement plus d'aller plus loin. Nous ne pouvons pas espérer augmenter sa limite de rupture, son élasticité, sa dureté ou sa malléabilité ; quant à ses qualités magnétiques, elles sont aujourd'hui imperfectibles. Une amélioration notoire lui a été apportée récemment, en mélangeant un faible pourcentage de nickel au fer, mais il n'y a plus beaucoup de marge de manœuvre pour d'autres avancées dans cette direction. De nouvelles découvertes éventuelles, si elles ne peuvent pas augmenter de beaucoup les propriétés qui font la valeur de ce métal, pourraient toutefois en réduire les coûts de fabrication. Le futur immédiat du fer est assuré par son bas prix et ses qualités mécaniques et magnétiques hors pair. Elles sont d'un ordre tel qu'aucun autre produit ne peut le concurrencer aujourd'hui. Toutefois, il ne fait aucun doute que d'ici quelque temps, le fer, dans beaucoup de ses domaines aujourd'hui incontestés, devra passer le sceptre à un autre métal : l'ère future sera l'ère de l'aluminium. Il y a 70 ans seulement que ce merveilleux métal fut découvert par Woehler, et l'industrie de l'aluminium, qui n'a guère plus de 40 ans, attire déjà l'attention du monde entier. Une croissance aussi rapide n'a jamais été enregistrée dans l'histoire de la civilisation. Il y a peu de temps encore, l'aluminium se vendait au prix exorbitant de 30 à 40 dollars la livre ; aujourd'hui, on peut l'avoir, à volonté, pour quelques cents. Néanmoins, ce prix sera bientôt considéré tout aussi exorbitant, car il est possible de faire de grands progrès dans ses méthodes de fabrication. La plupart du métal est aujourd'hui fabriquée dans de hauts-fourneaux électriques par un procédé combinant la fusion et l'électrolyse, ce qui permet d'obtenir un certain nombre de caractéristiques avantageuses, mais qui, bien sûr, implique une grande perte d'électricité. Mes calculs montrent que le prix de l'aluminium pourrait être réduit considérablement si, dans sa fabrication, on utilisait une méthode similaire à celle que j'ai proposée pour la fabrication du fer. La fusion d'une livre d'aluminium ne demande que 70% de la chaleur nécessaire à faire fondre une livre de fer et comme son poids est seulement du tiers de ce dernier, on pourrait obtenir quatre fois plus d'aluminium que de fer à partir d'une énergie thermique donnée. Cependant, la solution idéale serait un processus de fabrication électrolytique à froid, et j'ai misé tous mes espoirs là-dessus.

Les progrès réalisés dans l'industrie de l'aluminium vont inévitablement avoir pour conséquence l'anéantissement de l'industrie du cuivre. Elles ne peuvent exister et prospérer ensemble, et la dernière est condamnée sans aucun espoir de retour. Aujourd'hui déjà, il est moins cher de transporter le courant électrique dans des fils d'aluminium que de cuivre ; le coulage de l'aluminium est moins onéreux et le cuivre n'a aucune chance de rivaliser dans des utilisations domestiques ou autres. Une nouvelle baisse du prix de l'aluminium ne pourra être que fatale pour le cuivre. Toutefois, les progrès du premier ne se feront pas sans résistance, car, comme toujours dans des cas semblables, les grands complexes industriels absorberont les plus petits : les énormes puissances économiques du cuivre prendront le contrôle de l'industrie de l'aluminium encore insignifiante et l'industrie du cuivre qui tournera au ralenti va freiner l'envolée de l'industrie de l'aluminium. Cependant, cela ne fera que retarder, et non empêcher, la révolution imminente.

Toutefois, l'aluminium ne s'attaquera pas seulement au cuivre. Dans un futur relativement proche, il s'engagera dans une bataille sans merci avec le fer et ce dernier se montrera un adversaire difficile à terrasser. L'issue de ce combat dépendra du degré de nécessité du fer dans la fabrication des machines électriques. L'avenir seul le dira. Le magnétisme intrinsèque du fer, est un phénomène isolé dans la nature. Bien que différentes théories aient déjà été avancées, on ne sait toujours pas pourquoi ce métal se comporte de manière aussi radicalement différente des autres métaux dans ce domaine. Pour ce qui est du magnétisme, les molécules des différentes substances se comportent comme des faisceaux creux partiellement remplis d'un liquide lourd, qui restent en équilibre au milieu, à la manière d'un jeu de bascule en équilibre sur son pivot. Il existe évidemment des facteurs perturbateurs dans la nature qui vont faire que chaque molécule, ou que ce faisceau, va basculer soit dans un sens, soit dans l'autre. Si les molécules partent dans un sens, la substance sera magnétique ; si elles partent dans l'autre, elle ne le sera pas. Mais dans les deux cas il y a stabilité, tout comme c'est le cas dans le faisceau creux, et cela est dû au fait que le liquide se précipite vers la partie la plus basse. Ce qu'il y a d'extraordinaire, c'est que les molécules de toutes les substances connues partent dans une direction, tandis que celles du fer partent dans l'autre. Il semble que ce métal ait une origine tout à fait différente de celle des autres sur cette terre. Il est peu vraisemblable que l'on découvrira quelque autre matériau meilleur marché, susceptible de rivaliser ou de surpasser le fer quant à ses qualités magnétiques.

À moins que nous ne nous mettions à utiliser un courant électrique aux caractéristiques radicalement différentes, le fer nous restera indispensable. Pourtant, les avantages qui y sont liés ne sont qu'apparents. Aussi longtemps que nous utilisons des forces magnétiques faibles, il sera de loin supérieur à tout autre matériau ; mais si nous trouvons des moyens de produire des forces magnétiques plus importantes, on obtiendra de meilleurs résultats sans lui. En fait, j'ai déjà construit des transformateurs électriques dans lesquels je n'utilise pas de fer et qui sont capables de faire dix fois plus de travail par livre que ceux qui contiennent du fer. J'ai obtenu ces résultats en utilisant des courants électriques de vibration très élevée, produits par une nouvelle méthode, à la place des courants ordinaires utilisés actuellement dans l'industrie. J'ai également réussi à faire marcher des moteurs électriques sans fer avec ces courants à haute vibration, mais jusqu'ici, les résultats ont été inférieurs à ceux obtenus avec les moteurs habituels contenant du fer, bien qu'en théorie, les premiers dussent être capables de faire beaucoup plus de travail par unité de poids que les derniers. Toutefois, les difficultés apparemment insurmontables, qui font obstacle aujourd'hui, pourraient finalement être surmontées, ce qui marquera la fin de l'utilisation du fer ; toutes les machines électriques seront alors construites en aluminium et, selon toute probabilité, à un prix ridiculement bas. Ce serait un coup sévère, voire fatal, pour le fer. Dans d'autres branches de l'industrie, telle la construction navale et dans tous les domaines où les structures doivent être le plus léger possible, le progrès de ce métal sera plus rapide. Comme il convient parfaitement pour ce type de construction, il est certain qu'il va supplanter le fer tôt ou tard. Il est fort probable qu'au fil du temps, nous serons capables de lui donner beaucoup de ces qualités qui font du fer un matériau de valeur.

Bien qu'il soit impossible de dire quand cette révolution industrielle aura lieu, il ne fait aucun doute que le futur appartient à l'aluminium et qu'il deviendra le facteur essentiel dans l'augmentation de la productivité de l'humanité. Dans ce domaine, il a des capacités bien supérieures à celles de tout autre métal. J'estime son potentiel économique à plus de cent fois celui du fer. Bien qu'elle soit surprenante, cette estimation n'est pas exagérée. Tout d'abord, il faut se rappeler que le stock d'aluminium disponible est trente fois supérieur à celui du fer, ce qui, en soi, offre de grandes possibilités. Par ailleurs, je le répète, ce métal est beaucoup plus maniable que le fer, ce qui augmente sa valeur. Bon nombre de ses caractéristiques le rapprochent d'un métal précieux, ce qui lui donne encore plus de prix. Sa conductivité électrique à elle seule, qui est, pour un poids donné, supérieure à celle de tout autre métal, suffirait pour qu'il soit considéré comme un des plus importants facteurs de progrès de l'humanité. Comme il est extrêmement léger, le transport des objets manufacturés demande beaucoup moins d'efforts. En vertu de cette propriété, il va faire la révolution dans la construction navale et comme il va faciliter les transports et les déplacements, il va contribuer à augmenter sérieusement la productivité de l'humanité. Toutefois, je crois que son plus grand potentiel économique se situera dans le domaine de l'aéronautique, car il contribuera grandement à son avènement. Les instruments télégraphiques vont, petit à petit, aider au développement des hommes les moins civilisés. Les moteurs électriques et les ampoules le feront encore plus vite, cependant, les plus grands progrès seront réalisés dans l'aviation. Les voyages vont devenir de plus en plus faciles et ils vont être le meilleur moyen de réunir les éléments hétérogènes de l'humanité. Nous devons, comme première étape vers ce but, construire un accumulateur plus léger ou obtenir plus d'énergie à partir du charbon.

Travaux visant à obtenir plus d'énergie à partir du charbon - La transmission de l'électricité - Le moteur à gaz - La pile à charbon froid (soit une pile à combustible à oxydation lente).

Je me souviens d'un temps où je considérais la production d'électricité à partir de la combustion de charbon dans une pile, comme la meilleure contribution pour faire avancer l'humanité, et je suis surpris de constater combien mon point de vue a été modifié à mesure que j'avançais dans mes travaux dans ce domaine. Il me semble aujourd'hui que le fait de faire brûler du charbon dans une pile - avec plus ou moins d'efficacité - n'est qu'un simple expédient, une étape dans l'évolution vers quelque chose de plus parfait. Après tout, en générant de l'électricité par ce moyen, nous détruisons de la matière, ce qui est un procédé barbare. Nous devrions être capables d'obtenir de l'énergie sans brûler de matière première. Toutefois, je suis loin de sous-estimer la valeur d'une telle méthode de combustion. Aujourd'hui, la plupart de l'énergie motrice vient du charbon et, soit directement, soit par ses sous-produits, il intensifie énormément l'énergie de l'humanité. Malheureusement, dans tous les procédés utilisés de nos jours, la majeure partie de l'énergie du combustible est dissipée inutilement. Les meilleures machines à vapeur n'utilisent qu'une petite fraction de l'énergie totale. Même dans les moteurs à gaz avec lesquels on peut obtenir de meilleurs résultats - surtout avec les derniers modèles -, il y a toujours un gaspillage barbare. Dans nos systèmes d'éclairage électrique, nous n'utilisons que 0,33 % de toute l'énergie du combustible, et encore moins dans l'éclairage au gaz. Dans nos diverses utilisations du charbon sur la planète, nous n'utilisons, tout bien considéré, certainement pas plus de 2% de toute l'énergie disponible en théorie. Celui qui arrivera à mettre un terme à ce gaspillage fou serait un grand bienfaiteur de l'humanité, bien que la solution qu'il apportera ne puisse pas être permanente, car elle conduirait finalement à l'épuisement des stocks de la matière première. Des efforts sont entrepris, principalement dans deux directions, afin d'obtenir plus d'énergie à partir du charbon, à savoir dans la production d'électricité et celle de gaz comme énergies motrices. Des succès notoires ont déjà été enregistrés dans ces deux domaines.

L'arrivée des systèmes à courant alternatif pour la transmission de l'électricité, marque le début d'une époque où l'énergie du charbon disponible pour l'humanité devient plus économique. Évidemment, toute l'énergie obtenue à partir de chutes d'eau permet d'économiser autant de combustible et profite à l'humanité, et est d'autant plus rentable qu'elle ne demande que peu d'efforts de la part de l'homme ; dans la mesure où ce procédé est le plus parfait de tous ceux que l'on connaisse pour exploiter l'énergie solaire, il contribue de bien des façons, à l'avancement de la civilisation. En outre, l'électricité nous permet d'extraire beaucoup plus d'énergie du charbon que par le passé. Au lieu de transporter le charbon vers de lointaines destinations de consommation, nous le brûlons près des mines, produisons de l'électricité dans les dynamos et envoyons le courant vers les villes lointaines : donc nous faisons de sérieuses économies. Au lieu de faire fonctionner les machines à l'usine, selon la vieille manière peu économique avec courroies et arbres, nous produisons de l'électricité avec la vapeur et faisons marcher des moteurs électriques. C'est ainsi qu'il n'est pas rare d'obtenir deux à trois fois plus d'énergie motrice effective à partir du combustible, en plus de nombreux autres avantages importants. C'est dans ce domaine, ainsi que dans celui de la transmission d'énergie sur de grandes distances, que le système alternatif, avec sa mécanique idéalement simple, va entraîner une révolution dans l'industrie. Toutefois, ces progrès n'ont pas encore été ressentis dans beaucoup de domaines. Par exemple, dans les bateaux à vapeur et les trains, les arbres et essieux sont toujours actionnés par la puissance de la vapeur. Un plus grand pourcentage de l'énergie thermique du charbon pourrait être transformé en énergie motrice en utilisant, à la place des machines navales et des locomotives actuelles, des dynamos actionnées par des machines à gaz ou à vapeur de haute pression spécialement conçues, et en utilisant l'électricité obtenue pour la propulsion. De cette manière, on pourrait obtenir entre 50% et 100% de plus d'énergie effective à partir du charbon. On a du mal à comprendre pourquoi les ingénieurs n'accordent pas plus d'attention à un fait aussi simple et évident. Ce type d'amélioration serait particulièrement bénéfique aux bateaux à vapeur au long cours, car elle supprimerait le bruit et augmenterait leur vitesse et leur tonnage.

Le rendement énergétique du charbon a été encore amélioré grâce aux derniers moteurs à gaz plus perfectionnés qui, en moyenne, produisent deux fois plus d'énergie que les meilleurs moteurs à vapeur. L'introduction des moteurs à gaz est facilitée par l'importance de l'industrie du gaz. Comme l'utilisation de la lumière électrique augmente, on utilise de plus en plus le gaz pour obtenir de l'énergie thermique et motrice. Le gaz est très souvent fabriqué près des mines de charbon et envoyé vers les lieux de consommation lointains, ce qui permet de réaliser des économies à la fois sur les frais de transport et sur l'utilisation de l'énergie du combustible. Les conditions actuelles en mécanique et en électrotechnique font que la manière la plus sensée de produire de l'énergie à partir du charbon est, bien sûr, de fabriquer le gaz près du gisement de charbon et de l'utiliser, soit sur place, soit à distance, afin de produire de l'électricité pour l'industrie avec des dynamos actionnées par des moteurs à gaz. Le succès commercial d'une telle installation est largement fonction de la construction de moteurs à gaz à grande puissance nominale de CV qui, à en juger par les gros efforts fournis dans ce domaine, ne tarderont pas à envahir le marché. Au lieu d'utiliser directement le charbon, comme à l'accoutumée, le gaz sera fabriqué à partir de lui et brûlé pour économiser de l'énergie.

Néanmoins, toutes ces améliorations ne seront que des étapes intermédiaires dans l'évolution vers quelque chose de plus parfait car, finalement, nous devrons réussir à obtenir de l'électricité à partir du charbon d'une manière plus directe, sans perdre beaucoup de son énergie thermique. On ne sait toujours pas si le charbon peut être oxydé par un processus froid. Sa combinaison avec l'oxygène produit invariablement de la chaleur et la question de savoir si l'énergie de cette combinaison du carbone avec un autre élément peut être transformée directement en énergie électrique, reste ouverte. Sous certaines conditions, l'acide nitrique brûle le carbone en générant de l'électricité, mais la solution ne reste pas froide. D'autres moyens pour oxyder le charbon ont été proposés, toutefois, ils ne garantissent pas d'aboutir à un procédé efficace. Moi-même ai complètement échoué dans ce domaine, mais peut-être moins que certains qui ont "perfectionné" la pile à charbon froid. C'est au chimiste de résoudre ce problème, et non au physicien, car celui-ci détermine à l'avance tous ses résultats, de manière que lorsqu'il en vient aux expérimentations, il ne peut que réussir. En chimie, bien que ce soit une science exacte, les méthodes sûres, comme celles qui sont disponibles en physique et qui permettent de résoudre de nombreux problèmes, n'existent pas. Dans ce domaine, les résultats s'obtiennent plus après des expérimentations menées avec patience, que par déduction ou calcul. Toutefois, le temps est proche où le chimiste pourra suivre clairement une voie soigneusement tracée à l'avance et où la méthode, qui lui permettra d'arriver aux résultats désirés, sera purement déductive. La pile à charbon froid (soit à combustible à oxydation lente), est susceptible de donner une grosse impulsion au développement d'appareils électriques ; elle pourrait conduire en peu de temps à la construction d'avions d'utilisation plus pratique et favoriser énormément l'avènement de l'automobile. Néanmoins, tous ces problèmes et bien d'autres seraient mieux réglés - et de manière plus scientifique - avec un accumulateur léger.

L'énergie du milieu - Le moulin-à-vent et le moteur solaire - L'énergie motrice extraite de la chaleur terrestre - L'électricité issue de sources naturelles.

En plus des combustibles, il existe beaucoup d'autres matières dont nous pourrions tirer de l'énergie. Par exemple, une immense quantité d'énergie est emprisonnée dans le calcaire et on pourrait faire marcher des moteurs, si on libérait l'acide carbonique avec de l'acide sulfurique ou d'une autre manière. J'ai déjà construit un tel moteur et il a fonctionné de manière très satisfaisante.

Toutefois, quelles que soient les sources d'énergie primaires dont nous allons nous servir à l'avenir, si nous voulons être rationnels, il faudra chercher à la produire sans brûler de matière première. Il y a longtemps que je suis arrivé à cette conclusion, et pour obtenir ce résultat, seules deux possibilités s'offrent à nous, comme je l'ai déjà dit plus haut : soit exploiter l'énergie solaire existant dans le milieu environnant, soit transmettre cette énergie solaire à distance et à travers ce milieu, depuis un endroit où elle aura pu être obtenue sans brûler de matière première. À cette époque, j'ai tout de suite rejeté la deuxième solution puisqu'elle est totalement inconcevable dans la pratique, et je me suis mis à étudier les possibilités de la première.

Bien que ce soit difficile à croire, il est néanmoins un fait que l'homme, depuis des temps immémoriaux, disposait d'un assez bon appareil qui lui permettait d'utiliser l'énergie du milieu environnant : c'est le moulin-à-vent. Contrairement aux idées reçues, le vent peut fournir une énergie très considérable. Toute une série d'inventeurs, en proie à des illusions, ont passé des années de leur vie à chercher à "exploiter les marées", et certains ont même proposé de comprimer l'air avec l'énergie du flux et du reflux pour en obtenir de l'énergie, sans jamais comprendre les signes que leur faisait le vieux moulin-à-vent sur la colline, alors qu'il agitait tristement ses bras en les priant de s'arrêter. Le fait est qu'un moteur actionné par de l'énergie marémotrice aurait, en règle générale, une bien petite chance de rivaliser commercialement avec le moulin-à-vent qui est, de loin, le meilleur appareil, puisqu'il permet d'obtenir beaucoup plus d'énergie d'une manière bien plus simple. Autrefois, l'énergie éolienne avait une valeur inestimable pour les hommes, ne serait-ce que parce qu'elle leur permettait de traverser les mers et les océans ; aujourd'hui, elle joue toujours un rôle très important dans les voyages et les transports. Cependant, cette méthode idéalement simple d'exploitation de l'énergie solaire connaît de sérieuses limites. Les appareils sont gros par rapport à un rendement donné, et l'énergie est produite par intermittence, ce qui nécessite son stockage et augmente les frais de l'installation.

Toutefois, une autre manière plus intéressante pour obtenir de l'énergie, est l'exploitation de l'énergie des rayons solaires qui, sans cesse, viennent frapper la Terre, et dont la puissance énergétique dépasse les quatre millions de CV par 2,5 km2. Bien que l'énergie moyenne, reçue où que ce soit chaque année par km2, ne soit qu'une petite fraction de cette somme globale, nous disposerions d'une source d'énergie inépuisable, si nous pouvions découvrir une méthode efficace pour utiliser l'énergie des rayons. Le seul moyen rationnel que je connaissais, alors que j'entamai mes investigations dans ce domaine, était d'utiliser un type de moteur thermique ou thermodynamique, actionné par un fluide volatil s'évaporant dans une chaudière sous la chaleur des rayons solaires. Cependant, mes recherches plus approfondies et mes calculs ont montré que, malgré la très grosse quantité d'énergie apparemment reçue des rayons solaires, cette méthode ne permettait d'utiliser en pratique qu'une infime partie de cette énergie. Par ailleurs, l'énergie fournie par le rayonnement solaire est irrégulière et j'ai rencontré le même type de limitations qu'avec l'utilisation du moulin-à-vent. Après avoir longuement étudié ce mode de production d'énergie motrice à partir du soleil et compte tenu de la nécessité d'une chaudière de gros volume, du faible rendement de la machine thermique, des coûts supplémentaires pour stocker l'énergie et d'autres inconvénients, je suis arrivé à la conclusion que le "moteur solaire", dans la majeure partie des cas, ne pouvait pas être exploité à l'échelle industrielle avec succès.

Une autre manière d'obtenir de l'énergie motrice à partir du milieu sans avoir à brûler de matière première, serait d'utiliser la chaleur emmagasinée dans la terre, l'eau ou l'air pour faire marcher un moteur. Tout le monde sait que les profondeurs du globe sont très chaudes ; les observations ont montré que la température augmente d'1° C tous les 30 m. Il n'est pas inconcevable de pouvoir surmonter les difficultés à creuser des puits et de mettre en place des chaudières à une profondeur de quelque 3650 mètres - ce qui correspond à une augmentation de la température d'environ 120° C - et nous pourrions certainement exploiter la chaleur interne du globe terrestre. En fait, il ne serait même pas nécessaire de creuser en profondeur pour utiliser la chaleur emmagasinée. Les couches supérieures de la terre et les couches d'air qui se trouvent juste au-dessus, ont une température suffisamment élevée pour pouvoir libérer certaines substances extrêmement volatiles, qui pourraient remplacer l'eau dans nos chaudières. Il ne fait aucun doute qu'un bateau puisse avancer sur l'océan grâce à un moteur actionné par ce type de fluide volatil, sans aucune autre énergie si ce n'est la chaleur extraite de l'eau. Toutefois, la puissance obtenue par ce procédé serait très faible, à moins de prendre des mesures complémentaires.

L'électricité produite par des phénomènes naturels est une autre source d'énergie exploitable. Les éclairs contiennent d'énormes quantités d'électricité, susceptible d'être transformée et stockée pour une utilisation future. Il y a quelques années, j'ai publié une méthode de transformation de l'électricité qui faciliterait la première étape de ce travail ; cependant, il sera plus difficile de stocker l'énergie des décharges des éclairs. En outre, il est connu que des courants électriques circulent constamment à travers la terre et qu'il existe, entre la terre et l'air, une différence de tension électrique qui varie en fonction de l'altitude.

À ce propos, j'ai découvert, lors d'expérimentations récentes, deux nouveaux faits très importants. Premièrement, le mouvement axial de la Terre et probablement aussi son mouvement de translation, génèrent de l'électricité dans un fil qui part du sol et qui monte très haut dans les airs. Toutefois, la quantité d'électricité qui passe continuellement dans ce fil reste minime, tant que l'électricité ne peut pas s'écouler dans l'air. Cet écoulement sera grandement facilité si on place, au sommet du fil, un terminal conducteur de grande surface et comportant beaucoup d'arêtes acérées ou des pointes. Nous pouvons donc obtenir de l'électricité de manière continue avec un simple fil qui s'élance dans les airs, mais malheureusement, en faible quantité.

Deuxièmement, les couches supérieures de l'atmosphère sont continuellement chargées d'électricité dont la polarité est à l'inverse de celle de la Terre. C'est du moins ainsi que j'ai interprété mes observations, et il semblerait que la Terre, avec son enveloppe isolante et conductrice, constitue un condensateur électrique de grande charge contenant, probablement, une grande quantité d'énergie électrique qui pourrait être mise au service de l'humanité si on pouvait l'atteindre avec un fil qui monte très haut dans les airs.

Il est possible, voire probable, que d'autres sources d'énergie seront découvertes au fil du temps, dont nous n'avons aujourd'hui aucune idée. Nous pourrions même trouver des méthodes de mise en application de forces comme le magnétisme ou la gravité, pour actionner des machines sans utiliser d'autres moyens. De tels exploits, bien que très improbables, ne sont pas impossibles. Je vais citer un exemple pour donner une parfaite idée de ce que nous pourrions espérer, mais que nous n'atteindrons jamais. Imaginons un disque constitué d'un quelconque matériau homogène qui tourne, en équilibre parfait et sans frottement, sur un axe horizontal au-dessus du sol. Dans de telles conditions, ce disque peut s'arrêter dans n'importe quelle position. Il se pourrait que l'on découvre comment faire tourner un tel disque de manière continue et lui faire faire un travail grâce à la force de gravité, sans aucune autre intervention de notre part. Toutefois, il est impossible que ce disque tourne tout seul et travaille sans l'intervention d'une force extérieure. Car si c'était possible, nous aurions affaire à ce que l'on appelle scientifiquement un "perpetuum mobile", une machine créant sa propre force motrice. Pour faire tourner ce disque par la force de gravité, il suffit d'inventer un écran contre cette force. Un tel écran empêcherait cette force d'agir sur une moitié du disque, qui alors se mettrait à tourner. Nous ne pouvons pas renier cette possibilité, du moins pas avant de connaître la nature exacte de la force de gravité. Supposons que cette force soit due à un mouvement comparable à celui d'un courant d'air venant du haut et se dirigeant vers le centre de la Terre. L'impact d'un tel courant sur les deux moitiés du disque serait identique et c'est pourquoi, normalement, le disque ne se mettrait pas à tourner ; mais si une moitié était protégée par une plaque qui arrête le mouvement, alors il tournerait.

L'abandon des méthodes connues - Les possibilités d'un moteur ou d'une machine "automatique", inanimé, et néanmoins capable, telle une créature vivante, de puiser de l'énergie dans le milieu - La méthode de production idéale d'une force motrice.

Au début de mes recherches à ce sujet et lorsque les concepts que je viens de citer ou d'autres analogues se présentèrent à mon esprit pour la première fois, et bien que j'ignorasse un certain nombres de faits que j'ai cités ci-dessus, l'étude des différents moyens d'utiliser l'énergie ambiante m'a néanmoins convaincu qu'il fallait abandonner radicalement les méthodes alors connues, si on voulait arriver à une solution pratique parfaitement satisfaisante. Le moulin-à-vent, le moteur solaire, la machine actionnée par la chaleur terrestre ne permettaient d'obtenir qu'une énergie en quantité très limitée. Il fallait découvrir un autre moyen qui permettrait d'obtenir plus d'énergie. Il y a suffisamment d'énergie thermique dans le milieu, toutefois, les méthodes alors connues ne permettaient que d'en extraire une petite quantité pour alimenter un moteur. Par ailleurs, le débit de l'énergie était très faible. En d'autres termes, le problème était de découvrir quelque nouvelle technique qui permettrait à la fois d'utiliser plus d'énergie thermique du milieu et de l'en extraire plus vite.

J'essayais vainement d'imaginer comment atteindre ces objectifs, lorsque je tombai sur certaines déclarations de Carnot et de Lord Kelvin (qui, à l'époque, s'appelait toujours Sir William Thomson) qui disaient qu'il fût pratiquement impossible à un mécanisme inanimé ou à une machine automatique de faire descendre la température d'une partie de l'air en dessous de celle du milieu environnant, et de fonctionner avec la chaleur récupérée. Ces affirmations m'intéressèrent au plus haut point. Une créature vivante pouvait, de toute évidence, réaliser ces choses-là, et comme mes expériences passées m'ont convaincu qu'une créature vivante n'est pas autre chose qu'un automate ou, en d'autres termes, une "machine automatique", j'en conclus qu'il était possible de construire une machine qui agirait pareillement. Je conçus donc le mécanisme suivant, comme première étape pour atteindre cet objectif. Imaginons une thermopile constituée d'un certain nombre de tiges de métal qui, posée sur le sol atteindrait l'espace, au-delà de l'atmosphère. La chaleur d'en bas véhiculée vers le haut par ces tiges de métal, refroidirait la terre, les mers ou les airs, selon l'emplacement de la partie inférieure des tiges, avec comme résultat bien connu, la génération d'un courant électrique circulant dans ces tiges. Les deux terminaux de la thermopile pourraient alors être reliés par un moteur électrique qui, en théorie, devrait pouvoir fonctionner sans cesse, jusqu'à ce que le milieu en bas refroidisse au point d'atteindre la température de celle de l'espace. Nous aurions donc un moteur inanimé qui, de toute évidence, serait capable de refroidir une partie du milieu jusqu'en dessous de la température ambiante et de fonctionner avec la chaleur récupérée.

Toutefois, serait-il possible d'obtenir des conditions similaires sans devoir monter aussi haut ? Imaginons, pour les besoins de la cause, une enceinte T, illustrée dans le diagramme B, dans laquelle l'énergie pourrait uniquement circuler à travers un canal O, et que, d'une manière ou d'une autre, il y ait à l'intérieur de cette enceinte un milieu possédant très peu d'énergie, tandis qu'elle baigne dans le milieu ambiant ordinaire ayant beaucoup d'énergie. Dans de telles conditions, l'énergie passera par le canal O, tel que l'indique la flèche, et elle sera convertie en une autre sorte d'énergie. La question était de savoir si de telles conditions pouvaient être obtenues ? Pourrions-nous produire artificiellement une telle "dépression" dans laquelle l'énergie du milieu environnant pourrait s'écouler ? Supposons que l'on puisse maintenir une température extrêmement basse, par un procédé quelconque, dans un espace donné ; le milieu environnant serait alors appelé à libérer de la chaleur qui pourrait être convertie en énergie mécanique ou autre, puis utilisée. Si nous pouvions mettre ce concept en application, nous pourrions obtenir de l'énergie de façon continue, en tout point du globe, nuit et jour. En outre, dans l'abstrait, il semblerait possible de créer une compensation rapide de la perturbation du milieu et donc de puiser très rapidement de l'énergie.

Voici donc un concept qui, s'il était réalisable, offrirait une solution heureuse au problème de l'extraction de l'énergie du milieu. Mais l'est-il vraiment ? J'étais convaincu qu'il le fût, d'une manière ou d'une autre, et voici l'une d'entre elles. Imaginons que nous nous trouvions à une altitude - ou niveau - élevée, ce qui peut être représenté par la surface d'un lac de montagne, très haut au-dessus du niveau de la mer ; ce niveau représente le zéro absolu de la température dans l'espace interstellaire. La chaleur s'écoule avec l'eau du niveau supérieur à un niveau inférieur et, partant, si nous pouvons laisser s'écouler l'eau du lac jusque vers la mer, nous pouvons aussi laisser monter la chaleur de la surface de la Terre jusque dans les régions froides supérieures. La chaleur, tout comme l'eau, peut faire un travail en s'écoulant vers le bas, et si nous doutions tout à l'heure de pouvoir obtenir de l'énergie du milieu avec une thermopile, l'analogie que voilà va dissiper tout doute. Toutefois, pouvons-nous refroidir un espace donné et faire couler en permanence de la chaleur à l'intérieur? Pour créer une telle "dépression" ou "trou froid", pour ainsi dire, dans le milieu, cela reviendrait à créer dans le lac un espace soit vide, soit rempli d'une substance beaucoup plus légère que l'eau. C'est ce que l'on obtiendrait en plaçant une cuve dans le lac et en pompant toute l'eau de cette dernière. Nous savons que, si ensuite

on fait retourner l'eau dans la cuve, elle serait capable de faire exactement la même quantité de travail que celle qui fut nécessaire pour le pompage, mais rien de plus. Par conséquent, cette double opération qui consiste d'abord à faire sortir l'eau, puis à la laisser retomber, n'offre aucun avantage. Cela voudrait donc dire qu'il est impossible de créer une telle dépression dans le milieu. Mais réfléchissons un instant. La chaleur, bien que respectant certaines lois générales de la mécanique, comme tout fluide, ne se comporte pas comme un fluide ; c'est de l'énergie qui peut être transformée en d'autres formes d'énergie, à mesure qu'elle passe d'un niveau supérieur à un niveau inférieur. Pour que notre analogie mécanique soit correcte et complète, nous devons donc partir du principe que l'eau, lors de son passage dans la cuve, est convertie en quelque chose d'autre que nous pourrions extraire sans utiliser d'énergie, ou alors très peu. Par exemple, si la chaleur est représentée dans cette analogie par l'eau du lac, l'oxygène et l'hydrogène qui composent l'eau peuvent illustrer les autres formes d'énergie par lesquelles passe la chaleur quand elle passe du chaud vers le froid. Si ce processus de transformation de la chaleur était absolument parfait, aucune chaleur n'arriverait au niveau inférieur, puisqu'elle serait entièrement transformée en d'autres formes d'énergie. Donc selon ce cas idéal, toute l'eau qui rentrerait dans la cuve serait décomposée en oxygène et hydrogène avant d'atteindre le fond de la cuve, avec comme résultat, que l'eau ne cesserait de couler dans la cuve qui, elle, resterait toujours vide, puisque les gaz formés s'en seraient échappés. Nous pourrions donc produire - moyennant initialement un certain travail pour créer la dépression afin que la chaleur ou, en l'occurrence, l'eau puisse y entrer - des conditions qui nous permettent d'obtenir n'importe quelle quantité d'énergie sans aucun autre travail. Ce serait une méthode idéale pour obtenir de l'énergie motrice. Nous ne connaissons aucun processus de conversion de chaleur aussi parfait dans l'absolu, et par conséquent, un peu de chaleur va toujours finir par atteindre le niveau inférieur, ce qui revient à dire que, dans notre analogie mécanique, un peu d'eau va arriver au fond de la cuve, qui va se remplir petit à petit, et qu'il va falloir pomper continuellement. Mais bien évidemment, la quantité d'eau à pomper sera plus faible que celle qui y entre ou, en d'autres termes, l'énergie nécessaire à maintenir les conditions initiales sera moindre que celle qui est produite par la chute de l'eau, ce qui signifie qu'une certaine énergie pourra être récoltée du milieu. Ce qui n'est pas converti en coulant vers le bas peut être remonté avec sa propre énergie, et ce qui est converti est pur bénéfice. Donc l'efficacité du principe que j'ai découvert est uniquement fonction de la conversion de l'énergie dans son écoulement vers le bas.

Premiers efforts pour construire un moteur automatique - L'oscillateur mécanique - Les travaux de Dewar et Linde - L'air liquide.

Fort de cette découverte, je commençai à imaginer des moyens pour réaliser mes plans et, après de longues réflexions, j'ai finalement conçu un ensemble d'appareils qui devaient permettre d'obtenir de l'énergie du milieu par un processus de refroidissement permanent de l'atmosphère. Ce dispositif, en transformant en permanence la chaleur en travail mécanique, devenait de plus en plus froid et, s'il était possible d'atteindre une température très basse de cette manière, alors il devenait possible de produire une dépression pour cette chaleur et d'extraire de l'énergie du milieu. Ceci semblait en contradiction avec les affirmations de Carnot et de Lord Kelvin, que j'ai cités plus haut ; toutefois, la théorie de ce procédé me fit penser que ce résultat pouvait être atteint. Je crois que je suis arrivé à cette conclusion à la fin de 1883, alors que j'étais à Paris ; c'était à une époque où mon esprit était obnubilé par une invention que j'avais développée l'année précédente et qui, depuis, a été connue sous le nom de "champ magnétique en rotation". Durant les années suivantes, j'ai continué à perfectionner le projet que j'avais imaginé et à étudier ses conditions de fonctionnement, sans faire de grands progrès toutefois. L'introduction commerciale de l'invention que je viens de citer dans ce pays, m'a réclamé un très gros investissement personnel jusqu'en 1889, l'année où je repris l'idée du moteur automatique. Contrairement à ce que je croyais initialement, l'étude des principes impliqués et mes calculs me montrèrent que je ne pouvais pas arriver au résultat escompté dans la pratique avec les appareils classiques. Cela me conduisit, dans un deuxième temps, à l'étude d'un type de moteur appelé généralement "turbine" qui, de prime abord, semblait offrir les meilleures chances pour réaliser mon idée. Toutefois, j'eus vite fait de découvrir que la turbine non plus ne convenait pas. Mes conclusions me montrèrent cependant que si un moteur pouvait être amené à un haut degré de perfection, le plan, tel que je l'avais conçu, devenait réalisable, et je décidai de développer ce type de moteur, dont l'objectif principal était de transformer la chaleur en énergie mécanique avec le moins de perte possible. Une propriété caractéristique de ce moteur était que le piston, qui devait faire le travail, n'était relié à rien d'autre et qu'il était parfaitement libre de vibrer à une vitesse énorme. Les difficultés mécaniques que je rencontrai dans la construction de ce moteur étaient plus grandes que je ne l'avais imaginé, et les progrès furent lents. Je continuai mes travaux jusqu'au début de 1892, date à laquelle je me rendis à Londres pour assister aux expériences admirables du professeur Dewar avec des gaz liquéfiés. D'autres avaient déjà liquéfié des gaz, et notamment Ozlewski et Pictet avaient mené des expériences remarquables dans ce domaine ; cependant, il y avait une vigueur dans le travail de Dewar qui tenait du prodige. Ses expériences montrèrent, quoique d'une manière différente de celle que j'avais envisagée, qu'il était possible d'atteindre de très basses températures en transformant la chaleur en énergie mécanique et je m'en retournai, très impressionné par ce que j'avais vu, et convaincu plus que jamais que mon plan était réalisable. Je repris à zéro les travaux que j'avais temporairement abandonnés et je finis bientôt par développer un moteur d'un haut degré de perfection, que j'appelai "l'oscillateur mécanique". Dans cet appareil, je réussis à me passer des garnitures, des soupapes et de tout graissage, et à produire une vibration du piston tellement rapide que les arbres en acier très résistant, qui y étaient rattachés et qui vibraient longitudinalement, se déchirèrent en deux. En combinant ce moteur avec une dynamo d'un design spécial, j'obtins un générateur électrique très efficace qui, grâce à la vitesse d'oscillation invariable qu'il permettait d'atteindre, était d'une valeur inestimable pour mesurer et déterminer les propriétés physiques. J'ai exposé différents types de ce moteur appelé "oscillateur électrique et mécanique" au Congrès Électrotechnique à l'exposition universelle de Chicago durant l'été 1893, lors d'une conférence dont je n'ai jamais publié le contenu, ayant été débordé par d'autres obligations professionnelles. À cette occasion, j'ai exposé les principes de l'oscillateur mécanique, toutefois, les fonctions originelles de cet appareil sont publiées ici, pour la première fois.

Tel que je l'avais conçu initialement, il y avait, dans ce processus d'utilisation de l'énergie du milieu, une combinaison de cinq éléments essentiels et chacun d'eux dut être étudié et développé, car il n'existait aucun appareil de ce type. L'oscillateur mécanique était le premier élément de cet ensemble et lorsque je l'eus perfectionné, je commençai à travailler au deuxième, qui était un compresseur à air, dont le design ressemblait à certains égards à celui de l'oscillateur mécanique. Je rencontrai des difficultés similaires lors de leur construction ; je m'acharnai néanmoins dans mon travail et, vers 1894, ces deux éléments de l'ensemble étaient fin prêts. J'avais ainsi obtenu un appareil pour comprimer l'air, pratiquement à n'importe quelle pression, un dispositif incomparable avec les appareils ordinaires, car beaucoup plus simple, plus petit et plus efficace. Je venais d'entamer les travaux du troisième élément qui, en association avec les deux premiers, devait donner une machine de réfrigération d'une simplicité et d'une efficacité exceptionnelles, lorsque par malheur mon laboratoire fut détruit par un incendie, ce qui paralysa mes travaux et me fit prendre du retard. Peu de temps après, le Dr Carl Linde annonça la liquéfaction de l'air par un procédé d'auto-refroidissement, démontrant qu'il était possible de procéder au refroidissement de l'air jusqu'à ce qu'il devienne liquide. C'était exactement la seule preuve expérimentale dont j'avais encore besoin pour montrer que l'on pouvait obtenir de l'énergie à partir du milieu, de la manière dont je l'avais envisagé.

La liquéfaction de l'air obtenue par auto-refroidissement ne fut pas, comme cela fut dit, une découverte accidentelle, mais un résultat scientifique que l'on ne pouvait plus cacher plus longtemps et qui, selon toute vraisemblance, n'a pas pu échapper à Dewar. Je pense que cette avancée fascinante est largement due aux travaux extraordinaires de ce grand Écossais. Malgré tout, l'œuvre de Linde est restée légendaire. La production de l'air liquide a été menée pendant quatre ans en Allemagne, à une échelle beaucoup plus importante que dans tout autre pays et cet étrange produit a été utilisé dans des buts variés. On en attendait beaucoup à l'origine, mais jusqu'à ce jour, son utilisation est restée très modérée dans le milieu industriel. En utilisant le type d'appareil que je suis en train de mettre au point, les coûts deviendront probablement largement plus abordables, toutefois, son succès commercial restera discutable. S'il est utilisé comme réfrigérant, il n'est pas économique, sa température étant trop basse. Il est tout aussi coûteux de maintenir un corps à basse température qu'il l'est de le maintenir à une température très élevée ; il faut du charbon pour que l'air puisse rester froid. L'air liquide ne peut pas encore rivaliser avec l'électrolyse dans la fabrication de l'oxygène. Il ne convient pas comme explosif, parce que sa basse température le rend, encore une fois, peu efficace, et il est toujours beaucoup trop cher pour servir d'énergie motrice. Il est cependant intéressant de relever qu'en faisant tourner un moteur à l'air liquide, on peut gagner une certaine quantité d'énergie à partir de ce moteur ou, en d'autres termes, à partir du milieu environnant qui maintient la chaleur du moteur, puisque 200 livres de fonte de fer de ce dernier fournissent une énergie d'1 CV effectif par heure. Mais ce gain du consommateur est annulé par une perte égale du producteur.

Ces travaux, pour lesquels je m'investis depuis si longtemps, sont loin d'être terminés. Il reste à perfectionner un certain nombre de détails mécaniques et à maîtriser certaines difficultés d'une autre nature, et je ne peux pas espérer construire un moteur automatique capable de tirer de l'énergie du milieu environnant avant longtemps, même si toutes mes attentes devaient se concrétiser. J'ai été victime, dernièrement, de circonstances qui ont retardé mes travaux ; toutefois, ce délai fut bénéfique pour diverses raisons.

Une de ces raisons est que j'ai eu largement le temps de réfléchir à ce que pourraient être les applications finales de ce développement. J'ai travaillé pendant longtemps, parfaitement convaincu que la mise en pratique de cette technique pour obtenir de l'énergie à partir du soleil, serait d'une valeur inestimable pour l'industrie ; cependant, mes recherches incessantes dans ce domaine ont révélé que, bien que mes attentes soient légitimes, elle sera moins rentable commercialement que je ne le pensais.

La découverte de propriétés inattendues de l'atmosphère - Des expériences étranges - Transmission d'électricité à travers un fil, sans retour - Transmission sans fil à travers la Terre.

Une autre raison est que je fus amené à reconnaître que la transmission de l'électricité, à n'importe quelle distance dans le milieu, était de loin la meilleure solution au problème de l'exploitation de l'énergie solaire pour le bien-être de l'humanité. J'ai cru fermement, pendant de nombreuses années, que ce type de transmission était irréalisable à l'échelle industrielle, toutefois, je fis une découverte qui m'a fait changer d'avis. J'ai remarqué que sous certaines conditions, l'atmosphère qui, normalement, est un très bon isolant, revêt des propriétés conductrices et devient donc capable de transporter n'importe quelle quantité d'énergie électrique. Néanmoins, il me semblait que la mise en pratique de cette découverte, soit de transporter de l'électricité sans fil, comportait des difficultés insurmontables. Il s'agissait de produire et de gérer des tensions électriques de plusieurs millions de volts ; il fallait inventer et mettre au point des générateurs d'un nouveau type, capables de résister à l'énorme stress électrique, et il fallait obtenir une sécurité totale contre tous les dangers des courants de haute tension dans le système, avant même de pouvoir concevoir sa mise en pratique. Tout cela demandait beaucoup de temps et ne pouvait se faire en quelques semaines, mois ou même années. Les travaux demandaient de la patience et des efforts soutenus et les progrès furent lents. J'ai toutefois pu obtenir d'autres résultats de valeur au cours de ces longs travaux, desquels je vais m'efforcer de rendre compte, en énumérant dans l'ordre les avancées principales qui ont été réalisées .

Bien qu'inattendue, la découverte de la conductivité de l'air ne fut que le résultat d'expériences que j'avais menées dans un domaine spécifique quelques années auparavant. Je crois que ce fut en 1889 que des oscillations électriques excessivement rapides m'ont offert certaines possibilités, qui m'ont déterminé à concevoir un certain nombre d'appareils spéciaux adaptés à leur étude. La construction de ces machines fut très difficile en raison des exigences particulières et demanda énormément de temps et d'efforts ; toutefois mon travail fut largement récompensé, car il m'a permis d'obtenir plusieurs résultats tout à fait nouveaux et d'une grande importance. Une des premières observations que je fis avec ces nouvelles machines, c'est que les oscillations électriques d'un taux extrêmement élevé, agissent d'une manière extraordinaire sur l'organisme humain. C'est ainsi que j'ai pu démontrer, par exemple, que de puissantes décharges électriques de plusieurs centaines de milliers de volts, qui alors étaient considérées comme mortelles, pouvaient traverser le corps sans désagrément et sans conséquences préjudiciables. Ces oscillations produisirent d'autres effets physiologiques spécifiques et, après que je les eus rendus publics, de très bons médecins s'en emparèrent avec empressement pour les étudier plus à fond. Ce nouveau domaine s'est montré profitable au-delà de toute espérance et durant les quelques années qui ont suivi, les développements ont été tels, qu'il est devenu un département important et légitime en médecine. Ces oscillations permettent aujourd'hui d'obtenir facilement des résultats qui auparavant étaient impossibles et elles permettent de faire facilement beaucoup d'expériences qui, jusqu'ici, étaient du seul domaine du rêve. Je me rappelle toujours avec délectation comment, il y a neuf ans, j'ai fait passer une décharge d'une puissante bobine d'induction sur mon corps, pour démontrer à une assemblée de scientifiques que ces courants électriques aux vibrations très rapides étaient relativement inoffensifs et je me souviens de l'étonnement de mon public. Je serais prêt aujourd'hui, avec beaucoup moins d'appréhension qu'à cette époque, à faire passer sur mon corps toute l'énergie électrique de toutes les dynamos aujourd'hui en fonctionnement au Niagara, soit entre 40 000 et 50 000 CV. J'ai produit des oscillations électriques d'une intensité telle, que lorsqu'elles passaient à travers mes bras et mon buste, des fils qui étaient reliés par mes mains se mirent à fondre et pourtant, je n'en ressentais aucune gêne. J'ai énergisé avec ces oscillations un circuit, constitué d'épais fils de cuivre, de manière tellement puissante que des masses de métal et même des objets, dont la résistance électrique était bien plus grande que celle du tissu humain, approchés ou placés dans le circuit, s'échauffèrent à une très haute température et fondirent, souvent avec la violence d'une explosion, et pourtant, j'ai souvent avancé ma tête dans ce même espace où régnait ce tumulte terriblement destructeur, sans ressentir quoi que ce soit et sans effets secondaires préjudiciables.

Par ailleurs, j'ai constaté qu'avec ce type d'oscillations on pouvait produire de la lumière d'une manière nouvelle et plus économique, ce qui permettait d'obtenir un système idéal d'éclairage électrique avec des tubes à vide, qui rendait superflu le remplacement des ampoules ou des filaments incandescents, et peut-être même l'utilisation de fils à l'intérieur d'un bâtiment. La luminosité augmente proportionnellement à la vitesse des oscillations et, partant, son succès commercial dépendra de la production économique de vibrations électriques de vitesse extrêmement élevée. Dernièrement, j'ai eu beaucoup de succès dans ce domaine et la mise sur le marché de ce nouveau système d'éclairage ne saurait tarder.

Mes recherches m'ont conduit à de nombreux autres observations et résultats notoires, dont l'un des plus importants fut la démonstration de la faisabilité d'alimenter en énergie électrique un fil, sans retour. Au début, je pouvais seulement faire passer des petites quantités d'électricité de cette nouvelle façon, mais dans ce domaine aussi mes efforts furent couronnés de succès.

La figure 3 est une photo qui montre, comme son titre l'indique, une véritable transmission de ce type, effectuée avec des appareils qui ont été utilisés pour d'autres expériences, que je décris ici. On jugera du degré de perfectionnement de mes dispositifs, car lors de ma première démonstration au début de 1891, mon appareil ne fut capable que d'allumer une seule ampoule (ce qui alors, dit-on, tenait du merveilleux), alors qu'aujourd'hui, je peux affirmer être capable d'allumer, avec cette méthode, 400 à 500 ampoules, voire beaucoup plus, sans problème. En fait, cette méthode permet de produire une quantité d'énergie illimitée et faire fonctionner tout type d'appareil électrique.

3 : "Expérience illustrant une alimentation en électricité avec un seul fil, sans retour". Une ampoule à incandescence toute simple, dont un ou les deux terminaux sont reliés au fil à l'extrémité supérieure de la bobine montrée sur cette photo, est allumée par les vibrations électriques transmises à travers la bobine par un oscillateur électrique qui ne fonctionne qu'avec 5% de sa puissance maximale.

Après avoir démontré la faisabilité de ce type de transmission, il m'est bien sûr tout naturellement venu à l'esprit d'utiliser la Terre comme conducteur, ce qui rendait tous les câbles électriques superflus. Quelle que soit la nature de l'électricité, elle se comporte comme un fluide incompressible, et la Terre peut être considérée comme un immense réservoir d'électricité, que je pensais pouvoir modifier efficacement avec un appareil électrique soigneusement conçu. C'est pourquoi mon nouvel objectif fut de mettre au point un dispositif spécial, susceptible d'être très efficace pour créer une perturbation de l'électricité dans la Terre. Les progrès dans cette nouvelle direction furent évidemment lents et les travaux décourageants, jusqu'à ce que, finalement, je réussisse à perfectionner un nouveau type de transformateur, ou bobine d'induction, spécialement adapté à ce but spécifique. La figure 4 vous montrera qu'il devient ainsi possible non seulement de transmettre d'infimes quantités d'électricité pour faire fonctionner des appareils sensibles - ce qui fut mon premier objectif -, mais aussi des quantités appréciables d'électricité ; cette photo illustre une expérience de ce type, menée avec le même appareil. Les résultats furent d'autant plus remarquables que la partie supérieure de la bobine n'était pas reliée à un fil ou à une plaque pour amplifier les effets.

4 : " Expérience illustrant la transmission d'énergie électrique sans fil à travers la Terre." La bobine représentée ici, dont l'extrémité - ou terminal - inférieure est reliée à la terre, est parfaitement réglée sur les vibrations d'un oscillateur électrique à distance. L'ampoule est reliée à un fil indépendant en forme de boucle et alimentée par induction par la bobine excitée par les vibrations électriques qui lui sont transmises à travers le sol par un oscillateur qui ne fonctionne qu'avec 5% de sa puissance maximale.

La télégraphie "sans fil" - Le secret du réglage - Des erreurs dans les études hertziennes - Un récepteur d'une merveilleuse sensibilité.

Mes expériences dans ce dernier domaine furent fructueuses et elles m'ont permis, dans un premier temps, de mettre au point un système de télégraphie sans fil que j'ai décrit lors de deux conférences scientifiques, en février et mars 1893. Le diagramme C illustre la mécanique du système ; la partie supérieure montre le dispositif électrique tel que je l'avais alors décrit, tandis que la partie inférieure montre son équivalent en mécanique. Le système est extrêmement simple dans son principe. Imaginons deux diapasons F et F1, l'un dans la station émettrice et l'autre dans la station réceptrice ; leur branche inférieure est reliée à un minuscule piston p qui est intégré dans un cylindre.

Les deux cylindres communiquent avec un réservoir R aux parois élastiques, qui doit être fermé et rempli d'un fluide léger et incompressible. En butant une des branches du diapason F de manière répétée, le petit piston p entre en vibration, et ses vibrations se transmettent à travers le fluide jusqu'au diapason F1 qui est "accordé" sur le diapason F, ou, en d'autres termes, qui a la même fréquence que ce dernier. Le diapason F1 entre alors en vibration, et cette vibration sera intensifiée par l'action continue du diapason F jusqu'à ce que sa branche supérieure se mette à osciller fortement et établisse une connexion électrique avec un contact fixe c'' qui excite un dispositif électrique ou autre, servant à enregistrer les signaux. C'est de cette manière très simple que des messages peuvent être échangés entre les deux stations, car un autre contact similaire c' est prévu dans ce but, près de la branche supérieure du diapason F, de manière que le dispositif puisse être utilisé dans chaque station, soit comme récepteur, soit comme émetteur.

Le système électrique représenté dans la partie supérieure du diagramme C est le même dans son principe, les deux fils ou circuits ESP et E1S1P1 qui montent à la verticale représentent les deux diapasons et les pistons qui leur sont rattachés. Ces circuits sont en connexion avec le sol par deux plaques E et E1 et avec deux feuilles métalliques aux sommets P et P1 qui emmagasinent l'électricité et donc amplifient considérablement les effets. Le réservoir fermé R, aux parois élastiques, est remplacé dans ce cas par la Terre, et le fluide par l'électricité. Ces deux circuits sont "accordés" et opèrent exactement de la même manière que les deux diapasons. Au lieu d'exciter le diapason F dans la station émettrice, on génère des oscillations électriques dans le fil vertical transmetteur ESP grâce à une source S contenue dans ce fil, qui se propagent dans le sol et qui viennent toucher le fil vertical récepteur E1S1P1 en y excitant les oscillations électriques correspondantes. Ce dernier fil, ou circuit, inclut un appareil sensible ou récepteur S1 qui est alors activé et qui active à son tour un relais ou tout autre appareil. Chaque station est évidemment pourvue d'une source d'oscillations électriques S et d'un récepteur sensible S1, et un dispositif simple permet d'utiliser alternativement les deux circuits pour envoyer ou recevoir des messages.

L'accord exact entre les deux circuits garantit de gros avantages et, en fait, il est essentiel pour l'utilisation pratique du système. À cet égard, il existe des erreurs fort répandues dans les rapports techniques concernant ce sujet qui, en règle générale, décrivent ces circuits et dispositifs comme ayant ces atouts, alors que visiblement leur construction même prouve que c'est impossible. Pour atteindre des résultats maximums, il est essentiel que la longueur de chaque fil ou circuit, depuis sa connexion avec la terre et le sommet, soit du quart de la longueur d'onde de la fréquence électrique dans le fil ou, en d'autres termes, égale à cette longueur multipliée par un nombre impair*. Si cette règle n'est pas respectée, il est pratiquement impossible de prévenir les interférences et d'assurer l'intimité des conversations. C'est en cela que réside le secret du réglage. (* il est tout de même curieux que Tesla insiste sur ce point, car les scientifiques d'aujourd'hui sont formels : le nombre doit être PAIR)
Pour obtenir les résultats les plus satisfaisants, il est toutefois nécessaire de recourir à des vibrations électriques de basse fréquence. Le dispositif à étincelles de Hertz, que les expérimentateurs utilisent généralement et qui produit des oscillations de très haute fréquence, ne permet pas un réglage effectif, et de légères perturbations suffisent à rendre un échange de messages impossible. Toutefois, il existe des dispositifs efficaces, conçus par des scientifiques, qui permettent d'obtenir un réglage presque parfait. La figure 5 montre une expérience réalisée avec le dispositif amélioré, auquel je fais souvent référence, qui donne une idée de cette caractéristique ; elle est très figurative et bien expliquée dans sa légende.

5 : "Photo de bobines réagissant à des oscillations électriques". Cette image montre un certain nombre de bobines au réglage distinct, répondant aux vibrations qui leur sont transmises à travers la terre depuis un oscillateur électrique. La grande bobine à droite montrant une puissante décharge, est accordée à la vibration de base qui est de 50 000/s ; les deux grandes bobines verticales à deux fois plus ; la bobine blanche plus petite à quatre fois plus et les autres bobines plus petites à des fréquences encore plus élevées. Les vibrations produites par l'oscillateur furent tellement intenses qu'elles influencèrent même une petite bobine accordée à une fréquence 26 fois supérieure à celle de la fréquence de base.

Depuis que j'ai décrit les principes simples de la télégraphie sans fil, j'ai eu de maintes occasions de remarquer que des éléments aux caractéristiques identiques avaient été utilisés, parce qu'on pensait sincèrement que les signaux sont transmis à des distances considérables par des rayons "hertziens". Ceci n'est qu'un des nombreux malentendus qu'ont fait naître les études de physiciens regrettés. Il y a environ 33 ans, Maxwell, reprenant une expérience prometteuse que Faraday avait menée en 1845, développa une théorie idéalement simple, qui reliait intimement la lumière, la chaleur radiante et des phénomènes électriques, en prétendant qu'ils étaient tous dus aux vibrations d'un fluide hypothétique d'une finesse inconcevable, appelé éther. Il n'a été fait aucune vérification expérimentale avant que Hertz, sur les bons conseils de Helmholtz, entreprît une série d'expérimentations à ce sujet. Hertz procéda avec une ingéniosité et une perspicacité extraordinaires, mais ne consacra que peu d'énergie à la perfection de son dispositif démodé. Par conséquent, il manqua d'observer le rôle important de l'air dans ses expériences, un point que je découvris plus tard. En répétant ses expériences, j'obtins des résultats disparates, donc je me risquai à signaler cet oubli. La force des preuves avancées par Hertz pour appuyer la théorie de Maxwell, résidait dans la juste estimation des fréquences de vibration des circuits qu'il utilisait. Je maintins néanmoins qu'il ne pouvait pas avoir obtenu les fréquences qu'il croyait. Les vibrations obtenues avec le type d'appareils qu'il utilisait sont, en règle générale, beaucoup plus faibles à cause de la présence de l'air, qui provoque un effet amortissant sur les circuits électriques de vibration très rapide et de haute tension, de la même manière qu'un fluide agit sur un diapason en vibration. J'ai toutefois, depuis cette époque, découvert d'autres erreurs, et je considère depuis très longtemps que ses résultats ne sont rien d'autre que des vérifications expérimentales des conceptions poétiques de Maxwell. Les travaux de ce grand physicien allemand furent un immense stimulus pour la recherche actuelle en électricité, mais en même temps, ils ont dans une certaine mesure paralysé les esprits scientifiques parce qu'ils fascinaient, et ont donc gêné les recherches indépendantes. Chaque nouvelle découverte était présentée de manière à correspondre avec sa théorie, et de ce fait, la vérité a souvent été, inconsciemment, déformée.

En développant ce système de télégraphie, je n'avais qu'une idée en tête : effectuer des communications à n'importe quelle distance sur Terre ou dans le milieu environnant ; j'estimai cette application pratique d'une importance transcendante, principalement à cause de l'effet psychologique qu'il ne manquerait pas d'avoir sur toute la planète. Pour atteindre cet objectif je pensai, dans un premier temps, utiliser des stations relais aux circuits accordés, dans l'espoir de pouvoir envoyer des signaux sur de très grandes distances, même avec les appareils de puissance très modérée dont je disposais alors. J'étais persuadé, toutefois, que des appareils conçus avec soin pouvaient envoyer des signaux en tout point du globe, quelle que fût la distance, sans avoir à passer par des stations intermédiaires. J'ai eu cette conviction lorsque je fis la découverte d'un singulier phénomène électrique, que j'ai décrit en 1892 lors de conférences données pour des scientifiques à l'étranger, et que j'ai appelé le "balai en rotation". Il s'agit d'un faisceau de lumière qui se forme, sous certaines conditions, dans une ampoule à vide et dont la sensibilité aux influences magnétiques et électriques alentour frise, pour ainsi dire, le surnaturel. Ce faisceau lumineux est mis en rotation par le magnétisme de la Terre à raison de 20 000 fois par seconde ; le sens de la rotation est ici à l'inverse de ce qu'il serait dans l'hémisphère sud, tandis que dans la région de l'équateur magnétique, le faisceau ne tournerait pas du tout. Dans son état le plus sensible, quoique difficile à atteindre, il répond aux influences magnétiques et électriques à un degré incroyable. La simple contraction des muscles du bras, soit le plus léger changement électrique dans le corps d'un observateur debout à une certaine distance, l'affectera de manière très perceptible. C'est dans cet état de très haute sensibilité qu'il sera également capable d'indiquer les moindres changements magnétiques ou électriques dans la Terre. L'observation de ce merveilleux phénomène m'impressionna outre mesure, tant et si bien que je fus convaincu qu'il permettait d'établir facilement des communications à n'importe quelle distance, à condition toutefois que l'appareil soit perfectionné au point de pouvoir produire un changement d'état magnétique ou électrique, même faible, dans le globe terrestre ou dans le milieu environnant.

Développement d'un nouveau principe - L'oscillateur électrique - Production de "mouvements" électriques immenses - La Terre répond à l'homme - La communication interplanétaire entre dans le domaine de la probabilité.

Je décidai de concentrer tous mes efforts sur cette tâche délicate, bien qu'elle me demandât des sacrifices énormes, car les difficultés qu'il fallait surmonter étaient telles que je savais qu'il me faudrait des années de travail. Cela voulait dire que je devais toutefois reporter d'autres travaux dans lesquels j'aurais préféré m'investir, mais j'avais la conviction que mes énergies ne pouvaient pas servir un but plus noble que celui-ci ; car je pris conscience qu'un appareil efficace de production d'oscillations électriques puissantes était non seulement nécessaire pour atteindre mon but, mais qu'il était aussi la clé d'autres problèmes électriques, voire humains, de la plus haute importance. Il devait non seulement permettre de communiquer à n'importe quelle distance sans fil, mais aussi de transmettre de grandes quantités d'énergie, de brûler l'azote dans l'air, de produire un éclairage efficace et d'obtenir beaucoup d'autres résultats de valeur scientifique et industrielle inestimable. En fin de compte, j'eus la satisfaction de réaliser ce travail en utilisant un nouveau principe, qui a le mérite d'être basé sur les merveilleuses propriétés du condensateur électrique, l'une d'elles étant qu'il peut se décharger ou faire exploser l'énergie emmagasinée en un laps de temps incroyablement court. C'est pourquoi il n'a pas de rival pour sa violence explosive. Comparée à sa décharge, une explosion de dynamite est un souffle de phtisique. Il permet de produire les courants et les tensions électriques les plus élevés, et la plus grande agitation dans le milieu. Une autre de ses propriétés de valeur égale, est que sa décharge peut vibrer à la fréquence voulue, jusqu'à atteindre plusieurs millions d'oscillations par seconde.

J'étais arrivé à la limite des fréquences productibles par d'autres moyens, lorsque j'eus la bonne idée de recourir au condensateur. Je l'adaptai de manière qu'il puisse se charger et se décharger alternativement très vite par une bobine comprenant quelques tours de fil résistant, qui représentait l'enroulement primaire d'un transformateur ou d'une bobine d'induction. Chaque fois que le condensateur se déchargeait, le courant passait en tremblotant dans le fil primaire et entraînait des oscillations correspondantes dans le secondaire. Je venais donc de développer un transformateur ou bobine d'induction, basé sur un nouveau principe, que j'appelai "l'oscillateur électrique", qui partageait les qualités uniques caractérisant le condensateur, et permettait d'atteindre des résultats inespérés par d'autres moyens. Ce type d'appareil perfectionné permet aujourd'hui d'obtenir facilement des effets électriques de tout type et des intensités inimaginables jusque-là. Cet appareil a déjà souvent été mentionné et ses parties essentielles sont montrées sur la figure 6. Pour certains objectifs, un puissant effet d'induction est nécessaire, pour d'autres, une montée rapide du courant, ou une fréquence très élevée, tandis que d'autres encore nécessiteront des "mouvements" (amplitudes) électriques immenses. Les photos des figures 7, 8, 9 et 10 sont celles d'expériences menées avec un oscillateur de ce type ; elles peuvent servir à illustrer certaines de ces caractéristiques et donner une idée de l'ampleur des effets réellement produits. La légende de ces photos me dispense de tout autre commentaire.

6 : "Photo des parties essentielles de l'oscillateur électrique utilisé dans les expériences décrites."

7 : "Expérimentation qui illustre l'effet d'induction d'un oscillateur électrique de forte puissance." La photo montre trois ampoules à incandescences ordinaires allumées à pleine puissance par du courant induit dans une boucle locale, constituée d'un seul fil formant un carré de 15 m de côté et qui inclut les ampoules, placée à 30 m du circuit primaire alimenté en énergie par l'oscillateur. La boucle inclut également un condensateur électrique et est exactement accordée aux vibrations de l'oscillateur, qui fonctionne à moins de 5% de sa puissance maximale.

8 : "Expérimentation cherchant à démontrer que l'oscillateur peut provoquer des explosions électriques de grande puissance." La bobine, qui est partiellement représentée sur cette photo, crée, entre la Terre et un immense réservoir, un courant électrique alternatif d'une fréquence de 100 000 cycles par seconde. Les réglages sont tels que le réservoir se remplit complètement et éclate à chaque alternance au moment précis où la tension électrique atteint son maximum. La décharge fait un bruit assourdissant, vient frapper une bobine non reliée à près de 7 m de là, et entraîne une telle agitation électrique dans le sol qu'il se forme des étincelles de 2,5 cm de long autour d'une conduite d'eau à 90 m du laboratoire.

9 : "Expérimentation servant à montrer la capacité de l'oscillateur à créer un grand courant électrique." La boule sur la photo, recouverte de métal poli d'une surface de près de 2 m2, représente un gros réservoir d'électricité, et la casserole en cuivre retournée en dessous au bord tranchant est une grande ouverture par laquelle l'électricité peut s'échapper avant d'aller remplir le réservoir. La quantité d'électricité créée est si importante que, bien que la majeure partie s'écoule par les bords de la casserole ou par l'ouverture, la boule ou réservoir est néanmoins vidée et remplie jusqu'à déborder en alternance (comme le montre la décharge au sommet de la boule) 150 000 fois par seconde.

10 : "Expérimentation illustrant l'effet d'un oscillateur électrique produisant une énergie de 75 000 CV." La décharge qui crée un grand courant d'air, à cause du réchauffement de l'air, est entraînée vers le haut à travers l'ouverture dans le toit du bâtiment. Sa largeur atteint jusqu'à plus de 21 m. La tension est de plus de 12 millions de volts et le courant alterne à raison de 130 000 fois par seconde.

Même si les résultats montrés peuvent paraître extraordinaires, ils sont négligeables comparés à ceux que l'on peut obtenir avec des appareils conçus selon ces mêmes principes. J'ai produit des décharges électriques dont l'ampleur, d'un bout à l'autre, était probablement de plus de 30 m ; il ne serait toutefois pas difficile d'obtenir des longueurs cent fois plus grandes. J'ai produit des "mouvements" électriques d'une puissance d'environ 100 000 CV, mais il serait facile d'obtenir des puissances de 1, de 5 ou de 10 millions CV. Lors de ces expérimentations, j'ai obtenu des effets plus importants que tout ce qui a jamais été produit par l'homme, et pourtant, ces résultats ne sont que l'embryon de ce qui reste à venir.

Il est inutile de démontrer que la communication sans fil peut se faire vers tout point du globe avec un tel dispositif et j'en ai eu la certitude absolue par une de mes découvertes. En voici une analogie : lorsque nous parlons très fort et que nous entendons un écho de notre voix, nous savons que les sons de la voix ont atteint un mur à distance, ou une frontière, d'où ils ont été réfléchis. Une onde électrique est réfléchie de la même manière qu'un son et le même signe que transmet l'écho est transmis par un phénomène électrique appelé onde "stationnaire", c'est-à-dire une onde dont les ventres et nœuds sont fixes. Au lieu d'envoyer des ondes sonores vers un mur à distance, j'ai envoyé des vibrations électriques vers un lointain obstacle sur la Terre et, au lieu que ce soit le mur, c'est la Terre qui a répondu. À la place de l'écho, j'ai obtenu une onde électrique stationnaire, une onde réfléchie par un point éloigné.

Les ondes stationnaires dans la terre autorisent non seulement la télégraphie sans fil à toutes distances, mais elles nous permettront également d'obtenir des résultats spécifiques très importants, qu'il serait impossible d'atteindre d'une autre manière. Grâce à elles par exemple, nous pourrons produire à volonté, à partir d'une station émettrice, un effet électrique dans toute région particulière du globe ; nous pourrons déterminer la position relative ou le parcours d'un objet en déplacement, comme ceux d'un bateau sur l'océan, la distance qu'il a parcourue ou sa vitesse ; ou nous pourrons encore envoyer une onde électrique par-dessus la Terre à la vitesse voulue, de celle d'une tortue à celle de la lumière.

Grâce à ces développements, nous avons toutes les raisons de penser que, dans un futur relativement proche, la plupart des messages télégraphiques transocéaniques seront transmis sans câbles. Pour des distances plus courtes, un téléphone "sans fil" permettra de communiquer sans l'intervention de spécialistes. Plus la distance à franchir sera grande, plus la communication sans fil deviendra rationnelle. Le câble est non seulement un outil fragile et coûteux, mais il nous limite également dans la vitesse des transmissions, à cause d'un certain facteur électrique inhérent à sa physique. Une centrale destinée aux communications sans fil soigneusement conçue, doit pouvoir effectuer plusieurs fois la quantité de travail d'un câble, et parallèlement, elle sera bien moins coûteuse. Je pense que d'ici quelque temps, la communication par câbles deviendra obsolète, car cette nouvelle méthode permettra non seulement d'envoyer des messages plus vite et à un moindre coût, mais elle sera aussi beaucoup plus sûre. Si l'on utilise certains moyens que j'ai inventés pour encoder les messages, les transmissions pourront s'effectuer dans une intimité presque parfaite.

Jusqu'à ce jour, j'ai observé les effets ci-dessus sur une distance limitée à quelque 1000 km, mais dans la mesure où la puissance des vibrations productibles avec un oscillateur de ce type est quasi illimitée, je suis plutôt confiant quant à la réussite d'une telle centrale à effectuer des communications transocéaniques. Et ce n'est pas tout. Mes mesures et calculs ont montré, qu'en utilisant ces principes, il est parfaitement possible de produire, sur ce globe, un " mouvement " électrique d'une telle ampleur, qu'il ne fait aucun doute qu'il puisse être perceptible sur quelques-unes des planètes les plus proches de nous, comme Mars ou Vénus. Cela signifie que les communications interplanétaires sont passées du stade de la possibilité à celui de la probabilité. En fait, il ne fait aucun doute que nous puissions produire un effet précis sur une de ces planètes avec cette nouvelle méthode, c'est-à-dire en perturbant les conditions électriques de la Terre. Ce moyen pour effectuer de telles communications est toutefois fondamentalement différent de tous les autres qui ont déjà été avancés par les scientifiques. Dans tous les cas antérieurs, l'observateur ne pouvait utiliser dans son instrument qu'une infime partie de toute l'énergie qui arrive sur la planète, c'est-à-dire la quantité qu'il est possible de concentrer dans un réflecteur. Toutefois, grâce à la méthode que j'ai développée, il pourra concentrer dans son instrument la majeure partie de toute l'énergie transmise à la planète et les chances de pouvoir établir une communication seront alors multipliée des millions de fois.

En plus des machines pour produire les vibrations de la puissance voulue, nous avons besoin de moyens sensibles, capables de révéler les effets des faibles influences exercées au-dessus de la Terre. C'est dans ce but que j'ai inventé de nouvelles méthodes. Elles vont, entre autres, nous permettre de détecter la présence d'un iceberg ou d'un autre objet sur la mer à une distance considérable. Elles m'ont également permis de découvrir un phénomène terrestre jusque là inexpliqué. Il est certain que nous pouvons envoyer un message vers une planète et il est probable que nous obtenions une réponse, car l'homme n'est pas la seule créature dans l'Infini, possédant un cerveau.

La transmission sans fil de l'électricité à toutes distances entre dans le domaine de la faisabilité - Les meilleurs moyens pour accroître la force d'accélération de la masse humaine.

L'observation la plus importante que j'ai faite au cours de mes recherches, était celle du comportement extraordinaire de l'atmosphère relatif aux impulsions électriques de force électromotrice excessive. Les expériences montrèrent que l'air à la pression ordinaire devenait nettement conducteur, ce qui permettait d'envisager le projet séduisant de pouvoir envoyer, sans fil et à de grandes distances, de grosses quantités d'électricité à des fins industrielles ; un rêve scientifique allait donc se réaliser. D'autres études révélèrent le fait important que la conductivité de l'air, obtenue par ces impulsions électriques de plusieurs millions de volts, augmentait très vite à mesure que l'air se raréfiait, ce qui veut dire que les couches d'air aux altitudes modérées, donc facilement accessibles, sont une région parfaitement conductrice - surpassant le cuivre - pour toutes sortes d'expérimentations avec des courants de ce type.

La découverte de ces nouvelles propriétés de l'atmosphère permettait non seulement d'envisager la transmission de grandes quantités d'énergie sans fil, mais aussi, et c'est encore plus important, elle donnait la certitude que l'énergie pouvait être transmise de cette manière plus économiquement. Avec ce nouveau système, il importe peu - voire pas du tout - que la transmission se fasse sur quelques kilomètres ou sur plusieurs milliers de kilomètres.

Jusqu'ici, je n'ai pas encore effectué de transmission d'une quantité considérable d'énergie, - soit significative d'un point de vue industriel - à une distance éloignée avec cette nouvelle méthode, cependant, j'ai fait fonctionner plusieurs maquettes de centrales dans, précisément, les mêmes conditions que celles qui existent dans une grande centrale de ce type, et la faisabilité du système est parfaitement prouvée. En fin de compte, les expériences ont montré qu'avec deux terminaux placés à pas plus de 9000 à 10 600 mètres d'altitude, ayant une tension électrique entre 15 et 20 millions de volts, il est possible d'envoyer des milliers de CV d'énergie à des centaines et, au besoin, à des milliers de kilomètres. Toutefois, j'espère pouvoir réduire considérablement la hauteur des terminaux qui est aujourd'hui indispensable et, pour ce faire, j'ai un plan qui est très prometteur. Il existe évidemment un préjudice pour la population si l'on utilise une tension électrique de millions de volts, car des étincelles pourraient voler jusqu'à des centaines de mètres, mais, paradoxalement, le système, tel que je l'ai décrit dans une de mes publications techniques, est beaucoup moins dangereux pour la population que la plupart des circuits de distribution courants utilisés dans nos villes. Cela est en partie confirmé par le fait que je n'ai jamais été blessé et aucun de mes assistants non plus, bien que je mène ce type d'expériences depuis plusieurs années.

Avant de procéder à une introduction pratique du système, il est nécessaire de répondre à un certain nombre d'exigences essentielles. Il ne suffit pas de construire des dispositifs capables d'effectuer ces transmissions. Les machines doivent être telles que la transformation et la transmission de l'énergie puissent se faire dans des conditions très économiques et pratiques. En outre, il faut encourager les personnes qui s'engagent dans l'exploitation industrielle des sources d'énergie naturelles, comme l'énergie hydraulique, en leur garantissant un bénéfice sur le capital qu'ils investissent, plus grand que celui qu'ils toucheraient en le plaçant dans l'immobilier local.

À partir du moment où l'on s'est aperçu que, contrairement aux idées reçues, les couches facilement accessibles de l'atmosphère pouvaient être conductrices d'électricité, la transmission d'électricité sans fil a commencé à être étudiée rationnellement par les ingénieurs ; les travaux dans ce domaine ont, pour eux, une importance capitale. Sa mise en pratique signifierait que l'énergie sera disponible pour l'homme en tout point du globe, non en petites quantités comme celles que l'on pourrait extraire du milieu environnant avec les dispositifs adéquats, mais en quantités quasi illimitées, à partir des chutes d'eau. L'exportation de l'énergie pourrait alors devenir la principale source de revenus de nombreux pays bien situés comme les États-Unis, le Canada, l'Amérique centrale et du Sud, la Suisse et la Suède. Les gens pourraient aller habiter n'importe où, fertiliser et irriguer la terre sans difficultés, convertir des déserts stériles en jardins, et tout le globe pourrait ainsi être transformé et devenir un lieu plus adapté à l'humanité. S'il existe des créatures intelligentes sur Mars, il est fort probable qu'elles ont mis cette idée en pratique depuis longtemps, ce qui pourrait expliquer les changements à la surface de la planète que les astronomes ont relevés. Comme l'atmosphère de cette planète est de densité nettement inférieure à la nôtre, les travaux sont bien plus faciles.

Il est probable que nous aurons bientôt un moteur thermique automatique susceptible de tirer des quantités d'énergie modérées du milieu environnant. Et la possibilité existe - quoique faible - que nous puissions obtenir de l'énergie électrique directement du soleil. Ce serait le cas si la théorie de Maxwell était exacte et selon laquelle des vibrations électriques de toutes les fréquences seraient émises par le soleil. Je n'ai pas terminé mes investigations à ce sujet. Sir William Crookes a démontré avec sa belle invention, connue sous le nom de "radiomètre", que l'impact des rayons produirait un effet mécanique, et cela pourrait conduire à quelques révélations importantes quant à l'utilisation des rayons solaires par de nouveaux moyens. On est susceptible de découvrir de nouvelles sources d'énergie et de nouvelles techniques pour puiser l'énergie solaire, mais aucune d'elles, ni aucun développement similaire, n'auraient autant d'importance que la transmission d'énergie à toutes distances à travers le milieu. Je n'arrive pas à imaginer une autre avancée technique capable de réunir les éléments variés de l'humanité de manière plus efficace que celle-ci, ou quelque chose qui apporterait plus à l'énergie humaine ou qui pourrait faire qu'elle soit mieux employée. Ce serait le meilleur moyen d'augmenter la force d'accélération de l'humanité. La seule influence morale d'un changement aussi radical serait inestimable. Néanmoins, si en tout point du globe il devient possible de puiser de l'énergie en quantités limitées dans le milieu environnant avec un moteur thermique automatique ou autre, les conditions ne changeront pas. Les performances humaines seront amplifiées, mais les hommes resteront des étrangers les uns pour les autres, comme aujourd'hui.

Je m'attends à ce que beaucoup de gens qui n'auront pas été préparés à concevoir ces possibilités, pensent qu'elles sont loin de pouvoir être mises en pratique, bien que, pour moi, ce soit simple et évident, parce que cela fait longtemps qu'elles me sont familières. La réserve, voire le rejet, de certains est aussi utile et nécessaire pour le progrès humain que la sensibilisation trop rapide ou l'enthousiasme d'autres. Une masse qui se montre d'abord résistante à une force, une fois mise en mouvement, contribue à accroître son énergie. Le scientifique ne cherche pas à obtenir un résultat immédiat. Il ne s'attend pas à ce que ses idées avancées soient acceptées facilement. Son travail est comparable à celui du jardinier : il œuvre pour l'avenir. Sa mission est de poser les fondations pour ceux qui lui succèderont et de montrer la voie. Il vit, il travaille et il espère, comme ce poète qui a dit :

Schaff', das Tagwerk meiner Hände,
Hohes Glück, dass ich's vollende !
Lass, o lass mich nicht ermatten !
Nein, es sind nicht leere Träume :
Jetzt nur Stangen, diese Bäume
Geben einst noch Frucht und Schatten !

Mes mains, sans relâche, font leur travail quotidien,
Pouvoir l'accomplir, quel grand bonheur que le mien!
Oh, pourvu que jamais mon énergie ne sombre !
Non, ce ne sont pas seulement des rêves creux :
Si aujourd'hui ces arbres ne sont que des pieux,
Ils donneront un jour des fruits et de l'ombre !

"Espoir" de Goethe

Merci à Liliane Roth pour cette traduction ! Elle a traduit également d'autres ouvrages dont le livre de Jeane Maning "Energie Libre et Technologies" et "Les anges ne jouent pas de cette harpe" (sur HAARP

http://quanthomme.free.fr/energielibre/chercheurs/teslaieh.html

23 septembre 2015

Tesla a été le plus grand génie inventif du vingtième siècle

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Tesla est né dans la nuit du 9 au 10 juillet 1856 à minuit, de parents serbes, dans le village croate * de Smiljan, près du mont Velelit. Son père, le révérend Milutin Tesla avait quitté l’armée pour les ordres après s’être rebellé. Sa mère Duka avait un sens inné de l’invention et l’enfance de Nikola fut émaillée de mille petites astuces et travaux de cette mère qui ne savait pas lire mais qui savait par cœur des volumes entiers de poésie. Nikola héritera de cette prodigieuse mémoire car il était capable de déclamer des textes entiers de Goethe.  

 

" Le présent appartient aux sceptiques, le futur, pour lequel je travaille, est à moi."

Nikola Tesla

 



Il partit à new York en 1884, avec dit-on 4 cents en poche, la tête pleine de plans de machines tournantes et volantes et de poésie. Se battant pour ses idées, ses différences de vues avec Einstein sur l’ether furent l’objet de vifs débats entre eux.

Après avoir été boudé pendant des décennies, être passé au travers de cabales destinées à le faire tomber dans l’oubli, le génial Nikola Tesla revient en force dans la quête de l’Energie Libre, mais pas avec ce que notre époque - qui utilise pourtant une partie de ses travaux - lui doit encore.

Rappelons qu’il est l’inventeur du moteur asynchrone, qu’il a introduit l’utilisation du courant alternatif et inventé la célèbre bobine à induction qui porte son nom.

Pourquoi dit-on maintenant que Tesla est un génie ? Parce que, dans notre pays, c'est seulement de nos jours que l'on prend connaissance de ce que Tesla avait imaginé, mieux, fabriqué de ses propres mains. Ses inventions censurées permettent de dire aujourd’hui que l’on est passé à côté d’une autre forme de civilisation.

L’idée maîtresse de Tesla était que la Terre, avec son atmosphère formait un immense condensateur dans lequel il suffisait de puiser. Pour bien le prouver, Tesla alluma 200 lampes (10.000 watts en tout) à 40 km de distance de la source d'électricité, sans fils de connexion.

La Terre et l’atmosphère formant un système résonant, l’astuce était d’en " ouvrir le robinet " en créant un système oscillatoire harmonique sur les mêmes fréquences. A cette époque des débuts de la radio, quand les chercheurs étaient moins spécialisés et travaillaient avec tout ce qui leur paraissait relié à leur passion, il était probablement plus facile pour Tesla de comprendre ces principes.

Il travailla d’ailleurs sur les hautes fréquences, fabriqua des télécommandes sans fil, expliqua comment pouvait fonctionner ce qui deviendra ensuite le microscope électronique et découvrit le principe des radar etc.

Il a laissé 135.000 pages de documents qui sont loin d’être toutes exploitées. La légende s’empare de lui car son approche du futur paraît être la bonne.

Les intérêts de quelques puissants ont détourné l’attention du public de cet homme pacifique et sage. Pourtant, le 27/01/1978, paraissait un rapport de recherche intitulé '' les applications de Tesla dans le monde d'aujourd'hui '' à Stock Exchanges Midwest, Montreal et Philadelphie ".
Ce rapport précise d'emblée qu'il '' ne peut y avoir aucun paramètre dans la recherche d'investissement parce qu'une société humaine engendre constamment le changement. La poursuite de la recherche d'investissement consiste à essayer d'identifier le changement avant que son large impact ne soit compris. Ceci est un rapport inhabituel au sujet tellement étranger à la plupart des actionnaires banquiers et analystes '' …mais dont les '' implications seront si grandes sur le travail qu'ils essaient de faire et les responsabilités qu'ils ont ".

Ce rapport était destiné à faire connaître Nikola Tesla et faire comprendre aux Américains concernés " ce que l'Union Soviétique était en train de faire dans le domaine des hautes énergies, des basses fréquences, des ondes électromagnétiques de longue durée, et l'impact qu'elles paraissent avoir sur les conditions météorologiques et finalement les applications de cette technologie par les militaires ".



On peut affirmer que Tesla a été le plus grand génie inventif du vingtième siècle, peut- être le plus grand depuis Léonard de Vinci. Tesla était un personnage remarquable même s’il restait énigmatique aux yeux de tous. Il était connu pour son mode de vie excentrique, mais il a conservé malgré tout un profil social élevé. Tesla avait de nombreux amis, dont Samuel Clemmons, alias Mark Twain.

Comme Margaret Cheney l’écrit, Tesla (comme Einstein) était un "outsider" à vaste champ d’étude. Où d’aucuns s’arrêtaient net, avertis de ce qui ne pouvait pas être fait, lui, continuait. Il disait avoir lui-même " le courage de l’ignorance ".

Les corporatismes scientifiques modernes n’ont aucune tendance à encourager la survie de tels mutants. Il est tout à fait probable que, de nos jours, ni lui ni Edison n’auraient pu prospérer.

Quand on insiste auprès de nos " bons ingénieurs " (qui par le fait lui doivent leur moyens d’existence), ceux-ci vous diront que Tesla a inventé le courant alternatif et la " bobine Tesla " dont ils se servent quotidiennement, mais ils ne pourront probablement rien vous dire sur ses autres brevets (700) pas plus que sur sa capacité à tirer de l’électricité de l’atmosphère, ou ses conclusions disant que la Terre elle-même était un condensateur, ou ses expériences de transmission d’électricité autour du globe, virtuellement dans n’importe quel endroit de la planète.

Quelques traits de caractères et événements curieux de la vie de Tesla

Tesla a été très marqué par le décès accidentel de son frère Daniel âgé de douze ans, enfant surdoué admiré par Nikola. On sait peu de choses à ce sujet. Cet accident est peut-être en relation avec le cheval - très intelligent - qui avait un jour sauvé la vie au père de Tesla. Ses parents ont été très affectés de cette disparition, et tout ce que Nikola faisait et qui aurait pu lui valoir des compliments était évalué en fonction de ce que son frère Daniel était capable de faire. Le développement de Tesla dans l’enfance semble avoir subi un certain retard. Il fut souvent malade et par trois fois laissé pour mort. Il était obsédé par des pensées de souffrance, de mort. Il avait peur des ogres, des fantômes, du diable…Cependant, il adorait lire, cachant même sa bougie pour lire jusqu’à l’aube.

Sa famille le destinait à une carrière ecclésiastique, ce qui l’a fait souffrir longtemps avant de pouvoir arracher à son père, lors d’une grave maladie, l’autorisation de devenir ingénieur.

Le déménagement de sa famille fut également une épreuve car il aimait la campagne, et son amour des pigeons a certainement pour origine les merveilleux souvenirs de ses jeunes années.

Il avait des phobies, il détestait les boucles d’oreille, le camphre, le contact avec les cheveux. Il lui arrivait d’avoir un goût épouvantable dans la bouche en laissant tomber des carrés de papier dans une assiette d’eau. Il exigeait une douzaine de serviettes à chaque repas avec lesquelles il astiquait soigneusement ses couverts en argent. Il aimait tout ce qui était divisible par trois, calculait le volume de ses aliments, de ses boissons.

Grâce à sa vision précoce d’images (perturbatrices au début), Tesla échappa plusieurs fois à la mort : lors de la baignade où, prisonnier sous une structure en bois, il ne pouvait plus remonter respirer à la surface, ou lorsqu’il est resté agrippé à la maçonnerie du barrage dont l’eau avait monté…

L’entraînement intellectuel qu’il avait reçu dans sa famille, et l’introspection qu’il avait eu à pratiquer depuis tout jeune, alliés à la maîtrise des images mentales lui firent acquérir de grandes possibilités. Il se forgea une volonté de fer, capable de se défaire de toutes ses passions, la cigarette, le café, et surtout le jeu.

La censure au sujet de Tesla


A l’âge de 86 ans, Tesla ruiné, est décédé d’une thrombose coronaire dans sa chambre au New York Hôtel dans la 43 ème rue le 7 janvier 1943. Le médecin nota qu’il ne voyait pas de circonstances suspectes.

Quelques jours plus tard, le FBI s’est intéressé à ses papiers dont certains traitaient de nouvelles torpilles, de " rayons de la mort " et de bien d’autres inventions.

Tesla était convaincu du fait que l’Energie Libre existait. Son histoire est bien connue d’un petit groupe de chercheurs et scientifiques dont des russes particulièrement qui consultent les notes et papiers de Tesla au musée de Belgrade. (Voir Michrowski)

On sait bien comment il a déchiré son contrat avec Westinghouse afin de poursuivre son électrification de l’Amérique en courant alternatif, comment on lui a coupé l’herbe sous le pied par l’intermédiaire de J.P. Morgan quand ses expériences de Colorado Springs semblaient montrer que la transmission sans fil était faisable, comment sa tour de Wardenclyffe * à Long Island (une combinaison de station émettrice de radio et d’électricité) a été détruite quand il semblait que son nouveau système dont la théorie et les expérimentations étaient correctes, était proche de supplanter son ancien système à courant alternatif et que chacun pourrait disposer d’une électricité gratuite… mais c'était sans compter que les financiers ne voulaient ni la paix, ni la prospérité pour tout le monde.

En application de la loi FOIA, et après les avoir réclamées pendant 2 ans au FBI, W. Kosanovic, neveu de Tesla a récupéré en 1952 la plupart des archives de son oncle. Quelques dossiers déclassifiés, soit 256 pages (dont beaucoup ne sont ni publiées ni accessibles) contenant quelques informations intéressantes, et des pages sur des événements bizarres. (Voir Lazare Alavanja arrière petit neveu de Tesla dans notre prochain dossier)

Une campagne pour redonner à Tesla , Père oublié de la technologie, la place qu’il mérite

Les livres d’histoire aussi n’ont pas été aimables avec Tesla. Aux USA, des gens font encore référence aux services d’électricité en tant que Société Edison, bien qu’ils utilisent le système à courant alternatif Tesla Westinghouse et pas du tout le courant continu d’Edison.

A la centrale électrique des chutes du Niagara, la petite statue de Tesla n’est même pas éclairée la nuit, délibérément. En 1982, G.D.R., une chaîne de télé allemande passa un film yougoslave sur Tesla produit en 1981 par Kristo Papic de Zagreb. Dans ce film qui a manqué de moyens dans l’assistance technique et scientifique, c’est pourtant Orson Welles qui tenait le rôle de John Pierpont Morgan.

Les étudiants de Robert Wagner de Dexter, Michigan ont mené une campagne destinée à faire entrer Tesla au musée Smithsonian, trouvant très injuste que le musée montre bien son générateur polyphasé, mais dans l’exposition réservée à Edison.

Le buste de l’inventeur offert par les étudiants a été refusé par le conservateur du musée. Le groupe rock "Tesla " s’est allié aux étudiants, une collecte a permis de réaliser le buste en bronze, toujours refusé (en 1996) par le musée qui dit ne pas en avoir l’utilisation.

Le livret traitant des débuts de l’électricité édité par le musée en 1979 ne mentionne même pas Tesla. Pas plus que les manuels ne parlent de la décision prise par la Cour Suprême de Justice des USA en faveur de Tesla (alors décédé) face à Guglielmo Marconi qui avait utilisé 17 brevets de Tesla pour son célèbre signal radio traversant l’Atlantique.

Couverture-Orbs3Format 17 cm x 20 cm MAGAZINE ORBS
192 pages, images et illustrations couleur
Couverture : Carte graphique, vernis sélectif
Papier intérieur : Munken pur 120 gr

31 juillet 2015

La santé par les ondes scalaires de Nikola Tesla

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thérapies quantiques
Cette découverte date des années 1920 et n’est utilisée pour soigner que depuis une vingtaine d’années. Elle va marquer le début d’une nouvelle ère qui sera certainement de plus en plus utilisée dans les années à venir.
thérapies quantiques
C’est à Nikola Tesla que nous devons les plus grandes inventions dans le domaine de la physique, de la radio et de l’électronique. On lui doit plus de 800 brevets déposés et 3 prix Nobel alloués à titre posthume. Par exemple, c’est à lui que nous devons la découverte de la Télévision, issue d’expériences sur la transmission électrique sans fil et à son faisceau d’électrons dirigés. En 1884 il travailla avec un autre génie, Thomas Edison qui fut ensuite son principal rival. De cette concurrence naîtront deux grandes compagnies : General Motors et Westinghouse. On leur doit de nombreux dispositifs électriques pour les industries, les premiers robots, la transmission sans fil du courant électrique qui allait révolutionner les communications ; le téléphone portable est directement issu de ses travaux… Tesla expérimenta également un rayon d’énergie électrique qui excitait les atomes dans la substance où pointait le rayon : cette arme qu’on a encore appelée « rayon de la mort » pouvait révolutionner la guerre par dissuasion ! De ces travaux émergera la technologie du laser.
thérapies quantiques
Tesla prouva en 1920 qu’il pouvait transmettre la puissance électrique en utilisant l’atmosphère terrestre plutôt qu’avec un lourd câble. Cette transmission d’énergie sans fil avait tendance à se diffuser sur de grandes distances, sans perte d’énergie lorsqu’elle traversait des obstacles, mais quelque chose était nécessaire pour maintenir son intensité… Ces ondes traversent la matière plus facilement car leur longueur d’onde est infinie (elles ne vibrent pas), elles ne sont donc pas absorbées par la matière et pénètrent entre les atomes jusqu’à entrer en contact avec le noyau de l’atome et donc interférer à un niveau interne. thérapie quantique Ces ondes scalaires ou dites ondes Tesla sont des ondes gravitationnelles, électromagnétiques, électro-gravitationnelles et elles sont, selon Bearden, la réunion de l’électromagnétisme et de la gravité se déplaçant plus rapidement que la vitesse de la lumière, elles sont supraluminales et hyperspatiales. Peut-être pourrait-on classer la télépathie ou la transmission de pensée dans les ondes scalaires !
thérapies quantiques
Elles sont plus de l’ordre d’un champ électromagnétique que d’une onde à proprement parler. Et ce qui peut paraître fou, c’est qu’elles agissent sur le temps en modifiant la « vitesse » du temps. Elles changent la densité du temps et les effets peuvent être mesurables avec des générations d’ondes scalaires concentrées en un point de l’espace. Elles sont capables de courber l’espace-temps ! Ce qui paraît inimaginable quand on s’appuie sur la vitesse incompressible de la lumière ! (300 000 km/seconde) ! Ces ondes se propagent dans l’air et sont donc capables de transmettre l’énergie à distance ! Tesla disait pouvoir alimenter un bateau en mer en électricité à distance sans avoir besoin d’aucune source pour produire de l’énergie, simplement en recevant un faisceau ultra-puissant d’ondes scalaires qu’il convertissait en énergie électrique utilisable ! Ainsi, les ondes scalaires peuvent être utilisées comme transporteur d’énergie pouvant être converties en énergie électrique et ceci d’une façon libre et gratuite, puisque leur producteur est le vide !

Des ondes scalaires aux thérapies quantiques
thérapies quantiques
Tout est enregistré dans notre ADN dès notre conception. L’acquisition des émotions commence dans l’utérus de la génitrice : toute émotion subie par notre mère (peur, colère, rancœur, chagrin, anxiété, tristesse) se transfère à l’enfant en se stockant dans nos gènes ainsi que dans nos tissus (os, chair, etc.). Les appareils de thérapies quantiques comme le SCIO visent à enrayer les pollutions émotionnelles et physiques des cellules. Cela entraîne parfois des réactions d’élimination qui peuvent être inconfortables, signe que le corps rejette cette charge, mais qui visent toujours à améliorer, à terme, l’état de santé. Au fur et à mesure que les tensions et les peurs s’éliminent, on retrouve son énergie et son entrain d’antan !
thérapies quantiques
  La thérapie quantique reconnaît l’interdépendance fondamentale entre le corps et l’esprit à tous les stades de la vie, tout en considérant sa dimension spirituelle. Seuls des rayonnements à très faible énergie sont nécessaires et sont imperceptibles par le patient. Ce faible signal agit au niveau informationnel des cellules et interagit par phénomène de réaction en chaîne, sur l’ensemble de l’organisme. On sait aujourd’hui, que toute cellule a la capacité de transmettre, de traiter et de régénérer une information comme le ferait un ordinateur.
thérapies quantiques
Les thérapies quantiques emploient tous les types de radiations biologiquement compatibles pour rétablir la cohérence de l’information altérée par la maladie. Le champ d’application et d’efficacité des thérapies quantiques ne cesse de s’élargir. Des recherches de pointe sont réalisées en Russie pour diverses maladies comme les tumeurs, les maladies cardio-vasculaires, les maladies auto immunes, les paralysies cérébrales, les lithiases rénales, l’asthme, les allergies, mais aussi les maladies neurologiques (autisme, schizophrénie). Elle est également utilisée en médecine du sport et en médecine cosmonautique pour préparer les cosmonautes aux vols spatiaux…

La thérapie quantique aujourd'hui
thérapies quantiques
La thérapie quantique est une nouvelle approche, basée sur la synthèse de toutes les sciences quantiques. Elle s'appuie sur l’utilisation des quantas, ces infimes quantités de lumière, d'ondes électromagnétiques qui composent le cœur de toute matière, en vue de la prévention et à la régénération de la santé des individus. Elle intègre les derniers acquis de la physique quantique et l'expérience millénaire de la médecine orientale, c'est-à-dire la réalité énergétique structurant la nature profonde de tout être vivant.
thérapies quantiques
  On peut qualifier le quantique d'« invisible qui anime la matière du vivant ». Il influence toutes les fonctions de l'organisme, que ce soit les cellules, les tissus, les organes, ou les systèmes en général, jusqu'à la dimension spirituelle et les niveaux de conscience de l'individu.
thérapies quantiques
Un dysfonctionnement organique entraîne autour des cellules et des tissus un champ électromagnétique altéré. La thérapie quantique emploie tous les types de rayonnements biologiques environnementaux et écologiques, afin de réduire les interférences et de rétablir l'harmonie et la stabilité dans le champ électromagnétique à traiter. Pour ce faire, les émissions électromagnétiques employées doivent être à l’unisson avec les processus biophysiques d'information énergétique de l'organisme vivant. Ce que l'on appelle la bio-résonance.
thérapies quantiques
La bio-résonance représente la capacité des êtres vivants à capter et émettre des rayonnements dans leur environnement, et à se synchroniser avec l'énergie ambiante. Elle englobe aussi les méthodes de soins et appareils basés sur l’émission de rayonnements électromagnétiques destinés à rééquilibrer l’énergie corporelle. A l'échelle de l'infiniment petit, il n'est plus possible de décrire la réalité selon les lois de la physique classique, c'est-à-dire de façon déterministe.
thérapies quantiques
On observe des phénomènes insolites faisant intervenir de nouvelles notions telles que la non-localité, la superposition d'états ou le principe d'incertitude. Les particules observées peuvent apparaître à un endroit, puis disparaître et réapparaître ailleurs sans que l'on sache où elles étaient entre-temps ; une même particule peut être à deux endroits en même temps, ou se présenter sous deux formes différentes simultanément ; deux particules très éloignées, du moment qu'elles aient été en relation à un moment donné, continuent de communiquer de l'information à distance et instantanément !
thérapies quantiques
Ces observations étonnantes ont été répétées à de nombreuses reprises en laboratoire sans que notre " logique " habituelle ne puisse embrasser la réalité observée. De plus, dès que l'on observe les choses au niveau quantique on les modifie, du simple fait de les observer ! C'est-à-dire que l'observateur - par son intention et sa conscience notamment - va en partie déterminer le résultat de l'observation.
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La physique quantique apporte ainsi à l’être humain une nouvelle vision du monde pour préserver sa santé et son bien-être.
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Nous sommes à l’aube d’une révolution : celle des thérapies de demain.
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Extrait du livre de Marion Kaplan et Valérie Lamour, aux éditions Robert Laffont :

thérapies quantiqueshttp://www.energie-sante.net/fr/tq/TQ001_therapie-quantique.php

14 mars 2015

Une « Tour de Tesla » futuriste dans un bois abandonné près de Moscou

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Non, il ne s’agit pas d’une colonie alien, ni d’une machine à voyager dans le temps, ni même de la version russe de HAARP, le programme de manipulation ionosphérique des États-Unis. Dans une forêt près de Moscou se trouve une « machine à foudre » d’une capacité sans doute égale à la production totale d’électricité de la Russie

Cette installation se trouve dans une forêt relativement petite près du monastère de la Nouvelle-Jérusalem, à la périphérie de la ville.

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Image Google Maps

Cette structure de test secrète à haut voltage et à ciel ouvert a été construite fin des années 1970 afin de tester des isolants pour protéger les véhicules, les avions et l’équipement électronique contre la foudre.

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Photo de www.esosedi.ru

L’installation est absolument unique : il n’y a rien de semblable ailleurs dans le monde, tout d’abord du fait de sa capacité de charge exceptionnelle. À son pic de capacité opérationnelle, le générateur géant Marx, lorsque la foudre s’abat sur une plateforme isolée, possède une puissance égale à toute la production électrique des centrales de Russie, ce qui comprend les centrales thermoélectriques, hydroélectriques, nucléaires, solaires et éoliennes. Mais cela ne dure qu’environ 100 microsecondes, selon Rossiya-1 TV.

Le générateur Marx a été nommé ainsi en l’honneur de l’ingénieur en électricité allemand Erwin Otto Marx, qui a émis le projet en 1924. En Russie, elle est connue sous le nom de Arkadyev-Marx, car le physicien russe Vladimir Arkadyev et son collaborateur, le cinéaste scientifique Nikolay Baklin, ont construit une « machine à foudre » 10 ans plus tôt, en 1914.

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Photo de www.esosedi.ru

La « machine à foudre » d’Istra, unique du point de vue de sa capacité de réception des décharges, est composée de cascades de transformateurs d’une capacité de 3 mégawatts, d’un Générateur de Voltage Pulsé (PVG) de 9 mégawatts, mesurant 39 mètres de haut, et est capable de créer un éclair artificiel de 150 mètres, probablement le plus grand du monde, ainsi que d’une unité de tension constante de 2,25 mégawatts.

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Photo de www.4turista.ru

Lors d’un banc d’essai un éclair d’une capacité sélective est déchargé sur une plateforme spéciale lourdement isolée, sur laquelle un appareil ou un matériaux de test est placé. La plateforme est parsemée de capteurs qui montrent exactement la façon dont la décharge électrique affecte l’objet testé.

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Photo de www.esosedi.ru

Lorsque l’installation est en marche, la charge statique sur la « zone chaude » est si importante que les cheveux des personnes à proximité se hérissent. Lors d’un reportage pour la chaîne de télévision Rossiya-1 TV, l’équipe de tournage a confié qu’une jour, un observateur un peu trop curieux s’est introduit dans l’installation et a pénétré la zone de test au beau milieu d’une expérience, lorsque les condenseurs étaient chargés au maximum.

« Dieu seul sait comment cet homme est resté en vie et n’a pas été frappé par une décharge », explique Vladimir Sysoev, un des plus importants chercheurs au travail sur cette installation.

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Photo de www.esosedi.ru

D’autres affirment que la foudre est encore un domaine largement inexploré, et que plusieurs arbres ont été carbonisés à proximité du banc d’essai, ce qui nous rappelle que la foudre est très difficile à contrôler.

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Photo de www.borshec.ru

Le centre de recherche d’Istra a mené beaucoup de tests durant l’époque soviétique. Parmi les derniers en date, il y a eu les tests de protection contre la foudre pour les avions Sukhoi Superjet russes.

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Photo de www.esosedi.ru

En raison des coûts très élevés du fonctionnement des installations, elles ne sont allumées que lors d’occasions spéciales.

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Photo de www.borshec.ru

Contrairement à l’installation High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP) aux États-Unis, le générateur Marx d’Istra n’a jamais été conçu pour modifier la météo, cependant, tout comme HAARP, il a été utilisé dans le développement d’armes futuristes.

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Photo de www.4turista.ru

À côté des installations de recherche qe trouve un autre centre de test appelé « Allure ». Il s’agit d’un simulateur d’impulsions électromagnétiques stationnaire (EMP) utilisé pour tester la solidité du matériel de l’aviation civile et militaire, ainsi que leur capacité à recevoir des impulsions électromagnétiques naturelles ou artificielles.

Une EMP créée par une explosion nucléaire est capable d’endommager de façon irrémédiable des équipements électroniques. Par conséquent, la capacité de créer une EMP artificielle, surtout sans devoir faire exploser un engin nucléaire, est très appréciable d’un point de vue militaire. C’est pourquoi les armes EMP constituent un objet de désir pour un général de n’importe quel pays.


Photo de www.ausairpower.net

Le complexe Allure a été mis en place pour faire partie d’une construction scientifique grandiose, avec un dome de 118,4 mètres de haut et 236,5 mètres de large. Mais alors que la construction était presque achevée, l’énorme structure a implosé, s’écroulant à l’aube du 25 janvier 1985. Le bâtiment n’a jamais été reconstruit, bien que sa base circulaire soit encore visible depuis l’espace (coordonnées 55° 55’ 8”N, +36° 49’ 7”E).

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Photo de wikimapia.org

Bien que le dôme se soit écroulé à cause d’erreurs dans sa construction, son écroulement a eu des conséquences historiques involontaires.

Le haut gradé responsable du Parti Communiste soviétique, qui supervisait la construction du dôme d’Istra depuis Moscou, a été mis à pied puis muté à l’autre bout du pays en guise de punition.

Il a été remplacé par le camarade politicien communiste Boris Yeltsin, qui a été invité à travailler à Moscou, et qui allait par la suite devenir le premier président de la Russie.

Traduit de l’article de Russia Today par Fabio Coelho pour Quenelplus.com

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