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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
eyes wide shut
28 février 2014

Une liturgie roumaine inversée utilisée comme invocation satanique dans un film avec Tom Cruise

6162_1par Alina Istrate
Article tiré de la Revue des Mystères n °. 66/

« Eyes Wide Shut » ou, en traduction, « Les yeux grands fermés » (diffusé en Roumanie en DVD) peut être considéré comme le film-testament du célèbre réalisateur américain Stanley Kubrick.

Classés par les critiques comme un thriller érotique ou un drame psychologique, le film a été suivi par une série d’événements néfastes: Kubrick est décédé d’une crise cardiaque avant d’avoir terminé le montage, et le couple d’acteurs Tom Cruise - Nicole Kidman a éclaté après 10 ans de mariage. L’interprétation donnée est que la mort du réalisateur a été une punition reçue en raison de la révélation de certains secrets des organisations occultes sataniques. L’interprétation est allée si loin avec cette hypothèse que la séparation de l’un des des plus célèbres couples de Hollywood a été attribuée à la participation des deux à l’orgie sexuelle satanique présentée dans le film.

Certes, personne ne peut prouver que toutes ces conséquences négatives sont dues au sombre scénario. Mais l’abondance des symboles maléfiques du film, que nous dévoilons en avant-première, démontre hors de tout doute que les pratiques sataniques génèrent des effets terribles, aussi bien pour ceux qui les ont pratiqués en connaissance de cause, que chez ceux qui y assistent inconsciemment.

Le chant du cygne de Stanley Kubrick, Eyes Wide Shut, maudit par certains critiques et élevé au rang d’un chef-d’œuvre par d’autres, est apparu dans une zone située à la frontière entre rêve et réalité. De toute évidence, le film n’a pas été pas fait pour nous donner des moments de détente et de confort, mais il est plutôt un cri terrible, un avertissement visant à nous éveiller du sommeil de l’esprit, de nous faire comprendre la réalité dans laquelle nous vivons. Et comme le sommeil de la raison fait naître des monstres, le film abonde en images hideuses où les femmes sont davantage perçues comme des outils sexuels, que vous pouvez acheter pour un prix, et les hommes en tant que vendeurs et acheteurs de ces « poupées ». Ce ne pas par hasard que le film commence avec l’image d’Alice Harford (Nicole Kidman) en face d’un miroir nue et vêtue d’une robe élégante de cocktail, demandant à son mari: « Je suis bien ? ». Il est donc suggéré l’idée de marchandise qui doit être présentable. En réponse, le personnage de Tom Cruise, le Dr Bill Harford, apparaît pour la première fois à la recherche de son portefeuille, ce qui le définit dans une position d’acheteur.

« Eyes Wide Shut »

La vie du couple Harford prend une tournure inattendue après avoir participé à une fête de Noël donnée par l’un des clients fortunés de Bill, Victor Ziegler. Lors de la soirée, où le couple connaissait peu de gens, Bill et Alice flirtent avec des gens qui leur proposent de façon voilée des relations extraconjugales. Là aussi, dans une somptueuse salle de bains, meublée, avec des peintures sur les murs, Bill est appelé par Ziegler pour ranimer une femme nue (avec qui, selon toute vraisemblance, Ziegler vient juste d’avoir des rapports sexuels), inconsciente après une surdose de drogue. Bien sûr, tout devait rester secret.

De retour chez eux, Bill et Alice sont sur le point de faire l’amour et fument de « l’herbe », mais Alice a un soudain accès de jalousie (en pensant au flirt de Bill avec deux modèles, lors de la soirée) et de la colère - parce et il lui semble être considérée par les hommes comme un objet sexuel. A cette occasion, elle avoue à Bill un de ses fantasmes érotiques, avec un officier de marine qu’elle avait rencontré dans un hôtel. Les images en noir et blanc de la trahison imaginaire de sa femme accompagneront le Dr. Harford tout au long du film. Malade de jalousie, sentiment qu’il n’avait pas vécu jusqu’alors vis à vis d’Alice, il va à la recherche d’aventures sexuelles. Il appelle à une prostituée, Domino, qui s’avère finalement être infectée par le sida, puis par son ami, le pianiste rencontré à la soirée de Ziegler, il réussit à assister à un des rituels sexuels secrets, qui évoquent les cérémonies des organisations occultes : les participants doivent porter des longs manteaux à capuche et des masques, tout est absolument secret, et Bill est averti par une femme qu’il est en grand danger. Ironiquement, le mot de passe pour l’accès à la cérémonie, à laquelle tous s’accouplaient, est "Fidelio" (fidélité). Découvert comme intrus, le médecin s’échappe de cette orgie à l’aide de la femme masquée qui l’avait averti auparavant et qui accepte de « se sacrifier » pour lui.

En arrivant chez lui après cette aventure nocturne, où il n’a pas trompé sa femme, Harford la trouve en plein cauchemar... Alice se réveille et lui dit, terrifiée, qu’elle rêvait d’une réunion à laquelle tous les participants étaient nus, et elle a d’abord eu des rapports sexuels avec l’officier de marinede son fantasme, et puis des centaines d’hommes desquels elle ne se souvient plus. La même histoire, dans des mondes différents, et la ligne entre le plan réel et l’imaginaire devient plus mince. L’enquête de Bill Harford sur ces réunions ne le mènent pas très loin : dans la presse il apprend que Mandy (la prostituée qu’il avait sauvé lors de la soirée de Ziegler et qu’il soupçonne de s’être sacrifiée pour lui à l’orgie occulte) est morte d’une overdose ; de son ami, le pianiste, il apprend qu’il est disparu dans des circonstances mystérieuses, avec deux « gorilles » à sa poursuite et une ecchymose sur le visage. Une tentative de visite au château où a eu lieu l’étrange rituel satanique se termine par une lettre de menace où il est averti que, s’il poursuit son enquête inutile, lui et sa famille vont en souffrir. Enfin, il est appelé par son client Ziegler, qui lui avoue qu’il était présent lors de l’orgie et essaye de lui faire abandonner ses recherches et lui demande de garder le silence sur ce qu’il a vu.

Secrets qui tuent

Une synchronicité qui peut nous donner matière à réflexion: Kubrick, le père du film « 2001 L’odyssée de l’espace» (1968) est mort 666 jours avant le Janvier 1, 2001. Kubrick, à travers ce film, met en garde que toute personne qui révèle les secrets des hommes puissants peut être « terminée », sans pénalité. Était-ce une prédiction (et avertissement) de sa disparition ?

Il n’est cependant pas le seul que l’on soupçonne d’avoir été assassiné à la suite de la divulgation des secrets des organisations occultes. Comme Uri Dowbenko le dit dans son commentaire du film publié par Steamshovel Press, la mort mystérieuse du brillant compositeur Mozart et la soudaine disparition des écrivains Stephen Knight et William Morgan étaient due à la révélation de ce genre de secrets.

Dans le cinéma, le dernier film qui a exposé des activités occultes maléfiques, avant Eyes Wide Shut, avait été « Rosemary’s Baby » de Roman Polanski. Peu de temps après la première, la femme de Polanski, enceinte, a été assassinée par le sataniste Charles Manson.

Le rituel satanique sexuel du film de Kubrick a est inspiré par les cérémonies du Hellfire Club, une loge maçonnique anglaise fondée au XVIIIe siècle par Sir Francis Dashwood. Il ressemble aux rituels orgiaques de magie noire pratiqués par le controversé Aleister Crowley au sein de son organisation satanique, Ordo Templi Orientis (OTO).

Terribles expériences de la CIA

Le message de Kubrick est assez difficile à déchiffrer, car il n’était plus présent lors du montage final du film. Cependant, pour les esprits lucides et attentifs, il y a encore beaucoup d’indices qui montrent le mode d’action perfide des organisations occultes sataniques

En outre, comme l’indique Adam Gorightly dans le magazine The Konformist (mai 2000), dans le film sont introduits de nombreuses allusions voilées aux expériences de contrôle du mental menées par la CIA, le programme MK-ULTRA et la programmation des esclaves sexuels du type Monarch.

Selon le témoignage des victimes du programme Monarch, il semble que leur nombre serait de plusieurs milliers et qu’elles sont été utilisées, sous l’influence des drogues, en tant qu’esclaves sexuels et d’assassins programmés. Selon diverses sources, la programmation Monarch commence immédiatement après la naissance et se déroule au tout au long des vies des victimes, qui sont utilisées par les agences de renseignement et des organisations occultes jusqu’à ce qu’ils remplissent les finalités pour lesquelles elles ont été prévues, après quoi elles sont éliminées (lire tuées) de sorte que tout ressemble à un accident ou à un suicide. Au-delà de la désinformation qui est délibérément cultivée quant au contrôle mental, les témoignages des victimes parlent d’eux-mêmes.

Le journaliste Per SEWEN de Illuminati News rapporte qu’il a vu le film Eyes Wide Shut en compagnie d’une femme qui avait été victime d’un rituel satanique. Elle a dit que le rituel orgiaque du film était très semblable à celui auquel elle avait été soumise. Aucune de ces deux ne savaient rien de ce film, ils ont donc été terrifiés. Les films de ce genre peuvent engendrer des traumatismes psychologiques et des émotions négatives troublantes peuvent être déclenchées chez les victimes de ces abus sexuels rituels leur . La femme en question a subi un choc après avoir vu le film.

« Où se termine l’arc en ciel »

Une première indication sur le programme Monarch est présentée juste au début du film, la scène de la fête de Ziegler où le personnage de Tom Cruise, le Dr Bill Harford, est séduit par deux beaux modèles qui l’ont pris par le bras et le conduisent vers un apparent ménage-à-trois. Lorsque Bill demande aux deux belles de lui dire exactement où elles ntl’emmener, elles lui répondent en plaisantant: "Où se termine l’arc en ciel." Considéré dans le contexte des événements à suivre du film, ce morceau de dialogue est une référence claire à la programmation Monarch, dans laquelle sont utilisés comme outil de programmation du mental, des thèmes et des images de contes pour enfants tel que Le Magicien d’Oz (qui contient la chanson "Au-delà de l’Arc en Ciel ") (selon le livre Trance Formation en Amérique par Mark Phillips et Kathy O’Brien).

On soupçonne que même Judy Garland, l’actrice qui jouait Dorothy dans la version cinématographique du Magicien d’Oz d’avoir été elle-même victime du programme Monarch (elle a été toxicomane durant toute sa vie et est décédée d’une overdose de barbituriques à seulement 47 ans).

Plus tard dans le film, Bill loue une cape et un masque dans une boutique de costumes "Rainbow" ("Arc-en-ciel"). Dans la première scène du magasin, le propriétaire du magasin surprend sa fille mineure presque nue avec deux hommes et fait du scandale, menaçant les deux hommes de prévenir la police. Dans une scène plus tard, le même propriétaire, non seulement vend sa fille aux deux mêmes hommes auprès desquels il a fait du scandale, mais il suggère aussi au Dr Bill qu’il peut avoir accès aux services de l’adolescente, à tout moment, bien sûr, pour un prix « raisonnable »...

Tous ces « détails » sont très importants, parce que, dans la programmation d « Magicien d’Oz », de très jeunes enfants se retrouvent dans une position d’esclaves Monarch, molestés et traumatisés lors de rituels sataniques sexuels, après un arrangement (contrat) fait par leurs parents avec des soi-dits agents Monarch. L’agent est un programmateur et en même temp un intermédiaire entre les parents et les dirigeants de l’organisation Monarch. En tout cas, le changement radical d’attitude du père, de l’image de défenseur de l’honneur de sa fille à celle de « maquereau », ainsi que l’hypostase de prostituée mineure de la fille s’inscrivent dans la symbolique du papillon Monarch, la chenille qui se transforme en papillon. Le terme « Monarch » est trompeur dans ce cas, parce qu’il renvoit à la métamorphose du papillon Monarque en une très belle créature. C’est le mensonge et l’illusion de ce programme : tromper les victimes en leur faisant croire qu’elles se sont transformées en quelque chose de magique, de merveilleux, alors qu’en fait, elles deviennent des esclaves par le contrôle de l’esprit. Dans le film, la chenille qui devient papillon est la fille d’un propriétaire de magasin de costumes.

Mannequins présidentiels, jouets de sexe pour les hommes politiques

Une autre allusion aux programmes MK-ULTRA et Monarch se trouve dans la scène avec les deux modèles qui séduisent le médecin à la soirée de Noël de Ziegler. Les deux peuvent être associées à ce qui, dans les annales de MK-ULTRA, porte le nom de « mannéquins présidentiels » (une dénomination utilisée pour la première fois dans le livre The Control of Candy Jones (Le contrôle de Candy Jones) par Donald Bain et Long John Nebel). Elles sont utilisées par les politiciens comme des « sex toys, poupées programmées pour se prostituer avec toute personne indiquée par les agents du programme. On pense que Marilyn Monroe a été la première esclave sexuelle du programme Monarch qui ait obtenu le statut de célébrité dans le monde entier, ceci étant également une explication du mystère de sa mort, à seulement 36 ans, camouflée en suicide par overdose de médicaments.

Tous les personnages féminins du film sont, de façon plus ou moins évidente, des victimes du programme Monarch d’esclavage sexuel: les deux mannequins, la fille ranimée par le docteur dans la salle de bain de Ziegler, la prostituée Domino que Bill visite, la fille du propriétaire du magasin de costumes, et même Alice, sa femme - qui est traitée par l’aristocrate avec qui elle a dansé à Noël comme une possible prostituée.

Liturgie roumaine blasphémée

Harford apprend, par une négligence de son ami le pianiste, qu’il est appelé à participer, les yeux bandés, à des rencontres étranges qui ont lieu chaque fois dans un autre lieu et où tous les participants portent des manteaux noirs à capuche et des masques. A chaque fois il reçoit un mot de passe absolument nécessaire pour entrer. En outre, il raconte que la dernière fois ses yeux était moins bien cachés et qu’ainsi il a pu voir beaucoup de femmes, toutes avec des corps de mannequins, nues... Le médecin prend le déguisement nécessaire et, utilisant le mot de passe fournit par le pianiste, il entre dans un somptueux château, se retrouvant en plein rituel sexuel satanique, semblable aux orgies du magicien noir Aleister Crowley. Il est averti à deux reprises par une femme mystérieuse que sa présence ici met sa vie en danger. Bientôt, il est découvert comme intrus et le chef du rituel (« Le Grand Prêtre ») l’oblige à ôter son masque et ses vêtements. En ce moment difficile pour le médecin, la même femme masquée, et il est suggéré qu’il s’agit de Mandy, la maîtresse droguée de Ziegler, s’offre à sacrifier à sa place. En confirmation de ce « sacrifice rituel », les journaux du lendemain annoncent la mort d’une femme comme due à une overdose. Par cela, le réalisateur montre que tout esclave Monarch peut être supprimé s’il viole les règles établies par le programme et est considéré comme un risque pour celui ci.

Pourquoi dire que ce rituel est-il satanique ?

Il a été constaté (et je l’ai personnellement vérifié en utilisant un programme informatique, CoolEdit – note de la rédaction) que la musique qui accompagne le rituel est en réalité un fragment inversé (chanté de la fin au début) d’une liturgie roumaine. Bien sûr qu’à côté de la voix en question, il y a une orchestration, mais dans le déroulement inversé du passage musical on distingue très clairement les mots en roumain: « Nous prions également pour la miséricorde, la vie, la paix, la santé, le salut, la recherche, l’abandon et le pardon des péchés des serviteurs de Dieu, de ceux qui prient et des bienfaiteurs de ce lieu saint de culte. Et le Seigneur dit à ses disciples : voici un commandement nouveau que je vous donne... "

Le compositeur britannique, Jocelyn Pookie, a acquis une immense célébrité suite à la musique originale du film de Kubrick. Par crainte de possibles protestations, elle a gardé un silence discret sur l’origine de ce morceau musical. Elle a été nominée pour un Golden Globe et elle-même avoue qu’elle ne sait pas si elle pourrait de nouveau égaler la performance de cette musique de film. Des critiques importants d’Hollywood apprécient encore plus la musique du film que le film lui-même. La chanson est apparue d’abord sur l’album « Flood », déluge, du compositeur, d’où elle a ensuite été reprise dans le film de Kubrick. Le problème avec ce morceau de musique semble plus compliqué qu’il y paraît. Tout d’abord, il faut dire que, malgré l’énorme intérêt suscité par la musique de ce film, presque nulle part on ne mentionne qu’ il s’agit là d’une messe chantée en roumain et jouée à l’envers.

Comme témoignage sur le fait d’avoir gardé intentionnellement un quasi-secret sur cet aspect on trouve les nombreux articles de plusieurs critiques réputés de cinéma qui ont commenté en détail la bande sonore du film, les interprètes, les chansons, mais dès qu’ils arrivent à la scène du bal masqué ils ne savent pas quoi dire. Il est vrai que Jocelyn Pookie a plus tard donné une interview à une station de radio à New York, déclarant que la pièce ne lui appartient pas et qu’il s’agit un traitement d’un enregistrement fait dans une église de Baia Mare, mais cette interview n’a jamais été publiée et presque personne n’en connaît l’existence.

Pourquoi cette manie du secret ? Voici une des raisons: Pendant le tournage du film, Jocelyn Pookie avait placé immédiatement après la scène de la cérémonie du « Bal masqué » un morceau d’un texte sacré hindou accompagné de musique. Immédiatement, la communauté hindoue de Grande-Bretagne a menacé d’un énorme scandale et la maison Warner Bros a décidé qu’il était préférable de ne pas agiter les choses. Donc, il a été choisi un morceau « de la même langue », qui a utilisé un texte « neutre ». Après tout, combien de personnes connaisent la langue hindoue à Venise, où le film a été présenté en premier, se demande avec naïveté la fille de Kubrick, qui raconte l’épisode. (http://www.visual-memory.co.uk/faq/html/ktemp.html)

Le principe de l’inversion des symboles est bien connu en occultisme. Un symbole divin, s’il est inversé, devient un symbole satanique, son énergie bénéfique étant ainsi pervertie et modifiée dans un sens maléfique. Par exemple, la croix inversée est souvent utilisée dans les rituels sataniques comme un symbole des mondes infernaux. De même, la liturgie orthodoxe, qui est un pont vers Dieu, devient un symbole satanique d’autant plus puissant que la foi du peuple auquel il appartient est grande. Et le réalisateur du film savait tous ceci, parce qu’il a expressément demandé de ne pas diffuser ce film en Roumanie. Peut-être s’agit-il de la raison pour laquelle le premier cannal de télévision qui l’a diffusé, HBO, s’est vanté d’avoir durement acquis les droits de diffusion dans notre pays.

Bien que ces problèmes soient connus depuis l’an 2000, l’année du lancement du film, à peine y-at-il eu chez-nous en 2002 un peu de tourmente médiatique à ce sujet. En cette occasion, le journal Evenimentul Zilei a publié un article sur la position du Patriarcat et de la maison de disques Electrecord surtout sur la question des droits d’auteur sur le fragment liturgique utilisé dans la bande sonore du film Eyes Wide Shut.
Perdus dans les méandres des droits d’auteur, il semble qu’ils ont tous « oublié » de remarquer tous les dommages moraux de la modification d’une liturgie, par inversion, en un outil puissant de magie noire. Quel effet pensez-vous que ce passage sonore a eu sur les millions de gens qui ont regardé le film ? Et quelle loi humaine pourrait nous défendre contre un tel blasphème ? La justice a également « les yeux grands fermés ».

Traumatismes physiques et psychiques utilisés dans la manipulation

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec les règles des sociétés secrètes, il peut paraître incompréhensible que M. Harford soit en danger de mort uniquement parce qu’il a assisté une orgie sexuelle satanique avec des participants masqués. Mais il est ainsi devenu un témoin de la programmation sexuelle de type Monarch et représente une possible menace pour ceux qui mènent cette action terrible, et qui relève du domaine de l’inimaginable. Ziegler lui suggère d’arrêter ses recherches, en lui disant qu’il n’y a pas de lien entre la mort du mannequin drogué et l’orgie à laquelle avait assisté le médecin ; par ailleurs, il l’avertit que s’il connaissait les noms des participants, il ne pourrait plus dormir tranquile.

À la fin du film Eyes Wide Shut, dans le générique, nous apprenons que le scénario a été inspiré par un roman intitulé « Traumnovelle », de l’écrivain Arthur Schnitzler. Traum en allemand signifie rêve, mais rappelle également le principal outil utilisé dans la programmation MK-ULTRA et Monarch, appelé « programmation fondée sur les traumatismes ». Selon les victimes de ce genre d’abus, différents types de traumatismes - à la fois physiques et mentaux - sont utilisées pour générer des personnalités multiples facilement contrôlables. Cette méthode sépare la victime de l’essence de son être. Dans leur tentative désespérée pour échapper au traumatisme induit, les victimes adoptent une personnalité différente, un alter ego qui est complètement inconscient du traumatisme subi par la personnalité de base. C’est une modalité psychologique utilisée pour cacher sous un masque la dure réalité de ce genre d’abus et, en même temps, le résultat attendu de la « programmation fondée sur les traumatismes ». C’est ce qui explique la signification des masques au cours de la scène d’orgie, car les victimes Monarch ont commuté, avec leur entrée par la porte du château, vers leurs personnalités d’esclaves sexuels, en adoptant l’une de leurs nombreux alter-egos prévus.

Le titre du film, Eyes Wide Shut, cache en lui certaines significations. Premièrement il est suggéré que l’information est traitée de façon subliminale au niveau du subconscient, pendant que le mental conscient est endormi. A partir de ce niveau subconscient « les programmeurs mentaux » peuvent accéder au mental de leurs victimes. C’est ce que les experts appellent « la révélation de la méthode », ce qui signifie le traitement subtil de l’humanité en utilisant d’autres outils tels que les médias, la télévision et le cinéma. C’est pour cette raison – que certains ont dit que Kubrick a dû payer ce film avec sa vie, parce qu’il a révélé, de façon ostentatoire, ce qui se passe dans les coulisses des sociétés et des agences secrètes qui utilisent le contrôle mental pour programmer les masses. En outre, tuer à distance en provoquant une crise cardiaque, est bien connue comme une modalité spécifique aux sectes sataniques.

La prise de conscience de la condition de l’esclavage, l’étincelle de la liberté

Une des scènes mémorables dans le film est celle où Bill et Alice s’embrassent devant le miroir, un prélude à l’amour. Voici ce que nous disent sur le symbolisme du miroir les chercheurs du programme Monarch, Cisco Wheeler et Fritz Springmeier: « ... dans la programmation des esclaves Monarch, les miroirs tiennent un rôle important. Dans l’esprit de ceux-ci, sont créées d’innombrables images en miroir. Comme Marilyn Monroe a été dépourvue de toute identité personnelle, elle a décoré sa maison comme l’intérieur de son esprit - pleine de miroirs. Marilyn est le cas extrême que nous connaissons, parmi les esclaves du programme Monarch, qui a rempli sa maison de miroirs ... »

Dans cette scène du miroir, Alice Harford regarde deux fois dans le miroir et son reflet peut être interprété comme une expression de la culpabilité ou de la confusion. Dans la programmation Monarch, on sait que les miroirs sont utilisés pour commuter entre les différentes personnalités et pour provoquer la dissociation, ce qui fournit la clé de cette scène. L’hypothèse selon laquelle Alice est une victime du programme de contrôle de l’esprit, explique son caractère plein de contradictions et qui passe, tout au long du film, par une série de conditions inexpliquées. A la fête de Ziegler - dansant avec un aristocrate étranger, elle adopte l’image d’une personne aérienne, dans une autre scène elle est intelligente et sophistiquée, puis froide et dure. Elle apparaît également dans une position de mère aimante et d’épouse dévouée. Après la consommation d’« herbes », elle devient subitement jalouse et juge chaque mot de son mari, déclenchant une dispute pour un rien. Son état évolue rapidement après avoir fumé des drogues, ce qui indique qu’ils sont un outil commun dans la programmation Monarch pour basculer entre les différentes personnalités. Le couple a une confrontation finale où Bill trouve le masque qu’il croyait perdu sur l’oreiller à côté de sa femme endormie, comme un message aussi clair que possible : les participants au rituel satanique ont toujours eu accès à sa femme, même si elle dormait, entrant dans les coins les plus cachés de son esprit subconscient.

Le dialogue final, qui a lieu dans un magasin à l’occasion des achats de Noël, montre que les deux n’ont pas compris ce qui se passe et qu’ils vivent encore « avec les yeux grands fermés ». Le seul moyen de s’échapper est d’ouvrir de grands yeux et de comprendre qu’ils sont victimes d’un processus de manipulation.

La prise de conscience de la condition de l’esclavage est le premier aperçu de l’état de liberté.



yogaesoteric

http://archivesmillenairesmondiales.wordpress.com/2013/11/08/stanley-kubrick-les-societes-secretes-et-la-pedocriminalite-decodage-du-film-eyes-wide-shut-2/

Voici les paroles qu’on entend dans le film:

Auov uad auon acnurop ias iicinecu ertac iulunmod asiz. Aiutseca iulusacal iulutnafs ia irotacafenib is irotiulim irotanihcni. Uezenmud iul rolibor roletacap aeratrei is aerasal aeratecrec aer.

En lecture inversée (backmasking) on tombe sur un passage de la Bible, (Jean 13, 34) en Roumain:

Zisa Domnului catre ucenicii sai, porunca noua dau voua. Domnului sa ne rugam pentru mila, viata, pacea, sanatatea, mantuirea, cercetarea, lasarea si iertarea pacatelor robilor lui Dumnezeu. Inchinatori, miluitori si binefacatori ai sfantului lacasului acestuia.

La translation en anglais donne:

And God told to his apprentices…I gave you a command…to pray to the Lord for the mercy, life, peace, health, salvation, the search, the leave and the forgiveness of the sins of God’s children. The ones that pray, they have mercy and they take good care of this holy place.

Traducion Française littéralle:

Et Dieu dit à ses apprentis … Je vous ai donné un ordre … à prier le Seigneur pour la miséricorde, la vie, la paix, la santé, le salut, la recherche, le congé et le pardon des péchés des enfants de Dieu. Ceux qui prient, ils ont pitié et ils prennent bien soin de ce lieu saint.

Extrait de la Bible en Français, Jean 13:33-35:

34 Je vous donne un commandement nouveau: Aimez-vous les uns les autres. Oui, comme je vous ai aimés, aimez-vous les uns les autres.

Curieux et controversé, juste «Le commandement nouveau» a été chanté dans les scènes d’orgie, affirmant que le maximum devrait aimer les uns les autres d’une manière jamais appelé par l’Église, en se concentrant uniquement sur l’amour sexuel ou eros, ignorant l’amour transcendant et pur pour les chrétiens.


Reverse Soundtrack Eyes wide shut par thespacemonkey13

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7 août 2013

Ben Livingston, l'un des pères de la guerre météorologique :

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6 août 2013

Dissoudre les illusions : les maladies, les vaccins et l’Histoire oubliée.

dissolving-illusions

Jennifer Hutchinson, 2 août 2013

Un nouveau livre vient de paraître. Son titre : Dissoudre les illusions : les maladies, les vaccins et l’Histoire oubliée. La plus grande illusion qui soit est toute simple et c’est de cette illusion que traite tout le livre.

Avant de continuer la lecture, pouvez-vous répondre à cette simple question (vrai ou faux) ?

« Tout au long de l’histoire, on a attribué aux vaccins l’allongement de l’espérance de vie, comme la baisse importante des taux de décès dus aux maladies infectieuses. 

Si vous avez répondu « faux », vous avez raison. Ce ne sont pas les vaccins qui sont responsables de l’allongement de l’espérance de vie ou de l’importante réduction de la mortalité due aux maladies infectieuses.

Une autre question.

Vrai ou faux : « l’eau potable, l’alimentation, l’hygiène et l’assainissement ont été responsables de l’éradication de nombreuses maladies infectieuses. »

C’est vrai. C’est aussi ce que démontre clairement le livre « Dissolving Illusions ». Ce simple fait permet de répondre très facilement à la question suivante.

Vrai ou faux : « le programme de vaccinations dans ce pays est basé sur une fausse prémisse.

Absolument vrai. Il s’agit d’y réfléchir sérieusement. Des maladies comme le choléra, la fièvre typhoïde, toutes ont pratiquement disparu avant l’introduction des vaccins. Par conséquent, les vaccins n’auraient pas pu être responsables de l’éradication de ces maladies.

Mais attendez. On m’a dit pendant toute ma vie que les vaccins étaient absolument nécessaires pour nous protéger contre de terribles maladies. Comment cela ne pourrait-il pas être vrai ?

C’est de l’histoire de base

Dans les années 1800 et 1900, beaucoup de gens aux Etats-Unis vivaient dans la pauvreté et la saleté. Ils habitaient trop nombreux dans de petites maisons où l’on trouvait des rats, des cafards, des moustiques et autres vermines. Les eaux usées dévalaient les rues ; on y trouvait des ordures et des cadavres d’animaux ; un bourbier qui atteignait parfois près d’un mètre d’épaisseur dans des lieux comme New York City. La nourriture et l’eau de boisson étaient contaminées.

Les gens étaient sous-alimentés. L’eau courante n’existait pas ; les toilettes ne possédaient pas de chasse d’eau. Quand les gens tombaient malades, ils aboutissaient dans des hôpitaux qui étaient tout aussi sales et insalubres. L’hygiène de base était absente : les gens ne se lavaient pas les mains, les instruments n’étaient souvent pas stérilisés et on n’isolait pas les malades.

Beaucoup de personnes travaillaient de longues heures dans des conditions malsaines, sans air frais, sans exercice et avec trop peu de repos. Même les enfants travaillaient parfois jusqu’à ce qu’ils deviennent malades ou même qu’ils en meurent. Les épidémies faisaient des ravages. Des millions de personnes mouraient de maladies comme la fièvre typhoïde, le choléra, la dysenterie, la diphtérie, la coqueluche, la scarlatine, la rougeole, la fièvre jaune, la tuberculose, la fièvre puerpérale et la variole. Les taux de mortalité étaient élevés et l’espérance de vie très basse.

C’est cela l’histoire que l’on a oubliée. C’est tout cela qui a permis la propagation des maladies. Telle est la pure vérité.

Puis, vint la révolution de l’assainissement. Alors tout commença à changer. Les eaux usées et les ordures furent évacuées de manière appropriée. L’eau potable fut rendue obligatoire. La nourriture était inspectée et manipulée avec des soins appropriés pour éviter toute contamination. Le lait fut pasteurisé. Des lois furent votées pour protéger les travailleurs ; les bases de l’hygiène commencèrent à être mises en place. Dans beaucoup de pays, la vie était devenue plus saine, plus sûre, en un mot meilleure.

Une autre pièce de l’histoire oubliée : la perte des remèdes. Pour traiter les maladies infectieuses certaines régions utilisaient les vitamines, la cannelle, l’ail, l’échinacée, le vinaigre de cidre, les jus frais, l’huile de foie de morue, l’argent et autres remèdes. Et…devinez ? Tout cela marchait bien.

Le résultat ? En 1940,  les décès dus à la rougeole, à la scarlatine, la coqueluche et la diphtérie étaient pratiquement devenus des choses du passé. Au début des années 1900, on n’entendit presque plus parler de décès dus à la scarlatine – une grande tueuse – avant même que les antibiotiques puissent la traiter. La tuberculose, la pneumonie, la grippe… idem. Quand ces maladies réapparaissaient, elles étaient beaucoup moins graves. La mortalité était rare, c’est un fait.

La chose est importante. Tout ceci s’est produit à une époque où le taux de vaccinations était de presque zéro.

Comment pareille vérité fondamentale a-t-elle pu être oubliée (ou ignorée) ?

Jusqu’au début des années 1800, bien avant que l’on nous fourgue quantités de vaccins, de nombreuses revues médicales mettaient en doute leur sûreté et leur efficacité. Ces revues publiaient des statistiques, des taux de mortalité ; elles évoquaient le fait que ces vaccins pouvaient être contaminés et souvent engendrer plus de maladies qu’ils n’étaient supposés empêcher.

Comme le livre du Dr Humphries l’explique très bien, le fait de remettre les vaccins en question n’était pas sans conséquences. Les médecins qui avaient le courage de parler étaient ignorés et parfois menacés. Les parents qui refusaient d’obéir aux lois sur les vaccinations étaient poursuivis, se voyaient infliger des amendes. Il arrivait même que ces parents soient emprisonnés. Finalement les protestations se multiplièrent et les lois commencèrent à changer.

Manifestation de masse contre l’obligation vaccinale : « Arrêtez le massacre des innocents… Plus question d’obligation vaccinale ! » (W.James, City of Toronto Archives, 1919)  w (Photo°1)ww.dissolvingillusions.com

« Malheureusement, la croyance erronée que les vaccins et d’autres avancées médicales étaient responsables de cette baisse étonnante des maladies a influencé la manière dont les maladies infectieuses sont traitées aujourd’hui. Au lieu de mettre l’accent sur l’hygiène, l’alimentation, la supplémentation en vitamines ; au lieu de soutenir le système immunitaire par des remèdes naturels, l’accent a été mis sur les antibiotiques coûteux, les vaccins et autres procédures médicales. » (pp. 220-221)

Un autre fait est à signaler : les gens qui bénéficient d’un bon système immunitaire – parce qu’ils respectent les mesures d’hygiène de base : eau pure, alimentation correcte, vie saine… possèdent tout ce qu’il faut pour vaincre les maladies. Les vaccins ne créent pas de véritable et durable immunité vis-à-vis des maladies ; en fait ils dépriment le système immunitaire. Quelle est la chose qui peut vous procurer une immunité contre la maladie ?  La maladie elle-même.

La peur est un puissant facteur de motivation. La pensée qu’un enfant puisse attraper une « terrible maladie » est effrayante. Pensez simplement à l’histoire de la polio dont le livre parle abondamment. Les photos d’enfants dans des poumons d’acier – ce rappel effrayant des effets invalidants de la maladie.

Mais, ce qui manque et qu’on ne nous dit pas, c’est que ces personnes handicapées et paralysées souffraient d’autre chose comme de l’empoisonnement au DDT (pesticide), à l’arsenic ou même de syphilis. On ne nous dit pas non plus que la polio n’a jamais été éradiquée par un vaccin.

Pulvérisation de DDT sur une plaine de jeux, région de New-York,(National Geographic Magazine. 1945) www.dissolvingillusions.com  (Photo n°38)

L’ironie veut que ce soit l’existence même d’un vaccin qui contribue à augmenter la peur. S’il existe un vaccin pour prévenir une maladie, c’est que la maladie doit être bien effrayante.

«  Quand les programmes vaccinaux ne tiennent pas leurs promesses, la faute en incombe toujours aux personnes non vaccinées, ou alors on change de politique « cinq vaccins pour un enfant pourraient ne pas suffire ». Il arrive alors aussi qu’en un tour de main, on modifie l’ancien diagnostic de la poliomyélite pour parler de « Paralysie Flasque Aiguë (PFA) – manière comme une autre de dissimuler les paralysies tout en permettant de continuer à faire rentrer de l’argent. (p.289.)

Conclusion

Même si vous croyez encore que les vaccins sont sans danger « Dissolving Illusions » devrait vous faire clairement comprendre qu’ils ne sont pas nécessaires. S’ils ne sont pas nécessaires, pourquoi nos enfants doivent-ils recevoir plus de quatre douzaines de vaccins avant de pouvoir rentrer à l’école ?

Il y a tant d’explications possibles. Je suppose que certains médecins croient encore aux vaccins. Après tout, ils ont été endoctrinés depuis leurs premières années de médecine. Big Pharma est très riche et très puissante. Même s’il est possible que le CDC, la FDA, comme d’autres Agences de Santé croient en la valeur des études qui leur sont présentées, il convient de se rendre compte que les statistiques sont faussées ; leurs auteurs leur font dire ce qu’ils veulent que le public entende.

 

Il est aussi possible que certains médecins ne croyant pas du tout aux vaccins, ne vaccinent pas leurs propres enfants, mais continuent de se taire.

Combien de fois n’avez-vous pas entendu ce discours : «  Les vaccins préviennent de terribles maladies et parfois la mort » ? Je sais tout cela… mais, jusqu’à ce que mon petit-fils Jake ait régressé dans l’autisme à la suite du vaccin contre la rage, j’avais avais une foi sincère et sans réserve dans les vaccins. Je croyais tout ce que j’avais lu au sujet des maladies horribles, souvent mortelles et, consciencieusement j’ai fait vacciner mes filles quand elles étaient petites. Chaque automne, j’étais pressée de me faire vacciner contre la grippe. J’avais tout accepté sans me poser de questions. A cette époque, je n’avais aucune raison de remettre cette théorie en question. Et ce… jusqu’à ce que ma famille souffre l’agonie indescriptible de voir Jake disparaître dans un trou noir.

Ne permettez pas que votre enfant devienne autiste ou souffre de quelque autre trouble après un vaccin. Puissent ces avertissements être là pour vous inciter à vous interroger sur la sécurité des programmes vaccinaux. Faites-le maintenant. Lisez Dissolving Illusions. Si vous ne faites rien d’autre, donnez-vous au moins la peine d’examiner les graphiques - 51 graphiques disponibles (Vous pouvez les voir sur le site www.dissolvingillusions.com) Réfléchissez à l’histoire, à la science. Ne vous basez pas sur l’opinion des autres, ayez le courage de voir les faits en face. Ce livre est le résultat de 20 années de recherches. Il veut montrer la vérité.

 

Il faut que vous vous rappeliez ceci : il n’existe aucune preuve pour soutenir la théorie que les vaccins sont nécessaires. Quant aux études sur la « sécurité » des vaccins, elles sont pour la plupart absentes, déficientes et imparfaites. Les médecins ont poussé à la vaccination depuis la fin des années 1700, mais ils n’ont encore jamais étudié des enfants vaccinés en les comparant à des enfants non vaccinés. S’ils sont si sûrs que leurs vaccins sont efficaces, nécessaires et sans danger, pourquoi n’ont-ils jamais réalisé cette étude pour tranquilliser les parents ? La réponse est très simple. Ils n’ont pas besoin de faire l’étude. Ils savent déjà la vérité, mais ils ne veulent pas que nous l’apprenions.

 

Tirez vos propres conclusions et essayez d’être prêts à accepter le fait que ce que l’on vous a dit tout au cours de votre vie, que ce que vous avez cru sans vous poser de questions, soyez prêts à accepter que tout cela pourrait ne pas être vrai. C’est la vie et la santé de vos enfants qui en dépendent. Il dépend de vous, de prendre des décisions éclairées et sûres. Vos enfants n’en sont pas encore capables. Faites-le pour vos enfants. Lisez Dissolving Illusions.

 

Référence

 

Suzanne Humphries, MD, and Roman Bystrianyk. Dissolving Illusions: Disease, Vaccines, and the Forgotten History. Create Space Independent Publishing Platform, July 27, 2013. http://vactruth.com/2013/08/02/dissolving-illusions/

 

UK version http://www.amazon.co.uk/Dissolving-Illusions-Disease-Vaccines-Forgotten/dp/1480216895/ref=sr_1_1?ie=UTF8&qid=1375110055&sr=8-1&keywords=dissolving+illusions

 

USA version http://www.amazon.com/Dissolving-Illusions-Disease-Vaccines-Forgotten/dp/1480216895/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1375499688&sr=1-1&keywords=dissolving+illusions 

4 août 2013

Stanley Kubrick et eyes wide shut le film révélation sur l'élite et la franc maçonnerie

 

eyes_wide_shut

canalblog kubrick

 Dans le film ''Wag the Dog'', Dustin Hoffman joue le rôle d'un producteur embauché par la CIA pour filmer un événement bidon (alunissage apollo 11). Dans ce film son nom est Stanley. Qui a fait ce parallèle avec la vie de Stanley ?
C'est un film intéressant. Il est tué quand il dit à la CIA qu'il veut bénéficier de son travail pour ce film en son nom propre car c'est le meilleur qu'il ait fait, puis il meurt dans le film.   Stanley Kubrick est mort de manière inattendue juste cinq jours après avoir soumis le découpage final du film à la Warner Bros, faisant de EWS son chant du cygne. Du fait que Eyes wide Shut  parle d’une société secrète occulte qui élimine ceux qui croisent son chemin, certaines théories ont émergé sur la mort de Kubrick et sa nature suspecte. En a-t-il trop révélé au public et trop tôt ? il n' ya pas de hasard après tout ce qu'il a révélé il ne restait que cette option pour ces maitres...

a

2 octobre 2012

Neil Armstrong n’a pas marché sur la lune

ObamaLune

« Neil Armstrong n’a pas marché sur la lune… Mais qu’il repose en paix » : c’est en ces termes que beaucoup saluent sur Twitter la mémoire de l’astronaute. Les conspirationnistes convaincus que la conquête lunaire n’est qu’une vaste arnaque n’en démordent pas : Apollo XI s’est en réalité posé dans le désert du Nouveau-Mexique, au Nevada ou dans un studio de cinéma. Tout n’est affaire que d’effets spéciaux, de filins, de mise en scène… Et la mort de l’acteur principal de ce « film » n’y change rien : jamais la main de l’homme n’a posé le pied sur l’astre sélène, pas plus le 20 juillet 1969 que lors des cinq missions qui ont suivi.

Le premier a avoir rassemblé les doutes sur les missions lunaires est Bill Kaysing (1922-2005) qui a publié a compte d’auteur en 1974. Nous ne sommes jamais allés sur la Lune : une escroquerie américaine à 30 milliards de dollars (« We Never Went to the Moon : America’s Thirty Billion Dollar Swindle »).

Cet ancien rédacteur technique et analyste chez Rocketdyne, l’entreprise qui a fabriqué les moteurs des premières fusées Saturn, égrène les éléments à la base de cette théorie du complot : le drapeau américain qui semble flotter sans un souffle de vent, l’absence de cratère sous le module, l’impossibilité que les astronautes survivent aux radiations de la ceinture de Van Allen, les étoiles invisibles, des ombres bizarres suggérant la présence de projecteurs etc.

Tous ces détails ont été expliqué maintes et maintes fois sans le moindre effet sur les quelque 10% d’Américains qui mettent en doute la réalité des missions lunaires. La thèse complotiste a connu plusieurs avatars dont le film « Capricorn One », sorti en 1978, qui illustre les principaux points mis en lumière par Bill Kaysing. En 2001, la Fox diffuse un documentaire de John Moffet, « Conspiracy Theory: Did We Land on the Moon? » (« L’imposture de la Lune ») qui a relancé de plus belle le pseudo-débat.

En 2002, Arte produit  « Opération Lune » un doc parodique si bien réalisé qu’il ajoute une nouvelle couche au mille feuilles conspirationniste : c’est Stanley Kubrick qui a tourné le film bidon de l’alunissage d’Apollo XI ! En échange, le réalisateur a obtenu un budget illimité pour son chef d’œuvre, « 2001 l’Odyssée de l’espace ».

Ce mockumentaire de William Karel, détournement habile de véritables interviews de personnalités comme Buzz Aldrin et Kissinger, est la source oubliée du volet Kubrick de la conspiration lunaire. On la retrouve développée avec un incroyable luxe de détails dans cet article hallucinant publié sur Reality Sandwich qui s’achève par cette preuve ultime : « Stanley Kubrick a insisté pour que son dernier film « Eyes Wide Shut » sorte le 16 juillet 1969, soit 30 ans jour pour jour après l’alunissage d’Apollo 11 ! » Imparable…

http://dark-zone.blog.parismatch.com/

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