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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
fausse spiritualite sur la terre.
14 avril 2016

Hiérarchies rebelles et fausse spiritualité sur la terre.

 

rusty james



Cet article de Joël Labruyère donne les clés des véritables enjeux de la crise actuelle et du nouveau féodalisme mondial. Ce féodalisme sera-t-il instauré par des occultistes prédateurs à la suite de la crise sociale et économique qu’ils ont créée ?
1 - La structure de l’univers
A la suite d’articles publiés dans Undercover sur les plans invisibles et leurs habitants - pour autant que nos informations soient vraies – nous avons enregistré des réactions démontrant que l’envers du monde que l’on appelle « l’au-delà » est souvent pris à tort pour un royaume spirituel. De notre culture religieuse assez rudimentaire sur les dimensions spirituelles, nous avons gardé l’idée que la partie invisible du monde serait le but de la vie, avec une partie inférieure – purgatoire et enfer – et une partie céleste où vivraient les âmes bienheureuses. Il s’agit là de données fragmentaires ou erronées.
Il nous est très difficile de nous représenter la structure multidimensionnelle de notre univers, sans parler de celle des univers supérieurs. Dans ce champ de la connaissance, la confusion règne car chacun est libre de raconter ce qu’il veut, sachant que personne ne pourra vérifier. Une théorie chasse l’autre.
D’où proviennent les informations habituelles sur les dimensions invisibles ? Elles viennent de médiums, mystiques et clairvoyants, qui ont opéré un contact avec l’aspect de l’au-delà le plus accessible à leur état de conscience. Généralement, ces visions ne concernent que l’envers accessible du plan terrestre formel. Celui qui y accède, volontairement ou par accident, se sentant transporté hors du corps physique, se croit en contact avec le monde spirituel, alors qu’il n’est tout au plus que dans le sous-sol crépusculaire d’un tour de cinquante étages. Expliquons-nous.
Les enseignements métaphysiques et ésotériques ont été manipulés depuis des âges pour servir les intérêts des autorités planétaires. Le cheptel humain ne doit jamais découvrir ce qui se passe à l’envers du décor. Nous savons que nous ne savons rien, et les inquisitions religieuses et laïques veillent à ce qu’aucune information interdite ne filtre. C’est pourquoi, les enseignements authentiques sur la structure de l’univers ont toujours été divulgués à travers les écoles des mystères. Pourquoi ce secret ? Parce que la divulgation de ces secrets risquait de perturber l’ordre social, tellement ces connaissances sont à même de pulvériser nos croyances et nos idées reçues. L’ordre établi se protège.
En publiant des articles critiques sur le new age et le channeling dans Undercover, nous avons constaté que les adeptes de ces pratiques étaient attachés à des rêves spirituels. Dès que l’on touche à la partie invisible de l’existence, les vieux réflexes conservateurs s’exacerbent. Celui qui a mis son espoir dans les entités qu’on nomme les « êtres de lumière » se sent blessé si l’on évoque leur duplicité bien cachée. Il pense alors que l’iconoclaste est un dangereux nihiliste, un suppôt des forces obscures. A juste titre, il crie au blasphème. Ne lui a-t-on pas enseigné que le monde spirituel est peuplé d’êtres lumineux remplis d’amour et de sagesse ? N’a-t-il pas fait l’expérience d’un contact exaltant avec l’invisible, ou reçu des messages pleins d’espérance ?
Nous ne nions pas ces phénomènes, mais nous allons montrer d’où ils proviennent.
Avant d’en venir au fait, il faut remettre de l’ordre dans nos notions sur les « dimensions supérieures », que certains auteurs appellent le « monde spirituel », de manière vague, prêtant le plus souvent à confusion.
D’innombrables chercheurs de vérité ont été abusés et se sont égarés dans les sables mouvants de l’occulte par manque de connaissance. N’y a-t-il pas une carte qui permettrait de se repérer dans la géographie invisible comme il en existe pour le monde physique ? Cela n’existe pas car les dimensions invisibles sont immensément plus étendues et variées que tout ce que nous pouvons imaginer. Et tout y est changeant.
D’autre part, il existe des frontières infranchissables, des abîmes de potentiel énergétique, des espaces magnétiques abstraits et informels, et des rayonnements si puissants qu’aucun être ne pourrait y survivre dans l’état actuel de notre conscience.
Pour voyager dans ces espaces, il faut un corps spirituel adapté, et n’en déplaise aux adeptes du new age, le corps astral est un véhicule trop grossier qui ne peut décoller du niveau le plus inférieur.
Depuis le 19° siècle, il a été mis en circulation un schéma de l’univers en 7 dimensions dans la littérature théosophique, rosicrucienne et anthroposophique. Tout le monde semble être d’accord sur un modèle qui cadre avec les représentations traditionnelles des « Sept Cieux » en usage dans les cultures archaïques et même dans les religions plus récentes.
Le nombre sept est sacré dans toutes les traditions car selon la science des nombres, c’est à partir d’une structure septénaire qu’un organisme ou qu’un corps céleste atteint sa plénitude. Comme l’être humain, la Terre a sept dimensions, et le grand univers également. On parle de sept hiérarchies angéliques régnant sur chaque plan spirituel.
Tout cela est bien connu, mais à force de vulgarisation une connaissance galvaudée devient une fausse évidence.
Lorsque la tradition parle des Sept Cieux, il ne s’agit pas des plans invisibles de notre univers. Notre univers - visible et invisible - n’est que la septième partie des sept grandes dimensions. Il y a donc sept univers, et celui dans lequel nous évoluons est lui-même formé de sept plans allant du plus matériel au plus éthéré.
Nous, êtres humains en incarnation, ne sommes conscients que dans la sphère physique, et occasionnellement nous pouvons être contact avec l’une des six autres dimensions subtiles de notre système solaire.
Représentons-nous une échelle de sept degrés, dont chaque degré est divisé en sept parties. Notre monde est compris dans le degré le plus bas, lui-même divisé en sept degrés. Bien entendu, lorsque nous regardons d’en bas, depuis le plan matériel dense vers les six degrés supérieurs de notre univers, ces dimensions nous semblent de nature spirituelle, mais c’est une méprise fatale. Les six degrés supérieurs de notre monde forment l’espace de « l’au-delà », le royaume des créatures élémentales, des désincarnés, des hiérarchies angéliques naturelles et de certaines hiérarchies occultes parasitaires. Quant à elles, les hiérarchies célestes divines - à ne pas confondre avec les hiérarchies planétaires - ne sont pas localisées dans ce circuit, mais sur une dimension transcendante, le sixième plan cosmique. De cette dimension, rien ne peut être dit et nul ne peut y accéder s’il n’a pas atteint la « grande libération ». Aussi, les récits des visionnaires et des clairvoyants ne parlent que des aspects de l’au-delà de notre monde, et en aucune façon de la vie divine supérieure.
C’est pourquoi, il est erroné de considérer la vie invisible comme une vie divine. Il s’agit certes d’une vie subtile, mais qui demeure naturelle, et en tout cas qui n’a pas de caractère supérieur à la nôtre. Nous sommes nous aussi dotés de ces aspects subtils de par les sept aspects de notre constitution spirituelle, et c’est pourquoi certains d’entre nous ont la faculté de ressentir l’éthérique, l’astral, le plan mental, intuitif ou causal.
Il n’y a rien de divin dans cette expérience. C’est au mieux une expérience occulte de clairvoyance supérieure, assez rare au demeurant.
Pour être exhaustif, il faudrait décrire l’abîme existant entre la clairvoyance et la véritable vision divine. Il faudrait mettre de l’ordre dans ces notions car des occultistes de haut niveau se font passer pour des messagers divins, créant une confusion fatale. Cette confusion permet à des hiérarchies rebelles de nature lucifériennes d’entretenir une fausse spiritualité sur la terre. Elles utilisent des médiums, des voyants ou des canaux sensibles, souvent de bonne foi mais qui se grisent avec l’invisible.
Si nous avons bien compris le schéma d’ensemble des sept univers, nous comprendrons pourquoi notre monde est parasité depuis les plans invisibles, ce qui a rendu nécessaire une grande rectification au début de la nouvelle ère afin de nettoyer ces dimensions polluées.
Une saine prudence à l’égard de ce qui vient de l’invisible est aujourd’hui particulièrement nécessaire car des groupes d’entités se sont organisés pour subjuguer les humains sensibles aux impressions de nature subtile. Nous allons montrer comment s’est organisée cette vie parasitaire, et pourquoi les humains sont maintenus dans l’ignorance sur la vie qui règne dans les dimensions invisibles.
2 - L’origine de l’occultisme
Il faut d’abord attirer votre attention sur cette partie de notre champ de vie que nous appelons la sphère du reflet - l’au-delà.
Lorsqu’une personne vient à décéder, le corps physique meurt, mais, outre le corps physique, la personnalité comprend d’autres parties, à savoir le corps éthérique, le véhicule astral et enfin une synthèse lumineuse, un corps qui n’a pas encore de forme et qui est désigné comme le « corps mental ».
Lorsque le corps physique meurt, une petite partie du corps éthérique meurt avec lui. (Le corps éthérique est également nommé « corps vital ou corps énergétique ». C’est le double du corps physique, lequel se transforme en cadavre rigide dès que le corps vital le quitte.)
Un véhicule éthérique peut être considéré sous quatre états de densité énergétique ; deux des aspects les plus denses meurent et se désagrègent immédiatement, en même temps que le corps physique. Ce qui reste du corps éthérique, ainsi que le corps astral et le mental, subsistent encore un certain temps de l’autre côté du voile.
De ce fait, la personnalité est déjà fortement mutilée par la mort ; ses parties plus subtiles sont condamnées elles aussi à mourir. Elles se dissolvent en un temps plus ou moins long, variant entre deux et trente ans. Finalement, il ne reste plus que le principe spirituel supérieur (microcosme ou sphère de la merkabah) qui, vidé totalement de la personnalité mortelle que nous sommes, cherche à revivre.
L’ensemble de ce processus qui a lieu après la mort du corps physique s’accomplit dans l’au-delà (la sphère où se reflète le monde matériel), dans les territoires plus subtils de notre planète, auxquels appartiennent les véhicules les moins denses de la personnalité (corps éthérique, astral, mental). Nombreux sont ceux qui pensent – et on l’a toujours cru au cours des temps – que l’au-delà, ce monde du reflet, le pays derrière le voile, serait le grand et l’unique but assigné par Dieu à l’humanité. On a également toujours pensé que la vie dans la sphère matérielle ne consistait qu’en un séjour unique, que dans l’au-delà se trouvaient le ciel et l’enfer, et que la vie passée sur la terre – c'est-à-dire la sphère matérielle – était décisive pour le séjour éternel dans l’au-delà. C’est pour cette raison que, durant son séjour dans la sphère matérielle, la plus grande partie de l’humanité prépare son séjour dans l’au-delà, escomptant parvenir aux sphères célestes et non en enfer, et gagner ainsi une éternité glorieuse dans le « pays de l’éternel été ».
C’est ainsi que la partie de l’humanité vivant selon les religions naturelles, a été orientée vers l’au-delà, quoique ce soit une impasse de laquelle on est inévitablement rejeté dans la sphère matérielle, vie après vie.
Certains, pourtant, voulurent avoir une certitude concernant la vie éternelle qu’on leur promettait dans l’au-delà. Ils voulaient connaître la vérité, la réalité ou, le cas échéant voir s’il s’agissait d’une mystification. Ne voulant pas attendre la mort pour savoir s’ils y arriveraient, ils voulaient être renseignés exactement dès leur vie ici-bas.
Ils s’efforcèrent donc d’obtenir cette certitude en agissant de la manière suivante :
Ils voulaient être conscients durant leur sommeil pendant la nuit, en conservant dans cet état de sommeil la conscience diurne, afin de comprendre sur la base de leur conscience personnelle.
Lorsqu’un homme s’endort, il se produit une division de sa personnalité. La partie subtile en sort, de la même manière que lorsque survient la mort. Lorsque l’homme est endormi et que son corps physique est étendu sur le lit, son double éthérique flotte à quelques décimètres au-dessus de lui, tandis que les autres parties subtiles de la personnalité peuvent à volonté se déplacer plus ou moins loin du corps physique. Lorsque la division de la personnalité est réalisée, la conscience humaine se divise également. C’est pourquoi la conscience nocturne de l’individu est différente de sa conscience diurne, car une partie de cette dernière reste pendant le sommeil près du corps physique et se trouve alors dans un état d’inconscience plus ou moins profonde.
Nombreux furent ceux qui pensèrent qu’il serait possible, durant le sommeil, de transférer la conscience dans la partie subtile de la personnalité. On raisonnait ainsi : « Si nous pouvions pendant le sommeil faire sortir complètement ce que pendant notre état de veille nous désignons comme notre conscience, notre moi ramènerait au réveil le résultat complet de l’enquête faite dans l’au-delà et le graverait dans le cerveau ».
Pour réaliser une telle entreprise, le corps physique doit y être préparé. Cela nécessite tout d’abord un entraînement du cerveau et spécialement un changement dans ses cellules. Le système nerveux central tout entier devra subir une série de modifications, car si le cerveau normalement transmet des images de la vie nocturne – les rêves – ces images sont le plus souvent incompréhensibles, incohérentes, ou extrêmement voilées.
A la base de cet entraînement des véhicules subtils de la personnalité, exécuté afin de transférer la conscience entière dans la personnalité subtile, se trouvent la science et les pratiques de l’occultisme.
L’homme qui s‘adonne à ces pratiques s’expose au très grand danger d’une forte cristallisation de sa personnalité (l’égo s’hypertrophie et se densifie), beaucoup, plus forte que celle qui se produit dans une existence humaine ordinaire. En premier lieu, cet homme essaie de conserver le corps en vie beaucoup plus longtemps qu’il est normal, en recourant à toutes sortes d’influences sur les processus organiques du corps. C’est pourquoi un chercheur de vérité ne sera jamais un occultiste, car la loi d’or de la Fraternité des âmes libérées dit expressément : « Aucun frère n’aspirera à vivre plus longtemps que Dieu ne le lui permet ».
L’occultiste aspire littéralement à prolonger l’état de sa vie mortelle en forçant les processus naturels. Il soumet à un entraînement sa personnalité entière, la partie subtile comme la partie plus grossière, l’ensemble étant ainsi l’objet d’un processus de cristallisation contraire à la loi de la nature.
C’est de cette manière, brièvement esquissée et sur laquelle nous ne désirons pas nous étendre davantage, qu’une partie de l’humanité a créé dans le pays de l’au-delà, une vie contre nature et illégale. Cette vie incomplète, contraire à l’ordre naturel voulu par les puissances créatrices divines, s’efforce par tous les moyens de se maintenir consciemment dans l’au-delà, comme on s’efforce de se maintenir dans la sphère matérielle. Ces entités s’imaginent être vivantes, être arrivées au but de la vie, elles se prennent pour des habitants des cieux : en réalité, elles sont des anomalies dans la nature. C’est pourquoi, elles constituent un danger mortel pour l’humanité vivant de ce côté-ci du voile car, pour prolonger et assurer définitivement, par n’importe quel moyen, leur existence dans l’au-delà, elles sont obligées de s’alimenter constamment avec une énergie lumineuse – l’éther lumière. C’est en cela que dépend la sécurité de leur existence. Elles doivent se nourrir en énergie lumineuse.
Cet « éther de lumière », elles ne le possèdent plus, ou très fragmentairement seulement. Et, parce que leur personnalité n’existe plus que partiellement, elles ne peuvent plus extraire elles-mêmes la lumière des courants de l’atmosphère intercosmique.
Voilà pourquoi, c’est de nous, êtres humains, qui vivons encore dans la sphère matérielle, qu’elles doivent obtenir ces forces éthériques.
Vous comprendrez ainsi ce qu’est une fraternité de l’au-delà. C’est un égrégore d’entités qui se maintiennent abusivement dans l’au-delà. Elles sont extrêmement néfastes pour l’humanité, parce que la prolongation de leur existence est obtenue au prix d’une violation des lois de la nature et par des pratiques qui en sont la conséquence.
Ce qu’est la grande hiérarchie des égrégores de l’invisible, vous le comprenez aussi. C’est un rassemblement – une sorte de syndicat du pillage énergétique – fondé sur un besoin commun d’autoconservation. Ces divers groupements font preuve le plus souvent les uns vis-à-vis des autres d’une inimitié totale ou d’un exclusivisme complet ; mais quand la nécessité les traque, ils se rapprochent par communautés d’intérêts.
3 – Opération Antéchrist
Actuellement, menacés de ne plus pouvoir se maintenir en vie dans la sphère de l’au-delà en raison du manque toujours croissant d’éther-lumière, les fraternités occultes de l’invisible sont occupées à préparer une grande opération politique connue en Occident sous le nom d’Antéchrist ou d’Antichrist, opération qui a été prophétisée dans le Livre de l’Apocalypse mais dont très peu ont compris le sens réel dans le monde chrétien.
Ils tenteront d’organiser une parodie du retour du Christ, pour amener l’humanité à augmenter la production d’éther-lumière au profit de la multitude de ces parasites.
Nous avons exposé cette affaire dans Undercover n° 1 sous le titre « Opération Blue Beam de la Nasa » qui montre l’aspect scientifique de ce plan de subversion.
Il est navrant de constater que très peu de personnes parmi celles qui prétendent être éveillées à la réalité politique mondiale sont informées de ce plan. Les informations que nous diffusons sur ce problème qui est d’une gravité immense pour notre avenir ne sont pas toujours bien comprises. Sans doute, est-ce un sujet trop brûlant, qui dérange notre tranquillité car il remet en cause nos croyances religieuses et notre espérance en l’avènement d’un âge d’or. Nous attendons un salut d’en-haut, et on se dit que n’importe quel sauveur serait le bienvenu s’il pouvait stopper le cours de l’effondrement mondial, et remettre la civilisation sur un nouveau rail. C’est pourquoi, de manière inconsciente, nous appelons l’Antéchrist par notre désir de sécurité.
Nous allons creuser cette question afin d’éclairer la compréhension de ceux qui pressentent que l’heure de l’Antéchist est proche. Tout ce que les autorités mondiales préparent avec zèle depuis des décennies n’a qu’un but : assurer la victoire de cette opération et rien d’autre. Pour comprendre les aspects politiques de cette affaire, il faut garder en mémoire les informations sur le monde occulte dont nous venons de parler, à savoir la crise énergétique des hiérarchies de l’invisible qui se maintiennent depuis des temps infinis sur des niveaux supérieurs de l’au-delà en vampirisant l’humanité.
C’est là l’explication de notre pénurie énergétique spirituelle et vitale car rien d‘autre ne peut expliquer pourquoi nous nous traînons dans un état de dévitalisation avancée, sans pouvoir nous organiser pour vivre une vie décente, libre, dans la santé et le bonheur.
Peut-être, n’osons-nous pas nous avouer que nos difficultés, inhérentes à la vie matérielle, sont aggravées par la mainmise de puissances occultes sur les circuits de distribution de l’énergie cosmique.
Aucune voix ne s’élève pour dire ces choses, et bien au contraire, on nous gave d’enseignements new age qui nous préparent à la soumission aux puissances de l’au-delà.
Nous avons mis en garde contre les messages de channels, mais on nous répond que « tout n’est pas mauvais dans le channeling ». Mais il ne s’agit pas de « bon ou de mauvais ».
Soyons clair. Un être humain qui veut reconquérir son autonomie et sa dignité a-t-il besoin d’attendre quelque chose d’extérieur à lui-même ? N’est-ce pas une absurdité ?
Les « messages célestes » qui sont répandus avec profusion ne proposent jamais de solution pour un salut véritable. Ils ne servent qu’à nous bercer, à nous endormir.
Si on analyse l’escalade dans l’arnaque des messages transmis par channeling depuis une dizaine d‘années, on constate qu’ils ne font qu’épouser les modes. Depuis les années 80, la tendance était aux « maîtres de la grande loge blanche », puis on a abandonné le concept ringard des « maîtres de sagesse » qui était une tarte à la crème pour le remplacer par de plus modernes « guides de lumières » ou les « maîtres ascensionnés ». Enfin, depuis la vague de révélations sur les extraterrestres, on parle à présent de « vaisseau de lumière » qui nous attendraient pour un embarquement sécurisé. Tout va bien, dormez tranquille.
Depuis ces dernières années, il est apparu une nouvelle théorie, c’est la « grille de lumière » ou « grille christique » qui encerclerait la terre. La planète « mute dans la quatrième et cinquième dimension ». Ces idées nous renforcent dans notre impuissance intérieure. On peut rêver tranquille pendant que l’étau se resserre.
Bien entendu, il ne s’agit pas de nier la présence extraterrestre, mais de se rendre compte que les entités qui transmettent ces messages fantaisistes n’ont pas du tout l’intention de vous aider à transmuter, ni de vous emporter vers Sirius ou ailleurs sur leurs vaisseaux. Ces entités veulent simplement détourner notre attention vers des illusions pour nous vampiriser. Nous espérons que vous avez bien compris leur intention.
Comme dans la publicité d’une banque qui disait « votre argent nous intéresse », c’est notre lumière qui intéresse le « syndicat pour l’exploitation de l’énergie humaine ».
 
Joël labruyère
plutôt notre âme qui est lumière voilà ce qui intéresse vraiment les forces de l'ombre .
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9 juillet 2014

« Syndrome du gourou » et ARNAQUE spirituelle du bas astral : en quoi le Nouvel Âge est-il nouveau ?

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Le New Age, c’est d’abord un marché. Et qui dit marché, dit arnaque : la rencontre entre un escroc et des pigeons. C’est-à-dire entre un bourreau et ses victimes. Le bizness du New Age et du « développement personnel » consiste à vendre des recettes pour être épanoui et heureux, libre et en paix. Le seul problème, c’est que l’ingrédient de base n’est pas, ne peut pas être fourni.

Le New Age est une arnaque à partir du moment où le vendeur évite de préciser (dans son discours) et de manifester (dans ses actes) que cet ingrédient, sans lequel rien n’est possible, est la décision irréfragable et inconditionnelle d’aller au bout de soi, quoi qu’il en coûte, quelles qu’en soient les conséquences. Se mettre à nu et se vider de soi : faire tomber les masques, se reconnaître et s’accepter dans la plus radicale crudité. Tout ce que refuse et redoute par-dessus tout l’ego, puisque ces masques sont son pouvoir et leur maintien, sa raison d’être.

Pas grand-monde, parmi les new-ageux "experts" en Bonheur, Connaissance totale et Maîtrise de l’Univers, n’a la décence et la cohérence de dire que rien n’est possible sans la décision intransigeante d’aller au bout et au fond de soi. L’intégrité est le nerf de la guerre (la vraie, la grande, la « grande guerre sainte », la guerre intérieure, la guerre contre l’ego, c’est-à-dire le diable). Quitte pour cela à sombrer dans l’intégrisme. Comme l’a si bien Cioran, « Celui qui, avant la trentaine, n’a pas subi la fascination de toutes les formes d’extrémisme, je ne sais si je dois l’admirer ou le mépriser, le considérer comme un saint ou un cadavre. Sans désir ni volonté de détruire, il est suspect, il a triomphé du démon ou, chose plus grave, il n’en fut jamais possédé. » Si tu ne cèdes pas au démon, tu ignores ce qu’il est, et tu ne pourras pas le vaincre. (Si tu cherches Dieu, disait Carlo Suarès, tu trouveras le Diable.) Blake : « La route de l’excès mène à la sagesse ». L’extrémisme et l’excès, à un moment ou à un autre, sont un mal nécessaire : ils permettent de connaître les limites, pour apprendre à s’en donner à soi-même. (Et à continuer ensuite de les repousser, le cas échéant, et à sa guise.)

« Syndrome du gourou » et enflure névrotique : en quoi le Nouvel Âge est-il nouveau ?

Le New Age, au fond, se contente de succéder aux idéologies qui ont structuré l’imaginaire et la mentalité occidentale de la fin du XIXe siècle à la fin du XXe siècle. L’effondrement des idéologies a laissé un vide que le New Age est venu combler, d’une manière rigoureusement identique, avec de belles valeurs que personne n’assume, de grandes promesses que personne n’est capable de tenir, et de grandes causes à défendre que tout le monde utilise pour se rassurer au lieu de se donner les moyens de réellement les mettre en œuvre. La partie sombre, glauque et satanique du New Age se manifeste, comme dans tout phénomène idéologique, à travers des slogans prétentieux et vides, des mots d’ordre inutiles et purement incantatoires, qui évitent à ceux qui les profèrent de se pencher sur ce qui déconne vraiment et d’affronter la merde là où elle se trouve, c’est-à-dire en eux. L’escroquerie new-ageuse s’étale aussi dans ce « syndrome du gourou » dont j’ai déjà eu l’occasion de constater l’ampleur et les dégâts chez plusieurs prétendus enseignants de l’amour et du bonheur, petits nazis cachés sous leurs dread-locks et leurs frusques fair trade importées du Tibet.

Le Belge Claude Traks, qui eut sa petite notoriété dans les années 2000 sur la scène New Age française (auteur de cinq ou six bouquins passablement foutraques et organisateur des rencontres Éveil & Action où l’on croisait davantage le pire que le meilleur), disait à juste raison que « La religion Nouvel Âge est la religion de l’Antéchrist, parce qu’elle aussi fermée que les autres et qu’elle a l’orgueil en plus. » C’est exact, j’ai pu le vérifier. Le seul problème, c’est que Traks, comme tous les idéologues d’hier et les gourous d’aujourd’hui, illustre son propos par défaut : il est aussi orgueilleux et enfermé que le pire des tartuffes ou des faux-culs New Age qu’il prétend dénoncer. Traks, que j’ai rencontré plusieurs fois de février à mai 2011, et aussi sincère et motivé qu’il semblât, était dans le « faites ce que je dis, pas ce que je fais », le mot d’ordre solennel et creux, le slogan pompeux et vide (c’est ceux qui en parlent le plus qui le sont le moins) — et il a sombré depuis dans une espèce d’enflure à base de mégalo et de parano qui signe bien la névrose égo-satanique. Cette incohérence entre les paroles et les actes passe d’autant moins inaperçue que nous sommes maintenant en pleine Apocalypse, alors que le Soleil déverse sur la Terre son feu rédempteur — c’est-à-dire des flux d’énergie de fréquences beaucoup plus élevées qu’avant la fin du cycle et le début de la transition —, puisque ces vents solaires consistent à « révéler » (apocalypsis) nos parts d’ombre, nos mensonges, nos contradictions, nos traumas karmiques subconscients et refoulés, etc. Le moindre pet de travers est tout de suite mis en évidence, afin d’être reconnu ; s’il n’est pas conscientisé, ça ira de mal en pis, jusqu’au pétage de plomb et au naufrage mental.

Encore et toujours la fuite

À cet égard, je vais m’appuyer ici sur le texte d’un new-ageux alsacien, Jean-Jacques F., dont le pseudo est Jenaël, et dont je suis les publications après l’avoir rencontré à Rennes-les-Bains en août 2011. Ce type, qui est par ailleurs un lecteur attentif et avisé des Chroniques du Girkù d’Anton Parks, canalise et publie des textes qui sont, selon moi, les plus intéressants et plus pertinents qui soient disponibles sur le Net francophone à propos de la « transition » planétaire et ascensionnelle actuelle. (À part peut-être, dans un autre registre, ceux de Monique Mathieu, que j’ai suivis et appréciés pendant un moment.) Dans plusieurs de ses textes, Jenaël insiste sur l’hypocrisie du New Age, sa bêtise et sa capacité d’aliénation et de nuisance. Il vient d’en publier un qui montre exactement où réside le problème du New Age : dans son ignorance des rôles d’origine karmique que sont le bourreau, la victime et le sauveur. Il fait remarquer que « le rôle du sauveur, si vous l’observez bien, intègre toujours l’une des deux polarités » (dominant ou dominé, bourreau ou victime). « Ainsi, vous pouvez vous retrouver dans le rôle de victime-sauveur ou de bourreau-sauveur », sans voir qu’ « il s’agit là d’un comportement de fuite, de déni de soi-même afin d’éviter de contacter vos propres souffrances. » Combien de fois ai-je pu le vérifier chez les new-ageux ! (Et encore m’a-t-il évidemment fallu en passer par là moi-même, sans quoi je ne serais pas en mesure de formuler cette critique aujourd’hui. « Charité bien ordonnée commence par soi-même », comme l’ont si bien oublié nos vaillants héros New Age.)

« Ainsi, reprend Jenaël, pour vous dépêtrer de vos schémas karmiques, les rôles que vous jouez dans votre vie actuelle peuvent déjà vous donner des indices quant à votre lignée originelle de "dominant" ou de "soumis" qui sont dissimulés dans l’ADN depuis la genèse de l’humanité. » « Afin de résilier vos rôles karmiques, il s’agit avant tout de les conscientiser, puisque vous les incarnez […] dans toutes les circonstances de votre quotidien. » Raison pour laquelle le New Age est effectivement une religion ou une idéologie antéchristique et satanique, une énième ruse du diable, un ultime piège du système pour maintenir les individus dans la dualité, le conditionnement et l’aliénation.

L’intégrité : pas d’ingérence

« Le fonctionnement de cette triade, victime-bourreau-sauveur, est très bien illustré par la psychologie conventionnelle » : « dans les deux cas, les rôles de victime-sauveur ou de bourreau-sauveur sont engendrés par de la pitié ou de la culpabilité refoulées, qui vous poussent inconsciemment à agir ainsi, afin d’alléger, par un acte subconscient, la responsabilité karmique de votre lignée originelle, dominante ou soumise. » Une culpabilité et une pitié subconscientes que l’on ne fait que renforcer en croyant les atténuer ou les expurger. Triste paradoxe. Car hélas, en effet, « ces sentiments vous incitent à vous substituer et à vous immiscer dans la problématique de l’autre », dans cette puérile posture de justicier qu’un Traks aimait tant adopter. Ces sentiments et ces comportements, poursuit Jenaël, « ne sont absolument pas une énergie d’amour, puisqu’ils empêchent l’autre de toucher sa propre responsabilité dans la situation qu’il génère lui-même. L’ingérence dans la vie d’autrui n’existe plus » chez celui qui a décidé d’accueillir son ombre, ses charges karmiques et sa souffrance. Il a bien trop à faire avec ses propres merdes pour prétendre s’occuper de celles des autres… Et quand il réalise ce qu’il en coûte de renforcer ses propres contradictions en soulignant celles des autres, il s’efforce de cultiver la droiture et l’intégrité, la rectitude et l’honneur (c’est-à-dire la fidélité à soi-même). Et « en restant fidèle à vous-même, vous êtes un exemple pour ceux qui sont encore prisonniers de leurs peurs. Vous faites partie de la nouvelle conscience collective » au lieu de vouloir en faire partie, de tendre vers elle et d’essayer de l’atteindre. Elle ne se veut, ne se cherche et ne s’atteint pas : elle s’accueille, se réalise et se vit.Autrement dit, au lieu de lui donner des leçons, « il s’agit d’accompagner son prochain uniquement par l’énergie christique de neutralité » (qui est aussi l’équanimité bouddhique). Neutralité qui seule permet l’émergence de la compassion, la vraie, celle qui n’éprouve pas le besoin de se justifier par l’ingérence (avec cette suprême arrogance qui consiste à décider à la place des autres ce qui est bon pour eux ou pas), le « Fais pas ci, fais plutôt ça » et finalement le « Faites ce que je dis, pas ce que je fais » qui ruinent la crédibilité du New Age et du « développement personnel » et qui en révèlent le vrai visage : une ruse du diable et un frein à l’évolution des consciences.

Laisser être la souffrance pour ne plus être la souffrance

Prenons un autre exemple de cette banale incohérence new-ageuse. Sandra Dary, avec un livre comme 100 % moi ! Comment me faire (enfin) confiance (Eyrolles, 2013), nous offre un parfait petit bréviaire de développement personnel, qui, en dépit de plusieurs constats justes et pertinents, tourne en rond et demeure à la surface des choses.

Dary part du constat que l’ego (le mental) « est le créateur de sa souffrance », dans la mesure même où il redoute et refuse cette souffrance. Plus il tente de s’y soustraire, plus il en est assailli. (Ce à quoi tu résistes, persiste. C’est un principe vieux comme le monde que la physique quantique et la neurologie expliquent désormais fort bien.) Et comme le dit bien Dary, puisque « le monde tel qu’on le perçoit n’est que le reflet de notre propre monde intérieur », on passe notre temps à se prendre cette souffrance dans la gueule. Plus on essaye de lui échapper, plus on l’entretient. En croyant la repousser, on l’attire. Vous pouvez vérifier, c’est immanquable. « En créant l’illusion de nous protéger de la souffrance, le mental devient un frein à nos rêves ». C’est bien pire et plus tordu que ça : en fait, nos rêves deviennent l’alibi pour continuer à souffrir. La souffrance m’empêche de vivre mes rêves, dira-t-on, à la manière de Dary, comme pour se justifier ou s’excuser ne pas y arriver. Lâcheté ! faux semblant… et ruse de l’ego. C’est l’inverse qui est vrai : je ne vis pas mes rêves parce que je souffre ; et je souffre uniquement parce que je refuse de souffrir. (Ça paraît pervers mais ça marche aussi comme ça — et n’oublions pas que l’ego est symbolisé le diable, le fourbe et le manipulateur par excellence : la perversité, c’est son rayon).

Dire « oui » à la souffrance (elle y a droit, elle le vaut bien)

Nietzsche l’a bien exprimé dans Ecce Homo, avec son vibrant appel à dire « oui » à la vie, « un " oui " sans réserve qu’on dit à tout, à la souffrance même, à toutes les étrangetés de la vie ». Vivre ses rêves consiste au fond à cesser de souffrir (pour vivre tes rêves, commence par arrêter de souffrir). Et — autre apparent paradoxe — cesser de souffrir consiste à accepter de souffrir (t’en as marre de souffrir ? alors souffre ! tu verras, ça ira mieux…). On ne cesse de souffrir qu’à partir du moment où l’on a accepté de souffrir. (La souffrance est un symptôme, au sens le plus rigoureux. Et plus on ignore un symptôme, plus le mal perdure et augmente. La seule façon de guérir est d’abord d’accueillir le symptôme et la douleur qui le manifeste.) Accepter, accueillir et vivre la souffrance — ou plus exactement, la laisser être. Une fois qu’elle a vécu — qu’elle a été ce qu’elle avait à être —, elle peut s’en aller. Et elle se barre, libérant la place à nos rêves — pour que nos rêves y prennent forme —, libérant la place où apparaîtront les conditions propices à leur réalisation. (Et cela aussi naturellement et spontanément que possible, hors de toute tentative ou intervention mentale.)

À moitié vide ou à moitié plein ? Les deux, mon capitaine.

« Soit nous voyons le verre à moitié vide, soit nous le voyons à moitié plein », continue Dary, avant de nous inciter à ne voir que le verre à moitié plein. Autre erreur new-ageuse, aussi banale que funeste ! Car c’est une fausse alternative : non seulement le verre est à moitié vide et à moitié plein à la fois, mais en plus il faut le boire. Ce genre de choix — vide ou plein ? drôle ou pas drôle ? bien ou mal ? — est un piège. (C’est encore ce qu’on appelle une « ruse du diable ».) Et choisir, c’est tomber dans le piège. Comme disait Bernanos, « La seule différence entre un optimiste et un pessimiste, c’est que le premier est un imbécile heureux et que le second est un imbécile triste. » Échapper au piège consiste, non pas à refuser de choisir (cela ne fait que repousser le problème), mais à reconnaître et accepter à la fois les deux options de l’alternative. (Boire le verre. Ni heureux, ni triste, mais les deux à la fois, et mieux encore : équanime et neutre, lucide et serein.) Les deux options existent de manière égale et identique, ce qui neutralise le choix et le fait disparaître en tant que tel. Alors on peut s’envoyer le verre d’un geste ample et leste. (Après tout, « Quand mon verre est plein, je le vide, et quand il est vide, je le plains ! » Manière de dire qu’au fond, moitié ci ou moitié çà, ça revient au même.) Et je peux vous dire que ça détend sacrément l’atmosphère. Comme l’avait dit, à un autre point de vue, Wolfgang Pauli, l’un des fondateurs de la physique quantique : « Il apparaît que le seul point de vue acceptable soit celui qui reconnaisse les deux facettes de la réalité — le quantitatif et le qualitatif, le physique et le psychique — comme allant de pair et s’embrassant simultanément. » Euh, moitié vide ou moitié plein, je sais pas trop, ouh là là quel dilemme, que faire, mon Dieu, qu’est-il juste et bon de choisir ? — Ta gueule ! bois. Et embrasse simultanément le vide et plein, le bien et le mal, le bonheur et le malheur. Pour devenir les deux à la fois. Te les intégrer. Et les dépasser. (Nietzsche inside.) Tu connais, tu comprends aussi bien l’égale valeur, l’égale légitimité, l’égale justesse des deux termes de chaque dualité : tu es donc neutre. Au-delà du conflit : en paix. Neutre, sans dualité : intègre, donc entier.

http://alexandrerouge.com/2013/06/19/new-age-et-developpement-personnel-fausses-promesses-et-vrais-mensonges/

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