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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
franc-maconnerie
18 février 2014

Histoire de l'origine de la Maçonnerie et de leur alphabet secret

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Histoire de l'origine de la Maçonnerie

 

Cet Ordre fut institué par Godefroi de Bouillon, dans la Palestine en 1330, après la décadence des Armées Chrétiennes et n'a été communiqué aux François Maçons, que du temps après, et à un très petit nombre, en récompense des obligeans services qu'ils ont rendus à plusieurs de nos Chevaliers Anglois et Ecossois, dont la vraie Maçonnerie est tirée. Leur Métropole Loge est située sur la montagne d'Hérédon , où s'est tenue la premiere Loge en Europe, et qui existe dans toute sa splendeur. Le Conseil général s'y tient toujours, et c'est le siège du souverain Grand-Maître en exercice. Cette Montagne est située entre l'Ouest et le Nord de l'Ecosse, à soixante milles d'Edimbourg.

II est d'autres secrets dans la Maçonnerie qui n'ont jamais été connus parmi les François , et qui n'ont aucun rapport à l'Apprentis, Compagnons et Maîtres, Grades qui ont été faits pour la généralité des Maçons, et qui ont paru, en public sous le titre des Maçons trahis, et autres. Ces hauts Grades qui vous développent le vrai but pour lequel la Maçonnerie a été faite , et les vrais secrets qui n'ont jamais été sçus, ne sont autre chose que ce qui suit.

Les Sarrasins s’étant emparés des Lieux Saints, autrement dits la Palestine où se sont passés tous les mystères de notre Ordre auguste , qu'ils faisoient servir aux exercices les plus profanes; les Chrétiens se liguèrent pour conquérir ce beau Pays et chasser ces barbares d'une terre aussì respectable.

 Ils réussirent à aborder en ces Iieux à la faveur des Armées nombreuses que tous les Princes Chrétiens avoient envoyées, et qui avoient pris le nom de Croisés de la Guerre Sainte; mais les pertes considérables qu'ils firent , les obligerent de vivre, et de rester confondus parmi cette Secte ; ce qui occasionnoit tous les jours des disputes , dont la fin étoit tragique aux fidèles Croisés ; la fureur de ces barbares fut même portée si loin,. qu'au seul nom de Chrétien, ils massacroient tous ceux qui en faisaient leur bonheur.

 Ce fut ce qui détermina Godefroi de Bouillon , leur Chef, vers la fin du troisième siècle , à cacher et à couvrir les mystères de la Religion sous les figures qui sont tracées dans les Estampes ci-jointes, où l'on a eu soin de faire graver, avec l'attention la plus scrupuleuse, ces emblèmes et ces allégories. On voit par là que ce fut le motif qui fit que les zélés Chrétiens choisirent le Temple de Salomon, qui a tant de rapport à l'Eglise Chrétienne, dont cet édifice sacré si superbe est vraiment l'emblème et le symbole. C'est donc par cette raison que les Chrétiens cacherent le mystère de l'édification de l'Eglise sous celui de la construction du Temple, et qu'ils se donnèrent le nom de Maçons, d'Architectes ou Bâtisseurs, puisqu'ils s'occupoient à édifier la foi; ils firent donc un tableau semblable à l'Estampe, page i , et s'assembloient, sous le prétexte de lever des plans d'Architecture , afin de suivre la Religion Chrétienne, par tous les emblèmes et toutes les allégories que la Maçonnerie pouvoit fournir, et pour mettre leur vie à l'abri des cruautés du peuple Sarrasin.

 Comme les mystères de la Maçonnerie n'étoient dans leur principe , et ne sont encore autre chose que ceux de la Religion Chrétienne; on fut extrêmement scrupuleux à ne confier ce secret important qu'à ceux dont la discrétion étoit éprouvée, et dont on étoit bien sûr. C’est pourquoi on imagina de faire des Grades pour éprouver ceux à qui l’on vouloit les confier, et on ne leur donnoit d'abord que le secret symbolique d'Hiram , sur lequel est fondé tout le mystère de la Maçonnerie bleue , tant pour l'Apprenti, le Compagnon que pour le Maître; ce qui est, au vrai, le seul secret de cet Ordre connu du Public, et qui ne consiste que dans le mot Macbenac , qui n'a aucun rapport à la vraie Maçonnerie.

 On ne leur expliquoit pas autre chose, crainte d'être trahis, et on leur avoit seulement conféré ces Grades comme un moyen propre pour se reconnoître entre eux, malgré la confusion où ils étoiernt parmi les barbares. Pour y réussir plus efficacement, il fut résolu qu'on se serviroit de signes, de paroles et de marques différentes à chaque Grade , pour les distinguer non-seulement des profanes Sarrasins; mais pour marquer les differens Grades, qui furent fixés au nombre de sept, à l'exemple du Grand Architecte qui bâtit l'Univers en six jours, et se reposa le septième, de même qu'on demeura sept ans à construire le Temple de Salomon, qu'on avoit choisi pour base figurative de la Maçonnerie, et sous le nom d'Hiram, dont la Maîtrise ne donne qu'une fausse explication, le vrai secret n'étant dévoilé que dans cet ouvrage ici.

 

EXPLICATION DES- EMBLEMES DES ESTAMPES.

 L'ACACIA, figure I, si renommé dans la Maîtrise est pour rappeller la mémoire de la Croix du Sauveur du monde, parce qu'elle fut faite de ce bois, dont la Palestine est remplie; c'est la raison pourquoi le Bijou du Grand-Maître est tel qu'il est ici tracé, Fig. IV.

 Figure II. La captivité, en. Maître Ecossois, désigne la persécution, les tribulations de l’Eglise sous les Empereurs Romains , et la liberté sous le grand Constantin.

Figure IIL Le Songe de Cyrus expliqué dans les Chevaliers de l'Epée, page 100.

Figure IV. L'Equerre et le Compas qui forment le Bijou, représentent l'union de l’Ancien Testament et du Nouveau

Figure V. L'Arche d'Alliance qui contenoit les Tables de la Loi , la "Verge d’Aron », etc.

Figure VI. Le triple Triangle représente la Gloire de l'Eternel, emblème des trois .Unités de la Trinité.

 Figure VII. Les sept Sceaux qui sont ce livre, désignent les sept Grades de la Maçonnerie; et l'Agneau couché dessus, qui est le Stekènna, nous montre que, comme il est seul digne de lever ces sceaux , il n'y a de même que le vrai Rose-Croix qui jouisse du privilège de lire dans le livre qui contient la doctrine complette des Maçons, et d'en pénétrer les plus secrets mystères. Voyez les pages 91 et 92.

 .Figure VIII. L'Autel qui contient le Pains de Proposition , désigne l'union qui doit régner entre les Frères qui participent au même banquet.

Figure IX. L'Autel des Parfums représente les vœux d'un parfait Maçon, toujours purs, et s'élevant jusqu'au Ciel.

Figure X. Le Chandelier à sept branches représente les sept Sacremens.

Figure XI. Les dix Cuves représentent les dix Commandemens de Dieu.

Figure XII. L'Autel des sacrifices est l'emblême du sacrifice sanglant du Sauveur.

Figure XIII. La Navette qui renferme l'encens, représente un cœur pur, qui ne doit être rempli que d'un zèle vif et d'un amour ardent, dignes d'être offerts au Seigneur.

Figure XIV. L'urne remplie de manne représente un coeur rempli de la grâce divine.

 Figure XV. Les douze Bouvillons qui soutenoient la Mer d'airain»

Figure XVI. Les douze Apôtres qui ont triomphé de tous les obstacles, et qui ont forcé les passages les mieux défendus pour porter la foi partout.

Figure XVII. Les trois lettres qui sont sur le pont signifient que les obstacles sont détruits, et liberté de passer.

Figure XVIII. Le Sanctuaire représente nos cœurs, renfermant les mystères de la Loi.

XIX. L'enceinte des murailles signifie le soin que l'on doit avoir à ne pas se laisser surprendre, et à ne laisser rien transpirer des Mystères qui doivent être ignorés des Profanes.

Figure XX. Voyez l'explication de ceci au passage du Fleuve qui est décrit, page 116, dans le Chevalier de l'Epée.

Figure XXL. La Tour où furent enfermés les meurtriers d'Hiram.

Figure XXII. Quarré de la Loge du Chevalier de l'Epée, fermé par une muraille de carreaux, garnie de sept Tours, six plus basses et une plus élevée.

Les autres Figures dont on ne parle point ici, ont paru si intelligibles, que l'on n'a pas cru devoir en donner une explication particulière.

PREMIER GRADE DE LA MACONNERIE

 

PARFAIT MACON ELU

QUI A CONSERVE LA FORMULE ORIGINAIRE DE LA MACONNERIE

ORNEMENS NECESSAIRES.

LA Loge qui représente le Cabinet de Salomon, doit être proprement décorée. La tapisserie peut être de plusieurs couleurs. L'orient doit être assez large pour contenir deux fauteuils dessous. Sur la même ligne au pied du trône à la droite, on placera un petit autel couvert d'un tapis qui portera trois bougies de cire jaune placées en équerre, et le Livre de la Sagesse. La Loge doit être éclairée par neuf bougies jaunes suspendues dans un lustre,ou placées indistinctement dans des flambeaux à terre, mais il faut qu'il y en ait une séparée des autres au moins d'un pied. Si on veut l'éclairer davantage, on peut représenter le Buisson ardent avec des feuilles et des branches d'arbres qu'on éclairera par des lampions. La Loge doit être craïonnée sur le carreau de la salle, comme elle est représentée ci-après. Tout autour seront des siéges sur lesquels s'asseoient les Frères. Cette Loge étant le conseil des neuf, on ne peut absolument la tenir qu'on ne soit neuf, dont les deux premiers sont Salomon et Hiram Roi de Tyr, qui tous deux occupent le Trône, mais Salomon préside à la droite. Ces deux Rois doivent avoir la couronne en tête. Celle de Salomon est enrichie de pierreries; il n'y en aura point à celle du Roi deTyr; il portera seulement un sceptre bleu doré â filets et surmonté d'un triangle lumineux, emblème de la Sagesse et de la perfection. Le Roi de Tyr tiendra en main un grand poignard. Le reste de l'habillement sera semblable à celui des Frères, excepté que Salomon aura des gands garnis d'une frange, et le tablier bordé d'une dentelle d'argent. Tous les Frères seront vêtus de noir et porteront un petit plastron sur le côté gauche, sur lequel sera brodée une tête de mort avec un os et un poignard en sautoir en argent, le tout entouré de la devise « vaincre ou mourir ». Ils auront un grand cordon noir-moiré large de quatre doigts pendant de droite à gauche, portant sur le devant cette devise, « vaincre ou mourir », brodée en argent. Au bas du cordon il doit y avoir une rosette de ruban blanc au bout de laquelle pend un petit poignard dans son fourreau. Le tablier doit être de peau blanche doublée de noir; sur la bavette sera brodée une tête de mort avec un os et une épée en sautoir, soumise à une équerra brodée en or. Sur la poche du tablier sera une grosse larme, au bas et sur les côtés huit autres larmes plus petite; au bout de la poche une branche d acacia. Les gands seront doublés de taffetas noir et bordés de même.

TITRES

Le Maître se nomme très-Sage, le Roi de Tyr très-Puissant, et les Frères très-Respectables. lí n'y a point de Surveillant; mais le-très-Sage, aussitôt qu'il est monté au trône, nomme un Frère, qu'on appelle l'Intime du Conseil.

COMMENCEMENT DU TRAVAIL

Le très-Sage, la couronne en tête, étant assis, dit au Roi de Tyr, qui se présente au pied du trône : « Très-puissant Roi de Tyr, que venez vous faire ici » ? Le Roi de Tyr répond : «Très Sage, je viens vous demander vengeance de la mort de l'Architecte du Temple, laquelle jusqu'à ce jour est restée impunie». Le très-Sage dit : «Prenez place , mon Frère, et soyez témoin des recherches que je vais ordonner de faire du meurtrier». Le Roi de Tyr monte au trône et se place. Salomon nomme un Frère, qui, à l'instant, vient mettre un genou en terre au pied du trône. Salomon prend son sceptre, et le lui pose sur la tête, en lui disant : » Frère, je vous constitue l'Ancien du Conseil., pour veiller à la sûreté de la loge; commencez vos fonctions par vous assurer des qualités des Frères ici présens ». Le Frère se lève, salue les deux Rois, puis va prendre le signe, l’attouchement et la parole de chaque Frère; de retour au pied du trône, il dit en s'inclinant très-profondément : » Très-Sage, le Conseil n'a que des sujets fidèles ».

Salomon se lève, et dit: » Mes Frères , que le grand Architecte nous éclaire, que l'équité nous dirige, et que la vérité prononce. Frère ancien, écartez tous les Profanes , et souvenez-vous que sous ce nom nous comprenons les Maçons qui ne sont pas honorés du nom de Maître élu.

Le Frère ancien va visiter tous les environs, place un Frère en sentinelle en-dedans de la porte, l'épée à la main, et revient au pied du trône, où s’étant incliné, il dit : » Tout est couvert : les gardes environnent les portes du Palais , et nul Profane ne peut pénétrer nos mystères ». Salomon fait signe au Frère ancien d'aller aux extrémités des ouvrages. Sitôt qu'il y est arrivé, le très-Sage dit : « Quelle heure est-il ? La pointe, ou le commencement du jour « ? Salomon frappe sept coups égaux et deux précipités, en disant N. N. M. qui signifie « vengeance ». Les Frères répètent de même N. N. M. et frappent neuf coups dans leurs mains. Après quoi Salomon dit : « Mes très-respectables Frères, la Loge est ouverte ». II fait le signe de demande, et les Frères celui de réponse ; puis il continue : » Vous savez avec quelle douleur j'ai appris la perte du grand homme que j'avois commis à la. direction de nos ouvrages; en vain j'ai tout mis en œuvre pour découvrir les malheureux qui ont commis ce crime détestable, tout doit nous porter à sa vengeance, le Roi de Tyr vient ici la réclamer; je lui laisse le soin de vous inspirer de justes sentimens qui vous animent pour venger la mort funeste d'un homme qui étoit si digne de ma confiance ».

Le Roi de Tyr descend du trône, vient sur le tableau, tire son épée, et montre avec la pointe le fils d'Hiram, qui y est représenté , et dit : » Voilà , mes Frères, le gage sacré que vous a laissé ce grand homme. Il doit s’attendre que si sa mémoire vous est chère, les cris de cet enfant, ses larmes et ses prières vous toucheront. II vous demande vengeance, de la mort de son père, qui étoit votre compagnon et votre ami. Unissons donc nos efforts pour découvrir l'assassin. Qu'il éprouve ce qu'il mérite». Alors tous les Frères mettent la main sur leur poignard, le tirent, et s'écrient N. N. M. Le Roi de Tyr remonte au trône, et comme Salomon se lève pour recueillir les voix, l'on entend un grand bruit à la porte, qui se termina par neuf coups que frappe le Récipiendaire , averti.par un coup qu'a donné en dedans le Frère sentinelle : Salomon paroît s'en indigner, et dit avec colère: » Frère Intime, voyez qui occasionne ce bruit, et comment mes ordres sont exécutés».

Le Frère sort, et rentrant tout-à-coup d'un air surpris dit : « Très-Sage, le Conseil est trahi ». Tous les Frères mettent l'épée à la main, et disent N. N. M. Salomon en impose en disant, le sceptre levé : » Que notre indignation cède un instant à la nécessité d'entendre le Frère Intime en son rapport. Dites-nous, Frère Intime, qui a causé cette rumeur, et qui a eu l'audace de troubler notre auguste Conseil ? » Le Frère ancien au signe de réponse dit : « Je viens de voir avec surprise qu'un Frère s'est glissé clandestinement dans l'extérieur de cet appartement. II est à craindre qu'il n'ait entendu les secrets du Conseil. Je dirai même en tremblant qu'il est à présumer qu'il est souillé de quelque grand crime : ses mains sont teintes de sang, et le glaive tranchant qu'il tient dépose contre lui, et tout excite mes soupçons ».

Salomon lève son poignard, et dit, « qu'il soit sacrifié aux mânes d'Hiram ». Le Roi de Tyr se lève, et dit : » Mon Frère, écoutez votre sagesse ordinaire, et ne précipitons rien. Si j'en crois mes soupçons et mon coeur, cet homme est le meurtrier que nous cherchons, ou du moins pourra-t-il nous en donner quelques nouvelles. Mon avis seroit qu'il fût désarmé et introduit, le col, le corps et les mains liés, les yeux couverts d'un bandeau , afin que dans cet état il répondît aux interrogations que votre sagesse vous inspirera ». Salomon levant son sceptre dit : » Mes très-respectables Frères, vous avez entendu les motifs de confiance du très puissant Roi de Tyr , les précautions que sa sagesse et sa prudence lui suggèrent ; êtes-vous d'avis qu'on suive son sentiment »?
Tous les Frères qui veulent consentir étendent la main à la manière accoutumée; ensuite Salomon dit: « Frère ancien, vous avez entendu ce que le Conseil vient de décider. Allez trouver le téméraire, inspirez-lui de la confiance et de la terreur; amenez-le au pied de notre trône dans l'état dit ». Le Frère Intime sort pour aller chercher le Candidat.

PREPARATION DU RECIPIENDAIRE.

Le Frère Ancien en arrivant se saisit de son épée, la lui ôte, et l'envoie à la Loge par un Frère qu'il a eu soin d'emmener avec lui. Ce Frère en le présentant au trés-Sage , lui dit : « Il est désarmé ». Le Frère Ancien le mène au bout de la Loge, il lui passe un cordon ou ruban rouge pardessus le col, avec lequel on lui attache les mains, et dans lequel on lui enferme le corps. Après on lui fait ôter tout-à-fait ses souliers, on lui met un bandeau fort épais sur les yeux, et des gands ensanglantés dans les mains, ayant son chapeau ôté et son tablier mis en Maçon. Quand il est en état, le Frère Ancien lui dit : « Sondez votre cœur, mon Frère , on vous soupçonne d'un grand crime digne d'un châtiment capable d'épouvanter le coeur le plus féroce. Vous pouvez cependant espérer de l'indulgence, si la sincérité guide vos paroles. Si vous êtes innocent, suivez moi avec confiance ». Ensuite le Frère Ancien met son poignard sur le cœur du Récipiendaire, le mène à la porte de la Loge, il en doit avoir la clef, il ouvre , il introduit le Candidat, et le met à l'occident. Lorsqu'il y est, et que tous les Frères sont assis, Salomon dit au Récipiendaire : « Que cherches-tu? » Le Frère Ancien lui dicte ses réponses : « La récompense qu'il m’est dûe ».

D. Crois-tu que les Maçons autorisent le crime et le meurtre ? Tremble plutôt du juste châtiment qui t'est réservé! Qui es-tu ?

R. Le meilleur des Maçons , le plus zélé de tous les Frères, ou du moins le plus digne de ce titre.

D. Vil assassin ! Qu'oses - tu dire quand tu te présentes dans ce lieu sacré, les mains teintes d'un sang sans doute innocent ? Tout dépose contre toi, tout annonce le meurtre.

R. Je me soumets à tout, si je suis coupable.

Le Roi deTyr dit : « Hiram Abif soit vengé ».

Tous les Frères disent N. N. M.

Mes Frères,soyez contens, le meurtrier d'Hiram est découvert,

D. L'imposture est trop grossière, il est déjà coupable, puisqu'il cherche à nous tromper ; que réponds-tu ?

R. Que c'est à tort qu'on me soupçonne du meurtre d'un Maître dont je respecte la mémoire; je ne viens qu'à dessein de vous en donner des nouvelles, par les découvertes que j'ai faites.

D. Quelles sont donc ces nouvelles?

R. Une caverne, un buisson ardent, une fontaine jaillissante, un chien pour guide, m'ont indiqué le lieu de sa retraite.

D. Quels en sont les garants ?

R. Mes mains trempées dans le sang de trois animaux, le lion, le tigre et l'ours, qu'il avoit apprivoisés pour garder l'entrée de sa caverne et que j'ai détruits pour y parvenir.

D. Que viens-tu demander ?

R. Me jetter aux pieds du Roi pour prendre ses ordres, et s'il veut que je lui livre Abiram mort ou vif.

D. Quelle preuve donnes-tu de ta foi ?

R. Les promesses les plus sacrées seront le garant de mon innocence, et les supplices les plus rigoureux auxquels je consens d'être exposé, si je suis reconnu criminel.

« Frère Intime, puisque ce Frère commence à calmer nos soupçons, faites-le avancer par neuf pas, trois d'Apprenti, trois de Compagnon et trois de Maître, jusqu'au trône, pour y venir prêter son obligation entre nos mains ».

Le Frère Intime fait avancer le Récipiendaire, ainsi qu'il est ordonné, jusqu'au trône , où étant arrivé, il met le genou droit á terre, la main droite nue sur le livre de la Sagesse, lequel tenant de la gauche le compas qui embrasse un maillet, Salomon lui pose son poignard sur le front, et le Frère Intime lui met une épée nue sur le dos; puis le très-Sage en frappant un coup de son sceptre sur l'autel, pour que tous les Frères se lèvent, il lui dit : « Prenez garde à ce que vous allez faire. Le moment est critique. Si vous cherchez à nous tromper, notre indulgence augmentera la rigueur des supplices qui la suivront. Si vous êtes sincère, prononcez avec nous :

OBLIGATION.

« Je promets foi d'honnête homme, et devant cette auguste assemblée, au pied de la plus haute puissance de la Maçonnerie, de ne jamais révéler à aucun homme qui n’ait pas fait ce que j'ai fait , les secrets qui font parvenir et donnent le titre sublime de Maître Elu. Je promets d'en remplir scrupuleusement les obligations au péril de mon sang, en telle rencontre que ce puisse être, de sacrifier aux mânes d'Hiram les parjures qui pourroient révéler quelqu'un de nos secrets aux Profanes. Je tiendrai mes engagemens ; ou que la mort la plus affreuse soit l'expiation de mon parjure ; après que mes yeux auront été privés de la lumière par le fer rouge, que mon corps devienne la proie des vautours, que ma mémoire soit en exécration aux enfans de la veuve par toute la terre. Ainsi soit-il ».

Salomon dit N. N. M. ce que tous les Frères répètent ensemble. Ensuite il dit : « Mes respectables Frères, vous avez entendu, jugez-vous à propos que ce Frère achève maintenant la vengeance » ? Tous les Frères marquent leur acquiescement par le signe de réponse.

Alors Salomon relève le Récipiendaire , et dit : « Frère Intime, faites retourner le Frère à l'extrémité de la Loge, comme il est venu au Trône en arrière, pour lui apprendre qu'on n'a rien sans peine, et qu'il ne doit jamais s'offenser des mortifications ordonnées par le jugement de la Loge, l'humilité étant le véritable chemin de la perfection maçonne ». Ensuite le très-Sage adresse la parole au Roi de Tyr en lui disant : « Très-puissant Monarque, êtes-vous satisfait » ?

R. Je le serai lorsque l'Inconnu aura rempli ses obligations, en poursuivant Abiram mort ou vif.

Salomon dit : « Frère Intime, déliez les mains à l'Inconnu, armez-le de son glaive, et le mettez en état d'aller effectuer ses promesses ». Après qu'il est délié, que le Frère Intime lui a remis son chapeau et son épée, Salomon lui dit : « Consomme ton ouvrage à la faveur des ténèbres, et te rends digne du choix que nous avons bien voulu faire de toi pour faire expirer sous tes coups le meurtrier d'Hiram; mais tâche de nous le livrer vivant ».

Le Frère Intime prenant le Récipiendaire par les mains le fait voyager par sept tours lents et deux précipités; au neuvième on ouvre la porte de la Loge doucement, et on le conduit, s'il se peut, sans qu'il s'en aperçoive, à la chambre obscure, qui doit être ainsi disposée.

CHAMBRE OBSCURE.

Cette Chambre doit être tendue de noir. Au fond d'un côté doit être une espèce d'antre ou caverne couverte de branches d'arbre. L'entrée ni le fond n'en doivent pas être éclairés. Dans la caverne doit être un phantôme assis dans les branches; la tête doit être garnie de cheveux, et seulement posée sur le reste du corps. On la met dans une attitude convenable dans la Chambre tendue de noir; il doit y avoir une table et un tabouret devant; en face doit être un tableau en transparent, représentant un bras tenant un poignard, et ce.mot écrit, « vengeance ». Sur la table doit être un gobelet; à terre doivent être un grand poignard et une lampe qui puisse se prendre à la main, et qui fasse une faible lumière. A l'autre côté doit être une fontaine avec de l'eau, et quelque chose dessous pour la recevoir, parce qu'il faut la laisser couler.

Lorsque tout est ainsi disposé, et que le Frère Intime a conduit le Récipiendaire dans cet appartement, il le place sur le tabouret devant la table, sa tête appuyée sur un de ses poignets ; en cet état, il lui dit : « Ne bougez pas, mon Frère, de cette situation, que vous n'entendiez frapper trois coups, qui vous serviront de signal pour vous découvrir les yeux. Suivez exactement ce que je vous prescris, sans cela vous ne pourriez jamais être admis dans l'auguste Loge de Maître Elu ».

Le Frère Intime après ce discours sort, ferme la porte avec force, on abandonne le Récipiendaire quelques instans à ses réflexions; puis on frappe trois coups , et on lui donne le temps d'examiner ce qui est autour de lui. Ensuite le Frère Intime rentre avec un air très-sérieux, et lui dit : « Courage , mon Frère, voyez-vous cette fontaine ? Prenez ce gobelet, puisez de l'eau et buvez; car il vous reste bien de l'ouvrage à faire ».

Quand le Récipiendaire a bu : « Prenez, lui dit le Frère Intime, cette lampe ; armez- vous de ce poignard, entrez au fond de cette caverne, et frappez tout ce que vous trouverez qui vous résistera. Défendez-vous, vengez votre Maître, rendez-vous digne d'être élu ».

Le Récipiendaire entre le poignard levé, la lampe de la main gauche. Le Frère Intime le suit en en lui montrant le phantôme ou la tête, il lui crie : « Frappez, vengez Hiram; voilà son assassin». Le Récipiendaire frappe de son poignard, ensuite le Frère Intime lui dit : « Quittez cette lampe, prenez cette tête par les cheveux, levez votre poignard, et suivez-moi ».

source : http://legende-hiram-bis.blogspot.fr/

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10 février 2014

Les causes profondes de la fausse Éducation Nationale .

 

education nationale

 

L‘ouvrage que présentent aujourd’hui au public Jean Bertrandet Claude Wacogne  n’est pas l’œuvre d’écrivains isolés, mais bien celle d’une équipe de spécialistes ayant amassé depuis quinze ans,une documentation importante sur l’activité  des Sociétés Secrètes.Les archives maçonniques saisies dans les Loges depuis 1940ont apporté un précieux appoint au volumineux dossier déjà constitué avant la guerre et que les perquisitions effectuées à nos bureaux et à notre domicile par les sbires de Blumet de Mandel n’avaient pas réussi à faire complètement disparaître.Cette modeste brochure est mieux qu’un ouvrage de propagande : c’est un véritable document qui livre, presque sans commentaire, la preuve de  l’emprise maçonnique sur l’Éducation Nationale.

 

Au premier rang des responsables de la situation actuelle de la France, figure l’école qui a été trop longtemps et à un rythme de plus en plus accéléré, propagatrice de toutes les idéologies marxistes et pro-bolcheviques ; c’est l’école laïque, qui a, en grande partie, provoqué la désagrégation morale et sociale de la France ; le développement des doctrines marxistes fondées sur la lutte des classes et sur l’internationalisme, avait ouvert la porte de nos écoles publiques à des maîtres et à des maîtresses qui s’étaient laissés entraîner vers un enseignement faussé, antinational, et qui étaient beaucoup plus préoccupés de faire jouer à leurs élèves un rôle politique, qu’à les éduquer. En 1934, dans un discours prononcé à Caen, le Maréchal Pétain avait souligné le danger que faisait courir au pays l’entreprise de démolition nationale menée par les instituteurs syndicalistes révolutionnaires. Il lui apparaissait que l’Éducation Nationale d’un peuple est la plus haute et la plus importante des tâches nationales ; or, cette Éducation fut engagée dans une mauvaise voie. C’est le but de cette étude d’en rechercher les raisons. Nous allons montrer qu’une des causes profondes de la fausse Éducation Nationale réside dans l’emprise de la judéo-maçonnerie sur l’enseignement. Il n’est pas besoin que nous démontrions longuement l’identité de la République et de la Maçonnerie, elles ne faisaient qu’un, comme l’avouera le Convent du G ∴O ∴de 1924 (p. 393) : « La Maçonnerie, c’est la République à couvert », de même que « la République n’est autre chose que la Franc-Maçonnerie à découvert », a-t-on affirmé plus complètement encore. La Maçonnerie, , dirigeait donc en fait la fausse éducation nationale dans  le pays ; en examinant ses agissements et son emprise sur l’éducation nationale, nous aurons ainsi la clé des tristes résultats de l’école officielle. a) L’école, source du recrutement démocratique.

L’élection de Jules Grévy à la présidence de la République le 30 janvier 1879, inaugura la mainmise de la Maçonnerie sur la France ; dès cette date, en effet, la Maçonnerie tient la République comme le reconnaîtront plus tard de nombreux aveux maçonniques, témoin ce toast porté par le Président de l’Assemblée Générale du Grand Orient en 1924 : « A la République Universelle de demain, fille de la Maçonnerie Universelle ! ». Une pareille entreprise ne pouvait aller sans un recours perpétuel à la Révolution [1] ; les Loges vont donc préparer une révolution intégrale qui emportera pour toujours ce qui restait d’ordre et de discipline dans le pays. On lit dans le Bulletin Officiel de la Grande Loge de France d’octobre1922 : « La Franc-Maçonnerie saura faire cette plus grande révolution qu’est la Révolution Internationale ». Pour en arriver là, il était nécessaire d’étendre sur les esprits, la domination maçonnique. Pour réaliser cette domination, la Maçonnerie se servira du dogme destructeur et négatif de la Déclaration des Droits de l’Homme ; la devise maçonnique « Liberté, Égalité, Fraternité » sera mise au fronton des monuments de la République. Mais l’œuvre n’était pas terminée pour autant.

Il fallait, pour que cette démocratie maçonnique,cachant sous son masque humanitaire la tyrannie des Loges, arrive à sa perfection, qu’elle réalise ce monopole de l’enseignement, cette socialisation marxiste et juive de l’enfant et de la jeunesse qui lui permettrait un jour de former tous les citoyens selon sa propre mystique et de tenir véritablement le pays. C’est ce que souligne le Convent du G ∴O ∴de 1931 : « Donc, avant de nous préoccuper des groupements politiques intellectuels, philosophiques ou sociaux, veillons avant tout à l’éducation morale de la jeunesse, surveillons-là attentivement, n’oublions pas que c’est d’elle que dépend l’avenir de l’humanité si nous savons la former à notre image, ou plutôt à l’image de notre idéal. « Alors, notre tâche sera simplifiée et lorsque cette jeunesse atteindra l’âge adulte, nous n’aurons qu’à garder le contact avec elle pour la maintenir dans l’idéal du bien, du juste et du vrai. » (p. 194-195.) Pour les membres de la secte, l’enseignement avait donc une importance essentielle ; il s’agissait de former les futurs électeurs et les futurs citoyens de la République Maçonnique. Le T ∴Ill ∴F ∴Brenier, Président du Conseil de l’Ordre du G ∴O ∴déclara : « Si nous ne le faisons pas (un effort pour s’emparer de l’école et des œuvres postscolaires), non seulement la jeunesse nous abandonnera, mais nous porterons atteinte au recrutement républicain et même à la Franc-Maçonnerie ». (Discours au Convent 1928.) 1 – Dans notre esprit, « révolution » est synonyme de « communisme » et de marxisme c’està-dire le contraire de « révolution nationale ».  la fausse éducation nationale « La désaffection de la jeunesse pour notre Ordre, c’est — ou ce peut être — à brève échéance, l’extinction de la Démocratie par la disparition de ses chefs. » (Convent du G ∴O ∴1926, p. 168.) En 1929, le Convent du G ∴O ∴proclamait : « Nous savons, nous, que pour poursuivre l’idéal républicain qui nous est si cher, il nous faut former les jeunes intelligences. Les cléricaux comprennent très bien que le jour où l’école sera républicaine, c’en sera fait de leur règne, c’est sur ce terrain seul, que se livre la lutte. » (p. 151.) Au Convent de la G ∴L ∴1911, le F ∴Sergent, Grand Orateur, s’écriait, en réponse à des contradicteurs : « Quoi qu’il en soit, vous avez un état qui est organisé suivant la forme démocratique et vous ne voulez pas que l’école qui appartient à cet état soit démocratique ? Vous ne voulez pas que cette école ait la mission de malaxer les cerveaux qui lui sont confiés dans un intérêt déterminé, dans un intérêt laïque, républicain et démocratique ? Vous ne voulez pas que cet état impose par sa volonté souterraine son empreinte sur l’intelligence des enfants qui lui sont confiés ? Il est impossible qu’il en soit autrement et le jour où l’état de l’école deviendrait neutre, elle ne remplirait plus son rôle d’école d’État. Elle remplirait son rôle d’école libre et non pas d’école d’État, car il faut qu’elle enseigne la doctrine du parti démocratique. » Au même Convent, le F ∴Briquet, rapporteur, déclarait dans le même sens : « L’école laïque n’a pas pour but de faire acquérir à l’enfant ( des connaissances déterminées ; seule la méthode qui sera suivie restera et servira à l’enfant pour lui permettre d’acquérir plus tard une école de parti enseignant les doctrines conformes à celles du parti démocratique qui est au pouvoir. » Le Convent se terminait par le vote d’un vœu demandant le monopole pour l’État de l’Enseignement primaire.

b) Le laïcisme, issu des écoles normales, se dresse contre l’Église. Cette mainmise sur l’école, la Maçonnerie va l’opérer grâce à la religion laïque, au laïcisme, ce sera la doctrine. Le genre humain, la civilisation, les nations n’ont pas d’adversaire plus perfide que cette religion de l’anarchie que l’État maçonnique, démocratique, libéral ou républicain a tenté d’imposer au peuple français. Cette religion laïque était enseignée dans ces « séminaires » laïques qu’étaient les écoles normales d’instituteurs où l’on enseignait une doctrine issue de Kant, de Rousseau, de Marx, doctrine qui a finalement tourné rapidement au bolchevisme pur et à un violent anticatholicisme. En 1887, lorsque Jules Ferry voulut fonder les écoles normales de Saint-Cloud et de Fontenay-aux-Roses, qui donc en chargea-t-il ? Steeg, Pécaut, le F ∴Ferdinand Buisson. Ce furent dans ces « séminaires de la démocratie enseignante », que furent éduqués les instituteurs chargés de propager le laïcisme et de combattre le catholicisme qui, seul, faisait obstacle, — puisqu’il avait des écoles — à l’école laïque. Pour cette école laïque, il fallait des maîtres : la Maçonnerie les formera dans ces la fausse éducation nationale 12 écoles normales dont elle surveillera la vitalité et le recrutement. Le vœu adopté à l’unanimité le 30 juin 1927 par le Congrès des Loges de la région parisienne, traduit très clairement la volonté de la secte maçonnique de poursuivre le triomphe du laïcisme, aidée en cela par les écoles normales. « Considérant dit ce vœu : « 1° Que les écoles normales ont été l’unique lieu de formation des maîtres vraiment laïques ; « 2° Que les fondateurs de l’école laïque ont tenu la main autrefois à ce que les professeurs des écoles normales soient eux-mêmes des laïques sincères ........

Demande : « 1° Qu’une vigoureuse intervention ait lieu auprès du ministre qui a la charge de défendre et les lois laïques et la laïcité ; « 2° Que par tous les moyens en son pouvoir, le G ∴O ∴de France mène son action à ce sujet jusqu’à ce qu’il ait obtenu complète satisfaction. » (p. 94.) Peu à peu, comme il était logique, un agnosticisme juif, à base de messianisme, est sorti de ces écoles normales et du radicalisme ; un mélange grossier de panthéisme, d’athéisme et de matérialisme sous l’influence de Karl Marxs’en est dégagé et la pensée commune du laïcisme a été cimentée par le sentiment ardent, par la volonté constante de faire une contre-église : l’État républicain né des doctrines de la Maçonnerie révolutionnaire n’a plus voulu l’enseignement chrétien et a cherché à le supprimer. Les aveux maçonniques abondent pour prouver cette lutte à mort, engagée contre le catholicisme, obstacle à la mainmise de la Secte sur les esprits : « Catholicisme et franc-maçonnerie s’excluent mutuellement, si l’un triomphe, l’autre doit disparaître. » (Alpina, janvier 1928.) « La Franc-Maçonnerie n’est qu’une Église, le contre-catholicisme l’autre Église, l’Église de l’hérésie. » (F ∴ Limousin, 33 e , dansl’Acacia.) « Le catholicisme, nous devons, nous francs-maçons, en poursuivre la démolition définitive. » (Bulletin du G ∴O ∴- 1895.) En effet, qui tient les jeunes générations, tient l’avenir d’un pays ; il fallait donc pour cela, se débarrasser de l’Église, de l’enseignement libre, concurrent de l’enseignement laïque. L’enseignement libre supprimé, il ne restait plus qu’un éducateur : l’État maçonnique ; on serait arrivé à ses fins : la Socialisation marxiste de l’enfant par l’enseignement laïque intégral.

 

Ce fut donc dès 1879 une lutte à mort contre le catholicisme ; toute la politique intérieure du F ∴Gambetta et du F ∴Jules Ferry se résuma en un mot : l’anti-cléricalisme. L’idéal de Jules Ferry, c’était celui de la Maçonnerie de toujours que le Convent du Grand Orient de France de 1877 affirmait déjà, en y joignant pour l’avenir une menace qui se réalisera plus tard : 13 la fausse éducation nationale « Une fois le système de l’instruction laïque et obligatoire fonctionnant, on laïcisera les écoles communales, au besoin graduellement. Une fois la dernière école libre fermée, on matérialisera l’enseignement dans les écoles de l’État restées seules. » Jules Ferry fut aidé par les FF ∴MM ∴qui réclamaient l’instruction gratuite obligatoire laïque et matérialiste ; il s’adjoignit pour ce combat le F ∴Ferdinand Buisson, Jules Steeg, Félix Pecaut, Paul Bert ; ces hommes, nous l’avons vu, créèrent la religion laïque et se flattèrent de convertir le pays à la Libre Pensée. « Le F ∴Jules Ferry, qui a eu l’insigne honneur d’être associé à nos mystères, poursuit une œuvre essentiellement maçonnique, disait à Marseille un orateur de la L ∴« La Parfaite Sincérité » ; il nous appartient, à nous maçons, de le soutenir dans l’accomplissement de sa mission. » Ainsi clairement annoncé, le combat devait se poursuivre pendant 65 ans sur le terrain scolaire où l’Église avec ses écoles, faisaient obstacle à la Maçonnerie. c) L’école laïque, base de l’école unique, instrument du règne maçonnique. L’école laïque, affirme la Franc-Maçonnerie, est une création maçonnique : elle fait partie du corps républicain. « Il faut que les Francs-Maçons serrent les rangs autour de l’école laïque qui est la plus précieuse conquête de la Libre-Pensée, cela, parce que l’école laïque assure le recrutement des partis démocratiques, des partis épris de progrès social. » (Convent G ∴D ∴1928, p. 127.) « En attendant, mes FF ∴, créons partout des groupes de défense laïque, créons-en dans les plus petites communes, réagissons contre la vague d’égoïsme et d’indifférence, rassemblons les partis républicains autour de l’école, et refaisons en cette circonstance l’unité indispensable du parti républicain.

L’école laïque est à la base des institutions démocratiques d’un peuple. » (Convent G ∴L ∴1926, p. 256). Mais la Maçonnerie voulait mieux que cette défense de l’école laïque ; elle voulait en faire la seule école, l’école unique pour tous les Français, elle comptait arriver à cela par le processus suivant : gratuité, sélection, orientation, monopole. On devait arriver ainsi à l’école unique, à l’école collectiviste d’État. Les Convents Maçonniques nous avaient prévenus : « La Grande Loge de France se déclare favorable au monopole de l’Enseignement, avec inamovibilité du personnel enseignant. » (Convent G ∴L ∴1923, p. 48.) « ...et enfin, pour couronner notre édifice sous un gouvernement laïque, que nous saurons instituer et dont nous serons sûrs, ce sera sans aucune crainte pour l’avenir l’institution du monopole de l’Enseignement. » (Convent G ∴O ∴1929, p. 146-147.) la fausse éducation nationale 14 D’ailleurs, la Secte était décidée à assurer son emprise sur l’école laïque. « Et ainsi se lie au problème fondamental de la sauvegarde de la démocratie, celui de l’éducation collective qu’on ne saurait abandonner à la seule autorité des familles. » (Convent G ∴O ∴1926, p. 216.) « J’insiste à nouveau pour que vous fassiez dans vos Orients, la propagande nécessaire pour que cette question soit mieux connue (École unique), afin que nous arrivions au plus tôt à organiser une École vraiment démocratique et conforme aux aspirations de la République et de la Maçonnerie. » (Convent G ∴O ∴1925, p. 145.) Ainsi, on voit par ces extraits, que les Convents maçonniques n’avaient pas de plus grande préoccupation que l’école laïque, son développement et la réalisation de son monopole. Le F ∴Brenier se déclarait, le 12 octobre 1937, satisfait du travail accompli : « Ce sera l’honneur de Condorcet, de Paul Bert, de Jules Ferry, de Jean Macé, de Jaurès, de Ferdinand Buisson et de la Franc-Maçonnerie d’avoir travaillé à l’organisation d’un Enseignementvraiment laïque. » Leibnitz, que nous citions au début, avait raison : au lendemain des cérémonies qui, en 1931, marquèrent son cinquantenaire, l’école laïque était devenue une école révolutionnaire à la fois marxiste et internationale. Elle était la maîtresse du pays

Le plan de conquête maçonnique de l’école visant en définitive au monopole de l’enseignement, a été réalisé et poursuivi par tous les Ministres de l’Instruction Publique, sauf deux, MM. Bérard et Mallarmé. Après les FF ∴Jules Simon, Paul Bert et
Jules Ferry, ce furent les FF ∴Goblet, André Berthelot, Spuller, Lockroy, Léon Bourgeois, Charles Dupuy, Émile Combes, Bienvenu-Martin, Maurice Faure, Jules Steeg, René Viviani, Augagneur, Albert Sarraut, Honnorat, Mario Roustan, Albert Dalimier,
Aimé Berthod, Henri Guernut ; quelques autres ministres, sans être maçons, furent maçonnisants, tels Yvon Delbos, Anatole de Monzie, Edouard Daladier, Lucien Lamoureux, Bertrand Nogaro, Edouard Herriot, Pierre Marraud, Jean Durand, Philippe Marcombes.
Ce sont eux qui feront voter les lois de 1882, de 1886, de 1901 et de 1904, lesquelles laïciseront l’école laïque et porteront atteinte à tout autre enseignement. La Maçonnerie en coulisse dirigera la manœuvre, il lui faut une école populaire nouvelle où ses mots d’ordre fassent loi et à cette fin, elle propose ses méthodes : « Ce n’est pas l’officier prussien qui a vaincu, professe-t-on en 1871 dans les milieux maçonniques, c’est l’instituteur prussien ». Mais quant à expliquer aux masses comment travaille cet instituteur tant vanté, on s’en garde bien, les enseignements ne seraient pas conformes à la doctrine. Les réformateurs laïques, sûrs de porter en eux la vérité, n’ont pas besoin de s’instruire au dehors. Pour eux, pour leur secte, la défaite de la France n’est qu’une occasion, suivant la formule du F ∴Jules Simon, de « refaire la France par l’Éducation ».Ce sont donc tous ces ministres maçons ou maçonnisants qui feront avancer la réalisation de l’école unique ; ce sont eux qui patronneront la Ligue maçonnique de l’Enseignement ; ce sont, par exemple, Herriot et François Albert qui se glorifieront en 1925 d’avoir découvert dans Condorcet le plan de l’école unique ; c’est de Monzie dont les circulaires seront inspirées par les Loges.

 

 

Si l’école laïque devint révolutionnaire, elle doit cela en grande partie au syndicalisme universitaire qui, manœuvré sans qu’il s’en rende compte par la Franc-Maçonnerie, s’était développé depuis la guerre de 1914-1918 avec une rapidité surprenante, sans que les gouvernements successifs aient tenté sérieusement de s’opposer à ses progrès. Même après que la loi eût condamné les syndicats de fonctionnaires, Edouard Herriot, alors président du Conseil, autorisa les fonctionnaires à se syndiquer et recommanda aux chefs des diverses administrations de « collaborer » avec les syndicats, pourtant illégaux, ainsi formés. C’est que les politiciens maçons ou maçonnisants avaient besoin de l’instituteur public, de son influence pour réaliser leur programme de laïcisation. On s’agenouilla alors devant les syndicats des instituteurs ; un secrétaire de syndicat traita d’égal à égal avec l’inspecteur d’académie. Quant au secrétaire permanent du Syndicat National des Instituteurs, que ce fut le F ∴Emile Glay, ou son successeur André Delmas, il était devenu le véritable directeur de l’Enseignement primaire. Examinons d’un peu plus près ce Syndicat. Le Syndicat National des Instituteurs et des Institutrices de France et des Colonies fut fondé en 1901. En 1938, sur les 130.000 instituteurs et institutrices de France, un peu plus de 100.000, exactement 103.000, faisaient partie du Syndicat dit National affilié à la C. G. T. 

en 1936, ce Syndicat avait absorbé le Fédération Unitaire bolcheviste, et il marchait la main dans la main avec la Ligue maçonnique des Droits de l’Homme, le Parti Radical, le Parti Socialiste, la Franc-Maçonnerie ; il avait, bien entendu, donné son accord à la formation antifasciste du Front Populaire ; les meneurs de ce Syndicat cégétiste déjà très influent au ministère sous les ministres radicaux, étaient devenus les maîtres absolus des services du juif Jean Zay ; c’étaient, avant la guerre, le camarade Léon Jouhaux, assisté des camarades Zoretti et Mérat pour l’Enseignement Secondaire, du camarade André Delmas pour l’Enseignement Primaire ; sous la direction de ces hommes, la bolchévisation de l’école s’est poursuivie.

 

Tous les ans, le Syndicat National tenait un Congrès Annuel qui constituait un véritable scandale ; on y prêchait la rébellion, « le sabotage, l’insurrection dans une atmosphère de passion révolutionnaire ; le secrétaire général Delmas s’écriait au Congrès de 1937, à Paris : « Nous vivons dans une période révolutionnaire, il faut que la Révolution triomphe, le reste s’alignera sur ce triomphe et sur la consolidation de la Révolution. » On peut juger par là l’enseignement que pouvaient donner de tels fanatiques tout dévoués aux Soviets et à l’idéologie révolutionnaire communiste. La responsabilité de ces hommes est écrasante. Le Syndicat publiait un organe « L’École Libératrice » dont le secrétaire de rédaction était le F ∴Georges Lapierre. Nous avons en mains le numéro du 7 novembre 1936, on y reproduit un discours du Juif Léon Blum qui se termina au chant de l’Internationale ! Les communistes, malgré la fusion, avaient conservé leur organe « L’École Émancipée » ; dans cet hebdomadaire, on trouvait des choses effarantes comme celle de l’instituteur Aulas, de Saône-et-Loire, qui avait perdu le sens français au point d’écrire (n° du 17-1-37) : « Que peut me faire à moi, maître d’école, d’être payé en francs ou en roubles. » Les dirigeants du Syndicat, outre Delmas, lequel avait succédé au F ∴Emile Glay, autre agitateur marxiste, étaient les FF ∴MM ∴Marcel Giron, Jean Vivès, Levasseur, MmePichorel, M lle Cavalier.

Parmi les autres meneurs du Syndicat, citons les F ∴Auberger Georges, 18e ; Baudon Émile, 30 e ; Beuzelin Raymond, Borrély César, Brassier Maurice, Berthet Edmond, Bonissel René, Bentegnac Jean, Carrier Paul, Chantoiseau Jean, Chamayou René, Duhem Jules, 14 e ; Dunaud Daniel, Delpech Jean, Duriez Fernand, Élie Paul, Gras Charles, Gontard Jean, Gamache Pierre, Giron Marcel (celui-ci fut secrétaire général de la Fédération des Fonctionnaires), Heidet Jules, Hasser Jean, Jacquemard Théodule, Jobard Fernand, Laguens Jean, Lecerf Jean, Maurellet Augustin, Mignot Marie (S ∴), Martinot Philibert, 18 e ; Malaise Armand, Metey Louis, Merlette André, Marcoux Horace, Rousse Alexandre, Sansonnetti Antoine, 33 e ; Senèze Jean, 18 e ; Sors Antoine, Vivès Jean, Wine Antoine. Tous ces syndicalistes francs-maçons étaient instituteurs ou directeurs d’école. Avec eux, l’école primaire maçonnique était devenue la route principale du marxisme socialiste puis communiste ; afin de véhiculer le poison dans les milieux ruraux, ils avaient créé un hebdomadaire « La Terre Libre » dans lequel écrivaient les hommes du Front Populaire : Victor Basch (juif hongrois), Albert Bayet, et ils éditaient des livres destinés aux enfants et imprégnés, bien entendu, du plus pur esprit internationaliste et marxiste ; l’un de ces livres, « Devant la vie », avait pour auteur Léon Émery professeur, à l’École Normale d’Instituteurs de Lyon, grand propagandiste du Front Populaire dans la région du Sud-Est. En 1938, le syndicalisme marxiste et maçonnique était entièrement le maître dans les conseils départementaux de l’enseignement primaire comme le prouve le résultat des élections des délégués à ces conseils. Sur 91.602 votants, 66 % des voix furent acquis au syndicalisme révolutionnaire

 

celui-ci était donc le maître souverain de l’école primaire française. Disons un mot des frères Pivert, échantillons parfaits du régime et militants du Syndicat des Instituteurs. Charles, obscur instituteur, fut « chargé de mission » à la présidence du Conseil par Léon Blum ; militant S.F.I.O., militant du Syndicat des Instituteurs, il fut élu comme tel, membre du Conseil départemental de l’Enseignement Primaire de la Seine ; lePopulairefaisant son éloge, écrivait : « instituteur par surcroît » ; aussi pour un instituteur révolutionnaire, la fonction éducatrice passait bien après celle de propagandiste révolutionnaire. L’autre frère Pivert prénommé Marceau, F ∴M ∴, orateur de la L ∴Étoile Polaire, était devenu professeur à l’École Primaire Supérieure de Sens. Il se révéla un ardent propagandiste marxiste, puis il passa professeur de cours complémentaire et milita au Syndicat des Instituteurs ; il redevint professeur d’une école primaire supérieure, celle de Suresnes, cette fois ; il fonda la gauche révolutionnaire au sein du parti S. F. I. O., le journal « Juin 1936 » et enfin, par la grâce du Juif Blum, devint dictateur à la radio d’État. Anarchiste s’il en fut, c’est un des hommes qui auront fait le plus de mal à l’enseignement public et au pays. Complètement inféodé par ses militants aux doctrines marxistes, le Syndicat National des Instituteurs était, on le voit, le terrain d’élection de la Maçonnerie.

Jean Bertrandet Claude Wacogne

La fausse education nationale

5 février 2014

Message secret gravés sur la patte du sphinx révèle l'origine de ces batisseurs

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Bien des personnes pensent tout savoir sur le sphinx du plateau de Giza et l’on ne peut imaginer les trois pyramides voisines de Chéops, Chéphren et Mykhérinos sans le sphinx tellement celui-ci est devenu indispensable à l’harmonie visuelle du plateau. Ceci n’est pas étonnant car le sphinx est placé exactement où il faut dans une conception basée sur des principes géométriques de la section d’or. Le nombre d’or est en relation avec une série de nombres: la suite de Fibonacci (0,1,1,2,3,5,8,13,21,34,55,89,…) et l’archéologue égyptien et Professeur Emeritus : Alexander Badawy (1913-1986) à prouvé dans son étude de plus de 50 temples au bord du Nil que les anciens égyptiens avaient bien utilisé cette série de nombres à dessein démontrant une fois de plus leur grande connaissances et sophistication en matière architecturale. Or je vais vous démontrer dans cet article que le sphinx recèle bien des secrets encore méconnus pour la plupart et que notre vision actuelle est bien déformée par rapport à son aspect originel.

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L’inscription méconnue de la patte gauche du sphinx

En 1817 Gianbattista Caviglia **(1770-1845) nettoie le devant du sphinx, chose qui n’avait pas été faite depuis la chute de l’Empire Romain. Il trouva en premier lieu un morceau de la barbe tombée du sphinx (aujourd’hui au British Museum !). Puis en désensablant un orteil de la patte gauche du sphinx, il trouve une inscription : un texte de 13 lignes en Grec, gravé bien visiblement avec une mention comme quoi il s’agit d’un texte officiel datant de 166 Après JC sous le règne de Marc-Aurèle pour commémorer la restauration des murs entourant le sphinx par les romains. Ce texte est passionnant et vous n’aurez pourtant aucune chance de l’aperçevoir aujourd’hui sur le sphinx tellement les restaurations successives et surtout les dernières, ont recouvert de couches incroyablement épaisses et souvent défigurantes les contours de notre sphinx comme sous les bandelettes étouffantes d’une momification.

Ecrite en Grec donc, et en lettres capitales, il n’y a je sache que trois traductions existantes en anglais et une en latin de ce texte. Une à partir de la copie faite par Henry Salt (1780-1827) consul général britannique au Caire en 1815, grand collectionneur d’Antiquités égyptiennes qui avait payé Caviglia en 1817 pour explorer le sphinx et qui fit publier sa retranscription dans la: « Quarterly Review » Vol 19) en 1818 traduite par le Dr Yong en anglais et latin lequel s’employa même à remplacer certains mots effacés à jamais, une autre du très grand archéologue égyptien Selim Hassan*(1893-1961) le premier égyptien à occuper une chaire d’égyptologie, et enfin :une par le Révérend Coleridge d’Eton publiée dans: « Opérations menées à la pyramide de Giza par le colonel Vyse » en 1842. Je vais vous livrer ici ma propre traduction de cette inscription: j’ai essayé d’être la plus fidèle possible à la grammaire du Grec ancien et de ne pas inventer les mots manquants :

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 « Cette structure est l’œuvre des Dieux immortels.
Placée de façon à dominer le sol de cette Terre de récolte,
Erigée au centre d’une cavitée dont ils ont retiré le sable,
Comme une île de pierres au voisinage des pyramides,
Pour que nous puissions le voir,
Non pas comme le sphinx tué par Œdipe,
Mais comme un servant sacré de Leto,
Qui garde avec vigilance,
Le Guide Sacré de la Terre d’Egypte.»

La référence à Leto*** ici se comprend car à l’époque où les pharaons Ptolémés d’origine Grecque régnaient sur l’Egypte, Giza se trouvait dans un district administratif appellé : « Letopolitain ». Le texte est signé Arrianos, sans doute l’historien et philosophe romain d’origine Grec qui écrivit la vie d’Alexandre le Grand (« Anabase d’Alexandre »). Donc outre la référence aux Dieux Immortels comme créateurs de ce sphinx qui est intéressante, nous y reviendrons, nous voyons bien par ce texte lui-même que le sphinx était considéré comme une île. Ceci est tout nouveau pour certains d’entre-vous.

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Leto  une djinn polymorphe comme toutes les deités egyptienne

le sphinx est un hommage a la mere qui fut comdamné a vivre sur une ile deserte sphinx et le symbole de l'ile

 

Un lion qui était un chien et l’île du sphinx

Or le savant Robert Temple et sa femme Olivia viennent de publier un livre de 565 pages en anglais intitulé: « The sphinx Mystery, the forgotten origins of the sanctuary of Anubis »(« Le Mystère du sphinx, les origines oubliées du sanctuaire d’Anubis ») fort bien documenté avec bien des éléments exhumés de l’oubli ou de multiples collections dispersées innaccessibles au public, dans lequel il nous dit: « Les douves du sphinx dans l’Ancien Empire étaient connues dans les Textes des Pyramides comme le lac du chacal, le canal du Dieu, le canal d’Anubis, le Lac de Vie… » Or on trouve beaucoup de références à cela dans toute la littérature égyptienne Antique : par exemple sur les autels dans la tombe de Tutankhamon à propos de Rostau (Giza) on dit que sa topographie est celle d’une citée d’eau et on parle de: « La maison du lac » à propos de l’île du sphinx. Même Auguste Mariette qui creusa autour du sphinx en 1858 admet que l’enclos du sphinx avait dû contenir de l’eau du Nil dans l’Antiquité (voir références). Dans les Textes des Sarcophages on nous parle du bassin lustral, du lac du chacal.

Pourquoi ? Tout simplement parce que l’universitaire Temple avance l’assertion que le sphinx à l’origine aurait été fait à l’image d’Anubis (« chacal » est une mauvaise dénomination des traducteurs car il n’y a jamais eu de chacals en Basse Egypte mais bien plutôt des chiens sauvages) le gardien du site par excellence et il le prouve avec force analyses, photos et recherches. Le sphinx serait devenu léonin vers la IV ème dynastie où les lions étaient fort à la mode dans toutes les représentations, puis au Moyen Empire Amenemhat II lui aurait apposé son visage (et non pas Chéops). Mais je ne vais pas entrer trop dans les détails de l’œuvre de Temple ici, seulement en évoquer quelques points et d’autres d’ailleurs. Le fait qu’à l’origine le sphinx ait pu être la représentation d’Anubis est quelque chose que j’annonce depuis des années devant le sphinx lui-même aux personnes qui m’accompagnent dans mes voyages en montrant: « in situ » l’inclinaison du dos, la queue, les traces d’érosion par l’eau dans les douves. Il faut comprendre que depuis l’Antiquité le sphinx à subi de multiples restaurations qui surtout pendant les dernières consistaient en rajouts d’épaisses couches de briques de pierres aussi laides qu’inutiles ne faisant que rendre « pataudes » les lignes du sphinx qui sont en dessous d’une grande finesse. C’est très visible aujourd’hui pour les pattes qui ressemblent maintenant à d’immenses barres de carton-pâte. Nous avons des clichés du début du 19ème siècle et beaucoup de photos ensuite nous permettant après une analyse minutieuse de voir déjà de grosses différences pendant les restaurations « modernes » et les desensablements successifs. Dans le Texte des « Sarcophages » non seulement on parle du lac du « chacal » (Anubis) mais on dit: « Son nom est face de chien, sa taille est grande » (versets 1165-1185), deux fois dans le Texte des « Pyramides » on cite Anubis comme celui de « la Hauteur de l’Ouest » ( la seule hauteur centrale en Basse Egypte c’est le plateau de Giza ) et le lac du « chacal » est aussi cité dans le livre « des Cavernes ».

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Le remarquable chercheur Terence Du Quesne à dénombré beaucoup de références à Anubis : « Seigneur de Rostau (Giza) » dans des inscriptions et sur des murs, il a listé notamment dix sources publiées de ce titre précis à ce jour. Ce n’est qu’après la cinquième dynastie que le titre: « Seigneur de Rostau » est donné à Osiris. Rapelons qu’Anubis en égyptien c’est: « Inpou », « celui qui a la forme du chien », il est aussi dénommé: « L’Ouvreur de chemin » et guide les âmes et il est représenté aussi sous le nom d’ « Upuaout, ouvreur de chemin », à Abydos dans le sud. Il est aussi: « Seigneur du Pays de l’aurore » et comme l’écrit l’excellent René Lachaud: « (…) Il fait surgir la lumière anubienne de l’initiation qui correspond à ce moment ambigu, «entre chien et loup» où jour et nuit s’interpénètrent ». Et dans : « Le Livre de la sortie au jour » (qui est le véritable titre du Livre dit « des morts ») : Oh ! Anubis qui est sur ses secrets. Seigneur des secrets de l’Occident. Seigneur de ce qui est caché. »


Eh oui qu’Anubis est présidé sur le plateau de Giza n’est guère étonnant car à Giza/Rostau nous sommes au carrefour des plus grands mystères. Vous allez vite comprendre pourquoi. On ne vous parle jamais du « Livre de la Construction » qui se trouve gravé dans l’enclos du temple d’Horus le faucon à Edfu dans le sud de l’Egypte. Or quand vous lisez sur place celui-ci, il y a dedans des références à d’autres textes perdus comme : « Les Livres Sacré des Temples » qui rassemblent une description de l’histoire des lieux de pèlerinage le long du Nil. Et que dit ce texte? Il dit que ces lieux furent établis par un groupe « d’entités créatrices » les « Shebtiw » associés à Thot. Il est dit que ceux-ci que l’on appelle aussi les « Ainés », les « Faucons », se sont installés dans un premier endroit sur Terre et que ce premier endroit est…Rostau ! C’est à dire Giza ! Toujours selon ce texte, les livres sacrés et objets de pouvoir furent scellés dans une place secrète sous terre par les « Shebtiw » et ils construisirent au dessus une immense enceinte et des pilliers pour le protéger. Ce lieu s’appelle : Bw-Hmr, la place du trône de l’âme. D’autre part toujours dans ce texte il nous est suggéré que le monde souterrain de Giza est un modèle microcosmique du passage du temps et du processus de la première création dans notre univers pysique… vous comprenez mieux maintenant sur quoi le sphinx veille, ce n’est pas rien ! Les anciens Egyptiens nommaient aussi Giza/Rostau dans leurs descriptions : La Splendide Place du Premier Temps » et : « La Place secrète » et il est vrai que tout le plateau de Giza que je parcours depuis 20 ans mètre par mètre est bien truffé de milliers d’entrées souterraines, de cheminées d’aération, de puits sans fond. Tout cela prouve la présence d’un réseau souterrain impressionnant dont j’aurai l’occasion dans d’autres articles de vous parler davantage.

secret-sphinx-5.jpgOn voit ici le pataud des pattes trops restaurées (Photo Gigal)

En tout cas c’est seulement au Moyen Empire (époque où depuis un long moment déjà le sphinx n’avait plus sa tête d’Anubis selon Temple) qu’apparaît pour la première fois dans les hiéroglyphes le nom: « Sphinx »: « Sheshep » qui se traduit littéralement par « image » ou « statue ». Le nom entier du Sphinx alors est: « Sheshep-Ankh »: la « statue vivante ». Ce sphinx est un symbole vivant représentant bien des choses de l’invisible terrestre et céleste. Dans la langue copte, la plus ancienne langue de l’Egypte parlé encore actuellement, le sphinx se dit: « bel-hit »: « le Gardien ». Et juste après l’an mille on nomme le sphinx: « Twtw »: « Je suis image » que les Grecs retranscrivent en Tithoes et l’assimilent à Cronos le Dieu du temps. Et ce qui est intéressant aussi c’est que citant Manéthon, Pline prècise que Tithoes faisait partie des rois mytiques des toutes premières dynasties ou plutôt comme on dit maintenant de la fameuse dynastie zéro (car on a fait démarrer la première dynastie à Ménes (2920-2770 Avant J.C.) et cependant dans plusieurs documents sont cités des pharaons précédents mais leurs qualifications de dieux ou demie-dieux est dérangeante pour le conscensus universitaire) pourtant bien inscrite dans le papyrus de Turin (Le canon de Turin) et l’auteur latin précise bien que Tithoes succéda au dieu Amon et qu’il serait le tout premier constructeur du labyrinthe de Fayoum (à 120 km au sud du Caire au bord du lac Fayoum), le plus ancien labyrinthe de toute l’Antiquité que les gens venaient visiter alors du monde entier. Et qui est en ruines aujourd’hui au pied de la pyramide d’Hawara site que je fait visiter régulièrement...

Un sphinx bien plus ancien qu’on ne le pense.

secret-sphinx-6.jpgLe Sphinx en position sur le plateau avec au fond la pyramide de Chéops

En 1858 notre extraordinaire Auguste Mariette est chargé par le duc de Luynes de vérifier les propos de Pline l’Ancien selon lesquels le Sphinx serait construit et non monolithique. Il ouvre un chantier non loin de la pyramide attribuée à Chéops (qui régna de 2551-2528 av. J.C. 4ème dynastie). Dans un sanctuaire d’Isis tout proche il trouva la stèle dite de « l’Inventaire » dans laquelle on raconte ni plus ni moins que le sphinx et la grande pyramide existaient bien avant le règne des dirigeants de la 4ème dynastie donc bien avant 2575 av J.C.. Le texte précise que : « Durant le... règne de Chéops celui-ci ordonna la construction d’un monument le long du sphinx ». En toute logique cela implique que le sphinx était déjà là avant. Or s’il était déjà là du temps de Chéops, cela signifie que contrairement à ce que le « mainstream » affirme, à fortiori il n’a pas pu être construit sur ordre de Chéphren son successeur sur le trône ! Il faut dire que la théorie disant que le sphinx a été construit par Chéphren juste parce que la chaussée sur son côté sud mène aux pieds de la pyramide de Chéphren a été lancée sans aucune preuve ni connaissance par Caviglia qui n’était encore qu’un capitaine au long cours payé pour faire déblayer le sable du sphinx !! Aucune inscription ne confirme sa thèse lancée bien légèrement. Il existe aussi d’autres documents prouvant que le temple adjacent au Sphinx et qui possède exactement les mêmes marques d’érosion que celui-ci existait avant le règne de Chéops. Dans une inscription qui était conservée au musée de Boulak, le scribe royal du pharaon Chéops note une dédicace qu’il a a lui-même relevée sur un document antérieur. Cette dédicace prétend que le soleil en personne présida à la gigantesque construction, dont « l’origine se perdait dans la nuit des Temps ».

Or si l’on prend en compte ceci, c’est toute la datation chronologique actuelle en cours en égyptologie qu’il faudrait revoir ! Un peu trop pour certains… C’est pourquoi la majorité des égyptologues actuels se détourne de cette stèle dite de l’inventaire, car elle remet en question trop d’acquis pour eux. Certains préfèrent d’ailleurs affirmer que cette stèle faisant la liste de l’inventaire du temple d’Isis remonterait seulement à la 26 ème dynastie. Peut-être mais Auguste Mariette le découvreur, qui a passé plus de dix ans à fouiller le plateau de Giza a toujours affirmé lui, que la stèle fut érigée par Chéops lui-même.

Quant à la supposée ressemblance de la tête du sphinx avec Chéphren lui-même, cette théorie a été invalidée depuis 30 ans par le Directeur du service de médecine légale de la police de New-York expert en morphologie faciale Dr Franck Domingo. Après avoir photographié le sphinx sous plusieurs angles et lumières puis la statue de Chéphren au musée du Caire il compara avec sa méthode scientifique, il conclut sans appel qu’il s’agissait bien de deux personnes différentes...

Robert Temple lui, prouve d’ailleurs grâce à l’étude de la coiffe et de certains traits et aussi à cause de l’obsession du pharaon pour les sphinxs qu’il s’agit en fait d’Amenemhat II(1929-1892 Avant J.C.). En tout cas si à l’origine le sphinx avait bien une tête d’Anubis et que bien plus tard il comporta la tête de ce pharaon on pourrait penser également que d’autres avant Amenemhat II ont pu y apposer leur face également, la tête du sphinx comportant beaucoup de traces de multiples réfections et la tête actuelle étant fort disproportionnée par rapport au corps. On trouve également un texte du pharaon Amenhotep II (1448/1420 Avant J.C.) comportant une mention du sphinx en tant que : « plus ancien que les Pyramides ». Puis nous avons la fameuse stèle de Tutmosis IV qui a donné lieu à mes recherches sur le deuxième sphinx.

A la recherche du deuxième sphinx

Il était généralement admis pendant de longues périodes chez les Anciens Egyptiens que le Sphinx était recouvert par les sables, sauf la tête jusqu’à ce que le pharaon Tutmosis IV (18ème dynastie: 1420-1411 av. J.C.) ne le désensable. Et nous avons le merveilleux récit de Tutmosis IV gravé pour l’éternité sur une stèle de granit rose et érigée entre les pattes du Sphinx : c’est la stèle dite de Tutmosis IV. Ce pharaon qui n’était alors qu’un prince, n’appartenant même pas à la lignée principale de succession pharaonique, vint se reposer après une chasse à l’ombre de la tête seule apparente alors, et s’endormit. Là il rêva que le Sphinx lui parlait dans son sommeil, le suppliant de le débarasser de ses souffrances car il ne supportait plus les brûlures du sable du désert le recouvrant. En échange, il lui donnerait le pouvoir et la fortune. Tutmosis à son réveil décida de s’exécuter et devint en peu de temps pharaon ainsi que très fortuné.

Ce qui est particulièrement intéressant par rapport à cette stèle de Tutmosis IV c’est la représentation qui est faite du sphinx. Regardez bien, il y a deux sphinxs ! Et se tournant le dos ce qui ne veux pas dire d’aileurs, et pour des questions de règles anciennes de perspectives que dans une réalité, les deux sphinxs se tournent véritablement le dos. De plus ils sont allongés sur des structures avec portes indiquant par là que les sphinxs donnent accés à un ailleurs, un complexe souterrain. Mais où donc est passé le deuxième sphinx dessiné sur cette stèle ? Ce qui est bien curieux c’est que très peu de gens se sont mis à chercher les réponses...

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Sphinx et sa Stèle de Tutmosis IV au double sphinx

Dans la fameuse stèle de l’inventaire conservée au musée du Caire, il est fait mention qu’un éclair aurait foudroyé la coiffe du deuxième sphinx entraînant sa destruction ainsi que celle d’un sycomore, arbre sacré à l’époque, qui fut brûlé aussi par la foudre. Pour l’archéologue Michael Poe qui se réfère à des fragments de papyrus du Moyen Empire ce deuxième sphinx aurait été détruit par une crue du Nil particulièrement violente environ 1000 ans après J.C. Les villageois auraient alors prélevé les pierres pour reconstruire leur village.

C’est alors que je me suis mise à chercher en Egypte et grâce à mes connaissances d’Arabe classique j’ai vite trouvé des textes confirmant l’existence de deux sphinxs. Ainsi dans ses deux encyclopédies géographiques (Kitab al Mamalik, al-Mamsalik et Kitab al Jujori le grand géographe et savant arabe Al-Idrisi (1099-1166), mentionne bien la présence de deux sphinxs à Giza, l’un est en très mauvais état, il est atteint par les eaux du Nil et de nombreuses pierres manquent.

D’autres auteurs mentionnent également l’existence de deux sphinxs : Ainsi l’historien célèbre Musabbihi écrit au sujet d’un : « sphinx plus petit que l’autre » de l’autre côté du Nil, en très mauvais état, composé de briques et de pierres (Annales de Rabi II,vers 1024). C’est pourquoi je recherche inlassablement depuis des années l’emplacement du second sphinx. La tâche est très difficile car toute la rive opposée du Nil est couverte des buildings de la mégalopole du Caire et de ses banlieues gigantesques. Comment trouver l’emplacement d’un sphinx disparu ? Et c’est là qu’intervint une de mes cartes, celle de l’analyse par satellite minutieuse dont je suis spécialiste, couplée à une étude sur le terrain du moindre des détails. J’ai, après avoir sillonné des milliers de ruelles, déterminé deux endroits possibles. C’est alors que le grand géologue et archéologue égyptien Dr Barakat m’a fait l’honneur de me contacter en me disant, après avoir lu un de mes articles sur ce sujet en anglais qu’il appréciait beaucoup mon travail et était arrivé aux mêmes conclusions que moi, ce qui me conforte comme vous pouvez l’imaginer dans la continuation de cette recherche. Je vais m’y consacrer cet été et rencontrer le géologue lors d’entretiens qui promettent beaucoup et dont je vous ferait part ultérieurement.

D’autre part à l’instar des historiens arabes qui l’ont vu à leur époque, nous avançons l’hypothèse que l’un des deux sphinxs devaient être féminin. Al Idrisi dit clairement que le second sphinx était féminin et situé sur la rive Est du Nil faisant face au sphinx mâle celui que nous connaissons tous. N’oublions pas également que le nom Grec : « Sphinx » du verbe « sphingô » veux dire étrangler. Les deux sphinxs face à face de chaque côté du Nil formaient comme un goulot d’étranglement, comme une surveillance sur les navires provenant de Haute Egypte ou descendant au Sud… L’emplacement du second sphinx pourrait receler de nombreux secrets des temps préhistoriques même, beaucoup de choses dans le sous-sol. Ce sera dans le futur sans nul doute un projet archéologique colossal... dans le futur comme le dit le Dr Barakat.

Je vous dirais aussi et je ne suis pas la seule, que les deux sphinxs sont similaires aux deux piliers d’Hercule, l’un indiquant le pouvoir matériel s’impliquant vers le haut dans le pouvoir spirituel (le sphinx féminin) et l’autre (l’actuel), le pouvoir spirituel s’impliquant dans le monde matériel souterrain mais c’est là le sujet d’un de mes livres en cours…En tout cas pour boucler la boucle momentanément et pour apporter ma pierre à l’œuvre de Temple même s’il ne parle pas du tout de deuxième sphinx, j’ai découvert récemment qu’il y avait bien dans le passé deux Upuaout (Anubis)/ Sur la stèle JE 47381 aux trois registres sont bien figurés un: « Upuaout de Haute Egypte, controlleur des deux Terres »(« Wp-wAwt smaw aba-Tawy ») et dans le registre du millieu on voit celui-ci accompagné de: « Wepwawet de Basse Egypte » (« Wp-wAwt mttyt »). Donc les deux sphinxs tout à fait à l’origine aurait bien pu représenter deux Anubis...
Dans un prochain article je vous parlerais de l’état actuel des découvertes par rapport aux cavités à l’intérieur et sous le sphinx de Giza

encore bien des choses que peu savent...

Antoine Gigal

Notes :

*Selim Hassan (1887-1961) : Il est pour moi dans les trois plus grands egyptologistes et archéologues de tous les temps. Il excava sans relâche à Giza et Sakkara de 1929 à 1937 et découvrit beaucoup de structures que l’on redécouvre à peine aujourd’hui et écrivit une extraordinaire « Encyclopédie de l’Ancienne Egypte » en 16 volumes. Il publia en tout 170 livres sur l’archéologie en Egypte.

***Gianbattista Caviglia (1770-1845) : Capitaine au long cours Italien, il est embauché par Richard Vyse l’égyptologue Anglais qui remarqua en lui de très fortes capacités d’adaptation de débrouillardise c’est ainsi qu’il débuta des fouilles archéologiques avec lui sur la petite pyramide de Mykhérinos. Mais son attention fut vite attirée par des structures encore plus prometteuses comme le sphinx,la grande pyramide et d’autres.

****Leto : L’histoire de Leto telle qu’elle nous est raconté dans la mythologie greque peut fortement nous intéresser pour l’Egypte. Leto, fille des Titans (Anciens Dieux très puissants ayant régné pendant l’âge d’or sous la direction de l’un d’entre eux: Cronos (Saturne) après son père Uranus (Le ciel) pour les 21 premières générations de Titans.): Coeus régnant sur une zone céleste entre les deux pôles terrestre et Phoebe liée à la pleine Lune et à la purification lumineuse, tomba enceinte de Zeus. La femme de Zeus : Héra extrêmement jalouse fit en sorte que « toute terre ferme fuit Leto » de façon à ce que celle-ci ne trouve aucune terre ferme pour accoucher. Il est dit qu’alors Leto quitta l’Hyperborrée déguisée en louve pour la Lycie (pays des loups, peut-être une ancienne forme d’Anubis ?)) en Anatolie puis pour l’île de Délos. Il y a plusieurs destinations finales pour l’accouchement de Léto et les experts se battent pour savoir laquelle est la bonne. En tout cas elle accoucha dans une île non rattachée à la terre même sous la mer, une île flottante en quelque sorte ou une île « fabriquée ». On raconte en Egypte des histoires similaires pour Isis se réfugiant dans une île flottante du delta du Nile. Giza avec son île au sphinx était bien un endroit indiqué pour être lié à Leto. Celle-ci dû lutter contre beaucoup de monstres chtoniens et de Titans vivant sous terre et contre Python avant de pouvoir accoucher des jumeaux : Artémis et Apollon. Le grammairien Grec: Antoninus Liberalis cent ans après JC nous raconte tout cela avec force détails. Il est l’auteur de : « Les métamorphoses » un récit racontant 41 des transformations effectuées par des Dieux offensés). Notons qu’Hérodote nous raconte que Léto était adorée en Egypte sous la forme de Wadjet la déesse cobra protectrice de la Basse Egypte.

Références:

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/21/

Auguste Mariette: « Lettre au Vicomte de Rougé concernant les excavations faites dans le voisinage du grand sphinx de Giza »,Bibliothèque Egyptologique, Vol 18,Paris, 1904.

Alexander Badawy: “Ancient Egyptian Architectural Design:A Study of the Harmonic System », Berkeley university, 1965. Et:” History of Egyptian Architecture”,Berkeley university, 1968.

Selim Hassan: “The Great sphinx and Its secrets: Historical studies in the Light of Recent Excavations” vol 8,Cairo Gov Press,1953.

Terence Du Quesne: “Anubis and the spirit of the West »,Darengo publications, 1990.

Yves Herbo relai-SFH-10-2013

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/sciences/12/

24 janvier 2014

La vision de catherine Emmerich : Le Temple Maçonnique élevé sur les ruines de l’Eglise Catholique ,

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Anne-Catherine-Emmerich

Durant l’octave de la fête de saint Jean l’Evangéliste en cette année 1820 où la Haute - Vente était en pleine activité, la Vénérable eut des visions touchant l’Eglise et les assauts qui allaient lui être l i- vrés. « Je vis, dit - elle, la Basilique Saint - Pierre (figurant, comme nous l’avons déjà observé, l’Eglise romaine, l’Eglise catholique), une énor me quantité d’hommes travaillant à la renverser ». On sait qu’au commencement du XIII e siècle, Innocent III eut une vision symbolique toute semblable. Les murailles de la basilique de Latran, mère et maîtresse de toutes les églises, lui paraissaient s’ entr’ouvrir. Saint Dominique et saint François vinrent la soutenir. Catherine Emmerich dira plus tard qu’elle vit aussi à côté des démolisseurs d’autres hommes occupés à faire à l’Eglise de Saint - Pierre des réparations. Ici elle ajoute : « Des lignes de m anœuvres occupés au travail de destruction s’étendaient à travers le monde e n- tier, et je fus étonné de l’ensemble avec lequel tout se faisait. Les démolisseurs détachaient de l’édifice de gros morceaux. Ces sectaires sont en grand nombre et parmi eux il y a des apostats. En faisant leur travail de démolition, ils semblaient suivre certaines prescriptions et certaines règles. Ils portent des tabliers blancs, bordés d’un ruban bleu et garni de poches. Ils ont des truelles fichées dans leur ceinture. Ils ont d’ailleurs des vêtements de toute espèce. Il se trouve parmi eux des pe r- sonnages distingués entre les autres, grands et gros 1 , avec des uniformes et des croix, lesquels tout e- fois ne mettaient pas eux - mêmes la main à l’ œuvre , mais ils marquaient sur les murs de l’église, avec la truelle, ce qu’il fallait démolir. Je vis avec horreur qu’il y avait aussi parmi eux des prêtres cath o- liques . (Elle dit un autre jour qu’elle saisissait sur les lèvres de ces ecclésiastiques les grands mots maçonniques, lumière, science, justice, amour ). Souvent, quand les démolisseurs ne savaient pas bien comment s’y prendre, ils s’approchaient, pour s’en instruire, d’un des leurs, qui avait un grand livre où avait été tracé tout le plan à suivre pour les destructions, et celui - ci mar quait exactement, avec la truelle, le point qui devait être attaqué ; et bientôt un quartier de plus tombait sous leur marteau. L’opération allait tranquillement son train et marchait à coup sûr, mais sans éveiller l’attention et sans bruit, les démolisseurs ayant l’ œil au guet ».

Le lecteur ne doit pas perdre de vue que ceci fut écrit par Clément Brentano en 1820 sous la dictée de Catherine Emmerich. Pouvait - on mieux décrire ce que personne ne soupçonnait alors ? Etait - il possible de mieux voir et de mieux dire par qui et comment la guerre contre l’Eglise serait conduite ? Nous voyons aujourd’hui qu’un plan de destruction a été tracé à l’avance avec une sagesse diab o- lique. Nous voyons que les ouvriers chargés de l’exécution, sont répartis sur toutes les contrées du monde, que les rôles ont été distribués et que chacun a reçu signification de la besogne qui lui i n- combe. Ils piochent à la place qui leur est marquée ; ils s’arrêtent quand les circonstances le dema n- den t pour reprendre ensuite le travail avec une nouvelle ardeur. Dans tous les pays catholiques, l’assaut est mené simultanément ou successivement : contre la situation que le clergé séculier occupait dans l’Etat et les diverses administr ations ; contre les biens qui lui permettaient de vivre, de rendre à Dieu le culte qui lui est dû, d’enseigner la jeunesse et de soulager la misère ; contre les ordres religieux et les congrégations. Pour ce qui est de la France, le plan général de la guerre qui devait être livrée aux catholiques fut déposé sur le bureau de la Chambre des Députés, le 31 mai 1883 par Paul Bert. Dans l’exécution de ce plan, Ferry, Waldeck, Combes, Loubet, Briand, Clemenceau n’ont eu aucune politique personnelle. Ils ont exécuté ce dont le chef mystérieux avait tracé les lignes, allant consulter ses subalternes, les dépositaires de sa pensée, lorsqu’ils étaient hésitants ou entravés. Après les douze premières années de ce travail, l’épiscopat de France put dire : « Le gouvernement de la Républi que a été la perso n- nification d’un programme en opposition absolue avec la foi catholique. » Depuis lors, chaque année est venue abattre une nouvelle partie de l’édifice élevé par nos pères, l’Eglise de France. C a- therine Emmerich voyait les Francs - Maçons et leurs aides distribués en diverses équipes ayant ch a- cune une besogne déterminée. C’est ce que nous avons vu Gambetta a été chargé de la déclaration 1 Cette apparence extérieure leur était donnée au x yeux de la Voyante, sans doute, pour indiquer la place plus ou moins importante qu’ils occupaient dans la secte. 2 Dans la préface de ses Œuvres pastorales , Mgr Isoard écrivait en 1884 : « Ils savent très nettement, très exa c- tement ce qu’ils veulent faire, les hommes qui travaillent à effacer toute trace de religion en France . Le but exécrable qu’ils se sont marqué, ils ne le perdent point de vue. Ils ont un plan de campagne. Les grandes lignes de ce plan sont tracées définitivement depuis plus de cent années. Les opérations particulières sont fixées depuis plus de quarante ans. Les moindres détails d’exécution sont arrêtés depuis quatorze ans. de guerre, Paul B e rt a porté la pioche dans l’enseignement, Naquet dans la constitution de la famille, Jul es Ferry dans le culte, Thévenet, Constans, Floquet, etc., ont chassé le clergé de toutes ses pos i- tions ; Waldeck - Rousseau s’est attaqué aux congrégations religieuses ; Combes, Clemenceau, Briand, ont fait et poursuivi la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Pour les travaux de démolition à l’intérieur de l’Eglise , il y a aussi les ingénieurs qu’il est facile de nommer : l’un s’attaque à l’Ecriture Sainte, l’autre à la t héologie, un troisième à la philosophie, celui - ci à l’histoire, celui - là au culte. I l y a surtout des associations internationales chargées, comme nous l’avons vu, de répandre dans le public, et particulièrement dans la jeunesse, l’esprit réfractaire au do gme . Anne - Catherine, qui voyait ainsi les Francs - Maçons et leurs affidés ou leurs dupes s’acharner à démolir l’Eglise au dedans comme au - dehors, voyait aussi le clergé et les bons fidèles s’efforcer de les entraver dans leur travail et même de relever les ruines déjà faites, mais, dit - elle, « avec peu de zèle .

Les défenseurs lui semblaient n’avoir, ni confiance, ni ardeur, ni méthode. Ils travaillaient comme s’ils ignoraient absolument de quoi il s’agissait et combien grave était la situation. C’était déplo rable ». Catherine Emmerich n’était point la seule personne à qui Dieu fit voir les menées de la Franc - Maçonnerie, afin de l’engager à combattre la secte par ses prières et ses sacrifices. Il y avait à Rome une pauvre femme, mère de famille, du nom d’ Anne- Marie Taïgi , dont le P. Calixte, Trinitaire, a publié une vie, déclarée « conforme aux pièces du procès apostolique ». Le 27 juillet 1909, a eu lieu, chez le c ardinal Ferrata, la réunion ante - préparatoire à sa Béatification. Son historien nous dit : « Elle voyait surnaturellement les réunions des Francs - Maçons dans les différentes parties du monde ; elle assi s- tait à leurs conciliabules, elle avait connaissance de leurs plans ; et, à cette vue, elle adressait à Dieu de ferventes prières et de généreuses immolations. Notre - Seigneur lui avait dit : « Je t’ai choisie pour te mettre au rang des martyrs... Ta vie sera un long martyre pour le soutien de la foi ». Elle avait accepté. Et, en plus d’une occasion, Dieu déjoua les projets de la secte, en considération de ses m é- rites. Ainsi, aux premiers jours du pontificat de Grégoire XVI (1831), une révolte armée ayant son point de départ à Bologne, s’étendit de proche en proche jusqu’aux portes de Rome. L’intention était de mettre la ville éternelle en révolution. Des témoins entendus au procès de Béatification affirmèrent que, dès les premiers jours de cette révolte, Anne - Marie prédit qu’elle échouerait. Elle avait eu l’assis tance que son sacrifice était accepté. L’effort principal des démolisseurs a toujours por té sur la citadelle de la catholicité . Là nous avons vu que le Pouvoir occulte avait établi la Haute - Vente et, à sa tête, l’homme qui se faisait app e- ler par ses affiliés Nubius. De son côté, Catherine suivait les intrigues à Rome d’un homme puissant. « Je vis, dit - elle un jour, le Pape en prières. Il était entouré de faux amis. Je vis surtout un petit homme noir travailler à la ruine de l’Eglise avec une grande activité. Il s’efforçait de captiver les cardinaux par des adulations hypocrites ». Nos lecteurs se souviennent sans doute que dans sa lettre au Prussien Klauss, Nubius disait « Je passe quelquefois une heure de la matinée chez le vieux cardinal Som a- glia, le secrétaire d’Etat ; je monte à cheval, soit avec le duc de Lavai, soit avec le prince Cariati, ou je rencontre souvent le cardinal Bernetti. De là je cours chez le cardinal Palotta ; puis je visite dans leurs cellules le procureur général de l’Inquisition, le dominicain Jabalot, le théatin Ventura ou le franciscain Orioli. Le soir, je commence chez d’autres cette vie si bien occupée aux yeux du monde ». Dans ces visites, dans ces conversations, il ne perdait jamais de vue la mission qu’il avait reçue, le but qu’il voulait atteindre et dont il disait à l’un des siens : « On a chargé nos épaules d’un lourd fardeau, cher Volpa ». Le 15 novembre 1819, la Vénérable dit : « Il me faut aller à Rome (en esprit comme toujours). Je vis le Pape faire trop de concessions dans d’importantes affaires traitées avec les hétérodoxes. Il y a à Rome un homme noir qui sait beaucoup obtenir par des flatteries et des promesses. Il se cache de r- rière des cardinaux ; et le Pape, dans le désir d’obtenir une certaine chose, a consenti à une autre chose qui sera exploitée d’une manière nuisible. J’ai vu cela sous la forme de co nférences et d’échange d’écrits. Je vis ensuite l’homme noir se vanter plein de jactance devant son parti. « Je l’ai em porté , dit - il, nous allons voir bientôt ce qu’il adviendra de la Pierre sur laquelle est bâtie l’Eglise » . Mais il s’était vanté trop vite. Il me fallut aller trouver le Pape. Il était à genoux et priait. Je lui dis (de la manière qu’elle - même a déjà expliquée), ce que j’étais chargé de lui faire savoir.

Et je le vis tout à Le 4 décembre 1820 : « Elle eut une vision et un avertissement touchant plusieurs prêtres qui, bien que cela dépe ndit uniquement d’eux, ne donnaient pas ce qu’ils auraient dû donner avec l’aide de Dieu ; elle vit aussi qu’ils auraient à rendre compte de tout l’amour, toutes les con solations, toutes les exhortations, toutes les instru c- tions touchant les devoirs de la religion qu’ils ne nous donnent pas, pour toutes les bénédictions qu’ils ne distr i- buent pas quoique la force de la main de Jésus soit en eux, pour tout ce qu’ils omettent de faire à la resse m- blance de Jésus coup se lever et sonner. Il fit appeler un cardinal qu’il chargea de retirer la concession qui avait été faite. Le cardinal entendant cela, fut tout bouleversé et demanda au Pape d’où lui venait cette pensée. Le Pape répondit qu’il n’avait point à s’expliquer là - dessus. « Cela suffit, dit - il, il en doit être ainsi ». L’au tre sortit tout stupéfait. « Je vis beaucoup de gens pieux qu’attristaient fort les intrigues de l’homme - noir. Il avait l’air d’un Juif.» Ailleurs elle dit encore de ce même personnage « Le petit homme - noir, que je vois si souvent, a beaucoup de gens qu’il fait travailler pour lui sans qu’ils sachent dans quel but. Il a aussi ses affidés dans LA NOUVELLE EGLISE DES TENEBRES », c’est -à- dire si nous ne nous trompons, dans ce que l’on a appelé le catholicisme libéral, puis la démocratie chrétienne, le naturali sme et enfin le modernisme. Un autre jour, parlant encore de l’homme - noir, la Vénérable dit : « Je le vis opérer beaucoup de soustractions et de falsifications ». Elle le voyait, ajoute son historien, faire disparaître certaines pièces, en dénaturer d’autres, obtenir la destitution des hommes en place qui le gênaient dans ses desseins. » Elle voyait des conseillers du Pape gagnés par ses séductions, favoriser les menées de la secte. Ils s’efforçaient de soustraire à la connaissance du Pontife les démarches entreprises dans un but hostile à l’Eglise, celui, par exemple, d’ unir les croyances catholique, luthérienne et grecque dans une même Eglise, dont le Pape destitué de tout pouvoir séculier, ne serait que le chef apparent . »

Nos l ecteurs savent que la secte a élargi aujourd’hui ses idées. Ce qu’elle veut maint e- nant, ce n’est plus seulement la fusion des confessions chrétiennes, c’est la destruction de toutes les barrières, dogmatiques et autres, pour permettre à tous les hommes de se trouver unis en un catholicisme qui, pour les contenir tous, ne professerait plus rien, n’exigerait plus l’adhésion à aucun dogme. « D’un lieu central et ténébreux, disait encore Anne - Catherine (sans doute le lieu où l’homme - noir présidait, où la Haute - Vente délibérait), je vois partir des messagers qui portent en divers lieux des communications. (Nous avons vu dans la correspondance des membres de la Haute - Vente qu’elle avait, par les Juifs qui en faisaient partie, des rapports avec tous les pays). Ces communications, je les vois sortir de la bouche des émissaires comme une vapeur noire qui tombe sur la poitrine des auditeurs et allume en eux la haine et la rage ». Elle constatait un jour en ces termes les effets de cette conspiration et de cette propagande, jusque dans le clergé : « Je vois que dans cet endroit (?) l ’on mine et l’on étouffe la religion si habil e- ment QU’IL RESTE A PEINE UNE CENTAINE DE PRETRES QUI NE SOIENT PAS SEDUITS (par les idées modernes que les Juifs on t déclaré avoir intérêt à propager). Je ne puis dire com ment cela se fait, mais je vois le brouillard et les ténèbres s’étendre de plus en plus ». Elle ajoute : « J’espère pouvoir aider ceux qui résistent à ces séductions en prenant sur moi les douleurs de la Passion du Christ. Et quand elle eut dit cela, on vit son corps se raidir et prendre la position d’une personne étendue sur la croix. Une sueur froide découla de son front, sa langue s’engourdit. Cela dura dix minutes et se répéta trois fois le même jour. A la fin, elle s’affaissa et resta plusieurs jours d ans un état d’anéantissement dont elle ne sortit que par la bénédiction de son confesseur. « Cont i- nuez , lui dit Jésus dans une circonstance semblable, continuez à prier et à souffrir pour l’Eglise. Elle remportera la victoire malgré ses abaissements momentanés, car elle n’est pas une institution humaine. » Anne - Catherine avait terminé le récit de sa grande vision de 1820 par des paroles de consolation. Après avoir dit : « J’ai sous les yeux le tableau des démolitions de l’Eglise de Pierre et des manèges de l’homme - noir, » elle avait ajouté : « Je vois comment A LA FIN Marie étendit son manteau au - dessus de l’Eglise et comment les ennemis de Dieu furent chassés . » Nous venons d’entendre Notre - Seigneur lui mettre au cœur la même espérance. CHAPITRE LXV PRÉVIS IONS DE L’ANTAGONISTE DES FRANCS - MAÇONS Nous n’entendons pas donner les révélations de la V. Anne - Catherine Emmerick comme des a r- ticles de foi ; mais aucun de nos lecteurs n’aura pu ne pas être étonné du rapport qu’elles ont, même dans leurs détails, avec les faits connus depuis ; ce qui autorise à accorder une certaine confiance aux prédictions qu’elle fit des événements qui sont encore à venir . « Je vois, dit - elle un jour, les t é- Dans les Soirées de Saint - Pétersbourg , Joseph de Maistre, après avoir rappelé les pressentiments qui furent exprimés par les païens, dans les années qui précédèrent la venue du divin Sauveur , dit : « Le matérialisme, qui souille la philosophie de notre siècle, l’empêche de voir que la doctrine des esprits, et en particulier celle de l’esprit prophétique , est tout à fait plausible en elle - même, et, de plus, la mieux soutenue par la tradition la plus universelle et la plus imposante qui fut jamais. Pensez - vous que les anciens se soient tous accordés à croire que nèbres s’épaissir.

Un grand orage menace, le ciel est couvert d’une manière effrayante. Il y a peu de gens qui prient et la détresse des bons est grande . Je vois partout les communautés catholiques opprimées, vexées, ruinées et privées de liberté. Je vois beaucoup d’églises fermées. Je vois de grandes misères se produire partout. Je vois des guerres et du sang versé. » Un autre jour : « Je vis le peuple farouche, ignorant, intervenir avec violence. Mais cela ne dura pas. » Une autre fois encore, en la fête de saint Michel 1820 : « J’eus la vision d’une immense bataille. Toute la plaine était couverte d’une épaisse fumée. I l y avait des vignes remplies de soldats, d’où l’on tirait continuellement. C’était un lieu bas : on voyait de grandes villes dans le lointain. Je vis saint M i- chel descendre avec une nombreuse troupe d’anges et séparer les combattants. Mais cela n’arrivera que quand tout sera perdu. Un chef invoquera saint Michel et alors la victoire descendra . » Parlant ailleurs de cette bataille qui semble, dans sa pensée, devoir mettre fin à l’état de choses a c- tuel, elle dit aussi « L’archange saint Michel viendra au secours du généralissime qui l’invoquera et lui annoncera la victoire. » Déjà le 30 décembre 1809, elle avait dit voir saint Michel « planant au - dessus de l’église de Saint - Pierre, brillant de lumière, portant un vêtement rouge sang et tenant à la main un grand étendard de guerre. Des verts et des bleus combattaient contre des blancs qui paraissaient avoir le dessous. Tous ignoraient pourquoi ils combattaient. Cependant l’ange descendit, alla aux blancs et je le vis plusieurs fois en avant de toutes leurs cohortes. Alors ils furent animés d’un cour age merveilleux, sans qu’ils su ssent d’où cela leur venait. L’ange multipliait ses coups parmi les ennemis, des troupes d’ennemis passaient du côté des blancs, d’autres s’enfuyaient de tous côtés. » L’historien d’Anne - Catherine ajoute : « Elle ignorait l’époque de cette bataille et de cette intervention céleste. » Ai nsi que la Vénérable Anne - Catherine Emmerich l’avait prévu, nous avons vu les communautés opprimées. Nous avons assisté aux inventaires de nos églises et aux procès faits aux prêtres qui y célébraient la messe. Elles ne sont point fermées, mais, légalement, elles ne nous appartiennent plus et l’usurpateur attend l’heure propice pour nous en chasser. Les grèves, qui se multiplient partout, font présager une insurrection générale. Et la guerre est toujours menaçante, devant mettre en conflit tons les peuples et dans chaque nation la population entière sera sous les armes. Catherine Emmerich annonce que lorsque tout paraîtra perdu, l’archange saint Michel invoqué par l’un des généralissimes, viendra lui donner la victoire. Ce serait le commencement des divines miséricordes. En 1820, fin d’octobre, l’état de l’Eglise fut de nouveau montré à la Vénérable sous l’image de la basilique de Saint - Pierre. Elle vit les sociétés secrètes étendre leurs ramifications par toute la terre et livrer à l’Eglise une guerre d’extermination qui lui parut en rapports avec l’empire qu’établira l’antéchrist. Cette vision reproduit beaucoup de traits semblables à ceux que l’on trouve dans l’Apocalypse de saint Jean. La pauvre paysanne ne connaissait, naturellement, que bien, peu de chos es de la Sainte Ecriture, comme de n’importe quels livres. Dans cette extase elle vit, comme cela lui avait déjà été montré, L’INTERVENTION DE LA TRES SAINTE VIERGE . L’Eglise lui parut enti è- rement RESTAUREE . Elle vit les travaux de la secte détruits, et ses tabliers et tout son attirail br û- lés par la main du bourreau sur une place marquée d’infamie. Trois mois auparavant elle avait dit : « J’eus de nouveau la vision de l’église Saint - Pierre sapée suivant un plan formé par la secte secrète.

Mais je vis aussi le secours arriver au moment de la plus extrême détresse . » Plusieurs fois ses sinistres visions se terminèrent par l’apparition de la Très Sainte Vierge desce n- dant du ciel et couvrant du manteau de sa protection l’Eglise catholique figurée par la basilique Saint - la puissance divinatoire ou prophétique était un apanage inné de l’homme ? (En note, nombreuses références.) Cela n’est pas possible. Jamais un être et, à plus forte raison, jamais une classe entière d’êtres ne sauraient manifester généralement et invariablement une inclination contraire à sa nature. Or, comme l’éternelle maladie de l’homme est de pénétrer l’avenir, c’est une preuve certaine qu’il a des droits sur cet avenir et qu’il a des moyens de l’atteindre, au moins dans de certaines circonstances... » Si vous me demandez ce qu’est cet esprit « prophé- tique », je vous répondrai que « jamais il n’y eut dans le monde de grands événements qui n’aient été prédits de quelque manière. » Machiavel est le premier homme de ma connaissance qui ait avancé cette proposition ; mais si vous y réfléchissez, vous - même, vous trouverez que l’assertion de ce pieux écrivain est justifiée par toute l’histoire. Vous en avez un dernier exemple dans la Révolution française, prédite de tous côtés et de la manière la plus incontestable... Pourquoi voulez - vous qu’il n’en soit pas de même aujourd’hui ? L’univers est dans l ’attenle. Comment mépriserions - nous cette grande persuasion ? Et de quel droit condamnerions - nous les hommes qui, avertis par ces signes divins, se livrent à de savantes recherches ? ... Puisque, de tous côtés, une foule d’êtres s’écrient de concert : VE NEZ, SEIG NEUR, VENEZ ! Pourquoi blâmeriez - vous les hommes qui s’élancent dans cet avenir mystérieux et se glorifient de le deviner.. . » Au dessus des prévisions des hommes supérieurs par le génie, il y a les prophéties des saints, des personnages que Dieu favorise de communications surnaturelles. Ailleurs « Mon divin Epoux me montra les tristesses de l’avenir. Je vis combien peu de personnes prient et sou f- frent pour détourner les maux qui vont venir. » Pierre. La principale de ces visions est ainsi rapportée « Anne - Catherine voyait l’église démolie par les Francs - Maçons et en même temps relevée par le clergé et les bons fidèles, mais, dit - elle, avec peu de zèle. » Déjà toute la partie extérieure de l’église était abattue. Il ne restait plus debout que le san c- tuaire avec le Très Saint Sacrement. « J’étais accablée de tristesse et je me demandais où était cet homme que j’avais vu autrefois se tenir sur l’Eglise pour la défendre portant un vêtement rouge et tenant une bannière blanche. Alors je vis une femme pleine de majesté s’avancer dans la grande place qui est devant l’église. Elle avait son ample manteau relevé sur les deux bras, et elle s’éleva doucement en l’air. Elle se posa sur la coupole et étala sur l’église dans toute son étendue son manteau qui semblait rayonner d’or.

Les démolisseurs venaient de prendre un instant de repos ; mais quand ils voulurent se remettre à l’œuvre, il leur fut absolument i m- possible de s’approcher de l’espace couve rt par le manteau virginal. « Cependant les bons se mirent à travailler avec une incroyable activité. Il vint des hommes d’un très grand âge, impotents, oubliés, puis beaucoup de jeunes gens forts et vigoureux, des femmes et des enfants, des ecclésiastiques et des séculiers ; et l’édifice fut bientôt RESTAURE ENTIEREMENT. Je vis tout se renouveler et une église qui s’élevait jusqu’au ciel. Quand j’eus ce spectacle, je ne voyais plus le Pape actuel, mais un de ses successeurs à la fois DOUX ET SEVERE. Il sav ait s’attacher les bons prêtres et repousser loin de lui les mauvais. » « Quant à l’époque où cela doit arriver, je ne puis l’indiquer. » En la fête de la Très Sainte Trinité de cette même année, elle avait dit : « Je vis une image de ce temps éloigné que je ne puis décrire. Mais je vis sur toute la terre la nuit se retirer et la lumière et l’amour (la foi et la charité) reprendre une nouvelle vie. J’eus à cette occasion des visions de toute espèce sur la renaissance des Ordres religieux. Le temps de l’antéchrist n’est pas si proche que quelques - uns le croient. Il aura encore des précurseurs, et j’ai vu dans deux villes des docteurs de l’école desquels il pourrait sortir de ces précurseurs, D’autre part, la Franc - Maçonnerie ne sera point complètement anéantie. Nous avons entendu Anne - Catherine nous dire qu’elle prépare la venue de l’antéchrist, ici elle dit « Les hommes au tablier blanc continuèrent à travailler, mais sans bruit et avec grande circonspection. Ils sont craintifs et ont toujours l’ œil au guet. » Après le triomphe de l’Eglise, après la rénovation de toutes choses dans le Christ, ils continueront donc à exister, à se recruter, comme ils le firent après le Concordat et la Restauration, mais dans un mystère plus grand et plus impénétrable que jamais, jusqu’aux approches du jour où l’homme de péché viendra couronner leur œuvre , pour être ensuite lui - même vaincu par le Christ triomphant au milieu de ses élus.

 

20 décembre 2013

L'homme le plus puissant du monde: Le Pape Noir - 2eme partie

jesuites
 
(Note: quand l'auteur de l'article ou Eric Phelps Jon parlent de "juifs" il faut bien comprendre qu'ils ne se réfèrent pas aux hébreux, mais bien aux sionistes)
Martin: Permettez-moi de faire un retour en arrière ici pour une minute. Il me vient à l'esprit Louis Freeh, directeur du FBI.
 
Phelps: C’est un catholique romain, un bon enfant de choeur. Probablement un Chevalier de Colomb; mais je ne peux pas le prouver. Mais toute personne ayant ce genre de pouvoir se doit d'être un Chevalier de Colomb.
Et les Chevaliers de Colomb sont des instruments politiques des Jésuites. Et Louis Freeh était celui  derrière l'atrocité de Waco et l'atrocité de l’attentat d'Oklahoma Ville. Et son meilleur tireur d'élite était un japonais catholique romaine nommée Lon Horiuchi.
Donc, ce sont les catholiques romains qui contrôlent, les Chevaliers qui contrôlent le FBI et qui ont réalisé l'ensemble de ces meurtres. Et ces deux hommes, Louis Freeh et Lon Horiuchi sont personnellement responsables devant le Cardinal O'Connor de New York. Et le cardinal O'Connor de New York est le cardinal le plus puissant du pays. C’est un Vicaire militaire. Et c'est pourquoi M. Bush alla lui embrassé le cul pour aller à l’Université de Bob Jones, parce que le cardinal O'Connor est le roi de l'empire américain. Et il gouverne son empire à partir de ce palais, la cathédrale de St. Patrick, "le petit Vatican".
 
George W. Bush et le Cardinal O'Connor
Martin: Et pensez-vous qu’il soit en contact avec Kolvenbach?
 
Phelps: Bien sûr. O'Connor lui-même n'est pas un jésuite, mais les jésuites sont comme les SS de l'Eglise catholique. Ils maintiennent l'ordre.
Et ceux qui sont le plus proche de lui et qui maintiennent l'ordre des jésuites de l'Université Fordham. Maintenant, l'un d'entre eux, le chef de l'Université de Fordham, je crois qu'il est ilandais, et également un membre du [Council on Foreign Relations] CFR. Et je tiens ceci du rapport annuel du CFR de 1993. Ces Jésuites de Fordham qui maintiennent l’apparence et qui règnent en même temps sur le cardinal de New York. Et naturellement, les jésuites puissants de Fordham incluent Avery Dulles et John Foster Dulles, l'un des auteurs du livre sur le Concile Vatican II.
 
Martin: Maintenant, nous allons revenir en arrière. Quel est le concile de Trente?
 
Phelps: Le Concile de Trente a été la réponse de Rome à la Réforme protestante. Rappelez-vous que la Réforme protestante nous a apporté toute la liberté politique que nous connaissons aujourd'hui. Il n'y a rien comme la souveraineté nationale sans la Réforme. Il n'y a rien comme les droits privés, sans la Réforme. Il n'y a rien comme la loi des nations, comme nous la connaissons aujourd'hui, de Montesquieu aux autres, sans la Réforme.
Ainsi est venue la réforme avec leurs doctrines de salut par la grâce en passant par la seule  foi et qu’il n'y avait aucun besoin pour le sacerdoce d'aller au Ciel quand tout ce que nous avons besoin est le salut en Christ, et le verset Romains « 1:17: le juste vivra par la foi ». Lorsque la Réforme est venue, ellel a complètement dépouillée Rome de son pouvoir spirituel. Les prêtres n’ont plus été voulu parce que les gens recevaient la parole de Dieu dans la Bible, plus précisément en Hollande, en Angleterre et en Allemagne. Et ainsi, avec ces grands réveils qui portèrent les gens en avant et la venue de la réforme, les nations se sont éloignées de  la puissance du pape. Le Saint Empire Romain se brisa. Charles Quint, l'empereur, rendit sa couronne et devenu un moine jardinier. Ainsi, le Seigneur se déplaçait puissamment en brisant la puissance du Saint Empire Romain commencée par Charlemagne et le Pape.
Bien, ce n'était pas bon pour Rome parce qu'ils perdaient beaucoup d'argent. Les nations ne payaient plus leur "denier de saint Pierre» , ce que nous appelons aujourd'hui «foreign aid» dans ce pays. Et le Pape en était très contrarié.
Qu’allons-nous faire? Ces nations s’éloignent de nous, ils ne sont plus sous notre pouvoir temporel ou spirituel, et il est très important de se rappeler que le Pape réclame les deux puissances : spirituelle et temporelle, et avec la rupture de son pouvoir spirituel, il perdait par la suite son pouvoir temporelle. En d'autres termes, il n'avait plus la capacité de gouverner le peuple par le roi du pays, car le roi lui avait échappé comme Henri VIII.
Ainsi, Henri VIII a rompu avec l'Église Romaine et formé l'Église d'Angleterre, il n’était plus soumis au pape. Et ceci se passait aussi en Angleterre, en Allemagne, en Hollande, et en d'autres lieux.
Suite à cela, le Diable éleva Ignace de Loyola avec son démonisme et ses «exercices spirituels», parce que Loyola avait été un membre de la Alumbrados espagnole, qui est ce que nous appelons les Illuminati d'aujourd'hui,  et a utilisé l'Ordre des Jésuites au tenter de reprendre ce qui avait été pris par la Réforme c’est-à-dire ce que le Seigneur avait fait par l’intermédiaire de Luther, Calvin et Knox. Et, au fait, Luther, Calvin et Knox et aucun de ces hommes est mort de mort  violente. Ils vécurent tous jusqu’à un âge avancé et moururent paisiblement, au milieu de la puissance machination des  jésuites.
Le concile de Trente se compose de 25 sièges. Ces 25 sièges condamnent toutes les doctrines de la Réforme. Elle condamne toute personne qui ne croit pas que le sens littéral de Jésus-Christ est dans l'hostie [la sainte communion du pain], et que son sang littéral est dans le vin. Cela s'appelle la transsubstantiation. Quiconque ne croit pas en cela est un anathème maudit. Quiconque croit que leur salut se trouve en dehors de l'Eglise catholique est un anathème maudit. Toute personne qui croit en la justification de la grâce par la foi est un anathème maudit. Quiconque croit que le pape n'est pas le vicaire du Christ-maudit, anathème. Vous voyez, toutes ces doctrines ont été mises de l'avant à la suite de la lecture de la Bible, qui a produit la Réforme, et ainsi les jésuites maudissent tout ce que les réformistes ont prêché. Tout ceci fait partie de la Loi appelé le Concile de Trente.
Dans la 4eme partie, qui est probablement la plus importante, les Jésuites condamnent la liberté d'expression, la liberté de la presse et la liberté de conscience. Ainsi, aucun homme n'a le droit de choisir sa propre religion, aucun homme n'a le droit de publier ce qu'il ressent, c'est la vérité, et nul homme n'a le droit à la liberté de conscience.
Ces droits sont garantis par nos Baptiste / ancêtres calvinistes dans le Premier Amendement. L'homme qui a écrit le premier amendement a été James Madison, qui était un baptiste / calviniste, et il a été dit par ce Baptiste / calvinistes en Virginie, Doc. John Leland: «Si vous ne sécurisez pas tous ces droits, la Virginie n’approuvera pas la Constitution ».  LaVirginie était un Etat-Baptiste / calviniste.
Donc, nous avons une guerre entre le concile de Trente et les doctrines de la Réforme, en particulier tel que décrit par Jean Calvin dans son Institution de la religion chrétienne. Calvin (1536) a écrit l’Institution de la religion chrétienne, il a fini quand il avait 27 ans, et il l'a dédiée au roi de France. Et parce que les jésuites le haïssaient, il fut chassé de France et il résida à Genève jusqu’au jour de sa mort, dont il était devenu le gouverneur. C'est Calvin et son Institution de la religion chrétienne contre Loyola et ses Concile de Trente, si vous les voulez ils se trouvent dans les  deux documents importants.
 
Martin: Le Concile de Trente fut en quelle année?
 
Phelps: De 1545-1563, dix-huit ans. Et Trente est une petite ville en Italie. Donc, c'était un conseil qui a eu lieu dans la ville de Trente, en Italie.
The Presbyterian Westminster Confession And Faith qui fut terminé en 1648, après la Guerre de 30 ans, est une autre extension des institutions de Calvin, et c'est ce que l'Eglise d'Ecosse et les Covenantaires ont fait et qui les a fait résister contre les pouvoirs de Rome et l'Angleterre. Ce document est un document important, et ce n'est pas la confession de New Westminster, c'est l'ancien de 1648, où ils ont appelé le Pape homme du péché, l’église romaine celle de l’Anti-Christ, et où ils ont également dénoncé la tyrannie anti-chrétienne. Et que c'est leur devoir, d'utiliser ce qu'ils appellent "l'épée de l'esprit», qui est la Parole de Dieu, que nous lisons dans Ephésiens, chapitre 6, et "l'épée de la juste défense», le pistolet, l'épée .
Donc, nous calvinistes croyons qu'il y’a un temps pour la paix et un temps pour la guerre, et nous ne refusons pas d'aller au champ de bataille quand c'est nécessaire. Ce sont les calvinistes qui nous ont donné notre liberté politique en Angleterre avec Cromwell. C’était un calviniste et un Baptiste indépendant. Ce fut le calviniste en Hollande qui a donné aux Hollandais leur liberté politique, avec Guillaume d'Orange, et plus tard son fils, le prince Maurice, puis plus tard, dans notre grand pays, quand il était à Washington, le franc-maçon qui n’est pas rentré dans une loge maçonnique pendant les 30 dernières années de sa vie (de ses propres mots) et  qui était un baptiste et un calviniste. Il fut baptisé en l'église First Baptist de New York par un de ses capitaines, le pasteur Gano, le tout entouré par les calvinistes.
C'est pourquoi ils ne se rendirent pas à Valley Forge, c'est pourquoi,  ils étaient nus et ils marchaient à travers les champs enneigés, pieds nus et l’ont enduré parce qu'ils croyaient dans en la Bible Calvinistes et qu’ils ont refusé de se soumettre à la tyrannie du roi George, qui était contrôlée par les Jésuites.
Et ceci est l'âme de notre pays. Si nous perdons cette âme, nous avons tout perdu. Et ces mêmes Baptistes, qui dans le Deuxième Amendement, ont garanti leur droit de porter des armes, parce qu'ils ont garanti le droit de « l'épée du juste défenseur ». Et le « glaive de l'Esprit » est contenue dans le premier amendement, et le droit de détenir une Bible. Les deux épées du calvinisme sont garanties dans les premier et deuxième amendements. Sans ces deux premiers amendements, tous les autres ne sont rien.
 
Martin: Eh bien, je suis arrivé à ma question n ° 2
 
Comment le pèlerin  franc-maçon président Harry Truman signa en droit d'urgence le War Powers Act de 1950 un des éléments de l'agenda des Jésuites?
 
Phelps: Tout d'abord, Harry Truman, que les japonais appelé "Dirty Harry", quand ils ont entendu le film Dirty Harry est sorti, ils pensaient que c'était un film sur Harry Truman, selon mon ami pasteur japonais, Daniel Fuji, qui a est décédé.
Harry Truman a été mis en fonction par les jésuites, le Pensergast machine démocrate dans le Missouri. Harry Truman prend le relais après l’assassinat de Roosevelt (parce qu'il a été assassiné dans sa maison de Bernard Baruch) Donc, quand il a pris le relais, il commença la guerre avec le canular appelé « la chute des bombes nucléaires », pour créer exprès le plus grand canular appelé la guerre froide, qui permettrait au Vatican de frapper au-dessus des  pays après pays après pays, et remplacer les chefs avec des dictateurs subordonnés au Pape.. Tel était le but de la guerre froide.
Et donc, quand Harry Truman en 1950 a promulgué la loi sur le Emergency War Powers Act, la Guerre froide battait son plein. Ils construisaient des abris, etc …Donc, la nation était dans une sorte de frénésie.
Quand il signa cet acte, il mis tout le pays sous la loi militaire et martiale et c'est alors que les drapeaux de chaque salle d'audience, étatiques et fédérales, ont commencé à être changé. Et chaque drapeau d’Etat et chaque drapeau américain sont désormais parés de franges d'or. Et quand vous voyez un drapeau garnis de franges d'or, cela signifie que c'est le drapeau du commandant en chef. Maintenant, si c'est le drapeau d'Etat, cela signifie que le drapeau du gouverneur est un commandant en chef. Et si c'est le drapeau fédéral, ou le drapeau national, plus exactement, c'est le drapeau du commandant en chef à Washington.
Ainsi, tous vos tribunaux ne sont rien de plus que des tribunaux du régime militaire. Ils procèdent tous  à des procédures sommaires. Le jury n'a pas le pouvoir d'annulation par le jury. Et ils sont tout simplement appliquer les lois de l'Empire, que j'appelle 14e amendement Amérique, qui est un style militaire, « roi d'Angleterre version campagnarde ». Les tribunaux ne sont rien de plus que les tribunaux du banc du roi, comme vous pouvez le voir dans les Blackstone’s Commentary
Et les banques, si vous marchez dans n’importe quelle  banque, vous remarquerez qu’elles ont toutes un drapeau garnis de franges d'or. La banque est ce que l'Angleterre pouvait appeler, à l'époque de Blackstone, la banque du roi. Donc, nous avons la banque du Roi, et nous avons le Banc du Roi. Et tout est conformément réglé par la règle militaire, selon la Règle de travail et la loi martiale publié en 1914  Berkheimer.
Quand Harry Truman a fait ceci, il y avait la consommation d'un grand plan pour nous mettre d'urgence sous le War Powers Act et réellement, une règle de guerre. « Daylight savings time » est ce qu'on a appelé «War Time». Ce pays a fait son « Daylight saving time’ au cours la Seconde Guerre mondiale, et l'ont appelé, à ce moment là, « le temps de la guerre ». Donc, rien n'a changé. Nous ne sommes jamais retourné en arrière avec nos horloges. Nous sommes toujours en temps de guerre. L'impôt sur le revenu est un impôt de guerre. Il a été appelé une taxe sur la victoire (victory taxe) en 1942.
Donc, les gens paient un impôt de guerre, ils sont sous le temps de guerre, ils sont sous une urgence War Powers Act, et les tribunaux sont des tribunaux de guerre.
 
Martin: En ce qui concerne l'assassinat du président John Kennedy, qui pourrait prendre le temps de cette interview en entier, vous dire que l'assassinat a été ordonné par le général des jésuites, exécuté par le Pape Paul VI, et réalisée par le «pape américain», François Cardinal Spellman, qui à son tour, utilisé des Chevaliers de Malte, francs-maçons pélerins, des Chevaliers de Colomb, et les mafiosi, y compris le FBI et la CIA, pour exécuter l'ordre de Rome. Pourriez-vous expliquer pourquoi vous croyez que votre théorie particulière sur l'assassinat est une représentation exacte des faits?
 
John Fitzgerald Kennedy, Cardinal Spellman, et Richard Nixon
 
Phelps: Bien sûr. Bon, numéro un: Les pouvoirs qui sont correctement décrits (dans son livre), et déroulés à travers deux siècles démontrent comment tout cela a été mis ensemble. Maintenant, pour savoir pourquoi, je vais être prudent et smen tenir aux raisons de Fletcher Prouty, qu'il décrit dans son livre « JFK » et aussi son autre livre intitulé « The Secret Team ».
La raison pour laquelle Kennedy a été assassiné était qu'il voulait mettre fin à la guerre du Vietnam, et il voulait mettre fin à la règle de la CIA. Cela engendre deux questions: Est-ce-que Rome voulait la guerre du Vietnam? Et, est-ce-que Rome détient le contrôle sur la CIA? La réponse est oui aux deux questions.
Nous savons, sur son visage, que la guerre du Vietnam a été appelé la «Guerre Spelly » (la guerre du cardinal Spellman). Il se prononçât sur le front de la guerre plusieurs fois et il a appelé les soldats américains les «soldats du Christ». L'homme qui était le commandant des forces américaines a été un membre de l’Eglise Catholique Romaine, CFR, et éventuellement, un Chevalier de Colomb, je ne sais pas, mais c’était le général William Westmoreland.
Ainsi, Westmoreland était l'agent le cardinal Spellman pour s'assurer que la guerre se poursuive correctement. Et un autre surveillant de Westmoreland était un « gars »du cardinal Spellman : Lyndon Baines Johnson. Lyndon Baines Johnson a été un franc-maçon 33ème degré. Il faisait également partie de l'assassinat de Kennedy, avec J. Edgar Hoover, un autre franc-maçon 33ème degré.
 
Et Johnson est allé aux funérailles du cardinal Spellman à la cathédrale St. Patrick, et l'image peut être vu dans le travail de Cooney « The American Pope ».Ainsi, Johnson était complètement à la botte du cardinal Spellman à travers Cartha DeLoach, le 3ème qui contrôle le FBI. Selon Curt Gentry, dans son« Hoover: The man and the secrets », DeLoach avaient un téléphone à son chevet relié directement à Johnson et Johnson pourrait l'appeler n'importe quand. DeLoach était un chevalier de Malte, sous réserve de Spellman.
Spellman a voulu la guerre du Vietnam, pourquoi? Spellman était contrôlée par les Jésuites de Fordham. Pourquoi le général des jésuites veulait la guerre du Vietnam? Le peuple du Vietnam, les bouddhistes, ne se convertissent pas. Ils ne voulaient pas se convertir au catholicisme. Ils n'ont pas besoin de Rome
 
Il y avait eu une présence jésuite au Vietnam depuis des siècles, alors il avait été décidé qu’à peu près un million de bouddhistes auraient dût être "purgés". Ils continuèrent plus tard cette purge au Cambodge, avec Pol Pot, et la purge ne serait tardé pour la Thaïlande. Ce fut une purge du Laos, du Cambodge et du Vietnam de tous ces bouddhistes, tout comme ils avaient purgé les bouddhistes de Chine avec Mao Zedong, car Mao Zedong était totalement contrôlé par les Jésuites. Ainsi, ils ont voulu la guerre du Vietnam.
Une autre chose de Rome qui est à savoir, c’est qu’elle est dans le contrôle du trafic de drogue. Le Vatican contrôle tous les commerces de la drogue tel que l’héroïne, l'opium, la cocaïne, tout ce qui passe par la Colombie.
La Colombie a un concordat avec le Pape. Un concordat est un traité avec le Pape. Hitler avait un concordat. Mussolini avait un concordat. Franco a eu un concordat. Ils veulent mettre en place un concordat ici, qui était la raison pour laquelle Reagan reconnut officiellement l'Etat souverain de la Cité du Vatican en 1984. Le plus grand traître que nous ayons jamais eu était Ronald Reagan.
Donc, ils avaient un concordat. La Colombie a un concordat. Pensez-vous que des drogues qui sortent de Columbia, d’un pays qui a un concordat avec Rome, n'est pas contrôlée par Rome? Si Rome ne voulait pas le trafic de drogue hors de Columbia, ils stopperaient le concordat. L'ensemble du trafic de drogue est dirigé par des familles de la haute Mafia en dehors du pays de Columbia, sous protection de l'Assemblée générale des Jésuites.
Et le général des jésuites est entré dans  le trafic de l'opium, un couple il y a environ deux siècles de ça des siècles, avec la Chine. Ils ont infiltré le commerce de la soie, le commerce de la perle. Dans le film est Shogun, il y a un léger grattage de la surface sur les « navires noirs » des jésuites» qui traitent dans la soie, les perles, l’or et les opales et tout ce qu'ils pouvaient retirer de l'Est, y compris l'opium.
La guerre du Vietnam était de consolider et de contrôler cet énorme massif de d’échange de drogue qui inonderait chaque ville américaine, étant apporté par voies aériennes par la CIA en Amérique puis distribués par les familles de  traffiquants tout au long des États-Unis.
Donc, nous avons la Mafia et la CIA qui travaillent ensemble dans le commerce de la drogue. Nous avons la Mafia et la CIA qui ont travaillé ensemble dans l'assassinat de Kennedy.
La première raison pour laquelle le général des jésuites (à l'époque, Jean-Baptiste Janssens) voulait Kennedy hors-jeu était parce qu'il allait mettre fin à la guerre du Vietnam.
La deuxième raison est qu’il voulait mettre fin au règne de la CIA, parce que la CIA l'avait trahi en la personne de McGeorge Bundy, en ne donnant pas l’assurance aux les patriotes cubains de reprendre Cuba aux mains de ce catholique romaine, formé par les jésuites (il est diplômé au Belen Jesuit Preparatory School de Miami), ce bâtard dont le vrai père était un nazi Castro Fidel.
Kennedy a été trahi par la CIA à la baie des Cochons, qui sacrifia tous les patriotes sur les rives de la baie des Cochons alors que Castro n’avait pas posé véritablement d’opposition. Ce fut la même tactique utilisée par la CIA et le KGB en collaboration avec Angleton pour contrôler la révolution hongroise. Quand la CIA avait d’abord préparé secrètement cette révolution, puis avait trahi ces patriotes qui exaspéré certains hauts responsable de la CIA en les donnant aux les mains de l'armée soviétique et du KGB.
C'est la même tactique: vous élever une révolution et vous sacrifier les hommes qui veulent vraiment résister. Quand c'est arrivé, quand McGeorge Bundy a arrêté la couverture aérienne de la baie des Cochons, qui mis un terme à  la résistance de  Castro et qui l’intronisa au pouvoir. Et, bien sûr, il était censé être du côté des Jésuites parce que ce sont EUX qui l’ont formé. Alors maintenant, Kennedy apparait comme le méchant. On lui jette des œufs au  visage. Que veut-il faire? Il signe un memorandum, selon Fletcher Prouty, et enlève toute la puissance de la CIA, et la donne à l'état-major de l’ interarmées.
La CIA a été construite par les Chevaliers de Malte. Un des fondateurs de la CIA était «sauvage» Bill Donovan, un catholique irlandaise, qui sont les plus fanatiques, et son frère était un prêtre Dominicain, Vincent. Ainsi, la CIA a été fondée par cette grande Église catholique romaine, la première a solidifier les catholiques ou le contrôle du Vatican de lui.
Je ne suis pas contre le peuple catholique, je suis contre la hiérarchie de Rome. Le peuple américain catholique ne sait rien de ce qui se passe. Et s'ils le faisaient, il y aurait un défilé de Saint Patrick demain matin. Donc, comme je suis contre la hiérarchie, je montre que Kennedy était contre la guerre du Vietnam, et qu'il allait en finir avec la CIA.
Donc, les Jésuites avaient rapporté l'ensemble des hauts soldats SS nazis à la CIA parce que les jésuites les avaient utilisé pour tuer les Juifs en Europe. Lorsque les Einsatzgruppen allèrent en Russie, les Jésuites suivis par leurs SS et  la Russie occidentale fut purgé de tous ses Juifs. C'est pourquoi Staline a délibérément tué 40 000 de ses meilleurs officiers. C'est pourquoi il a viré ses meilleurs généraux, il les a purgé, parce qu'il voulait s'assurer que l'Armée rouge perdrait son avance sur l'armée allemande, comme ça les SS seraient venus  purger la Russie des juifs que Staline haïssait tant. Soit dit en passant, la justice est souvent poétique, car la fille de Staline a épousé un Juif.
Maintenant, la CIA était composé par d’ancients SS. La CIA était désormais le bras (le bras intelligent) du Vatican. Les Chevaliers de Malte étaient partout. Casey était un chevalier de Malte. Angleton était un chevalier de Malte. Angleton occupé le «bureau du Vatican» au sein de la CIA.
Donc, Kennedy voulait mettre fin à cette «communauté du renseignement". Ce fut la fin de lui.
Ainsi comme n'importe qui essayant d’en finir avec la CIA, et essayant de finir la guerre de Vietnam, et également parce qu'il avait attaqué la banque de réserves fédérale des jésuites en imprimant des billets des Etats-Unis, ils se sont débarrassés de lui. Ils ont tué notre seul président de religion catholique romaine.
Et c'est un autre morceau de la justice poétique qu'un catholique romain et non pas protestant comme Harry Truman, FDR et d'autres, c'est un catholique qui a vraiment cherché de résister au pouvoir temporel du pape dans ce pays. Et à bien des égards, même si Kennedy était, en fait, un socialiste et communiste, au moins il a résisté à la puissance temporelle du pape. Et pour cela nous devrions être reconnaissants et se rappeler son nom.
Mais qu'ont-ils fait de son nom? Ils l'ont bafoué. Ils l’ont roulé dans la boue. Chaque fois que vous le voyez à la télé, ils s’attardent bien trop souvent sur son côté coureur de jupons, que je ne nie pas, mais mon Dieu, ne pouvons-nous pas lui donner un certain crédit lorsque le crédit lui est dû? C'est pourquoi ils se sont débarrassés de John F. Kennedy.
Et puis, bien sûr, dès que Kennedy fut assassiné, John McCone, le chef de la CIA se rua le lendemain à la Maison Blanche et fît inverser le protocole de Kennedy (qui voulait arrêter la guerre du Vietnam) en augmentant l’échelle du plan de guerre et en donnant carte blanche à la guerre.
La CIA est alors énormément et largement financé, parce que c'était une guerre de la CIA. Et ils en ont profité pour essayé par la même occasion leurs nouvelles technologies, leurs machines anti-gravité et leurs hommes qui essaient de faire comme les "millions dollars man". Ils ont essayé toutes leurs nouvelles technologies au Vietnam. Ce fut un grand théâtre expérimental, et le Kennedy savait. Il le savait, et il savait que le peuple américain n'avait aucune idée de ce qui se passait en bas, et il essaya encore de résister allant même contre les avertissements de son père. Parce que son père était le chevalier le plus puissant de Malte dans l'Empire.
 
Martin: Les théories sur la raison pour laquelle ils ont liquidé John F. Kennedy Junior ?
 
Phelps: Oui. Selon Tom Kuncle, dans sa publication, John F. Kennedy, Jr . voulais trouver les vrais tueurs de son père, et il avait le pouvoir d’en publier la conclusion. Alors, ils l'ont éliminé tout de suite. Ils ne voulaient pas permettre que cela arrive.
 
Martin: Pourquoi ne vous a-t-on pas tué à vous aussi ?
Phelps: Parce que je suis immortel, jusqu'à ce que le Seigneur sera à mes côtés. Je suis un calviniste et un baptiste, et nous croyons en la souveraineté de Dieu. Et tant que nous évoluons dans Sa volonté, ils ne peuvent pas nous toucher, indépendamment de leur puissance.
 
Martin: C'est pourquoi nous avons cette conversation ?
 
Phelps: C'est pourquoi nous sommes d'avoir la conversation en effet. Ne pensez pas un seul instant qu'ils ne sont pas en train d’espionnaient par le téléphone ou autre. Ils le savent. La question est ici. Nous parlons d'une providence, Dieu souverain qui souhaite se déplacer, en utilisant des causes secondes, les hommes, tout comme le diable fait.
Le diable utilise toujours des causes secondes, les hommes. Donc, c'est un groupe d'hommes contre un autre groupe d'hommes, et un seul chemin mène vers le mal, et le vrai, celui de la bonté,  nous conduit vers Dieu tout-puissant.
Le problème est avec nous, il ya très peu d'hommes qui ne veulent plus croire en Dieu. Personne ne croit qu'il peut apporter plus. C'est juste une poignée d'entre nous qui disent: «Eh bien, nous allons faire Sa volonté, nous allons faire confiance en Son pouvoir."
Et comme les Hébreux se prépare à être jetés dans la fournaise ardente de Nebucadnetsar, notre Dieu est capable de nous délivrer. Nous allons dire la vérité!
 
Martin: Voyons ça ici. Je peux faire un grand nombre de questions. Il y en a tellement dans ’ensemble qui d’une certaine manière n’ont aucun rapport entre elles et aucun rapport avec notre époque actuelle, il n’y a que l’embarras du choix ! J'étais vraiment été étonné de lire dans votre livre toutes ces choses historiques qui se sont déroulées et qui sont en réalité que le résultat de choses décidées par de mauvaises personnes. Vous avez dédié le livre à quatre catholiques romains dont, j'en suis sûr, personne n'en a jamais entendu parler. Il s’agit de: Charles Chiniquy, Jérémie Crowley, Emmett McLaughlin, et Alberto Rivera. Pourquoi eux?
 
Phelps: Parce que ces hommes étaient des prêtres catholiques romains; ils ont quitté la prêtrise et dit la vérité sur ce qui se passait réellement. Et chacun d’entre eux, sauf un je pense Emmett McLaughlin, ont payé de leur vie. Chiniquy était la grand dénonciateur de l'assassinat du président Lincoln par les Jésuites, quand il a écrit son chef-d'œuvre « Fifty Years In The Church Of Rome » en 1886. Il prouve que Lincoln a été assassiné par les jésuites, et qu'ils ont été couvert par notre gouvernement en place à l'époque.
Jérémie Crowley: Ce prêtre était un grand Irlandais qui est venus ici et, voyant la corruption de l'archidiocèse de Chicago qui était vraiment corrompu, il l'a quitté et il l’a dénoncé. Et, bien sûr, plus tard, il est venu au Christ et devenu un « croyant de la Bible » ce qu’on appelle plus simplement un protestant. Les protestants d'aujourd'hui ne croient pas dans la Bible. Le protestantisme d'aujourd'hui est une coquille vide, qui n’est plus rien. Mais, à l'époque, en 1912, ils croyaient dans la Bible.
Crowley, alors, a dénoncé de nombreuses choses, et l'une des choses qu'il a dénoncé et qui m'a aidé dans mes recherches, c'est que il a averti que les jésuites, avec leurs Chevaliers de Colomb, qui, dit-il, s’appellent ainsi d'après Christophe Colomb, qui il nous raconte que Colomb était un Juif espagnol et un pirate et un déflorateur des jeunes filles. Bref, Colomb n’était pas chrétiens.
Il a une partie énorme dans son livre sur Christophe Colomb. Le but des Chevaliers de Colomb était de remplir la politique jésuitique, et une partie de cette politique était de restaurer le pouvoir temporel du Pape, car, vous vous souvenez, le pape l’avait perdu qu'en 1870 et ils ont voulu le récupérer. Et ils l'ont obtenu de retour avec Mussolini en 1929.
Eh bien, dans le livre que Crowley a écrit en 1912, il dit que Taft et Teddy Roosevelt ont tous été des remorques à vaches (cow-towing) pour le pape et les cardinaux de New York. Et il dit aussi: ils vont utiliser notre armée pour rétablir le pouvoir temporel du Pape dans le monde.
Ce qui a été absolument correct. C'est la politique étrangère américaine. Et le Concile de Trente est la politique étrangère américaine d'aujourd'hui. C'est ce qui se passe en Serbie et en Bosnie. C'est le Concile de Trente, les jésuites se servent de l'American Air Force pour réduire  ces gens orthodoxes en miettes. Mais, ceci était une grande contribution de Crowley.
Ensuite, Emmett McLaughlin a écrit plusieurs livres. Il a écrit « Padre populaire », il a écrit « La criminalité et l'immoralité dans l'Eglise catholique », en montrant que les nations catholiques sont plus méchantes et plus criminelles que les peuples protestants, et il l'a prouvé avec les statistiques dans les prisons.
Emmett McLaughlin a également écrit un autre livre appelé « The Assassination Of Abraham Lincoln », où il a à nouveau démontré que Lincoln avait été assassiné par les Jésuites. Donci, Emmett McLaughlin est sorti de l'Église catholique. A ma connaissance, il n’est jamais né à nouveau. Il n'a jamais été sauvé, mais il nous dit la vérité. Il a épousé une nonne, et a vécu une vie vertueuse et honorable après son départ des  ordres.
Le dernier a été, bien sûr, Alberto Rivera, qui a été fortement détesté par le Vatican parce qu'il était un très haut jésuites qui en est sorti et qui vers dans la fin des années 60, environ 1969, dénonça le pouvoir de Rome dans le mouvement œcuménique, ce Rome qui contrôle Kathryn Kuhlman, ce Rome qui contrôle Billy Graham; et toujours ce même Rome qui contrôlait virtuellement notre gouvernement Reagan.
Reagan, qui au moment de prêter serment face à l’obélisque , indiqua que ce pays aurait finalement obtenu un concordat. Alberto Rivera converti au Christ merveilleusement, a fondé  un ministère appeléThe Anti-Christ Information Center, qui se trouve en dehors de Los Angeles.
Ils ont essayé de le tuer à cinq reprises. Un dentiste avait coincé une aiguille entre ses dents, en essayant ainsi de lui provoquer une infection au cerveau. Quand  cela est arrivé un an ou deux plus tard, personne n’arrivait à comprendre. Tout le monde priait pour lui. Et cela a été découvert quand il est allé voir un autre dentiste qui finit par lui enlever cette fameuse aiguille.
Il a été poussé à l'avant d'une rame de métro. Par cinq fois, ils ont essayé de tuer cet homme qui est finalement mort, je crois, du cancer dans un hôpital il y a trois ans. Mais ces quatre merveilleux, grands prêtres catholiques faisaient de leur mieux pour dénoncer la puissance de Rome et ses tentatives de destruction de Notre Souverain. Et donc, c’est à eux que j’ai dédié mon livre.
 
Martin: Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ce livre ? Comment cela a-t-il commencé?
 
Phelps: On m'a toujours enseigné à être un patriote, un patriote avant tout de l'Amérique en premier, et du reste du monde en deuxième. Plus tard, quand j’en suis venu à connaître le Seigneur, à 17 ans, j'ai réalisé que la Bible enseignait la même chose que  le Seigneur qui  avait institué les nations. Le Seigneur n'a jamais institué les gouvernements du monde ; ceci a toujours était une œuvre du diable.
Donc, être un patriote et un nationaliste c’est croire en la souveraineté nationale, j'ai été sauvé à 17 ans, je suis entré dans l'Air Force, j’ai été mis en garnison dans une zone d'armes nucléaires pendant trois ans en Allemagne, je suis revenue et j’ai commencé à aller à la Bible College.
Quand je suis allé au collège biblique, j’ai découvert la version que la Bible du Roi Jacques était une version archaïque. Et c'est pour cela que depuis je l’ai toujours utilisé et que je ne la quitterais jamais. Certains utilisent la version VNI, d’autre celle de Segond, et j'ai pensé: ". Eh bien, c'est peut-être juste une version moderne de celle que j'ai ici ! Et bien, si ils veulent utiliser celles ci, c'est bien, mais j’utiliserais cella du Roi Jacques».
J'ai trouvé que le texte sous-jacent grec pour la Roi Jacques, le Textus Receptus, était le texte grec de la Réformé. Il représente 95% des manuscrits existants que nous avons aujourd'hui. Le texte grec sous-jacent toutes ces versions n’est autre que le texte grec appelé Westcott and Hort grec, dont j’ai découvert par la suite être un texte  visant à dénaturer le Textus Receptus en Angleterre, rédigé par Brooke Foss Westcott et Anthony Hort, qui étaient Marianistes, des adorateurs de Marie.
Plus tard, j'ai découvert qu'ils avaient invité le Cardinal Newman à assister à la Commission de révision. Eh bien, le cardinal Newman était un traître à l'Église anglicane, avec sa piste 90, qui avait balayé l'Eglise anglicane. Il a ensuite quitté l'Angleterre et il fût nommé alors cardinal par Pie IX.
 
Donc, nous avons ici le cardinal Newman, et EB Pusey, qui avaient été invité à siéger à ce comité de révision, donnant pour résultat final un texte grec se basant sur le Latin Vulgate de Jérôme de Stridon. Le Latin Vulgate de Jérôme Stridon  sert de base au  texte jésuite Douay-Reheim qui a été édité en 1582, et qui tentait de rivaliser avec le texte anglais de William Tyndale, qui devint plus tard la version King James de 1611.
 
Alors maintenant, je voyais cette terrible main Jésuite dans mon collège biblique, qui essayait de me priver de la Parole de Dieu,  la version autorisée de 1611, dans cette présente édition de 1769. Et je pensais "Eh bien, si les jésuites sont ici, derrière quelles autres choses peuvent-ils se trouver?" C’est ainsi que ma seconde « découverte » fut l'assassinat de Lincoln. Et je me souviens d’avoir lu le livre de Burke McCarty « The Suppressed Truth About The Assassination Of Abraham Lincoln » en pleurant au fond d’une salle, quand j'étais au collège.
 
Martin: Pour moi, l'une des parties les plus convaincantes de votre livre a été la série de révélations sur Lincoln. J'ai été stupéfait par cela.
 
Phelps: C'est ce qu'ils ont fait. Rappelez-vous, Lincoln n'était pas d’accord  avec le 14e amendement. Il voulait  que les Etats du Sud réintègrent l'Union sur le même pied qu'ils avaient quitté, ce qui nous aurait laissé une République fédérale  comme Washington l’avait établi. Et ça les jésuites ne le voulaient pas. Ils voulaient les convertir en un empire. Les Etats seraient été des provinces subordonnées à Washington. Et le 14e amendement aurait accompli ceci avec la réversion de la citoyenneté. Lincoln fut réélu, et il était prêt à mettre fin à cela, et c'est pourquoi ils l'ont tué. Kennedy était prêt à mettre en œuvre ses propres affaires, ils ne l’auraient pas laissé se faire réélire.
 
Martin: C'est pas mal pensé. Avez-vous jamais était confronté à la Bible de Jefferson?
 
Phelps: La Bible de Jefferson, comme peut-être vous le savez, est Matthieu, Marc et Luc. Et Thomas Jefferson, étant le déiste, était le païen qu'il était, et couper tout le surnaturel de ces trois évangiles. Jefferson était un déiste, il a été impliqué avec les francs-maçons français qui ont participé à la Révolution française, et il n'était pas là lors de la rédaction de notre Constitution protestante. Alors, le Seigneur l'a mis hors de l'image
 
Benjamin Franklin, John Adams & Thomas Jefferson    
Jefferson était simplement utilisé pour aider la Révolution, parce que le Seigneur n’utilise pas les impies pour les bonnes choses. Mais Jefferson copia une grande partie de la Déclaration d'indépendance de la Déclaration de Mecklembourg, écrite par des presbytériens calvinistes de Caroline du Nord, quand ce comté de Mecklembourg cessa les colonies.
 
Martin: Jamais entendu parler.
 
Phelps: Oui, vous le trouverez dans les écrits presbytériens. Vous pouvez les trouver à partir de D. James Kennedy, il a une chose sur ça. Et Jefferson a copié la fin: "... et à cette fin, nous consacrons notre vie, nos fortunes et notre honneur sacré."
Qui a été copié directement de la Déclaration Mecklembourg. Jefferson était un plagiaire, il a été un franc-maçon de haut degré, et il n’était pas là au moment de la rédaction de notre Constitution. Et la raison pour laquelle les gens de Virginie l'élire au bureau parce qu'il était l'homme d'un Etat des droits. Il voulait des pouvoirs limités à Washington, et que c'était une bonne chose. Et quand Jefferson a été élu, il a défait tout ce que le roi-président John Adams avait fait, avec son Alien & Sedition Laws, parce que John Adams voulait être un roi, et Jefferson ne le voulait pas et Jefferson obtenu deux mandats pour cela.
 
Martin: Je suis à la recherche des choses qui sont un peu plus en arrière maintenant. Les Monita secreta. Quelle est la signification de cela?
 
Phelps: les instructions secrètes (extraits à la fin de cette interview) sont les manuels qui sont donnés aux jésuites profès, ces sous serment extrêmes. (Le serment est présenté dans son intégralité à la fin de cette interview.) Et elles leur dit comment mener leurs plans, subjuguant les peuples et les nations à l'Assemblée générale des jésuites, et, par conséquent, au pouvoir temporel du Pape. Elles expliquent comment tromper, comment escroquer de riches veuves de leurs fortunes, comme ils l’ont fait avec la seconde épouse d'Astor qui avait survécu à la catastrophe du Titanic. Elles leurs expliquent leur approche générale sur la façon de faire les choses.
 
Ce livre en particulier ne peut être connu, et si jamais il viendrait publié, ils nieront  son existence. Mais quand vous voyez les œuvres que les jésuites ont fait, c'est en complet accord avec les Monita secreta.
Il y’a une partie très intéressante dans le livre d’ Edwin R. Sherwin « The Engineer Core Of Hell » écrit en 1886 je crois, une autre œuvre supprimée. C'est habituellement dans les archives de toutes les anciennes bibliothèques. Et il montre comment cette Monita Secreta a été découverte en Amérique du Sud par un franc-maçon, et le maçon a réussi à s'échapper d'une loge après avoir été abattu. Il porta laMonita Secreta à sa loge, et de ce fait, certains de ces francs-maçons on pu voir les Monita Secreta. Il y a certains francs-maçons de bas niveau qui croient que l'Ordre des Jésuites est leur ennemi, c'est pourquoi les Monita Secreta ont été prises à la loge et ont ensuite été publiées. Mais les francs-maçons de haut niveau, bien sûr, travaillent avec eux. Les Monita Secreta ont été découvertes une fois et c’est de cette façon. Elles ont été publiées en Hollande. Puis, en 1857, réimprimées en Angleterre.
 
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3 décembre 2013

Le secret occulte des STARS de la musique comme instrument de séduction et de domination des ames

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Le  Démon "PAN", d'où, la flûte de Pan, un instrument de musique.

Selon la tradition les plus beaux chants reviennent au Diable, le diable a toujours exploité ou apprecié le pouvoir de la musique comme instrument de séduction ou de domination des ames. Le diable serait un musicien virtuose dépassant de loin tout art humain mais s'incarnant parfois dans certains instrumentalistes élus. Ceux qui ont entendu la musique du diable ou rencontré le diable musicien et qui ont survécu suffisament longtemps pour nous donner leurs impressions sont toujours très clair dans leurs propos et nous donnent des précisions souvent tres detaillés. Il se presente sous diferentes formes selon les époques dans la bible, il etait parmi les satyres, PAN (dieu antique) inventeur de la flute dont les mouvement de l'instrumentiste represente en réalité les danses tordus du diable.

L'Eglise chrétienne bien entendu avait toujours été consciente des dangers de la musique. Saint Augustin, Saint Basil, Saint Jean Chrysostome avaient tous denoncé ces sons seduisants,qui enivrent si rapidement les sens en affaiblissant l'ame.

Le secret caché des artistes sans talents -

Cette Vidéo vous démontrera que n'importe quel personne du showbiz est amené à marchander son âme ou être mis à l'écart des médias, plus d'un a fait le pas ce qui explique la teneur de leurs paroles qui n'est pas toujours compréhensible et pour cause, ils tentent en vérité de s'adresser à votre subconscient...faisant de vous des esclaves mentaux adulants toutes leurs actions et leurs apparitions et leurs produits, devenant vos maitres, commandants vos vies et vos gouts.

La face cachée de l'industrie du disque:

De nos jours, nombreux sont les Star très connus qui se sont voués corps et âmes dans le phénomène du "pacte" pour emprunter le chemin vers la gloire d'y gouter en pensant y revenir..mais ceux qui y ont goûté ne reviennent que rarement et leurs tendres nuits ne deviennent que rites et processions régulières.

Les vidéos suivantes sont extrêmement parlantes et pourtant jamais vous ne douteriez du réel contexte au vu de la médiatisation du succès des grandes Star Internationales, la réalité des faits peut vous paraître choquante mais rappelez-vous, nous ne vous présentons ici que la réalité..l'effort mentale que vous devrez réaliser (décider de vous même votre façon de vivre)  ces vidéos peuvent heurter les personnes non habituées aux sciences occultes et il sera très dure alors d'en accepter le contenu ,toutefois les faits dévoilés sont réelles et facilement repérable une fois initié .

La musique du Diable - Clip 1 sur 2 par crips_42
La musique du Diable - Clip 2 sur 2 par crips_42

23 novembre 2013

Yi He Tuan, du Dragon Vert et des organisations secrètes chinoises

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 La première fois que la presse parlera du Yi He Tuan, du Dragon Vert et des organisations secrètes qui grouillent dans toutes les villes de la diaspora chinoise.

Depuis des décennies, des grands maîtres puissants se sont organisés sous couvert de sectes religieuses, en véritables gangs. Ils dirigent le trafic de la drogue, contrôlent l'immigration à leur profit, régissent la traite des esclaves et les ateliers clandestins, manipulent les états civils, (les morts ne sont jamais déclarés, les papiers du défunt simplement transmis à un complice de la bande lui permettant de toucher allocations et retraites). Ils ont annexé et dévoyé les églises, créé des banques illégales, bref organisé une véritable économie parallèle et souterraine, formant un État dans l'État.

Ainsi, chaque jour des dizaines d'enfants, garçons et filles que l'on séquestre comme des bêtes, que l'on a fait jeûner de force durant plusieurs jours, sont embrigadés dans des clans. Ils se retrouvent dans des temples souterrains, bâtis dans des portions d'anciennes carrières condamnées par la construction de tours HLM, souvent comblées, mais parfois, mystérieusement détournées à des fins occultes ou criminelles.

Une redoutable mafia

Accueillis par des monstres effroyables, des dragons, des démons grimaçants, ces innocents catéchumènes, maigres, au bord de l'évanouissement, chantent tels des zombies, des chants mille fois répétés dans les cages où ils croupissent entre les offices d'endoctrinement.

De cassolettes de bronze montent les effluves entêtants de l'encens. Ici et là, des flammes vascillent dans des vasques de terre cuite. Ces enfants se sentent légers, un peu ivres (car la faim rend ivre). Suivant un long cérémonial, des maîtres de cérémonie au visage dissimulé derrière un masque hideux leur apportent à chacun un papier de soie couleur safran pour les garçons, écarlate pour les filles, sur lesquel sont peints des formules magiques, sous forme de différents pictogrammes. Ils regardent les caractères sacrés, s'en imprègnent un instant, tandis que les officiants ânonnent des formules magiques, puis vont brûler le message occulte dans les vasques. Les cendres recueillies sont mélangées à un breuvage âcre et fort, à base de thé et de stupéfiants, qu'ils boivent avec recueillement.

Luo Feng

Nous savons que les sociétés secrètes chinoises comme la Triade ou le Lotus Blanc ont des ramifications en Europe. Dans ses différents ouvrages Roger Faligot nous en dévoile les secrets.
 http://www.science-et-magie.com/SECTES/dragonvert.htm

 

19 novembre 2013

Doc Le Temple de Salomon" une série les origines de la franc-maçonnerie, la Kabbale,et la magie noire

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20 octobre 2013

Le pape Innocent III, inspirateur de la 4e Croisade des chrétiens contre les chrétiens

 

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La Quatrième Croisade fut la Croisade des chrétiens contre d'autres chrétiens. Ce ne fut plus une "guerre sainte" de la Croix contre le Croissant mais d'une Croix contre une autre Croix. C'est le pape Innocent III, inspirateur de la Croisade contre les chrétiens "hérétiques" Albigeois qui prêcha la Quatrième Croisade "contre les Infidèles". En réalité cette croisade fut dirigée par une coalition des Occidentaux avec les Marchands de Venise contre les chrétiens de Byzance, leurs concurrents commerciaux. Elle eut comme prélude le massacre des habitants de la ville hongroise de Zara, dont le pillage eut pour résultat que les coalisés s'entrégorgèrent pour le partage du butin. Il n'y a pas de preuve plus "flagrante" des "grands élans idéalistes" des croisés que cette Quatrième Croisade.
   Constantinople fut pour cette Croisade le théâtre de pillages, viols, massacres de chrétiens, incendies volontaires et profanation d'Autels d' Églises chrétiennes, sans précédant dans l'Histoire, comme écrit Sir Runciman. Voici en quels termes cet historien anglais exprime son indignation sur le comportement des croisés à la prise de la chrétienne Constantinople par d'autres chrétiens :

"La mise à sac de Constantinople est sans précédant dans l'Histoire. Durant neuf siècles la grande cité avait été la capitale de la Civilisation Chrétienne. Elle était pleine d'oeuvres d'art qui avaient survécu depuis la Grèce Antique et des chefs-d'oeuvre de ses exquis artisans. Les Vénitiens savaient apprécier en effet la valeur de ces choses. N'importe où ils le pouvaient, ils mettaient la main sur les trésors et les amenaient pour orner les squares, Églises et palais de leur Ville. Les Français et les Flamands étaient par contre remplis du désir de destruction. Ils se jetaient dans les rues en foule hurlante. Dans les maisons ils s'emparaient de tout ce qui étincelait, détruisant tout ce qu'ils ne pouvaient pas amener ; ne faisant de pause que pour assassiner, enlever des femmes ou défoncer des portes de caves à vin pour se rafraîchir. Pas plus les Monastères que les Églises ou les bibliothèques ne furent épargnées. Dans Sainte Sophie même (la célèbre Basilique) des soldats ivres arrachaient des livres sacrés, des icônes et des ornements, pour les piétiner. Pendant qu'ils buvaient dans les récipients de l'Autel, une prostituée s'assit sur le trône du Patriarche pour chanter des chansons françaises ribaudes. Des Nones étaient enlevées de leurs couvents. On entrait et détruisait aussi bien les palais que les chaumières. Des femmes et des enfants blessés gisaient mourant dans les rues. Les pillages et les effusions de sang durèrent pendant trois jours, jusqu'à ce que la vaste et jolie ville devint un abattoir. Même les Sarrasins auraient été plus miséricordieux s'était écrié l'historien Niketas, avec raison.
Tout cela se passa le lendemain du jour où les croisés s'emparèrent de la ville et en devinrent les maîtres absolus ; Constantinople avait capitulé sans conditions. Malgré cela, le Doge Dandolo et les Francs, après s'être déjà partagé les dépouilles de l'empire byzantin sans se battre entre eux , donnèrent à leur soldatesque le feu vert pour la mise à sac. Ils avaient pourtant eu toute la nuit pour méditer sur la façon de se comporter envers leurs frères en Jésus Christ qui gisaient sans défense à leurs pieds :
"Il n'y eut jamais plus grand crime contre l'Humanité que la Quatrième Croisade. Elle détruisit et dispersa tous les trésors du passé que Byzance avait entassé avec dévotion, et blessa mortellement une civilisation qui était encore active et grande."

 Ce fut cette IVème Croisade des "Chrétiens" qui anéantit l'Empire Byzantin et non Sultan Mehmet Fatih, qui, en 1453, ne donna que le coup de grâce. Jamais n'exista dans l'Histoire de l'Humanité une civilisation qui poussa sa soif de pillage au point de profaner ses propres Temples. L'Homme Blanc n'a-t-il pas mis à feu et à sang ce qui fut sa propre capitale spirituelle ? De même lorsqu'en 1527 la soldatesque du "Bouclier de la Santa Fé Catolica", Charles V, maltraita et mit en prison son Souverain Pontife Clément VII, viola les Nones et pilla les Églises de la Ville Eternelle ? Les hommes chargés par la Couronne d'Espagne de "christianiser" les Indiens n'ont-ils pas attaqué le 4 Mars 1530, à coup de lance, une procession de l'Église de Mexico défilant avec des Croix en Deuil et son évêque Fray D. Juan de Zumárraga à sa tête, pour protester contre les conquistadores de l'Antéchrist qui avaient prostitué en Amérique leur religion ? Et ces Croisés de la "Guerre Sainte" de l'Église-Maison de Sa Gracieuse Majesté Britannique, ces Drake, Hawkins et leurs bandes d'impitoyables pirates qui pillèrent et saccagèrent partout des Églises catholiques assassinant prêtres, femmes, enfants et vieillards pour mériter d'être anoblis par leur "Grande Reine Elizabeth" ?   Non, ils n'étaient ni Arabes, ni Mongols, ni Turcs, ni quelconques Asiates les créatures de l'Homme Blanc qui violèrent les fiancées du Christ dans leurs couvents à Constantinople. Un de ces Vandales, laissant son sabre (pour un instant), prit sa plume pour nous décrire lui-même, de sa main d'assassin, la mentalité et la "morale" de ses compères, ainsi que leur conception du christianisme occidentalisé . Geoffroi de Villehardouin, Maréchal de Champagne et Romania réunies, un des acteurs des massacres et mise à sac de Constantinople, à la fin du chapitre XII de sa Chronique , et après avoir énuméré les résidences que se choisirent les nobles chefs, écrit :

"le reste de l'armée s'éparpilla à travers la ville et gagna beaucoup de butin ; de si grande quantité que personne aurait pu estimer le montant de sa valeur. Il comprenait de l'or, de l'argent, des services de table, des pierres précieuses, du satin, de la soie, des manteaux de fourrures d'écureuil, de petit gris et d'hermine, et tout objet de choix que l'on puisse trouver sur cette terre. Geoffroi de Villehardouin déclare ici que, à sa connaissance, tant de butin n'a jamais été gagné en aucune cité depuis la création du monde.
   Chacun prit quartier où il lui avait plu, et il ne manquait pas des fines demeures en cette ville. Aussi les troupes des Croisés et des Vénitiens étaient installées comme il faut. Ils s'en réjouirent tous, et remercièrent Notre Seigneur pour l'honneur et la victoire que leur accorda ; de sorte que ceux qui avaient été pauvres vivaient maintenant dans la richesse et le luxe. Ils célébrèrent ainsi les Rameaux et Pâques suivantes avec des coeurs pleins de joie pour les faveurs dont Notre Seigneur et Sauveur les combla. Et ils peuvent Le louer, puisque toute leur armée, ne s'élevait pas à plus de vingt mille hommes, et avec Son aide ils conquirent quatre cents mille et plus ; et cela à la plus grande, la plus puissante, et la plus solidement fortifiée ville du. monde."

   Et tout cela "avec l'aide de Notre Seigneur et Sauveur". A quoi bon sans cela devenir chrétien si le Christ ne vous aide pas à tuer pour pouvoir vivre "dans la richesse et le luxe". Des "Grands Élans Idéalistes" comme dirait Louis Bréhier.
   Le Conquistador Bernal Diaz del Castillo, qui écrivit la Chronique de la prise de la Gran Tenotchtitlán, le fit avec plus de pudeur alors que les Aztèques n'étaient pas ses "frères en Jésus Christ". C'est pour cela que le chroniqueur byzantin Doucas (à l'occasion du siège de Constantinople en 1453 par le Sultan Mehmet Fatih) écrit :

"Si en ce moment un Ange était vraiment descendu du Ciel pour annoncer : 'acceptez le réunification des Églises et je chasserai l'ennemi de la ville', ils n'auraient quand même pas accepté ; ils auraient préféré être livrés aux Turcs plutôt qu'à l'Église de Rome."

   Ils ne pouvaient pas accepter de se soumettre à l'intolérance de Rome envers les "hérétiques" ou "schismatiques", sachant très bien qu'en Islam on gardait ses traditions et sa liberté de louer Dieu comme on l'entendait. Au sujet de la tolérance religieuse de l'Islam envers tous ses sujets, l'historien espagnol Americo CASTRO rappelle ce que fut l'occupation musulmane de l'Espagne durant huit siècles :

"Coexistence de chrétiens, maures et juifs ; modèle prestigieux de tolérance islamique."

   Aujourd'hui un théologien anglais confirme le chroniqueur byzantin Doucas, cité ci-haut, en écrivant au sujet de la prise de Constantinople en 1455 par les Turcs :

 

"Ce n'était pas un changement facile, mais les Turcs le rendirent moins dur eux-mêmes, car ils traitèrent leurs sujets chrétiens avec une remarquable générosité. Les mahométans du 15e siècle étaient de loin plus tolérants envers les chrétiens, que les chrétiens occidentaux l'étaient entre eux."

On est en droit de se demander où certains historiens ont été cherché leurs informations sur les Églises chrétiennes persécutées par les Turcs, pour justifier les Croisades dites "libératrices".
   En préférant "plutôt le Turc que le pape"  les Grecs de Byzance, pour une fois dans leur Histoire, ont su faire l'unanimité dans leurs rangs, et ils la firent avec clairvoyance. Les Turcs se comportèrent toujours sur le terrain religieux comme culturel le plus libéralement du monde envers toute sorte de chrétiens ou Juifs. Ce ne fut jamais le cas des Génois, Catalans, Vénitiens ou Francs. Les Turcs étaient particulièrement admirateurs de la culture hellénistique. Le mot turc effendi  est un titre de noblesse que l'on donnait à un lettré seulement, à quelque classe sociale qu'il appartienne. Ce mot est dérivé du grec "Aphthendis", seigneur...
   Il n'est donc pas étonnant que les chrétiens d'Orient préférèrent vivre plutôt sous la domination turque que sous celle des "Frangui", comme Alexandre Nevski, le père de la patrie russe, avait préféré se soumettre au tribut des Tatars Mahométans plutôt que de se laisser envahir par les Chevaliers de l'Ordre Teutonique Allemand. Un détail additionnel au sujet de ces chevaliers autant affamés d'ESPACE VITAL (notion qui réapparut sous Hitler) que les croisés : ils y allaient avec la bénédiction d'Innocent IV. Car, quoique depuis Innocent III jusqu'à Innocent IV trois papes avaient occupé le Saint Siège, l'écrasement par les armes du christianisme "schismatique" russe restait le complément de la mise à sac précédée de carnage à Constantinople en 1204.
   Mais il n'y a pas eu que les Grecs pour préférer les Turcs aux Occidentaux. Il n'y a pas eu qu'Alexandre Nevski pour préférer devenir tributaire des Tatares musulmans, plutôt que de laisser envahir son pays par les Chevaliers allemands envoyés par Innocent IV. Les Chrétiens coptes d'Ethiopie eurent aussi leur choix à faire entre les missionnaires portugais et leurs bonnes relations avec les Arabes. Ils n'hésitèrent pas, heureusement pour eux, à expulser plutôt cette avant garde catéchiste au service du roi marchand d'épices Manuel 1er du Portugal, appelé Le Fortuné pour avoir fait fortune avec les épices que lui amena la soldatesque de Vasco da Gama. L'idole de ces missionnaires et de TOUT l'Occident, Vasco da Gama, fut ce monstre qui, en 1502, fit un ORADOUR-SUR-GLANE flottant (Hitler n'a rien inventé) des occupants d'un navire plein de pèlerins musulmans de retour de La Mecque pour montrer aux "Infidèles" la miséricorde "chrétienne".
   Tant les Chrétiens de Russie que ceux de l'Orient, après l'expérience des Croisades, préférèrent toujours avoir affaire aux Musulmans qu'aux "Chrétiens de l'Occident". Runciman en cite des très nombreux exemples :

 

"Le Patriarche de Jérusalem écrivait à son collègue de Constantinople : 'Ils (les Musulmans) sont justes, n'usent pas d'injustice et ne nous font pas violence.'."
"En Juin 1104 les habitants Arméniens d'Artah livrèrent leur ville aux Musulmans, enchantés d'échapper à la Tyrannie d'Antioche (Principauté franque de Bohémond)."

   Retombés de nouveau sous la Tyrannie des Occidentaux,

"Ils (les Chrétiens d'Antioche) se remémoraient avec nostalgie des temps où sous le juste gouvernement des Musulmans, ils pouvaient exercer leur Culte comme ils l'entendaient."

   Et résultat du "christianisme" des Occidentaux, à la cinquième Croisade, deux cents ans après la première,

 

"Les nouvelles de Palestine n'étaient pas encourageantes. Jacques de Vitry, qui y avait été envoyé comme évêque d'Acre, fit une relation amère de ce qu'il y avait trouvé en arrivant. Les Chrétiens d'Orient haïssaient les Latins et auraient préféré la domination musulmane."
http://www.basile-y.com/islam/isl2f.html
3 septembre 2013

Histoire secrète : Les Fils de Lamech et les deux colonnes de la Franc-Maçonnerie

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Avant le déluge de Noé, il y avait un homme appelé Lamech, qui avait deux femmes. L'une, Ada mit au monde deux fils, Jabel et Jubal, et de l'autre femme, il eut un fils appelé Tubalcaïn et une fille appelée Naama. Ces enfants inventèrent toutes les sciences et les métiers.

Jabel était l'aîné et il inventa la géométrie ; il possédait des troupeaux de moutons et ils eurent aux champs des agneaux, pour qui il fabriqua des abris de pierre et de bois, ainsi que vous pouvez le trouver dans le 4ème chapitre de la Genèse. Son frère Jubal inventa l'art de la musique vocale et instrumentale. Le troisième frère inventa le travail de la forge, tel que cuivre, acier et fer, et leur s¦ur inventa l'art du tissage.

Ces enfants surent que Dieu voulait tirer vengeance du monde à cause de ses péchés, soit par le feu, soit par l'eau. Désirant porter profit à la postérité, ils gravèrent ces sciences qu'ils avaient inventées sur des colonnes de pierre de façon qu'elles puissent être retrouvées après le déluge : l'une était en marbre, qui ne peut brûler, l'autre était en briques, qui résiste l'eau. (En réalité, c'est le contraire).

Hermorian - Nemrod

Après le déluge, le grand Hermorian fils de Cush et Cush était le fils de Cham, second fils de Noé fut appelé"le père de la sagesse", car il trouva ces colonnes après le déluge avec les sciences inscrites dessus : il les enseigna, lors de la construction de la Tour de Babylone, où il fut appelé Nemrod ou"puissant chasseur devant l'éternel". Nemrod pratiqua la maçonnerie à la demande du roi de Ninive son cousin. Il créa des maçons et les recommanda au seigneur du pays pour construire toutes sortes de constructions alors en vogue, et il leur enseigna des signes et des attouchements pour qu'ils puissent se reconnaître.

Les premières obligations

Qu'ils s'aiment les uns les autres et qu'ils servent le Seigneur du ciel d'un cœur vrai et sincère pour éviter sa vengeance future ;

Qu'ils soient honnêtes et droits et loyaux envers le seigneur leur patron, de façon que ledit Nemrod soit honoré de les lui avoir adressés ;

Qu'il n'y ait ni manœuvres, menées, division, dissimulation ni mésintelligence parmi eux, sans quoi Dieu les rendrait muets comme précédemment lorsqu'il confondit leur langage à cause de leur présomption.

Les obligations dictées par Euclide

Abraham, avec Sarah, sa femme, vint en Égypte et y enseigna les sept sciences aux égyptiens. Il eut en Égypte, un élève excellent, du nom d'Euclide. Ce jeune homme développa son talent au point qu'il surpassa tous les artistes, et il fit honneur à Abraham. C'était un grand expert et il prédisait les événements futurs.

En ce temps là, les seigneurs et les grands de ce pays eurent beaucoup d'enfants, de leurs femmes de leurs concubines, car l'égypte était alors propice pour procréer et il n'y avait pas suffisamment de quoi vivre pour ces enfants.

C'est pourquoi les grands du pays se préoccupèrent de la manière de subvenir aux besoins des enfants. Le roi du pays convoqua une assemblée pour délibérer sur la façon dont on pourrait les approvisionner, mais ils ne trouvèrent pas d'autre solution que de faire proclamer par tout le pays que si quelqu'un pouvait faire savoir quelles dispositions prendre au sujet de leurs jeunes gens, il serait bien récompensé pour sa peine et son dérangement. Après cette proclamation, survint l'excellent docteur Euclide qui dit au roi et à ses seigneurs :"Donnez-moi vos enfants afin que je les gouverne et les enseigne comme il convient à des gentilshommes et faites-moi une dotation suffisante afin que je les puisse régir et enseigner conformément à leur qualité et leur donner l'instruction que la science requiert". Le roi l'accorda et il scella cet accord par une charte.

Euclide, l'excellent clerc, prit les enfants des seigneurs et leur enseigna la science de la géométrie, à oeuvrer à toutes sortes d'excellents ouvrages de pierre, temples, églises, cloîtres, cités, châteaux, pyramides, tours et tous autres bâtiments. Il les organisa et leur enseigna à se reconnaître avec certitude.

Il confirma les coutumes de Nemrod :

- Qu'ils s'aiment les uns les autres ;

- Qu'ils gardent la loi de Dieu écrite en leurs cœurs ;

- Qu'ils gardent les secrets de la loge et les secrets les uns des autres ;

- Qu'ils s'appellent l'un l'autre"compagnon"et qu'ils s'abstiennent de toutes autres appellations;

- Qu'ils se comportent comme des hommes de l'art et non comme des rustres incultes ;

- Qu'ils choisissent l'un des plus sages d'entre eux pour être le maître des autres et superviser l'ouvrage ;

- Qu'ils ne trahissent pas, par amour ou envie de richesses, la confiance qu'on leur a accordée et qu'ils ne désignent personne qui manque d'intelligence comme maître d'œuvre du seigneur, afin que le métier ne puisse être cause de scandale ;

- Qu'ils appellent le gouverneur de l'œuvre"maître"durant le temps qu'ils travaillent avec lui.

Et Euclide écrivit pour eux un livre des Constitutions et leur fit jurer par le plus grand serment usité en ce temps-là qu'ils observeraient fidèlement toutes les prescriptions contenues dans les Constitutions de la Maçonnerie.

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