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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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inventeur des « blacks projects
23 décembre 2015

En 1934 Rife : L’inventeur de génie avait Trouvé comment guérir le Cancer, ni plus ni moins...

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L’histoire de Royal Rife est d’autant plus vraie qu’incroyable,

L’inventeur de génie qu’est Royal Raymond Rife n’est pas un autre Nicolas Tesla ... cette fois-ci une partie de ses découvertes ressort des oubliettes du temps.. où les faucons avaient tenté de l’y maintenir depuis ... 1920 !!!! elle ne peut PLUS être enfouie à jamais.

En 1934 Rife avait Trouvé (avec un Grand T) comment guérir le Cancer, ni plus ni moins... Il maîtrisera pour son époque une multitude de disciplines scientifiques, ce qui lui permettra de construire les pièces des instruments nécessaires pour l’avancement de ses propres recherches jusqu’en 1943.

cancer possède-t-il sa solution ?

Rife est né le 16 mai 1888 à Elkhorn dans le Nebraska et mourra à 83 ans le 5 Août 1971 au Grossmont Hospital probablement assassiné après avoir fuit à Tijuana au Mexique.

Dès 1920 Rife est le premier chercheur jamais reconnu, à avoir identifié et photographié le virus de la tuberculose.

A partir de 1920 tout s’accélère ; après de nombreuses inventions (principalement en optique), il invente un microscope prismatique nommé le microscope universel après plusieurs modèles , ainsi il observera des bactéries et des virus VIVANTS ; avec un agrandissement maximum pour le microscope n°3 (Los Angeles Times du matin 27nov.1931pg8) de 1/60.000 avec une résolution de 31.000 lui permettant cette observation du vivant en avance considérable sur son temps, ce qui n’est pas la caractéristique de résolution des microscopes électroniques qui apparaîtront bien plus tard.

Suite à ses expérimentations, il s’aperçoit dés 1915 que les virus ont une fréquence de réfraction à différents spectres lumineux ; cette découverte est fondamentale, chaque virus à sa propre fréquence de résonance, Rife tuera alors sous son microscope ces virus vivants qu’il nomme BX et BY (1932) et responsables formellement du cancer selon lui et qui proviennent de bactéries ; ce qui ne dénie pas non plus la prolifération cellulaire constatée lors d’un cancer par exemple et qui sera le cheval de bataille de Gaston Naessens plus tard en 1956 ; tout ceci pouvant s’intégrer à la théorie de Dirk Hamer sur le déclenchement du cancer.

Non loin de s’arrêter là ; Royal Rife (avec l’aide incontournable de Phillip Hoyland) fabriquera la machine tueuse de cancer avec un tube à plasma (1929-1943)(sous les spécifications du Docteur Gruner) à décharges (à l’Hélium) utilisant des ondes radio AM (modulation d’amplitudes) en carré après plusieurs niveaux d’amplification pour "casser" les VIRUS de la même manière qu’un verre peut être brisé par un accord en résonance ou même un pont s’écroulant par la marche cadencée d’une troupe. (Ce phénomène est bien connu). Les caractéristiques exactes de la machine Rife-Hoyland n’ont toujours pas été retrouvés.

A partir de 1947, rife travaillera avec Verne Thomson un expert en électronique de la police de San Diego et s’écartera de la voie trouvé par Hoyland ; l’appareil de 1947 (de Hoyland) attribué à Rife retrouvé par James Bare n’est plus une machine Hoyland, cet appareil construit par Hoyland pour le Dr.Yale, fut modifié par Thomson alors qu’il fonctionnait (contre le cancer) avant la modification, car Rife ne comprenait plus les modifications primordiales de Hoyland (pour guérir le Cancer et non tuer uniquement un ou plusieurs virus sous microscope) pour guérir le Cancer, il semble bien que la voie des multiples harmoniques n’a pas été comprise par Rife.

Les ondes émises par ce type de tube à plasma a la possibilité de détruire aussi des rickettsioses, protozoa, Streptocoque , herpes, Carcinoma, thyphoide, Tetanos,Cancer de source BX et BY et autres fungi. De plus l’appareil Rife-Hoyland a réussi à "casser" des virus de maladies bien différentes et qui ne trouvent pas de solutions aujourd’hui !

Après avoir isolé les virus cancéreux BX par filtration dans un environnement gaz rares, Rife re-créa le cancer chez des rats sains, et cela sur un nombre suffisant de cas en répétant 411 fois l’expérience, ce qui démontrait bien l’hypothèse de causalité virale à la source du cancer !

Un film de 1934 existe et montre la destruction de virus par les ondes émises par le plasma de son appareil, ainsi que les photos du tube originale.

En 1949, le Dr Couche confirmera avec le Dr Hett et Gruner qui suivent ses travaux et utilisent la machine : Le cancer est contrairement aux idées reçues, transmissible et contagieux, mais de faible virulence !

L’histoire de Royal Raymond Rife (Comme pour Antoine Priore) est stupéfiante ; il subsiste un rapport sur son microscope au Smithsonian Muséum. Sa machine à "casser" du virus semble avoir été largement décryptée, (ce qui n’est pas le cas de la machine Hoyland), malgré le raid et la destruction du centre de recherche de la Timken Roller Bearing co qui finance Rife et étaient les bénéficiaires de ses recherches ; des notes et le laboratoire de Rife ont été perdus et détruits et brulées dans les années 1950. Les pressions politiques se sont exercées sur les scientifiques utilisant la machine RIFE, et malgré un Black-out organisé de la grande presse (dans les mains des Rockfeller), les plans de la machine d’après 1943 à tubes plasma désormais reconstituée, sont disponibles en partie sur le net (pour la Machine originale) ou par James E. Bares D.C. et d’autres personnes liés de prêt ou de loin à Raymond Rife.

Les média et la TV nous baratine à épisodes réguliers et bien orchestrés pour une lutte contre le cancer afin de rechercher des solutions pharmaceutiques, mais surtout des DONS d’un généreux public ignare de l’histoire médicale ; se sont ces mêmes faucons qui solicitent leur dons, certains dépensent des millions de $ et œuvrent en coulisse à tous les niveaux décisionnaires et médicales pour que "La Solution" de Royal Raymond Rife ou Gaston Naessens ou Antoine Priore ainsi que les possibilités des microscopes à fréquences lumineuses soit toujours et reste largement inconnue !

Il a fallu à Rife un long chemin d’expérimentations de 40 ans (dans l’isolement, les financements se faisant rares après l’assassinat de Milbank Johnson et la destruction du laboratoire de Rife) avant l’arrivé de l’électronique de puissance, pour trouver une à une les fréquences de résonances pouvant briser 19 virus différents dont la syphilis, la poliomyélite, son virus BX, BY etc... Hélas pour guérir le cancer, il faut plus que tuer des virus sous un microscope, et Hoyland l’avait trouvé.

Ainsi Rife arrivera avec succès à arrêter les cancers de tous les 16 patients en phase terminale auxquels il s’attaque avec Milbank Johnson (avec 100% de réussite) entre 1934 et 1937 ; grace à Hoyland, mais plus après 1939-43 !

Mais les espoirs de cette nouvelle voie seront étouffés par des méthodes Gestapistes, car si cette thérapeutique électronique est un bond en avant, elle serait un recule sévère pour le chiffre d’affaire des fabricants de produits chimiques anti-cancéreux et tout le giron de ce jack-pot médicamenteux !

L’ invention de Rife dérange énormément, son "aide de camps" après 1943 John Crane sera condamné en 1961 à 10 ans de prison, sans aucun motif de preuve, il en ressortira après trois ans, son innocence reconnue. La liste des questions dans le cadre du procès contre John Crane et soumises à Rife réfugié au Mexique sont révélatrices des intentions des autorités de l’époque de remonter à la source pour tout étouffer, mais pour le compte de qui ?

Milbank Johnson son chef de projets membre de la loge maçonnique Alhambra sous le n°322 et plus tard de la loge Perfection (32e degré), meurt le 3 octobre 1944, après avoir été empoisonné (Empoisonnement révélé bien plus tard par exhumation), juste avant la conférence de presse où il s’apprête à diffuser les résultats de guérisons TOTALES des 16 patients en phase terminale du cancer qu’ils ont traités.

C’est l’infâme Morris Fishbein le président de l’Association Médicale Américaine qui tentera de racheter à Rife son invention, et sera à la source du conflit Rife Hoyland ; Rife refuse de vendre à Fishbein car il veux la commercialiser lui-même. Le Docteur Nemens qui a fait des copies de sauvegarde d’une partie des travaux de Rife à quelques kilomètres de son laboratoire est tué chez lui dans un mystérieux incendie. Alors les autres chercheurs amis pourtant de Rife dont l’éminence grise qu’est le DR. Kendall finiront par le renier et prendre une retraite avancée ; après monnaie sonnante et trébuchante... 200.000$ de l’époque !

L’AMA de Morris Fishbein saisira et détruira l’une des quatre machines (construite par Hoyland pour Rife) en circulation et en possession du Docteur Hamer, la machine du Docteur Couche soignera deux des seize patients en 1934, le Docteur Gruner n’osera plus utiliser sa machine au Canada de peur du milieu médical et elle se retrouvera chez un marchant en électronique ; la machine du Docteur Yale reviendra chez Rife, et seule la machine du docteur Couche soignera avec succès de nombreux patients atteinds de Cancer pendant 22 ans(sources).

Royal Raymond Rife meurt au Grossmont Hospital après avoir reçu « accidentellement, ou probablement volontairement » une dose de Valium, le 11 Août 1971. Hoyland finira fermier après sa dispute avec Rife et est probablement mort en 1967.

Après la déclaration de Nixon en décembre 1971 les faucons lanceront à coups de milliards la recherche avec un petit "r", contre le cancer, mais une recherche qui les arrange bien, une recherche sans fin qui continue aujourd’hui... probablement appuyé en secret par l’ EIS « Epidemiology Intelligence Service » Fondée en 1951 par Alexander Langmuir et branche du CDC « Centers for Disease Control » anciennement « Communicable Disease Center » lui même émanation du "The Rockefeller Syndicate".

 Une recherche sur un inconnu du nom de Rife, ne serait-elle pas profitable ?

On trouvera en anglais de nombreux sites qui diffusent les plans de sa machine, des fréquences classées pour chaque virus, voir l’historique, aux machines actuellement en ventes, et des listes de discussions afin de reconstruire une machine performante.

Le microscope universel portant le n°3 (composé de 5682 pièces !) de Rife à Prismes de Risley (recherches financé par le milliardaire Henry Timken, dont Rife était le chauffeur) semble avoir été escamoté à jamais, une version plus simple le n°5 « fabriqué pour le Docteur Gonin » se trouve en sécurité dans un musée à accès contrôlés à Londres, peut-être un autre dans la nature qui ressortira sans doute un jour, comme ressort aujourd’hui ses correspondances ainsi que la presse de l’époque témoignage du passé. Le microscope de Gaston Naessen lui existe toujours ; Gary Wade semble avoir trouvé les éléments et observations nécessaires à la re-fabrication du microscope Universel de Rife et passer outre la limite de diffraction de Fraunhofer.

Un individu suspect envoyé des Etats-Unis à Londres a tenté de détruire le microscope modèle n°5 de Bertram Gonin.

D’ après Gary Wade, c’est le U.S.C. Medical School Special Medical Research Committee qui détruira les résultats probants à 100%, des traitements sur malades du cancer obtenus par Rife et Johnson en 1934,1936,1937 (à qui profite le crime !).

Il semble bien que la clé du secret de Rife et Hoyland pour la destruction du virus Carcinoma ou « cancer » est l’utilisation en carré des deux fréquences radio AM l’une stable, l’autre variable, suivantes :

11.780.000 cycles et 17.045.555 cycles (Rife-Hoyland, 20 novembre 1932) pour donner un total de 28.825.455 cycles ! le tout envoyé vers l’INDISPENSABLE tube à Plasma après plusieurs niveaux d’amplifications et variation de tension ( beaucoup auront tourné autour du pot ! ). Ces deux fréquences en génèrent une troisème implicite ?

Le plus étrange, et toujours inexplicable, l’ effet positif de l’onde formé par le plasma de la lampe à décharge de Rife, passe à travers une cage de Faraday, à travers le métal ! (sauf le plomb), le béton et agirait donc dans l’ordre du lumineux !Tout ceci est incroyable oui, mais pas plus que d’apprendre aujourd’hui que le HIV ne donne pas le Sida (source : Peter Duesberg, Docteur Kary Mullis (Prix Nobel), Mark Griffiths, Mohammed Ali Al-Bayati, Juan Jose Flores Rodriguez, Otto Raabe, Len Horowitz (Harvard), Joan Shenton, Docteur Harvey Bialy, Docteur Roger Cunningham, Docteur Steven Jonas, Docteur Charles Thomas (Harvard + Hopkins Universities), le président Sud-Africain : Thabo Mbeki ) et la multitude de dissidents. La déclaration de DURBAN (qui n’a RIEN de scientifique) est clairement de la propagande orchestrée probablement par E.I.S.
Tout le monde croit que le sida provient du HIV par la propagande de l’ « Epidemiology Intelligence Service » ; hélas, il n’en est rien (cfr Dr Mullis prix NOBEL de chimie 1993), cela est une intoxication fabuleuse provenant d’une mauvaise lecture orchestrée des découvertes du professeur Montagnier et Robert Gallo ? Il n’existe en référence aucunes publications scientifiques (MULLIS) qui dit que le HIV donne le SIDA, et il n’y en aura pas (Car le HIV est une invention recomposé de fragments d’adn) dont on détecte les traces, on trouve des personnes ayant le sida sans HIV et l’inverse. Cela est également une information explosive ; car elle remet en cause certains médicaments et testes de dépistages et stratégies de Glaxo pour ne pas la nommer et d’autres fabricants dont l’intérêt découle directement de l’hypothèse fausse HIV = Sida, afin de donner à des prétendus malades du HIV (dont des enfants !) des médicaments anti-HIV, ce qui représente des sommes d’argents considérables (Et voici que la médecine conventionnelle et officielle les traite systématiquement à l’A.Z.T.(l’Azydothymidine supposée freiner la reproduction du virus) alors que l’A.Z.T. détruit les cellules T et les lymphocytes et ... même donnerait le sida dans certain cas en dépriment le système immunitaire à des innocents détectés séro-positif, ce qui ne signifie pas être atteind du Sida, mais avoir été en contact avec le HIV ou avoir un autre virus qui influence le teste de dépistage !

Le HIVI ou même HIVII sont des rétro virus et la machine de RIFE devrait être en mesure de les "casser" mais s’ils existent et non leurs traces ; le tout serai de connaître leurs fréquences adéquates de résonances (encore que le HIV n’a toujours pas été isolé par centrifugation, et ainsi son existence est même mise en cause !). Pour L’hépatite C, cela demanderai peu de temps à une équipe de chercheurs avec les puissances électroniques de notre époque. Une application laser cette fois, des fréquences lumineuses des virus serait aussi une autre voie. Attention, ceci ne coûterai pas si cher, et n’intéresse pas les pharmaciens !

John Crane est mort le 5 Juin 1995 au Vétérans Hospital in LaJoya en Californie il habitait : 4246 Pepper Drive, San Diego, CA 921O5 - USA.

On doit à John Crane des documents très probablement écrits par lui mais signés par Rife et on doit à Hoyland les modifications fondamentales perdues qui ont fait de machine de Rife sa miniaturisation et sa victoire contre le cancer en 1937.

SANS John Crane, ni Ron G. Rockwell (toujours vivant), ni John Marsh (lourdement persécuté), ni Phillip Hoyland et Barry Lynes pour son livre, cette aventure ne serait probablement pas parvenue à la connaissance du public.

 D’après Robert Cathey l’un de ses derniers mots fut :

Nous pouvons accomplir tellement de choses, si nous travaillons tous ensemble. Il est certain que Rife et John Crane seraient émerveillés de voir combien leur travail voit fleurir tant de chercheurs indépendants pour que ne soit pas perdu ce chaînon de l’histoire.
D’après les sources de Robert Cathey, le BX virus fut observé sous l’angle de 12 DEG 3/16 d’angle de réfraction du microscope universel, le virus du cancer BX ne résisterait pas à 42 degrés Celsius pendant 24h ; mais résiste au Rayon X, Ultra-violet et infra-rouge !
Comme l’histoire se répète avec des variantes, il existe d’autres personnages similaires à Royal Rife :

c’est Antoine Priore avec sa machine anti-cancer et Gaston Naessens avec son microscope à fréquences lumineuses qui fuira au Canada, son aventure mène au 714-X agent de traitement anticancéreux parallèle, mais hélas dont le brevet fut tronqué, ce qui entretient une polémique bien que le 714-X est efficace ; c’est aussi Harry Hoxsey qui guérira ses malades avec des herbes après avoir observé les chevaux se guérir du cancer, mais Morris Fishbein ne pouvant lui racheter sa méthode le persécuta. La France ne vaut pas mieux en matière d’élimination et éradication de ses savants découvreurs de nouvelles thérapeutiques, Mirko BELJANSKI un exemple de plus en 2001 ! Le Cancer est pourtant une maladie opportuniste : Virginia Livingston Wheeler, Dr. Eleanor Alexander-Jackson.

 PS : Le carnage continue :

La chimiothérapie (médication terre brûlée) chimique et médicamenteuse du cancer, laisse chaque année quelques survivants en attente de rechute (mais comptabilisé comme guérit) et quelques trillions de dollars de chiffre d’affaire annuel à l’industrie de la pilule (elle même ISSUE DES FAUCONS DE L’INDUSTRIE PETROLIERE de la STANDARD OIL and Co), et plombe les remboursements de la sécurité sociale, par un détournement de fonds qui ne se nomme pas ! A 600$ par jour le lit d’hôpital ; avec certains hôpitaux Américain pouvant demander à un patient cancéreux bien assuré jusqu’à 200.000$ pour un traitement classique.

 "Tout le monde devrait le savoir, la plupart de la recherche sur le Cancer est une Fraude..." Linus Pauling PhD (1901-1994) deux fois prix Nobel.

Le temps de lire cet article et 11 Européens sont mort du cancer.
31 ans après la fameuse déclaration de Nixon "la guerre au cancer", et après 30 milliards de dollars de recherche
l’on prescrit toujours les mêmes méthodes : chimiothérapie, rayonsX , opérations ; pourquoi ?

Maintenant vous avez un début de réponse.

La recherche (actuelle) n’a AUCUN intérêt en un système qui guéri totalement du cancer et encore moins des virus et de surcroît d’une machine qui se passerait de l’industrie pharmaceutique.

Alors, à ceux qui ont le culot de dire, mais si on savait guérir le cancer, cela se saurait, je leur dis, cela se sait, c’est vous qui l’ignorez, vous ne faites rien pour savoir et de plus vous faites des dons à ceux qui censurent cette information depuis plus de 30 ans, et vont jusqu’à assassiner les personnes et le progrès qui ne va pas dans leur direction.

Ironie de l’histoire, de nouvelles maladies autres que des virus apparaissent, le prion...

En inversant la vapeur, c’est une nouvelle ère qui s’ouvrirait, si la Thérapeutique électronique se développait sans entraves. Pourtant la clé est simple, c’est l’argent, il faut couper le robinet de cette pompe à fric "chimio" et vite... et démanteler l’ EIS « Epidemiology Intelligence Service » .

Suspendez ou réorientez vos dons, il n’est plus besoin d’espérer pour pouvoir entreprendre une vraie thérapeutique électronique à grande échelle. Ainsi l’Oscilloclast d’Albert Abrams M.D. 1925 sera un vestige de musée.

DCarre20 chez hotmail.com

Qui pourrait retrouver ce microscope prismatique universel ?


Attention seules les machines de type Rife utilisant un tube à plasma sont efficaces contre les virus, pour guérir totalement le cancer la machine de Rife-Hoyland est en bonne voie de reconstruction.

Un tube à plasma est potentiellement dangereux et pourrait être fatale en cas de mauvaise utilisation, d’abus, de négligence, de mauvaises intentions, ou par non familiarisation aux appareils électriques à haute-tension et électromagnétiques.

L’expérience a montrée lors de la destruction des cellules par l’influence des ondes produites par le plasma de l’appareil de Rife, un grand nombre de débris cellulaires, des réactions de Schwartzmann, qui peuvent causer des blessures, ou des réactions allergiques à ces débris, ou si il y en a trop qui s’accumulent et provoquer un blocage. Si ce blocage se produisait dans des vaisseaux sanguins cela pourrait être fatal. Attention aux charlatans qui vendent des machines sans tube à plasma !

Les machines actuellement en circulation ont des succès mais mitigés contre les différents cancers et n’ont toujours pas égalé la machine Rife-Hoyland de 1937-1939.

Les expositions à cet appareil, doivent donc être temporisées, les puissances en watt maîtrisées, et il est recommandé de prendre avis chez les 2000 utilisateurs actuels des machines dans le monde, et de lire les notes de James Bares à ce propos..

Ci-dessous une liste non exhaustive de sites Internet anglophones à propos de Rife :

Le site le plus complet, historique, lettres etc. Pas mal aussi

Les histoires controversées dont Rife sur :

http://medicaltruth.com/rife/sightings.html
http://www.wairereboulders.co.nz/schaad/healing.htm

Belles photos de tubes à décharges chez ce fournisseur : TEXAS Tubes, la méga-puissance en directe au service des bricoleurs ! (Ils sont fous ces Ricains !) :

System 6C EM+ Radiant Plasma Resonant Frequency Generator, ausii Pacific Rife Supply

http://www.dfe.net/links_rb.html

Distributeur de Machines utilisant le procéder attribué à Rife, plus trois années d’évaluations du procéder de 1996,1997,1998 RifeBare Systems :

rifegenerators

Merci à ceux qui ont dépensé beaucoup de leur argent pour retrouver tous ces documents : Jason Ringas and Shawn Montgomery of the RIFE RESEARCH GROUP OF CANADA EMAIL : hepcat chez idirect.com

http://www.sightings.com/products/biotec.htm

La conférence internationale 2000 sur Rife

Listing de Médecins pour traitement en Afrique du Sud site Internet de Rife Resonator (attention aux machines sans tubes !) :

Horizon Technologies

Rife Frequencies Forum

Fabricant Allemand : VEGA Grieshaber KG mail : info chez vegatest.com

http://www.keelynet.com/rife/page6.htm

http://www.lauralee.com/rife.htm

Crane et Ron G.Rockwell Machine de Rife faite par son ingénieur depuis 1964, cette machine porte le nom : RPG-900 )

BioPet Remedy Maker mailto:heal chez rifefrequency.com (dupliquer vos médicaments homéophatiques)

http://emfpollutionsolutions.com/rifestory.htm(Qui est cet homme ?)

THERAPIE AUX ONDES ELECTROMAGNETIQUES D’INFORMATION (TOEI)
Serguei Sitko, l’inventeur de la MRT, et son ex-disciple Nicholas Kolbun.

VIRUS DISPARU £ 1000 Reward récompense de 1000 Livre Sterling pour retrouver le Virus HIV (il a disparu !).

EIS - Epidemiology Intelligence Service - Class of 1976

http://www.healthresearchbooks.com/articles/shampoo.htm substance cancereuse dans vos shampoins (Sodium Laureth Sulfate).

Mots clés pour recherches ultérieurs sur Internet :

Milbank Johnson ; BelBank ; Georges Lathovsky ; Antoine Priore ; Thomas Rivers, Alving Foord, AstroPulse ; NatureTronics, Dr. James Bare ; Robert Cathey ; Dr. Kendall, Jean-Claude Mainguy, Andrei G. Pakhomov, John Crane, Michael Forrest, Louis C. Kervan, Panos T. Pappas, Tom Bearden, Bill Cheb, Dr.Karl Meyer, Dr Geroge Dock,Graton-Dane, Dr Gonin, Jack Free, Ron G. Rockwell, RPG-900 RIFE Frequency Generator, Crane Foundation/Rockwell Scientific Research, Lynn Kinney , Lon Schultz, Richard Burgess , Michael Lindell, John Emerson, Gaston Naessens, BioPet Remedy Maker, Stretta System, Dr. Frumusan, MM. Marinesco Jones-co Sizesti, Abel Martin, Charles-Henry, Gurvitsch, Magrou, Ige Kornbloch, le Baron de Dorlodot, M.Larvaron,Blood electrification. Patent 5139684, Epidemic Intelligence Service ; Rockefeller Drug Censor Empire by Hans Ruesch, Tony J Pagdin, Jimmie L. Holman.


LES L I V R E S (très peu d’entre eux sont traduits en Français ! Que font les éditeurs Français !) :

Du Docteur James E. Bares D.C. ; vous trouverez chez Plasma Sonics tout pour fabriquer votre machine :

Resonant Frequency Therapy : Building the Rife Beam Ray Device 1995

Plasma Sonics Ltd. Co. 8005 MARBLE AVE.NE ALBUQUERQUE, NM 87110 USA

dépêchez vous, il est encore temps !

résumé du livre ----> 1 ou à acheter chez borderlands


The Cancer Cure That Worked 50 Years of Suppression by Barry Lynes

Livre en anglais incontournable sur l’historique de Royal Rife, les fréquences qui guérissent le cancer, son microscope Universel.

Extrait du livre------> 1, 2 , Photo du livre chez Amazon.com chez Biosolutions


Royal R. RifefHHumanitarian ISBN : 0-9659613-1-1

T. Plasma Publishing PO Box 1793 Spring Valley, CA 91979 USA


Le cas Prioré de J-P. Bader ISBN : 2709603039 chez Amazon.com

Antoine Priore autre génie et sa machine pour guérir le cancer.


The Cure For All Advanced Cancers de Dr. Hulda Regehr Clark

chez Amazon.com chez Biosolutions


The Cure for All Diseases de Dr. Hulda Regehr Clark chez Amazon.com


Racketeering in MedicineThe Suppression of Alternatives de James P. Carter chez Amazon.com


The Medical Mafia Guylaine Lanctot chez Amazon.com


The Body Electric de Robert O’Becker et Gary Selden chez Amazon.com


The Healing of Cancer par Barry Lynes

Livre en anglais incontournable sur la suppression par l’industrie médicale

et pharmaceutique des cures promettantes. chez Biosolutions


Helping the Cancer Victim par Barry Lynes

Livre en Anglais qui résume la crise actuelle du cancer, et défend les droits des patients.

chez Biosolutions


Royal R. Rife Report documents originaux, photos, articles sur Rife,

disponible chez Biosolutions


Murder by Injection par Eustace Mullins

Livre anglais sur l’historique du monopole médical et comment ils nous tuent !

The Medical Conspiracy Against America, The Rockefeller Syndicate

résumé du livre ----> 1, 2. chez Biosolutions


Cancer Scam : Diversion of Federal Cancer Funds to Politics by James T. Bennett,Thomas J. Dilorenzo
10/1997 ISBN : 1560003340


Cancer : Why We’re Still Dying to Know the Truth by Phillip Day


 !Vidéo- Rife’s Lab 1934 !!

Cassette vidéo d’un film original datant de 1934, où l’on voit les virus vivant du cancer filmés dans le laboratoire de Rife.

chez Biosolutions 15201 N. CLEVELAND AVE. PMB 156 FORT MYERS, FL 33903-2715


La médecine électronique Docteur Albert Leprince Elixir de longue vie.

Une méthode scientifique de rajeunissement. Editions Dangles 1962


Le secret des patriarches Marcel Violet et Michel Remy 1962 édité par les auteurs rare.

LABORATOIRES MARCEL VIOLET 28 RUE CHATEAUDUN 75009 PARIS


Dancing Naked in the Mind Field by Kary B. Mullis (prix Nobel) published by Pantheon.

ISBN=0679442553 résumé du livre ----> 1, 2, 3.


What if everything you thought you knew about AIDS was wrong ?
par Christine Maggiore, Kary Mullis (prix Nobel)
disponible chez any-book


Cross Currents : The Promise of Electromedicine, the Perils of Electropollution par Robert O. Becker

http://www.amazon.com/exec/obidos/ASIN/0874776090/starwarsportal


LA GUERRE DES VIRUS SIDA et EBOLA Naturel, accidentel ou intentionnel !

La guerre des virus - 690 pages - ISBN : 99903-75-02-X

Dr Horowitz, D.M.D., M.A.,M.P.H.


World Without AIDS by Steven Ransom and Phillip Day


CIA oversees "war" on AIDS by Dr. Len Horowitz


Politics in Healing : The suppression and manipulation of American Medicine by Daniel Haley, Author
READ WHY we don’t have effective Non-toxic cancer cures. Read about cancer cures which were and still are being relentlessly suppressed by the U.S. Food and Drug Administration (FDA) and the American Medical Association (AMA). The only harm they would do would be to drug company profits.

Tél : 800-898-0639 to order (probablement l’un des meileurs livres sur les traitements alternatifs du cancer).


Video en format VHS
La conférence Rife Octobre 1997
Dr. James Bare, D.C. discution sur Rife-Bare
Physicist Gary Wade discusses how, in his opinion, Rife technology works
The Rife Research Laboratory, narrated by John Crane
The second tape on Rife and his laboratory near San Diego


The Rockefeller File by Gary Allen
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The richest families in the world supports communism with huge amounts of money
The goal of this volume is to open our eyes to the destructive trend
The Mass Media is controled and the general public isn’t given the information it needs to know through mainstream media.


Colonialism, Tropical Disease and Imperial Medicine by Soma Hewa
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How against this backdrop the intervention of Rockefeller philanthropy in Sri Lanka is examined


Blueprint for Immortality : The Electric Patterns of Life by Harold Saxton Burr
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ISBN : 0854352813


LOST SCIENCE by Gerry Vassilatos

1998, 5½ x 8½, 347 pp, soft cover. Price : $ 16.95 PHOTO


Get All The Facts : HIV does not cause AIDS’ by Mohammed Ali Al-Bayati

Toxi-Health International, Dixon CA 1999, 183 pages ISBN 0-9673536-0-2.


Positively False ; Exposing the myths around HIV and AIDSI.B. Tauris, London by Joan Shenton

1998, 310 pages, ISBN 1-86064-333-7.


Inventing the AIDS Virus by Peter H. Duesberg

Regnery USA 1996, 720 pages, ISBN 0-89526-470-6.

préface du livre Les différents Chapitres L’annonce du livre faite par l’agence de presse(ASSOCIATE PRESS)
Le livre revu par six professeurs


The AIDS War ; Propaganda, profiteering and genocide from the medical-industrial complex by John Lauritsen

Asklepious Press USA 1993, ISBN 0-943742-08-0.


Poison by Prescription ; The AZT story by John Lauritsen

Asklepios Press USA 1990, ISBN 0-943742-06-4.


Good Intentions ; How big business and the medical establishment are corrupting the fight against AIDS’ by Bruce Nussbaum

Atlantic Monthly Press USA 1990, 352 pages, ISBN 0-87113-385-7.


AIDS Inc. ; Scandal of the century by Jon Rappoport

Human Energy Press, USA 1988, 1993, ISBN 0-941523-03-9.


Impure Science ; AIDS, activism, and the politics of knowledge by Steven Epstein

University of California Press USA 1996, ISBN 0-520-20233-3.


AIDS and Stressors by Roberto Giraldo

Fundation Arte Y Ciencia, Medellin Colombia 1997. 205 pages, ISBN 958 9458 03 3.


Infectious AIDS : Stretching the Germ Theory Beyond Its Limits by Peter Duesberg

North Atlantic Books ; ISBN : 1556431953


An American Transplant : The Rockefeller Foundation and Peking Union Medical College by Mary Brown Bullock


Jon Rappoport (nomorefakenews) offre 10.000 $ soit +-10800 euro +-70.600 FF

à qui peut lui envoyer une publication dans un journal qui prouvrait que le HIV cause le Sida

et signé par Robert Gallo.


CANCER, CAUSE, CURE AND COVER-UP By Ron Gdanski
Nadex Publishing, P.O. Box 307, Grimsby, Ontario, Canada, L3M 4G

ou chez New Century Press ; ISBN : 0968566502

"Cause, Cure and Cover-up"

Ce livre en anglais implacablement explique pourquoi et comment nous sommes amené à croire en un mystère concernant le cancer. Avec des références fournies sur les mécanismes, l’auteur arrive avec succès à expliquer ce mystère ; si quelqu’un à déjà lu Boby Electric" du Dr. Becker, ce livre vous fournira toute l’histoire qui se cache derrière l’industrie du cancer.

Ce livre permettre aux personnes non érudits en génétique de comprendre l’absurdité d’une cause génétique au cancer et ceci est largement la valeur du livre, par exemple pourquoi les gens ne naissent pas avec un cancer, comme pour la maladie génétique du syndrome de Down et pourquoi des jumeaux identiques peuvent avoir des maladies différentes.

Ensuite une liste de remèdes contre le cancer trop bon marchés pour être vendu. Un très bon exemple explique pourquoi un public confiant est constamment floué sur les vraies causes de cette maladie. Le crime industriel est si vaste que l’on imagine même pas le quart de ce qui se passe, une vraie éducation ; doit être lu.


THE ESSIAC REPORT, UNKNOWN CANCER REMEDY By Richard Thomas
Alternate Treatment Information Network, 1244 Ozeta Terrace, Los Angeles, Ca. 90069
1 310 278 6611 Copyright 1993

Le fameux remède ESSIAC de CAISSE (inversé), cure contre le cancer de provenance indienne d’une Nurse du nom de René Caissie, c’est une formule fantastique à base de thé, même si elle ne convient pas à tous.

Ce thé à base de plantes agirait en tant que détoxiquant.


CANCER PREVENTION AND NUTRITIONAL THERAPIES By Richard A. Passwater, Ph,D.
Keats Publishing, Inc., 27 Pine Street, New Canaan, Ct. 06840 0876
Copyright 1978


QUESTIONING CHEMOTHERAPY By Ralph W. Moss, Ph.D.
Equinox Press144 St John’s Place, Brooklyn, New York 11217 718 636 4433
Copyright jyly 1995 - 208 pages ISBN : 188102525X


THE POLITICS OF CANCER By Samuel S. Epstein M.D.
Anchor Press / Doubleday, Garden City, New York,
Copyright 1978


The Cancer Industry : The Classic Expose on the Cancer Establishment By Ralph W. Moss, Ph.D.


WHEN HEALING BECOMES A CRIME By Kenny Ausubel
Healing Arts Press, One Park Street, Rochester, Vermont 05767
Copyright 2000 480 pages ISBN : 0892819251


Herbs Against Cancer : History and Controversy by Ralph W. Moss
300 pages 1st edition (August 15, 1998)
Equinox Pr ; ISBN : 1881025403


Antioxidants Against Cancer by Ralph W. Moss
Paperback - 128 pages 0 edition (January 15, 2000)
Equinox Pr ; ISBN : 1881025284


Beta-Carotene and Other Carotenoids : The Antioxidant Family That Protects Against Cancer and Heart Disease and Strengthens the Immune System) by Richard A. Passwater, Susan Davis(Editor)
June 1996 ISBN : 0879837055


Cancer & Natural Medicine : A Textbook of Basic Science and Clinical Research by John Boik


The GSH Phenomenon : Nature’s Most Powerful Antioxidant & Healing Agent by Buff, Sheila , Pressman, Alan H. Feb 1997 ISBN : 0312151357

Glutathione antioxydant naturel de notre corps

Voir aussi en anglais : 1 2


EDGAR CAYCE, ENCYCLOPEDIA OF HEALING By Reba Ann Karp
Published by Warner Books, P O Box 690, New York, New York, 10019
Copyright 1986


The Ownership of All Life : Notes on Scandals, Conspiracies and Coverups by Jon Rappoport
July 1999 ISBN : 0939040360


Public Health Profiteering by James T. Bennett , Thomas J. Dilorenzo
April 2001 ISBN : 0765800748


Confessions of a Medical Heretic by Robert S. Mendelsohn


The Trial of the Medical Mafia by J. Schafer ISBN : 2921783029


Emerging Viruses by Dr. Leonard G. Horowitz

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31 mars 2013

Des disques volants nazis aux Ovnis militaires

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Des disques volants nazis aux Ovnis militaires
Partie 3 : Les sombres menées du SS Kammler

Le SS Kammler, inventeur des « blacks projects »?

La récupération de ces thèmes par l’extrême droite ne doit pas nous empêcher d’examiner ces hypothèses selon lesquelles la SS avait un programme très avancé en matière d’armes exotiques, non conventionnelles et en matière de disques volants. Car une des principales conséquences des recherches nazies serait que les Américains (ainsi que les Soviétiques) auraient pu bénéficier par le biais de l’opération Paperclip du fruit de ces recherches. Et, toujours selon certains enquêteurs comme Nick Cook, la majorité des « Skunk Projects », des projets secrets de l’Air Force par exemple en matière de furtivité, de propulsion MHD ou d’antigravitation (si ceux-ci existent) seraient les « descendants » des premiers projets allemands.

 

Que cela soit dans les versions ésotériques, peut-être fantaisistes ou plus proche de la vérité historique de l’histoire des disques volants nazis, un personnage central revient à tous les coups: le brigadefürher SS Dr Ing (ingénieur) Hans Kammler devenu ensuite Obergruppenführer. Un homme mystérieux qui a sans doute joui à certains moments de la guerre de plus de pouvoir que le Reichfürher Himmler lui-même alors que ce dernier était son supérieur hiérarchique. Hans Kammler a connu une ascension aussi rapide, brutale qu’irrépressible mais certainement pas étonnante au vu des qualité de froideur organisatrice et d’implacabilité du personnage. Des traits de caractère qui sont bien vus au sein de la SS. A la mi-1943, on assista sous l’impulsion de Himmler lui-même à un véritable coup d’état au sein du cartel militaro-industriel allemand. Le grand chef de la SS persuada Hitler qu’il était nécessaire de faire en sorte que les recherches de pointe en armement échappent au contrôle de l’armée allemande -la Wermacht- et que les cartels industriels qui travaillaient dans le cadre de certains projets devaient être contrôlés par des mains 100% allemandes, 100% nazies donc 100% fidèles, à savoir la SS. C’est ainsi que le projet concurrent au V1 (ce célèbre drone, bombe volante, sorte d’avion sans pilote qui était lancé via une catapulte), la fusée A4 (ou encore V2) échappa très rapidement au contrôle exclusif de l’armée allemande et d’Albert Speer alors ministre de l’armement pour se retrouver entre les mains des SS suite au bombardement anglais de l’usine de Peenemünde. La raison en était essentiellement structurelle car la SS avait mis sur pied un véritable empire composé d’une main d’œuvre d’esclaves corvéables à merci et que l’on pouvait éliminer sans problème lorsqu’ils devenaient des témoins gênants. Par conséquent, les risques d’espionnage, de fuites, de sabotages et d’infiltrations d’agents étrangers parmi la main les travailleurs du STO et des ingénieurs étrangers étaient réduits au stricte minimum grâce à l’emploi d’une main d’œuvre concentrationnaire destinée à la mort. Himmler fit alors appel à Kammler car en tant qu’ingénieur nommé à la Division des travaux et des constructions SS, il s’était consacré corps et âme avec une efficacité redoutable à la construction en des temps de records de camps de concentration, de hangars, de bunkers et d’usines souterraines tout d’abord en tant que civil pour Herman Goering et ses services de la RLM (Reich Air Ministery, ministère de l’air du 3ième Reich) ensuite pour la SS d’Oswald Polh (le grand patron des camps) dans les services logistiques des camps de concentration. Il n’allait donc pas sortir de son domaine de prédilection. Dès la fin 1943, Kammler avait déjà élaboré un programme de plus de 13 milliards de marks pour la construction de baraquements pour la SS et de camps de concentrations dans les territoires compris entre la Norvège et l’URSS. Quelque mois plus tard encore, il obtint une nouvelle rallonge budgétaire très conséquente afin d’agrandir la capacité d’accueil des camps à plus de 4 millions de personnes. Et en annexe à ces camps étaient bien entendu édifiés de gigantesques complexes industriels. Kammler est décidément le prototype même du SS à la Heydrich, l’homme qui élabora à Wansee la « solution finale » à savoir l’extermination complète des juifs et de tous les « sous-hommes ». C’est au sein de cet empire que furent édifiés les complexes souterrains de Peenemünde, de Dora ou de Nordhausen, une usine creusée dans la montagne déroulant plus de 20 kilomètres de galeries et de tunnels dans le seul et unique but de construire dans le plus grand secret le programme de fusées et de missiles des nazis et donc l’édification coûta plus de 20.000 morts. Mais ce ne fut pas la seule mission du protégé de Himmler. A la fin de la guerre, Hitler lui-même confia à Kammler la mission de réformer la Luftwaffe du « fidèle Hermann » (Hermann Goering) alors en pleine déliquescence. Goebels , patron de la propagande nazie écrivit sur Kammler le 3 avril 1945:  » Kammler travaille de façon excellente et répond à merveille aux espoirs que l’on a placé en lui « . Qu’est-ce que cette phrase peut bien signifier alors que tout est perdu en ce début avril 1945 et que la guerre ne pouvait plus être gagnée? L’homme devait certainement avoir une mission très particulière sans grand rapport avec la refonte de la Luftwaffe proche de la destruction totale.

Revenons sur les différentes missions de Kammler. Outre la construction des camps et des usines, il aurait en fait créé une unité de recherche en armement ultra secrète et totalement autonome, disposant d’une autorité absolue et de budgets très importants ne dépendant pas du bon vouloir d’un ministère ou d’un autre ou encore de l’armée régulière. C’est sur les activités de cette unité que nous allons nous pencher mais également sur son devenir à la fin du conflit. Pourquoi s’attarder ainsi avec un tel luxe de détails sur ce mystérieux général ? Parce que la description de son caractère, de ses compétences et de ses missions rend plausible les allégations de Cook à propos d’une ténébreuse opération menée à la toute fin de la guerre et qui concernerait notre sujet !

Il est très difficile de trouver des informations originales sur Hans Kammler, même au musée de l’armée de Bruxelles. Certes, cette figure incontournable des projets d’armements exotiques de la SS est cité par exemple dans la littérature concentrationnaire puisqu’il a construit nombre de camps. Il serait l’un des créateurs et logisticiens qui a édifié les premières installations génocidaires (chambre à gaz et système d’incinération industriel) et surtout, dans le domaine qui nous intéresse, il a dirigé d’une main de fer le camp de Dora, l’installation souterraine construite après le bombardement de Peenemünde pour produire en série les fusées A4-V2. (cfr: voir le livre « Dora » de Jean Michel Edition Lattès, Livre de Poche). Vesco et Childress parlent également du rôle de Kammler en déplorant aussi le manque de données biographiques à son égard. Quant à Nick Cook, le fameux consultant du Jane’s Defence Weekly, il s’est même demandé si les alliés n’avaient pas tenté de supprimer le plus d’informations disponibles sur l’individu. Pour finalement découvrir une piste par l’intermédiaire d’un archiviste de l’Imperial War Museum de Londres qui lui a signalé l’existence d’un ouvrage et de son auteur: un certain Tom Agoston , un correspondant étranger ainsi qu’un spécialiste interprète de photographies aériennes auprès de l’armée anglaise pendant la guerre et diplômé de Cambridge avait rédigé sa version restée assez confidentielle de l’histoire des armes secrètes nazies dans « Blunder, How the US Gave Away Nazi Supersecrets to Russia ». Agoston affirme avoir rencontré les derniers témoins des activités ultra secrètes de Kammler. Pour Agoston, la mission de Kammler était cruciale puisqu’il était en fait à la tête d’un centre de recherche top secret dans lequel on construisait  » des armes secrètes de seconde génération au développement déjà bien avancé « , ce que l’on appellerait aujourd’hui dans le jargon militaire américain un « SS research Think-Tank » pour des « special projects ». Exactement le genre d’endroit « où l’on s’attendrait à trouver de la technologie sur l’anti-gravité  » note encore Nick Cook avec une quasi délectation.

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Sécurité maximale pour le projet SS Kronos

La documentation et le témoignage d’Agoston permettent à Cook de constater que l’équipe spéciale constituée par Kammler pour ses travaux visionnaires était en fait une section bien compartimentée travaillant dans les usines Skoda en Tchécoslovaquie, totalement indépendante du groupe Skoda et de n’importe quelle autre autorité et qui a sans doute démarré ses activités très spéciales dès juin 1942. Agoston précise aussi que le département R&D (recherche et développement) du Kammlerstab (l’équipe de Kammler) était surveillé par un triple cordon de sécurité composé par des spécialistes SS du contre espionnage spécialement formé pour cette tâche. C’est dire si l’enjeu des travaux de cette équipe était capital et ultra secret. Agoston a rencontré et a assisté à l’interrogatoire d’un témoin et acteur capital de l’équipe Kammler, un certain Colonel Wilhelm Voss , directeur général de Skoda et comme c’est souvent le cas pour les hauts cadres, Colonel honoraire dans la SS. En tombant sous l’autorité directe de Kammler, cette branche « recherche et développement »  de Skoda devenait totalement indépendante de la bureaucratie et pouvait conserver un secret total autour de ses activités grâce à ce fameux triple cordon de sécurité. Cook découvre alors que le peu de données, voir l’absence totale de données matérielles et historiques sur ces recherches est due aux strictes mesures de sécurité imposées par Kammler mais aussi à cause de son attitude criminelle qui a consisté en l’élimination systématique de tous les participants à ses projets (des prisonniers en passant par le « petit personnel » ouvrier civil jusqu’aux ingénieurs) dans le cadre d’une opération préméditée et rondement menée juste avant l’arrivée des Russes. Au cours de cette opération type « terre brûlée », Kammler aurait reçu de Hitler et de Bormann une autorité totale, supérieure à Himmler lui-même. C’est dans le cadre de cette opération que les technologies les plus sensibles, celles relatives sans doute à l’antigravité, auraient été évacuées, selon un chercheur polonais, Igor Witkowski (nous verrons cela dans quelques instants), d’abord par camions ensuite par avions et sous-marins jusque en Espagne puis en Amérique du Sud. C’est de là que serait sans doute né le mythe de l’évacuation des secrets et de la puissance allemande dans des bases en Antarctique. Tout simplement parce que des U Boat chargés de technologies sensibles devaient faire escale dans le continent de glace avant d’arriver en Amérique du Sud. Tous ces éléments factuels proviendraient du contenu d’un interrogatoire mené par les alliés, à savoir le US CIC (Counter Intelligence Corps) sur Voss, un Voss qui se serait ainsi confié à Agoston. L’affaire serait d’autant plus sensible que Voss aurait demandé spécifiquement à Agoston de ne jamais divulguer dans des publications ces éléments relatifs à l’équipe Kammler, secret qui sera respecté par Agoston jusqu’au décès du colonel honnoraire en 1974 . Le même Agoston aurait par la suite tenté mais sans succès d’obtenir une copie des PV d’interrogatoire mené par le US CIC sous le couvert du Freedom for Information Act mais sans succès, les autorités allant jusqu’à dire que ces interrogatoires n’avaient jamais existé. Il faut donc croire Agoston sur parole et c’est bien ce qui pose problème aux sceptiques et aux détracteurs de Nick Cook. Pourtant, selon Cook, il subsisterait dans les archives américaines des indices accréditant l’existence de recherches nazies sur des technologies exotiques comme par exemple les documents « Lusty »  évoquant des recherches sur «  des armes à énergie, des lasers et des armes anti-aériennes à rayon  ». Ces recherches auraient été conduites à Vienne dans un centre secret situé 87 Weimarestr. Cook décrit par le détail toutes les tractations de Kammler avec ses supérieurs hiérarchiques ainsi qu’avec ses concurrents comme von Braun ou Speer pour constituer son équipe de recherche et nous fournit bien trop de détails pour que cela soit le fruit d’une pure mystification. Autre témoin et chercheur critiqué par les sceptiques, le polonais Igor Witkowski que l’on dit animé par des mobiles douteux et qui aurait tout simplement mené Cook en bateau. Possible mais les sceptiques ne m’en ont pas apporté une preuve palpable et convaincante. Witkowski se serait donc longuement documenté sur le Kammlerstab et sur Wilhelm Voss pour découvrir qu’une bonne partie des équipes de Kammler planchait sur le nucléaire. Il y aurait eu à la fin de la guerre des négociations top secrètes entre Kammler et les services de renseignements américains pour revendre des technologies très précieuses. Witkowski explique à Cook que Kammler avait mis au point une opération d’évacuation, « Special Evacuation Kommando  » au cours de laquelle les SS auraient réussi à évacuer en pièces détachées par camions, par avions spéciaux (des Ju290 et 390) et par U Boat les éléments technologiques relatifs à la recherche en matière d’antigravitation, une installation que Cook nommera dans son ouvrage sous l’appellation « The Bell », « la cloche » (des recherches baptisées par le nom de code Chronos et « Laternentrager ») et dont il a visité les supposées ruines près de Nordhausen. Pour cette opération d’évacuation, Kammler aurait bénéficié de toute autorité grâce à Martin Bormann, l’éminence grise de Hitler, passant ainsi au dessus de l’autorité du chef de la SS, Himmler. Quant à la plupart des ingénieurs et des scientifiques, ils auraient tout simplement été abattus entre le 28 avril et le 4 mai 1945 par les SS, précise Witkowski à Cook, ce qui explique la quasi impossibilité de découvrir des témoins sur les véritables buts des recherches de l’équipe Kammler, des recherches d’une portée telle que cela aurait justifié un si grand nombre d’assassinats. Ces assassinats auraient été perpétrés par des membres des Sonderkommando, les bataillons mobiles de tueries qui s’étaient fait une spécialité de ces meurtres collectifs qui ne devaient pas laisser de traces. Deux SS par victime, deux équipes, 31 balles par équipe et des déportés pour creuser les fosses….les détails donnés par le consultant du Jane’s sont très nombreux. Cook décrit alors de façon très convaincante le type de recherche menée dans « the Bell » dans le cadre de l’opération Chronos, des recherches ayant pour but de générer des vortex et de l’antigravité. Ces recherches ont-elles été couronnées de succès ? Cook l’ignore et ne peut que faire des suppositions. Il retrace alors toutes les recherches menées en matière d’antigravitation par les alliés dans les remous de l’opération Paperclip. Et il ne peut s’empêcher de penser aux successeurs supposés de ces équipes de recherche allemandes, les « black budget, » et autres « skunk project » américains dont certains membres, au milieu des années 50 «  furent contraints au silence par de ténébreuses équipes d’agences de renseignement afin de garder secrète la vérité sur les véritables percées technologiques allemandes après la seconde guerre mondiale  ». Bref, pour Nick Cook, il semble acquis que les Américains ont réellement mis la main sur quelque chose après la défaite des nazis et la technologie furtive des ailes volantes du genre B2 et F117 ne serait que la suite et les répercussions des premières recherches exotiques allemandes. Comme nous l’avons déjà mentionné, le travail de Cook a été critiqué par les sceptiques, comme par exemple, les gens du Fortean Magazine parce que l’intéressé, sans doute de bonne volonté, aurait été manipulé par des inconnus aux intentions peu louables dont le but était «  de rendre au régime nazi des dehors plus favorables et ce par le biais de manipulations et de mensonges  ». On parle même « d’individus agissant pour le compte d’un groupe qui suit un plan spécifique », à savoir un travail de relations publiques pour le compte de l’idéologie nazie. Et de s’étonner que Cook n’ait pas été mis en garde contre les activités de ces agents manipulateurs ou qu’il n’ait lui-même pas su faire preuve de plus de discernement. Les reproches à l’adresse de Cook se focaliseront surtout sur le chapitre relatif à Victor Schauberger, cet autodidacte autrichien, passionné par les forces de la nature qui aurait mis en point un générateur d’énergie qui copiait les forces dégagées par les vortex et les tourbillons générés par l’eau. Certains auteurs affirment que Schauberger aurait mis au point une soucoupe volante pour les SS puis pour les Américains et l’illustration représentant son générateur (le Repulsine) ou plutôt sa « turbine à eau » dont l’apparence évoque une soucoupe volante a bien souvent été « maquillée » en Ovni nazi en l’ornant d’une croix germanique. Le « Cook Report », ce document qui critique le livre de Cook, estime que tout ce qui a été rapporté au consultant anglais à propos de Schauberger relève de la plus haute fantaisie… mais sans nous dire exactement pourquoi. Tout comme on ne nous explique pas clairement pourquoi Witkwoski est un personnage peu crédible. Ni qui serait ce mystérieux groupe pro nazi obéissant à « un plan spécifique » et qui exactement aurait manipulé Cook en lui envoyant des informateurs chargés de lui raconter des mensonges. L’auteur du rapport Cook et du rapport sur les Ovnis nazis conclut :«  je ne vois aucune raison qui me permet de croire que Victor Schauberger ait été capable de faire tout cela…, ou qu’il a construit un disque volant …  ». Et pour ma part, je ne vois pas de raisons de croire aveuglément les conclusions de l’auteur du Fortean Magazine. Si cela vous intéresse, jetez un œil sur le chapitre « the Cook Report » dans l’article que le Fortean Magazine consacre aux Nazis UFO.

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Sceptiques contre croyants, qui sont les gagnants ?

Je dois confesser que tout au long de cette enquête, mon opinion a changé de manière quasi diamétrale. Au départ, je croyais –non sans une certaine frayeur mais aussi sans une certaine fascination- qu’il y avait un fondement plus que concret à ce dossier des Ovnis nazis et à l’existence des vaisseaux Vrils et Haunebu. Aujourd’hui je suis beaucoup moins affirmatif et mille fois plus méfiant. Au delà de l’aspect « extrême droite », je me rend compte au fil de mes lectures et échanges de courriers sur l’affaire qu’il est très difficile de se forger une opinion circonstanciée car les arguments des sceptiques ne répondent pas à toutes les questions loin de là. D’ailleurs, l’un d’entre eux, Kevin Mc Lure , auteur d’un article assez sobre et bien équilibré sur le mythe des soucoupes nazies, a listé sur le Web une longue liste de questions à laquelle il n’avait toujours pas de réponses, ce qui démontre l’honnêteté du personnage. J’ai bien tenté de confronter les recherches et donc théories de deux passionnés de l’affaire, Kevin Mc Clure d’une part endossant la défense du camp des sceptiques et Tim Matthews (Flying Saucers, Secret History) d’autre part qui persiste dans l’idée que les soucoupes nazies ont vraiment existé, du moins dans une certaine mesure. Et je suis aujourd’hui incapable de les départager car je ne possède pas les moyens matériels (références bibliographiques, testimoniales etc…) pour donner complètement raison à l’un ou à l’autre.

Examinons par exemple de façon très brève la vision du dossier de Kevin Mc Lure. Celui-ci estime qu’avant 1950, il n’y avait aucune publication, aucun article de quelque ordre que ce soit sur des soucoupes nazies et autres aéronefs exotiques. La première fois que l’on en parle, c’est en 1950 dans une dépêche d’agence publiée par le magazine allemand Der Spiegel qui relate les propos d’un soit disant Capitaine Rudolph Schriever qui évoque l’existence d’un projet théorique de disque volant, le fameux disque Schriever-Habermohl-Miethe et Belonzo . En 1957, un certain Major Lusar dans l’ouvrage « German Secret Weapons of the Second World War » colporte la même histoire mais affirme que le disque était opérationnel et lui confère des données et des performances qui semblent fantaisistes. Mc Lure estime que l’existence même de Schriever n’est pas confirmée (il était trop jeune au moment de la guerre) et ajoute que les données les plus fantaisistes et les plus imprécises circulent sur les autres participants au projet (Habermohl et consort), voire qu’ils n’ont jamais existé (aucune trace dans aucune archive historique ou militaire d’aucune sorte).

En résumé, on peut dire que les premières publications sur le sujet datant des années 60 de Schriever, Lusar puis Vesco (« Intercept But Don’t Shoot ») sont toujours sujettes à caution. Mc Clure – il n’est pas le seul, loin de là – affirme donc ne pas avoir trouvé d’indices probants démontrant que les faits « fondateurs » des Ovnis nazis sont palpables, incontournables et vérifiables. Quant à l’origine du corpus de croyances sur les Vrils et Haunebu, Mc Lure souligne par exemple le rôle très important joué par les écrits d’Allen Harbinson avec sa série de nouvelles « Projekt Saucer » qui ne sont que des œuvres de fiction paraît-il très bien construites. De la même manière, Mc Lure passera à la moulinette une grande partie des autres affirmations proférées par Chilldress, Cook et quantité d’autres chercheurs de type « croyant ». Il s’intéresse tout particulièrement à Branton et ses « Omega Files », un mystérieux protagoniste du Web, extrêmement prolixe sur le conspirationnisme en général et sur les Short Greys que certains sceptiques décrivent comme un agent désinformant de la CIA. Mc Lure le place au même niveau que Terziski de par l’imagination fertile et se pose lui aussi des questions sur les mobiles qui anime «  ce personnage impliqué dans des affaires d’abductions depuis sa prime enfance…, programmé avec une personnalité double ou comme agent dormant pour la CIA  » Et de souligner que le dossier Omega de Branton appelé « Nazi Files » est un autre exemple «  de présentation de choses incroyables sous forme de faits  », parlant à son sujet de «  désert moral et intellectuel  ». Car Mc Lure s’emporte contre Branton principalement parce que celui-ci utilise des éléments de l’Holocauste (par exemple, le soit disant envoi de déportés de Buchenwald en Antarctique pour construire une base secrète pour Ovnis) qu’il déforme pour donner corps à ses fantasmes et se demande quelle genre de pulsion peut bien pousser Branton à de telles constructions de l’imaginaire opérées sur le dos des déportés. Mc Lure a raison, il y a quelque chose de détestable dans cette réécriture de l’histoire, quelque chose d’autant plus désagréable que cela introduit des notes d’invraisemblance dans le dossier de la déportation. Mais malgré tout, en dépit de ces invraisemblances, si Branton était quand même de bonne foi ? Car Mc Lure ne nous apporte aucune preuve que l’intéressé raconte totalement des inepties si ce n’est le fait que ces faits n’ont jamais été rapportés d’une quelconque façon dans la littérature concentrationnaire. Enfin, Mc Lure reconnaît qu’il y a encore pas mal de choses à éclaircir dans cette affaire, notamment suite à la publication récente d’un livre sur le 3 ième Reich en Antarctique et en Amérique du Sud, « Arktos », rédigé par une certaine Jocelyne Goodwin . Avec Mc Lure, le mythe se dégonfle brique après brique, souvent de façon convaincante, parfois avec des raccourcis qui ne me satisfont pas. Il serait fastidieux de se pencher sur tous les éléments qu’il énumère pour écorner l’affaire de l’Amiral Byrd, les bases en Antarctique, les Vrils, Haunebus, Foo Fighters car finalement, c’est l’aveu de ne pas pouvoir répondre à toutes les questions, éclaircir toutes les zones d’ombre qui crédibilise le travail de Mc Lure et le rend modeste, donc touchant et humain, ce qui est rare dans le domaine.

Autre cas de figure, totalement inverse , celui de Tim Matthews qui se fait l’avocat de ceux qui croient en l’existence d’une partie du mythe des Ovnis nazis ou à tout le moins d’une origine humaine aux Ovnis puisqu’il n’hésite pas à affirmer que «  les soucoupes volantes se sont développées jusqu’à un certain degré en parallèle de chaque côté de l’Atlantique au cours de la seconde guerre mondiale  », en d’autres termes, pour Matthews, il faut voir derrière les Ovnis l’œuvre du monde du renseignement (de « l’Intelligence ») plutôt que l’œuvre d’une intelligence extraterrestre. Ce croyant ou plutôt ce croyant qui aimerait bien se faire la peau de quelques sceptiques, incarne une nouvelle tendance dans la recherche sur les Ovnis nazis, celle qui refuse la main mise de l’extrême droite sur l’affaire. Pour lui «  tout d’abord, ce n’est certainement pas le cas que les avocats défendant la thèse des soucoupes volantes construites par l’homme fassent automatiquement l’apologie du régime nazi, comme cela est suggéré par les sceptiques qui affirment que parce que certains des chercheurs « nazis » en Ovnis sont douteux en matière de propagande politique, par conséquent, toute forme de recherche dans ce secteur n’est pas valide. Ce genre de culpabilisation par le biais de l’association est la manière la moins efficace de débattre avec les preuves…  » affirme-t-il dans un article publié sur le Web, « Flying Saucers – Secret History ». Matthews ne rejette pas l’histoire des soucoupes volantes nazies sous prétexte que l’affaire des Vrils et des Haunebu est totalement invraisemblable et qu’elle fait pas la part belle aux séides de Hitler, Himmler et autres sadiques dégénérés. Il revient sur les recherches effectuées par le professeur Heinrich Focke (constructeur des célèbres Focke Wulf) qui s’est intéressé très tôt au décollage vertical et aux technologie relatives au rotor et aux hélicoptères, il passe en revue les travaux des frères Horten dont les ailes volantes ont été popularisées tant au cinéma (Les Aventuriers de l’Arche Perdue) qu’en BD (voir l’aile volante façon Horten dans le Secret de l’Espadon de Jacobs ) et dont on peut être certain que la firme Northrop Grumman s’est inspirée avec le fameux bombardier B2 (voir à ce sujet Horten et les B2, l’article très intéressant de Jean-Pierre Petit ainsi que son étonnant et passionnant livre sur « les Ovnis et les armes secrètes américaines »). Matthews s’attarde plus longuement sur le AS6 (V1) mis en évidence dans la revue « Flugzeug Profile » (évoquée plus haut dans ce papier) grâce à un article rédigé par Hans Herbert et Hans Meier dans la revue « Luftfahrt International » datant de 1980 mettant en évidence les propriétés de furtivité des ailes circulaires. Matthews insiste sur le fait que les recherches sur les ailes circulaires n’avaient aucun rapport avec des connections ésotériques et autres connaissances occultes relatives à l’énergie Vril «  et autres non sens  » mais seulement parce que ce genre de design possèderait des propriétés furtives « et que les ailes circulaires sont plus robustes et plus faciles à construire ». Toujours selon Mathews, le premier appareil à aile circulaire et à propulsion par jet a été imaginé et sinon construit autour de 1943 et de citer comme source, le témoignage de Rudolph Schriever qui en 1950 aurait affirmé avoir travaillé dans les environs de Prague sur un véhicule de type « soucoupe volante ». Il cite également le fameux article de Der Spiegel tant contesté par Mc Lure. Mathews passe aussi en revue toutes les armes exotiques sur lesquelles les allemands se sont penchés : ailes volantes, missiles filoguidés, armes à particules, eau lourde etc… Quant à la raison pour laquelle les recherches dans ces domaines n’ont pas abouti, il met en avant l’attitude très rétrograde de Hitler lui-même à l’égard de ce que l’on pourrait appeler les nouvelles technologies, à savoir «  l’indifférence de Hitler et de son immédiate hiérarchie pour la recherche dans les sciences nouvelles,  naturelles qui pouvait aller jusqu’à une positive hostilité  ».

Des chefs nazis rétrogrades en matière d’armements ?

Nous voici donc très loin de l’image d’Epinal d’un Hitler passionné par les sciences « underground », les solutions radicalement novatrices, féru d’occultisme et investi totalement par les pseudo recherches dans les énergies ésotériques, les Vril et autres engins inspirés par des guides extraterrestres de type aryens. C’est sans doute la raison pour laquelle les fameuses armes miracles qui devaient sauver le cours de la guerre, la fusée A4 ou l’avion à réaction par exemple sont arrivées si tardivement sur le terrain des opérations : Hitler n’y croyait tout simplement pas. Nous sommes à des années lumières de cette autre représentation d’un Reich magique, d’une Waffen SS ultra puissante, toute dévouée aux décisions innovantes d’un chef visionnaire guidé par des puissances magiques. Le fossé entre ces deux représentations est tel qu’il ne laisse pratiquement aucune place à un moyen terme, à un réel où une partie du mythe des Ovnis nazis aurait sa place et aurait donc existé. Le scepticisme me semble pour l’instant être l’attitude la plus confortable et la plus fondée puisque l’avocat même des croyants avance certains arguments imparables qui dégonflent le mythe. Et que les éléments matériels historiques que l’on peut « tracer » sont d’une maigreur impressionnante. Il reste les nombreuses questions sans réponses que les sceptiques n’abordent pas de façon convaincante, des questions relevées par l’un de leur meilleur avocat, Tim Mc Lure. Il reste certaines affirmations énigmatiques de gens comme le Colonel Corso , ex Colonel au département « technologies étrangères » du Pentagone qui affirme que l’armée US a bel et bien récupéré une soucoupe extraterrestre à Roswell et possèderait des modèles opérationnels. Dans son livre, il évoque l’étrange phrase de son supérieur hiérarchique, le Général Trudeau qui lui demandait d’inventorier les recherches technologiques que les Allemands avaient faites pendant la seconde guerre mondiale, de récupérer ce matériel et « de l’incorporer dans les recherches en cours  ». Mais Trudeau fait soudainement allusion à d’autres technologies que celles plus classiques de l’avion à réaction, du canon Grosse Bertha ou des nouveaux Panzers : «  le matériel dans cette armoire est légèrement différent de celui qui nous passe entre les mains. Je ne sais pas ce que vous avez eu l’occasion d’apprendre sur cela quand vous étiez à la Maison Blanche mais avant d’écrire un quelconque rapport, vous devriez faire une petite recherche sur le dossier Roswell  ». Voilà une très étrange phrase, une très bizarre suggestion de relier Roswell aux recherches des nazis. Mais bon, pour les sceptiques, Corso est sans doute du même tonneau, un mystificateur, un agent désinformant payé par on ne sais quelle officine de renseignement de l’armée pour des raisons que l’on ne comprend pas très bien. C’est possible. Mais une fois de plus, il ne suffit pas de dire que Corso raconte des bobards parce qu’il nous fait part de choses invraisemblables (comme les voyages interplanétaires, les bases sur Mars et sur la Lune). Et puis, il y a les constatations de gens comme Jean-Pierre Petit ou même de Nick Cook qui laissent transparaître le fait que la version officielle sur les progrès opérés en matière d’antigravitation ou de propulsion MHD par l’Air Force et les autres officines de recherche et développement n’a pas grand rapport avec ce qui se passe réellement sur le terrain. Il est curieux de constater qu’officiellement, on est quasiment nul part en matière d’antigravitation. A titre d’exemple, les recherches menées par la Nasa ou par British Aerospace ont à peine été capable d’isoler un effet antigravitationnel et les chercheurs sont aptes par exemple, par le biais de certains appareils, à supprimer à peine de 1 à 2 % du poids d’un objet lorsqu’il est soumis à ladite technologie antigravitationnelle, le but étant de découvrir le point zéro, l’annulation totale de la gravité. Curieux paradoxe donc que ces recherches qui coûtent des dizaines de millions de dollars pour arriver à des effets peu concluants face à d’autres chercheurs, non officiels ceux-là qui, œuvrant dans leur garage de banlieue, seraient arrivés à faire décoller tel ou tel objet, à produire des quantités d’énergie absolument incroyables. Des gens que l’on doit alors croire sur parole et dont on peut facilement se procurer les coordonnés dans des magazines comme Nexus ou dans des livres sur l’énergie libre (celui de Jeane Manning aux éditions Louise Courteau par exemple), autre pomme de discorde entre physiciens « sérieux » et autres Pr. Tournesol « Underground ». Nick Cook ne peut s’empêcher de penser que l’on a pu faire silence sur les véritables percées scientifiques des nazis en matière d’antigravitation car «  ces révélations auraient provoqué la mort prématurée de la toute jeune science aérospatiale… Une science qui aurait rendu leur propre monde redondant  » et donc inutile, ce qui aurait sonné le glas « des missiles balistiques, des avions à réaction, des armes guidées, des avions transatlantiques  » et de la conquête spatiale telle que nous l’avons connue. Une hypothèse et une logique très séduisante mais qui ne valide pas l’existence des Ovnis nazis parce que cette hypothèse est justement logique !

Les questions demeurent

Au terme d’une lecture non exhaustive de ce dossier des Ovnis nazis, une partie de mes questions demeurent et je m’interroge toujours sur l’origine de certaines histoires et certains clichés même si l’hypothèse d’une motivation idéologique à la construction de ces récits me semble très naturelle, tentante et partiellement satisfaisante. D’une part, comme nous l’avons vu,  le mythe des Ovnis nazis sert le camp de l’extrême droite en accordant au régime hitlérien une aura de mystère, de magie et d’universalisme (via l’influence présumée d’une civilisation extraterrestre). D’autre part, d’autres intervenants plus proche du milieu New Age et pas nécessairement nazi au premier abord s’en servent pour la constitution d’une nouvelle religion, sorte de syncrétisme alliant Bouddhisme et Egyptologie, créant avec les nazis et leurs Ovnis l’image d’un ennemi tout puissant, de type luciférien qui a détourné des forces bienfaitrices pour leur propre compte. Une telle puissance incarnée par un tel ennemi qui a profondément marqué l’histoire ne peut alors que légitimer toutes les digressions et constructions ésotériques, idéologiques ou religieuses qui en découleraient. Mais je demeure ouvert à l’idée que cette affaire d’Ovni nazis n’est pas sortie de nul part uniquement pour satisfaire les besoins justificateurs de certains groupements. Je ne peux m’empêcher de ressasser encore et toujours cette petite phrase : « Et s’il y avait malgré tout un fond de vérité là dedans »

Source: Karmapolis

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