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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
john r. searl etait ingenieur electricien
24 septembre 2016

John Searl l'homme qui construisait des soucoupes volantes

The John Searl Story Free Energy

En 1968, l’ingénieur britannique John Searl accomplissait devant les médias le premier vol d’une soucoupe volante civile, montrant ainsi aux yeux du monde que la surunité et l’antigravité ne relevaient pas de la science-fiction.
Source: http://peswiki.com/index.php/Directory:Searl_Effect_Generator_(SEG)

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Le brevet international des russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l’Académie des Sciences de Moscou, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu’un système sur-unitaire est réalisable. Pour faire cela, ils se sont basés sur les travaux de John Searl, un scientifique britannique, qui dés 1968 mis au point un système capable de léviter.
« Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capables de convertir diverses formes d’énergie, dés lors qu’un certain régime de fonctionnement critique est atteint. Lorsque le régime critique est atteint, l’installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome. »
(source: Morphéus N°23, Septembre/Octobre 2007, www.morpheus.fr)


John Roy Robert Searl né le 2 mai 1932 est un inventeur britannique de Wantage en Angleterre.

Searl prétend qu'entre 1946 et 1956 il a conçu et construit un objet connu sous le nom de Générateur à effet Searl (Searl Effect Generator-SEG) capable d'antigravité et de mouvement perpétuel, en violation de la première loi de la thermodynamique.

source: wiki

Citer
John Roy Robert Searl est né le 2 mai 1932 dans une famille anglaise très pauvre. A l’âge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sœur et placé dans une famille d’accueil. Depuis l’âge de quatre ans et demi, jusqu’à dix ans il s’est mis à faire deux rêves par an dont l’un était la suite de l’autre. A dix ans, il a pensé que ces rêves avaient un sens et il a essayé de les interpréter.



Searl est l’un des nombreux inventeurs qui découvrit un moyen de générer de l’énergie gratuite et sans limites ainsi qu’une force d’antigravité, simplement en montant des systèmes rotatifs.

A quatorze ans, il construisit son premier Space Energy Generator (SEG) grâce au financement d’un gentleman âgé, M. George Haines qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de M. Haines se mettait à accélérer lorsque Searl plaçait les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ se développait autour de lui, il perdait de sa gravité, décollait et percutait le plafond à la grande surprise de M. Haines qui, lui, comptait sur un générateur et non un objet volant.

Le SEG restait collé au plafond jusqu’à ce qu’il sorte et disparaisse ; c’est ainsi que six modèles furent définitivement perdus . Searl ne savait pas comment contenir le champ produit. Pour M. Haines c’était de drôles de pétards à tirs uniques et ‘’ terriblement coûteux ! ’’ selon Searl.

Un témoignage anonyme

Searl, en 1949 travaillait pour la Compagnie des Midlands comme simple assembleur d’appareils électroniques. C’est en autodidacte qu’il étudia le mécanisme des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendre une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à s’éloigner de l’axe de rotation tandis que la polarité positive tendait à s’en rapprocher.

En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d’une dynamo rotative composée de bagues collectrices oudisc-rotorsegmenté, que l’on mettait en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés dans sa périphérie. A l’aide d’un appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité qu’elle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser lorsqu’il se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge alors que l’électricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.

Il acheva dès 1952, sa première magnéto, d’un diamètre de un mètre. Le rotor était constitué d’un disque segmenté qui, en tournant, transmettait l’énergie à un stator périphérique formé d’électroaimants lesquels contribuaient à produire la force électromotrice. Avec l’aide d’un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d’un petit moteur. Comme prévu, sa génératrice produisit de l’électricité mais à un taux qui dépassa largement ses attentes. A une vitesse relativement faible, elle était de l’ordre de 100.000 volts estimée d’après l’électrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d’ozone. Searl dit : '' Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l’énergie à la sortie excédait celle d’entrée. A partir de ce moment, la production d’énergie semblait virtuellement sans limites. ''

C’est alors que se produisit un phénomène totalement inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l’appareil commença à s’élever de terre, rompit le cordon d’alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l’air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu’à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur - effet corona - , l’air était devenu rose fluorescent tant l’ionisation qu’il produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l’induction électromagnétique

Finalement, le rotor de la génératrice s’emballa à une vitesse fantastique et l’appareil ‘’tomba’’ dans l’espace comme si la gravitation terrestre était inversée et on ne l revit jamais.

Aussitôt que la génératrice franchit un certain seuil d’énergie potentielle de l'ordre de milliards (sic) de volts, la puissance fournie se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau virtuellement illimité. Les mesures prises la situaient à des milliards (sic) de watts. A ce niveau de puissance, la génératrice et toutes ses composantes paraissent s’affranchir de la force d’inertie ; mais en se libérant de l’attraction terrestre, elles semblent aussi attirer à elles des morceaux de matière puisqu’elles ont tendance, en s’élevant, à arracher des mottes de gazon. (Voir l'effet d'écran que M. David explique par suppression d'une certaine quantité de gravitons ce qui annule ainsi une partie de la poussée gravitationnelle en direction de la Terre).

Il y a tout lieu de croire que la génératrice provoque une tension dans l’espace qui l’entoure. L’effort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme d’un champ magnétique dont l’énergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à l’espace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par le fait même une sorte de mouvement perpétuel. Ce processus démontre à l’évidence qu’il n’y a qu’une infime proportion de tissu spatial traversant l’appareil qui est convertie en énergie.

Au cours des expériences suivantes, Searl monta ses turbines dont deux de 10 mètres de diamètre, plus fermement dans le sol. Mais celles-ci s’arrachaient encore de la terre emportant avec elles leurs fondations. Elles semblaient produire une puissante force d’antigravité et d’après le cratère de forme hémisphérique laissé dans le sol, on déduisit que cette force opérait sur une sphère dont le générateur était le centre. Searl venait de ‘’tomber’’ sur d’extraordinaires phénomènes associés avec le mouvement de vortex.

Le Pr Searl a construit ensuite 40 disques à lévitation, contrôlés, que M Haines démontait ensuite pour protéger la technologie, les pièces étant utilisées pour la génération suivante. Le dernier appareil fabriqué était Demo 1, malheureusement perdu lui aussi. Ce n'était pas un petit modèle tenu par des fils mais un vaisseau de 6,40 mètres de diamètre, capable de voler et qui pesait des tonnes.

Des effets curatifs du SEG : Les appareils de Searl ont été détruits sauf deux donnés à des malades dont l’un d’eux avait une espérance de vie de quelques mois en raison d’une maladie des poumons. Le SEG a un avantage certain, il produit des décharges d’ions phénoménales aux effets curatifs. Searl avait été un jour brûlé par l’huile bouillante d’un récipient qu’il transportait dehors et qu’une malencontreuse ouverture de porte lui fit renverser. De plus, il était en sang. Deux semaines plus tard, il n’avait absolument plus aucune cicatrice.

John Searl offre son invention : tout le monde fait la sourde oreille

Dans les années 70, Searl qui était patriote offrit d’abord sa technologie à l’Angleterre. A la Reine et au Prince, il fit savoir ceci :

" Voudriez accepter ceci, je peux vous montrer comment construire cet appareil pour produire de l’énergie et pour fabriquer réellement un nouveau type de vaisseau aérien, ou simplement un appareil capable de remplacer l’avion."

Dans leurs réponses la Reine et le Prince le remercièrent vivement mais ne désirèrent pas le voir.

Searl offrit alors son invention aux USA. Il fit une démonstration à la base de l’Air Force d’Edwards. Au cours de la démonstration, il fit, à la télécommande, faire un tournant à 25 g. Les hommes de la base lui ont dit : ‘’Bon, cela pourrait tuer tous les passagers à bord des avions, nous ne voulons pas voir cet appareil, trop dangereux, nous ne pouvons pas nous en servir .’’

Searl, déconcerté fit ensuite un certain nombre d’essais pour déterminer la valeur des forces " g " internes de son appareil. Dans un de ces essais, un peu stupide, une ampoule contenant un élément radioactif était suspendue à l’appareil. Elle était censée se casser sous une force de 2 g. Searl fit subir à l’appareil diverses évolutions qui auraient pu le détruire, mais au retour, l’ampoule était intacte, démontrant ainsi que la relativité à l’intérieur de l’appareil n’était pas la même que dans un aéronef classique.

En 1989, Searl offrit sa technologie à Munich, en Allemagne et à un groupe de scientifiques autorisés à travailler dessus, du moins en R&D pour fabriquer un SEG. Le contrat de fabrication n’est pas connu, ses termes en seront discutés quand les offres seront présentes et qu’il sera alors possible de parler aux investisseurs devant l’appareil en fonctionnement.

Les médias et le Pr Searl

Les quatre plus grandes chaînes de télévision anglaises ont des vidéos complètes sur les disques en vol, on peut les demander à BBC1 qui se propose de les vendre – cher : 32 livres pour les 30 premières minutes et 10 livres pour chaque image plus 17,5 % de taxes - au Pr Searl (qui est à la recherche de tous documents puisque les siens ont été détruits).

24/01/1976BBC.1Nationwide Prog ram

28/10/1988BBC.1 Daytime

May 1994Southern Oregon Public Television & Local Access Cable

16/07/1994Radio WCVE

08/09/1994Radio WCVE

29/05/1995KRO Ararat Radio Station,Hilversum.

La presse écrite a beaucoup parlé de Searl :

Daily Mirrorrdu 13/03/1968

Hants & Berks Gazettedu 04/07/1969

Sunday Mirrordu 28/11/1971

Parade Magazinedu 19/05/1973

Daily Expressdu 25/04/1978

The Chronicle Toowoombadu 19/07/1995, Queensland, Australia

Perth Paper,du 07/08/1995, Western Australia

Hendon Timesdu 02/11/1995

Raum & Zeitde Décembre 1984, avril-mai, Juin-Juillet, Octobre Novembre 1989, et Janvier-Février1990

MAG2000vers 1968, n° 4 Février-Mars 1995, et n°103 Août-Septembre 1996

Dansk Institut For koogisk TeknikNo 21 –2 05/10/1990

UFO NORGE1991

Extra Ordinary Science Symposium EditionVol.VI Issue 2,n°1 Mai 1994

SAFE NEWSn°1 oct / nov / déc 1989

A chaque conférence, Searl a l’appareil avec lui ce qui lui permet d’en faire la démonstration. Un générateur à effet Searl a été présenté au congrès de la DVS à Denver en 1994.

La destruction du travail de Searl

En 1982, alors qu’il était occupé à une de ses expériences, dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe d’officiers pénétra chez lui, confisqua son appareil et arracha le câblage électrique. Il fut jugé pour vol d’électricité à la compagnie locale et condamné à payer une amende. Comme son appareil ne lui fut jamais rendu, il refusa de payer l’amende, et ce refus l’amena en prison. Sa femme et ses enfants n'ont jamais rien su de plus sur le travail de Searl que ce qui s'est dit à la télévision ou dans les articles à son sujet.

Le Pr Searl avait demandé à Gunnar Sandberg d'aller chez lui et retrouver des papiers y compris le registre de tous ses témoins. Sandberg s'y est rendu mais a dit au Pr qu'il y avait trop de choses et qu'il y retournerait plus tard. Pendant qu’il était incarcéré, sa maison fut incendiée. les autorités ont brûlé tous ses papiers avec le consentement de sa femme.

Il a fallu quatre jours pour détruire des années de travail et l'équivalent de 5 millions de livres. Sa femme, seule à en connaître la raison, est responsable de son emprisonnement et de l'incendie. Cet épisode entraîna leur séparation et le Pr Searl ne veut plus rien savoir de sa famille. Selon un témoignage, Le Pr Searl aurait vécu à Birmingham après 1987 sous un nom d'emprunt.


Des manœuvres indélicates

D'après un récit de Searl datant de décembre 1996, certains ont cherché à s'approprier " L'effet Searl " - controversé - tout en cherchant à le copier et tout en disant ne jamais l'avoir observé…

Lors d'une conférence au Danemark, le Dr Andreas Heerfordt a vivement critiqué Searl au sujet de rapports écrits par d'autres personnes sur l'effet Searl (critiques reprises dansElectric Spacecraft Journal).

Le Dr Heerfordt affirmait que G. Sandberg ne pouvait témoigner avoir vu des faits inhabituels en rapport avec les aimants utilisés par Searl. Sandberg était par ailleurs lié par contrat avec Collins qui s'attribue la propriété de " l'appareil Collins " supérieur selon lui à celui de Searl, mais qui n'avait pas fait ses preuves auprsè du Dr Edwards de l'Université. Sandberg avait cherché à obtenir la signature de Searl car l'Université où Collins travaillait avait besoin de son expérience ( Sandberg ayant cassé pour l'étudier un aimant prêté par Searl).

Collins cherchait à négocier les droits de son appareil en Australie en omettant bien de mentionner le nom de Searl.

Le Pr Searl disposant de milliers d’articles de journaux et d’émissions de télévision sur son travail dit ne rien avoir à prouver à M. Heerfordt ni à Electric Spacecraft Journal. Searl recommande à M. Heerfordt de lire ses livres pour connaître son appareil (ce qu’il n’avait toujours pas fait en décembre 1996).

Searl ne donnera pas davantage d'informations ni ne fera de démonstrations pour M. Heerfordt qui selon lui est seulement intéressé pour ce qu'il pourrait vendre sans que J. Searl n'en bénéficie.

Le S.E.G. de Searl, le rêve perdu

Le travail de Searl avait attiré des visiteurs par centaines (dont des gens célèbres) qui signaient le livre d’or et y écrivaient leurs commentaires. Tout a été perdu dans l’incendie.

Searl voulait voler lui-même sur un de ses appareils car il avait été déçu des refus des pilotes d’essais craignant les facteurs G élevés et les hauts voltages. Il était quasiment prêt à le faire grâce à l’investissement d’amis de Nouvelle Zélande. Le terrain était prêt, les trois passagers choisis. Searl venait juste d’obtenir son diplôme pour voler avec passagers (ce qui est bien autre chose qu’une licence de Piper Club) lorsqu’il a été arrêté.

Pendant qu’on le persécutait, il dut laisser pendant longtemps sa plus grande maquette sans surveillance, mais il la croyait en sûreté. Récemment, (1996 sans doute) il voulut la récupérer. Malheureusement, pendant ce temps, la personne qui lui avait permis d’utiliser son terrain était décédée, et sa femme avait tout vendu. Le nouveau propriétaire, un policier, avait vendu l’appareil pour le cuivre - cinq tonnes environ.

Cette déception était d’autant plus grande pour Searl que tout le reste avait été détruit. Même les photos provenant des différentes personnes ayant travaillé avec lui arrivaient au compte-goutte. L’affaire n’avait pas reçu de publicité et la plupart des films et photos ont été détruites. Toute personne disposant encore de photos ou de films des appareils de Searl est priée de contacter John A. Thomas à l’adresse de D.I.S.C. (ci-après).


Description d'un S.E.G.


 



Un SEG est composé d’une série de trois anneaux et de rouleaux qui circulent autour sans les toucher. L’appareil a un cylindre de néodymium contenu dans des anneaux de nylon, de fer et d’aluminium. Searl a choisi le nylon 66 car il a une qualité négative élevée ainsi qu’une double configuration de liaison (le nylon est utilisé comme semi-conducteur dans une diode).

Le premier anneau contient douze rouleaux (plus éventuellement, mais pas moins) correspondants au douze cycles ou phases minimum d’un moteur linéaire. Tous les détails de construction sont basés sur la Loi des Carrés. En observant une coupe, on voit que le SEG utilise le carré de quatre.

L’appareil est stationnaire : les électrons sont émis de l’élément central et ils circulent dans les autres éléments. L’élément central choisi est au néodyme, le Professeur Searl le connaissait depuis 1946 et l’a utilisé bien avant sa " découverte " par l'USAF en 1966. Cet élément découvert depuis 1885 était utilisé dans la fabrication de certains types de verre qui ne transmettent pas les rayons infrarouges. Sans le nylon, le SEG se comporterait comme un laser, une impulsion sortirait, s’arrêterait, se reconstruirait. Le nylon agit comme barrière de contrôle pour donner un flux régulier d’électrons dans le SEG.

Les balais capteurs d’électrons sont sur les bords externes du SEG et conçus pour être utilisés dans des véhicules à antigravité. Un jeu de transformateurs classiques en forme de C collectent l’énergie à utiliser et la transfèrent à l’endroit où elle doit être utilisée. Les appareils anti-g sont un peu différents des générateurs classiques en ce sens qu’au lieu d’alimenter en 240 v comme en Europe et 130 V comme aux USA, il sort des centaines de millions de volts.


Les Champs magnétiques imprimés

Les rouleaux ont un pôle nord et un pôle sud primaires comme les plaques. Le pôle nord du rouleau étant bien sûr attiré par le pôle sud de la plaque. D’habitude, ils se calent droit dessus et ne sont pas capables de se déplacer, particulièrement avec le néodyme. Mais il y a un champ secondaire imprimé inscrit sur ces aimants au moyen d’un composant à courant alternatif. En imprimant un tel champ magnétique sur le rouleau, le Pr Searl était capable de faire circuler les rouleaux autour de la barre, même vers un angle de 90 ° parce que les lignes (voies) des champs sont imprimés sur les aimants.

Pour faire ces aimants, il faut un composant à courant alternatif pour influencer le champ de courant continu. Quand le champ est déformé de multiples pôles se forment à la surface des rouleaux et des anneaux. La fréquence utilisée est différente sur les rouleaux et les anneaux, ce qui crée une non unité entre les deux faces de manière à empêcher aux aimants de réussir l’unité en allant vers une orientation nord-sud.

L’impression, qui se fait en Allemagne, est difficile à réaliser. Il faut imprimer les lignes magnétiques et refroidir sans provoquer de cassure. On utilise des bobines pour ce faire, en supprimant d’abord les champs existants puis en produisant ensuite le champ imprimé, et enfin en refroidissant le composant terminé. On contrôle à l’oscilloscope la forme de l’onde imprimée.

Si l’on place les rouleaux sous de la limaille de fer sur une feuille, on obtient des résultats inhabituels…un grand modèle sur chaque pôle, quasiment aucun modèle angulaire dans un arc entre les pôles. Il y a à la fois des pôles en couches et des pôles individuels, cette uniformité des pôles à l’extérieur étant très importante, ces pôles magnétiques étant leurs propres moteurs primaires.

Le SEG est remarquable car aucune de ses parties n’est en contact avec les autres, il n’y a donc aucune friction. Les rouleaux planent sur le champ magnétique en raison du composant courant alternatif inscrit sur eux. Ils ne décolleront pas à cause du courant continu qui leur a été imprimé. Ils circulent autour du premier anneau à 400 km à l’heure et deux fois et demi plus vite en allant vers l’extérieur.


L’effet Searl est mesurable

Au séminaire de l’Université du Middlesex à Londres, le 10/03/1996, le Pr Searl a utilisé des instruments de mesure facilement disponibles pour prouver sa découverte. Il a commencé sa démonstration avec un segment construit selon ses indications spécifiques. Il a alors fait toucher une sonde venant de l’oscilloscope au centre du segment, l’autre sonde touchant l’anneau extérieur à ce segment. Le résultat a été visible sous forme de crête observée sur l’oscilloscope. Ce pic a montré qu’il existe vraiment une charge lorsqu’une combinaison d’éléments est pressée et mise en forme d’une façon bien déterminée. Searl a montré une charge de 3 volts toutes les cinq millisecondes, un de ses associés a même pu obtenir 12 à 15 volts.

Le circuit se déplace à travers les éléments en couches dans le segment qui montre un potentiel négatif, c’est à dire, une libération d’électrons qui est une preuve de charge.

Il est donc possible d’extraire de l’électricité de notre environnement, et seulement avec les éléments ambiants. Le segment émet un flux d’électrons en captant le potentiel de cette fabrique d’espace environnant. Il y a donc là une source d’électrons qui est transmise du noyau interne du segment vers son périmètre, et continuellement libérés.


Importance du choix de l’élément

En observant la Table des Eléments, Searl a remarqué que la structure atomique de chacun est illustrée et a découvert que les éléments qui convenaient le mieux étaient hexagonaux, ce qui n’est pas le cas du fer. Il les utilise en conjonction avec une configuration hexagonale pour capter la meilleure manière de développer l’effet.

Les poudres qui doivent avoir une granulation spécifique, un poids atomique et des dimensions exactes sont assemblées pour répondre aux exigences de la Loi des Carrés. Ce sont les éléments du centre qui ont le poids atomique le plus lourd (néodymium 60 utilisé dès le premier SEG).

La Loi des Carrés


 La Loi des Carrés, assez complexe (John Thomas l’a étudiée de très près) est basée sur trois et (trois seuls) groupes de carrés de groupe 1, 2 et 3. Les carrés du groupe 1 comprennent tous les nombres impairs, ceux du groupe 2 ont tous les nombres pairs divisibles par quatre, et tous les nombres impairs non divisibles par quatre sont dans le groupe 3. Dans ses livres, Searl signale qu’un carré de groupe 1 tourne.

Dans ces carrés, la somme de tous les nombres en lignes horizontales, verticales ou diagonales donne le même nombre. Dans le passé, on les nommait Carrés magiques, ce n’est donc pas une nouvelle technique. John Thomas a fait une extrapolation d’un carré de groupe 2 dans un cube déployé. Il s’est rendu compte qu’il se trompait en pensant que la même valeur serait obtenue pour toutes les directions des lignes. Avec ce cube, il a trouvé qu’il y avait un modèle de commutation impliqué que l’on pouvait mettre en équation le modèle de commutation des carrés avec celui vu dans le cube, ce qui conduisait à un monde en trois dimensions.

 



Il était ensuite possible de passer facilement à un modèle de commutation dans les valences atomiques ou la structure atomique

La découverte fortuite et heureuse du système de contrôle des S.E.G.

Un jour, le Pr Searl donnait une interview filmée pour un journal. Il finissait à peine de dire que son appareil ne s’arrêtait pas, que celui-ci stoppa. Searl en resta bouche bée. Mais c’était le meilleur coup de chance qu’il pouvait lui arriver car Searl a pu grâce à cela contrôler ses disques avec à un circuit de télécommande mécanique ou électronique.

Il réalisa immédiatement que la clé se trouvait dans la fréquence, la caméra vidéo s’était abaissée sur le SEG pour le prendre en gros plan. L’harmonique ou la fréquence de résonance émise par la caméra vidéo résonnait sur la fréquence primaire du SEG et la neutralisait, ce qui faisait que les pôles arrivaient à l’unification et stoppaient.

Il se passe des choses curieuses dans les disques de Searl. Un vide se produit et se développe au centre, siège d’un champ libéré de l’inertie. C’est le principe même utilisé dans le SEG (Space Energy Generator) et qui fait qu’une masse de métal en rotation projette les électrons sur le bord d’un accumulateur-récepteur. Il est alors possible de capter ces énergies électrostatiques à haute densité, (comme dans une machine de Wimshurst ou Testatika ou une machine de Hyde). Ou bien, la rotation peut faire fonctionner un autre générateur.

Le rêve retrouvé de Searl

On pourrait penser que tout le travail de Searl est perdu, comme celui des Tesla, Keely, Schauberger, Carr et tant d’autres qui ont été contraints de garder leurs secrets pour ne pas se les voir voler ou les voir exploiter dans de mauvaises mains. Quelles fabuleuses inventions auraient pu sortir de l’esprit de ces grands hommes à la lumière de nos découvertes modernes ?

Mais Searl n’est pas homme à s’arrêter, il a une volonté de fer et se voue à offrir sa technologie pour un monde meilleur. Il a diffusé ses travaux dans son livre " la Loi des Carrés ".

En 1989 le Pr Searl a donné des conférences à Munich, à Einsiedeln en Suisse au congrès international sur l’énergie

En 1990, à l’école de médecine de Munich, à l’Institut de l’Environnement au Danemark suivi d’une tournée de trois semaines de conférences

En 1994, au congrès INE de Denver Colorado

En 1996, à l’Université du Middlesex, au Centre Commercial Ilsington et à l’école supérieure du comté de Mill Hill

Trois séminaires étaient prévus en 1996 en Angleterre

Le Pr Searl poursuit avec acharnement ses travaux en dépit de grandes difficultés et il met actuellement au point un générateur d'électricité basé sur sa technologie. Il souhaite que cela atteigne le public avant une autre censure ou destruction. Il croit que le temps est venu pour que le monde dispose de cette technologie pour le plus grand bénéfice de l'humanité et la réparation des dommages causés à la couche d'ozone par la pollution mondiale.

Direct International Science Consortium : D.I.S.C.

Le siège de D.I.S.C., fondé en mars 1995, est à Londres

13 Blackburn Mower Strand, Grahame Park Estate London NW9 5NG

Tél : +44 (0) 181 200-0714 Fax : +44 (0) 181 200-5932

D.I.S.C.détient la connaissance nécessaire à : la construction d’un SEG de 11 kW à usage domestique sur 240V ou 110V en courant alternatif (il peut être construit pour l’industrie à tous voltages et ampérages) et à la construction d’un vaisseau volant dénommé véhicule à anti - (IGV).

Neuf personnes entourent le Pr Searl, dont John Thomas, co-fondateur. Il est possible d’appeler le Pr Searl au Tél. 0181 200 0714, Fax 0181 200 5932 ou par e-mail sur le site http://www.moose.co.uk/userfiles/prof.j.searl/index.html

Il existe d’autres correspondants aux USA, en Allemagne, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Australie

Parmi eux, des physiciens, des ingénieurs, pilotes d’avions, informaticiens et d’autres personnes qui font connaître les travaux de Searl et ses livres

Adresse aux USA : John A. Thomas Jr, 373 Rock Beach Road, Rochester, New York 14617-1316

Tél : +1 716 467 2694 Fax:+ 1 716-338-2663 –e-mail : discjt@servtech.com

Voir une nouvelle conception de SEG par Dave Squires sur le site de Jean-Louis Naudin. Cette extension faite d'après les travaux sur le moteur électrostatique à capacité et haut voltage, le PFT MK2 n'a pas encore été expérimentée mais son auteur pense que le déséquilibre de vecteur S -Poynting est la cause du mouvement des rouleaux. http://www.fortunecity.com/tattooine/delany/256/html/newseg.htm



Source:http://quanthomme.free.fr/energielibre/gravitation/GR_Inventeur1.htm

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16 mai 2013

Une production d'énergie illimitée, combinant force antigravitationnelle et mouvement perpétuel.

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John Roy Robert Searl naquit le 2 mai 1932 dans une famille Anglaise très pauvre. A l'âge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sœur et placé dans une famille d'accueil. A partir de l'âge de quatre ans et demi, jusqu'à ses dix ans il se mis à faire deux rêves par an dont l'un était la suite de l'autre, un message en deux parties. A dix ans, il a pensé que ces rêves devaient avoir un sens et il a essayé de les interpréter.(1)

Une production d'énergie illimitée, combinant force antigravitationnelle et mouvement perpétuel.

A quatorze ans, avec un recoupement et une analyse de ses "messages" reçus, il construisit ce qu'il appela le "SEG", "Space Energy Generator", "générateur d'énergie à partir du vide", (mais on l'appel aussi le "Searl Effect Generator"). Et ce, simplement en montant des systèmes rotatifs composé d'une combinaison d'éléments en cuivre et d'aimants. Il pût démarrer ses recherches grâce au financement d'un mécène âgé, George Haines, qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de Haines, se mit alors à accélérer lorsque Searl plaça les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ magnétique se développait autour de lui, il perdait de sa masse, sa gravité se trouvait modifié, et il décollait et se mettait à percuter le plafond, à la grande surprise des deux témoins, qui comptaient sur la découverte d'un générateur d'énergie et non d'un engin volant.

Le SEG resta fiché dans le plafond jusqu'à ce qu'il le traverse, puis le toit, et disparaisse ensuite dans le ciel. Six modèles furent définitivement perdus de cette manière. Searl ne savait pas comment contenir et contrôler le champ produit, qui était d'une très forte puissance. Haines ne vît là-dedans que de "drôles de pétards" et qui surtout "commençaient à devenir chers", comme le dira Searl.

En 1949, Searl travaillait pour la Compagnie des Midlands comme ouvrier assembleur d'appareils électroniques. C'est là qu'il étudia, pût analyser et comprendre le mécanisme de fonctionnement des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendraient une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à s'éloigner de l'axe de rotation, tandis que la polarité positive tendait à s'en rapprocher (comme les deux faces d'un aimant, il y a celle qui attire le métal et si vous le retournez, vous avez une face qui le repousse).

L'invention d'un modèle révolutionnaire de dynamo.

En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d'une dynamo rotative composée de bagues collectrices ou disc-rotor segmenté, que l'on pouvait mettre en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés autour de lui, dans sa périphérie (photo ci-dessous). A l'aide d'un appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité qu'elle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser quand il se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge, alors que l'électricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.

Le modèle de dynamo de Searl en fonctionnement, avec les segments en rotation. Les quatre diodes jaunes du boitier rouge carré (en bas), placé à proximité de la dynamo, s'allument. Montrant qu'il y a bien un champs électro-magnétique, donc production d'une force électromotrice (de faible intensité, avec un petit modèle comme celui-là), mais cela montre bien que le principe fonctionne. Comme vous pouvez le voir sur la vidéo suivante:

La dynamo, avec le système SEG en fonctionnement:

La réalisation d'un nouveau modèle de générateur, produisant de l'énergie électrique, à partir du vide.

Il acheva en 1952 sa première magnéto, d'un diamètre de un mètre. Le rotor était constitué d'un disque segmenté qui, en tournant, transmettait l'énergie à un stator périphérique formé d'électroaimants, ces derniers contribuant à produire la force électromotrice. Avec l'aide d'un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d'un petit moteur (en fait un groupe électrogène, pour lui envoyer du courant électrique). Il avait besoin d'être "lancé", mais au bout de quelques minutes, produisant sa propre énergie, même quand le système de démarrage et le courant qu'il procure étaient arrêté, et bien le générateur lui, ne s'arrêtait pas et continuer de fonctionner (et bien sûr de produire du courant). Comme prévu, la génératrice produisait de l'électricité mais à un nivaux très largement supérieur à ce qui était attendu. Avec une vitesse relativement faible, la production était de l'ordre de près de 100000 volts, d'après l'électrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d'ozone. C'est là que Searl découvrit une chose très importante, non seulement l'appareil finissait par être autonome et à produire sa propre énergie électrique, mais en plus, une fois que la machine avait dépassé un certain seuil de potentiel, l'énergie produite à la sortie, excédait celle fournie en entrée (pour mettre en marche le système). A partir de ce moment, la production d'énergie est dès lors potentiellement illimitée!


Le rapport entre "électromagnétisme" et "antigravitation".

C'est à ce moment que lors de la poursuite de ces expérimentations, se produisit quelque chose d'inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l’'appareil commença à s'élever de terre, rompant le cordon d'alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l'air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu’à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur, l'air était devenu rose fluorescent tant la "ionisation" (de l'air dans lequel circule de l'électricité, c'est en fait un "plasma", qui est appelé "l'effet corona") qu'il produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l'induction électromagnétique.

Finalement, le rotor de la génératrice finit par s'emballer à une très grande vitesse et l'appareil se trouva propulser dans le ciel et l'espace et on ne le revit jamais.

Ce qui a dût se passer, c'est que, aussitôt que la génératrice a franchit un certain seuil d'énergie potentielle de l'ordre du milliard de volts, la puissance fournie par celle-ci se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau devenant en théorie, illimité. Les mesures prises la situait à des milliards de watts. A cette puissance, la génératrice et tous ses composants paraissent alors s'affranchir de la force d'inertie (la gravité, le fait que n'importe quel corps qui tombe est attiré vers le sol). Mais en se libérant de l'attraction terrestre, elle semble aussi attirer à elle des morceaux de matière puisqu'elle avait tendance, en s'élevant, à arracher des mottes de gazon (appelé "l'effet d'écran" qui s'explique par la suppression d'une certaine quantité de gravitons, ce qui annule ainsi une partie de l'attraction Terrestre).

La génératrice devait provoquer une tension dans l'espace environnant. L'effort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme d'un champ magnétique dont l'énergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à l'espace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par cette réaction même, une sorte de mouvement perpétuel.

Le principe même utilisé dans le SEG, fait qu'une masse de métal en rotation projette les électrons sur le bord d'un accumulateur-récepteur. Il est alors possible de capter ces énergies électrostatiques à haute densité, (comme dans une machine de Wimshurst ou Testatika ou une machine de Hyde). Ou bien, la rotation peut aussi faire fonctionner un autre générateur. Et il est tout à fait possible d'augmenter la taille du générateur, en ajoutant des segments et des rouleaux de plus en plus grand. Dans le but d'avoir un générateur encore plus puissant, comme vous pouvez le voir sur cette illustration ci-dessous:

Où Searl découvre l'intérêt des "fréquences", pour le contrôle de ses disques à antigravité.

Un jour, Searl donna une interview filmée pour un journal. Il finissait à peine de dire que son appareil ne s'arrêtait pas, que celui-ci stoppa net. Searl n'en cru pas ses yeux. Il réalisa immédiatement que la clé devait se trouver dans la fréquence, la caméra vidéo s'étant au même moment, approcher sur le SEG pour faire un gros plan. L'harmonique ou la fréquence de résonance émise par la caméra vidéo résonnait sur la fréquence primaire du SEG et la neutralisait, ce qui faisait que les pôles arrivaient à l'unification et stoppaient (ce fût un véritable coup de chance, car Searl a grâce à cela, réussit à contrôler ses disques avec un circuit de télécommande mécanique ou électronique). (2)

Photos de Searl avec un de ses disques en vol. Searl construisit près de quarante disques à lévitation, de différentes taille, tous contrôlés. Qu'il démontait ensuite pour faire des économies, les pièces étant utilisées pour la génération de disques suivante. (3)

L'utilisation des champs magnétiques imprimés.

Les rouleaux (les gros cercles de cuivre) ont un pôle nord et un pôle sud primaires comme les plaques (les petits disques qui tournent autour). Le pôle nord du rouleau étant bien sûr attiré par le pôle sud de la plaque. D'habitude, ils se calent droit dessus et ne sont pas capables de se déplacer, particulièrement avec le néodyme. Mais il y a un champ secondaire imprimé, qui est inscrit sur ces aimants au moyen d'un composant à courant alternatif. En imprimant un tel champ magnétique sur le rouleau, Searl est capable de faire circuler les rouleaux autour d'un axe, même avec un angle de 90° parce que les lignes des champs sont imprimées sur les aimants.

Pour faire ces aimants, il faut un composant à courant alternatif pour influencer le champ de courant continu. Quand le champ est déformé, de multiples pôles se forment à la surface des rouleaux et des anneaux. La fréquence utilisée est différente sur les rouleaux et les anneaux, ce qui crée une non unité entre les deux faces de manière à empêcher aux aimants de réussir l'unité en allant vers une orientation nord-sud.

L'impression, qui se fait en Allemagne, est difficile à réaliser. Il faut réussir à imprimer les lignes magnétiques et parvenir à refroidir sans provoquer de cassure. On utilise pour cela des bobines, en supprimant d'abord les champs existants, puis en produisant ensuite le champ imprimé, et enfin en refroidissant le composant terminé. On contrôle ensuite à l'oscilloscope la forme de l'onde imprimée.

Les "rouleaux", en cour d'usinage et de polissage

Les "disc-rotor" segmentés, appelées aussi "bagues collectrices"

Si l'on place les rouleaux sous de la limaille de fer sur une feuille, on obtient des résultats inhabituels. Un grand modèle sur chaque pôle, quasiment aucun modèle angulaire dans un arc entre les pôles. Il y a à la fois des pôles en couches et des pôles individuels, cette uniformité des pôles à l'extérieur étant très importante, ces pôles magnétiques devenant leurs propres moteurs primaires.

Le SEG est remarquable car aucune de ses parties n'est en fait en contact avec les autres, il n'y a donc aucune friction. Les rouleaux planent sur le champ magnétique en raison du composant courant alternatif inscrit sur eux. Ils ne décolleront pas (comme c'était le cas lors des premières expériences) à cause du courant continu qui leur a été imprimé. Ils circulent autour du premier anneau à 400 km/h et deux fois et demie plus vite en allant vers l'extérieur.

L'effet Searl est scientifiquement démontré.

Au séminaire de l'Université du Middlesex à Londres, le 10 mars 1996, Searl a utilisé des instruments de mesure facilement disponibles pour prouver l'efficacité de sa découverte. Il a commencé sa démonstration avec un segment construit selon ses indications. Il a alors fait toucher une sonde venant de l'oscilloscope au centre du segment, l'autre sonde touchant l'anneau extérieur à ce segment. Le résultat a été visible sous forme de crête observée sur l'oscilloscope. Ce pic a montré qu'il existe vraiment une charge lorsqu'une combinaison d'éléments est pressée et mise en forme d'une façon bien déterminée. Searl a montré une charge de 3 volts toutes les cinq millisecondes, un de ses associés a même pût obtenir 12 à 15 volts.

Le circuit se déplace à travers les éléments en couches dans le segment qui montre un potentiel négatif, c'est à dire, une libération d'électrons qui est une preuve de charge.

Il est donc possible d'extraire de l'électricité de notre environnement, et seulement avec les éléments ambiants. Le segment émet un flux d'électrons en captant le potentiel de cette fabrique "d'espace environnant". Il y a donc là une source d'électrons qui est transmise du noyau interne du segment vers son périmètre, et continuellement libérés.

Searl continu ses travaux et ses recherches.

On pourrait penser que tout le travail de Searl s'est trouvé perdu, comme celui de tant d'autres inventeurs avant lui. Il fût pendant ses nombreuses années de travail, longtemps décrié, ridiculisé (et même à un moment donné emprisonné sous un faux prétexte). Du fait que son invention gênait énormément les fournisseurs en énergie, qui étaient eux, établis et reconnus, et avaient une évidente notoriété publique, donc beaucoup plus de moyens (les compagnies de gaz et d'électricité, pour ne pas les nommer). Et après avoir subit de nombreux ennuis, qui lui firent prendre ses distances avec la société et disparaitre durant plusieurs années, il est finalement revenu sur le devant de la scène. (4)

il est parvenu a continuer ses recherches, avec des moyens bien inférieurs à ceux qu'il lui faudrait, mais plus conséquents que ceux de ces début. Searl voue sa découverte technologique, pour le bien de l'humanité et pour un monde meilleur.

 

Les autres chercheurs et leurs inventions.

Il y eu bien d'autres inventeurs, qui cherchèrent à développer des générateurs "d'énergie libres" fonctionnant à partir du vide. Parmi eux, il y eu entre autres:

 

Viktor Schauberger.

Les procédés par lesquels la Nature produit de l'énergie ont un rendement beaucoup plus élevé que nos technologies mécaniques, comme Viktor Schauberger devait le prouver avec ses machines à implosion, d'une puissance prodigieuse. Il inventa des générateurs "à eau", qui fournissaient une puissance de sortie largement supérieure à celle qu'ils absorbaient (puissance d'entrée), différents appareils destinés aux habitations, produisant de l'énergie, du froid ou de la chaleur, et d'autres, comme celui qui transformait une eau polluée en eau de source de bonne qualité. Hélas, les prototypes en état de marche furent détruits à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, et on ne dispose pas de tous leurs plans détaillés.

William Baumgartner.

Il a construit un générateur à implosion basé sur les travaux de Viktor Schauberger. Les premiers tests de sa turbine à eau montrèrent une production d'énergie surunitaire: plus d'énergie à la sortie qu'à l'entrée.

Leroy-Hatem.

En mai 1945, après 20 années de recherche, le chercheur et inventeur français Leroy-Hatem a découvert la dualité des énergies magnétiques, il a mis en pratique ses théories en élaborant des mécanismes qui fonctionnent selon les principes de la Galaxie magnétique, du Planétarium magnétique avec mouvement orbital, du Tracteur magnétique,...etc. Il est également à l'origine d'un système qui dénonce les erreurs de certains principes erronés (comme Newton, Bohr...).

Walter Russell.

Russell était un artiste, musicien, philosophe et auteur adulé. L'Académie des Sciences Américaine lui décerna un doctorat "honoris causa". Il avait découvert en 1927 des méthodes permettant de produire de l'hydrogène à bon marché. En 1990, Ron Kovac, chercheur en chimie, Toby Grotz, ingénieur en électricité, et Tim Binder, médecin naturopathe ont reproduit les découvertes de Walter Russell. Russell a aussi construit un appareil qu'il a nommé Générateur Optique à Dynamo-Russell, qui captait l'énergie libre. Toby Grotz a entrepris des recherches pour retrouver les plans originaux de cet appareil, et le 10 septembre 1961, cet appareil était opérationnel.

Tony Tyson.

Il fût Directeur de la recherche en cosmologie sur la matière noire et l'énergie du vide (la matière noire constituant 90% de la masse de l'Univers). il est actuellement professeur au département de Physique de l'Université de Californie.

Dans le domaine de l'astrophysique, en cartographiant le ciel avec des télescopes, on s'est aperçu qu'à peine 1% de la masse céleste nous était visible, les 99% restants demeurant invisibles. C'est ce que les physiciens appellent la matière sombre. Si l'on enlève les corps denses (que l'on peut répertorier dans un espace donné) tels que les planètes, les astéroïdes et autres corps célestes visibles, on estime qu'il reste encore 90% de la matière dite sombre qui deviendrait identifiable uniquement par son effet sur la déviation de la lumière visible émise par le premier 1%, toujours vue avec le télescope. Cette masse de distribution non uniforme joue le rôle d'une lentille gravitationnelle, créant ainsi une vision astigmate du ciel étoilé. Aujourd’hui, grâce à un support informatique fort complexe, on peut rétablir les vraies positions des astres lumineux et en estimer assez exactement la valeur de la masse sombre dite exotique. Il n'y a aucun doute aujourd'hui, plus de 200 000 galaxies ont été étudiés par différents laboratoires d'astrophysiques à travers le monde et ils en tirent tous les mêmes conclusions:

- Matière sombre classique = 9 %

- Matière lumineuse = 1%

- Matière sombre exotique = 90% ou Energie Libre.

Ken Shoulders.

Le Dr Ken Shoulders a découvert dans les années quatre-vingt, "les amas de charge" ou charge clusters, ou Electrum Validum ("charge intense"). En 1991, Shoulders a réussi a faire breveter sa découverte aux Etats-Unis en la nommant "Conversion de l'Energie en utilisant une Charge de Haute Densité". C'était la première fois qu'un brevet disait que "l'énergie de l'espace (énergie libre) peut être utilisée comme source d'énergie électrique utilisable".

Joseph Newman.

Sa machine a un rendement de 800%. Il a fait vérifier son invention par le bureau des brevets Américains, qui a conclu, après avoir envoyé une équipe d'ingénieurs bardés d'instruments de mesures, que sa machine fonctionne exactement comme il l'a annoncé (c'est cette équipe qui a calculé le rendement de 800%). Mais, "étant donné qu'il n'existe pas de principes physiques reconnus selon lesquels on peut expliquer le fonctionnement de sa machine", ce même bureau des brevets l'informa "qu'il ne pouvait donc pas délivrer de brevet". Devant l'insistance de l'inventeur qui se battait depuis 18 ans pour faire reconnaître son invention, une commission d'étude composée de physiciens compétents s'est réunie en présence de Newman, mandatée par les organismes officiels dans le but, de désavouer son invention. Mais c'est le contraire qui s'est produit. Les scientifiques étaient tellement impressionnés par les résultats de Newman ainsi que par son modèle théorique, que les délibérations dura de plusieurs heures, et beaucoup voulaient trouver des moyens pour creuser la question. Les conclusions n'étant pas celles qui avaient été espérées par les instigateurs de la réunion, ils ont désapprouvé la commission et rédigé leur propre conclusion: "sans intérêt". Newman émigra au Japon pour continuer ses travaux.

Bruce de Palma.

Mr Bruce De Palma, un physicien, a conçu une machine à énergie libre. Il s'est vu confisquer son invention par les autorités officielles parce qu'il s'en servait pour alimenter en énergie électrique toute sa maison gratuitement. Une interdiction lui a été faite. Il alla lui aussi travailler chez les Japonais. Après de nombreuses recherches, il finit par concevoir une machine appelée N-Machine, utilisant des aimants superpuissants pour obtenir de l'électricité. Des tests en 1980 ont montré que le générateur produisait plus d'énergie qu'il n'en consommait.

Thomas Bearden

Tom Bearden, ingénieur en physique nucléaire, lieutenant-colonel à la retraite de l'armée américaine, a à son actif plusieurs publications dans le domaine de l'énergie du point zéro, des potentiels scalaires, de phénomènes exotiques de l'électrodynamique. Il déposa aussi plusieurs brevets de machines "over-unity".

Floyd Sweet.

Il inventa un assemblage d'aimants et de Bobines de fils que Thomas Bearden appela Tube Triode, Vacuum Triode Amplifier, VTA ("Amplificateur du Vide"). Il produisait plus d'énergie qu'il n'en consommait.

Wingate Lambertson

Le Dr Wingate Lambertson, ancien directeur de la Science et Technology Commission du Kentucky, après plus de vingt ans de recherches, est aujourd'hui sûr que l'énergie de l'espace peut être transformée en une source de courant fonctionnelle, grâce à un procédé qu'il a appelé le World Into Neutrinos, WIN ("Monde en Neutrinos").

John Hutchinson.

Ce scientifique autodidacte, pendant l'hiver qui précéda sa tournée au Japon de 1995, a construit un appareil fonctionnant à partir de l'énergie de l'espace. Son convertisseur était basé sur le principe de résonance de Tesla. Hutchinson capta la même énergie pulsante et rythmée de Tesla en utilisant des cristaux de titanate de baryum. Plus tard, il créa le procédé "Dirt Cheap" (utilisant comme composants de vulgaires pierres).

Bertil Werjefelt.

Après s'être rendu compte que les générateurs classiques utilisant des aimants sont confrontés à un problème appelé résistance magnétique, ce conseiller en sécurité dans l'aviation, a amélioré le générateur classique en ajoutant un système tournant qui annule la résistance magnétique en la neutralisant avec les champs de force d'aimants additionnels. Il en résulte que le générateur donne plus de courant avec la même consommation d'énergie. En 1995, lors d'une conférence, il expliqua que l'enseignement scientifique classique du magnétisme était incomplet depuis le début, et que, la communauté scientifique avait déclaré de manière précipitée qu'il était impossible d'utiliser le magnétisme comme source d’énergie.

Tony Cuthbert.

Quelques inventions de Tony Cuthbert :

- boîte de vitesse et système de frein sans embrayage,

- turbine: moteur hybride mi moteur/mi turbine. Il permet de propulser un paquebot avec un moteur de la taille d'une petite voiture,

- séparateur magnétique: récupération de métaux par des aimants liquides,

- quelques mécanismes à énergie libre.

Les ferrofluides, utilisés avec un aimant, permettent:

- moyen de propulsion,

- animer un coeur artificiel ou régénérer un coeur,

- piste magnétique verticale (permettant de faire grimper un engin à la verticale),

Moteur gravitationnel:

- mécanisme qui capte l'énergie utilisable du champ gravitationnel terrestre,

- Machine qui se déplace en plein air, sans propulsion apparente par fusée ni aucune poussée extérieure (contraire à la troisième loi de Newton).

Erwin Laszlo.

Scientifique et philosophe de réputation internationale, possède plusieurs doctorats en science de l'éther et des champs de l'énergie du vide.

Moray B. King.

Ingénieur, un des pères fondateurs de la théorie de "l'énergie du point zéro". Il a écrit plusieurs livres traitant de l'énergie de l'éther.

Harold Puthoff.

Auteur de plusieurs ouvrages dont les fondements de l'électronique quantique, également Directeur de l'institut des études avancées de Austin (Texas).

Peter Linderman.

Reconnu comme un des experts mondiaux dans l'explication du phénomène de l'énergie radiante (une forme d'énergie du vide) telle que décrite par Nikola Tesla et employée par Edwin Gray dans son moteur électrique.

Thomas Francis Vallone.

Titulaire de nombreuses maîtrises et doctorats en physique appliquée. A été président du "Integrity Research Institute" de Washington DC. Chercheur passionné, il a à son actif un nombre impressionnant d'articles et de livres touchant les nouvelles technologies.

Harold Aspden.

Ancien directeur (retraité) de brevets pour IBM, a lui-même à son actif plusieurs brevets sur des machines pouvant être "sur-unitaire".

Shiuji Inomata.

Au japon, Shiuji Inomata, employé depuis trente cinq ans par le gouvernement du Japon, et travaillant aux Laboratoires Electrotechniques à Tsukuba ("La Cité de l'Espace" du Japon) a été autorisé par son gouvernement à créer une machine à énergie libre. Il fit une conférence pour les dirigeants du monde politique et industriel plus de six cents professionnels sont venus assister à son dernier séminaire. La Toshiba Corporation a débloqué deux millions de dollars pour le développement d'aimants supraconducteurs destinés à son nouveau générateur unipolaire.

R. Stirling.

Le moteur inventé par ce pasteur écossais est très fiable, silencieux et d'un haut rendement. Entre autres utilisation, un sous-marin d'attaque suédois évolue grâce à ce mode de propulsion. Couplé à une parabole réfléchissante, le moteur Stirling permet de produire de l'électricité sans combustible.

John Bedini.

Le moteur fonctionnant à l'énergie libre de John Bedini existe depuis plus de quinze ans. Il fonctionne selon les principes de l'électromagnétisme découverts par Nikola Tesla avant 1900 au cours de ses essais à Colorado Springs.

Johann Grander.

Il a développé un moteur magnétique ne nécessitant ni batterie, ni connexion au réseau électrique.

Le NEOGEN.

Le Neogen Dynamo Project est une version du RV-MULLER GENERATOR inventé par Bill Muller et Hector D. Perez. Deux sociétés russes commercialisent des génératrices d'électricité qui violent les règles de la physique actuelle.

Le LUTEC 1000.

le 8 septembre 2005 Lou Brits et John Christie de Cairns (Australie) ont mis au point un générateur électromagnétique. Ils annoncent une entrée d'énergie pour un petit générateur de 4,25 watts, et en sortie 15,4 watts, soit 362 % d'énergie en plus.

La technologie EBM.

Energy By Motion, "Energie Par le Mouvement" est peut être un espoir mais elle reste toujours au stade expérimental. Le professeur Szabo développe au sein de la société Canadienne Electro ErgLtd et de sa filiale Hongroise Gamma Manager, la technologie EBM qui est appliquée dans la commercialisation de générateurs auto-alimentés d'une énergie électromagnétique illimitée et propre. Son inscription à l'ordre du jour du parlement de l'Ontario et sa certification par une dizaine de scientifiques et universitaires plaident en faveur de l’avènement d'un véritable générateur à énergie libre.

Le brevet international des russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l'Académie des Sciences de Moscou, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu'un système sur-unitaire est réalisable. Pour faire cela, ils se sont basés sur les travaux de John Searl. Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capables de convertir diverses formes d'énergie, dés lors qu'un certain régime de fonctionnement critique est atteint, l'installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome.

Note: (1) Pour Nicola Tesla, c'était un peu pareil. Ce dernier a toujours expliqué que ces inventions et ces idées, lui étaient toutes venues par le biais de "channeling" (une voix intérieure lui donnant des informations).

(2) En observant la "Table des Eléments" (où la structure atomique de chacun est illustrée), il a aussi remarqué que c'était les éléments qui étaient hexagonaux, qui convenait le mieux pour le SEG. Pour plus d'informations sur les disques de Searl, voir "Les engins à antigravité: Principes et réalisations."

(3) Searl se lança aussi, en parallèle à ses recherches sur le SEG, dans la construction d'engins à antigravitation (avec bien des déboires, de la part des autorités Britanniques, qui ne fît rien pour aider ses recherches, bien au contraire). Voir l'article "Les véhicules à antigravité sont possibles".

(4) Il sera emprisonné, sous le prétexte "d'utilisation frauduleuse d'électricité". Et pendant sa détention, les militaires Britanniques vidèrent carrément son atelier de tous ses documents, plans, schémas, prototypes...etc. Et ce fût la même chose, quelques années plus tard, où ils profiteront d'un séjour de Searl à l'étranger, pour faire de même avec ses recherches sur les disques volants. En n'emportant rien cette fois-là, mais en mettant carrément le feu à son atelier! Prévenu par sa femme et rentré au Royaume-Uni, il sera envoyé en prison de nouveau. Par la suite, il préféra vivre un certain temps dans la clandestinité, sous un faux nom (ce n'était pas si difficile, vu qu'il n'y avait pas de "carte d'identité". En effet, ça n'existait pas dans le pays, à cette époque. Il existe aujourd'hui une carte (non obligatoire), mais ils n'ont jusqu'à maintenant, jamais réussi à la faire accepter à l'ensemble de la population Anglaise).

Source:

www.searlsolution.com;
www.Magnetosynergie.com;
www.josephnewman.com;
www.depalma.pair.com;
www.cuthbert-physics.com;
www.steorn.com;
www.cheniere.org;
www.aspden.org;
www.syscoil.org;
www.quanthomme.free.fr;
www.econologie.info;
www.akoil.ru;
"Antigravity: "The dream made reality, The story of John R. R. Searl", par John A. Thomas;
"The law of the squares" par John R. R. Searl;
"Energie libre et technologie", par Jeane Manning, Editions Louise Courteau Éditrice.

18 novembre 2012

Les stars sont des idoles qui participent à la vampirisation énergétique de la nouvelle Babylone

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lorsqu'on veut s'élever par la volonté, la recherche du pouvoir, la célébrité et la gloire en ce monde. On peut emprunter une voie de fausse sainteté comme les initiés de la « main droite » qui ont cultivé une personnalité raffinée, ou au contraire - mais cela revient au même – on peut prendre la voie de la « main gauche » en développant la puissance qui vous hisse au dessus de l'humanité ordinaire. Dans les deux cas, si l'on va assez loin dans le développement choisi, on peut s'octroyer un poste dans la hiérarchie terrestre, au service d'un égrégore.

Peut-on devenir un immortel irrégulier par l'art ou la science ?

Tout à fait. Depuis le développement de la médiatisation, un être qui devient célèbre au plan international prend naturellement, grâce à son charisme, une place de choix dans la hiérarchie planétaire. C'est ainsi que des chanteurs de rock ou des vedettes de cinéma ont gagné une promotion sur une dimension invisible. L'artiste peut être totalement dépravé, ou bien au contraire, il peut s'agir d'un grand humanitariste. Le résultat est sensiblement le même car grâce à son charisme médiatique, la personnalité est devenue si lumineuse sur le plan astral, qu'elle règne sur la portion de l'humanité accordée à sa fréquence. Ici, bien et mal ne sont que les deux faces du jeu de la dualité terrestre. Mais, bien entendu, les humains qui se sont hissés au rang de demi-dieux grâce à leur talent ou leur action, sont aux yeux des masses des êtres divins. Le système politique les identifie par des médailles, des décorations, des prix, afin d'authentifier leur pouvoir occulte. Ainsi, lorsqu'un personnage de la scène médiatique reçoit une décoration au niveau national ou international, cela symbolise sa promotion dans la hiérarchie invisible. Ces décorations ont une fonction magique, à l'image des titres ronflants qu'on confère aux initiés de la hiérarchie ecclésiastique ou maçonnique. Chaque grade maçonnique symbolise un degré atteint dans les basses hiérarchies invisibles, mais il faut avoir fait preuve de ses mérites au service du « prince de ce monde » pour gagner une place de choix dans son administration.

Un chanteur de rock, par exemple, peut-il obtenir cette gratification ?
Prenons les exemples célèbres, comme Mick Jagger, Paul Mc Cartney ou Bob Dylan - sans oublier Elvis Presley qui est une idole qui reçoit un culte religieux. Ainsi, aujourd'hui, lorsqu'un américain sait qu'il va mourir, il dit qu'il va rejoindre Elvis !

Mick Jagger, le provocateur des Rolling Stones qui chantait « sympathie pour le diable » a été décoré du titre de Lord d'Angleterre. Symboliquement, c'est recevoir en héritage un domaine sur la face invisible de l'empire britannique. (Idem pour le Beatle Paul Mc Cartney)

Bob Dylan, le prince des poètes de la génération rock, a été promu à un rang élevé par les autorités maçonniques américaines et internationales. On se souvient de son accolade avec Jean-Paul II, après que Dylan soit d'abord passé à la synagogue de Rome. Nombre de pays l'ont décoré du titre de chevalier des arts et des lettres, ce qui témoigne de l'honneur qui lui est accordé sur la dimension occulte.

Ces artistes médiatisés et idolâtrés ont travaillé pour gonfler certains égrégores, et chaque travail reçoit son salaire. Rien n'est laissé au hasard. Que l'on s'appelle Mère Térésa ou Madonna, c'est le même combat professionnel pour la promotion dans la hiérarchie luciférienne. Il n'y a qu'une faible nuance entre la bonté ostentatoire des grands humanitaristes, et la sensualité des stars. Il faut avoir rendu de bons et fidèles services aux basses hiérarchies, que l'on en soit conscient ou pas. A un certain moment, l'initié sait qu'il est un élu car les pouvoirs qui lui sont octroyés en ce monde sont exorbitants – célébrité, richesse, honneur, pouvoir. Toutefois, l'élu qui ne marche pas droit risque d'être jeté aux oubliettes.

Qu'arrive t-il aux célébrités assassinées ou qui meurent prématurément ?
Généralement, elles sont expédiées de l'autre côté pour être utilisées comme médiums afin de transmettre aux loges occultes des informations sur le futur. Tout a un sens dans l'économie des hiérarchies planétaires. Comme on dit : « chaque cheveu est compté ».

Un élu du système hiérarchique planétaire est un être qui dispose de qualités spirituelles particulières. Il a signé un pacte pour obtenir son pouvoir, son talent, et sa fortune anormale. Il s'est engagé à être un serviteur. Il peut focaliser l'énergie de millions d'êtres afin de redistribuer cette énergie astrale sur d'autres dimensions, au bénéfice des basses hiérarchies.

L'immortalité des grands personnages est donc factice et relative ?

Le fantôme d'Elvis Presley ne sera pas éternellement une idole à laquelle l'Amérique rendra un culte. D'autre part, il n'est pas certain que l'entité Elvis Presley soit capable de diriger consciemment sa carrière magique dans l'au-delà. Son image est utilisée, mais l'entité n'avait pas atteint un niveau de maîtrise occulte suffisante. C'est un instrument. Peu à peu l'image astrale s'estompe et disparaît.

Quoi qu'il en soit, la fonction ésotérique de la gloire en ce monde c'est de constituer autour de personnalités charismatiques des foyers d'alimentation énergétique. Les stars sont des esclaves de la Grande Babylone. Les grands personnages politiques sont au dessus des célébrités dans la hiérarchie car les stars ne sont que leurs serviteurs, leurs bouffons, éventuellement leurs prostituées. C'est pourquoi, aucune célébrité du show business n'attaque le système qui la fait vivre, et qui pourrait la faire mourir. Certaines vedettes jouent les révoltés dans un cadre contestataire délimité, mais jamais ils ne dévoileront les secrets initiatiques - à condition qu'ils comprennent comment ça fonctionne !

Le système est protégé. Un artiste peut prendre un profil de rebelle avant d'accéder au succès, mais dès qu'il est célèbre, il joue le jeu comme un enfant obéissant, ou il est renvoyé en bas.

Brigitte Bardot a égratigné le système, mais pas jusqu'aux responsabilités supérieures, car elle en est un produit, dès avant sa naissance.

Elle dispose d'un certain égrégore, et possède une petite niche de « sainteté » dans la hiérarchie, quoique seulement pour le reflet astral de ses années glorieuses. Elle est donc dans le coup, même si le système l'épingle pour ses positions politiquement incorrectes, lesquelles ne lui vaudront pas un titre d'éternelle comme d'autres stars conscientes des mécanismes ésotériques, et qui sont des initiés. Bardot est protégée pour son image astrale, encore vivace mais qui s'effrite.

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Pour tenir un égrégore, il faut avoir développé une conscience luciférienne puissante au service de l'ordre mondial. Bardot sera récupérée après sa mort si elle ne choisit pas de sortir du système.
Ces entités peuvent-elles échapper un jour au désir de briller et d'être reconnues ? Accède t-on au plus haut niveau de la célébrité si on ne le désire pas depuis de nombreuses incarnations ?

Et les grands noms du passé ?
Ces êtres dont la gloire fut posthume n'étaient pas médiatisées de leur vivant, et seule leur image astrale peut être utilisée par les entités occultes qui gèrent la circulation énergétique à leur profit.

C'est comme de racheter les droits d'un auteur en faisant fructifier la valeur commerciale de son nom. Certains égrégores exercent un droit d'exploitation sur l'image de tel saint ou personnage historique et captent ainsi les sentiments attachés à son nom, mais l'âme du personnage n'est plus dans ce circuit.

Par exemple, François d'Assise aurait refusé de servir de stimulant pour entretenir un culte de sa personnalité, mais cela n'empêche pas l'égrégore catholique romain d'utiliser son image de sainteté pour vampiriser les adorateurs du « poverello ».

Cette organisation de vampirisation astrale est la « Grande Babylone », avec ses dieux et ses héros. C'est une mafia occulte qui gère les images des grands personnages mondiaux, lesquels ne sont pas impliqués dans ce syndicat, soit qu'ils sont sortis définitivement du circuit des renaissances, ou sont incarnés à nouveau sur la terre dans le plus grand anonymat.

Par exemple, lorsque Platon s'est réincarné pour la dernière fois, c'est dans la personnalité d'un écrivain du 19° siècle totalement inconnu. Les grands rôles ne sont pas obligatoirement ceux que l'histoire enregistre. Tout ceci est très aléatoire. Par exemple, Vincent van Gogh est mort pauvre et inconnu. Or, l'une de ses peintures est la plus chère du monde. Dès lors, on parle beaucoup de lui, et l'on a construit un mythe autour de son image, sans qu'il soit impliqué dans ce cirque.

Il s'est formé un culte autour de l'image astrale de van Gogh. Il est peu probable qu'il découvre qu'il n'a été durant son périple ici-bas qu'un peintre raté, mystérieusement devenu le plus cher du monde ! Tout cela est très occulte. Pourquoi un homme qui n'aurait pas vendu une croûte de son vivant, devient-il un mort richissime ? Le monde invisible détourne à son profit les œuvres puissantes. On pourrait citer Mozart et nombre de génies, maudits durant leur existence, mais que le système récupère pour son ambiance culturelle qui sinon serait stérile et creuse.

Certains médiums racontent aux gens qu'ils ont été tel personnage du passé. Selon les modes, c'est un prêtre égyptien ou une princesse celtique. C'est de la sottise. Il faut se souvenir que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute.

Qui gère le circuit de la célébrité ?
Des entités irrégulières se sont octroyées une place dans les basses hiérarchies grâce à un développement occulte qui leur permet de ne pas revenir en incarnation. Ces entités sont organisées en concessions exploitant les réserves énergétiques de l'âme humaine. Ce commerce malsain remonte à une très haute antiquité. Ces entités ont parfois usurpé l'identité et même l'apparence des dieux qui coiffent au le circuit du système solaire. Ces faux dieux et ces entités irrégulières forment les basses hiérarchies planétaires. C'est un circuit fermé rejeté hors du monde divin.

Il s'entretient par la récupération de l'énergie de l'âme humaine qui seule peut synthétiser la force universelle fondamentale. C'est pourquoi, la méthode privilégiée pour capter l'énergie de l'âme demeure les rites et la prière. Du fait que les religions ont perdu le monopole du culte des divinités, il s'est développé un système médiatique international qui pompe une énergie énorme quoique d'un taux vibratoire déprécié. Ce système permet donc aux célébrités d'accéder au statut de demi dieux aux yeux des foules qui veulent des idoles à adorer à la place des divinités démodées.

Cette crise nécessitera au final de faire apparaître un personnage messianique qui se présentera comme le sauveur, l'avatar divin descendu sur la terre. Les loges orientales et occidentales se disputent à ce sujet, sans compter le messianisme juif qui voudrait imposer son roi David.

Un consensus sera adopté, si ce n'est déjà fait. Que le spectacle commence !
Nous avons parlé de la pseudo immortalité des « maîtres » de la hiérarchie planétaire. Nous voyons que pour parvenir à s'élever dans ces degrés il faut avoir développé un pouvoir occulte spécial. Ce pouvoir est lié à la kundalini inférieure, et ne présente aucun caractère libérateur au sens spirituel. Dès lors, comment un être qui n'emprunte pas ce chemin de puissance, peut-il sortir du circuit terrestre ?

La condition pour sortir du circuit c'est de ne pas s'y enchaîner d'avantage. Par conséquent, il faut comprendre que le développement de nos pouvoirs naturels – comme le recommande l'occultisme - est une entrave plutôt qu'une aide.

Nous n'avons pas à rechercher plus de pouvoir si nous voulons sortir d'un circuit planétaire où l'on se hisse précisément en développant une puissance anormale.
Si l'on ne recherche ni la célébrité, ni les pouvoirs occultes, ni la gloire, ni la fortune en ce monde, alors, on est déjà à moitié sorti d'affaire, car nous n'intéressons plus les basses hiérarchies qui vivent de l'exploitation des ambitions mondaines. On nous considèrera alors comme des créatures sans importance, des minables, des ratés, ce qui est tout à notre avantage, car les entités lucifériennes qui surveillent le circuit planétaire, ne peuvent imaginer qu'on puisse rechercher une autre lumière que celle qui illumine leur univers d'illusion.

On devient intérieurement des petits enfants, et l'air de rien, on sort du bac à sable sans se faire remarquer. Bien entendu, il faut couper les liens avec les séductions de la Grande Babylone, ses passions, ses tentations et ses illusions – tout ce qui mobilise les hommes ordinaires.

Ce n'est évidemment pas facile lorsqu'on a une personnalité développée, car celle-ci veut devenir toujours plus grande, plus intelligente, plus forte, plus douée, etc...

Il faut traverser et vaincre les trois tentations dans le désert : l'orgueil, le pouvoir et l'attachement aux richesses. C'est dire qu'il faut prendre le chemin inverse de ceux qui deviennent importants, et qui sont dès lors récupérés par les basses hiérarchies qui les tentent avec l'appât de la gloire, du pouvoir et de la richesse
.

Comment un être doté d'une personnalité développée peut-il se libérer ? Celui qui brille d'un certain charisme, qui est ambitieux, peut-il échapper à la tentation de la célébrité, du pouvoir et de la richesse ?
Il doit prendre conscience que le développement de ses pouvoirs personnels le conduiront à pactiser avec des puissants - au plan visible ou invisible - qui pourraient faire de lui leur allié ou un serviteur, s'ils détectent en lui un potentiel. Les monastères et les loges maçonniques sont remplis d'esclaves qui plient l'échine, à cause de l'orgueil spirituel ou mondain qui les dévore.

Si l'on a une personnalité ambitieuse, volontaire ou téméraire, il est évident qu'on ne doit pas refouler ce que l'on est. Il faut convertir nos défauts en vertus en restituant à l'univers l'essence de nos pouvoirs individuels. Que celui qui a le sens de l'organisation, trouve sa place dans un groupe spirituel de bonne foi où il pourra faire profiter les autres de ses capacités. Que celui qui est ambitieux recherche un but spirituel élevé à la mesure de son désir. Que celui qui est un meneur, aide les autres à avancer vers la lumière, en montrant l'exemple du dévouement et de l'ardeur. Alors, celui qui a des défauts liés à l'orgueil, le goût du pouvoir ou le désir d'expansion, les mettra au service de son désir de vérité et de libération.

Les serviteurs de la vérité ne sont ni indécis, ni dénués de volonté. Leur volonté ardente est convertie en volonté de servir.
Sur la voie spirituelle régulière, on agit avec volonté et détermination, mais on ne cherche pas de profit personnel, alors que sur la voie irrégulière, on recherche uniquement le pouvoir pour soi-même.

Les deux immortalités, la vraie et la fausse, découlent de deux attitudes inverses : servir Dieu ou servir le monde.

Les idées new age, confuses et complaisantes, ainsi que la religiosité mondaine, tentent de conjuguer ces tendances inconciliables. Mais il n'y a qu'une voie d'immortalisation, c'est sortir du circuit de la mort.

Alors, comment devient-on immortel ?
Sur la voie régulière, il faut le désir sincère et conscient de revenir à notre origine - pour autant que l'on ait conservé la nostalgie de ce paradis perdu.

Sur la voie des anormaux des basses hiérarchies, il faut le désir de devenir un dieu en enfer - parce qu'on ne sait plus d'où l'on est venu, et qu'on ne voit pas d'autre façon d'avancer que la fuite en avant.

Entre les deux, il y a les tièdes, ceux qui se demanderont toujours quel chemin est le plus sécurisant, ou pour la majorité, qui ne se demandent rien du tout.

Joël Labruyère,

21 juillet 2009

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