L’oligarchie financière mondiale se compose de 13 grandes familles
L’oligarchie financière mondiale se compose de 13 grandes familles richissimes qui détiennent entre leurs mains la quasi-totalité des banques, sociétés d’assurances, entreprises et industries du monde entier.
Parmi ces familles les plus connues, se trouve la famille des Rockefeller, qui ne sont américains que par adoption. À l’origine, ce sont des français huguenots dont le véritable nom est « de Roquefeuille ». Ils se sont établis en Amérique pour fuir les persécutions à l’époque des guerres de religion en France.
En Angleterre, c’est la famille Rothschild qui domine toute l’Europe et le Commonwealth, composé d’anciennes colonies ou protectorats de l’Empire Britannique. En 2009, le Commonwealth comptait 54 États-membres dont 2 qui n’ont jamais été dépendants de la couronne britannique- le Mozambique et le Rwanda, et un, le Cameroun, sur une partie seulement de son territoire par mandat de l’ONU. Les États-Unis, ancienne colonie britannique sont devenus indépendants près d’un siècle avant la création de cette institution qui date de 1884 et qui est placée actuellement sous l’autorité de la Reine Elisabeth II.
Qui sont les Rothschild ?
Le « père fondateur » de la dynastie c’est Mayer Amschel (1744-1812), un juif allemand ashkénaze(1), qui va établir la première grande banque du nom à partir d’un commerce de prêt sur gage hérité de son père. D’ailleurs, le nom de Rothschild vient de roten Schild qui signifie écusson rouge, car tel était l’enseigne de la boutique paternelle qui se tenait à Francfort-sur-le-Main en Allemagne. Ce sont les cinq fils de Mayer Amschel qui donneront naissance aux cinq branches familiales, dont seules les branches française et anglaise existent encore aujourd’hui. La fille ainée, donnera, par alliance matrimoniale naissance à la dynastie des Worms, autre famille de banquiers.
Les Sages de Sion- les Illuminatis
De 1640 à 1689, les Sages de Sion mirent au point un complot visant à provoquer la chute des Stuarts du trône d’Angleterre. Ce fut la « Révolution anglaise » de Hollande. Le Prince Guillaume III, de la dynastie Orange-Nassau devint stathouder, c’est-à-dire chef d’État des Provinces-Unies puis roi d’Angleterre, d’Ecosse et d’Irlande en 1689 après avoir épousé Marie, fille du Roi Jacques II Stuart déchu du trône royal par décision parlementaire, à cause de son catholicisme qui effrayait les Anglais. La branche Stuart s’éteignit en 1807 après la guerre de succession d’Autriche.
Guillaume III fonda l’Ordre d’Orange dont le but était de s’opposer au catholicisme et de consolider le protestantisme en Angleterre. Cet Ordre existe encore de nos jours, particulièrement en Irlande, et ses membres (les Orangistes) contribuent à attiser la haine entre les deux religions. Les loges orangistes adoptent un rituel et un fonctionnement de style maçonnique. La « Glorieuse révolution » de 1688 et les guerres longues et coûteuses que le Prince organisa ensuite contre la France catholique de Louis XIV pendant 9 ans endettèrent considérablement le pays.
Un riche marchand Écossais, William Paterson qui avait fait fortune aux Indes occidentales et soutenu activement la Révolution de 1688, décida de lancer un grand emprunt national pour la création d’une banque, en conciliant à la fois les intérêts des grands marchands et ceux du gouvernement, et en s’assurant l’appui du Trésor et des personnalités les plus influentes de la City. Ainsi naquit la Banque d’Angleterre en 1694, construite sur l’emplacement du temple de Mithra (2), édifié par les romains au temps où Londres n’était encore que Londinium.
On a beaucoup glosé au sujet des Sages de Sion, et particulièrement en ce qui concerne les « fameux » Protocoles des Sages de Sion révélés par le Times de Londres en 1920, pour lesquels on parla volontiers de complot judéo-maçonnique international pour l’établissement d’un Nouvel Ordre Mondial. Ce qui est sûr et authentifié, c’est que ces textes ont bien été repris et falsifiés par un certain Mathieu Golovinski, avocat et aristocrate russe intrigant qui aurait commis cette littérature dans un esprit foncièrement antisémite pour un commanditaire nommé Pierre Ratchkowski, responsable de la police politique russe à Paris (l’Okhrana).
Le but de ces Protocoles était de faire endosser par les juifs la responsabilité des désordres mondiaux, qu’ils soient économiques ou politiques. Le premier éditeur en Russie des protocoles fut un certain Sergueï Nilus (1862-1929), vénéré par une grande majorité d’orthodoxes russes et des catholiques d’extrême-droite. La vérité est toute autre : les Protocoles sont l’agenda réel mis au point, sous forme de plans, programmé et écrit par les Illuminatis de Bavière vers 1770 destinés à des mouvements révolutionnaires et contenant des instructions particulières concernant la Révolution française. Le texte original des Protocoles aurait été retrouvé accidentellement en 1785 et remis à la police bavaroise de l’époque. Il était destiné au Grand Maître des Maçons du Grand Orient de France. Ces textes ont donc été « récupérés » et trafiqués pour être attribués aux « Juifs francs-maçons ». Hitler s’en servira abondamment pour étayer ses thèses antisémites du IIIe Reich.
Le druidisme en Angleterre
« La Grande-Bretagne est la patrie du satanisme et le centre mondial de générations de satanistes. Tous les satanistes savent depuis des générations que ceux qui règnent sur le Royaume-Uni doivent dépendre étroitement de la puissance de Satan. Ceci explique pourquoi Cecil Rhodes et d’autres « chevaliers de la Table Ronde », comme les Rothschild, voulaient soumettre le monde entier à la Grande-Bretagne. » (Tim Cohen « The Antichrist and a cup of tea »- l’Antéchrist et une tasse de thé)
À la tête de la Maison Rothschild se trouve un puissant pouvoir occulte composé d’un coven (3) de 13 prêtres-druides dont les fonctions consistent à initier puis à consacrer à Satan ceux qui feront partie des 33 grands initiés- ce sont en fait des illuminatis, c’est-à-dire des francs-maçons du 33è degré, qui est le degré le plus élevé du Rite Écossais Ancien et Accepté. Ces « 33 » sont appelés à infiltrer tous les grands groupes et organisations secrets dont nous avons déjà évoqué l’existence : Bilderberg, Commission Trilatérale, CFR (Concil of Foreign Relations)…ces organisations, auxquelles s’ajoutent des sociétés secrètes occultes telles le Bohemian Groove, le Skull and Bones 322 (dont font partie les Bush, Kerry et autres sommités du monde politico-affairiste américain), toutes d’inspiration maçonnique utilisant les anciennes religions à mystères, égyptiennes surtout, gravitent autour de la plus puissante organisation en Angleterre qui est la Round Table (4) dirigée par la Reine Elisabeth II, elle-même grande prêtresse-druide, initiée de surcroît aux mystères occultes des religions indoues.
Le château des Rothschild près de Glasgow en Écosse comporte une « chapelle » dans laquelle ont lieu des cérémonies secrètes dirigées par les prêtres-druides, lieu où se rassemblent régulièrement les dirigeants des pays les plus riches (G8).
On pense généralement que le druidisme prend en effet sa source en Grande-Bretagne et que c’est une religion d’origine celtique (5). Jules César évoque les druides et le druidisme dans son ouvrage « La guerre des gaules ». La littérature grecque au IIIe siècle avant notre ère évoque déjà l’existence des druides. La traduction en grec du mot druide signifie « les hommes vénérables d’origine divine »…
Le druidisme « primitif » est toujours aussi vivace, aussi bien en Bretagne française qu’en Grande-Bretagne ou en Écosse, et a fait au cours des siècles des émules qui s’en inspirent largement. Ainsi la Wicca entre autres, fondée par le britannique Gerald Gardner à la fin du 19è siècle est un mélange de théosophie, de druidisme, de chamanisme. Les principes de ce spiritualisme repose sur quatre croyances : le panthéisme-tout est « divin », le monisme-tout est un, c’est le principe de globalisation (repris par les mondialistes), le polythéisme-plusieurs dieux, et le paganisme c’est-à-dire utilisation de rituels magiques pour « communiquer » avec les forces de la nature.
Si l’on étudie de près le contenu de ces pratiques hautement occultes, basées sur l’adoration de divinités de la nature, culte du soleil en particulier (illuminatis et le culte de Baal), exercice de « dons » de voyance, magie, guérison (thaumaturgie), transmission de « savoirs » secrets plus ou moins inspirés de la Kabbale juive, et surtout, pratique de sacrifices humains, on s’aperçoit très vite que le druidisme est l’ « ancêtre » de la Franc-Maçonnerie et de ses nombreux dérivés de pratiques satanistes, toutes héritées des chaldéens, de Sumer et de Babylone.
Le Vatican, l’Église anglicane et le Nouvel Ordre Mondial
« Je reconnais Votre Majesté comme la source unique du pouvoir ecclésiastique, spirituel et temporel. ». Tel est le serment d’allégeance prononcé par les évêques de l’Église d’Angleterre. En effet, la Reine est « gouverneur suprême » de l’Église anglicane.
Rappelons qu’en 1531, le Roi Henri VIII avait rompu avec le pape Clément VII de Rome qui lui refusait le divorce. Il se fit alors reconnaître en tant que chef suprême de l’Église d’Angleterre. Ce droit de regard d’une autorité séculière sur l’Église est la porte ouverte à bien des excès et à de très graves déviations tels qu’elle en a connu à l’époque de Constantin 1er qui a fait de la « religion » chrétienne une institution impériale.
À bien des égards, l’Église anglicane ressemble, moins au fond qu’à la forme, à l’Église romaine. Certes elle s’appuie sur la Bible pour ses fondements dogmatiques concernant le salut par la foi et la reconnaissance de l’Écriture comme autorité première de la vie chrétienne. Mais la liturgie dont elle se pare n’a pas grand-chose à envier au catholicisme romain. Ainsi Vatican II (1962-1965) reconnaît à l’Ecclesia Anglicana une « place particulière parmi les Églises et communautés séparées de Rome par la Réforme, mais gardant les structures et les traditions catholiques. »
Le Credo de l’Église anglicane repose sur un dogme en 39 points inspirés de la doctrine calviniste, adopté en 1563.On pourrait voir dans ces 39 points une allusion aux 39 degrés(6) dits « paladins » de la Franc-Maçonnerie du Vatican, dont le Pape Paul VI fut le Grand Maître…(7)
En 1991, le synode de l’Église (anglicane) admet que les homosexuels engagés dans une « relation amoureuse fidèle » ( !) soient les bienvenus dans l’Église. Mgr Derek Rawcliff, ancien Évêque anglican de Glasgow, reconnaît son homosexualité à la BBC (7/3/1995). En même temps l’Église d’Angleterre rappelle que le clergé homosexuel doit s’abstenir d’avoir des relations sexuelles…on est proche de l’hypocrisie papale qui « couvre » ses mauvais éléments tout en prenant des airs (faussement) réprobateurs devant la presse.
Certains Ordres religieux, tout d’abord supprimés au XVIe siècle, seront rétablis au XIXe en nombre assez important (franciscains, bénédictins …), ce qui renforce encore les similitudes avec l’Église de Rome, ces Ordres étant pour la plupart d’entre eux des émanations directes des Ordres Templiers des 11è et12è siècles. On comprend vite que tous les efforts du Vatican pour se rallier l’Église d’Angleterre, toute aussi souillée que celle de Rome, sont destinés à servir les intérêts de l’œcuménisme religieux, vecteur principal de la religion du Nouvel Ordre Mondial, la grande Prostituée religieuse vaticane dont il est question en Ap 17 :1-5. Pour terminer, notons que l’actuel Archevêque de Cantorbéry, Rowan Williams, a été nommé « Druide blanc », membre des Bardes de la Gorsedd…
Les Windsor, les Stuart et l’esprit de l’Antéchrist
Les familles les plus influentes dans le monde aujourd’hui sont les Rothschild, les Windsor, les Stuart, les Rockefeller, les Carnegie, les Ford, les Weyerhauser, les Roosevelt, les DuPont, les Astor, les Tafts, les Bundy et les Bush. Toutes ces familles ont, de près ou de loin des liens ancestraux avec le satanisme et la sorcellerie. Quelques-unes, en outre, descendent de la lignée de sang des Mérovingiens et de celle du Roi Arthur d’Angleterre et parmi elles, la famille Stuart. Les anciens Présidents Bill Clinton, Georges W. Bush et le Prince Charles d’Angleterre, de par leurs appartenances à certaines de ces familles, sont des descendants de la famille de Mérovée. La défunte Princesse Diana, héritière des Stuart d’Écosse qui donna naissance à deux héritiers Harry et William, était apparentée à divers personnages tels William V. Astor, Franklin D. Roosevelt, David Rockefeller…
Beaucoup de Présidents des États-Unis sont donc liés à la famille royale anglaise par des générations de praticiens de la sorcellerie. Concernant Georges Bush, particulièrement, on sait de source sûre, que cette famille a appartenu durant trois générations à la secte des Skulls and Bones (Prescott Bush-qui finança le IIIe Reich d’Hitler, Georges H. Bush père et G.W. Bush). La famille de G. Bush est descendante de la treizième plus importante famille d’illuminati, également apparentée à la famille royale anglaise et donc aux Mérovingiens, « illustre » famille de criminels et de dégénérés. (Le Prince Bernhard des Pays-Bas, ancien officier nazi et « fondateur » du Bilderberg a également des racines mérovingiennes). Quant à William Jefferson Blythe (Bill) Clinton, il aurait encore davantage de liens de sang avec la famille anglaise et descendrait de la Tribu de Dan. (Fritz Springmeier « Bloodlines of the Illuminati » liens de sang des Illuminati)
Le Dragon Rouge symbole de la famille Royale anglaise et du Pays de Galles
Tribu de Dan ou tribu de Juda ?
Des Pères de l’Église ont affirmé que l’Antéchrist proviendrait de Dan, déjà il y a près de deux mille ans (Irénée, Hyppolite, Ambroise, Augustin…). D’aucuns objecteront qu’étant assujettis à l’Église de Rome leur opinion serait douteuse. Néanmoins, ces hommes, dont beaucoup moururent tout de même en martyrs de la foi, connaissaient très bien les Écritures et l’on ne voit pas à priori de réelles raisons pour s’opposer à leurs affirmations. Ils se basaient particulièrement sur le passage biblique qui fait état de la prière prophétique de Jacob-Israël sur ses fils :
« Dan jugera son peuple, comme l’une des tribus d’Israël. Dan sera un serpent sur le chemin, une vipère sur le sentier. Mordant les talons du cheval, pour que le cavalier tombe à la renverse. » Gen 49 :16-17.
Pour eux le sens de cette prophétie est que Dan suppléera par la ruse à ce qui lui manquera en force. Il est vrai que la ruse est l’attribut principal de Satan et fait partie de son arsenal pour séduire les nations : « Le serpent était le plus rusé de tous les animaux des champs… » Gen 3 :1.
Une chose est sûre : Christ étant issu du peuple Hébreux, l’Antéchrist proviendra du même peuple puisque les juifs l’acclameront comme leur « Messie », étant l’un des leurs.
Maintenant la question qui se pose est de savoir, mais ce ne sont qu’hypothèses, d’où viendra exactement « l’homme impie ».
Les deux familles royales de Grande-Bretagne ont toujours prétendu descendre de la tribu de Juda, d’où sont issues David et Jésus. Ces sont les Windsor, famille de la Reine Elisabeth, le Prince Charles et son fils William, et les Stuart, dont faisait partie la Princesse Diana. Dans le monde occulte ces deux familles sont connues comme étant rattachées à la descendance messianique de David. Bien qu’il n’existe aucune preuve historique irréfutable, on peut penser que toutes les familles royales d’Europe à priori descendent à des degrés divers de cette lignée de sang originelle, tout comme l’espèce humaine descend d’Adam et Eve…
Cependant beaucoup d’historiens nient le fait que les Windsor puissent hériter du trône d’Angleterre, ce qui met en doute leur prétention à descendre du Trône de David, contrairement aux Stuart qui, de surcroît auraient du sang juif à la suite de nombreuses unions consanguines multipliées au fil des siècles.
Par conséquent il serait logique que le faux « Messie » Antéchrist vienne de cette lignée royale pour régner sur Israël.
De plus, l’Antéchrist doit venir de l’ancien Empire Romain, dont fait partie l’Angleterre, et qui est en train de se reconstruire par l’entremise de l’Union Européenne avec la complicité du Vatican et de ses sociétés secrètes illuminatis- Opus Dei, Jésuites, Loge vaticane, les « véritables » patrons des services secrets anglo-américains CIA, MI6 qui œuvrent main dans la main pour préparer sa venue.
« Daniel commença et dit : Je regardai pendant ma vision nocturne, et voici, les quatre vents des cieux firent irruption sur la grande mer. Et quatre grands animaux sortirent de la mer, différents les uns des autres. Le premier était semblable à un lion, et avait deux ailes d’aigle (…). Et voici, un second animal était semblable à un ours, et se tenait sur un côté ; il avait trois côtes dans la gueule entre les dents, et on lui disait : Lève-toi, mange beaucoup de chair. » Dan 7 :2-5.
Considérons quelques éléments, au demeurant troublants :
L’ours, en langue celtique se dit « arth-Ur », or Arthur est le second prénom du Prince William ; l’ours représente aussi la ville de Berlin- on se souvient des liens entre l’Angleterre et l’Allemagne dans les familles royales et leurs relations avec le nazisme ; ce même animal figure dans le blason du pape Benoît XVI (cf. illustration) ; le lion est le symbole héraldique de l’Angleterre ; le léopard était le symbole d’Alexandre le Grand, qui fut le grand conquérant de l’Empire méditerranéen. Le Prince Philip d’Edimbourg a pour second prénom Alexandre, et est d’origine grecque… le débat reste ouvert.
(Le blason de Benoît XVI)
Pour conclure
Afin de légitimer la puissance occulte de la Maison Royale d’Angleterre, il était primordial que les deux familles Windsor et Stuart puissent s’unir et donner naissance, grâce à une « vierge » de la lignée Mérovingienne ayant en outre du sang hébreux dans son patrimoine génétique en la personne de Diana Spencer, à un premier-né, en l’occurrence William, qui serait le digne représentant d’une (supposée) descendance davidique. Ainsi, le peuple juif, trompé, sera persuadé de trouver en lui son (faux) Messie tant attendu.
Des quatre grands empires, Babylonien, Médo-Perse, Grec et Romain, révélés par Dieu à Daniel, c’est l’Empire Romain, qui englobe en fait les autres, qui sera celui sur lequel règnera l’Antéchrist, en tant que suprême Empereur du Nouvel Ordre Mondial.
Si l’Angleterre n’est assurément pas la seule nation dans laquelle sévissent la sorcellerie et les intrigues depuis des siècles, on peut cependant la désigner, à cause du pouvoir impérial et monarchique et sa puissance coloniale qui la caractérisent, comme la détentrice de l’avenir du monde par les multiples ramifications et tractations qui s’y sont opérées tout au long de son Histoire, ainsi que par l’influence grandissante qu’elle a su habilement étendre parmi les nations tant du point de vue politique qu’économique, culturel et religieux.
http://www.michelledastier.com/la-perfidie-dalbion-3e-partie-la-chronique-de-michel-andre/