Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
Au moyen d’une ascèse extrêmement étudiée et poussée, secondée par des « stations » physiques, le yoga –par le jeu des muscles et des diverses positions des membres correspondant à certains points déterminés du corps, nommés « chakras » -conduit la sève vitale à travers la colonne vertébrale jusqu’à ce sommet du corps humain, situé en haut de la tête, appelée la « Kundallini ». La « sussuma » est le canal conducteur de ces forces sexuelles serpentant le long de la colonne vertébrale, depuis l’organe sexuel jusqu’au-dessus de la tête, jusqu’à la « Kundallini ».
L’ »uraeus » égyptien (représentation symbolique du serpent naja), le très symbolique bonnet phrygien de la République, fille de la Révolution, en fournissent une certaine image. Egalement, le caducée. Emblème de la médecine (en rouge), il est composé d’un serpent, d’un faisceau de baguettes, autour duquel le serpent s’enroule en montant, et d’un miroir, placé au sommet du faisceau, et vers lequel le serpent darde sa tête. La véritable signification de cet emblème,essentiellement ésotérique, n’est pas celle que donne le dictionnaire, mais bien celle décrite au sujet de la doctrine et technique secrète du Yoga. Le serpent, c’est le Démon, travaillant les sens, le long de la colonne vertébrale que figure le caducée (ou faisceau de baguettes centrales, qui représente un conduit) pour aboutir à la « Kundallini », figurée ici parle miroir, reflet et symbole de l’illumination qui confère la connaissance, le pouvoir, la fortune et tous les autres avantages matériels, y compris la santé. « Toi qui sondes les cœurs et les reins,Ô Dieu juste ». l’expression de l’auteur sacré montre bien qu’il s’agit non seulement du domaine spirituel et psychique : « cœurs », mais aussi de domaine physiologique : « reins ». Là, dans cette « Kundallini », s’opère une sorte d’inversion de l’être physique et psychique, complètement révolutionné, atteignant à des états supranaturels où les sens trouvent largement leur compte, mais où l’ordre établi par Dieu dans l’être humain se trouve totalement renversé, disons inverti. Là où Dieu n’est pas, c’est Satan qui règne. Disons donc que c’est ici le jardin secret de Satan, où il introduit l’homme, initié par lui, à la connaissance du bien et du mal et achève, dans ce faux Eden, de ruiner son âme… et son corps. Il n’y a pas de « yoga chrétien » ; c’est une gageure que de le prétendre, parce que le yoga, en soi, c’est-à-dire dans son but final, est « intrinsèquement pervers »Il est utile de noter ici, au sujet des bienfaits du yoga, ce qui suit : sans doute le yoga peut-il obtenir une certaine souplesse du corps et des membres et un certain repos libérateur, mais cela aussi se paye. Il est reconnu combien peut devenir pernicieux pour l’organisme humain, l’emmagasinement de gaz carbonique dans les poumons, par la retenue prolongée de la respiration (technique du prana-yama), base essentielle, avec les postures, de la pratique et de la doctrine du yoga. Sans compter les effets désastreux sus le système nerveux, souvent amenés par cette technique.il en résulte que le yoga, après avoir ruiné l'âme en la détournant en réalité de son vrai bien, le Dieu de Jésus-Christ, doit faire appel à la magie, aux forces préternaturelles démoniaques. En réalité le non-être fait place à celui qui a jadis promis dans le jardin de l'Éden à sa première captive ; « Vous serez comme des dieux ». Le yoga est promesse de fausse divinisation ; c'est le serpent qui vient se lover au sein de sa mystique initiatique.A ce stade, l'âme se trouve paralysée, le yoga a introduit en elle le doute sur tout ce qui porterait son intelligence vers sa fin qui est Dieu (que l'on se rappelle le doute intégral de Descartes : ce doute est en réalité un sophisme car le doute lui-même entrerait alors dans l'illusion générale). L'âme est comme fixée dans un état de négation, elle s'est mise en quelque sorte en enfer. Par le vide, l'âme se met hors du temps, elle le transcende ; le yoga refuse le temps, car celui-ci est signe d'une divine création. La mystique chrétienne fait du temps un moyen privilégié de progression vers Dieu. Lisons cet extrait d'un ouvrage intitulé Nuage d'inconnaissance (Cool et cité par M.C. Sadrin : « La Vie spirituelle chrétienne n'est pas l'enstase (opposée à l'extase : celle-ci est une sortie en Dieu, celle-là est une rentrée en soi) yoguique: "Rentrer au-dedans de soi ne doit pas être entendu comme un travail corporel. Ce serait là le plus court chemin vers la mort du corps et de l'âme car ce serait folie qui conduirait l'homme en démence... " (chap. 51).
Ils (les adeptes du yoga) tournent leurs facultés dans leurs corps, contre le cours de la nature, se contraignant comme s'ils voulaient voir en dedans et par curiosité d'esprit, exténuent leur imagination si bien que ...le diable, ayant le pouvoir de provoquer illusoirement quelque fausse lumière ou des sons ou d'agréables odeurs et maintes flammes et chaleurs bizarres dans leur dos et dans leurs reins (c'est ce qui arrive dans les mouvements charismatiques), ils sont persuadés qu 'ils voient et qu 'ils ont un souvenir tranquille de leur Dieu (alors que) ce même ennemi qui leur susciterait de vaines pensées s'ils étaient en la bonne voie, (lui-même et celui-là) est le maître ouvrier et le patron de ce travail. "Et sache bien, sache-le bien, qu'il ne lui plaît pas d'arrêter le souvenir de Dieu, non, il ne le leur retire aucunement par peur de se voir suspecté" (chap. 52) » (ibid, p. 134). DE LA FASCINATION MAGIQUE A L'INITIATION
En réalité et dans toute sa profondeur, le yoga se révèle une mystique à base d'illumination initiatique appelée à opérer la fusion avec l'être qui se tapit sous l'appellation du grand soi, du non-être, de l'inconnaissable, de l'illimité, de l'être pur. Le yoga se fait religion, il n'est pas seulement une gymnastique du corps visant à la décontraction, une gymnastique de l'esprit appelée à faciliter l'accès au vide, il se situe au niveau de la magie, de la magie-religion ; l'adepte doit fusionner avec une entité qui ne peut être que luciférienne, afin de parvenir au sommet de toute mystique diabolique : la connaissance totale dans une prise de conscience de l'unité de l'âme avec tout l'univers (doctrine de l'immanence panthéistique), avec le dieu de la gnose, la puissance totale qui confère les pouvoirs charismatiques diaboliques (visions, locutions, lévitations, connaissance des pensées, dupasse, prophéties, guérisons, etc.), l'amour total qui assure les jouissances sexuelles avec l'esprit infernal.
On croit alors avoir la vision de Dieu : c'est le serpent qui fascine. Il n'y a pas d'extase en Dieu puisque l'âme se trouve séparée de son Créateur et Sauveur. Comment donc se fait-il qu'après avoir plongé dans le vide, l'âme sente qu'elle se trouve au contact d'une plénitude, d'une existence infinie, immanente à tout l'univers, en possession d'une béatitude lumineuse, à tout jamais indestructible. Certes, au cours de son cheminement vers la vacuité, l'esprit a vu se renforcer certaines de ses facultés, et c'est, aidé de cette puissance qui peu à peu l'a transformé au plus profond de lui-même, qu'il est parvenu d'une part à saisir le vide de tout ce qui est, et d'autre part à s'unir à un être qui l'emplit de lui-même et qui lui assure, à la place d'une vie toute vulnérable, une autre vie toute de liberté, sans aucune altération possible. Que s'est-il donc passé ?
Il n'est de solution à cette question que dans l'initiation qui provoque la fameuse illumination, cette fausse lumière qui traverse tout l'être et le transforme en un autre être de plus en plus incapable de saisir l'amour en Dieu, et se trouvant au contraire propulsé au sein d'un monde ténébreux où il devient le jouet de Lucifer. Ce n'est pas parce que certaines personnes apprennent à bien respirer, à mieux se sentir en elles-mêmes, à être plus dynamiques, moins dépendantes de leurs pulsions intérieures, moins asservies à la fluidité des mouvements de la vie et donc plus maîtresses d'elles-mêmes (quoique sur ces points tout danger ne se trouve pas écarté), que le yoga doive être considéré comme une science et une sagesse propres à opérer de véritables conversions de tout leur être. Il n'y a pas de doute que le yoga (comme d'ailleurs le zen et la méditation transcendantale) n'est que peu de chose s'il n'est pas le lieu de la transmission d'une influence spirituelle diabolique, s'il n'est pas le lieu d'un véritable ensemble initiatique. Le yoga est proprement initiatique parce qu'il présente les trois caractères essentiels de l'initiation luciférienne : la présence agissante d'un maître (9), une prière spéciale, le tout suivi d'une efficacité qui révèle la puissance d'un esprit supérieur, lequel se sert et du maître et de la prière adaptée à la situation dans laquelle se trouve l'âme captive.
Le mantram est cette courte formule secrète que le maître communique de bouche à oreille dans l'intimité d'une cérémonie initiatique destinée à faire de vous le prolongement de lui-même: celui auquel il cède, en même temps que son souffle (le mantram), une partie de son pouvoir.
Désormais, le mantram vous donnera droit à l'accès dam ses trésors spirituels, puisque prolongement de son organisme, vous serez toujours, par un lien invisible mais bien réel, rattaché subtilement à lui pour le meilleur et pour le pire ».
Où se trouve en tout cela le but recherché par des adeptes ignorants des sciences occultes : respirer, se détendre, assouplir ses muscles, mieux diriger ses forces vitales etc.. ? Justement l'un sert à l'autre : le mieux-être du corps sert de moyen et de prétexte à une action redoutable sur l'esprit et sur l'âme.
Que voyons-nous en effet dans le passage précité ? Un maître que l'on traduit par gourou: le terme ici employé est à prendre au sens fort, il s'agit de quelqu'un qui veut se rendre maître de l'âme appelée à lui être asservie, qui veut « posséder » cette âme. Que fait-il pour cela ? Il souffle tout bas une certaine « formule secrète » appelée mantram, absolument personnelle à chacun, et qui est chargée d'une influence telle qu'elle véhicule une partie du « pouvoir » du yogi.
Qu'est donc ce pouvoir ? Il est le résultat de l'efficacité d'une initiation supérieure, une participation à la puissance diabolique en échange d'une livraison de l'âme. On sait bien que Satan n'aurait pas un succès aussi énorme s'il n'appâtait pas ses victimes (pensons à sa première grande séduction au jardin de l'Éden : « vos yeux s'ouvriront et vous serez comme des dieux qui connaissent le bien et le mal... ». Or, le grand appât, c'est ce que l'on appelle « les pouvoirs sur le monde » (le charismatisme actuel donne bien une idée de ces pouvoirs). Ces pouvoirs sont nombreux, nous l'avons vu plus haut, mais il en est un qui séduit ceux qui veulent dominer, leurs semblables : le pouvoir d'asservir (pensons à Hitler etc.). Le yogi, digne de ce nom, a ce pouvoir-là.
Richard Bergeron écrit de son côté dans son ouvrage intitulé Le Cortège des fous de Dieu (Éd. Paulines) : « Ce qui caractérise le yoga, ce n'est pas seulement son côté pratique, c'est aussi sa structure initiatique. On n'apprend pas le yoga tout seul, on s'y fait initier par un maître. Guidé par son gourou, le yogi s'applique à dépasser successivement les comportements et les valeurs propres à la condition humaine. Il s'efforce de "mourir à cette vie" et c'est ici qu'on voit la structure initiatique du yoga. Nous assistons à une mort suivie d'une renaissance ( ?) à un autre mode d'être ( ?) : celui qui est représenté par la délivrance, par l'accès à un mode d'être non profane ( ?) et difficilement descriptible, que les écoles indiennes expriment sous des noms différents... » (p. 107).
Dans le numéro du 27 mai 1977, Paris-Match publiait un article intitulé : « ... ce qu'il faut savoir de ces techniques (orientales) pour se sentir mieux dans sa peau ». A propos du zen, technique de même inspiration que le yoga, l'auteur disait sans ambages: « Celui qui médite, assis sur un coussin dans la position du lotus (à noter qu'une telle posture est exactement l'inverse de l'attitude d'adoration à genoux, qui ramasse l'être sur lui-même pour la concentration guidée par la foi en Dieu), ... se concentre sur sa respiration, sur le vide, sur un 'Koan ', sorte de paradoxe choisi par le maître du type: ' 'Lorsqu 'on frappe dans ses mains, cela produit un son. Quel est le son d'une seule main (on remarquera le "vide" d'une telle question) ?". La pratique du zazen permet d'entrer dans le "samadhi", très profond état de concentration où l'on n'a plus conscience de soi, ni de l'univers, et surtout ( ?) d'arriver au "satori", l'éveil suprême ». On sait ce que recouvre un tel éveil !
La "réalisation", but de toutes ces techniques (orientales), n'est nullement celle de l'homme, c'est celle de cet esprit qui ne dit pas son nom, et qui se cache dans les ténèbres de l'impersonnalité, derrière le voile qu 'il tisse avec les fils de l'orgueil humain. Comment ne pas reconnaître ici celui qui depuis le début des temps tente l'homme et le trompe par son mensonge, toujours le même : "vous serez comme des dieux", c'est-à-dire comme moi-même, pleinement autosuffisants. LE LOUP DÉGUISÉ EN BERGER comment se fait-il que des hommes d'Église se laissent prendre à la « séduction » du yoga, privilégiant l'expérience vitale aux dépens de la vie de foi Précisons que chaque terme chrétien a un sens yoguique ; un yogi peut très bien commenter l'Évangile et y introduire en même temps son philtre démoniaque M.C. Sadrin raconte qu'« un maître parla pendant huit jours de l'Evangile de saint Jean dans un monastère, à l'admiration générale » et que « au bout d'une semaine tous rivalisaient d'envie d'expérimenter le soi
Le yoga qui est une recherche gnostique du soi et qui aboutit à une rencontre avec le démon, est appelé à devenir la base de la religion de l'avenir :
« Cette religion du soi serait... la future religion de tous les hommes. Ce serait une nouvelle église, bâtie sur la seule raison, sans révélation ni dogme, sans sacrifice ni mystère. Les jnanins (ou yogis) en seraient les grands prêtres, seuls capables de transmettre le savoir (la gnose) à une poignée d'initiés dirigeant les masses non éveillées encore » (ibid, p. 77).
Qu'est donc cet éveil sinon la découverte, au plus profond de l'âme, d'un soi qui se divinise pour aboutir à la fatale conclusion : Dieu n'est plus Dieu. Dieu n'est pas Dieu. Symptômes et effets rapportés par des spécialistes
La pratique du yoga, de la méditation et du qi gong (yoga chinois) peut entraîner chez certaines personnes une panoplie de symptômes physiques et mentaux et différents syndromes : le syndrome de kundalini, les crises d’émergence spirituelle et la réaction psychotique de qi gong. Des spécialistes se sont prononcés :
Dre Nicki Crowley, psychiatre à la clinique Lead for the Crisis Resolution Team, Buckinghamshire, Angleterre Elle affirme que ces pratiques (yoga, méditation et qi gong) peuvent provoquer des crises spirituelles qui sont des expériences intrapsychiques intenses similaires à des états psychotiques pathologiques. 1
Dre Jessica S. Lu et Dr Joseph M. Pierre de Los Angeles Ils ont étudié un cas où le Bikram yoga a provoqué une psychose avec des hallucinations visuelles et auditives, de la paranoïa, des pensés rapides, de l’agitation et de l’agressivité.2
Richard Castillo, professeur à l’Université d’Hawaï en psychologie et anthropologue médical Il a effectué beaucoup d’études auprès de centaines de yogis en Inde pour conclure que les effets à long terme des transes méditatives sont des doubles personnalités, des hallucinations visuelles et auditives religieuses, des croyances dans leurs propres pouvoirs spirituels, un état permanent de conscience altéré et divisé, des visions, etc
Chez les enfants…
Aujourd’hui plusieurs écoles donnent des cours de yoga et de méditation aux enfants. Pourtant, cette pratique présente des risques et peut causer des préjudices graves à la santé mentale et physique des enfants :
Sonia Lupien Ph. D., neuropsychologue, directrice scientifique du Centre de recherche Fernand-Seguin, Hôpital Louis-H. Lafontaine, Université de Montréal et directrice du Centre d'études sur le stress humain. Elle s’objecte au yoga à l’école parce qu’au lieu de diminuer le stress, il peut au contraire stresser des enfants. Elle soutient qu’il n’y a pas de chance à prendre avec une technique qui n’a pas fait ses preuves au niveau scientifique.
Le département de l’Éducation de l’État de l’Alabama Il a inséré dans la loi l’interdiction au personnel des écoles d’utiliser toutes techniques qui implique ou induit des états d’hypnose, de l’imagerie guidée, de la méditation et du yoga. 8
Alice Christensen, présidente de l’American Yoga Association (AYA).
Elle affirme que le yoga n’est pas approprié pour les enfants en bas de 16 ans en raison de ses effets sur les systèmes nerveux et glandulaire qui peuvent interférer avec la croissance naturelle de l’enfant. 9
La NASA à crée une machine pour créer des nuages et provoquer la pluie .cette machine permettra de palier à la sécheresse des zones arides et désertiques.
Si l’on vous proposait de réaliser un seul de vos souhaits, lequel parmi ces choix vous procurerait une vie vraiment satisfaisante : devenir millionnaire, être célèbre, posséder la beauté physique, exceller dans votre champ d’activité, être très intelligent ou encore n’avoir que des personnes extraordinaires dans votre vie? Bien que toutes ces réponses soient alléchantes, l’auteure Lilian Glass nous révèle que le choix le plus astucieux est sans contredit le dernier. Qui plus est, il nes’agit pas seulement de bien savoir s’entourer; il importe de devenir nous-mêmes une personne extraordinaire pour les autres. Voici donc le mode d’emploi pour une vie… extraordinaire !
«Pour avoir une vie profondément satisfaisante, nous devons apprendre à y trouver, à y attirer et à y retenir les personnes qui nous procurent du bonheur. Sans elles, la vie n’a pas de sens», explique d’entrée de jeu l’auteure du livre Comment s’entourer de gens extraordinaires. L’idée émise n’est certes pas nouvelle, encore moins innovatrice. Pourtant, la plupart d’entre nous
avons tendance à oublier, dans le brouhaha quotidien, dans la course folle pour atteindre le succès ou pour réaliser nos rêves, que la clé du bonheur réside en grande partie dans les liens que nous parvenons à nouer avec des individus qui savent apprécier nos qualités et reconnaître notre valeur.
Mais, direz-vous, où se trouvent donc toutes ces personnes extraordinaires? La réponse est simple: partout ! En fait, le monde est peuplé de gens de valeur; nous entrons en contact avec eux quotidiennement. Il suffit de bien regarder autour de soi. En fait, beaucoup de ces personnes extraordinaires se trouvent sous notre nez; trop souvent, nous ne nous en rendons même pas compte, ou nous ne savons plus apprécier la gentillesse de l’un et la disponibilité de l’autre.
Avant d’aller plus loin, amusons-nous à reconnaître les personnes extraordinaires qui gravitent autour de nous. Afin de nous aider, Lilian Glass les regroupe sous 20 types particuliers (voir ci-bas). Si la description correspond à une personne que vous connaissez, inscrivez son nom sur la ligne de droite. Sachez qu’une même personne peut se retrouver dans plusieurs catégories; il s’agit alors d’un être particulièrement exceptionnel, dont vous devriez prendre le plus grand soin.
Si, d’autre part, quelqu’un qui vous est proche ne ressemble à aucune de ces catégories, demandez-vous s’il ne s’agit pas d’un être «toxique» qui, contrairement à la personne extraordinaire, empoisonne votre existence(1) au lieu de faire éclore ce qu’il y a de meilleur en vous. Enfin, ne vous oubliez pas au cours de l’exercice.
À bien des égards, vous êtes, vous aussi, une personne extraordinaire. Si vous voulez attirer les bons individus dans votre vie, il est indispensable d’apprendre à reconnaître vos points forts et vos qualités.
Les 20 types de personnes extraordinaires :
1. Les chaleureuses : Ces personnes font toujours ressortir ce qu’il y a de meilleur chez l’autre. Elles vous donnent l’impression que vous comptez vraiment, grâce à des témoignages d’affection et des paroles gentilles.
2. Les anti-narcissiques : Elles s’intéressent vraiment aux autres au lieu de chercher à se rendre intéressantes. Elles vous posent beaucoup de questions dans le but de bien saisir qui vous êtes. Les «je» «me» «moi» ne font pas partie de leur vocabulaire.
3. Les généreuses : Elles sont toujours disposées à en faire plus que ce qu’on attend d’elles sans rien attendre en retour, sauf l’harmonie et l’amitié.
4. Les non-juges : Elles ne jugent pas les autres en fonction de la vie qu’ils mènent. Elles croient sincèrement que si ce genre de vie les rend heureux et ne fait de mal à personne, tant mieux !
5. Les élogieuses : Leur proverbe est celui-ci : «Si tu ne peux rien dire de bien sur une personne, alors ne dis rien du tout.» Ces personnes concentrent généralement leur attention sur les qualités des autres sans guère accorder d’attention à leurs défauts.
6. Les dignes : Elles traitent les autres comme elles voudraient être traitées, c’est-à-dire avec gentillesse et respect. On sent que ces personnes s’aiment vraiment, c’est ce qui les rend extraordinaires aux yeux des autres.
7. Les attentionnées : Elles se souviennent des petites choses qui comptent pour vous. Elles connaissent votre date de naissance, votre couleur préférée, ce que vous aimez et détestez.
8. Les honnêtes : Lorsqu’elles disent qu’elles vont faire quelque chose, elles le font. Vous pouvez toujours compter sur elles pour arriver à l’heure, pour respecter les échéanciers et pour donner l’heure juste.
9. Les décontractées : Elles ne se prennent jamais au sérieux. Parce qu’elles sont décontractées et enjouées, elles mettent à l’aise tous les gens qui se trouvent en leur compagnie.
10. Les «meneuses de claques» : Elles vous encouragent et veulent votre bien ; c’est pourquoi elles mettent beaucoup d’effort à vous rassurer lorsque vous doutez de vous-même. Elles ne tolèrent pas que l’autre se dénigre.
11. Les lucides : Elles pensent d’abord aux sentiments des autres et savent exactement ce qu’elles doivent dire ou ne pas dire dans les périodes fastes comme dans les moments difficiles.
12. Les «rebondisseuses» : Elles ne se complaisent jamais dans la souffrance et l’apitoiement. Elles pensent toujours à ce qu’elles doivent faire pour s’en sortir.
13. Les sensibles : Elles ne craignent pas de se montrer sous leur jour le plus vulnérable. Jamais elles n’essaient de cacher ce qu’elles ressentent : peur, colère ou tristesse.
14. Les «gagnantes-gagnantes» : Elles ne sont pas heureuses de gagner si c’est aux dépens des autres. Elles veulent que chacun y trouve son compte.
15. Les loyales : Elles n’ont pas peur de s’engager, de prendre des décisions. Si elles croient en une idée ou une personne, elles ne craignent nullement de prendre sa défense, même si cela va à l’encontre de l’opinion générale.
16. Les diligentes : Elles gagnent le respect des autres parce qu’elles sont responsables et qu’elles agissent sans tarder. Elles ne remettent donc jamais à demain ce qu’elles peuvent faire aujourd’hui.
17. Les audacieuses : Elles n’ont pas peur de plonger et de prendre des risques calculés pour réaliser leurs rêves. Elles sont donc une source d’inspiration pour tous ceux qui ont toujours voulu prendre une autre voie dans la vie, mais qui ont peur du risque.
18. Les non-victimes : Elles assument l’entière responsabilité de leurs actes. Elles ne blâment pas les autres si elles sont malheureuses ou insatisfaites d’une situation, car elles savent qu’il n’en tient qu’à elles de la changer.
19. Les enthousiastes : Elles ne se reposent jamais sur leurs lauriers et vivent sans cesse leurs passions. Elles parlent peu de leur passé et se concentrent surtout sur l’avenir en cherchant toujours à se développer. Leur motivation et leur entrain sont le plus souvent contagieux
20. Les recruteuses : Elles sont conscientes d’avoir besoin de l’aide des autres pour réaliser leurs rêves ; elles essaient donc de recruter ceux et celles qui croient en elles et en leurs buts.
Quelles sont les conclusions auxquelles vous parvenez à la suite de cet exercice ?
Les gens qui vous entourent sont-ils tous extraordinaires à leur manière ou, au contraire, sont-ils peu nombreux, voire toxiques ? Quelle que soit votre situation, sachez qu’il est encore possible de la rectifier ou de l’améliorer et ce, en apprenant à trouver ou à élargir votre réseau de personnes extraordinaires. De quelle manière ? En faisant un peu d’algèbre…
La spirale de l’amitié
Vous souvenez-vous de la propriété d’associativité que vous avez apprise dans vos cours d’algèbre?
Si «a» égale «b», et que «b» égale «c», alors «a» égale «c». Je me suis toujours demandé à quoi cela pourrait bien me servir dans la vie. Eh bien, j’étais loin de me douter que ce processus mathématique s’applique également en amitié. La logique de l’associativité est d’une grande simplicité: si Sonia aime Manon, et que Manon aime Nancy, il est fort probable que Sonia aimera Nancy. Cela s’appelle aussi un syllogisme.
Nous connaissons tous le dicton «Qui se ressemble s’assemble». Celui-ci convient particulièrement bien aux personnes extraordinaires. Ce qui signifie que si nous commençons à en fréquenter, nous finirons inévitablement par en rencontrer d’autres par leur entremise. C’est ce que Lilian Glass appelle «La spirale de l’amitié». Plus nous côtoyons des personnes extraordinaires, plus la spirale prend de l’ampleur. Aussi peu nombreuses soient-elles au départ, nous finirons tôt ou tard par constater qu’il y a de plus en plus de personnes intéressantes qui peuplent notre vie. Ces gens nous ouvriront des portes, en plus de nous faire connaître un monde nouveau, que ce soit sur le plan financier, social, intellectuel, affectif ou culturel.
Cependant, tout cela est possible en autant que nous apprenions, nous aussi, à devenir une personne extraordinaire pour les autres…
«Nous savions déjà qu'il existait un lien entre ces deux maladies, mais jusqu'à présent, nous n'avions pas réussi à élucider la teneur de ce lien. C'est désormais chose faite, ce qui ouvre de nouvelles perspectives de recherche», indique le chercheur Mark Johnston.
Cette découverte pourrait notamment permettre de développer un traitement qui soignerait les deux maladies.
Les résultats de ces travaux ont été publiés dans la revue scientifique Genetics.
Qu’est-ce que le diabète et l’Alzheimer ont en commun?
Le diabète se développe lorsque l’organisme ne produit pas suffisamment d’insuline ou qu’il fait une utilisation inefficace de l’insuline produite. L’insuline est une hormone produite par l’organisme pour contrôler la glycémie, ou taux de sucre, dans le sang. Le glucose, qui est l’une des principales sources d’énergie de l’organisme, donne à l’organisme l’énergie nécessaire pour remplir toutes ses fonctions.
Il existe deux principaux types de diabètes – le type 1 et le type 2. Un troisième type, le diabète gestationnel, survient durant la grossesse et est temporaire.1 Les études montrent que le diabète de type 2 peut constituer un facteur de risque de la maladie d’Alzheimer, de la maladie cérébrovasculaire et d’autres types de troubles cognitifs, parce que les problèmes cardiovasculaires associés au diabète sont également associés aux troubles cognitifs. Parmi les facteurs de risque, mentionnons:2
l’obésité
les maladies cardiaques ou des antécédents familiaux de maladie cardiaque
les vaisseaux sanguins abîmés
les troubles circulatoires
un taux élevé de cholestérol
l’hypertension artérielle
La recherche a également prouvé que, de manière similaire au diabète, le glucose n’est pas utilisé correctement dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Ceci peut causer la mort des cellules nerveuses et réduire ainsi la capacité du cerveau à interpréter les messages.2 Dans le cas de la maladie cérébrovasculaire, les cellules cérébrales meurent en raison du manque d’oxygène et ne peuvent plus communiquer entre elles.
Il a également été démontré que les plaques bêta-amyloïdes, qui s’accumulent dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, empêchent les récepteurs de l’insuline de jouer leur rôle. Ceci pourrait avoir un impact sur la production d’insuline et entraîner une insensibilité des cellules cérébrales à l’insuline.2
Est-ce que l’Alzheimer est un « diabète de type 3 »?
Les études récentes montrent que le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer est dans un état diabétique, en partie attribuable à une diminution de la production d’insuline ou à une insensibilité à l’insuline. Il existe plusieurs similarités entre le cerveau des personnes diabétiques et celui des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Cependant, le diabète n’est qu’un facteur de risque. Certaines personnes atteintes du diabète développeront peut-être la maladie d’Alzheimer, mais plusieurs ne la développeront pas.
Réduire vos risques de diabète et d’Alzheimer
Ce qui est bon pour votre cœur l’est également pour votre cerveau. Un mode de vie sain qui favorise la santé cardio-vasculaire profitera à votre cerveau.
Adoptez un bon régime alimentaire riche en vitamine D, acide folique, et vitamines B6 et B12
Faites de l’exercice régulièrement – pour le corps et l’esprit
L'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) dispose d'un outil, appelé "XKeyscore", qui permet aux agents du renseignement américain d'accéder à l'historique de navigation et de recherche, aux contenus des courriels, et aux conversations privées sur Facebook, selon des documents publiés par le Guardian.
Si l'existence de XKeyscore était déjà connue, ces documents en détaillent le fonctionnement et les capacités. On apprend ainsi que la NSA le considère comme son outil doté de la "portée la plus grande" permettant d'examiner"quasiment tout ce que fait un individu sur Internet"."Qu'est-ce qui peut être stocké ? Tout ce que vous voulez extraire", se félicite ainsi l'une des pages du document.
Et pour cause : XKeyscore ressemble à un véritable Google pour espions. A l'aide d'une interface très simple d'utilisation, les personnes habilitées peuvent rechercher dans le corpus de données amassé par la NSA le contenu des courriels, des numéros de téléphone ou encore des messages privés échangés sur Facebook et croiser les informations obtenues selon la langue, le type de logiciel utilisé ou le pays dans lequel l'internaute ciblé se trouve. Le tout en ne justifiant que "vaguement" leur recherche, selon le Guardian.
Contenu et destinataires des courriels
Il permet, par exemple, de chercher sur les pages Web indexées par la NSA, mais également dans les champs "destinataire", "copie carbone" ("CC") et "copie carbone invisible" ("CCI") de lire les courriels ou de trouver une adresse électronique à partir d'un nom ou d'un pseudo.
Facebook et messageries instantanées
Les analystes de la NSA, lorsqu'ils utilisent un outil appelé "DNI Presenter" en plus de XKeyscore, sont en mesure de lire les messages privés échangés sur Facebook par n'importe quel internaute, à partir d'un simple nom d'utilisateur.
La navigation et les recherches sur Internet
C'est un des aspects les plus surprenants de ces nouvelles révélations. En scrutant l'activité HTTP, la NSA est capable de retrouver l'historique de navigation d'un utilisateur, des sites visités ou recherches effectuées, toujours selon les documents publiés par le Guardian. L'agence est également capable d'obtenir les adresses IP de toute personne qui visite un site choisi par l'analyste.
XKeyscore permet aussi de cibler des internautes en fonction des technologies utilisées, comme la cryptographie, ou d'avoir accès à des fichiers échangés ou stockés sur Internet.
DES RECHERCHES EXTRÊMEMENT PRÉCISES
Les documents de présentation donnent plusieurs exemples de recherches. Il est ainsi possible de "trouver une cellule terroriste" en "cherchant des activités anormales, par exemple quelqu'un dont le langage ne correspond pas à la région où il est situé, quelqu'un qui utilise la cryptographie ou quelqu'un qui fait des recherches suspicieuses sur Internet".
Une page du document de présentation de XKeyscore vante aussi la possibilité de procéder à des recherches aussi précises que "montre-moi tous les fournisseurs de réseaux privés virtuels [des systèmes permettant une connexion à Internet sécurisée] dans un pays X et affiche les données afin que je puisse déchiffrer et en découvrir les utilisateurs", de trouver le ou les utilisateurs parlant allemand et se trouvant actuellement au Pakistan ou tous les documents mentionnant Oussama Ben Laden.
En revanche, des recherches comme "tous les documents textes cryptés venant d'Iran" sont trop larges et renvoient trop d'informations : il est cependant possible de les faire, mais en les affinant, explique le document.
STOCKAGE LIMITÉ
La quantité faramineuse de données concernées par ce programme oblige la NSA à faire du tri : seuls trois à cinq jours de données sont conservés. En revanche, l'agence stocke pour une durée plus longue des contenus qu'elle estime importants.
Selon le document, qui semble être avant tout destiné à promouvoir les capacités de l'outil auprès des analystes et des sous-traitants de l'agence, 300 terroristes auraient été arrêtés grâce à XKeyscore.
Dans un communiqué au Guardian, la NSA s'est mollement justifiée : "Les allégations d'un accès généralisé et sans contrôle des analystes à toutes les données récoltées par la NSA sont simplement fausses. L'accès à XKeyscore est limité aux personnel qui en ont besoin dans le cadre de leur mission."