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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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11 septembre 2014

Traité transatlantique : aujourd’hui, l’étau OGM se resserre

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Malgré les dénégations de l’UE, l’accord de libre-échange transatlantique pourrait être favorable au lobby des biotechnologies.

Promis juré. Karel de Gucht, le commissaire au Commerce de l’Union européenne, le martèle depuis des mois : le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (Tafta), négocié entre l’Europe et les Etats-Unis, ne fera pas plier la réglementation européenne sur les organismes génétiquement modifiés. « On ne va pas changer la loi sur les OGM, je l’ai dit dix fois, s’agaçait-il au printemps, mais José Bové continue de dire le contraire ! »

Santé, environnement, finance, droit social : l’eurodéputé EE-LV n’est pas le seul à s’inquiéter des effets de cet accord de libre-échange qui veut faire tomber les barrières tarifaires et non tarifaires pour favoriser les exportations. A commencer par les biotechnologies. « Il n’est pas possible de faire confiance à l’UE, ni d’être sûr qu’elle n’affaiblira pas son système de protection des citoyens dans ses efforts pour atteindre un accord commercial », s’inquiètent les Amis de la terre. En témoigne, selon l’ONG, l’Accord économique et commercial global (AECG) sur le point d’être signé entre le Canada et l’UE – dont une version a fuité début août -, preuve que l’Europe veut « faire passer en priorité les questions commerciales, aux dépens des réglementations sociales ou environnementales ».

Champion du colza transgénique, le Canada a tout intérêt à libéraliser au maximum le commerce des OGM. Et il semble avoir été entendu, à lire ce pré-accord qui pose le principe d’un « objectif commun » dans le domaine des biotechnologies. Son but ? Réduire les impacts économiques causés par les « réglementations non homogènes ». Problème, le Canada – comme les États-Unis – a une approche différente de l’UE en matière d’OGM. Mais le nouvel accord pourrait changer la donne. Il insiste sur la nécessité de « coopérer internationalement sur des questions relatives aux biotechnologies, comme la présence en faible quantité d’organismes génétiquement modifiés ». Or, en Europe, les produits contenant des quantités, mêmes minimes, d’OGM non autorisés ne sont pas commercialisables, à la différence du Canada. Le document s’attaque aussi aux processus d’autorisation qui devront être « efficaces » et « basés sur la science ». Ce qui contredit le principe de précaution de l’UE.

Arbitrage

Contactée par Libération, la Commission n’a pas souhaité commenter ce texte « en phase de procédure d’analyse juridique ». Reste qu’« en aucun cas la législation européenne en matière d’OGM ne peut être modifiée après un accord commercial international », précise un proche du dossier. « Au sens strict, la Commission ne ment pas, puisque rien dans le texte ne mentionne les OGM, note Amélie Canonne, présidente de l’Association internationale de techniciens, experts et chercheurs. Mais l’accord prévoit des outils qui pourront faciliter la mise en culture ou la commercialisation des OGM. »

Deux mécanismes pourraient y participer. La « coopération réglementaire » d’une part, qui vise à harmoniser les procédures « en dehors de tout contrôle politique », note Aurélie Canonne. Le « règlement des différends », d’autre part, un système d’arbitrage privé qui permet aux multinationales de porter plainte contre les réglementations des États jugées abusives. Une arme dangereuse, alors que les géants des biotechs semblent resserrer l’étau sur l’échelon national. Logique, puisqu’en juin l’UE s’est défaussée du problème des OGM sur ses pays membres, qui ont désormais la compétence de les interdire sur leur territoire. L’AECG et le Tafta pourraient bien fragiliser leur position. « Les États refuseront-ils de faire évoluer leur réglementation s’ils risquent d’être condamnés ? » s’interroge Fréderic Viale, économiste du conseil scientifique d’Attac. Et l’Europe n’est pas à l’abri : « Les entreprises pourront aussi s’en prendre à l’UE au motif qu’elle ne fait pas appliquer son autorisation des OGM », poursuit-il.

Lobbying

Consultés par Washington, les géants de l’agrobusiness ont annoncé la couleur. A commencer par l’Association nationale des oléagineux qui préconise, dans une note datée du mois de mai, de mettre un coup d’arrêt à « l’interprétation faite par l’UE du principe de précaution dont le but est de restreindre le commerce ». Même discours de l’Association américaine du blé, qui s’attaque à la procédure de validation européenne, « trop lente et plus souvent influencée par la politique que par la science ». Ou de l’Association nationale du soja qui plaidait, en 2012, pour une « politique d’étiquetage libre et non discriminatoire des OGM ».

Le lobbying semble payer : dans un communiqué d’avril, le ministère américain de l’Agriculture promet d’aborder, dans le cadre des négociations, les « barrières non tarifaires de l’UE touchant les produits agricoles ». Le calcul de Washington est simple : ses agriculteurs sont les « plus productifs du monde », mais leur succès repose sur le développement à l’international. Or, les exportations vers l’Europe stagnent. Des mauvais chiffres qui s’expliquent, selon Washington, par la concurrence mondiale, mais aussi par les «barrières non tarifaires injustes». Autant dire qu’il faudra de la détermination et du courage à Karel de Gucht, ou à son successeur, pour tenir les promesses faites aux citoyens européens.

Source : Sott

les Dangers de cet accord :

SÉCURITÉ ALIMENTAIRE : Nos normes plus strictes que les normes américaines et que les « normes internationales » (niveaux de pesticides, contamination bactérienne, additifs toxiques, OGM, hormones, etc.), pourraient être condamnées comme « barrières commerciales illégales ».

GAZ DE SCHISTE : Les gouvernements européens ne réglementeraient plus les exportations de gaz naturel vers les nations TAFTA. La fracturation hydraulique pourrait devenir un droit pour les sociétés qui pourraient exiger des dommages et  intérêts auprès des nations qui s’y opposent.

EMPLOI : Les entreprises souhaitant délocaliser dans les états concernés par le projet TAFTA où les salaires sont inférieurs, seraient protégées. L’Inspection et le code du travail devenant illégaux, plus de préavis de licenciement. Pôle emploi devrait être privatisé ou serait attaqué en justice par les sociétés d’intérim pour concurrence déloyale. Les conséquences du TAFTA sur le taux de chômage en Europe ne seraient que néfastes.

SANTÉ & RETRAITES : Les médicaments pourraient être brevetés plus longtemps, les groupes pharmas pourraient bloquer la distribution des génériques. Les services d’urgence pourraient être privatisés. Les Assurances privées pourraient attaquer en justice les CPAM pour concurrence déloyale. Les retraites par répartition pourraient être démantelées, les compagnies d’assurances se substitueraient aux CRAM,ARRCO, AGIRC…

EAU & ÉNERGIE : Ces biens seraient privatisables. Toute municipalité s’y opposant pourrait être accusée d’entrave à la liberté de commerce, idem pour l’énergie, qu’elle soit fossile, nucléaire ou renouvelable. La sécurité nucléaire serait réduite. Le prix du gaz et du kW seraient libres.

LIBERTÉ & VIE PRIVÉE : Grâce à la révolte publique, les sociétés espérant enfermer et monopoliser l’Internet ont échoué l’année dernière à faire adopter leur ACTA répressif ; des textes plus pernicieux sont dans le TAFTA.

SERVICES PUBLICS : Le TAFTA limiterait le pouvoir des États à réglementer les services publics tels que : services à la personne, transports routiers, ferroviaires, etc. et réduiraient les principes d’accès universel et large à ces besoins essentiels.

CULTURE & PRODUCTION ARTISTIQUE : Les gros producteurs d’audiovisuel pourraient interdire les productions privées ou professionnelles à faible budget comme youtube, vimeo, dailymotion, les financements collaboratifs seraient rendus illégaux. Les musées nationaux perdraient leur droit de préemption sur les trésors artistiques nationaux au profit de collectionneurs privés.

ENSEIGNEMENT : Les universités privées pourraient attaquer en justice l’Éducation nationale pour concurrence déloyale. De la maternelle au doctorat, les sociétés privées contesteraient aux écoles, cantines scolaires et resto U, toutes subventions municipales, régionales ou nationales.

http://wattrelosouvertementagauche.wordpress.com/2014/04/15/non-au-grand-marche-transatlantique-les-bonnes-raisons-de-stopper-tafta/

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4 mars 2014

La pyramide illuminati sur un billet de banque ukrainien

94305252Ce monde pourrait paraître bien compliqué si l’on ne regarde que son avant-scène où les intrigues les plus complexes se jouent devant nous dans le seul but de nous égarer sur le chemin de la vérité.  En fait il faut fouiller dans les loges, littéralement, pour comprendre qui détient le pouvoir et quel objectif il poursuit.  Or à chaque fois qu’il y a un conflit dans le monde on retrouve l’acteur majeur qu’est l’empire Rothschild. Celui-ci s’attaquant aux bastions traditionalistes religieux, économiques, nationalistes et autres qui empêchent sa puissance financière de prospérer. Lorsque l’on a comme ambition de devenir le maître du monde on ne peut voir des pans entiers de minerais, de richesses vous échapper. C’est pourquoi l’empire Rothschild n’a de cesse de s’étendre vers l’est après avoir conquis l’ouest.L’Ukraine en tant que pays regorgeant de richesses agricoles et minières, et pays géostratégique d’importance capitale notamment pour la Russie de par sa complémentarité économique fait l’objet d’affrontement de plus en plus violent pour sa conquête. La révolution orange financée par Soros ayant échoué lamentablement, Poutine ayant même lancé un mandat d’arrêt contre Soros, Rothschild est donc passé à la vitesse supérieure en instaurant via la violence civile une révolution destinée à devenir un coup d’état pour renverser le pouvoir.

22 janvier 2014

l'Accord économique Canada-Europe, Nouvelle prise de contrôle privée du patrimoine agricole de l'Humanité

Mise en contexte du Média reseauforum.org :
   Si on tente de lire cette réforme légale, on peut facilement s'y perdre et ne pas trouver où est le problème décrié ici.  En résumé, l'aspect dénoncé est que la Loi sur la protection des obtentions végétales serait harmonisée avec la Convention internationale pour la protection des obtentions végétales de 1991.  Alors que la Fédération canadienne de l'agriculture estime que cela va concilier « le besoin d'assurer aux obtenteurs un rendement sur le capital investi dans la recherche sur la sélection des végétaux avec le maintien du droit des agriculteurs de conserver les semences pour leur usage personnel », le National Farmers Union dénonce que bon nombre d'agriculteurs et de fermiers perdraient leur droit de vendre ou d'échanger diverses semences, plantes, etc.  Il est question ici de brevets sur le vivant et donc aussi du pouvoir qu'un tel brevet donne à une grande multinationale par rapport aux autres entreprises.  Ce projet est assez récent (octobre 2013) et volumineux et plusieurs associations agricoles n'ont pas encore pris positions.

Photo de deux mains tenant des centaines de semences, soient des petites boules jaunes.Les AmiEs de la Terre de Québec (ATQ) sonnent l'alarme concernant les effets dévastateurs sur l'agriculture familiale que ne manquera pas d'entraîner le projet de loi omnibus sur l'agriculture, déposé au Parlement le 9 décembre dernier.  Les ATQ dénoncent notamment les droits accordés aux géants de l'agroalimentaire qui empêcheront désormais les producteurs agricoles de conserver, vendre et réutiliser les semences comme ils l'ont toujours fait.

Perte de droits ancestraux

Le projet de loi C-18, intitulé Loi modifiant certaines lois en matière d'agriculture et d'agroalimentaire, viendra bouleverser considérablement de nombreux aspects de la vie agricole au pays.  Le gouvernement le qualifie de « projet de loi omnibus pour l'agriculture », car il propose des modifications à un grand nombre de lois.  Celles-ci toucheront à peu près tous les aspects de l'agriculture, allant de la médiation sur l'endettement agricole aux semences, en passant par les engrais, la protection des végétaux et une foule d'autres domaines. Le gouvernement souhaitant procéder rapidement sur ce dossier, la première lecture du projet de loi a eu lieu le jour même du dépôt.

« Ce projet de loi vient affaiblir considérablement les droits ancestraux des agriculteurs en les obligeant à verser des indemnités aux géants de l'agro-industrie sur la totalité de leur récolte.  Pourtant, la mise en marché de nouvelles variétés par les grands semenciers repose sur un patrimoine de l'humanité : la patiente sélection, sur des milliers d'années, d'espèces végétales par des générations d'agriculteurs.» affirme Dominique Bernier, responsable du dossier agriculture et alimentation aux ATQ.

Nicolas Beaujon - Le patrimoine de l'humanité

 

Soutien à l'innovation ou servage agricole ?

Selon le gouvernement, le projet de loi stimulera l'innovation qui profitera aux agriculteurs en augmentant le choix des cultures, ce qui pourrait leur fournir des revenus plus élevés.  La réalité est cependant bien différente. Le projet de loi vient limiter ce que les agriculteurs peuvent faire avec les semences en donnant aux entreprises de semences de puissants outils pour extraire l'argent des agriculteurs.

« Ce projet de loi s'inscrit en droite ligne avec le controversé Catalogue des espèces et variétés européen. Quelques semaines après la signature d'une entente de principe sur l'Accord économique Canada-Europe, le Canada a-t-il choisi de céder aux pressions et d'affaiblir, lui aussi, le droit de son peuple d'assurer sa souveraineté alimentaire ? » s'interroge Dominique Bernier.


 

À propos des AmiEs de la Terre

Les AmiEs de la Terre de Québec forment un mouvement citoyen dédié à l'émergence d'une société écologiste. C'est par la défense collective des droits et l'éducation populaire autonome qu'il s'acquitte de cette mission. Fort de ses 1200 membres, l'organisme fait partie d'un réseau soutenu par la base et présent dans 77 pays. 

21 mai 2013

Le luxembourg future cible de l'UE un scénarios à la chypriote

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Poussé à réformer son secteur bancaire sous la pression européenne, le Grand-Duché risque de perdre sa poule aux œufs d'or. Le pays est donc sur le fil du rasoir, et une vraie crise économique est envisageable.
Le Grand-Duché de Luxembourg, avec une population de seulement un demi-million d’habitants, plus petit même que Chypre, est classé dans le Top 3 mondial du classement du PIB par habitant.
Le pays a le plus haut niveau de patrimoine par ménage, avec 710 000 euros en moyenne. Seul Chypre, grâce à ses anciennes activités bancaires en off-shore, pouvait le talonner dans ce domaine. Cependant, le Luxembourg est aujourd’hui menacé par la ruine.
Le pays possède 141 compagnies bancaires sur son territoire, un banque pour 3808 habitants. La plupart ont une activité de banque privée. Le secteur bancaire a représenté 38% du PIB en 2010 et a contribué pour 30% des rentrées fiscales du pays, selon la Luxembourg Banker’s Association (ABBL). Et tout ceci grâce au secret bancaire et au régime fiscal appliqué dans ce secteur. Mais, soudainement, après que la Chypre eut été massacrée, le Luxembourg a commencé à céder.
Menacé par l’artillerie lourde de l’Allemagne, et la menace plus faible d’autres nations, orientées dans sa direction, le Luxembourg a accepté de participer à un accord international de partage automatique de données qui enverra les données bancaires de leurs clients étrangers à leur pays d’origine. Le Premier ministre Jean-Claude Juncker a déclaré, tout en restant sur la défensive, que la réforme du secret bancaire n’était pas un enjeu si important pour le pays, et que le Luxembourg ne vivait pas de l’évasion fiscale. "Les lumières ne vont pas s’éteindre pour les banques en 2015" a-t-il ajouté.
Durant toute la débâcle de la zone euro qu’il a présidé jusqu’en février dernier comme président de l’Eurogroupe, il a prouvé qu’il était d'un optimisme acharné.
"Nous nous attendons à ce que seulement 60 à 70 banques survivent les prochaines années" déclare Alain Steichen, un influent avocat fiscaliste, lors d’une conférence sur les conséquences du partage de données. Une déclaration fiable d’une personne qui prétend sur sa page de profil qu’il a "aidé Thomson dans sa fusion-acquisition de Reuters , notamment via la principale holding du groupe basée au Luxembourg." Il a également "assisté Chase Manhattan pour la fusion-acquisition de JP Morgan, pour former la principale société holding du Luxembourg." Et oui, les opportunités de business sont nombreuses au Luxembourg…
Combiner secret bancaire et société prête-nom est un cocktail particulièrement juteux. Tout une industrie s’est formé autour des banques sur ce seul créneau. Des sociétés de gestion, d’audit et de conseils juridiques mettent en place et gèrent ces sociétés écrans et ces "boîtes aux lettres". Le client et l’origine des fonds restent anonymes pour le monde extérieur. Un cadre idéal pour le blanchiment d’argent. Comme les banques font des affaires avec des sociétés "boîtes aux lettres" et non pas un étranger, et comme ceci est un pilier de la société luxembourgeoise, le système est imperméable au partage de données. Mais ces sociétés-écrans subissent maintenant des menaces, pas seulement de l’Europe mais aussi du Congrès américain.
"J’anticipe un changement considérable dans le paysage bancaire parce que de nombreux clients vont partir." explique Alain Steichen. "Des banques vont perdre leur masse critique, nécessaire à leur survie."
Les banques privées dont il parle gèrent 300 milliards d’euros de capitaux, génèrent 3,14 milliards d’euros de revenus et font rentrer dans les caisses 503 millions d’euros de taxes selon l’ABBL. Elles emploient 10 000 personnes directement ou indirectement. Sur tous ces capitaux, seuls 19% viennent du Luxembourg, tout le reste provient de l’étranger. La moitié de tout ceci risque de disparaître, et les survivants devront se battre pour perdurer.
"Une bonne partie des clients des banques luxembourgeoises cachent des fonds" note Steichen. "Ils n’auront pas d’autres choix que de clôturer leurs comptes au Luxembourg." Soit ils rapatrieront leurs fonds dans leur pays et paieront des taxes et des amendes, soit ils les transféreront vers Monaco, Singapour ou d’autres places bancaires opaques. En tout cas, leur pouvoir de générer au Luxembourg des emplois et des rentrées fiscales disparaîtra.
Ces capitaux cachés – on parle de "black money" – provenaient principalement de Russie, dans le cas de Chypre. L’Europe du Nord s’est révolté contre ce système qui permet d’occulter de tels montants de capitaux. Cette partie de l’Europe, France y compris, a poussé à la fermeture de ce système, et mis l’économie chypriote à genoux, en détruisant sa principale source de revenus. Encouragé par ce succès, l’Europe du Nord, qui inclut même aujourd’hui le Royaume-Uni, dégaine ses armes contre le Luxembourg.
Le Luxembourg est horrifié. Il y a trop de ressemblances avec la Chypre : les sociétés écrans, l’argent caché, un marché de l’immobilier florissant… L’austérité, et notamment l’envolée fiscale qui frise l’absurde en France, ont fait de l’évasion fiscale une cible de choix. Les gouvernements décident donc de frapper fort, non seulement contre leurs évadés fiscaux, mais aussi contre les pays dont l’économie consiste à les assister.
Avec 38% de son PIB dépendant du secteur financier, le Luxembourg ne peut pas se risquer à impulser lui-même une transition brutale vers un autre modèle, comme Chypre y a été forcé. Beaucoup de banques pourraient s’effondrer, cela causerait une dépression économique et ruinerait la bonne santé économique du pays. Le Luxembourg va plutôt coopérer, et impulser une transition graduelle, se disant que le bon temps est terminé, en sachant qu’au bout du chemin, il pourrait y avoir le scénario chypriote.
Atlantico
15 février 2013

Les paiements en liquide de plus de 1 000 euros devraient être interdit « d’ici la fin de l’année »

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Les paiements en liquide de plus de 1 000 euros devraient être interdit « d’ici la fin de l’année » pour lutter contre la fraude selon Matignon.

Lors d’une réunion ce lundi à Matignon, le Comité national de lutte contre la fraude (CNLF) a souhaité renforcer la lutte contre la fraude. Pour cela, il aura fallu d’un regard chez nos voisins espagnols, belges ou italiens pour avoir cette idée.

Le CNLF envisage en effet d’abaisser le montant des paiements en liquide de 3 000 à 1 000 euros seulement pour les résident français et de 15 000 euros à 10 000 pour les non résidents. Selon le Figaro, un décret doit être pris, à l’issue d’une concertation, « d’ici la fin de l’année ».

La CNLF envisage également de constituer un fichier des contrats d’assurance-vie, qui « sera un instrument essentiel en termes de lutte contre le blanchiment notamment ». Autre pistes à l’étude pour lutter contre la fraude : « le déploiement dans toutes les pharmacies de la liste d’opposition des cartes Vitales, quotidiennement actualisée, pour prendre en compte les cartes perdues ou volées ».

Seront également approfondies la lutte contre la fraude fiscale, la fraude à la TVA sur les ventes de véhicule d’occasion, la lutte contre les fraudes patrimoniales les plus graves de type « avoirs non déclarés à l’étranger » ou la lutte contre le travail illégal.

 

L’Italie traque depuis le 1er Janvier 2012 tous les mouvements bancaires des Italiens pour endiguer l’évasion fiscale, qui représente 120 milliards par an pour les caisses de l’État italien. Depuis cette date, le secret bancaire est aboli. Tous les établissements financiers communiquent en temps réel les mouvements sur les comptes de tous leurs clients et les paiements en liquide supérieurs à 1 000 euros sont interdits. Toutes ces informations, 22 000 par seconde, sont analysées par un gigantesque ordinateur appelé, Serpico.

En Espagne, le gouvernement de Mariano Rajoy a mis en place l’année dernière une série de mesures, limitant les paiements en liquide à 2500 euros.

Enfin, De Standaard et Het Nieuwsblad rapportent que pour surveiller les 1,2 milliard d’euros de transactions suspectes dans le secteur de l’or en Belgique, le gouvernement souhaite interdire que de grandes quantités du métal précieux soient encore achetées en cash, en limitant le montant maximal du paiement en cash à 10% de la somme totale et à 5000€.

Sources : De Standaard / Het Nieuwsblad / France 2 / Le Journal du Siècle

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16 décembre 2011

L’U.E. DEBAT AFIN D’INSTALLER UNE BOITE NOIRE SUR VOTRE ORDINATEUR

L’U.E. DEBAT AFIN D’INSTALLER UNE BOITE NOIRE SUR VOTRE ORDINATEUR
LE MEMBRE DU PARLEMENT EUROPEEN TIZIANO MOTTI (ITALIE) VEUT QUE TOUT CE QUE VOUS FAITES EN LIGNE SOIT CONNECTE ET ENREGISTRE, POUR LE BIEN DES ENFANTS. COMME UNE BOITE NOIRE INSTALLEE SUR CHAQUE ORDINATEUR. Il propose un SYSTEME D'ALERTE PRECOCE DE L'ACTIVITE...
9 décembre 2011

Rien ne va plus ! LA ZONE EURO SE REFONDE AVEC UN NOUVEAU TRAITE

 Rien ne va plus ! LA ZONE EURO SE REFONDE AVEC UN NOUVEAU TRAITE
LA ZONE EURO SE REFONDE AVEC UN NOUVEAU TRAITE Reuters Par Julien Toyer et Yann Le Guernigou | Reuters – il y a 40 minutes BRUXELLES (Reuters) - Les pays de la zone euro ont entamé dans la nuit de jeudi à vendredi une VASTE REFONDATION qui, après signature...
3 novembre 2011

La banque BNP Paribas va supprimer des centaines de postes !

La banque BNP Paribas va supprimer des centaines de postes !
La banque BNP Paribas a annoncé jeudi des mesures draconiennes, notamment une décote de 60 % de ses titres grecs, des cessions massives d’obligations d’État et des réductions d’effectifs, pour accélérer son adaptation au nouvel environnement financier...
21 septembre 2011

28 banques de l’UE dans la tourmente pays par pays

28 banques de l’UE dans la tourmente pays par pays
Au premier trimestre, les banques de l’UE ont accru de 57% leurs avoirs dans le secteur public états-unien, a indiqué la Banque des règlements internationaux (BRI) Avec l’intensification progressive du débat sur le niveau d’endettement des Etats-Unis...
8 avril 2011

les autorités françaises ont détecté dans l'eau de pluie et le lait.de l' d'iode-131 radioactif de fukushima

les autorités françaises ont détecté dans l'eau de pluie et le lait.de l' d'iode-131 radioactif de fukushima
le nuage radioactif en provenance du Japon a atteint la semaine dernière,la france les autorités françaises ont détecté dans l'eau de pluie et le lait.de l' d'iode-131 radioactif CRIIRAD, organisme de recherche français indépendant sur la radioactivité,...
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