Le satanisme au Vatican
Le 21 juin 1963, Giovanni Battista Montini, devient pape sous le nom de Paul VI. Quatre
L'intronisation de Lucifer, l’Archange déchu, s’est déroulée au sein de la Citadelle Catholique Romaine, le 29 juin 1963 », une semaine après le couronnement du pape. 29 juin 1963, inauguration du Temps du Prince de ce monde
« À partir du moment où le Conclave s’était terminé, le 21 juin 1963, avec l’élection de Paul VI, le temps d’organiser l’Événement était plutôt court, mais le Tribunal Suprême avait décrété qu’aucune autre date ne pouvait être mieux adaptée pour l’Intronisation du Prince que celle de la fête des saints Pierre et Paul et qu’aucun autre lieu ne pouvait être meilleur que la Chapelle Saint Paul, située qu’elle était si près du Palais Apostolique. [...]
L ’Évènement de l’Intronisation créerait une couverture parfaite, sans la moindre anicroche, pour cacher le Prince parmi les membres de l’Eglise officielle de la Citadelle Romaine. Intronisé dans les Ténèbres, le Prince serait en mesure de fomenter cette même Obscurité comme jamais auparavant. Amis et ennemis seraient touchés de la même manière. L’Obscurité de la volonté de- viendrait si profonde qu’elle obscurcirait même l’objectif officiel de l’existence de la Citadelle: la perpétuelle ado- ration du Sans Nom. Au bon moment et à la fin, le Bouc expulserait l’Agneau et entrerait en Possession de la Citadelle. L ’Évêque Léo était hors de lui à l’avance. «L’inachevé s’achèverait. Ce sera le sommet de ma carrière, l’évè- nement culminant du XXème siècle». Il faisait nuit.
Le Gardien et quelques Acolytes tra- vaillaient en silence pour préparer le tout dans la Chapelle Mère de Saint Paul. Un demi cercle d’agenouilloirs tour- nés vers l’Autel. Sur l’Autel se trouvaient cinq chande- liers avec des bougies noires. Un Pentagramme d’ar- gent était posé sur le Tabernacle et était couvert d’un voile r ouge sang. Un T rône, symbole du Prince Régnant avait été positionné à gauche de l’Autel. Les murs avec les char- mantes fresques représentant les évènements de la vie du Christ et de l’Apôtre, avaient été r ecouverts de tissu noir brodé d’or avec les symboles de l’histoire du Prince. T andis que l’heure s’approchait, les fidèles Serviteurs du Prince, à l’intérieur de la Citadelle, commencèrent à arri- ver. La Phalange Romaine. Parmi eux, quelques uns des hommes les plus illustres qu’on pouvait trouver dans le collège, la hiérarchie et la bureaucratie de l’Église Ca- tholique Romaine. Parmi eux, en outre, des représen- tants séculiers de la Phalange, de même importance que les membres de la Hiérarchie. Comme par exemple cet homme, le Prussien qui était en train d’entrer. Un tout premier spécimen de la nouvelle ra- ce laïque, si tant est qu’il en soit. Il n’avait pas encore quarante ans et c’était déjà un homme important dans certaines affaires critiques internationales. La lumière des bougies noires scintillait sur les verres de ses lunettes à la monture d’acier et sur sa tête chauve, comme pour le distinguer des autres.
Choisi comme Délégué International et Plénipotentiaire Extraordinaire pour l’Intronisa- tion, le Prussien porta à l’Autel une bourse de cuir conte- nant les Lettres d’Autorisation et les Instructions, avant de rejoindre sa place dans le demi-cercle. T rente minutes environ avant minuit, tous les age- nouilloirs étaient occupés par la moisson habituelle d’une Tradition du Prince qui avait été semée, nourrie et cultivée au sein de la Citadelle antique, pendant une période d’environ quatre-vingt ans. La Chapelle Satellite – une grande salle de réunion dans les souterrains d’une école paroissiale – avait été équipée selon la stricte observance des Règles.
T out d’abord l’Autel positionné sur l’extrémité nord de la Chapelle. À plat sur l’Autel, un grand Crucifix avec la tête tournée au nord. Un brin en avant , le Pentagramme r ecouvert d’un voile rouge flanqué de deux bougies noires. Au-dessus, une Lampe du sanctuaire rouge qui brillait de sa Flamme Rituelle. À l’extrémité est de l’Au- tel, une cage: dedans, Flinnie, un petit chiot de sept se- maines, sous l’effet d’un sédatif, prêt au bref moment de son utilité au Prince. Derrière l’Autel, des cierges d’ébène dans l’attente d’être allumés par la Flamme Rituelle. A présent le mur sud. Sur une crédence, l’Encensoir et le récipient contenant des morceaux de charbon et d’encens. En face de la crédence, les Pilastres Rouges et Noirs aux- quels étaient suspendus le Bouclier du Serpent et la Clo- chette de l’Infini. Maintenant le mur Est. Il y avait les Fioles contenant Ter- r e, Air, Feu et Eau qui entouraient une deuxième cage. Dans la cage, une colombe, inconsciente de son destin, comme parodie non seulement du Faible Sans Nom, mais aussi de l’entière Trinité. Le card. Joseph Bernardin (1928-1996), après son ordination fut pendant des années, secrétaire personnel de Mgr John Joyce Russel, Évêque de Char- leston. Bernardin, nommé par Paul VI Archevêque de Cincinnati, devint en- suite Secrétaire et Président de la Conférence Épiscopale Américaine et Archevêque de Chicago.
Bernardin était homosexuel et fut accusé de violen- ce charnelle par un certain Steven Cook lequel, sans retirer ses accusations, conclut la cause par un accord qui prévoyait le versement de millions de dol- lars. Bernardin fut en outre accusé par une femme sous le pseudonyme d’ “Agnès”, de perversion sexuelle à son égard lorsqu’elle était une enfant, en 1957 à Greenville et d’avoir été violée par lui et par Mgr John Joyce Russel à l’âge de 11 ans au cours d’une cérémonie occulte à laquelle elle fut contrainte de participer parce que son père, membre de la secte qui organi- sa l’évènement, l’avait offerte au groupe comme “Victime”. Le Pupitre et le Livre préparés contre le mur ouest. Le demi-cercle des agenouilloirs tournés au nord, vers l’Au- tel. À côté des agenouilloirs, les Emblèmes de l’Entrée: la Jatte des Os sur le côté ouest prêt de la porte, la Lune Croissante et l’Étoile à Cinq Pointes avec les Pointes du Bouc tournées vers le haut. Sur chaque chaise, une copie du Missel à l’usage des Participants. Les Participants entrèrent par la porte.
L ’Archiprêtre et le Frère Médecin avaient la Victime déjà prête. Encore une demi-heure et son Messager du Cérémonial commence- rait à se mettre en contact téléphonique avec la Chapelle Mère du Vatican.
Entre les deux Chapelles, les exigences étaient différentes en ce qui concerne soit l’équipement soit les Participants. Ceux de la chapelle Saint Paul, tous des hommes, revê- taient les habits et les larges ceintures du rang ecclésias- tique ou d’impeccables vêtements noirs de rang séculier. Concentrés sur un seul but, leurs yeux fixaient l’Autel et le Trône vide, ils semblaient être le pieux clergé de Rome et les adorateurs laïcs tels qu’on les croyait habituelle- ment. Les Participants américains dans la Chapelle Satellite étaient autant hommes que femmes et au lieu des habits somptueux, comme ils arrivaient, ils ôtaient leurs habits et mettaient l’habit sans coutures prescrit pour l’Intronisation – rouge-sang pour le Sacrifice - qui arrivait jusqu’aux ge- noux, sans manches, avec le col en V et ouvert en avant.
Une fois vêtus, les Participants passaient devant la Jatte des Os, y plongeaient leur main pour en prendre une petite poignée et rejoignaient leur place dans le demi-cercle des agenouilloirs tournés vers l’Autel. Lorsque la Jatte des Os fut vidée et les agenouilloirs remplis , le Tapage Rituel commença à rompre le silence. Au cliquetis incessant des Os, chaque Participant commença à parler, à lui-même, aux autres, au Prince ou à personne. Pas de manière stridente au début, mais sur une cadence rituelle inquiétante. Le mur- mure croissant de prières et de suppliques et le cliquetis continuel des Os dégagèrent une sorte de chaleur contrôlée. Le son devint rageur, comme s’il débouchait dans la vio- lence. Il devint un concert contrôlé du chaos. Une lamen- tation à l’unisson de Haine et de Révolte. Un prélude concentré de la célébration de l’Intronisation du Prince de ce Monde à l’intérieur de la Citadelle du Faible. Portant des habits rouge-sang qui coulaient gracieuse- ment, Léo entra dans la sacristie. Pendant un instant, il lui sembla que tout était finalement prêt pour l’occasion. Son concélébrant, l’Archiprêtre pelé et avec des lunettes, déjà vêtu, avait allumé un cierge noir en préparation de la Procession. Il avait ensuite r empli de vin rouge un grand Calice d’or et l’avait couvert avec une patène vermeille.
Sur la patène, il mit une énorme hostie blanche de pain azyme. Un troisième homme, Frère Médecin, était assis sur un banc. Habillé comme les deux autres, il tenait une petite fille sur ses genoux. C’était sa fille Agnès. Léo la regar- dait avec satisfaction car elle semblait calme et condescen- dante. Elle portait une robe blanche flottante qui lui arri- vait aux chevilles. Et comme à son petit chien sur l’Autel, on lui avait donné un léger sédatif pour lui faire accomplir son rôle de V ictime sacrificielle des Mystères. Conscient du fait que la Chapelle Mère du Vatican atten- dait la communication téléphonique pour commencer le Cérémonial, Léo fit un signe de tête à l’Archiprêtre qui s’assit tout prêt du Frère Médecin, prit la pauvre Agnès et la mit sur ses genoux. C’était l’heure. Au tintement de la Cloche de l’Infini, tous les Participants de la Chapelle de Léo se mirent debout à l’unisson.
Missels en main, le clic-clac continuel des Os comme accompagnement macabre, ils commencèrent à chanter à tue-tête la triomphante profanation de l’Hymne de l’Apôtre Paul: «Maran Atha! Viens Seigneur! Viens Prince! Viens! Viens!» Les acolytes, hommes et femmes bien préparés s’achemi- nèrent de la sacristie à l’Autel. Derrière eux, Frère Méde- cin portait la Victime à l’Autel et l’étendit à côté du Cru- cifix. À l’ombre du Pentagramme voilé, les cheveux d’Agnès touchaient presque la cage qui contenait son petit chien. Après le Médecin, par ordre de rang, l’Archiprêtre portait le cierge noir et prit place à gauche de l’Autel. En dernier , l’Évêque Léo s’avança, portant le Calice et l’Hostie tandis qu’il chantait: «Ainsi soit-il!» Les derniers mots du chant antique ont déferlé sur l’Autel, dans la Cha- pelle Satellite. La main avec l’index et le petit doigt levés et le pouce caché sous les deux doigts du milieu serrés contre la paume, symbolise le “dieu avec les cornes”, c’est-à-dire le dieu-pan des gnostiques, ou le Baphomet, le “dieu” de la Franc-maçonnerie.
Le dos de cette main est le signe du salut au diable.
Le Messager du Cérémonial informa sa Contrepartie Vaticane que les Invocations allaient commencer. Un brusque silence enveloppa la Chapelle Américaine. L ’Évêque Léo éleva solennellement le Crucifix qui se trouvait à côté du corps d’Agnès, le mis à l’envers contre le devant de l’Autel, et, tourné vers l’assemblée, il leva sa main gauche dans le signe inverti de la bénédiction: le dos de la main vers les Participants, le pouce et les deux doigts du mi- lieu contre la paume, index et petit doigt levés pour in- diquer les cornes du Bouc. “Invoquons!”. Dans une atmosphère d’obscurité et de feu, le Chef Célé- brant, dans chacune des Chapelles , entonna une série d’Invocations au Prince. Les Participants des Chapelles chantèrent un répons. Attentif à chaque détail, l’Évêque Léo regardait la Victi- me. Même si elle était en état de demi-conscience, Agnès combattait encore. Elle protestait encore.
Elle sentait encore la douleur. Elle priait encore avec extrême ténacité. Léo en était ravi. “Quelle parfaite petite victime”. Si agréable au Prince. Sans s’arrêter, Léo et le Gardien continuèrent les 14 Invocations tandis que les Gestes Convenables qui suivaient chaque Répons devinrent un théâtre tapageur de perversité. À la fin, l’Évêque Léo termina la première partie du Céré- monial, avec la Grande Invocation: «Je crois que le Prin- ce de ce Monde sera Intronisé cette nuit dans l’Antique Citadelle et de là-bas, Il créera une Nouvelle Commu- nauté». La Réponse arriva avec un brio impressionnant même dans ce milieu horrible: «Et son Nom sera “l’Église Universelle de l’Homme”».
Le moment était venu pour l’Évêque d’élever Agnès dans ses bras à l’Autel. C’était le moment pour l’Archiprêtre d’élever le Calice de la main droite et la grande Hostie avec la gauche. C’était le moment pour Léo de guider la prière de l’Offertoire, en attendant après chaque Demande Rituelle, le répons des Participants prise dans leurs Mis- sels. Léo mit Agnès sur l’Autel et picota l’index de sa main gauche jusqu’à ce que le sang commence à suinter de la petite blessure. T ranspercée de froid et prise d’une nausée croissante, Agnès se sentit soulever de l’Autel, mais sans être en me- sure de concentrer son regard. Elle se déroba à la piqûre aigüe à sa main gauche. Elle ne réussit à comprendre que quelques mots: “Victime... Agnès... née trois fois... Ra- hab Jéricho...”. Léo plongea son index gauche dans le sang d’Agnès, le montra aux Participants pour qu’ils le voient et commença les chants de l’Offertoire. «Ce sang de notre Victime a été versé. Pour que notre service au Prince puisse être complet. Pour qu’il puisse régner suprême dans la Maison de Jacob. Dans la Nou- velle Terre de l’Élu». À présent c’était le tour de l’Archiprêtre. Calice et Hostie encore levés, il donna le Répons Rituel de l’Offertoire. «Je Te porte avec moi, Victime Pure. Je Te porte dans le Nord Impie. Je Te porte à la Présence du Prince».
L ’Archiprêtre mit l’Hostie sur la poitrine d’Agnès et tint le Calice avec le vin sur son pelvis. Avec à son côté l’Archi- prêtre et l’Acolyte Médecin, l’Évêque Léo regarda le Mes- sager du Cérémonial. Une fois rassuré que le Gardien au visage de granit et sa Phalange Romaine étaient en parfaite synchronie, lui et ses célébrants commencèrent à entonner la Prière de la Supplique. «Nous te demandons, Seigneur Lucifer, Prince de l’Obscurité, Moissonneur de toutes nos Victimes, d’ac- cepter notre offrande, pour la Perpétration de beaucoup de Péchés».
Puis, en parfait unisson, l’Évêque et l’Archiprêtre pronon- cèrent les paroles les plus sacrées de la Messe Latine. A l’élévation de l’Hostie: “HOC EST ENIM CORPUS MEUM”. À l’élévation du Calice: “HIC EST ENIM CALIX SANGUINIS MEI, NOVI ET ÆTERNI TES- T AMENTI, MYSTERIUM FIDEI QUI PRO VOBIS ET PRO MULTIS EFFUNDETUR IN REMISSIO- NEM PECCATORUM. HÆC QUOTIESCUMQUE FECERETIS IN MEI MEMORIAM FACIETIS”. Immédiatement, les Participants répondirent en renouve- lant le Vacarme Rituel, un déluge de confusion, un méli- mélo de paroles et de cliquetis d’Os, avec toutes sortes de gestes lascifs tandis que l’Évêque mangeait un petit frag- ment de l’Hostie et buvait une petite gorgée au Calice. Sur un signal de Léo – encore le Signe de la bénédiction inverti – le Vacarme Rituel se transforma en un chaos plus ordonné au moment où les Participants commencèrent do- La main avec l’index et le petit doigt levés et le pouce mis sur les deux doigts du milieu serrés contre la paume , est un signe de reconnaissance entre les personnes membres de sociétés sataniques occultes. Le dos de cette main est le signe du salut au diable. reussit difficilement à se mettre plus ou moins en rang.
En passant à côté de l’Autel pour recevoir la Communion – un morceau d’Hostie et une gorgée au Calice – ils avaient aussi l’occa- sion d’admirer Agnès. Puis préoccupés de ne pas perdre un instant du premier V iol Rituel de la Victime, ils revin- rent très vite à leur place et regardaient dans l’attente alors que l’Évêque concentrait toute son attention sur la petite. Agnès essaya de toutes ses forces de se libérer lorsque le poids de l’Évêque vint sur elle. Même en cet instant, Agnès tourna la tête comme pour chercher de l’aide dans ce lieu impitoyable. Mais il n’y avait pas la moindre lueur d’espoir d’une aide. L’Archiprêtre était là qui attendait son tour pour accomplir le dévorant sacrilège. Son père était là qui attendait. Le feu des cierges noirs se reflétait en rouge dans leurs yeux. Le feu lui-même brûlait dans ces yeux. À l’intérieur de tous ces yeux. Feu qui brûlerait longtemps après l’extinction des bougies. Qui brûlerait pour tou- jours... Léo se tint de nouveau à l’Autel, le visage en sueur plein de nouvelles sensations, son moment suprême de triomphe personnel. Un signe de tête au Messager du Cérémonial au téléphone. Un moment d’attente. Un hochement de tête en réponse: Rome était prête. «De par le pouvoir à moi conféré comme Célébrant Pa- rallèle du Sacrifice et comme Exécuteur Parallèle de l’Intronisation, je conduis tous les Participants ici et à Rome à t’invoquer, Prince de toutes les Créatures! Au nom de tous les ci-présents dans la Chapelle et de tous les Frères de la Chapelle Romaine, je T’invoque, o Prince!». La deuxième Prière d’Investiture fut cette fois conduite par l’Archiprêtre en ces termes: «Viens, prends posses- sion de la Maison de l’Ennemi.
Entre dans un endroit qui a été préparé pour Toi. Descends parmi tes Fidèles Serviteurs qui ont préparé ton lit, qui ont dressé Ton Autel et l’ont béni par l’infamie». Il était juste et convenable que l’Évêque offrît la Dernière Prière d’Investiture de la Chapelle Satellite: «Dans le r espect des Instructions Sacrosaintes du Sommet de la Montagne, au nom de tous les Frères, maintenant je T’adore, Prince des Ténèbres. Avec l’Étole de toutes les Impiétés, moi à présent, je place dans Tes mains la T riple Couronne de Pierre, selon la volonté adamantine de Lucifer, pour que Tu puisses régner ici, pour qu’il n’y ait qu’une seule Église, une seule Église de la Mer à la Mer, une Vaste et Puissante Congrégation d’Hommes et de Femmes, d’animaux et de plantes, afin que notre Cosmos soit à nouveau un, sans frontières et libre». Après ces dernières prières et après le dernier geste de Léo, tous s’assirent.
Le Rite passa à la Chapelle Mère de Rome. L ’Intronisation du Prince au sein de la Citadelle du Faible était désormais presque terminée. Ne restaient que l’Auto- risation, la Loi des Instructions et la Preuve . Le Gar- dien regarda depuis l’Autel le Délégué International Prussien qui avait amené la Bourse de peau contenant les Lettres d’Autorisation et des Instructions. T ous le regar- dèrent lorsqu’il quitta sa place et s’achemina vers l’Autel. Il prit la bourse dans ses mains, en retira les papiers et lut la Loi d’Autorisation avec un fort accent: «Sur mandat de l’Assemblée et des Anciens Sacro- saints, j’institue, j’autorise et je reconnais cette Cha- pelle comme dorénavant la Chapelle Intérieure, comme prise, possédée et devenue entièrement propriété de Celui que nous avons intronisé Seigneur et Maître de notre destin humain. Quiconque, à travers cette Cha- pelle Intérieure, sera désigné et choisi comme succes- seur final en ligne droite de l’Office de Pierre, devra par le serment même de son office, s’engager lui et tous ceux qu’il commandera, à être l’instrument volontaire et le collaborateur des Constructeurs de la “Maison de l’Homme sur Terre” et de tout le Cosmos de l’Homme. Il devra transformer l’antique Hostilité en Amitié, To- lérance et Assimilation, car elles sont appliquées aux formes de naissance, éducation, travail, économie, com- merce, industrie, apprentissage, culture, façons de vivre et de donner la vie, la mort et de comment affron- ter la mort.
C’est ainsi que sera modelée la “Nouvelle Ère (New Age) de l’Homme”». Le card. Jean-Marie Villot, Secrétaire d’État de ... Jean Paul I et de Jean Paul II jusqu’à sa mort en 1979. Le card. Villot, franc-maçon de la “Liste Pecorelli” avec les données 6/8/166, 041/3, JEANNI, était fils de parents qui appartenaient à la Loge Ro- se-Croix et était Rose-Croix lui-même. Dans le récent livre de G. Galeazzi et F. Pinotti, “Wojtyla segreto”, le card. Villot et Mgr Marcinkus sont indiqués comme les exécuteurs matériels de l’assassinat de Jean Paul I. Malachi Martin, dans son livre “Windswept house”, indique Jean-Marie Villot comme un des participants à la Messe noire officiée dans la Chapel- le Paulinienne au Vatican, le 29 juin 1963. 10 “Chiesa viva” *** Juillet-Août 2012 Pendant l’été d’il y a deux ans, la presse rapportait: «Le 30 juin 2009, on présenta à la presse la Chapelle Paulinienne restaurée au cœur du Palais du Vatican. De- puis de nombreuses années fermée et inutilisée, malgré la présence de deux fresques de très grande importance ar- tistique, peintes par Michelangelo. De même l’autel a été enlevé et replacé. La Chapelle Paulinienne est aussi l’endroit où se réunis- sent les Cardinaux au début d’un conclave, avant de passer dans la Chapelle Sixtine pour les serments solennels et le début des procédures prévues.
Justement sur ce lieu grandiose mais inconnu de la plupart, et précisément sur le fait que l’Autel avait été enlevé et re- mis, avaient circulé bien des hypothèses, en autre, que la Chapelle avait été reconsacrée au cours d’un long rite, par Benoît XVI». Lorsqu’on lit ces lignes, on demeure perplexe à la pensée que la Chapelle “cœur” de la chrétienté, le “lieu identi- taire de l’Église catholique”, la “Chapelle où réside le rôle du Pape comme gardien du Corpus Christi”, le “Lieu où se réunissent les Cardinaux au début d’un conclave”, soit restée “depuis bien des années inutilisée”. Et puis, le bruit que la Chapelle avait été reconsacrée par Benoît XVI “ne soit qu’une des hypothèses qui circu- laient”, que les cierges, le Crucifix et l’image de la Sain- te Vierge avaient été enlevés, ne font que renforcer l’idée que les “mystères du Vatican” sont en train de perdre leur auréole de “mystère”, nous laissant entrevoir une réalité terrifiante qui est en train de s’affirmer et de se confirmer toujours plus rapidement et lourdement sur la dépravation d’un Clergé qui dépasse la corruption du corps et de l’âme pour se perdre dans la corruption de l’esprit! Dans son livre “Windswept house”, l’auteur jésuite et exorciste, Malachi Martin, écrit aux pages 492-493: «À l’improviste, il devint indiscutable qu’à présent, durant ce Pontificat, (Jean Paul II), l’organisation de l’Église Catholique Romaine portait une présence permanente de clercs qui pratiquaient le culte de Satan et l’ai- maient; des Évêques et des Prêtres qui sodomisaient des garçons et se sodomisaient entre eux; des sœurs qui pratiquaient les “Rites Noirs” de la Wicca et qui vi- vaient en relations lesbiennes ...
Tous les jours, y compris le dimanche et les jours saints, des actes d’hérésie et de blasphème étaient commis et permis sur les sacrés Autels par des hommes qui avaient été appelés à être prêtres. Des actions et des rites sacrilèges non seule- ment étaient accomplis aux saints Autels du Christ, mais ils avaient la connivence ou tout au moins la per- mission tacite de certains Cardinaux, Archevêques et Évêques... Au nombre total c’était une minorité – quelques chose comme un à dix pour cent du personnel de l’Église. Mais de cette minorité, beaucoup occupaient de façon surprenante des positions ou des rangs élevés (chancelleries, séminaires et universités)... Les faits graves et inquiétants étaient principalement deux: les liens systématiques d’organisation – autrement dit le réseau – qui avaient été établis entre quelques groupes de clercs homosexuels et des confréries de satanistes et la puis- sance et l’influence effrénée de ce réseau”. L ’année 2006, aux États-Unis, fut publié le livre de la fameuse chercheuse américaine, la doctoresse Randy En- gel, intitulé: “The Rite of Sodomy – Homosexuality and the Roman Catholic Church”. Plus qu’un livre, c’est une “encyclopédie de l’horreur” qui en 1.282 pages
Le but ultime n’était pas de liquider l’organisation Catholico-Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs purement humains. […] Son Nom sera « l’Église Universelle de l’Homme ».
En 1972, Paul VI choisit la date du 29 juin pour faire son discours sur « la fumée de Satan qui est entrée dans l’Église ». Les célébrations du 15ème anniversaire de Pontificat de Paul VI se déroulèrent le 29 juin 1978. Pourquoi ne pas avoir choisi la date de son couronnement au lieu de celle de l’intronisation de Lucifer ?
Dans son livre « Windswept house », l’auteur jésuite et exorciste, Malachi Martin, écrit aux pages 492-493 :
« À l’improviste, il devint indiscutable qu’à présent, durant ce Pontificat, (Jean Paul II), l’organisation de l’Église Catholique Romaine portait une présence permanente de clercs qui pratiquaient le culte de Satan et l’aimaient ; des Évêques et des Prêtres qui sodomisaient des garçons et se sodomisaient entre eux ; des sœurs qui pratiquaient les « Rites Noirs » de la Wicca et qui vivaient en relations lesbiennes … Tous les jours, y compris le dimanche et les jours saints, des actes d’hérésie et de blasphème étaient commis et permis sur les sacrés Autels par des hommes qui avaient été appelés à être prêtres. Des actions et des rites sacrilèges non seulement étaient accomplis aux saints Autels du Christ, mais ils avaient la connivence ou tout au moins la permission tacite de certains Cardinaux, Archevêques et Évêques… Au nombre total c’était une minorité – quelques chose comme un à dix pour cent du personnel de l’Église. Mais de cette minorité, beaucoup occupaient de façon surprenante des positions ou des rangs élevés (chancelleries, séminaires et universités)... Les faits graves et inquiétants étaient principalement deux : les liens systématiques d’organisation – autrement dit le réseau – qui avaient été établis entre quelques groupes de clercs homosexuels et des confréries de satanistes et la puissance et l’influence effrénée de ce réseau ».
L’année 2006, aux États-Unis, fut publié le livre de la fameuse chercheuse américaine, la doctoresse Randy Engel, intitulé: « The Rite of Sodomy – Homosexuality and the Roman Catholic Church ». Plus qu’un livre, c’est une « encyclopédie de l’horreur » qui en 1.282 pages, 4.523 notes et plus 350 livres de bibliographie, décrit jusque dans les détails les plus scabreux, le monde de corruption et de perversion sexuelle d’une partie du clergé catholique américain qui semble avoir atteint des limites inimaginables. [...]
Le livre se termine par la Section V : « Le Vatican et les pièces finales du puzzle » qui finit par ces mots: « Aucun changement significatif dans la doctrine ou dans la discipline de l’Église, ne peut avoir lieu sans la volonté d’un Pape ! ».
La Franc-maçonnerie elle-aussi connaît bien cette règle. En effet déjà dans le temps, Nubius, Chef de la Haute-Vente, c’est-à-dire Chef du satanique Ordre des Illuminés de Bavière, avait programmé un plan de destruction de l’intérieur, de l’Église Catholique prévoyant une Révolution qui devait partir du haut. Tous leurs efforts tendaient en effet à faire élire un Pape qui fût un des leurs ! Un tel pape fut Paul VI, le Pape qui changea l’Église!
Le Père Gabriele Amorth lui aussi, exorciste officiel du diocèse de Rome, est au courant de l’existence de sectes sataniques parmi le clergé, à Rome. Dans un extrait de ses mémoires, on peut lire :
– Satanistes au Vatican ?
« Oui, même au Vatican il y a des membres de sectes sataniques ».
– Et qui en fait partie ? S’agit-il de prêtres ou de simples laïcs ?
« Il y a des Prêtres, des Prélats et même des Cardinaux ».
Excusez-moi, monsieur l’abbé, mais vous comment le savez-vous?
« Je le tiens de personnes qui ont pu me le rapporter parce qu’elles ont pu le savoir directement. Et c’est une chose « confessée » plusieurs fois par le Démon lui-même sous obéissance pendant les exorcismes ».
– Le Pape en est-il informé?
« Bien sûr qu’il en a été informé! Mais il fait ce qu’il peut. C’est une chose terrifiante. Et puis réfléchissez que Benoît XVI est un Pape allemand, il vient d’une nation décidément hostile à ces choses. En Allemagne en effet, il n’y a pratiquement pas exorcistes, et pourtant le Pape y croit : j’ai eu l’occasion de parler avec lui trois fois, lorsqu’il était encore Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Bien sûr qu’il y croit !... »
– Alors est-ce vrai ce que disait Paul VI : que la « fumée de Satan » est entrée dans l’Église?
« C’est malheureusement vrai parce que même dans l’Église, il y a des adeptes des sectes sataniques. Cette particularité de la « fumée de Satan », Paul VI en référa le 29 juin 1972. Certes, il a rompu la glace en soulevant le voile du silence et de la censure qui durait depuis trop longtemps, mais cela n’a pas eu de conséquences pratiques. Il en fallait un comme moi qui ne vaut rien, pour donner l’alarme, pour obtenir des effets pratiques ».
Donc, comme l’a affirmé le père Amorth, Benoît XVI est au courant du fait qu’au Vatican , il y a des Cardinaux, des Évêques et des Prêtres qui sont membres de sectes sataniques, « mais il fait ce qu’il peut » !
Paul VI lui aussi savait que la « fumée de Satan » était entrée dans l’Église et pour le dire il choisit exprès le même jour, le 29 juin, jour où furent célébrées les deux Messes noires pour introniser Satan au Vatican. Et même « s’il a soulevé le voile de silence et de censure qui durait depuis trop longtemps », cela « n’a cependant pas eu d’effets pratiques ».
On pourrait penser qu’après l’invocation à Lucifer de l’ex-Évêque de Charleston, Mgr John Joyce Russel :
«… avec l’Étole de toutes les Impiétés, je remets dans tes mains la Triple Couronne de Pierre, selon la volonté adamantine de Lucifer, afin que tu puisses régner ici…», et après la déposition de la Tiare de la part de Paul VI, le 23 novembre 1964 et aussi après l’élimination de la Tiare des Armoiries Apostoliques de la part de Benoît XVI, ces deux Papes ne pourraient que se résigner à « parler sans avoir d’effets pratiques » et à « faire ce qu’on peut », car en éliminant la Tiare, ils ont exprimé leur volonté de ne plus gouverner l’Église !
Pourquoi la décision de déposer la Tiare et de l’éliminer des Armoiries du Saint Siège ? S’agit-il d’une décision personnelle ou imposée par quelqu’un ? [...]
Désormais font partie de l’histoire, les faits suivants :
– la décision d’élire Pape le cardinal Roncalli fut prise par la Franc-maçonnerie.
– l’élection du cardinal Montini comme Pape est due à l’intervention de quelques membres de la Haute Franc-maçonnerie juive des B’naï B’rith.
– le choix du cardinal Karol Wojtyla comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski, chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon cardinal König.
– Que ce soit la Franc-maçonnerie à élire le Pontife est prouvé par la lettre du cardinal Baggio écrite au grand Maître de la Franc-maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI, dans laquelle il lui offrait ses services, lui rappelant aussi la promesse de le faire Pape.
Fait également partie de l’histoire toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’Église dans la monde.
L’œuvre de démolition de l’Église Catholique – comme le savait bien Mgr John Joyce Russel – n’était pas de « supprimer l’organisation Catholique Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimilable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclusivement de questions humaines avec des objectifs uniquement humanistes », et ce, grâce à la création d’une « Maison de l’Homme sur la Terre », une « Nouvelle Ère de l’Homme » et « une Église Universelle de l’Homme »... 11 notes et plus 350 livres de bibliographie, décrit jusque dans les détails les plus scabreux, le monde de corruption et de perversion sexuelle d’une partie du clergé catholique américain qui semble avoir atteint des limites inimagi- nables. Après avoir illustré, dans les deux premières Sections, la perspective historique et l’homosexualité masculine, indi- viduelle et collective, les Sections III et IV du livre on res- pectivement pour titre : “L’Église américaine et la Révo- lution homosexuelle” et “L’homosexualisation de l’Église américaine”.
Le livre se termine par la Section V: “Le Vatican et les pièces finales du puzzle” qui finit par ces mots: «Aucun changement significatif dans la doc- trine ou dans la discipline de l’Église, ne peut avoir lieu sans la volonté d’un Pape!». La Franc-maçonnerie elle-aussi connaît bien cette règle. En effet déjà dans le temps, Nubius, Chef de la Haute- V ente, c’est-à-dire Chef du satanique Ordre des Illumi- nés de Bavière, avait programmé un plan de destruction de l’intérieur, de l’Église Catholique prévoyant une Révolution qui devait partir du haut.
T ous leurs efforts ten- daient en effet à faire élire un Pape qui fût un des leurs! Un tel pape fut Paul VI, le Pape qui changea l’Église! Le Père Gabriele Amorth lui aussi, exorciste officiel du diocèse de Rome, est au courant de l’existence de sectes sataniques parmi le clergé, à Rome. Dans un extrait de ses mémoires, on peut lire: – Satanistes au Vatican? «Oui, même au Vatican il y a des membres de sectes sa- taniques». – Et qui en fait partie? S’agit-il de prêtres ou de simples laïcs? « Il y a des Prêtres, des Prélats et même des Cardi- naux». Excusez-moi, monsieur l’abbé, mais vous comment le sa- vez-vous? «Je le tiens de personnes qui ont pu me le rapporter parce qu’elles ont pu le savoir directement. Et c’est une chose “confessée” plusieurs fois par le Démon lui-même sous obéissance pendant les exorcismes». – Le Pape en est-il informé? «Bien sûr qu’il en a été informé! Mais il fait ce qu’il peut. C’est une chose terrifiante. Et puis réfléchissez que Benoît XVI est un Pape allemand, il vient d’une nation décidément hostile à ces choses. En Allemagne en effet, il n’y a pratiquement pas exorcistes, et pourtant le Pape y croit: j’ai eu l’occasion de parler avec lui trois fois, lors- qu’il était encore Préfet de la Congrégation pour la Doctri- ne de la Foi.
Bien sûr qu’il y croit!...» – Alors est-ce vrai ce que disait Paul VI: que la “fumée de Satan” est entrée dans l’Église? «C’est malheureusement vrai parce que même dans l’Église, il y a des adeptes des sectes sataniques. Cette particularité de la “fumée de Satan”, Paul VI en référa le 29 juin 1972. Certes, il a rompu la glace en soulevant le voile du silence et de la censure qui durait depuis trop longtemps , mais cela n’a pas eu de conséquences pra- tiques. Il en fallait un comme moi qui ne vaut rien, pour donner l’alarme, pour obtenir des effets pratiques». Donc, comme l’a affirmé le père Amorth, Benoît XVI est au courant du fait qu’au Vatican , il y a des Cardinaux, des Évêques et des Prêtres qui sont membres de sectes sa- taniques, “mais il fait ce qu’il peut”! Paul VI lui aussi savait que la “fumée de Satan” était en- trée dans l’Église et pour le dire il choisit exprès le même jour, le 29 juin, jour où furent célébrées les deux Messes noires pour introniser Satan au Vatican. Et même “s’il a soulevé le voile de silence et de censure qui durait depuis trop longtemps”, cela “n’a cependant pas eu d’effets pratiques”.
On pourrait penser qu’après l’invocation à Lucifer de l’ex- Évêque de Charleston, Mgr John Joyce Russel: «... avec l’Étole de toutes les Impiétés, je remets dans tes mains la Triple Couronne de Pierre, selon la volonté adaman-tine de Lucifer, afin que tu puisses régner ici...», et après la déposition de la Tiare de la part de Paul VI, le 23 novembre 1964 et aussi après l’élimination de la Tiare des Armoiries Apostoliques de la part de Benoît XVI, ces deux Papes ne pourraient que se résigner à “parler sans avoir d’effets pratiques” et à “faire ce qu’on Couverture du livre “The Rite of Sodomy”, de la célèbre chercheuse catho- lique américaine titulaire de plusieurs prix, doctoresse Randy Engel. Le livre de 1282 pages, fournit les noms et les détails de tous les cardinaux, évêques et prêtres qui ont eu des problèmes avec le justice américaine à cause de leur vi- ce impur et contre nature. 12 “Chiesa viva” *** Juillet-Août 2012 peut”, car en éliminant la Tiare, ils ont exprimé leur vo- lonté de ne plus gouverner l’Église! Pourquoi la décision de déposer la Tiare et de l’éliminer des Armoiries du Saint Siège? S’agit-il d’une décision personnelle ou imposée par quelqu’un? Une réponse précise nous la trouvons dans les paroles du Délégué International Prussien, lorsque, à la fin de la Messe noire célébrée dans la Chapelle Paulinienne, il lut la Loi d’Autorisation: «... Quiconque, à travers cette Cha- pelle Interne, sera désigné e choisi come successeur fi- nal de l’Office Papal, devra jurer lui-même et tous ceux qu’il commandera, d’être l’instrument plein de bonne volonté et collaborateur des Fondateurs de la “Maison de l’Homme sur la Terre” et sur tout le Cosmos de l’Homme...»
Peu avant, il avait dit que cette Chapelle avait été «prise, possédée et appropriée par Lui, Celui que nous avons établi Seigneur et Commandant de notre destin humain (Lucifer)». Désormais font partie de l’histoire, les faits suivants: – la décision d’élire Pape le card. Roncalli fut prise par la Franc-maçonnerie. – l’élection du card. Montini comme Pape est due à l’in- tervention de quelques membres de la Haute Franc- maçonnerie juive des B’naï B’rith. – le choix du card. Karol Wojtyla comme successeur sur le siège pontifical fut fait par Zbigniev Brzezinski , chef des B’naï B’rith de Pologne et son grand électeur au conclave fut le franc-maçon card. König. – Que ce soit la Franc-maçonnerie à élire le Pontife est prouvé par la lettre du card. Baggio écrite au grand Maître de la Franc-maçonnerie italienne, aussitôt après la mort de Paul VI, dans laquelle il lui offrait ses ser- vices, lui rappelant aussi la promesse de le faire Pape. Fait également partie de l’histoire toute la documentation publiée et jamais démentie qui démontre l’appartenance à la Franc-maçonnerie de Roncalli, Montini et Baggio, de même que les Prélats que Montini plaça aux postes clefs du Vatican et de l’Église dans la monde.
On ne peut donc pas affirmer que ces Papes, les pauvres, “font ce qu’ils peuvent” et “parlent mais sans effets pratiques”, car au contraire, ces Papes savaient et savent qui commande au Vatican, à qui ils doivent réellement obéir, qui les a réellement élus et dans quelle Chapelle a été prise cette décision! On pourrait se poser la question de savoir si Paul VI a réellement participé à la Messe noire célébrée dans la Chapelle Paulinienne, ce lointain 29 juin 1963, mais ce ne serait qu’une curiosité d’importance secondaire. Lorsque nous savons que l’œuvre de démolition de l’Église Catholique – comme le savait bien Mgr John Joyce Russel – n’était pas de “supprimer l’organisation Catholique Romaine, mais de la transformer en quelque chose de vraiment utile, en la rendant homogène et assimi- lable à un grand ordre mondial qui s’occuperait exclu- sivement de questions humaines avec des objectifs uni- quement humanistes”, et ce, grâce à la création d’une “Maison de l’Homme sur la Terre”, une “Nouvelle Ère de l’Homme” et “une Église Universelle de l’Homme”, nous nous demandons ce qui est plus important: de prêter serment devant Délégué International Prussien ou bien, pendant quinze ans de pontificat, de mettre en acte la substance et le contenu de ces serments diaboliques.
Il suffit de lire le chapitre “Sa nouvelle Religion” du livre de l’abbé Luigi Villa, “Paul VI bienheureux?” pour dé- couvrir comment Paul VI a inventé un christianisme nouveau décloué de la Croix. Il a remplacé le “Culte de Dieu” par le “Culte de l’Homme”, la primauté du surna- turel par la primauté du naturel et du temporel, la pri- mauté de la “loi de Dieu” par la primauté de la “conscien- ce”, la primauté du “Règne de Dieu” et de la “vie éter- nelle” par la primauté du “monde”, de la “paix” et du “paradis sur terre”. Un christianisme qui considère le Christ comme un “libé- rateur”, non pas du péché, mais de la souffrance et l’as- servissement, un Évangile confondu avec la “Charte des Droits de l’Homme” et mis au service de la “justice so- ciale”, les “Droits de Dieu” abolis au profit de l’exalta- tion des “Droits” et des “goûts” de l’homme, l’évangélisation du surnaturel “docete” réduite à un “dialogue” qui ne s’appuie que sur les moyens humains et ne vise plus à la conversion. Un christianisme qui en idolâtrant l’homme, a fait procla- mer la “Liberté Religieuse” comme droit fondamental et absolu de l’homme et a promu un faux amour de l’homme sur lequel Paul VI a fondé sa “religion de l’Homme”: Le Père Gabriel Amorth, exorciste officiel du diocèse de Rome, dans ses “Mémoires”, affirme qu’au Vatican se trouvent des Cardinaux, des Évêques et des Prêtres qui appartiennent à des sectes sataniques, et les sources sont des personnes qui le lui ont dit, en tant que directement impli- quées et les déclarations du Démon au cours des exorcismes. “Chiesa viva” *** Juillet-Août 2012 13 «L’homme moderne n’arrivera-t-il pas un jour (...) à tendre l’oreille à la voix merveilleuse de l’Esprit qui palpite en elle (la nature)? Ne sera-ce pas la religion de demain?». «L’humanisme laïc et profane est apparu enfin dans sa terrible stature et a, en un certain sens, défié le Concile. La religion de Dieu qui s’est fait homme s’est rencon- trée avec le religion de l’homme qui s’est fait Dieu... Nous plus quiconque, NOUS AVONS LE CULTE DE L ’HOMME!». «Toutes les richesses doctrinales (du Concile) ne visent qu’à une chose: servir l’homme». «Notre humanisme devient christianisme et notre christianisme devient théocentrique, au point que nous pouvons également affirmer: pour connaître Dieu, il faut connaître l’homme». «L’homme nous est révélé comme un géant. Il nous est révélé divin. Il nous est révélé divin non en soi, mais dans son principe et dans son destin. Honneur à l’hom- me, honneur à sa dignité, à son esprit, à sa vie!» «Honneur à l’homme, honneur à la pensée, honneur à la science!...
Honneur à l’homme, Roi de la Terre et main- tenant aussi Prince du ciel!». Mais dans la Sainte Écriture, il est écrit: « Maudit soit l’homme qui se confie en l’homme et de la chair fait son bras et dont le cœur s’éloigne du Seigneur». Ce que nous pouvons nous demander alors, c’est le sens des paroles de la Sainte Vierge à Fatima, lorsque dans son troisième secret, elle prononça ces mots: «Satan réus- sira effectivement à s’introduire jusqu’au sommet de l’Église!». La Sainte Vierge se rapportait-elle au fait que Satan serait intronisé dans la Chapelle Paulinienne ou alors dans le “cœur” de l’Église, car le “sommet de l’Église” n’est pas un lieu ou une chapelle, mais c’est une seule personne: le Pape! Et alors que veut dire l’expression: “Satan s’in- troduira jusqu’au Pape”? Puisque Satan ou Lucifer est le “dieu” de la Franc-maçon- nerie, puisque son orgueil le pousse à se substituer en tout à Jésus-Christ et puisque le sommet de l’Église est le Vi- caire du Christ, la phrase de la Sainte Vierge ne peut signi- fier autre chose que Satan arrivera à faire du Pape son V icaire! Et comment peut-on le démontrer?
L ’Apocalypse affirme que l’Antéchrist est formé par les trois Bêtes: le Dragon, la première Bête sortie de la mer, la deuxième Bête sortie de la terre qui a deux cornes sem- blables à celles d’un agneau, mais qui parle comme un Dragon. La Franc-maçonnerie ou mieux, les Juifs kabbalistiques, expriment cette réalité par la Tr oisième Trinité maçon- nique qui se compose de Lucifer, de l’ Empereur du Monde, du Patriarche du Monde. Le V icaire de Satan est donc la deuxième Bête sortie de la terre, appelée par la Franc-maçonnerie: Patriarche du Monde. Sur la partie antérieure du Pallium de Paul VI apparaissent trois Croix Templières de couleur noire dont une est surmontée d’un “flambeau” qui la traverse en diagonale. D’après les textes des experts en symbolisme maçonnique, la Croix Templière assume les significations suivantes: 1. Le Culte du Phallus («la Croix Templière révèle l’idée Mè- re de la Cabale: c’est le signe de la quadruple génération qui engendra les 4 mondes... c’est le Phallus, la force génératrice qui ouvre tous les trésors de la nature»). 2. Le Culte de l’Homme («La Croix Templière exprime dans l’unité des triangles convergents au centre, les significations de spiritualité divine et de son immanence en l’homme»). 3. Le Culte de Lucifer («La Croix Templière cache le Tétragramme Sacré Hébreu composé des lettres du Nom Divin JHWH» – c’est à dire du Dieu cabalistique Lucifer – n.d.r.).
Ces trois cultes sont les trois principes animateurs des trois séries de 11 degrés de la Franc-maçonnerie R.É.A.A. pour obtenir la corruption du corps, de l’âme et de l’esprit du maçon. Le franc-maçon Gorel Porciatti attribue à la Croix Templière une autre signification intéressante: «Alors que la Croix Latine correspond au cube, symbole de la Terre au niveau sous-jacent, la Croix Templière correspond au développement de la pyra- mide, symbole du Feu Universel au niveau supérieur». À cause de sa caractéristique de symboliser le “sommet” et le “feu” qui surplombe la Terre, la “pyramide” a été choisie com- me symbole du satanique Ordre des Illuminés de Bavière qui en fait, est au sommet de toutes les Obédiences maçonniques. Les Illuminés ont cependant un autre symbole bien connu: le “flambeau” qui est représenté sur tant de peintures, tableaux, étampes qui glorifient “l’esprit” et le “génie” de la Révolution Française, c’est-à-dire l’ Ordre des Illuminés qui fut la vraie âme et le vrai moteur de cette Révolution et qui porte et offre le “flambeau” à l’homme pour le libérer de Dieu et des chaînes de sa Loi.
Le “flambeau” apparaît aussi entre les cornes du Baphomet, le dieu panthéiste de la Franc-maçonnerie. Dans la symbolique maçonnique, quand un symbole est posé sur un autre, cela veut dire que le symbole qui est au-dessus “transcende” celui de dessous, c’est-à-dire qu’il “dépasse”, “outrepasse”, “existe en-dehors et au-dessus de la réalité sous-jacente”. Lorsqu’on met en ordre toute cette symbolique selon la hiérarchie maçonnique dans le domaine spirituel, on obtient la succession suivante: 1. La Croix Latine, sur la poitrine de Paul VI indique la Reli- gion catholique, à l’usage des profanes. 2. La Croix Templière, sur la poitrine de Paul VI indique la Re- ligion gnostique maçonnique avec ses trois Cultes maçon- niques, à l’usage des francs-maçons. 3. La Croix Templière, entendue comme Pyramide, indique la Doctrine Athée communiste des Illuminés de Bavière. 4. Le Flambeau sur la Croix Templière indique le Pontife Su- prême de la Franc-maçonnerie Universelle ou Patriarche du Monde.
Vu que la tâche de démolir l’Église par sa transformation en un “grand ordre mondial qui ne s’occupe que de questions hu- maines avec des objectifs humanistes” est la tâche que le fon- dateur des Illuminés de Bavière, Adam Weishaupt, s’est confiée à lui-même et à ses successeurs, le Patriarche du Mon- de assume automatiquement la charge de Chef de l’Ordre des Illuminés qu’on appelle: Pontife Suprême de la Franc-ma- çonnerie Universelle et aussi Patriarche de la Franc-maçon- nerie. Si un Pape devenait le V icaire de Lucifer, à cause de l’orgueil de Lucifer et de l’obligation à l’obéissance que Lucifer im- pose à ses sujets, c’est une quasi certitude que cette réalité se- rait imprimée ou représentée d’une quelque façon occulte, mê- me si “impénétrablement cachée” sous la symbolique kabbalis- tique maçonnique. Le monument maçonnique à Paul VI sur le Sacré Mont de Va- rese est un exemple de cette règle, de même que l’Étoile à 5 pointes sculptée sur le dos de la main de Paul VI, sur le panneau n° 12 de la “Porte de bronze” de la Basilique Saint Pierre. Mais une représentation du V icaire de Lucifer, Deuxième Bête de l’Apocalypse sortie de la terre, Patriarche du Monde ou Patriarche de la Franc-maçonnerie implique une symbolique spécifique qu’on ne puisse pas confondre avec n’importe quelle autre idée. À la page précédente est rapportée la symbolique de la Croix Templière avec le flambeau en travers qui définit Paul VI comme le Patriarche de la Franc-maçonnerie et Patriarche du Monde.
À côté on a analysé l’étrange signature de Paul VI sur son portrait officiel et ses significations de guerre à Dieu, d’Anté- christ et de deuxième bête de l’Apocalypse. Reste le point fondamental: comment peut-on démontrer que Paul VI tout en ayant agi tout le long de son Pontificat, en plei- ne conformité aux serments diaboliques prêtés au Délégué Inter- national, au terme de la Messe noire du 29 juin 1963, ait été à ce moment-là ou même précédemment en connaissance de la figu- re cabalistique du Patriarche du Monde et que de quelque ma- nière, il ait manifesté l’intention d’aspirer à cette position? En 1943 mourut Giuditta Alghisi, mère de Paul VI. Au cime- tière de Verolavecchia (Brescia), on lui édifia un monument funèbre, qui existe encore, sans aucun symbole chrétien, mais avec sur la stèle, un ensemble de symboles maçonniques appa- remment confus et indéchiffrables. Quelques années plus tard, l’abbé Luigi Villa découvrit cet étrange monument funèbre et le rapporta au Saint Office. Par la suite, il reçut du card. Ottaviani et du card. Palazzini l’information que les symboles du monument funèbre avaient été personnellement dessinés par Mgr Giovanni Battista Montini.