artefacts Lumières électriques dans l’ancienne Égypte
LUMIÈRES ÉLECTRIQUES
DANS L’ANCIENNE ÉGYPTE
S ituée dans un couloir de la partie
Est de la Vallée des Rois, à tombe du pharaon SETI 1er (1304-1287 av. J.C.). Si nous descendons ses 4 étages desservis
par des escaliers, que nous traversons plus de 10 couloirs et chambres, nous arrivons finalement à une crypte contenant des fresques au plafond représentant des scènes astronomiques et différents
passages du livre du AM-DUAT ; >ce couloir se rencontre à 105 m de profondeur, et la délicatesse de ces peintures n’a oublié aucun détail, même ceux apparemment sans importance. − 4.000 ans après la décoration de
cette crypte, il nous est encore impossible de savoir quelle méthode
les anciens Égyptiens ont employée pour éclairer l’intérieur de
ce genre de construction. − Paradoxalement, aujourd’hui nous pouvons seulement démontrer avec certitude quelles méthodes n’ont pu être utilisées, que ce soit la simple torche de feu ou la technique
des plaques réfléchissantes…
trace de suie, ce qui écarte le
principe d’utilisation des torches. Les miroirs réfléchissants, quant à
eux, posent d’insolubles difficultés qui résultent du continuel mouvement du soleil et de l’énorme
perte de luminosité à chaque changement de direction dans
les tunnels. Enfin, la lampe à huile, à cause de son important dégagement de fumée et sa faible
luminosité, ne pouvait en aucun cas être employée. Hors, nous ne connaissons que ces 3
possibilités qui étaient à la portée des Égyptiens antiques…
Au début des années 1980, Peter Krassa et R. Habeck révolutionnèrent les égyptologues en publiant un livre intitulé
« Lumière pour les Pharaons » dans lequel
ils montrent, entre autre, sur les fresques en bas-relief des temples de Dendera,
Edfou, Kom-Ombo, ainsi que Philae… des symboles qui semblent représenter des ampoules électriques, ainsi
que des Égyptiens qui tiennent ces ampoules devant eux. Le filament central en forme de serpent est très visible, ainsi
que le culot et la forme en aubergine de l’ampoule. De plus, tous ces bas-reliefs montrant
ces « ampoules » datent de la même époque Ptolémique (322 av. J.C.).
Dans le livre de AM-DUAT, le plus important des livres funéraires égyptien,qui décrit les 12 régions qui se situent
dans l’Au-Delà, et le parcours triomphal du dieu solaire RÉ, on peut voir 12 divinités exécutant leur trajet nocturne…
Chaque divinité tient devant elle le filament en forme de serpent, peut-être le
même « serpent » qui a permis aux artistes de décorer les fabuleuses tombes de la Vallée des Rois !
Mais alors, si cette technologie a vraiment été utilisée dans l’Égypte Antique, pourquoi n’en a t-on retrouvé aucun élément?
Pour ma part, il est clair que cette technologie électrique ne devait pas êtrevulgarisée ; elle a du même rester secrète.
Seuls quelques rares prêtres « techniciens » devaient la manipuler
avec de grandes précautions ; elle devait même être très dangereuse, car faute d’isolants
efficaces, l’électricité est d’un emploi très délicat et mortel. Donc, si cela se trouve, il n’existait qu’un générateur d’électricité et quelques
lampes à incandescence dans toute l’Égypte, ce qui fait que, lorsque cette technologie s’est perdue (soit volée, soit faute
de personnes compétentes pour la manipuler),
il est normal qu’on n’en retrouve aucune trace (mais peut-être est-elle encore présente dans un lieu secret — voir
les prophéties de Edgar Cayce). Comment cette technologie a t-elle pu tomber entre les mains des anciens Égyptiens ?
Je pense qu’il faut avoir un esprit très ouvert et accepter qu’elle soit venue du
ciel — par un « malencontreux » crash d’OVNI providentiel, un petit coup de pouce technologique savamment orchestré par ceux-là même qui (comme nous l’atrès bien révélé, à l’occasion du 50ème anniversaire de Roswell, le Colonel Corso) nous ont fait faire un bon considérable vers l’avenir électronique, vers le 3ème millénaire aux possibilités prometteuses, grâce à la voie ouverte par le transistor, le micro-onde, le laser, etc. N’oublions pas qu’à présent, nous ne pouvons plus regarder le passé de la même façon ! Remarque : Ce mystère d’éclairage dans des endroits aux murs et plafonds décorés loin d’une source de lumière est tout aussi grand dans les grottes de Lascaux où l’on a pu également constater l’absence de trace de fumée ou de graisse sur les dessins à la pureté originelle.
Là aussi on a retrouvé que des brûloirs primitifs dont la pâle flamme tremblante ne pouvait en aucun cas permettre un travail soigné sur un plafond à 3 m du sol. Il ne me reste en stock que trois autres possibilités qui sembleront éventuellement trop farfelues :
1) Les dessinateurs utilisaient des plantes ou des substances hallucinogènes,
des drogues oubliées leur permettant de voir dans l’obscurité complète ouavec très peu de lumière.
2) Plus « exotique », les artistes étaient en fait des extraterrestres ou des Égyptiens croisés avec des E.T. « gris » ; dans ce cas, il ne leur suffisait que d’enlever leurs protections oculaires.
3) L’emploi d’un matériau hyperphosphorescent, genre de pierre qu’on aurait « rechargée » en plein soleil et restituant sa lumière dans l’obscurité… Lumières électriques dans l’ancienne Égypte Sentinel UFO News n° 24