La technologie au service du contrôle. Quand les bildebergs se transforment en Googleberg
Aujourd’hui plus personne ne peut ignorer les réunions secrètes de Bilderberg même les « grands » journalistes comme Yves Calvi. Mais maintenant que le secret est bien éventé et que les réunions sont plus médiatisées, du moins par les réseaux sociaux principalement, les acteurs du « globalisme » aiment à se retrouver au « Googleberg » qui a pour objet d’intégrer ce globalisme à la technologie et qui apparait plus ouvert de prime abord auprès des médias.
La technologie au service du contrôle.
Le contrôle sera poussé de plus en plus loin notamment grâce à la technologie d’internet. Alors que nous en sommes encore à penser qu’internet est un espace de liberté d’informations et de communication, le gouvernement secret travaille à « sécuriser » internet. Avec la nouvelle technologie que propose Google on va loin puisqu’après sa mise en place l’autorité sera instantanément alertée de ce que vous publiez et si cela est hors-la-loi. Une loi qui va encore se durcir bien entendu! Autrement dit la justice en directe sur la toile. Il en ira de même des sites que vous vous apprêtez à visiter, de vos comportements sur le net, de votre façon de commenter, etc…Liberté vous dites? En fait depuis 15 ans, en gros, internet a servi de collecteur d’informations sur les personnes. Le but étant d’attirer un maximum de gens sur la toile pour pouvoir cerner l’individualité de chacun et la mettre dans une « case ». Aujourd’hui la technologie est prête pour passer à une nouvelle étape: la régurgitation de ces données individuelles dans un grand collecteur de masse auto-organisé pour « faire le tri » automatiquement dans ce qui est tolérable et ce qui ne l’est pas.
L’autocensure à grand échelle, le rêve ultime de ceux qui nous dirigent qui ne seront plus jamais sous les feux des projecteurs des réseaux sociaux pouvant entraîner des accrocs dans leur stratégie de domination, comme avec le rabbin Bernheïm ou l’ex ministre de la défense allemande considéré comme un futur chancelier en puissance (parce que juif bien sûr). Tous deux ont été accusés de plagiat après des recherches sur internet montrant ainsi le pouvoir de contrôle de la réelle liberté d’information sur le pouvoir réel. Ceci ne pourra plus être toléré à l’avenir et c’est donc tout l’enjeu du Googleberg 2013 qui se réunira pour la huitième année consécutive à l’Hotel Grove à Watford Londres, comme le Bilderberg 2013 et ce n’est pas anodin.
Google?
Google, internet donc puisque ce moteur de recherche a quasiment le monopole, est devenu un outil suffisamment puissant pour conseiller les gouvernements et imposer à internet les codes de valeurs définis par l’administration américaine comme le fait d’intégrer le terme « Palestine » et non plus « territoires palestiniens » dans son moteur. Cela passe bien dans l’opinion publique qui croit que Google est indépendant et « proche » des gens du peuple, alors qu’en fait il ne fait que s’aligner sur la décision de l’ONU de reconnaître la Palestine. L’ONU qui est contrôlée par qui?
Si je vous dis que Google est totalement sous contrôle de la mafia vous me comprenez. Son patron opérationnel, Eric Schmidt, comme la quasi totalité du directoire est sous contrôle. Eric Schmidt est, avec le pdg de Google Larry Page, le créateur du Googleberg annuel qui a lieu depuis 2005 au Grove hotel. Au cours de son entretien avec Assange ,de wikileaks, on apprend que Schmidt n’est pas très au fait des développement de pointe sur internet des projets indépendants comme le réseau Tor ou le Bitcoin. On apprend ainsi que l’homme voulant nous parler du « Nouveau monde numérique » n’intègre pas dans sa réflexion les projets « open source » du web. Car la volonté de Schmidt et ses acolytes est bien évidemment d’avoir tout sous contrôle et de proposer la technologie pour le faire au gouvernement américain qui l’imposera ensuite aux autres gouvernements du monde. C’est cela Googleberg. D’ailleurs Eric Schmidt est assez puissant pour s’organiser des « visites privées » avec des diplomates américains en Corée du Nord . Comme un exemple du pouvoir globaliste au-dessus des nations.
Le Googleberg ou Google Zeitgeist
Googleberg, appelé Google Zeitgeist, est une réunion qui comme Bilderberg associe toutes les personnalités qui comptent dans les milieux d’affaire, politique, artistique, divers, et donc les « régulateurs » d’internet. Ainsi en 2012 on a eu des personnalités comme Bill Clinton, qui mange à tous les râteliers en temps qu’ex-président US et c’est « naturel », mais aussi des personnalités comme Arsène Wenger. Arsène who? Il est vrai que le football mondial « libéral » est sous contrôle de la mafia.
De quoi on discute? Eh bien si l’on écoute Bill Clinton nous dire tout son désir de créer un ministère de la vérité sur internet, on peut être inquiet de la suite non? En fait cette réunion annuelle réunit tous les « talents » du net qui cherchent à le globaliser tout en le formatant donc à la « vérité ». C’est donc une formidable entreprise de brassage des ressources d’internet pour les confronter aux décideurs du monde et ainsi « harmoniser » les vues sur le développement d’internet à l’avenir.
Cette année le « Googleberg », qui se réunit chaque année au Grove hotel à Londres, sera suivi du Bilderberg 2013. Ainsi plus besoin courir aux 4 coins du monde pour chercher où est le pouvoir, il sera à Londres comme un symbole.