Jéhovah et Les rituels maçonniques sont un véritable culte luciférien
Jéhovah, le dieu de l’Ancien Testament, représente la loi impitoyable de la matière. C’est le mental, l’intellect, qui permet de gouverner le monde. C’est une « fausse lumière », ce n’est pas l’esprit. C’est donc un culte de la matière, un culte envers le principe entropique de la création, situé à l’Orient. C’est en quelque sorte un renversement des valeurs, qui suppose que notre personnalité, notre intellect, peut exister sans l’esprit. C’est un développement unilatéral, occupé à gérer la matière (comprendre : la dégrader, s’en servir, en retirer l’esprit pour la contrôler). C’est aussi pour cela que les maçons insistent sur la formule « J’ai dit. » (encore l’ego…). Note : Le développement spirituel maçonnique cherche à « court-circuiter » l’harmonie que pourrait instituer l’âme dans le corps, et ce en développant l’aspect mental qui permet d’accéder à certains pouvoirs psychiques. Ce qui est important à comprendre ici, est que la spiritualité est en quelque sorte une science qui peut être utilisée à toutes les fins possibles.
* Même si l’idée de chevalerie et du Temple en maçonnerie s’est répandue, elle n’a pas de validité historique. Les anglais-américains refusent ces idées et vont perdre la bataille.
* La maçonnerie gouverne le monde car ils connaissent le mécanisme : agir sur les énergies, sur l’inconscient collectif, par le moyen des pensées. C’est ce qu’à découvert Sheldrake et c’est pourquoi il s’est fait attaquer.
* C’est par le mental que l’on peut agir sur ce plan énergétique, l’astral. On agit sur le plan de l’information et non pas sur la matière, on agit sur ce qui informe la matière. Les Rose-Croix ont développé des techniques pour ce faire.
* L’Orient, c’est le pôle de la matière, c’est Lucifer, c’est l’opposant, c’est l’équerre – les lois de la matière, qu’il faut suivre si l’on veut agir sur la matière. Lucifer serait le premier à s’être révolté, c’était le premier franc-maçon, qui voulait se libérer par l’intellect, en maîtrisant la matière (Prométhée).
* Lucifer est assimilé au roi Hiram de Tyr. Il envoya Hiram Abiff pour construire le temple. Hiram Abiff contrôlait les jinns, et leur ordonna de construire le Temple. Salomon aussi contrôlait les jinns. Ils sont de « la famille de Lucifer ».
* Selon une légende maçonnique, il y a un lien de filiation entre Lucifer+Eve=>Caïn=>Hiram. Dieu était jaloux de cette lignée libre, et chassa Adam et Eve du paradis. Ensuite, la lignée de Lucifer chercha à se faire pardonner en enseignant les arts et cultures aux hommes. L’auteur fait le lien avec les extraterrestres et se demande pourquoi il y avait partout des crânes allongés.
* Les Templiers ont développé et se sont servis des Cisterciens. C’étaient des tueurs professionnels. Quand ils voulurent créer leur état indépendant dans le sud de la France, ils ont été détruits. Ils ont eu alors une influence sur l’Ecosse, où a été développée la maçonnerie.
* Les secrets écossais ont été répartis dans les différentes obédiences pour les cacher. Les autorités évitent pour cela d’effectuer des recoupements, mais ça s’est produit après la guerre en Allemagne.
* Ce secret est lié au contrôle de l’esprit des populations. Ce sont les Templiers qui l’ont découvert dans une communauté liée au christianisme des origines. Les Templiers ont protégé ce secret, puis les francs-maçons. Paul de Tarse a détruit le christianisme des origines et voulait dominer le monde. Ce secret a été redécouvert par Sheldrake, dans son étude des champs morphogénétiques. On peut contrôler la pensée et ainsi contrôler le monde.
* Jéhovah agit depuis ce plan « astral », ce plan d’énergie/d’information (hors de la « Matrice ») et est dépendant de l’énergie que lui donnent les humains.
(Rite Ecossais). « Dans le rituel maçonnique, il y a un passage où le Vénérable Maître dit : « Maintenant nous allons voir si nous sommes un maître valable où si on doit nous chasser sans connaissance. » Ce qui veut dire que si à cet endroit on ne sait pas qui est Jéhovah, on doit partir. (p.74)
Le postulant comprend alors que le dieu de l’Ancien Testament n’est pas le dieu le plus haut, le père aimant. Qui est-il ? C’est le seigneur du monde, le maître de la matière, c’est lui qui régit le monde. « Mais il n’est pas celui qui correspond au rêve illusoire des hommes, du dieu miséricordieux et aimant. C’est un dieu qui fait peur, un dieu qui punit, un dieu qui se venge. » (p.75) C’est « l’Architecte trois fois grand ». « Jéhovah est le principe de domination du monde; Lucifer est l’âme du monde, repliée sur elle-même. Elle se libère toujours et est en mesure de libérer les hommes. » (p.75)
la vision de Constantin (croix dans le ciel) imposant le christianisme dans l’empire romain fut la fin de du christianisme réel des débuts. « Aucune religion n’a causé plus de victimes. » C’est ce qu’on retrouve dans le Rite d’York, où le chevalier romain se rend compte des effets du christianisme. « Sur ces fondements s’est ensuite développé le système du Temple. » (p.77) C’est de là qu’est né le système suédois. « C’est un système de pensée que les rois de France et d’Angleterre ont favorisé à la fin du XVIIIe siècle, car c’était également un bon moyen de contrôler et de guider les hommes. » (p.77)
En Allemagne, c’est à cause de Gustav Adolf Schiffman (qui prouvait que la chevalerie n’avait pas de base historique), que le prince héritier Frédéric Guillaume de Hesse-Cassel-Rumpenheim put fonder la Grande Loge nationale. Mais il y eut une opposition et le prince s’est démis de sa charge (1874). Schiffmann fut exclu en 1876, puis réintégré. Cette idée de chevalerie s’est néanmoins estompée, « mais on essaie de réintroduire cette idée du Temple à l’heure actuelle pour contrebalancer la puissance de l’Islam ». (p.78) « Le Vatican encourage cette façon de penser en Europe et aux Etats-Unis pour faire contrepoids à l’Islam dans le domaine spirituel. » (p.78)
Le Vénérable Maître en Chaire ne représente donc pas Dieu, mais Lucifer. « On guide le postulant vers Lucifer, le seigneur du monde, on lui explique les lois qui régissent le monde et on lui confirme qu’il peut être lui-même son propre sauveur. Tout cela est inclus dans le premier degré. »Dieu repose dans l’obscurité de l’ouest, le royaume des cieux, et le fait d’aller vers l’Orient lui fait quitter le divin. Ainsi, la « lumière » dans la maçonnerie, cette lumière qui organise le monde (seigneur de ce monde), est luciférienne, c’est le pôle « de l’opposant ». « Et c’est là que réside la véritable maîtrise : « Je sors de l’esprit pur, du royaume des cieux, mon âme est tombée sur la Terre; la plus brillante étoile du matin est tombée. » La maçonnerie offre donc le moyen de se libérer de la matière en utilisant et comprenant les lois de la matière. D’où ce symbolisme de la lumière, des rayons, du soleil… que l’on retrouve un peu partout. « Quand on se rapproche de la lumière, on va dans la direction opposée. Nous ne sommes plus chez Dieu, mais chez le porteur de lumière. » (p.96) Ainsi, en pénétrant dans le Temple de Salomon dont les colonnes sont inversées par rapport à la Bible, on ne pénètre pas dans le temple de Dieu, mais on le quitte !
Cela indique une chose : la maçonnerie considère que Dieu est obscurité, et que le Diable est lumière. La maçonnerie n’associe pas l’obscurité à la matière, ou la lumière au spirituel. Ce qui laisse entendre que la « lumière » dont il est question est une « fausse lumière », une lumière qui régit le monde mais qui n’est pas Dieu. Et donc pour se libérer du monde, il faudrait suivre ce chemin !
« On reconnaît avoir été trompé pendant toute sa vie. La franc-maçonnerie montre ici la vérité. Le postulant dit : « Non, ce n’est pas la vérité que je voulais. » On se retourne et on part en courant. » (p.97)
« On ne peut pas communiquer cette expérience à son entourage, car les personnes mettraient beaucoup de temps à comprendre. » (D’où le secret).
« La source de toute franc-maçonnerie est le moment où l’homme a commencé à se libérer du joug de l’esclavage de l’esprit. Mon opinion personnelle, qui ne rallie pas la majorité, est que Lucifer était le premier franc-maçon, et qu’il s’est révolté contre le diktat de sa création. Il reste à savoir si c’est bien ou mal. (…) La majorité des gens est lâche et servile vis-à-vis de la hiérarchie. C’est une réalité dont on doit toujours tenir compte et qui permet aux hauts grades d’avoir un tel pouvoir. »
Ce passage est extrêmement intéressant, car il révèle deux choses. Premièrement, que la maçonnerie associe l’idée de liberté à la gouvernance de la hiérarchie sociale, que quiconque se libère se retrouve au sommet de la société – parce qu’il PENSE. Or, nous pourrions penser que quiconque se libère n’est plus intéressé par le pouvoir. Quelle sorte de libération est-ce donc ? Deuxièmement, nous voyons que « Lucifer » est assimilé à Hermès, le mercure des alchimistes, la pensée, l’intellect. Nous avions vu que l’interviewé comparait Yahweh à »l’Architecte trois fois grand ». C’est une référence directe à Hermès Trismégiste, et l’on peut se demander si cet Hermès a été un traître et non un sage.
« Il peut être dangereux pour ces organisations de montrer qui est réellement Lucifer, car on peut avoir des problèmes. » (p.100)