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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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intuition
24 mars 2017

L’Intuition, la « mère » de l’imagination n’est plus officiellement usitée dans notre société occidentale.

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Il est aisé de critiquer la société contemporaine mais il est temps maintenant d’en venir à l’Intuition, cette grande inconnue des temps modernes. Si la Raison sert à pouvoir vivre dans notre société, à quoi peut donc bien servir l’Intuition ? Il s’agit d’une question fondamentale qui a rarement été traitée puisque l’Intuition a surtout été réfutée et dénigrée. On peut considérer que l’hémisphère droit est le siège de l’Intuition.

La créativité, l’art, la compréhension globale, l’imagination dépendent de l’hémisphère droit et découlent de l’Intuition. Nous avons vu que de la Raison découlait l’Ego et la logique. L’Intuition, la « mère » de l’imagination n’est plus officiellement usitée dans notre société occidentale. Qu’est-ce que l’Intuition à la fin ? L’Intuition est la capacité cérébrale de percevoir dans son ensemble des données que la Raison ne pourrait ni percevoir ni traiter. Avant d’aller plus loin, j’aimerai comparer la Raison à la « force centrifuge » permettant à une meule d’affûtage de tourner sur elle-même .

La Raison fait donc tourner cette meule dans le but d’affûter des outils tranchants. Le travailleur place ses outils sur cette meule qui tourne. Il se rend compte que la pierre chauffe encore et toujours au contact du métal et que plus la pierre chauffe, moins elle affûte correctement. La meule représente le cerveau et la force centrifuge représente la Raison. La pensée rationaliste étudie des données, les examine sous toutes les coutures et en déduit des hypothèses.

Ce travail fait « chauffer » le cerveau en quelque sorte. Cela représente donc bien la « force centrifuge » qui entraîne la meule dans sa course à l’affûtage. Maintenant, nous allons ajouter de l’eau sur la meule pendant que le travailleur affûte ses outils. Il constate alors que la pierre refroidit et que les outils s’affûtent correctement. L’Intuition représente « l’eau » qui coule sur la meule. Elle vient équilibrer l’action de la « force » qui fait tourner la meule. L’Intuition vient au secours de la Raison et leurs effets mutuels se complètent (meilleur affûtage de la lame) au lieu de s’annuler.

Il était important de présenter cette allégorie au lecteur afin de faciliter la compréhension de ce paragraphe . En revenant à notre objectif, on peut dire que l’Intuition est un « outil » permettant au cerveau de percevoir des choses abstraites dans leur globalité. Elle apporte donc « l’eau » au moulin de la Raison. La Raison étudie des données et l’Intuition lui apporte des informations. On se rend alors compte qu’au lieu de s’annuler, la Raison et l’Intuition se complètent pour faire de l’homme un être amélioré qui prend conscience de son existence dans un environnement beaucoup plus large. La combinaison simultanée de la Raison et de l’Intuition permet à l’humain d’acquérir une Sagesse qu’il ne peut connaître sans cette symbiose.

Actuellement, la Raison réfute toute Intuition. Il y a donc un combat féroce entre l’hémisphère gauche et droit qui a lieu dans le cerveau des êtres humains, l’hémisphère gauche étant à chaque fois vainqueur. Cela signifie que l’homme occidental contemporain refuse d’écouter l’Intuition qui lui parle. Nous avons tous en nous « une voix » qui parle et qui affirme des choses exactes, c’est le résultat de l’hémisphère droit qui traite dans sa globalité les informations.  Malheureusement, la société occidentale contemporaine n’apprend pas à l’individu à développer son Intuition. On s’entêtera plutôt à apprendre les mathématiques dans leur aspect rationaliste plutôt que dans une approche spirituelle. L’étudiant ainsi formé devient un être capable de calculer mais incapable d’utiliser les mathématiques en vue d’une fonction créatrice. Je ne parle pas de créativité dans les jeux vidéo par exemple mais la créativité artistique de la main de l’homme. Les mathématiques pourraient par exemple être utilisées pour dessiner des œuvres magistrales en utilisant le nombre d’or. Ce sont des choses que l’on n’apprend plus actuellement.

L’Intuition se développe lorsque l’individu apprend à lâcher prise et à se laisser porter par les événements. L’Ego refuse de lâcher prise parce qu’il souhaite contrôler la totalité des informations qui transitent dans le cerveau. La Raison, liée à l’Ego, est donc surdimensionnée par rapport à l’Intuition parce qu’il y a un processus sociétal extrêmement puissant qui conditionne l’individu à utiliser sa Raison au lieu de son Intuition. L’Intuition, lorsqu’elle est développée, permet à l’homme de devenir voyant, médium, magicien, sourcier, guérisseur, magnétiseur et bien plus encore selon ses capacités de base. En effet, chaque individu est différent et possède des possibilités qui lui sont propres. Par exemple, un peintre de talent pourra décupler sa créativité en se laissant porter par son Intuition. Il est nécessaire de souligner que l’artiste a la possibilité innée d’utiliser son hémisphère droit, au contraire du mathématicien qui sera plus logique et donc dominé par la Raison.

L’Intuition n’est donc pas un don mais une capacité native que possèdent tous les êtres humains. Elle est seulement plus ou moins développée selon le développement spirituel de l’individu. Par exemple, un individu dominé par ses passions (attrait pour la matière) sera dans l’impossibilité d’exploiter son Intuition parce qu’il aura des préjugés très fort s qui l’empêcheront de croire à l’existence de cette capacité naturelle. Un voyant ou un médium est seulement une personne qui a pu développer son Intuition grâce à un événement particulier. Souvent, les personnes deviennent médium ou voyant suite à un événement marquant qui déclenche un choc. Le choc est souvent à l’origine de cette capacité à pouvoir utiliser l’Intuition.

On remarque souvent qu’une personne qui souffre a besoin de son imagination pour oublier sa vie sordide. On peut supposer qu’en développant son imagination, elle s’ouvre à des possibilités et accepte l’Intuition comme un outil fabuleux qui permet de la consoler. Ceci dit, n’importe quel individu rationaliste a la possibilité de développer son Intuition en acceptant cette capacité naturelle. La négation de l’existence de l’Intuition (préjugé) empêche l’individu rationaliste d’accéder à cet état d’esprit particulier. En effet, le préjugé et tout sentiment négatif en général empêche d’accéder à cette capacité. Plus un individu s’épure de ses défauts, plus il est en mesure d’utiliser son Intuition et de développer par conséquent le sentiment de compassion appelé « Amour ». On se rend compte que l’Intuition se développe uniquement lorsqu’un individu arrive à se débarrasser d’une majeure partie de sa négativité.

Cette capacité naturelle (l’Intuition) est inactive chez les êtres négatifs mais est existante chez les êtres positifs. Il existe donc une sorte de mesure de protection dans le cerveau qui empêche « à n’importe qui » d’accéder à un savoir qui pourrait lui donner des privilèges sur les autres. Cela signifie que la personne malintentionnée ne peut pas accéder à l’Intuition ou si elle le fait c’est par une voie ésotérique particulière mais elle ne peut pas d’elle- même développer cette capacité intrinsèque. Je pense tout particulièrement à Hitler qui a acquis d’immenses pouvoirs ( à travers la haine ) qui lui ont permis d’accéder au pouvoir par le biais de la Société de Thulé. Cependant, il s’agit d’un très mauvais exemple puisqu’il représente tout ce qui a plongé l’humanité dans une noirceur absolue et c’est tout ce qu’il faudrait idéalement combattre pour mener l’humanité vers la sortie du tunnel.

Pour conclure ce paragraphe, nous préciserons que l’Intuition se différencie de la Raison par le fait qu’elle est perçue comme un sentiment de vérité. Pour être plus clair, l’individu qui utilise son Intuition « accède » à des informations qu’il ne pourrait obtenir qu’après de longues années de lecture ou d’étude. Il approche un savoir caché en quelques instants seulement (par des flashs qui lui donnent un sentiment de « savoir ») alors que la Raison utilise seulement les cinq sens pour acquérir des données. L’Intuition peut donc correspondre à ce sixième sens dont l’on parle depuis déjà quelques années chez les scientifiques. La Science semble redécouvrir lentement la roue parce qu’elle avance par tâtonnement, dans l’incertitude et le doute que lui procure la Raison. 

Pour fini, l’Eglise, quant à elle, interdit purement et simplement toute recherche d’acquisition de données par le moyen de l’Intuition qu’elle qualifie de « démoniaque ». Les préjugés sont tenaces, même à notre époque. Celui qui utilise de nos jours l’Intuition aurait pu être condamné au bûcher pendant la Sainte Inquisition. Le démon se trouve donc également dans l’Esprit de ceux qui souhaitent maintenir l’humanité dans le matérialisme et la méconnaissance d’elle- même

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16 février 2014

Intelligence émotionnelle, intelligence intuitive : la fin de l’hégémonie du QI

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Une nouvelle conception de l’intelligence émerge depuis une une vingtaine d’années, dans laquelle les émotions et l’intuition occupent une place à part entière.

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L’intelligence ne se borne pas à des capacités logico-déductives et verbales. Elle inclut, entre autres, des capacités intuitives et émotionnelles.

Etre intelligent, c’est être capable de logique, de déduction, d’abstraction. C’est répondre haut la main aux tests de QI, lesquels, inspirés des travaux d’Alfred Binet, au début du XXe, dominent notre manière de concevoir l’intelligence. Oui… Mais. Et si l’intelligence, c’était beaucoup plus que ça ? Et si l’intelligence avait d’autres visages, qui eux, ne se calculent à la hauteur du quotient intellectuel ?

De l’intelligence sociale de Thorndike à aux intelligences multiples de Gardner

Dès les années 20, Edward Lee Thorndike, psychologue américain, s’insurge contre cette vision étriquée de l’intelligence. Il met en avant le caractère multidimensionnel de l’intelligence, et distingue les capacités abstraites des capacités sociales. Novatrice, sa thèse passe pourtant inaperçue. Il faudra attendre les années 80 pour que, de nouveau, un théoricien ose remettre en cause le consensus de « l’intelligence intellectuelle ». C’est Howard Gardner, éminent professeur de psychologie à Harvard qui met le feu aux poudres. Il publie un livre confidentiel, destiné à l’origine à un cercle fermé de spécialistes. Mais, contre toute attente, « Frames of Mind : the Theory of Multiple Intelligence », a du succès auprès du grand public. Gardner y expose sa théorie des intelligences multiples, égratignant au passage la société occidentale et sa démarche de normalisation.

« notre société souffre de trois déformations, ‘l’occidentomanie’, la ‘testomanie’ et ‘l’élitomanie’»,. ‘L’occidentomanie’ consiste à mettre certaines valeurs culturelles occidentales, héritées de Socrate, sur un piédestal. La pensée logique et la rationalité sont certes importantes mais elles ne sont pas les seules. La ‘testomanie’ reflète la tendance à privilégier les compétences ou les manières de faire facilement quantifiables. (…)‘L’élitomanie’ : (…) il est dangereux de croire qu’une approche unique par exemple logico-mathématique, peut fournir toutes les réponses à un problème donné », Howard Gardner.

Les aptitudes liées à la compréhension de la nature humaine permettent d’être heureux

 Le chercheur constate qu’un Q.I. élevé ne garantit en rien le succès, la réussite ou le bonheur. Selon lui, -en dehors des aptitudes habituellement reconnues, à savoir l’intelligence logico-déductive  (aptitudes pour les maths, la déduction) et verbale (maniement du langage)- il existe d’autres intelligences, tout aussi importantes, qui doivent, à leur tour, être valorisées. Aux côtés des  aptitudes spatiales (s’orienter, se représenter en 3 dimensions), musicales (penser en sons, en rythmes) et kinesthésiques ( savoir utiliser son corps), Gardner identifie deux formes d’intelligences « personnelles », directement liées à la compréhension de la nature humaine. Il distingue :

. L’intelligence interpersonnelle : aptitude à discerner l’humeur, le tempérament, la motivation et le désir des personnes, à y répondre correctement et à nouer des relations avec les autres.

. L’intelligence intrapersonnelle : capacité « intrapsychique » à avoir une connaissance de soi, accéder à ses sentiments, émotions, comprendre ses forces et ses faiblesses.

Le chercheur souligne que ces deux dernières aptitudes, peu connues, difficiles à cerner, sont indispensables pour mener son existence à bien, faire les bons choix de partenaire amoureux ou d’orientation professionnelle… bref, être heureux. La théorie de Gardner, qui dérange une partie de la communauté scientifique, va être poussée plus loin et étoffée au cours de la décennie suivante. Elle va donner naissance au courant de « l’intelligence émotionnelle ».

On doit au chercheur de Harvard, Howard Gardner, d'avoir bouleversé dans les années 80 la notion d'intelligence avec sa théorie des Intelligences multiples, et la mise en avant des capacités inter et intrapersonnelles, liées à la compréhension de la nature humaine, les émotions et l'intuition.

On doit au chercheur de Harvard, Howard Gardner, d’avoir bouleversé dans les années 80 la notion d’intelligence avec sa théorie des Intelligences multiples, et la mise en avant des capacités inter et intrapersonnelles, liées à la compréhension de la nature humaine.

Les émotions nous aident à faire les bons choix

 C’est le psychologue et journaliste scientifique américain Daniel Goleman qui a popularisé cette notion, avec la parution, en 1995, du best-seller mondial « L’Intelligence Emotionnelle ». Dans cet ouvrage, il passe en revue une série d’études menées dans les domaines des neurosciences et de la psychologie. Les émotions, jusqu’alors perçues comme l’ennemi de la raison, sont réhabilitées. Au contraire, bien utilisées, elles sont leur principal allié. Ainsi, « l’esprit émotionnel », plus rapide que l’esprit rationnel, est capable de déchiffrer les sentiments chez les autres et en nous-mêmes, et possède une vue d’ensemble de la situation. Dans les situations complexes, en cas d’urgence, de danger, les émotions, par leur « caractère hautement adaptatif » seraient les plus efficaces. Elles nous permettraient de faire les bons choix. On observe par exemple que des individus, privés d’émotions accidentellement ou à la suite d’une opération, se trouvent soudainement incapables de prendre la moindre décision, même la plus anodine, leur vie se transformant en enfer (cf L’erreur de Descartes, du neuroscientifique américain Antonio Damasio). En d’autres termes, les émotions nous guident vers la bonne décision plus rapidement que l’esprit rationnel, pour peu qu’on les laisse s’exprimer sans nous envahir. ‘Agir sous le coup de l’émotion’ n’est donc pas nécessairement une mauvaise chose.

 De l’intelligence émotionnelle à l’intelligence intuitive

 Dans la lignée de l’intelligence émotionnelle, la notion d’intelligence intuitive fait timidement mais sûrement son apparition. Thème de recherche privilégié des neurosciences depuis une dizaine d’années, l’intuition est, pour les chercheurs, la marque de l’intelligence de notre inconscient. Capable d’amasser une quantité phénoménale de données, dont la plupart échappent à la vigie de notre conscience, notre cerveau est capable de bien des prouesses. Il peut, à « l’insu de notre plein gré », faire des analogies, des rapprochements, des associations. Il est capable de traiter une grande quantité d’informations en un temps record et procéder à une analyse express de la situation.  Le tout, de manière inconsciente. Longtemps méprisée et déniée au profit de l’intelligence rationnelle, la notion d’intelligence intuitive commence à intéresser les entreprises, en particulier sous son versant management et leadership. Elles voient dans cette nouvelle approche colle avec la nécessité d’être réactif dans un monde ne perpétuel mouvement.

 L’intelligence intuitive recoupe plusieurs aptitudes, dont certaines relèvent aussi du champ de l’intelligence émotionnelle, et des intelligences intra et interpersonnelles de Gardner, liées à la compréhension de la nature humaine, parmi lesquelles :
- Des aptitudes liées à la conscience de soi
Capacité d’être en contact et accepter son inconscient, affinités avec le langage symbolique, analogique et métaphorique, bonne connaissance de ses forces et de ses faiblesses, capacité d’être en accord avec soi-même, facilité pour l’introspection, capacité de comprendre, identifier et gérer ses propres émotions, capacité d’être en relation avec le monde sensible.
- Des aptitudes liées à la conscience des autres
Capacité à sentir, capter les autres, leurs émotions, à comprendre les non-dits et les signaux subtils, propension à l’empathie, c’est-à-dire à se mettre en résonance avec l’autre pour comprendre ce qu’il vit et ressent, capacité -conscientisée ou pas- à décrypter le langage corporel, facilité pour l’observation attentive.

Intelligence rationnelle, sociale, émotionnelle, intuitive… En ce début de XXIe siècle, la copie de l’intelligence est en train d’être sérieusement revue et corrigée. Cependant, on est encore loin de l’intégration de cette vision à 180 degrés dans la société et le système éducatif, largement dominés par la référence intellectuelle au QI. En attendant un jour peut-être que l’intuition et les émotions fassent l’objet d’une matière spécifique dans les grandes et les petites écoles, méditons sur cette  phrase du psychologue suisse du développement de l’enfant Jean Piaget (1896-1980) : « L’intelligence, ça n’est pas ce que l’on sait, mais ce que l’on fait quand on ne sait pas ».

 

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Source(s) : histoiredintuition.com (par Isabelle Fontaine /

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