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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
isis
14 septembre 2016

L'Arme Secrete Des Egyptiens'La Magie Noire

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Documentaire qu retrace plus de 5000 ans de rituels et de magies qui se concentrent sur la manière dont les pharaons ont tenté de jeter des sorts pour mettre en déroute leurs ennemis.
Les Égyptiens de l’antiquité possédaient une arme secrète dans leur combat contre les malheurs du quotidien. Pendant des milliers d’années, la magie a permis aussi bien aux rois qu’à la population de s’assurer santé, fortune, succès au combat, et en amour.

Après la disparition du dernier Pharaon, les anciens rites perdurent, et la magie reste un outil puissant au court des époques Chrétiennes et Islamiques.

Découvrons ensemble l’Égypte, pays des dieux et de la magie !
Les Égyptiens dépendant de la magie

À notre époque, le terme « magie » évoque des rituels interdits, des rites maléfiques, accomplis par des sorciers diaboliques, à des fins peu recommandables. Mais dans l’Égypte Ancienne, la réalité était tout autre…

Du pharaon aux paysans, tous considéraient la magie comme un outil puissant contre la malchance. Du point de vue des Égyptiens, la magie est aussi ancienne que le cosmos; ils l’a considère comme l’étincelle qui a permis la création.

 

L'Arme Secrete Des Egyptiens'La Magie Noire'^[Documentaire HD]

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10 février 2016

La Séxualité Sacrée et Flammes Jumelles inspirés d'Horus et la magie sexuelle d'Isis

 

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ce livre est né du blaspheme sur l'homme le plus pure et de sa mere Marie une sainte qui ont existé et son auteur ne peut etre que le diable lui meme il faut souvent remonter a la source pour connaitre lorigine de ce que lon avale sans sourciller,ce sont des récits gnostique

qui venere horus alias satan et qui deteste marie et le christ evidemment..je vous donne linitiation non pour que vous la suiviez mais bien pour que vous compreniez lorigine secrete des flammes jumelles ,lisant comment les gnostiques  aiment   salir ce qui est de plus pure .

"Lorsque vous entrez dans la relation sacrée, toutes les cartes sont sur la table, au vu et au su de chacun. Si quelque chose se produit, on le pose simplement sur la table.
Car la clarté qui s'installe entre deux personnes conscientes de l'ensemble du jeu est ce qui permet la transformation".


« J’ai été élevée dans une famille pour qui la magie était familière. Mon père venait de Mésopotamie et ma mère était égyptienne. Avant ma naissance, elle avait adressé des prières à Isis pour avoir un enfant. Cet enfant, c’est moi connue sous le nom de Marie-Madeleine.

A l’âge de 12 ans, je fus envoyée étudier dans une communauté secrète d’initiés protégés par Isis. J’ai reçu les enseignements secrets d’Egypte, les alchimies d’Horus et la magie sexuelle du culte d’Isis.
Lorsque j’ai rencontré Yeshua, j’avais déjà reçu toutes les initiations. J’étais préparée à cette rencontre, au puits.

Les Evangiles ont fait de moi une prostituée, car tous les initiés de mon ordre portaient un bracelet en or représentant un serpent, cela signifiait que nous pratiquions la magie sexuelle, par conséquent, aux yeux des Hébreux nous étions des prostituées.
Bien des légendes ont couru, mais c’est pourtant l’histoire d’un très grand Amour
Amour qui avant que Yeshua, au jardin de Gethséman, nous a permis de concevoir notre fille Sar’h.
A raconter cette histoire, mon cœur tremble comme si c’était hier…

Ma première nuit avec Yeshua se dessine dans mon esprit aussi clairement que les cieux au-dessus de Jérusalem.

Après avoir réussi à vaincre mes désirs de femme et m’être élevée dans l’alchimie spirituelle à laquelle j’étais formée, j’ai pu voir la forme spirituelle de Yeshua, déjà lumineuse, resplendissante de Lumière. Une colombe se tenait au-dessus de sa tête, et des rayons dorés en émanaient. Sa forme spirituelle recelait les sceaux de Salomon, Hator, Isis, Anubis et Osiris, confirmant qu’il avait subi ces initiations. Il présentait aussi d’autres symboles, que je ne comprenais pas, car ils provenaient de cultures qui m’étaient inconnues. Mais à partir des sceaux égyptiens, je conclus qu’il était sur le sentier du dieu suprême Horus.
Il n’était toutefois pas encore passé par son initiation à la mort, et je savais que c’était la raison pour laquelle j’avais été attirée cette fois ci : afin de consolider son âme grâce aux pouvoirs d’Isis et de la Mère Cosmique, de sorte qu’il puisse traverser le portail des ténèbres et atteindre Horus.

Cette nuit là, après avoir fait l’amour et ainsi maniés nos corps spirituels et les avoir fusionné l’un à l’autre, et l’alchimie ayant déclenché des effets sur nous, tandis que Yeshua dormais paisiblement dans mes bras, un désir de le protéger, l’espoir d’être toujours avec lui me pris. Mais j’eu en même temps conscience que nous serions séparés par des forces plus puissantes que notre volonté.

La première fois où Yeshua est revenu à moi après sa résurrection, par ironie du sort je venais de puiser de l’eau d’un puits…Il avait la même apparence mais il rayonnait. Mes yeux s’emplirent de larmes, mon corps tremblait. J’allais courir vers lui, mais stoppais net. Me souvenant de ses paroles juste après sa résurrection : « Ne me touche pas encore, car je ne suis pas encore monté jusqu’au Père ».

Qu’a-t-il voulu dire par ces paroles ? La partie qu’on reçu les chrétiens n’est pas la vérité qui est demeurée cachée au milieu des autres mystères. Et l’église a privé de ses droits tout ce qui est féminin, la vérité est restée scellée et inaccessible.
Cette vérité concerne le corps « ka » même, ce que les initiés nomment le double éthérique ou le jumeau spirituel, car chargé d’une quantité suffisante de vitalité et d’énergie, il ressemble au corps physique mais contrairement à celui-ci, le « ka » n’est pas constitué de matière mais d’énergie et de lumière.
Et, lorsqu’il a prononcé ces mots, il n’avait pas encore stabilisé son « ka », c’est-à-dire s’élever jusqu’au Père, jusqu’à l’Esprit Suprême de sa propre âme. Avant d’y parvenir, il devait passer par le portail de sa propre âme et parcourir le chemin dans l’inframonde de son propre être.
Il faisait cela pour deux raisons. La première en tant qu’âme maîtresse c’était une façon d’apporter un important afflux de pouvoirs à son « ka ». En second lieu, il lui fallait ouvrir le passage par la mort, afin que d’autres puissent le suivre et traversent les ténèbres plus facilement, en suivant son sillage de Lumière.

Ainsi, cette nuit là, nos corps ka s’entremêlèrent une fois de plus. Nul besoin de parler. Nous communiquions par télépathie. Et sans l’acte physique, le pouvoir serpentin en lui s’unissait au pouvoir serpentin en moi, et ils montèrent en suivant le trajet sacré le long de notre épine dorsale jusqu’au sièges au sommet du crâne (le coronal) ; cela me plongeait dans une extase de béatitude pure.

C’est ainsi que nous nous sommes rencontrés des années durant. Parfois nous bavardions, parfois nous étions simplement en Union.

Marie était initiée de haut rang dans le culte d’Isis. Elle avait reçue sa formation en Egypte. Sa formation avait été différente de la mienne, mais nous servions la même cause.

Pour mieux comprendre, je dois révéler un des secrets les mieux dissimulés du culte d’Isis. Selon notre croyance, et la mienne, dans certaines conditions, la Déesse elle-même s’incarne, soit en naissant, soit par initiation spirituelle.

Marie, la mère de Yeshua, fut reconnue très jeune pour sa pureté d’esprit par les prêtresses des temples d’Isis. Elle reçut la formation, devint une initiée des plus hauts niveaux. Mais plutôt que de devenir une prêtresse, elle suivit l’entraînement pour devenir ce qu’on appelle une incarnation.
Il faut être une âme très avancée pour cela ; il faut un entraînement spirituel et une discipline considérable.
A l’initiation finale, Marie devint dépositaire d’un courant énergétique provenant d’Isis elle-même. De ce point de vue, elle était l’incarnation de la Mère Cosmique.
C’est comme si il existait deux Marie : Marie l’humaine, pure d’esprit et de cœur, cachant par devers elle un portail direct menant à la Mère Suprême, créatrice de toute chose, du temps et de l’espace.
Les conditions étaient réunies pour la conception d’un être aux qualités incomparables qu’allait devenir son fils, Yeshua.

Et la première fois où Yeshua vint vers moi au puits, Marie était parmi les disciples. Elle me reconnut aussitôt comme initiée grâce au bracelet d’or à mon poignet en forme de serpent et aussi, du sceau d’Isis qui étincelait dans mon corps ka, car Marie était tout à fait clairvoyante et télépathe.
Dans ses yeux, je lu qu’elle reconnaissait mon statut d’initiée dans le culte d’Isis, et bien que sa fonction n’ait pas été dans le domaine de la magie sexuelle, elle compri que j’avais été préparée pour Yeshua.

Marie m’a reconnue et a admis mon statut, et ma confié son fils en cet instant, auprès du puits.

*******



Marie est désormais dans les royaumes célestes. Sa compassion et son amour pour l’ensemble de l’humanité se répandent. . La sainte Marie de par sa grace et son courage restera à jamais dans le coeur du croyant, que Dieu lui fasse miséricorde et lui attribut ce que nulle  femme avant elle n'a jamais reçu excepté la Mère de pharaon qui éleva Moise avec amour et quitta son royaume pour suivre son fils dans la mission  noble d' illuminer les coeurs des hommes avec un monotheisme pur et les guider vers l'Eternel notre Dieu . Amen

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*******



Je dois clarifier maintenant ma compréhension des choses. Je veux parler de la magie sexuelle du culte d’Isis et des alchimies d’Horus.
Je vais révéler des secrets qu’une initiée n’aurait jamais divulgués, mais les temps ont changés. Il ne reste plus beaucoup de temps comme vous le savez, et j’ai reçu la permission, en fait c’est elle qui me l’a demandée, de vous révéler ces secrets. Ils vous sont donnés dans l’espoir de vous voir vous élevez.

Les alchimies d’Horus sont un corps de connaissances et de méthodes visant à modifier le ka. Selon ces enseignements, si votre ka les incorpore ou acquiert plus d’énergie de lumière, il se produit une intensification de notre champ magnétique, qui permet au désir de l’initié de se manifester plus rapidement.
Lorsque nous nous abandonnons à notre âme céleste, ou « ba », la poursuite des désirs personnels, sans être abandonnée, n’est plus le centre de notre existence entière. Notre regard se tourne vers les hauteurs, pour ainsi dire, vers les capacités supérieures de notre être, telles qu’elles sont justement perçues par le ba ou âme céleste.

Cette âme céleste a un niveau vibratoire beaucoup plus élevée que le corps physique (le khat) ou le ka. Au sein du Ka, il existe des conduits que l’on peut stimuler et ouvrir.
L’activation de ces passages secrets du ka, lui confère un pouvoir très accru. Les alchimies d’Horus ont pour objet de les consolider et d’activer les pouvoirs latents de l’initié par ce qui est désigné par le nom de « djed », les sept sceaux ascendants que les yogis de l’Inde appellent les chakras.

Dans l’école où j’ai été formée, nous avons appris à activer le pouvoir serpentin, la kundalini, en faisant se mouvoir certains canaux de l’épine dorsale et en ouvrant certains circuits dans le cerveau. Ce procédé engendre ce qu’on appelle « l’uroeus ».
L’uroeus est généralement un feu de couleur bleu qui se diffuse dans l’épine dorsale horizontalement et verticalement. Il ondule suivant les altérations énergétiques dans ces conduits. L’activation de l’uroeus accroît l’intelligence potentielle du cerveau, la créativité et surtout la réceptivité, car la tâche de l’initié est de changer la qualité de son être même, de façon à ce que l’entrée en résonnance avec le « ba », l’âme céleste, soit libre et non obstruée.

La magie sexuelle d’Isis repose sur la capacité innée chez l’être de sexe féminin de mettre à profit les énergies magnétiques pour avoir des niveaux de conscience profonds en s’abandonnant aux énergies sexuelles et aux voies qui s’ouvrent ainsi.

Deux initiés qui se livrent à la magie d’Isis peuvent accroître leur puissance et étendre leur connaissance grâce au pouvoir des champs magnétiques. C’est cette pratique qui a permis à Yeshua l’extraordinaire intensification du potentiel magnétique dans son ka, pour lui donner la force nécessaire face aux souffrances et à la tâche qui l’attendaient.
Tant et si bien que son corps physique s’est dissolu en éléments constitutifs par l’embrasement de lumière et de chaleur, ce que l’église nomme : résurrection.

En vérité, ce n’était que le reflet visible d’un effet beaucoup plus profond en lui. Le magnétisme de son ka est à l’origine de ce résultat, car c’est grâce à son ka potentialisé qu’il a pu franchir l’inframonde et la mort elle-même. La vérité et la force de l’enseignement de Yeshua ont été perverties par l’église.
Elle a dérobé les secrets de l’élévation de la conscience au moyen de la sexualité sacrée aussi. Je me rends compte que seule une poignée de gens saisira ce que je dis, c’est malgré tout suffisant.

*******



Voici maintenant les secrets de la magie sexuelle d’Isis. Vous pouvez gravir les hauteurs de la conscience seul et sans partenaire, les alchimies d’Horus ont été conçues de manière à seconder l’initié.
Il existe plusieurs méthodes, mais une chose est essentielle à leur pratique : il faut saisir l’interaction entre les deux éléments alchimiques propres l’un à l’homme, l’autre à la femme.

Du point de vue pratique la semence de l’homme porte l’information génétique de son ascendance pour la transmettre à l’enfant, la création de la vie étant est un entrelacs complexe de champs magnétiques, l’enfant qui se développe dans la matrice, développe des organes et des systèmes ce ne sont que des interconnections de champs magnétiques vibratoires.
Les initiés utilisent l’énergie sexuelle pour générer des champs magnétiques. La différence, c’est que ces champs ne deviendront pas un nouvel être, ils s’incorporeront dans le ka de chacun des deux initiés, qu’ils renforcent et élèvent. Voilà un point essentiel sur lequel, tout repose.

Au point culminant de l’acte survient une explosion d’énergie magnétique, des univers à l’intérieur d’autres univers qui tourbillonnent tous. Si les deux initiés sont au même niveau, la puissance magnétique que dégage un tel contact entre les fluides sexuels est prodigieuse.
Les initiés peuvent faire en sorte que les pouvoirs serpentins montent à l’intérieur de l’épine dorsale pendant l’acte et que, là où les deux serpents se croisent ils magnétisent le chakra correspondant et ses propriétés et pouvoirs.

Je ne peux en divulguer plus, car à ce stade, la réalisation de ces pratiques est susceptible d’augmenter considérablement les pouvoirs. Je m’en remets à vous pour lire entre les lignes. Si vous êtes prêts pour cette pratique, vous saurez comment vous y consacrer.

L’initié solitaire génère de l’énergie par le pouvoir de Ra (satan), à savoir, le feu interne, en vue de produire une élévation de conscience c’est-à-dire d’éveiller des champs magnétiques complexes à l’intérieur du corps physique et les amener ensuite, dans le corps ka.(possession)
C’est la pratique de base, aussi bien pour ceux qui préfèrent travailler seul, que pour ceux qui veulent l’exercer avec un partenaire.

L’initié s’asseye le dos droit, en respirant calmement et de façon cadencée. Il prend conscience de la base de son épine dorsale et, au rythme de sa respiration, il fait monter le serpent noir du côté gauche et le serpent doré du côté droit, le long de l’épine dorsale.
A mesure que les deux serpents pénètrent successivement les chakras, ils s’entrecroisent jusqu’au coronal. Dans cette pratique les deux serpents sont amenés jusqu’au centre de la tête dans la région de la glande pinéale.
En utilisant le pouvoir de la respiration, l’initié envoie alors l’énergie de l’inspiration dans les serpents, puis il fait pénétrer l’énergie de l’expiration plus profondément encore dans les corps serpentins, leur insufflant la vie en quelque sorte.
A la longue, ils se contorsionnent, ils bougeront, par le pouvoir du souffle et de l’intention. A ce stade, imaginez une coupe reposant à l’intérieur de la tête, les deux serpents se font face sur le pourtour et la glande pinéale est au fond de la coupe. La phase suivante consiste à attirer l’énergie du ra vers le haut.
L’initié imagine une boule de feu vivante
, semblable au soleil, au plexus solaire, et à chaque expiration, il répète en silence le son « ra ». Ceci a pour effet d’activer la lumière ou le feu du ra interne (le soleil intérieur) qui, spontanément se met alors à s’élever.

Au cours de leur ascension, cette lumière et cette chaleur passent par le centre du calice entre les deux serpents, jusqu’au coronal. A partir de là, un phénomène absolument remarquable se produit. Du côté gauche du coronal une énergie de nature liquide se met à descendre. Elle est dite « gouttes serpentines rouges ». Du côté droit du coronal, une autre énergie fluide se déverse dans le calice « les gouttes serpentines blanches ». La chaleur et la lumière du ra interne déclenchent la sécrétion de ces substances par le coronal.
Les gouttes serpentines rouges sont liées à la mère de l’initiée, les blanches à celle du père. Au moment où les se mélangent, il peut y avoir la sensation d’un goût très doux à l’arrière gorge, le culte d’Isis y réfère toutefois par les « eaux de source » puisqu’elles semblent venir de l’intérieur de la tête.

C’est la première démonstration et si l’initié se concentre sur les eaux de source, il ressentira une sorte d’extase. Parfois, il pressentira de la lumière dans sa tête. S’il se concentre sur cette lumière là aussi une félicité survient. C’est cette extase qui est cruciale car elle nourrit le corps ka. La félicité à tendance à demeurer dans les centres supérieurs, mais l’initié doit reporter son attention sur l’ensemble de son corps ka.Ainsi, le ravissement envahit son corps physique, le khat, pour s’absorber ensuite dans le ka et lui apporter force et vitalité.
Voilà la pratique de base fondamentale.

Chez ceux qui ont un partenaire, l’extase est spontanée si, ils pratiquent la magie sexuelle d’Isis. Dans les deux cas néanmoins, l’initié doit prendre conscience de son ka au moment de l’extase, de façon à ce que le ka bénéficie des sublimes champs magnétiques engendrés.
Lorsque la pratique se fait à deux, il est préférable de ne pas dormir ou se lever, mais rester dans les énergies magnétiques libérées, en restant proches, côte à côte.

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Voilà ceci est un « extrait ou plutôt quelques passages » du livre « Le Manuscrit de Marie-Madeleine, les alchimies d’Horus et la magie sexuelle d’Isis »

maintenant la version edulcorée du maitre en elevant le nom des intervenant en les remplaçants par des mots comme illumination energie liberation elevation c'est plus vendeur ........

 

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La Séxualité Sacré et Flammes Jumelles

Avant d’y répondre, parlons d’abord de ce qu’est l’énergie sexuelle, afin que vous puissiez comprendre ce qui se passe

 actuellement en vous. L’énergie sexuelle est une force magique dont le rôle est de faire cesser l’illusion de la séparation en attirant

l’un vers l’autre deux pôles opposés jusqu’à ce qu’ils fusionnent finalement et qu’ils retournent à leur état originel d’unité.(faire de nous des dieux )

L’énergie sexuelle ne se réfère donc pas uniquement à l’homme et la femme, mais elle peut être utilisée pour replacer toutes

 les polarités à nouveau dans leur état originel de l’unité divine.

En tant qu’être humain incarné sur la planète Terre, vous ne percevez qu’un infime pourcentage de cette force divine gigantesque.

 On pourrait aussi dire que Dieu vous a laissé la possibilité de vous souvenir de l’état d’unité, même si ce n’est que pour un court

 instant. Ceci en utilisant cette énergie sexuelle, qui vous attire constamment vers d’autres êtres humains, afin de « fusionner »(quel est le dieu qui encourage le sex comme elevation spirituelle)

ensemble. Jusqu’à présent, cela a été pour vous le chemin le plus simple pour vous souvenir de l’état d’unité.

Mais la condition pour faire l’expérience de la véritable unité a toujours été l’amour.

 

Shari : Pourquoi est-ce alors possible de faire cette expérience également seul, sans partenaire ?

 

Lenduce : Considère-le comme une indication qui te montre qu’il n’est pas nécessaire d’avoir un partenaire extérieur pour faire à

 nouveau l’expérience de l’unité avec Dieu.

 

Shari : Ah… ?

 

Lenduce : Bon, je l’explique un peu plus précisément : sur la Terre, le sexe a plusieurs fonctions.

 En premier lieu, il a évidemment la fonction de la procréation des êtres humains. Dans un monde polaire, où existe la vie et la mort,

 la descendance doit être assurée. Mais contrairement à la plupart des êtres vivants du monde animal, les êtres humains ont eu en

 plus la capacité de ressentir un orgasme. Ce sentiment de bonheur, que vous ressentez pendant ce court instant, c’est le souvenir de

 l’extase de l’état d’unité, à savoir au moment où la force de l’énergie sexuelle rend possible la fusion des pôles opposés.

 En ce cas-ci, le pôle masculin avec le pôle féminin. Mais souviens-toi qu’en réalité vous n’êtes pas des êtres masculins ou féminins,

 mais des êtres androgynes. Lorsque vous vous incarnez dans le monde de la séparation, vous devez également passer par un processus

 de séparation afin de ne pas percevoir l’illusion du monde qui vous entoure en tant que telle, mais que vous puissiez l’expérimenter en

 tant que réalité. Ce n’est qu’en vous scindant vous-mêmes que vous êtes constitués exactement comme le monde qui vous entoure et

 alors vous pouvez vous y identifier. (incarnation reincarnation mensonge du serpent)

 Par exemple, lorsque, lors d’une incarnation, vous vous incarnez en tant que femme, votre partie féminine passe au premier plan de ce

 monde visible, alors que la partie masculine reste en retrait. L’énergie sexuelle rend possible la fusion des pôles opposés afin de

 retrouver l’état d’unité. Lors d’un orgasme, vous fusionnez en premier lieu avec votre propre partie sexuelle opposé.

 Un orgasme est donc possible aussi bien avec que sans partenaire. L’énergie sexuelle que vous libérez, et qui cherche toujours à rétab

lir l’état d’unité avec Dieu, rend possible cette courte fusion avec votre âme duelle.

 Lorsque vous êtes redevenu entier en vous-même, il vous est possible de vous souvenir de cet état d’unité divine, du moins en

 approche, et cela déclenche en vous un sentiment d’extase.( et apres on fait  quoiune fois quon se prend pour une divinité il ne reste plus qu'à nier son existence et a se reincarner nest ce pas )

 

Shari : D’accord, je comprends, mais est-ce que cela veut dire que lorsque nous avons une relation sexuelle avec un partenaire, nous

 ne fusionnons en réalité jamais avec notre partenaire, mais avec notre propre partie endormie ?

 

Lenduce : Oui et non. Lorsque tu as une relation sexuelle avec une autre personne, alors vous échangez évidemment des énergies.

Quelles et combien d’énergies sont alors échangées, cela dépend de la motivation qui sous-tend cet acte. Lors d’un acte de pur amour,

 des informations précieuses sont échangées à partir du centre de vos cœurs sacrés.

 Des informations qui peuvent aider les deux personnes sur leur chemin de prise de conscience.

 Lors d’un acte qui ne vise qu’à satisfaire les bas instincts, des énergies basses sont échangées, ce qui a pour conséquence une

 pollution supplémentaire des champs énergétiques des personnes concernées.

 On échange pour ainsi dire des « thèmes de vie non clarifiés » et on traîne alors ces thèmes non clarifiés de l’autre personne dans

son propre champ énergétique. Vous avez tout de même déjà remarqué vous-mêmes que les personnes qui ont de nombreux partenaires

 différents sans être conscient de la pollution énergétique, semblent être, comme vous dites, « marquées par la débauche » ou «

usées ». Comme si elles étaient plus âgées qu’elles ne le sont en réalité et comme si elles avaient déjà subi beaucoup de choses, même

 si ce n’est pas du tout le cas. Cela arrive lorsque vous traînez trop d’énergies étrangères dans vos champs énergétiques.

 L’acte sexuel est un outil puissant lorsqu’il s’agit d’échanger des informations.

 Et, vu que la source de l’énergie sexuelle se trouve au-delà de la dualité, à savoir dans l’unité divine, elle ne fait pas de différence

 entre les qualités des énergies qui sont échangées.

Lorsque l’amour est présent, les informations/énergies sont échangées à partir du centre du cœur et cette énergie de cœur

 a une fréquence si élevée qu’elle annule toutes les autres énergies. Plus pur est l’amour, plus pur est l’échange sexuel. (notant que cette magie sexuelle a amener la pedophilie c'est dans ces loges que lon trouve ces experimentation perverses liée au satanisme qui vehiculent ce genre de concept de purification et delevation en fusionnant avec un enfant pure les ordures.....)

 

Shari : Cela veut dire qu’on devrait éviter d’avoir différents partenaires sexuels ?

 

Lenduce : Non, vous pouvez faire tout ce que vous voulez(doctrine sataniste de aleister crowley avec son livre de la Loi.Fais ce que tu veux est le commandement ultime de satan, c'est ce que les crowleyiens (adeptes de Aleister Crowley) appellent La "Loi du thelema Dieu vous a créé ainsi et il vous a donné le libre arbitre.quel dieu ? il est evident que ce ne peut etre que Satan

comme pour un très gros morceau, qui n'est rien moins que l'OTO, l'Ordo Templi orientis, un groupe satanique qui croit à la "magie sexuelle" de Crowley, et qui est aujourd'hui actif un peu partout dans le monde, y compris en France. Crowley était lui-même membre de l'OTO, arrivé là par cooptation au sein de la franc-maçonnerie. On rappelle que Crowley a été viré d'Italie avec son "abbaye de Théléma" parce qu'on l'accusait d'orgies sexuelles et de massacres d'enfants.

L'OTO fait officiellement partie de ces ordres templiers, émanations de la franc maçonnerie, la plupart du temps basés sur un mélange de mystique et de satanisme.

Selon Michaelson, l'OTO organise des orgies pédophiles et satanistes en Australie, et ses actes sont protégés par ses membres, qui sont parfois très bien placés dans les institutions nationales, et dans les médias semble-t-il. Au cours de ces rituels, des enfants sont massacrés et même mangés, affirme la psychologue. Qui a eu droit à des poursuites de la part de l'OTO, qui est reconnu comme un groupe religieux en Australie, et qui attaque pour avoir enfreint le "Racial and Religious Tolerance Act" [3].

Cela peut paraître étrange, mais par exemple la pratique cannibale est reconnue pour la famille royale anglaise jusqu'à la fin du XVIII e siècle. Mais, on nous dit que cela s'est arrêté bien sûr.

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 Car vous vous trouvez maintenant enfin dans la phase suivante de ce processus de transformation :

 l’union définitive de l’âme duelle intérieure (noces chymiques)et alchimique ou noces avec des entites chimeriques , on pourrait aussi dire :ces enties ne vous lacheront plus car vous serez liés a elle dans lastral et sur terre avec comme consequence la capacité dengendrer des enfants dans lastral des hybrides  il est evidnt que ce genre de fait vous sera reprocher le jour du grand jugement si Dieu a interdit la fornication sur terre ce nest pas pour lautoriser dans lastral bref le new age et ses pieges ......

« La résurrection de la puissance du serpent (de la kundalini). »tout un programme rjames

voila un temoignage dunion a la suite de ces processus dunion d'ame soeur et de flammes jumelles

Cela serait peu de chose comparer á ce que je ressens au fond de moi pour l'instant.

Que je savais tout cela? Non, cela serait vous mentir ! Mais pourtant oui, je SAVAIS tout cela INCONSCIEMMENT... Je "sais" car vivant, expérimentant cette initiation SOLITAIRE (Guidée pourtant) lors de chacune de mes méditations... Expériences que je ne comprenais pourtant pas ne sachant que cela était lié á l'alchimie d'Horus et encore moins á la Magie Sexuelle D'Isis.
Aujourd'hui grâce á ce texte, á cette lecture, un soulagement profond m'envahit (non je ne suis pas sujette aux divagations de mon mental !) ainsi qu' une certitude sereine (ces initiations chez moi ont leur raison d'être)...

Je pense que cela ne vous étonnera pas si je vous dis que je médite dans la position d'écrite ci-dessus (car ILS m'ont appris et fait comprendre que c'était LA bonne position pour moi... j'en avais essayé d'autre avant sans succès car soit "douloureuses" soit avec moins de ressentis... et couché? lá alors, apparemment non plus sauf cas exceptionnel), qu'après 3 respirations (respiration sur laquelle je me concentre seulement au-début de la méditation après aucune idée du comment je respire) je sens les "serpents" montés... serpents qui le 11 aout me font d'ailleurs un "dégagement" : " Au niveau de la gorge, c'était comme si une sorte de "serpent" nettoyait les bords de mon larynx. Il dévorait un tas de choses qui était "collé" aux parois pour y faire de la place... donner le champ libre."

Ou bien que le 4 aout, j' avais ressenti les « gouttes serpentines rouges » : " Au début, après "connexion" avec mon âme donc j'ai senti comme une main se déposer sur mon front coté gauche. Mais surprise! Il y est aussi déposé un petit qqch d'oú des "gouttes" (précisémment 3 gouttes) s'écoulaient lentement sur mon visage. Cela pouvait aussi bien etre des larmes que du sang (ce sont les pensées qui m'ont traversé). Ce meme ressenti se fera sentir á la fin de la méditation comme pour cloturer ce qui se passa..."

Ce jour-lá ce n'est pas les gouttes en elle-même qui m'interpelèrent, ni ce gout si familier, "la sensation d’un goût très doux à l’arrière gorge" car ce ressenti je le connaissais mais le fait d'en avoir eu 3 et pas plus (?) Pourquoi 3? Quel message est-ce, outre le fait qu'il s'agit de gouttes provenant de la/NOTRE source ? Ce que je ne savais jusqu'á ce jour ! Même si après réflexion, je puis dire maintenant que oui, ces gouttes en effet sortaient de mon propre coronal comme une "source sortant du sol" et ne venaient pas de l'extérieur. bravo ma chere tu pensais que la relation etait pas reelle maintenant ils sont dans ton corps  tu vas faire quoi ? quand ta vie va progressivement se degrader depression ,ou suicide et damnation pensera tu que ton ame jumelle te voulait du bien ?

ne jouez pas avec çà vous le regretterez !!!!

faites tres attention car dans le livre du manuscrit sur la magie sexuelle d'horus sur les exercices il y a un avertissement aux lecteurs a prendre en compte.il y a marquer: ces exercices sont contre indiqués pour certaines personnes,car ils conduisent l énergie dans le cerveau et dans les centres supérieurs de la tete .si vous avez souffert d un traumatisme a la tete ou d un AVC, consultez un medecin avant de proceder.les personnes souffrant de convulsions,comme les épileptiques,devraient aussi demander l avis de leur medecin avant d entreprendre ses méditations.enfin ses exercices sont déconseillés aux maniaco dépréssifs,notamment pendant les phases maniaques. car ils tombent les premiers sous emprisent et finissent par un suicide ...

les nombreux cas de combustion spontanée a mon sens sont liées a ce genre de pratique .

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13 septembre 2015

ISIS, EIL OU LE RETOUR DE L’ESPRIT AMOREEN

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Les événements actuels se déroulant au Moyen-Orient sont d’une importance majeure depuis la création de l’état islamique qui incarne le calque de la religion islamique, c’est-à-dire sa coquille ou qelipa (tel que nous avons déjà annoncé et expliqué le processus des calques et l’engendrement de coquilles par le monde moderne). Ils nous dévoilent également le plan eschatologique artificiel des forces involutives et de leurs instances oligarchiques, qui consiste à projeter des événements anciens dans la situation présente, transposant les événements des temps de la révélation prophétique dans l’époque moderne, engendrant tout un florilège de coquilles et d’inversions délétères et abjectes (auxquelles nous assistons). C’est à cette marque que les forces involutives et occultes sont reconnaissables, car elles puisent leur puissance dans la volonté d’entités désincarnées à se manifester selon leurs caprices au sein du monde physique.

Au niveau méta-politique on constate la volonté de reproduire par les moyens modernes, la situation géo-politique tribale du temps de Moïse et également de l’antique Royaume d’Israel (Période de David et Salomon). Rappelons que l’objectif des réseaux occultes étant la reconstruction du Temple de Salomon à Jérusalem, leur entreprise (supposée couronnée de succès comme le rappelle le Dollar) consiste à intervenir dans le processus des événements historiques tel les architectes de la situation mondiale, c’est bien là la vocation des diverses loges tant décriées aujourd’hui. La méthode consiste à reproduire les événements passés de manière artificielle dans l’idée que les mêmes causes produisant les mêmes effets, ils puissent atteindre leur but, ici, l’édification d’un nouveau temple à Jerusalem. Ce dernier sera en réalité l’inversion du temple initiale dévoué à la présence Divine, ce projet n’étant pas le fruit de la providence et de la prophétie, mais du complot perpétuel et de l’occultisme. Ici il ne s’agira donc pas de la présence divine, mais de la présence satanique incarnée à travers l’anté-christ annoncé par l’eschatologie, ou Dajjal. Ce plan implique de transposer artificiellement les événements de la période de Moïse, à l’époque actuelle, et donc de considérer les peuples du Moyen orient comme les descendants des divers tribus bibliques impies : Cananeens, Moabites, Amoréens, Jébuséen etc… Afin de reproduire artificiellement l’expansion d’Israel tel que décrite dans la Thora et la Bible…

En Syrie, le foyer d’insurrection s’est trouvé être Alep, qui se trouve être précisément l’antique capitale des Amoréens (ou Amorites). Dans la vision eschatologique artificiellement suscitée par les forces involutives le but était sur le plan occulte que l’insurrection islamiste dont sera issue ISIS fut sous l’influence de l’Esprit Amoréen. Il faut savoir que selon la Thora chaque peuple de Canaan était sous l’influence d’un esprit démonique, c’est-à-dire d’une forces involutive très puissante, et que les guerres de Moïse consistaient sur le plan métaphysique à combattre ces diverses forces. Nous avons identifié l’esprit Amoréen non seulement par la région d’Alep qui fut la racine initiale de tout ce soulèvement au Moyen-orient, mais également parce que les bandes islamistes dans leurs comportements et idéologie correspondent parfaitement à l’esprit Amoréen et à ce qu’était ce peuple. Nous en avons conclu que ces derniers étaient donc bien sous l’influence de cet esprit en tant que marionnettes et possédés des forces occultes et involutives, cherchant à les instrumentaliser dans leur agenda pour l’ascension d’une « nouvelle Jérusalem ». Nous savons également que la soldatesque islamiste est sous l’influence des programmes de manipulation mentale mis au point par l’oligarchie et que ces programmes ne sont ni plus ni moins qu’une magie occulte adaptée à la modernité, et donc en interaction directe avec les mânes désincarnées (depuis la période Nazi et les programmes occultes de type MK les informations foisonnent sur le sujet). Il faut mentionner que le but de la manipulation mentale associée notamment à l’usage de psychotropes (type amphétamines) consiste en le soulèvement d’armées dociles et impitoyables et que c’est ce à quoi nous assistons. Ces programmes concernent avant tout des individus aux psychismes fragilisés (shyzophrénie, Bi-polairité, perversion… etc) aisément « reprogrammables ».

LES AMOREENS

Les Amoréens étaient à l’origine des pillards tribaux semi-nomade agissant par bandes. Le terme Amoréen « montagnard » fait référence à la « hauteur », symbolisant l’esprit d’un homme vaniteux voulant s’élever et atteindre la renommée, prétendant aider autrui pour en réalité s’en servir comme marchepied et élever son propre statut, pouvant pour cela avoir recours à la tyrannie. Le terme « amoréen » indique également le désir de donner des ordres, du sémitique « amr » : ordonner, annoncer, déclarer. L’expression esprit amoréen fait donc références à ces traits psychiques délétères en l’homme. Notons que les Amoréens sont le peuple ennemi du Royaume Israel le plus cité dans la Bible.

L’esprit Amoréen est également décrit comme l’alliée du Jébuséen, le jébuséen ou « batteur de céréales » est l’esprit légaliste, instrumentalisant les Lois, religieuses ou juridiques, afin de piétiner les autres comme l’on piétine les grains de céréales, et posséder un ascendant de ce fait. Ou encore cela pourrait signifier le fait de s’appuyer sur des détails insignifiants à l’image des grains de céréales, afin d’écraser autrui. C’est l’esprit partisan, sectaire et tribaliste menant au ségrégationnisme et au confessionnalisme. Toutes ces caractéristiques de l’Amoréen et du Jébuséen se retrouvent bien parfaitement incarné à travers les milices de l’ISIS et leurs forfaits.

L’Isis mû par l’antique esprit Amoréen est ainsi l’outil devant permettre l’édification du « Grand Israel », à savoir la reconfiguration du Moyen orient selon une transposition anachronique de la géo-politique des peuples de la Thora et des temps bibliques. Israel étant sensé avoir la domination sur tous ces peuples de Canaan, comme ce fut le cas pour l’authentique Royaume d’Israel du temps de David et Salomon. Ceux qui croient que l’ISIS est une force de résistance authentique sont simplement aveuglés par leurs propre égo et passions et donc incapables de distinguer l’empreinte occultiste dans cette œuvre.

Continuité de l’histoire

Le financement de ce groupe islamiste par la CIA, n’est pas invraisemblable. En réalité, des cas différents et évidents appartenant à l’histoire récente montrent que les États-Unis ont déjà ouvertement soutenu des groupes islamistes extrémistes.

L’exemple le plus flagrant et bien documenté est la création des Moudjahidine, un groupe qui a été créé par la CIA pour attirer l’URSS dans un « piège afghan ». Le terme « Moudjahidine » décrit des « musulmans qui luttent sur le sentier d’Allah » dérivant du mot « jihad ». Le « grand ennemi » d’aujourd’hui était l’ami du passé. L’architecte de cette politique fut Zbigniew Brzezinski, un des hommes d’État les plus influents de l’histoire des États-Unis. De JFK à Obama, ce conseiller à la sécurité nationale du président des États-Unis Jimmy Carter, de 1977 à 1981, a été une importante figure qui a façonné la politique des États-Unis dans le monde entier. Il a créé aussi la Commission trilatérale [supra-maçonnique] avec David Rockefeller. En 1998, lors d’un entretien accordé au Nouvel Observateur, Brzezinski expliqua comment les Moudjahidine ont été utilisés en Afghanistan :

Question : L’ancien directeur de la CIA, Robert Gates, a déclaré dans ses mémoires [From the Shadows], que les services secrets américains ont commencé à aider les Moudjahidine Afghans six mois avant l’intervention soviétique. A l’époque, vous étiez le conseiller du président Carter pour les affaires de sécurité. Vous avez donc joué un rôle clé dans cette affaire ? Vous confirmez ?

Brezinski : Oui. Selon la version officielle de l’histoire, l’aide de la CIA aux Moudjahidine a débuté courant 1980, c’est-à-dire après que l’armée soviétique eut envahi l’Afghanistan, le 24 décembre 1979. Mais la réalité gardée secrète est tout autre : c’est en effet le 3 juillet 1979 que le président Carter a signé la première directive sur l’assistance clandestine aux opposants du régime pro-soviétique de Kaboul. Et ce jour-là j’ai écrit une note au président dans laquelle je lui expliquais qu’à mon avis cette aide allait entraîner une intervention militaire des Soviétiques.

Peu d’années après, ces « combattants pour la liberté » se sont transformés en terroristes taliban, parmi lesquels Oussama ben-Laden, ancien agent de la CIA, est devenu l’ennemi public n°1. Ils ont été instrumentalisés pour justifier la guerre en Afghanistan. Les Moudjahidine ont été créés pour promouvoir les intérêts américains. Pour soi-disant s’opposer à la Russie, Washington a aussi soutenu les Frères Musulmans en Égypte dont les représentants étaient francs-maçons (Dr John Coleman, ancien agent du MI-6), Sarekat Islam en Indonésie, il Jamaat-e-Islami au Pakistan et le régime islamique en Arabie saoudite[2]. La logique de la bannière étoilée est résumée en ces termes par Henry Kissinger : « L’Amérique n’a aucun ami ou ennemi permanent, seulement des intérêts. »

La Rolex du Djihadiste

L’Isis est la nouvelle Al-Qaïda, complètement adaptée aux temps modernes. Apparue, sortie de rien en quelques mois, l’Isis bénéficie d’un grand nombre de ressources, d’armes, d’équipements multimédia high-tech et de spécialistes en propagande. D’où proviennent les capitaux et son savoir-faire ? L’histoire du représentant de l’Isis, Abu Bakr al-Baghdadi, est extrêmement trouble. D’après certains rapports, al-Baghdadi a été arrêté et incarcéré par les Américains de 2005 à 2010 à Camp Busca, en Irak. Actif dans le mouvement djihadiste, il assuma le contrôle de la branche irakienne d’al-Qaïda, après la mort de deux de ses supérieurs.

Peu après sa libération, al-Baghdadi gravit rapidement les échelons d’Al-Qaïda. Il accumula une fortune, avant d’être expulsé par la nébuleuse islamiste, et de conduire aujourd’hui l’Isis. A-t-il été soutenu par des forces externes ? Pendant sa première apparition publique comme responsable de l’Isis, al-Baghdadi a ordonné aux Musulmans de lui obéir. Il porte une montre particulièrement onéreuse, probablement une Rolex, de plusieurs milliers de dollars. Un choix de mode étrange pour un représentant qui a juré de combattre la « décadence occidentale ».

Concernant les très théâtrales vidéos de décapitation, elles présentent des détails faisant penser à un vulgaire montage. En premier lieu, pourquoi les victimes (juste avant leur décapitation) sont-elles aussi calmes ? Il serait bien plus logique de voir une victime en état de panique. Pourquoi le sang ne jaillit-il pas quand le couteau tanche la gorge de la victime ? Et, enfin pourquoi la bouche du tortionnaire est-elle masquée ? S’agirait-il de masquer un accent anglais ? Ce ne sont que quelques contradictions se multipliant avec la liste des victimes.

Prétexte d’un pouvoir dictatorial en occident

Le matériel de propagande utilisé par l’Isis est moderne et supérieur à l’équipement de l’habituelle « propagande islamique » qui se trouve en circulation au Moyen-Orient. Naomi Wolf, l’auteur et ex-conseiller de Bill Clinton a attiré une avalanche de critiques quand elle a exprimé son scepticisme concernant l’Isis, et appelant à la rigueur journalistique. Naomi Wolf a de bonnes raisons pour parler de l’Isis. Dans The End of America (La fin de l’Amérique) (2007), elle a défini dix étapes nécessaires à un groupe fasciste (ou gouvernement) pour détruire le caractère démocratique d’un État. L’Isis permet cette transition politique des nations dit « démocratiques » vers des régimes totalitaires :

  • Créer un ennemi interne et externe terrifiant
  • Créer des prisons secrètes dans lesquelles est pratiquée la torture.
  • Développer une caste délinquante ou une force paramilitaire qui ne correspond pas aux citoyens.
  • Imposer un système de surveillance interne.
  • Molester des groupes de citoyens.
  • Opérer des détentions arbitraires.
  • Avoir comme objectif des individus clés.
  • Contrôler la presse.
  • Traiter tous les dissidents politiques comme des traitres.
  • Suspendre l’état de droit.

Alors que dans le monde occidental, le public s’affaire à étiqueter quiconque doute d’un récit officiel en le présentant comme une « théorie du complot », le public des pays du Moyen-Orient est plus sceptique sur l’Isis et le soi-disant Jihad. Par exemple, au Liban et en Égypte, l’idée que l’Isis soit une création des États-Unis et de la Cia était déjà soutenue par de hauts fonctionnaires : les actions et le Modus operandi de l’Isis sont suspects. En fait, le groupe semble surtout être fait sur mesure pour aider les États-Unis à atteindre et à justifier ses objectifs militaires au Moyen-Orient.

Dégoûtés par les vidéos de décapitations, la majeure partie des occidentaux sont à présent favorables à l’anéantissement de l’Isis. Naturellement, ils ne se rendent pas compte que cette même ferveur les portera à devenir victimes de leur gouvernement et de mesures liberticides. Car, l’Isis a constitué des menaces, poussant les gouvernements à agir. Le cas échéant, « agir » signifie réduire la liberté de parole en augmentant la surveillance.

Le Canada a déjà utilisé le « danger » de l’Isis pour espionner des citoyens et travailler sur la rédaction de nouvelles lois permettant une surveillance accrue de la population. Michel Coulombe, directeur depuis octobre 2013 du Service Canadien du Renseignement de Sécurité(CSIS), a ainsi affirmé qu’il n’y avait pas de signes d’une attaque terroriste contre le pays, mais que les autorités surveillent quatre-vingt suspects terroristes canadiens qui ont tourné des vidéos violentes dans le monde entier. Il explique que les quatre-vingt suspects n’ont pas pu être inculpés en raison de la difficulté en cours de recueillir des preuves. Et, le ministre de la Sécurité publique Steven Blaney a exposé de manière évasive qu’il compte introduire très rapidement de nouveaux textes législatifs pour soutenir les forces de l’ordre en vue de dépister les terroristes.

Dans l’article Extremists to have Facebook and Twitter vetted by anti-terror police (La police anti-terroriste va examiner les messages Facebook et Twitter des extrémistes), The Telegraph observe qu’au Royaume-Uni, les conservateurs ont présenté l’Extremist Disruption Orders, une liste de règles sans précédent qui auront de graves implications contre la liberté d’expression. « Les messages des extrémistes sur Facebook et Twitter devront être approuvés de manière préventive par la police sur la base de règles radicales prévues par les conservateurs. Il pourra leur être interdit de parler publiquement à l’occasion d’évènements publics représentant une menace pour le fonctionnement de la démocratie. Theresa May, ministre de l’Intérieur, prévoit des textes permettant aux juges d’interdire des manifestations et l’association de personnes spécifiques »

Conclusion

L’Isis a toutes les caractéristiques d’un groupe djihadiste monté et subventionné par la CIA, à seule fin de faciliter la guerre à l’extérieur et la répression à l’intérieur.

Si nous regardons l’histoire sur le principe du divide et impera au Moyen-Orient, des détails suspects concernant l’Isis et les répercussions de son existence dans le monde occidental, il apparait ce groupe est la continuité de plusieurs modèles.

Il serait donc judicieux de se demander : Qui tire avantage de la présence de l’Isis et de la terreur qu’elle génère ? Que gagnerait l’Isis en tournant des vidéos barbares qui provoqueraient les armées les plus puissantes du monde ? Quelles sont les bénéfices d’une classe politique occidentale préparant la soviétisation des peuples ? À l’insu de ses populations, l’Europe et l’occident se préparent à entrer dans le Nouvel Ordre Mondial, appellation de la future dictature que les élites Illuminati, sous l’œil d’Isis, préparent pour réduire le monde en un immense Archipel du goulag. Tel sera le monde sans frontière de cet ordre supra-maçonnique. L’Isis est le dieu du très satanique Nouvel Ordre Mondial.

[1] Cf. : Aron Monus, Les secrets de l’empire nietzschéen, Interseas Editions, 1992.

https://explicithistoire.wordpress.com/2014/11/14/les-dessous-du-culte-disis/

http://la-chute-de-l-esprit.over-blog.com/2014/10/isis-eil-ou-le-retour-de-l-esprit-amoreen.html

10 avril 2015

L’étude des caractères chinois pourrait permettre le déchiffrement des hiéroglyphes égyptiens

Turberville Needham et la controverse de Turin.

Durant mes recherches sur les alphabets à lunettes, je suis tombé sur une étrange affaire – un peu dans le ton des débats scientifiques sur l’alphabet de Glozel ou l’homme de Fenwick.

En 1761, John Needham, un prêtre et physicien anglais, découvrit un buste d’Isis, gravé de caractères a priori égyptiens, conservé à Turin dans le cabinet du roi de Sardaigne. Ce buste avait été « apporté de Rome à Venise du tems des Gots, avec la Table isiaque » (Lettre de Dutens à Needham). Après l’avoir étudié, ayant constaté que les caractères n’étaient pas franchement égyptiens, il se convainquit qu’il agissait en fait d’idéogrammes chinois. Cette découverte fut publiée sous la forme d’un petit livret en latin, De inscriptione quadam Ægyptiaca Taurini inventa et characteribus Ægyptiis (Rome, 1761), qui circula dans toute l’Europe et commença à diviser les savants de l’époque.

La Chine fille de l’Egypte ?

Pour comprendre la conviction de notre savant anglais, il faut revenir sur les travaux du père Athanasius Kircher (Oedipus aegyptiacus et Prodromus Coptus, chapitre III), pour qui la Chine était « alteram aegypti faciem » ; de Huet, dans son Histoire du commerce et de la navigation des anciens ; puis de Dortous de Mairan, auteur des Lettres de M. de Mairan, au R. P. Parrenin, missionnaire de la Compagnie de Jésus à Pékin. Contenant diverses Questions sur la Chine [avec des extraits des lettres du P. Parrenin], ces auteurs semblant être les premiers à avoir émis l’hypothèse que la Chine avait pu être une colonie égyptienne.

Les œuvres de Diodore de Sicile avaient en effet persuadés certains lecteurs que les dieux égyptiens n’avaient pas seulement apporté la civilisation aux riverains du Nil, mais qu’ils l’avaient répandu dans le monde entier. Ainsi, sur une colonne élevée à Osiris, on lisait, d’après Diodore de Sicile, l’inscription suivante, en caractères sacrés : « Je suis le roi Osiris, qui, à la tête d’une expédition, ai parcouru toute la terre jusqu’aux lieux inhabités des Indes et aux régions inclinées vers l’Ourse, jusqu’aux sources de l’Ister, et de là dans d’autres contrées jusqu’à l’Océan… Il n’y a pas un endroit de la terre que je n’aie visité, prodiguant à tous mes bienfaits » (Diodore, I, 13-20). Cette allusion à la civilisation du monde par le Dieu Osiris ne pourrait-elle être un symbole, une transposition mythologique de l’influence que des colons partis d’Égypte avaient pu exercer sur les peuples étrangers, jusqu’en Chine ?

Huet pensait que « si toute la Nation des Indiens & des Chinois n’est pas descendue des Egyptiens, elle l’est du moins en la plus grande partie » (Histoire du commerce). On retrouverait chez les chinois des traces significatives de leur origine et une grande conformité de leurs coutumes avec celles des Egyptiens, un double écriture hiéroglyphique & profane, et même des affinités entre leurs langues…

Cette hypothèse fut immédiatement combattue par le P. Parrenin dans une lettre du 18 septembre 1735 :

« Venons maintenant au parallèle des Egyptiens & des Chinois, fondé sur les mœurs & les coutumes des deux nations, que vous continuez de supposer d’une manière très-claire & très-plausible. Des traits si ressemblans et particuliers vous donnent, à ce que vous dites, du penchant à leur attribuer une commune origine. Je vous avouerai franchement, Monsieur, que toutes vos ressemblances me portent seulement à juger que ces deux anciens peuples ont puisé dans la même source, leurs coutumes, leurs sciences et leurs arts, sans que l’un soit un détachement ou une colonie de l’autre. Tout prêche l’antiquité à la Chine, & une antiquité si bien établie, qu’il n’est pas concevable que les Egyptiens, dans leurs commencemens, aient été en état de lever de grandes armées, de traverser des pays immenses, et de peupler un grand Royaume » (Parrenin in Lettres édifiantes et curieuses, tome 22, 1735).

M. de Guignes, de l’Académie des belles-lettres, reprit cette théorie pour son compte et la développa dans une brochure qui fit beaucoup de bruit (Mémoire dans lequel on prouve, que les Chinois sont une colonie égyptienne. Lu dans l’Assemblée publique de l’Académie Royale des Inscriptions & Belles-lettres, le 14 Novembre 1758). Selon lui, il ne faisait aucun doute que les hiéroglyphes chinois prenaient leur source dans ceux de l’Egypte :

« Il s’agit encore de dépouiller tous les caractères hiéroglyphiques et symboliques chinois, de les ranger par classes, de les rapprocher des hiéroglyphes et des symboles gravés sur les obélisques et sur les autres monuments d’Egypte » (Mémoire).

Selon de Guignes, l’étude des caractères chinois pourrait permettre le déchiffrement des hiéroglyphes égyptiens – rappelons qu’à cette époque, ceux-ci n’avaient pas encore été décryptés par Champollion grâce à la Pierre de Rosette.

« Le Mémoire que je publie, n’est que le précis de celui que j’ai lu à l’Académie, qui est beaucoup plus étendu ; dans lequel, après avoir examiné l’origine des Lettres Phéniciennes, Hébraïques, Ethiopiennes & Arabes, je prouve plus en détail que les caractères Chinois, ne sont que des espèces de Monogrammes formés de trois Lettres Phéniciennes; & que la lecture qui en résulte, produit des sons Phéniciens ou Egyptiens. J’y rapporte un grand nombre de preuves que je supprime dans ce précis. J’en ai trouvé depuis beaucoup d’autres qui font de la dernière évidence. Telles font les pronoms & les particules qui servent à distinguer le pluriel d’avec le singulier, & tout ce qui constitue la Grammaire Chinoise. Tous ces mots sont encore les mêmes que ceux qui sont employés dans la Langue Phénicienne & dans celle des Cophtes, qui est un débris de l’ancienne langue Egyptienne. Mais je réserve toutes ces preuves, soit pour les Mémoires de l’Académie, soit pour un Ouvrage particulier que je me propose de faire, & dans lequel  après avoir donné les principes & comme le rudiment des caractères Chinois, regardés comme caractères Egyptiens, j’appliquerai toute l’histoire ancienne de la Chine à celle de l’Egypte. J’avoue que ce que je propose ici paraîtra singulier. C’est un sentiment que j’ai été forcé d’embrasser, convaincu par la nature des preuves qui se sont offertes en foule. Plusieurs sçavans ont dit avant moi, que les Chinois étoient une colonie d’Egyptiens. M. Huet en particulier, qui a proposé cette conjecture dans son Histoire du Commerce & de la Navigation des Anciens, a cru que les grandes conquêtes d’Osiris & de Sesostris avoient fait passer dans l’Inde & dans la Chine beaucoup d’Egyptiens. II s’est fondé fur une certaine conformité que l’on apperçoit entre les usages des Egyptiens & ceux des Chinois. Quelques sçavans Anglois également frappés de cette conformité, ont adopté le même sentiment; mais ils ont avancé en même temps que les Egyptiens venoient au contraire des Chinois, & que Noë, après le déluge, s’étoit retiré à la Chine, qui étoie devenue le berceau des arts & des sciences : mais toutes ces conjectures pour lesquelles on ne pouvoit apporter de preuves solides, étoient restées dans l’obscurité ».

« Je fus frappé tout-à-coup d’apercevoir une Figure (Chinoise) qui ressembloit à une Lettre Phénicienne. Je m’attachai uniquement à ce rapport : je le suivis & je fus étonné de la foule de preuves qui se présentoient à moi… Je fus alors convaincu que les Caractères, les Lois et la forme du Gouvernement, le Souverain, les Minières mimes qui gouvernoient sous lui, & l’Empire entier étoit Egyptien ; et que toute l’ancienne Histoire de la Chine n’étoit autre chose que l’Histoire d’Egypte qu’on a mise à la tête de celle de la Chine… Je trouvai encore les Caractères qui ont donné naissance à ceux des Hébreux, des Arabes, des Syriens, des Ethyopiens et des Phéniciens : c’est-à-dire, les premiers Caractères du Monde, & une grande partie de la Langue Phénicienne » (Mémoire dans lequel on prouve, que les Chinois sont une colonie égyptienne).

Des Hauterayes y répondit. De Guignes défendit de nouveau sa thèse dans Réponse de M. de Guignes, aux Doutes proposés par M. Deshauterayes, sur la Dissertation qui a pour titre : Mémoire dans lequel on prouve que les Chinois sont une Colonie Egyptienne (A Paris, Chez Michel Lambert), mais sans grand succès.

La Statue d’Isis de Turin.

Needham, instruit des connaissances de son temps, avait étudié le système de M. de Guignes ; il demanda à un Chinois, garde de la bibliothèque du Vatican, d’examiner les caractères du buste de Turin et de vérifier si, par hasard, ils ne se trouvaient pas dans le dictionnaire chinois imprimé à Pékin sous le règne de Kang-hi et dont s’était servi M. de Guignes. Sur la vingtaine de caractères présents sur le buste, un certain nombre, que le Chinois traduisit pour lui en latin, s’y retrouvait, ce qui acheva de le convaincre :

« Etant à Turin en 1761, j’examinai, avec beaucoup d’attention, certaines pièces Egyptiennes qui s’y conservent dans le riche Cabinet de S. M. le Roi de Sardaigne. Il me vint alors à l’esprit d’avoir une esquisse d’un ancien Buste d’Isis, portant sur le front, sur les joues, & sur la poitrine, plusieurs caractères inconnus. Je crus entrevoir dans ces caractères une ressemblance très-sensible, tant pour la forme, que pour la disposition, avec les Caractères Chinois, & j’eus soin d’en faire tirer une copie fidèle (voyez la planche première à la fin de l’Avis préliminaire.) M. Alberti, Professeur à l’Académie Royale des Fortifications & très-habile Dessinateur, voulut bien, à ma réquisition, faire une esquisse du Buste, que l’on avoit jusqu’alors reconnu pour être celui de la Déesse Isis, & une copie des Caractères qui y sont inscrits.

 

Cette même année, étant arrivé à Rome, j’employai aussitôt un Chinois, né à Pékin & attaché à la Bibliothèque du Vatican, à rechercher si les Caractères inscrits sur ce Buste étoient connus dans sa Patrie, & s’il n’y avoit pas moyen de le prouver par les différens Dictionnaires Chinois, qui se trouvent dans cette riche Bibliothèque. Pendant cette recherche, je m’appliquai de mon côté, avec une assiduité constante, à copier moi-même & à faire copier par mes amis, un grand nombre de différens Caractères qui se trouvent à Rome sur des Obélisques & autres monumens indubitables d’Egypte; afin de fournir nouvelle matière de travail à l’interprête Chinois, en cas que nos premières recherches sur les Caractères d’Egypte eussent été heureuses, & de prévenir les doutes qu’on auroit pu former contre l’antiquité ou la vraie origine du Buste ; en accumulant des preuves nullement équivoques, tirées des autres monumens incontestables du Pays. Le certificat suivant, qui me fut donné par tout ce qu’il y avoit alors de plus distingué parmi les étrangers & les Savans à Rome, contient le résultat de nos recherches après plusieurs mois de travail. J’en conserve encore l’original, qui a été vu par presque tous nos gens de Lettres de la ville de Londres ».

M. Bartoli, le conservateur des antiquités de Turin, jeta des soupçons sur l’origine et la datation du buste et se refusa à reconnaître que les caractères du buste de Turin se retrouvaient dans le dictionnaire chinois conservé au Vatican. Son jugement fut sans appel, le monument de Turin n’avait rien de chinois : « ou je suis bien trompé, dit-il, qui les comparera (les caractères chinois) avec les symboles de l’Isis, y trouvera autant de différence qu’entre une page d’arabe et une de tartare ». Il en communiqua la description à des Chinois qui abondèrent dans son sens : jamais ils n’avaient vu une écriture qui ressemblât de près ou de loin à ces caractères. Finalement, il fait observer à Needham que la plupart des ressemblances qu’il croyait avoir découvertes étaient l’effet du pur hasard et fustigea son ignorance presque totale de la langue et de l’écriture chinoise.

Needham répondit par quelques communications aux Belles-lettres, continuant de défendre son hypothèse et ses découvertes. Il envoya son travail aux Missionnaires de Pékin. Le père Cibot fut chargé d’étudier la question ; la réponse qu’il reçut fut loin d’être aussi intransigeante que celle de sinologues (comme, par exemple l’abbé Grosier). Elle est même assez conciliante et apporte de l’eau au moulin de l’origine égyptienne des Chinois :

« Je suppose, disait-il, comme un fait qu’il serait difficile de nier, que les Chinois subsistoient en corps de nation dès les temps des grandes émigrations qui suivirent la confusion des langues. L’antiquité des Égyptiens date de la même époque ; par là il est naturel de croire que ces deux grands peuples ont quitté à peu près en même temps les plaines de Sennaar, l’un pour venir au fond de l’Asie orientale, l’autre pour aller habiter ces vastes campagnes de l’Afrique qu’arrose le Nil. Si les savants vouloient décider quand a commencé l’écriture, soit avant, soit après la dispersion des enfants de Noé, ils trancheroient bien des difficultés ; en effet, si elle est postérieure à cette séparation des grandes familles qui ont repeuplé l’univers, si chaque nation a inventé la sienne, les Chinois n’auront plus rien de commun avec les Égyptiens, et il seroit inutile de chercher à expliquer les hiéroglyphes des uns par les caractères des autres, vu surtout qu’ils habitoient des climats si éloignés et qu’on n’a pas le moindre indice qu’il y ait eu aucun commerce entre ces deux grands peuples, dans les temps si reculés des obélisques de Thèbes et d’Héliopolis. Dans la supposition, au contraire, que les lettres aient été inventées avant le déluge et conservées par les enfants de Noé à leurs descendants, il est croyable que les Chinois et les Égyptiens ayant puisé à la même source, il doit y avoir eu longtemps bien de la ressemblance entre la manière d’écrire des uns et des autres. Cette seconde supposition a bien des avantages sur l’autre du côté de la probabilité et de la vraisemblance et on en conclut fort bien qu’en comparant aujourd’hui les hiéroglyphes d’Égypte avec les caractères chinois, on peut espérer d’expliquer les uns par les autres » (Cibot, Mémoires, page 278).

Les « hiéroglyphes » chinois…

Venons-en à présent à l’examen de ces caractères chinois dans lesquels Needham a voulu voir une origine égyptienne.

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Figure 1 – Dessin du buste d’Isis inséré dans la communication de Needham

Voici le détail des caractères, leur correspondance livrée par Needham avec les caractères chinois et leur traduction :

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Bartoli a lui-même réalisé une esquisse des caractères qu’il a présenté dans sa Lettera prima où il exposait ses critiques à l’encontre de Needham :

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Il est évident, même pour l’amateur que nous sommes, que ces caractères ne peuvent que difficilement s’apparenter au chinois, ou même à l’écriture hiéroglyphique de l’ancienne Egypte.

Sir W. Jones fait référence aux caractères présents sur le buste d’Isis de Turin dans l’Asiatic Researches, ii, 373 : « Comme pour la table et le buste d’Isis, ils semblent aujourd’hui laissés pour des faux ; mais même s’ils s’avéraient indubitablement véritables, ils n’apporteraient rien, car les lettres sur ce buste ont été tracées de manière alphabétique ; et  le graveur des lettres (si elles furent gravées en Europe) fut particulièrement chanceux, car deux ou trois d’entre elles sont exactement identiques à ceux d’un pilier de métal situé en Indes » (ajoutons que parmi les figures sur le côté gauche de la poitrine, on trouve la première lettre de l’alphabet phénicien représenté deux fois) ».

Simonia Assemani, l’un des spécialistes de l’Orient et auteur de la Bibliotheca Orientalis, réfuta leur origine chinoise, de même qu’égyptienne, et conclut définitivement : « il demeure donc que les caractères du buste de Turin sont des signes astronomiques modernes représentant les sept planètes ou les douze signes du Zodiac – tirés de divers manuscrits et consignés par Du Cange à la fin de son Gloss. Med. Et Infim. Graecitatis et par Montfaucon dans sa Paleographia Graeca (p. 289, 289, 376) – et des signes magiques ». Nous donnons ici quelques extraits de ces passages cités.

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Notons enfin qu’à la même époque d’autres exemples – non de bustes mais de statues en pieds – avaient été recensés par le comte de Caylus dans son Recueil d’antiquités et par Paul Pétau dans son Recueil d’estampes d’antiquités. Poinsinet de Sivry, dans ses Nouvelles recherches sur la science des médailles, inscriptions et hiéroglyphes antiques, abonde dans le sens de Needham, en justifiant l’authenticité des caractères par leur ressemblance avec ceux des recueils cités ci-avant. 

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Supercherie ?

« Je crois donc que cette tête, faite d’une pierre molle du genre des ardoises, nommée Bardiglio, doit être regardée comme une supercherie » (Johann Joachim Winckelmann, Gottfried Sellius, Histoire De L’Art Chez Les Anciens).

M. Montaigu rapporta au marquis Guasco, qu’on lui avait assuré que cette tête, supposée d’Isis, était faite d’une pierre noirâtre qu’on trouve en Piémont (Voir De l’usage des statues, page 296).

Antoine Court de Gébelin entra dans la controverse dans son Monde Primitif, puis par le biais d’une lettre en réponse à une attaque anonyme contre son ouvrage : « Les recherches sur les Lettres Phéniciennes parurent. M. de Guignes se proposoit alors de travailler sur la maniere dont les Lettres Alphabétiques avoient pu être formées. Il avoit devant lui l’Alphabet des Lettres Phéniciennes. Pour se délasser, il s’avise de jeter les yeux sur un Dictionnaire Chinois qui contient la forme des Caractères antiques. C’est dans cet heureux moment de délassement que la ressemblance d’une seule Figure Chinoise, à une seule Lettre Phénicienne, devient pour M. de Guignes la démonstration la plus satisfaisante et la plus lumineuse d’une foule de vérités ».

« Les Chinois ont deux sortes de caractères, les anciens et les modernes, qui viennent à la vérité des premiers, mais qui ont éprouvé de grandes altérations. Les uns et les autres se trouvent confondus dans les dictionnaires des Chinois, et il faut savoir la langue pour les distinguer. Les caractères modernes sont à peu près du temps de Jésus-Christ, et comme la communication des deux peuples est fort antérieure à cette époque, c’est manquer le but que de rapprocher les hiéroglyphes égyptiens des caractères modernes des Chinois, et voilà le procédé ordinaire de M. Needham. Le hasard l’a fait quelquefois tomber sur un caractère ancien, et souvent déjà recueilli par M. de Guignes; mais le plus souvent il se sert des caractères nouveaux, et de là ne peuvent résulter que des parallèles malheureux et des conséquences erronées. Les carrés , les cercles, les triangles, les lignes droites, toutes les figures simples pourront se rencontrer également sur les obélisques et parmi les caractères modernes des Chinois, sans qu’on en puisse rien conclure, parce que ces figures se présentent partout. M. Needham se retranche sur les hiéroglyphes composés, et il prétend qu’ils doivent servir de pièces de comparaison toutes les fois qu’on les voit dans les monumens des Égyptiens et des Chinois. Cela peut arriver, sans doute; mais il peut se faire aussi qu’un hiéroglyphe chinois, à force de s’altérer et de se corrompre, parvienne à ressembler à un hiéroglyphe égyptien.

Les caractères dont le buste est couvert ne se trouvant que sur ce monument, on ne peut les attribuer aux anciens Egyptiens qu’après que M. Needham nous les aura montrés dans le dictionnaire chinois (Tching-tsee-Tong»

(Lettres de J.J. Barthelemy au comte de Saluces, 1823).

Grimm, dans sa célèbre Correspondance avec Diderot, accable de sarcasmes les tenants de l’origine égyptienne des idéogrammes chinois : Huet, de Guignes, Needham et de Mairan.

Voltaire lui-même entra dans la danse et conclut lapidairement que : « il n’y a pas plus de parenté entre les Chinois et les Égyptiens qu’entre les Allemands et les Hurons ; que, s’il y a quelque analogie entre la religion de l’Inde et celle de l’Egypte, il se pourrait bien que les prêtres des deux peuples eussent été également ridicules, sans rien imiter les uns des autres » (Fragments historiques sur l’Inde, art. VI et XXXV).

« Cette puérile idée que les Égyptiens allèrent enseigner aux Chinois à lire et à écrire vient de se renouveler encore ; et par qui? par ce même jésuite Needham qui croyait avoir fait des anguilles avec du jus de mouton et du seigle ergoté. Il induisit en erreur de grands philosophes ; ceux-ci trouvèrent, par leurs calculs, que si de mauvais seigle produisait des anguilles, de beau froment produirait infailliblement des hommes.

Le jésuite Needham, qui connaît tous les dialectes égyptiens et chinois comme il connaît la nature, vient de faire encore un petit livre pour répéter que les Chinois descendent des Égyptiens comme les Persans descendent de Persée, les Français de Francus, et les Bretons de Britannicus.

Après tout, ces inepties, qui dans notre siècle sont parvenues au dernier excès, ne font aucun mal à la société. »

(Fragments historiques sur l’Inde, art. VI et XXXV).

De Pauw écrivit ses Recherches philosophiques sur les Égyptiens et les Chinois afin de réfuter également le paradoxe de l’origine égyptienne des Chinois (Préface, p. 14 et suiv.) :

« Quant à la communication, écrit-il, qu’on suppose avoir existé entre la Chine et l’Égypte, on se convaincra par la lecture de cet ouvrage que jamais supposition ne fut moins fondée ».

Le cardinal Albani à qui l’on montra une partie du buste, donna son avis : « je confirme que je ne peux trouver dans le buste de Turin, ni la confirmation des caractéristiques propres aux têtes égyptiennes, ni du style de leurs sculpteurs, ces deux points différant totalement des monuments et des statues d’Egypte ; et, selon le dessin qui m’a été envoyé, je ne peux voir dans ce buste quelque chose d’égyptien. Je tiens les caractères pour ce qu’ils sont : ils me semblent de nature magique comme ceux que l’on trouve sur certaines pierres portant le nom d’Abrasax ».

Le caractère égyptien du buste lui-même sera finalement remis en cause par des savants comme Winkleman : « Il existe une troisième sorte de figures, généralement appelées égyptiennes, et qui ne sont rien d’autres que des imitations de l’antique Egypte… Le buste de Turin ne peut être rattaché à l’une de ces trois classes de figures. Pour ma part, j’estime qu’il s’agit d’une imposture moderne ».

Au début du 19e siècle, l’« affaire de Turin » s’éteignit d’elle-même après la mort de Needham. Champollion aura l’occasion, lors d’une visite dans le musée des antiquités de la ville, d’examiner le buste d’Isis :

« Le hasard me fit rencontrer un employé du Musée : j’acceptai son offre et je visitai cette collection. Je saluai une ancienne connaissance, la Table Isiaque, et ne trouvai dans les morceaux Égyptiens que des drogues, telles que le fameux buste d’Isis couvert de caractères chinois, — celui sur lequel le chevalier Needham a publié un in-4° que nous avons. J’y ai copié un scarabée curieux, portant une légende de Ramsès le Grand, chéri de Phtah et de Thoth » (Lettres de Champollion le Jeune, Turin, 8 juin 1824).

Conclusions ?

Nous avons essayé de retrouver ce buste, en vain. Il semble encore demeurer à ce jour au Musée des antiquités égyptiennes de Turin, mais il s’avère que seule la tête subsiste, ainsi que cela apparaît sur la seule photo moderne que nous ayons pu découvrir.

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Il est considéré comme un faux manifeste du 16e ou du 17e siècle et c’est probablement le cas, mais cela n’a, semblerait-il, jamais été prouvé ; par contre les sinologues et égyptologues du 19e siècle ont fini par établir que les deux systèmes d’écriture étaient bien différents et possédaient chacun leur propre origine et évolution.

Alors, arnaque intellectuelle, quête de la langue originelle ou simple erreur humaine ? Un peu de tout cela et autre chose. A une époque où tout restait à faire dans le déchiffrement des hiéroglyphes, le postulat (défendu par Kircher, les théologiens, mais également par certains savants) d’une langue originelle s’étant ramifiée pouvait laisser supposer une origine égyptienne au chinois. Ce qui nous semble aujourd’hui stupide ou aventureux était, pour Needham et d’autres, une façon d’avancer dans la compréhension du monde.

Il resterait à percer le mystère – s’il existe – des caractères : alchimiques ? astrologiques ? hermétiques ? Ou simple lubie de sculpteur ?

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