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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
soucoupe volante
24 septembre 2016

John Searl l'homme qui construisait des soucoupes volantes

The John Searl Story Free Energy

En 1968, l’ingénieur britannique John Searl accomplissait devant les médias le premier vol d’une soucoupe volante civile, montrant ainsi aux yeux du monde que la surunité et l’antigravité ne relevaient pas de la science-fiction.
Source: http://peswiki.com/index.php/Directory:Searl_Effect_Generator_(SEG)

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Le brevet international des russes Vladimir Roschin et Sergei Godin de l’Académie des Sciences de Moscou, rendu public le 26 mai 2006, apporte la démonstration scientifique qu’un système sur-unitaire est réalisable. Pour faire cela, ils se sont basés sur les travaux de John Searl, un scientifique britannique, qui dés 1968 mis au point un système capable de léviter.
« Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares capables de convertir diverses formes d’énergie, dés lors qu’un certain régime de fonctionnement critique est atteint. Lorsque le régime critique est atteint, l’installation expérimentale devient énergétiquement entièrement autonome. »
(source: Morphéus N°23, Septembre/Octobre 2007, www.morpheus.fr)


John Roy Robert Searl né le 2 mai 1932 est un inventeur britannique de Wantage en Angleterre.

Searl prétend qu'entre 1946 et 1956 il a conçu et construit un objet connu sous le nom de Générateur à effet Searl (Searl Effect Generator-SEG) capable d'antigravité et de mouvement perpétuel, en violation de la première loi de la thermodynamique.

source: wiki

Citer
John Roy Robert Searl est né le 2 mai 1932 dans une famille anglaise très pauvre. A l’âge de quatre ans, il a été séparé de son frère et de sa sœur et placé dans une famille d’accueil. Depuis l’âge de quatre ans et demi, jusqu’à dix ans il s’est mis à faire deux rêves par an dont l’un était la suite de l’autre. A dix ans, il a pensé que ces rêves avaient un sens et il a essayé de les interpréter.



Searl est l’un des nombreux inventeurs qui découvrit un moyen de générer de l’énergie gratuite et sans limites ainsi qu’une force d’antigravité, simplement en montant des systèmes rotatifs.

A quatorze ans, il construisit son premier Space Energy Generator (SEG) grâce au financement d’un gentleman âgé, M. George Haines qui croyait en lui. Ce premier appareil monté au domicile de M. Haines se mettait à accélérer lorsque Searl plaçait les rouleaux sur les plaques. Quand le SEG accélérait, un champ se développait autour de lui, il perdait de sa gravité, décollait et percutait le plafond à la grande surprise de M. Haines qui, lui, comptait sur un générateur et non un objet volant.

Le SEG restait collé au plafond jusqu’à ce qu’il sorte et disparaisse ; c’est ainsi que six modèles furent définitivement perdus . Searl ne savait pas comment contenir le champ produit. Pour M. Haines c’était de drôles de pétards à tirs uniques et ‘’ terriblement coûteux ! ’’ selon Searl.

Un témoignage anonyme

Searl, en 1949 travaillait pour la Compagnie des Midlands comme simple assembleur d’appareils électroniques. C’est en autodidacte qu’il étudia le mécanisme des génératrices et des moteurs électriques. Il constata rapidement que le mouvement rotatif des pièces de métal engendre une faible force électromotrice dont la polarité négative tendait à s’éloigner de l’axe de rotation tandis que la polarité positive tendait à s’en rapprocher.

En 1950, il poursuivit ses recherches en se servant d’une dynamo rotative composée de bagues collectrices oudisc-rotorsegmenté, que l’on mettait en rotation à grande vitesse parmi des électroaimants situés dans sa périphérie. A l’aide d’un appareil de mesure classique, il enregistra la force électromotrice de faible intensité qu’elle générait. Ayant remarqué que ses cheveux avaient tendance à se hérisser lorsqu’il se tenait à proximité de la dynamo en mouvement, il en déduisit que des électrons libres de charge négative, produisaient un champ de force centrifuge alors que l’électricité statique du métal engendrait un champ de force centripète. Il décida alors de construire une génératrice sur ce principe.

Il acheva dès 1952, sa première magnéto, d’un diamètre de un mètre. Le rotor était constitué d’un disque segmenté qui, en tournant, transmettait l’énergie à un stator périphérique formé d’électroaimants lesquels contribuaient à produire la force électromotrice. Avec l’aide d’un ami, Searl transporta son appareil dans un champ et le mit en route au moyen d’un petit moteur. Comme prévu, sa génératrice produisit de l’électricité mais à un taux qui dépassa largement ses attentes. A une vitesse relativement faible, elle était de l’ordre de 100.000 volts estimée d’après l’électrisation des objets environnants. Très vite, le million de volts fut dépassé, produisant un crépitement et une odeur d’ozone. Searl dit : '' Une fois que la machine a dépassé un certain seuil de potentiel, l’énergie à la sortie excédait celle d’entrée. A partir de ce moment, la production d’énergie semblait virtuellement sans limites. ''

C’est alors que se produisit un phénomène totalement inattendu. Le rotor se mit à accélérer, puis l’appareil commença à s’élever de terre, rompit le cordon d’alimentation qui le rattachait au moteur et se mit à flotter dans l’air en tournant de plus en plus vite, et continua à grimper jusqu’à une altitude de quinze à vingt mètres à laquelle il se stabilisa quelques temps. Tout autour du générateur - effet corona - , l’air était devenu rose fluorescent tant l’ionisation qu’il produisait était importante. Dans les parages, des récepteurs radio se mirent à fonctionner spontanément à cause de l’induction électromagnétique

Finalement, le rotor de la génératrice s’emballa à une vitesse fantastique et l’appareil ‘’tomba’’ dans l’espace comme si la gravitation terrestre était inversée et on ne l revit jamais.

Aussitôt que la génératrice franchit un certain seuil d’énergie potentielle de l'ordre de milliards (sic) de volts, la puissance fournie se met à dépasser celle qui est absorbée et continue de monter vers un niveau virtuellement illimité. Les mesures prises la situaient à des milliards (sic) de watts. A ce niveau de puissance, la génératrice et toutes ses composantes paraissent s’affranchir de la force d’inertie ; mais en se libérant de l’attraction terrestre, elles semblent aussi attirer à elles des morceaux de matière puisqu’elles ont tendance, en s’élevant, à arracher des mottes de gazon. (Voir l'effet d'écran que M. David explique par suppression d'une certaine quantité de gravitons ce qui annule ainsi une partie de la poussée gravitationnelle en direction de la Terre).

Il y a tout lieu de croire que la génératrice provoque une tension dans l’espace qui l’entoure. L’effort fourni pour abaisser cette tension se manifeste sous la forme d’un champ magnétique dont l’énergie est absorbée à nouveau par la génératrice qui, ainsi alimentée, fournit encore plus de tension à l’espace environnant, lequel réagit par un accroissement du champ magnétique qui, à son tour relance la génératrice dans une interaction sans fin, créant par le fait même une sorte de mouvement perpétuel. Ce processus démontre à l’évidence qu’il n’y a qu’une infime proportion de tissu spatial traversant l’appareil qui est convertie en énergie.

Au cours des expériences suivantes, Searl monta ses turbines dont deux de 10 mètres de diamètre, plus fermement dans le sol. Mais celles-ci s’arrachaient encore de la terre emportant avec elles leurs fondations. Elles semblaient produire une puissante force d’antigravité et d’après le cratère de forme hémisphérique laissé dans le sol, on déduisit que cette force opérait sur une sphère dont le générateur était le centre. Searl venait de ‘’tomber’’ sur d’extraordinaires phénomènes associés avec le mouvement de vortex.

Le Pr Searl a construit ensuite 40 disques à lévitation, contrôlés, que M Haines démontait ensuite pour protéger la technologie, les pièces étant utilisées pour la génération suivante. Le dernier appareil fabriqué était Demo 1, malheureusement perdu lui aussi. Ce n'était pas un petit modèle tenu par des fils mais un vaisseau de 6,40 mètres de diamètre, capable de voler et qui pesait des tonnes.

Des effets curatifs du SEG : Les appareils de Searl ont été détruits sauf deux donnés à des malades dont l’un d’eux avait une espérance de vie de quelques mois en raison d’une maladie des poumons. Le SEG a un avantage certain, il produit des décharges d’ions phénoménales aux effets curatifs. Searl avait été un jour brûlé par l’huile bouillante d’un récipient qu’il transportait dehors et qu’une malencontreuse ouverture de porte lui fit renverser. De plus, il était en sang. Deux semaines plus tard, il n’avait absolument plus aucune cicatrice.

John Searl offre son invention : tout le monde fait la sourde oreille

Dans les années 70, Searl qui était patriote offrit d’abord sa technologie à l’Angleterre. A la Reine et au Prince, il fit savoir ceci :

" Voudriez accepter ceci, je peux vous montrer comment construire cet appareil pour produire de l’énergie et pour fabriquer réellement un nouveau type de vaisseau aérien, ou simplement un appareil capable de remplacer l’avion."

Dans leurs réponses la Reine et le Prince le remercièrent vivement mais ne désirèrent pas le voir.

Searl offrit alors son invention aux USA. Il fit une démonstration à la base de l’Air Force d’Edwards. Au cours de la démonstration, il fit, à la télécommande, faire un tournant à 25 g. Les hommes de la base lui ont dit : ‘’Bon, cela pourrait tuer tous les passagers à bord des avions, nous ne voulons pas voir cet appareil, trop dangereux, nous ne pouvons pas nous en servir .’’

Searl, déconcerté fit ensuite un certain nombre d’essais pour déterminer la valeur des forces " g " internes de son appareil. Dans un de ces essais, un peu stupide, une ampoule contenant un élément radioactif était suspendue à l’appareil. Elle était censée se casser sous une force de 2 g. Searl fit subir à l’appareil diverses évolutions qui auraient pu le détruire, mais au retour, l’ampoule était intacte, démontrant ainsi que la relativité à l’intérieur de l’appareil n’était pas la même que dans un aéronef classique.

En 1989, Searl offrit sa technologie à Munich, en Allemagne et à un groupe de scientifiques autorisés à travailler dessus, du moins en R&D pour fabriquer un SEG. Le contrat de fabrication n’est pas connu, ses termes en seront discutés quand les offres seront présentes et qu’il sera alors possible de parler aux investisseurs devant l’appareil en fonctionnement.

Les médias et le Pr Searl

Les quatre plus grandes chaînes de télévision anglaises ont des vidéos complètes sur les disques en vol, on peut les demander à BBC1 qui se propose de les vendre – cher : 32 livres pour les 30 premières minutes et 10 livres pour chaque image plus 17,5 % de taxes - au Pr Searl (qui est à la recherche de tous documents puisque les siens ont été détruits).

24/01/1976BBC.1Nationwide Prog ram

28/10/1988BBC.1 Daytime

May 1994Southern Oregon Public Television & Local Access Cable

16/07/1994Radio WCVE

08/09/1994Radio WCVE

29/05/1995KRO Ararat Radio Station,Hilversum.

La presse écrite a beaucoup parlé de Searl :

Daily Mirrorrdu 13/03/1968

Hants & Berks Gazettedu 04/07/1969

Sunday Mirrordu 28/11/1971

Parade Magazinedu 19/05/1973

Daily Expressdu 25/04/1978

The Chronicle Toowoombadu 19/07/1995, Queensland, Australia

Perth Paper,du 07/08/1995, Western Australia

Hendon Timesdu 02/11/1995

Raum & Zeitde Décembre 1984, avril-mai, Juin-Juillet, Octobre Novembre 1989, et Janvier-Février1990

MAG2000vers 1968, n° 4 Février-Mars 1995, et n°103 Août-Septembre 1996

Dansk Institut For koogisk TeknikNo 21 –2 05/10/1990

UFO NORGE1991

Extra Ordinary Science Symposium EditionVol.VI Issue 2,n°1 Mai 1994

SAFE NEWSn°1 oct / nov / déc 1989

A chaque conférence, Searl a l’appareil avec lui ce qui lui permet d’en faire la démonstration. Un générateur à effet Searl a été présenté au congrès de la DVS à Denver en 1994.

La destruction du travail de Searl

En 1982, alors qu’il était occupé à une de ses expériences, dans sa maison de Mortimer dans le Berkshire en Angleterre, un groupe d’officiers pénétra chez lui, confisqua son appareil et arracha le câblage électrique. Il fut jugé pour vol d’électricité à la compagnie locale et condamné à payer une amende. Comme son appareil ne lui fut jamais rendu, il refusa de payer l’amende, et ce refus l’amena en prison. Sa femme et ses enfants n'ont jamais rien su de plus sur le travail de Searl que ce qui s'est dit à la télévision ou dans les articles à son sujet.

Le Pr Searl avait demandé à Gunnar Sandberg d'aller chez lui et retrouver des papiers y compris le registre de tous ses témoins. Sandberg s'y est rendu mais a dit au Pr qu'il y avait trop de choses et qu'il y retournerait plus tard. Pendant qu’il était incarcéré, sa maison fut incendiée. les autorités ont brûlé tous ses papiers avec le consentement de sa femme.

Il a fallu quatre jours pour détruire des années de travail et l'équivalent de 5 millions de livres. Sa femme, seule à en connaître la raison, est responsable de son emprisonnement et de l'incendie. Cet épisode entraîna leur séparation et le Pr Searl ne veut plus rien savoir de sa famille. Selon un témoignage, Le Pr Searl aurait vécu à Birmingham après 1987 sous un nom d'emprunt.


Des manœuvres indélicates

D'après un récit de Searl datant de décembre 1996, certains ont cherché à s'approprier " L'effet Searl " - controversé - tout en cherchant à le copier et tout en disant ne jamais l'avoir observé…

Lors d'une conférence au Danemark, le Dr Andreas Heerfordt a vivement critiqué Searl au sujet de rapports écrits par d'autres personnes sur l'effet Searl (critiques reprises dansElectric Spacecraft Journal).

Le Dr Heerfordt affirmait que G. Sandberg ne pouvait témoigner avoir vu des faits inhabituels en rapport avec les aimants utilisés par Searl. Sandberg était par ailleurs lié par contrat avec Collins qui s'attribue la propriété de " l'appareil Collins " supérieur selon lui à celui de Searl, mais qui n'avait pas fait ses preuves auprsè du Dr Edwards de l'Université. Sandberg avait cherché à obtenir la signature de Searl car l'Université où Collins travaillait avait besoin de son expérience ( Sandberg ayant cassé pour l'étudier un aimant prêté par Searl).

Collins cherchait à négocier les droits de son appareil en Australie en omettant bien de mentionner le nom de Searl.

Le Pr Searl disposant de milliers d’articles de journaux et d’émissions de télévision sur son travail dit ne rien avoir à prouver à M. Heerfordt ni à Electric Spacecraft Journal. Searl recommande à M. Heerfordt de lire ses livres pour connaître son appareil (ce qu’il n’avait toujours pas fait en décembre 1996).

Searl ne donnera pas davantage d'informations ni ne fera de démonstrations pour M. Heerfordt qui selon lui est seulement intéressé pour ce qu'il pourrait vendre sans que J. Searl n'en bénéficie.

Le S.E.G. de Searl, le rêve perdu

Le travail de Searl avait attiré des visiteurs par centaines (dont des gens célèbres) qui signaient le livre d’or et y écrivaient leurs commentaires. Tout a été perdu dans l’incendie.

Searl voulait voler lui-même sur un de ses appareils car il avait été déçu des refus des pilotes d’essais craignant les facteurs G élevés et les hauts voltages. Il était quasiment prêt à le faire grâce à l’investissement d’amis de Nouvelle Zélande. Le terrain était prêt, les trois passagers choisis. Searl venait juste d’obtenir son diplôme pour voler avec passagers (ce qui est bien autre chose qu’une licence de Piper Club) lorsqu’il a été arrêté.

Pendant qu’on le persécutait, il dut laisser pendant longtemps sa plus grande maquette sans surveillance, mais il la croyait en sûreté. Récemment, (1996 sans doute) il voulut la récupérer. Malheureusement, pendant ce temps, la personne qui lui avait permis d’utiliser son terrain était décédée, et sa femme avait tout vendu. Le nouveau propriétaire, un policier, avait vendu l’appareil pour le cuivre - cinq tonnes environ.

Cette déception était d’autant plus grande pour Searl que tout le reste avait été détruit. Même les photos provenant des différentes personnes ayant travaillé avec lui arrivaient au compte-goutte. L’affaire n’avait pas reçu de publicité et la plupart des films et photos ont été détruites. Toute personne disposant encore de photos ou de films des appareils de Searl est priée de contacter John A. Thomas à l’adresse de D.I.S.C. (ci-après).


Description d'un S.E.G.


 



Un SEG est composé d’une série de trois anneaux et de rouleaux qui circulent autour sans les toucher. L’appareil a un cylindre de néodymium contenu dans des anneaux de nylon, de fer et d’aluminium. Searl a choisi le nylon 66 car il a une qualité négative élevée ainsi qu’une double configuration de liaison (le nylon est utilisé comme semi-conducteur dans une diode).

Le premier anneau contient douze rouleaux (plus éventuellement, mais pas moins) correspondants au douze cycles ou phases minimum d’un moteur linéaire. Tous les détails de construction sont basés sur la Loi des Carrés. En observant une coupe, on voit que le SEG utilise le carré de quatre.

L’appareil est stationnaire : les électrons sont émis de l’élément central et ils circulent dans les autres éléments. L’élément central choisi est au néodyme, le Professeur Searl le connaissait depuis 1946 et l’a utilisé bien avant sa " découverte " par l'USAF en 1966. Cet élément découvert depuis 1885 était utilisé dans la fabrication de certains types de verre qui ne transmettent pas les rayons infrarouges. Sans le nylon, le SEG se comporterait comme un laser, une impulsion sortirait, s’arrêterait, se reconstruirait. Le nylon agit comme barrière de contrôle pour donner un flux régulier d’électrons dans le SEG.

Les balais capteurs d’électrons sont sur les bords externes du SEG et conçus pour être utilisés dans des véhicules à antigravité. Un jeu de transformateurs classiques en forme de C collectent l’énergie à utiliser et la transfèrent à l’endroit où elle doit être utilisée. Les appareils anti-g sont un peu différents des générateurs classiques en ce sens qu’au lieu d’alimenter en 240 v comme en Europe et 130 V comme aux USA, il sort des centaines de millions de volts.


Les Champs magnétiques imprimés

Les rouleaux ont un pôle nord et un pôle sud primaires comme les plaques. Le pôle nord du rouleau étant bien sûr attiré par le pôle sud de la plaque. D’habitude, ils se calent droit dessus et ne sont pas capables de se déplacer, particulièrement avec le néodyme. Mais il y a un champ secondaire imprimé inscrit sur ces aimants au moyen d’un composant à courant alternatif. En imprimant un tel champ magnétique sur le rouleau, le Pr Searl était capable de faire circuler les rouleaux autour de la barre, même vers un angle de 90 ° parce que les lignes (voies) des champs sont imprimés sur les aimants.

Pour faire ces aimants, il faut un composant à courant alternatif pour influencer le champ de courant continu. Quand le champ est déformé de multiples pôles se forment à la surface des rouleaux et des anneaux. La fréquence utilisée est différente sur les rouleaux et les anneaux, ce qui crée une non unité entre les deux faces de manière à empêcher aux aimants de réussir l’unité en allant vers une orientation nord-sud.

L’impression, qui se fait en Allemagne, est difficile à réaliser. Il faut imprimer les lignes magnétiques et refroidir sans provoquer de cassure. On utilise des bobines pour ce faire, en supprimant d’abord les champs existants puis en produisant ensuite le champ imprimé, et enfin en refroidissant le composant terminé. On contrôle à l’oscilloscope la forme de l’onde imprimée.

Si l’on place les rouleaux sous de la limaille de fer sur une feuille, on obtient des résultats inhabituels…un grand modèle sur chaque pôle, quasiment aucun modèle angulaire dans un arc entre les pôles. Il y a à la fois des pôles en couches et des pôles individuels, cette uniformité des pôles à l’extérieur étant très importante, ces pôles magnétiques étant leurs propres moteurs primaires.

Le SEG est remarquable car aucune de ses parties n’est en contact avec les autres, il n’y a donc aucune friction. Les rouleaux planent sur le champ magnétique en raison du composant courant alternatif inscrit sur eux. Ils ne décolleront pas à cause du courant continu qui leur a été imprimé. Ils circulent autour du premier anneau à 400 km à l’heure et deux fois et demi plus vite en allant vers l’extérieur.


L’effet Searl est mesurable

Au séminaire de l’Université du Middlesex à Londres, le 10/03/1996, le Pr Searl a utilisé des instruments de mesure facilement disponibles pour prouver sa découverte. Il a commencé sa démonstration avec un segment construit selon ses indications spécifiques. Il a alors fait toucher une sonde venant de l’oscilloscope au centre du segment, l’autre sonde touchant l’anneau extérieur à ce segment. Le résultat a été visible sous forme de crête observée sur l’oscilloscope. Ce pic a montré qu’il existe vraiment une charge lorsqu’une combinaison d’éléments est pressée et mise en forme d’une façon bien déterminée. Searl a montré une charge de 3 volts toutes les cinq millisecondes, un de ses associés a même pu obtenir 12 à 15 volts.

Le circuit se déplace à travers les éléments en couches dans le segment qui montre un potentiel négatif, c’est à dire, une libération d’électrons qui est une preuve de charge.

Il est donc possible d’extraire de l’électricité de notre environnement, et seulement avec les éléments ambiants. Le segment émet un flux d’électrons en captant le potentiel de cette fabrique d’espace environnant. Il y a donc là une source d’électrons qui est transmise du noyau interne du segment vers son périmètre, et continuellement libérés.


Importance du choix de l’élément

En observant la Table des Eléments, Searl a remarqué que la structure atomique de chacun est illustrée et a découvert que les éléments qui convenaient le mieux étaient hexagonaux, ce qui n’est pas le cas du fer. Il les utilise en conjonction avec une configuration hexagonale pour capter la meilleure manière de développer l’effet.

Les poudres qui doivent avoir une granulation spécifique, un poids atomique et des dimensions exactes sont assemblées pour répondre aux exigences de la Loi des Carrés. Ce sont les éléments du centre qui ont le poids atomique le plus lourd (néodymium 60 utilisé dès le premier SEG).

La Loi des Carrés


 La Loi des Carrés, assez complexe (John Thomas l’a étudiée de très près) est basée sur trois et (trois seuls) groupes de carrés de groupe 1, 2 et 3. Les carrés du groupe 1 comprennent tous les nombres impairs, ceux du groupe 2 ont tous les nombres pairs divisibles par quatre, et tous les nombres impairs non divisibles par quatre sont dans le groupe 3. Dans ses livres, Searl signale qu’un carré de groupe 1 tourne.

Dans ces carrés, la somme de tous les nombres en lignes horizontales, verticales ou diagonales donne le même nombre. Dans le passé, on les nommait Carrés magiques, ce n’est donc pas une nouvelle technique. John Thomas a fait une extrapolation d’un carré de groupe 2 dans un cube déployé. Il s’est rendu compte qu’il se trompait en pensant que la même valeur serait obtenue pour toutes les directions des lignes. Avec ce cube, il a trouvé qu’il y avait un modèle de commutation impliqué que l’on pouvait mettre en équation le modèle de commutation des carrés avec celui vu dans le cube, ce qui conduisait à un monde en trois dimensions.

 



Il était ensuite possible de passer facilement à un modèle de commutation dans les valences atomiques ou la structure atomique

La découverte fortuite et heureuse du système de contrôle des S.E.G.

Un jour, le Pr Searl donnait une interview filmée pour un journal. Il finissait à peine de dire que son appareil ne s’arrêtait pas, que celui-ci stoppa. Searl en resta bouche bée. Mais c’était le meilleur coup de chance qu’il pouvait lui arriver car Searl a pu grâce à cela contrôler ses disques avec à un circuit de télécommande mécanique ou électronique.

Il réalisa immédiatement que la clé se trouvait dans la fréquence, la caméra vidéo s’était abaissée sur le SEG pour le prendre en gros plan. L’harmonique ou la fréquence de résonance émise par la caméra vidéo résonnait sur la fréquence primaire du SEG et la neutralisait, ce qui faisait que les pôles arrivaient à l’unification et stoppaient.

Il se passe des choses curieuses dans les disques de Searl. Un vide se produit et se développe au centre, siège d’un champ libéré de l’inertie. C’est le principe même utilisé dans le SEG (Space Energy Generator) et qui fait qu’une masse de métal en rotation projette les électrons sur le bord d’un accumulateur-récepteur. Il est alors possible de capter ces énergies électrostatiques à haute densité, (comme dans une machine de Wimshurst ou Testatika ou une machine de Hyde). Ou bien, la rotation peut faire fonctionner un autre générateur.

Le rêve retrouvé de Searl

On pourrait penser que tout le travail de Searl est perdu, comme celui des Tesla, Keely, Schauberger, Carr et tant d’autres qui ont été contraints de garder leurs secrets pour ne pas se les voir voler ou les voir exploiter dans de mauvaises mains. Quelles fabuleuses inventions auraient pu sortir de l’esprit de ces grands hommes à la lumière de nos découvertes modernes ?

Mais Searl n’est pas homme à s’arrêter, il a une volonté de fer et se voue à offrir sa technologie pour un monde meilleur. Il a diffusé ses travaux dans son livre " la Loi des Carrés ".

En 1989 le Pr Searl a donné des conférences à Munich, à Einsiedeln en Suisse au congrès international sur l’énergie

En 1990, à l’école de médecine de Munich, à l’Institut de l’Environnement au Danemark suivi d’une tournée de trois semaines de conférences

En 1994, au congrès INE de Denver Colorado

En 1996, à l’Université du Middlesex, au Centre Commercial Ilsington et à l’école supérieure du comté de Mill Hill

Trois séminaires étaient prévus en 1996 en Angleterre

Le Pr Searl poursuit avec acharnement ses travaux en dépit de grandes difficultés et il met actuellement au point un générateur d'électricité basé sur sa technologie. Il souhaite que cela atteigne le public avant une autre censure ou destruction. Il croit que le temps est venu pour que le monde dispose de cette technologie pour le plus grand bénéfice de l'humanité et la réparation des dommages causés à la couche d'ozone par la pollution mondiale.

Direct International Science Consortium : D.I.S.C.

Le siège de D.I.S.C., fondé en mars 1995, est à Londres

13 Blackburn Mower Strand, Grahame Park Estate London NW9 5NG

Tél : +44 (0) 181 200-0714 Fax : +44 (0) 181 200-5932

D.I.S.C.détient la connaissance nécessaire à : la construction d’un SEG de 11 kW à usage domestique sur 240V ou 110V en courant alternatif (il peut être construit pour l’industrie à tous voltages et ampérages) et à la construction d’un vaisseau volant dénommé véhicule à anti - (IGV).

Neuf personnes entourent le Pr Searl, dont John Thomas, co-fondateur. Il est possible d’appeler le Pr Searl au Tél. 0181 200 0714, Fax 0181 200 5932 ou par e-mail sur le site http://www.moose.co.uk/userfiles/prof.j.searl/index.html

Il existe d’autres correspondants aux USA, en Allemagne, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Australie

Parmi eux, des physiciens, des ingénieurs, pilotes d’avions, informaticiens et d’autres personnes qui font connaître les travaux de Searl et ses livres

Adresse aux USA : John A. Thomas Jr, 373 Rock Beach Road, Rochester, New York 14617-1316

Tél : +1 716 467 2694 Fax:+ 1 716-338-2663 –e-mail : discjt@servtech.com

Voir une nouvelle conception de SEG par Dave Squires sur le site de Jean-Louis Naudin. Cette extension faite d'après les travaux sur le moteur électrostatique à capacité et haut voltage, le PFT MK2 n'a pas encore été expérimentée mais son auteur pense que le déséquilibre de vecteur S -Poynting est la cause du mouvement des rouleaux. http://www.fortunecity.com/tattooine/delany/256/html/newseg.htm



Source:http://quanthomme.free.fr/energielibre/gravitation/GR_Inventeur1.htm

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23 janvier 2014

Les soucoupes volantes viennent de l'intérieur de la Terre 1ere partie

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Les soucoupes volantes viennent de l'intérieur de la Terre. Nous allons maintenant citer Ray Palmer, rédacteur en chef de Soucoupes volantes, expert en la matière, convaincu que les découvertes de l'amiral Byrd aux deux pôles offrent une explication sur l'origine des soucoupes volantes. Ray Palmer croit, en effet, que les engins volants non identifiés ne viennent pas d'autres planètes, mais de l'intérieur de la Terre, où existe une civilisation très en avance sur la nôtre en matière d'aéronautique, utilisant les soucoupes volantes pour leurs voyages aériens, et se propulsant à la surface de la Terre par l'intermédiaire des ouvertures polaires. La Terre creuse  Voici comment Palmer explique son point de vue « La Terre est-elle bien connue ? N'existe-t-il aucun endroit sur Terre qui pourrait nous fournir une explication possible sur l'origine des soucoupes volantes ? Il y en a deux. Ils se trouvent dans l'Arctique et dans l'Antarctique. « Les deux vols de l'amiral Byrd aux pôles prouvent que la configuration de notre globe dans ces régions a quelque chose « d'étrange ». Byrd s'envola vers le pôle Nord, mais ne s'y arrêta pas. Il continua au-delà, sur une distance de 2 700 kilomètres, puis fut obligé de rebrousser chemin, car sa réserve d'essence diminuait. Comme l'appareil progressait au-delà du pôle, apparurent des régions libres de glace, avec des lacs et des montagnes couvertes d'arbres, et même à un moment un animal monstrueux qui ressemblait à un mammouth de l'Antiquité. Tout cela fut rapporté par les occupants de l'avion. Pendant presque la totalité du voyage, l'appareil survola un paysage de montagnes, de forêts, de lacs et de rivières. « Quel était ce pays inconnu ? Est-ce que Byrd en naviguant plein nord était entré dans l'intérieur creux de la Terre à travers l'ouverture polaire ? « Avec la dernière expédition de Byrd au pôle Sud, nous pénétrons une fois de plus dans une région mystérieuse et inconnue, dont il n'est fait mention sur auc une carte. Et une fois de plus, après la première annonce de l'événement, c'est le silence total. Des milli ons de gens apprennent la chose - et quelle chose ! Elle mériterait au moins quelques commentaires. Mais rien ! La curiosité du public s'aiguise... dans le vide. On se heurte à un mur. Vraiment étrange... « Et pourtant les faits sont là.

Aux deux pôles existent de vastes éte ndues de terre inconnues, apparemment habitables, dont la superficie peut à peine êt re calculée. Cette superficie doit être énorme, peut- être aussi grande que celle des Etats-Unis tout entiers en ce qui concerne le pôle Nord, et encore plus grande au pôle Sud. « Les soucoupes volantes pourraient venir de ces deux terres inconnues " au-delà des pôles ". Notre opinion est que l'existence de ces terres ne peut être ré futée par personne, si l'on veut bien considérer sans préjugés les faits que nous venons d'énoncer. » Voilà ce que dit Ray Palmer. Et une fois de plus la question essentielle est posée. Si l'amiral Byrd a proclamé devant tous que son expédition au pôle Sud ét ait « la plus importante de l'histoire du monde », et si, au retour, il a ajouté : « La présente expédition a ouvert une nouvelle et vaste terre », par quel phénomène étrange et inexplicable une telle découvert e est-elle pratiquement entrée dans l'oubli ? Des raisons politiques. Il n'y a qu'une seule réponse rationnelle à ce mystère. Après la brève annonce publiée dans la presse américaine, et basée sur le rapport radio de Byrd, toute publicité ultérieure a été supprimée par le gouvernement, pour qui Byrd travaillait, et qui ava it des raisons politiques importantes à cacher cette découverte. Car les terres étranges survolées par l'amir al aux deux pôles sur une distance totale de 6 400 kilomètres sont probablement aussi grandes que l'Am érique du Nord et l'Amérique du Sud réunies. Et il est évident que le gouvernement des Etats-Unis a craint qu'un autre pays n'entreprenne des vols similaires et n'aille plus loin, jusqu'à revendiquer ces territoires pour son propre compte. « Considérant tout cela, écrit Ray Palmer, il n'est pas étonnant que les nations du monde entier se soient soudain vivement intéressées aux régions polaire s - et particulièrement à l'Antarctique - et qu'elles aient entrepris des explorations de grande envergure. » Cette terre, centre du mystère. Palmer estime que le nouveau territoire découvert par Byrd, et qui n'est mentionné sur aucune carte, se trouve à l'intérieur, et non à l'extérieur de notre gl obe. C'est pour cela que le grand explorateur l'a appelé « le Grand Inconnu ».

La Terre creuse Après avoir discuté de la signification du terme « au-delà » employé par Byrd, et non « au-dessus » ou « au travers » des pôles, Palmer conclut que la terre inconnue de Byrd se situe à l'intérieur des concavités polaires, et qu'elle jouit d'un climat cha ud puisqu'on y découvre une végétation verte et une vie animale. Voici ce qu'écrit encore Ray Palmer sur la question « En février 1947, l'amiral Richard E. Byrd fit la décl aration suivante : « J'aimerais voir cette terre au- delà du pôle. Cette terre qui est le centre du Grand Inconnu. » « Des millions de gens lurent cette déclaration da ns leurs journaux quotidiens. Des millions de gens se passionnèrent pour le vol de Byrd au-delà du pôle No rd. Des millions de gens entendirent la description radiodiffusée du vol, qui fut publiée aussi par les journaux. « De quelle terre était-il question ? Regardez une car te. Calculez les distances de tous les points connus Sibérie, Spitzberg, Alaska, Ca nada, Finlande, Norvège, Groenland, Islande... Ils sont à peu près tous à moins de 2 700 kilomètres du pôle. Et pourtant Byrd n'a survolé aucune terre connue. Ce qu'il a découvert, il l'a nommé lui-même « le Grand Inc onnu ». Et combien grand, en effet ! Car après 2 700 kilomètres de vol, il fut contraint de faire demi-tour par manque d'essence, et à ce moment il était loin d'avoir atteint les limites de ce territoire. Il n'aurait dû voir au-dessous de lui qu'un océan en partie bloqué par les glaces. Au lieu de cela, il survola des montagnes c ouvertes de forêts! « De forêts ! « Incroyable ! L'extrême limite des régions boisées se situe assez bas dans l'Alaska, le Canada et la Sibérie. Au nord de cette ligne, aucun arbre ne pousse ! Ce qui veut dire que, l ogiquement, tout autour du pôle Nord, on ne doit apercevoir le plus petit arbre dans un rayon de 2 700 kilomètres ! « Alors ? « Alors il faut croire que l'amiral Byrd a bien pénétré dans cette terre au-delà du pôle, cette terre qu'il désirait tant voir parce qu'elle était le centre du mystère. Un problème de navigation. « Pourtant, aujourd'hui, on ne trouve fait mention nulle part de cette terre mystérieuse. Pourquoi ? Le raid accompli par Byrd en 1947 était-il une fiction ? Les journaux ont-ils tous menti ? Menti aussi le radio qui émettait de l'avion de Byrd ? « Non, l'amiral Byrd a bien volé au-delà du pôle. « Au-delà ? « Que voulait dire l'amiral quand il a employé ce mo t ? Comment est-il possible d'aller " au-delà " du pôle ? Réfléchissons un instant. Imaginons que nous soyons transporté d'un coup de baguette magique au point exact du pôle Nord magnétique. Nous y arrivons in stantanément, sans savoir de quelle direction nous venons. Tout ce que nous savons, c'est que nous voulons alle r du pôle au Stipzberg. Mais où est le Spitzberg ? Quelle direction devons-nous prendre ? Celle du Sud, bien sûr ! Mais quel Sud ? Du pôle Nord, toutes les directions vont vers le Sud ! « C'est un simple problème de navigation. Toutes le s expéditions polaires, terrestres, maritimes, ou aériennes, ont dû faire face à ce problème.

Ou bien elles doivent revenir sur leurs pas, ou bien il leur faut découvrir quelle direction vers le Sud est la bonne, et cela quel que soit l'objet de la destination. Le problème est résolu de la façon suivante : on choisit une dir ection au hasard, n'importe laquelle, et on avance d'une vingtaine de milles ; puis on s'arrête, on fait le point à l'ai de des étoiles et de la boussole (l'aiguille aimantée n'est plus dirigée vers le bas mais vers le pôle Nord magnétique), et on trace la rout e sur la carte. Si on veut aller au Spitzberg, pour reprendre notre exemple, c'est alors facile de prendre la bonne direction vers le Sud. La Terre creuse  « L'amiral Byrd, lui, n'a pas suivi ce procédé trad itionnel de navigation. Une fois le pôle atteint, il continua sa route plein Nord sur une distance de 2 700 kilomètres. Et aussi étrange que cela paraisse, il a atteint cette « terre au-delà du pôle » qui, jusqu'à ce j our, si nous consultons les archives des journaux, des livres, de la radio et de la télévision, n'a jamais plus été explorée. « Cette terre, sur les cartes actuelles, ne peut pas exister. Et pourtant... elle existe, comme nous venons de le voir. Il faut donc en conclure que les car tes actuelles sont inexactes, incomplètes, et ne donnent pas une véritable image de l'hémisphère Nord. « Quoi qu'il en soit, il ne fait aucun doute pour nous qu'a été localisée dans le Nord une vaste étendue de terre - le centre du Grand Inconnu - dont les 2 700 kilomètres parcourus par Byrd ne sont qu'une infime partie. » Un black-out étrange, Une découverte aussi importante aurait dû être universellement connue. Seulement voilà, comme nous l'avons dit, le gouvernement américain fit le blackout total sur cette affaire, et il y réussit si bien qu'elle était pratiquement oubliée lorsque Giannini s'avisa de la mentionner dans son livre : M ondes au-delà des pôles, publié à New York en 1959. Mais là encore, par quelque étrange et obscure raison, le livre de Giannini ne reçut pas la publicité qu'il méritait et n'atteignit pas le grand public.

Cependant, à la fin de cette même année 1959, Ray Pa lmer prit connaissance de cet ouvrage, et il fut tellement impressionné par l'aventure fabuleuse de Byrd qu'il en parla aussitôt dans son magazine Soucoupes volantes, largement distribué dans tous les Etats-Unis. L'information parut dans le numéro de décembre 1959. A la suite de quoi se produisit une séri e d'incidents bizarres indiquant que des forces secrètes étaient à l'œuvre pour couper court à cette information et l'empêcher d'atteindre la grande masse des lecteurs. Quelles étaient ces forces secrètes ? Et quelles raisons particulières pouvaient-elles avoir de faire obstacle à une telle publication ? La réponse est facile : ces forces étaient les mêmes que celles qui avaient opéré au lendemain de la découverte de Byrd, et elles avaient les mêmes raisons de s'opposer à tous commentaires concertant cette découverte. Les révélations de Palmer sur les découvertes de By rd dans l'Arctique et l'Antarctique donnèrent pour la première fois une large publicité à l'extraordinaire av enture de l'explorateur. Elles avaient une portée plus grande que les chapitres que leur avait consacrés Giannini dans un livre au tirage restreint et qui n' avait bénéficié d'aucun lancement. C'est pour cela qu'on chercha à stopper leur divulgation sur une grande échelle. Des incidents bizarres. Le numéro de Soucoupes volantes, daté de d écembre 1959, était prêt à être distribué aux abonnés et mis en vente dans les kiosques, lorsqu'il fut retiré mystérieusement de la circulation. Quand la camionnette venant de l'imprimerie avec les paquets de magazines arriva chez l'éditeur, on n'y trouva plus le moindre exemplaire. Elle était vide ! L'éditeur téléphona à l'im primeur. Qu'est-ce que cela voulait dire ? L'imprimeur chercha dans ses papiers, mais ne trouva aucun récépi ssé prouvant que l'expédition avait été faite. Le tirage de ce numéro ayant été payé, l'imprimeur fut prié de remettre les presses en marche et de faire un nouveau tirage.

Mais, coïncidence étrange, les clichés étaient en si mauvais état qu'une réimpression immédiate était impossible. Où étaient passés les milliers d'exemplaires qui avaient été imprimés ? Pourquoi n'avait-on pas retrouvé le bon d'expédition ? S'il avait été égaré, et si les magazines avaient été envoyés à une mauvaise adresse, ils auraient dû être retournés à l'expéditeur. Or, ils ne le furent pas. Résultat : 5 000 abonnés ne reçurent pas le magazi ne. Un distributeur qui avait 750 exemplaires à vendre fut porté disparu, et les 750 exemplaires s'éva nouirent avec lui. Les magazines avaient été envoyés avec prière de les retourner en cas de non réception. On ne les revit jamais. Bref, ce fameux numéro de La Terre creuse 15 décembre 1959 disparut complètement. Néanmoins, plusieurs mois après, il était réimprimé et envoyé aux abonnés. Quelle bombe contenait donc ce magazine ? Simplement - et c'était beaucoup - un compte rendu du vol de l'amiral Byrd au-delà du pôle Nord, en 1947. C'était suffisant pour le faire considérer comme dangereux par les forces occultes qui tentaient de mainte nir à tout prix le black-out sur les découvertes de Byrd. La théorie de Giannini. De larges passages du livre de Giannini, Mondes au-delà des pôles, étaient cités dans le magazine. Voici ce qu'écrit Giannini « Depuis le 12 décembre 1929, les expéditions polaires de la Marine U.S. ont constaté l'existence d'une terre indéterminée au-delà des pôles. « Le 13 janvier 1956, alors que ce livre était en prépar ation, une unité de l'Air U.S. pénétrait sur une distance de 3 700 kilomètres au-delà du pôle Sud, qu'on supposait être le bout du monde. Pour des raisons majeures, cette randonnée mémorable fut négligée par la presse qui se contenta de la mentionner brièvement. « Les Etats-Unis, ainsi qu'une trentaine d'autres nations, préparèrent des expéditions polaires sans précédent au cours des années 1957-1958, ayant pour objectif de pénétrer dans cette terre au-delà des pôles.

Lorsqu'en 1926 j'avais émis l'idée d'une terre inconnue s ituée dans les hémisphères Nord et Sud, la presse avait décrété que cette affirmation était encore " plus audacieuse que tout ce que Jules Verne avait jamais imaginé ". » Et il est vrai, en effet, que le monde scientifique ne prêta aucune attention à l'étrange et révolution- naire théorie géographique que Giannini présentait dans son livre. On l'ignora, on la considéra comme une fantaisie sans fondement, un délire relevant de la scie nce-fiction. Et pourtant... Et pourtant les déclarations de l'amiral Byrd n'ont de sens que si on veut bien accepter cette théorie. Giannini écrit « Les extrémités nord et sud de la Terre n'ont pas de fi n réelle. On ne peut pas en faire le tour, au sens propre du terme. Cependant certains vols qualifiés d' " autour du monde " ont cont ribué à entretenir dans l'opinion l'idée fausse que la Terre peut être " circumnaviguée " au nord et au sud. « Franchir le pôle Nord et revenir vers la zone te mpérée, sans en faire le tour, est une chose impos- sible à réaliser. Il en est de même pour le pôle Sud. « L'existence de mondes au-delà des pôles a été confirmée par les explorations polaire s U.S. au long des trente dernières années. La plus importante étant celle du plus vieil explorateur du monde, le vice amiral Richard E. Byrd. » On n'a jamais survolé le pôle. Commentant les déclarations de Giannini sur l'impossibilité de continuer plein nord après le pôle et d'atteindre l'autre côté de la Terre (ce qui serait le cas si la Terre était convexe au lieu d'être concave au pôle), Ray Palmer écrit dans son magazine « Beaucoup de lecteurs croient que des vols comme rciaux franchissent continuellement le pôle et passent de l'autre côté de notre globe. Cela n'est pa s vrai, bien que les officiels des lignes aériennes, quand on les questionne, prétendent le contraire. Et pour quoi n'est-ce pas vrai ? Parce qu'interviennent des manœuvres de navigation qui éliminent automatiqueme nt tout vol en ligne droite au-delà du pôle.  Circumnavigation : voyage maritime (aérien) autour d'un continent. (NA.T.) La Terre creuse  « En examinant le trajet des vols à travers les régions polaires, nous nous apercevons que ce trajet contourne toujours le pôle, ou passe à côté, mais qu'il ne le survole jamais. N'est-ce pas étrange ? Il ne fait aucun doute que si on annonçait un vol passant directement au-dessus du pôle Nord, il attirerait un grand nombre de passagers désireux d'éprouver une sensati on nouvelle. Or, chose bizarre, aucune ligne aérienne n'a jamais offert un tel vol.

Tous les itinéraires passent à côté de ce point stratégique. Pourquoi ? Ne serait- ce pas parce que, si le pôle était vraiment franchi, l'avion, au lieu d'aborder l'autre côté du globe, s'enfoncerait dans cette terre au-delà du pôle, " le centre du Grand Inconnu ", comme l'appelait Byrd ? » Palmer suggère qu'une expédition avançant toujours pl ein nord devrait être organisée, reconstituant le trajet de l'amiral Byrd, et continuant sur sa lancée jusqu'à ce que soit atteint l'intérieur creux de la Terre. Apparemment, cela n'a jamais été tenté. Et pourtant la Marine des Etats-Unis possède dans ses archives un compte rendu des vols et des découvertes de Byrd. Peut-ê tre faut-il chercher la raison de cet oubli dans la nouvelle conception géographique de la Terre au ni veau des régions polaires. Conception qu'il est nécessaire d'accepter pour pouvoir donner toute leur signi fication aux découvertes de Byrd. Et comme, évidemment, les chefs de la Marine n'attachent pas une grande importance à cette théorie - quand ils ne l'ignorent pas -, il leur a été difficile d'apprécier à leur juste et réelle valeur les rapports de l'amiral. Ce qu'a dit plus haut Palmer, concernant les r outes aériennes commerciales qui ne passent pas au- dessus du pôle Nord, semble fondé à la lumière des nouvelles découvertes soviétiques sur le pôle magné- tique. Les Russes ont trouvé que le pôle magnétique n'éta it pas un point, mais une ligne. Cette ligne, nous pensons, quant à nous, qu'elle est circulaire et qu'elle délimite les bords de la concavité polaire. De sorte que n'importe quel point sur ce cercle pourrait être identifié au pôle Nord magnétique. Il serait alors impossible aux avions de traverser le pôle Nord, celui-c i se situant au centre de la dépression polaire, et non à la surface de la Terre. En effet, quand les pilotes croient atteindre le pôle Nord, après avoir fait les corrections habituelles de navigation, ils se trouvent en réalité sur le bord de la concavité polaire, là où se tient le pôle magnétique. Une technique de vol pour entrer dans la dépression polaire, Se référant à l'ouvrage de Giannini, Palmer commente « Ce livre étrange nous fournit la preuve définitive que la Terre revêt une forme étrange aux pôles. Elle n'est pas nécessairement creuse d'un bout à l'au tre, mais se présente un peu comme un beignet qui aurait beaucoup gonflé en cuisant et laisserait apparaître une profonde dépression à chaque extrémité. « Aucun être humain n'a jamais volé directement au-dessus du pôle Nord et continué tout droit. Moi, je pense que ce devrait être fait, et fait immédiatement. Et je voudrais être sûr qu'un tel vol ne se terminerait pas dans une des régions environnant le pôle, exact ement à l'opposé du point de départ. Il serait utile d'apporter un soin particulier à la technique de na vigation. Premier point : éliminer la boussole ou la triangulation sur les cartes existantes, et utiliser uni quement le gyrocompas qui permet de garder une direction droite, constante et invariable depuis l'inst ant du décollage jusqu'à celui de l'atterrissage. Et pas seulement un gyrocompas à plan horizontal, mais un aussi à plan vertical (une fois entré dans l'ouverture polaire). Voilà un point positif, indiscutable. « On sait qu'un gyrocompas horizontal, comme il en ex iste actuellement, permet à un avion de gagner continuellement de la hauteur à mesure que la Terre d écrit une courbe au-dessous de lui. Or, suivant notre théorie de la dépression polaire, cel a signifierait que lorsqu'un avion entre dans cette dépression le gyro- compas devrait indiquer une augmentation d'altitude plus importante que celle qu'il enregistrerait norma- lement, cette différence étant attribuable à la courbure in térieure de la Terre au pôle.

Si l'avion poursuit sa route vers le Nord, cette augmentation d'altitude ira croi ssant ; mais si, par contre, l'appareil essaie de se maintenir à la même hauteur, il suivra la courbe inte rne de la dépression polaire et plongera dans le creux intérieur de la Terre. » La Terre creuse Une série d'articles de Giannini. Voici maintenant ce qu'écrivit Giannini à un lecteur de Soucoupes volantes qui lui demandait certaines précisions « Le bureau de la Recherche navale de New York avait aimablement accordé à l'auteur la permission d'envoyer un message radio à l'amiral Byrd, message ad ressé à sa base arctique en février 1947, et lui souhaitant bonne chance. « L'amiral Byrd venait d'annoncer dans la presse " J'aimerais voir la terre au-delà du pôle. Cette terre est le centre du Grand Inconnu. " A la suite de cela, Byrd et un corps expéditionnaire effe ctuèrent un vol de sept heures sur une distance de 2 700 kilomètres au-delà du pôle Nord considéré comme le " bout " de la Terre. « En janvier 1947, avant le fameux vol, l'auteur réussit à vendre une série d'articles à une agence internationale de presse, et cela uni quement en donnant l'assurance au directeur de l'agence que Byrd irait véritablement au-delà de ce point fictif qu'est le pôle. « Le résultat ne se fit pas attendre. Dès que les ar ticles parurent dans la presse, le bureau des Ren- seignements de la Marine rendit visite à l'auteur. Cette enquête prouvait en tout cas une chose : que les théories révolutionnaires de l'auteur n'étaient pas aussi fantaisistes qu'on voulait bien le croire, et qu'elles trouvaient une confirmation définitive dans le vol de Byrd. « Plus tard, en mars 1958, l'auteur prononça une allocution radiophonique dans le Missouri, dans laquelle il soulignait l'importance de la découverte de l'amiral Byrd. » Evoquant les comptes rendus de la presse new-yorkaise sur l'expédition de Byrd de février 1947, Giannini écrit « Ces dépêches, décrivant le vol de Byrd au-dessus de terres et de lacs d'eau douce, se multiplièrent jusqu'au moment où une censure stricte fut imposée de Washington. » A la porte du Royaume intérieur de la Terre. Un autre écrivain américain s'intéressant aux UFOs , Michael X, impressionné par les découvertes de Byrd, arriva à la conclusion que les soucoupes volantes venaient d'une civilisation avancée à l'intérieur de la Terre. Byrd en avait visité les zones limitrophes. Michael X décrit ainsi le voyage de Byrd « Il y avait une étrange vallée au-dessous d'eux. Cette vallée, bizarrement, n'était pas couverte de glace, comme cela aurait dû être le cas. Elle était verte et luxur iante. Il y avait des montagnes avec d'épaisses forêts, de l'herbe grasse et des broussailles. Encore plus st upéfiant, un immense animal fut observé, avançant dans ces broussailles. Dans une région de glace, de neige et de froid intense, c'était à peine croyable. « Quand l'amiral entra dans ce territoire inconnu, où se trouvait-il en réalité ? A la lumière des théories de Marshall Gardner, on peut répondre qu'il éta it précisément à la porte du Royaume intérieur de la Terre. « L'Alaska et le Canada ont fourni ces derniers temps un grand nombre de témoignages de gens qui avaient aperçu des soucoupes volantes. Y a-t-il un rapport avec la " terre au-delà du pôle " - ce territoire inconnu situé à l'intérieur de notre globe ? « Nous pensons que si les soucoupes volantes sortent de l'intérieur de la Terre, et y retournent en passant par les ouvertures polaires, il est logique qu' elles soient aperçues d'une manière beaucoup plus fréquente par les habitants de l'Alaska et du Canada, ces pays étant évidemment très proches du pôle. » L'Oasis de Bunger.

La Terre creuse  Les observations ci-dessus - qui font état d'une forte concentration de soucoupes volantes dans la région arctique - correspondent à de semblables obs ervations faites par Bender et Jarrold dans l'An- tarctique. Certains experts pensent d'ailleurs que l'Anta rctique sert de base d'atterrissage aux UFOs. Quoi qu'il en soit, suivant la théorie développée dans le présent ouvrage, une chose est sûre : c'est par les ouvertures polaires qu'on peut avoir accès au Monde intéri eur de la Terre, c'est donc par là que passent les soucoupes volantes qui sont les super-engins aériens de ce monde. Aimé Michel, dans sa théorie de la « ligne droite », prouve que les souc oupes volantes ont presque toutes le même type de vol, suivant une direction nord-sud. Ce qui confirmerait encore, s'il en était besoin, leur origine polaire. En février 1947, à peu près à l'époque où l'amiral Byrd accomplissait son vol mémorable au-delà du pôle Nord, une importante découverte était faite dans l'Antarctique, celle de « l'Oasis de Bunger ». Le capitaine David Bunger était aux commandes d'un des six grands appareils de transport utilisés par la Marine américaine pour « l'Opération High-jump » (1946-1947). Il avait quitté la base de Shackleton, près de la Côte de la Reine Marie, dans la Terre de Wilkes, et il volait vers l'intérieur du continent antarctique, lorsque, à environ 6 kilomètres du littoral, il aperçut une région sans glace, avec des lacs. Ces lacs étaient de différentes couleurs. Cela a llait du rouge sombre au bleu profond, en passant par le vert. Ils avaient tous plus de 4 kilomètres de l ongueur. L'eau était plus chaude que dans l'océan. Bunger put le vérifier en posant son hydravion sur l'un de ces lacs. La grève était en pente douce. L'oasis représentait grossièrement un carré. Au-delà, c' était une étendue sans fin de neige éternelle et de glace. Deux des côtés de l'oasis se dressaient à près de trente mètres de hauteur et étaient constitués de grands murs de glace. Les deux autres côtés étaient moins abrupts. La présence d'une telle oasis en plein Antarctique semblerait indiquer dans cet endroit précis des conditions de températures plus clémentes. Tel qu'il en existerait si l'oasis se trouvait justement dans la dépression polaire sud ! On peut di fficilement expliquer autrement les choses. Dire que cela résulte d'une activité volcanique souterraine n'est pas une réponse satisfaisante. Ce territoire sans glace représente une surface d'environ 600 kilomètres carrés, étendue trop im portante pour être affectée par une source de cha- leur volcanique. Les courants de vent chaud en prove nance de l'intérieur de la Terre sont une meilleure explication. Ainsi, Byrd dans l'Arctique et Bunger dans l'Anta rctique ont découvert à peu près à la même époque des régions bénéficiant d'une température presque chaude. Mais ils n'ont pas été les seuls. Il y a quelque temps, un journal de Toronto, le Globe and Mail, publiait une photo d'une vallée verdoyante, prise par un aviateur dans la région arctique . Evidemment, l'aviateur avait pris le cliché en vol et n'avait pas cherché à atterrir.

C'était une belle vallée avec des collines vertes, appartenant certainement à ce même territoire que Byrd avait visité au-delà du pôle. Cette photo fut publiée en 1960. La Terre creuse  Récit d'un voyage à l'intérieur de la Terre. Autre confirmation de la découverte de l'amiral les relations d'individus affirmant qu'ils étaient entrés dans la dépression polaire nord (comme beaucoup d'explor ateurs de l'Arctique le firent sans le savoir) et avaient atteint le Monde souterrain dans l'intérieur creux de la Terre. Le Dr Nephi Cottom, de Los Angeles, a rapporté qu'un de ses patients, un homme d'origine nordique, lui avait fait le récit suivant « J'habitais près du cercle arctique, en Norvège. Un été, je décidai avec un ami de faire un voyage en bateau et d'aller aussi loin que possible dans le Nord. Nous fîmes donc une provision de nourriture pour un mois et primes la mer. Nous avions un petit bateau de pêche muni d'une voile, mais aussi d'un bon moteur. « Au bout d'un mois, nous avions pénétré très avant dans le Nord, et nous avions atteint un étrange pays qui nous surprenait par sa température. Parfois il faisait si chaud la nuit que nous n'arrivions pas à dormir. (Les explorateurs arctiques qui se sont enfoncés dans les régions polaires ont fait de semblables observations sur ces hausses de température qui parfois les poussaient à ôter leurs lourds vêtements chauds. - L'AUTEUR.) « Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l'océan semblait se déverser ! Intrigués, nous continuâmes da ns cette direction, et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste ca non qui conduisait au centre du globe. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu'un soleil brillait à l'intérieur de la Terre! « L'océan qui nous avait transportés au creux de la Terre se rétrécissait, devenait graduellement un fleuve. Et ce fleuve, comme nous l'apprîmes plus tard, traversait la surface interne du globe d'un bout à l'autre, de telle sorte que si on en suivait le cours jusqu'à son terme on pouvait atteindre le pôle Sud. « Comme nous le constatâmes, la surface interne de notre planète comprenait des étendues de terre et d'eau, exactement comme la surface externe.

Le soleil y était éclatant, et la vie animale et végétale s'y déve- loppait abondamment. « Au fur et à mesure que nous avancions, nous déc ouvrions un paysage fantastique. Fantastique parce que chaque chose prenait des proportions gigantesques, les plantes, les arbres... et aussi les êtres humains. Oui, les êtres humains ! Car nous en rencontrâmes, et c'était des GÉANTS. « Ils habitaient des maisons et vivaient dans des villes semblables à celles que nous avons à la surface, mais de taille plus grande. Ils utilisaient un mode de tr ansport électrique, une sorte de monorail qui suivait le bord du fleuve d'une ville à l'autre. « Certains d'entre eux aperçurent notre bateau sur le fleuve et furent très étonnés. Ils nous accueillirent amicalement, nous invitèrent à déjeuner chez eux. Mon compagnon alla dans une maison, moi dans une autre. «J'étais complètement désemparé en voyant la taille é norme de tous les objets. La table était colossale. On me donna une assiette immense, et la portion qu'elle contenait aurait pu me nourrir une semaine entière! Le géant m'offrit au dessert une grappe de raisin, et chaque grain était aussi gros qu'une pêche. Le goût en était délicieux. A l'intérieur de la Terre, les fruits et les légumes ont une saveur délicate, un parfum subtil. Rien de comparable avec ceux de "l'extérieur". « Nous demeurâmes chez les géants pendant une a nnée, goûtant leur compagnie autant qu'ils appré- ciaient la nôtre. Nous observâmes au cours de ce séjour un certain nombre de choses aussi étranges qu'inhabituelles, toujours étonnés par l'ampleur des connai ssances scientifiques dont faisaient preuve ces gens. La Terre creuse  Durant tout ce temps, ils n'affichèrent jamais la moi ndre hostilité envers nous, et ils ne firent aucune objection quand nous décidâmes de repartir chez nous. Au contra ire, ils nous offrirent même courtoisement leur protection au cas où nous en aurions eu besoin pour le voyage de retour. » Ces géants, de toute évidence, appartenaient à la race antédiluvienne des Atlantes. Ils s'étaient réfugiés à l'intérieur de la Terre pour échapper au déluge qui submergea leur continent. « Le Dieu qui fume. »

Une expérience identique d'une visite à l'intérieu r de la Terre, par l'ouverture polaire, fut rapportée par un autre Norvégien, Olaf Jansen, et consignée dans le livre The Smoky God (Le Dieu qui fume). Ce livre, écrit par Willis George Emerson, est basé sur le r écit fait par Jansen à l'auteur de son extraordinaire voyage. Le titre : Le Dieu qui fume se rapporte au soleil central situé dans l'intérieur creux de la Terre. Etant plus petit et moins brillant que le nôtre, il donne l'im pression d'être brumeux, comme entouré d'un nuage de fumée. Le livre relate la véritable expérience d'un Norvégien et de son fils qui, dans leur petit bateau de pêche, tentent avec un courage indomptable de trouver « la terre d'au-delà du vent du nord », dont ils ont entendu vanter la douceur et la beauté. Une extraordinaire te mpête les projette dans l'ouverture polaire, et ils se retrouvent à l'intérieur de la planète où ils vont séjour ner deux ans, pour ensuite revenir par l'ouverture opposée, au pôle Sud. Là, malheureusement, un iceberg coupe en deux le bateau. Le père est tué. Son fils est sauvé de justesse. Mais il passera vingt-quatre années de sa vie en prison, incarcéré pour déficience mentale. Personne n'avait cru à son histoire. Une fois relâché, il se garda bien de reparler de son aventure. Il devint pêcheur pour gagner sa vie. Au bout de vingt-six ans, ayant économisé assez d'argent, il partit pour les Etats-Unis, s'établit dans l'Illinois, et ensuite en Californie. Il avait près de 90 ans lorsque , par hasard, l'écrivain Willis George Emerson fit sa connaissance et devint son ami. Le vieillard lui rac onta alors la fantastique aventure de sa jeunesse, lui montra les cartes qu'il avait dressées de l'intérieur de la Terre. Il n'avait jamais osé reparler de cela, de peur qu'on le prenne de nouveau pour un fou et qu'on l'enferme. Mais maintenant la mort était proche, et puis Emerson était son ami. Alors... Alors le vieillard mourut, et le livre Le Dieu qui fume, racontant son étrange périple, parut en 1908. Il y est question des gens qui habitent l'intérieur de la Terre, et que lui, Olaf Jansen, et son père ont rencontrés. Ces êtres vivent de 400 à 800 ans et possèdent une science très avancée. Ils peuvent se transmettre leurs pensées en utilisant certains types de radiations, et ils possèdent des sources d'énergie plus puissantes que l'électricité. Ainsi ces engins aériens qu'ils ont mis au point, et que nous appelons soucoupes volantes, sont-ils propulsés par une énergie supérieure, tirée de l'électromagnétisme de l'atmo sphère. Quant à leur stature, elle est tout aussi remarquable. Ils mesurent entre trois et quatre mètres de haut. Il est intéressant de noter combien ce récit recoupe cel ui que nous avons cité plus haut. Pourtant ils sont tout à fait indépendants l'un de l'autre. De la même façon, la taille gigantesque des êtres humains correspond à celle des animaux, comme l'a mis en lumière l'amiral Byrd, qui, au cours de son vol au-delà du pôle Nord, aperçut un animal monstrueux ressemblant à un mammouth. Nous présenterons plus tard la théorie de Mars hall Gardner, selon laquelle les mammouths découverts gelés dans la glace ne sont pas, comme on le croit, de s animaux préhistoriques morts il y a des milliers d'années, mais d'énormes pachydermes vivant actuellement à l'intérieur de la Terre.

 
 
RAYMOND BERNARD
LA TERRE
CREUSE
La plus grande découverte géogr
aphique de l'histoire humaine
Traduit de l'américain par
ROBERT GENIN
Edition originale américaine THE HOLLOW EARTH
1969 by University Books Inc., New York.
© Editions Albin Michel, 1971.
4 mai 2011

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