Dans le nouveau programme scolaire, la propagande homosexuelle atteint des cotes inimaginables
par Maria Nicola
Les manuels de biologie pour la première année des écoles secondaires de France comprennent, entre autres, le chapitre sur la « Reproduction ». A cette occasion, les enseignants doivent faire des leçons spéciales de « planification familiale », en d’autres termes, éducation sexuelle – autrement dit, les élèves du secondaire reçoivent gratuitement des préservatifs et on leur explique certains aspects concernant la protection, les maladies vénériennes, la grossesse, etc. Ces dernières années, les enseignants les plus zélés ont invité aux leçons d’éducation sexuelle quelques associations gays pour promouvoir leurs points de vue. Ces cas ne sont pas du tout singuliers, probablement parce que les enseignants qui n’ont pas une attitude « politiquement correcte » sont classés comme des « réactionnaires » et sanctionnés tant par le système, que par l’opinion « publique » des autres enseignants et des associations de parents. A partir de maintenant, les choses seront encore plus graves car, dans le chapitre « Reproduction », les manuels qui seront utilisés dès cet automne incluent des références directes et « scientifiques » à l’homosexualité.
La propagande gay est, en fait, omniprésente dans les écoles publiques en France. Il n’y a pas de bibliothèque, de salle, de couloir, qui n’affiche pas des matériels de propagande favorisant ouvertement la dégradation morale et la perversion des mœurs. « Homo, hétéro, nous sommes tous égaux », affirme, par exemple, une affiche de propagande. D’autres sont plus créatifs, diffusant le même message dans un esprit ludique qui sera accueilli avec plus de réceptivité, par exemple: « Julie aime les filles, mais n’aime pas les filles qui n’aiment pas les filles qui aiment les filles. »
De façon machiavélique, ce genre de propagande, qui combine parfois les messages pro-gay avec ceux anti-racistes, ce qui entraîne une confusion totale dans l’esprit des adolescents. Ainsi, ils représentent un groupe de garçons de différentes races et le message antiraciste (louable) est combiné avec celui pro-gay (condamnable) pour que le second semble moralement juste ou même acceptable. Un autre mécanisme psychologique d’une telle affiche est d’inhiber la tendance à condamner l’homosexualité, parce que ceci semble être une option raciste.
Les nouveaux manuels de SVT promeuvent (prétendument) l’homosexualité scientifiquement
SVT est le nom pompeux de ce qu’on appelait avant Biologie. Maintenant, dans le programme des écoles secondaires de l’enseignement public en France, la biologie est appelée « science de la vie et de la terre » (abrégé SVT). Les nouveaux manuels scolaires pour la première année qui ont été approuvés à partir de l’année scolaire 2011-2012 et qui sont obligatoires dans l’enseignement public, dans leurs différentes versions, contiennent une théorie bizarre appelée « la théorie du genre ». Il existe plusieurs versions approuvées du manuel, mais tous énoncent et développent « la théorie du genre », à qui sont alloués pas moins de trois chapitres! Cette « théorie du genre », soi-disant scientifique, mais qui, en réalité, est une chaîne de inepties et d’absurdités, part de l’idée absolument crétine que « le genre des êtres humains n’est pas identique à leur sexe ». A partir d’ici, tout un fil d’idées aberrantes démontre que les êtres humains devraient avoir libre option sur leur « genre ».
La « théorie du genre » n’est pas, bien sûr, nouvelle ; en raison du lobby effectué par les associations d’homosexuels, elle s’est insidieusement infiltrée ces dernières années en imposant un langage « prudent » et « politiquement correct » quand on parle de l’homosexualité. Par cette « théorie », les promoteurs de l’homosexualité cherchent à imposer au subconscient collectif des idées comme que l’hétérosexualité (en d’autres termes, l’orientation sexuelle saine et normale) n’est qu’un choix parmi les possibles options sexuelles des êtres humains.
L’usage du terme « théorie » n’est qu’un autre exemple de manipulation et de désinformation, de vouloir donner l’impression qu’il s’agit de quelque chose de vraiment élaboré, étudié, analysé, prouvé ... Mais cette « théorie » n’est pas, en fait, une théorie scientifique, mais un truc habile qui spécule l’utilisation d’un langage spécifique pour couvrir le non-naturel de certaines orientations et perversions sexuelles. Ainsi, on parle du « genre » d’un être humain et non pas de son « sexe » et ainsi il faudrait accepter toute variation et inversion sexuelle?
Voici un extrait de l’un des manuels approuvés de SVT : « Le sexe biologique détermine si nous sommes mâle ou femelle, mais cela ne suffit pas de dire si nous sommes du genre masculin ou féminin. L’identité sexuelle, construite au cours de toute notre vie, à travers une interaction constante entre le biologique et le contexte socioculturel, est néanmoins cruciale pour notre position en rapport avec les autres. Devenir un individu sexué est partie intégrante de la construction de l’identité. »
Si, en effet, « le genre » d’un être humain n’est pas une question de biologie, mais de psychologie et de sociologie, pourquoi cette théorie est abordée dans les manuels de biologie?! Effectivement, la théorie du genre affirme que chaque être humain peut choisir son genre et son orientation sexuelle est considérée comme quelque chose de complètement différent de l’identité sexuelle de l’être! La conséquence immédiate de cette soi-disante « vérité scientifique » est que les transsexuels ne peuvent pas être considérés anormaux et ne doivent pas être marginalisés. De là la conclusion que l’homosexualité ou la bisexualité sont des orientations sexuelles de la même catégorie que l’hétérosexualité, chacun représentant un choix possible, égal en termes de santé et de moralité – ce qui n’est pas vrai du tout.
L’introduction d’une telle « théories », qui n’est rien que de la propagande, dans les manuels scolaires devrait être un avertissement pour tous les parents qui veulent que leurs enfants soient heureux et... normaux. Par ailleurs, les études sociologiques montrent que la grande majorité des adolescents français commencent leur vie sexuelle pendant leurs études secondaires. Les adolescents, à cet âge, sont très influençables et on ne peut pas dire qu’ils ont déjà du discernement pour se rendre compte si quelque chose est fondamentalement faux. Par ailleurs, cette « théorie » n’est pas présentée comme une théorie parmi d’autres théories existantes dans le domaine, mais comme la seule théorie existante, possible et, implicitement, vraie.
Les parents abusent de leur rôle, conditionnant leurs enfants pour « devenir » les filles, respectivement, garçons?!
A partir de la déclaration citée ci-dessus, pour justifier la « normalité » des orientations aberrantes (et pour induire l’idée que l’orientation sexuelle normale n’est pas nécessairement naturelle) sont formulés divers arguments et plaidoiries. Par exemple, le manuel de SVT indique que : « L’identité sexuelle, c’est se sentir totalement homme ou femme. Et ceci n’est pas si simple que ça en a l’air! L’identité sexuelle dépend du conditionnement social. En effet, chacun apprend à devenir homme ou femme selon son environnement, car une fille n’est pas élevée comme un garçon: ils ne sont pas habillés de la même façon, on ne leur donne pas les mêmes jouets... »
Il est montré en outre que les parents obligent leurs enfants à devenir du genre masculin ou féminin par le fait qu’ils les habillent d’une certaine manière ou leurs offrent un certain type de jouets. De cette manière, affirme le manuel, les parents enlèvent à leurs enfants la chance de choisir leur propre orientation sexuelle, en leur imposant un modèle spécifique au « genre » qui correspond directement au sexe auquel ils appartiennent. Les affirmations de ce genre sont des techniques de manipulation et rien d’autre. D’une part, nous savons tous que, en matière d’habillement, ce n’est plus inhabituel pour les filles de porter des pantalons – beaucoup plus pratiques que les robes. Et au contraire, pensez-vous vraiment qu’il y a beaucoup de gars qui demandent comme cadeau une poupée? Ou les filles, il arrive souvent qu’elles veulent des voitures et des fusils, et leurs parents leurs offrent des poupées juste pour les forcer à devenir... des filles?
Pour justifier l’aberration du fait que nous pouvons choisir le « genre » que nous voulons et nous croyons que tout nous va, cette théorie ne fait pas économie d’arguments et des spéculations pseudo-scientifiques. A une analyse minutieuse on peut démonter toutes les parties de ces fausses démonstrations. Par exemple, un argument sur lequel on insiste beaucoup est le fait que, dans les sept premières semaines de vie intra-utérine de l’embryon humain, le sexe de l’enfant ne se développe pas encore (les organes sexuels ne commencent pas à se développer). Cependant on ne mentionne pas du tout le fait que le sexe du fœtus est déjà prédéterminé par la combinaison de chromosomes.
Le troisième genre: etc.!
De façon hilaire, pour justifier l’affirmation selon laquelle le genre des êtres humains se développe à cause des influences socioculturelles, les manuels de SVT affirment, ni plus ni moins qu’il y a quelques cultures dans le monde où les populations connaissent l’existence de... trois genres! Dans ces cultures, dit le manuel, il est connu qu’un être humain peut être, attention, « homme, femme, etc.... » Donc le troisième genre est… « Etc. » ??? Ultérieurement, on revient avec des précisions quant à ce détail, que le troisième genre désignerait les personnes qui ne sont considérées comme étant ni hommes, ni femmes (sic !). Est-il généralisé le genre neutre des substantifs?
Dans ce contexte, deux exemples sont donnés: une tribu d’Amérindiens, le peuple Ojibwe, où on rencontre l’acceptation des homosexuels et le peuple de Samoa (un archipel du Pacifique Sud). Les soi-disant « berdaches », les indiens Ojibwe homosexuels (le terme couramment utilisé pour eux est d’origine française) sont de véritables outils de propagande pro-gay. On fait l’éloge de la liberté dont ils jouissaient, à épouser des personnes de leur sexe, de se déguiser etc., et l’on spécule une connotation supposée « spirituelle » de cette inversion sexuelle. Quant aux Polynésiens gay de Samoa, ils sont appelés « Mahu » ou « fa’afafin », ce sont les hommes qui adoptent des comportements féminins. Il est dit à leur sujet qu’ils auraient un rôle important dans le maintien de la vie sociale et familiale à Samoa.
Mais on ne nous explique pas, toutefois, pourquoi serait-il nécessaire, dans le XXIe siècle, à adopter le modèle des tribus primitives et pourquoi ce modèle serait-il normal, contrairement à toutes les autres sociétés et cultures traditionnelles connues dans l’histoire. Mais surtout, on ne nous expose pas la bonne taille de ces tribus (les amérindiens Ojibwe sont environ 80.000 personnes vivant dans les Etats-Unis et au Canada, la population Samoa compte environ 100.000 personnes au total), et du bizarre « troisième genre » (il est scandaleux d’insister sur le côté présumé spirituel de cette déviance sexuelle) qui occupe un minuscule pourcentage dans la cadre de ces populations de très petite taille. Certainement, nous ne comprenons pas pourquoi ces tribus primitives, avec une culture rudimentaire et avec une population totale à la dimension d’une petite ville de Roumanie, devrait donner le ton du comportement sexuel d’une planète entière, avec une population de plus de 6 milliards de personnes, au début du 3ème millénaire!
Et parce que l’insulte et probablement trop subtile (ou insuffisante), les étudiants français sont informés sur le fait qu’il y a une espèce de singes, les bonobos, dont le comportement sexuel « n’est pas nécessairement lié à la reproduction ». D’ici on devrait probablement conclure que, s’il y a une espèce de singes chez laquelle parfois les mâles s’accouplent entre eux, alors l’homosexualité n’est pas contre nature!
La plus grande mystification: la position de l’Église et la condamnation de l’homosexualité dans la Bible
Les exemples scandaleux pourraient aller avec chaque phrase, idée ou image des trois chapitres consacrés à ce sujet dans les manuels de SVT. Par exemple, est loué le courant féministe dans sa variante extrême, mais est ridiculisé de façon caricaturale le modèle classique de la famille traditionnelle.
Cependant, le pire aspect apparaît dans un paragraphe encadré intitulé « Qu’est-ce la Bible dit à propos de l’homosexualité? ». Parmi d’autres mensonges grossiers, on dit que « l’Eglise ne condamne pas les personnes homosexuelles », passant entièrement sous silence le fait que l’Eglise chrétienne interdit et condamne de manière catégorique l’homosexualité. A propos du célèbre épisode biblique de la destruction de deux villes, Sodome et Gomorrhe, qui ont été rasées par Dieu de la surface de la terre parce que leurs habitants étaient pour la plupart homosexuels, on ne mentionne rien. C’est certainement une mystification énorme! Par conséquent, nous vous proposons ci-dessous ce passage important de l’Ancien Testament et nous vous suggérons de le lire très attentivement.
Ce qu’on dit dans la Bible de l’homosexualité?
Nous vous offrons ci-dessous le passage de la Genèse intitulé « La destruction de Sodome et Gomorrhe » :
1. Et les deux anges vinrent à Sodome sur le soir; et Lot était assis à la porte de Sodome. Et Lot les vit, et il se leva pour aller à leur rencontre, et se prosterna le visage en terre;
2. et il dit : Voici, mes seigneurs, détournez-vous, je vous prie, vers la maison de votre serviteur, et passez-y la nuit, et lavez vos pieds; et vous vous lèverez le matin, et vous irez votre chemin. Et ils dirent : Non, mais nous passerons la nuit sur la place.
3. Et il les pressa beaucoup, et ils se détournèrent pour aller chez lui, et entrèrent dans sa maison; et il leur fit un festin, et cuisit des pains sans levain, et ils mangèrent.
4. Ils n’étaient pas encore couchés que les hommes de la ville, les hommes de Sodome, entourèrent la maison, depuis le jeune homme jusqu’au vieillard, tout le peuple de tous les bouts de la ville.
5. Et ils appelèrent Lot, et lui dirent : Où sont les hommes qui sont entrés chez toi cette nuit ? Fais-les sortir vers nous, afin que nous les connaissions.
6. Lot sortit vers eux à l’entrée, et ferma la porte après lui;
7. et il dit : Je vous prie, mes frères, ne faites pas ce mal.
8. Voici, j’ai deux filles qui n’ont point connu d’homme; laissez-moi les faire sortir vers vous, et faites-leur comme il vous plaira. Seulement, à ces hommes ne faites rien, car c’est pour cela qu’ils sont venus à l’ombre de mon toit.
9. Et ils dirent : Retire-toi ! Et ils dirent : Cet individu est venu pour séjourner ici et il veut faire le juge ! Maintenant nous te ferons pis qu’à eux. Et ils pressaient beaucoup Lot, et s’approchèrent pour briser la porte.
10. Et les hommes étendirent leurs mains et firent entrer Lot vers eux dans la maison, et fermèrent la porte.
11. Et ils frappèrent de cécité les hommes qui étaient à l’entrée de la maison, depuis le plus petit jusqu’au plus grand, de sorte qu’ils se lassèrent à chercher l’entrée.
12. Et les hommes dirent à Lot : Qui as-tu encore ici ? Gendre, et tes fils, et tes filles, et tout ce que tu as dans la ville, fais-les sortir de ce lieu;
13. car nous allons détruire ce lieu, car leur cri est devenu grand devant l’Éternel; et l’Éternel nous a envoyés pour le détruire.
14. Et Lot sortit, et parla à ses gendres qui avaient pris ses filles, et dit : Levez-vous, sortez de ce lieu, car l’Éternel va détruire la ville. Et il sembla aux yeux de ses gendres qu’il se moquait.
15. Et comme l’aube du jour se levait, les anges pressèrent Lot, disant : Lève-toi, prends ta femme et tes deux filles qui se trouvent ici, de peur que tu ne périsses dans l’iniquité de la ville.
16. Et il tardait; et les hommes saisirent sa main, et la main de sa femme, et la main de ses deux filles, l’Éternel ayant pitié de lui; et ils le firent sortir, et le laissèrent hors de la ville.
17. Et il arriva, quand ils les eurent fait sortir dehors, qu’il dit : Sauve-toi, pour ta vie ! Ne regarde pas derrière toi, et ne t’arrête pas dans toute la plaine; sauve-toi sur la montagne, de peur que tu ne périsses.
18. Lot leur dit : Non, Seigneur, je te prie !
19. Voici, ton serviteur a trouvé grâce à tes yeux, et la bonté dont tu as usé à mon égard en conservant mon âme en vie a été grande; et je ne puis me sauver vers la montagne, de peur que le mal ne m’atteigne, et que je ne meure.
20. Voici je te prie, cette ville-là est proche pour y fuir, et elle est petite; que je m’y sauve donc, (n’est-elle pas petite ?), et mon âme vivra.
21. Et il lui dit : Voici, j’ai accueilli ta demande en cette chose aussi, de ne pas détruire la ville dont tu as parlé.
22. Hâte-toi de te sauver là; car je ne peux rien faire jusqu’à ce que tu y sois entré. C’est pourquoi on a appelé le nom de la ville Tsoar.
23. Le soleil se levait sur la terre quand Lot entra dans Tsoar.
24. Et l’Éternel fit pleuvoir des cieux sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu, de la part de l’Éternel;
25. et il détruisit ces villes, et toute la plaine, et tous les habitants des villes, et les plantes de la terre.
26. Et la femme de Lot regarda en arrière, et elle devint une statue de sel.
27. Et Abraham se leva de bon matin, et vint au lieu où il s’était tenu devant l’Éternel.
28. Et il regarda du côté de Sodome et de Gomorrhe, et du côté de tout le pays de la plaine, et il vit, et voici, la fumée de la terre montait comme la fumée d’une fournaise.
29. Et il arriva, lorsque Dieu détruisit les villes de la plaine, que Dieu se souvint d’Abraham et renvoya Lot hors de la destruction, quand il détruisit les villes dans lesquelles Lot habitait.
Genèse, chapitre 19, 1-29
Exercices et problèmes
Comme si les affirmations de ces leçons n’étaient pas suffisamment aberrantes, les chapitres traitant de ce sujet s’achève, comme tous les autres chapitres des manuels, avec ... exercices et problèmes pour tester la compréhension correcte, la mémorisation et l’assimilation des connaissances enseignées.
On propose aux étudiants des exercices comme: « Expliquez pourquoi l’orientation sexuelle fait partie du domaine de la vie privée. » De façon hilaire, à côté de cet exercice est placée une photo représentant deux hommes à la parade Gay avec une tenue et des gestes totalement ridicules. Sous l’illustration est écrit: « Toute personne à droit à une sexualité élargie ». Alors... quel rapport avec la vie privée?
Il y a des exercices classiques, qui nécessitent de déterminer si certaines affirmations sont vraies ou fausses. Certaines questions, qui sont, en effet, des vérités scientifiques, sont mises sur un pied d’égalité avec des spéculations ou des généralisations. Voici deux affirmations qui, dans un tel exercice, sont mises ensemble comme si les deux étaient vraies:
• Il y a un stade de l’embryon humain où il n’y a pas de différence entre un fœtus mâle et un femelle (ce qui est évidemment vrai, scientifiquement prouvé – les organes génitaux du fœtus se développent à partir de la huitième semaine de grossesse, mais son sexe est cependant déterminé par le chromosome X ou Y qui provient du spermatozoïde à partir du moment effectif de la conception).
• L’identité sexuelle peut être en désaccord avec le phénotype sexuel (ceci est le mensonge de base que la « théorie du genre » veut inoculer dans les esprits des jeunes).
Réactions adverses et propagande pro
Les nouveaux manuels scolaires ont provoqué une vague de réactions d’indignation qui ont été totalement ignorées par les autorités. Avec les écoles catholiques, d’autres associations ont protesté contre les nouveaux manuels. Elles ont initiés une pétition en ligne, diverses personnalités ont écrit quelques articles (des lettres ouvertes adressées aux officiels) très pertinentes, le ministre français de l’Education a été interrogé par plusieurs parlementaires à travers des adresses officielles... Tous ces efforts sont restés sans réponse. En outre, ceux qui ont demandé la révision des manuels scolaires ont été violemment accusés par certains syndicats de l’éducation par des déclarations de propagande comme « Les associations familiales catholiques ont commencé une nouvelle croisade. Cette fois, ils ont ciblé le programme de SVT de la première année de lycée et, comme mentionné dans les manuels scolaires, elles refusent d’accepter les différences ! » La machine à propagande a commencé à créer de l’agitation et à invoquer l’intégrité professionnelle et la nécessité de sécularisation de l’éducation.
Le fait d’être hétérosexuel, c’est-à-dire normal, est-il devenu un handicap? N’a-t-il pas déjà été atteint en ce sens à une situation similaire à la propagande anti-raciste? Dans ce cas, pour être « politiquement correct » ce n’est pas suffisant de promouvoir l’égalité des races, mais il est indiqué de souligner l’infériorité de la race blanche! De la même manière, juste pour donner « l’égalité des chances » à toutes les communautés religieuses, les chrétiens, dans de nombreux pays, ont le moins de droits, par rapport à toute autre religion ou confession?
La question rhétorique que nous pouvons énoncée dans la fin de cette analyse est la suivante: si les promoteurs de l’homosexualité sont tellement convaincus qu’elle est biologiquement, moralement et spirituellement correcte, pourquoi tant de mensonges, de mystifications, de techniques de manipulation et des raisonnements erronés pour la promouvoir? Pourquoi ils ne présentent pas, en égale mesure, le rôle historique de l’hétérosexualité et ses avantages? Pourquoi on n’enseigne pas aussi aux adolescents la biologie et la psychologie normale des deux sexes?
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