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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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Archives
23 mars 2016

Les ORMUS pierre philosophale et invisibilité atomique

gfgfgLes éléments ORMUS, 
Ils sont partout, dans l’eau, l’air, la terre, depuis la nuit des temps, mais
ils n’ont été mis en évidence scientifiquement que dans les années 70, par hasard…
Les ORMUS sont des éléments en métal précieux témoignant d’un quatrième état
de la matière, ni solide, liquide ou gazeux, un état M jusque-là inconnu de la science et qui leur confère des propriétés physiques extraordinaires :
invisibilité, téléportation, supraconductivité, capacité à infléchir l’espace-temps…
Sur le plan biologique, les ORMUS constituent des minéraux nutritifs très intéressants pour l’agriculture et la santé, y compris dans le traitement du cancer. Des caractéristiques qui ne sont pas sans rappeler « l’or blanc » des alchimistes,
la pierre philosophale ou la manne biblique…

L’histoire commence en Arizona à la fin des années 70 avec un riche planteur de coton nommé David Hudson. Le sol volcanique de cette ré­gion étant connu pour posséder des propriétés rares et renfermer des métaux précieux, Hudson entreprend un beau jour d’en commander l’analyse quantitative complète. Stupéfaits, les laborantins constatent qu’une partie des éléments défie toute analyse : on n’y décèle aucune caracté­ristique métallique, aucune réaction chimique et aucune signature spectroscopique ! L’un des chercheurs propose alors de prolonger l’ana­lyse du spectre. Ce n’est qu’à ce moment-là que commencent à apparaître les carac­téristiques spectrales, et que se révèle, à la surprise générale, la présence de métaux précieux ! Disposant de moyens financiers considérables, Hudson dé­cide de pousser plus loin les investi­gations, et engage des chimistes pour résoudre cette énigme. Les résultats dé­taillés figurent dans le brevet qu’il a déposé1. Il donne ensuite de nombreuses conférences publiques, pourtant, pas un seul article ne paraît dans la presse scientifique. Pour ma part, j’ai découvert ce phénomène en visionnant plus de neuf heures de conférences de Hudson en vidéo.
Les allégations de Hudson sont très audacieuses, et espérant leur trouver une validation théorique, j’ai tardé à écrire à leur sujet. Bien qu’aucune re­cherche universitaire officielle ne sem­ble être en cours, un groupe informel de scientifiques et de profanes planche sur la question depuis quelques années. Sans aucun financement ni soutien d’un laboratoire officiel, et sans le moindre lien avec Hudson, ce groupe a réus­si à reproduire certains de ses résultats. Leurs tra­vaux, de même que ceux d’Hudson, sont présentés dans les articles que Barry Carter, grand spécialiste des éléments ORMUS, publie sur un site Web très complet et très instructif2 (voir encadré ci-contre). Il existe aussi plusieurs forums sur Internet, dont l’un, animé par des passionnés de sciences, aborde les divers aspects chimiques et physiques de ces matériaux ainsi que les méthodes d’extraction et d’analyse.
Des métaux monoatomiques
Avec ces éléments, nous entrons dans une ère nou­velle et très complexe où nous avons tout à appren­dre. On peut considérer qu’un nouveau chapitre de la physique, de la chimie et de la biologie est en train de s’ouvrir. Au vu des travaux d’Hudson et de ce groupe indépendant, il semble désormais incon­testable qu’un certain nombre de métaux précieux (et d’autres moins précieux), parmi lesquels le rhodium, l’iridium, l’or, le platine, le palladium et le cuivre, peuvent être isolés à l’état solide bien que non métallique, sous forme d’une poudre grise ou blanche aux propriétés extraordinaires.

Hudson baptise d’abord ces éléments ORME, Orbitally Re-arranged Monatomic Elements [Éléments Monoatomiques à Orbites Réorganisés]. À ce moment-là, il croit que les électrons des ORME sont réorganisés de telle sorte qu’ils ne se prê­tent plus aux réactions chimiques. Selon lui, les liaisons qui assurent normalement la cohésion des atomes de métaux à l’état solide sont man­quantes ; ces métaux seraient donc monoatomi­ques. Des recherches ultérieures indiquent la présence d’éléments diatomiques et de liaisons instables avec d’autres élé­ments, en particulier les métaux al­calins. Les éléments ORME s’appellent désormais ORMUS. On dit également qu’ils sont à l’état M.
Supraconducteurs ?
Selon Hudson, les électrons ainsi réorganisés forme­raient des paires de Cooper (co-auteur de la théorie de la su­praconductivité), susceptibles de devenir supraconductrices à des températures normales. En guise de démonstration, Barry Carter a produit une petite vidéo où l’on voit la fameuse poudre grise vive­ment repoussée à l’approche d’un aimant. On peut cependant objecter que ce phénomène de « grains sauteurs » n’est pas in se une preuve de supraconduc­tivité… Pour explorer cette controverse, il suffit de se reporter à quelques publications tout public re­commandées par Hudson lui-même. Il y est question d’un état dans lequel certains atomes de métaux lourds acquièrent un « spin élevé » par allongement de leur noyau ; mais cela n’a pas encore été réalisé à une échelle significative [le spin est l’unité ca­ractéristique de la transformation d’un objet sous l’action de la rotation dans l’espace. Ex : une étoile à cinq branches reprend son aspect initial après avoir pivoté sur une seule branche ; on dit que son spin est de 5. Une figure à laquelle il faut un tour complet a un spin 1].
Par la suite, Hudson commande les analyses de dif­férents matériaux et confirme la présence d’élé­ments ORMUS dans la plupart des échantillons, par­ticulièrement dans ceux issus de sols volcaniques. D’autres chercheurs déclarent en avoir décelé dans la plupart des eaux natu­relles, les plus fortes concentrations ré­sidant dans l’eau de mer, surtout la Mer Morte. L’un des cher­cheurs prétend en avoir trouvé dans l’air (il n’est pas surprenant qu’à l’état monoatomi­que, même un élé­ment lourd puisse se comporter comme un gaz rare).
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une manne pour l’humanité
Le rhodium, l’iridium, l’or, le platine, le palladium et le cuivre peuvent être isolés à l’état solide bien que non métallique sous forme d’une poudre grise ou blanche aux propriétés extraordinaires.
En fait, la découverte des ORMUS ne date pas de ces dernières décennies. Selon Barry Carter, qui se passionne pour les ORMUS depuis 1989 et sillonne le monde pour les faire connaître, on en retrouve la trace jusque chez les Mésopotamiens et les Égyptiens.
Ce qui est vraiment étonnant au sujet de cette énigmatique poudre blanche d’or, à spin élevé, et des métaux platinoïdes, c’est que leur découverte n’est en fait pas récente. Les anciens Mésopotamiens l’appelaient shem-an-na et les Égyptiens la désignaient par mfkzt (la traduction des hiéroglyphes omet les voyelles), tandis que les Alexandrins la vénéraient comme un don du Paradis, et plus tard des chimistes, tel Nicolas Flamel, l’appelèrent la Pierre philosophale. À toutes les époques de l’histoire, la « poudre de projection » sacrée était réputée posséder d’extraordinaires pouvoirs de lévitation, de transmutation et de téléportation. On disait qu’elle produisait une lumière brillante et des rayons mortels, tout en étant la clef d’une longévité physique active. Dans la mythologie grecque, la quête de cette substance était au centre de la légende de la Toison d’Or, tandis qu’en termes bibliques, c’était le domaine mystique de l’Arche d’Alliance, le coffre en or que Moïse ramena du Sinaï et qui fut ensuite conservé au temple de Jérusalem.

Le platine rend l’ADN supraconducteur
Dans le monde actuel, l’Institut des Études Avancées (Austin, Texas) a décrit cette substance comme « matière exotique », et sa supraconductivité (une de ses caractéristiques principales) a été déclarée par le Center for Advanced Studies (université de l’Illinois) comme étant « la propriété physique la plus remarquable de l’univers ». Dans un article du numéro de mai 1995 du Scientific American, les effets du métal ruthénium, du groupe platine, étaient abordés en relation avec l’ADN humain. On y observait que lorsqu’un unique atome de ruthénium était placé à chaque extrémité d’un brin d’ADN court, ce brin devenait 10 000 fois plus conducteur. Il devenait en fait un supraconducteur. Depuis quelque temps, les chimistes se doutaient que le double hélicoïde pourrait créer, dans l’axe de la molécule, un chemin hautement conducteur, et nous en avions ici la confirmation. Pareillement, la Platinum Metals Review a régulièrement publié des articles concernant l’utilisation du platine, de l’iridium et du ruthénium dans le traitement des cancers. Lorsque l’état d’un ADN est modifié (ce qui est le cas dans un cancer), l’application d’un composé de platine entrera en résonance avec la cellule déformée, provoquant la détente de l’ADN et sa rectification. Un tel traitement n’implique aucune chirurgie ; il ne détruit pas les tissus environnants par des radiations et n’agresse pas le système immunitaire, comme le font la radiothérapie et la chimiothérapie. La profession médicale s’intéressa au haut spin lorsque la division de recherche biomédicale de la compagnie pharmaceutique Bristol-Myers Squibb annonça que les atomes de ruthénium interféraient avec l’ADN, corrigeant la malformation de cellules cancéreuses. (L’or et les métaux monoatomiques du groupe platine sont en fait des « atomes furtifs », et il est à présent établi que les cellules du corps communiquent entre elles par l’intermédiaire des atomes furtifs à travers un système d’ondes lumineuses). Ce que la nouvelle science découvre,

c’est que le ruthénium monoatomique entre en résonance avec l’ADN, démonte l’hélicoïde court et le reconstruit correctement ; exactement comme on démonte et reconstruit un bâtiment en mauvais état. On sait que l’iridium et le rhodium ont tous deux des qualités anti-vieillissement, tandis que les composés de ruthénium et de platine interagissent avec l’ADN dans le corps cellulaire.
Conscience élevée, corps de lumière
On sait également que, dans leur état monoatomique à haut spin, l’or et le platine peuvent activer le système glandulaire endocrinien au point de porter la conscience, la perception et les aptitudes à des niveaux extraordinaires.
À cet égard, on estime que la poudre d’or à haut spin a un net effet sur la glande pinéale, augmentant la production de mélatonine. Pareillement, la poudre d’iridium monoatomique a un effet similaire sur la production de sérotonine de la glande pituitaire, et réactiverait « l’ADN-rebut » ainsi que les zones du cerveau imparfaitement exploitées, ou pas du tout. Nonobstant toute la recherche actuelle coûteuse et étendue dans ce domaine, les secrets des pierres à feu de haut spin étaient donc connus de nos ancêtres il y a des milliers d’années.
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Ils connaissaient l’existence des supraconducteurs propres au corps humain : éléments de la conscience individuelle qu’ils appelaient le « corps de lumière » (le ka). Ils savaient que le corps physique et le corps de lumière devaient être nourris pour augmenter la production hormonale, et l’ultime aliment, la poudre magique de projection, était fabriquée par les prêtres Maîtres artisans des temples (les Gardiens de la Maison de l’Or) dans le but précis de déifier les rois... Elle fait sa réapparition aujourd’hui en tant que nouvelle substance primordiale dans des domaines allant du traitement du cancer à l’avion furtif. Elle pourra même fournir la « matière exotique » essentielle au voyage spatial vers des dimensions d’espace-temps inaccessibles jusqu’ici.
Source : http://www.b-harmony.com/calendrier/barry_carter.htm

source Par le Dr Roger Taylor © 2006

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