JAPON la radioactivité touche le monde attention aux particules !!!
TEPCO commence enfin à admettre la gravité de la situation…
Les dernières nouvelles du Japon sont mauvaises et convergent toutes vers une catastrophe environnementale qui va impacter non seulement le Japon et les pays limitrophes, mais aussi le monde.
Il est constaté que la pollution environnementale par les contaminants radioactifs est en cours et globalement monte en charge,ceci vient d’obliger l’Union Européenne à revoir en catimini à la hausse, par la publication d’une Ordonnance d’urgence, les valeurs (normes) des irradiations admissibles notamment dans la nourriture, afin d’éviter une pénurie alimentaire .
In situ, il ne fait plus aucun doute que le réacteur de l’unité 1 de Fukushima est entré en fusion, TEPCO, l’a admis officiellement hier, Il est logique de supposer que les autres sont peut être dans le même processus.
Si TEPCO fait actuellement des recherches de traces de plutonium dans la mer au large du site c’est aussi un très mauvais signe.
TEPCO a donné hier les chiffres des contaminants disséminés, les quantités sont phénoménales.
Pour la première fois aussi hier, le gouvernement Japonais a diffusé les chiffres des valeurs des radiations cumulées, et évidement, ils sont très mauvais, la situation ne pourra pas s’éterniser pour la population dans certaines zones très vastes.
L’autre réalité c’est la contamination par les particules, pareillement pour la première fois hier les grands médias commencent à diffuser des imageries explicatives concernant la contamination radioactive externe et interne par les particules, il était effectivement incroyable de voir depuis un mois notamment des personnes circulant en véhicules dans les zones contaminées sans protection particulière NBC et ensuite les véhicules intégrés dans la circulation normale sans décontamination,
ceci a engendré une extension des zones contaminées et une dissémination des particules radioactives contaminantes.
Le bouclage total des zones décidé hier par le gouvernement est une décision trop tardive qui va avoir des conséquences négatives sur les personnes et l’environnement.
Notions de physique du spectre : Les irradiations ionisantes de l’énergie nucléaire ou non ionisantes des Hyper Fréquences micro-ondes sont des rayonnements électromagnétiques artificiels. L’énergie dégagée par leurs irradiations est inversement proportionnelle à leurs longueurs d’ondes. Peut-elle casser la chaîne d’ADN ? Dans les deux cas la réponse est positive.
Aujourd’hui personne ne peut prédire sur le cours, le moyen et le long terme l’évolution et l’impact de l’irradiation planétaire issue des particules radioactives des 6 réacteurs de Fukushima, c’est ce qui est essentiel pour la France, en conséquence sans être paranoïaque il est nécessaire d’être lucide et d’envisager les scénarios possibles du moindre mal au pire. État de la situation : Il est constaté une détérioration inexorable de la situation sur le site et de la pollution environnementale au Japon. Globalement malgré des avancées "positives" la situation n’est plus préoccupante, mais échappe carrément à tout contrôle, d’ailleurs actuellement le site de Fukushima vient une nouvelle fois d’être évacué par rapport au réacteur n° 3 dont personne n’est capable d’évaluer ce qui s’y passe, c’est tout dire ! Présentation test par Next-up de protections NBC (anti-particules)
Le problème essentiel de la dangerosité de cette catastrophe nucléaire qui est en cours vient justement du réacteur n°3 à eau bouillante (sans échangeur), c’est le plus puissant de la centrale de Fukushima, c’est le seul qui chargé en MOX d’AREVA (7% de plutonium) rejette directement dans l’atmosphère des particules de plutonium par les canalisations endommagées du circuit d’eau bouillante de la cuve du réacteur. Ironie de l’histoire, le plutonium français qu’AREVA a expédié au Japon par bateau, nous est "réexpédié en France par les Japonais", mais par voies aériennes !. Si en France les concentrations de polluants radioactifs et de particules dans l'air seront évidemment considérablement plus faibles que celles mesurées dans la zone de Fukushima, il n’en reste pas moins que les dépôts de particules radioactives sur les personnes, les sols et les végétaux existeront.
la CRIRAD vient de publier un communiqué : COLERE ET INDIGNATION – VOLET N°1 "Les chiffres relatifs à la contamination de l’air existent mais ils sont confisqués par les Etats !" Ce qui est sûr, ces retombées atmosphériques radioactives issues des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi sont un cocktail dangereux dont nous ne savons ni sa composition exacte, ni son intensité radioactive Becquerels par mètre cube (Bq/m³), ni sa densité en particules. Elles peuvent contenir notamment du césium 135 (très longue période radioactive), du césium 134 (période de 2 ans), du césium 137 (principal radionucléide avec une période de décroissance de moitié tous les 30 ans), des iodes radioactifs dont de l'iode 131 (période de 8 jours), et surtout le top des poisons : du plutonium. Même si le plutonium rejeté aurait tendance à retomber rapidement dans un rayon de plusieurs dizaines de kilomètres, rien ne peut exclure sa présence, même minime, dans le panache qui se déplace dans la troposphère (couche atmosphérique en dessous de 10 000 m) ceci par des vents porteurs à plusieurs milliers de kilomètres. Question et réponse : Savez-vous pourquoi l’autorité IRSN, créée pour rassurer les Français va mentir une fois de plus comme pour Tchernobyl ? Parce que cela ne sert à rien de dire la vérité et d'affoler les populations par rapport aux particules puisqu'il n'y a rien à faire, en effet rien n’a été prévu pour ce genre de scénario à l’échelle de la nation ! De plus la catastrophe actuelle est totalement inusitée de part son ampleur, sa complexité et sa pérennité. Dit autrement : Ne pas confondre zone irradiée (irradiations) et … nuages de particules. Il en faut pas confondre une zone irradiée par des matières radioactives qui émettent des radiations et qui nécessitent une zone d’exclusion (exemple autour de la centrale nucléaire de Fukushima), mais qui ne rend pas la matière radioactive et les particules radioactives qui sont rejetées dans l’atmosphère et qui bien évidemment sont aussi présentes en très forte densité dans la zone de Fukushima. Si vous portez un masque NBC et une combinaison étanche les particules radioactives ne sont pas inhalées et se déposent sur la combinaison étanche à usage unique qu’il suffit de quitter pour se débarrasser des particules. Par contre en ce qui concerne les rayonnements par exemple de type bêta issus d’une zone irradiée, c’est différent, la combinaison ne sert strictement à rien, ces rayons en fonctions de leurs intensité vont détruire les cellules, c’est ce que l’on appelle l’irradiation. Pareillement si vous inhalez de l’air contaminé avec des particules radioactives l’effet sanitaire est dévastateur en fonction du type de radionucléides. Par exemple pour les particules d’iode 131, les atomes d’iode 131 vont venir se fixer dans votre thyroïde, ensuite ils vont se désintégrer et vous irradier en rayons bêta, ce qui aura en principe pour conséquence la survenue d’un cancer de la thyroïde. C’est la raison pour laquelle dans un tel cas, il faut saturer préventivement la thyroïde avec des pastilles d’iode 127.
L’essentiel de la protection : Se protéger de l’inhalation par voie aérienne et ne pas ingérer par la nourriture des particules radioactives. Il ne faut pas inhaler (air) et ingérer (nourriture) des particules radioactives, c’est la notion fondamentale de base de la protection afin de ne pas être contaminé, mais aussi de ne pas être une source de contamination pour les autres. Il existe toute une panoplie d’actions en fonction de la menace, des moyens financiers et physiques que les personnes peuvent mettre en oeuvre. Les mieux protégés étant les Suisses où par obligation d’urbanisme la plupart des maisons possèdent un abri antiatomique équipé. La contamination par voies aériennes des particules en suspension se fait essentiellement par la bouche, le nez et les muqueuses des yeux. Pour se protéger, le top efficace à 100 % est de porter un masque spécifique NBC (Nucléaire, Bactériologique et Chimique) avec une cartouche filtre, il inclut la protection de tout le visage. Ce type de masque de protection NBC est à l’origine de conception à usage militaire (en principe au standard de l’OTAN pour l’Europe). Il est nécessaire pour tout déplacement de personne dans une zone où des contaminants aériens sont présents. Ce masque doit être associé avec le port d’une combinaison étanche à usage unique, des gants et des bottes, l’ensemble ayant des liaisons étanches réalisées avec du ruban adhésif. Parallèlement il est nécessaire le temps que les contaminants aériens disparaissent de confiner son appartement afin de réduire autant que possible la circulation d’air notamment aux fenêtres, portes et issues sur l’extérieur. En principe se protéger à des degrés divers tant faire que se peut contre les particules ne revient pas très cher, puisqu’il est possible de trouver dans le commerce des types de masques plus ou moins efficaces à usage unique avec clapet anti-retour, des lunettes de protection et des combinaisons à usage unique. Pour les combinaisons à usage unique celles-ci doivent être impérativement de type bi-couches avec à l’extérieur
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