LE MEDICAMENT METYRAPONE POUR EFFACER LES MAUVAIS SOUVENIRS ?
DES CHERCHEURS INCONSCIENTS OU DIABOLIQUES DE L’UNIVERSITE DE MONTREAL ONT AINSI DECOUVERT QU’UN MEDICAMENT, LA METYRAPONE, PERMET AUX INDIVIDUS DE NE PAS (OU DE PEU) SE REMEMORER LES « SOUVENIRS NEGATIFS », ET CECI AVEC UN EFFET A LONG TERME !
LE BUT AVOUE EST BIEN LA MODULATION, LA DIMINUTION, L’ALTERATION OU LA SUPPRESSION DES SOUVENIRS NEGATIFS, AVEC LA POSSIBILITE « D’ECRIRE PAR-DESSUS LA PARTIE EMOTIONNELLE DES SOUVENIRS » DES INDIVIDUS !
Alors, bien sûr, nos anges de la mort des labos nous présentent et nous vantent, comme d’habitude, les applications PSEUDO-MEDICALES qui pourront être faites d’une telle drogue, comme par exemple « aider les personnes souffrant de syndromes tels que le syndrome de stress post-traumatique ». Quel humanisme, n’est-ce pas ?
Ainsi, par exemple, les militaires pourraient utiliser cette drogue afin d’atténuer fortement ou de supprimer les souvenirs infernaux que les soldats ramènent des champs de bataille (nous avions d’ailleurs vu que des recherches similaires sont en cours avec des puces cérébrales implantables qui pourraient court-circuiter l’hippocampe, une partie du cerveau qui joue un rôle dans la fixation des souvenirs à long terme).
Autre exemple : un gouvernement tyrannique pourrait se servir de cette drogue comme d’un moyen de contrôle des populations afin d’atténuer ou de supprimer le souvenir, dans l’esprit de ces populations, d’une décision qui aurait un impact nocif sur leur vie.
LE BUT EST FINALEMENT DE VOLER A L’INDIVIDU SON LIBRE-ARBITRE, Y COMPRIS SUR LA FAÇON DONT IL RESSENT LES FAITS ET DONT IL LES INTEGRE AU NIVEAU EMOTIONNEL. SUPPRIMER LE LIBRE-ARBITRE, DIRIGER LES EMOTIONS DES INDIVIDUS, ET TRANSFORMER LES GENS EN ZOMBIES ET EN ESCLAVES DOCILES DU « SYSTEME » : VOILA OU MENE CE GENRE DE « DECOUVERTE »
LE MEDICAMENT METYRAPONE POUR EFFACER LES MAUVAIS SOUVENIRS ?
Par Rick Nauert PhD, rédacteur en chef
Commenté par John M. Grohol, Psy.D.
Des chercheurs de l’Université de Montréal disent que LE MEDICAMENT METYRAPONE REDUIT LA CAPACITE DU CERVEAU A RE-ENREGISTRER LES EMOTIONS NEGATIVES ASSOCIEES AUX SOUVENIRS DOULOUREUX. EN D'AUTRES TERMES, IL EMPECHE QUE L’ON SE SOUVIENNE OU QUE L’ON SE RAPPELLE DES MAUVAIS SOUVENIRS.
L'étude de l'équipe défie la théorie selon laquelle des souvenirs ne peuvent être modifiés une fois qu'ils sont stockés dans le cerveau.
« La Métyrapone est un médicament qui diminue de manière significative les niveaux de cortisol, une hormone du stress qui est impliquée dans le fait de se rappeler des souvenirs », a expliqué l'auteur principal (de cette étude) Marie-France Marin, étudiante en doctorat.
Manipuler le cortisol à proximité du moment où l’on forme de nouveaux souvenirs peut DIMINUER LES EMOTIONS NEGATIVES qui peuvent leur être associées, ont dit les chercheurs.
« Les résultats montrent que LORSQUE NOUS DIMINUONS LES NIVEAUX D'HORMONES DE STRESS AU MOMENT DU RAPPEL D'UN EVENEMENT NEGATIF, NOUS POUVONS DETERIORER LE SOUVENIR DE CET EVENEMENT NEGATIF AVEC UN EFFET DE LONGUE DUREE », a déclaré Sonia Lupien, Ph.D., qui a dirigé les recherches.
Trente-trois hommes ont participé à cette étude, qui impliquait l'apprentissage d'une histoire composée d'événements neutres et négatifs.
Trois jours plus tard, ils ont été divisés en trois groupes - les participants du premier groupe ont reçu une dose unique de métyrapone et un deuxième groupe a reçu une double dose. Le troisième groupe a reçu un placebo.
Les participants du groupe ont ensuite été invités à se rappeler de l'histoire. Puis, dans les 4 jours ayant suivi l’élimination du médicament de l'organisme, la performance de la mémoire individuelle a été réévaluée.
« Nous avons constaté que les hommes dans le groupe ayant reçu deux doses de métyrapone étaient affaiblis lorsqu’il fallait se souvenir des événements négatifs de l'histoire, alors qu'ils ne présentaient aucun handicap à se rappeler des parties neutres de l'histoire », a dit Marin.
« Nous avons été surpris que le souvenir diminué de l'information négative était toujours présent lorsque les niveaux de cortisol étaient revenus à la normale ».
Cette recherche offre de l’espoir aux personnes souffrant de syndromes tels que le syndrome de stress post-traumatique (cf. http://psychcentral.com/disorders/ptsd/ ).
« Nos découvertes pourraient aider les gens à faire face à des événements traumatiques en leur offrant la POSSIBILITE « D’ECRIRE PAR-DESSUS » LA PARTIE EMOTIONNELLE DE LEURS SOUVENIRS au cours d’une thérapie (cf. http://psychcentral.com/psychotherapy/ ) », a dit Marin. UN OBSTACLE MAJEUR, CEPENDANT, EST LE FAIT QUE LA METYRAPONE N'EST PLUS FABRIQUEE INDUSTRIELLEMENT.
Malgré la non disponibilité du médicament, la preuve du concept pourrait STIMULER DE FUTURES ETUDES CLINIQUES.
« D'autres médicaments diminuent aussi les niveaux de cortisol, et d'autres études avec ces composés nous permettront d'acquérir une meilleure compréhension des mécanismes cérébraux impliqués dans la MODULATION DE SOUVENIRS NEGATIFS ».
Source: Université de Montréal : http://psychcentral.com/news/2011/05/27/drug-metyrapone-to-erase-bad-memories/www.umontreal.ca/ang/index.htm