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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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11 septembre 2014

Découverte d'un champ antigravitationnel et d'invisibilité naturel de Grebennikov

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Découverte du Cavern Structures Effect

Tout ce que nous pouvons dire sur la vie et sur les découvertes de Viktor Stepanovich Grebennikov est révélé dans deux publications de celui-ci.

 

La première est un article sur les « Propriétés physiques et biologiques des nids d’abeilles pollinisatrices », publié en 1984 dans le Bulletin des Sciences Agricoles de Sibérie n°3. Grebennikov y explique avoir observé des phénomènes bio-physiques anormaux produits par de vieux nids d'abeilles : une sensation de chaleur semble s'en dégager sans qu'aucun instrument de mesure ne puisse relever la moindre anomalie. Après avoir reproduit ces nids dans différents matériaux, Grebennikov arrive à la conclusion que ses observations ne sont pas dues à la nature des nids, mais bien à leur structure formée d'alvéoles hexagonales et symétriques.

 

Il caractérise l'Effet des Structures en Cavités ainsi :

 

  • Il en rayonne un champ d'énergie qui se ressent comme une impression de chaleur.

  • Les montres mécaniques et électroniques placées dans un champ CSE puissant commencent à fonctionner de manière « imprécise ».

  • À forte concentration, et dans certaines conditions, il peut étourdir, rendre nauséeux, accélérer le rythme cardiaque et donne à la bouche un goût métallique, comme si on avait placé sa langue sur une pile, nous dit l'auteur.

  • Aucun matériau ne peut lui faire écran.

  • Le champ CSE ne diminue pas avec la distance, mais reste enclavé dans une enceinte invisible.

  • Même après déplacement de la source émettrice, les effets persiste longtemps.

  • Il inhibe la croissance de bactéries du sol saprophyte (qui se nourrit de matières organiques en décomposition), des levures et la germination du blé.

 

Profitant des caractéristiques supposées du CSE, il construit une chaise antidouleur constituée d'un chapiteau comportant six rangées superposées de rayons vides, mais intacts, d’abeilles à miel. Elle est exposée au musée d’écologie agricole proche de Novosibirsk.

 

En outre, Grebennikov pense avoir percé le secret qui permet aux abeilles de retrouver leur nid sans peine à des kilomètres de distance. Celui-ci, de par sa structure unique, génèrerait un champ CSE qui s'apparente à une « balise d'onde ». De la même manière, Grebennikov explique que les fleurs – en plus de leurs couleurs, odeurs, nectars – utilisent leurs formes comme balise spécifique afin d'attirer les insectes pollinisateurs.

 

Mais, ses observations étant réalisées en dehors de toute mesure sérieuse, basées sur des impressions et des sensations ressenties, elles ne sont pas tenues pour scientifiques.

 

 

Découverte d'un champ antigravitationnel et d'invisibilité naturel

 

 

Amère et déçu de l'accueil fait à sa thèse, Grebennikov publie en 1997 « Mon monde ». Le livre n'est plus disponible en librairie et aucune réédition n'est attendue pour le moment. L'entièreté de l'ouvrage est uniquement accessible, en russe, sur le site http://bronzovka.ru/oglav.html. Cependant, face à l'intérêt croissant que lui porte le milieu de la physique underground, des traductions partielles sont présentes sur le net. Celles-ci se limitent exclusivement au cinquième chapitre : « Vol ».

En réponse aux critiques passées, Grebennikov y présente un instrument de mesure destiné à manifester la présence d'un CSE. Le dispositif mis au point est assez rudimentaire : il s'agit d'un récipient de verre, scellé, contenant une paille - ou un fusain brûlé - suspendu à un fil d'araignée. Mis en présence d'un champ CSE, la paille suspendue ferait une lente rotation de quelques dizaines de degrés.

Grebennikov explique ce déplacement comme la répulsion mutuelle de deux corps à cavités multiples, résultant du scintillement des électrons hors de ces corps. Il justifie sa théorie en se basant sur certains aspects de la mécanique ondulatoire. Entre autre, sur les découvertes de Louis de Broglie (1892-1987) ; qui a émis en 1924 l'hypothèse que toute particule est transportée par une onde et que la masse de ces particules n'est pas constante, mais variable.

Plus loin, il affirme avoir vérifié ces pistes théoriques de manière spectaculaire, au cours de l'été 1988. Il manipulait alors deux enveloppes de chitine prélevées au bas du logement de l'aile d'un « gros » insecte sibérien, dont l'identité est gardée secrète. En opposant les deux morceaux, il affirme en avoir vu un s'élever et léviter au dessus de l'autre. Les enveloppes de chitine observées - caractérisées par l'auteur de microstructures spongieuses, extrêmement bien ordonnées et tridimensionnelles aux formes étoilées – semblent donc avoir opposé une force répulsive, générant un phénomène naturel d'antigravité. En liant solidement entre-elles plusieurs couches de cette mystérieuse chitine, Grebennikov dit obtenir un agglomérat capable, non seulement de faire léviter une punaise, mais en plus de la rendre quelques instants invisible.

Grâce à ces étonnantes observations, il explique avoir mis au point une plateforme volante capable d'atteindre une altitude maximale de 300 mètres et de se déplacer à une vitesse moyenne de 25km/min. Le dispositif est décrit comme invisible, sans ombre projetée et silencieux, ne provocant presque pas de friction d'air. Il est mut par la génération d'un champ qui est supposé l'englober. Celui-ci est qualifié de « colonne invisible s’évasant vers le haut et qui annule l’attraction de la gravité terrestre ».

L'engin est constitué d'une planche sur laquelle on se place debout et d'un manche télescopique directionnel. Les seules indications techniques distillées par l'auteur est qu'il a disposé sous la planche un système de « panneaux » et de « masques ». On peut déterminer la présence d'au moins deux panneaux disposés à droite et à gauche dessous la plateforme. Ceux-ci se constituent de deux blocs de filtres microcellulaires plus ou moins indépendants les uns des autres, qui permettent d'orienter le système. Les masques viennent se glisser et se croiser sous les panneaux afin de diminuer ou d'annuler la poussée du champ antigravitationnel. Cela permettrait à Grebennikov de réduire sa vitesse de déplacement ou d'effectuer un atterrissage.

 
 
 

 

 

Comme si cela n'était pas suffisant, Grebennikov indique que le mystérieux champ pourrait être à l'origine de plusieurs phénomènes surnaturels :

  • Un champ CSE puissant émanerait des mains, capables de donner une forte poussée à un objet léger sur une table, de le maintenir en suspension dans l'air ou de le coller « magnétiquement ». Ce qui impliquerait que tout le monde dispose de capacités kinesthésique et radiesthésiste.
  • Si l'engin est dit « invisible et sans ombre », cela ne l'empêche pas d'être aperçu par certaines personnes de façon déformée.

Il apparait donc comme une sphère de lumière ou un disque ou une sorte de nuage oblique avec des bords pointus. [...] Les pilotes eux-mêmes sont « transformés » et on les observe comme des humanoïdes en vêtements argentés, que ce soit petit et vert, ou plat comme s’ils étaient en carton, etc. Ainsi, il se peut très bien que ce ne soient pas des hommes d’équipage d’OVNI aliens, mais des pilotes terrestres et des constructeurs de petites plateformes comme la mienne, qui ont rendu leurs inventions fiables et qui temporairement apparaissent déformés.[...] Je suis sûr qu’une partie des descriptions d’OVNIs correspond réellement à celles de plateformes, de quartiers de panneau et d’autres grosses pièces d’appareils sorties délibérément ou accidentellement du champ actif par ceux qui les ont conçues ou fabriquées.

''Viktor Stepanovich Grebennikov, « Mon monde », chapitre cinq « Vol »''

 

  • Lors de ses vols, Grebennikov affirme avoir observé un fonctionnement anormal de sa montre. Ce qui lui fait dire que l’appareil ne voyage peut-être pas uniquement dans l’espace. Il appuie ses dires en expliquant qu'il n'est jamais parvenu à ramener de ses escapades un seul insecte. Soit le tube à essai dans lequel il les capturait s'écrasait, soit il était troué, soit l'insecte était redevenu chrysalide.

 

  • Les trous relevés sur les tubes à essai, de 3 à 5mm, ressembleraient à ceux présents dans les vitres d'habitations sibériennes. Les bords de ces trous semblent avoir fondus et sont colorés de brun. L'explication avancée officiellement fait référence à des microplasmoïdes à vie courte. Grebennikov affirme quant à lui qu'il s'agit là de petits grains tombés par inadvertance de machines volantes similaires à la sienne.
 
 


 

 

  • En outre, Grebennikov ajoute que les ruptures temporelles engendrées par son système peuvent provoquer un effet « poltergeist ».

 

[...] avec des mouvements inexpliqués d’objets domestiques, des commutateurs d’appareils électriques qui s’allument et s’éteignent et même mettent le feu.

 

''Viktor Stepanovich Grebennikov, « Mon monde », chapitre cinq « Vol »''

 

  • Pour finir, à l'occasion d'une chute libre accidentelle, la plateforme ne s'est pas écrasée au sol. Elle s'est contentée de creuser un puits profond dans la terre ; d’abord à la verticale puis à l’horizontale. La particularité du tunnel ainsi créé est qu'il ne présente pas de déblais à l'entrée. Grebennikov explique ainsi l'observation de trous similaires le 24 Octobre 1989 dans les champs du district de Khvorostyansk dans la région de Samara. Ce fait divers est rapporté par le journal Komsomol'skaya Pravda du 6 décembre 1989.

 

Analyse critique des révélations de Grebennikov

 

Il est essentiel, tout d'abord, de faire une distinction entre le Cavern Structures Effect explicité dans le premier article de Grebennikov et le champ antigravitationnel présenté dans son livre. Si, de manière intuitive, le lecteur aura associé les deux, l'auteur ne réalise jamais explicitement ce rapprochement. D'ailleurs, lorsqu'il raconte son observation au microscope du morceau de chitine, il ne fait que se poser la question sans y répondre :

 

Pourquoi un insecte a besoin de ça ? De plus, à part au moment du vol cette structure au bas du logement de l’aile n’est jamais visible. Était-ce peut-être la balise d’onde avec « mon » effet de structures à cavité multiples ?

''Viktor Stepanovich Grebennikov, « Mon monde », chapitre cinq « Vol »''

 

 

C'est sans doute dans le même esprit qu'il parle très peu de « son » CSE lorsqu'il fait mention des vols, mais bien d'un champ antigravitationnel. Ainsi, plusieurs indices laissent à penser que Grebennikov a intentionnellement laissé planer le doute. Est-ce dans le but de ne rien révéler sur son système de propulsion ou pour ne pas associer sa vraie grande découverte avec quelque chose de fantasque ?

 

Dans tous les cas, Grebennikov a essayé de justifier davantage le CSE que ses vols, pour lesquels il n'a apporté aucune preuve concluante et qu'il a gardé suffisamment obscurs pour ne pas être confrontés.

 

Tout d'abord, Grebennikov affirme n'avoir pu saisir ni en dessin, ni en photo la structure tridimensionnelle des morceaux de chitine qu'il a observés. Il affirme qu'il n'existe rien de comparable, aucun élément qui puisse servir de référent pour approcher sa structure.

 

Ensuite, il n'a jamais pu retrouver la trace de l'insecte d'où provenaient les morceaux de chitine. Il affirme ne les avoir rencontrés qu'une et une seule fois de nuit et en avoir capturé beaucoup. Aucune identification n'a donc été possible et l'auteur ne donne aucun élément susceptible d'y parvenir. Il prétend ainsi protéger l'espèce en voie d'extinction et met en garde ceux qui souhaiteraient retrouver l'insecte que ce serait chose impossible.

Enfin, seule une série de photographies prouve l'existence matérielle du dispositif. Grebennikov prétexte un problème d'obscurateur qui ne lui permettait pas de prendre en photographie ses déplacements aériens. Il propose cependant une photographie de son décollage.

 
 

 

 

L'unique élément visuel qui nous permet d'affirmer que l'engin est bien en train de planer est son ombre portée au sol. Comble de l'absurde pour cette machine supposée voler grâce à un champ qui annule son ombre.

 

 

 

Tentative d'explication


Que penser de tous ces phénomènes surnaturels que Grebennikov explique par sa découverte.

Je l'affirme sur base de ma propre expérience, amère, quand je voulais obtenir la reconnaissance de mes précédentes découvertes, y compris d’une aussi évidente que celle de l’effet CSE ; dont vous êtes maintenant, vous, lecteurs, bien convaincus de la réalité. Voici le fruit de mes efforts prolongés et assidus pour obtenir que le CSE soit reconnu scientifiquement :

 « Toute correspondance ultérieure avec vous au sujet de votre application de brevet aurait des effets contraires » 

Je connais personnellement certains des Grands Prêtres de la Science et je suis certain que si j’avais pu obtenir une audience avec l’un d’entre eux [et démontrer que son dispositif pouvait voler] il n’aurait  pas été impressionné – ou pire encore, il aurait donné l’ordre de jeter hors du bureau cet escroc. J’espère voir un temps où des jeunes remplaceront ces « prêtres ». 

''Viktor Stepanovich Grebennikov, « Mon monde », chapitre cinq « Vol »''

 

Dans ce passage, Grebennikov apparaît comme un homme aigris par son vain combat. Ce cinquième chapitre consacré au vol n'est-il pas une tentative désespérée pour justifier et prouver l'importance de son CSE ? Une provocation lancée à ces scientifiques bornés pour qu'ils comprennent qu'ils sont passés à côté de quelque chose.

Grebennikov avance une date à ses débuts de vols expérimentaux : le 17 mars 1990. À cette époque, des vagues d'observations d'OVNI secouent alors la Sibérie. Grebennikov s'y intéresse. Il fait mention d'articles sur le sujet parus dans la Pravda et le Komsomol'skaya Pravda et à quelques observations spectaculaires comme le crash d'OVNI à Dalnegorsk, le 29 janvier 1986 et la supposée rencontre du troisième type de Voronezh en 1989.

Sans doute a-t-il remarqué l'attitude crédule et passionnée de la « nouvelle génération » face au phénomène ; alors qu'elle délaisse royalement la sauvegarde des parcs et réserves naturelles. Même le milieu scientifique s'en mêle sans avoir eu besoin de la moindre preuve ou mesure objective.

 

 

Quand je vole je n’ai pas le même ressenti que lors d’un vol en rêve. C’était avec le vol en rêve que j’avais commencé ce livre il y a un certain temps.

 

''Viktor Stepanovich Grebennikov, « Mon monde », chapitre cinq « Vol »''

 

Dans son écriture, Grebennikov est ainsi passé d'envolées oniriques à des déplacements sur plateforme antigravitationnelle. Mais si sa véritable motivation est d'attirer l'attention, de faire du bruit, ce n'est ni pour obtenir la postérité, ni pour approcher l'admiration : il désir sauvegarder la Nature en lui rendant son voile de mystère, en suggérant un regain d'intérêt pour se monde délaissé.

 

L’Académie d’Agriculture (toujours plus obsédée par la chimie que par autre chose) pas plus que de Comité de Protection de l’Environnement ne souhaitaient vraiment me voir sauver ces petites réserves des gens ignorants et malveillants. [...]

Je ne sais pas si je vous ai persuadé, cher lecteur, que des appareils similaires seront bientôt disponibles pour pratiquement tout le monde, alors que la Nature Vivante, elle, sans laquelle les humains ne peuvent survivre, ne serait plus disponible pour personne, si nous ne la préservons pas. [...]

Seulement, cette clairière peut disparaître si je ne fais pas en sorte – et il y a personne d’autre sur qui compter – de la protéger pour mes descendants des plus proches aux plus lointains d’entre eux. [...]

C’est pourquoi, maintenant, qu’est-ce qui est le plus valable pour l’Humanité : la préservation des insectes ou l’appareil fait maison capable de développer l’attraction vers le zénith d’au moins 100 kg et la vitesse horizontale de 30 à 40 km/min ? Je vous le demande cher lecteur… Mais réfléchissez bien avant de donner une réponse sérieuse et responsable. [...]

Par conséquent laissez donc pour de la science fiction tout ce que j’ai raconté dans ce chapitre et l’annexe. Puisse la nature elle-même ne jamais révéler son secret.

''Viktor Stepanovich Grebennikov, « Mon monde », chapitre cinq « Vol »''


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