
Le Secret des châteaux et des cathédrales
Les Rois de France étaient-ils en possession d'un Secret, tellement énorme et anachronique, qu'il était impossible à dévoiler ? Il aurait alors semblé judicieux de coder l'information dans la pierre afin d'assurer une transmission au futur. Ainsi, les grands monuments de la France, châteaux et cathédrales, portent-ils à différents niveaux une connaissance cachée, un héritage d'un passé oublié. Les indices se retrouvent dans le choix des implantations cartographiques, dans les plans des bâtiments, dans la décoration, les sculptures, les dimensions… Les Rois et la noblesse de France nous ont légué leur secret en utilisant une architecture colossale que eux seuls étaient à même de créer.
A-t-il existé une antique civilisation très évoluée à l'image de la mythique Atlantide ? Cette société originelle perdue dans l'Age d'Or nous aurait laissé un héritage culturel détenu par l'ancienne Royauté. La France de l'Ancien Régime était sans doute l'héritière d'un dépôt ancestral, une bibliothèque de pierre qui certifiait l'existence d'un monde qui avait précédé le nôtre. Nous parlons ici d'une civilisation antérieure à l'Antiquité gréco-latine, antérieure même à l'Egypte des Pharaons. Ce « trésor » culturel avait de quoi déplaire à la toute puissante Eglise, de par la mise en cause de la chronologie biblique. Il devenait alors nécessaire d'en différer la divulgation en codifiant certains monuments importants du pays. Le Secret des Rois de France et de la monarchie française sera dévoilé un jour : il éclairera le passé d'une lumière nouvelle et surprenante. Toutes les preuves sont là, sur la carte de France, dans ces constructions qui sont autant d'inestimables pierres précieuses. Je vous invite à découvrir des facettes insoupçonnées de ces diamants, rubis et émeraudes étincelants de lumières, à l'image des vitraux de l'art gothique.
En passant, nous rendrons visite à deux personnalités majeures de l'ésotérisme : Léonard de Vinci et Nostradamus. Les tableaux de l'un et les prophéties de l'autre ont bien des secrets à nous révéler, en accord avec la cabale architecturale.
Peut-être pensez-vous que tout ceci n'est que rêve d'ésotérisme coupé du réel ? Il n'y aurait ni énigme, ni mystère? Je vous propose un faisceau de preuves impressionnant et révolutionnaire. A vous de larguer les amarres du conventionnel: naviguez sur les eaux de la nouveauté !
Source : Didier Coilhac
Le site de Kariong en Nouvelle-Galles du Sud
Kariong est une localité de la région de la côte centrale de la Nouvelle-Galles du Sud, c'est aussi l'un des sites les plus mystérieux et les plus controversés, connu comme l'endroit des hiéroglyphes de Gosford.
Le site des glyphes de Kariong propose près de 300 gravures sur deux murs de grès, dont certains pensent qu'ils sont un exemple d'une forme précoce de l'écriture égyptienne et ont attiré l'intérêt général au fil des ans.
Ils ont longtemps été considérés comme faux par les autorités et les universitaires depuis leur découverte dans les années 1970, mais il y a encore des tentatives en cours pour prouver qu'ils ont été sculptés par les anciens Egyptiens.
Source : abc
Les glyphes de Gosford sont un groupe d'environ 300 présumés hiéroglyphes égyptiens dans une région connue pour ses pétroglyphes autochtones. Elles sont sculptées dans deux murs de grès parallèles à environ 15 m (49 pi) de long. Ils représentent des bateaux, des poules, des chiens, des hiboux, des hommes de bâton, l'os d'un chien ainsi que deux qui semblent être les noms des rois, l'un d'eux est Khéops, l'autre incertain.
Il y a aussi une sculpture de l'ancien dieu égyptien Anubis. Ils ont été rapportées en 1975 par Alan Dash, un expert local qui avait été en visite dans la région depuis sept ans. Dash a continué pendant cinq ans et a signalé que le nombre de hiéroglyphes avait augmenté chaque fois qu'il a visité. Depuis lors, les hiéroglyphes ont été revendiqués par les égyptologues amateurs d'être un script authentique sculpté par les anciens Egyptiens, il ya 4500 ans.
En 2013, la zone entourant les glyphes a été déclarée comme un lieu autochtone par le gouvernement NSW; et une très grande "carte des étoiles", avec plus de 3000 points, a été cartographiée et publiée sur Internet par l'équipe "Mot d'origine" des enquêteurs amateurs dirigés par Steven et Evan Forte.

La Théorie de Steven et Evan Forte
En consultation avec les aînés de l'Australie , nous croyons que nous avons redécouvert une histoire cachée. Nous avons écrit cinq livres «Construire une carte du Nouveau Monde ", " Rêve de Marie-Madeleine ", " Mot d'origine " , " Ancient Aliens en Australie " ( co-écrit avec Daniella Cardenas et Bruce Fenton ) et " Shunned » qui réécrivent l'histoire de Australie et dans le monde .
L'objectif principal de nos livres est de prouver par des faits scientifiques que les aînés disent la vérité sur leurs origines. Nous avons réuni les faits sur les découvertes archéologiques, ainsi que des contacts précoces, la génétique, les mythes, les histoires du serpent , Le Monde du Rêve, les mythes amérindiens , des parallèles avec les textes religieux, etc qui forment une théorie cohérente. Contrairement aux autorités qui évoluent dans le domaine limité de leur spécialité, nous réunissons toutes les disciplines ensemble et essayons de résoudre l'énigme..
Notre revendication est soutenue par l'analyse des gènes de l'ADN mitochondrial, du sang et de nombreuses expertises prouvant que le Peuple Premier d'Australie partit à la voile et atteignit l'Amérique, il y a 50.000 ans. Qu'ils ont visité de nombreux autres endroits, y compris l'Egypte, le Japon, l'Afrique, l'Inde, etc... Ils ont été les premiers Homo sapiens qui ont évolué avant le Sapiens de l'Afrique, et qui ont apporté l'Art, la religion, la technologie maritime, la culture, la vie coopérative, la langue et la chirurgie.
Beaucoup ne savent pas que le professeur Alan Wilson à qui nous avions demandé son avis et qui pensait que nous avions évolué à partir de l'Afrique, s'est rétracté et croit maintenant qu'un petit groupe d' Homo Erectus a quitté l' Australie il y a 400 000 ans. Il pense qu'ils ont évolué en Homo sapiens et se sont ensuite propagés à partir de l'Australie bien avant les Africains .
Le débat sur la possibilité qu'ils ont été les premiers en Amérique est pratiquement une affaire entendue. Des centaines d'os et de crânes ont été découverts qui sont incontestablement des crânes d'origine aborigène australienne. Ces découvertes ont rendu les experts perplexes. Le Professeur Clive Gamble prétend nous « devons construire une nouvelle carte du monde, et comment il a été peuplé. « Nous répondons à l'appel et tentons de dissiper la confusion .
Nous suivons aussi l'héritage du "Rêve" qui est d'origine australienne et de retrouve dans les croyances mystiques. Nous croyons que ses principaux éléments sont évidents dans toutes les religions, en particulier dans le gnosticisme.
(Vue d'artiste : Kariong - Les émanants)
A propos des auteurs
Steven Strong est un enseignant du secondaire avec une formation en archéologie et de l'éducation. Il a participé à la formation d'un diplôme d'études supérieures de l'éducation des Autochtones pour la NSW (Ministère de l'Éducation), les unités sur le droit traditionnel et l'histoire contemporaine de l'écriture. Il a été également co-auteur de l'ouvrage intitulé "Aborigènes d'Australie : une langue et kit culturelle».
Evan Strong a une formation en sociologie et en psychologie.
Ils ont passé de nombreuses années à apprendre et à vivre avec la Confédération Bundjalung Langue et Gumilaroi - les gens du Nord de la Nouvelle-Galles du Sud.
Source : forgottenorigin et Traduction : Les Emanants
Avant l’appel téléphonique de Nina Angelo (OAM), je ne savais rien des luttes impliquant la protection du territoire de Kariong (à côté de Gosford) ni que cette partie du territoire avait été mise sur le marché. Une fois arrivé sur le site, j’avais remarqué beaucoup d’arbres marqués et une pancarte « à vendre », quelque part sur une route principale, mais ne connaissant pas toute la région, rien ne m’était resté.
Le territoire à vendre abritait les Glyphes de Gosford, situées près de Kariong, à peu près à 60 km au nord de Sydney. Ce site comporte des hiéroglyphes peu connus sculptés à la façon « Egypte antique », mis en lumière par plusieurs chercheurs depuis les dernières décennies.
Nous sommes convaincus que tout près de ce site, et jamais vus auparavant par des non-Aborigènes depuis leur très récente découverte, se trouve une plateforme rocheuse comportant une série de gravures sacrées d’importance considérable. Sur cette grande plateforme, nous avons vu un poisson, un serpent, un dauphin ou une baleine énorme, des cercles ainsi qu’une diversité de formes et de symboles.
Il s’agit sans aucun doute d’une impressionnante galerie d’art rupestre antique Aborigène qui mérite d’être protégé. Il y a une gravure grandeur nature de Durramullan (fils de l’Esprit de la création Biamie) qui est tellement singulière, totalement inattendue et manifestement sacrée, que des décisions ont dû être prises sur la manière de la qualifier publiquement.
Rien ne se rapproche de cela ailleurs en Australie, c’est tout. C’est tout ce que nous avons convenu de révéler. Les photographies prises tard dans l’après-midi sur ce site, et en particulier celles de Durramullan, ne devraient pas être reproduites ou publiées par quelque média que ce soit mais…
En raison de la réelle possibilité que ce territoire puisse être vendu (bradé) et ensuite acquis, indépendamment des intervenants pour ou contre les Glyphes de Gosford, une approche différente s’avère indispensable.
Nous avons convenu d’adopter une position de catégorisation en nous répartissant tous les sites et reliques « trouvés dans un rayon de 2 heures de Sydney » mais cette approche générale ne s’applique pas à cet endroit. Ces gravures et les autres plateformes connexes (l’une est en fait située à l’intérieur de cette zone) sont désormais directement menacées.
La distance entre ce site unique et celui des Glyphes de Gosford est bien trop proche pour être expliquée par une coïncidence ou par commodité. Pour ce qui est de déterminer l’authenticité de ce supposé site Egyptien, nous disposons d’un avantage. D’après le Dr. Hans-Dieter von Senff, qui a rédigé une ébauche de document sur le site :
« Ces hiéroglyphes sont réels et existent en Australie depuis au moins 4500 ans. De telle sorte que cela prouve que ces glyphes proto-Egyptiens ne sont pas des graffiti, comme l’ont soutenu divers « Experts » et « Egyptologues » mais les traces écrites laissées par l’homme préhistorique, rédigées dans un langage cohérent et compréhensible qui a toujours du sens, même 4500 ans plus tard. Ce terrain n’est pas un canular, mais une découverte archéologique véritable, comme le prouvera la seconde série de glyphes récemment découverte.
Les critiques qui contestent l’origine de ces gravures dénombrées à plus de 300 ne sont tout simplement pas sensibles à l’ensemble de la situation. Et si en effet, elles s’avèrent avoir été gravées par les Egyptiens, ces glyphes joueraient un rôle-clé historique présumé par bien peu dans l’épitaphe de l’histoire australienne.
Les gravures ont été correctement traduites par Ray Johnson qui se veut proto-Egyptien, et accepté « comme correctes par le Directeur général du Musée du Caire, le Dr. Dia’ Abou-Ghazi.[1]
Cependant, en dépit de l’approbation de l’expert en résidence du Caire, les universitaires Australiens avec des titres de compétences moins impressionnants sont catégoriques sur le fait qu’il s’agit d’une supercherie.
Le site comprend un Ankh gravé (voir l’image ci-dessus – crédits Steve Strong), ornement essentiel de Thot, placé le long d’une empreinte de pied d’Ibis (la contrepartie animale de Thot) et de ce que nous croyons être le « Fleuve de la Vie » (River of Life). Deux hommes-Ibis gravés dans le roc, tous les deux de profil avec une tête d’ ibis et le corps d’un être humain, semblent résonner avec le même thème antique Egyptien.
Ce qui nous a vraiment surpris était non seulement le rapport synonyme entre les ibis et Thot, mais qu’à l’origine, Thot fut dépeint sous la forme d’un singe. Et c’est cette représentation plus ancienne trouvée deux fois en Australie, qui élargit les horizons de façon considérable.
Une statue trouvée à Gympie, considérée comme l’une des cinq sentinelles gardant la pyramide aux sept marches de Gympie, est la représentation de Toth dans sa forme simiesque la plus primaire ; elle a été vivement débattue et souvent ridiculisée.

Source image ci-dessus de Murray Byfield : paranormalfieldinvestigators
La récente découverte d’une gravure de Durramullan, aussi de profil, est moins sujette à la controverse. Le front long et prononcé ainsi que les lèvres saillantes sont évocateurs du babouin ou de grands singes, apparaissent totalement hors de contexte dès lors que la gravure se trouve sur un continent dénué de singe, petit ou grand.
La gravure est ancienne, gravée par un artiste connaisseur de l’animal africain et de la déité égyptienne, censés être inconnus avant l’invasion britannique. Et pour ajouter à la qualité et la quantité de ce partenariat transculturel, il existe deux séries de gravures Aborigènes, l’une contenant 31 personnages humains séparés et distincts et l’autre gravure, 5 silhouettes dont 3 possèdent un corps humain, avec ce qui semble être des têtes de crocodile.
C’est pour cette raison et beaucoup d’autres que nous sommes entièrement d’accord avec Robert Lawlor, auteur du très apprécié « Voices of the First day » lorsqu’il fait état de la même séquence et origine.
« Les pratiques religieuses égyptiennes, le panthéon de dieux zoomorphiques, les concepts de mort et de renaissance, la sorcellerie, la magie et la médecine trouvent tous leur origine dans la culture originale du Premier Jour (First Day) ».
Nous voyons la présence d’Egyptiens en Australie débuter autour des 5000 ans. Cela, en conformité totale avec une histoire du monde qui a vu, pour diverses raisons trop complexes à discuter ici, les marins et explorateurs Aborigènes, revenir finalement en Australie à peu près à la même période.
Nous pensons que les glyphes et autres vestiges Egyptiens trouvés « dans les 2 heures de Sydney » témoignent d’une spiritualité sabbatique à l’endroit où la religion et la culture égyptienne ont démarré.
Que les Glyphes de Gosford soient si proches du site sacré Durramullan suggèrent un accord entre les Premiers Australiens et un peuple d’un continent distant. La plateforme de Durramullan est indéniablement spéciale et les Glyphes font partie intégrante de cet arrangement unique, non seulement en Australie mais aussi dans le monde entier.
Les gravures ainsi que la crypte égyptienne, dédiées à la mémoire d’un fils de Pharaon, fut construite tout près de la plateforme rocheuse Durramullan et n’a pu être réalisée qu’avec le consentement des Aborigènes locaux.
Bien sûr, si les Aborigènes Australiens ont parcouru le globe dans les temps anciens à la voile, ce voyage est soumis à la construction en Australie d’embarcations de haute mer. Tout en haut du sommet sont gravés beaucoup de peintures d’embarcations, dont on prétend à tort qu’ils sont inspirés des bateaux de pêche munis de trépan de Macassan.
De telles déclarations ne peuvent être émises concernant les embarcations pour la haute mer gravées découvertes dans la section Nord du site de Gosford. Le dessin du bateau, avec une proue et une poupe saillante a une fonction première : naviguer à travers de hautes vagues.
Construire un bateau avec la forme et les proportions gravé dans le roc serait une perte de temps, d’effort et de ressources, si le vaisseau naviguait en eaux calmes. Plus important encore, cette gravure contribue pour beaucoup à soutenir les affirmations des Ramindjeri Elders.
Si réellement, comme ils insistent sur le fait que leurs ancêtres ont fait le tour du globe, alors cette conception si perfectionnée pourrait servir cet objectif.
Cette gravure ainsi que le compte-rendu de Ramindjeri fournit des réponses à une série de questions non résolues que le milieu universitaire est incapable d’apprécier. Le numéro 35 du très respecté magazine scientifique Cosmos a porté principalement sur la présence du peuple Aborigène Australien en Amérique.
La page de couverture comportait la légende suivante :
« Les Aborigènes ont-ils découvert l’Amérique ?
De nouvelles découvertes surprenantes suggèrent que le premier peuple d’Australie est parvenu en Amérique du Sud il y a plus de 11 000 ans »
Bien sûr l’Amérique ne fut qu’une escale lorsque les premiers Australiens prirent la mer.
« Le Dr. Raghavendra et les chercheurs du gouvernement Indien appuyés par le projet d’inspection anthropologique de l’Inde ont trouvé que des mutations génétiques uniques étaient partagées entre les Indiens des temps modernes et les Aborigènes.».
Ils ont « identifié 7 peuples, des tribus de Dravidiens du Centre de l’Inde aux Austro-Asiatiques partageant les traits génétiques ne se trouvant que chez les Aborigènes. ».
Ces faits, de même que les nouvelles découvertes de lignages génétiques Australiens avec un hominidé en Sibérie communément appelé le Denosovan, requièrent le même moyen de transport : le bateau.
Toutefois, la conception du bateau n’est pas tout. Sont également nécessaires à la fois les outils pour la construction d’un tel navire et des techniques de navigation avant de naviguer vers l’Inde, l’Amérique, l’Asie, l’Egypte ou tout autre destination. La hache est une condition préalable essentielle si l’on veut construire un vaisseau capable de naviguer à travers les océans.
Compte tenu de ces tous ces précédents, cela ne devrait étonner personne que les plus vieilles haches ayant été découvertes se situent à Sahul (le plus large continent Australien qui comprend le PNG, la Tasmanie, etc…)
La hache la plus ancienne fut trouvée à Huon Terrace (PNG) et est datée à 40 000 ans. Lui succède une hache trouvée à Jawoyn land (N.T.), déclarée être âgée de 35 000 ans. Demeurant en Australie, une autre hache fut trouvée à Sandy Creek (QLD, âge : 32 000 ans) et une autre à Malangangerr (N.T. 23,000 ans).

Site Australien : forgottenorigin
En ce qui confirme l’ancienneté de la technologie des haches, et par association, celle des bateaux, Angel John Gallard a en sa possession un hachoir à main (le précurseur de la hache), qu’il croit être daté de pas moins de 60'000 ans, avec une possibilité réelle de plus de 100'000 ans). La plus vieille hache découverte hors d’Australie fut trouvée à Niah Cave (Sarawak) et sa datation est évaluée à 15 ‘500 ans.
Pour qu’un voyage aussi épique puisse s’accomplir, particulièrement en parcourant le globe dans un aller-retour en huit, les marins Aborigènes devaient s’orienter avec les étoiles. Une fois encore, c’est ici que tout commence. Comme annoncé par une équipe scientifique du CSIRO, la plus ancienne construction astronomique fut trouvée à Wurdi Youang (Victoria). « L’étrange disposition de pierres » comporte « deux points qui s’alignent parfaitement avec le soleil couchant au milieu de l’été ».
Les experts du CSIRO sont d’avis que « l’antique cadran solaire Aborigène pourrait bien dépasser l’âge de 10'000 ans ».
Ces rocs ne se tiennent debout isolément – deux ensembles de murs trouvés récemment dans les montagnes (the Snowy Mountains), le premier étant aligné Est-Ouest balise la conjonction de planètes et contient pas moins de 10'000 rocs. Le second mur est au moins quatre fois plus grand et descend le long d’une pente extrêmement raide.
D’ici à « 2 heures de Sydney » se trouve un cercle parfaitement aligné de 5 rocs ainsi qu’une autre construction bien plus énigmatique encore, que pour des raisons évidentes nous appelons ‘mini-Stonehenge’. Il est formé de 46 pierres dans le cercle intérieur et de 18 constituant ce que nous ressentons être un amas d’étoiles.
Les quatre directions sont signalées par des formes d’arches avec une pierre horizontale soutenue par des piliers en pierre. Les quatre édifications, bien que séparées par des centaines de kilomètres, servent le même objectif : établir une carte du ciel.
Il y a un motif exposé par ces sites qui semble contredire ouvertement la maxime artistique qui, nous le présumons, a tenu bon dans toute l’Australie. Il était de notre croyance que l’art aborigène traditionnel était régional. A l’intérieur de cette zone nous avons trouvé plus de 25 styles/techniques, beaucoup d’entre eux considérés comme la création d’un seul domaine tribal.
Où cela va-t-il nous mener ? Ou bien nous nous fions seulement aux manuels et aux universitaires « confus et embrouillés…» Ou bien une route alternative existe. Nous avons la conviction que les Premiers Australiens étaient séparés des Africains et qu’ils étaient les premiers homo sapiens sapiens.
C’est bien de l’Australie et non de l’Afrique que provenait la première migration et c’est de l’Australie que la religion, l’égalité des genres, l’astronomie, les inhumations, la voile, la musique, l’art, la démocratie et toutes les quêtes nobles débutèrent.
Et, c’est en Australie, en particulier la zone autour des 2 heures de Sydney, que la preuve de cet héritage mondial peut encore être découvert.
By Steve Strong, New Dawn Magazine; | Please visit Wayne Herschel's website for his interpretation of the Egyptian hieroglyphs of Australia;
Traduction Genève, le 10 mai 2014 Nicole V. Joseph
Sources : humansarefree - www.news http://messagesdelanature.ek.la/des-glyphes-egyptiens-en-australie-p811058
Grande
Nous savions que les hommes du néolithique étaient déjà passés maîtres dans le travail de la pierre au niveau du gros oeuvre : mines profondes et taillages, creusages de la pierre en témoignent largement. Mais les découvertes chinoises amplifient cette maîtrise bien au-delà de nos propres capacités actuelles et remettent encore plus en question le dogme actuel selon lequel les hommes ont évolué très lentement, voir à reculon, qu'ils étaient proche de l'animal etc... Au contraire, tout indique nous avons à faire à une société bien organisée, répartie en communautés "spécialisées" qui sont interdépendantes les une des autres (je dis bien interdépendantes : il s'agit d'une société communautaire dirigée par un conseil des sages issu de chacune des communautés (des fabriquants de sel (ex trouvé récemment en Bulgarie, des éleveurs de divers bétails, des pêcheurs, des chasseurs, des cueilleurs, des mineurs, des tailleurs, etc...) qui ne procèdent pas par " échanges " (troc) ou " ventes " (commerce) mais par une organisation de services : les fabriquants des matériaux amènent ce qui a été demandé par le Conseil pour subvenir aux besoins prévisibles de toute la communauté (même très étendue), les chasseurs, pêcheurs, etc dans des marchés ou des entrepôts pour permettre à la population (qui est la même bien sûr) de récupérer les ressources et denrées individuelles prévues par elles-mêmes.
Nul besoin de troc ou d'échanges (sauf exceptionnels), de monnaie, dans une société où la communauté passe avant l'individualisme : la production est ajustée en permanence à la demande ou en fonction des ressources évidemment (comme de nos jours d'ailleurs) et tout le monde participe volontiers à cet ensemble pour bénéficier du travail de chacun : le seul échange entre humains est un échange de volonté, de force ou d'intelligence pour accomplir une tâche commune ou individuelle, et dans le même but de la communauté (et par cela celui de la famille). La création individuelle est exacerbée car le temps réservé aux travaux pour la communauté sont souvent ponctuels, saisonniers et de plus, le nombre d'humains croissant libère du temps mathématiquement pour répartir les tâches (ce que le monde moderne s'obstine obscurément à refuser !) : pendant les saisons mortes ou leurs loisirs, ils vont apprendre le métier d'autres corporations pour aider, vont chasser, explorer les terres inconnues et inventer, faire de l'art...
La plupart des découvertes archéologiques vont dans ce sens : il y a eu une longue période pendant laquelle une civilisation humaine a su regrouper toutes les inventions essentielles à son épanouissement, qui s'est étendue (ou son savoir et technologie) dans le monde entier sur quelques milliers d'années et a imposé un savoir sur la pierre que l'on retrouve partout sur Terre. Des découvertes chimiques sur certaines pierres et poteries très anciennes laisseraient entendre que ces très anciennes sociétés avaient trouvé un moyen chimique (un alliage végétal ?) pour rendre malléable certains types de pierres normalement très dures : un " amollissement local ou même total " permet effectivement des transports ou ajustement "au millimètre" constatés partout sur ces constructions gigantesques. L'intelligence et avancée technique des très anciens contredisent à l'évidence la théorie linéaire de l'évolution humaine toujours acclamée par la communauté scientifique.

Les mystères de la Chine ancienne confirment bien évidemment cet ensemble de peuples répartis sur toute la planète, qui sait très bien naviguer et qui procèdent tous d'une culture pratiquement identique, seulement modifiée par les conditions locales (souvent climatiques) et les adaptations nécessaires. Le symbolisme est très utilisé (exactement comme de nos jours les logos des entreprises par exemple) et compris du monde entier comme un langage : on retrouve ces mêmes symboles partout dans le monde, sur une fourchette de quelques milliers d'années).

ruines de Yuanmingyuan, plus récentes
Une assemblée de 40 scientifiques chinois vient de confirmer la découverte de la plus grande ancienne ville (à ce jour) du néolithique chinois, avec pas moins de 4,25 km² de superficie !
" Les archéologues ont indiqué que des ruines de la ville de 4 kilomètres carrés au nord-ouest de la Chine découvertes dans la province du Shaanxi est la plus grande de son genre en Chine néolithique. La conclusion est intervenue après que plus de 40 archéologues des recherches dans les ruines de Shimao datant de 4000 ans à Shenmu County et ils ont mesuré la taille exacte de la ville ancienne en pierre. "

« La ville possède de magnifiques murs en pierre et nous avons découvert un grand nombre de jade sculpté, qui font allusion à l’état de base de la ville dans la civilisation du nord de la Chine », a déclaré Zhang Zhongpei, chef de la Société archéologique de Chine.
Les Ruines Shimao ont été découvertes en 1976 sous la forme d’une petite ville, mais les autorités locales archéologiques ont ensuite mené une enquête approfondie l’an dernier, ce qui a conduit à la découverte de murs de la ville bien plus grand encore.
La ville découverte possède des structures internes et externes, et les murs qui entourent la ville extérieure s’étendent sur une superficie de 4,25 kilomètres carrés. D’autres résultats à partir du site inclus un morceau de fresque, dont les archéologues pensent être la plus ancienne en Chine.
LES GROTTES ÉNIGMATIQUES DE HUASHAN

Les grottes énigmatiques de Huashan se situent dans la banlieue est de la ville de Tunxi, province chinoise de l'Anhui, à 30º de latitude Nord, appelée « parallèle mystérieuse » où on trouve plusieurs miracles du monde tels que les pyramides d' Egypte, le triangle des Bermudes, l'arche de Noé et le mont Huangshan de Chine. Situées entre 29º39' et 29º47' de latitude Nord, les grottes se situent près du mont Huangshan, chef-d'œuvre de la nature. Les deux se font ressortir l'un l'autre. Dès leur découverte en 2000, les grottes millénaires ont attiré de nombreux visiteurs chinois et étrangers, tous en admiration devant cette merveille de la Chine et du monde.
Différentes des autres grottes connues en Chine, les grottes de Huashan ne sont pas naturelles, mais artificielles. Il s'agit d'un immense ensemble de palais souterrains en forme singulière, creusés jadis par les hommes. Actuellement, on a découvert 36 grottes qui se répartissent dans les montagnes ou au sous-sol, à 5 km du bord sud du fleuve Xin'an en aval, dans le territoire de Tunxi. Elles se cachent dans les arbres touffus et les herbes denses. Il est donc très difficile de les découvrir. Rien d'étonnant à ce que les vieux cueilleurs de plantes médicinales et les vieux gardiens de forêt locaux ne les aient jamais trouvées.

Au printemps de 1999, inspiré d'une lettre des habitants locaux, le gouvernement municipal de Huangshan a pris la décision d'exploiter les grottes de Huashan. Rapidement, beaucoup d'experts du pays, dont ceux de l'université Qinghua et de l'université Tongji, s'y sont concentrés. Tout le monde a été surpris par cet immense espace de grottes. Leur espace est beaucoup plus grand que toutes les grottes découvertes dans les autres endroits du pays. Rien que dans les grottes nº2 et nº35 dont la superficie dépasse 17 400 m², on a enlevé de la vase et des pierrailles pour 20 000 m³. On a drainé, avec trois pompes à eau pendant douze jours consécutifs, 18 000 tonnes d'eau seulement de la grotte nº35.

À présent, la grotte nº35, la plus grande, a été ouverte au public. Dans celle-ci, on trouve une salle principale dans laquelle se dressent 26 colonnes de pierre d'un tour de plus de 10 m et d'une hauteur de 10 m au moins. 36 pièces de formes différentes sont disposées en plusieurs niveaux autour de la salle principale. Selon les experts, leur architecture et leurs formes ont une très haute valeur mécanique et esthétique. On peut encore voir des traces de forage sur les murs. Les majestueux motifs de 18 variétés différentes gravés dans les grottes numéros 2 et 35 saisissent le public d'admiration. Dans les grottes, on trouve également une tribune de pierre, des étangs, bassins et ponts construits, parsemés ça et là. L'eau est limpide. Quand on se promène entre eux, on a l'impression d' être dans un labyrinthe mystérieux.

En mai 2001, l'ex-président Jiang Zemin a visité ces grottes. Aussitôt entré dans l'une d'elles, il s'est exclamé : « C'est vraiment incomparable ! Un trésor véritable ! » « Il ne faut pas faire à la légère une conclusion avant de résoudre complètement l'énigme de ces grottes », a-t-il dit. Jiang Zemin leur a donné le nom de « Grottes énigmatiques de Huashan ». Lors de leur visite dans ces grottes en janvier 2002, M. Wang Yingfan, ambassadeur chinois à l'ONU, et d'autres diplomates ont eux aussi beaucoup apprécié l'endroit. Wang a dit que leur valeur pourrait soutenir la comparaison avec la Grande Muraille et les statues de guerriers et chevaux en terre cuite exhumées à Xi'an.

Admirez au centre l'extraordinaire pilier qui étend ses "cornes" en V pour soutenir le plafond, la sculpture d'une tête et d'un corps semblable à une chèvre par exemple. Remarquez aussi à gauche une exemple des fameuses parois entièrement recouvertes de lignes gravées qui se retrouvent un peu partout dans les grottes artificielles.

Comme les pyramides d'Egypte, les grottes de Huashan sont une énigme millénaire. Qui a creusé ces grottes ? Quand et comment les travaux ont-ils été accomplis ? Où les terres et pierres excavées ont-elles été transportées ? Pourquoi les ouvrages n'ont-ils pas été enregistrés dans les livres ou documents historiques ? Pourquoi cet ensemble de grottes si miraculeux et si ancien vient juste d' être découvert ? Une série d'interrogations demeurent... Depuis les quatre ans qui ont suivi l'exploitation des grottes, les experts et les scientifiques ont trouvé des lampes à huile en terre cuite et des faïences ainsi que des fragments dont des pots, des vases, des bols et des jarres. L'expertise montre que ce sont des objets de la dynastie des Jin (265-420), selon lesquels on estime que les grottes devraient dater de la dynastie des Jin ou la précéder. En outre, on a découvert des stalactites dans une grotte. Selon les géologues, la formation d'une stalactite longue de 5 ou 6 cm nécessite une période de 1 500 à 2 000 ans. Cela démontre encore que ces grottes ont dû être creusées pendant ou avant la dynastie des Jin. Bon, la datation précise d'une pierre "usiné" par l'homme étant impossible, le "avant" la dynastie Jin peut se mesurer en milliers d'années !
source: http://french.china.org.cn/french/huashan/sec.htm
Toutes les grottes communiquent donc entre elles et ont probablement été en parties inondées par périodes. La caverne de " Huanxi ", d’une longueur de 140 mètres et d’une superficie de 4.800 mètres carrés est ouverte au public. Après une promenade d’environ 100 mètres, il y a un large hall à l’intérieur de la caverne, avec des bassins, des piliers et de petites salles de chaque côté.

Fait étrange, les murs internes ont la même pente que celle de la colline extérieure. Une des salles couvre 12.600 mètres carrés, elle est appelée "Quingliang" et serait une sorte de palais souterrain. À l’intérieur de la caverne, il y a un pont en pierre au-dessus d’un fleuve souterrain et des chemins en pierre menant à différents halls. Une structure de pierre de deux étages ressemble à un énorme balcon. Aucun reste de nourriture n’a été trouvé dans la caverne, ni aucun signe du feu.
Jusqu’à maintenant, 36 grottes ont été découvertes, parmi lesquelles 34 se situent dans l’arrière-pays montagneux, deux se situent sous le niveau de la rivière de Xin’an. Ces grottes s’étendent sur pratiquement 5 kilomètres, couvrant les chaines de montagnes dans le Huanxi, les Montagnes Shilin, les Montagnes Yingpai, les Montagnes Shibiying, les Montagnes Matou, les Montagnes Yangli ainsi que les Montagnes Huashan. De plus, de nombreuses grottes ont été découvertes dans le village Yan. La présence de tant de grottes à cet endroit est un mystère pour tous.
À présent, 5 grottes sont ouvertes aux visiteurs, la N°2, 24, 33, 34 et la N°35. Les touristes peuvent aussi visiter la grotte N°1 et 6 en sécurité s’ils ont des lampes.

L’entrée du palais souterrain (Grotte N°35) est relativement petite mais la grotte est grande. Il y a une cave de 20 mètres qui mène jusqu’au palais souterrain. Arrivé à la sortie de la grotte de passage, on se retrouve soudainement illuminé dans un lieu éclairé. Un surprenant palais souterrain apparaît d’une surface totale de 4000 mètres carrés. Dans ce palais souterrain, se tiennent 26 piliers colossaux d’un périmètre de plus de 10 mètres, adoptant différentes formes pour soutenir la grotte. Autour de la salle principale du palais se trouvent 36 cabines de pierre, dont la plus petite d’entre elles n’occupe qu’une surface de 2 mètres carrés. L’épaisseur des murs diffère également selon les endroits, le plus fin faisant seulement 10 centimètres.
Pour chaque cabine, trois côtés sont bloqués avec seulement une sortie vers le palais, par laquelle seule une personne peut passer. De plus, ces plate-formes de pierre sont dispersées, mais bien situées. Si vous vous tenez sur la plate-forme, vous serez impressionné par un autre spectacle.
Sur le bord du palais se trouve plusieurs bassins profonds remplis d’eau. L’eau est si claire que l’on peut voir le fond de ces bassins qui ne se sont jamais asséchés depuis des années. On dit que des milliers de chauve-souris vivaient dans la grotte lorsqu’elle a été découverte pour la première fois.
Lorsque les gens sont entrés dans la grotte et ont fait sortir ces chauve-souris, ils ont été pris au dépourvu et ont été étourdis par cette tornade noire qui semblait faire tourner le ciel et la terre. C’est pour cela qu’on appelle cette salle la "Salle des Chauve-Souris".
Couloir Souterrain (Grotte N°2) Cette grotte est située sous un pan de montagne. Son entrée ressemble à la gueule béante d’un tigre. En déambulant le long de la pente après être entré dans la grotte, vous pouvez sentir l’air froid qui glace le visage et les os. En vous retournant vers l’entrée, vous pouvez voir passer du brouillard.

Dans cette grotte, il y a aussi des dizaines de piliers verticaux qui forment un couloir souterrain de 80 mètres de long, 1,5 mètre de large et 4 mètres de haut. Sur le côté droit de la grotte, une entrée carrée s’ouvre à l’endroit le plus élevé.
Sans pénétrer dans la grotte par l’entrée, vous ne pouvez deviner qu’il y a des couloirs et des couloirs qui s’étendent dans la même direction. À une profondeur de plus de 100 mètres, les couloirs intérieurs sont plus profonds que le couloir extérieur. La couleur de l’eau qui s’y trouve est vert pâle comme la jadéite.
Grotte des 24 piliers (Grotte N°24) L’entrée possède la forme d’un rectangle plat. Elle fait face à la route de montagne et fait 50 mètres de large et environ 30 mètres de haut. Cette grotte immense est très spacieuse et élevée à l’intérieur. Sa superficie et profondeur sont difficile à mesurer.
Six piliers se trouvent à l’intérieur. Chaque pilier est si grand qu’il faut trois personnes pour l’entourer avec les bras écartés. Chaque pilier est placé suivant deux lignes, soutenant le plafond de la grotte. Dans cette grotte il y a aussi de l’eau qui est si profonde qu’on ne voit même pas le fond. Dans cette eau, nagent des poissons rouges, jaunes, bleus, blancs et noirs aux formes étranges.
Salle Tongtian. L’entrée de cette salle n’a pas de porte en pierre et est penchée d’est en ouest. Sur le côté ouest se trouve une pierre rare. La grotte fait 45 mètres de long, 26 mètres de large et 12 mètres de haut. A l’entrée de la grotte se trouve un trou conduisant vers le ciel, ce qui fait qu’on appelle aussi la grotte "Salle Tongtian" (littéralement, une salle qui possède un accès vers le ciel. Actuellement cet accès n’est pas ouvert.)
Nous en venons donc aux hypothèses. Voici le texte du livret officiel de tourisme développé par la région de Huangshan :
Il y a beaucoup d’histoires sur l’utilisation et la construction de ces grottes, telles que "architecture culturelle gigantesque", "Lieu Taoïste Propice", "Château de crime", "Massif", etc. Ces histoires semblent toutes claires et logiques, mais ne peuvent se justifier à elles seules.
Des personnes ont donc des idées fantastiques selon lesquelles les grottes furent créées par les ExtraTerrestres de l’espace".

Que ces grottes furent construites par des peuples anciens sur terre ou par des ETs de l’espace, elles supposent une incroyable persévérance et sagesse. Sur tous les murs de ces grottes, il y a des traits ciselés et ordonnés en forme de vague ou de plis de vêtements.
Ce n’est pas facile pour des personnes de creuser des lignes parallèles et symétriques sur des pierres d’une montagne dans des endroits aussi spacieux. Ces lignes peuvent avoir des fonctions stupéfiantes, telles que préserver les roches de l’effritement, et même éliminer les bruits.
De plus, des hiéroglyphes de différentes périodes ont été découverts dans les grottes N°24, N°35 et N°2 les uns après les autres, donnant aux hommes un autre mystère.
Pouvons-nous trouver une explication plus persuasive à ces mystérieuses reliques ?
Parmi les reliques mises à jour, il y a des empreintes fossiles d’un dinosaure de l’ère Mésozoïque, des dendrolithes [plante, buisson, ou partie de plante fossilisée ou pétrifiée], ainsi que des outils d’extraction et poteries de la Dynastie Jin (265-316 après j-c) (...)
Maintenant une nouvelle question se pose : il n’y a pas de personnages représentés sur les murs intérieurs des Grottes. De plus, il n’y a même pas de termes se référant à ces grottes dans les archives officielles anciennes de la Préfecture de Huizhou.
Il est impossible pour une organisation non-gouvernementale de construire d’aussi grandes grottes en seulement quelques années. Cela prendrait beaucoup de temps pour finir ce projet ce qui impliquerait le gouvernement et l’armée. Mais pourquoi n’y a-t-il pas un seul mot dans les diverses archives archéologiques s’y référant ?

À la fin du livret, diverses hypothèses sont évoquées, c’est écrit en tout petit et ce serait trop long à traduire, mais parmi ces dernières on peut lire :
Civilisation Préhistorique :
Des gens font état d’une "Ligne mystérieuse" de 30° latitude nord, autour de laquelle se trouve divers édifices ou lieux mystérieux :
Pyramides égyptiennes, Triangle des Bermudes, la mer morte, le désert du Sahara, etc. Les grottes mystérieuses de Huashan se situent également près de cette ligne, donc certains pensent que ces grottes sont un chef-d’œuvre d'ETs venus de l’espace.
" Il y a trois mystères entourant les Grottes Mystérieuses de Huashan…
Premièrement : le bassin Bishui, qui est un bassin souterrain si profond que trois mois de pompage serait insuffisant pour en retirer toute l’eau.
Deuxièmement : les colonnes de pierre, qui font plus de 33 pieds de haut et son arrangés en forme de gorge pour supporter le plafond de la grotte. L’orientation des colonnes suggère que les anciens avaient une connaissance en mécanique théorique et en son application précise.
Enfin, la gigantesque caverne est dépourvue d’écho car l’agencement des murs empêche la résonance du son.

L’époque exacte de la construction de la caverne est actuellement inconnue. Cependant, selon les minéraux trouvés dans la grotte, les experts estiment qu’elles fut construite il y a au moins 1700 ans.
Comment cette caverne fut construite ?
Pourquoi était-ce nécessaire d’avoir ces grottes ?
Qu’est-il arrivé aux 100 milliers de mètres cubes de pierres retirées dans la construction ?
Comment furent-elles extraites et transportées ?
Les grottes ont déjà quelques minéraux extraits, alors pourquoi n’ont-ils pas été transportés à l’extérieur ?
Il y a aussi de nombreux murs de pierre de 10 centimètres d’épaisseur, pourquoi ne furent-ils pas enlevés mais laissés debout au milieu de la grande salle ?
Quel était l’utilité des trous carrés et ronds cachés dans les colonnes de pierre ?
Pourquoi n’y a-t-il pas de trace dans les archives historiques de ces cavernes gigantesques ?
Les experts ont émis différentes théories mais n’ont pas de réponse définitive.
sources : Article d’Epoch Times - http://www.newsoftomorrow.org/spip.php?article5878 =
articleoriginaljsf-newstomorrowsansphotos.docx
Sources à voir : http://lelibrechoix.blogspot.fr/2011/12/les-grottes-enigmatiques-de-huashan.html

Le Mont Huangshan (ou Hua, Huashan ou montagne de l'Ouest, montagne des fleurs) est l'une des 5 montagnes sacrées de Chine et situé à proximité des grottes du même nom, toutes situées dans la province du Shaanxi.

Avec une altitude de 2 160 mètres à 120 kilomètres à l'Est de Xi’an, Huashan, littéralement la montagne des fleurs, est un délice à observer. Ce mont est considéré depuis des centaines d'années comme l'une des 5 montagnes sacrées (Wu Yue) parmi celles de Hengshan au Nord, Songshan au centre de la Chine et Taishan à l'est et Hengshan du Sud. Les cinq monts sacrés représentent les cinq points cardinaux chinois, c'est-à-dire le nord-sud-est-ouest-centre.

Le long du chemin de 12 kilomètres qui mène du pied de la montagne à ses 5 sommets et au Temple de la Fontaine de Jade, vous aurez la chance de voir des paysages impressionnants dont des pics de granit aux formes étranges et des pins torsadés par le temps et le climat. A partir du sommet le plus au Nord vous pourrez atteindre celui du centre puis de l'Est, de l'Ouest et enfin du Sud. Ces 4 derniers entourent un cirque tel les pétales d'une fleur de lotus, d'où le nom de la montagne. L'ascension de cette montagne offre non seulement la vue de sublimes paysages naturels mais aussi d'un grand nombre de constructions qui, pour le meilleur comme pour le pire, font partie des ressources touristiques de la montagne.

La route permettant d'atteindre les sommets passe par différents temples, sanctuaires, pavillons, terrasses, gravures, statues, stands de nourriture et de bibelots, qui apparaissent intercalés entre les chemins nus de granit et les bas côtés boisés. Le long de la Crête du Dragon Vert (Bilong Ji), qui relie le pic du Nord avec les autres, le chemin est tracé sur une fine crête de pierre avec des précipices de chaque côté. Une partie de cette route peut être assez dangereuse, malgré les chaînes de métal qui sont d'une grande aide aux endroits les plus périlleux donc avis aux cœurs sensibles…

Il faudra gravir un dénivelé de 1000 mètres sur des sentiers escarpés et des escaliers presque à la vertical avant d’atteindre le sommet qui culmine à 2160 m ..Car le Hua Shan est hauts lieux du vertige, falaise vertical à gauche, falaise vertical à droite, avec par endroit et pour tout aide une chaîne en acier et de minuscules encoches taillées dans le roc !

Mais bizarrement sur le Mont Huashan on ne trouve pas des grimpeurs forcenés ou des fous avides de sensations fortes, mais le tout public, la mère de famille, le visiteur bedonnant, adorateurs de beautés sauvages, fervents ou non.

Sources : http://geekslop.com/2012/insane-terrifying-huashan-plank-walk-china-plank-bridge + http://au-bout-de-la-route.blogspot.fr/2011/06/les-monts-celestes-de-chine.html

http://www.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/la-mysterieuse-chine-du-neolithique.html

L'égyptologue Sarah Parcak, de l'université d'Alabama à Birmingham (UAB), mène une course contre la montre afin de retrouver, en Egypte, des milliers d'emplacements archéologiques en danger de destruction; que ce soit pour des raisons d'urbanisation, de développement, de pillage...
Dans la seule région de l'Est du delta du Nil, ce sont 23% des sites antiques qui ont disparu durant les 30 dernières années. Si le même taux de destruction de ces emplacements continue et augmente, d'ici 2050, alors pratiquement tous les sites archéologiques à découvrir pourraient disparaitre de la région.
D'après Sarah Parcak, tout l'établissement de l'histoire égyptienne repose sur quelques découvertes: « Ce que nous avons découvert jusqu'ici est juste le bout de l'iceberg. »
Sarah Parcak utilise ainsi la technologie satellitaire afin de localiser et identifier de nouveaux sites; au lieu de quelques années, cette méthode prend quelques semaines.
Elle est ainsi devenue la première égyptologue à employer cette technique.
Sur la période 2003-2004, elle a pu localiser 132 emplacements, certains datant de 3.000 ans avant JC; on peut citer :
- Une ville importante dans le delta Est datant de la période des pyramides.
- Un grand temple de 400ans après JC en Egypte moyenne .
- Une ville massive et en grande partie enterrée sur le delta Est datée de 600 avant JC.

C'est ainsi aujourd'hui, dix-sept pyramides oubliées qui font partie des bâtiments qu'elle et son équipe ont pu identifier. Plus de 1.000 tombes et 3.000 villages ont également été révélés par l'étude des images infrarouges qui mettent en évidence les bâtiments enfouis sous la surface.
Deux pyramides ont été localisées dans les environs de saqqarah...
Parcak a été étonnée de voir le nombre de sites que son équipe a pu trouver: "Nous avons mené cette recherche de manière intensive depuis plus d'un an. Bien que je suivais les découvertes au fur et à mesure, ce n'est que lorsque j'ai pris du recul pour avoir une vision d'ensemble que j'ai pris conscience de la quantité de lieux que nous avons pu localiser; j'ai eu du mal à croire que nous pourrions trouver tant de sites dans toute l'Egypte."
L'équipe a analysé des images de satellites en orbite à 700 km au-dessus de la terre, équipés de caméras si puissantes qu'elles peuvent localiser des objets de moins de 1m de diamètre sur la surface de la terre.
L'imagerie infrarouge a été utilisée pour mettre en évidence les différents matériaux présents sous la surface.
Cette photo satellite infrarouge montre une pyramide enterrée
Les anciens Egyptiens ont construit leurs maisons et bâtiments en briques de terre, qui sont beaucoup plus denses que le sol qui l'entoure; c'est ainsi que les formes des maisons, des temples et des tombes peuvent être vues.
Cependant, ce sont seulement les sites près de la surface qui ont été répertoriés. Or, il y a des milliers de sites supplémentaires que le Nil a recouvert de limon. Ce n'est que le début de ce genre de travail pour Parcak.
Le moment le plus excitant de Sarah Parcak a été la visite des fouilles de Tanis: "Ils ont fouillé une maison vieille de 3000 ans que les images satellites ont révélé et le contour de la structure de l'imagerie satellitaire correspond presque parfaitement. Cela a été une réelle validation de cette technologie."
Les autorités égyptiennes ont l'intention d'utiliser cette technologie pour aider à l'avenir, entre autres, à protéger les antiquités du pays.
Au cours de la récente révolution, les pillards ont eu accès à sites archéologiques bien connus. Avec l'imagerie satellite, il est possible de dire si une tombe a été pillée et sur qu'elle période; Interpol est alors alerté et lance une surveillance sur les objets de cette époque qui peuvent être proposés à la vente.
Parcak espère également que cette nouvelle technologie sera d'une aide importante pour les archéologues du monde entier: "Cela nous permet de mieux cibler et d'être plus sélectif dans le travail que nous faisons. Face à un énorme site, vous ne savez pas par où commencer... C'est un outil important qui nous permet de nous concentrer sur le lieu où nous faisons des fouilles. Et il nous donne une perspective beaucoup plus vaste sur les sites archéologiques. Nous devons penser plus grand et c'est ce que les satellites nous permettent de faire."Sous des monticules de sable dans le désert égyptien pourrait se cacher un site recélant de mystérieuses pyramides perdues.
Vue du site depuis la rive. L'année dernière, l'archéologue américaine Angela Micola identifiait, en utilisant Google Earth, deux zones le long du bassin du Nil. Elles contenaient des monticules de formes inhabituelles.
Au moment de sa découverte, de nombreux chercheurs avaient des doutes quant à savoir si c'était réellement des pyramides perdues.
Micol a fait la découverte à son domicile en Caroline du Nord après avoir étudié les images sur Google Earth depuis une décennie.
Cependant elle affirme que des caractéristiques énigmatiques ont été découvertes lors d'une expédition préliminaire, révélant des cavités et des puits.
Le site est situé à environ 20 kilomètres de la ville d'Abu Sidhum le long du Nil. Il comprend un grand plateau triangulaire de 189 mètres, soit près de trois fois la taille de la Grande Pyramide de Gizeh.
Si cela est vrai, ce pourrait être la plus grande pyramide jamais découverte.
Le plateau triangulaire de 189m. Ces formations sont désignées comme des pyramides également sur un certain nombre d'anciennes cartes rares. Les déclarations de Micol ont attiré les critiques d'un certain nombre de services archéologiques et géologiques, sceptique qu'un outil comme Google Earth puisse conduire à une vraie trouvaille. Selon eux, les monticules sont des anomalies inhabituelles ou des formations rocheuses battues par les vents qui sont communs dans le désert.
Les autres monticules plus petits.(254 pieds = 77 mètres, 330 pieds = 100 mètres et 100 pieds = 30 mètres)
Des temples ou tombeaux près du site. L'archéologue a également identifié un deuxième groupe de possibles pyramides près de Fayoum Oasis, et trois cartes suggérent que les quatre monticules cachent des temples ou des tombeaux recélant d'anciens trésors. Une de ces cartes a été préparé par un ingénieur de Napoléon Bonaparte.
Le deuxième site découvert par l'archéologue. Des collectionneurs passionnés de cartes anciennes, Kamal Medhat El-Kady, ancien ambassadeur du Sultanat d'Oman et son épouse Haidy Farouk Abdel-Hamid, ancienne conseillère à la présidence égyptienne, ont déclaré que les formations identifiées par Micol étaient marquées comme étant des pyramides dans nombre de leurs anciens documents.
Afin de financer l'exploration des deux sites, Micol a créé la Satellite Archaeology Foundation.
Même si de nombreux archéologues sont sceptiques à ce sujet, ce n'est pas la première fois qu'une découvertes archéologique est faite gràce à Google Earth: il, y a deux ans, l'égyptologue américaine Sarah Parcak avait identifié 17 pyramides perdues.
Source:
http://decouvertes-archeologiques.blogspot.fr/2011/05/egypte-17-pyramides-decouvertent-grace.html
Read more at http://www.paperblog.fr/6587607/egypte-probable-decouverte-de-mysterieuses-pyramides-perdues/#aSpz8CfsV1FqJEBw.99

En Asie Mineure ," étaient autrefois nombreux. L'un d'eux , les "monts sacrésle Nemrut Dag ( Prononcé Némrout Da-i ) , un géant de 2150 mètres d'altitude, se dresse dans la chaîne de l'anti-Taurus en Anatolie , cette prequ'île Turque si riches d'évênements historiques . A son sommet , les statues de Dieux et de Rois gréco-perses sont les témoins muets d'un royaume antique et d'un incroyable malédiction , ainsi que les gardiennes d'un secret mystérieux enfoui à l'intérieur de la montagne conique , si l'on en croit les inscriptions grecques dont elles sont ornées .
Dans le sud-est de la Turquie, le Nemrut Dag est l’un des lieux à ne pas manquer. Cette montagne est située au cœur d’un parc naturel et archéologique (qui porte le même nom). De nombreuses visites y sont proposées à partir de différentes villes de la région. Les principaux points de départs sont Adiyaman, Kahta et Malatya.
Le tombeau royal caché
Le royaume de Commagène aurait depuis longtemps soubré dans l'oubli si son roi Antiochos Ier (milieu du 1er siècle avant J.C. - 34 après J.C.), n'avait pas fait transformer le sommet entier du Nermrut Dag en un gigantesque tombeau de pierre destiné à acceuillir sa dépouille après sa mort.
Le roi fit graver l'inscription suivante sur de lourdes plaques de calcaire : "J'ai fait bâtir le temple funéraire à cet endroit sacré afin que ma dépouille mortelle y repose à jamais auprès du tröne céléste que se partagent tous les Dieux " Auparavent il fit tailler trois imposantes terrasses sur lesquelles il fit dresser de colossales statues de pierres lourdes de plusieurs tonnes . A l'arrière des statues ,il fit recouvrir le sommet de le montagne par une pyramide de galets de
50 mètres de haut.
Son repos éternel , pensait il, serait ainsi à l'abri des pilleurs de tombe . Son plan a d'ailleurs fonctionné à merveille . Qu'ils s'agisse de pilleurs ou d'archéologues , tous ceux qui ont tenté de pénétrer le secret de la pyramide en ont été empêchés par l'éboulement incessant de ses pierres .

Le pont antique sur le Cendere
Parmi les principales curiosités du parc archéologique, il y a le pont qui enjambe le Cendere. Il fut bâti par des légionnaires romains en l’honneur de l’empereur Septime Sévère (193-211) et de sa famille. Quatre colonnes disposées aux extrémités du pont symbolisaient la famille impériale : Septime Sévère, l’impératrice Julia Domna et leur deux enfants Caracalla et Géta.
Devenu empereur, Caracalla (211-217) élimina son frère. Il le fit disparaître de l’histoire romaine en ordonnant de marteler son nom et ses représentations sur les édifices publics. Il fit aussi détruire ses portraits. Même les hiéroglyphes égyptiens n’échappèrent pas à la fureur de Caracalla. Ici, l’empereur ordonna d’enlever la colonne symbolisant son jeune frère. Même à des milliers de kilomètres de Rome, les ordres de Caracalla étaient exécutés.
Les rois de Commagène
L’on peut aussi admirer les vestiges liés à l’antique dynastie des rois de Commagène. D’anciens satrapes (gouverneurs de provinces) perses parvinrent à conserver une partie de leurs pouvoirs après la disparition de l’empire, à la suite de la campagne d’Alexandre le Grand. Samès (env. 290-260) se proclama roi et fonda une capitale pour son territoire : Samosate.
Après le règne de Xerxès (env. 228-201), Ptolémée, prince arménien, accéda au trône. Il devint vassal des rois séleucides (dynastie macédonienne régnant en Syrie et en Anatolie), puis vassal des Parthes. Ces derniers venaient de s’emparer de la Mésopotamie. Les successeurs de Ptolémée furent tantôt des Séleucides, tantôt des Parthes. Mithridate Ier Kallinicos (env. 100-70) épousa une princesse séleucide, Laodicée X Théa Philadelphia.
Antiochos Ier Theos Dikaios Epiphanes Philoromaios Philhellen (env. 69-40) aida Pompée à s’emparer de la Syrie. Il pu ainsi conserver son royaume. Il maria sa fille au roi des Parthes, Orodès II. Antiochos III (12 av. J.-C. - 17 ap. J.-C.) fut chassé du trône par l’empereur Tibère. Son royaume fut intégré à l’Empire romain. Caligula restaura la Commagène et rendit le royaume à Antiochos IV Épiphane (38-72). Celui-ci fut le dernier roi de Commagène.
Vespasien intégra définitivement ce royaume à l’empire. Les descendants des rois devinrent des notables romains. L’un d’entre eux, Gaius Julius Antiochus Epiphanes Philopappos (petit fils d’Antiochos IV), devint même consul. Il fut inhumé à Athènes.
Le tumulus de Mithridate II
A Karakus se dresse le tombeau du roi Mithridate II (38-20). L’immense tumulus (25 mètres de haut) est entouré de plusieurs colonnes. Sur celles-ci se trouvent des sculptures d’aigle et de lion. Un bas-relief montre également le roi et sa sœur Aka. La chambre funéraire du tumulus n’a toujours pas été localisée.
Arsameia
A Arsameia, de grands bas-reliefs permettent de découvrir le roi Mithridate Ier Kallinicos (env. 100-70), le dieu solaire perse Mithra et Héraklès. Comme au Nemrut Dag, l’art est un étonnant mélange de conventions grecques, perses et parthes.
Le Nemrut Dag
Enfin, au sommet du Nemrut Dag se dresse le plus important mausolée royal, celui d’Antiochos Ier Theos Dikaios Epiphanes. Devant la partie orientale du tumulus, il y avait un temple. Devant cet édifice, aujourd’hui disparu, se dressent d'immenses colosses de pierre. Il y a là les plus grands dieux de Commagène. Tous sont des syncrétismes de divinités grecques et perses : Zeus Ahura-Mazda ; Apollon Mithra Hélios Hermès ; Verethraghna Héraklès Arès. Il y a aussi la déesse Commagène et le roi Antiochos Ier.
Devant la face occidentale du tumulus, on trouve également des colosses. Ils sont moins bien conservés que leurs jumeaux de la face orientale. De grands orthostates étaient dressés à proximité de ces statues. Certaines sont toujours sur place. On peut y admirer des prêtres en costume perse.
Pour arriver au sommet (à 2150 mètres d’altitude), il faut marcher sur un chemin qui grimpe pendant deux kilomètres. Gravir la montagne en fin d’après-midi permet d’assister au coucher du soleil. Les autres montagnes de la région prennent alors une belle coloration rougeâtre. Une lampe de poche est utile pour éclairer le sentier lors de la descente.
SULLIVAN (R.D.), The Dynasty of Commagene, dans Aufstieg und Niedergang der Römischen Welt, II, Principat, b. 8, 1977, s. dir. TEMPORINI (H.), HAASE (W.), p. 732-798.
ACAR (G.), Nemrud, 2e éd., Ankara, 2004.
http://junkhorror.over-blog.com/page/3
Grande
Au début du mois de juillet 1908, Luigi Pernier, un jeune archéologue italien, effectuait des fouilles sur le site du palais minoen de Phaistos, sur la côte sud de la Crète.
En pleine chaleur estivale, il travaillait dans la pièce principale du sous-sol d'un temple, lorsqu'il trouva un disque de terre cuite recouvert de craie et parfaitement intact, de 15 cm de diamètre et 1 cm d'épaisseur.
Les deux faces du disque étaient recouvertes de mystérieux hiéroglyphes, 241 au total, qui formaient une spirale allant du bord vers le centre. Sur les 45 glyphes répertoriés -ces figures symboliques gravées ou sculptées-, plusieurs représentaient des éléments du quotidien : homme, poisson, insecte, oiseau, bateau, etc.
Ces symboles ont beau être facilement reconnaissables, leur signification n'a cessé d'intriguer les archéologues comme les cryptologues, depuis la découverte du disque il y a un siècle.
Le problème, c'est qu'aucun autre vestige comportant une écriture similaire n'a été trouvé, ce qui laisse seulement 241 caractères comme base de travail pour qui voudrait les déchiffrer. Ce manque d'informations est d'autant plus frustrant que, de l'autre côté de la Crète, sur le site du palais minoen de Cnossos, les archéologues ont découvert des centaines de tablettes rédigées dans deux écritures anciennes, qu'on appelle linéaire A et linéaire B.
L'écriture la plus ancienne, le linéaire A, n'a jamais été déchiffrée. Le linéaire B, en revanche, qui date des XIVe et XIIIe siècles avant J.-C., a été déchiffré dans les années 1950, lorsque l'architecte anglais Michael Ventris a découvert que les tablettes étaient rédigées dans une forme archaïque du grec ancien.
Hélas pour ceux que le disque de Phaistos fascine, le texte ne serait pas assez long pour être déchiffré avec certitude…
Certains archéologues amateurs pensent qu'il s'agirait d'une sorte de prière, d'autres d'un calendrier, et d'autres encore d'un appel aux armes. Certains ont même émis l'hypothèse qu'il s'agirait d'un ancien jeu de société ou d'un théorème de géométrie.
Anthony P.Svoronos, un mathématicien originaire de Crète, s'intéresse depuis très longtemps aux secrets du disque. Il gère aujourd'hui un site Internet recensant toutes les hypothèses qui ont été proposées.
« La caractéristique la plus frappante de ce disque, à mon avis, c'est la technique qui a été utilisée pour le fabriquer, explique Svoronos. Il a été estampé à l'aide de plusieurs sceaux. La fabrication de ces sceaux a exigé un grand effort, par conséquent on peut supposer qu'ils ont servi à produire un grand nombre de documents.Or ce disque est le seul objet estampé avec ces sceaux qui soit parvenu jusqu'à nous. »
Autre aspect intéressant : les signes qui figurent sur le disque sont extrêmement détaillés.
« Seuls les suppositions fantaisistes parviennent à concilier ces différentes caractéristiques, ajoute le mathématicien. Voici l'explication que je privilégie : le disque de Phaistos serait une question posée à un oracle, et le rituel exigerait que l'objet qui porte la question soit détruit pendant le processus de divination. »
Cette théorie expliquerait pourquoi, même si de nombreux textes avaient été fabriqués, tous auraient été détruits...
« Bien sûr, c'est une manière un peu farfelue d'interpréter les événements qui se sont déroulés à Phaistos », admet Svoronos.
Mais il souligne que d'autres éléments relevés dans cette région pourraient crédibiliser cette hypothèse. On a par exemple trouvé sur l'île de Kéros des traces archéologiques d'un culte antérieur à l'époque où fut fabriqué le disque de Phaistos, culte pour lequel des statuts rituelles de grande valeur étaient volontairement détruites. Et, dans l'oracle de Dodone, qui est très ancien et peut-être antérieur au disque de Phaistos, on a trouvé des tablettes en plomb contenant des requêtes adressées à l'oracle.

Que cette interprétation soit la bonne ou non, le monde entier attend avec impatience une réponse définitive à cette mystérieuse énigme.
Liens complémentaires:
http://www.inmysteriam.fr/cryptologie/le-disque-de-phaistos-lun-des-plus-grands-mysteres-de-la-cryptologie.html#c
A la découverte d'une fabuleuse civilisation longtemps ignorée qui, durant plus d'un millénaire, a tenu tête à son puissant voisin égyptien : le royaume nubien.
L'archéologue suisse Charles Bonnet exhume sept statues de pharaons noirs sur le site de Kerma, au Soudan. Ces œuvres monumentales dormaient à trois mètres sous terre depuis deux millénaires et demi. Non seulement elles offrent une nouvelle clé pour comprendre la civilisation nubienne, mais leur remarquable état de conservation permet de se faire une idée du visage de ces souverains noirs. Toutes les autres représentations trouvées jusque-là étaient trop détériorées.
Cette découverte extraordinaire montre l'importance de Kerma, ville à l’organisation complexe qui s’étendait sur 20 hectares. Elle était vraisemblablement la capitale d'un royaume nubien qui, pendant plus de mille ans (de -2 500 à -1 500 avant J.-C.), a préservé son indépendance face au très envahissant voisin égyptien. Un État autonome, puissant, dont le rayonnement économique et culturel commence tout juste à être mesuré. L'État de Kerma est même considéré aujourd'hui comme une civilisation à part entière. Si sa proximité avec l'Égypte l'a influencé, il a indéniablement développé une identité propre. Les archéologues le considèrent d'ailleurs comme le premier grand royaume d'Afrique.
Plus tard, en 747 av. J.-C., des souverains nubiens s'empareront même de la terre des pharaons, et cinq rois africains régneront sur l'Égypte, qui connaîtra alors une période de prospérité et de renouveau artistique. Mais cet épisode sera de courte durée (un peu moins d'un siècle). La dynastie nubienne cédera sous les coups des Assyriens et des rois du Delta. Dès lors, les Égyptiens s'efforceront de faire disparaître les traces de ces pharaons noirs, notamment en mutilant les statues les représentant.
Les pharaons noirs et leur royaume par hopto

Au Ve siècle avant notre ère, l’historien grec Hérodote visita l’Egypte. Il écrivit ensuite qu’une puissante reine avait gouverné l’Egypte, elle se nommait Nitocris : « Les prêtres me lurent ensuite dans leurs annales les noms de trois cent trente autres rois qui régnèrent après lui [Héphaïstos]. Dans une si longue suite de générations, il se trouve dix-huit Éthiopiens et une femme du pays ; tous les autres étaient hommes et Égyptiens. Cette femme qui régna en Égypte s'appelait Nitocris […]. Ils me racontèrent que les Égyptiens, après avoir tué son frère, qui était leur roi, lui remirent la couronne ; qu'alors elle chercha à venger sa mort, et qu'elle fit périr par artifice un grand nombre d'Égyptiens. On pratiqua sous terre, par son ordre, un vaste appartement, qu'elle destinait en apparence à des festins ; mais elle avait réellement d'autres vues. Elle y invita à un repas un grand nombre d'Égyptiens qu'elle connaissait pour les principaux auteurs de la mort de son frère, et, pendant qu'ils étaient à table, elle fit entrer les eaux du fleuve par un grand canal secret. Il n'est rien dit davantage de cette princesse, si ce n'est qu'après avoir fait cela elle se précipita dans un appartement toute couverte de cendres, afin de se soustraire à la vengeance du peuple » (L’Enquête, II, § 100).
Hérodote et Nitocris
Ce texte fit couler beaucoup d’encre. Il comporte de nombreuses erreurs historiques et chronologiques. Il décrit des événements qui se sont déroulés environ 2000 ans avant Hérodote… Si l’on accepte que le frère et époux de Nitocris était Merenré II, la reine était donc une fille du roi Pépy II (VIe dynastie). Le texte d’Hérodote fut confirmé par le célèbre papyrus de Turin. Dans cette liste de rois d’Egypte rédigée à la XIXe dynastie, il y a le nom de Nitocris (Neitiqerty) après celui du successeur de Pépy II ! Mais, ce nom est absent de la célèbre liste royale d’Abydos. Là, après le cartouche de Merenré II, il y a celui d’un certain Netjer-ka-Ra. Enfin, l’historien Manéthon évoqua aussi la célèbre reine. Cette fois, elle devint la propriétaire de la pyramide de Mykérinos !
La reine Neith II est-elle Nitocris ?
Mais une question demeure, Nitocris est-elle un personnage réel ? L’archéologue suisse Gustave Jéquier mit au jour un bas-relief à Saqqara Sud où figurait une reine du nom de Neith qui était liée à un roi Menkaré, l’un des successeurs de Pépy II et Merenré II. Pour lui, Neith II était probablement la célèbre Nitocris.
Percy E. Newberry et Nitocris
En 1943, l’égyptologue britannique Percy E. Newberry s’intéressa à Nitocris. D’après lui, la reine était une fille de Pépy Ier et une épouse de Merenré Ier. D’après ce chercheur, Nitocris n’exerça pas la royauté directement. D’après Newberry, Hérodote confondait cette reine avec la divine adoratrice d’Amon Nitocris qui vécut à la XXVIe dynastie. Cette dernière était une sorte de vice-reine de Thèbes. Il constata aussi que le neveu de la divine adoratrice, le roi Apriès fut assassiné. Newberry conclut qu’Hérodote mélangea les deux histoires, celle de la divine adoratrice d’Amon et celle de la fille de Pépy Ier.
Nitocris fut elle la reine Pépy-ankh-en-es II ?
L’égyptologue français Jean Leclant remarqua lui aussi les erreurs et confusions d’Hérodote. Pour lui, il y eut effectivement une femme très puissante à la VIe dynastie : la reine Pépy-ankh-en-es II. Elle fut l’épouse de Pépy Ier, de Merenré Ier, la mère et la régente de Pépy II. Cette dernière fonction fit d’elle l’une des plus puissantes femmes d’Egypte. Toutefois, souligna-t-il, elle ne fut jamais seule au pouvoir.
Nitocris était-elle un homme ?
Enfin, en 2000, l’égyptologue Kim Ryholt, apporta un éclairage nouveau sur ce problème. Spécialiste du papyrus de Turin, il parvint à compléter le célèbre texte avec quelques fragments laissés de côté jusque là. A côté du nom de Nitocris, vint s’ajouter un second cartouche : Siptah. Depuis Pépy Ier, tous les rois possédaient deux cartouches. Il n’était donc pas anormal que Nitocris possédât deux noms. Mais son étude démontrait aussi que le nom propre Nitocris pouvait être porté aussi bien par des femmes que des hommes. Il était même porté majoritairement par des individus masculins. Mais celui de Siptah fut toujours porté par des hommes ! Nitocris était donc un homme. C’est Hérodote qui fit de ce roi une femme en le confondant avec la divine adoratrice d’Amon de la XXVIe dynastie. Kim Ryholt pense que Nitocris pourrait même figurer dans la liste royale d’Abydos sous la forme de Netjer-ka-Ra. Avec le temps, écrivit-il, le nom du roi s’est probablement altéré.
Des questions sans réponse…
Nitocris-Siptah demeure cependant inconnu. Ce roi n’est qu’un nom dans l’Histoire. A ce jour, il n’existe aucune mention d’une éventuelle pyramide. Fut-il un fils ou un frère de Merenré II ? Son règne fut probablement très bref. L’archéologie livrera peut être un jour plus d’information sur ce roi méconnu de la VIe dynastie.
Bibliographie sélective :
BARTA (W.), Bemerkungen zur Chronologie der 6. bis 11. Dynastie, dans Zeitschrift für Ägyptische Sprache und Altertumskunde, b. 108, 1981.
JÉQUIER (G.), Les pyramides des reines Neit et Apouit, Le Caire, 1933 (Fouilles à Saqqara ; Service des Antiquités de l'Égypte).
NEWBERRY (P.E.), Queen Nitocris of the Sixth dynasty, dans The Journal of Egyptian Archaeology, v. 29, 1943, p. 51-54.
The Queens of Ancient Egypt, introduction de ARNOLD (D.), texte de PIRELLI (R.), Le Caire, 2008.
RYHOLT (K.), The Late Old Kingdom in the Turin King-list and the Identity of Nitocris, dans Zeitschrift für Ägyptische Sprache und Altertumskunde, b. 127, 2000, p. 87-100.

Mexique : Une découverte archéologique de l’ère aztèque qui laisse perplexe…
Mexique, Sciences — Par Aline Timbert
Voilà une nouvelle découverte archéologique précolombienne qui risque de faire cogiter les scientifiques… En effet, au Mexique, la découverte d’une tombe préhispanique remontant à la civilisation aztèque a laissé perplexe l’équipe d’archéologues mexicains chargés de l’exploration sur le site d’Azcapotzalco situé dans la capitale.
Il s’agit en fait de la mise au jour d’une sépulture datant de plus de 500 ans comprenant les dépouilles de 12 chiens, leurs ossements ont été retrouvés dans un trou d’une profondeur estimée entre 1 m 30 et 1 m 70. Ce qui surprend dans ce contexte c’est le fait qu’aucun être humain n’ait été enterré avec ces animaux domestiques considérés par les Aztèques comme des gardiens ou encore des guides de l’âme dans l’inframonde. Un animal qui jouait donc un rôle capital dans la religion aztèque puisqu’il était directement associé aux croyances et aux rituels.
La scientifique en charge des fouilles, Rocío Morales Sánchez, membre de l’Institut national d’anthropologie et d’histoire du Mexique a qualifié cette découverte « d’insolite » précisant « des sépultures de chiens ont été retrouvées dans d’autres contextes archéologiques, mais celui-ci n’est pas associé à un enterrement humain ou à une quelconque construction ». L’experte a par ailleurs précisé que rien de similaire n’a été vu jusqu’à présent par les scientifiques, chez les Aztèques le chien accompagne toujours un être humain dans la mort ou bien sert de protecteur lors de la construction d’un édifice, par exemple un lieu sacré comme en temple.
Conjointement à la découverte des dépouilles canines, les archéologues ont trouvé d’autres pièces archéologiques comme des restes de céramique qui daterait de 1350 à 1520 après Jésus-Christ.
Ces objets remontent à l’apogée de la civilisation aztèque, ils feront bien sûr l’objet d’études approfondies tout comme les squelettes des chiens, il s’agit désormais de déterminer les raisons de la mort de ces animaux, constater s’ils étaient malades ou souffraient d’une quelconque malformation, et bien sûr tenter de comprendre pourquoi ils ont été enterrés en cet endroit précis.
Pour sa part, l’archéologue Antonio Zamora a révélé qu’en adéquation avec les premières recherches effectuées par la biologiste Alicia Blando Padilla, qui s’est rendue sur place, les squelettes des chiens qui ont été retrouvés appartiennent à des espèces communes. Par ailleurs, comme en témoigne le placement des ossements, les dépouilles des chiens ont été placées dans le puits de façon aléatoire, il ne semble pas y avoir une orientation précise de leur corps répondant à une logique particulière.
Cette découverte s’inscrit dans le cadre des grandes fouilles archéologiques menées sur la Avenida Azcapotzalco, jusqu’à présent des sépultures humaines, du matériel archéologique et les stigmates d’anciens canaux ont été mis au jour.
Parmi les races de chiens qui évoluaient auprès des Aztèques, on retrouve le Techichi (probable ancêtre du Chihuahua), connu pour sa petite taille, ou encore le Xoloitzcuintle aussi appelé « chien nu mexicain » qui possède une stature moyenne.
Les archéologues ont conclu qu’il serait nécessaire de fouiller plus en profondeur pour savoir s’il y a un élément en dessous de cette sépulture qui puisse permettre de comprendre pourquoi les chiens ont été enterrés ainsi.
Une énigme que les scientifiques vont chercher à résoudre pour mieux comprendre les rites mortuaires et religieux qui caractérisaient la civilisation aztèque.
(Aline Timbert
http://www.actulatino.com/2014/02/24/mexique-

Qui étaient les Publicains? Pourquoi sont-ils considérés comme des pécheurs et pourquoi sent-on du mépris à leur égard quand on lit les évangiles? (J. Richard)
Le devoir des citoyens de payer des impôts remonte au monde antique. À cette époque, une pratique courante consistait à vendre aux enchères les postes de collecteurs d'impôts. Ce procédé comporte un double avantage pour la personne qui gouverne. D'une part, une entrée de revenus demeure garantie sur une base régulière. D'autre part, l'empereur n'a pas a se soucier des modalités de la perception, ni de la formation des percepteurs. Cependant les simples gens demeurent les plus pénalisés: leurs contributions doivent être assez élevées pour payer à la fois l'empereur et les différents intermédiaires.
Au temps de Jésus, en Palestine, les dirigeants romains vendent à gros prix les postes de collecteurs d'impôts a certains juifs qui possèdent de grandes sommes d'argent. Ces intermédiaires entre l'empereur et le peuple juif ne font pas directement affaire avec les gens. Au contraire, ils engagent à leur tour des subalternes pour faire le travail à leur place. Ces derniers se trouvent en relation avec le public (d'où leur nom de publicains). Dans le Nouveau Testament, le Publicain est donc le plus petit subalterne juif qui veille à collecter les impôts directement des mains des citoyens. Il est l'agent de la perception des impôts.
Le peuple juif méprise profondément ces collecteurs d'impôts. Cette haine des gens à leur égard repose sur le fait qu'ils imposent souvent des montants excessifs. Les Publicains apparaissent alors comme des fraudeurs qui s'enrichissent aux dépens des contribuables.(rien n'a changé) De plus, leur collaboration avec l'occupant romain n'aide pas à leur attirer la sympathie de la population. Pour ces raisons, les Publicains se voient fréquemment assimilés aux pécheurs publics.
Rien n'a changé ces publicains ce sont transformés en RE publicain serviteur de la divinité du soleil a qui nous devons la pyramide et l'oeil et les loges maçonnique gnostique