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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
21 mars 2021

une co-animatrice de télévision ukrainienne révélant brièvement qu'elle a des yeux nettement reptiliens.

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Rapporté pour la première fois en juillet 2018, une séquence vraiment effrayante semble montrer une co-animatrice de télévision ukrainienne révélant brièvement qu'elle a des yeux nettement reptiliens.

L'incident

Cet incident anormal s'est produit lors d'une émission télévisée produite par un groupe de spiritualité New Age appelé AllatRa. L'émission a duré six heures, et mettait en vedette un homme et une femme (dont je ne trouve pas facilement les noms) discutant de l'Atlantide, de la spiritualité et de toutes sortes d'autres sujets marginaux, vraisemblablement à travers le prisme du système de croyance d'AllatRa. La femme en question lève brièvement les yeux vers le plafond avant que ses yeux ne semblent clignoter sur le côté, révélant des orbes reptiliens jaunâtres avant qu'ils ne reviennent rapidement à la normale et qu'elle recommence à parler. La chaîne YouTube paranormale qui a servi à vulgariser les images a ensuite été brièvement supprimée dans des circonstances suspectes, et le propriétaire de la chaîne semble laisser entendre que cela avait quelque chose à voir avec le gouvernement russe.

Spéculation 

De toute évidence, les images de `` vrais '' métamorphes reptiliens sont presque toujours manifestement canularisées ou simplement le produit de malentendus de personnes qui ne comprennent pas le fonctionnement des clichés de la caméra. Cependant, le moment déroutant apparaît en fait dans l'émission originale publiée par AllatRa - et cela exclut donc qu'il soit ajouté plus tard comme une farce ou un canular. S'il n'a pas été ajouté par des farceurs, alors peut-être a-t-il été ajouté par le groupe ésotérique lui-même? Certains ont suggéré qu'ils auraient pu faire cela délibérément pour générer du buzz autour de leur organisation, mais je dirais que l'anomalie n'apparaît que pendant une fraction de seconde et je pense donc qu'ils auraient pu le rendre plus évident s'ils allaient le faire. .

Honnêtement, je ne sais pas quoi penser de celui-ci. Regardez la vidéo et voyez par vous-même!

 

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19 septembre 2018

Révélation d' une hybride reptilienne sur ses origines

ce phenomene  n'est pas nouveau et remonterait bien avant le moyen age on trouve des livres qui definisse ce concept de reptilien 

par l'appellation de  demon sous forme humaine qui etait  bien documenté dans le passé mais ce fait ,a été occulté de nos livres d'histoires

comme le prouve ces extrait de vieux livres  anciens qui en parle de façon explicite .....

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demons sous formes humaines connus sous l'appelation de reptilien 

 

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c'est tres malin le detournement de son histoire on a remplacé le mot reptilien et demon par extraterrestre , ils ne se cahent plus maintenant ils sont aliens  comme les chemtrails cest pour le rechauffement climatique alosr qu'avant ils existaient pas pour ces reptiliens c'est pire allez voir les commentaires sur youtube les gens sinsultent en se traitant de noms doiseaux bref alors que aujourdhui cest devant leur face et cette femme dit clairement c'est dure de vivre avec ce secret il faut que çà se sache ......depuis que je suis enfant je me doutais que je n'etais pas comme les autres je lisais les pensées des autres c'est tres troublant a vivre et a assumer de telles capacités sensoriels ......la question est que si ils ne se cachent plus cest que les des sont jetés pour l'humanité qui voit se realiser sous ses yeux les premisses de la fin des temps  apocalypse qui veut dire Révélation

M. Vendittelli a déclaré: "Sa mère était enceinte de' huit mois et a décidé de monter dans la chambre pour faire une pause.

"Au moment où elle a atteint

le lit, elle a été immédiatement paralysée ,

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ces êtres anthropomorphes, à la pilosité très développée, sont décrits sur tous les continents par les voyageurs et les explorateurs dans leurs récits de voyages. Particulièrement dans Il Milione, surnom attribué à Marco Polo (ca.1254-1324, par les vénitiens, ou « le livre des Merveilles » ainsi que dans « le livre des Merveilles du monde » ouvrage rédigé par Jehan de Mandeville. (†17 Novembre 1372) Si la véracité des récits de Marco Polo est régulièrement remise en cause, l'iconographie de l'homme sauvage et velu y est omniprésente. De nombreux manuscrits du « Devisement du monde » (rédigé par Rusticello de Pise, (12?? – 13??) ont été répertoriés ; cependant l'original, qui aurait été remis à Thibaut de Cépoy en 1307 à Venise, se trouve à la Bnf (fr.1116) L'héritage antique, des races monstrueuses ou extraordinaires, se trouve, de la même façon systématisé dans un des récits les plus consultés au Moyen Âge : « Le Roman d'Alexandre». Tous les stéréotypes imaginaires présentés dans la narration de Callisthène (ou Pseudo Callisthène) auraient été collectés dans les traités des érudits de l'Antiquité : Hérodote, Strabon, Pline... de Solin. 





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3 septembre 2018

Hybride et sang royale la naissance de Balqis d’une mère djinn nommée Umeira

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La fille de la déesse soleil

La légende arabe attribue la naissance de Balqis d’une mère djinn nommée Umeira. L’histoire existe aussi chez les Perses, pour qui elle est la fille d’un roi chinois et d’une péri (un type d’être surnaturel)Comme mentionné dans plusieurs récits bibliques, coraniques et hébraïques, Balqis, souveraine Yéménite, a régné sur le royaume de Saba. Son royaume s’étendait du Yémen au nord de l’Éthiopie jusqu’à la région de l’Érythrée. De haute lignée, elle serait, toujours selon la légende, l’enfant d’une mère djinn, Umeira, et d’al-Himiari Bou-Scharh, vizir de Sharahbil Yakuf, roi de Saba.

preuve que la lignée de sang reptilien nest en fait la lignée des djinns encore sauvegardé secretement par nos elites

 

ils ont decidé de ridiculiser ce concept avec la theorie reptilienne mais en occultant lexistance des divs et des peris les djinns dont hareth le premier qui devint satan a son expulsion de l'Eden jura de diviser les hommes et de multiplier sa descendance parasite qui dirige les plus hautes sphères de nos jours...l'hybridation a existé dans le sang royale et leur  descendant se targuent de posséder encore le sang de la race de balqis et de sa mère Umeira......« Nous sommes, répondirent-ils, un peuple fort et d’une puissance redoutable. Mais la décision t’appartient. Vois donc toi-même les ordres que tu veux bien nous donner ! » (Coran 27 – 34)

 

II est encore dit dans le Coran : «Les armées de Salomon, sont faites de démons, d'hommes et d'oiseaux, se rassemblèrent, ....(S27V.17) Et ailleurs : «Nous lui avons soumis le vent... et les démons, tous architectes et plongeurs.» (S38V36-37.) Et ailleurs: Ô hommes!, on nous a enseigné le langage des oiseaux, ...» (S27V16.) Et Dieu lui apprit aussi le langage des Dîvs, et Salomon força les Dîvs à bâtir le temple de Jérusalem et d'autres édifices, comme il est dit dans le Coran : «Ils faisaient pour lui ce qu'il voulait, des temples, des figures, des plats comme des bassins, ... » (S34V13) Ce sont là les temples que les Dîvs ont construits .

Il y avait un roi d'entre les rois de Chine, de ces quatre rois qui possédaient le monde. Son nom était Bou-Schar'h, il avait obtenu le trône dans sa jeunesse et traitait ses sujets avec bonté. Ce roi aimait passionnément la chasse, et ne cessait de chasser jour et nuit. On raconte qu'un jour, étant allé à la chasse, il vit deux serpents, l'un noir et formidable, l'autre blanc, petit et très-joli. Ils luttaient ensemble, et le serpent noir avait le dessus et allait tuer l'autre. Le roi envoya un serviteur afin qu'il séparât les deux serpents et qu'il tuât le serpent noir. Le serpent blanc s'évanouit. Le roi ordonna au serviteur de le placer sur le mulet, de le porter au bord de l'eau et de le poser sous un arbre.
Quand la fraîcheur de l'eau et l'ombre de l'arbre l'atteignirent, le serpent revint à lui et but un peu de cette eau., puis ils le laissèrent libre de s'en aller, et le roi retourna chez lui.

Le lendemain, à l'heure du dîner, le roi était dans son cabinet et personne n'avait accès auprès de lui. les rideaux étaient clos et lui était endormi; lorsqu'il se réveilla, il vit un jeune homme comme il n'en avait jamais vu de plus beau et habillé de vêtements distingués. Le roi lui dit : Qui es-tu et qui t'a introduit ici à une heure où personne n'ose venir chez moi? Le jeune homme dit : O prince, je ne suis pas un homme,.mais un péri, fils d'un chef de péris. Je suis ce serpent blanc que le roi a délivré hier du serpent noir. Je suis un péri, et l'autre était un serviteur de mon père qui, depuis longtemps, a de l'inimitié pour moi. Hier il m'a rencontré seul dans ce désert, et il voulait me tuer, lorsque tu m'as délivré de sa main et m'as mené au bord de l'eau pour me faire reprendre les sens. Maintenant je veux te récompenser du bien que tu m'as fait. Si tu veux, je te montrerai des trésors, de sorte que tu auras autant d'or et d'argent que tu voudras. Le roi dit : Je n'ai besoin ni d'or ni d'argent, car j'en ai beaucoup moi-même. Qu'as-tu encore? Le péri dit : O roi! veux-tu que je t'enseigne la science de la médecine de façon que personne ne soit plus savant en médecine que toi, et que tu puisses guérir toute espèce de mal? Le roi dit : J'ai des médecins qui me guérissent. Le péri dit : Si tu ne veux pas ces deux choses, j'ai une sœur si belle que jamais tu n'as vu de femme pareille. Si tu veux, je te la donnerai pour femme. Cependant elle a un défaut, car elle est une péri, et toi tu es un homme; je ne sais pas si tu pourras t'accommoder à sa nature et ne pas la perdre. Le roi dit : Quelle est la nature de ta sœur? Le péri dit : Quoi qu'elle fasse dans ta maison, tu ne dois pas dire: Que fais-tu? ou qu'as-tu fait? car, dans ce cas, elle te quitterait, toi et ta maison, et s'en irait et tu ne la reverrais jamais. Le roi dit : C'est bien, je ne ferai que ce qu'elle dira, et j'agirai en tout selon sa volonté. Le péri dit: Lève-toi et viens avec moi. Le roi se leva, et le péri le fit sortir du palais à l'insu de tout le monde, et il le conduisit hors de la ville dans le désert. Puis il l'amena dans des kiosques et dans des jardins comme le roi n'en avait jamais vu ; des murs d'or, d'argent, d'émeraude et de perles; et aux portes de ces kiosques et des cabinets étaient suspendus des rideaux.

 

Ensuite le péri fit asseoir le roi sur un trône, et de jeunes filles et de jeunes garçons formèrent deux rangs; enfin la sœur du péri arriva, et il la donna pour femme au roi et la fit asseoir à côté du roi sur le trône. Puis on apporta un bassin d'or et de l'eau pour laver les mains, et tous se mirent à manger. Le roi resta là un jour et une nuit, puis il emmena avec lui le péri et sa sœur, et s'en retourna dans son royaume. Il restait avec la sœur du serpent blanc, et oubliait tous les siens, femmes, nobles et esclaves. Quelque temps après, il eut un fils de la péri, parfait comme un joyau unique, comme jamais personne n'en avait vu. Quand on vint annoncer au roi cette nouvelle et qu'il vit son fils mille fois plus beau que sa mère, son amour augmenta encore. Alors il vit un feu qui s'approchait par la porte de la chambre. La péri enveloppa l'enfant dans une toile et le jeta dans le feu. Aussitôt l'enfant disparut. Le roi pleura de chagrin, se frappa la figure et se lamenta beaucoup. Il ne sut comment faire à cause de l'engagement qu'il avait pris de ne pas demander de raison de tout ce que cette femme ferait; mais il se dit en lui-même : J'aime ce fils davantage. Il souffrait en patience et ne le fit pas voir à sa femme.

 

Le roi eut de nouveau commerce avec sa femme; quelque temps après, la péri mit au monde une fille belle comme la lune et le soleil. Le roi n'avait jamais vu visage pareil, et il en fut transporté de joie. Alors entra un chien, et la femme enveloppa l'enfant dans une toile et la jeta devant le chien, qui la prit et l'emporta. Le roi déchira ses vêtements et ne savait que faire; car il craignait que la péri ne fût blessée par .ses plaintes, et il n'osait rien lui dire et il dévorait son chagrin. Ils restèrent comme par le passé, et le roi ne pouvait se détacher de l'amour de la péri.
Or un ennemi s'éleva contre le roi, et il fut obligé de partir pour faire la guerre en emportant une grande quantité de provisions. I l avait un vizir nommé Râm Râmisch. Pour aller à la rencontre de l'ennemi, il fallait traverser un désert de sept journées de marche. Le roi avait emporté des provisions pour cinq jours, et le vizir également. Arrivés au milieu du désert, leurs provisions étaient épuisées, et le vizir envoya au roi, en cadeau, vingt-cinq charges d'âne de ses propres provisions. Ils voulurent arriver ce jour-là à une station pour y passer la nuit et manger et boire des provisions du vizir. Quand l'armée fut en marche, la péri prit un couteau, ouvrit les sacs contenant de la farine et des provisions, et les outres contenant de l'eau, et répandit le tout dans l'air et sur le sol. Quelqu'un en avertit le roi. Le roi fut très-irrité et dit en lui-même :
Maintenant elle a dépassé les limites de l'amitié ct de l'affection (que j'avais pour elle). Cette femme a attenté à notre vie à tous; maintenant il faut absolument lui exposer ouvertement le fait. Puis il dit à sa femme: 0 reine, sache que j'ai eu un fils qui surpassait en beauté toutes les créatures du monde; tu l'as jeté dans le feu, et je ne t'ai rien dit. Quand une fille me fut née, tu as agi comme tu sais, et j'ai gardé le silence. Maintenant l'affaire a atteint sa dernière limite; pourquoi as-tu jeté au vent la farine et versé l'eau, et pourquoi attentes-tu à ma vie et à la vie de l'armée ?^Pourquoi agis-tu ainsi? La femme répondit :
O mon époux! écoute ma réponse. D'abord, j'ai jeté au vent la farine et j'ai répandu l'eau, parce qu'elles étaient empoisonnées. Sans doute tu n'as pas compris ce que j'ai fait; si tu veux t'en convaincre, fais venir ton vizir et ordonne-lui de manger et de boire de ce qui est resté de la farine et de l'eau. S'il le fait, tu sauras toi-même si j'ai menti; s'il ne le fait pas, sache que ton vizir a reçu cent mille dirhems et qu'il a empoisonné ces provisions pour te faire périr, toi et ton armée. Le roi fit amener le vizir et mettre devant lui un peu de cette farine et de cette eau; il tira son épée et dit au vizir : Il faut que tu manges de cela. Le vizir ne le fit pas, et le roi le tua sur-le-champ.
La péri dit ensuite : Quant à ton fils que j'ai jeté dans le feu, ce feu était la plus compatissante nourrice; je le lui ai donné pour que toi et moi nous n'ayons pas de peine de lui. Maintenant Dieu l'a pris ù lui; qu'il t'accorde une compensation. Enfin, quant à la pelite fille que j'ai donnée au chien, c'est encore à ma nourrice que je l'ai donnée, qui a eu soin d'elle mieux que tout autre: elle est vivante et auprès de cette nourrice. Puis la péri poussa un cri, la nourrice arriva et apporta la petite fille brillamment ornée; elle avait pour la valeur de cent mille dinars d'ornements sur elle en fait de bijoux de toute espèce; le roi n'avait jamais vu une fille aussi belle. La péri la prit et la remit au roi en disant: Voilà ta fille. Elle ordonna ensuite que l'armée se mît en marche, et elle la conduisit vers un endroit éloigné d'une parasange, où ils trouvèrent de l'eau et des provisions en énorme quantilé. Puis elle envoya ses amis devant l'ennemi qui avait envahi le royaume; ils l'égarèrent et le soumirent complètement.

Ensuite la péri dit au roi : Maintenant il est devenu évident que tout ce que j'ai fait était pour ton bien; pars, car tu ne me verras plus jamais; détache ton cœur de moi. Il est impossible de décrire les lamentations du roi. La péri dit, Noire séparation est inévitable, et elle disparut. Le roi se consola avec sa fille, qu'il nomma Balqîs. Quand elle fut devenue grande, le roi mourut, lui laissa son royaume et son armée. Elle régna jusqu'à l'époque où la huppe de Salomon vint parler à la huppe de Balqîs, comme nous l'avons rapporté.

Legends of the Patriarchs and Prophets and Other Old Testament Characters ...

Par Sabine Baring-Gould

11 février 2018

Portails biologiques ET humains sans âme

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«Un pourcentage considérable des personnes que nous rencontrons dans la rue sont des personnes qui sont vides à l'intérieur, c'est-à-dire qu'elles sont déjà mortes. C'est une chance pour nous que nous ne le voyons pas et que nous ne le sachions pas. Si nous savions quel nombre de personnes sont réellement mortes et quel nombre de ces morts gouverne nos vies, nous devrions devenir fous d'horreur. "

- GI Gurdjieff

Ce sont des moments intéressants. D'une part, il y a des changements à l'échelle mondiale qui ne peuvent vraiment pas être ignorés plus longtemps. D'un autre côté, la majorité de la population semble vivre sa vie comme si tout était tel qu'il est et sera toujours, enfermé dans une vision tunnel d'intérêt personnel et matériel.

Tant que nous continuons à nous mentir en nous basant sur le conditionnement, le vœu pieux, la répression ou le déni et que nous croyons que les mensonges sont là-bas, les confondant avec la vérité, rien ne changera. Cela va au-delà d'une attitude «positive», où l'espoir peut être simplement un piège et un mensonge pour soi-même. Croire en des mensonges qui sont «positifs» en apparence (peu importe à quel point l'intention ou le bon cœur de la personne) est réellement négatif et bloque sa conscience et son évolution spirituelle. Être positif peut signifier reconnaître quelque chose de négatif parce que c'est la vérité, le voir pour ce qu'il est. Si vous croyez à un mensonge, même si cela semble positif et vous fait «vous sentir bien», vous abandonnez votre libre arbitre et cela a des implications spirituelles. En ces temps de transition, il devient impératif de chercher la vérité .

La vraie connaissance ésotérique n'a pas grand chose à voir avec la littérature populaire New Age / Self Help de nos jours, comme le prouve le mainstream, ce qui est montré sur Oprah (de E. Tolle à "The Secret", etc ...) ou ce qui est sur le best-seller liste et "dans". Trop de gens parlent trop vite comme s'ils «connaissaient» déjà et répètent des slogans du Nouvel Age, comme «nous sommes tous un», «tout est illusion», «tout ce dont vous avez besoin est amour», «soyez vous-même», être dans le maintenant ", etc. sans véritablement comprendre la profondeur de ces mots et leur véritable signification au-delà de la spiritualité du fast-food de nos jours.

Selon "Gnosis", transmis par Boris Mouravieff, il existe deux types d'humains: l'homme adamique et l'homme pré-adamique. Un type avec un potentiel d'âme, l'autre n'a pas d'âme individuelle. Seul le premier a la capacité inhérente d'évoluer ésotériquement et de construire le centre magnétique en fusionnant l'inférieur avec les centres supérieurs. Ce dernier n'a pas la possibilité dans son cycle évolutif actuel de se rapprocher des centres supérieurs et n'a pas accès à un savoir / une conscience / un amour supérieurs. En regardant le modèle des chakras indiens, on pourrait dire que l'homme pré-adamique n'existe que sur les trois chakras inférieurs sans aucun accès aux plus élevés, alors que l'homme adamique existe principalement sur les centres inférieurs, mais a la capacité d'activer et de centres supérieurs à travers un travail ésotérique conscient. Mouravieff écrit:

"Dans le premier volume de 'Gnosis', nous avons déjà mentionné plusieurs fois la coexistence de deux races essentiellement différentes: l'une de Men et l'autre d'Anthropoïdes. Nous devons souligner le fait que du point de vue ésotérique, ce dernier terme n'a aucune signification péjorative.

... Les Écritures contiennent plus d'une référence à la coexistence sur notre planète de ces deux humanités - qui sont maintenant semblables dans la forme mais à la différence de l'essence. On peut même dire que toute l'histoire dramatique de l'humanité, depuis la chute d'Adam jusqu'à aujourd'hui, n'excluant pas la perspective de la nouvelle ère, est éclipsée par la coexistence de ces deux races humaines dont la séparation n'aura lieu qu'au Jugement Dernier.

50. Et lorsque Nous dîmes aux anges: "Prosternez-vous devant Adam", ils se prosternèrent, excepté Iblis [Satan] 
qui était du nombre des djinns et qui se révolta contre le commandement de son Seigneur. Allez-vous cependant le prendre, ainsi que sa descendance, 
pour alliés en dehors de Moi, 

... L'ivraie humaine, la race anthropoïde, sont les descendants de l'humanité pré-adamique. La principale différence entre l'homme pré-adamique contemporain et l'homme adamique - une différence qui n'est pas perçue par les sens - est que le premier ne possède pas les centres supérieurs développés qui existent dans ce dernier, bien qu'ils aient été coupés de son éveil la conscience depuis la chute, lui offre une réelle possibilité d'évolution ésotérique. En dehors de cela, les deux races sont semblables: elles ont les mêmes centres inférieurs, la même structure de la Personnalité et le même corps physique , bien que le plus souvent cela soit plus fort dans l'homme pré-adamique que dans l'adamique; En ce qui concerne la beauté, il ne faut pas oublier que l'homme et la femme préadamiques ont été créés par Dieu 

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Tout n'est pas faux ce que ces sources disent, cependant, les mensonges sont mélangés avec la vérité et le diable est toujours dans les détails. Le monde est plein de gourous autoproclamés et de leaders spirituels qui promettent de montrer aux chercheurs la «Voie » alors qu'ils s'épanchent et se nourrissent de la crédulité de leurs disciples. Le matériel le plus populaire du Nouvel Âge (y compris les sources canalisées) sert simplement de tampons et d'excuses, une autre forme d'illusion / d'évasion, mais pas en tant que catalyseur d'une véritable Croissance spirituelle. Comme Mouravieff écrit:

«Le confort, mot dominant pour le Progrès sous ses différents aspects et à des degrés divers, constitue un but suffisant pour la majorité des hommes civilisés de notre époque. Dans ces conditions de notre temps, l' homme n'est ouvert aux valeurs divines qu'à des doses soigneusement mesurées, maintenues dans des limites pour ne pas troubler sa conscience bourgeoise ou sociocommuniste ni menacer le bien-être matériel qu'il a acquis. "

Avez-vous déjà eu cette "fantaisie cauchemardesque" que le monde soit peuplé de zombies? Eh bien, devinez quoi, ce n'est pas un fantasme. La moitié des gens sont exactement là: des «automates sophistiqués qui prétendent être comme vous».

Il est tout à fait approprié qu'il utilise le terme "agent" (le film Matrix n'importe qui?) Pour le type d'être programmé, "qu'ils soient faits de chair et de sang ou de puces de silicium".

Il poursuit en disant:

"Les agents ne perçoivent pas le monde comme s'ils étaient des observateurs impersonnels, objectifs, qui essayent de représenter intérieurement le monde tel qu'il est, indépendamment d'eux-mêmes. Pour un agent, une sensation n'a de sens que dans la mesure où elle est en rapport avec les objectifs de l'agent, ce qui, dans la pratique, signifie qu'elle est pertinente pour la survie individuelle de l'agent. "

Heylighen décrit l'esprit du prédateur. Ceci est étonnamment proche des scénarios réels de la vie réelle du comportement et de la pensée du psychopathe qui sont présentés dans le livre de Cleckely "Le masque de la santé".

L'auteur conclut:

"La conscience n'est pas une substance mystérieuse, fluide ou propriété de la matière, mais un niveau d'organisation qui émerge des processus et des relations abstraites. Les personnes qui recherchent la conscience dans les particules élémentaires (une forme de panpsychisme qui a été suggérée comme un moyen de s'attaquer au «problème difficile»), parce qu'elles ne peuvent expliquer autrement d'où vient la conscience dans notre cerveau, sont égarées. Leur intuition peut être correcte dans la mesure où les particules, comme n'importe quel autre système, devraient être vues comme des relations plutôt que comme de simples touffes de matière. Mais attribuer la conscience à ces types de relations extrêmement simples n'est qu'un moyen d'échapper au problème très difficile, mais résolu, de reconstruire l'organisation cybernétique complexe de l'esprit humain dans tous ses détails et subtilités.

Le sujet des portails biologiques est profond et profond. Il ne faut pas arriver à des conclusions hâtives, des hypothèses ou des jugements. Nous sommes tous des portails organiques à un degré ou à un autre, le «prédateur» et la matrice agissant à travers nous jusqu'à ce que nous fassions l'effort de nous connaître et de travailler à fondre nos centres supérieurs qui nous connectent consciencieusement à notre moi supérieur. , délogeant nos programmes et nos comportements conditionnés et mécaniques afin que nous puissions utiliser notre volonté de manière consciente et éveillée. C'est la base du vrai libre arbitre.

"- Il y a des êtres humains qui sont comme des vampires. Qu'est-ce qu'ils sont et pourquoi sont-ils comme ça?

Ils ne sont pas humains; il n'y a qu'une forme ou une apparence humaine. Ce sont des incarnations d'êtres du monde qui est juste à côté du physique, des êtres qui vivent sur le plan que nous appelons le monde vital. C'est un monde de tous les désirs, de toutes les impulsions, de toutes les passions et de tous les mouvements de violence, de la cupidité et de la ruse et de toutes les ignorances; mais tous les dynamismes sont là, toutes les énergies de la vie et tous les pouvoirs. Les êtres de ce monde ont par nature une étrange emprise sur le monde matériel et peuvent exercer sur lui une influence sinistre.

Certains d'entre eux sont formés à partir des restes de l'être humain qui persistent après la mort dans l'atmosphère vitale près du plan terrestre. Ses désirs et ses appétits flottent toujours là et restent en forme même après la dissolution du corps;souvent ils sont poussés à continuer de manifester et de se satisfaire et la naissance de ces créatures du monde vital est la conséquence. Mais ce sont des êtres mineurs et, s'ils peuvent être très gênants, il n'est pas encore impossible de les traiter.

Il y en a d'autres, beaucoup plus dangereux, qui n'ont jamais été sous forme humaine; ils ne sont jamais nés dans un corps humain sur terre, car ils refusent le plus souvent d'accepter ce mode de naissance car c'est l'esclavage de la matière et ils préfèrent rester dans leur propre monde, puissant et espiègle, et contrôler les êtres terrestres. Car, s'ils ne veulent pas naître sur terre, ils veulent être en contact avec la nature physique, mais sans y être liés.

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Leur méthode est d'essayer d'abord de jeter leur influence sur un homme; alors ils entrent lentement dans son atmosphère et à la fin peuvent obtenir la pleine possession de lui, chassant entièrement la vraie âme humaine et la personnalité. Ces créatures, lorsqu'elles sont en possession d'un corps terrestre, peuvent avoir l'apparence humaine mais elles n'ont pas de nature humaine. Leur habitude est de puiser dans la force vitale des êtres humains; ils attaquent et capturent le pouvoir vital partout où ils le peuvent et s'en nourrissent. S'ils entrent dans votre atmosphère, vous vous sentez soudainement déprimé et épuisé; si vous êtes près d'eux pendant quelque temps, vous tombez malade; Si vous vivez avec l'un d'eux, cela peut vous tuer.

- Mais comment faire sortir de telles créatures de leur environnement quand elles sont là?

Le pouvoir vital incarné dans ces êtres est d'une nature très matérielle et il n'est efficace que sur une courte distance. Ordinairement, si vous ne vivez pas dans la même maison ou si vous n'êtes pas dans la même compagnie avec eux, vous ne vivez pas sous leur influence. Mais si vous ouvrez un canal de connexion ou de communication, à travers des lettres, par exemple, alors vous permettez un échange de forces et êtes susceptible d'être influencé par eux même de très loin.

La manière la plus sage avec ces êtres est de couper toute connexion et de ne rien avoir avec eux - à moins que vous ayez une grande connaissance occulte et pouvoir et avez appris à vous couvrir et vous protéger - mais même là, il est toujours dangereux de bouger à propos d'eux. Espérer les transformer, comme le font certaines personnes, est une illusion vaine; car ils ne veulent pas être transformés. Ils n'ont aucune intention de permettre aucune transformation et tous les efforts dans cette direction sont inutiles.

Ces êtres, lorsqu'ils sont dans le corps humain, ne sont pas souvent conscients de ce qu'ils sont réellement. Parfois, ils ont le vague sentiment qu'ils ne sont pas tout à fait humains. Mais il y a encore des cas où ils sont conscients et très conscients; non seulement ils savent qu'ils n'appartiennent pas à l'humanité, mais ils savent ce qu'ils sont, agissent dans cette connaissance et poursuivent délibérément leurs fins. Les êtres du monde vital sont puissants par leur nature même; quand à leur puissance ils ajoutent la connaissance, ils deviennent doublement dangereux.

Il n'y a rien à faire avec ces créatures; vous devriez éviter d'avoir des rapports avec eux à moins que vous ayez le pouvoir de les écraser et de les détruire. Si vous êtes forcé de les contacter, méfiez-vous du sort qu'ils peuvent lancer. Ces êtres vitaux, lorsqu'ils se manifestent sur le plan physique, ont toujours un grand pouvoir hypnotique; car le centre de leur conscience est dans le monde vital et non dans le matériel et ils ne sont pas voilés et éclipsés par la conscience matérielle comme le sont les êtres humains. "

- Sri Aurobindo, Les Forces Cachées de la Vie - Le Yoga Intégral


Rudolf Steiner en 1923:

"Dr. Rudolf Steiner: Cette petite fille LK en première année doit avoir vraiment quelque chose de très mauvais à l'intérieur. Nous ne pouvons pas faire grand-chose. De tels cas augmentent dans lesquels les enfants naissent avec une forme humaine, mais ne sont pas vraiment des êtres humains par rapport à leur moi le plus élevé; à la place, ils sont remplis d'êtres qui n'appartiennent pas à la classe humaine. Un grand nombre de personnes sont nées depuis les années 90 sans moi, c'est-à-dire qu'elles ne sont pas réincarnées, mais sont des formes humaines remplies d'une sorte de démon naturel. Il y a un grand nombre de personnes âgées qui ne sont pas des êtres humains, mais qui sont seulement naturelles; ce sont des êtres humains seulement en ce qui concerne leur forme. Nous ne pouvons cependant pas créer une école pour les démons.

Un enseignant: Comment est-ce possible?

Dr Rudolf Steiner: L'erreur cosmique n'est certainement pas impossible. Les relations des individus entrant dans l'existence terrestre ont longtemps été déterminées. Il y a aussi des générations dans lesquelles les individus n'ont aucun désir de venir dans l'existence terrestre et d'être liés à la physicalité, ou de partir immédiatement au tout début. Dans de tels cas, d'autres êtres qui ne sont pas tout à fait adaptés interviennent. C'est quelque chose qui est maintenant assez commun, que les êtres humains circulent sans I; ils ne sont en réalité pas des êtres humains, mais ont seulement une forme humaine. Ce sont des êtres semblables à des esprits de la nature, que nous ne reconnaissons pas en tant que tels parce qu'ils circulent sous une forme humaine. Ils sont également très différents des êtres humains en ce qui concerne tout ce qui est spirituel.

L'énigme de la vie n'est pas si simple. Quand un tel être meurt, il revient à la nature d'où il vient. Le cadavre se désintègre, mais il n'y a pas de véritable dissolution du corps éthérique, et l'être naturel retourne à la nature. Il est également possible que quelque chose comme un automate puisse se produire. Tout l'organisme humain existe, et il pourrait être possible d'automatiser le cerveau et de développer une sorte de pseudomoralité.

Je n'aime pas parler de telles choses puisque nous avons souvent été attaqués même sans eux. Imaginez ce que les gens diraient s'ils entendaient que nous disions qu'il y a des gens qui ne sont pas des êtres humains. Néanmoins, ce sont des faits. Notre culture ne connaîtrait pas un tel déclin si les gens ressentaient plus fortement qu'un certain nombre de personnes circulent qui, parce qu'elles sont complètement impitoyables, sont devenues quelque chose qui n'est pas humain, mais qui sont plutôt des démons sous forme humaine.

- de "Rencontres du corps professoral avec Rudolf Steiner Vol. 2 ", juillet 1923

 BERNHARD GUENTHER | LE VOILE DE LA RÉALITÉ https://veilofreality.com

15 janvier 2017

Les corps subtils et les lois de resonances quantiques

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La Tradition nous enseigne que l’être humain est composé de sept corps (un corps physique et six corps subtils) distincts, mais reliés entre eux par un système cohérent de transmission d’information. Six de ces corps nous sont directement acces- sibles par l’expérience humaine, lors de notre vie ici-bas, le 7 e corps – le corps divin – est davantage lié à notre expérience de l’au-delà.

Le terme de « corps » n’est pas très approprié dans une vision quantique et moderne, mais il est facile à comprendre, car faisant directe- ment référence à la notion de corps physique, le corps qui nous est le plus accessible dans notre réalité quotidienne. Nos différents corps peuvent être compris comme des outils d’ex- périmentation de la réalité visible et invisible. Notre corps physique, par les sensations et les perceptions, nous renseigne sur notre environ- nement physique. Objectivité et subjectivité L’expérimentation de la réalité des plans physi- ques a la particularité d’être partageable par le plus grand nombre d’individus.

C’est ce qui est communément appelé « la réalité objective ». Il en va de même pour tous les autres corps, sauf qu’ils sont en grande partie liés à des réa- lités invisibles, plus subtiles, moins partagea- bles, car plus personnelles. L’expérimentation de ces corps demande du ressenti, car elle fait appel à notre expérience personnelle, à notre monde intérieur. Pour cette raison, nous la nommons « réalité subjective » par opposition à la « réalité objective ». L’objectif signifie que nous sommes séparés de ce qui est ressenti – le sujet est séparé de l’objet. Le subjectif signifie que le sujet et l’objet sont indissociables. Les sciences phy- siques sont objectives, les sciences humaines sont subjectives. Plus nous expérimentons des plans subtils avec nos corps subtils, plus cette réalité est subjective, mais il n’en demeure pas moins qu’il s’agit également d’une réalité,

propre à cette personne et qu’il ne convient pas de la juger. Notre société accorde beaucoup d’im- portance à la réalité objective, au point de dénigrer, voire même de nier, la réalité subjec- tive. Lorsqu’un enfant parle à un être invisible – considéré comme imaginaire – notre cerveau gauche nous dit que tout cela n’existe pas et que ça lui passera quand il sera devenu grand. Si nous faisons appel à notre cerveau droit, cet être imaginaire nous renseigne parfaitement, par le langage symbolique et le ressenti, sur la réalité intérieure de l’enfant. La pertinence des informations obtenues en est même déconcer- tante quand on sait l'interpréter.

 

Une personne utilisant son cerveau gauche ne pourra jamais comprendre une autre personne utilisant son cerveau droit, car la première manière de fonctionner se réfère à la réalité objective alors que la deuxième est branchée sur la réalité subjective. En n’utilisant que la moitié de notre cerveau, il est évident que nous occultons la moitié de la réalité. Une perception probabiliste Nous pouvons considérer chaque « corps » comme un outil de perception d’une partie de la vaste réalité. Cette perception doit toujours être considérée comme une probabilité d’accéder à une information. Cette probabilité, très élevée dans le plan phy- sique, l'est de moins en moins à mesure que l’on accède à des plans plus subtils (voir dans le tableau ci-contre).

Le terme de « corps » peut être compris comme « champ d’influence ». C’est-à-dire qu’une force – ou une information – agit sur ce champ et en modifie les caractéristiques. Prenons l’exemple d’une aiguille que l’on approche de la peau d’une personne. Lorsque l’aiguille (force-information) touche la peau, le cerveau traduit l’information en « douleur », nous avertissant ainsi qu’une force a pénétré le champ d’influence du corps physique. La peau (le corps physique) réagit à la présence de l’aiguille (la force) en se déformant sous son influence. Ce processus est exactement le même dans les plans subtils. Dans le plan éthérique, l’onde de forme de l’aiguille déforme le corps éthérique et donc le champ vital. En utilisant son ressenti (perception probabiliste du corps éthérique), nous pouvons percevoir la pré- sence (perturbation du champs éthérique) de l’aiguille (onde de forme de l’objet), même à plusieurs mètres du corps physique. L es corps subtils 9 C’est en faisant ce type d’expérience, facile à reproduire, qu’il est possible de démontrer l’existence des corps subtils, dans le cas pré- sent, du corps éthérique et du champ vital qui en est l'émanation vibratoire. Il en va de même pour l’expérimentation de tous les autres plans subtils. Il est évident que ces expériences ne sont pas à la portée de tout un chacun. Cela demande de développer son ressenti, par un entraînement ad hoc, comme il est possible d'augmenter son acuité visuelle ou auditive. Plus le ressenti est développé, c’est-à-dire peu encombré d’infor- mations parasites provenant de l’environne- ment ou émanant de la personne elle-même, plus la probabilité d’accéder à une information subtile est grande et pertinente. Bien entendu, une personne ne sentant rien aura tendance à nier le phénomène et tout ce qui pourrait pro- venir de ces plans. Essayez de prouver à un aveugle de nais- sance que les couleurs existent. C’est toutefois possible s’il les expérimente à travers ses corps subtils, chaque couleur se traduisant en une sensation bien précise. Loi d'action-réaction Nous appelons « loi d’action-réaction » le mécanisme par lequel nous accédons à des informations et à la façon dont nous les trai- tons au travers de notre filtre personnel, notre expérience vécue. Lorsque nous captons une information ou res- sentons quelque chose, il est alors possible de réagir et d’agir. Nous ressentons la douleur provoquée par l’aiguille et nous pouvons agir en conséquence.

Cette possibilité d’action en retour est parfois inhibée par notre système de croyance et les peurs qui en découlent. Cela va conditionner notre réaction face à ce stimu- lus. L'inhibition de l'action cause un stress non gérable pour la personne. Toute information provenant de l’environ- nement physique et subtil nous permet d’accéder à notre monde intérieur. Chaque événement du quotidien, aussi physique soit-il, n’est que le reflet de notre psyché. Lorsque nous en devenons pleine- ment conscient, le hasard disparaît et nous ne vivons plus que des synchronicités.

10 Loi de résonance La résonance est le phénomène qui nous permet d’entrer en interaction avec des informations extérieures à nous-mêmes. C’est probablement l’unique moyen de créer un pont entre le microcosme (l’être humain) et le macrocosme (l’univers). Toute sensation ou perception n’est envisageable que par résonance avec une informa- tion contenue dans l’un des corps subtils qui composent la personne. Même les sensations physiques n’échappent pas à ce que nous appelons « loi de résonance ».

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C’est par affinité, par résonance, que l’être humain fonctionne, aussi bien dans sa relation avec l’univers qu’avec ses congénères, selon le dicton « qui se ressemble s’assemble ». Sans y mettre de jugement, le bon attire le bon et le mauvais attire le mauvais; le bien attire le bien et le mal attire le mal; le beau attire le beau et le laid attire le laid. La compréhension de la loi de résonance, dite aussi « loi d’attraction », permet de devenir pleinement conscients de ce qui nous arrive, nous offrant alors une oppor- tunité de nous transformer si nous le sou- haitons. Loi de pesanteur Nous appelons « loi de pesanteur » le proces- sus qui tend à conduire les informations les plus subtiles vers la densité. Les différents corps s’emboîtent les uns dans les autres, à la manière des poupées russes. Plus la vibration d’un corps subtil est élevée, plus ce corps est grand et se superpose au corps précédent.

Dans l’idéal, ils s’emboîtent parfaitement et les informations des plans les plus subtils peuvent ainsi migrer vers les corps les plus denses, jusqu’au corps physique. La Tradition nomme « aura » l’ensemble des corps subtils. La forme et les déformations d’un corps physi- que sont des réactions, dans le plan physique, d’émotions vécues (plan astral) et jugées par le mental (plan mental) avec le filtre de nos croyances. Tout ce qui est dans le physique est le reflet des plans subtils . La limite du champ d’influence Cette limite, dans le cas du corps physique est très restreinte dans l’espace et le temps. En revanche, pour les corps subtils, nous pou- vons « toucher » des objets qui ne sont ni ici ni maintenant. Les champs subtils permettent des expériences dans le non-localisé et dans le non-temps. Aura par électroréflexologie Aura par électrophotonique Aura par clairvoyance

11 Plus la physique quantique progresse, plus elle rejoint les hypothèses de la Tradition. Peu à peu, les connaissances ésotériques se voient confirmées par des expériences physi- ques. Si nous avons fait l’acquisition de machines quantiques, c’est parce que nous avons l’in- time conviction que la biophysique explique mieux la réalité de ce que nous vivons, nos expériences, notre ressenti, nos perceptions, notre manière de concevoir l’être humain, que ne le fait la vision traditionnelle biochimique. Une vision quantique de la réalité n’exclut pas la vision de la Tradition. Bien au contraire, les deux se complètent, parlant de la même chose, mais pas avec les mêmes mots. Ce qui suit est une tentative de faire le lien entre la notion de « champ » et celle de « corps ». Le sujet est complexe et demande un mini- mum de bagage scientifique. Le Corps Le Corps appartient au plan physique, à l’électromagnétisme. Il fonctionne grâce à la piezzo-électricité, maintenant ainsi une diffé- rence de potentiel dans les cellules. Ce potentiel tombe à zéro au moment de la mort.

La mémoire du corps physique est contenue dans l’ADN et l’ensemble des molécules constituant la matière vivante. La Tradition enseigne que la vie est une force capable de créer des liaisons entres deux choses. De cette union et de leur mise en mouvement naît la pulsation. Le cœur cesse de battre, le cerveau cesse d’émettre des impulsions, et c’est la mort.

En observant la matière dans son fondement, tout est pulsation, mouvement, rotation de particules, polarisées sur elles-mêmes et autour d’autres particules. Le principe de vie est donc partout, de l’infiniment grand à l’infiniment petit. P hysique quantique et Tradition Les plans de conscience, le Corps, l' Âme, l'Esprit et les champs cellulaires crée des ordres pour H2 (Âme) support de l'information :

la lumière immatériel mémoire contenue dans la lumière (mémoire akashique) immortel contient l'Esprit et la partie immortelle de l'Âme fonctionne grâce à la lumière champ cellulaire H3 / champ de forme éthérique relais de H3 (Esprit) pour donner des ordres à H1 (Corps) support de l'information : onde du neutrino (onde de forme) immatériel mémoire contenue dans l'eau intracellulaire mortel contient les informations liées aux pensées et aux émotions fonctionne grâce au champ magnétique (ions métalliques) Âme / champ cellulaire H2 / champ de mémoire physique exécute les ordres de H2 (Âme) support de l'information: onde photonique matériel mémoire contenue dans l'ADN mortel fonctionne grâce à la piezzo-électricité Corps / champ cellulaire H1 / champ électromagnétique astral mental causal spirituel divin champ de conscience / champ mouvement Esprit (dans l'au-delà) champ unitaire / champ des particules au moment de la mort physique transfert d'une partie de H2 > H3 une partie de l'Âme immortelle rejoint l'Esprit immortel lors de l'incarnation H3 cherche un H2 et s'incarne dans un H1 l'Esprit choisi une Âme et incarne un Corps 12 En biophysique, le champ électromagnétique cellulaire est appelé « champ H1 » selon la terminologie d’Émile Pinal. Ce champ est mesurable physiquement ; les biophotons conduits par ce champ en sont le support de l’information cellulaire. C’est le champ mesuré par l'appareil GDV par le procédé électropho- tonique.

Le champ H1 ne fait qu’exécuter les ordres provenant d’un champ plus subtil, le champ de mémoire. Le corps fabrique toutes les subs- tances nécessaires à son fonctionnement. Une molécule d’adrénaline est créée lorsque nous avons peur. C’est la peur qui crée l’adré- naline et non l’inverse. Le corps physique est donc matériel et mortel, dans le sens où les particules n’ayant plus leurs liaisons maintenues par la force de vie (l’énergie vitale) se décom- posent et il redevient « poussière ». L’Âme L’Âme peut être définie par ce qui anime le corps physique.

L’Âme est mortelle, dans le sens qu’elle disparaît lors de la mort physique. Ce qui animait le corps n’est plus, les charges sont récupérées par des Élémentaux chargés de les recycler. Du point de vue biophysique, l’Âme correspond au champ de mémoire, le « champ H2 ». Ce champ, à mi-chemin entre le physique et le subtil, fonctionne grâce au champ magnéti- que issu des ions métalliques et des métaux contenus dans les molécules présentes dans les cellules. Il se peut aussi que ce champ très faible provienne de l’eau intracellulaire, grâce aux propriétés inhérentes à la molécule d’eau. Au moment de la mort, les métaux migrent en 2-3 jours hors des cellules. Ainsi le champ magnétique disparaît et, avec lui, toutes les informations (mémoires) qui étaient contenues dans ce champ.

Ces mémoires, appelées aussi « mémoires cellulaires » contiennent les informations liées aux pensées et aux émo- tions vécues et mémorisées (cristallisées) par la personne. Le support de cette information est l’onde du neutrino. L’onde du neutrino est aussi appelée « onde du vide ». Ce sont les « ondes de forme » de la Tradition. Les mémoires cellulaires peuvent être apparentées à des formes, les fameux clusters que l’on trouve dans de l’eau dite « structurée » telle que l’eau intracellulaire. Ces mémoires peuvent aussi se trouver dans les particules, et modifier leur spin. Nous appelons « champ de torsion » les mémoires densifiées dans le corps éthérique, d’informa- tion provenant des plans astral et mental. Le champ de torsion est dit « gauche » lorsqu’il contient des mémoires négatives, et « droit » si ces mémoires sont positives pour le vivant.

Le champ de torsion survit à la mort, jusqu’à la dissolution de la matière qui lui a servi de support. Nous pensons que c’est l’eau dans le corps qui capte les ondes du neutrino (les ondes de forme) et les amplifie pour que l’ADN, tel un résonateur, entre en interaction et envoie les informations au cerveau pour être filtrées et analysées. Moins notre eau intracellulaire est saturée de mémoires négatives – « champ de torsion gauche » pour le plan éthérique – « charges astrales » pour le plan astral – « pensées négatives » pour le plan mental – plus nous avons la possibilité de capter des informations provenant de l’environnement. Nous devenons de plus en plus sensibles. Le propre du vivant est sa capacité à augmenter sans cesse la quantité d’informations issues du monde exté- rieur, à ouvrir son « champ de conscience ».

La « connaissance » est le fait de ressentir et d’intégrer ces informations dans son corps physique. Au moment de la mort, le champ de mémoire, le champ cellulaire H2 disparaît en déversant une partie de ses informations dans un champ plus subtil, le champ de forme H3. La Tradition dit qu’une partie de l’Âme, celle qui est immor- telle, rejoint l’Esprit. Le restant disparaît en 2-3 jours. Des mesures au GDV ont confirmé que le rayonnement issu de H1 disparaît en grande partie à l’instant de la mort, puis continue à disparaître lentement, étape par étape au cours des trois jours qui suivent. La Tradition recommande de veiller un défunt pendant trois jours pour que son Âme puisse quitter le corps physique en paix et rejoindre la « Lumière ».

13 Les trois corps, l’éthérique, l’astral et le mental, forment l’Âme. Tout trois disparaissent à la mort physique. Le corps astral étant plus « volatil » que le corps éthérique, il peut parfois s’en détacher quelque peu, tout en maintenant un lien, le « Fil d’Argent », avec le corps éthérique. La personne se trouve alors en état de « décorpo- ration ». Elle se trouve avec sa « conscience » hors du corps physique. Elle ne ressent plus les informations provenant du plan physique et peut traverser la matière, car l’Âme est immatérielle. Tout est perçu par les ondes de formes, comme si on se déplaçait dans un univers virtuel. Une des propriétés des ondes de forme est de ne pas être tributaire de l’es- pace-temps, une personne en état de « décor- poration » peut se retrouver n’importe où en un instant et observer ce qui s’y passe. Certaines techniques chamaniques et certai- nes substances psychotropes ont pour effet de provoquer ce que l'on appelle « voyage cha- manique ».

Le résultat s'apparente beaucoup à la « décorporation », mais comporte des risques de créer des « brèches » dans les corps subtils. Les adeptes de ces techniques peu maîtrisables en subissent les conséquences en étant « fragmentés » et « éclatés » pendant des années. Le corps mental nous permet d’accéder aux plans situés au-dessus. Notre mental sert de réceptacle pour les informations provenant du champ de forme; il peut aussi les « sculpter » et les densifier dans le plan astral et éthérique. Le cerveau est conçu pour transformer les ondes de forme en signal électrique et donc interagir avec le plan physique. Nous pen- sons que le cerveau n’est pas sensible aux molécules, mais uniquement aux formes des molécules (leur onde de forme). Le cerveau ne traiterait pas des substances mais des informations. Si on est sensible aux ondes de forme, il devient possible de se soigner avec des informations comme par exemple avec l’ho- méopathie, la biorésonance, la morathérapie et bien d’autres techniques faisant partie de la « médecine quantique » dite aussi « médecine énergétique et informatique ».

L’Esprit L’Esprit est la volonté agissante qui cherche, par l’intermédiaire d’une Âme, à vivre des expériences dans un corps physique. L’Esprit fait partie d’une autre dimension que la Tradition appelle « au-delà ». Donc au-delà du champ de conscience habituel en tant qu’âme incarnée dans un corps. L’Esprit est immortel et immatériel; nous le partageons avec d'autres. C’est l’Âme qui est individuelle et représente la somme du vécu personnel. Au moment de la mort, les éléments de l’Âme qui ont une importance (pensées, émotions, actes) pour l’Esprit, allant dans le sens qu’il avait décidé d’expérimenter, se joignent à lui. L’Esprit contient toutes les mémoires accu- mulées au fil du temps, depuis la création de l’univers. Il est ce que la Tradition appelle « mémoire akashique ». Le support de l’infor- mation est la lumière. C’est justement cette « Lumière » que perçoivent les personnes fai- sant une expérience de mort imminente. En biophysique, le camp de forme ou champ morphique appelé H3 est ce que la Tradition nomme « plan causal » et la religion « Saint- Esprit ».

Ce champ, émanant d’une autre dimension, est la matrice de tout ce qui existe, de tous les possibles. Dans notre vision des plans subtils, il devrait normalement exister encore deux autres champs, le « champ de conscience » ou « champ de mouvement », lié au plan spirituel, et le « champ unitaire » ou « champ de particule », lié au plan divin. Toute particule est un point d’unité qui se déplace en conscience dans un mouvement associé à une forme. L’Esprit n’est peut-être pas si éloigné de nous, il est peut-être à l’intérieur de chaque particule immortelle qui nous constitue. champ de forme = forme (ruban Moebius) champ de conscience = mouvement champ unitaire = particules l'Esprit et le champ unitaire ultime

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Article extrait du livre "Science et conscience de l'invisible" de Stéphane Cardinaux & Catherine Martin
 
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12 janvier 2017

Vidéos Rare L’immortel comte de Saint-Germain , a t'il decouvert le secret du temps .

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Je suis le comte de Saint-Germain et je traverse le temps et l’histoire pour apporter mon message aux hommes. Mon histoire est incroyable et pourtant elle est vraie. Des amis m’ont demandé de l’enregistrer afin que tout le monde connaisse la mission que je dois accomplir en France, en cette année 1972. Je ne cherche pas à vous convaincre. J’accomplis simplement ce que des forces mystérieuses pour vous me poussent à faire.

Nous sommes douze de par le monde venus du fond des temps. Dans quelques semaines, mon Maître par le savoir, Nicolas Flamel, viendra me rejoindre.

Maintenant écoutez… voici mon histoire.

une videos tres rare qui nous montre un homme  qui pretend etre celui qui a a crée les roses croix ,et qui detient des secrets incroyables , a vraiment le profil du parfait vampire , detenant   le secret de la creation de l'or et du voyage dans le temps celle de la transmigration de l'ame . Occultiste confirmé ,on pense a un  excentrique au debut mais plus on l'ecoute plus on se rend compte que ce qu'il dit est reel et il ne peut l'inventer a voir cest assez surprenant ,comme discours et image censurés qui avaient disparu ce comte de Saint-Germain n’ést pas seulement bon chimiste, mais aussi parfait alchimiste et détenteur d'un grand secret ce doc est a voir pour vous forger votre propre opinion

C’est un trait curieux du caractère humain que de considérer les étrangers et l’inconnu comme un danger. Ce trait rend l’homme soupçonneux et inquiet en face de tout nouveau venu qui ne se conforme pas au mode de penser et aux règles de conduite établis.

Lorsque le comte de Saint-Germain, parut en Angleterre, en 1745, il ne fut pas surprenant qu’un honorable Anglais conformiste comme l’était Horace Walpole, ait donné de lui le portrait suivant : « Il chante et joue du violon à merveille, il compose, il est fou et déraisonne. »

Certaines encyclopédies vont plus loin encore dans leur jugement sur ce personnage mystérieux et le traitent, simplement, « d’aventurier ». Mais il y a un abîme entre l’épithète dont on affuble un homme et l’étude objective de sa vie et de sa nature. La plupart des commentaires défavorables sur Saint-Germain ont des sources politiques.

Pour la police française, il fut un espion prussien. D’autres services secrets européens le soupçonnèrent d’être à la solde de la Russie ou des jacobites anglais. Toutefois, ainsi que l’écrivit Lord Holdernesse à Mitchell, l’ambassadeur d’Angleterre en Prusse : « Son interrogatoire ne fit apparaître aucune preuve matérielle. »

Voltaire, l’un des plus grands esprits qui aient illustré le brillant XVIIIe siècle, avait une opinion définitive sur le comte de Saint-Germain : « C’est un homme qui sait tout », disait-il.

Dans les Mémoires de mon temps qu’écrivit le prince Karl Von Hesse-Kassel, grand ami et disciple de Saint-Germain, il estime que le comte est « l’un des plus grands philosophes qui aient jamais existé  ».  [1]

Le comte Johann Karl Phillip Cobenzl (1712-1770), ambassadeur d’Autriche à Bruxelles, avait aussi une très haute opinion de Saint-Germain : « Il sait tout, disait-il et il montre une droiture et une bonté d’âme qui forcent l’admiration. » [2]

Notre incursion dans la vie de Saint-Germain aborde ses réalisations scientifiques, c’était un maître des sciences anciennes dont nous pouvons discerner les traces dans l’histoire et la légende.

Ce fut le maréchal de Belle-Isle qui présenta le comte de Saint-Germain à Mme de Pompadour et à Louis XV en 1749. Le roi s’ennuyait ; la marquise vit en cet étranger un moyen de le distraire. Le comte eut, sur l’alchimie, la science et autres sujets, plusieurs longs entretiens avec le roi et sa favorite.

Stéphanie-Félicité, comtesse de Genlis (1746-1830), pédagogue qui écrivit plus de 80 volumes et reçut une pension de Napoléon I, disait dans ses Mémoires (Paris, 1825),que Saint-Germain « était fort instruit en physique et grand chimiste ». « Mon père », ajoutait-elle, « très qualifié pour en juger, était sur ce point un grand admirateur de ses capacités. » [3]

CENSURÉ TRÉS RARE Le Comte de Saint Germain un homme etrange vampire ou occultiste

Saint-Germain, le grand alchimiste

Sans aucun doute, le comte de Saint-Germain n’était pas seulement bon chimiste, mais aussi parfait alchimiste. On lit dans le London Chronicle du 3 juin 1760 : « En toute justice nous pouvons dire que cet homme doit être considéré comme un étranger inconnu mais inoffensif, il a des ressources dont la provenance est inexplicable mais qui lui permettent de mener grand train. Venant d’Allemagne, il parvint en France avec la réputation éclatante d’un alchimiste qui possède la poudre secrète et, de ce fait, la médecine universelle. On murmura que l’étranger pouvait faire de l’or. Le pied sur lequel il vit paraît confirmer cette rumeur. »

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La collection de diamants et de pierres précieuses du comte augmentait encore sa réputation d’alchimiste. Le baron Charles-Henri de Gleichen, diplomate danois en France, publia dans Mercure étranger, Paris (1813), le récit des rencontres qu’il eut avec Saint-Germain. Au cours de l’une d’elles « il me montra », dit-il, « une quantité de gemmes et surtout des diamants de couleur, d’une grandeur et d’une perfection extraordinaires. Je crus voir les trésors d’Aladin, possesseur de la lampe merveilleuse ». [4]

De nombreux épisodes attestent l’habileté de Saint-Germain dans la transmutation des métaux. Lorsque le marquis de Valbelle lui rendit visite dans son laboratoire, l’alchimiste lui demanda une pièce d’argent de six francs. Après l’avoir enduite d’une substance noirâtre, il la soumit au feu ; quelques minutes plus tard, le comte retira la pièce du four et quand elle fut refroidie, elle n’était plus en argent, mais en or fin. [5]

Casanova relate une expérience semblable dans ses Mémoires : « Le comte me demanda si j’avais sur moi quelque monnaie. Je pris plusieurs pièces et les mis sur la table. Il se leva et sans me dire ce qu’il allait faire, prit un charbon ardent, le posa sur une plaque de métal et plaça une pièce de douze sols sur le charbon après avoir posé sur la monnaie un grain de poudre noire. Le comte alors souffla dessus et en deux minutes elle parut incandescente. “ Attendez, me dit-il, laissez-la refroidir. ” Elle refroidit presque instantanément. “ Prenez-la, elle est à vous ”, dit l’alchimiste. Je pris la pièce de monnaie et vis qu’elle était changée en or. » [6]

Casanova resta toutefois quelque peu sceptique sur cette transmutation, mais l’histoire est de celles qui méritent l’attention. Le comte de Cobenzl fut aussi témoin, chez Saint-Germain, de « la transmutation d’un morceau de fer en un métal aussi beau que l’or et au moins aussi propre aux travaux d’orfèvrerie ».

Lorsqu’un chapelain de la cour de Versailles demanda soupçonneusement à Saint-Germain s’il ne s’adonnait pas à la magie noire, celui-ci répliqua que son laboratoire ne comportait rien de surnaturel et qu’il était lui-même un chercheur sérieux dont les découvertes étaient déjà utiles à l’humanité.

Si la pierre philosophale servit à l’alchimiste à fabriquer de l’or et des diamants, elle lui permit aussi de confectionner une eau de Jouvence.

De nombreux écrits, issus de personnes ayant connu Saint-Germain, indiquent qu’il possédait un élixir dont il fit présent à certains, en de rares occasions.

Dans une lettre à Frédéric le Grand, Voltaire fait une allusion significative à la longévité du comte : « Il aura probablement, écrit-il, l’honneur de voir Votre Majesté au cours des cinquante prochaines années. »

L’examen des documents contemporains, lettres, mémoires, articles de presse, permettra peut-être de tirer une conclusion sur le pouvoir qu’eut Saint-Germain de conserver vigueur et jeunesse au-delà des limites assignées à l’homme.

Notre premier témoin, le baron de Gleichen (1735-1807) rapporte dans ses Mémoires qu’il a entendu « Rameau et une vieille parente d'un ambassadeur de France à Venise, attester avoir connu M. de Saint-Germain en 1710, quand il avait l’apparence d’un homme de cinquante ans ». Jean-Philippe Rameau (1683-1764) est le célèbre compositeur d’opéras et de ballets. [7]

De leur côté, le maréchal de Belle-Isle et Mme du Hausset décrivent deux scènes qui soulignent de façon typique l’intérêt que Saint-Germain avait suscité chez Mme de Pompadour par sa réputation de perpétuelle jeunesse. 

« — Vous prétendez donc avoir fabriqué un élixir de Jouvence ? dit la favorite.

—    Ah ! madame, répond le comte, toutes les femmes désirent l’élixir de jeunesse et tous les hommes convoitent la pierre philosophale ; les unes, la beauté éternelle, les autres, l’éternelle fortune.

—    Quel âge avez-vous ?

—    Quatre-vingt-cinq ans, peut-être !

—    Vous ne m’abuserez pas, monsieur de Saint-Germain, j’en saurai davantage sur vos prétentions, s’exclama la marquise. J’ai déjà démasqué maints imposteurs et charlatans.

—    L’homme qui est devant vous est votre égal, madame, risposta fièrement Saint-Germain. Avec votre permission, souffrez que je me retire. »

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L’âge de l’alchimiste fut une nouvelle fois discuté en 1758 et Mme du Hausset consigna le débat mot pour mot  [8] :  

« — Vous ne nous dites toujours pas votre âge, remarque la Pompadour, et vous vous donnez pour fort vieux. La comtesse de Gergy, qui était ambassadrice à Venise il y a cinquante ans, je crois, dit vous y avoir connu tel que vous êtes aujourd’hui.

—    Il est vrai, Madame, que j’ai connu Mme de Gergy il y a bien longtemps.

—    Mais suivant ce qu’elle dit, vous auriez plus de cent ans à présent !

—    Ce n’est pas impossible, dit le comte en riant, mais je conviens qu’il est possible que cette dame, que je respecte, radote.

—    Elle dit que vous lui avez donné un élixir aux effets merveilleux, elle prétend qu’elle a longtemps paru n’avoir que 24 ans. Pourquoi n’en donneriez-vous pas au roi ? questionna la marquise.

—    Ah ! madame, s’écria-t-il avec une sorte d’effroi, que je m’avise de donner au roi une drogue inconnue ! Il faudrait que je fusse fou ! »

Refusant de donner son élixir à Louis XV, Saint-Germain n’en prépara pas moins des crèmes de beauté très efficaces dont la Pompadour fut enchantée.

Chronologie, selon les sources de l'époque

Les réminiscences de Rameau et de Mme de Gergy placent notre alchimiste à Venise en 1710. A cette date, il paraît avoir environ cinquante ans. Il était donc né vers 1660 et en 1758, comme le disait la marquise, il frisait la centaine.

De 1737 à 1742, Saint-Germain est l’hôte très honoré du shah de Perse.

En 1745, l’auteur anglais Horace Walpole écrit à Mann résidant à Florence : « L’autre jour fut saisi un curieux homme qui vit sous le nom de comte de Saint-Germain. Il est à Londres depuis deux ans. »

Le prince Ferdinand Lobkowitz reçoit le comte à Vienne sous son toit au cours des années 1745-1746.

En 1749 il arrive à Paris sur l’invitation du maréchal de Belle-Isle qui, nous l’avons vu, l’introduit à la cour de Versailles.

En 1750, l’éditeur Walsh, de Londres, publie la musique pour violon composée par Saint-Germain, ce qui nous fournit encore une date précise pour établir la biographie du personnage. [9]

En 1756, le général Robert Clive, fondateur de la colonie britannique des Indes, rencontre Saint-Germain dans ce lointain pays.

comte_de_saint_germain_bustele plus incroyable cest que la statue a le meme regard que le personnage de 1960 sur la videos incroyable il ya une ressemblance indeniable ......le fait quil soit en communication en permanence avec des entités est la possibilité que ce soit qune coquille vide dans laquelle on reintegre l'EGO de st germain oui souvenez vous ce quarin ,le compagnon de lhomme qui vit plusieurs siecles et qui connait parfaitement toute la vie et les secret du mage ce serait la seul explication et le plus grand secret des roses croix c'est tout a fait possible avec des rites de transmigrations des ames que lon trouve chez les egyptiens et dans le livre des morts tibetain l'idee m'est venue en regardant la vidéos .....

Le comte réside à Saint-Pétersbourg en 1762 et prend part au coup d’Etat qui place la Grande Catherine sur le trône de Russie. A la fin de la même année, et en 1763, il est à Chambord, plongé dans ses expériences chimiques et alchimiques.

Sa trace est retrouvée à Berlin, en 1768, et l’année suivante, son passage est signalé en Italie, en Corse et à Tunis.

En 1770, il est l’hôte du comte Orlov lorsque la flotte russe est au mouillage à Livourne (Italie). Saint-Germain porte alors l’uniforme de général russe et les frères Orlov ont toujours parlé du rôle important qu’il joua dans la révolution de palais dont la Grande Catherine fut la bénéficiaire.

Durant les années 70, le comte séjourne en Allemagne où il participe aux activités des francs-maçons et rose-croix avec son protecteur, ami et disciple, le prince Karl de Hesse-Kassel.

Les registres de l’église d’Eckernfôrde, en Allemagne, renferment le procès-verbal suivant : « Décédé le 27 février, enterré le 2 mars 1784, celui qui se donnait le nom de comte de Saint-Germain et Weldon, sur lequel on n’a pas d’autres renseignements, a été inhumé dans l’église de notre ville. »

Le document paroissial qui ne dit pas où le comte était né n’indique pas davantage la véritable identité du « soi-disant comte de Saint-Germain ». Mais si nous nous référons à Rameau et à la comtesse de Gergy, il aurait eu 124 ans au moment de son décès !

Toutefois, un an après cette mort officiellement enregistrée, nous trouvons le mystérieux personnage participant à une réunion maçonnique ! Le Freimauer Brüderschaft in Frankreich insère cette notice : « Parmi les francs-maçons invités à la grande conférence de Wilhelmsbad le 15 février 1785, nous trouvons Saint-Germain et Saint-Martin parmi beaucoup d’autres. » [10]

La comtesse de Genlis, déjà cité plus haut, consigne un fait extravagant dans ses Mémoires - elle aurait rencontré le comte à Vienne en 1821 !

Peu après cette date, le comte de Châlons, ambassadeur de France à Venise, prétend également avoir tenu une conversation avec l’immortel Saint-Germain sur la place Saint-Marc.

Si, dans cette même Venise et d’après le témoignage de Mme de Gergy, le comte paraissait avoir la cinquantaine en 1710, nous pouvons calculer qu’en 1821 il aurait eu 161 ans !

Le grand âge et l’extrême verdeur du comte de Saint-Germain sont une réalité qui ne peut s’expliquer sans admettre l’hypothèse de la pierre philosophale. Le grand Voltaire aurait-il eu raison qui disait de l’alchimiste : « C’est un homme qui ne meurt jamais » ? [11]

La Très Sainte Trinosophie

L’unique manuscrit qui nous soit parvenu du comte de Saint-Germain est la Très Sainte Trinosophie dont l’original est à la bibliothèque de Troyes.

Le document renferme des illustrations symboliques et un texte hermétique. La section 5 contient quelques axiomes étranges :

« A peine étais-je parvenu à la surface de la terre, que mon conducteur invisible m’entraina plus rapidement encore, la vélocité avec laqu’elle nous parcourions les espaces aeriens ne peut être comparée à rien qu’a elle même; en un instant j’eus perdu de vue les plaines sur les qu’elles je dominais... j’avais observé avec étonnement, que j’étais sorti du sein de la Terre (...) La Terre ne me semblait plus qu’un nuage confus, j’étois élevé à une hauteur immense mon guide invisible m’abandonna je redescendis pendant un assez long tems je roulai dans l’espace; déja la terre se deployait a mes regards troublés (...) je voyois des globes rouler autour de moi, des terres graviter à mes peids. Etc... »

Sans trop d’imagination, le passage suggère un long vol spatial au cours duquel la Terre devient minuscule, ainsi qu’elle le parut aux équipages d’Apollo. Mais Saint-Germain dut aller plus loin que la Lune car il semble avoir atteint les planètes.

Transmutation, prolongement de la vie, voyage spatial, conquête du temps sont les frontières de la science et l’on peut admettre que le comte de Saint-Germain avait accès à la fontaine secrète du savoir.

Notes :

Bibliographie :

  • Nous ne sommes pas les premiers, Andrew Tomas, éd. Albin Michel, Paris, 1972.
  • Jean Mourat et Paul Louvet, St Germain le Rose-Croix immortel. Gallimard, Paris, 1934.
  • « Anecdotes of a Mysterious Stranger », in London Chronicle, 31 mai - 3 juin, 1760.
  • Jean Léclaireur : « Le secret du comte de Saint-Germain », in Le lotus bleu, nº 7, 27 septembre 1895.
  • La Très sainte trinosophie. Édition intégrale, Paris, Denoël, 1971.
  • Franz Graeffer. Kleine Wiener Memoiren, Wien, 1846.
  • Horace Walpole, Letters to Sir Horace Mann. London, 1833.

Table des illustrations :

  • 1) Le comte de Saint-Germain ? {Source inconnue}
  • 2) La seule et unique gravure représentant le comte de Saint-Germain, [ portrait gravé au burin par N. Thomas, en 1783 d’après une œuvre originale peinte à l’huile, introuvable à ce jour. La gravure a été reproduite en janvier 1785 par le « journal de Berlin » (Berlinirche Monatrchrift) sous le titre « Le Comte de Saint-Germain, célèbre Alchimiste » ]
  • 3) Page de titre des Mémoires de Madame Du Hausset.
  • 4) Buste du comte de Saint-Germain. Musée Nicolas Roerich, Moscou.
  • 5) La Très Sainte Trinosophie
  • http://www.inmysteriam.fr/personnages-enigmatiques/limmortel-comte-de-saint-germain.html
25 août 2016

Les démons dans la médecine psychiatrique tibétaine

Tsa

Le Troisième Tantra du Gyù-zhi contient cinq chapitres spécialement consacrés aux maladies causées par les esprits, et trois de ces chapitres concernent les démons (gDon) qui causent la maladie mentale. Éparpillés dans les cent cinquante-six chapitres du Gyù-zhi se trouvent par ailleurs beaucoup d’éléments sur les maladies mentales. Les titres des chapitres ne reflètent pas toujours l’étendue des matériaux contenus, mais ceux dont nous traitons ici portent exclusivement sur la maladie mentale et les esprits malfaisants censés en être cause.

Ces cinq chapitres sur les maladies dues à des esprits sont rangés ensemble en un seul groupe étiologique et sont parfois désignés comme la section du Gyù-zhi sur la psychiatrie – le terme psychiatrie étant synonyme, dans le sens ayurvédique classique, de soins des maladies causées par des forces invisibles. Ces chapitres sont :

Chapitre 77 : Esprits élémentaux (‘Byung-po’i gDon). Ils envahissent la psyché, sont de dix-huit sortes et ont des caractéristiques spécifiques.
Chapitre 78 : Esprits de la folie (sMyo-byed-kyi gDon). Ils enva-hissent la psyché seuls ou conjointement à des aberrations dues aux poisons, aux humeurs et aux émotions.
Chapitre 79 : Démons de l’amnésie (brJed-byed-kyi gDon), littéralement les  » démons causant l’oubli « .
Chapitre 80 : Démons maîtres des planètes (gZaa-yi gDon). Ils causent l’épilepsie.
Chapitre 81 : Démons-serpents (gLu’i gDon). Ils causent la lèpre.

Tous les  » démons  » cités ci-dessus comme causes spécifiques de différents troubles psychiatriques sont désignés en tibétain par le terme gDon, prononcé  » don « , traduit communément par  » esprit « ,  » esprit malfaisant  » ou  » démon « . Mais pour la plupart des occidentaux modernes, les  » esprits  » sont la fabrication d’une mentalité puérile – des spectres imaginaires hantant les maisons et autres créatures similaires. Le mot  » démon « , également, évoque des images d’esprits diaboliques, de créatures mythologiques, rien de réel. Et de même pour esprits malfaisants, forces négatives extérieures, et ainsi de suite.
Nous n’arrivons pas à concevoir comment une religion, une philosophie ou une culture – et bien entendu une médecine – élevée pourrait accorder quelque croyance à ce que nous supposons n’être que les simples figments de l’imagination. Alors, comment se fait-il que dans sa psychiatrie la médecine tibétaine bouddhique place des  » démons  » au centre de son système ?

 

Vajrapani, en tibétain Chanadorjé, l’incarnation terrifiante et aspect de puissance de l’Illumination. Il a fait vœu de protéger quiconque invoque le nom du Bouddha de Médecine. La pratique rituelle de Vajrapani est employée contre les esprits élémentaux et toutes les influences démoniaques, particulièrement celles qui causent des perturbations du système nerveux central (comme décrit dans le Chapitre 80 du Troisième Tantra du Gyù-zhi). Sa prière écrite ici se termine par le mantra HUNG VAJRA PHAT, qui est utilisé aussi pour traiter les épilepsies, les attaques, etc.

Que sont ces  » démons  » ?

Pour les Tibétains, le terme  » démon  » est symbolique. Il représente un vaste éventail de forces et d’émotions qui normalement dépassent le contrôle conscient et empêchent toutes le bien-être et le développement spirituel.

Pour se faire une idée de l’étendue des forces comprises par ce terme, il suffit de considérer les fameux  » quatre démons  » que l’on retrouve dans toute la littérature bouddhique et qui représentent des obstacles sur la voie de l’Éveil. Ce sont :

1) le démon des agrégats : la fragilité du corps et de l’esprit ;
2) le démon des kleshas : le pouvoir dévastateur des émotions perturbatrices ;
3) le démon du plaisir : le piège séduisant des agréments de la vie ;
et 4) le démon de la mort : qui vient inéluctablement couper cette vie et en même temps l’occasion de développement spirituel.

Évidemment, aucun de ces quatre n’est un démon au sens étroit du mot. Ce sont, comme les autres  » démons « , des facteurs extérieurs et intérieurs qui exercent leur influence de façon subconsciente ou presque irrésistible, et empêchent la réalisation d’aspirations élevées.

Ces forces vont de tendances subtiles, innées et inconscientes à des impulsions irrésistibles comme celle de la sexualité et, pour le pratiquant, selon Patrul Rinpoche, elles peuvent inclure des  » démons  » tels que la paresse, la sensualité, les mauvais compagnons, la pensée dualiste, l’hypersensibilité, l’émotivité accrue, l’attachement aux richesses, le sectarisme, l’orgueil spirituel et l’attachement à la quiétude.

Les lamas comparent souvent la montée de ces forces négatives contre le pratiquant qui essaie de raffiner sa conscience ordinaire à la situation d’un pays où le peuple veut un change-ment positif, mais les puissances dirigeantes font tout leur pos-sible pour l’empêcher. Il est clair, alors, que dans un sens psychanalytique des démons ont le rôle du ça tentant de faire obstruction aux incitations plus élevées du surmoi.

Ainsi, les démons sont principalement un phénomène psychologique associé à la multitude des obscurcissements émotionnels et mentaux. Parmi toutes les sortes de démons, on dit qu’il y en a principalement deux : ceux nés de l’espoir et ceux nés du doute. Et ces deux sortes naissent elles-mêmes de l’ignorance fondamentale qui se fixe sur l’illusion d’un  » soi  » permanent. Cette saisie d’un ego, que Shantideva appelle  » ce grand démon « , cause tout le mal, toute la peur et toute la souffrance du monde ; ceci est un thème essentiel du bouddhisme.

Comme Ma-Chig-La, une remarquable yogini du xne siècle, l’explique à son disciple :

 » Ce que nous appelons un Démon est très, très grand, et tout noir. Quiconque en voit un est vraiment terrifié et tremble de la tête aux pieds – mais les Démons n’existent pas réellement !

Voici la vérité à ce sujet : tout ce qui fait obstruction à la réalisation de la libération est un Démon. Même des personnes de votre famille affectueuse et qui vous aiment peuvent devenir des Démons si elles entravent notre pratique. Mais le plus grand Démon de tous est la croyance en un soi qui serait un principe indépendant et permanent. Si vous ne détruisez pas cet attachement à un soi, les Démons ne cesseront pas de continuellement vous soulever et vous laisser retomber.  »

Cependant, même si les démons sont ainsi compris comme des facteurs psychologiques, on pense que certains types de démons ont une existence extérieure. Mais alors que le Tibétain ordinaire peut croire vivement que ces forces négatives extérieures sont de vrais  » démons « , les Tibétains cultivés, ainsi que l’exprime Théodore Burang, les considèrent  » comme des entités ou projections mentales (généralement d’ordre inférieur) ou comme des champs de force psychiques, naturels ou « artificielement produits « .

II semble important de se rappeler à cet égard qu’avant l’avènement du bouddhisme, le Tibet était une civilisation profondément chamanique, adonnée à la croyance en toutes sortes de forces de l’esprit et de la nature personnifiées en démons, divinités et appellations similaires. Cette tendance culturelle à voir les choses de cette manière fut incorporée au bouddhisme, et son sens transformé.

De plus, le bouddhisme lui-même pose l’existence de multiples sortes d’êtres dans la roue de la vie, dont certains n’ont pas de corps matériel. L’enfer, par exemple, est la projection d’un état d’esprit dont on fait l’expérience avec un corps subtil, ou corps de lumière, et auquel un être arrive par la force de ses propres actions perpétuellement vicieuses. Similairement, le ciel est divinement agréable et l’expérience en est faite avec le corps mental de lumière ou même sans corps, juste avec l’esprit – les états célestes les plus élevés sont des absorptions contemplatives.

De plus, dans le monde des esprits tourmentés par la faim, il y a deux classes d’esprits : ceux souffrant véritablement de la faim, qui ne nuisent à personne mais souffrent par eux-mêmes ; et les autres esprits tourmentés, courants mentaux errant dans l’univers, en proie à l’agitation et au malheur, infligeant le mal presque sans le vouloir, par habitude. Ce dernier groupe constitue ce que désigne généralement le terme  » démons extérieurs « .

Et même ces démons soi-disant extérieurs sont en relation avec la psyché ; ils font partie d’une interaction entre le microcosme et le macrocosme, et dans cette relation la conscience est le principal. Par exemple, certains types de démons sont associés aux éléments de la nature. Ils sont évoqués, pour ainsi dire, par une perturbation des éléments internes dans le corps – et ceci peut être vrai pour les  » esprits élémentaux qui causent la schizophrénie. Les émotions négatives perturbent les éléments internes, les éléments internes perturbent les éléments externes, ce qui entraîne des attaques par les esprits des élémentaux ; ceux-ci sont appelés les démons du vent, de la grêle, etc. Ainsi dit-on que des désastres naturels s’élèvent en réponse aux perturbations émotionnelles collectives des êtres humains.

Les Tibétains se sentent tout-à-fait à l’aise en rangeant ce vaste éventail de forces sous l’unique dénomination de  » démon « , toutefois, l’esprit occidental moderne le trouve indubitablement difficile à saisir. Pourtant, même dans notre propre langage, ce que nous appelons en anglais un  » démon  » signifie (d’après le Webster)  » une émotion, un trait de caractère ou un état personnifiés qui sont indésirables ou mauvais « , et  » devil  » [en français : démon, diable] peut être  » une humeur, passion ou caractéristique qui possède, incite ou perturbe « .

Ainsi, selon les termes tibétains pré-freudiens,  » démons  » et  » diables  » sont des noms appropriés pour les forces vitales et émotionnelles qui peuvent mener l’esprit à la folie.

Afin de mieux sentir ce que les Tibétains entendent exactement par  » démon « , gDon, il peut s’avérer profitable d’examiner ce mot de plus près.

Le mot tibétain gDon est également le futur du verbe ‘Don qui signifie  » faire sortir, faire venir devant, amener devant « . C’est le sens originel de ce verbe ; avec l’évolution du langage, son sens devint  » sortir (quelque chose d’un endroit)  » plutôt que  » sortir, produire « . Il est employé aussi avec le mot  » mantra  » et signifie alors  » prononcer une formule magique  » (sNags ‘Don-pa), ce qui, nous le savons, veut dire émettre une vibration primordiale afin d’effectuer un changement à un niveau subtil de conscience et d’existence.

Le sens le plus exact du nom gDon est donc un  » effet de radiation ». Dans le cas d' » esprits « ,  » démons  » et « esprits malfaisants « , ils sont compris dans le sens d’êtres ou forces irradiant des effects négatifs.

Pour comprendre ceci davantage, nous devons retourner à la philosophie bouddhique de base. Selon la pensée bouddhique, tout l’univers est impermanent, et une manifestation dynamique de vibrations. Nous sommes, en quelque sorte, un  » amas de perceptions « . Rien n’est solide, ni notre corps, ni notre ego, ni les montagnes, ni les étoiles. Tout est une configuration temporaire et changeante de minuscules particules d’existence que nous appelons atomes et que les bouddhistes appellent dharmas – sans D majuscule. Et ces particules aussi sont elles-mêmes des vibrations, non solides en essence, mais changeantes. Cet univers est semblable à un immense champ d’énergie électromagnétique.

Toute l’existence conditionnée consiste donc en des radiations de vibrations d’énergie émises comme rayons ou comme champs de force, à des degrés de fréquence, et donc de solidité, variés, qui s’entrecroisent et sont en interaction suivant les harmoniques de l’équilibre karmique.

Et puisque les obscurcissements mentaux sont à l’origine de ces manifestations et que tous les êtres dans ce monde ont une existence transitoire correspondant à leur karma, c’est-à-dire correspondant à leur fréquence de vibration qu’ils se sont eux-mêmes fixée par leurs actes du corps, de la parole et de l’esprit durant d’innombrables vies, les mondes d’existence conditionnée sont peuplés de nombreuses sortes d’êtres, entités et forces, dont toutes ne sont pas immédiatement visibles et dont certaines sont incorporelles.

Les gDon, suivant cette interprétation extérieure, sont des  » êtres  » ou forces dont l’existence est une coagulation résultant directement de vibrations karmiques mauvaises et particulièrement empoisonnées.

Comme presque tout dans le bouddhisme a au moins trois niveaux d’interprétation, nous pouvons comprendre des  » démons  » au niveau psychologique ou intérieur. De même que, par exemple, tous les mondes du samsara existent extérieurement, ils existent aussi intérieurement. Nous sommes constamment en train de mourir et renaître, d’instant en instant, en tant que dieux, animaux, esprits, êtres des enfers, et ainsi de suite là où nous mènent nos pensées, nos émotions et nos actions.

L’interprétation psychologique de ce qu’on appelle  » démons  » et  » esprits  » est qu’à certains niveaux ce sont les formes incarnées que nous donnons à nos projections négatives, ces forces obscures au fond de nous qui sont trop terribles pour être admises dans la conscience et alors projetées extérieurement et retournées contre nous-mêmes. Dans le contexte de la psychologie occidentale, elles pourraient être expliquées comme impulsions et matière inconscientes de l’antagonisme moi-autre, projetées comme forces destructrices perçues en tant que formes extérieures qui nous possèdent alors (hallucinations audio-visuelles, etc.). Ce sont, pour ainsi dire, nos propres fantômes. C’est-à-dire la projection en une forme vivante.

Les esprits sont aussi les empreintes d’habitudes mentales et de modes de pensée dont l’emprise inconsciente est si forte qu’ils sont constamment projetés, à notre insu, dans le monde. Ceci produit des distorsions dans la perception de la réalité, ainsi que toutes sortes de comportements inadéquats ou  » insensés « .

Du point de vue intérieur, ces  » démons  » peuvent également être expliqués comme les archétypes négatifs de l’inconscient collectif, des archétypes qui s’emparent de nous de l’intérieur. Jung maintenait que le mal vient de l’inconscient collectif et que c’est cet inconscient qui nous  » possède « .  » Le formidable pouvoir de la  » psyché objective  » – écrit Jung – a été nommé  » démon  » ou  » Dieu  » à toutes les époques à la seule exception des temps actuels récents. Nous sommes devenus si pudiques en matière de religion que nous disons correctement  » inconscient …  »

Du point de vue absolu ou  » secret « , la véritable nature de ces  » démons  » est la vacuité. Ils sont sans nature propre, et non existants en tant que tels. Ceci est illustré dans un épisode de la vie de Milarépa, le célèbre yogi, saint et poète tibétain.

Un jour, Milarépa quitta sa grotte de méditation pour aller chercher un peu de bois. A son retour, il trouva plusieurs démons assis dans sa grotte, qui se gaussaient de lui. Milarépa essaya tous les moyens auxquels il pouvait penser pour les vaincre et les subjuguer. Tout d’abord, il tenta de se les rendre propices en tant que déités locales de cet endroit, puis il employa la méditation et le mantra de l’aspect terrible d’un Bouddha, mais ils continuèrent leurs attaques. Alors soudain, dans un état de réalisation, il dit :  » Par la grâce de Marpa [son maître spirituel], j’ai déjà réalisé complètement que tous les êtres et tous les phénomènes sont notre propre esprit. L’esprit lui-même est une transparence de la vacuité.  » A cela, les dénions s’évanouirent.

Commentant cette histoire bien connue, Trungpa Rinpoché explique :  » Ce fut le commencement de la période où Milarépa apprit à subjuguer les démons, ce qui est identique à la transmutation des émotions. C’est avec nos émotions que nous créons démons et dieux. Ces choses dont nous ne voulons ni dans notre vie ni dans le monde sont les démons ; celles que nous voudrions attirer à nous sont les dieux et les déesses.  »

Puisque la source des démons est l’esprit, la psychologie tibétaine bouddhique pose en principe de base que si nous pouvons contrôler l’esprit et les émotions négatives indomptées, nous pouvons nous protéger de ces influences spectrales négatives et nous en débarrasser.

Quelle que soit l’interprétation sur les démons, leurs effets particuliers sont les diverses affections psychopathologiques, et celles-ci ne peuvent s’élever en nous que lorsque l’esprit est instable et emporté par les émotions à un degré tel que la personnalité n’est plus fonctionnellement intégrée. Burang a expliqué ceci en fonction des cinq skandhas, les énergies psycho-physiques qui composent la personnalité et l’existence mentale. Quand ces cinq agrégats sont en discordance, alors il s’ensuit, dit-il,  » un déplacement des couches de la personnalité dont le résultat est une espèce de scission dans la conscience que le psychiatre occidental rencontre dans la schizophrénie « .

De tels déplacements sont une forme de maladie mentale qui peut être traitée isolément (par une sorte de thérapie de l’émotion ou du choc mental), mais c’est cet état d’agrégats ou skandhas déplacés qui  » favorise l’occupation des éléments constitutifs de la personnalité par des agents venus de l’extérieur « .

Les forces démoniaques, tout en s’élevant en général d’états d’esprit négatifs, comprennent différentes sortes auxquelles sont attribuées des causes spécifiques.

La tradition tibétaine dit que certains  » esprits  » et  » esprits malfaisants  » sont créés au moment de la mort ; ce sont les  » esprits fantômes  » au sens occidental du terme, les esprits des morts. Le bouddhisme tibétain soutient que la conscience quittant un mourant est extrêmement affectée par l’état d’esprit au moment de la mort. Si une personne panique pour quelque raison ou est emplie de haine, de peur ou d’un fort attachement, la projection de l’énergie de la panique ou de la haine se solidifie, c’est-à-dire devient un  » fantôme « .

Si le mourant est, par exemple, singulièrement attaché à ses richesses et qu’à la mort toutes ses pensées se fixent sur ce sentiment, alors au lieu que toute sa conscience n’aille dans les régions intermédiaires qui précèdent la renaissance, une partie est attirée vers l’objet de l’attachement et rôde autour en s’amassant sous la forme d’un  » fantôme  » astral allant gêner peut-être les personnes qui reçoivent ensuite l’argent.

Suicides et meurtres sont également censés être des morts très défavorables, à cause de la force des attachements négatifs et des paniques qu’elles impliquent. Généralement, ce genre d’énergie négative ira former quelque espèce de fantôme après la mort. Dans les cas de meurtre, suicide et mort soudaine où la conscience mourante n’a reçu aucune préparation par la prière et autres moyens habituels, un lama est presque toujours appelé afin d’accomplir un exorcisme pour empêcher la formation d’un fantôme – ou pour s’en débarrasser. On dit que cette catégorie de fantôme a une durée limitée à neuf ans, après quoi il se dissout.

D’autres sortes de démons et entités négatives sont celles créées à dessein par les projections négatives d’un sorcier. Une personne douée de pouvoirs psychiques élevés – un magicien noir, pourrait-on dire – qui comprend les forces cosmiques en lui-même et dans l’univers et sait les manipuler, peut créer des forces spécialement destinées à nuire aux autres et à les rendre fous ; ce sont les  » esprits des mauvais sorts  » du chapitre 77 du Troisième Tantra. A la différence d’un être de haute réalisation spirituelle, celui qui projette ce genre de forces a un fort ego et des passions égoïstes. Il utilise ses pouvoirs pour atteindre ses propres buts malfaisants.

Dans le bouddhisme, évidemment, les pouvoirs psychiques ne sont jamais recherchés pour eux-mêmes. Ils se développent naturellement au cours du chemin qui mène à l’Illumination et doivent être utilisés comme instruments de la sagesse et de la compassion. Cette possibilité d’abus est l’une des raisons pour lesquelles, dans la médecine et dans la religion, les clefs psychophysiologiques des processus tantriques et des forces psychiques sont soigneusement gardées par les lamas et les détenteurs des lignées.

Source : La médecine tibétaine bouddhique et sa psychiatrie. Auteur : Terry Clifford.

18 décembre 2014

Magicien et possession en plein tour de magie

reptilien preuve indiscutabl

ce specimen lui a carement choisi d'accueillir un hote pour reussir ses tours c'est le demon qui illusionne en direct ses yeux apparaissent alors que ceux du magicien disparaissent les reptiliens sont de deux sortes humaines possession rheus negatif lignée sang bleu ou clonage et incorporation par des seances de magie noire de necromancie incubatoire un des plus grand secret de la magie egyptienne.......

11 septembre 2014

Entités négatives manifestation et cohabitations

Entités négatives et cohabitations

Question : Pouvez-vous nous parler de certaines entités qui s'accrochent sur certaines personnes?

Lorsque des entités qui s'accrochent à un être humain, c'est qu’il y a toujours une résonance, une complicité, entre l'entité et la personne. Ce n'est pas conscient, mais lorsque certaines personnes se font cohabiter, c'est toujours parce qu'il y a un grand désarroi en elles, qu’il y a une grande faiblesse, un renoncement à la lutte, un manque d'Amour pour elles-mêmes. Les entités qui sont très proches de la matière peuvent donc très facilement les cohabiter car elles vivent au travers de ces êtres humains d'autres expériences. Ces expériences ne grandiront pas l'âme de ces entités, car il n’est possible d’évoluer qu'au travers d'une incarnation et non pas d'une cohabitation. C’est en quelque sorte une tricherie.

Si vous voulez vous mettre hors d'atteinte d'une entité quelle qu'elle soit, élevez vos vibrations dans l’Amour, aimez-vous, ouvrez-vous à la vraie vie. Éclairez-vous le plus souvent possible de lumière dorée, de lumière blanche et vous ne risquerez rien.»

Question : Lorsqu'une personne ou un enfant vit ce genre de manifestation et qu’il comprend les raisons de cette cohabitation, l'entité peut-elle revenir?

« Si l’enfant est en faiblesse l’entité peut revenir, mais il faut donner toute une éducation spirituelle à l'enfant afin le mettre hors de portée de ces cohabitations indésirables. Il faut l'aider, car lui seul n'a pas toujours la force ou ne comprend pas ou comprend insuffisamment. Il faut aussi projeter beaucoup d’Amour sur votre maison, vous mettre face à l'enfant et projeter la Lumière Christique et tout ce qu'il y a de plus beau en vous sur cet enfant, et projeter la paix et la Lumière sur l'entité afin qu'elle laisse cet enfant vivre en paix son incarnation terrestre.

Nous aimerions aussi vous demander de ne pas trop donner corps à tout cela ! Très fréquemment il y a des cohabitations momentanées qui sont souvent dues à la maladie ou à la tristesse excessive, mais l'être humain est suffisamment fort et il arrive à se dégager par lui-même. C’est heureux, car il faut que vous sachiez qu'autour de vous il y a une multitude d'êtres qui sont dans la quatrième dimension, dans le plan de l'invisible et qui pourraient non vous nuire mais vous poser quelques petits problèmes.

Elevez-vous dans l’Amour, intégrez la joie au plus profond de votre cœur, chantez des hymnes d’Amour à Dieu votre Père, soyez heureux, et nulle nuisance ne vous atteindra. »

Question : Mon entourage est victime de cohabitation d’entités. Je ne veux pas les ignorer, ni les tourner en dérision mais je trouve que ce qui se passe est ennuyeux. De nouvelles peurs prennent naissance. Par ailleurs ne risque-t-on pas, à terme, d’imputer tous nos travers à ces entités depuis notre mauvais caractère du matin jusqu'à l’agressivité de nos enfants ?

« A l’époque actuelle beaucoup d’êtres très ouverts à la spiritualité ressentent des énergies, des entités, mais il faut que vous sachiez que vous êtes parcourus en permanence par des entités. Elles vous traversent. Dans cette pièce vous êtes actuellement une centaine de personnes, et il y a peut-être deux fois plus d’êtres qui participent aussi à cet entretien. Même si vous les ressentez en raison de votre grande sensibilité, il ne faut absolument pas leur donner corps, car trop souvent c’est la peur qui leur donne vie.

Vos corps sont sans arrêt traversés par des vies qui vibrent différemment sur un plan différent du vôtre. Si vous n’êtes pas en paix avec vous-même ou si vous êtes en vibrations basse, ces entités peuvent s’installer quelques instants chez vous et demeurer au plus profond de vous-même. Cependant si vous élevez votre fréquence vibratoire vous n’aurez aucune crainte à avoir par rapport à ces entités qui peuvent vous traverser.

Dans cette question il a été parlé de quelque chose que nous jugeons très important : les peurs, qui génèrent bien souvent les questionnements par rapport à ces entités.

Il vous est beaucoup plus facile de reporter vos propres peurs sur quelque chose d’invisible. Il est beaucoup plus facile de dire : je suis déstabilisé parce que je suis cohabité, parce que je suis habité par quelque chose qui me déstabilise, ce qui fait que vos propres formes pensées finissent par avoir une vraie réalité !

Nous pouvons vous affirmer que bien souvent les entités que vous créez par vos pensées vous font beaucoup plus de mal que toutes les entités de l’astral qui peuvent vous traverser !

Les entités négatives ne sont pas aussi importantes en nombre que vous pouvez le supposer. Elles n’attaquent pas les humains comme une armée va attaquer des braves gens ! Bien évidemment, si vous vous mettez en harmonie vibratoire avec ces entités, elles pourront demeurer en vous quelques moments et vous occasionner quelques désagréments, mais si vous êtes sur ce chemin de Lumière, vous n’avez qu’à projeter la Lumière en vous. Quelle est l’entité de l’obscur qui résisterait à une lumière éclatante ? Elles déguerpiront, elles ne seront pas à l’aise, elles ne seront pas en résonance.

Nous insistons sur le fait que vos propres émanations mentales, que vos propres formes pensées, sont beaucoup plus dangereuses pour vous que les entités du bas astral qui peuvent s’installer momentanément en vous. Cependant vous n’avez pas toujours la possibilité de comprendre si ce sont vos propres formes pensées ou si ce sont des entités qui vous déstabilisent.

Certes il y a des entités qui se jouent de vous, qui voudraient vous déstabiliser, vous faire chuter car ça les amuse ! Ce sont des entités du bas astral ! Si vous êtes tous sur ce chemin c’est pour grandir, c’est pour ne plus être apeurés par rapport à tout ce qui peut vous arriver, c’est pour être solides. Si vous restez sur ce chemin et si vous restez toujours dans la peur, comment voulez-vous progresser ? Comment voulez-vous évoluer ?

La peur est un boulet énorme que vous traînez derrière vous ! Libérez-vous de la peur ! Ayez confiance et foi rien de désagréable ne vous appartenant pas ne peut vous cohabiter si vous travaillez en vous la Lumière !

Si vous générez vous-même vos propres formes pensées destructrices, vous êtes les seuls responsables de ces désagréments !

Plus vous avancerez dans votre transformation totale, plus vous serez en relation avec le monde de la quatrième dimension, plus vous le percevrez, et il faudra absolument l’ignorer pour ne pas vous faire déstabiliser. Vous pourrez aussi recevoir parfois des messages merveilleux, alors vous adhérerez complètement à ce que vous recevrez, et puis un jour ces messages ne seront plus merveilleux du tout et vous comprendrez que vous avez été abusés.

Alors, pour continuer votre route dans la sagesse, ayez conscience que vous ne vivez pas seuls dans votre espace, que vous vivez avec une multitude de vies existant vibratoirement sur des mondes totalement différents du vôtre mais réels tout de même. Donc acceptez cela, n’ayez peur d’aucune entité qui pourrait vous troubler car la peur ouvre toutes les portes et ce que nous vous demandons c’est de fermer ces portes à la peur.

Si vous avez peur des entités qui vous traversent, si cette peur vous fragilise, nous pouvons vous dire qu’au moment du grand passage, c’est-à-dire de la transformation de vos consciences, lorsque l’émanation du souffle Divin sera le plus proche de la Terre et que vous percevrez la quatrième dimension vous ne pourrez pas supporter certaines visions.

Alors pensez toujours : je suis traversé en permanence et je n’accepte en moi que Etres de Lumière que j’accueille en mon cœur avec Amour. Je n’accueille pas en mon cœur les êtres qui ne sont pas de la Lumière ! Ils passent au travers de moi mais ils ne me gênent pas.

Il est important que vous compreniez qu’il est indispensable que vous ne donniez plus corps à la peur !  »

Merci a Monique Mathieu

 http://ducielalaterre.org

 

17 juin 2014

Le courant génétique reptilien

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Le courant génétique reptilien rapporté représente un niveau inferieur de développement dans l´évolution de la conscience. C´est le niveau où la peur prédomine.

Dans cet état d´être, la conscience va être attirée par la génétique reptilienne représentée par la lignée illuminati. Si elle reste coincée dans le sillon évolutionnaire et ne peut briser ce cycle de pensé et de comportement, elle sera condamnée à s´incarner dans les même lignées, encore et encore…..

Il existe des lignées reptiliennes qui ont dépassé le niveau de base des codes génétiques illuminati. Cet ADN reptilien a évolué vers un plus haut niveau de connaissances et de compréhension donc, vers une plus haute fréquence. En conséquence, la conscience qui reflète cette fréquence d ADN est attirée par ces lignées. Ce sont les gentils du « peuple du serpent », aussi décrits dans les textes anciens. Beaucoup se trouvent ici aujourd´hui pour tenter d´aider l ´humanité et les reptiliens illuminati, à sortir de leur prison mentale, émotionnelle et spirituelle.

Il est commun pour eux, spécialement pour les plus puissants, de mourir au cours de rituels conçus pour transférer leur pouvoir et leur démons à une autre personne. Lorsqu´ils meurent, leur conscience devient propriété des démons. Ce contrat, ils l´ont accepté rituellement en devenant satanistes. Le marché implique que ces derniers reçoivent les pouvoirs démoniaques sur terre, en échangent de leur âme quand ils quitteront leur corps. C´est de là que provient l´expression vendre son âme au diable. En d´autre occasions, l´âme du sacrifié sera transférer à l´un des participants au rituel, au moment précis de la mort. La victime est fixée d´un regard hypnotique, tout comme celui d´un serpent, par la personne qui va absorber sa force vital et son énergie. Ce regard crée un lien magnétique, vibratoire, qui va attirer à lui la conscience de la victime, libérée du corps par la mort.

Boire le sang humain semble être vital aux entités reptiliennes pour que les codes de l´ADN restent ouverts et permettent de maintenir une apparence humaine. Les reptiliens ce nourrissent également de l´adrénaline qui afflue dans le flot sanguin dans les moments de terreur extrême. Le rituel est exécuté de façon a accroitre la terreur au maximum au moment de la mort.

Le réseau illuminati satanique exécute ses rituels les plus importants sur les points clés des vortex de la grille terrestre, parce que leurs cérémonies écœurantes affaiblissent la fréquence du champ d´énergie de la terre, gardant ainsi l´humanité enfermée dans la même prison vibratoire. Il est aussi plus facile pour une entité de se manifester dans ces vortex inter dimensionnels. L´ile de Wight a toujours été un lieu sacré pour ceux qui connaissent la grille d´énergie terrestre. Le chercheur Brian Desborough dit qu´il a prouvé que la première église chrétienne d´Angleterre se trouvait sur l´ile de Wight et non pas à Glastonbury

 

Le sionisme est une création des Rothschild autorisé par la fraternité, mais en faite on parle de du SIONisme, une ramification de la religion solaire aryenne-reptilienne. Le sionisme a été utilisé pour assurer la prise du pouvoir de la Palestine arabe pour 2 raison majeures : c est une terre sacrée pour les aryens-reptiliens dont les origines remontent jusqu´aux lévites et à l´ancien monde ; et le fait de voler un pays arabe de manière aussi flagrante offre d´infinies possibilités pour nourrir un conflit et favoriser a division du Moyen-Orient, moyen qui est devenu particulièrement efficace pour manipuler les pays arabes producteurs de pétrole. Le moment le plus important a été la déclaration de Balfour, alors que le secrétaire d´état aux affaires étrangères, Arthur Balfour, annonçait le 6 novembre 1917 que la Grande-Bretagne encourageait la constitution d´un foyer national pour le peuple juif en Palestine.

Les populations arabes de la Palestine ont été utilisées pour combattre contre les turques au cours de la 1 er guerre mondiale sous le commandement du britannique T.E Lawrence (Lawrence D´Arabie) qui leur promettait une pleine souveraineté en retour de leurs efforts. Il connaissait les plans de la fraternité pour la terre des « juifs » (Khazaed-Aryens) en palestino dès le début. Lawrence, qui était un ami intime de Winston Churchill.

La presque totalité du peuple juifs d´Israël origine génétiquement des montagnes du Caucase et nom des terres qu´ils occupent actuellement.

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