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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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theories
13 novembre 2016

Les différentes théories liées à "l'antigravitation"

 

La première de ces théories, qui remonte à l'Antiquité Grecque, est celle des monocordes. En langage moderne on dirait qu'il s'agit de la théorie des résonances et des harmoniques ondulatoires. Une petite partie de ce savoir s'est retrouvé, du Moyen Age à nos jours, dans les lois du solfège et de la gamme bien tempérée en musique. Voilà pourquoi, aussi étonnant que cela puisse paraître, les travaux sur les "sons" ont aussi eu leurs importance. Car chaque son émet bien une fréquence, et les fréquences ont elles-aussi leur utilité.

La seconde est la théorie implosive de Shumann et de Schappeller qui permis à Viktor Schauberger, dès les années vingt, de construire et de faire fonctionner plusieurs engins révolutionnaire, entres autres des turbines hydrauliques implosives à rendement apparent "sur-unitaire", c'est à dire produisant plus d'énergie à la sortie de la turbine qu'à l'entrée.

 

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La troisième théorie (publiée en 1903) nous vient du mathématicien Britannique Whittaker et pour l'expérimentation, du physicien Nicola Tesla. Il s'agit de la théorie des potentiels et des ondes longitudinales scalaires. Dès 1896, Tesla avait observé des pertes de masse et d'inertie d'objets de son laboratoire, soumis aux ondes scalaires en phase (ou en résonance synchrone si vous préférez) à très basse fréquence  (6Hz) de ses bobines "Tesla". Ces expériences ont étaient reproduites avec succès depuis 1995 par un expérimentateur indépendant de Vancouver (Canada), John Hutchison, ainsi que par le physicien Brésilien Fran De Aquino qui a publié ses travaux en référé au Brésil et les a soumit également au CERN (Centre Européen de Recherche Nucléaire).

C'est principalement sur ces théories que se basèrent les Allemands pendant la guerre, pour réaliser leurs soucoupes. Les autres théories qui ont suivies viennent des recherches menées aux Etats-unis, après la Seconde Guerre Mondiale.

EMP et armes électromagnétiques

Les EMP ou impulsions électromagnétiques (IEM), sont des armes redoutables capables d'endommager les systèmes électroniques, qu'ils s'agissent d'ordinateurs, de véhicules personnels ou encore de systèmes d'armes. Ces systèmes sont des armes de guerre électronique (EW), qui peuvent brouiller des signaux ou endommager des systèmes électroniques et informatiques, mais les IEM constituent également des armes stratégiques, de part leur capacité à endommager des systèmes critiques et à rendre inopérantes des infrastructures entières.

EMP nucléaire

L'impulsion électromagnétique nucléaire (IEMN ou NEMP), est un phénomène électromagnétique lié à une explosion nucléaire. Les rayonnements gamma libérés au cours de l'explosion entrent en interaction avec les molécules de l'atmosphère (effet Compton), générant un champ électrique de haute intensité (plusieurs kilovolts par mètre) qui se propage en une fraction de seconde, y compris à la surface du sol.

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Les effets produits par une IEMN, sont classés en trois catégories (components); E1 caractérise le champ électrique de haute intensité qui se propage à très grande vitesse et dans un temps très court, produisant des effets destructeurs sur les composants électroniques; E2 caractérise des effets électromagnétiques proches de ceux de la foudre; E3 caractérise une impulsion qui se propage à une vitesse relativement faible et dont les effets sont proches de ceux causés par une tempête géomagnétique, comme celles causées par les éruptions solaires.

Le rayon de propagation de cette impulsion électromagnétique augmente sensiblement avec l'altitude à laquelle l'explosion nucléaire est déclenchée. Une charge explosant entre 80 et 130km d'altitude pourrait produire une IEM dans un rayon d'au moins 800 kilomètres. Ce sont donc les impulsions électromagnétiques de haute altitude (IEM-HA ou HEMP) qui inquiètent le plus les armées et les gouvernements, du fait de leur grand rayon d'action et en particulier les IEM déclenchées dans l'espace.

Ces impulsions EM à haute altitude ont la capacité d'endommager les circuits électroniques et certains systèmes électriques, dans un large périmètre autour de l'explosion. Les IEM-HA ont également la faculté d'interférer avec les fréquences des radiotransmissions et d'endommager les appareils de transmissions, en particulier ceux dotés de larges antennes, jusqu'à plusieurs milliers de kilomètres de l'explosion.

Des dégâts d'origine électromagnétique ont été observés dès les premiers essais nucléaires, mais il a fallut attendre les années 60 pour que le phénomène d'IEM soit pleinement reconnu, notamment grâce aux essais nucléaires spatiaux Starfish (USA) et Opération K (URSS). Le développement de charges nucléaires spécifiquement conçues pour des attaques électromagnétique demeure largement classifié, toutefois, des experts estiment qu'une petite charge nucléaire peut être modifiée afin de maximiser son IEM et ce, à partir d'informations largement disponibles, par des moyens licites et illicites. La mise en œuvre d'une charge nucléaire à une altitude suffisante pour la rendre efficace dans le cadre d'une attaque EM, nécessite également la maîtrise d'un vecteur adéquat, tel qu'un missile balistique.

La Russie et la Chine possèderaient déjà les technologies nécessaires pour lancer une attaque HEMP. L'Inde et le Pakistan pourraient développer ces technologies en quelques années. La Corée du Nord, pour sa part, pourrait atteindre un niveau technique suffisant d'ici à 2025. La réussite du récent essai nucléaire ordonné par Pyongyang et le développement de ses capacités balistiques pourraient raccourcir ce délai. Les essais balistiques menés par l'Iran en 2006, par des tirs de missiles Shahab-3 ayant explosé à haute altitude, ont laissé supposer à plusieurs experts que l'Iran s'entraînait à un exercice d'attaque EMP, les essais ayant été annoncés comme réussis par Téhéran.

IEM non-nucléaires

Les armes radiofréquences constituent l'autre gamme d'IEM, les IEM non-nucléaires (NNEMP). Ces armes, majoritairement expérimentales, sont réparties en deux grandes catégories, les armes UWB (Ultra Wide Band) et les armes HPM (High Power Microwave), qui portent le nom de micro-ondes à forte puissance (MFP) en français. Ces armes émettent un champ électromagnétique de forte intensité, au rayon d'action et à la puissance plus limités qu'une IEM nucléaire. Les armes à ultra-large bande et les micro-ondes à forte puissance de crête ont un fonctionnement similaire basé sur un générateur de micro-ondes à forte puissance d'émission. Les armes HPM qualifient généralement des armes qui émettent sur une fréquence micro-onde précise, alors que les armes UWB produisent une impulsion sur une large bande du spectre électromagnétique, atteignant ainsi une gamme étendue de systèmes électroniques.

Les armées modernes, en particulier celles des Etats-Unis et de Russie, ont mené de multiples expériences sur les armes MFP, concevant des prototypes assez divers. Ces recherches ont permis la conception de bombes à impulsion électromagnétiques non-nucléaires ou e-bombs. Des générateurs d'impulsions électromagnétique de différentes natures ont été expérimentés, mais tous ne se prêtent pas aux applications militaires. Bien que la conception de ces armes soit assez peu documentée en sources ouvertes, il apparaît que les générateurs magnéto-cumulatifs, les Vircator et les générateurs de Marx, sont privilégiés par les industries de défense, bien que d'autres générateurs HPM soient toujours développés (Klystron, générateur Cerenkov, Maser, etc.).

Les e-bombs demeurent des armes sur lesquelles les armées communiquent peu, du fait de leur intérêt stratégique et des technologies sensibles qui les composent. Les Etats-Unis aurait connu des avancées significatives dans le développement de ces armes dans les années 90, avec notamment la conception d'une charge EMP non-nucléaire destinée au missile de croisière AGM-86, probablement dotée d'un générateur HPM de type Vircator. Selon certaines informations, cette version spéciale de l'AGM-86 aurait été employée en 1999 contre les installations C2 de la république de Yougoslavie.

Le Pentagone n'a pas perdu son intérêt pour les systèmes HPM et a lancé fin 2008 le programme CHAMP visant à la conception d'un démonstrateur aérien (drone ou missile), doté d'un générateur HPM capable de générer plusieurs impulsions au cours d'un seul vol. C'est dans ce sens que Boeing a annoncé le développement de son propre démonstrateur CHAMP, intégrant un générateur HPM de 70GW, fourni par le Sandia National Laboratory de Lockheed Martin.

Les Russes ont également progressé dans le domaine des générateurs HPM, avec des systèmes produisant des impulsions pouvant atteindre 200kv/m. La Russie serait en capacité d'équiper ses missiles de charges EMP, notamment ses missiles antinavires, comme le Yakhont capable d'emporter une charge d'environ 200kg, ce qui pourrait correspondre à une charge nucléaire ou HPM. La Chine envisage également l'emploi d'impulsions électromagnétiques dans ses opérations de guerre navale, contre des porte-avions ennemis.

La France et l'Allemagne ne sont pas en reste dans le développement d'armes HPM. L'institut franco-allemand de recherches de Saint-Louis a annoncé en 2003 la mise au point d'un générateur de Marx compact, ouvrant la voie à des charges MFP de taille réduite, susceptibles d'équiper des obus (155mm) ou des bombes guidées (Air et Cosmos n°1877). La compagnie allemande Diehl Munitionssysteme a développé un générateur HPM qu'elle décrit comme étant "compact" dans son brevet de 2003 et qui a pour objet le brouillage, voir l'endommagement de systèmes électroniques et informatiques. EADS/LFK propose une version HPM de son missile de croisière Taurus KEPD 350, dont les capacités ne sont pas détaillées. Rheinmetall travaille également sur les armes HPM, prévoit l'arrivée de systèmes très compacts de la taille d'une valise et envisage des prototypes de générateurs HPM rechargeables, montés sur des véhicules blindés.

Certains radars émettant des micro-ondes sont capables de diffuser des impulsions d'intensité limitée, mais suffisante pour brouiller ou endommager certains systèmes. Ce serait notamment le cas des radars AESA qui équipent les hélicoptères d'attaque et les avions de chasse moderne, tel que le F-35. Pour exemple, en 2001, un prototype du programme d'hélicoptère Comanche qui effectuait un exercice radar, a émis une impulsion HPM qui a entraîné un dysfonctionnement du système GPS de l'aéroport commercial d'Albany, servant au guidage des avions à l'atterrissage.

D'autres systèmes HPM plus low-tech, tels que des HERF Guns ou des appareils émettant d'intenses décharges électrostatiques (TED) peuvent être produits à moindres coûts, suscitant les craintes des services de sécurité, notamment dans l'hypothèse d'une utilisation terroriste. Ces armes demeurent toutefois moins puissantes que les e-bombs développés par les laboratoires de défense, mais leurs effets concentrés peuvent endommager des systèmes civils qui ne disposent pas de protection contre les IEM.

Menace et contre-mesures

Les impulsions électromagnétiques ont la capacité d'interférer avec les systèmes électroniques et de les endommager jusqu'à les rendre inopérants. Les systèmes de communication sans fil sont particulièrement sensibles aux impulsions EM, ces émissions brouillant de larges gammes de fréquences et les antennes des émetteurs-récepteurs agissant comme des points d'entrée direct (front-door coupling) pour l'impulsion. Les dégâts causés aux systèmes électroniques peuvent varier en fonction de l'intensité de l'impulsion, de sa fréquence d'émission et de la distance entre le système-cible et le point d'origine de l'impulsion. Les systèmes touchés peuvent connaître des dommages allant de dysfonctionnements répétés, pouvant apparaître plusieurs jours après l'impulsion, à une destruction de leurs circuits. Les appareils électroniques ne possédant pas d'antenne destinée aux communications, comme les serveurs informatiques, sont également vulnérables aux IEM. Leurs câblages internes agissent comme des antennes et offrent des points d'entrée indirect (back-door coupling) aux ondes EM. Les réseaux d'alimentation électrique et les réseaux de communications filaires, agissent également comme des points d'entrée. Les protections électriques telles que les parasurtenseurs et les onduleurs, dont sont souvent dotés les systèmes informatiques, n'offrent pas de protection contre ce type d'attaques.

Les systèmes militaires et les systèmes d'armes, s'ils ne sont pas correctement durcis contre les interférences électromagnétiques, sont également vulnérables aux IEM. Les installations informatiques, les appareils de radiotransmissions, les véhicules ou encore les missiles, qui disposent tous de systèmes électroniques sont particulièrement exposés aux risques électromagnétiques. Ce risque impose donc aux forces armées de protéger leurs équipements, en instaurant des normes de résistance aux impulsions électromagnétiques. Le niveau de protection réel des systèmes militaires est une donnée largement classifiée, mais l'audition en 2008 d'un expert par le House Armed Services Committee, laisse supposer que la majorité des systèmes américains étaient jusqu'alors testés pour résister à des niveaux d'exposition EM équivalents à 50kv/m, une valeur bien inférieure à la puissance théorique qu'émettraient les prototypes russes les plus récents.

Les munitions explosives modernes ne seraient pas immunisées contre les effets des armes électromagnétiques. L'OTAN s'intéresserait notamment aux effets des ondes électromagnétiques sur les mines terrestres, l'étendue des dommages probables causés à ces armes explosives par les IEM demeurant classifiée. Le ministère américain de la Défense développe dans ce sens des systèmes HPM visant à rendre inopérant ou à détoner des IED et des munitions non-explosées. L'armée américaine dispose déjà d'un prototype capable de détruire des explosifs enfouis, le Joint IED Neutralizer et souhaite développer un système capable de neutraliser des engins explosifs, par un transfert d'énergie EM au niveau moléculaire.

La présence d'électronique dans la plupart des systèmes utiles aux activités civiles, les rendent particulièrement vulnérables aux effets des attaques électromagnétiques. Une attaque EMP à grande échelle toucherait de nombreux secteurs critiques que sont l'approvisionnement électrique, les communications, les transports, le système bancaire ou encore les commodités, impactant de manière très sensible l'activité économique, voire les activités les plus basiques des particuliers.

De nombreuses infrastructures industrielles, usines de produits chimiques, raffineries ou encore centrales électriques gèrent leurs installations grâce à des systèmes électroniques (SCADA), qui régulent les différents flux en envoyant des ordres à des automates programmables industriels (API ou PLC). Ces modules électroniques ne sont généralement pas protégés contre les IEM et peuvent être installés dans des zones reculées. Plusieurs incidents liés à des impulsions électromagnétiques accidentelles sur les modules SCADA de pipelines et de gazoduc, ont eu des conséquences désastreuses.

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Les interconnexions entre chacune des infrastructures essentielles aux activités humaines renforcent cette vulnérabilité et augmentent le nombre de points d'entrée pour les effets dévastateurs d'une attaque électromagnétique. Elles constituent également un risque de dommages en cascade, la mise hors service d'un réseau critique entraînant la chute des infrastructures qui en dépendent. La perte des réseaux de communications, essentiels à la coordination des services d'urgences et de dépannage, entraverait les opérations d'assistance aux personnes et la reconstruction des systèmes touchés par l'IEM.

Dans son rapport de 2008, l'EMP Commission américaine a estimé qu'une impulsion électromagnétique déclenchée à une altitude comprise entre 50 et 130km d'altitude, au dessus d'une zone Baltimore-Washington-Richmond, produirait une impulsion couvrant un rayon d'au moins 800km et causerait des dégâts cumulés pouvant atteindre plus de 770 milliards de dollars. Dans les conditions les plus favorables, avec des infrastructures protégées au mieux contre les attaques EMP, les dégâts entraîneraient des pertes de 9 à 34 milliards de dollars.

Ces évaluations concernent la pire des hypothèses, à savoir une impulsion électromagnétique de forte puissance d'origine nucléaire. Une impulsion non-nucléaire de type HPM, aurait un impact plus limité, mais pourrait toutefois se révéler désastreuse dans le cadre d'attaques ciblées sur les réseaux (network disruption).

Les armées s'efforcent de se protéger des effets destructeurs des armes électromagnétiques, en durcissant leurs installations et appareils, ainsi qu'en testant un grand nombre de leurs systèmes contre les IEM, notamment lors de leur conception.

Le Pentagone a à sa disposition plusieurs laboratoires militaires chargés de tester les systèmes d'armes, véhicules et autres matériels sensibles aux interférences électromagnétiques. L'US Navy a développé, des les années 70, un centre d'essais dénommé EMPRESS (EMP Radiation Environment Simulation for Ship), chargé de soumettre ses bâtiments à des impulsions électromagnétiques. La navy poursuit ses recherches au sein du Naval Reserach Laboratory (NRL) et de l'IBST (Integrated Battlefield Simulation & Test department), qui dispose de plusieurs générateurs d'EMP, permettant de tester la résistance des aéronefs et de leurs systèmes.

L'Air Force mène ses propres tests et expériences sur la base de Kirtland, au sein du Directed Energy Directorate, qui a notamment pour but de tester les effets des HPM sur les appareils, en les soumettant à des ondes de différentes fréquences et intensités, dans des chambres anéchoïques spécifiques, capables d'accueillir des aéronefs complets. L'armée de Terre américaine s'intéresse également aux micro-ondes de forte puissance et soumet ses propres systèmes, des chars de combats aux drones, à des stress-test électromagnétiques au centre d'essais missiles de White Sands, qui est entièrement équipé, depuis le mois de mars, pour tous les tests relatifs aux impulsions HPM, dans le cadre du Directed Energy Test and Evaluation Capability (DETEC).

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La France s'intéresse également aux effets des IEM lors de la conception de ses systèmes militaires et emploie à cet effet les ressources scientifiques du CEA et de l'institut de recherche Saint-Louis. Divers matériels et composants y sont testés au sein de chambres anéchoïques électriques ou encore grâce à des appareils de mesure spécifiques, tels que l'appareil de mesure en champ proche SOCRATE (DGA). La DGA met également en œuvre des simulateurs d'agressions électromagnétiques afin de tester ses systèmes, au centre d'études de Gramat (CEG).

Le secteur civil semble moins concerné par les effets des armes électromagnétiques et peu de systèmes sont réellement protégés, à l'exception des installations les plus critiques. La protection des systèmes électronique requiert un durcissement (blindage) spécifique, basé sur la cage de Faraday, qui nécessite une architecture rigoureuse des circuits électroniques, des câblages et des réseaux. Chacun des câbles employés doit être blindé et isolé avec précaution, le moindre fil ou circuit exposé pouvant servir de point d'entrée aux ondes électromagnétiques. Ces protections nécessitent des ressources importantes et engendrent des coûts supplémentaires lors de la conception d'appareils ou de bâtiments. Les normes de protection TEMPEST, qui visent à limiter les émissions électromagnétiques des systèmes sensibles et à réduire les interférences EM, constituent des efforts de blindage et de durcissement qui offrent une certaine protection contre les EMP.

Le durcissement d'un véhicule ou d'une construction peut devenir extrêmement complexe, notamment en ce qui concerne les réseaux de communications, qui offrent de multiples points d'entrée. L'utilisation étendue de la fibre optique pourrait toutefois réduire certaines vulnérabilités. La bunkerisation ou l'enfouissement d'une installation n'offre pas une grande protection, notamment face aux effets concentrés des armes HPM, le moindre câble en surface agissant comme une antenne pour les ondes EM.

Toutefois, plusieurs acteurs de l'industrie civile apportent des solutions afin de contrer les dommages des IEM, parmi lesquelles les Portable Data Centers, employés par Microsoft, Sun et Google, qui permettent d'aménager des installations informatiques modulaires et qui peuvent, de par leur conception, être facilement protégés contre les effets des armes électromagnétiques. Les avionneurs, notamment Boeing et Airbus, investissent largement dans le durcissement de leurs appareils afin de les protéger contre les effets de la foudre et des interférences électromagnétiques, favorisant ainsi leur résistance aux IEM.

L'EMP Commission américaine a conclu son rapport en soulignant que tous les systèmes ne peuvent être protégés efficacement contre les impulsions électromagnétiques et qu'il est crucial d'investir dans la prévention, en formant les personnels des infrastructures sensibles, des administrations et des services de secours à l'éventualité d'une attaque électromagnétique, afin d'en réduire les dommages directs et collatéraux, et de faciliter la phase de reconstruction qui suivrait forcément une attaque de grande ampleur.
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15 juillet 2014

L'univers est connecté à tout ce qui est vivant un solfége harmonique divin

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Le paradigme scientifique dominant ne considère pas l'Univers comme un système vivant. Cela provient d'un point de vue que l'Univers n'est pas connecté, mais mécanique. Quelle est la différence entre une conception mécaniste de l'univers (agissant comme des engrenages et rouages d'une machine) par rapport à un système d'auto-organisation dynamique? Informations.

 

 

 

 

 

 


 

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L'information est le tissu de connexion de notre Univers. Que sont des processus dynamiques? Des systèmes avec des opérations de remontée de l'information (comme une fractale), ce qui se traduit par une évolution non linéaire et par l'imprévisibilité locale. L'interactivité (Intercommunication) d'un tel système avec des éléments génératifs et innovants ont pour résultat une intégration exponentielle et de la syntropie. Loin des processus aléatoires et mécaniques envisagées comme la loi de l'entropie - ce qui en soi est un scénario très théorique d'isolement et de disconnectivité. La vision du monde non connecté et mécaniste ne perçoit pas de potentiel pour des communications non-locales (un réseau universel de renseignements) que peuvent engendrer des influences d'ordonnancement spécifiques qui sous-tendent l'ensemble des processus physiques. Cette puissante orchestration déterministe est largement au-delà de la compétence d'une telle vision du monde myope. La nature stochastique de la mécanique quantique - la théorie consensuelle du comportement fondamental de la matière - est le reflet de la fragmentation, de la vision du monde isolationniste. Cependant, même dans cette théorie, il est reconnu qu'un dispositif de mesure de taille infinie pourrait vérifier avec une certitude déterministe complète l'état quantique et les coordonnées de l'espace-temps de chaque particule dans une simple chambre. Hélas, un tel dispositif est impossible, car il s'effondrerait dans un trou noir. Pourtant, il y a un trou noir de cette ampleur qui mesure l'état de tous les quanta fondamentaux à chaque instant - et c'est l'Univers, puisque quand la masse de notre Univers observable est considéré en fonction de son rayon de mesure actuelle - notre Univers obéit à la condition de Schwarzschild, c'est à dire à la condition d'un trou noir.

    
"Chaque chose découle d'un choix binaire"
    
- John Archibald Wheeler

Comment l'information est elle le tissu de connexion du cosmos? N'est-ce juste qu'un résumé - qu'une déclaration non physique? Non-pas. John Archilbald Wheeler, un des physiciens les plus éminents du 20e siècle et collègue d'Einstein, a développé des équations géométriques qui décrivent l'origine des caractéristiques les plus fondamentales de la matière - comme la charge et la masse d'une particule - l'un des domaines les plus actifs de la recherche même aujourd'hui (avec des notions artificielles d'un boson de Higgs). Ses formulations ont produites ces caractéristiques seulement à partir de la géométrie de l'espace-temps, tirant donc ainsi «charge sans charge» et «masse sans masse» - comme des caractéristiques émergentes de la structure et de la dynamique de l'espace-temps. Alors que Wheeler est celui qui, aux côtés d'Einstein, comprennait la primauté de la géométrie - il a réalisé plus tard qu'il y avait une source encore plus fondamentale : c'est l'information - inventant ainsi la formule "it from bit". C'est à dire que tout «ça» (tout objet NdT) vient de «bits» - unités de base de l'information. (Coïncidence, Wheeler a également formulé une solution à la gravité quantique, appelée l'équation de Wheeler-DeWitt - mais comme il n'a pas besoin du temps, les physiciens l'ont considérée comme irréelle - ne réalisant pas que ce que nous expérimentons comme le temps n'est en fait qu'une évolution localisée d'un sous-système à travers le structure de l'espace, mais pas un changement dans la structure de l'espace à l'échelle globale de l'Univers - temps de l'intrication quantique).

La structure géométrique de l'espace-temps est un moyen de codage d'information - de pixels de Planck. Les dynamiques de l'espace-temps transmettent et traitent l'information. Et la structure et l'évolution de l'espace-temps détermine et engendre les caractéristiques physiques de la matière et des forces dans l'Univers. Physiquement, que sont des pixels de Planck? C'est à dire, de quoi est physiquement fait l'Espace-Temps ? La réponse est de quanta electromagnétiques de point zéro. Il s'agit d'un champ électromagnétique qui remplit tous les modes imaginables. Qu'est-ce que cela a à voir avec la biologie? Outre la conclusion évidente que nous sommes fondamentalement faits de quanta électromagnétiques (d'espace lui-même) - il a une incidence directe sur la nature des processus biologiques de l'information (systèmes d'auto-organisation) et probablement la source de la conscience. Parce que nous sommes chacun une unité fonctionnelle d'un moyen de traitement d'informations qui est le tissu le raccordement de l'univers.

 

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Univers et / ou neurones

Quel est ce une image ? Une tranche de cerveau montrant la vue microscopique de neurones? Une simulation par ordinateur de la distribution de la matière et des galaxies dans l'Univers (basé sur les valeurs observées de la matière noire dite et l'énergie sombre)? Ou peut-être la mousse quantique du vide (espace-temps)? Faites votre choix. ">Est-ce que cela forme la fonction de récapitulation à ces échelles (ce qui arrive à l'échelle dans les 4 dimensions spatiales de l'Univers observable)?

 

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Planck échelle du réseau

L'image ci-dessus donne une idée du réseau de l'espace-temps à l'échelle de Planck. Tout comme les filaments de «matière sombre» qui relient les superamas galactiques ensemble, ou les dendrites qui relient milliards de neurones - des points nodaux en forme de treillis (Le World Cristal de Planck-Kleinert) sont reliés par des filaments constitués de ponts de Planck-Einstein-Rosen (Construisant l'Espace-Temps avec l'intrication quantique). Et tout comme la propagation des signaux électriques à travers le réseau synaptique du cerveau - faisceaux de lignes intenses de flux électrique et magnétique à travers le réseau de Planck de l'espace-temps (champs de vortex de Poynting).

Il y a une réitération de fractale à travers la magnitude de dimension. Tout comme un transistor peut fonctionner comme une unité binaire (par la présence ou l'absence d'une charge électrique), ainsi aussi le peut un seul atome ou une seule particule subatomique - ou, comme Wheeler la exposé - les oscillateurs harmoniques du vide quantique de Planck, l'espace lui-même. Ce n'est pas nouveau, cela est connu comme le principe holographique. Cependant, ce qui est souligné ici est que ce medium d'encodage de l'information peut être connecté dans un réseau de trou de vers continu - permettant des transmissions d'information non locales, c'est à dire supraluminique. ">Cela signifie que tous les secteurs de l'espace-temps agissent comme un volume d'informations de codage - elles ne sont pas isolées - il s'agit d'un réseau de traitement d'informations multiples.

Ce que le lecteur peut retenir de cette discussion, c'est que notre structure biologique et l'environnement de notre biosphère semblent être autre chose qu'un résultat isolé de certaines fluctuation aléatoires (un coup de chance) et beaucoup plus partie d'une autoroute de l'information, d'un incroyable réseau qui relie tous les points de notre Univers et générant des structures d'auto-organisation complexes de multivers très avancées auprès desquelles l'information conduit constamment la transformation à travers toutes les échelles dans une évolution coordonnée et étonnamment rapide. Dans ce point de vue là, ce ne sont pas seulement la physique de notre univers unifiée à la complexité biologique dont nous sommes une partie, mais c'est de l'ensemble de la structure de l'Espace-Temps qui est une manifestation de ce que nous avons appris à décrire en tant que conscience, ou si vous voulez, d'un feedback d'information sur toutes les échelles produisant la conscience de soi.

Par: William Brown & Nassim Haramein

En savoir plus:

Time from quantum entanglement – http://arxiv.org/pdf/1310.4691v1.pdf
The Planck-Kleinert World Crystal – http://users.physik.fu-berlin.de/~kleinert/papers/planckklcZN.pdf
Building up spacetime with quantum entanglement -http://arxiv.org/pdf/1005.3035v1.pdf
Poynting vortex field - http://astroreview.com/issue/2012/article/the-gem-theory-of-the-unification-of-gravitation-and-electro-magnetism

 http://flyingtaurus.over-blog.com/

source : http://resonance.is/spacetime-as-information-an-ordering-principle-for-living-systems/

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