"Cancer, la barbarie de l'incompétence" de Michel Dogna
Dans un récent article de CNN intitulé ''Ma mastectomie préventive : rester en vie pour mes enfants'' une mère fait enlever ses seins et ses ovaires sur simple présomption de terrain favorable à futur cancer.
Déclarant qu'elle a suivi la recommandation pressante de son gynécologue, Allison Gilbert a fait enlever chirurgicalement ses ovaires en 2007 et ses deux seins au début de cette année. Elle déclare :''La décision d'une opération chirurgicale sans avoir de cancer n'a pas été facile, mais elle m'a semblé logique. Ma mère, ma tante et ma grand-mère sont toutes mortes d'un cancer du sein ou des ovaires, et j'étais testée positive pour le gène du cancer du sein.''
Oui, de plus en plus de médecins encouragent maintenant les patients à se faire enlever des parties du corps jugées à risque pour prévenir un cancer éventuel. (y compris un cancer du cerveau ???)
Pour les hommes c’est pareil ; c’est ainsi que l’on estime à un million le nombre d’américains à qui l’on a abusivement enlevé la prostate soit préventivement suite à un adénome soit en faisant croire à un début de cancer. (En France on a du mal à connaitre les chiffres). Tout cela semble insensé, pourtant la communauté médicale dans sa majorité pense que c'est un exploit médical d'accomplir une mutilation physique au nom de la prévention d'un cancer… Cela me fait penser dans Astérix, aux Normands qui coulaient leur propre bateau en voyant seulement s’approcher la barque des gaulois.
Cette nouvelle mode est le critère de la non-reconnaissance de la science officielle à propos de la relation directe du mode d’alimentation avec le cancer. Remarquez que les chattes et les chiennes n’avaient jamais de cancer de la mamelle avant l’apparition des boites et des granulés ; de plus elles partagent souvent nos restes. Aussi aurait –il été intéressant de faire une petite enquête sur les coutumes nutritionnelles de la famille Gilbert…..
Par ailleurs, on reste pantois devant la reprise enthousiaste des médias qui glorifient cet autosacrifice de mutilation en tant que manifestation héroïque d'affection envers la famille et les amis.
Mais surtout, nous avons là la preuve éclatante que la médecine officielle avoue implicitement son propre constat d’échec face au cancer, d’autant plus lorsque l’on connait le chiffre officiel à l’échelle mondiale annoncé par l’OMS concernant la survie à 5 ans suite à la recette unique : la chimiothérapie, qui est de 2,2% !
Il se dit même que les gens meurent plus souvent de leur chimio que de leur cancer. Qui tenterait raisonnablement une quelconque action avec 98% de chances d’échouer ? Pourtant il existe depuis longtemps différents traitements naturels et des cures de désintoxication qui, sans pour autant être efficaces à 100% - ce qui est assez normal - offrent statistiquement des résultats infiniment plus satisfaisants que les méthodes traumatisantes des grands labos.
Mais cet « exercice illégal de la guérison » a toujours été sauvagement combattu par la dictature médico-pharmaceutique qui comme toute religion fanatique et intégriste interdit d’aller voir ce qui se passe ailleurs que dans leur chapelle. En attendant, tant pis pour tous ceux qui se laissent embarquer par l’autorité agressive des oncologues qui vont même jusqu’à menacer leurs « victimes » de perdre l’assistance sociale s’ils n’obtempèrent pas à leurs injonctions !!! Je n’exagère pas, cela m’a été rapporté tant de fois….
Un jour, un médecin stomatologue me dit confidentiellement au cours d'une réunion de famille :
- « Entre nous, un cancer, on ne s’en sort jamais, on ne fait que reculer l’échéance… »
- Je lui répondis « Comment cela ? Que fais-tu des légions de gens qui ont été guéris définitivement avec le CARZODELAN, extrait pancréatique d’enzymes (qui curieusement suite à près de 40 années de succès a été interdit), de la CURE BREUSS qui existe depuis plus de 300ans, les résultats par la simple MACROBIOTIQUE, sans compter les différents remèdes pourchassés tels les PEROXYDASES DE SOLOMIDES, le 714 X DE NAESSENS, l’ASIATONIC (champignon chinois), etc. »
- Il me rétorqua la réponse classique «C’est que ce n’étaient pas de vrais cancers…. »
- Je lui dis alors « Tu es gonflé, qui est-ce qui avait dépisté les tumeurs cancéreuses, c’est bien vous les médecins ; donc tu avoues que l’on ne peut pas vous faire plus confiance pour le diagnostic que pour le traitement ! »
Je peux en outre renvoyer à juste titre le même raisonnement à la cancérologie en disant que les seuls succès de leurs traitements « politiquement corrects »ne s’appliquent qu’à des faux diagnostics de cancers…..
Enfin j’en profite ici pour rappeler une fois de plus qu’il existe une cure de désintoxication cellulaire de 60 ans d’âge qui règle de très nombreuses maladies, dont le cancer, et certaines maladies classées orphelines, en quelques mois, c’est la CURE GERSON accompagnée des lavements au café, que j’ai dévoilée en France il y a 4 ans et que j’ai expliquée en détail dans un livret édité par Guy Trédaniel.
C’est une prise en main personnelle assez contraignante, mais les Docteur Gerson et Kelley qui ont sauvé des milliers de personnes promettaient un sauvetage de près de 40% des patients en phase terminale du cancer. Alors avant de vous laisser découper en morceaux, brûler ou chimiquer, renseignez vous d’abord en dehors du menu unique qu’on vous impose, c’est votre droit le plus absolu, et ensuite…..C’est vous qui voyez... Au moins, maintenant, vous êtes informés.
Michel Dogna
Je me suis guérie d'un cancer de la gorge à l'automne 2005 grâce à la cure Breuss, et je viens de me sortir d'un cancer du colon descendant par la cure de Gerson et Kelley, échappant ainsi aux opérations et chimio et autres joyeusetés que la machine allopathique me proposait....!!!!
On pourrait en parler comme preuve irréfutable, une fois pour toutes, de la tromperie de l'industrie conventionnelle du cancer. Non seulement la chimiothérapie, qui est la méthode standard de traitement du cancer aujourd'hui, est, selon l'étude un fiasco total, mais elle est au complet détriment du malade cancéreux. Publiées dans le journal Nature Medicine, les choquantes découvertes qui, sans surprise, ont été ignorées de la communauté scientifique dominante, éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie obligent les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.