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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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13 avril 2020

La physique moderne et mystique de l’univers se confondent

 

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Pour commencer prenant l'alchimie  qui nous donna la chimie la science vient des sciences occultes le transfère de technologie c'est fait de l'astral vers la terre par des entités que certains scientifique aiment appeller extraterrestres mais il n'en est rien .la science c'est de la magie.

La physique moderne a aujourd’hui franchi de grands pas et est à la veille de rejoindre l’explication mystique de l’univers. Tous les grands noms de la physique et leurs découvertes nous interpellent dans ce sens.
L’effet EPR 1935 : en tentant de réfuter la mécanique quantique, Einstein, Podolsky et Rosen obtinrent l’effet contraire. Einstein s’est vu dans l’obligation de réfuter le résultat auquel il était parvenu, sinon, il aurait été obligé de reconnaître l’existence de la télépathie.
Le théorème de Bell donne la preuve mathématique que toutes les parties de l’univers sont en communication quasi instantanée : vitesse supraluminique.
En 1972 Clauser et Stuard Friedman démontrent une fois encore l’effet EPR (Berkeley, Californie).
Les prévisions de la physique quantique se trouvent toujours vérifiées.
L'hypothèse du bootstrap de Chew : l’ensemble des particules s’auto génèrent et chaque particule aide les autres qui la créent elle-même.
Sarfati, avec sa théorie psy supraluminique, affirme que mystique et physique se confondent.


Tout cela concourt à affirmer que la réalité est une approximation qui implique un espace multidimensionnel.
Jean Charon a déjà habitué le chercheur et le lecteur occidental à un univers à huit dimensions. Les trois dimensions de l’espace et celle du temps sont associées par lui, aux quatre dimensions spirituelles qui sont : la connaissance, l’amour, l’intellection et l’acte d’intellection. L’acte d’intellection est cité par Charon en lieu et place du cœur, organe sensible à l’intellection, qu’il ignore. Le chemin qui l’a mené à de telles conclusions me semble tout à fait clair.

Coran : 69, 13 à18 : "Le ciel (l'intellect) se fendra (lors de l'expérience unitive) et sera béant ce jour-là. Les Anges se tiendront sur ses confins, tandis que ce jour là huit d’entre eux porteront le Trône de ton Seigneur". A une question lui demandant l’explication de cette sourate le prophète Mohamed a répondu : "Les Anges qui portent le Trône sont quatre les jours ordinaires, ils sont huit le jour de la résurrection.".

La sourate du Figuier, Coran 95 commence ainsi :
"Par le figuier et l’olivier !
Par le Mont Sinaï !
Par cette cité de la sécurité ! …"
Les textes rédigés dans les premières décennies qui ont suivi la mort du prophète en donnent l’exégèse suivante : Par l’arbre de la connaissance et par l’arbre de l’amour ! Par l’intellection quand elle prend de la hauteur ! Par le cœur, lieu de l’assurance, de la sûreté, et de la justesse de l’intellection !


Dans son exégèse du Coran tome II page 825, Ibn ‘Arabi, mort en 1240 de l'ère chrétienne, développe une explication proche. Les gnostiques de l’Islam comprennent tous cette sourate de manière comparable et adoptent globalement cette exégèse.

Jean Charon continue son explication et nous dit que si nous voulons comprendre la réalité totale, il faut imaginer une feuille de papier; d’un coté nous avons les protons qui sont le monde matériel, formel et sensible dans ses quatre dimensions, et de l’autre les électrons, dans l'univers informel aux quatre dimensions spirituelles. L’univers matériel se trouve d’un côté de la feuille, l’univers spirituel de l’autre.

Par ailleurs, nous ne le suivrons pas dans l’explication qu’il donne à l’identité et à la singularité d’une individualité. La raison en est simple et se trouve dans les écrits même de Charon. Il nous montre, raisonnement de physicien expert à l’appui, comment il voit l’électron être une sorte d’ordinateur d’une capacité inouïe. Il suffit de pousser à l’extrême cette affirmation qui est plus que vraie, et nous pourrons affirmer que chaque électron contient l’ensemble de l’information de l’univers et que rien ne lui échappe; tout y est enregistré. C’est l’Imâm el Moubine, Coran 36, 12.

Si l’on associe ce qui vient d’être dit à l’hypothèse du bootstrap, on se rend compte que l’électron, totalisateur de ce qui est dans la connaissance divine, est éternel isolément comme unité et collectivement comme ensemble.

Imaginons un C.D qui contiendrait l’ensemble de ce qui est dans la connaissance divine, et supposons que chaque point de ce C.D l’englobe également dans sa totalité. L’électron, ce point reproduit en nombre infini dans le C.D total, est ainsi la copie à chaque fois répétée de tout l’univers créé, visible et invisible à nos sens usuels.

Sadra Shirâzi, théosophe iranien mort en 1640 écrit : "Chaque substance d’entre les substances des humains, Jawâhir el Adamiyn, est dans l’au-delà (l’autre coté de la feuille de Charon) un univers complet par soi même, aussi complet que ce monde-ci pris dans sa totalité sans qu’il y ait ni gêne ni compression entre l’un de ces mondes et un autre. Chacun de ces univers a la vastitude des cieux et de la terre, sans interpénétration ni compression ni contact… Ces jawâhirs n’ont pas de substrat matériel, que l’on fasse de ce substrat une faculté céleste ou que l’on en fasse notre propre faculté imaginative."

"Chaque être humain est un univers complet en soi; et parce qu’il est une totalité, cet univers, son monde, n’est donc nullement une simple unité parmi les unités d’une série de même espèce, avec lesquels seulement il constituerait un univers complet et unique. Et nonobstant que cet univers soit à chaque fois complet et unique, tout ce qu’il veut et désire, présence humaine ou autre, lui est présent avec la rapidité d’un clin d’œil ou d’un battement de cœur.".

Corbin, le traducteur, fait ce commentaire : "Il ne faut pas se représenter que la totalité spirituelle est faite de l’addition des parties comme si chacune d’elles était incomplète sans les autres. Ou plutôt, il n’y a pas de partie. Le tout est dans le chaque. La conception de l’unité ne sera donc pas celle d’une oecuménie totalisant les unités; c’est chaque unité qui totalise en elle-même le tout; chaque unité est œcuménique".

Ainsi, dans chaque électron pris séparément, il y a l’univers dans sa totalité et nous avec. Comme dans un moteur de recherche, il suffit de nous brancher sur un ou plusieurs sites et adresses E.mail pour être immédiatement en présence de l’objet désiré, en le voulant simplement sans qu’il y ait besoin de quelque clavier que ce soit. Chaque créature, chaque créé quel qu’il soit, possède un nom qui le caractérise. C’est son nom et c’est son site. Tous ces noms ne sont autres que des Attributs divins; ils sont tous en relations et connections dans cet Imâm el Moubine qui totalise le tout. Ibn ‘Arabi, dans les "el Futûhat el Makiya", soutient : "Chaque réalité (créature, espèce ou genre) a un nom qui lui est propre. Ce nom est le Seigneur de cette réalité, et cette réalité louange son Seigneur qui est Lui, chargé de son affaire (ou d’elle)". Ainsi nous n’avons nul besoin des milliards d’électrons dont nous parle Charon pour définir l’identité d’un individu dans toute la particularité et la singularité qui le caractérise, un seul électron suffit. Les noms de Seigneurs y sont placés selon un ordre pyramidal ascendant. La créature qui a un nom de Seigneur placé à une certaine hauteur dans l’échelle des attributs, englobe et contient toute créature dont le nom de Seigneur se trouve placé plus bas que le sien. Ceci nous permet de tirer une conclusion de la plus haute importance : l’âme n’a nullement besoin d’être rattachée à quelque corps céleste, matériel ou autre que ce soit. L’âme est elle-même sa propre manifestation et la manifestation de toutes autres formes, car ces dernières lui sont intérieures. Cette présence et cette manifestation sont la clef d’une notion que l’on appelle la perception imaginative, perception des gnostiques à l’état de veille ou à l’état de songe entre veille et sommeil.

Le proton reçoit de la part d’Ibn ‘Arabi une description plus lyrique. Il est le "palmier", l'Imâm féminin, complément de la réalité duelle : Imâm Féminin-Imâm Masculin. Le cheikh le célèbre ainsi : "Ô ma sœur ! Ou plutôt ma tante, tu es l’Imâm féminin dont le secret est pourtant inconnu de nous. Les fils regardent vers toi, Ô sœur de leur père […] tu es l’Imâm féminin et l’Imâm est ton frère.". Cet Imâm féminin dit le cheikh est : "comme un anneau égaré dans un désert, halaqa fi foulât." Il en donne comme description : un court et oblong tronc de palmier. Je dirai plutôt, un œuf à carapace noire ressemblant à celle d’une tortue.

L’Imâm el Moubine est dans l’univers spirituel et a une fonction intellective. Lorsque l’intellection parvient à son complément féminin placé dans l’univers matériel, ce dernier la stocke, sa fonction est cognitive. Le transfert est opération de l’esprit, seule et unique émanation de l’électron.

Le photon avec ses trajectoires et son spin, et le trou noir reçoivent de la part du cheikh, la description suivante : "Le noir d’où jaillit l’esprit qui détient la connaissance grâce aux coureurs, aux porteurs, aux encerclants est le Noir du Mystère, car n’apparaît pas ce qui est en son intérieur. Chaque fois que nous les gnostiques visionnaires nous apercevons quelque chose, il provient de ce Noir qui est comme un miroir pour Dieu. Dieu s’épiphanise à ce noir et il s’y impressionne tout ce qui est dans la connaissance divine." : Ibn ‘Arabi, el Futûhat el Mecquia tome 6, ch. 271, p 241.

Il est triste de constater que de nos jours, le sacré a besoin d’une sorte de caution scientifique pour convaincre les tièdes et désarçonner les septiques. Pour capter l’attention de ceux qui érigent le matérialisme en dogme incontournable, la physique moderne, seule, ouvre un champ commun à l’échange de connaissances.

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3 septembre 2013

La NASA admet l’Initiative Moteur Alcubierre : la possibilité du voyage à la vitesse de la lumière

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» Voyager plus vite que la lumière a toujours été attribuée à la science-fiction, mais tout a changé lorsque Harold White et son équipe de la NASA ont commencé à travailler et peaufiner le moteur Alcubierre. La relativité restreinte peut être vraie, mais pour aller plus vite ou à la vitesse de la lumière, nous pourrions ne pas avoir besoin d’un engin qui peut se déplacer à cette vitesse. La solution pourrait être de placer un engin dans un espace qui se déplace plus vite que la vitesse de la lumière ! Par conséquent, l’engin lui-même n’a pas à se déplacer à la vitesse de la lumière à partir de son propre type de système de propulsion.

 C’est plus facile à penser si vous pensez en termes d’un escalator à plat dans un aéroport. L’escalator se déplace plus vite que vous marchez ! Dans ce cas, l’espace entourant le navire se déplacerait plus rapidement que le navire pourait voler, en gardant toute la matière du bateau intact. Par conséquent, nous pouvons aller plus vite que la lumière, dans un nuage de masse nulle de l’espace-temps.

 Qu’est-ce que le lecteur Alcubierre ? Il est en fait basé sur des équations de champ Einstein, il suggère qu’un vaisseau spatial pourrait arriver à voyager plus vite que la lumière. Plutôt que de se dépasser à la vitesse de la lumière seul dans un engin, un vaisseau spatial sauterait de longues distances en contractant l’espace en face de lui et en lui redonnant son expansion derrière lui. Il en résulterait un voyage plus vite que la lumière (1). Le physicien Miguel Alcubierre a été le premier que nous connaissons à identifier cette possibilité. Il l’a décrit comme une sorte de manipulation sur une partie plane de l’espace-temps à l’intérieur d’une bulle de distorsion qui a été faite pour se déplacer à vitesse « superluminale » (plus rapide que la lumière). Nous ne devons pas oublier que l’espace-temps peut être déformé et faussé, il peut être déplacé. Mais qu’en est-il des sections de l’espace-temps qui sont créés en élargissant l’espace-temps derrière le navire, et en contractant l’espace-temps à l’avant du navire en mouvement ?

 Ce type de concept a été récemment illustré par les mathématiciens James Hill et Barry Cox à l’Université d’Adélaïde. Ils ont publié un article dans la revue Proceedings of the Royal Society A : sciences mathématiques et physiques (3).

On croyait autrefois que la théorie d’Einstein sur la relativité restreinte signifiait que le voyage plus vite que la lumière n’était tout simplement pas possible. C’est une idée fausse, la relativité restreinte indique simplement que la distance parcourue dépend de la vitesse à laquelle vous vous déplacez et depuis combien de temps vous vous déplacez. Donc, si vous roulez à 70 mph vous aurez couvert 70 miles en une heure. La partie déroutante, c’est que, peu importe à quelle vitesse vous vous déplacez vous verrez toujours la vitesse de la lumière comme étant la même. C’est similaire au son, si vous fermez les yeux et imaginez que le seul sens que vous avez est l’audition, vous identifierez les choses par la façon dont ils sonnent. Donc, si une voiture roule à une vitesse rapide et klaxonne, nous savons que le klaxon sonne toujours sur même ton, c’est juste le mouvement de la voiture qui a fait paraître qu’il peut changer, (qu’il sonne différemment).

 La relativité restreinte nous a aussi montré que les atomes et les molécules qui composent la matière sont reliés par des champs électromagnétiques, les mêmes choses qui composent la lumière. L’objet qui briserait la barrière de la vitesse de la lumière est constitué de la même étoffe que la barrière elle-même. Comment un objet pourrait voyager plus rapidement que ce qui lie ses atomes ? Il s’agissait de la barrière.

 Le seul problème avec notre science moderne est que de créer des distorsions dans l’espace-temps nécessitent des densités d’énergie qui ne sont pas encore possibles pour l’homme, ou c’est ce qu’ils disent. Les scientifiques de la NASA travaillent actuellement sur un modèle de peaufinage d’Alcubierre.

Voyager plus vite que la lumière, aussi connu comme l’hyper-espace ou un moteur « Warp » d’après ce qu’en savent les gens est actuellement à coup sûr au niveau de la spéculation. Bien qu’il y ait déjà beaucoup de preuves qui montrent que c’est possible et a déjà été accompli, la science traditionnelle est toujours en train de le rattraper. Nous en sommes au point en ce moment où voyager plus vite que la lumière est encore théorique, mais c’est possible.

 Dans le même temps, nous devons nous pencher sur d’autres facteurs qui tiennent maintenant à la lumière. Comme l’ancien astronaute de la NASA et professeur de physique de Princeton,  le Dr Brian O’Leary l’illustre. Ce sujet a récemment eu une autre explosion médiatique et le Congrès a récemment discuté et examiné l’existence d’une Terre comme la nôtre dans les planètes récemment trouvées par le télescope Kepler. Trois « super-Terres » pour être exact, qui sont assez probablement grouillantes de vie (4). En outre, les anciens membres du Congrès et les femmes ont récemment participé à une audition citoyenne sur le sujet des ovnis il y a quelques semaines. Vous pouvez en lire plus à ce sujet ici. J’ai utilisé cette vidéo dans de nombreux articles avant, mais c’est juste un super clip lorsque le Dr O’Leary était encore avec nous.  »

 

 

 Les Ovnis et la technologie derrière eux ne devraient pas faire l’objet de spéculations. Les chances sont que nous avons récupéré une partie de cette technologie, ou fabriqués certains nous-mêmes. Une partie de notre science ne peut pas être si théorique après tout.

 » Nous avons maintenant la technologie pour ramener ET à la maison  »

le but de ces technologies la création de colonie , évidemment pas pour du tourisme .

les films comme stra trek et la guerre des étoiles ne sont que du conditionnement ,tout le cinéma n'est que du conditionnement et de la magie .

"vous savez la magie vaudou on prend une représentation d'une personne et on dirige le sort vers cette personne lorsque on vous montre le monde en guerre avec des cataclysmes çà reste une forme de sort jeté sur le monde pour que de tels évènements se réalisent  .de la magie à grande echelle avec la participation de tous les spectateurs en plus ...arrêtons de parler des ficelles que l'on nous tend ,essayant plutôt de nous libérer de ces marionnettistes  " Rjames

 

Ben Rich – par Arjun: http://www.collective-evolution.com/2013/05/28/nasa-admits-they-are-working-to-travel-faster-than-the-speed-of-light/

Sources : http://ntrs.nasa.gov/archive/nasa/casi.ntrs.nasa.gov/20110015936_2011016932.pdf

21 septembre 2012

Einstein n'a pas découvert de théories, il se les est simplement appropriées.

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Einstein, c'était juste un imposteur qui a plagié les travaux de Poincarré (la relativité c'était  lui) et qui a contribué  à la ruine de l'authentique génie Nicolas Tesla, decouvreur d'une énergie gratuite non polluante.
D'ailleurs, si les inventions de Tesla avaient étés démocratisées, le projet d'empire énergétique sioniste n'aurait jamais pu voir le jour. les travaux d'Einstein s'inscrivent donc dans la continuité de ce projet.

Toutes ses belles citations qui fleurissent un peu partout (et qu'il a sans doute répétées tel un perroquet ) ne sauraient nous faire oublier que son influence a été l'une des plus néfastes que le genre humain ait eu à subir.
Des millions d'être humains meurent chaque année à cause de la pollution générée par les moteurs à combustions voir celle des centrales nucléaires, même la biosphère de notre planète en paye le prix fort.

Apparemment le jeu en vaut la chandelle et quand les goyim devront les implorer les sionistes pour obtenir un peu de pétrole ou de gaz, ces derniers auront sûrement une pensée émue pour l'un des plus grands charlatans que le monde ait jamais connu.



Video : Einstein a plagié Poincarré : />  Un article paru dans la revue Nexus :

Les défenseurs d'Einstein (1879-1955), ont agi d'une manière qui apparaît comme une falsification de l'histoire. Celui qui a été déclaré "L'Homme du Siècle" par Time Magazine a écrit un long traité sur la relativité restreinte ("Sur l'électrodynamique des Corps en Mouvement"), sans citer aucune référence. Avant qu'Einstein n'écrive ce fameux traité, beaucoup des idées présentées étaient connues de Lorentz (par exemple, la transformation de Lorentz) et de Poincaré.

C'est assez typique chez Einstein. Il n'a pas découvert de théories, il se les est simplement appropriées. Il a puisé un ensemble de connaissances existantes, il a cueilli et choisi les idées qui lui plaisaient et les a entremêlées ensemble pour fabriquer un conte sur sa contribution à la relativité restreinte. Ceci a été fait avec la connaissance pleine et entière et le consentement de ses pairs, et notamment des éditeurs des Annalen der Physik.
et de conspiration du silence; c'est en restant simplement spectateurs qu'ils ont permis la mise en place d'une hyperinflation de la réputation d'Einstein. Ce silence a bénéficié à tous les supporters d'Einstein.

Einstein, le Plagiaire

C'est maintenant le moment de dire carrément ce que fut Einstein : d'abord et surtout, il a été un plagiaire. Il n'a eu aucun scrupule de voler le travail des autres et de le publier comme si c'était le sien. Il semble évident que cela a été fait délibérément.

Prenez ce passage de Ronald W. Clark dans Einstein: The Life and Times (on n'y trouve aucune référence à Poincaré, juste quelques renvois mineurs). On y lit page 101: "Sur l'électrodynamique des Corps en Mouvement" ...est sous bien des aspects l'un des plus remarquables papiers scientifiques qui ait jamais été publié. Même dans sa forme et dans son style, il est inhabituel, avec l'absence de notes et de références qui donnent du poids aux plus sérieux développements" ...(!)

Pourquoi Einstein, avec son expérience de spécialiste de brevets, n'aurait-il pas éprouvé le besoin de citer des références dans son article sur la relativité ?  On aurait pu penser qu'Einstein, un néophyte, aurait surréférencé plutôt que sousréférencé.

N'aurait-on pas pu également attendre un meilleur sérieux de la part d'un éditeur placé devant un long manuscrit qui, de toute évidence, n'avait pas été contrôlé ? Apparemment, il n'y a eu aucune recherche de contrôle de qualité quand il a été publié dans les Annalen der Physik. Des éditeurs plus compétents auraient rejeté le papier sans même l'avoir lu. Au grand minimum, on aurait pu attendre de l'éditeur qu'il fasse une recherche dans la littérature existante pour déterminer si la prétention d'Einstein à la nouveauté était justifiée. 

Max Born a déclaré : "Le point qui choque est qu'il ne contient pas la moindre référence à la littérature antérieure" (Born, 1956). Il  indique clairement que l'absence de références est anormal et que, même avec les habitudes du début du 20ème siècle, ceci est des plus bizarres, on peut même dire non professionnel.

Einstein a biaisé et entortillé les choses pour éviter d'être accusé de plagiat, c'est transparent.

Bjerknes, en 2002, signale le passage suivant écrit par James MacKaye: "L'explication de la conduite d'Einstein est qu'il veut se cacher derrière Lorentz. Ainsi la théorie d'Einstein n'est ni le refus ni une alternative de celle de Lorentz : ça en est seulement la copie et le camouflage.  Einstein maintient continuellement que la théorie de Lorentz est bonne, et qu'il n'est en désaccord que sur son "interprétation". Il n'apparaît donc pas clairement si, dans ce cas comme dans d'autres, la théorie d' Einstein est simplement le déguisement de celle de  Lorentz, le désaccord sur l' "interprétation" étant en fait purement verbal.

Poincaré a écrit 30 livres et plus de 500 papiers sur la philosophie, les mathématiques et la physique. Einstein a écrit sur les mathématiques, la physique et la philosophie, mais prétend qu'il n'a jamais lu les contributions de Poincaré sur la physique.

Cependant, beaucoup des idées de Poincaré - par exemple, que la vitesse de la lumière est une limite et que la masse augmente avec la vitesse - refont surface dans le papier d'Einstein, "Sur l'électrodynamique des Corps en Mouvement" sans avoir été référencées.

L'attitude d'Einstein de voler la presque totalité de la littérature écrite par Lorentz et Poincaré pour écrire son document atteint le niveau du plagiat. Mais à l'âge de l'informatique cette sorte de plagiat ne peut jamais rester indéfiniment ignorée, bien que la communauté des physiciens n'en ait pas encore pris réellement conscience.

Dans son papier de 1907, Einstein exprime sa conception du plagiat : "Il m'apparaît qu'il est dans la nature des choses que ce qui suit ait déjà été partiellement solutionné par d'autres. Malgré celà, étant donné que le sujet concerné est ici traité d'un point de vue différent je me sens délié d'avoir à faire une recherche approfondie dans la littérature ..."

Avec cette déclaration, Einstein considère que le plagiat, lorsqu'il est convenablement camouflé est un acceptable outil de recherche.

Voici la définition du mot "plagier" extrait d'une source inattaquable : le Webster's New International Dictionary of the English Language, Second Edition, Unabridged, 1947, p. 1,878: "Voler ou détourner et faire passer comme étant siennes, les idées, mots, productions artistiques, etc. d'un autre; utiliser sans le signaler clairement les idées, expressions ou productions d'un autre. Commettre un plagiat". N'est-ce pas exactement ce qu'a fait Einstein ?

Reconnaître le mérite d'un autre comporte deux aspects ; dans le temps et dans la forme.  Dire 30 ans après les faits que Lorentz a établi les bases de la relativité restreinte (voir plus bas) n'est pas convenable et n'est pas une vraie reconnaissance. Rien de ce que Einstein a pu écrire, bien après coup, sur les contributions de Lorentz ne peut effacer la réalité du plagiat.

La vraie nature du plagiat d'Einstein apparaît dans son papier de 1935,  "Elementary Derivation of the Equivalence of Mass and Energy", où dans une discussion sur Maxwell il écrit : "La question est de savoir si l'indépendance de ces relations est naturelle, parce que la transformation de Lorentz, la véritable base de la théorie de la relativité restreinte...

Ainsi, Einstein avoue que la transformation de Lorentz était la véritable base de son papier de 1905.  Quiconque conserve un doute qu'il fut un plagiaire doit se poser la simple question :  "Que savait Einstein, et quand l'a-t-il su ?" Einstein a commis un plagiat prémédité, pas un plagiat accidentel qui peut toujours arriver (Moody, 2001).

 

L'histoire de  E = mc2

Qui est à l'origine du concept que la matière peut être transformée en énergie, et vice versa ? Cela remonte au moins à Sir Isaac Newton (1704).  Brown (1967) dit ce qui suit :   "Ainsi, progressivement, est apparue la formule E = mc2, suggérée sans preuves réelles par Poincaré en 1900".

Ce qui est certain, c'est qu'Einstein n'est pas l'auteur de l'équation E = mc2.

Et la question devient : "Qui est l'auteur ?"

Bjerknes (2002) a suggéré comme candidat possible S. Tolver Preston, qui " a formulé l'énergie atomique, la bombe atomique et la supra conductivité dans les années 1870, en se basant sur la formule E = mc2".

En plus de Preston, un acteur important dans l'histoire de E = mc2, qui mérite crédit, est Olinto De Pretto (1904). Ce qui rend cette date suspecte est le fait qu'Einstein parlait couramment l'italien, qu'il a revu des papiers écrits par des physiciens italiens et que son meilleur ami était Michele Besso, un Suisse italien. Il est clair qu'Einstein, en1905, aurait pu avoir accès à la littérature et qu'il pouvait la lire. Dans la phrase "la formule E = mc2 d'Einstein était une idée italienne" (Carroll, 1999), nous avons une évidence assez claire que De Pretto précédait Einstein en ce qui concerne la formule E = mc2.

En ce qui concerne la compréhension qu'une énergie considérable pouvait être dégagée d'une masse faible, Preston (1875) peut être crédité de l'avoir su avant même qu'Einstein soit né. Preston a utilisé la formule E = mc2 dans son travail, puisque la valeur qu'il a calculée - à savoir qu'un grain peut permettre de hisser un objet de 100 000 tonnes à une hauteur de 1.9 miles - satisfait à l'équation E = mc2.

Selon Ives (1952), l'exploitation qu'Einstein a tenté de faire de la formule E = mc2 était fatalement défectueuse car Einstein cherchait à prouver ce qu'il supposait. C'est la même chose pour le manque de soin avec lequel il a traité les équations de la décroissance de la radioactivité. Il en ressort qu'Einstein a mélangé cinématique et mécanique, et a éliminé le neutrino. Le neutrino peut être une particule mythique accidentellement créée par Einstein (Carezani, 1999). Nous avons deux choix pour ce qui est du neutrino : ou bien il y en a d'au moins 40 sortes, ou bien il y en a zéro.

 

L'éclipse de 1919

Il n'y a pas de plus clair exemple de fraude scientifique que celle venue des Tropiques le 29 Mai 1919. Ce qui est particulièrement clair, c'est que Eddington a falsifié les données de l'éclipse de soleil de manière à rendre les résultats conformes aux travaux d' "Einstein" sur la relativité générale. Poor (1930), Brown (1967), Clark (1984) et McCausland (2001), tous ont publié les résultats concernant cette éclipse.

Ce qui rend les expéditions à Sobral et à Principe si suspectes est le support zélé d'Eddington à Einstein, comme on peut le voir dans sa déclaration : "En faisant principalement des essais, et finalement en vérifiant la théorie ennemie, notre observatoire national a perpétué les plus belles traditions de la science ..." (Clark, 1984). Dans cette circonstance, Eddington n'était pas apparemment familier des principes de base du scientifique qui était de collecter les données et non de vérifier les théorie d'Einstein.

Une preuve supplémentaire de la fraude peut être déduite des propres déclarations d'Eddington et de la présentation qui en a été faite par Clark (ibid., p. 285): "Le 29 Mai débuta avec une forte pluie qui ne se calma seulement qu'aux environs de midi. Ce n'est pas avant 1h30 de l'après midi, alors que l'éclipse avait déjà commencé, que l'équipe put jeter son premier regard sur le soleil : Nous avions à exécuter notre programme de photographies à l'aveuglette...".   Eddington révèle son véritable préjudice : il était prêt à faire n'importe quoi pour prouver qu'Einstein avait raison. Mais Eddington n'était pas homme à se décourager : "Tout se passait comme si nos efforts, au moins pour ce qui concerne l'expédition de Principe, allaient devoir échouer";  "Nous developpâmes les photographies, deux chaque nuit pendant les six nuits suivant l'éclipse. Le temps nuageux avait contrarié mes plans et j'eus à traiter les mesures d'une manière différente de ce que j'avais prévu : en conséquence je n'avais pu faire aucune déclaration préalable du résultat" (Clark, ibid.).

En réalité, les mots d'Eddington concernant le résultat remplissent des volumes.  Dès qu'il a eu trouvé un fragment de preuve ayant quelque consistence avec la théorie de la relativité générale d'Einstein, il a immédiatement proclamé que c'était une preuve de la théorie. Est-ce cela la science ?

Où étaient les astronomes quand Eddington a présenté ses conclusions ? L'un d'entre eux a-t-il devant Eddington regardé réellement les plaques photographiques ? Poor le fit et il a complètement réfuté les conclusions d'Eddington. Cela aurait dû stopper n'importe quel scientifique honnête. 

Voici quelques citations prises dans le commentaire de Poor : "La formule mathématique avec laquelle Einstein a calculé sa déviation de 1.75 secondes des rayons lumineux passant au bord du soleil, est une formule simple et bien connue de l'optique physique";  "Il n'y a là dedans pas un seul concept fondamental de temps variable, d'espace déformé ou tordu, de simultanéité, ou de mouvement relatif qui soit de manière quelconque impliqué dans les prédictions ou les formules d'Einstein concernant la déviation de la lumière"; "On a donné une importance imaginaire aux nombreuses et minutieuses expéditions qui ont été organisées pour les éclipses. Leurs résultats ne peuvent ni prouver, ni désapprouver la théorie de la relativité"  (Poor, 1930).

Par Brown (1967), nous apprenons que Eddington n'avait pas pu attendre pour informer la communauté mondiale que la théorie d'Einstein était confirmée. Ce sur quoi Eddington se basait était un jugement prématuré des plaques photographiques. Tout d'abord, les étoiles "semblaient" se courber comme elles l'auraient dû, selon Einstein, mais  ensuite, selon Brown, l'imprévu arriva : quelques étoiles pouvaient être observées se courbant dans une direction perpendiculaire à celle prévue tandis que d'autres se courbaient même dans la direction opposée à celle prévue par la relativité.

L'absurdité des données collectées durant l'éclipse de 1919 fut démontrée par Poor (1930), qui attira l'attention sur le fait que 85% des données de l'éclipse Sud-Américaine avaient été éliminées au motif "d'erreurs accidentelles", c'est à dire contraires à Einstein. Par une étrange coïncidence les 15 % de bons résultats satisfaisaient aux lois d'Einstein.  En quelque sorte, les étoiles qui ne suivaient pas les lois d'Einstein étaient commodément mises hors jeu temporairement - et c'est ainsi que débuta le mythe.

C'est ainsi que, sur la base d'une poignée de données ambigües, 200 ans de théories, d'expérimentation et d'observations ont été mises au panier pour faire place à Einstein. Encore maintenant, les expériences discréditées d'Eddington sont toujours considérées comme l'Evangile pour Stephen Hawking (1999). On peut difficilement comprendre comment Hawking peut affirmer que " La nouvelle théorie de l'espace-temps courbe appelée relativité générale a été confirmée de manière éclatante en 1919, lorsqu'une expédition britannique en Afrique de l'Ouest a observé lors d'une éclipse un léger glissement dans la position des étoiles près du soleil. Leur lumière, comme Einstein l'avait prédit, fut incurvée lorsqu'elles passèrent derrière le soleil. Ce fut une preuve directe que l'espace et le temps se déforment". Hawking croit-il honnêtement qu'une poignée de données, plus soigneusement triturées que le flanc d'un boeuf de Kobé, peut constituer une base pour jeter par dessus bord un paradigme qui a survécu à deux siècles d'examens minutieux ?  

La véritable question, cependant, est : "Où était Einstein dans tout cela ?".  Au moment où il a écrit son papier de 1935 il avait sûrement connaissance du travail de Poor :  "Les réels déplacements d'étoiles, s'ils sont confirmés, n'ont pas la plus petite ressemblance avec les déviations prédites par Einstein :  ils ne sont conformes ni pour la direction, ni la taille, ni le taux de décroissance en fonction de leur distance au soleil". Pourquoi ne les a-t-il pas mentionnés et émis un papier sur ce qui contredisait complètement son travail ? Pourquoi les partisans d'Einstein n'ont-ils pas essayé de rectifier les fausses données de 1919 ?

Ce qui les rend si prudents est le fait que, à la fois les instruments et les conditions matérielles, ne permettent pas d'effectuer des mesures de grande précision. Ainsi que le British Institute of Precise Physics  l'a signalé dans un article Internet paru en 2002, les instruments de visées utilisés dans les expéditions n'étaient précis qu'à seulement 1/25ème de degré. Ceci pour les seuls instruments de visées, alors qu'Eddington prétendait lire des valeurs plus de 200 fois plus précises...

McCausland, en 2001, cite le précédent éditeur de Nature, Sir John Maddox: "Ils  [Crommelin and Eddington] étaient résolus à mesurer la déviation de la lumière";  "Ce qui n'est pas très connu, c'est que les mesures faites en 1919 n'étaient pas particulièrement précises ";  "En dépit du fait que les preuves expérimentales en faveur de la relativité semblent avoir été tout à fait fragiles en 1919, la renommée énorme d'Einstein est demeurée intacte et sa théorie a dès lors été tenue comme étant l'un des plus grands succès de la pensée humaine" 

Il est clair, d'après le contexte, que Eddington n'était en aucune façon intéressé à tester la théorie d'Einstein; il ne voulait que la confirmer.   L'un des facteurs qui a motivé Eddigton dans sa décision de promouvoir Einstein a été que tous deux partageaient une même vision politique : le pacifisme. Pour suggérer que la politique n'a tenu aucun rôle dans son chaleureux support d'Einstein, il suffit de poser une question: "Eddington aurait-il été si attentif pour supporter Einstein, si Einstein avait été un faucon ?  Ceci n'est pas une question innocente. Eddington a tenu très sérieusement son rôle de grand faiseur de paix. Il voulait rassembler les scientifiques Britanniques et Allemands après la première guerre mondiale. Quoi de mieux que d'élever l'"ennemi" théoricien Einstein à un statut élevé ? Dans son zèle de faiseur de paix, Eddington a perdu l'objectivité fondamentale qui est la conduite essentielle de tout vrai scientifique. Eddington a cessé d'être un scientifique et, à la place, est devenu un avocat d'Einstein.

La falsification évidente des données par Eddington et consorts est une subversion éhontée du progrès scientifique et peut avoir égaré la recherche scientifique pour une bonne part du siècle. Elle dépasse probablement l'Homme de Piltdown comme étant le plus grand canular de la science du 20ème siècle. On peut poser la question : "Quel a été le canular du siècle ?" et répondre "C'est le rapport de l'éclipse de 1919 de la Royal Society qui a dupé le monde pendant 80 ans!"  McCausland déclare que "Dans son opinion, l'annonce outrecuidante de la confirmation décisive de la théorie de la relativité générale d'Einstein en Novembre 1919 ne fut pas un moment glorieux pour la science, comme on la présente généralement, mais l'un des plus graves accidents dans l'histoire de la science du 20ème siècle."

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