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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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3 décembre 2020

(Doc) [VF]Une fille russe aux yeux à rayon X étonne les scientifiques .

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août 2013 | Publié dans: Clairvoyance

(Source :sott  Wikipédia et The Sun)

Une fille russe aux yeux à rayon X étonne les scientifiques japonais avec son étonnant don ! Des scientifiques anglais et japonais ont reconnu que la fille possédait une capacité stupéfiante de voir au travers des gens.

Natasha Demkina, 17 ans, originaire de la ville de  Saransk en Russie, s’est fait connaître pour sa capacité stupéfiante de voir au travers des gens et de diagnostiquer les maladies.

Des scientifiques se sont intéressés à elle, et l’ont invité à Londres pour se prêter à des expériences scientifiques. Les chercheurs britanniques ont reconnu à l’unanimité le don remarquable de Natasha, bien que les scientifiques américain ont hésité à en venir à une telle conclusion. Ils n’ont pas apprécié le fait que la fille ait diagnostiqué avec succès seulement 4 patients sur 7.

Natasha Demkina a récemment passé une épreuve similaire à Tokyo, où les scientifiques japonais ont confirmé le don de la jeune fille.

« Cela me prend trop de temps d’expliquer et de détaille tout ce que je vois. Parfois je peux voir les maladies à un stade précoce, quand ni les patients ni leurs docteurs n’ont la moindre idée de leur présence. C’est pourquoi nous avons eu des problèmes avec les scientifiques américains,” a dit Natasha.

Durant l’épreuve au Japon, Natasha a pu voir que l’un des patients avait un genou prothétique. Un autre patient avait des organes internes placés asymétriquement (situs inversus). Natasha a facilement diagnostiqué les premiers stades de la grossesse et a même vu une pathologie dans le foetus d’une femme. Elle a diagnostiqué une courbure rachidienne ondulée rare chez un patient masculin.

Quand les docteurs japonais ont comparé le dessin de Natasha à la courbure de la photographie aux rayons X, ils purent constater que la photo et le dessin étaient absolument identiques. Quand Natasha avait terminé avec les sept patients, les docteurs japonais n’ont pas pu s’empêcher de l’applaudir. Cependant, ce n’était que la première étape des tests.

On demanda à Natasha Demkina de diagnostiquer la maladie d’un rottweiler âgé. La fille a eu peur de s’approcher de l’animal sans muselière, mais le docteur lui a dit qu’elle devait regarder les pattes du chien. Cinq minutes plus tard la fille a pointé la jambe arrière droite, dans laquelle elle voyait une prothèse. Les scientifiques japonais n’ont pas cru la gille, quand elle leur a dit qu’elle pouvait aussi voir les maladies sur les photographies des gens. Quand on lui présenta une petite image de type « passeport » de quelqu’un, elle a rapidement diagnostiqué un cancer du foie.

La jeune fille a la vue rayon X en Russie embarrasse des médecins 

Selon l’agence de presse russe Pravda, Natasha Demkina, une jeune fille de 16 ans, a réalisé plusieurs diagnostics sans rayons X ou échographies sans faire d’erreurs.

« Quand elle grandissait, ma fille était juste une enfant ordinaire, » a dit sa mère, Tatyana Vladimirovna. « Peut-être qu’elle était juste un peu plus mature que les autres enfants de son âge. A un an, elle pouvait réciter Pouchkine et Nekrassov par cœur. A trois ans, elle maîtrisait l’alphabet et a appris à conduire une motoneige. Elle n’a jamais été capable de voir au travers des humains !« .

Mais la vie de Demkina changea après avoir eu l’appendicite et que les docteurs ont laissé des coton-tiges dans son ventre. Un mois après le retrait des coton-tiges dans la seconde opération, elle a commencé à avoir cette « vision aux rayons X ».

« Je voyais un tube plissé comme pour les aspirateurs à l’intérieur de toi, » a-t-elle dit à sa mère. « Je voyais aussi deux haricots et une tomate qui ressemblait à une tomate coeur-de-boeuf. »

Elle ne connaissait pas les mots pour intestins, reins, et coeur.

Au début les docteurs refusaient d’accepter ses visions, mais des tests exhaustifs n’ont pas pu réfuter ses allégations. Elle a dessiné l’image de l’estomac d’un docteur en indiquant un point sombre où se trouvait précisément un ulcère.

Quand on lui présenta un patient souffrant de multiples maux, Demkina les identifia tous, y compris les détails qui échappaient aux échographies. Elle n’était pas d’accord avec les médecins qui avaient diagnostiqué un cancer chez une autre femme. On lui donna raison.

Selon le Dr Irina Kachan, qui conduisit des tests sur Demkina chez elle à Saransk, à environ 640 km à l’ouest de Moscou : « Je reconnais que cette fille a des capacités inhabituelles. »

« Elle est comme un scanner à rayons X humain, » a ajouté un autre docteur. « Nous étions sceptiques au début, pensant que la fille cherchait à nous ridiculiser. Mais nous ne pouvons pas expliquer de façon normale ce qu’elle voit. »

Selon Demkina : « Je n’ai rien à cacher. Je les laisse mener des expériences sur moi. Peut-être qu’ils pourront expliquer la nature de ma seconde vue. C’est comme d’avoir deux vues. Je peux changer de l’une à l’autre instantanément si je dois savoir le problème de santé d’une personne. »

« C’est difficile d’expliquer comment je détermine des maladies spécifiques. Il y a certaines impulsions que je ressens venant des organes endommagés. La seconde vue fonctionne seulement le jour et dort la nuit. »

Demkina, qui étudie désormais la médecine à l’Université d’Ogarez (Etat de Moscou), dit que la seule personne qu’elle ne peut pas sonder, c’est elle-même.

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21 février 2020

Robert johnson mediocre musicien qui devint un Génie du blues après avoir fait un pacte avec le diable

 


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sur la route du blues il rencontre le diable qui lui propose un pacte contre la célébrité son âme ......

Le 15 août 1938 à Greenwood, Mississippi, est assassiné l’inventeur du Blues Avec 29 chansons enregistrées en 2 jours, Johnson allait devenir un mythe, une légende, un Dieu de la musique pour toutes les prochaines générations. Cet extraordinaire guitariste noir a vécu dans la misère des champs de coton du Mississippi.

Robert Johnson est né le 8 mai 1911 dans le Mississippi (USA).

Il a beaucoup voyagé au cours de sa brève carrière, jouant partout où il le pouvait. Ses succès se résument aux 29 chansons qu’il a écrites et enregistrées à Dallas et San Antonio de 1936 à 1937.

Johnson a été véritablement reconnu lorsque son travail a été réédité d’abord dans les années 60, puis dans les années 90.

Mais une grande partie de la vie de Johnson est enveloppée de mystère.

Son House, un musicien de blues contemporain de Johnson, a affirmé que ce dernier était un joueur d’harmonica décent, mais un guitariste médiocre avant de disparaître quelques temps. A son retour, il était métamorphosé et était devenu un guitariste hors-pair !

La légende veut que Johnson ait pris sa guitare et se soit rendu au carrefour des autoroutes 49 et 61 (dans le Mississippi), où il aurait fait un pacte avec le diable : devenir un guitariste virtuose en échange de son âme.

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Robert Johnson, le Diable aux trousses…

Lorsqu’il revint en ville, les musiciens qui s’étaient moqués de lui par le passé voulurent savoir comment il avait fait pour acquérir un tel talent.

Et, toujours selon la légende, Johnson leur aurait répondu qu’il s’était rendu au carrefour juste avant minuit par une nuit de pleine lune. Un homme l’y attendait, et lui aurait proposé ce marché alléchant qu’il ne pouvait refuser.

Prenant la guitare de Johnson, le Diable l’aurait accordée puis aurait joué quelques notes avant de lui rendre l’instrument.

Après une carrière éclair mais flamboyante, Robert Johnson meurt en août 1938 à l’âge de 27 ans. Il aurait été empoisonné par le mari d’une femme qu’il fréquentait… De fait, il deviendra le 1er musicien du Club des 27 à mourir prématurément.

Des indices cachés dans ses chansons

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Le « Hellhound »

Plus étrange, il semble que Robert Johnson lui-même ait entretenu son mythe en parsemant ses chansons de traces ésotériques. Au moins six de ses morceaux contiennent des références au Diable ou au paranormal.

Ainsi, dans Me and the Devil Blues, il chante : « Le Diable et moi marchions côte à côte ».

Voici également un extrait troublant de sa chanson Hellhound on my trail:

« Je dois continuer de bouger, je dois continuer de bouger,
Le blues s’abat comme la grêle, Le blues s’abat comme la grêle,
Et les jours ne cessent de me préoccuper
Il y a un chien de l’enfer à mes trousses… »

A noter que le Hellhound est une créature mythologique chargée de collecter les âmes de ceux ayant pactisé avec le Diable…

http://www.out-the-box.fr/robert-johnson-le-guitariste-qui-pactisa-avec-le-diable/

3 septembre 2018

DOC Le hip-hop est une religion satanique

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afrika_bambaataaLE FONDATEUR DU hip hop A EU LE CULOT DE FAIRE FAIRE CE SIGNE A DES MILLIONS DE JEUNES ON LEUR FAISANT CROIRE QUE Cétait le signe de reconnaissance au sein de la nation ZULU comme gourou de secte il  a le profil.une autre ruse et le fameux survetement remonté au mollet code vestimentaire des jeunes qui écoutent le rap , il a été implanté par le code franc maçon pour bien montrer leur capacité à controler les masses regardez

pendu2et je parle pas du nouveaux salut avec l'épaule qui vient direct de ces loges monkey see monkey do ils l'ont bien compris.

 Pochette de disque avec le papillon du projet monarch programmation de masse en préparation

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logo-mighty-zulu-kingz-new-break-orderlogo  su site de la zulu nation no comment

Le Hip Hop n’est rien d’autre qu’une véritable organisation religieuse. C’est dans les années 70 que Kevin Donovan, plus connu sous son nom d’artiste Afrika Bambaataa, participa activement au développement de la culture et de la musique Hip Hop. Le Hic c’est qu’il fonda le Hip Hop sur la base des enseignements Zulu, et ceux de L'Égypte antique. Par la suite, il créa aussi la « Zulu Nation » pour faire connaitre le Hip Hop à travers le monde entier. Le site internet de la Zulu Nation en dit long sur la nature du Hip Hop www.zulunation.com Voici les liens vidéo du documentaire Le hip hop est une religion, documentaire dans lequel vous découvrirez beaucoup d'informations choquantes.

 







 

22 avril 2017

Les dangers occultes du YOGA et montée de la Kundalini

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Au moyen d’une ascèse extrêmement étudiée et poussée, secondée par des « stations » physiques, le yoga –par le jeu des muscles et des diverses positions des membres correspondant à certains points déterminés du corps, nommés « chakras » -conduit la sève vitale à travers la colonne vertébrale jusqu’à ce sommet du corps humain, situé en haut de la tête, appelée la « Kundallini ». La « sussuma » est le canal conducteur de ces forces sexuelles serpentant le long de la colonne vertébrale, depuis l’organe sexuel jusqu’au-dessus de la tête, jusqu’à la « Kundallini ».

L’ »uraeus » égyptien (représentation symbolique du serpent naja), le très symbolique bonnet phrygien de la République, fille de la Révolution, en fournissent une certaine image. Egalement, le caducée. Emblème de la médecine (en rouge), il est composé d’un serpent, d’un faisceau de baguettes, autour duquel le serpent s’enroule en montant, et d’un miroir, placé au sommet du faisceau, et vers lequel le serpent darde sa tête. La véritable signification de cet emblème,essentiellement ésotérique, n’est pas celle que donne le dictionnaire, mais bien celle décrite au sujet de la doctrine et technique secrète du Yoga. Le serpent, c’est le Démon, travaillant les sens, le long de la colonne vertébrale que figure le caducée (ou faisceau de baguettes centrales, qui représente un conduit) pour aboutir à la « Kundallini », figurée ici parle miroir, reflet et symbole de l’illumination qui confère la connaissance, le pouvoir, la fortune et tous les autres avantages matériels, y compris la santé. « Toi qui sondes les cœurs et les reins,Ô Dieu juste ». l’expression de l’auteur sacré montre bien qu’il s’agit non seulement du domaine spirituel et psychique : « cœurs », mais aussi de domaine physiologique : « reins ».
Là, dans cette « Kundallini », s’opère une sorte d’inversion de l’être physique et psychique, complètement révolutionné, atteignant à des états supranaturels où les sens trouvent largement leur compte, mais où l’ordre établi par Dieu dans l’être humain se trouve totalement renversé, disons inverti. Là où Dieu n’est pas, c’est Satan qui règne. Disons donc que c’est ici le jardin secret de Satan, où il introduit l’homme, initié par lui, à la connaissance du bien et du mal et achève, dans ce faux Eden, de ruiner son âme… et son corps.
Il n’y a pas de « yoga chrétien » ; c’est une gageure que de le prétendre, parce que le yoga, en soi, c’est-à-dire dans son but final, est « intrinsèquement pervers »Il est utile de noter ici, au sujet des bienfaits du yoga, ce qui suit : sans doute le yoga peut-il obtenir une certaine souplesse du corps et des membres et un certain repos libérateur, mais cela aussi se paye. Il est reconnu combien peut devenir pernicieux pour l’organisme humain, l’emmagasinement de gaz carbonique dans les poumons, par la retenue prolongée de la respiration (technique du prana-yama), base essentielle, avec les postures, de la pratique et de la doctrine du yoga. Sans compter les effets désastreux sus le système nerveux, souvent amenés par cette technique.il en résulte que le yoga, après avoir ruiné l'âme en la détournant en réalité de son vrai bien, le Dieu de Jésus-Christ, doit faire appel à la magie, aux forces préternaturelles démoniaques. En réalité le non-être fait place à celui qui a jadis promis dans le jardin de l'Éden à sa première captive ; « Vous serez comme des dieux ». Le yoga est promesse de fausse divinisation ; c'est le serpent qui vient se lover au sein de sa mystique initiatique.A ce stade, l'âme se trouve paralysée, le yoga a introduit en elle le doute sur tout ce qui porterait son intelligence vers sa fin qui est Dieu (que l'on se rappelle le doute intégral de Descartes : ce doute est en réalité un sophisme car le doute lui-même entrerait alors dans l'illusion générale). L'âme est comme fixée dans un état de négation, elle s'est mise en quelque sorte en enfer.
Par le vide, l'âme se met hors du temps, elle le transcende ; le yoga refuse le temps, car celui-ci est signe d'une divine création. La mystique chrétienne fait du temps un moyen privilégié de progression vers Dieu.
Lisons cet extrait d'un ouvrage intitulé Nuage d'inconnaissance (Cool et cité par M.C. Sadrin : « La Vie spirituelle chrétienne n'est pas l'enstase (opposée à l'extase : celle-ci est une sortie en Dieu, celle-là est une rentrée en soi) yoguique: "Rentrer au-dedans de soi ne doit pas être entendu comme un travail corporel. Ce serait là le plus court chemin vers la mort du corps et de l'âme car ce serait folie qui conduirait l'homme en démence... " (chap. 51).

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Ils (les adeptes du yoga) tournent leurs facultés dans leurs corps, contre le cours de la nature, se contraignant comme s'ils voulaient voir en dedans et par curiosité d'esprit, exténuent leur imagination si bien que ...le diable, ayant le pouvoir de provoquer illusoirement quelque fausse lumière ou des sons ou d'agréables odeurs et maintes flammes et chaleurs bizarres dans leur dos et dans leurs reins (c'est ce qui arrive dans les mouvements charismatiques), ils sont persuadés qu 'ils voient et qu 'ils ont un souvenir tranquille de leur Dieu (alors que) ce même ennemi qui leur susciterait de vaines pensées s'ils étaient en la bonne voie, (lui-même et celui-là) est le maître ouvrier et le patron de ce travail. "Et sache bien, sache-le bien, qu'il ne lui plaît pas d'arrêter le souvenir de Dieu, non, il ne le leur retire aucunement par peur de se voir suspecté" (chap. 52) » (ibid, p. 134).
DE LA FASCINATION MAGIQUE A L'INITIATION

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En réalité et dans toute sa profondeur, le yoga se révèle une mystique à base d'illumination initiatique appelée à opérer la fusion avec l'être qui se tapit sous l'appellation du grand soi, du non-être, de l'inconnaissable, de l'illimité, de l'être pur. Le yoga se fait religion, il n'est pas seulement une gymnastique du corps visant à la décontraction, une gymnastique de l'esprit appelée à faciliter l'accès au vide, il se situe au niveau de la magie, de la magie-religion ; l'adepte doit fusionner avec une entité qui ne peut être que luciférienne, afin de parvenir au sommet de toute mystique diabolique : la connaissance totale dans une prise de conscience de l'unité de l'âme avec tout l'univers (doctrine de l'immanence panthéistique), avec le dieu de la gnose, la puissance totale qui confère les pouvoirs charismatiques diaboliques (visions, locutions, lévitations, connaissance des pensées, dupasse, prophéties, guérisons, etc.), l'amour total qui assure les jouissances sexuelles avec l'esprit infernal.

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On croit alors avoir la vision de Dieu : c'est le serpent qui fascine. Il n'y a pas d'extase en Dieu puisque l'âme se trouve séparée de son Créateur et Sauveur. Comment donc se fait-il qu'après avoir plongé dans le vide, l'âme sente qu'elle se trouve au contact d'une plénitude, d'une existence infinie, immanente à tout l'univers, en possession d'une béatitude lumineuse, à tout jamais indestructible. Certes, au cours de son cheminement vers la vacuité, l'esprit a vu se renforcer certaines de ses facultés, et c'est, aidé de cette puissance qui peu à peu l'a transformé au plus profond de lui-même, qu'il est parvenu d'une part à saisir le vide de tout ce qui est, et d'autre part à s'unir à un être qui l'emplit de lui-même et qui lui assure, à la place d'une vie toute vulnérable, une autre vie toute de liberté, sans aucune altération possible. Que s'est-il donc passé ?



Il n'est de solution à cette question que dans l'initiation qui provoque la fameuse illumination, cette fausse lumière qui traverse tout l'être et le transforme en un autre être de plus en plus incapable de saisir l'amour en Dieu, et se trouvant au contraire propulsé au sein d'un monde ténébreux où il devient le jouet de Lucifer.
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Ce n'est pas parce que certaines personnes apprennent à bien respirer, à mieux se sentir en elles-mêmes, à être plus dynamiques, moins dépendantes de leurs pulsions intérieures, moins asservies à la fluidité des mouvements de la vie et donc plus maîtresses d'elles-mêmes (quoique sur ces points tout danger ne se trouve pas écarté), que le yoga doive être considéré comme une science et une sagesse propres à opérer de véritables conversions de tout leur être. Il n'y a pas de doute que le yoga (comme d'ailleurs le zen et la méditation transcendantale) n'est que peu de chose s'il n'est pas le lieu de la transmission d'une influence spirituelle diabolique, s'il n'est pas le lieu d'un véritable ensemble initiatique. Le yoga est proprement initiatique parce qu'il présente les trois caractères essentiels de l'initiation luciférienne : la présence agissante d'un maître (9), une prière spéciale, le tout suivi d'une efficacité qui révèle la puissance d'un esprit supérieur, lequel se sert et du maître et de la prière adaptée à la situation dans laquelle se trouve l'âme captive.

Le mantram est cette courte formule secrète que le maître com­munique de bouche à oreille dans l'intimité d'une cérémonie initiati­que destinée à faire de vous le prolongement de lui-même: celui auquel il cède, en même temps que son souffle (le mantram), une partie de son pouvoir.

Désormais, le mantram vous donnera droit à l'accès dam ses trésors spirituels, puisque prolongement de son organisme, vous serez toujours, par un lien invisible mais bien réel, rattaché subtilement à lui pour le meilleur et pour le pire ».

Où se trouve en tout cela le but recherché par des adeptes igno­rants des sciences occultes : respirer, se détendre, assouplir ses muscles, mieux diriger ses forces vitales etc.. ? Justement l'un sert à l'autre : le mieux-être du corps sert de moyen et de prétexte à une action redoutable sur l'esprit et sur l'âme.

Que voyons-nous en effet dans le passage précité ? Un maître que l'on traduit par gourou: le terme ici employé est à prendre au sens fort, il s'agit de quelqu'un qui veut se rendre maître de l'âme appelée à lui être asservie, qui veut « posséder » cette âme. Que fait-il pour cela ? Il souffle tout bas une certaine « formule secrète » appelée mantram, absolument personnelle à chacun, et qui est chargée d'une influence telle qu'elle véhicule une partie du « pouvoir » du yogi.

Qu'est donc ce pouvoir ? Il est le résultat de l'efficacité d'une initiation supérieure, une participation à la puissance diabolique en échange d'une livraison de l'âme. On sait bien que Satan n'aurait pas un succès aussi énorme s'il n'appâtait pas ses victimes (pensons à sa première grande séduction au jardin de l'Éden : « vos yeux s'ouvriront et vous serez comme des dieux qui connaissent le bien et le mal... ». Or, le grand appât, c'est ce que l'on appelle « les pouvoirs sur le monde » (le charismatisme actuel donne bien une idée de ces pouvoirs). Ces pouvoirs sont nombreux, nous l'avons vu plus haut, mais il en est un qui séduit ceux qui veulent dominer, leurs semblables : le pouvoir d'asservir (pensons à Hitler etc.). Le yogi, digne de ce nom, a ce pouvoir-là.

Richard Bergeron écrit de son côté dans son ouvrage intitulé Le Cortège des fous de Dieu (Éd. Paulines) : « Ce qui caractérise le yoga, ce n'est pas seulement son côté pratique, c'est aussi sa structure initiatique. On n'apprend pas le yoga tout seul, on s'y fait initier par un maître. Guidé par son gourou, le yogi s'applique à dépasser successivement les comportements et les valeurs propres à la condition humaine. Il s'efforce de "mourir à cette vie" et c'est ici qu'on voit la structure initiatique du yoga. Nous assistons à une mort suivie d'une renaissance ( ?) à un autre mode d'être ( ?) : celui qui est représenté par la délivrance, par l'accès à un mode d'être non profane ( ?) et difficilement descriptible, que les écoles indiennes expriment sous des noms différents... » (p. 107).



Dans le numéro du 27 mai 1977, Paris-Match publiait un article intitulé : « ... ce qu'il faut savoir de ces techniques (orientales) pour se sentir mieux dans sa peau ». A propos du zen, technique de même inspiration que le yoga, l'auteur disait sans ambages: « Celui qui médite, assis sur un coussin dans la position du lotus (à noter qu'une telle posture est exactement l'inverse de l'attitude d'adoration à genoux, qui ramasse l'être sur lui-même pour la concentration guidée par la foi en Dieu), ... se concentre sur sa respiration, sur le vide, sur un 'Koan ', sorte de paradoxe choisi par le maître du type: ' 'Lorsqu 'on frappe dans ses mains, cela produit un son. Quel est le son d'une seule main (on remarquera le "vide" d'une telle question) ?". La pratique du zazen permet d'entrer dans le "samadhi", très profond état de concentration où l'on n'a plus conscience de soi, ni de l'univers, et surtout ( ?) d'arriver au "satori", l'éveil suprême ». On sait ce que recouvre un tel éveil !

La "réalisation", but de toutes ces techniques (orientales), n'est nullement celle de l'homme, c'est celle de cet esprit qui ne dit pas son nom, et qui se cache dans les ténèbres de l'impersonnalité, derrière le voile qu 'il tisse avec les fils de l'orgueil humain. Comment ne pas reconnaître ici celui qui depuis le début des temps tente l'homme et le trompe par son mensonge, toujours le même : "vous serez comme des dieux", c'est-à-dire comme moi-même, pleinement autosuffisants.
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LE LOUP DÉGUISÉ EN BERGER
comment se fait-il que des hommes d'Église se laissent prendre à la « séduction » du yoga, privilégiant l'expérience vitale aux dépens de la vie de foi
Précisons que chaque terme chrétien a un sens yoguique ; un yogi peut très bien commenter l'Évangile et y introduire en même temps son philtre démoniaque M.C. Sadrin raconte qu'« un maître parla pendant huit jours de l'Evangile de saint Jean dans un monastère, à l'admiration générale » et que « au bout d'une semaine tous rivalisaient d'envie d'expérimenter le soi

Le yoga qui est une recherche gnostique du soi et qui aboutit à une rencontre avec le démon, est appelé à devenir la base de la religion de l'avenir :

« Cette religion du soi serait... la future religion de tous les hommes. Ce serait une nouvelle église, bâtie sur la seule raison, sans révélation ni dogme, sans sacrifice ni mystère. Les jnanins (ou yogis) en seraient les grands prêtres, seuls capables de transmettre le savoir (la gnose) à une poignée d'initiés dirigeant les masses non éveillées encore » (ibid, p. 77).

Qu'est donc cet éveil sinon la découverte, au plus profond de l'âme, d'un soi qui se divinise pour aboutir à la fatale conclusion : Dieu n'est plus Dieu. Dieu n'est pas Dieu.
Symptômes et effets rapportés par des spécialistes

La pratique du yoga, de la méditation et du qi gong (yoga chinois) peut entraîner chez certaines personnes une panoplie de symptômes physiques et mentaux et différents syndromes : le syndrome de kundalini, les crises d’émergence spirituelle et la réaction psychotique de qi gong. Des spécialistes se sont prononcés :

Dre Nicki Crowley, psychiatre à la clinique Lead for the Crisis Resolution Team, Buckinghamshire, Angleterre
Elle affirme que ces pratiques (yoga, méditation et qi gong) peuvent provoquer des crises spirituelles qui sont des expériences intrapsychiques intenses similaires à des états psychotiques pathologiques. 1

Dre Jessica S. Lu et Dr Joseph M. Pierre de Los Angeles
Ils ont étudié un cas où le Bikram yoga a provoqué une psychose avec des hallucinations visuelles et auditives, de la paranoïa, des pensés rapides, de l’agitation et de l’agressivité.2

Richard Castillo, professeur à l’Université d’Hawaï en psychologie et anthropologue médical
Il a effectué beaucoup d’études auprès de centaines de yogis en Inde pour conclure que les effets à long terme des transes méditatives sont des doubles personnalités, des hallucinations visuelles et auditives religieuses, des croyances dans leurs propres pouvoirs spirituels, un état permanent de conscience altéré et divisé, des visions, etc

Chez les enfants…

Aujourd’hui plusieurs écoles donnent des cours de yoga et de méditation aux enfants. Pourtant, cette pratique présente des risques et peut causer des préjudices graves à la santé mentale et physique des enfants :

Sonia Lupien Ph. D., neuropsychologue, directrice scientifique du Centre de recherche Fernand-Seguin, Hôpital Louis-H. Lafontaine, Université de Montréal et directrice du Centre d'études sur le stress humain. Elle s’objecte au yoga à l’école parce qu’au lieu de diminuer le stress, il peut au contraire stresser des enfants. Elle soutient qu’il n’y a pas de chance à prendre avec une technique qui n’a pas fait ses preuves au niveau scientifique.

Le département de l’Éducation de l’État de l’Alabama
Il a inséré dans la loi l’interdiction au personnel des écoles d’utiliser toutes techniques qui implique ou induit des états d’hypnose, de l’imagerie guidée, de la méditation et du yoga. 8


Alice Christensen, présidente de l’American Yoga Association (AYA).

Elle affirme que le yoga n’est pas approprié pour les enfants en bas de 16 ans en raison de ses effets sur les systèmes nerveux et glandulaire qui peuvent interférer avec la croissance naturelle de l’enfant. 9

 

 

LES DANGERS DU YOGA - INTERVIEW AVEC ALLAN RICH par allanrich

8 septembre 2016

Les sociétés secrètes antiques: Éleusis et Mithra par René Alleau

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Les mystères ont existé partout dans le monde antique en Égypte, en Syrie, en Perse, en Cappadoce, chez les Romains et dans l’Hellade. Origène compte aussi les Indiens au nombre des peuples anciens qui ont connu les initiations. Parmi les cultes mystérieux qui étaient célébrés en de nombreuses cités grecques, ceux d’Éleusis, propres aux Athéniens, l’emportaient sur tous les autres. Leur fonction religieuse était à ce point importante que l’empereur Claude, selon Suétone, eut l’intention de transférer à Rome le siège de ce célèbre sanctuaire. Auguste, initié à Athènes, était l’un des hauts dignitaires de la hiérarchie éleusinienne. Sous son règne, et en sa présence, un Indien, Zamoras, fut initié à Éleusis. Ces mystères conservèrent leur réputation universelle jusqu’au temps de Justinien. Le sanctuaire, détruit une première fois par un incendie, au IIe siècle après J.-C., fut dévasté par les Goths d’Alaric en 396. L’enseignement d’Éleusis gardait pourtant encore quelque prestige au Ve siècle de notre ère puisque le philosophe Synésius se rendit alors à Athènes afin de se faire initier [1].

Ce fut sans doute une perte irréparable pour l’histoire que la destruction d’un sanctuaire qui semble avoir été durant des siècles la mystérieuse clef de voûte de la civilisation antique. Nous ignorerons toujours quels étaient « les livres cachés que tous les mortels n’ont pas le droit de connaître » auxquels Manéthon, Pausanias, Plutarque et Galien font allusion dans leurs œuvres à propos des mystères. Toutefois, les nombreux travaux des archéologues contemporains, ceux de Goblet d’Alviella, de P. Foucart, de M. Brillant et surtout de V. Magnien, pour ne citer que les principaux auteurs français, permettent sinon de reconstituer entièrement les rites de l’initiation éleusinienne, du moins de concevoir leurs phases essentielles et d’étudier, de façon précise, leurs symboles fondamentaux.

Les trois pouvoirs

Dans les limites de cet essai, nous ne saurions mieux faire que de donner un aperçu de ces mystères afin de permettre au lecteur de relier aisément les faits ainsi étudiés à la thèse que nous avons précédemment tenté de justifier au sujet de l’origine des associations secrètes antiques. Nous écarterons donc toute analyse détaillée des documents concernant l’histoire même d’Éleusis et nous nous bornerons à l’examen d’une seule initiation : hiérophantique ou royale. Elle présente, en effet, un intérêt évident, car elle peut nous aider à mieux comprendre les structures traditionnelles des sociétés grecques et romaines. Nous suivrons les indications textuelles et archéologiques données par V. Magnien, dont l’ouvrage demeure, en ce domaine obscur, le meilleur guide et une source de précieux documents.

Cet helléniste rappelle d’abord que la religion antique reconnaît l’identité du pouvoir intellectuel, du pouvoir politique et du pouvoir religieux dans la personne du roi. En effet, celui-ci exerce, d’abord, des fonctions sacerdotales en tant que hiérophante ou chef des prêtres [2]. C’est là une conception qui évoque naturellement celle du pharaon égyptien.

Chez Homère, le roi est considéré comme « égal aux dieux ». Platon, dans « Les Lois », assure que Cronos (Saturne) a établi pour les cités des rois et des chefs de race divine [3]. Alexandre le Grand, en voulant se faire passer pour le fils de Zeus, imitait ainsi les souverains asiatiques.

Dans ces conditions, le roi initié représente, en quelque sorte, l’émanation de la lumière de l’intelligence suprême ; il est « l’œil du divin » ; en ce sens, il n’est pas engagé totalement dans les liens de la matière obscure, ce que rappelle encore la devise de la Maison de France : « Les lys ne filent ni ne tissent ».

A ce pouvoir religieux et intellectuel correspond « l’art royal » de la médecine, le pouvoir de guérir. Cette idée très ancienne était exprimée déjà par Homère. Le roi est le savant par excellence. Les Germains prêtaient à leurs souverains la connaissance parfaite des caractères runiques, science réservée aux dieux et aux représentants de la puissance divine, savoir magique auquel on ne pouvait accéder que par des épreuves et des initiations.

Le roi-berger

Enfin, comme en Égypte et en Chine, le roi grec est le chef de l’agriculture. Son œuvre se confond ainsi avec les opérations des mystères d’Éleusis, dont le roi mythique Triptolème construisit une aire sacrée et initia les hommes aux techniques secrètes du labourage et des divers travaux agricoles.

V. Magnien rapporte que le roi et le hiérophante changent de nom. Une inscription gravée l’atteste [4].

« Pour mon nom, ne cherche pas qui je suis : le rite mystique l’emmena en s’en allant vers la mer empourprée. Mais lorsque je serai parvenu à la demeure des Bienheureux et au jour du destin, alors tous ceux qui ont quelque souci de moi le diront. »

Sur les détails des différents rites auxquels il est fait allusion, aucun texte n’est parfaitement clair ni complet. On sait, en effet, qu’il existait une loi d’après laquelle celui qui dévoilait les mystères était accusé d’impiété et condamné à mort. Toutefois, en comparant les écrits anciens, on peut reconstituer l’essentiel des principales cérémonies initiatiques.

Philon d’Alexandrie, dans « La Vie de Moïse (I, 11), indique par exemple que « le soin de garder les animaux était une préparation à la royauté pour celui qui doit commander à la troupe la plus douce des hommes, de même qu’elle pouvait préparer ceux qui ne sont pas belliqueux… Voilà pourquoi les rois sont appelés bergers des peuples, d’un nom qui n’est pas une insulte, mais le plus grand honneur. »

Synésius semble parler de la retraite que doit s’imposer le futur roi avant l’initiation. Il y devra abandonner la haine, le ressentiment et les autres passions humaines.

La partie des cérémonies qui touche au rite mystique de la traversée des eaux est mieux connue. Plutarque rappelle plusieurs traits de l’initiation royale : nage, transport sur une barque, éloignement de tout ce qui est mortel, changement de nom. Ce texte étant remarquable à divers points de vue, nous croyons devoir le citer intégralement. Plutarque raconte l’histoire de Thespésios [5], qui s’était mal conduit et à qui l’oracle avait annoncé qu’il agirait mieux quand il aurait passé par la mort : « Tombé de haut sur le cou, n’ayant pas de blessure ouverte, mais ayant seulement subi un choc, il mourut, et le troisième jour, au moment de ses funérailles, il se releva. Bientôt rentré dans ses forces et maître de lui-même, il montra un changement d’existence incroyable. Car les Ciliciens ne connaissent personne parmi les hommes de cette époque-là qui ait été plus juste relativement aux contrats, plus saint à l’égard de la divinité, plus nuisible aux ennemis, plus sûr pour les amis… »

Le passage par la mort

Il raconte lui-même son histoire à Protogène et aux autres de ses amis qui étaient aussi distingués : « Lorsque la partie qui réfléchit tomba de son corps, ce que souffre le pilote qui tombe de son embarcation au fond de l’eau, il le souffrit d’abord par l’effet du brusque changement. Ensuite, il s’éleva un peu, et alors il lui sembla qu’il respirait tout entier, et qu’il voyait de tous côtés, comme si son âme avait été ouverte par un seul œil. Alors il ne voyait rien de ce qu’il voyait auparavant, mais des astres immenses, éloignés les uns des autres par une distance infinie, lançant un éclat d’une couleur admirable, un éclat qui avait une tension ; en sorte que son âme, doucement emportée, comme une barque dans le calme, s’en allait facilement, partout et vite. Laissant la plupart des choses qu’il avait vues, il disait que les âmes des morts, remontant d’en bas, produisaient une sorte de bulle lumineuse quand l’air sortait ; qu’ensuite la bulle se crevait, et que les âmes sortaient avec la forme humaine, mais sans poids qui les alourdisse. »

« Elles ne se meuvent pas de la même façon, mais les unes sautent (hors de cette bulle) avec une admirable légèreté et bondissent tout droit vers le haut ; les autres, comme des fuseaux, tournent en cercle ; et, rampant tantôt vers le bas, tantôt vers le haut, sont emportées d’un mouvement mêlé et troublé, qui se termine après beaucoup de temps et de peine. »

« La plupart de ces âmes, il ne savait pas qui elles étaient. Cependant, en ayant aperçu deux ou trois bien connues de lui, il essayait de les aborder et de leur parler : elles n’entendraient pas et n’étaient pas en elles-mêmes, mais sans « phrènes » [6], et tout effarées, fuyant toute vue et le toucher, elles erraient d’abord au hasard toutes seules, puis se joignaient à d’autres qui étaient dans le même état, s’entrelaçaient, avaient toutes sortes de mouvements désordonnés, émettaient des sons inarticulés, semblables à des hurlements, mêlés de lamentation et de terreur [7]. »

« Les autres, en haut, tout au sommet de ce qui entourait, apparaissaient toutes brillantes, se joignaient les unes les autres avec bienveillance, évitant les âmes troublées ; elles montraient, à ce qu’il semble, leur mauvaise disposition en se contractant et leur joie ou leur approbation en se détendant et en se dilatant. Là, il vit une âme d’un parent à lui, sans bien la reconnaître, car il était mort alors que lui, il était encore tout enfant. Mais cette âme s’étant approchée tout près, dit : « Salut, Thespésios ! »

« Comme, tout surpris, il répondait qu’il s’appelait non pas Thespésios, mais Aridée, elle reprit : « Auparavant, oui ! Maintenant, c’est Thespésios. Car tu n’es pas mort ; mais, par une destinée des dieux, tu es venu ici par la partie de ton âme qui réfléchit ; l’autre âme, tu l’as laissée, comme une ancre, dans ton corps… »

L’initiation et les exercices de l’ascèse magique

Ce texte de Plutarque présente un grand intérêt, car il permet de comprendre que la traversée mystique de l’initiation royale était une expérience analogue à celle de la séparation du corps provoquée par certains exercices ascétiques et magiques.

En effet, il existe des poisons du système circulatoire et des drogues hallucinogènes qui entraînent des modifications psycho-sensorielles analogues à celles que décrit Plutarque. « Les astres immenses… lançant un éclat d’une couleur admirable, un éclat qui avait une tension… », « les bulles lumineuses… dont les âmes sortaient avec une forme humaine » rappellent étrangement les témoignages recueillis par Mlle A. M. Quétin auprès de quatre-vingt-douze sujets volontaires, considérés comme normaux, et de soixante-douze malades, dont les âges et les niveaux sociaux et culturels étaient différents, la première et la seconde catégorie ayant été soumises à l’action de la psilocybine [8].

C’est ainsi que l’un de ces sujets parlait d’une vision d’une « coquille Saint-Jacques qui s’ouvre, d’où sort une femme aux longs cheveux » ; d’autres évoquent des constructions architecturales grandioses et l’altération mobile et continuelle des lieux et des formes ; le passé se confond avec le présent, les visions d’enfance affluent, l’élément émotionnel pénètre dans l’état hypnoïde. Le sujet entre dans un monde magique [9]. Il affirme avoir découvert « la clef de l’harmonie universelle », mais il ne saura dire ni pourquoi ni laquelle. Or on sait qu’un breuvage réel donnait à l’initié l’ivresse mystique, capable de lui faire quitter le corps et la matière, afin d’accomplir le circuit dionysiaque. Le poète latin Perse signale que l’initié boit à une certaine source de mémoire. Il y avait, d’ailleurs, une source à Éleusis et une source dans le sanctuaire d’Asclepios à Athènes. On peut se demander — c’est là une simple hypothèse — si dans ces lieux n’existait pas un dégagement naturel de protoxyde d’azote. L’eau dissout environ 80 % de ce gaz en acquérant une saveur sucrée très forte. Les petits animaux que l’on plonge dans son atmosphère tombent asphyxiés. Ses effets sur l’homme sont très variés. Sir H. Davy, qui, en 1799, respira ce gaz, remarqua qu’il abolissait la douleur physique et qu’il déterminait tous les symptômes de l’ivresse, d’où son ancien nom de « gaz du paradis ». On attribue, d’ailleurs, à son usage la mort prématurée de l’illustre chimiste. Ce gaz, le plus souvent impur, peut aussi être la cause d’accidents graves, qu’il ne cause point à l’état de pureté et à de très faibles doses.

Les breuvages sacrés

Quelle que soit la nature physico-chimique exacte du breuvage sacré d’Éleusis, il ne nous semble pas douteux qu’il était bu rituellement par les initiés. Les historiens des religions n’ont pas accordé assez d’attention à l’action des substances hallucinogènes sur le psychisme humain. Bien que nous ne puissions apporter ici les preuves archéologiques de ces faits, nous avons découvert des indices certains de l’usage sacré de l’opium par les Sumériens [10]. Cela ne signifie point que les mystères d’Éleusis étaient fondés sur des pratiques d’intoxication des initiés par des drogues. Celles-ci, d’ailleurs, agissent très diversement et en fonction des états psychiques individuels. Mais si elles n’étaient point, à elles seules, les causes de l’illumination, il n’est pas exclu qu’elles eussent pu servir de moyens matériels d’action rapide et profonde sur des hommes qui, dans leur grande majorité, étaient peu préparés à se soumettre aux longs et patients exercices de l’ascèse mystique. Enfin, les applications actuelles de certaines substances hallucinogènes permettent d’envisager une exploration véritable du subconscient par des techniques physico-chimiques associées à une action spirituelle. Ce n’est là qu’une question de transition entre le plan matériel élémentaire et l’ordre subtil de la réalité. La nature animale première de l’être humain s’oppose à ce que des métamorphoses profondes de l’âme soient obtenues naturellement sans le moindre intermédiaire physico-chimique. Faut-il rappeler à ce propos que l’idéalisme religieux absolu est inconciliable avec le fait matériel de l’incarnation sans laquelle Dieu lui-même ne s’est pas révélé aux hommes ? Saint Clément d’Alexandrie déclare dans ses Stromates, V, 11 : « Le Logos a fleuri et, devenu chair, a porté des fruits, et il a fait vivre ceux qui ont goûté à son utilité ; car, sans le bois, il n’est pas venu à notre connaissance, car notre vie a été suspendue pour notre utilité. Et Salomon a dit : « L’arbre de l’immortalité est à ceux qui le saisissent. » Traduire « logos » par « raison », c’est trahir le sens concret, positif et vivant du Verbe par excellence. Comment, en effet, le myste se dépouillerait-il de la réflexion humaine (« phronèsis ») pour assumer la sagesse divine, s’il demeurait en même temps prisonnier des limites abstraites de la seule raison intellectuelle ?

L’initiation hiérophantique ou royale impliquait un dépassement nécessaire de la nature humaine, car le souverain initié devrait être purifié de celle-ci avant d’arriver aux « îles des Bienheureux », ce que confirme cette inscription funéraire : « L’homme illustre parmi les vivants, celui qui était éminent parmi les mortels à la voix claire, le tout premier du sénat et de la cité entière, celui qui, dans sa piété, aimait les mendiants, le cher fils d’Eutochios que les Immortels aimaient !… À cause de cela, ils le lavèrent dans les sources immortelles, ils le jetaient dans les îles des Bienheureux, lui, Domnos, qui avait vécu cinq décades d’années. »

Après cette purification rituelle, le futur roi devait entreprendre une ascension. « Les dieux, dit Synésius, les prêtres, tous avec des bandelettes et des flûtes sacrées, venaient à sa rencontre. » Il arrivait ainsi dans le vestibule du sanctuaire où, ayant contemplé le dieu face à face, il recevait l’illumination parfaite [11].

Face à face avec le dieu

La cérémonie d’initiation, qui correspondait à la contemplation du dieu « face à face » donnait au roi le droit de pénétrer dans le sanctuaire. Or, en Égypte, nous retrouvons la même coutume qu’à Éleusis. Le dieu vivait caché dans une petite chapelle. Seul, le pharaon pouvait y entrer, comme « fils du Dieu ». En pratique, le grand prêtre le remplaçait. L’empereur romain Marc-Aurèle usa de ce droit : « Après avoir arrangé les affaires d’Orient, il fut à Athènes et, parmi d’autres cérémonies de Cérès, il alla au temple pour prouver son innocence et, seul, entra dans le sanctuaire. » Après ce rite, le futur roi recevait à Éleusis des enseignements solennels. On lui apprenait qu’il devait assurer à l’État l’abondance des biens et « se délivrer de son frère ». Synésius dit à ce sujet : « Ils lui expliquaient la double nature des âmes et l’opposition nécessaire qu’ont ceux qui viennent de la terre et ceux qui viennent d’en haut… »

Le « frère » du roi désigne la partie inférieure de l’être humain, sa nature animale, mortelle et corruptible. C’est ici un symbole qui répond à l’ascension rituelle royale. En effet, selon le mythe sumérien, « la royauté descend des cieux ». Dans ces conditions, l’initiation éleusinienne répondait à un processus fondamental qui consistait à « dévêtir » le futur roi de ses enveloppes humaines terrestres avant de le « revêtir » des insignes de sa dignité céleste. Ainsi pouvait-il, à son tour, « faire descendre » ce qui vient du ciel et « faire monter » ce qui s’élève de la terre. Ces deux puissances répondaient aux symboles animaux du feu et de l’air : le lion, roi des animaux terrestres, et l’aigle, roi des oiseaux. Enfin, le troisième symbole animal de la royauté antique était, en Grèce, le dauphin, roi des poissons. Intermédiaire entre la puissance de la flamme et celle du vent, celle des eaux, miroir naturel de la lumière, pouvait être considérée comme la source des images formées par celle-ci. Dans ces conditions, le roi était lui-même chargé du pouvoir bienfaisant des eaux. Il devait, comme elles, faire régner l’abondance sur la terre. De plus, le cours des eaux répondant, par une image héraclitéenne, à celui du temps, il appartenait au roi de veiller au calendrier des travaux agricoles.

De même qu’en Égypte, le, roi traditionnel défriche, laboure, sème, moissonne, en Chine, le suzerain inaugure le travail du labourage ; dans la capitale, il trace lui-même trois sillons ; les ministres lui succèdent pour en tracer cinq ; puis les feudataires présents en tracent neuf. Enfin, il entrait dans les attributs de l’empereur chinois de créer par une promenade rituelle dans le « M’ing-tang », la « maison du Calendrier », au commencement de chaque année, le temps nouveau.

A Éleusis, une inscription nous apprend qu’il y avait un labourage sacré : le hiérophante inaugurait solennellement la fête qui précédait les labours.

Tous ces faits suffisent, croyons-nous, à montrer la profonde unité traditionnelle qui régnait dans le monde des civilisations de l’antiquité occidentale et orientale. Loin d’être séparées comme elles le sont devenues dans les temps modernes, la religion, la philosophie et la science trouvaient dans les cérémonies des mystères le principe vivant et permanent de leur harmonie véritable. Cet œcuménisme répondait à l’existence d’une « maison commune », d’un même Temple invisible et d’une même communion dans un haut idéal physique, moral et intellectuel qu’incarnait dans la matière terrestre la perfection des métiers et des arts. Toute la structure des sociétés antiques était ainsi fondée sur un seul principe que nous avons méconnu et trahi : Le corps social est l’œuvre secrète et sacrée du cœur, c’est-à-dire du Centre de l’humanité, de l’ensemble de ses élites manuelles, intellectuelles, morales et spirituelles. Sans cette unité centrale aucune société n’est capable de résister à l’inévitable contradiction des intérêts et des puissances qui la divisent, ni même de prétendre à devenir jamais une civilisation véritable.

3 Les mystères de Mithra

Nous avons étudié les nombreuses analogies que présentent les mystères d’Éleusis avec les rites et les croyances de l’Égypte pharaonique, notamment en ce qui concerne l’initiation hiérophantique ou royale. Nous examinerons maintenant un autre exemple de l’influence des civilisations orientales sur l’antiquité gréco-romaine, celui des mystères de Mithra.

Le mithraïsme, qui pénétra dans Rome vers le milieu du Ier siècle avant J.-C., a été le principal adversaire du christianisme jusque vers le milieu du IIIe siècle, époque de l’apogée du culte du taureau sacré. Il était alors répandu dans tous les pays de l’empire romain. De l’Espagne à l’Angleterre, du Rhin au Danube, les fouilles ont montré que cette religion mystique et sensuelle avait fait de nombreux adeptes chez les esclaves déportés dans les possessions romaines et qui, au service de riches patriciens, ou, parfois, occupant des postes administratifs importants, entretenaient la popularité du mithraïsme. Vers la fin du IIe siècle, ce culte fut reconnu légalement comme religion officielle. En 307 après J.-C., Dioclétien, Galerius et Licinus consacrèrent conjointement un temple à Mithra, sur le Danube, en le déclarant « protecteur de l’empire ».

Si l’on considère, à la lumière des rites et des symboles initiatiques, les origines des mystères et des sociétés secrètes antiques, on constate que la Grèce fut l’héritière de l’Égypte et Rome, celle de la Mésopotamie. Certes, des influences archaïques locales existaient dans l’Hellade comme en Italie, et l’histoire des religions représente un ensemble d’éléments trop complexes pour que l’on se méfie, à bon droit, des idées générales en ce domaine. Pourtant, ce simple schéma présente l’avantage de toutes les hypothèses de travail. Il permet au moins de distinguer les deux principaux courants de croyances et de traditions qui, entre le deuxième millénaire avant J.-C. et les premiers siècles de l’ère chrétienne, apportèrent aux civilisations grecque et romaine des cosmogonies déjà élaborées et des enseignements ésotériques éprouvés par de longs siècles d’expériences antérieures. En Italie, le mythe mithraïque correspondait fort bien aux besoins profonds d’un peuple de pionniers et de guerriers, car il les purifiait par la notion d’une libération des puissances de la vie grâce à la mort, de même qu’il exaltait en eux le thème de la virilité rendue féconde par le sacrifice sanglant.

L’île de Crète : colonie sumérienne ?

Ce mélange de concepts théologiques iraniens et sémitiques qu’était le mithraïsme provenait des antiques civilisations mésopotamiennes. Par l’intermédiaire de l’Anatolie, le culte du taureau fut introduit en Crète vers le deuxième millénaire. Un rituel archaïque comportait l’usage des « kernoi », ou cornes sacrées, dont on a trouvé un grand modèle fixé au sol du palais de Malia. Ces représentations figurent à la fois sur le disque de Phaestos et parmi les hiéroglyphes hittites. On constate également l’origine anatolienne du symbole de la « double hache » et le rôle important que jouèrent dans ces mystères les Dactyles crétois, les Courètes dont nous avons signalé, dans les chapitres précédents, la fonction initiatique fondamentale.

Les routes du commerce terrestre et maritime faisaient de la grande île crétoise un lieu privilégié de relais, de contacts et de rassemblement entre les peuples orientaux et occidentaux. De nombreux échanges eurent lieu dès le deuxième millénaire entre l’Égéide, la Phénicie, la Syrie et la Mésopotamie. Ougarit, sur la côte syro-phénicienne, a été le principal centre des rapports économiques de la civilisation égéenne avec l’Orient. Les fouilles des nécropoles ont prouvé l’origine anatolienne de certains types de la céramique crétoise, notamment de vases à forme humaine, du type de Mochlos, par exemple. Vers 1600 avant J.-C., cette civilisation avait atteint son apogée ; une écriture linéaire commençait à être utilisée ; elle est restée, jusqu’à présent, indéchiffrable. Le palais royal de Cnossos a révélé pourtant l’admirable architecture archaïque de la Crète ; il a montré aux archéologues des mosaïques, des fresques, des vases et des coupes qui comptent au nombre des chefs-d’œuvre de l’art antique. On a retrouvé même des serrures métalliques avec leurs clefs et des installations sanitaires avec l’eau courante, chaude ou froide, dans les demeures des riches citoyens de l’île. Les jattes peintes crétoises, les « pithoi », atteignent parfois la taille d’un homme. Elles servaient à la conservation et au transport de l’huile.

La perfection de l’art crétois, attestée par les coupes d’or de Vaphio, par exemple, évoque singulièrement celle de l’art sumérien et à un point tel que l’on peut se demander si cette grande île n’a pas été d’abord une « colonie » sumérienne. Le somptueux palais de Cnossos constituait un ensemble d’une extraordinaire complexité, qui avait été conçu de manière à figurer les mouvements diurnes et saisonniers du soleil. Il semble que cette disposition énigmatique avait pour but de servir de cadre à des rites chorégraphiques qui se terminaient par un coït sacré destiné à vivifier la terre et pratiqué entre le roi, habillé en taureau, et la reine, déguisée en vache, Minos devenant le « taureau ardent » et sa femme, la « Vache fertile » [12].

Chaque printemps, Minos, suivi de son peuple, organisait une course de taureaux dont toutes les phases, depuis la chasse et la capture des animaux sauvages jusqu’à leur sacrifice final dans l’arène, sont reproduites sur les deux coupes d’or découvertes dans une tombe, près de Sparte, à Vaphio. Les rites de l’arène se composaient de deux parties, l’étreinte des cornes et la mise à mort. On remarquera que les Crétois, comme les Sumériens, croyaient que la vigueur et la fécondité du taureau étaient concentrées dans ses cornes. Les représentations les plus anciennes d’Europe, mère de Minos, la montrent assise sur le dos de l’animal et empoignant l’une de ses cornes [13].

Le taureau était sacrifié solennellement soit en lui tordant le cou, soit par saignée lente, soit d’un coup de poignard. Enfin, sa chair crue était partagée entre les assistants, comme l’atteste un fragment d’Euripide : « Leur participation aux festins de chair crue les fit accéder à la terre sacrée. »

On retrouve, dans le mithraïsme, l’essentiel des croyances et des rites des mystères crétois. Les Étrusques se livraient, d’ailleurs, à des sacrifices taurins précédés d’une chasse rituelle, comme l’atteste une cruche trouvée à Chiusi et datant du VIe siècle. D’autre part, on sait que le nom même de l’Italie provient d’un autre peuple qui se désignait lui-même par le nom de « bétail » et qui nommait son pays « Italia », c’est-à-dire « le pays du bétail ». « Italia ! » était le cri de guerre de ces guerriers, coiffés d’un casque cornu, adorateurs du dieu-taureau Mars, seigneur des batailles.

Mithra, dieu aryen de la lumière, « Seigneur des vastes pâturages », fusionna précocement avec le culte taurin. On lui attribuait la dispensation des biens, de la santé, de la paix. Il était engagé dans un perpétuel combat contre les forces du mal et des ténèbres.

Après une poursuite acharnée, ce sacrificateur divin, ayant saisi le taureau, le transperça de son épée. Alors, du corps de la bête, jaillirent les plantes et les herbes utiles à l’homme ; de sa colonne vertébrale, le froment ; de son sang, le pampre et le vin.

Afin de commémorer cet exploit mythique, le sacrifice solennel du taureau, le « taurobole », avait lieu à Rome, à proximité immédiate du lieu où s’élève actuellement la cathédrale Saint-Pierre.

En cet espace sacré avait été creusé un fossé entièrement recouvert par une claie sous laquelle descendaient, le jour du baptême mithriaque, les « catéchumènes », le front ceint d’une couronne d’or, le corps orné de bandelettes du même métal [14]. Les nouveaux baptisés étaient désormais des élus auxquels le sacrement avait conféré la puissance, la bonté, l’immortalité. Le jour du jugement dernier, le taureau sacré devait revenir sur la terre, et Mithra ressusciterait tous les hommes. Ces faits suffisent à montrer les nombreux points de ressemblance que présentent entre eux le mithraïsme et le christianisme. Les cultes taurins subsistèrent pendant longtemps. Au VIIe siècle, en Angleterre, l’archevêque de Canterbury décréta solennellement que : « Quiconque se déguisait en cerf ou en taureau aux calendes de janvier, c’est-à-dire se travestissait en animal sauvage et se coiffait de la tête d’animaux, quiconque, donc, prenait de cette façon l’apparence d’un animal sauvage subirait une pénitence de trois ans, car cette pratique était démoniaque. » On a soutenu que les sorcières et les sorciers, adorateurs du « dieu cornu » du Sabbat, auraient été des sectaires du dieu Mithra. Certes, en Écosse et en France, de nombreuses femmes, jugées pour sorcellerie, confessèrent avoir eu des rapports avec le démon, qui leur apparaissait sous la forme d’un taureau. On peut se demander toutefois s’il s’agissait vraiment d’un culte taurin véritable à une époque aussi tardive. Nous croyons plutôt qu’il faut voir dans ces faits complexes des traces de survivances de pratiques païennes qui ne se rattachaient pas nécessairement au mithraïsme plutôt qu’à d’autres religions non chrétiennes. Dans un ouvrage du XVIIe siècle, « La Vie de Michel Nobletz », l’auteur signale avoir rencontré dans l’île de Sein trois druidesses ; il réussit à les convertir à la foi chrétienne ; elles finirent leurs jours dans un couvent.

Les rites secrets et hiérarchisés du culte antique de Mithra

Le mithraïsme n’était pas seulement une religion publique dont nous venons d’étudier l’origine, les cultes et les principaux thèmes mythiques. Il était aussi une société secrète initiatique dont l’enseignement ésotérique était dispensé selon divers degrés qui correspondaient à une hiérarchie occulte [15]. Les sectateurs de Mithra se réunissaient dans des souterrains. Parfois, leur sanctuaire était une grotte naturelle ou artificielle ; plus souvent, dans les villes, c’était une cave précédée d’un parvis ou « pronaos », qui s’ouvrait directement sur la voie publique. Le sanctuaire proprement dit était une salle rectangulaire qui, au témoignage de Porphyre, symbolisait l’univers. Elle était divisée en trois parties dans le sens de la longueur.

À droite et à gauche, le long du mur, s’étendaient les podia, banquettes exhaussées sur lesquelles s’agenouillaient les fidèles. La partie centrale était réservée aux cérémonies. Dans le fond, qui se terminait en abside, on plaçait invariablement l’image, parfois voilée, de Mithra, entre la représentation du Soleil et de la Lune. Les images des deux dadophores portant, l’un une torche élevée, l’autre une torche abaissée ; une fontaine ou une vasque d’eau lustrale, disposée près de l’entrée ; des symboles astronomiques (signes du zodiaque, autels dédiés aux planètes) ; un pyrée où brûlait un feu perpétuel ; les statues du dieu Léontocéphale et de Mithra sortant du rocher, tel était l’ameublement ordinaire de ces cavernes (spelaea).

Les initiations comportaient sept degrés [16] donnant accès à autant de grades, où les mystes prenaient successivement le titre de « Corbeaux », « Occultes », « Soldats », « Lions », « Perses », « Héliodromes » et « Pères ». Le tableau sacré était souvent entouré de bas-reliefs représentant des scènes plus ou moins dramatiques, dont le sens nous échappe. Les uns y ont vu des rites d’initiation ; d’autres, une reproduction de détails empruntés à la légende de Mithra. Ainsi, un panneau assez fréquent figure un personnage qui, vêtu comme Mithra, est accueilli par Hélios sur le char solaire. Est-ce Mithra lui-même ou un initié dont on représente l’ascension ? Peut-être y a-t-il moyen de concilier les deux opinions, en supposant que certaines de ces scènes figurent des initiations où, comme c’était souvent le cas dans les mystères antiques, l’on faisait jouer au néophyte le rôle légendaire du dieu.

Tout ce qu’on a cru pouvoir établir avec quelque certitude en se servant des textes autant que des monuments, c’est que le candidat devait s’engager par serment à ne pas divulguer les secrets du grade qui allait lui être conféré ; en outre il formait d’autres vœux plus spéciaux ; puis on l’introduisait, les yeux couverts d’un bandeau, les mains attachées avec des cordes en boyau qu’un officiant coupait au cours de la cérémonie. On le soumettait à diverses épreuves, comme de le faire sauter au-dessus d’une fosse pleine d’eau, ou de le faire passer à travers une flamme ; ensuite, on procédait à des ablutions qui avaient un caractère symbolique enfin, un voile se levait dans le fond du sanctuaire, et le néophyte était admis à contempler la représentation sacrée du dieu. Des jeux de lumière, inattendus, habilement ménagés, ajoutaient à la mise en scène.

Les textes ne nous renseignent guère sur les détails des initiations aux grades respectifs. Nous savons seulement, d’après Tertullien, qu’à la réception du « miles », on lui offrait une couronne sur une épée ; il prenait l’épée, mais repoussait la couronne en disant : « Mithra est ma couronne. » Il y avait aussi un banquet, sorte de communion à laquelle ne participaient peut-être que les initiés ayant reçu les « léontiques ». Le célébrant y consacrait des pains mélangés de vin. Un bas-relief de Sarrebourg montre deux personnages couchés sur des coussins devant un trépied qui porte de petits pains ronds, marqués chacun d’une croix ; tout autour, des initiés de différents grades sont munis de cornes à boire.

Il y avait aussi, comme nous venons de le voir, des épreuves physiques assez sérieuses où le néophyte jouait le rôle de patient [17]. Peut-être feignait-on de le mettre à mort par un glaive qu’on levait sur sa tête. Dans d’autres circonstances, il devait prendre part à un meurtre simulé ; d’après un auteur syriaque, Zacharie le Scolastique, le prêtre se bornait à produire « une épée teinte du sang d’un homme qui était censé avoir péri de mort violente ».

Un initié trop zélé

Il n’est pas étonnant que dans ces conditions les chrétiens aient accusé les sectateurs de Mithra de pratiquer des sacrifices humains. Rien n’implique des attentats à la vie humaine, du moins pour l’époque dont nous nous occupons. L’empereur Commode, qui avait voulu se faire initier, causa un scandale pour avoir, paraît-il, pris au sérieux le meurtre simulé et causé ainsi la mort de la victime. Un autre argument, c’est que, là où les bas-reliefs exhibent un sacrifice de taureau ou de bélier, le glaive disparaît dans le corps de l’animal ; là, au contraire, où il s’agit d’un homme, l’arme est simplement brandie, et rien n’indique qu’elle dût s’abaisser. À chaque degré on expliquait sans doute au néophyte le sens des symboles qui l’entouraient ; peut-être cette interprétation allait-elle en s’approfondissant et, pour mieux dire, se spiritualisant à chaque initiation nouvelle [18].

Dans chaque communauté, on trouvait un ou plusieurs desservants (« sacerdos », « antistes »), généralement, mais pas toujours recrutés parmi les « pères ». Ceux-ci se divisaient eux-mêmes en « pères du culte » (« Patres sacro-rum ») et « pères des pères » (« Patres patrum »). Le rôle du clergé était plus considérable que dans les anciens cultes grecs et romains. Intermédiaire obligé entre le fidèle et la divinité, il dirigeait la célébration des offices et l’administration des sacrements, présidait aux dédicaces solennelles, veillait à l’entretien du feu perpétuel, formulait des prières, le matin, à midi et le soir, en se tournant respectivement vers l’Orient, le Midi et le Couchant. La liturgie quotidienne, comprenant de longues psalmodies et des chants accompagnés de musique, se compliquait fréquemment de sacrifices spéciaux. À un moment donné, marqué par la sonnerie de clochettes, on dévoilait l’image du Tauroctone. Chaque jour de la semaine était consacré à l’une des planètes ; on célébrait un office devant son image dans un endroit déterminé de la crypte. Il y avait aussi des fêtes solennelles à certains jours de l’année. Une des plus importantes était fixée au 25 décembre, où l’on célébrait la renaissance du Soleil (Die natalis Solis invicti). Les équinoxes étaient des jours fériés ; les initiations s’opéraient de préférence au printemps, vers l’époque pascale, où les chrétiens admettaient également les catéchumènes au baptême. Les communautés mithriaques ne furent jamais au service de l’État : leur représentation juridique était cependant assurée par le collège de décurions qu’elles élisaient chaque année ; elles avaient leurs présidents ou « magistri », leurs défenseurs, leurs patrons, qui veillaient à leurs intérêts civils. Les sanctuaires du mithraïsme ne furent, d’ailleurs, jamais très spacieux ; ils ne pouvaient guère contenir qu’une centaine de fidèles. Quand la communauté devenait trop nombreuse, elle se dédoublait et envoyait une colonie fonder un autre « mithreum ».

La lente séparation de la religion et de l’initiation

On peut se demander si ce principe de dédoublement du « mithreum » et ces missions ne correspondent pas à des coutumes très anciennes qui expliqueraient peut-être, en dehors du cas particulier du mithraïsme, à la fois la grande ressemblance que présentent entre eux la plupart des mystères du monde antique et l’analogie évidente de l’organisation et des rites des sociétés secrètes traditionnelles dans les pays les plus divers.

Avec la naissance et les progrès du christianisme, nous allons constater que la distinction entre l’enseignement exotérique et l’ésotérisme, entre la religion et l’initiation, va devenir de plus en plus nette, jusqu’à se transformer en une division totale, dans les temps modernes. Parallèlement, des conflits philosophiques et sociaux se sont aggravés de siècle en siècle, dans la mesure où la civilisation contemporaine, éloignée de la foi ancestrale, n’en a pas été rapprochée pour autant du savoir initiatique, à l’exception d’une élite trop peu nombreuse et disposant de moyens d’action insuffisants par rapport à l’ampleur toujours croissante des tâches à accomplir et des problèmes à résoudre. La lente dégradation de l’unité spirituelle de la civilisation occidentale demeure l’un des faits fondamentaux de l’histoire universelle. Nous allons tenter maintenant d’en rappeler les phases principales et d’en rechercher les causes.


[1] Pindare, Sophocle, Proclus, Platon, Cicéron, Pline et bien d’autres auteurs grecs et romains illustres ont exprimé dans leurs œuvres l’admiration et le respect qu’ils éprouvaient pour les mystères d’Éleusis. Aristide le Rhéteur écrit : « Éleusis est le sanctuaire commun à toute la terre ; parmi les choses divines accordées aux hommes, il n’en est point de plus terrible ni de plus brillante. En quel lieu des mythes plus admirables ont-ils été chantés ? des drames plus importants ont-ils saisi l’esprit ? Où a-t-on vu les spectacles rivaliser plus heureusement avec les paroles entendues, scènes admirables contemplées au milieu d’apparitions indicibles par des générations innombrables d’hommes bienheureux… » (Éleusinos, Tome I, page 256, éd. Dindorf). Cicéron loue les « mystères augustes » d’Éleusis, « la sainte où viennent s’initier les nations des rivages les plus éloignés » et les Athéniens « de chez lesquels, suivant l’opinion commune, sont sortis, pour être distribués sur toute la terre, la civilisation, la science, la religion, la culture, le droit, la législation ». (De Legibus, II, 14. De natura deorum, I, 119).
[2] Platon rappelle dans « La Politique » que le roi, à Athènes, a le privilège des choses sacrées les plus vénérables et les mieux aimées des ancêtres. Aristote ajoute : « Le roi s’occupe d’abord des mystères ? avec les épimélètes que le peuple élit au nombre de deux pour l’ensemble des Athéniens… » (Politeia des Athéniens). Démosthène, en l’adressant aux citoyens de la cité, leur rappelle que « le roi faisait tous les sacrifices, et son épouse, comme reine, accomplissait naturellement les cérémonies les plus vénérables et les plus mystérieuses » (Contre Néère).
[3] Cette idée semble universelle si l’on en juge par les faits cités par Frazer, qui énumère les peuples ayant eu la même croyance et où l’on trouve aussi bien les Polynésiens que les Siamois et les Indiens. Plotin explique ainsi le mythe de Cronos, fondateur de la monarchie divine : « L’intellect (le « Nous »), dit-il, est plein des choses qu’il a engendrées ; il les dévore, en ce sens qu’il les retient en lui-même, qu’il ne les laisse pas tomber dans la matière ni être dévorées par Rhéa. Cronos, le plus sage des dieux, naquit avant Zeus et dévorait ses enfants. Cronos représente l’intelligence pleine de ses conceptions et parfaitement pure. »
[4] Ce texte fait allusion à une traversée mystique. Celle-ci était accomplie après divers autres rites que décrit ainsi V. Magnien : « Le futur roi se prépare à l’avance par certains exercices comme la garde des animaux et la chasse. Il a une retraite où il peut reconnaître les maux de l’humanité.
Il doit accomplir la traversée d’un fleuve ou d’un bras de mer — symbolique — d’abord à la nage ; puis sur une barque, prenant ainsi un corps nouveau et des énergies nouvelles, devenant pilote de navire symbolique. Il aborde au rivage des îles Bienheureuses.
Avant la réception, il est lavé et purifié. Il doit parvenir au sommet ; les dieux, puis Zeus seul, l’accompagnent ; il doit finalement se confondre avec Zeus.
Il entre dans le sanctuaire, où il contemple le dieu face à face et s’identifie avec lui ; il est illuminé et devient illuminateur. Il revient pour illuminer la foule. »
[5] Ce passage — intitulé dans Plutarque « La vengeance tardive de la divinité » (voir le livre de Magnien, page 339) — voile, sous la fable, des allusions à l’initiation royale.
[6] La partie de l’âme qui comprend les sentiments et les passions.
[7] Comparer ce passage avec les descriptions du « Livre des morts tibétain, le Bardo Tödol ». De nombreuses analogies peuvent y être constatées.
[8] Les résultats de cette enquête ont été donnés par Mlle A.M. Quétin dans sa thèse de faculté de médecine : « La psilocybine en psychiatrie clinique et expérimentale » (10 juin 1960). Citons encore l’ouvrage du professeur Heim, du Muséum d’histoire naturelle, et du docteur Watson : « Les Champignons hallucinogènes du Mexique ». Dans une étude intitulée « Je suis allé au Paradis », et publiée dans la revue Planète (N° 7, page 55), le poète Robert Graves rapporte les images qui ont envahi son cerveau à la suite de l’absorption de psilocybine.
[9] Citations extraites d’un article du professeur Roger Heim : « Les Champignons sacrés des prêtres mayas au service de la médecine » (Revue du Muséum).
[10] Cet usage a été gardé durant les siècles par les pirates malais dont, par ailleurs, la langue et la stratégie particulières présentent de curieux rapports avec les traditions sumériennes de la navigation.
[11] « Ayant regardé le « Logos » divin, dit Orphée à son fils, assieds-toi près de lui, dirigeant l’esquif intelligent de ton cœur, gravis bien le sentier et considère seul à seul le roi du monde. Il est unique, né de lui-même, et tout vient d’un seul être… » (Orphica, éditions Hermann).
Il y aurait, certes, maints commentaires à faire au sujet de ce fragment d’inscription, mais nous nous bornerons à signaler au lecteur un livre de Guénon : « Le Roi du Monde » (Chacornac – Paris 1960), et l’analogie que présentent les attributs orphiques du « roi du monde » avec ceux que la tradition biblique prête à « Melkitsédek » ou « Melchisédech » selon l’ordre duquel saint Paul enseigne que Jésus a été fait pour toujours souverain sacrificateur (Hébr., VI, 20) : « En effet, ajoute saint Paul, dans l’Épître aux Hébreux 7 : 1, 3, ce Melchisédech, roi de Salem, sacrificateur du Dieu Très-Haut, qui alla au-devant d’Abraham lorsqu’il revenait de la défaite des rois, qui le bénit, et à qui Abraham donna la dîme de tout, qui est d’abord roi de justice, d’après la signification de son nom, ensuite roi de Salem, c’est-à-dire roi de paix, qui est sans père, sans mère, sans généalogie, qui n’a ni commencement de jours ni fin de vie, mais qui est rendu semblable au fils de Dieu, ce Melchisédech demeure sacrificateur à perpétuité. »
[12] Les découvertes des « tombes royales » d’Ur indiqueraient une source sumérienne de ces rites plutôt qu’une origine égyptienne, comme semble le croire J.R. Conrad dans « Le culte du taureau » (Payot 1961, p. 134).
[13] Les rites comportaient un exercice extraordinaire : des athlètes des deux sexes descendaient dans l’arène puis sans armes et immobiles, ils attendaient l’attaque du taureau. Juste avant d’être projeté en l’air par un coup de tête, le champion agrippait les cornes, exécutait un saut périlleux et retombait debout soit sur le dos de la bête, soit à terre.
[14] « Le taureau était mis à mort par le prêtre et son sang retombait sur les prosélytes. Abondamment baignés dans le liquide purificateur, ces derniers sortaient alors de la fosse pour recevoir et absorber un peu de semence de l’animal, prélevée par le prêtre dans les testicules de la bête », écrit J.R. Conrad dans son ouvrage sur « Le Culte du taureau » (p. 170). Plus loin, le même auteur écrit à propos du thème de la résurrection dans le culte de Mithra : « Ceux qui avaient eu la véritable foi devaient acquérir la vie éternelle grâce au vin préparé avec le sang du taureau sacré ; quant aux autres, ils étaient condamnés à rester dans l’obscurité éternelle. » Il dit encore (p. 175) : « On a, par exemple, de bonnes raisons de supposer que le prêtre suprême de Mithra résidait sur la colline vaticane. Après la mort de Julien l’Apostat, qui avait reçu le baptême mithraïque, le siège de la papauté païenne semble avoir cédé la place au chef de l’Église chrétienne. »
Si l’on peut faire quelques réserves à propos de ce dernier jugement de J.R. Conrad, il n’en est pas moins important de remarquer que la grande fête de Mithra était célébrée le 25 décembre. Le pape Libère, en 354, transféra du 6 janvier au 25 décembre la fête célébrée en l’honneur de la Nativité.
[15] Nous avons résumé sur ce point les recherches classiques de F. Cumont, selon l’analyse de Goblet d’Alviella : « Croyances, rites et institutions » — Geuthner, Paris, 1911.
[16] D’après certains auteurs, ces degrés étaient au nombre de douze ; mais il est possible que certains grades aient comporté plusieurs subdivisions.
[17] On a souvent cité le passage de Nonnus, le grammairien, ou cet écrivain de la fin du VIe siècle décrit les épreuves des néophytes dans le mithraïsme. Ceux-ci devaient traverser le feu et l’eau, endurer le froid, la faim, la soif, la fatigue de la marche, etc. M. Cumont traite ce récit d’hallucination et n’est pas éloigné de croire que l’imagination de Nonnus aurait inventé ces supplices. Cependant, nous savons que plusieurs de ces épreuves figuraient réellement dans l’initiation, du moins sous forme de simulacres. Pourquoi n’en eût-il pas été de même des autres détails que rapporte l’écrivain byzantin ? Il est certain qu’il avait dû puiser aux sources, puisque c’est lui qui nous révèle les termes d’« hypobase » et d’« anabase », employés dans les mystères pour indiquer la descente et l’ascension des âmes.
[18] Plusieurs passages d’écrivains antiques confirment cette hypothèse. Firmicus Maternus, dans son traité « de Erroribus profanarum religionum », nous dit que les « mages feignent d’adorer un homme tuant un bœuf, mais ils rapportent ce culte à la puissance de la lumière ». Plus explicite encore est Pallas : « L’opinion commune, dit-il, est que ces noms d’animaux et de monstres se rapportent au zodiaque ; en réalité, les sectateurs de Mithra veulent faire entendre ainsi certains secrets sur l’âme qu’ils représentent comme apte à revêtir plusieurs corps. »

http://www.revue3emillenaire.com/blog/les-societes-secretes-antiques-eleusis-et-mithra-par-rene-alleau/

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27 juin 2016

Géométries Sacrées reptiliens et prédation énergétique

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Géométries Sacrées, tome 2

.A propos des réseaux : Nickel=Hartmann, Cuivre=Palm, Or=Peyré, Fer=Curry, Aluminium=Wissmann.

« Nous avons l’impression qu’il s’agit d’un phénomène électromagnétique naturel qui n’est pas de nature éthérique ou subtil. » Une sorte de « fractale d’un champ magnétique terrestre multipolaire. »

Pourquoi ? Parce qu’il y a une multitude de trames, un lien réseaux-métaux, une alternance de lignes positives/négatives… et aussi parce que le sous-sol influe sur les réseaux, qu’un champ magnétique déplace (écarte) les lignes, que les réseaux modifient la quantité des ions dans l’air…

Les ondes cérébrales doivent probablement entrer en résonance avec les réseaux (pour le déplacement des lignes par la pensée).

Les cheminées : elles naissent en poussant comme des fleurs. Les bras seraient un signe de maturité et il peut en fait y en avoir jusqu’à douze.

Les vortex : Ils ont tous la même taille, il n’y a pas de « petits » vortex. Il existe quelques vortex sans spirale, par contre. Les lieux sacrés sont pour les 3/4 situés sur des vortex. Ils ont des multiples propriétés, mais attention aux rencontres avec des entités négatives à ces endroits.

Avec un organomètre on peut détecter un effet sur les méridiens, équilibrant et bénéfique. Il faut pour cela rester une heure sur un vortex.

Les courants d’eau : Un cours d’eau souterrain peut diminuer le champ magnétique terrestre de 1,5% ! (et le champ vital de -30%).  »Le champ vital réagit proportionnellement au champ magnétique terrestre. » L’effet des cours d’eau est toujours négatif. Il provoque un relâchement des muscles, engendrant le mouvement de la baguette du sourcier. Cela est du au frottement de l’eau contre la roche. Si l’on reste sur un cours d’eau, le champ vital diminue jusqu’à -65%. Une personne s’épuise jour après jour et en quelques mois peut avoir une maladie grave.

Les failles : Elles sont dévitalisantes. L’effet est très négatif. Elles resserrent le réseau Nickel.

Le champ magnétique d’une bobine augmente le corps éthérique. Le maximum de l’augmentation est à 2,5 Hz (+150%).

Un objet a plus d’effet sur le champ vital s’il est relié à un champ de conscience « plus vaste ». Par exemple : Concentration d’énergie dans les os d’un saint, et encore davantage si ces os sont recouverts d’or (émetteur). Si l’objet est puissant, le plan équatorial du corps énergétique s’élève, l’énergie monte à la tête (euphorie).

Les tumuli : Tous les lieux anciens, consacrés aux morts, ont les mêmes particularités :
- Interaction de lignes négatives niv. 3 ou plus
- Cheminée cosmotellurique négative, ou fortement négative
- Réseau Nickel manipulé intentionnellement (barrière magique)
- Pas de lignes Nickel sur les tombes (zone neutre)
- Lieu géométrique, basé sur le nombre d’or, la racine de 2 ou de 3

Autre phénomène cosmotellurique non décrit dans le tome 1 : les « piliers du ciel ». Ils sont plus puissants que les vortex.
- Trou ovale dans le réseau Nickel, aligné est-ouest (environ 20/30m dans un cas).
- « Colonne » verticale comme une onde de forme, de 7 cm de diamètre
- Celui découvert était sur une pierre à cupule
- Possible origine : un gouffre cylindrique souterrain dont le rayonnement remonte à la verticale.

Les allées couvertes : On a une perte d’énergie à l’entrée puis le parcours produit un effet de charge jusqu’à la chambre terminale, qui elle, est positive.

Autre dispositif magique non décrit dans le tome 1 : Les portes astrales. Ce sont des cylindres de 80 cm de large sur 180 cm de haut, placés sur la spire d’un vortex. Elles permettent de se connecter à d’autres réalités, ce qui n’est pas toujours agréable. Attention aux entités. [Note : c'est peut-être ce que décrit Jan van Helsing quand il parle du monastère cistercien de Loccum.]

Comment améliorer une maison ? Il faut déplacer les cheminées négatives qui s’y trouveraient (on les remarque d’ailleurs lorsqu’il y a des colonnes de moucherons), et il faut caler les lignes telluriques dans les murs.

Les Elémentaux : Ils sont dans d’autres dimensions, comme dans des « rêves » différents. Le temps s’écoule différemment, la notion de temps diffère selon les entités. Les Elementaux sont perceptibles au Sonotest. Ils produisent une « charge ionisée ». Leur taille : 30 cm pour les nains, 60 pour les gnomes, 110/140 pour les trolls. Les Trolls sont plus solitaires, moins bavards. Les grands Elementaux font 3 ou 4 mètres, et ressemblent parfois à des divinités égyptiennes ou hindoues. Ils sont solitaires et dirigent parfois les entités plus petites. Ce sont des gardiens de sources, rochers, lacs, cavernes… peut-être instructeurs de l’humanité autrefois ? Certains font même 7 mètres, ce sont alors des gardiens de vallées ou montagnes.

Il y a une face obscure aux Elementaux. Certains sont « liés aux forces lucifériennes, celles qui ont créé la matière pour que l’Esprit puisse en faire l’expérience et progresser », mais d’autres enchaînent à la matière, ce sont alors des Elementaux noirs, des « démons ».

Comment aborder un lieu sacré ? Il faut une planche à dessin, un Sonotest, un géomagnétomètre, une boussole, des drapeaux de couleur, des baguettes (rad-master), un mètre pliable, et un appareil photo. Stéphane Cardinaux décrit la procédure de découverte des phénomènes cosmotelluriques et la manière de les localiser.

Géométrie sacrée : Il y a deux familles de proportions : celles basées sur une racine carrée (2 ou 3) et celles basées sur le nombre d’or et sa racine.

Il existait une « proto-géométrie véhiculée par un groupe d’initiés ». Les bases ont été développées entre 6000 et 2500 av. J.-C., ensuite, il n’y a pas de nouveautés. Peut-être ont-ils imités la nature. Les proportions basées sur la racine carrée de 2 par exemple, sont présentes dans la nature.

La pyramide maya de Chichen Itza ou le théâtre d’Avenches utilisaient quant à eux la division dorée.

Les tracés peuvent utiliser des techniques de bissection, de rotation…

En traçant les lignes d’un bâtiment, on découvre par statistiques quel est le tracé régulateur.

Les symboles peuvent aussi avoir un effet sur le champ vital. La svastika dextrogyre augmente le champ vital tandis que la sauvastika levogyre le diminue. Comme pour le Sri Yantra : mal tracé, il diminue le champ vital. Le principe de chiralité s’applique donc ici, sauf pour l’exception de la spirale d’or (elle augmente le champ vital dans un sens ou dans l’autre).

Bioénergie

Ce livre résulte de la tentative de trouver un lien, un pont, entre les plans. C’est une approche plus féminine que celle des précédents livres.

Tout a une influence sur le champ vital, que ce soit un phénomène ou la pensée… il n’y a pas de différence.

La « réalité » dépasse de beaucoup ce que l’on imagine. Tout est interconnecté et le champ vital varie même si l’on se projette mentalement à un endroit dans le passé ou dans le futur.

Il est difficile de cerner « scientifiquement » le champ vital. Même il est en rapport avec l’effet Kirlian et est détectable au Sonotest.

Champ vital proche : 20/25 cm
Champ vital médian : 1m50/2m50, moyenne à 1m65. Valeur minimale 85 cm, maximale 265 cm (en cas de grossesse, le bébé dans le ventre amplifie le champ vital).
Champ vital lointain : dizaines de mètres, plusieurs harmoniques. Les harmoniques sont comme un sonar qui capte les informations.

Le champ vital est une condensation de couches jusqu’au corps physique palpable, comme des vagues dans l’eau mais stationnaires. Ces couches sont de nature éthérique (ce n’est pas l’aura, qui est astrale).

Trois cloisonnements sont intéressants : le plan vertical, horizontal et latéral.
On peut ressentir les couches avec les mains : picotements, pression, résistance…

Le corps humain physique et surtout bioénergétique capte des informations : l’ADN et l’eau intracellulaire font le pont entre le subtil et le physique.

Le corps éthérique voit tout autant ou même plus que le corps physique, on le sait par des tests faits à l’aveugle sur des objets.

Les phénomènes positifs dilatent le champ vital, mais des phénomènes négatifs le comprime. Un champ vital dilaté est plus sensible à l’environnement.

Une personne ancrée est peu perméable. Quand une personne n’est pas ancrée, elle a des haut et bas énergétiques car le mental (6e chakra) accomplit une fonction de protection qui devrait plutôt revenir au corps (3e chakra). Les blocages émotionnels sur les chakra 1 à 3 augmentent le risque de maladie.

Le champ vital est composé de trois axes principaux qui se croisent au nombril. S’il y a un décalage de ce centre, cela pose un problème. Constater les décalages fournit un bon système de mesure. On peut mesurer le décalage avec les mains. Il y a différents types de décalages (mental, émotionnel, physique…) Trop de déséquilibre (comme par exemple en cas d’entité parasite) provoque des troubles d’équilibre, de vue, de coeur, jusqu’à la perte de conscience.

Les produits à chiralité dextrogyre ne sont pas adaptés au corps car ils décalent l’axe vertical à gauche. Même chose pour les champs électromagnétiques, alternatifs et pulsés, qui produisent aussi cet effet.

Un décalage se produit aussi en réaction à des perturbations du sous-sol, ou en réaction à des émotions négatives (les siennes ou celles de personnes autour de soi).

Les chakras sont audibles au Sonotest :

7 – magenta – fontanelle
Intermédiaire – pourpre – front
6 – indigo – sourcils
Intermédiaire – bleu – bouche
5 – cyan – pomme d’adam
Intermédiaire – turquoise – clavicules
4 – vert – coeur
Intermédiaire – pomme – estomac
3 – jaune – nombril
2 – orange – bas ventre
1 – rouge – périnée

Les déséquilibres indiquent des besoins non satisfaits, le sentiment de ne pas être comblé.

7 – Sentiment de ne pas exister / je suis heureux – besoin de spiritualité
6 – Sentiment de ne pas savoir / je suis libre – besoin de connaître
5 – Sentiment de ne pas être compris / je suis compris – besoin d’exprimer
4 – Sentiment de ne pas être aimé / je suis aimé – besoin d’amour
3 – Sentiment de ne pas être respecté / je suis respecté – besoin de réaliser
2 – Sentiment de ne pas être accepté / je suis accepté – besoin de sexualité
1 – Sentiment de ne pas avoir assez / je suis comblé – besoin de matérialité

Les personnes les plus équilibrées ont les chakras 1, 4, 6, 7 plus grands que la « bulle » du champ vital et les chakras 2, 3, 5 juste à l’intérieur du champ vital.

La polarité des chakras alterne. La polarité est perceptible avec un appareil Spinor.
Les chaînes humaines (donc également certaines danses traditionnelles) augmentent l’énergie par le lien des mains.

La vitalité dépend de l’activité des 3 premiers chakras.

Les chakras intermédiaires pomme et turquoise ont une fonction liée au chakra vert / 4e (relationnel et émotions).
Turquoise : lié à l’empathie, au guidage intérieur.
Pomme : il digère ce que capte le turquoise.

Le 7e chakra agit sur l’aspect vibratoire (le « flux« ). Le 1er chakra agit sur la quantité d’énergie globale.
Un bon équilibre cosmotellurique permet une meilleure défense contre les nuisances et la prédation énergétique. Or, 80% de la population n’est pas ancrée. Être ancré veut dire être en lien avec le tellurisme. Cela est lié au manque de confiance, à la honte. Le 1er chakra est important car il garantit la survie.

Il y a 6 profils types selon les tendances bioénergétiques. L’équilibre est rare (5%), lorsqu’à la fois on est relié horizontalement (relation harmonieuse entre soi et les autres) et verticalement (relation entre les idées et leur réalisation).

La fréquence de résonance se mesure en plaçant une bobine émettant un champ magnétique près du champ vital et la faire varier sur une plage de 10 à 60 Hz (à 400 nT).

Après des mesures sur 100 personnes, on obtient une courbe de Gauss. La fréquence de résonance des personnes varie peu dans le temps. Elle indique le « potentiel de conscience » de quelqu’un, et cette fréquence est toujours limitée par le système de croyance (ex : vision négative de soi).

[Note à propos de la fréquence de résonance : Dans les recherches de Laura Knight-Jadczyk, on retrouve ce même concept, qui est appelé "Vibration de la Fréquence de Résonance" (en anglais FRV). La FRV correspond au niveau de conscience d'une personne. Les changements drastiques dans la vie, au niveau mental, émotionnel et psychique sont symptomatiques d'un changement de la FRV. Par exemple, un changement de la FRV provoquera un désintéressement envers ses précédentes occupations. Par contre, les modulations de vibration de la résonance de fréquence peuvent être altérées ou modifiées de l'extérieur si l'on n'est pas assez prudent, lors d'attaques. Par exemple, des groupes secrets peuvent utiliser des moyens mécaniques et psychiques pour découvrir les personnes qui ont une FRV risquant de déstabiliser le pouvoir en place. Cela implique la détection de la "signature" atomique de la structure cellulaire d'un individu. La FRV est en rapport avec le corps éthérique, et elle peut être estimée par vision à distance. Un changement général de la FRV d'un grand nombre d'êtres provoque un changement sur la réalité. Un groupe ayant des FRV en correspondance peut, comme un orchestre, avoir un volume plus important et "créer un conduit" entre différents plans de la réalité. "L'enveloppe de fréquence a différentes applications."]

Les statistiques recueillies par Stéphane Cardinaux montrent 3 ou 4 pics dans la population. Ce sont comme des « paliers » de conscience.

Les pics de fréquence de résonance parmi la population. Image : Stéphane Cardinaux

Différentes problématiques sont associés aux différents paliers de conscience :

Vers 15 Hz : souffrir de ne pouvoir faire
Vers 23 Hz : apprendre et faire
Vers 33 Hz : expérimenter et faire
Vers 43 Hz : expérimenter et être
Vers 53 Hz : être et initier les autres
Vers 63 Hz : souffrir de ne pouvoir être

Les personnes qui ont la même fréquence (+/- 1 Hz) ont l’impression d’être sur la même longueur d’onde. Une différence de plus de 10 Hz produit une séparation dans un couple. « Changer de fréquence, c’est changer de paradigme. Les intérêts évoluent et les activités aussi. » Il y a aussi une diminution de 1 Hz tous les trois ans s’il n’y a pas de prise de conscience augmentant la fréquence de résonance.

« Statistiquement, plus la fréquence est élevée, plus le champ vital est grand. Entre 20 Hz et 55 Hz (80% des personnes), il y a un grain de 3 Hz par tranche de 10 cm de champ vital. Ainsi, lorsque nous voulons gagner du temps et nous épargner le protocole de mesure de la fréquence, nous nous contentons de mesurer la bulle du champ vital au niveau du nombril et de regarder à quelle fréquence cela correspond dans le graphique. Par expérience, sur plus de 60 personnes, cette précision est largement suffisante. »

La durée des cycles de vie varie aussi selon la fréquence de résonance, correspondant aux chakras (= 7 cycles). Entre un cycle à un autre, il y a aussi généralement un changement de vie. On peut ainsi dater précisément les évènements de la vie d’une personne. Cette méthode a été utilisée pendant 3 ans sur 800 cas. Exemples :

30 Hz : cycle de 5 ans : 7×5 = 35 ans, puis à 70 ans…
40 Hz : cycle de 3 ans : 7×3 = 21 ans, puis à 42 ans, 63 ans, 84 ans…
50 Hz : cycle de 1 an : 7×1 = 7 ans, puis à 14, 21, 28, 35, 42, 49, 56, 63, 70, 77 ans…

Si l’on remarque qu’un chakra est perturbé (petit), c’est qu’il y a eu un problème dans le cycle correspondant. Les problèmes se répercutent sur le chakra du cycle qui lui correspond. On peut déterminer à quel endroit se trouve l’énergie. S’il y a un blocage au niveau où se trouve l’énergie, apparaissent alors des fuites et des douleurs (ex : douleurs dorsales).

Le temps est une illusion. Il devient subjectif dans l’astral même s’il est mesurable dans le physique.

« Lorsque la conscience fait taire le mental et accède au non-temps, toute la réalité devient une vaste illusion où chaque chose, chaque événement prennent l’allure d’un signe pour qui sait l’interpréter. Le passé, le présent et le futur ne forment plus qu’un, les causes créent des effets et les effets des causes. Tout se superpose et c’est très dur pour notre mental habitué à tout classer. Le hasard n’existe pas, tout est synchronicité. Tout est inscrit à l’avance (futurs possibles), cependant tout peut être changé à chaque instant (le maintenant). Dans ce contexte, les notions de salut, de réincarnation, de vie éternelle prennent un tout autre sens. Le monde se crée en permanence. Nous nous incarnons sans cesse. Le salut est dans l’ici et maintenant. »

Les aspects transgénérationnels sont dues à des « résonances » (choisies lors de l’incarnation) avec les ancêtres.

Les chakras ont aussi leur fréquence de résonance. Chaque fréquence agit sur l’ADN. Les chakras sont comme des touches du piano. Ex : les cristaux agissent par résonance avec la personne.
La résonance est un élément clé de compréhension.

Pour déterminer la fréquence de résonance des chakras, on place la bobine sur le chakra. On cherche la « résonance fondamentale » (la première détectée à partir de 1 Hz). Cette fondamentale change selon les chakras. La fréquence de résonance du 1er chakra est égale à la fréquence de Schumann (fréquence de résonance de la Terre). Les fréquences de résonance des chakras suivent les lois de la nature (rapports musicaux de la gamme naturelle), sur une plage de 3 octaves.

Les ondes de forme des objets réagissent aussi au champ magnétique alternatif. On obtient des pics. On a donc la fréquence de résonance de différents cristaux… et surprise ! elle correspond à l’effet traditionnel de la pierre. Par exemple, l’or et le diamant sont les plus proches du 7ème chakra.

Le son aussi entre en résonance avec les chakras qui sont comme des sélecteurs de fréquence. Les sons graves font plutôt résonner le bas du corps et les sons aigus le haut du corps.
Entre 100 et 1000 Hz, le corps perçoit les sons à l’intérieur, au-delà la fréquence correspond à des points au-dessous du 1er chakra ou au-dessus du 7ème.
A noter que le O a une action sur les chakras du bas, le A sur ceux du milieu et le I sur ceux du haut.

On obtient une courbe qui peut avoir des différences selon les individus mais qui est toujours exponentielle, à l’instar de la courbe des résonances magnétiques des chakras.

Moyennes selon les chakras : 1er à 120 Hz, 2e à 130 Hz, 3e à 150 Hz, pomme à 170 Hz, 4e à 185 Hz, turquoise à 260 Hz, 5e à 350, 6e à 600 Hz, 7e à 850 Hz.

Nous avons aussi une résonance avec les couleurs. La couleur préférée est souvent la couleur de résonance et la couleur la moins aimée est la couleur complémentaire.

Stéphane Cardinaux avait commencé par faire des expériences avec des torches et filtres de couleur. Mais il s’est rendu compte qu’il suffisait de penser à une couleur et de l’émettre par la main droite pour qu’elle ait une action sur quelqu’un. On peut alors mesurer le changement sur le champ vital de la personne de la main gauche.

La grandeur du champ vital correspond aussi aux couleurs et à la fréquence de résonance. Quand on connaît la dimension du champ vital, on peut en déduire la fréquence de résonance et la couleur préférée d’une personne.

Les tubes extrasensoriels : Il y en a 7 autour de la tête, disposés en étoile, et rayonnant à partir d’un globe central. C’est un dispositif éthérique. On peut le mesurer avec la main, en la plaçant à 30 cm de la tête.

Ils sont visibles par clairvoyance comme des tubes jaunes dans l’éthérique, et comme des flammes de couleur variable dans l’astral. Ils correspondent aux sens physiques mais pour l’extrasensorialité.

Le tube vertical est le plus important : c’est celui de la « claire-information », de la médiumnité. Les autres tubes dépendent de celui-ci.

Intuition : tube à l’arrière de la tête
Claire-vision : devant la tête
Claire-audience : des deux côtés des oreilles
La claire-olfaction, claire-saveur et clair-ressenti (psychométrie) sont des cas plus rares.

Cependant, « c’est une illusion de croire qu’une meilleure clairvoyance élève l’esprit ».

Pour la moitié des personnes, au-delà de 40 Hz elles ont un don, et celui-ci s’active quand les 7e et 4e chakras se renforcent (c’est-à-dire le « coeur » et le « flux »).

La détection par les tubes est plus efficace que d’utiliser des instruments en géobiologie.

Entre les individus des tubes peuvent parfois relier deux chakras :
2e chakra : dans les danses/groupes
4e chakra : dans le cas de jumeaux/mère-enfant, etc
6e chakra : donne la télépathie, permet de sentir tout ce que l’autre ressent

Les canaux qui relient les chakras sont au nombre de 3. Un canal central est entouré de deux qui forment une double hélice (ida/pingala). L’énergie kundalini est bloquée par les kystes émotionnels : si elle parvient jusqu’à la tête, elle l’allume comme une ampoule. On peut aussi apercevoir cette clarté en méditation, en état d’inspiration, lors d’un concert, chez un thérapeute, etc. Cela forme une aura dorée.

L’éveil de la kundalini est dangereux car c’est une énergie sexuelle. Elle passe par trois étapes : 1- chaleur, 2- présence à soi, 3- lien transcendantal, qui permet la descente de l’énergie supérieure dans le coeur.

Les limites mentales, le manque d’intégration et le non-amour de soi-même ouvrent des portes aux attaques, et aux formes-pensées.

Il y a trois types d’entités dans le bas-astral : les défunts, les parasites astraux et les entités non-humaines.

Les défunts peuvent s’accrocher à notre énergie, à notre part d’ombre qui est en résonance avec eux.
Les parasites astraux sont des sortes de bêtes qui s’accrochent à une zone du corps et créent une perturbation détectable avec la main (froid, picotements…). Ex : kyste astral, méduse astrale, oursin astral…
Il peut y avoir des entités non-humaines comme des reptiliens, qui viennent en résonance à des pensée orientées « sur le pouvoir, la violence et la finance. »

Les trois premiers chakras sont liés au corps.
Le coeur et les 2 intermédiaires sont liés à l’âme et aux émotions/sentiments.
Les trois chakras du haut sont liés à la tête et à l’esprit.
Quand il y a une disharmonie, il y a une perturbation et un risque d’être parasité. C’est souvent le résultat de la relation avec le père ou la mère.

Les attributs karmiques : Ils sont visibles par clairvoyance. Ce sont des formes liées à la vocation/mission de la personne. Elles sont plus ou moins actives selon l’utilisation du don. Exemple d’attributs karmiques : flamme, cornes, boules, ailes, armures, ceinture, couronne… les couleurs sont variables.

Les « enfants indigos » : La majorité sont déjà adultes. Leur fréquence de résonance est de 30/60 Hz. Ce sont des personnes rebelles contre l’autorité, développant leur potentiel rapidement. Ce sont des personnes en marge, il y a un décalage entre leur idéal et celui de la société. Leur idéal est irréalisable à cause des autorités.
Les « enfants magenta » : Ils aiment le mouvement, le changement, cela peut exaspérer l’entourage. Leur mental interfère souvent avec la vie. Ils sont individualistes, idéalistes, ne supportent pas l’injustice, tombant parfois dans la dépression. Ils ont du mal à s’adapter, n’ont en général pas d’activité professionnelle et vivent aux crochets des parents, d’amis ou d’institutions (80% des cas). Ils ne supportent pas la hiérarchie et ont un problème d’ancrage.

Lorsque les enfants grandissent, ce sont les chakras du bas qui se développent d’abord. Le profil constitué à 7 ans reste fixé pour les 30 ans suivants. Le champ vital chute brutalement durant les premières années et décline après 65 ans. Vers 4/5 ans, le 4e chakra se développe un peu plus chez les hommes.  A la mort, le champ vital met 3 jours pour se désintégrer.

Le champ vital passe de 3 m à 2 m de 0 à 20 ans, puis de 2m à 1m50 de 20 à 60 ans, puis de 1m50 à 1m de 60 à 90 ans. Les grossesses augmentent l’ancrage et le 1er chakra. Les prises de conscience (= se voir tel que l’on est) contrebalancent l’effet du vieillissement. Les grossesses et les pèlerinages peuvent aussi fortement augmenter le champ vital (ex : de 1,40 m à 2m).

Deux polarisations sont possibles : L’intelligence peut être mise au service de l’ego ou du coeur (schéma 6/3 ou 7/4/1). Note : on peut parler de service-de-soi ou de service-des-autres. Ce processus a été décrit avec précision par Ra. 

Le 6 (mental) avec le 3 (corps, égo, moi) forme un cercle vicieux. Entre le 6 et 3, le coeur au milieu est fermé.
Si l’on ajoute à ce schéma le 4 (coeur) entouré du turquoise (acceptation de soi) et du pomme (estime de soi), on redresse le cercle qui se relie au 7 (sens de la vie) et au 1 (réalité de la vie). C’est l’alignement.

Le mode 6/3/1 forme une séparation avec l’extérieur, une mentalité de combat, de compétition, où la peur est omniprésente (esprit de possession). Le coeur s’assèche. La confrontation avec la mort produit un changement et peut permettre au coeur d’être écouté. Cela augmente l’empathie.

Avec le 7/4/1, il y a une cohérence entre les pensées et les actes. Il y a une unité des plans de conscience, une reliance. Le passage du schéma 6/3/1 au schéma 7/4/1 est l’équivalent d’une « mort à soi-même », d’un parcours initiatique.

Les perturbations électromagnétiques : Elles sont nombreuses dans notre société, et induisent une diminution du bien-être, des troubles du sommeil, etc. Ces troubles diminuent si la puissance de l’émission diminue.
Pour un champ magnétique, l’idéal est 0/30 nT, en évitant d’être à 200 nT et ne jamais être à 500 nT.
Pour un champ électrique, l’idéal est moins de 30 V/m, en évitant d’être à 200 V/m et jamais 500 V/m.
Pour un champ EM, l’idéal est moins de 0,6 V/m, en évitant d’être à 1,5 V/m, et jamais 2 V/m (noter que la norme en France est de 41 V/m !)

Les antennes GSM ont un rayonnement particulier, il faut éviter d’être dans l’axe de l’émission. Il faut éviter d’être à moins de 160 à 200m/300m selon la nature du sol. L’impact est beaucoup plus fort si l’antenne se trouve sur une faille.

Il y a d’autres sources néfastes comme les téléphones sans fil DECT, les bornes Wi-Fi et les ordinateurs. Les écrans cathodiques sont aujourd’hui remplacés par des écrans plats qui n’ont aucune nuisance. Le seul problème avec les ordinateurs est donc le câblage électrique, et dans le cas des ordinateurs portables c’est la proximité du disque dur par rapport aux doigts (méridiens affectés).
Les portables et les téléphones DECT sont une nuisance, même en veille. En commun, ils font diminuer le champ vital de 30 à 70%. Même à 3m, ils diminuent le champ vital. Il faut une fois et demi le temps de la conversation pour revenir à la normale. Ils causent un champ de torsion gauche. La plus grave nuisance vient des bases des téléphones DECT qui émettent en permanence.

Les lignes haute tension ont une forte nuisance à moins de 40m, et la nuisance sur le champ vital s’étend jusqu’à 100m.

Les micro-ondes ont des problèmes de fuite au niveau de la porte. Il ne faut pas rester devant. De plus ils modifient le champ de torsion (le repoussent vers la gauche). Les aliments passés au micro-onde diminuent le champ vital de 40%.

Les appareils correcteurs n’agissent que sur l’information des champs de torsion. Il y a différentes solutions (Triskel, Spinor, Bioguard…). Les mesures de leur efficacité se font par organomètre.

C’est l’information éthérique d’une onde EM qui est surtout perturbante. Exemple : l’information « couleur bleue » d’une lampe a un impact même si la lampe est cachée.

Les failles : Elles sont souvent confondues avec les réseaux, mais elles sont mesurables au géomagnétomètre, car elles augmentent le champ magnétique terrestre en le déviant. Une « faille » est une discontinuité dans le sol, il y en a de nombreuses sortes. Les failles produisent un champ de torsion gauche (d’où les arbres tordus). Ainsi, si l’information « faille » est captée par l’eau et transmise au corps elle produira la même perturbation. Dans une zone au-dessus d’une faille, la santé se dégrade en quelques mois. Une faille resserre aussi les mailles du réseau Nickel et le repousse vers le haut.

Les cours d’eau : Il y a deux pics négatifs des deux côtés de la veine. Ils sont parfois associés à une faille. Ils ne produisent pas de perturbation s’ils sont à sec.

Les réseaux : C’est un phénomène éthérique et non électromagnétique. [Note : Stéphane Cardinaux revient donc sur l'avis émis dans Géométries Sacrées, tome 2]. Ils sont mis en évidence au Sonotest. « Les sons font le lien entre les plans et l’électromagnétisme reste limité à la matière physique. »
Les réseaux sont les « ondes de forme de la terre » activés par le champ magnétique, véhiculant les informations des métaux.
Ils sont un peu comme les dessins sur l’eau que l’on voit sous l’influence d’une fréquence. Il existe une similitude entre les ondes sonores et les réseaux telluriques, le comportement est le même en réaction à une influence.

Les lignes positives ont un champ de torsion droite, les lignes négatives un champ de torsion gauche. Elles réagissent aux champs de torsion. La polarité alterne. Les lignes sont une « concentration d’onde de forme », ce sont des ondes stationnaires.

On peut déterminer avec une bobine la fréquence de résonance des lignes. Les maxima correspondent à des multiples de 2 ou 3 selon les réseaux. Les pics se cumulent autour de 64 et 128 Hz. Il y a également une résonance avec les chakras.

Les cheminées cosmotelluriques : En terme d’énergie, elles sont moins intéressantes que les vortex ou les courants telluriques. Cependant, les cheminées donnent des particularités à un lieu.
Leur énergie est concentrée dans leurs harmoniques, qui forment plusieurs octaves. Les harmoniques les plus excentrées sont plus fortes (contrairement aux vortex où les harmoniques les plus proches du centres procurent le plus d’énergie).
Les cheminées négatives compriment le champ vital et son souvent polluées par des entités.
Chaque cheminée a une couleur, et une résonance avec un chakra. Quand elles sont associées à un autre phénomène (courant, vortex) d’une autre couleur, elles créent un courant dans le corps entre les chakras correspondants.
L’énergie des cheminées s’arrête souvent dans une zone bloquée du corps.
Les cheminées les plus intéressantes se trouvent dans les lieux du néolithique. Certaines ont une couleur qui est au-delà du spectre des couleurs visibles (infrarouge, blanc, argent, cristal, or, diamant…). Au-delà du 7e chakra elles sont liées au spirituel, et au dessous du 1er elles produisent une sensation de présence à soi et de purification.
La respiration des cheminées entraîne une variation des axes du champ vital, ce qui est peu favorable pour le corps. L’expir ou l’inspir ne change pas le fait que l’énergie descend toujours dans une cheminée (de haut en bas).

Les vortex ont une action plus large que les cheminées. Ils sont de deux types.
Niveau 1 : 3 spires, spirale de 24m de large, deux centres éloignés de 70/1500m.
Les spires sont parfois confondues avec les harmoniques des cheminées. Le centre du vortex est comme un jet d’eau ou d’air venant du sol. Il y a une entité vers 140m d’altitude, dans l’axe du vortex, celle-ci a une très forte énergie.
Niveau 2 : 7 spires, spirale de 240m de large, deux centres éloignés de 8km.
Elles augmentent le plan horizontal de 20 cm et 80 cm après activation. On a l’impression d’être saoul, et avoir du mal à rester centré. Pour ce faire, il faut renforcer le 1er chakra pour abaisser le plan horizontal.

Les vortex sont plus actifs quand la météo est bonne, et quand la lune est pleine. Comme les cheminées, les vortex ont une couleur. Les vortex sont favorables, ils sont rééquilibrants et agissent sur les blocages et points faibles.
90% des sites sacrés avant 1350 av. J.-C. ont un vortex. Associé à une pierre, il repousse le réseau Nickel et change la perception de l’espace-temps, provoquant une perte de repères. L’énergie circule mieux, et encore plus si l’on tourne autour de la pierre.

« Toutes les techniques giratoires, telles les danses où l’on tourne sur soi-même provoquent un résultat semblable. En tournant vite, l’énergie monte dans les chakras du haut mais, en même temps, il faut s’ancrer pour ne pas tomber. Non seulement on sent cette énergie circuler en soi, dans les mains surtout, mais on la rayonne aussi autour de soi. Tout objet physique tournant sur lui-même rayonne davantage qu’au repos. Dans les cas des menhirs la pierre est fixe, mais c’est l’énergie tournant dans le vortex qui crée l’effet par une action centripète. »

Sur un vortex activé, la fréquence de résonance augmente de 1,9x, les tubes de 1,7x, la densité de 2x, et le champ vital de 7x. Un vortex agit à la fois sur les chakras du bas et du haut.

Les courants telluriques : Ils peuvent être « tigre blanc » (yin) ou « dragon noir » (yang). Les premiers sont exploités dans abbayes en plaine, les second suivent les lignes de crête (donc on en rencontre dans des églises). Ils activent les chakras du bas (c’est pourquoi ils sont associés à un « dragon » tué pour réprimer ces instincts). Ils sont liés à la déesse. Ils sont comme des rivières énergétiques, et apportent bien-être et impression de chaleur. Par clairvoyance, ils sont de couleur rouge, sortant du sommet d’une montagne ou d’une grotte. Ils ont un champ de torsion droite (donc bénéfique). Les courants ont aussi un battement, comme des vagues. qui produit une fréquence de résonance et une couleur.

Les Lignes de Ley sont des phénomènes qui combinent les propriétés des courants et des réseaux. Ces lignes droites relient des monuments avec une précision étonnante. Elles ont un début net et une fin nette, et ne sont jamais négatives. Leur orientation est aléatoire. Ce ne sont pas des tubes magiques. Elles produisent une sensation de lourdeur, des picotements dans les pieds et les mains. Au travers de ces lignes passe un flux continu d’énergie. Elles sont probablement artificielles (même si le savoir pour les installer s’est perdu).

Les ondes de forme sont des ondes stationnaires qui entourent les objets de façon régulière. Elles répartissent « l’énergie-information ». La polarité alterne, dilatant et comprimant le champ vital. Les fuites négatives dans les angles ne sont pas appréciées, on les appelle « flèches secrètes » en Feng Shui. Elles sont propres à une architecture masculine.

Les objets émettent aussi une vibration qui contient les pensées/émotions, et des informations sur la structure de la matière. Les ondes de formes amplifient les phénomènes cosmotelluriques et l’effet des courants d’eau ou failles.

Dans une pyramide, l’énergie est concentrée à un point qui se trouve au tiers de la hauteur. Même chose dans un zome, il y a une concentration d’énergie, qui est positive et qui induit un fort champ de torsion droite. Cela neutralise les nuisances environnementales, et les cheminées s’y installent. Un zome est une excellente forme dynamisante, augmentant de 150 à 200% le champ vital. Il y a aussi au-dessous d’un zome une « sphère astrale », comme sur les pyramides et menhirs (boule jaune lumineuse).

Les polyèdres ont aussi un effet positive. Il est maximal lorsqu’il y a une base 3 et 12 côtés.
Les mandalas ont aussi un effet bioénergétique, de même que certaines sculptures, masques africains, etc. Cet effet peut-être positif ou négatif et concerner seulement certains chakras.

Les esprits de la nature : Ils ont un champ de torsion droite.

Les nains (30/40cm, 60/70 Hz, champ vital de 2,5/3m environ) ressemblent aux traditionnels « nains de jardin ». Ils puisent dans l’imagerie populaire pour projeter leur image. Ils ont plein de joie de vivre et d’humour, particulièrement communicatif. Ils ont un très bon 1er chakra, et de bons 6e et 4e. Ils sont ancrés, intelligents et altruistes. Certains animaux les voient (comme les chats).

Les trolls (130/150cm, 70/80 Hz, champ vital de 4/4,5m environ) sont maigres, musclés, avec un visage anguleux, un nez crochu et allongé, de longues oreilles, un sexe proéminent. Ils ne sont pas loquaces, sont solitaires, un peu bougons… Leur fréquence de résonance est plus élevée que les nains. Leur conscience est supérieure à la conscience humaine. Ils connaissent très bien le système énergétique de la terre.

Les fées (de quelques cm à 2m, 65 Hz, champ vital de 5m environ) sont diverses, avec des ailes, certaines ressemblant à des oiseaux, papillons, libellules…

Il y a aussi des gardiens élémentaires (48 Hz, champ vital de 2m), qui sont très grands et gardent des lieux (ex : « Anubis », 93 Hz, champ vital de 9m). A comparer avec un profil exceptionnel d’un humain dont la conscience est très haute : 77 Hz, champ vital de 4,8m).

Quand une entité s’approche, elle produit un effet de résonance (amplifiant ou diminuant le champ vital selon sa nature). Il est également possible de fusionner avec un élémental. Ex : l’élémental « vouivre » qui ressemble à un grand cobra peut activer la kundalini en passant dans le corps.

Les Elementaux ont un corps éthérique, astral, mental et causal. Il y a des cas où un humain peut manipuler des élémentaux, les détourner à son profit et les corrompre. Les Elementaux suivants sont négatifs :

Deux types de reptiliens. Image : Stéphane Cardinaux

Les reptiliens (12/13 Hz, champ vital de 3/4m) se nourrissent de notre énergie vitale (comme beaucoup d’autres élémentaux). Ils cotoient les humains depuis la nuit des temps. Ils vivent en clan avec un chef. Ces clans sont en guerre. Un reptilien squatte un humain pour vivre plus que 30 ans, jusqu’à quelques siècles. Son corps se densifie en se nourrissant, le haut du corps devient plus dense d’abord. Ils captent par leurs mains l’énergie des chakras 3, 4 et 5. Les reptiliens manipulent les humains en entretenant un état émotionnel et peuvent même posséder la personne, ce qui explique l’attitude de certaines personnes manipulatrices dans la société. Dans ce cas le champ vital de la personne passe de 2,2m à 1,5m et la fréquence de résonance de 45 Hz à 30 Hz environ.

Différents types de reptiliens et effet de la prédation énergétique. Image : Stéphane Cardinaux

Décalage des axes et effet d’un reptilien accroché dans le dos. Image : Stéphane Cardinaux

Les insectoïdes noirs (39 Hz, champ vital de 4m) sont des entités ailées de type « ptérosaures », de 3m50 de haut. Ils vivent en famille, sont organisés et prévoyants. Ils ciblent les déviances (rituels sataniques, initiations foireuses, drogues…) et les détectent de très loin. Ils s’y rendent en famille et laisse les jeunes se servir d’abord. Un tube sur le 4ème chakra leur permet de se nourrir des émotions et leur langue-trompe se branche sur le 7e pour aspirer la substance. Ils ont un très grand 6e chakra, ce sont des prédateurs rusés et intelligents. Ils peuvent couver un oeuf dans le thorax d’un humain. Le champ vital passe alors de 2m à 1,5 environ et la fréquence de résonance de 45 à 35 Hz environ.

Insectoïdes noirs et effet du squattage. Noter la ressemblance avec l’entité « Horus-Ra » décrite par Corrado Malanga. Noter aussi la similitude avec les « ropens » de Papouasie Nouvelle-Guinée. Image : Stéphane Cardinaux.

Les strégonoï (14 Hz, champ vital de 3m) sont des sortes de reptiliens ailés à tête effilée. Leur nom vient de stregoï = vampire. Ils sont non-terrestres. Ils empruntent des portes interdimensionnelles, venant sur Terre pour cacher leurs oeufs de leurs propres prédateurs sur leur planète. Quand la larve est éclose, elle est renvoyée. Ils sont toujours près des oeufs et des portes. Ils se nourrissent de l’énergie sexuelle des humains, mais uniquement quand le 2e chakra est petit et perturbé. Ils s’agrippent au cou de la victime, plante leur dard, et provoquent ce qui ressemble à un malaise pour les personnes non-clairvoyantes. La personne se met à hurler. Un humain squatté voit sont champ vital passer de 2 à 1m environ et la fréquence de résonance de 45 à 30 Hz environ.

Strégonoï et effet sur le profil bioénergétique. Image : Stéphane Cardinaux.

L’altitude et la profondeur (par rapport à la surface de la terre), fait varier le champ vital. Celui-ci augmente beaucoup dès 2km d’altitude, (80% à 10km, un pic maximum de 1160% à 100km), mais il se contracte beaucoup sous terre (seulement 70% à 20km de profondeur, et finalement une augmentation à l’approche du noyau, pic maximum de 1080% vers -6300 km). [Note : Cela pourrait expliquer les effets positifs de l'altitude en montagne ainsi que l'effet énergétique quand on est dans un avion].

Appareil russe IGA-1

L’appareil IGA-1 détecte les champs de torsion, mais dépend de l’opérateur. On sélectionne mentalement le type de phénomène désiré dans ce cas, pour les mesurer.

source : Stéphane Cardinaux – Synthèse – Géométries Sacrées, tome 1 (2004) tome 2 (2006)

http://newsoftomorrow.org/arts/geobiologie

3 juin 2016

La presse saoudienne accuse les USA d’avoir détruit le World Trade Center pour prétexter une guerre perpétuelle

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En réponse à un vote unanime du Sénat américain pour permettre aux familles des victimes du 9/11 de poursuivre l’Arabie saoudite devant une Cour fédérale, un rapport publié dans le journal Al-Hayat basé à Londres, dû à l’expert juridique saoudien Katib al-Shammari, allègue que les États-Unis ont orchestré les attentats terroristes comme un moyen de se créer un ennemi nébuleux, afin de gagner le soutien du public pour une guerre mondiale contre le terrorisme.

Le rapport al-Shammari, traduit par l’Institut de recherche des médias du Moyen-Orient (MEMRI), affirme que depuis longtemps la politique américaine est «construite sur le principe de la planification préalable et des probabilités futures», que les États-Unis ont maintenant tournée contre le régime saoudien après l’avoir employée avec succès contre les talibans et al-Qaïda d’abord, puis Saddam Hussein et son Irak contrôlé par le régime laïque baasiste.

Al-Shammari affirme que les récentes menaces américaines pour exposer les documents impliquant le gouvernement saoudien, sont tout simplement la poursuite d’une politique américaine, qu’il désigne comme «la victoire par les archives». Il souligne que, lors de l’invasion initiale de l’Irak, sous George HW Bush, Saddam Hussein a été laissé en vie et au pouvoir pour être utilisé comme «monnaie d’échange», mais quand les États-Unis ont décidé qu’il n’était «plus un as dans leur manche», Washington s’est déplacé pour renverser son gouvernement et installer au pouvoir un parti soutenu par les Américains.

Les attaques terroristes du 9/11 sont maintenant l’«as dans la manche» du gouvernement des États-Unis, selon al-Shammari.

Le 11 Septembre est l’une des cartes gagnantes dans les archives américaines, parce que tous les gens avisés de par le monde qui sont des experts en politique américaine et qui analysent les images et les vidéos [du 9/11], conviennent à l’unanimité que ce qui est arrivé aux deux tours était une action purement américaine, planifiée et exécutée par les USA. La preuve en est la séquence d’explosions continues qui a découpé de façon spectaculaire les deux bâtiments […] les ingénieurs en démolition contrôlée les ont détruites avec des explosifs, tandis que les avions s’y écrasant ne donnaient que le feu vert pour la détonation – ils ne sont pas la raison de l’effondrement. Mais aux États-Unis se propage toujours le blâme dans toutes les directions. [Cette politique] peut être surnommée «la victoire au moyen des archives».

L’élan derrière les attaques, écrit al-Shammari, était de créer «un ennemi invisible – le terrorisme – qui est devenu le chat noir que les présidents américains ont pu blâmer pour toutes leurs erreurs» et qui devait fournir une justification à toute «opération sale», partout dans le monde.

Selon le rapport d’Al-Shammari dans Al-Hayat:

Le 11 Septembre, aux États-Unis, a permis plusieurs victoires en même temps, que [même] les faucons [qui étaient à ce moment-là] à la Maison Blanche ne pouvaient pas imaginer. Certaines d’entre elles peuvent être énumérées comme suit:

  1. Les États-Unis ont créé, dans l’opinion publique, un ennemi invisible – le terrorisme – qui est devenu le chat noir que les présidents américains ont pu blâmer pour toutes leurs erreurs, et est également devenu la motivation de base pour toute opération sale que les politiciens américains et des personnalités militaires désirent effectuer partout dans le monde. [Le label] terrorisme a été appliqué aux musulmans, et en particulier à l’Arabie saoudite.
  2. En utilisant cet incident [9/11], les États-Unis ont lancé une nouvelle ère de réarmement mondial. Tout le monde a voulu acquérir toutes sortes d’armes pour se défendre et se lancer dans la guerre contre cet ennemi invisible, le terrorisme, [même si] jusqu’à maintenant, nous ne connaissons pas l’essence de ce terrorisme, dont les États-Unis parlent, à l’exception qu’il est islamique […]
  3. Les États-Unis ont mis le peuple américain devant un choix entre deux mauvaises options : vivre en paix [mais] rester exposé à un danger de mort [le terrorisme] à tout moment, ou mourir de faim dans la sécurité, parce que le budget du pays sera consacré à l’envoi des Marines même jusque sur Mars pour le défendre.

La presse saoudienne a été prise de frénésie depuis le vote unanime du Sénat pour permettre à la Maison des Saoud d’être tenue responsable devant un tribunal fédéral américain pour les attaques de 9/11, en accusant les États-Unis d’être alliés avec l’Iran – avec force avertissements que le passage du projet de loi «satanique» pourrait «ouvrir les portes de l’enfer», comme c’est rapporté par Breitbart.

Al-Shammari est extrêmement clair quand il considère que le problème est la machine impériale des États-Unis elle-même, en déclarant, «la nature des États-Unis est qu’ils ne peuvent pas exister sans ennemi».

La nature des États-Unis est qu’ils ne peuvent pas exister sans ennemi … [Par exemple,] après une période au cours de laquelle il n’y avait plus personne à combattre [à savoir après la Seconde Guerre mondiale], les États-Unis ont créé un nouveau type de guerre – la guerre froide […] Puis, quand l’ère soviétique a pris fin, après que nous, les musulmans avions aidé les religions et combattu le communisme en leur nom [des Américains], ils ont commencé à voir les musulmans comme leur nouvel ennemi! Les USA y ont vu un besoin de créer un nouvel ennemi – et l’ont planifié, organisé et exécuté [à savoir blâmer les musulmans pour le terrorisme]. Cela ne finira jamais jusqu’à ce que les États-Unis atteignent les objectifs qu’ils se ont fixés.

Alors que les Américains semblent lutter contre le terrorisme islamique, l’occasion est grande pour augmenter la peur et la propagande d’État destinées à susciter des populations civiles conformes qui acceptent passivement la perte de leur liberté pour des promesses d’une plus grande sécurité. Le complexe militaro-industriel a besoin d’un plus grand ennemi pour justifier ses 600 milliards de dollars de budget annuel, en commençant ainsi la transition vers l’étiquetage du couple russo-chinois comme agressif  dans un effort pour commencer à pivoter d’un croque-mitaine à l’autre, plus rentable.

Jay Syrmopoulos

 

Article original en anglais :  Saudi Press Just Accused US Govt of Blowing Up World Trade Centers as Pretext to Perpetual War, The Freethought Project, 23 mai 2016.

Traduit par Hervé, relu par nadine pour le Saker Francophone

Jay Syrmopoulos est analyste géopolitique, libre penseur, chercheur et ardent opposant de l’autoritarisme. Il est actuellement étudiant à l’Université de Denver, où il poursuit une maîtrise en affaires internationales. Le travail de Jay a été publié sur la vérité de Ben Swann dans les médias, Vérité-Out, Raw Story, MintPress Nouvelles, ainsi que de nombreux autres sites. Vous pouvez le suivre sur Twitter @sirmetropolis, sur Facebook à Sir Metropolis et maintenant sur tsu.

 http://www.mondialisation.ca/la-presse-saoudienne-accuse-les-usa-davoir-detruit-le-world-trade-center-pour-pretexter-une-guerre-perpetuelle/5527512

25 mars 2016

Le citron (citrus) est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancéreuses

 citron

Bienfaits du citron.

 

Le citron (citrus) est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancéreuses. Il est 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.
Pourquoi ne sommes-nous pas au courant de cela?
Parce qu'il existe des laboratoires intéressés par la fabrication d'une version synthétique qui leur rapportera d'énormes bénéfices.
Vous pouvez désormais aider un ami qui en a besoin en lui faisant savoir que le jus de citron lui est bénéfique pour prévenir la maladie. Son goût est agréable et il ne produit pas les horribles effets de la chimiothérapie.

Si vous en avez la possibilité, plantez un citronnier dans votre patio ou votre jardin.
Combien de personnes meurent pendant que ce secret est jalousement gardé pour ne pas porter atteinte aux bénéfices multimillionnaires de grandes corporations ?

Comme vous le savez, le citronnier est bas, n'occupe pas beaucoup d'espace et est connu pour ses variétés de citrons et de limes. Vous pouvez consommer le fruit de manières différentes: vous pouvez manger la pulpe, la presser en jus, élaborer des boissons, sorbets, pâtisseries, ...
On lui attribue plusieurs vertus mais la plus intéressante est l'effet qu'elle produit sur les kystes et les tumeurs.

Cette plante est un remède prouvé contre les cancers de tous types. Certains affirment qu'elle est de grande utilité dans toutes les variantes de cancer. On la considère aussi comme un agent anti microbien à large spectre contre les infections bactériennes et les champignons, efficace contre les parasites internes et les vers, elle régule la tension artérielle trop haute et est antidépressive, combat la tension et les désordres nerveux.

La source de cette information est fascinante: elle provient d'un des plus grands fabricants de médicaments au monde, qui affirme qu'après plus de 20 essais effectués en laboratoire depuis 1970, les extraits ont révélé que: Il détruit les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris celui du côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas...

Les composés de cet arbre ont démontré agir 10.000 fois mieux que le produit Adriamycin, une drogue chimiothérapeutte normalement utilisée dans le monde, en ralentissant la croissance des cellules du cancer. Et ce qui est encore plus étonnant: ce type de thérapie avec l'extrait de citron détruit non seulement les cellules malignes du cancer et n'affecte pas les cellules saines.
Institut de Sciences de la Santé, L.L.C. 819 N. Street, Baltimore, MD 1201

ENVOYER A TOUT LE MONDE... ! ! ! ! !

 

 

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ANNEXE

de Viny Eden

Ceci est la dernière nouveauté en médecine, effective pour contrer le cancer!!!

Bienfaits du citron.

Le citron (citrus) est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancereuses.


Il est 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.

Pourquoi ne sommes-nous pas au courant de cela?
Parce qu'il existe des laboratoires intéressés par la fabrication d'une version synthétique qui leur rapportera d'énormes bénéfices.
Si vous en avez la possibilité, plantez un citronnier dans votre patio ou votre jardin.

Combien de personnes meurent pendant que ce secret est jalousement gardé pour ne pas porter atteinte aux bénéfices multimilionnaires de grandes corporations? Comme vous le savez, le citronnier est bas, n'occupe pas beaucoup d'espace et est connu pour ses variétés de citrons et de limes.

Effectivement, de nombreuses études indiquent que la consommation d'agrumes, dont le citron et la lime, exerce un effet favorable contre le cancer. .

Cancer (prévention). Plusieurs études ont démontré que la consommation d’agrumes serait reliée à la prévention de certains types de cancers3,4,18,33, comme le cancer de l’oesophage, le cancer de l’estomac, le cancer du côlon, de la bouche et du pharynx. Selon l’une de ces étudess33, une consommation modérée d’agrumes (soit de 1 à 4 portions par semaine) permettrait de réduire les risques de cancers touchant le tube digestif et la partie supérieure du système respiratoire. En ce qui concerne le cancer du pancréas, les études demeurent controversées

Cancer (ralentir la progression). Les flavonoïdes, des composés antioxydants contenus dans les agrumes, ont démontré qu’ils pouvaient ralentir la prolifération de plusieurs lignées de cellules cancéreuses9,16,35 et diminuer la croissance des métastases34. Ces propriétés pourraient servir à l’élaboration de thérapies antitumorales

 

D’autres composés contenus dans les agrumes (les limonoïdes) ont également démontré des effets anticancer in vitro ou sur des modèles animaux. Ils pourraient diminuer la prolifération de cellules cancéreuses12,13 du sein15, de l’estomac13, du poumon13, de la bouche12,17 et du côlon

Maladies cardiovasculaires. Plusieurs études épidémiologiques ont démontré qu’un apport régulier en flavonoïdes provenant d’agrumes est associé à une diminution du risque de maladies cardiovasculaires37. Les flavonoïdes contribueraient à améliorer la vasodilatation coronarienne, à diminuer l’agrégation des plaquettes sanguines et à prévenir l’oxydation du « mauvais » cholestérol (LDL).

 

  • Inflammation. Plusieurs études ont démontré que les flavonoïdes des agrumes avaient des propriétés anti-inflammatoires. Ils inhiberaient la synthèse et l’activité de médiateurs impliqués dans l’inflammation (dérivés de l’acide arachidonique, prostaglandines E2, F2 et thromboxanes A2)37.
  • Hypercholestérolémie. Les flavonoïdes et les limonoïdes des agrumes et de leurs jus pourraient avoir un potentiel de réduction de l’hypercholestérolémie. Des études réalisées chez l’animal ont démontré que certains d’entre eux abaissaient le cholestérol sanguin10,11,19. Cependant, ces études n’ont pas été effectuées à partir de composés extraits directement du citron ou de la lime.

 

Autres. Parmi d’autres effets observés, deux limonoïdes présents dans les agrumes (la limonine et la nomiline) inhiberaient la réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), en plus d’inhiber l’activité de la protéase du virus20. De plus, certains limonoïdes du citron démontrent une activité contre certains champignons pathogènes21. D’autres limonoïdes22 et certaines protéines26 amélioreraient le système immunitaire chez l’animal. Ces résultats sont prometteurs, mais n’ont pas fait l’objet d’études cliniques contrôlées. Il est donc impossible pour l’instant de transposer ces effets chez l’humain.

 

Plusieurs études prospectives et épidémiologiques ont révélé qu’une consommation élevée de fruits et de légumes diminuait le risque de maladies cardiovasculaires28, de certains cancers29 et d’autres maladies chroniques1,2,30.

Que contiennent le citron et la lime?

Le pouvoir antioxydant du citron et de la lime est considéré comme faible, car il est calculé en fonction d’une portion normale, qui est relativement petite. Néanmoins, le citron et la lime renferment divers composants qui peuvent avoir un effet favorable sur la santé et sur la prévention de plusieurs maladies.

Flavonoïdes
Le citron et la lime renferment différents types de flavonoïdes. Ces composés antioxydants permettent, entre autres, de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, prévenir l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques. Les principaux flavonoïdes contenus dans le citron et la lime sont l’ériocitrine et l’hespérétine. Des expériences menées sur des animaux ont démontré que l’ériocitrine et l’hespérétine, extraits de l’écorce (peau) du citron ou de son jus, pouvaient diminuer ou prévenir l’augmentation des dommages reliés au stress oxydatif5,6. De plus, l’ériocitrine pourrait induire l’apoptose de cellules leucémiques. La partie blanche de l’écorce du citron est celle qui contient le plus de ces 2 flavonoïdes.

La nobiletine, un autre type de flavonoïde contenu dans les agrumes, aurait des propriétés antiangiogéniques. Elle contribuerait à ralentir la croissance des tumeurs et des métastases34. Enfin, selon une étude menée sur des cellules du pancréas, la capacité à inhiber la prolifération de cellules cancéreuses de la lime serait proportionnelle à son contenu en flavonoïdes ainsi qu’en limonoïdes36.

Limonoïdes
Les principaux limonoïdes que renferment les agrumes sont la limonine et la nomiline. On les retrouve principalement dans les pépins12, mais aussi dans le jus13. Les limonoïdes possèdent une certaine capacité antioxydante14. Ils pourraient aussi entraîner l’apoptose de cellules neuroblastiques cancéreuses (cellules nerveuses embryonnaires, se différenciant ensuite en neurones)16. Des études laissent présager qu’ils pourraient prévenir certains types de cancers chez l’animal. Par exemple, l’obacunone, un type de limonoïde, s’est avéré efficace pour diminuer l’incidence de tumeurs du côlon18 et pour diminuer le nombre de tumeurs de la bouche12.Mais il n’existe pour le moment aucune donnée quant à un effet similaire chez l’humain. L’action synergique de plusieurs limonoïdes entre eux, ou avec d’autres composés (comme les flavonoïdes), pourrait accentuer leur action sur les cellules cancéreuses.

 

Fibres solubles
Les agrumes sont riches en fibres solubles, principalement en pectine, que l’on retrouve dans l’écorce et dans la membrane blanche autour de la chair (albédo). Par leur aptitude à diminuer le cholestérol sanguin, les fibres solubles contribuent à réduire l’incidence des maladies cardiovasculaires23. Des chercheurs ont démontré que l’écorce de citron était efficace pour diminuer les taux de cholestérol sanguin et hépatique chez l’animal24. Cependant, en plus de la pectine, d’autres composés présents dans l’écorce du citron pourraient participer à ce processus.

De plus, la pectine du citron, comparée à celle de 3 autres agrumes (pamplemousse, tangerine et orange), présente la meilleure capacité à inhiber la croissance de certaines tumeurs cancéreuses in vitro25. Par contre, ces données nécessitent davantage d’analyse avant de conclure à des effets bénéfiques de la pectine de citron ou de lime sur le cancer chez l’humain.

Protéines
Une équipe de chercheurs a découvert qu’un extrait de jus de lime pourrait améliorer la réponse immunitaire chez l’animal26. Cet effet serait attribuable à un ensemble de protéines présentes dans l’extrait de jus de lime. Ces mêmes composantes protéiques pourraient participer à l’arrêt de la prolifération de cellules cancéreuses observé in vitro27

 

Prudence..... Le citron, la lime, ainsi que leurs jus, devraient également être évités par les personnes souffrant de reflux gastro-oesophagien, d'oesophagite peptique et de hernie hiatale (en phase aiguë de ces maladies) ou du moins en prendre progressivement.... car notre organisme doit se réhabituer à des aliments aussi magnifiques que nous avons remplacés hélas par des aliments cuits et oxydés par la cuisson.

Source: Institut de Sciences de la Santé, L.L.C. 819 N. Causez Street, Baltimore, MD 1201

12 novembre 2015

Jeanne d'arc un mensonge historique révélé.

witch_JoanArc17_eAvec L'affaire Jeanne d'Arc, la bergère vierge la plus célèbre de France chute de son piédestal. Marcel Gay et Roger Senzig démonte le mythe de cette jeune gardienne de brebis ignorante, à qui Dieu confie la mission de sauver le royaume de France.
Marcel Gay, journaliste de l'Est républicain, remet en question le personnage, à commencer par son nom qui ne serait pas celui "d'Arc". Elle ne serait pas non plus bergère, puisqu'au cours de son procès à Rouen elle déclare n'avoir "jamais gardé les moutons et autres bêtes". Cavalière émerite, Jeanne utilise aussi parfaitement le français de la cour.
Manipulation du peuple au service de la royauté mise à mal par ses voisins Anglais, Jeanne d'Orléans aurait servi à destabiliser les armées adverses. Invention de Yolande d'Anjou, belle-mère de Charles VII, Jeanne, conduite par le divin, inspire de la crainte aux troupes Anglaises. Les résultats lors des campagnes militaires prouvent que la stratégie fonctionne.

30 mai 1431. Jeanne d’Arc est brûlée vive à Rouen

Au terme de quatre longs mois de procès, la Pucelle de Domrémy est condamnée à périr brûlée vive. À aucun moment, elle n’a voulu quitter ses habits d’homme. Le mercredi 30 mai 1431, après avoir été confessée par deux dominicains, Jeanne est conduite sur la place du Vieux-Marché, lieu de son supplice. Elle est coiffée d’une mitre sur laquelle on peut lire ces mots : "hérétique, relapse, apostate et idolâtre". Sur le bûcher, elle est voilée et placée à trois mètres de hauteur. Selon les témoins, elle aurait crié à six reprises le nom de "Jésus" avant de rendre l’âme.

Jeanne avait dix-neuf ans. Loin de la conspuer, la foule est prise de compassion. Même les Anglais sont touchés. Preuve en sont ces propos du secrétaire de Henri VI : "Nous sommes tous perdus, car une sainte a été brûlée." Pour éviter tout culte posthume, on décide de disperser ses cendres.

L’ingratitude de Charles VII

À aucun moment, le roi de France Charles VII n’intercède en faveur de la Pucelle. Loin de la protéger, il ne tente nullement de la racheter ou de faire pression sur le régent anglais Jean de Bedford. Au lendemain de la mort de Jeanne, le roi de France ne manifeste pas la moindre compassion. Cela accrédite la thèse selon laquelle « le roi de Bourges » se serait servi de la jeune paysanne. Vite portée aux nues, Jeanne d’Arc est donc vite oubliée, tout au moins jusqu’en 1436. Tout juste cinq ans après le supplice de Rouen, une femme originaire de Metz prétend être Jeanne d’Arc. Répondant au prénom de Claude, elle est l’épouse d’un certain Robert des Armoises, le sire de Jaulny. Ce dernier est un proche parent de Robert de Baudricourt, ce seigneur qui a facilité la folle chevauchée de Jeanne vers Chinon…

Le retour triomphal de la "Pucelle"… de Metz

Si l’épopée de Jeanne n’a pas dépassé six mois, l’escroquerie de la simulatrice de Metz dure quatre longues années. Un exploit. De 1436 à 1440,  "Jeanne" des Armoises induit ainsi en erreur tous ceux qui l’approchent, à commencer par la propre famille de la Pucelle. Les Orléanais eux-mêmes suspendent les services funèbres à la mémoire de Jeanne d’Arc. En juillet 1439, la cité lui verse des émoluments et la reçoit en grande pompe. Événement aussi incroyable qu’improbable, la prétendue Jeanne d’Arc s’éclipse au cours du banquet offert en son honneur pour tout simplement prendre la poudre d’escampette. Le compagnon de route de la Pucelle, à savoir Gilles de Rais, n’échappe pas à l’enthousiasme général. À l’exemple des frères de Jeanne, le maréchal de France se méprend sur l’identité véritable de la jeune femme et lui confie même une petite troupe. Une telle adhésion à une mythomane peut surprendre. À défaut d’être la vraie Jeanne, tout au moins Claude des Armoises doit-elle fort lui ressembler, tant dans les traits que dans la gestuelle. À l’image de la Pucelle de Domrémy, elle est vêtue de noir et "rasée à l’écuelle"…

Quand "Jeanne" des Armoises se rétracte… devant Charles VII

Pendant quatre ans, Claude-Jeanne des Armoises n’a de cesse de demander audience au roi. Cet entretien capital, elle l’obtient au printemps 1440 mais pour son plus grand malheur. Au contraire des Orléanais, de Gilles de Rais ou des deux frères de Jeanne d’Arc, Charles VII n’est pas séduit par ladite "libératrice de la France". À aucun moment, "Jeanne" des Armoises ne le convainc de son identité. Onze ans après l’entrevue historique avec Jeanne d’Arc, laquelle lui confie un lourd secret, le roi est confronté à une femme qui s’avère incapable de lui restituer les propos tenus en février 1429. "Vous recouvrerez votre royaume avec l’aide de Dieu et par mon labeur, de la part de Dieu, je vous dis que vous êtes héritier de France et fils du roi", lui avait alors confié la vraie Jeanne. De ces confidences, Jeanne des Armoises n’en a nul souvenir. Démasquée, elle ne peut que se rétracter. Se sentant perdue, elle demande alors grâce…

L’imposture démasquée, la fausse Jeanne admet publiquement son mensonge devant le parlement de Paris. Elle avoue ainsi « qu’elle n’est pas pucelle ». Humiliée et ridiculisée, l’aventurière se retire sur ses terres, au château de Jaulny, pour y finir ses jours à l’âge de quarante- deux ans, sans descendance. D’aucuns prétendent qu’elle serait morte les armes à la main en se battant au nom du pape.

Extrait de "Les mensonges le plus incroyable de l'Histoire",  Philippe Valode et Luc Mary, publié aux éditions de l'Opportun, 2014. Pour acheter ce livre, cliquez ici.


Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/mensonges-plus-incroyables-histoire-jeanne-armoises-fausse-jeanne-arc-mensonges-plus-incroyable-histoire-opportun-philippe-1587630.html#YAGR6Yetx7ZSdemk.99

L'Histoire est un mensonge que personne ne conteste (Napoléon I°)

9 février 2015

Trop de personnes non-cancéreuses sont soignées pour un cancer

 

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Un rapport américain admet que trop de personnes traitées pour un cancer... n'en avaient pas vraiment un.

C'est un nouveau pavé dans la mare du dépistage du cancer : selon un rapport commissionné par l'Institut national du cancer américain (NCI), le sur-diagnostic et le mauvais diagnostic du cancer figurent parmi les responsables de l'accroissement de l'épidémie.


Actuellement, les cancers du sein et de la prostate sont les cancers les plus fréquemment diagnostiqués chez la femme et l'homme respectivement. Ce sont justement deux cancers qui sont particulièrement soupçonnés de sur-diagnostic et sur-traitement.

En effet, selon l'étude publiée dans le Journal of the American Medical Association, ce qu'on appelle souvent « cancer du sein » n'est parfois pas un véritable cancer, mais un problème moins grave : un carcinome canalaire in situ (DCIS), ou « cancer du sein non-invasif », un stade précoce du cancer du sein. Pourtant, de nombreuses femmes avec un DCIS sont diagnostiquées comme ayant un cancer du sein. Conséquence : d'après ce rapport, elles seraient traitées pour quelque chose qui n'aurait peut-être jamais causé de problème de santé chez elles. De plus, la détection et l'ablation de ces lésions précancéreuses n'aurait pas réduit l'incidence des cancers invasifs. Une situation probablement pas très éloignée de celle que l'on connaît en France, et que LaNutrition.fr dénonce depuis longtemps...

De la même façon, chez les hommes, une néoplasie intra-épithéliale prostatique (PIN), la forme précoce du cancer de la prostate, est souvent traitée comme s'il s'agissait vraiment d'un cancer. Ceci n'est pas sans conséquences sur la qualité de vie des patients.

D'après ce rapport, au cours des 30 dernières années, le dépistage a augmenté le nombre de diagnostics précoces de cancers. Au départ, l'objectif du dépistage était de réduire le nombre de cancers au stade avancé et la mortalité. Or, les données nationales américaines indiquent une augmentation significative des stades précoces de la maladie, sans un déclin proportionnel de la maladie aux stades avancés. Pour les auteurs, le mot « cancer » évoque souvent un processus fatal inexorable, alors que les cancers sont hétérogènes et ne conduisent pas forcément au décès. C'est une vraie question de sémantique !

A l'inverse, les cancers du côlon et du col de l'utérus représentent des exemples de dépistages efficaces : la détection et le traitement précoce des lésions ont réduit l'incidence de la maladie aux stades avancés.

Ces sur-diagnostics et sur-traitements sont d'autant plus choquants qu'ils conduisent à soigner des personnes en bonne santé, en utilisant des produits et traitements particulièrement toxiques...

Source

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