Traitement de détoxication
Vous vous demandez comment détoxiquer votre corps des métaux lourds. Si des vaccins vous ont été injectés, votre corps est intoxiqué par les métaux lourds qu'ils contiennent. La plupart des vaccins actuels contiennent de l'aluminium. Certains vaccins plus anciens contiennent du mercure. L'aluminium et le mercure sont des métaux lourds qui intoxiquent l'organisme. Ils peuvent se trouver dans les vaccins, mais aussi dans les amalgames dentaires, dans l'eau du robinet, dans certains aliments comme le poisson ou sur le lieu de travail, en particulier dans les usines. Le plomb est également un métal lourd répandu. Sur cette page, vous trouverez un résumé des grandes méthodes de détoxication, ainsi que mon expérience d'un traitement de détoxication aux métaux lourds des vaccins.
Si vous êtes intoxiqués au métal lourd, plusieurs traitements peuvent vous aider. Les traitements possibles sont de trois types : la chélation par un agent chélateur, l'expurgation par remède homéopathique, et l'équilibrage par traitement du terrain.
La chélation consiste à introduire dans le corps un produit chélateur. Le chélateur est un composant compléntaire au métal lourd, avec lequel il va se combiner pour former un produit inactif et éliminable. La chélation, ou plutôt la prise du chélateur, peut être orale, anale, ou sanguine.
L'expurgation par homéopathie consiste à stimuler les processus naturels d'élimination du corps par la prise d'un remède homéopathique. Le remède homéopathique à choisir est une dilution du produit à éliminer. Par exemple, si vous voulez éliminer le mercure de votre corps, une dilution homéopathique de mercure permettra à votre corps d'éliminer les restes de mercure. En homéopathie, la dilution d'un produit ne contient plus le produit mais bien l'information du produit. En le recevant, votre corps réagit comme si le produit était réellement pris et tente de l'éliminer. Comme ce n'est pas le cas, la réaction d'élimination agit sur les restes du produit.
L'équilibrage par traitement du terrain consiste à donner au corps ce dont il a besoin pour éliminer de lui-même les métaux lourds. Eliminer des quantités non naturelles de métaux lourds épuise certaines réserves de l'organisme, comme par exemple les réserves en vitamines C. En redonnant au corps les produits dont il n'a plus suffisamment de réserves, vous lui permettez de fonctionner normalement et donc d'éliminer efficacement les métaux lourds.
Ces trois types de traitement permettent au corps d'éliminer les métaux lourds de trois manières différentes et peuvent être appliqués conjointement.
Lors de mon intoxication par l'aluminium des vaccins, j'ai testé la combinaison de ces trois types de traitements. J'en relate ici les résultats, autant qu'il m'est possible de les discerner. Je fais également part des nombreux remèdes que j'ai trouvés dans les livres et sur Internet. Dans mon désespoir, je les ai tous testés sans grand discernement, afin de m'assurer d'avoir un effet. Pour chaque remède, j'indique les résultats qu'il me semble avoir obtenus en les prenant.
Nous sommes en mai 2004. Après le traitement au gelsémium de mon osthéopathe, je tente de me détoxiquer moi-même, prenant de manière anarchique tout une série de remèdes trouvés dans des livres et sur Internet. Notamment, je prends la combinaison "coriandre - chlorelle - ail des ours" suggérée sur son site web par Christian Recking [http://www.ateliersante.ch]. Les remèdes que je prends en début de traitement sont les suivants :
- Gelsémium 200K 1x/mois
- (Gelsémium 5CH tous les deux jours) stoppé le temps du traitement de détoxication
- Boldo 3x2 capsules/j --> drainage du foie
- Oméga-3 huile de poisson 1000mg (= EPA 180mg, DHA 120mg)/Vit.E 10mg: 1 gélule/j --> apport acides gras essentiels pour restauration de la myéline
- Huile de noix (oméga-3) et de sésame (oméga-6): crues première pression à froid --> apport acides gras essentiels pour restauration de la myéline
- Vitamine C combiné extraction Acerola/synthèse acide ascorbique: 4g/j --> restauration du système immunitaire, restauration collagénique pour saignement des gencives
- Chlorelle 24g/j --> absorption et élimination des métaux lourds
- Ail des ours teinture-mère 3x10 gouttes/j --> élimination des métaux lourds
- Coriandre teinture-mère 3x5 gouttes/j --> surpotentialisation de la chlorelle
- Silanol silice organique 3 doses liquides/j --> reminéralisation, restauration collagénique pour saignement des gencives
- Magnésium
- Dentifrice Weleda au calendula avant d'aller dormir
- Baume gengival Weleda à la sauge avant d'aller dormir
- Régime 2/3 monodiète: cerneaux de noix trempés 12h et raisin frais
- Soupe de poireaux et verdures
- Erbasit 3x2 comprimés à sucer/j --> éviter la réabsorption des métaux lourds par la paroi du colon (chélation)
La liste est longue. Les effets des remèdes se font sentir dès la première semaine. Le premier jour, je ressens un regain de forme physique. Mes facultés de concentration reviennent peu à peu. La chlorelle colore les selles en vert. Je ressens pendant quelques jours de légères douleurs dans les hautes dorsales. Mon urine très foncée indique une élimination de toxines. Les effets des remèdes sont donc indiscutables.
En revanche, avec autant de remèdes, il est difficile de dire lequel a contribué à quoi. Néanmoins, je pense pouvoir dire que c'est la teinture-mère de coriandre qui m'a le plus aidé. Je le dis avec d'autant plus d'assurance que j'ai continué longuement et avec succès le traitement à la coriandre. De plus, les tests musculaires issus de la kinésiologie appliquée indiquent clairement un effet positif. Pareillement, le gelsémium precrit par mon osthéopathe est clairement toujours actif.
Après une semaine, le traitement a prouvé son efficacité. Cependant, le nombre de remèdes à prendre est trop élevé. Les remèdes homéopathiques dit-on doivent se prendre dissociés à environ 15-30 minutes de tout autre remède. Avec la quantité de remèdes que je prends, plusieurs fois par jour, je passe mon temps m'occuper de savoir quel remède prendre. Je décide donc de m'en tenir à une liste de remèdes restreinte.
Pour restreindre la liste de remèdes, je pratique le test musculaire. Ne souhaitant pas déranger mon osthéopathe pour si peu, je me contente d'imiter sa méthode. Malheureusement, n'ayant à ce moment-là pas de grandes connaissances en la matière, je dois m'y reprendre à de nombreuses fois afin de m'y retrouver dans mes tests. Malgré cela, je finis par restreindre ma liste de remèdes aux produits suivants :
- Mg Magnécaps 90mg 3x2 gélules/j
- TM coriandre 3x20 gouttes/j
- Silicium organique
- Vit. C acérola pour la forme et le sommeil
- boldo pour achever le drainage du foie
- Gelsémium 5CH au besoin
- P5P (synth. vit. B12, pour les surrénales ?)
- gelée royale
Je décide d'appliquer ce traitement pendant une nouvelle semaine. Avec ce traitement plus léger, il m'est plus facile d'organiser les prises de remèdes. Pendant cette deuxième semaine, les effets changent quelque peu. Les trois premiers jours, je fais un peu de fièvre et je me sens de nouveau très fatigué. Puis, mon état de santé s'améliore nettement. Les urines sont claires et les selles se normalisent. Sans la chlorelle, les effets les plus marquants semblent se dissiper.
Pour la troisième semaine, je décide de poursuivre le traitement et de reprendre en sus de la chlorelle à dose massive : 50 comprimés en 3 jours. Les urines redeviennent foncées. Les douleurs dans les hautes dorsales reprennent. La fatigue reste très présente. Je ressens quelques crampes. Les plats diététiques suivant l'alimentation vive de Pol Grégoire me redonnent quelque énergie. Les tests musculaires continuent d'indiquer la coriandre comme meilleur remède.
Pour la quatrième semaine, je passe aux remèdes homéopathiques. Les remèdes homéopathiques glanés sur Internet et pouvant être indiqués en cas d'intoxication aux métaux lourds sont les suivants :
- Aurum Met. 5CH
- Aurum Mur. 5CH
- Plumbum Met. 5CH
- Phosphorus 5CH
- Kali Phosphorus 5CH
- Cuprum Met. 5CH
- Taraxacum (pissenlit) TM
- Mercurius 5CH
- Aluminium 5CH
Après quelques tests musculaire, je m'en tiens à l'Aluminium Metallicum. Pendant cette quatrième semaine, je reste très fatigué. Je participe néanmoins à une longue randonnée à vélo ; 175 km en 4 jours. Les 60 premiers kilomètres se sont passés sans problème, le reste s'est passé dans la souffrance. Note : au soleil, ma peau brûle malgré l'écran total. Quand je pense qu'il y a quelques mois je me promenais à midi sans protection au soleil du Sahara ... !
La semaine suivante, je continue uniquement la coriandre. Les tests musculaires ne semblent plus indiquer grand chose. Je ressens toujours une grande fatigue physique. Intellectuellement, ça va un peu mieux, même mon esprit reste plus lent que d'habitude. Mon foie est gonflé et douloureux. La zone des reins/lombaires est tendue et douloureuse. Je bois 2 litres d'eau par jour pour être certain d'éliminer convenablement. Mon oeil gauche est injecté de sang et cligne beaucoup, sans que je m'en rende compte. Mes yeux sont douloureux et piquants. Ma concentration va un peu mieux mais ma fatigue physique s'aggrave malgré une alimentation diététique impeccable. Les rayons de soleil me sont douloureux après 30 secondes. Je les évite autant que possible.
La gelée royale qu'on m'a conseillé de prendre ne donne rien de remarquable. En maison de diététique, une série de remèdes me sont conseillés. Je les achète tous et je les emmène chez mon osthéopathe pour qu'il puisse les tester et faire le point sur mon état. Au test musculaire, les remèdes efficaces sont le plasma marin hypertonique et la co-enzyme Q10. Vitamine C, coriandre et gelsémium sont toujours testés efficaces. Avec ces remèdes, fatigue physique et problèmes à l'oeil passent. Après deux semaines, je ne prends plus que la co-enzyme Q10. Un mois plus tard, mes tremblements et palpitations caridaques reviennent. Je reprends du gelsémium avec succès.
Conclusion : en deux mois, mes facultés de concentration sont allées en s'améliorant. Les symptômes de crise se sont atténués au point d'être négligeables. Les remèdes qui semblent avoir eu sur moi le plus d'effet sont la coriandre, la vitamine C, le gélsémium homéopathique, le plasma marin hypertonique et la co-enzyme Q10. Les 4 mois suivants, je suis resté sans remèdes avec une amélioration constante, au point de me considérer pratiquement guéri.
Mise à jour 2005 :
Environ 12 mois plus tard, dans le courant de 2005, d'importants problèmes de santé se sont déclarés chez moi suite à un stress élévé et continu. Parmi ces problèmes, on peut distinguer la diminution de la vue, des troubles de l'humeur, des selles rouges sang, des difficultés de concentration et de la déprime. Six mois plus tard, se sont ajoutés les symptômes suivants : fatigue, difficultés de concentration, mal de ventre, mal de dos, contractures. Dès l'apparition de ces symptômes, qui nous placent en janvier 2006, la plupart des remèdes, homéopathiques et phytothérapeutiques, que j'avais utilisés jusqu'alors se sont révélés totalement inefficaces.
En revanche, des remèdes très précis, dont la prescription a été confirmée par des tests musculaires de précision, se sont révélés efficaces au point de faire disparaître pratiquement tous les symptômes. Parmi ces remèdes, j'ai pu distinguer parmi les remèdes phytothérapeutiques le romarin, et parmi les remèdes homéopathiques le vaccin Havrix en dilution isopathique répétée. La prise de romarin s'est avérée diminuer progressivement et sans rechute les symptômes généraux. La prise du Havrix isopathique, quant à elle, s'est avérer faire disparaître de manière fulgurante les symptômes résiduels. En revanche, conformément à sa notice, le Havrix isopathique s'est avéré n'être efficace que pendant une trentaine de jours. De plus, conformément aux observations générales de l'homéopathie, la dilution du remède a dû être augmentée progressivement pour conserver son efficacité : de 30K à 200K, puis de 200K à 1000K.
Autant le romarin n'est à mon avis qu'un remède de terrain qui me convenait personnellement au moment où je l'ai pris, autant le vaccin Havrix en dilution homéopathique répétée, me semble être la piste d'une solution symptomatique importante. En effet, étant donné qu'il a été dans mon historique de maladie post-vaccinale, identifié clairement que le vaccin en cause était le vaccin de l'hépatite A Havrix, il est permis de penser qu'un accident post-vaccinal provoqué par un vaccin particulier peut être compensé par la prise du même vaccin en dilution homéopathique. Par exemple, les nombreuses victimes du vaccin de l'hépatite B Engérix-B, notamment lors de la campagne de vaccination massive en France, pourraient trouver un espoir de guérison en la prise du remède Engérix-B à des doses homéopathiques. De même, toutes les personnes se pensant victimes d'une vaccination particulière pourraient essayer de prendre ce même vaccin en dilution homéopathique, et voir quels effets positifs en résulteraient.
Mise à jour 2006 :
Il y a deux semaines, j'écrivais le texte suivant : "Actuellement, je suis encadré par des thérapeutes alternatifs, qui ont repris le relais des médecins désemparés. Une dilution homéopathique du vaccin de l'hépatite est aujourd'hui le seul remède qui me soulage. L'effet du remède est instantané et total, mais il ne dure qu'un mois, et entre les deux les réactions adverses sont de plus en plus fortes et de plus en plus longues. Les osthéopathes défont le gros des paralysies, et mes collègues masseurs et masseuses s'emploient à soulager mes douleurs, mais l'un dans l'autre, je souffre la plupart du temps. Et les espoirs de guérison semblent de plus en plus s'envoler."
Aujourd'hui l'espoir renait. Le 18 septembre j'ai pris une dose homéopathique du vaccin. Le rebond a été aussi violent que la maladie elle-même et a duré presque tout le mois. La perspective de subir les symptômes en permanence a été à l'origine de mon désarroi. Néanmoins, il semble que cette manifestation des symptômes ait été la dernière. En effet, aujourd'hui 31 octobre 2006, soit plus de 30 jours après la prise de la dose précédente, je ne ressens plus aucun réapparition des symptômes. Il semble donc qu'après la période d'efficacité du remède, les symptômes aient définitivement disparu. Je touche du bois et n'ose encore y croire, mais il se pourrait que cette médication soit bel et bien efficace, à court comme à long terme.
Mise à jour 2007 :
Le problème du vaccin de l'hépatite A Havrix semble s'être dissipé. Entretemps, j'ai trouvé dans l'ouvrage "la médecine retrouvée" du Docteur Jean Elmiger un protocole de détoxication des vaccins par la méthode de thérapie séquentielle inversée. Cette méthode consiste à prendre une série d'isopathiques homéopathiques des différents vaccins injectés, dans l'ordre chronologique inverse des injections. J'ai testé la méthode et je peux dire qu'elle fonctionne pour moi. C'est ainsi que je prends en ce moment, avec de brillants résultats, des isopathiques des vaccins Mencevax (Méningite) et Typhim (fièvre typhoïde). Les résultats que j'obtiens s'observent sur la couleur des selles, les douleurs dorsales en D5-D8, la fatigue, l'abattement et les facultés intellectuelles. L'efficacité de ces remèdes a également été évaluée et confirmée par le test musculaire de kinésiologie. Il semble donc bien que la thérapie séquentielle inversée du Dr. Jean Elmiger donne de bons résultats.
Je vous tiendrai informé par ce site de l'évolution des symptômes.
Entretemps, si vous avez des questions, n'hésitez pas à
me contacter.
Didier Vardet
Vaccins, la controverse
Dans nos pays, les vaccins sont extrêmement répandus, car hautement conseillés, voire obligatoires.
Les autorités médicales, soutenus par les entreprises pharmaceutiques, nous affirment que les vaccins sont sûrs, sans danger, ont des effets secondaires mineurs, confèrent à coup sûr une immunité efficace, sont une prévention à la menace de terribles maladies, sont indipensables pour enrayer les épidémies, et n'ont aucun impact néfaste sur le système immunitaire.
En face du monde médical traditionnel, des vaccinés s'estimant victimes des vaccins qu'ils ont reçu, soutenus par des thérapeutes alternatifs et des journalistes engagés, crient à l'unisson que les vaccins sont lourdement nocifs, peuvent avoir des effets secondaires désastreux comme la sclérose en plaques, n'immunisent que partiellement ou pas du tout, gênent l'éradication des épidémies, et saccagent le système immunitaire.
Dans cette polémique entre les intérêts économiques et la révolte d'individus en quête de vérité et de justice, il est difficile d'y voir clair et de savoir quoi faire. Cet article vise à confronter le point de vue des uns et des autres, et appelle à la vigilance.
La médecine a élaboré du système immunitaire un modèle complexe. En simplifiant fortement, il fonctionne ainsi :
- Une protéine (par exemple à la surface d'une bactérie ou d'un virus) est identifiée comme étrangère à l'organisme. C'est un antigène.
- Des protéines immunoglobulines spécifiques sont produites. Ce sont les anticorps. Ils ont une affinité spécifique pour l'antigène à neutraliser.
- Les anticorps se lient aux antigènes.
- Le couple anticorps + antigène (et donc le germe qui porte l'antigène) est détruit.
Cette réponse immunitaire est consécutive à l'infection. Pendant sa mise en route, l'infection a malheureusement le temps de se propager. Le vaccin apporte l'antigène sous une forme non (ou très peu) infectieuse (Figure 1).
Figure 1 - Schéma de principe de la vaccination.
Les vaccins ont pour rôle de stimuler une réaction du système immunitaire contre un élément étranger à l'organisme, tel qu'un germe infectieux ou un allergène. Par exemple, un vaccin peut être constitué d'un virus inactivé. Ces antigènes provoquent la production d'anticorps prêts à l'action dans l'éventualité d'une infection par le virus actif.
Des vaccins existent contre le tétanos, la diphtérie, la rougeole, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite, la tuberculose, la coqueluche, la méningite, les pneumocoques, la grippe, la fièvre typhoïde, la fièvre jaune, l'hépatite A, l'hépatite B. Pour ne citer que les principaux.
A l'école on raconte que Louis Pasteur inventa il y a plusieurs siècles la vaccination, reposant sur le principe qu'un corps ayant vaincu une maladie, même sous une forme affaiblie, ne l'attrapera plus par la suite.
On nous affirme qu'à travers l'histoire les vaccins ont enrayé des épidémies : variole, tuberculose, tétanos, etc. Pour appuyer le bien fondé des campagnes vaccinales le gouvernement avance des chiffres statistiques d'évolution des épidémies. Sur cette base, dans un but de prévention et d'éradication des maladies, ils décident de vacciner la population entière. Les vaccins sont offerts gratuitement afin de garantir à tous l'accès à la vaccination. Dans l'intérêt de tous, certains vaccins sont décrétés obligatoires, en particulier ceux contre les maladies que la médecine ne sait pas guérir.
Test-santé nous dit que les vaccins sont sûrs, qu'ils nous protègent des maladies. Qu'ils sont absolument sans danger et sans effet secondaire. Que les vaccins n'ont aucun impact négatif sur le système immunitaire, car seulement 0,1% des défenses immunitaires sont engagées dans le prise en charge d'un vaccin. Qu'en vaccinant l'ensemble de la population ils sont convaincus qu'on pourra enrayer les épidémies et éradiquer les maladies.
Les autorités médicales estiment que les prétendues victimes des vaccinations exagèrent. Qu'ils hurlent sans fondement. Qu'ils ne livrent pas d'arguments objectifs, ni de preuves scientifiques indiscutables.
Je crois en la bonté humaine. Je crois en l'intégrité des médecins, en la valeur de leur serment d'Hippocrate, en leur volonté de soigner les gens du mieux qu'ils peuvent. Je crois en la valeur de ceux qui occupent les plus hautes fonctions de l'autorité médicale.
Je crois en l'indépendance de magazines d'information médicale comme Test-santé, un magazine en lequel croient de nombreux lecteurs, en lequel ils font confiance. Test-santé est un magazine qui s'engage à l'impartialité dans la défense des consommateurs, et des individus en général. Je crois en leur impartialité et leur bonne volonté. Je crois en leur souci de la santé de la population.
Je crois que le système est basé sur de bonnes intentions, sincères, pures, nobles. Je crois que le principe de la vaccination est un bon principe.
Mais je crois aussi que l'enfer est pavé de bonnes intentions de ce type, et qu'il y a une différence entre la théorie et la pratique.
Et que si les gens sont bons de nature, ils sont également imparfaits. Et les systèmes qu'ils inventent le sont encore plus.
En effet, rien ne nous prouve que la vaccination n'a que les bons côtés que nous présentent les industries pharmaceutiques, le gouvernement, les médecins, les magazines et autres sources d'informations. Pour le prouver il faudrait innoculer la maladie à des vaccinés, ce qui est éthiquement impossible.
La réputation d'efficacité de la vaccination repose sur la mesure d'anticorps spécifiques dans le sang. Or il existe des contre-exemples : des vaccinés présentant un taux d'anticorps largement supérieur au seuil considéré comme protecteur, ont tout de même contracté la maladie. Certains en sont morts.
A l'école primaire on nous a enseigné que le malheureux enfant avait été mordu par un chien enragé et que sans la piqûre salvatrice, il aurait inéluctablement contracté cette redoutable maladie. D'après le Docteur Henri Quiquandon [Quiq1978] "la vérité est toute autre ; bien peu de gens savent que le propriétaire du chien mordeur, Max Vone, ainsi que plusieurs autres personnes mordues le même jour par cet animal, restèrent en bonne santé en l'absence de tout traitement, ce qui signifie en clair que le chien n'était nullement enragé". Dans son livre "Pour en finir avec Pasteur", le docteur Eric Ancelet se base sur des documents historiques de la main des collaborateurs de Pasteur pour décrire celui-ci comme un individu opportuniste, torturé par une extrême soif de reconnaissance, ayant truqué les résultats de ses recherches et les contrôles sur ceux-ci avec l'aide de ses amis.
On nous avance des chiffres statistiques relatives à la vaccination mais est-ce une preuve ? Car il existe également des statistiques contraires, et les statisticiens savent que l'on peut faire dire n'importe quoi aux statistiques. Par exemple, depuis 1957, l'OMS ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de la poliomyélite, alors qu'avant la vaccination, toutes les formes de la polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin de la vérité.
Ni les industries pharmaceutiques ni les médecins n'ont intérêt financièrement à ce que la population soit en bonne santé. Ils ont simplement intérêt à soulager des symptômes pour garder une crédibilité. Et les gouvernement, n'ont-ils pas tout intérêt à ce que les gens s'occupent d'autre chose que des affaires publiques ? Comme par exemple de leur santé ?
Les industries pharmaceutiques fonctionnent selon un système dont la survie est basée sur l'argent. Un tel système ne se ramène pas qu'à l'ensemble de ses individus, il a une "vie" propre, un fonctionnement qui le régit, et auquel doivent se soumettre ses employés, au risque d'en être exclus. Et dans un tel système l'association des craintes individuelles devient le moteur de la perversion. Qu'est-ce que le mal, sinon du bien torturé par sa propre soif ?
Le contrôle des industries pharmaceutiques sur la population est multiple (Figure 2).
Figure 2 - Le contrôle des industries pharmaceutiques sur la population.
Un exemple
frappant : en 1949, lorsqu'a été décidée au Sénat français la campagne de vaccination nationale par le vaccin du BCG, le président du Sénat n'était autre que le directeur de l'industrie pharmaceutique qui commercialisait le vaccin : l'Institut Pasteur. Ici le lien de "juge et partie" est évident. Par contre avec le temps les intermédiaires se sont multipliés, et les pistes se sont brouillées de plus en plus. Mais le mode décisionnel suit toujours le même schéma malsain. En 1994, l'entreprise Smith-Kline Beecham se servait comme intermédiaire du ministre-pantin Philippe Douste-Blazy pour faire introduire dans les écoles primaires une campagne de vaccination contre l'hépatite B [Simo2001].
Alors qu'un magazine publié par une association de défense des patients s'apprêtait à publier son dossier sur la vaccination, j'ai demandé à la rédaction de citer l'existence de la polémique vaccinale. Pas de prendre parti, non, seulement citer l'existence de la polémique. Afin que chacun soit correctement informé, et puisse s'il le souhaite s'informer plus avant afin de prendre une décision éclairée et adulte. Ils ont refusé, prétextant que cela risquait de compromettre la couverture vaccinale, et de mettre en péril la santé des gens. Lorsque j'ai parlé des effets secondaires comme la sclérose en plaques, ils m'ont dit qu'ils n'avaient aucune preuve d'un lien de cause à effet entre la vaccination et la sclérose en plaques, et qu'ils avaient même des preuves que ce lien n'existait pas. Je leur ai demandé quelles preuves ils avaient, ils m'ont répondu qu'ils avaient lu 4 articles scientifiques. Quatre. Lorsque je leur ai demandé s'ils avaient vérifié que ces études étaient bien indépendantes des industries pharmaceutiques, ils m'ont répondu "on espère" ... Alors voilà: sur base de seulement 4 articles scientifiques, dont "on espère" sans autre vérification qu'ils sont indépendants de tout intérêt commercial, un magazine qui se prétend indépendant conseille la vaccination à l'ensemble d'une population qui leur fait confiance. De la désinformation pour protéger ? Dans quel monde vit-on ? Les gens sont-ils si ignorants et irresponsables qu'il faut décider pour eux de ce qu'il est bon ou non de leur laisser savoir ? Pour une question de santé aussi fondamentale ? Il est vrai qu'il serait téméraire pour un magazine aussi faible de se poser à contre-courant de toute l'industrie pharmaceutique, et de leurs marionnettes (voir la Figure 2).
L'idée de la gratuité des vaccins obligatoires est un leurre. Même si l'individu à qui est injecté un vaccin obligatoire ne le paie pas de manière directe, il le paie de manière indirecte, via sa cotisation à la sécurité sociale, dans les caisses de laquelle l'industrie pharmaceutique qui a produit le vaccin prélève le prix de l'injection. Et comme dans une campagne de vaccination obligatoire c'est toute la population qui est vaccinée, chacun paie sa propre injection. Les vaccins obligatoires ne sont donc nullement gratuits comme le prétend le gouvernement.
Pourtant les alternatives aux vaccins existent. Mais qui les développe et les perfectionne ? Les industries pharmaceutiques principalement. Si l'on regarde la liste de remèdes naturels de la Table 1, on peut se faire une idée de la disproportion de leur chiffre d'affaires par rapport à celui des vaccins.
Maladie | Remède | Références |
Hépatite |
Phosphorus 15CH |
Internet |
Hépatite A |
pissenlit ; Phosphorus 15 CH 10 granules matin et soir pendant 10 jours, Chelidonium 4CH 5 granules, Hydrastis 5CH 5 granules, China 5CH 5 granules |
reseauproteus.net (pissenlit) ; Internet |
Poliomyélyte |
laisser la fièvre monter à 39-40°C (le virus est détruit à cette température), ne surtout pas essayer de faire baisser la température avec des médicaments |
Dr. Jean Pilette, La poliomyélite: Quel vaccin ? Quels risques ? |
Hépatite C |
chardon-marie & schisandra |
Dr. Andrew Weil |
Tuberculose |
Réglisse |
reseauproteus.net |
Diphtérie (? [check]) |
Chlorure de Magnésium |
Dr F. Joet, Tétanos, le mirage de la vaccination- travaux du Dr. Neveu |
Tétanos |
Chlorure de Magnésium |
Dr F. Joet, Tétanos, le mirage de la vaccination - travaux du Dr. Neveu |
Fièvre jaune |
crotalus horribila |
homéo |
Paludisme |
crotalus horribila |
homéo |
En prévention : utiliser des huiles essentielles (aromathérapie), pour plus d'informations voir les références proposées sur la page suivante :http://www.reseauproteus.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2002111800 |
Table 1 - Alternatives aux vaccins : préventions et remèdes
La meilleure alternative n'est-elle pas d'éviter l'infection ? Un article du Reader's Digest rapporte comment le "Docteur Tétanos", un médecin itinérant de l'organisation Médecins Sans Frontières, a sauvé des populations entières d'une terrible maladie qu'est le tétanos : par la vaccination, mais aussi par des mesures d'hygiènes et la fourniture de matériel d'accouchement stérile.
Il existe aux vaccins une explication alternative quant à l'arrêt des épidémies et à l'éradication des maladies : elles ont spontanément régressé, sous l'effet des comportements, de l'amélioration de l'hygiène de la qualité de la vie, bases d'un système immunitaire fort.
Et si les maladies contre lesquels on vaccine n'étaient pas si terribles que ça ? Cela s'apparenterait à de la vente par la terreur. Et si les maladies contre lesquelles on vaccine étaient agravées par la fragilisation de notre système immunitaire par les vaccins, ne serions-nous pas en face d'un paradoxe ?
Certaines vaccinations sont-elles vraiment indispensables ? Est-il indispensable de vacciner les nourrissons contre l'hépatite B, une maladie qui ne s'attrape que par les raports sexuels et les transfusions sanguines contaminées ?
Certains vaccins sont contaminés par d'autres virus, comme le SV-40. C'est ainsi qu'est décédé le petit Alexander Horwin [Horw_WWW]. Désormais ses parents luttent pour faire éclater la vérité; sa maman a pris des cours de biologie, et son papa des cours de droit. Cela ne leur rendra pas leur enfant, mais pourrait bien en sauver des milliers d'autres.
Il est un fait qui ne semble alerter personne et qui me fait tomber de ma chaise : chaque vaccin contient en moyenne 900 microgrammes d'hydroxyde d'aluminium, dose intégralement injectée dans le sang à l'injection. Or, la limite admise d'aluminium dans le sang par les normes sanitaires de l'Union Européenne est de 15 microgrammes par litre de sang, le seuil de toxicité étant situé à 60 microgrammes. L'injection d'un seul vaccin dépasse donc de 10 fois la quantité admise par la norme. L'hydroxyde d'aluminium est accusé de provoquer des maladies auto-immunes et neurologiques comme la polyarthrite rhumatoïde, l'autisme et la sclérose en plaques. Est-il acceptable d'intoxiquer ainsi la population "pour son bien" ?
Un autre effet secondaire est le bloquage et la fragilisation du système immunitaire. Malheureusement ce phénomène est difficile à mesurer. Il est néanmoins de bon ton de remarquer que l'on n'est jamais malade que d'une maladie à la fois. Cette observation suggère que le système immunitaire ne s'occupe que d'une maladie à la fois. S'il reste bloqué sur un vaccin, seul le système immunitaire général est gardien de la santé. Et dans ce processus l'hydroxyde d'aluminium a un effet désastreux : non seulement il déclenche une violente réaction du système immunitaire, mais il en empêche l'arrêt naturel [Info_WWW].
Les victimes qui "hurlent et exagèrent" sont forcément subjectives dans leur expression, sous le coup de la colère, sous le coup de l'impuissance à être entendus, reconnus dans leur drame, pris au sérieux même s'ils ne peuvent apporter de preuves scientifiques, forcément par manque de connaissances scientifiques. Frustrés dans leurs besoins de vérité, de justice, de considération, de respect pour la santé humaine, ont-ils d'autres moyens de faire entendre leur message que de crier plus fort ?
Et les médecins et chercheurs qui voudraient s'essayer à des études contradictoires, où vont-ils trouver les moyens financiers lorsque les seules subventions proviennent des industries pharmaceutiques ? Il n'est aucunement dans l'intérêt d'une industrie que de subventionner des études qui pourraient prouver que les produits qu'ils vendent sont dangereux. Et les médecins rebelles risquent leur carrière par exclusion du système. Ce fut par exemple le cas du Docteur Beljanski ; son exclusion est aujourd'hui reconnue par le conseil de l'Europe comme un cas de violation des droits de l'homme. Enfin, les médecins indépendants qui obtiennent des résultats contradictoires ont du mal à diffuser leurs découvertes, car la diffusion d'informations scientifiques est contrôlée par les mêmes intérêts contraires. Et leur statut de dissident les prive du soutien de leurs confrères ignorants de la perversité du système dans lequel ils évoluent.
Bref, dans cette controverse vaccinale on peut donc constater que deux camps affrontent des arguments contraires et discutables. D'une part les industries pharmaceutiques distillent une information hautement scientifique mais subjective. D'autre part les victimes avancent des raisonnements de bon sens mais dont l'expression est empreinte de colère. Aucune preuve ne fait autorité ni d'une part ni de l'autre.
Au milieu de cette confusion chacun se retrouve avec la responsabilité de se forger sa propre opinion. Et de décider en toute connaissance de cause s'il se fait vacciner ou non.