Chers amis,
L'heure est grave. Dans un "quasi-silence assourdissant" sur ce sujet dans les médias depuis longtemps (ou alors avec la parole accordée très majoritairement toujours aux mêmes, représentants des intérêts des multinationales pharmaceutiques...), on nous a préparé un paquet de lois infâmes, indignes d'une démocratie !
Vous avez dit "gouvernement mondial" ? Celui-ci, je n'en veux pas. C'est celui qui orchestre la libéralisation générale, sous le nom de mondialisation, et qui ne favorise la liberté que des multinationales et de quelques entreprises pointues, pas celle des simples citoyens, coincés dans un système de guerre économique, et d'endettement artificiel habilement organisé...
Contraindre à se faire vacciner est un acte gravissime, pour qui connaît la composition complète des vaccins, et leurs risques cachés. Entre autres, une micro-encéphalite post-vaccinale est fréquente, entre autres. Heureusement, elle n'est que "micro-", la plupart du temps. Mais à force de répéter les vaccins....?!?
J’œuvre comme médecin, en cabinet privé depuis plus de 25 ans. Je ne peux rester muet face à ce qui se trame. Et n'ai qu'un regret : n'avoir pas eu la disponibilité de faire connaître ceci plus, plus tôt, plus vite...
On pourra lire la suite de mes réflexions plus loin. Je laisse d'abord ici la place à quelques références internet des référendaires contre cette loi : PRENEZ LE TEMPS DE LES LIRE :
C'EST ASSEZ EFFARANT !
Et à vous de jouer ensuite, pour transmettre à d'autres pendant qu'il est encore temps. Quoi qu'il puisse arriver, plus nous serons nombreux à savoir, et à agir en conséquence, et mieux nous laisserons de chances à une "santé autrement", et à une liberté de conscience, de survivre !!!
Il y a 4 ans, (c'est déjà loin, on compte sur notre oubli ???), le spectre de la grippe H1N1 était brandi dans tous les medias, l'Organisation Mondiale de la Santé (financée pour moitié environ par les producteurs de vaccins) déclarait une pandémie mondiale, tous les gouvernements achetaient des millions de doses de vaccins, et de remèdes antiviraux chimiques prétendument efficaces, puis essayaient de les fourguer à tout le monde. Les 2/3 des infirmiers et infirmières, tout de même méfiants, refusaient de se faire vacciner. Surtout après les 1ères victimes chez les infirmières suédoises....
En Suisse, un médecin sur 2 était contre cette vaccination.... pour lui-même et sa famille. Mais parfois la pratiquait sur ses patients. Des millions de francs de vaccins et de médicaments jetés à la poubelle finalement...? Non, les produits seulement. Les francs, eux, sont partis sur les comptes en banque des pharmas... et de quelques autres intervenants probablement.
Et, ce dont on ne parle quasi jamais, mais dont un médecin comme moi sait que cela existe, des victimes d'effets secondaires parfois graves de ce vaccin (comme d'autres), et qui frappent à ma porte 1, 2, 3, voire 4 ans après, parfois au bord du suicide à force de souffrances non reconnues et non soulagées. Parfois, les médecines naturelles parviennent, non sans efforts coûteux, à "récupérer" ces personnes, à leur redonner une santé acceptable. Mais parfois non, ou pas assez.
Restent les yeux pour pleurer, et des consciences à réveiller. Pour que ça ne se reproduise pas.
Or, c'est ce qu'on nous prépare, avec cette nouvelle loi, et en pire ! Grâce à l'aventure H1N1, une partie importante des citoyens, surtout grâce à internet, a pu prendre la mesure du problème des vaccinations, prétendues efficaces et sans danger. Si elles l'étaient, il n'y aurait pas de problème, et aucun besoin de contrainte ou de menace pour que les gens courent se faire vacciner. Bien conditionnés, certains courent de toute façon.
Mais, en rendant une vaccination obligatoire, on rend toute comparaison scientifique entre vaccinés et non-vaccinés impossible, pour cause d'inexistence des non-vaccinés !!! Or, l'histoire a montré clairement ceci (2 exemples parmi de nombreux autres) :
Aux Philippines au début du 20ème siècle, on a fait de multiples campagnes de vaccinations contre la variole. Résultats : le taux de variole a été multiplié par 6 à 10 (!!!) dans les îles vaccinées, et en particulier à Manille où tout le monde était survacciné, alors que sur l'île philippine de Mindanao, où les habitants avaient refusé d'être vaccinés, l'incidence de la variole était resté identique au point de départ.
En France, "avec la vaccination", la tuberculose a régressé et quasi disparu. Oui mais, ce qu'on ne dit ni ne montre, comme d'habitude :
1/ cette régression avait démarré bien avant l'introduction du vaccin, et était déjà très avancée lors de l'introduction du vaccin.
2/ aux Pays-Bas, où le vaccin n'était pas obligatoire, et où seuls 5 à 10 % de la population s'est fait vacciner volontairement : la régression s'est produite non seulement à la même vitesse qu'en France, mais a abouti à une disparition finalement plus rapide, car il n'y a pas eu les petites remontées momentanées (gommées dans les statistiques usuelles) liées aux campagnes de vaccination telles que pratiquées en France....
Par ailleurs, on nous bassine, malgré les faits ci-dessus et bien d'autres, avec une prétendue protection collective ! Si un vaccin était vraiment efficace et sans danger, le vacciné n'aurait rien à craindre d'un non-vacciné ! Pourquoi alors ce conformisme imposé, cette "chasse aux sorcières", cette suspicion jetée comme par hasard sur les réticents à l'industrie du médicament ?? Une personne, vaccinée ou pas, peut être un porteur sain de microbes. Ils se développent, ou pas, chez d'autres selon leur terrain biologique, leur santé, qui ne saurait pas tenir qu'à la question vacciné ou pas : tant de facteurs de santé interviennent ! Mais la majorité ne sont pas brevetables, donc peu rentables !
Combien de personnes savent que les vaccins contiennent pour la plupart des métaux lourds (Mercure, Aluminium), toxiques pour le cerveau, le foie, les reins, la thyroïde etc. ? Et aussi des impuretés génétiques issus des milieux de cultures (pour tous les vaccins viraux) : fragments d'ADN issus d'oeufs, de reins de singes, de foie de singes, de cellules cancéreuses humaines, etc, (tout ceci étant ou ayant été des milieux de culture des virus vaccinaux historiquement)... Etc, etc...
Se référer notamment au livre du Prof agrégé de biologie Michel Georget : " Vaccinations, les vérités indésirables ", éditions Dangles.
Pour cela le 22.9.13 NON à la loi révisée sur les épidémies
Contre les pleins pouvoirs, la mise sous tutelle, les vaccinations obligatoires, la surveillance et l'augmentation des coûts! Pour la défense de notre santé et souveraineté!
Télécharchez la révision totale de la loi sur les épidémies (LEpr), la loi sur les épidémies en vigeur (LEp), et les explications du Conseil fédéral avec la touche droite de votre souris.
1. Refus de la dictature sanitaire des grandes compagnies sous le couvert de la protection civile
La Loi sur les épidémies a pour but de prévenir et combattre le déclenchement et la propagation des maladies transmissibles. La LEp en vigeur est excellente et recouvre toutes les éventualités. Mais la LEpr dévie de manière irresponsable de la cible en mettant les intérêts des grandes entreprises internationales au dessus de ceux de la population en général. C'est la raison pour laquelle nous avons lancé ce référendum. La LEpr met la Suisse sous tutelle de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et son Règlement Sanitaire Internationale (RSI) (LEpr Art. 80.3). L'OMS est contrôlé par les entreprises pharmaceutiques et financé par la fondation Rockefeller. Selon le RSI tout pouvoir est concentré auprès de l'OMS. La force prime sur le droit. Si l'OMS, comme dans le cas de la grippe porcine, déclare une situation particulière (ou extraordinaire) (Art. 6.1.b + 7), le Conseil fédéral n'a plus le pouvoir d'intervenir et alors ne peut par prévoir ce que l'OMS va faire. Il suffit d'une situation particulière et l'OMS peut ordonner les cantons via l'OFSP (Art. 8.2 + 80.3 + RSI) d'imposer des vaccinations obligatoires et en masse (Art. 6.2.d + 22), des mesures ordonnées avec exécution par voie de contrainte (Art. 32 ff), des interdictions totales d’exercer votre profession (Art. 38), la fermeture de vos entreprises privées (Art. 40.b) et des amendes non limitées (Art. 83).
2. Voulez-vous que le gouvernement fédéral reçoive un pouvoir totalitaire sur nous, citoyens?
En matière de protection contre les maladies transmissibles, l'approche fédéraliste a prouvé que la propre responsabilité des citoyens, médecins, municipalités et cantons bien interconnectés nous protège plus efficacement contre des maladies, bien plus que des autorités centralisées le pourraient. Au lieu de ceci, les partisans de la LEpr de manière autoritaire veulent transférer tout le pouvoir aux autorités centralisées (art. 6-7). Entreprises et autorités nationales et internationales sont étroitement imbriqués et obtiennent un pouvoir totalitaire sur nous, citoyens. Voulez-vous aveuglement accepter le risque d'abus de pouvoir - justifié par une "science" pharmaceutique financée avec des buts lucratifs - au détriment des contribuables que nous sommes?
3. Voulez-vous être contraints à des vaccinations ordonné par l'OMS?
Conformément à la LEpr, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) peut nous dicter quand de nouveau une prétendue pandémie se déclare (art. 6.1.b). Au-delà, le Conseil fédéral s'engage à imposer les mesures obligatoires déterminées par l'OMS – vaccinations obligatoires (veuillez dispositions pénales) - des «groupes en danger» et des «gens exerçant certaines activités» - infirmières, policiers, militaires etc. – à apporter à notre pays. C'est à dire: l'OMS constate une «urgence sanitaire» et des compétences globales sont transférées! Ici, une séparation des pouvoirs manque. Les conflits d'intérêts exhortent à la prudence. Rappel: 2009, L'OMS et leurs conseillers, partiellement payés par les producteurs de vaccins, ont proclamé, totalement inutilement, le niveau le plus haut de pandémie grippe porcine. Dans le monde entier, les autorités avaient été acquises à son dictat de dépenser des milliards de recettes fiscales pour les vaccins, lesquels ont ensuite dû être détruits en tant que déchets dangereux par tonnes! Heureusement pour notre population, ceci n'a donné en 2009, aucune vaccination obligatoire. Et ce statut n'a aucune raison d'être modifié.
4. La mise sous tutelle et la criminalisation du citoyen souverain
Si nous, citoyens souverains, vérifions la «situation particulière» et sans autorisation officielle effectuons une analyse microbiologique pour détecter des «maladies transmissibles» par un laboratoire indépendant, nous sommes punis d'amende (art. 83). Les fabricants de vaccins peuvent-ils nous imposer au travers de l' OMS, quand et pourquoi nous devons nous faire vacciner en Suisse? La crainte d'une pandémie, régulièrement fomentée par les médias n'est pas une raison pour octroyer aux puissances étrangères, l'autorité totalitaire sur nous. Laissez-nous préserver nos droits constitutionnels et fondamentaux de l'autodétermination et du droit à l'intégrité corporelle!
5. L'irresponsabilité prescrite par la loi de l'industrie pharmaceutique et du corps médical
Avec nos impôts, le Gouvernement fédéral prendrait en charge une partie des éventuels dommages causés à la santé résultants des vaccinations ordonnées, mais seulement jusqu'à un maximum de CHF 70'000 par personne blessée (art. 65). Le manque de responsabilité est un stimulant pour les fabricants pour fournir des vaccins insuffisamment testés; cela incite à un risque accru de dommages résultants d'une vaccination obligatoire. Parce que de nombreux vaccins contiennent des additifs toxiques, les partisans de la vaccination veulent décider eux mêmes quand et pourquoi on vaccine. Sur le site référendaire loi-epidemies-attention.ch vous trouverez des instructions sur la façon de reconnaître les produits douteux. Personne ne doit vous ordonner sous la menace de sanctions de vous faire vacciner avec des poisons comme le mercure/thimérosal (neurotoxine), l'hydroxyde d'aluminium (dégâts cérébraux), le glutamate de sodium (destructeur du cerveau), polysorbate (infertilité), le formaldéhyde (cancer), l'OCM (tumeurs malignes), nanoparticules (effets inconnus) etc. Notre santé ne doit pas être mise en danger en faveur des intérêts de pouvoir et des profits pharmaceutiques.
6. Si vos données de santé et vos habitudes de voyage venaient à être fichées, partagées et divulguées?
Voulez-vous qu'une base de données de santé nationale et centralisée puissent être confiée aux autorités étrangères (art. 60+62)? Après le secret bancaire, le secret médical cours internationalement à sa perte. En tant que citoyen jouissant d'une réputation intègre, vous pourriez, à cause de - éventuellement fausses - données médicales, être détenu par une douane étrangère, être mis en quarantaine ou être soumis à un traitement médical forcé, et bien plus encore.
7. Non à l'explosion des coûts de la santé! Le LEpr va accélérer la hausse des primes d'assurance de santé. Pratiquement, toutes les modifications législatives depuis l'introduction de la Loi sur l'assurance maladie ont inexorablement entraîné une hausse du coût pour nous les citoyen(ne)s et de profits pour l'industrie pharmaceutique. L'obligation de se faire vacciner permet les entreprises pharmaceutiques de vendre leurs vaccins, y compris les frais de publicité obligatoire avec l'argent de nos impôts. De plus le grand public se doit également de prendre en charge les coût élevés liés aux dégâts de santé sur un nombre incalculable de personnes.
8. La propagande des morts de Berset (Weltwoche, voir fichier pdf): Le Conseiller Fédéral Alain Berset affirme dans le livret de votation concernant la révision de la loi sur les épidémies que 2’000 personnes meurent chaque année d'infections nosocomiales (en milieu hospitalier) en Suisse. L'avocat Markus Erb dénonce ce chiffre fantaisiste. Ces 2'000 décès de la propagande - ainsi que l’erreur très arrangeante concernant les droguistes - ont été imaginés par un groupe de travail qui, sous la houlette du porte-parole du CF André Simonazzi, a conçu et rédigé le fascicule des votations. La Chancellerie fédérale précise que toutes les informations factuelles ont été fournies par le département en charge du thème. Cela veut dire que c’est l’OFSP et le secrétariat général d’Alain Berset qui portent la responsabilité des faux chiffres et citations. Finalement, le Conseil Fédéral à validé le document sans vérifier la pertinence de son contenu.
Pour cela le 22. Septembre 2013 votez NON à la loi révisée sur les épidemies!
Journal de votation: Pour cela le 22.9.13 NON à la loi révisée sur les épidémies
En gros une nouvelle épidemie mondiale doit etre envisagée la première a été un échec la 2nd sera plus autoritaire ...a faire passer car cela commence par un test en suisse ensuite cela sera généralisé aux autres pays ......