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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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13 mars 2020

La Garde nationale américaine se déploie dans les etats pour protéger les villes

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«J’ai le droit de faire beaucoup de choses que les gens ne connaissent même pas», a déclaré Trump.

Une déclaration d’urgence met fin à des semaines de débat au sein de la Maison Blanche, où différentes factions des meilleurs collaborateurs de Trump n’étaient pas d’accord sur la nécessité d’une déclaration en vertu de la loi Stafford. 

Ceux qui étaient opposés à la déclaration, qui comprenait Trump lui-même, craignaient que cela ne fasse paniquer les marchés financiers.

Ils craignaient également des retombées politiques s’il apparaissait que Trump envoyait le message opposé sur le coronavirus, à savoir qu’il s’agit d’une urgence, de celui qu’il avait constamment prononcé jusqu’à présent. 

Trump a affirmé que le coronavirus n’est pas plus dangereux que la grippe commune et qu’il disparaîtra probablement rapidement et sans impact significatif sur la vie américaine. Les responsables de la santé affirment qu’aucune de ces déclarations n’est exacte.

es unités de la Garde nationale dans 54 États et territoires ainsi que la Federal Emergency Management Agency se préparent à aider à la déclaration d'une «urgence nationale» qui a été faite vendredi après-midi lors d'une conférence de presse à Rose Garden par le président Trump alors que les États-Unis tentent de atténuer la propagation du coronavirus COVID-19 à travers le pays.

«Depuis ce matin, environ 400 professionnels de la Garde nationale de l'air et de l'armée dans six États - Floride, Iowa, Louisiane, New York, Rhode Island et Washington - fournissent du personnel à l'appui de l'autorité civile sous la direction de leurs gouverneurs en réponse à COVID -19. Comme d'autres États sont invités à soutenir les autorités civiles, ces chiffres changeront rapidement. À la fin de la journée, nous nous attendons à ce que ce nombre approche les 1 000 », a déclaré vendredi la porte-parole du bureau de la Garde nationale, April Cunningham, à midi, ajoutant que jusqu'à présent,« trente-trois États ont déclaré des urgences en réponse à la propagation du COVID -19. "

Les unités de la Garde nationale de chaque État agissent indépendamment sous le contrôle du gouverneur de leur État et plus tôt cette semaine, les gouverneurs de New York, du Rhode Island, de la Floride et de Porto Rico ont appelé environ 50 professionnels de la Garde nationale de l'air et de l'armée pour répondre aux réponses COVID-19 et les ont placés sur le "State Active Duty" qui est un statut de service, il est payé par les différents états.

 

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Photo par William Thomas Cain / Getty ImagesDes membres de la Garde nationale du New Jersey conduisent leur véhicule loin du bâtiment potentiellement contaminé au cours de la 21e équipe de soutien civil de la Garde nationale du New Jersey simulé un exercice d'urgence à la Burlington County Fire Academy le 28 juin 2005 à Westampton, New Jersey.

 

À l'heure actuelle, les unités de la Garde nationale sont utilisées État par État pour répondre aux efforts de confinement du COVID-19

Jusqu'à présent, l'État de New York a activé 378 de ses membres de la Garde nationale pour aider à soutenir la «zone de confinement» d'un mile autour d'une épidémie à New Rochelle, New York, où au moins 100 personnes ont été infectées par le virus après qu'un avocat de Manhattan l'ait contracté et Par la suite, il lui a transmis des membres de sa famille et d'autres contacts étroits près de son domicile dans le comté de Westchester, une banlieue riche juste au nord de New York. Ces troupes de la Garde nationale de New York ont ​​désinfecté et nettoyé les espaces publics communs autour de New Rochelle, y compris les écoles, les églises et les synagogues, et assuré le transport des infirmières et des prestataires de soins de santé qui collectent et livrent des échantillons médicaux pour les tests de coronavirus.

En Californie, une équipe d'augmentation médicale de 10 personnes de la Garde nationale de Californie sera activée aujourd'hui afin de fournir une «réponse de stabilisation préhospitalière d'urgence» à 24 patients en tout temps.

La Floride a envoyé un membre de sa garde nationale pour aider à fournir un soutien logistique au Florida Emergency Operations Center.

Cinq membres de la Garde nationale de l'Iowa aident l'État dans ses opérations au Centre d'opérations conjoint de l'Iowa.

Trois membres de la Garde nationale de Louisiane fournissent désormais une assistance pour la planification de COVID-19 au Bureau de la sécurité intérieure et de la protection civile de la Nouvelle-Orléans.

Le Rhode Island compte actuellement 10 membres de la Garde nationale du Rhode Island qui fournissent des services de liaison au ministère de la Santé du Rhode Island.

L'État de Washington a affecté quatre membres de la Garde nationale de Washington pour soutenir les efforts de planification au sein de la Division de la gestion des urgences de l'État de Washington pendant une période pouvant aller jusqu'à 45 jours.

Le gouverneur du Maryland a activé la garde nationale du Maryland, la réponse exacte restant à déterminer.

 

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US Air National Guard photo par le sergent. Crystal HousmanU.S.Airmen avec la 163d Attack Wing, California Air National Guard, envelopper un véhicule avec du plastique pour le protéger des particules dans l'air pendant la formation de défense CBRN, le 11 janvier 2020, à la base aérienne de mars, en Californie.

 

Le Centre des opérations du Bureau de la Garde nationale augmente ses effectifs et ses heures et est prêt à coordonner le soutien entre les États

«Les gardes nationaux de 54 États, territoires et du district de Colombie ont un banc très profond d'environ 450 000 professionnels expérimentés de la Garde nationale aérienne et militaire dont ils sont capables», a déclaré le sergent-chef de l'armée américaine. Cette semaine, W. Michael Houk, porte-parole du Bureau de la garde nationale, a déclaré à Heavy. «Bien que nous surveillions de près, le Bureau de la Garde nationale n'est actuellement chargé de soutenir aucune demande d'aide d'État à État concernant COVID-19. Si cela est nécessaire, nous sommes censés jouer un rôle essentiel dans la réponse à COVID-19 aux côtés de responsables des États et des principales agences fédérales. »

"La Garde nationale est pleinement impliquée aux niveaux local, étatique et fédéral dans la planification et l'exécution de la réponse de la nation à COVID-19", a déclaré la porte-parole du CIL, April Cunningham, soulignant: "En cas d'urgence, le Bureau de la Garde nationale sert de agence de coordination fédérale si un État a besoin de l'aide de la Garde nationale d'un autre État… Les unités de garde s'entraînent fréquemment côte à côte avec les intervenants d'urgence locaux et d'État, ce qui les rend bien adaptées aux opérations nationales.

«Au niveau national, les membres de la Garde forment le personnel à la réponse COVID-19, identifient et préparent les installations de la Garde nationale à utiliser comme logement d'isolement et compilent les inventaires des fournitures médicales de l'État. En outre, la Garde nationale a pris des mesures de précaution en annulant des événements, des exercices et des conférences », a noté Cunningham. «La première priorité de la Garde nationale est de protéger notre peuple tout en sauvant des vies. Le personnel de la Garde nationale fournira une assistance aux États qui comprendra un soutien logistique, la désinfection et le nettoyage, le transport du personnel médical, le soutien du centre d'appels et la livraison des repas.

La FEMA a annoncé qu'elle couvrirait jusqu'à 75% des coûts des mesures d'urgence COVID-19 étatiques et locales

Immédiatement après que le président Trump a déclaré vendredi une urgence nationale en vertu de la «Stafford Act», la Federal Emergency Management Agency a publié une déclaration disant «Cela augmente le soutien fédéral au ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) dans son rôle de chef de file fédéral agence pour la riposte en cours à la pandémie de COVID-19. À la suite de l'action décisive et sans précédent du président, la FEMA est chargée d'aider les gouvernements des États, locaux, tribaux, territoriaux et autres entités éligibles dans les actions de santé et de sécurité qu'elles prennent au nom du public américain. La déclaration d'aujourd'hui ne met pas à la disposition des particuliers une aide financière directe. »

Le président a le pouvoir exclusif de déclarer une urgence nationale en vertu des dispositions de la loi de Robert T. Stafford sur les secours en cas de catastrophe et l'assistance d'urgence et, une fois qu'il l'a fait, il met à la disposition des États et des collectivités locales jusqu'à 54 milliards de dollars en fonds de secours en cas de catastrophe de la FEMA. Gouvernements. Bien que le président Trump ait déclaré un certain nombre d'urgences nationales ces dernières années, il s'agit de la première déclaration de ce type pour une urgence de santé publique depuis la déclaration du président Barack Obama en 2009 sur l'épidémie de grippe porcine H1N1.

"La déclaration d'urgence ne modifie pas les mesures autorisées par d'autres lois fédérales et HHS reste le principal organisme fédéral dirigeant la réponse fédérale à COVID-19", a poursuivi la déclaration de la FEMA. «Les actions de la FEMA soutiendront le HHS et en coordination avec les gouvernements des États, tribaux et territoriaux. Les mesures de protection d'urgence admissibles prises sous la direction ou les directives des responsables de la santé publique en réponse à cette urgence, et non soutenues par les autorités d'une autre agence fédérale, seront remboursées strictement dans le cadre du programme d'aide publique de la FEMA. L'aide de la FEMA sera fournie à un taux de participation fédéral de 75%. Les activités remboursables comprennent généralement des mesures de protection d'urgence telles que l'activation des centres d'opérations d'urgence de l'État, les coûts de la garde nationale,https://heavy.com/news/2020/03/the-national-guard-is-responding-to-covid-19-coronavirus-national-emergency/

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14 mai 2018

Procès devant mettre fin à la fluoration de l'eau aux États-Unis

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Un tribunal fédéral a annulé une tentative de l'Environmental Protection Agency de rejeter une action en justice qui vise à mettre définitivement fin à la fluoration de l'eau aux États-Unis.

La victoire massive des groupes de anti-fluoration de l'eau a vu le juge du District Nord de Californie dénier à l'Agence de Protection de l'Environnement toute tentative de limiter les informations disponibles au tribunal alors que la décision était prise d'interdire ou non la fluoration de l'eau.

 

 

Food and Water Watch Inc. a déposé le procès historique avec une coalition entre l'organisation de la santé lutte contre la fluoration de l'eau.

En vertu de l'article 21 de la Loi sur les substances toxiques (TSCA), les citoyens américains sont autorisés à demander à l'EPA de réglementer ou d'interdire certains produits chimiques.

Lorsque l'EPA a rejeté une pétition de citoyens demandant qu'ils interdisent la fluoration de l'eau, Food and Water Watch a rapidement déposé une plainte.

Alors que la poursuite se poursuivait, l'EPA a traduit le libellé de la loi pour impliquer que le juge doit limiter l'examen des informations fournies par l'EPA lorsqu'elle a décidé de rejeter la requête le 17 février 2017.

"L'argument est de savoir si, en prenant sa propre décision, le tribunal peut penser à des détails que l'EPA n'a pas eu accès à une déclaration par exemple expert, études de recherche flambant neuf, documents obtenus en découverte, etc." Michael Connett, l'avocat représentant le syndicat a déclaré à Bloomberg Environment avant la décision.

National Law Review a  rendu compte  du jugement:

En rejetant la requête de l'EPA, la cour a spécifiquement déclaré que l'expression «procédure de novo» suggérait que le Congrès prévoyait une vaste portée d'évaluation en raison du fait que le mot «procéder» englobe toutes les activités habituelles d'une poursuite.

Cela fait référence à la découverte au-delà du dossier administratif. Parce que la TSCA a pour fonction de protéger le public contre les produits chimiques qui présentent des risques inutiles pour la santé des personnes et l'environnement, la Cour a statué qu '"une procédure de novo imitée par les tribunaux de district n'entrerait pas en conflit avec la fonction. de la TSCA, cependant, préférerait l'effectuer. "https://www.natlawreview.com/article/federal-court-issues-key-decision-ngo-challenge-to-use-fluoride-water

28 février 2017

TRUMP RELANCE LA COURSE AUX ARMEMENTS : ‘LA PLUS GRANDE DE L’HISTOIRE DE L’AMÉRIQUE’

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« Nous devons gagner, nous devons commencer à de nouveau gagner des guerres. 
Quand j’étais jeune, tout le monde disait que nous ne perdions jamais de guerre. Vous vous souvenez ? L’Amérique ne perdait jamais. Et maintenant, nous ne gagnons jamais de guerre ».
– Donald Trump devant les gouverneurs US.
 
Donald Trump a proposé ce lundi « une hausse historique » des dépenses du Pentagone pour répondre aux menaces d’un monde « dangereux », une augmentation de 54 milliards de dollars qui serait en particulier compensée par une réduction de l’aide internationale. A la veille de son premier discours devant le Congrès, le président des Etats-Unis a affiché, lors d’une rencontre avec des gouverneurs, sa volonté de présenter un budget 2018 qui respecterait sa « promesse de protéger les Américains ». 
 
La Maison Blanche va suggérer une hausse de 54 milliards de dollars pour la Défense, soit une augmentation d’environ 9% d’une année sur l’autre. Elle sera compensée par une baisse d’un montant équivalent pour les dépenses non-militaires, soit « la proposition de réduction la plus importante depuis les premières années de l’administration Reagan (1981-1989) », selon Mick Mulvaney, directeur du Budget. Evoquant une réduction de l’aide internationale, ce dernier a mis en avant les promesses de campagne du magnat de l’immobilier: « Nous dépenserons moins à l’étranger et plus chez nous ».
 
L’exécutif a souligné que ce n’était que le début du processus de consultations, et refusé de rentrer dans le détail des baisses attendues pour le puissant département d’Etat, en charge de la diplomatie américaine, ou encore de l’Agence de protection de l’environnement (EPA), en pointe dans la lutte contre le changement climatique. La présentation détaillée du budget fédéral (d’un montant total de près de 4.000 milliards de dollars) n’est cependant pas attendue avant plusieurs mois. Et les discussions s’annoncent, comme à chaque fois, ardues avec le Congrès qui tient les cordons de la bourse.
 
La défense représente environ la moitié des dépenses du budget de fonctionnement de l’Etat fédéral, qui elles-mêmes ne représentent qu’environ un tiers des toutes les dépenses fédérales (les deux autres tiers concernent les grands programmes sociaux de santé et de retraite). « Vous en saurez plus demain (mardi) soir », a ajouté M. Trump. « Ce sera un événement majeur, un message au monde en ces temps dangereux, sur la force et la détermination de l’Amérique », a encore dit le président septuagénaire qui avait évoqué il y a quelques jours « la plus grande montée en puissance de l’armée de l’histoire de l’Amérique ».
 
UN MILITARISME SANS PRECEDENT
 
Début février, des chefs militaires américains avaient décrit devant le Congrès une armée américaine affaiblie par des années de ressources budgétaires insuffisantes et près de deux décennies de conflits. S’ils ont déjà convaincu Donald Trump, c’est le Congrès qui tient in fine les cordons de la bourse. Profitant des retraits de troupes américaines d’Irak et d’Afghanistan, son prédécesseur démocrate, Barack Obama, avait réduit les dépenses militaires.
 
A 3,3% du PIB, soit près de 600 milliards de dollars, elles restent toutefois de loin les plus importantes du monde. Elles sont près de trois fois supérieures à celles de la Chine, la deuxième puissance militaire mondiale, et plus de huit fois supérieures à celles de la Russie, selon les chiffres de l’institut de référence suédois Sipri.
 
« Nous devons gagner, nous devons commencer à de nouveau gagner des guerres », a lancé Donald Trump devant les gouverneurs, reprenant des propos de campagne. « Quand j’étais jeune, tout le monde disait que nous ne perdions jamais de guerre. Vous vous souvenez ? L’Amérique ne perdait jamais. Et maintenant, nous ne gagnons jamais de guerre ».

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TRUMP : LE NOUVEAU STADE DE L’IMPERIALISME AMERICAIN
 
Alors que beaucoup d’analystes (confondant analyse et émotion du moment) se gargarisaient d’un « Trump isolationniste » (sic) ou « se rapprochant de la Russie » (resic), j’annonçais dès début décembre 2016 que « Trump ce sera la relance du militarisme à un niveau jamais égalé ». Mon analyse géopolitique prévisionnelle était une fois encore la bonne …
 
* Lire mon analyse de 2016 pour EODE THINK TANK :
La présidence Trump : vers un nouveau stade de l’impérialisme américain …
sur http://www.eode.org/eode-think-tank-la-presidence-trump-vers-un-nouveau-stade-de-limperialisme-americain/  
 
LUC MICHEL / EODE GEOPOLITIQUE
_____________________ 

22 décembre 2016

Histoire secrète du SIDA deuxieme partie

 

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Cet article vient compléter celui publié sur de nombreux médias citoyens cette semaine. Le sujet peu sembler vu et revu depuis des années et pourtant, en constatant le doute qui persiste chez beaucoup de lecteurs, il convient de creuser le sujet afin de démêler le vrai du faux. Officiellement, la médecine indique que le SIDA, ayant officiellement causé 28 millions de morts à ce jour, proviendrait du virus d’immunodéficience humaine (VIH). Certaines théories indiquent quand à elles qu’aucun virus VIH n’a jamais été détecté chez un malade du SIDA et d’autres qu’il s’agit d’un virus crée en laboratoire. Tout cela n’est pas très clair. Alors qu’en est-il vraiment? Cet article retranscrit essentiellement les recherches du Dr Boyd Graves s’étant penché réellement sur la question sans passer par le prisme de la pensée unique.state

Une vidéo du Dr Horrowitz et divers documents déclassifiés du gouvernement viennent confirmer ses dires. Le Dr Graves décédera le 18 Juin 2009 d’une infection par la bactérie Escheria Coli. Les plaintes en justices engagés contre le gouvernement des Etats-Unis ont été à chaque fois étouffées. (voir l’organigramme plus en détail). organigramme VIH Pour les sceptiques qui penseraient que ce sont de faux documents, vous trouverez ici un ensemble de 5000 pages de documents du congrès déclassifiés qui montrent que ce sont des documents originaux. Ils parlent précisément des armes biochimiques US (l’aspartame y serait d’ailleurs mentionné). L’histoire du développement du SIDA Le Dr Boyd E. Graves 28 septembre 2002 Extrait du livre «State Origin: The Evidence of theLaboratory Birth of AIDS » « La véritable histoire de l’origine du sida peut être retracée tout au long du 20ème siècle en commençant par 1878. Le 29 Avril de cette année les Etats-Unis ont adopté une «Loi fédérale de quarantaine ». Les Etats-Unis ont fait un effort significatif pour enquêter sur les «causes» des épidémies. En 1887, l’effort a été renforcée grâce au «Laboratoire d’hygiène ».

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Ce laboratoire était dirigé par le Dr Joseph J. Kinyoun, un raciste pur et dur, qui servait l’idéologie eugéniste. Deux ans plus tard, en 1889, nous avons pu identifier les « mycoplasmes », un agent transmissible, qui est maintenant considéré comme étant le cœur des maladies humaines, y compris le SIDA. En 1893, nous avons renforcé la Loi fédérale sur la quarantaine et tout à coup il y a eu une explosion de la polio. En 1898, nous savions que nous pourrions utiliser des mycoplasmes pour provoquer des épidémies, parce que nous étions en mesure de le faire chez les bovins et dans les plants de tabac. En 1899, le Congrès américain a commencé à étudier la lèpre aux Etats-Unis. En 1902, nous avons organisé une « observatoire d’évolution expérimentale » et avons pu identifier les maladies de nature ethnique. En 1904, nous avons utilisé des mycoplasmes pour provoquer une épidémie chez les chevaux. En 1910, nous avons utilisé des mycoplasmes pour provoquer une épidémie chez les volailles. En 1917, nous avons formé la «Fédération de la Société Américaine pour la Biologie Expérimentale» (FASEB). En 1918, le virus de la grippe tue des millions de gens sans crier gare. C’était un virus de la grippe modifié avec un mycoplasme aviaire pour laquelle les primates humains n’avaient aucune « immunité acquise ». En 1921, le théoricien de l’eugénisme Bertrand Russell, soutient publiquement la «nécessité d’organiser des « fléaux » contre la population noire. En 1931, des tests sont faits secrètement sur les Afro-Américains et expérimentons le SIDA sur les moutons. En 1935, nous apprenons que l’on pourrait cristalliser le mycoplasme du tabac et qu’il resterait infectieux. En 1943, nous commençons notre programme de guerre biologique.

Peu de temps après, nous étudions les mycoplasmes chez les humains en Nouvelle Guinée. En 1945, nous assistons au plus grand afflux de scientifiques étrangers de l’histoire dédiés au programme biologique américains. L’Operation Paperclip restera dans les annales comme étant l’un des programmes les plus sombres d’un gouvernement parallèle véreux faisant une fixation sur le génocide. En 1946, la marine américaine engage le Dr Earl Traub, un biologiste raciste notoire.En mai, une séance de la Commission des Finances confirme l’existence d’une arme biologique « secrète ». En 1948, nous savons que les États-Unis ont confirmé l’approbation de «l’élaboration d’un projet » dans lequel la question de la surpopulation de certains groupes raciaux est évoquée.

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Un mémo de George McKennan du Département d’État permet de mettre en exergue le mensonge eugéniste nécessaire au génocide de millions d’innocents. En 1949, le Dr Bjorn Sigurdsson isole le virus VISNA. Visna a été crée par l’homme et partage une partie de l’ADN du VIH. Voir, Proceedings of the United States, NAS, Vol. 92, pp. 3283 – 7, (11 Avril, 1995). En 1951, nous savons maintenant que notre gouvernement a mené sa première attaque de virus sur les Afro-Américains en Pennsylvanie. En Pennsylvanie, des cageots sont infectés afin de découvrir combien de manutentionnaires noirs en Virginie seraient atteints d’un virus placebo.Ils ont également infecter expérimentalement les moutons et les chèvres. Selon l’auteur Eva Snead, la première conférence mondiale sur un virus semblable au SIDA a lieu. En 1954, le Dr Bjorn Sigurdsson publie son premier article sur le virus Visna et s’impose comme le « grand-père du virus du sida. » Il va rencontrer la concurrence du Dr Carlton Gajdusek. En 1955, ils réussissent à créer artificiellement le virus de la mosaïque du tabac. Les Mycoplasmes seront toujours au cœur du programme de guerre biologique US.

En 1957, le futur président américain, Gerald Ford (ndlr: un franc-maçon du 33ème degrés, autant dire un sataniste pur et dur) et quelques autres donnent au Pentagone la permission de déployer des agents biologiques pathogènes. Il n’y a pas de cas signalé de SIDA avant 1957, date de la création du « special operation x » (La SOX), programme qui a servi de prototype pour le programme du « virus spécial » qui commencera en 1962. En 1960, Nikita Khrouchtchev était au courant de l’arme biologique. Sa déclaration de 1960 restera longtemps le reflet de l’arrogance de la collusion secrète entre le communisme et la démocratie. Les deux pays s’accordent en Novembre 1972 pour la réduction de la population noire. En 1961, le scientifique Haldor Thomar publie que les virus provoquent le cancer. En 1995, lui, Carlton et Gajdusek informent la National Academy of Sciences que «l’étude sur le visna sur les moutons serait le meilleur essai pour d’éventuels médicaments contre le HIV. » En 1962, sous couvert de recherche sur le cancer, les États-Unis tracent le chemin pour commettre des meurtres prémédités, le programme « Spécial Virus » commence le 12 Février. Dr. Len Hayflick met en place un laboratoire de mycoplasme à l’Université Stanford. On pense que le programme « Spécial Virus » a commencé en Novembre 1961 avec un contrat de Pfizer. À compter de 1963 et les années suivantes, le programme « Spécial Virus » menait des compte rendus annuels au Hershey Medical Center, Hershey, en Pennsylvanie. Les réunions annuelles sont emblématiques de la nature agressive de la recherche des E.U. sur le développement du SIDA. En 1964, le Congrès des États-Unis a donné son plein appui à la recherche sur le virus de leucémie / lymphome (SIDA).

En 1967, l’Académie nationale des sciences a lancé un assaut à grande échelle sur l’Afrique. La CIA (Division Technical Services) accepte son programme secret d’inoculation. En 1969, 18 Juillet, Fort Dietrick informe des scientifiques dans le monde et le Pentagone demande davantage d’argent, ils savent qu’ils peuvent fabriquer le SIDA. La note de service secrète sur le « Surpeuplement » de Nixon au Congrès marque le début de la chaîne de l’holocauste du SIDA. En 1970, le président Nixon (ndlr:Franc-maçon) signe PL91-213 et John D. Rockefeller (ndlr: illuminati), III est devient «tsar de la population. » Le Mémo de Nixon relatif à la sécurité nationale ne laisse aucun doute quant à la nature génocidaire du dépeuplement. En 1971, Sortie du Compte Rendu n°8. L’organigramme (p.61) reste à tout jamais l’acte de naissance du SIDA en laboratoire.Le rapport d’avancée n ° 8 est délivré. Au fil du temps, le programme Spécial Virus produira 15 rapports et plus de 20.000 notes scientifiques.

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L’organigramme constitue le lien entre tous les documents scientifiques, l’expérimentation et les contrats des Etats-unis. Il restera « manquant » jusqu’en 1999. Les scientifiques du monde entier sont stupéfaits. L’organigramme prendra tout son sens au cours du 21ème siècle. Il apparaît aussi que les expériences poursuivies dans la Phase IV-A de l’organigramme offrent la meilleure piste vers une thérapie plus efficace pour les porteurs du VIH/SIDA. Les 60 premières pages du Compte Rendu n°8 du programme Spécial Virus dévoilent de façon probante le but de l’opération. En Juin 1977, le programme Spécial Virus avait produit 66 000 litres de SIDA. Le virus du SIDA était ajouté aux vaccins envoyés en Afrique et à Manhattan. Cependant, grâce à la franchise d’auteurs tels que le Dr. Robert E. Lee, nous apprenons que le Laboratoire de Mycoplasmes de Stanford publie un des premiers rapports incluant le terme SIDA dans son titre : « Infections Virales chez l’Homme Associées au Syndrome d’Immuno-Déficience Acquise ».

Le scientifique initial, le Dr. Thomas Merigan, était « conseillé » dans le programme Spécial Virus Le compte rendu n ° 8 page 104-106 prouve que le Dr Robert Gallo travaillait secrètement sur le de développement du virus avec le plein appui du secteur du gouvernement américain qui cherchait à tuer ses concitoyens. Dr Gallo ne peut pas expliquer pourquoi il a exclu son rôle de «chef de projet» pour le programme Spécial Virus dans sa bibliographie. Les premiers travaux et découvertes du Dr Gallo peuvent être mis en relation avec l’organigramme de 1971. Nous savons maintenant comment chaque expérience s’y imbrique. La logique de recherche est une preuve irréfutable de l’existence d’un « Manhattan project » visant à élaborer un cancer contagieux qui tue sélectivement. Le document de 1971 du Dr Gallo est d’ailleurs identique à son annonce faite en 1984 sur le SIDA. Le compte rendu n ° 8 page 273-286 prouve que nous avons inoculé le sida à des singes. Depuis 1962, les Etats-Unis et le Dr. Robert Gallo ont infecté des singes et les ont relâchés dans la nature. Ainsi, même des scientifiques du gouvernement sont stupéfaits de constater l’apparition soudaine du HIV-1 et HIV-2 chez deux espèces de singes d’origines différentes, au cours des cent dernières années. Une étude japonaise de 1999 révélera finalement l’origine anthropique du virus du SIDA chez les singes. Les résumés des expériences faites sur les singes prouvent définitivement que le virus d’immunodéficience simienne est également fabriqué par l’homme. En 1972, les Etats-Unis et l’Union soviétique signent un accord biologique qui signe l’arrêt de mort de la population noire. L’accord de 1972 pour la collaboration et la coopération dans le développement d’agents biologiques offensifs fait toujours partie de la politique des Etat-Unis. En 1973, le scientifique de renommée mondiale, Garth Nicolson fait un rapport sur son projet, «« Rôle de la Surface Cellulaire pour Echapper à la Surveillance Immunitaire » (Role of the Cell Surface in Escape From Immunological Surveillance).

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Son rapport est accompagné de sept articles publiés. Le Dr.Nicolson a travaillé en collaboration avec le programme Spécial Virus de 1972 à 1978. Il est considéré par certains comme étant le collaborateur de la côte ouest du Dr Gallo. Il est fortement suspecté qu’en raison du Dr.Nicolson, le Dr Robert Gallo et le Dr Luc Montagnier se seraient secrètement rencontrer en Californie du Sud pour se mettre d’accord sur ce qu’ils pourraient dire et ne pas dire sur le programme de développement du « spécial virus ». En 1974, Henry Kissinger (ndlr: Franc-maçon de 33ème degrés) produit son NSSM-200 (plan américain de lutte contre la surpopulation). Il est le seul sujet de discussion lors de la Conférence mondiale de la population à Bucarest, en Roumanie. Les hommes de l’ombre avaient gagné, tout le monde était d’accord pour secrètement abattre la population africaine. Aujourd’hui, c’est l’Afrique et d’autres qu’ils considèrent indésirables. Demain, cela pourrait être vous. 3-7acb1db600 En 1975, Le Président Gerald Ford signe le Mémorandum de Défense de la Sécurité Nationale n°314. Les Etats-Unis implémentent le NSSM-200 de Kissinger . En 1976, les Etats-Unis produisent le compte rendu n ° 13 du programme « Spécial Virus ». Le rapport prouve l’existence d’accords internationaux des États-Unis avec les Russes, Allemands, Britanniques, Français, Canadiens et Japonais. Le complot visant à tuer des Noirs a un large soutien international. En Mars, la production du virus du sida commençet, en Juin 1977, le programme avait produit 66 000 litres de SIDA. Le président Jimmy Carter autorise la poursuite du plan secret pour abattre la population noir. 4-fe3c2b19a6 En 1977, le Dr Robert Gallo et les scientifiques soviétiques se réunissent pour discuter de la prolifération des 66 000 litres de SIDA. Ils intègrent le SIDA dans le vaccin de la variole pour l’Afrique et le vaccin expérimental de l’hépatite B pour Manhattan. D’après les auteurs Juin Goodfield et Alan Cantwell, le lot n ° 751 a été administré à New York à des milliers de personnes innocentes.

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Ce gouvernement ne sera jamais en mesure de réparer le mal fait aux personnes pour le viol sociale, l’humiliation et les préjudices faits aux personnes qui font face au VIH / SIDA quotidiennement. Les hommes de l’ombre avaient calculé avec précision que vous ne vous soucieriez pas de la mort de noirs et d’homosexuels. En fait, vous ne vous souciez pas que près d’un demi-million de vétérans de la guerre du Golfe soient infectés par quelque chose de contagieux. Bientôt, il n’y aura plus de population noir ni de militaires handicapés, les Blancs âgés commenceront alors soudainement à mourir et vous n’auraient toujours rien compris.» Cela vous permettra peut être de mieux comprendre la situation. Cette vidéo réalisée par le docteur Léonard Horowitz confirme les recherches du Dr Grave. Le Dr gallo y est pris en flagrant délit de mensonge en fin de vidéo. (Si quelqu’un veut se dévouer pour une VOSTFR…) Soudain, tout comme le président Nixon l’avait prédit, le nombre de morts explosait. Le 4 Novembre 1999, la Maison Blanche annonçait, …. « Dans un délai de cinq ans, tous les nouveaux infectés par le VIH aux Etats-Unis seront afro-américains …. »Il faudra tôt ou tard que nos experts soient autorisés à prendre en compte l’histoire de ce programme de virus. Il serait invraisemblable, sans cela, de tenter d’élucider l’étiologie du SIDA. Davantage de détails sur l’histoire du programme de virus secret peut être trouvé dans les archives du Dr. John B. Moloney. L’examen des fichiers du Dr Moloney permettra encore d’identifier d’autres dates et archives qui correspondent à l’une des plus grande prolifération de maladie dans l’histoire de la race humaine. Nous avons trouvé le chaînon manquant. Le fondement de la logique logique de recherche d’un programme fédéral destiné à tuer. Nous pouvons identifier quelques-unes des personnes qui ont travaillé dans l’ombre comme les Drs Robert Gallo et Garth Nicolson. Connaissant les mécanismes d’attaque par lesquels nous pouvons stopper le SIDA, il est désormais temps que plus personne ne puisse être touché par cette chimère de mycoplasme synthétique. Aider ceux d’entre nous qui sont encore là pour réaliser une vie épanouie et contributive.

Nous sommes tous un même peuple. Le 28 Septembre 1998, j’ai déposé une plainte contre les Etats-Unis pour la «création», «production» et «prolifération» du SIDA. Le 7 Novembre 2000, la cour d’appel s’aligna sur la décision du tribunal de première instance jugeant que l’allégation de fabrication du SIDA était « sans fondement ». » Le monde attend toujours que la cour se prononce sur les éléments de ce dossier. Le tribunal ne peut pas continuer à simplement écarter nos experts et l’organigramme du gouvernement.(ndlr: et pourtant si…il suffit que la cour soit composée de franc-maçons qui sont tenus par serment de s’entre-aider et le tour est joué: c’est beau la justice n’est-ce pas?). On m’a demandé de donner mon point de vue en ce qui concerne le programme fédéral MK-NAOMI. Le signle MK-NAOMI est le nom de code prévu pour désigner le développement du SIDA. La partie «MK» sont les initiales des deux co-auteurs du virus du SIDA, Robert Manaker et Paul Kotin. La partie « NAOMI » signifie « les noirs ne sont que des individus temporaires. » ( Negroes are Only Momentary Individuals). Le gouvernement américain continue à orchestrer le silence des très hauts échelons du Congrès et des militaires. À l’heure actuelle, personne ne prend ses responsabilités. Les honnêtes gens finiront par créer un tsunami d’indignation dans l’opinion public. Nous ne pouvons pas permettre à l’Etat un droit autocratique de gouverner en dehors de la constitution. Notre société est structurée de façon à dissimuler les crimes d’Etat, tout en punissant les citoyens pour des délits mineurs.

Leur stratégie est basée sur la confusion générale qu’ils peuvent créer en manipulant les médias. Ils sont très habiles à ce jeu là. Nous devons nous concentrer sur la présentation régulière de l’organigramme qui est le chaînon manquant qui prouve l’existence d’un programme de recherche coordonné pour développer un virus du cancer qui détruit le système immunitaire. Cette compilation de documents judiciaires et de correspondances est l’accomplissement du véritable effort d’un homme afin de résoudre le mystère de l’origine du sida. Nous avons trouvé l’origine du SIDA, c’est nous. ~ Boyd 'Ed' Graves 7 Juillet 1952 au 18 Juin 2009 ~ Boyd ‘Ed’ Graves 7 Juillet 1952 au 18 Juin 2009 L’origine du SIDA est aussi à l’origine de presque tous les virus du cancer qui existent. Le Lymphome, la leucémie et le SIDA sont une petite partie d’une longue liste de maladies crées par l’homme. Ces cancers ont été développés dans un endroit appelé Fort Dietrich, Maryland, États-Unis, dans une installation de l’armée. En 1971, Fort Detrich changea de mains, et sous le couvert de l’Institut national de la Santé (NIH) la «recherche» biologique a continué, après que le président Nixon ait déclaré que les Etats-Unis réduiraient le financement et l’arrêt de la «recherche» biologique, en fait, ce financement pour la recherche biologique a augmenté en 1970 avec l’appropriation de 10 millions de dollars pour créer un virus de suppression immunitaire « pour lequel aucune immunité naturelle ne pouvait être obtenu ». L’OMS est dirigée par l’ONU et à son tour, l’OMS répercutent les plans du nouvel ordre mondial sur le peuple. Les vaccinations de masse, les pénuries alimentaires, les prédictions pandémie. Si vous n’êtes pas déjà au courant du but de l’ONU, l’OTAN, l’OMS, l’AMA (American Medical Association), faites des recherches, l’information n’est pas si difficile à trouver, vous avez juste à regarder dans la bonne direction.

l’AMA a été créée pour stopper les établissements d’enseignement de santé alternatifs aux États-Unis et pour faire en sorte qu’il ne soit possible de se former que dans les universités. C’est pourquoi la plupart des médecins ne connaissent pas les bienfaits de l’oxygène et la vrai santé et ne connaissent pas grand chose comme remèdes. Comme Hippocrate le disait: « soyez votre propre médecin ». Nous avons été tellement endoctrinés à penser que notre santé est si complexe, et avons appris qu’il n’y a pas de remède de fond pour la maladie, mais la vérité est que la maladie humaine est soignable facilement, la toxicité externe et le cancer crée par l’homme est une autre chose, mais là encore il existe des remèdes avec une variété d’options, qui sont tenue à l’écart du peuple par la mafia médicale aux commandes car «un malade guéri est un client perdu». » Conclusion: Que dire si ce n’est que ce médecin a tout compris. Merci à lui pour ses recherches qui démontrent que les plans génocidaires de l’élite sataniste qui nous gouvernent ne datent pas d’hier. Méfions-nous de leurs manigances. Non, les gouvernements ne veulent pas notre bien-être (l’article montre bien que des accords ont été passés avec divers pays, y compris la France), non l’OMS ne s’intéresse pas à notre santé (au contraire, ils sont là pour diminuer la population mondiale, typiquement par le biais de ce genre de programmes). Si par hasard, cette hiver on voit un virus mutant de la grippe aviaire faire son entrée, on saura pourquoi.

 

Sources: http://www.boydgraves.com/flowchart/ http://fr.scribd.com/doc/20536742/Boyd-Graves-ESP-1-HIV-AIDS-Development-Timeline http://fr.scribd.com/doc/20272035/hb-15090 http://www.mpwhi.com/hr_dod_1970.htm Traduction / Synthèse: Fawkes News

24 octobre 2016

Quand le système monétaire MONDIAL tombera... ce sera le 666 SystemE

Une femme d'affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d'élaboration. Elle écrivait :

nwo"Quand le système monétaire tombera... ce sera le 666 System... Bruxelles, le quartier général de l'économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l'ambition d'étendre ce transfert de fonds au niveau international, c'est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l'immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C'est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d'attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois séries de six chiffres."
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Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu'un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

Selon eux, cette "marque internationale" pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l'attribution d'une marque chiffrée...

 

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l'ont appelé "The Beast" (la Bête)... Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d'argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d'une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d'argent effectué, tous les changements d'adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d'imposition.

 

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d'ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L'idée initiale était d'établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

Dans les années 80 on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu'on ne le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l'œil nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d'une marque à l'ordinateur. L'apparition il y a quelques années du code-barres informatique s'est étendue rapidement sur la quasi totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d'asservissement monétaire en cours. Tout ceci s'est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. A l'époque, la marque sur la main ou sur le front devait s'effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires.

 

On trouve des explications aux Etats-Unis :

- Dans les grands centres de loisirs où l'on pratique perfidement cette parole de Jésus : "Laissez venir à moi les petits-enfants"...

A l'entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l'enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l'enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l'aire de jeux.

- Dans les grands centres de distribution...

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Les clients n'ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s'y trouve incorporé. A l'intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l'épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, sont prix est enregistré. Le paiement s'opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n'a plus qu'à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994...

 

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé - comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné ou s'il n'est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l'identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c'est fini.

Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire...

 
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Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l'évidence : la carte de crédit par exemple n'était pas à la hauteur du plan monétaire d'asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose.

Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d'un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.
De quelle façon les architectes de l'Ordre Mondial comptent-ils s'y prendre pour instaurer le Gouvernement Mondial et assurer le contrôle et la surveillance directe de toutes les populations au moyen de l'implantation du MICRO CHIP BIOLOGIQUE D'IDENTIFICATION INTERNATIONALE ?

Ces architectes sont les personnes à la tête de la Finance Internationale. Aussi vont-elles utiliser l'économie pour aboutir au chaos nécessaire afin de recréer un autre ordre, humaniste, amenant les nations à accepter de gré ou de force un Gouvernement Mondial par les Nations Unis.

Des journalistes  américains de la revue Monetary and Economic de mars 1993 ont révélé un document intitulé : "Un Gouvernement Mondial par assentiment ou asservissement".

L'auteur est un dénommé Norman and Frence, ancien spécialiste d'affaires au Colorado Office of Economic Development, auteur aussi d'un manuel de planification financière. C'est également un ancien responsable des prêts, officier chef des opérations dans une compagnie d'investissement, et un expert notable dans le domaine de la finance et des investissements.

Monsieur Frence rapporte que "les pressions pour un Gouvernement Mondial se poursuivent depuis des siècles, mais jamais encore avons-nous atteint le degré dans lequel nous nous trouvons aujourd'hui. Des termes de l'ONU tels qu'autorité de loi, lois mondiales, sécurité collective, ordre mondial et nous ordre mondial, sont des noms de code qu'emploie l'Establishment International en référence à leur plan pour un Gouvernement Mondial unique.

"Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du sénat américain, le partisan d'un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait : "Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force.

"Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant : "Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l'Etat-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l'acceptation dans l'esprit de tous les élus responsables, qu'ils ne sont que les concierges d'une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine."

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d'achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l'instauration d'un nouvel ordre économique.

Ils ont donné un avertissement à un an d'intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances FINANCIÈRES qui pourraient les gêner : les Etats-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

 

Monsieur Frence continue : "L'ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale". En d'autres termes, après avoir endetté les Etats-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les Etats, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c'est fait en 1994) les Etats-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l'ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront CETTE condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs ! (Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen,...). On oblige(ra) alors ces pays à dépendre de l'ONU pour leur survie et donc des directives que l'ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l'avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminatis. En effet, ce programme extrait d'une revue financière, rejoint l'article 4 du code des Illuminatis :

"... afin que les masses n'aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l'industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l'appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun". Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 80 à février 1994.
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C'est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l'attention de quelqu'un sur un point précis tandis que l'on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l'industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les Etats sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s'écrouler. L'ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminatis il y a quelques centaines d'années. L'article 6 du code des Illuminatis disait en effet : " Nous, l'élite financière, allons bientôt entreprendre d'immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales - actions, valeurs, fonds mutuels, rentes - sur lesquels des fortunes encore plus grandes - celles des masses - vont dépendre, à un tel point qu'ils tomberont jusqu'au fond avec les crédits des Etats le jour suivant l'écroulement politique".

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation, se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l'ONU - les plus grands banquiers de la planète, - l'objectif à réaliser est que les nations et les populations à l'intérieur de ces nations, se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n'ayant plus aucune valeur financière. C'est de cette manière qu'il sera possible d'imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l'implantation d'un MICRO CHIP BIOLOGIQUE D'IDENTIFICATION INTERNATIONALE, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international [c'est simple comme bonjour !].

Il faut bien comprendre que l'objectif n'est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les Etats et les populations ! L'écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d'un pays. Mais maintenant la grande finale [c'est la lutte finale de l'internationale !...] est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd'hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d'une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s'effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux.
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Comme les économies des pays sont en train de s'effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts ) rembourser [cf. Charles Gave, "Des lions menés par des ânes", chez Robert Laffont], les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront - avant l'implosion - qu'ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des Etats. Les élus perdant leur pouvoir par l'incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l'ensemble du système, seront condamnés à se tourner vers l'ONU [et le tour est joué !], à défaut d'être déposés par le peuple. L'ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera FINI en mars 1995... Ces élus multiplie(ront) et augmente(ront) la fréquence de la crise par l'augmentation des coupures aux niveau social. S'en suivront des crises mondiales, des violences à l'échelle internationale.

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3 juin 2016

La presse saoudienne accuse les USA d’avoir détruit le World Trade Center pour prétexter une guerre perpétuelle

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En réponse à un vote unanime du Sénat américain pour permettre aux familles des victimes du 9/11 de poursuivre l’Arabie saoudite devant une Cour fédérale, un rapport publié dans le journal Al-Hayat basé à Londres, dû à l’expert juridique saoudien Katib al-Shammari, allègue que les États-Unis ont orchestré les attentats terroristes comme un moyen de se créer un ennemi nébuleux, afin de gagner le soutien du public pour une guerre mondiale contre le terrorisme.

Le rapport al-Shammari, traduit par l’Institut de recherche des médias du Moyen-Orient (MEMRI), affirme que depuis longtemps la politique américaine est «construite sur le principe de la planification préalable et des probabilités futures», que les États-Unis ont maintenant tournée contre le régime saoudien après l’avoir employée avec succès contre les talibans et al-Qaïda d’abord, puis Saddam Hussein et son Irak contrôlé par le régime laïque baasiste.

Al-Shammari affirme que les récentes menaces américaines pour exposer les documents impliquant le gouvernement saoudien, sont tout simplement la poursuite d’une politique américaine, qu’il désigne comme «la victoire par les archives». Il souligne que, lors de l’invasion initiale de l’Irak, sous George HW Bush, Saddam Hussein a été laissé en vie et au pouvoir pour être utilisé comme «monnaie d’échange», mais quand les États-Unis ont décidé qu’il n’était «plus un as dans leur manche», Washington s’est déplacé pour renverser son gouvernement et installer au pouvoir un parti soutenu par les Américains.

Les attaques terroristes du 9/11 sont maintenant l’«as dans la manche» du gouvernement des États-Unis, selon al-Shammari.

Le 11 Septembre est l’une des cartes gagnantes dans les archives américaines, parce que tous les gens avisés de par le monde qui sont des experts en politique américaine et qui analysent les images et les vidéos [du 9/11], conviennent à l’unanimité que ce qui est arrivé aux deux tours était une action purement américaine, planifiée et exécutée par les USA. La preuve en est la séquence d’explosions continues qui a découpé de façon spectaculaire les deux bâtiments […] les ingénieurs en démolition contrôlée les ont détruites avec des explosifs, tandis que les avions s’y écrasant ne donnaient que le feu vert pour la détonation – ils ne sont pas la raison de l’effondrement. Mais aux États-Unis se propage toujours le blâme dans toutes les directions. [Cette politique] peut être surnommée «la victoire au moyen des archives».

L’élan derrière les attaques, écrit al-Shammari, était de créer «un ennemi invisible – le terrorisme – qui est devenu le chat noir que les présidents américains ont pu blâmer pour toutes leurs erreurs» et qui devait fournir une justification à toute «opération sale», partout dans le monde.

Selon le rapport d’Al-Shammari dans Al-Hayat:

Le 11 Septembre, aux États-Unis, a permis plusieurs victoires en même temps, que [même] les faucons [qui étaient à ce moment-là] à la Maison Blanche ne pouvaient pas imaginer. Certaines d’entre elles peuvent être énumérées comme suit:

  1. Les États-Unis ont créé, dans l’opinion publique, un ennemi invisible – le terrorisme – qui est devenu le chat noir que les présidents américains ont pu blâmer pour toutes leurs erreurs, et est également devenu la motivation de base pour toute opération sale que les politiciens américains et des personnalités militaires désirent effectuer partout dans le monde. [Le label] terrorisme a été appliqué aux musulmans, et en particulier à l’Arabie saoudite.
  2. En utilisant cet incident [9/11], les États-Unis ont lancé une nouvelle ère de réarmement mondial. Tout le monde a voulu acquérir toutes sortes d’armes pour se défendre et se lancer dans la guerre contre cet ennemi invisible, le terrorisme, [même si] jusqu’à maintenant, nous ne connaissons pas l’essence de ce terrorisme, dont les États-Unis parlent, à l’exception qu’il est islamique […]
  3. Les États-Unis ont mis le peuple américain devant un choix entre deux mauvaises options : vivre en paix [mais] rester exposé à un danger de mort [le terrorisme] à tout moment, ou mourir de faim dans la sécurité, parce que le budget du pays sera consacré à l’envoi des Marines même jusque sur Mars pour le défendre.

La presse saoudienne a été prise de frénésie depuis le vote unanime du Sénat pour permettre à la Maison des Saoud d’être tenue responsable devant un tribunal fédéral américain pour les attaques de 9/11, en accusant les États-Unis d’être alliés avec l’Iran – avec force avertissements que le passage du projet de loi «satanique» pourrait «ouvrir les portes de l’enfer», comme c’est rapporté par Breitbart.

Al-Shammari est extrêmement clair quand il considère que le problème est la machine impériale des États-Unis elle-même, en déclarant, «la nature des États-Unis est qu’ils ne peuvent pas exister sans ennemi».

La nature des États-Unis est qu’ils ne peuvent pas exister sans ennemi … [Par exemple,] après une période au cours de laquelle il n’y avait plus personne à combattre [à savoir après la Seconde Guerre mondiale], les États-Unis ont créé un nouveau type de guerre – la guerre froide […] Puis, quand l’ère soviétique a pris fin, après que nous, les musulmans avions aidé les religions et combattu le communisme en leur nom [des Américains], ils ont commencé à voir les musulmans comme leur nouvel ennemi! Les USA y ont vu un besoin de créer un nouvel ennemi – et l’ont planifié, organisé et exécuté [à savoir blâmer les musulmans pour le terrorisme]. Cela ne finira jamais jusqu’à ce que les États-Unis atteignent les objectifs qu’ils se ont fixés.

Alors que les Américains semblent lutter contre le terrorisme islamique, l’occasion est grande pour augmenter la peur et la propagande d’État destinées à susciter des populations civiles conformes qui acceptent passivement la perte de leur liberté pour des promesses d’une plus grande sécurité. Le complexe militaro-industriel a besoin d’un plus grand ennemi pour justifier ses 600 milliards de dollars de budget annuel, en commençant ainsi la transition vers l’étiquetage du couple russo-chinois comme agressif  dans un effort pour commencer à pivoter d’un croque-mitaine à l’autre, plus rentable.

Jay Syrmopoulos

 

Article original en anglais :  Saudi Press Just Accused US Govt of Blowing Up World Trade Centers as Pretext to Perpetual War, The Freethought Project, 23 mai 2016.

Traduit par Hervé, relu par nadine pour le Saker Francophone

Jay Syrmopoulos est analyste géopolitique, libre penseur, chercheur et ardent opposant de l’autoritarisme. Il est actuellement étudiant à l’Université de Denver, où il poursuit une maîtrise en affaires internationales. Le travail de Jay a été publié sur la vérité de Ben Swann dans les médias, Vérité-Out, Raw Story, MintPress Nouvelles, ainsi que de nombreux autres sites. Vous pouvez le suivre sur Twitter @sirmetropolis, sur Facebook à Sir Metropolis et maintenant sur tsu.

 http://www.mondialisation.ca/la-presse-saoudienne-accuse-les-usa-davoir-detruit-le-world-trade-center-pour-pretexter-une-guerre-perpetuelle/5527512

2 juin 2016

150 ans de mensonge dans la politique étrangère des USA.

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150 ans de mensonge dans la politique étrangère des USA.

Les années 80 sont marquées par une aide sans précédent aux résistants islamistes afghans, les Talibans, à Saddam Hussein dans sa guerre contre l'Iran et à tous les régimes corrompus d'Amérique centrale et du Sud (Nicaragua, Colombie, etc). Faisons un parallèle avec la manière dont Israël tenta de faire baisser l'influence de l'OLP d'Arafat. Les israéliens firent revenir d'exil un extrémiste musulman charismatique : le sheik Yassin, futur chef spirituel du Hamas. Les israéliens aussi bien que les américains jouèrent le jeu de l'extrémisme religieux afin de combattre l'influence des nationalismes arabes. On voit ce que cela a donné : le Hamas (et les autres mouvements radicaux islamistes) refusent tout compromis avec Israël. Les américains jouèrent le jeu des musulmans afghans (Talibans) pendant la guerre menée par l'armée rouge contre l'Afghanistan. Un seul chef d'Etat arabe laïque avait alors grâce à leurs yeux : Saddam Hussein. Les shiites sous la houlette de Khomeiny avaient bouté dehors le chah d'Iran, allié inconditionnel des Américains. Or, Saddam déclara la guerre à l'Iran en 1980, sûr de sa supériorité militaire. C'était sans compter sur le fanatisme shiite iranien qui tint bon jusqu'en 1988, date à laquelle les deux parties cessèrent les hostilités. Mais pour éviter une défaite à l'Irak, les Américains durent lui fournirent des armes parmi les plus perfectionnées de leur arsenal ! L'Irak était ruiné. Les israéliens quant à eux durent faire face à la même époque à la première intifada qui renforça la détermination des mouvements islamistes radicaux. Les extrémistes musulmans s'avérèrent plus intransigeants que les nationalistes de l'OLP. On crut bien qu'au milieu des années 90, Rabbin et Peres allaient aboutir à une paix avec les Palestiniens. Il n'en fut rien. Les accords d'Oslo, permirent une chose : les pays arabes cessèrent de boycotter les produits israéliens et Rabbin fut assassiné par un extrémiste juif. La guerre s'enlisait. Du côté américain, les amis d'autrefois, Ben Ladden et consors s'émancipaient de plus en plus et devinrent dans les années 90, après la fin de la guerre d'Afghanistan, les nouveaux ennemis de l'Amérique. Les attentats contre les intérêts américains se multiplièrent. Les alliés de toujours des Américains, les Saoudiens, revirent leurs positions. Le peuple fanatisé par la propagande wahhabite menée grâce à l'argent du pétrole se mit à haïr les USA comme jamais. Le pays devint de moins en moins sûr pour les intérêts américains. Mais une nouvelle donne avait tout changé. L'URSS n'existait plus. Les Etats-Unis d'Amérique avaient réussi à faire exploser le bloc communiste de l'intérieur. Leurs mains étaient désormais libres pour mener des actions de plus grande envergure. Il fallait se rapprocher de la Chine et de l'Inde, puissantes émergentes : pour ce faire, des bases sont nécessaires. On poussa donc l'Irak à bout.

Dans cet article, nous passerons en revue les multiples interventions de l'armée nord-américaine et nous tenterons de les analyser2. Le pire c'est qu'on n'en voit pas la fin !


    DAKOTA DU SUD 1890 : Troupes, 300 Indiens Iakotas sont massacrés à Wounded Knee.

    ARGENTINE 1890 : Troupes, protection des intérêts US à Buenos Aires.

    CHILI 1891 : Troupes et Marines, affrontements avec des rebelles nationalistes.

    HAÏTI 1891 : Troupes, répression d'une révolte de travailleurs noirs dans l'île de Navassa revendiquée par les Etats-Unis.

    IDAHO 1892 : Troupes, l'armée réprime une grève dans les mines d'argent.

    HAWAII 1893 : Marine, troupes, le royaume indépendant d'Hawai est renversé et le territoire est annexé.

    CHICAGO 1894 : Troupes, dislocation d'une grève du rail, 34 tués.

    NICARAGUA 1894 : Troupes, occupation pendant plusieurs mois de Bluefields.

    CHINE 1894-95 : Marine, troupes. Les Marines débarquent en pleine guerre sino-japonaise.

    COREE 1894-96 : Troupes, Marines cantonnés à Séoul durant la guerre.

    PANAMA 1895 : Troupes, les Marines de la Navy débarquent dans la province colombienne.

    NICARAGUA 1896 : Troupes, les Marines débarquent dans le port de Corinto.

    CHINE 1898-1900 : Troupes, la rébellion des Boxers est combattue par des armées étrangères.




Sur les 13 actions militaires menées ci-dessus, aucune ne l'a été pour les raisons éthiques si souvent mentionnées par les dirigeants de cette noble démocratie. Seuls des intérets purement impérialistes sont en jeu et on utilisa même l'armée pour réprimer des grèves ! On commence tout doucement à douter des intentions si louables et si souvent invoquées par nos amis d'outre-atlantique3.


Remember the Maine

Si l'on regarde l'histoire des guerres menées par les USA depuis la guerre contre l'Espagne en 1898, on observe une chose commune au déclenchement de presque tous les conflits : la manipulation.

La guerre américano-hispanique commence, en 1898, par une mise en scène magistrale, le navire cuirassé USS Maine explose en rade de La Havane, tuant les 268 hommes d'équipage, à l'exception notable de l'ensemble des officiers, qui par le plus grand des hasards dînaient en ville. L'explosion fut présentée par les médias américains comme une attaque espagnole. Les Etats-Unis déclarèrent la guerre à l'Espagne, alors complètement dépassée par l'insurrection cubaine, et les USA en profitèrent pour annexer Guam, Porto-Rico, les Philippines et Hawaï. Il faut également souligner le fait que les autorités espagnoles ont toujours nié les faits et ont tout fait pour régler le problème à l'amiable mais les USA n'ont rien voulu entendre.

Les Etas-Unis voulaient cette guerre un point c'est tout. A la fin de la guerre, la couronne espagnole passa, sous la protection des canons, la main au gouvernement du président McKinley, qui occupa Cuba sous prétexte d'y rétablir l'ordre, un prétexte qu'ils utiliseront encore plus tard. Les forces US ne quittèrent Cuba qu'en 1901 avec l'Amendement Plat, texte par lequel les Etats-Unis s'arrogent le droit d'intervenir à tout moment dans les affaires intérieures cubaines et où Cuba est contrainte de céder la concession perpétuelle de Guantanamo4 aux Etats-Unis.


    PHILIPPINES 1898-1910 : Marines, troupes, 600.000 Philippins tués.

    CUBA 1898-1902 : Marines, troupes, la Navy y occupe toujours une base, la trop célèbre base de Guantanamo.

    PUERTO RICO 1898 : Marines, troupes, territoire ravi à l'Espagne. Depuis, l'occupation se poursuit.

    GUAM 1898 : Marines, troupes, toujours base militaire.

En 1903, avec le scandale de la construction du canal de Panama, les Etats-Unis rachetèrent les droits de construction du canal, mais le gouvernement colombien, dont le panama était partie intégrante, refusa d'aliéner sa souveraineté. Sans scrupules, le gouvernement du président Theodore Roosevelt encouragea les habitants de Panama à faire sécession le 3 novembre 1903 pendant que la flotte américaine mouillait devant les villes de Colon et de Panama, dissuadant l'armée colombienne d'intervenir. Le 6 novembre, le Panama était reconnu par les autorités du gouvernement américain et un traité fut signé le 18 novembre pour la construction du canal avec la cession d'une bande de 10 miles de large autour du canal. Les Panaméens auront du attendre le 31 décembre 1999 pour avoir la restitution de leur souveraineté sur le canal.

Après cela, les opérations militaires s'enchaînèrent : en 1905, Roosevelt menant sa politique du Big Stick placera la République Dominicaine sous administration douanière pour " offense aux USA " .
En 1912, les Marines envahissent le Nicaragua, et le président Taft (bonesman) de claironner : "Le jour n'est pas loin où trois bannières étoilées marqueront notre territoire depuis trois points équidistants : l'un au pôle Nord, l'autre au canal de panama et le troisième au pôle Sud. Tout l'hémisphère nous appartiendra alors de fait, comme il nous appartient moralement aujourd'hui, du fait de la supériorité de notre race". Tout ceci correspond à la doctrine de cette odieuse société secrète de Yale, le Skull and Bones5! En 1914 , la marine américaine pilonne la ville portuaire de Veracruz, attaque due au refus de quelques Mexicains de saluer la bannière étoilée. En 1933, les forces américaines quittent le Nicaragua et laissent le pays aux bons soins du dictateur Anastasio Somoza.

Aujourd'hui encore, l'Amérique Latine reste une " arrière cour " américaine où tous les moyens sont bons pour que l'Oncle Sam continue à faire des bénéfices au mépris des droits de l'homme. C'est pour cela qu'il faut soutenir des gouvernements comme ceux de Chavez ou de Lula au Brésil, gouvernements qui travaillent d'abord dans l'intérêt de leurs peuples plutôt que dans celle de l'Amérique Impérialiste. Une fois élu, Bush junior annonçait qu'il mettrait en place une politique de "Doctrine Monroe globale" voulant faire de la terre un " carré américain ". La Doctrine Monroe, dans son application, n'est qu'une politique d'aliénation des droits des peuples et d'esclavagisme économique pour que quelques personnes aux Etats-Unis puissent conserver leur train de vie, cette doctrine entraîne des morts par milliers et annonce un impérialisme et un rejet de la démocratie dans les pays qui intéressent les gouvernements us qui préfèrent y voir des régimes dictatoriaux…

Pourquoi tant de haine me direz-vous ? Avant 1807, les Etats-Unis étaient en concurrence militaire et économique avec l'Empire Espagnol. Celui-ci, réduit à l'état de puissance de 3eme ordre par les guerres Napoléoniennes et déchirée par des dissensions internes, voit ses colonies se révolter les unes après les autres et se proclamer Républiques indépendantes. Les Etats-Unis, qui voient ces révolutions d'un bon œil, s'empressent de les reconnaître en 1822. Bien sûr, l'Espagne continue, elle, à considérer ces états comme des colonies en état d'insurrection. Entre temps, en Europe, l'Autriche, la Prusse, la Russie et la France créent la Sainte Alliance avec pour but d'écraser les révolutions où qu'elles se présentent. Les Etats-Unis redoutent alors l'envoi d'une armée monarchique en Amérique afin de rendre à l'Espagne catholique ses anciennes colonies. De plus, cette armée n'est pas la seule qui menace les intérêts Etatsuniens sur le continent Américain. Peu de gens savent que la Russie avait déjà établi des comptoirs en Californie et en 1821, un Oukase du Tsar Alexandre revendiqua une partie de l'Oregon pour la rattacher à l'Alaska (non encore possession américaine) et interdit à tous navires étrangers de croiser dans une vaste zone du Nord-Ouest du Pacifique. Le Secrétaire d'Etat John Quincy Adams est conscient de l'importance des futurs marchés que représentent ces nouvelles républiques Latino-Américaines. L'Empire Britannique propose alors de soutenir les Etats-Unis mais Adams arrive à convaincre le président Monroe qu'il appartient aux seuls Etats-Unis de régler ce problème.


Qu'est-ce que la doctrine Monroe : Tout simplement, l'Amérique aux Américains

Le 2 Décembre 1823, le président Monroe énonce devant le Congrès la doctrine qui portera son nom et qui fixera les fondements de la diplomatie Américaine. Cette Doctrine se fonde sur deux grands principes : la non-colonisation et la non-intervention. Elle s'empreint également de considérations et de préjugés raciaux - La prédominance de la race blanche sur la race noire - . Face au " problème noir ", Monroe entérine le compromis du Missouri et prône rien de moins que le renvoi de tous les esclaves noirs en Afrique manu militari.

Les Etats-Unis ayant reconnu l'année précédente l'indépendance des nouvelles républiques Latino-Américaines, l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud ne sont plus ouvertes à la colonisation européenne. Les Etats-Unis regarderont toute intervention de la part des nations européennes dans les affaires du continent américain comme une menace pour l'intégrité des Etats-Unis : "Nous considérons que toute tentative de l'Europe en vue d'étendre son système à quelque fraction que ce soit de cet hémisphère serait dangereux pour notre paix et pour notre sécurité". L'ensemble de l'Amérique Latine est ainsi placée sous protectorat des Etats-Unis et est considéré comme son "arrière cour". John Adams mis en place la philosophie d'exploitation économique et matérielle de l'Amérique du Sud afin d'apporter des matières premières à bas prix aux industries Nord-Américaines. En contre-partie, les Etats-Unis s'engagent à ne jamais intervenir dans les affaires Européennes. Face au barrage de la marine britannique, la Sainte-Alliance renonce à toute intervention en Amérique du Sud et en 1924, la Russie signe un traité avec les Etats-Unis par lequel elle renonce à toute revendication au sud de l'Alaska. Evidemment, les petits états tels que le Honduras, le Venezuela et le Nicaragua n'apprécient guère cette " protection " forcée et de ce quasi-protectorat qui vont amener dans le siècle qui suit les Etats-Unis à intervenir militairement contre toute velléité à leur suprématie.


Mise en Application

La doctrine Monroe prévoit que les Etats-Unis doivent être les garants de la stabilité du continent américain afin de faciliter leurs exploitations et la sécurité de leurs échanges commerciaux. Comme le dit le président William H. Taft (bonesman comme vous le savez maintenant) en 1912, la politique extérieure des Etats-Unis n'excluait " d'aucune façon une intervention active pour assurer à nos marchandises et à nos capitalistes, des facilités pour des investissements profitables ". Et les Etats-Unis n'allaient pas hésiter à assurer d'une main de fer la " sécurité " de leurs intérêt.

La première mise en application de la doctrine Monroe fut le cas édifiant de William Walker, flibustier (voir encore l'article sur le skull and bones dont l'emblème est comme par hasard celui de la piraterie : que de coïncidences) américain qui agissant pour le compte des banquiers Morgan et Garrison, envahit le Nicaragua en 1855 et s'autoproclama président. Durant ses deux années de règne, Walker envahit les états voisins du Salvador et du Honduras, s'érigeant ici aussi en chef d'état. Avec la caution officieuse du gouvernement des Etats-Unis, lui et ses soldats volèrent, tuèrent incendièrent et rétablirent même l'esclavage dans les états sous leur domination. Son occupation fut dévastatrice jusqu'à ce qu'il fut défait par une armée de volontaires costaricains en 1857. A son retour, il fut reçu aux Etats-Unis en héros national !


    MINNESOTA 1898 : Troupes, l'armée défait les Indiens chippewa à Leech Lake.

    NICARAGUA 1898 : Troupes, les Marines débarquent dans le port de San Juan del Sur.

    SAMOA 1899 : Troupes, bataille pour la succession du trône.

    NICARAGUA 1899 : Troupes, les Marines débarquent dans le port de Bluefields.

    IDAHO 1899-1901 : Troupes, l'armée occupe la région minière de Coeur d'Alene.

    OKLAHOMA 1901 : Troupes, l'armée mate une révolte d'Indiens creek.

    PANAMA 1901-14 : Marine, troupes, sécession vis-à-vis de la Colombie 1903, annexion zone du Canal 1914-99.

    HONDURAS 1903 : Troupes, les Marines interviennent dans la révolution.

    REPUBLIQUE DOMINICAINE 1903-04 : Troupes, protection des intérêts américains dans la révolution.

    COREE 1904-05 : Troupes, les Marines débarquent dans la guerre russo-japonaise. Les américains jouèrent en effet un rôle de médiateur dans ce conflit.

    CUBA 1906-09 : Troupes, les Marines débarquent en pleine élection démocratique.

    NICARAGUA 1907 : Troupes, "Diplomatie du dollar", instauration d'un protectorat.

    HONDURAS 1907 : Troupes, les Marines débarquent au cours de la guerre contre le Nicaragua.

    PANAMA 1908 : Troupes, les Marines interviennent au cours d'une contestation électorale.

    NICARAGUA 1910 : Troupes, les Marines débarquent à Bluefields et Corinto.

    HONDURAS 1911 : Troupes, protection des intérêts américains durant la guerre civile.

    CHINE 1911-41 : Marine, troupes, occupation permanente avec escarmouches.

    CUBA 1912 : Troupes, protection des intérêts américains à La Havane.

    PANAMA 1912 : Troupes, les Marines débarquent durant des élections mouvementées.

    HONDURAS 19l2 : Troupes, Marines, protection des intérêts économiques américains.

    MEXIQUE 1914-18 : Marine, troupes, série d'interventions contre les nationalistes.

    HAITI 1914-34 : Troupes, bombardements, occupation de 19 ans après révoltes.

    REPUBLIQUE DOMINICAINE 1916-24 : Troupes, 8 ans d'occupation par les Marines.

    CUBA 1917-33 : Troupes, occupation militaire, protectorat économique.


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PREMIERE GUERRE MONDIALE 1917-18 :
Marine, troupes, torpillage de navires, guerre contre l'Allemagne. Un des gros problème de l'Allemagne et de ses alliés au cours de la première guerre mondiale est le ravitaillement qui ne peut se faire que par mer. Or les allemands sont confrontés à un dilemne : soit ils sont efficaces et font une guerre totale en détruisant systématiquement tous les bateaux alliés (ou neutres) avec l'aide de leurs sous-marins ; soit ils contrôlent chaque bateau allié (ou neutre) mais prennent le risque de permettre aux alliés de se ravitailler. Le fameux incident du Lusitania (paquebot américain coulé en 1915) n'est qu'un préambule aux rapports entre l'Allemagne et les USA. Après cet incident les allemands mènent une guerre maritime moins agressive ce qui permet aux alliés de reprendre du poil de la bête. Mais c'est une bévue allemande, la "dépêche Zimmermann", qui va servir de détonateur. Dans ce texte, adressé au gouvernement mexicain par le biais de l'ambassadeur d'Allemagne à Washington, Berlin offre à Mexico une alliance et une assistance financière. Il lui fait miroiter non seulement la restitution des Etats arrachés au Mexique en 1848 (Texas, Arizona...), mais encore une intervention diplomatique qui constituerait à grouper contre WASHINGTON, Berlin, Mexico et... Tokyo. Le 22 Janvier 1917, WILSON avait proposé une paix blanche ("Peace without victory") que la France ne pouvait accepter. Et peu après, l'Allemagne décrète la guerre sous-marine totale. Pour l'Amérique, c'en est trop. Le 9 Mars 1917, Wilson arrache au Congrès l'autorisation d'armer en guerre les navires de commerce américains. Deux navires sont coulés par les sous-marins allemands. Henri Bergson venu quémander l'aide de ses aliés américains sera écouté. Le 2 Avril 1917, les Etats-Unis déclarent la guerre à l'Allemagne. L'appui de l'Amérique venait à point nommé car le moral des combattants était sérieusement atteint. En Avril 1917, l'offensive NIVELLE au Chemin des Dames échoua. Une vague de pacifisme, des grèves, la hausse des prix, et la défection de la Russie faisaient craindre le pire. "J'attends les tanks et les Américains", devait prononcer le Général PETAIN, nouveau Commandant en Chef. Jamais, sans l'aide financière et en hommes et en matériel des Etats-Unis, l'Entente n'aurait pu venir à bout de la formidable machine de guerre allemande. Deux millions d'Américains furent ainsi lancés dans la bataille. Ils devaient en particulier s'illustrer à l'offensive de Saint-Mihiel, lancée par le Général PERSHING le 12 Septembre 1918. Cette opération comportait 216 000 Américains et 48 000 Français en première ligne, et 200 000 Américains en réserve. Le Brigadier Général MAC ARTHUR commandait la 84e Brigade de la "Rainbow Division", et le Colonel George PATTON était le chef d'état-major de la Brigade de chars Renault commandée par le Général ROCQUENBACK. Les forces aériennes (la plus grande concentration aérienne de la guerre) étaient commandées par le Colonel américain MITCHELL. En France, les forces américaines ont perdu 116 000 hommes tués et eurent 206 000 blessés, mais elles sont arrivées juste à temps pour permettre aux alliés d'avoir la supériorité numérique qui, en Avril 1918, appartenait encore aux Allemands. Grâce à leur intervention, les Américains avaient, le 11 Novembre 1918, payé leur dette à leurs libérateurs français : Rochambeau, La Fayette, de Grasse.


    RUSSIE 1918-22 : Marine, troupes, cinq débarquements sont opérés pour combattre les bolcheviks. Ce qui est incroyable de duplicité dans cette affaire, c'est que la révolution menée par les bolchéviks n'aurait pu avoir lieu sans l'aide des Américains ! En effet, en 1917, c'est grâce à un passeport offert par Woodrow Wilson que Léon Trotsky pu rejoindre la Russie. Et le comble de l'histoire, c'est qu'il fut accompagné par des financiers américains et des officiers américains d'élite chargés d'aider les bolchéviks à mettre en place l'armée rouge ! Allez comprendre…

    PANAMA 1918-20 : Troupes, "devoir de police" durant les troubles qui suivirent les élections.

    YOUGOSLAVIE 1919 : Troupes, les Marines interviennent au profit de l'Italie contre les Serbes en Dalmatie.

    HONDURAS 1919 : Troupes, les Marines débarquent au cours d'une campagne électorale.

    GUATEMALA 1920 : Troupes, deux semaines d'intervention sont menées contre les unionistes.

    VIRGINIE OCCIDENTALE 1920-21 : Troupes, bombardements, l'armée intervient contre des mineurs.

    TURQUIE 1922 : Troupes, combats contre les nationalistes à Smyrne (Izmir).

    CHINE 1922-27 : Marine, troupes, déploiements opérés au cours des révoltes nationalistes.

    HONDURAS 1924-25 : Troupes, deux débarquements sont effectués durant troubles électoraux.

    PANAMA 1925 : Troupes, les Marines répriment une grève générale.

    CHINE 1927-34 : Troupes, les Marines stationnent un peu partout dans le pays.

    SALVADOR 1932 : Envoi de navires de guerre durant la révolte de Faribundo Marti.

    WASHINGTON déc 1932 : Troupes, l'armée met un terme à la protestation en faveur des primes pour les vétérans de la Première Guerre Mondiale. Engagez-vous qu'ils disaient.


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SECONDE GUERRE MONDIALE 1941-45 :
Marine, troupes, bombardements, frappes nucléaires, 3 années de combats contre l'Axe ; plus de 200.000 victimes lors des premières frappes nucléaires. En 1941, les evènements de Pearl Harbor se sont déroulés alors que les États-Unis étaient prêts à prendre la décision d'intervenir aux côtés des Alliés dans la Seconde Guerre mondiale. L'Administration du Président Roosevelt était impatiente d'entrer en guerre contre l'Allemagne et, bien que la classe ouvrière américaine fût complètement prisonnière de l'appareil syndical (au sein duquel le parti stalinien jouait un rôle significatif) imposé d'autorité par l'Etat pour contrôler la lutte de classe dans toutes les industries-clefs, et qu'elle fût imprégnée par l'idéologie de l'anti-fascisme, la bourgeoisie américaine devait faire face à une forte opposition à la guerre, pas seulement de la part de la classe ouvrière, mais au sein de la bourgeoisie elle-même. Avant Pearl Harbor, les sondages montraient que 60% de l'opinion publique était opposée à l'entrée en guerre, et les campagnes de groupes isolationnistes tels que " American first " trouvaient un soutien considérable au sein de la bourgeoisie. Bien qu'elle affichât la volonté politique et démagogique de rester en dehors de la guerre européenne, l'Administration américaine cherchait en douce une excuse pour se joindre aux combats. Les Etats-Unis violaient de plus en plus leur neutralité auto-proclamée, en offrant de l'aide aux Alliés, en transportant des quantités considérables de matériel de guerre selon le programme "Lend Lease". L'Administration espérait amener les Allemands à lancer une attaque contre les forces américaines dans l'Atlantique Nord qui servirait de prétexte pour leur entrée en guerre. Comme l'impérialisme allemand refusait de mordre à l'hameçon, l'attention se tourna vers le Japon. La décision d'imposer un embargo pétrolier au Japon et le transfert de la flotte du Pacifique de la côte Ouest des Etats-Unis vers une position plus exposée à Hawaii, ont servi à fournir un motif et une opportunité au Japon de "tirer les premiers" contre les Etats-Unis, et par là, à trouver le prétexte d'une intervention américaine dans la guerre impérialiste. En mars 1941, un rapport secret du Département de la Marine prévoyait que si le Japon devait attaquer les Etats-Unis, ce serait tôt le matin par un raid aérien sur Pearl Harbor lancé depuis des porte-avions. Comme l'a noté le conseiller présidentiel Harold Ickes, dans un mémorandum de juin 1941, alors que l'Allemagne venait d'attaquer la Russie, "à partir de l'embargo pétrolier sur le Japon, pourrait se développer une situation qui non seulement permettrait mais faciliterait notre entrée en guerre". En octobre, Ickes écrivait : " J'ai toujours pensé que notre entrée en guerre se ferait par le Japon. " Fin novembre, Stimson (bonesman), Secrétaire d'Etat à la Guerre, a écrit dans son journal le compte-rendu de ses discussions avec le Président Roosevelt : " La question était de savoir comment les manoeuvrer pour les amener (le Japon) à tirer les premiers sans trop de dangers pour nous-mêmes. Cependant, malgré les risques encourus à les laisser tirer les premiers, nous nous rendions compte que pour obtenir un soutien total du peuple américain, il valait mieux que ce fût les Japonais qui le fassent de sorte qu'il ne subsisterait aucun doute dans l'esprit de quiconque sur le fait que c'était eux les agresseurs." Le rapport du Bureau de l'Armée à Pearl Harbor, daté du 20 octobre 1941, décrit cette décision machiavélique et prise en conscience de sacrifier des vies humaines et de l'équipement et conclut que "durant cette période décisive, du 27 novembre au 6 décembre 1941, de nombreuses informations nous sont parvenues, au plus haut niveau, au Département d'Etat, au Département de la Marine et de la Guerre, indiquant précisément les intentions des Japonais et incluant l'heure et la date exactes où devait probablement avoir lieu l'attaque" (Army Board Report , Pearl Harbor Attack , Part 29, pages 221-230). Ces informations étaient les suivantes :

- Les services secrets US avaient appris le 24 novembre que les "opérations militaires offensives du Japon" étaient prêtes.

- Ces mêmes services secrets avaient reçu le 26 novembre "des preuves évidentes des intentions japonaises de lancer une guerre offensive contre la Grande Bretagne et les Etats-Unis".

- Dans un rapport daté aussi du 26 novembre, on signalait "une concentration d'unités de la flotte japonaise dans un port inconnu, prêtes pour une action offensive."

- Le 1er décembre, "des informations précises parvinrent de trois sources indépendantes, selon lesquelles le Japon allait attaquer la Grande Bretagne et les Etats-Unis, mais resterait en paix avec la Russie."

- Le 3 décembre, "les informations selon lesquelles les Japonais détruisaient leurs codes secrets et leurs machines à encoder constituèrent le point culminant de cette révélation complète des intentions de guerre du Japon et de l'attaque imminente. Ceci fut analysé ? comme signifiant la guerre immédiate." Ces informations des services secrets étaient données aux fonctionnaires de plus haut rang du Département d'Etat et de la Guerre et en même temps à la Maison Blanche, où Roosevelt en personne recevait deux fois par jour des comptes-rendus sur les messages japonais qui étaient interceptés. Alors que les officiers des services de renseignements poussaient à envoyer en urgence une "alerte à la guerre" au Commandement militaire à Hawaii, pour le préparer à l'attaque imminente, les gros bonnets civils et militaires décidèrent du contraire et au lieu de ça envoyèrent un message que le bureau qualifia d'"anodin". La preuve que l'attaque japonaise était connue d'avance, fut confirmée par différentes sources dont des articles de journalistes et des mémoires écrits par les participants. Par exemple, on pouvait lire dans une dépêche de l'agence United Press publiée dans le New York Times du 8 décembre sous le titre " L'attaque était attendue " : " Il est maintenant possible de révéler que les forces armées des Etats-Unis étaient au courant depuis une semaine que l'attaque allait arriver, et qu'elle ne les a pas prises par surprise. " (New York Times, 8 décembre 1941, p. 13.) Dans une interview accordée en 1944, Eleanor Roosevelt, femme du Président, a avoué que " le 7 décembre a été loin de représenter un choc brutal pour le pays comme on a bien voulu le dire. Cela faisait longtemps qu'on s'attendait à un tel événement " (New York Times Magazine, 8 octobre 1944, page 41). Le 20 juin 1944, le ministre britannique sir Olivier Littleton a déclaré devant la Chambre de commerce américaine : "Le Japon a été poussé à attaquer les Américains à Pearl Harbor. C'est travestir l'Histoire que de dire que l'Amérique a été forcée d'entrer en guerre. Tout le monde sait vers qui allaient les sympathies des Américains. Il est incorrect de parler d'une véritable neutralité de l'Amérique, même avant sa participation aux combats." (Prang, Pearl Harbor : Verdict of History, pages 39-40.) Winston Churchill a confirmé la duplicité des dirigeants américains pour ce qui concerne l'attaque de Pearl Harbor, dans ce passage de son livre The Grand Alliance : "En 1946 ont été publiés les résultats d'une enquête du Congrès américain dans lesquels étaient exposés chaque détail des événements qui menèrent à la guerre entre les Etats-Unis et le Japon, et aussi le fait que les départements militaires n'ont jamais envoyé de message d'alerte aux escadres et aux garnisons qui étaient exposées. Chaque détail, y compris le texte décodé des télégrammes secrets japonais, a été exposé au monde en quarante volumes. La force des Etats-Unis a été suffisante pour leur permettre de supporter cette dure épreuve requise par l'esprit de la Constitution américaine. Je n'ai pas l'intention, dans ces pages, de prononcer un jugement sur cet épouvantable épisode de leur histoire. Nous savons que tous les grands Américains ont plus de perspicacité que moi, ce terrible danger que le Japon allait attaquer les possessions anglaises et hollandaises en Extrême Orient, en évitant de toucher aux Etats-Unis, et qu'en conséquence le Congrès américain n'autoriserait pas une déclaration de guerre. (...) Le Président et ses hommes de confiance se rendaient compte depuis longtemps des graves risques que faisait courir aux Etats-Unis leur neutralité dans la guerre contre Hitler et tout ce qu'il représentait. Ils avaient durement ressenti les contraintes que leur imposait le Congrès, quand quelques mois auparavant, la Chambre des Représentants n'avait renouvelé que d'une seule voix la loi sur le service militaire obligatoire, loi nécessaire sans laquelle leur armée aurait été presque démantelée au milieu des convulsions qui agitaient le monde. Roosevelt, Hull, Stimson, Knox, le général Marshall, l'amiral Stark et Harry Hopkins étaient tous du même avis. (?) Une attaque japonaise sur les Etats-Unis allait considérablement simplifier leurs problèmes et leur tâche. Peut-on alors être étonné qu'ils aient pu considérer la forme que prendrait cette attaque ou même son intensité comme bien moins importantes que le fait que l'ensemble de la nation américaine allait se retrouver unifiée dans une juste cause pour défendre sa sécurité, comme elle ne l'avait jamais été auparavant " (Winston Churchill, The Grand Alliance, page 603). Il se peut que Roosevelt n'ait pas anticipé l'étendue des dégâts et des pertes que les Japonais allaient infliger à Pearl Harbor, mais il est clair qu'il était prêt à sacrifier des vies et des navires américains pour faire naître un sentiment de haine parmi la population et la pousser à la guerre. De même l'utilisation des deux bombes atomiques pour mettre fin à la guerre contre le Japon est également un mythe. Les japonais avaient accepté une reddition sans condition peu avant que les villes de Hiroshima et de Nagazaki ne furent la cible des dites bombes atomiques. Si Truman décida d'utiliser les bombes ce fut en fait pour faire pression sur les soviétiques. Les américains savaient que l'Europe allait être divisée en deux blocs et que les élections démocratiques dans les pays libérés par l'armée rouge en Europe de l'Est promises par Staline à Roosevelt à Yalta n'auraient jamais lieu. Il fallait néanmoins éviter que les communistes n'aillent plus à l'Ouest. En faisant étalage de la puissance dévastatrice des bombes atomiques, les américains s'affirmaient comme la première puissance militaire du monde.


    DETROIT 1943 : Troupes, l'armée mate une rébellion noire.

    JAPON 1945 : Hiroshima et Nagasaki rayées de la carte par des bombardements atomiques.

    IRAN 1946 : Menace nucléaire, les troupes soviétiques se voient intimer l'ordre de quitter le Nord (Azerbaïdjan iranien).

    YOUGOSLAVIE 1946 Réponse navale après qu'un appareil américain est abattu.

    URUGUAY 1947 : Menace nucléaire, déploiement de bombardiers (étalage de puissance).

    GRECE 1947-49 : Commandement des opérations, direction des forces d'extrême droite durant la guerre civile.

    CHINE 1948-49 : Troupes, les Marines évacuent les ressortissants américains avant la victoire communiste.

    ALLEMAGNE 1948 : Menace nucléaire, des bombardiers à capacité nucléaire surveillent le pont aérien vers Berlin.

    PHILIPPINES 1948-54 : Commandement des opérations, la CIA dirige la guerre contre la rébellion des Huk.

    PUERTO RICO 1950 : Commandement des opérations, rébellion en faveur de l'indépendance écrasée à Ponce.

    COREE 1950-53 : Troupes, marine, bombardements, menaces nucléaires, les EU et la Corée du Sud combattent la Chine et la Corée du Nord, c'est l'impasse, menace de bombe atomique en 1950 et contre la Chine en 1953. Depuis lors il y a toujours des Bases américaines en Corée du Sud.

    IRAN 1953 : Commandement des opérations, la CIA renverse la démocratie et installe le shah au pouvoir.

    VIETNAM 1954 : Menace nucléaire, offre de bombes aux Français pour qu'ils l'utilisent durant leurs opérations militaires.

    GUATEMALA 1954 : Commandement des opérations, bombardements, menace nucléaire, la CIA dirige l'invasion des exilés après que le nouveau gouvernement a nationalisé les terres appartenant à des compagnies américaines ; bases de bombardiers au Nicaragua. La CIA orchestre au Guatemala le renversement de Jacobo Arbenz, démocratiquement élu pour le remplacer par 40 ans de violences et de répression qui feront 150 000 morts.

    EGYPTE 1956 : Menace nucléaire, les troupes soviétiques sont priées de se tenir à l'écart de la crise de Suez ; les Marines évacuent les étrangers.

    LIBAN 1958 Troupes, marine, occupation navale contre les rebelles.

    IRAK 1958 : Menace nucléaire, Irak est mis en garde contre une invasion du Koweït.

    CHINE 1958 : Menace nucléaire, la Chine est priée de ne pas débarquer sur les îles taïwanaises.

    PANAMA 1958 : Troupes, des protestations contre le drapeau se muent en confrontations.

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    VIETNAM 1960-75 : Que dire de la guerre du Vietnam? Après que les français aient perdu la guerre d'Indochine en 1954, le Vietnam fut divisé en deux autour du 17e parallèle. Au nord les communistes de Ho Chi Minh, au Sud le régime autoritaire du catholique Diem. Mais les communistes sont présents au Sud et via le FNL, ils tentent de renverser ce régime avec l'aide de l'URSS et de la Chine. Le Sud est aidé quant à lui par les Américains qui craignent de voir le pays tout entier sombrer dans le communisme, et après lui, selon la théorie des dominos, la totalité de l'Asie du Sud-Est. En 1963, un coup d'Etat militaire renverse Diem. Kennedy envoie d'abord des instructeurs militaires puis il passe à des troupes réelles soit 85.000 hommes. Mais cela ne suffit pas à endiguer les troupes du Nord. Prétextant d'un incident sur un bateau américain, soi-disant attaqué par le Viet-Kong dans le golfe du Tonkin, Lyndon Johnson envoie des centaines de milliers d'hommes. Mais ceux-ci vont s'enliser face à la détermination des hommes de Ho Chi Minh. En 1975, le président Gérald Ford met un terme à cette sale guerre qui aura traumatisé l'Amérique et le monde.

    CUBA 1961 : Commandement des opérations, la CIA dirige une invasion (dans la baie des cochons) d'exilés qui conduit à un cuisant échec.

    ALLEMAGNE 1961 : Menace nucléaire, alerte durant la crise du Mur de Berlin.

    CUBA 1962 : Menace nucléaire, marine, blocus naval durant la crise des missiles ; c'est presque la guerre contre l'URSS.

    LAOS 1962 : Commandement des opérations, mise sur pied d'une armée durant la guerre de guérilla.

    PANAMA 1964 : Troupes, des Panaméens sont abattus alors qu'ils réclament la restitution du canal.

    INDONESIE 1965 : Commandement des opérations, un million de personnes périssent pendant le coup d'Etat militaire orchestré par la CIA.

    REPUBLIQUE DOMINICAINE 1965-66 : Troupes, bombardements, les Marines débarquent durant une campagne électorale. En 1965, 23 000 boys sont dépéchés en République Dominicaine pour y "restaurer l'ordre" à la suite d'un soulèvement populaire contre le régime militaire en place.

    GUATEMALA 1966-67 : Commandement des opérations, les Bérets verts interviennent contre les rebelles.

    DETROIT 1967 : Troupes, l'armée intervient contre des Noirs, 43 tués.

    ETATS-UNIS 1968 : Troupes, après l'assassinat de Martin Luther King, 21.000 soldats sont déployés dans différentes villes.

    CAMBODGE 1969-75 : Bombardements, troupes, marine. Quelque 2 millions de morts en sept ans de bombardements, de famine et de chaos politique.

    OMAN 1970 : Commandement des opérations, les USA dirigent l'invasion de la marine iranienne.

    LAOS 1971-73 : Commandement des opérations, bombardements, les USA dirigent l'invasion sud-vietnamienne, carpet-bombing des campagnes.

    DAKOTA DU SUD 1973 : Commandement des opérations, l'armée dirige le siège de Wounded Knee contre les Indiens lakota.

    MOYEN-ORIENT 1973 : Menace nucléaire, alerte mondiale durant la guerre du Moyen-Orient.

    CHILI 1973 : Commandement des opérations, l'administration Nixon, via la CIA, aide le général Pinochet à renverser le président socialiste marxiste mais non communiste, démocratiquement élu, Salvatore Allende. Ironie de l'histoire, c'était un 11 septembre…

    CAMBODGE 1975 : Troupes, bombardements au gaz, capture de navire, 28 morts dans un accident d'hélico.

    ANGOLA 1976-92 : Commandement des opérations, la CIA aide les rebelles soutenus par l'Afrique du Sud.

    IRAN 1980 : Troupes, menace nucléaire, bombardement avorté, raid pour délivrer les otages de l'ambassade ; 8 soldats meurent dans un accident d'hélico. Les Soviétiques sont avertis de ne pas s'impliquer dans la révolution. Il apparaît après coup que les candidats républicains soutenant Ronald Reagan ont tout fait pour faire échouer l'opération. Bel exemple de patriotisme.

    LIBYE 1981 : Jets de la Marine, deux appareils à réaction libyens sont abattus durant des manoeuvres.

    SALVADOR 1981-92 : Commandement des opérations, conseil des troupes, survols, aide à la guerre contre les rebelles, des soldats sont brièvement impliqués dans une prise d'otages.

    NICARAGUA 1981-90 : Commandement des opérations, marine, la CIA dirige les invasions d'exilés (contras) qui combattent les sandinistes marxistes.

    LIBAN 1982-84 : Marine, bombardements, troupes, les Marines expulsent l'OLP et soutiennent les phalangistes chrétiens, la marine bombarde et arrose d'obus les positions musulmanes et syriennes.

    HONDURAS 1983-89 : Troupes, des manoeuvres assistent la construction de bases à proximité des frontières.

    GRENADE 1983-84 : Troupes, bombardements, une invasion a lieu quatre ans après la révolution.

    IRAN 1984 : Utilisation d'avions chasseurs, deux jets iraniens sont ainsi abattus au-dessus du golfe Persique.

    LIBYE 1986 : Bombardement, marine, des frappes aériennes sont effectuées pour renverser le gouvernement nationaliste.

    BOLIVIE 1986 : Troupes, l'armée assiste des raids dans la région où pousse la cocaïne.

    IRAN 1987-88 Marine, bombardements, les USA interviennent aux côtés de l'Irak dans la guerre. Ils soutiennent activement le dictateur Saddam Hussein, garant des intérêts américains car laïque et opposé au fanatisme de la révolution islamiste shiite.

    LIBYE 1989 : Utilisation de chasseurs de la marine, deux jets libyens sont abattus.

    ILES VIERGES 1989 : Troupes, St. Croix est le théatre d'émeutes noires après l'assaut.

    PHILIPPINES 1989 : Jets, une couverture aérienne est fournie au gouvernement contre un éventuel coup d'Etat.

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    PANAMA 1989-90 : Troupes, bombardement, le gouvernement nationaliste est destitué par 27.000 soldats, les dirigeants sont arrêtés, on dénombre plus de 2000 morts. Le 20 décembre 1989, le président Bush senior ordonne une attaque militaire sur le Panama dans le but d'arrêter le dictateur au pouvoir, Manuel Noriega, pourtant agent de la CIA. : 6000 soldats face à 25 000 soldats d'élite US, utilisant aviation, portes avions ainsi que, pour la première fois, le bombardier Stealth. En 13 heures, 422 bombes furent déversées sur Panama-City. Les Soldats US entérèrent les morts panaméens dans des fosses communes sans les identifier.
    " Cinq blocs entiers ont été bombardés, les 25ième, 26ième, et 27ième rues où j'ai passée mon enfance ont été complètement détruites et transformées en un cimetière. A minuit trente, le bombardement, le mitraillage et les tirs aux roquettes ont commencés. Puis ont été utilisés les lances flammes et les tanks, et ce fut la désolation générale. Ils ont tiré à la mitrailleuse sur des maisons faites de bois et de plâtre pendant que la population dormait, à quelques jours de noël. Beaucoup de ceux qui ont tenté d'échappé aux incendies et aux bombardements sont morts dans les rues, abattus par les mitrailleuses américaines." Cette attaque violait la convention de Genève mais fut la première appellée " guerre propre ". Les chiffres officiels annoncent 560 morts mais la Croix Rouge donne le chiffre de 4000 avec entre 15 000 et 30 000 personnes ayant perdu leur habitation.

    NICARAGUA, 1990 : Un an plus tard, les Etats-Unis font preuve d'un peu plus de finesse avec une intervention massive dans le processus électoral nicaraguayen en finançant ouvertement l'opposition, alors même que le financement des partis politiques américains par des intérêts étrangers est illégal aux Etats-Unis.

    LIBERIA 1990 : Troupes, les étrangers sont évacués durant la guerre civile.

    ARABIE SAOUDITE 1990-91 : Troupes, jets, l'Irak est contrée après son invasion du Koweït ; 540.000 hommes stationnés à Oman, au Qatar, à Bahrain, dans l'UEA, en Israël.

    IRAQ 1990-1991 : Première guerre du golfe :
    Bombardements, troupes, marine, blocus de l'Irak et des ports jordaniens ; 200.000 morts et plus lors de l'invasion de l'Irak et du Koweït, zone d'interdiction de vol sur le Nord kurde, sur le Sud chiite, destruction à grande échelle des équipements militaires irakiens. En outre il apparaît que : l'armée américaine a utilisé des armes à uranium apauvri ce qui provoqua le syndrôme de la guerre du golfe ; que Bush a lâchement abandonné le peuple irakien qu'il avait appelé à la révole contyre son dictateur, lui permettant de reprendre les rennes du pouvoir. Il s'ensuivit des massacres de milliers d'opposants shiites, et kurdes pour la plupart.

    KOWEÏT 1991 : Marine, bombardements, troupes, le famille royale du Koweït est réinstallée sur le trône.

    LOS ANGELES 1992 : Troupes, l'armée et les Marines sont déployés contre les émeutes anti-policières.

    SOMALIE 1992-94 : Troupes, marine, bombardements, l'occupation des Nations unies durant la guerre civile : sous la direction des USA, raids contre une faction de Mogadiscio. En outre après s'être rendu compte de leur incapacité à gérer le problème, les soldats américains s'en allèrent laissant derrière eux un pays à feu et à sang.

    YOUGOSLAVIE 1992-94 : Marine, blocus de l'Otan contre la Serbie et le Montenegro.

    BOSNIE 1993-95 : Jets, bombardements, zone d'interdiction de vol surveillée durant la guerre civile ; avions abattus, bombardements des Serbes.

    HAITI 1994-96 : Troupes, marine, blocus contre le gouvernement militaire, les troupes réinstallent le président Aristide trois ans après le coup d'Etat.

    CROATIE 1995 : Bombardements de la Krajina, les aérodromes serbes sont attaqués avant l'offensive. Les américains ont tout fait pour aider les croates dans leur contre offensive éclaire.

    ZAIRE (CONGO) 1996-97 : Troupes, Marines dans les camps de réfugiés hutu, dans la zone où commence la révolution.

    LIBERIA 1997 : Troupes, soldats sous le feu durant l'évacuation des étrangers.

    ALBANIE 1997 : Troupes, soldats sous le feu durant l'évacuation des étrangers.

    SOUDAN 1998 : Attaques par missiles d'une usine pharmaceutique supposée être une usine névralgique 'terroriste' de fabrication de gaz. Plus de 30.000 civils tués. Les USA bloquent l'enquête de l'ONU au Conseil de sécurité des Nations unies.

    AFGHANISTAN 1998 : Attaques par missiles contre les anciens camps de la CIA utilisés par les intégristes musulmans supposés avoir attaqué des ambassades.

    IRAK 1998 : Bombardements, missiles, quatre jours de frappes aériennes intensives après que les inspecteurs de l'armement soupçonnent les Irakiens de faire obstruction à leurs opérations de controle.

    COLOMBIE : en 1999, l'opinion internationale empêchant les interventions militaires, les Etats-Unis ont lancé le Plan Colombie en soutien au gouvernement colombien qui détient pourtant le record des violations des droits de l'homme dans cet hémisphère. 83% de cette aide de 1.3 milliards de dollars sont destinés aux militaires (30 000 militaires recrutés).

    YOUGOSLAVIE 1999 ; Bombardements, missiles, lourdes frappes aériennes de l'OTAN après que la Serbie refuse de se retirer du Kosovo. Cette opération militaire fut faite sans l'aval de l'ONU et à la suite du piratage de la conférence de Rambouillet. Il apparaît en effet que Madeleine Allbright a tout fait pour rendre un accord impossible du côté serbe. Le carnage fut censuré et on a vu comme résultat des cohortes de civils qui fuyèrent leur pays sans savoir où aller. L'immigration massive montre que les bombardements n'arrangent jamais les choses.

    YEMEN 2000 : Marine, un attentat suicide à la bombe est opéré contre le navire USS Cole.

    MACEDOINE 2001 : Les troupes de l'OTAN se déplacent et désarment en partie les rebelles albanais de l'UCK.

    AFGHANISTAN 2001 : Mobilisation massive des Etats-Unis pour attaquer les talibans et Ben Laden désignés d'office comme les commanditaires des attentats du 11 septembre 2001. Cette intervention est relayée par les troupes de l'ONU et de l'OTAN. Et cela continue.

    VENEZUELA 2002 : dernier fait d'armes de la CIA, le soutien de la conspiration et de la tentative de coup d'état anti-Chavez au Venezuela.
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    IRAK 2003 : Attaque militaire de grande envergure par des bombardements sur Bagdad et autres villes. Renversement du régime dictatorial, certes, de Saddam Hussein, mais à l'encontre du droit international et de la décision de l'ONU. Finalement, l'occupation militaire se prolonge pour le contrôle des champs de pétrole et le chaos règne avec des conséquences bien plus graves que sous la dictature de Saddam Hussein. Les sévices et tortures dans les prisons militaires sont encore une preuve de la haine des militaires envers de simples résistants iraquiens. On constate chaque jour des attentats et un véritable génocide est perpétué par le fait que les policiers Irakiens sont armés par les américains. Censure. Pas de reporters en Iraq pour nous dire la vérité. Ils ont été assassinés (ceux qui sont sous contrôle militaire ne sont pas des reporters).

    Avril 2006 : Les Etats-Unis ont déjà dépensé 272 MILLIARDS de dollars dans cette guerre en Iraq. On apprend en octobre 2007 que $4 MILLIARDS/semaine sont engloutis pour cette guerre qui met tout le pays à feu et à sang. Mais, en tout, les dépenses militaires avoisinent 757 MILLIARDS de dollars pour les diverses interventions dans le monde. Elles dépassent celles cumulées des 15 autres Etats les plus puissants de la planète et aggrave le déficit colossal des USA !


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* Meurtre systématique de la population civile en Afghanistan (Dissimulation consciente par la politique et le staff militaire). La guerre et les conséquences : L’Afghanistan souffre.
L’Afghanistan est devenu une zone d’essai pour tester toutes sortes de nouveaux types d’armes. Les anciennes méthodes de bombardements ne suffisent plus aux seigneurs de la guerre. Aussi, voulait-on évaluer notamment la manière dont les armes à laser modernes fonctionnent, l’impact des armes à micro-ondes ou encore les effets des différents types de rayonnement radioactif. Les images de corps horriblement mutilés, en provenance d’Afghanistan, atteignent rarement l’Occident, mais de temps en temps elles apparaissent. Un petit tas de chair, c’est tout ce qui reste d’une victime de ces nouvelles armes. Comment a t’il été tué? De grosses plaies sur la peau mènent rapidement à la mort. Les nouveau-nés ont deux têtes et meurent vite. Les personnes vomissent et crachent du sang, leurs urines et leurs selles contiennent aussi du sang. Dans la région de Tora Bora, les femmes ne peuvent plus se tenir sur leurs jambes, elles ne peuvent plus marcher. Quelle en est la cause? Beaucoup de femmes font des fausses couches, il en est de même pour beaucoup d’animaux. La faim s’ajoute et complète la misère de la population afghane. La cruauté sans répit de l’alliance belliciste ne connaît pas de limites. Ne sont-ils pas des entités bestiales transformées en homme ?


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Remercions Zoltan Grossman qui a réalisé cet excellent travail de compilation. Parmi les sources qu'il a utilisées, outre des rapports d'infos, il y a: les Archives du Congrès (23 juin 1969), 180 débarquements, par la Section Histoire de l'U.S. Marine Corps, Ege & Makhijani dans Counterspy (Juillet-août 1982), et Daniel Ellsberg dans Protest & Survive. "Exemples de recours aux Forces américaines à l'étranger, 1798-1993" par Ellen C. Collier du Service des Recherches de la Bibliothèque du Congrès. Source : A century of U.S. military interventions: From Wounded Knee to Afghanistan, Compiled by Zoltan Grossman.

3. Il va s’en dire que nous nous n'attaquons pas le peuple américain, mais quand l’élite qui dirige ce pays depuis quelques temps bafoue le droit international, il faut le dire: comment peut on se targuer d'etre la nation de la liberté quand on provoque autant de conflit  et il parle de terrorisme ,qui est le terroriste ? jamais une nation n'a jamais autant provoquer de guerre ,cette empire ressemble à celui de la rome antique par sa domination sur les autres nations.....

    L’Amérique a mené deux guerres mondiales pour devenir une superpuissance qui donne le «la» sur tous les continents. Le principal obstacle à son accès aux marchés et aux réserves énergétiques d’Asie centrale a disparu avec l’effondrement de l’Union soviétique en 1991. Cette chance historique sans précédent, elle l’a utilisée depuis lors contre ses propres alliés avec une agressivité sans cesse croissante, pendant que l’Europe continuait à rêver des «dividendes de la paix». Sur le plan institutionnel les USA exercent leur domination par le biais de l’OTAN et de l’OSCE. Le danger vient des USA – bien plus que du «terrorisme» qui est en fait un moyen et une diversion pour agresser les pays pour leur imposer par la force  leur domination ......

1 mai 2016

97% des malades atteints du cancer en phase terminale ont précédemment subi cette intervention dentaire

devitalisation

Avez-vous une maladie dégénérative chronique? Si oui, avez-vous été informé que « c’est juste dans votre tête? ». Eh bien, ce n’est peut-être pas loin de la vérité…

La cause réelle de votre maladie pourrait se trouver dans votre bouche.

 

 

Il y a une procédure dentaire fréquente dont presque tous les dentistes vous diront que c’est complètement sans danger, en dépit du fait que les scientifiques ont mis en garde contre ses dangers depuis plus de 100 ans.

Chaque jour aux Etats-Unis seulement, 41 000 de ces procédures dentaires sont pratiquées sur des patients qui croient qu’ils ont résolu leur problème en toute sécurité et de façon permanente.

Quelle est cette procédure dentaire?

La dévitalisation.

Plus de 25 millions de dévitalisations sont effectuées chaque année dans ce pays.

Les dents dévitalisées sont essentiellement des dents mortes qui peuvent devenir des incubateurs silencieux pour les bactéries anaérobies hautement toxiques qui peuvent, sous certaines conditions, faire leur chemin dans la circulation sanguine et causer un certain nombre de graves affections, dont la plupart peuvent n’apparaître que des décennies plus tard.

La plupart de ces dents toxiques paraissent sans problème pendant de nombreuses années, ce qui rend leur rôle dans une maladie systémique encore plus difficile à retracer.

Malheureusement, la grande majorité des dentistes sont inconscients des graves risques de santé potentiels qu’ils font courir à leurs patients, des risques qui persistent pour le reste de la vie de leurs patients. L’Association Dentaire Américaine (The American Dental Association) prétend que les arbres canalaires des dents dévitalisées se sont avérés sans danger, mais ils n’ont publié aucune donnée ni de réelle recherche pour étayer cette affirmation.

Heureusement, j’ai eu quelques mentors tôt dans ma vie, comme le Dr Tom Stone et le Dr Douglas Cook, qui m’ont enseigné sur cette question il y a près de 20 ans. Sans un dentiste pionnier brillant, qui, il y a plus d’un siècle, fait le lien entre les dents dévitalisées et la maladie, cette cause sous-jacente de la maladie aurait pu rester cachée jusqu’à ce jour. Ce dentiste s’appelait Weston Price et est considéré par beaucoup comme le plus grand dentiste de tous les temps.

Weston A. Price: le plus grand dentiste du monde

La plupart des dentistes rendraient un énorme service à la santé publique s’ils se familiarisaient avec les travaux du Dr Weston Price (1). Malheureusement, ses travaux sont toujours ignorés et cachés par les professionnels médicaux et dentaires.

Le Dr Price était un dentiste chercheur qui a parcouru le monde pour étudier les dents, les os, et les régimes alimentaires des populations indigènes vivant sans le « bénéfice » de la nourriture moderne. Vers l’année 1900, Price avait traité des infections persistantes de l’arbre canalaire et a suspecté que les dents traitées de cette façon restaient toujours infectées, en dépit des traitements. Puis, un jour, il a recommandé à une femme clouée à son fauteuil roulant depuis 6 ans, de se faire extraire sa dent dévitalisée, même si elle semblait être saine.

Elle a accepté, il a extrait sa dent puis l’a implantée sous la peau d’un lapin. Le lapin a étonnamment développé la même arthrite invalidante que la femme et est mort 10 jours plus tard de l’infection. Mais la femme désormais débarrassée de la dent toxique, a immédiatement récupéré de son arthrite et pouvait alors marcher sans même l’aide d’une canne.

Price a découvert qu’il est mécaniquement impossible de stériliser une dent dévitalisée et obturée.
Il a ensuite montré que de nombreuses maladies dégénératives chroniques proviennent de racines obturées, la plus fréquente étant des maladies de coeur et circulatoires. Il a trouvé effectivement 16 agents pathogènes bactériens différents pour ces affections. Mais il y avait aussi de fortes corrélations entre les dents aux racines obturées et les maladies des articulations, du cerveau et du système nerveux. Le Dr Price a ensuite écrit deux livres révolutionnaires en 1922, détaillant ses recherches sur le lien entre la pathologie dentaire et les maladies chroniques. Malheureusement, son travail a été délibérément enterré pendant 70 ans, jusqu’à ce que, finalement, un endodontiste nommé George Meinig reconnaisse l’importance du travail de Price et cherche à faire connaître la vérité.

Le Dr Meinig fait avancer les travaux du Dr Price

Le Dr Meinig, originaire de Chicago, était capitaine dans l’armée américaine pendant la Seconde Guerre mondiale avant de déménager à Hollywood pour devenir un dentiste pour les stars. Il a fini par devenir l’un des membres fondateurs de l’Association Américaine des Endodontistes (les spécialistes de l’arbre canalaire).

Dans les années 1990, il a passé 18 mois immergé dans la recherche du Dr Price. En juin 1993, le Dr Meinig a publié le livre Root Canal Cover-Up (le secret sur l’arbre canalaire), qui continue à être la référence la plus complète à ce sujet aujourd’hui. Vous pouvez commander votre exemplaire directement à Price-Pottenger Foundation (2).

Ce que les dentistes ne savent pas sur l’anatomie de vos dents

Vos dents sont faites des substances les plus dures de votre corps.

Au milieu de chaque dent, se trouve la chambre pulpaire, une structure interne vivante qui abrite les vaisseaux sanguins et les nerfs. Autour de la chambre pulpaire se trouve la dentine, qui est faite de cellules qui sécrètent une substance minérale dure et vivante. La couche la plus externe et la plus dure de votre dent est l’émail blanc qui enrobe la dentine.

Les racines de chaque dent descendent dans votre mâchoire et sont maintenues en place par le ligament parodontal. A l’école dentaire, les dentistes apprennent que chaque dent a quatre canaux principaux. Cependant, il y a des canaux accessoires qui ne sont jamais mentionnés (canalicules dentinaires). Ils font littéralement, des kilomètres!

Tout comme votre corps a de grands vaisseaux sanguins qui se ramifient en très petits capillaires, chacune de vos dents a un labyrinthe de minuscules tubes qui, s’ils étaient étalés, mesureraient 4,5 kilomètres. Weston Price a identifié pas moins de 75 canaux accessoires séparés dans une seule incisive centrale (dent de devant). Pour une explication plus détaillée, se reporter à un article de Hal Huggins, DDS, MS, sur le site de la Fondation Weston A. Price (3). (Ces images sont empruntées à l’article de Huggins).

Des organismes microscopiques se déplacent régulièrement dans et autour de ces tubules, comme les spermophiles dans les souterrains.

Quand un dentiste effectue un traitement de canal, il ou elle creuse la dent, puis remplit la cavité avec une substance (appelée gutta-percha), qui coupe la dent de son approvisionnement en sang, de façon à ce que les fluides ne puissent plus circuler dans la dent. Mais le labyrinthe de minuscules tubes reste. Et les bactéries, coupées de leur approvisionnement alimentaire, se cachent dans ces tunnels où elles sont remarquablement à l’abri des antibiotiques et de vos propres défenses immunitaires.

La cause profonde de nombreuses maladies

Sous le stress de la privation d’oxygène et de nutriments, ces organismes jusqu’alors amis se transforment en anaérobies plus forts, plus virulents qui produisent une variété de toxines puissantes. Ce que furent des bactéries amies ordinaires, mutent en des agents pathogènes hautement toxiques qui rôdent dans les tubules (canalicules) de la dent morte, juste dans l’attente d’une occasion de se propager.

Aucune stérilisation si forte soit-elle ne s’est avérée efficace pour atteindre ces tubules et à peu près toute dent dévitalisée a été trouvée colonisée par ces bactéries, en particulier autour de l’apex et le ligament parodontal. Souvent, l’infection s’étend dans la mâchoire elle-même où elle crée des cavitations de zones de tissu nécrotiques.

Les cavitations sont des zones d’os non cicatrisées, souvent accompagnées par des poches de tissu infecté et de gangrène. Quelquefois, elles se forment après l’extraction d’une dent, (comme l’extraction d’une dent de sagesse), mais elles peuvent également suivre un canal radiculaire. Selon la Fondation Weston Price, dans les dossiers de 5000 nettoyages de cavitations chirurgicales, seulement deux ont été trouvées guéries.

Et tout cela a lieu avec peu, ou pas du tout de symptômes associés. Ainsi, vous pouvez avoir un abcès sur une dent morte et ne pas en prendre conscience. Cette infection locale dans la zone immédiate de la racine de la dent dévitalisée est assez mauvaise, mais les dégâts ne s’arrêtent pas là.

Les dents dévitalisées peuvent conduire à des maladies de coeur, des reins, des os, et du cerveau

Tant que votre système immunitaire reste fort, les bactéries qui s’égarent loin de la dent infectée sont capturées et détruites. Mais une fois que votre système immunitaire est affaibli par quelque chose comme un accident ou une maladie ou d’autres traumatismes, votre système immunitaire peut être incapable de garder l’infection en échec.

Ces bactéries peuvent migrer dans les tissus environnants par la voie de votre circulation sanguine où elles sont transportées vers de nouvelles zones pour s’y installer. Le nouvel emplacement peut être n’importe quel organe ou glande ou tissu.

Le Dr Price a pu transmettre des maladies hébergées par l’homme à des lapins, en implantant des fragments de dents dévitalisées, comme décrit plus haut. Il a trouvé que des fragments de dent dévitalisée d’une personne qui avait subi une crise cardiaque, implantés sur un lapin, provoqueraient une crise cardiaque chez le lapin en quelques semaines après l’implantation.
Il a découvert qu’il pouvait transférer une maladie cardiaque au lapin dans 100 % des cas. D’autres maladies sont transférables à plus de 80 % par ce procédé. Presque toutes les maladies dégénératives chroniques ont été liées à des dents dévitalisées, comme:

  • Maladies cardiaques
  • Maladie des reins
  • L’arthrite, les maladies articulaires et rhumatismales
  • Maladies neurologiques (y compris la sclérose amyotrophique latérale et la sclérose en plaques).
  • Maladies auto-immunes (Lupus, et autres)

Il peut également y avoir un lien avec le cancer. Le Dr Robert Jones, un chercheur sur la relation ente les dents dévitalisées et le cancer du sein, a trouvé une très forte corrélation entre les deux (4). Il déclare avoir trouvé les corrélations suivantes dans une étude de cinq ans de 300 cas de cancers du sein:

  • 93 % des femmes atteintes d’un cancer du sein avaient des dents dévitalisées
  • 7 % avaient une autre pathologie buccale
  • Les tumeurs, dans la majorité des cas, se produisaient du même côté du corps que la dent dévitalisée ou d’autre pathologies buccales.

Le Dr Jones affirme que les toxines de bactéries dans une dent ou la mâchoire infectée sont capables d’inhiber les protéines qui suppriment le développement des tumeurs. Un médecin allemand a rapporté des résultats similaires. Le Dr Josef Issels a rapporté que, dans ses 40 années de traitement des patients cancéreux « terminaux », 97 % de ses patients atteints de cancer avaient des dents dévitalisées. Si ces médecins voient juste, le remède contre le cancer peut être aussi simple que d’arracher une dent, puis de reconstruire votre système immunitaire.

 

Les bonnes bactéries deviennent des mauvaises bactéries

Comment ces bactéries buccales mutantes sont-elles reliées aux maladies du coeur ou à l’arthrite? L’ADA (The American Dental Association )et le AAE (The American Association of Endodontists) déclarent que c’est un « mythe » que les bactéries trouvées dans les dents dévitalisées et autour puissent provoquer des maladies (5). Mais ils se fondent sur l’hypothèse erronée que les bactéries de ces dents malades sont les MEMES que les bactéries normales de votre bouche – et ce n’est clairement pas le cas.

Aujourd’hui, les bactéries peuvent être identifiées en utilisant l’analyse de l’ADN, qu’elles soient mortes ou vivantes, à partir de leurs signatures d’ADN.

Dans une poursuite des travaux du Docteur Price, le Toxic Element Research Foundation (TERF) (Fondation de Recherche des Eléments Toxiques), a effectué l’analyse d’ADN pour examiner les dents dévitalisées, et ils ont trouvé une contamination bactérienne dans 100 % des échantillons testés. Ils ont identifié 42 espèces différentes de bactéries anaérobies dans 43 échantillons d’arbres canalaires. Dans la cavitation, 67 bactéries différentes ont été identifiées parmi les 85 échantillons testés, avec des échantillons individuels abritant de 19 à 53 types de bactéries chacun. Les bactéries qu’ils y trouvaient comprennent les types suivants:

  • Capnocytophagaochracea (6)
  • Fusobacteriumnucleatum (7)
  • Gemellamorbillorum (8)
  • Leptotrichiabuccalis
  • Porphyromonasgingivalis (9)

Est-ce qu’il s’agit de simples bactéries buccales bénignes? Absolument pas. Quatre peuvent affecter votre coeur, trois peuvent affecter vos nerfs, deux peuvent affecter vos reins, et deux peuvent affecter votre cerveau et une peut infecter vos sinus….. alors, elles sont tout sauf amicales! (Si vous voulez voir à quel point elles peuvent être hostiles, je vous invite à aller plus loin en étudiant dans les notes de bas de page).

Environ 400 pour cent plus de bactéries ont été trouvées dans le sang autour de la dent dévitalisée que dans la dent elle-même, ce qui suggère que la dent est l’incubateur et le ligament parodontal l’approvisionnement alimentaire. L’os entourant les dents dévitalisées comporte un nombre encore plus élevé de bactéries…. ce qui n’est pas étonnant, car l’os est le buffet virtuel des nutriments des bactéries.

Depuis quand est-ce une bonne idée de laisser une partie du corps morte dans votre corps?

Il n’existe aucune autre procédure médicale impliquant de laisser une partie morte dans votre corps. Lorsque votre appendice est mort, on le retire. Si vous avez des engelures, ou la gangrène sur un doigt ou un orteil, il est amputé. Si un bébé meurt in utéro, le corps déclenche généralement une fausse couche.

Votre système immunitaire n’aime pas les substances mortes et la seule présence d’un tissu mort peut conduire votre système à lancer une attaque, ce qui est une autre raison d’éviter de dévitaliser une dent, ce qui revient à laisser une dent morte.

L’infection, plus la réaction de rejet auto-immun, entraînent une accumulation de bactéries autour des tissus morts. Dans le cas d’un arbre canalaire, les bactéries ont la possibilité de se déverser dans votre sang à chaque fois que vous mordez.

Pourquoi les dentistes s’accrochent à la croyance que les dents dévitalisées sont sans danger

L’ADA rejette le témoignage du Dr Price, affirmant que les dents dévitalisées sont sûres, mais ils n’offrent pas de données publiées ni de recherches réelles à l’appui de leur déclaration. L’American Heart Association (L’Association Américaine pour le Coeur) recommande une dose d’antibiotiques avant de nombreuses procédures dentaires de routine pour prévenir l’endocardite infectieuse (IE) si vous avez certaines maladies cardiaques qui vous prédisposent à ce type d’infection.

Donc, d’une part, l’ADA reconnaît que les bactéries buccales peuvent faire le chemin de votre bouche à votre coeur et provoquer une infection potentiellement mortelle.

Mais en même temps, l’industrie nie avec véhémence toute possibilité que ces mêmes bactéries toxiques – des souches connues pour être pathogènes pour l’homme, puissent se cacher dans les racines de vos dents mortes pour être libérées dans votre sang chaque fois que vous mâchez, et nuire ainsi à votre santé de multiples façons.

Est-ce qu’il n’y a donc aucun lien? Ou se pourrait-il qu’il y ait une autre raison pour laquelle tant de dentistes, ainsi que l’ADA et l’AAE refusent d’admettre que les dents dévitalisées sont dangereuses? Eh bien, oui, il y a une raison. Les dents dévitalisées sont la procédure la plus rentable en dentisterie (10).

Ce que vous devez savoir pour EVITER une dévitalisation

Je recommande fortement de ne jamais faire dévitaliser une dent. Risquer votre santé pour préserver une dent n’a tout simplement pas de sens. Malheureusement, il y a beaucoup de gens qui en ont déjà. Si vous en avez, vous devriez sérieusement envisager de faire enlever cette dent, même si elle paraît saine. Rappelez-vous, dès que votre système immunitaire est compromis, votre risque de développer un problème médical grave augmente – et les agressions contre votre système immunitaire sont beaucoup trop fréquentes dans le monde d’aujourd’hui.

Si on vous enlève une dent, il y a quelques options qui s’offent à vous.

  1. Une prothèse partielle: c’est une prothèse amovible, c’est l’option la plus simple et la moins coûteuse.
  2. Un bridge: c’est un montage plus permanent qui ressemble à une vraie dent, mais est un peu plus compliqué et coûteux.
  3. Un implant: c’est une dent artificielle permanente, généralement en titane, implantée dans vos gencives et la mâchoire. Il y a quelques problèmes en raison de réactions aux métaux utilisés. Le zirconium est un matériau d’implant plus récent qui est prometteur et présente moins de complications.

Mais se contenter de retirer la dent et insérer une sorte de remplacement n’est pas suffisant.
Les Dentistes apprennent à enlever la dent mais laissent le ligament parodontal. Et comme vous le savez maintenant, ce ligament peut servir de terrain fertile pour les bactéries mortelles. La plupart des experts qui ont étudié dans ce sens, recommandent de retirer le ligament, ainsi qu’un millimètre de la base osseuse, afin de réduire considérablement votre risque de développer une inflammation des tissus infectés par des bactéries restantes.

Je recommande fortement de consulter un dentiste holistique car ils sont particulièrement formés pour faire ces extractions correctement et en toute sécurité, tout en étant aptes à enlever les amalgames au mercure, si nécessaire. Leur approche des soins dentaires est beaucoup plus holistique et considère l’impact sur l’ensemble de votre corps, pas seulement votre bouche.

Si vous avez besoin de trouver un dentiste holistique dans votre région, je recommande de consulter holodent.fr (11). Cette organisation, créée par Estelle Vereeck, est une organisation très sérieuse qui a lutté pour protéger et éduquer les consommateurs afin qu’ils puissent prendre des décisions meilleures et plus éclairées au sujet de leurs soins dentaires.

par le Dr. Mercola

Références:

(1) Weston A. Price Foundation

(2) Price-Pottenger Foundation

(3) Weston A. Price Foundation June 25, 2010

(4) Quantum Cancer Management

(5) American Association of Endodontists

(6) Journal of Clinical Microbiology February 2007

(7) Journal of Clinical Microbiology July 2003

(8) Clinical Infectious Diseases June 1996

(9) Science Daily January 4, 2011

(10) The Wealthy Dentist July 12, 2011

(11) Holodent.fr


En savoir plus sur http://www.sante-nutrition.org/97-des-malades-atteints-du-cancer-en-phase-terminale-ont-precedemment-subit-cette-intervention-dentaire/#dZogbDiSL3FSxB5A.99

18 avril 2016

Le mythe de la menace extraterrestre à été planifié par la CIA

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7 avril 2016

William Morgan un martyr anti-maçonnique

Light on Masonry

William Morgan, un martyr anti-maçonnique

Assassiné le 13 septembre 1826

 

William Morgan était un journaliste de New-York. Il faisait partie de la Loge La Branche d’Olivier, établie à Batavia, comté de Genesee. Un jour, Morgan, se retirant de la société, publia à New-York même, sous le titre Free-masonry exposed and explained, un livre dans lequel il révélait les secrets de la mystérieuse institution et reproduisit tous les rituels maçonniques.

Il n’y avait pas grand mal à cela, allez-vous me dire. C’est possible ; mais la Franc-Maçonnerie ne l’entendait pas ainsi.

Les chefs de la Maçonnerie américaine se réunirent, et la mort de William Morgan fut décidée.

Seulement, on avait affaire à un homme qui se tenait sur ses gardes ; il s’agissait de s’emparer de lui adroitement et de la faire disparaître sans esclandre. Voici comment le coup fut exécuté :

Un maître d’hôtel, nommé Kinsley, prétendit tout à coup que Morgan lui avait dérobé du linge et des bijoux ; Morgan fut arrêté à Canandaigua. L’accusation était bête, absurde ; aucune preuve ne put être fournie contre le journaliste ; il fut donc bientôt relâché.

Mais Morgan, pendant sa détention, s’était dit :

« Mes anciens collègues tiennent à me faire incarcérer, et, quand je serai en prison, n’ayant pas le choix de mes aliments, on me glissera quelques mets empoisonné.

Cependant, le livre de l’ex-franc-maçon causait grand tapage aux Etats-Unis. De nombreuses personnes vinrent féliciter Morgan de sa conduite. Il eut des admirateurs, mêmes enthousiastes. Ainsi, il se créa plusieurs relations, notamment avec un certain Loton Lawson, qui devint son ami ; c’était un homme de bonnes manières, qui paraissait jouir de quelque fortune et se montrait, dans ses discours, très opposé à la Franc-Maçonnerie.

Morgan, Néanmoins, se tenait réservé envers ses nouvelles connaissances, attendant que l’occasion lui permît d’éprouver ses vrais amis.

Un beau jour, un individu présenta aux magistrats du comté de Genesee divers titres de créance, - faux, sans doute, - achetés, si par hasard ils étaient vrais, - et requit l’incarcération de Morgan comme son débiteur. A cette époque, la prison pour dettes existait encore.

Morgan fut donc de nouveau emprisonné.

« Allons ! disait-il à ceux de ses amis qui obtenaient la permission de le visiter ; décidément, c’est en prison que les Loges me feront mon affaire ! »

Comme il n’était pas riche, le pauvre garçon se désespérait. Il se défiait de tout aliment qui lui était présenté. Il était convaincu qu’il lui fallait sortir de là au plus tôt, sauf à discuter, une fois libre, la validité de la mesure prise contre lui. Mais qui serait assez dévoué pour lui servir de caution ?

Loto Lawson lui offrit ses bons offices. Morgan accepta, on comprend avec quelle joie ; Lawson, pour lui, était un sauveur !

Le lendemain de son offre généreuse, Loto Lawson revenait à la maison d’arrêt avec une voiture et quelques camarades, payait la somme pour laquelle Morgan était retenu, et celui-ci, se jetant au cou de l’excellent homme, consentait à ce que Lawson l’emmenât dans une de ses campagnes, pour être désormais à l’abri de ses persécuteurs.

La voiture partit dans la direction de Rochester, et, depuis, on ne revit jamais plus ni William Morgan ni Loton Lawson.

Cet enlèvement produisit une profonde sensation dans toute l’étendue des Etats-Unis. Beaucoup de personnes se dirent que la fameuse société le prenait trop à son aise, car ce fut à elle que la voix publique attribua la disparition de Morgan. Une certaine Ligue Anti-Maçonnique se constitua même pour aider les magistrats dans leurs recherches. Cette ligue n’avait pas tout à fait tort de vouloir se mêler de l’enquête. Il fut, en effet, démontré plus tard que les fonctionnaires de l’endroit ne déployaient pas un bien grand zèle dans l’instruction de l’affaire. Ces fonctionnaires avaient, du reste, une excellente raison pour penser que Morgan avait été justement châtié de son indiscrétion : Clinton, le gouverneur de l’Etat de New-York, et tous les magistrats du comté de Genesee étaient francs-maçons.

Bon gré, mal gré, pourtant, les autorités ne purent se dispenser de déclarer qu’une enquête était ouverte.

Un témoin se présenta, Edouard Giddins, garde-magasin du Fort-Niagara. Ce témoin avait vu, dans la nuit du 13 septembre 1826, une troupe d’individus conduisant un homme étroitement lié avec des cordes et dont la bouche était couverte d’un mouchoir fortement serré. Le signalement de cet homme se rapportait exactement à celui de Morgan ; les gens qui conduisaient le malheureux l’accusaient de trahison, l’insultaient et le maltraitaient. Giddins les entendit parler d’un jugement qui devait être exécuté dans des formes solennelles. Finalement, les inconnus enfermèrent leur prisonnier dans une maison isolée, située près du lac Ontario, à peu de distance du Fort-Niagara.

Le témoignage de Giddins fut corroboré par celui d’une femme noire : cette femme, étant venue puiser de l’eau tout près de la maison isolée, avait entendu une voix humaine poussant des cris inarticulés ; cette voix sortait précisément de la maison où Giddins avait vu enfermer Morgan.

Ni l’un ni l’autre de ces témoins n’avaient eu le courage de prévenir les autorités. Giddins avoua qu’il avait cru avoir affaire à une bande de brigands, infligeant un châtiment à l’un des siens, et qu’il avait trouvé dangereux pour lui d’intervenir.

Ces témoignages étaient bien précis. Les magistrats n’en tinrent pourtant aucun compte. Cependant, l’affaire en valait la peine ; car, il fut établi ensuite que les témoins avaient dit l’exacte vérité et que le malheureux Morgan avait été torturé pendant deux jours et trois nuits.

Un franc-maçon, de la Loge de Rochester, nommé Henri Brown, qui, dans un moment d’ivresse, avait laissé échapper quelques paroles compromettantes, fut considéré par le public comme un des principaux meurtriers ; les juges ne le firent même pas comparaître devant eux à titre d’information.

Alors, les citoyens du pays s’indignèrent. On cria au déni de justice. Le crime était indiscutable ; pourquoi les magistrats se renfermaient-ils dans une scandaleuse abstention ? Sur tous les points des Etats-Unis, des meetings s’organisèrent, ce fut un mouvement général. Partout, on déclarait que les Francs-Maçons devaient être exclus de toutes les fonctions civiles et politiques ; des mères jurèrent publiquement de ne jamais consentir à ce que leurs filles épousassent des francs-maçons, et des filles jurèrent, à leur tour, de ne jamais accepter des francs-maçons pour maris. Et l’indignation populaire grondait toujours, s’étendant de province en province.

Deux ans après l’assassinat de William Morgan, une assemblée solennelle d’anti-maçons se réunit à Leroy, le 4 juillet 1828. Là, cent trois Frères, cédant à un entraînement qui avait bien son mérite, se séparèrent de l’institution maçonnique, et, aux applaudissements d’une foule immense, déclarèrent que l’infortuné Morgan, dans ses révélations, causes de sa mort, n’avait rien publié qui ne fut scrupuleusement vrai.

Tous ces incidents, comme on pense, n’étaient pas de nature à plaire aux Francs-Maçons. Une société qui répand partout le bruit que, si elle se cache, c’est pour mieux pratiquer la bienfaisance, perd bien vite toute considération, quand il est démontré qu’elle est jalouse de sa modestie au point d’assassiner ceux qui en parlent. Force fut donc aux chefs de l’association de tenter quelques efforts pour paraître étrangers à la disparition de William Morgan.

Comment se disculper ? Comment se tirer de cette situation fâcheuse ?

Il ne suffisait pas de se prétendre calomniés. Il fallait au moins apporter quelque indice d’innocence.

Dans le but de regagner l’estime publique, les Loges furent d’abord publier, dans les journaux dirigés par leurs partisans, une note racontant que Morgan était un mauvais drôle, enclin à l’ivrognerie, et que, s’il était allé du côté du lac Ontario, il s’y était certainement noyé, pris de boisson, dans quelque partie de plaisir.

Mais les amis de Morgan protestaient. Le journaliste disparu était, au contraire, un homme très sobre.

Les Francs-Maçons, alors, apportèrent un cadavre, trouvé dans le lac Ontario, et les conditions de cette découverte pouvaient laisser croire à la véracité de leur dire.

Seulement, la malchance d’en mêla. Le cadavre fut reconnu ; son identité, établie. Ce n’était pas du tout William Morgan, mais un certain Monroë.

Comment les francs-maçons de New-York s’étaient-ils procuré ce cadavre ? C’est encore ce qu’on ne sut jamais.

L’incident n’était pas fait pour calmer les esprits. La Ligue Anti-Maçonnique fonctionna pendant plusieurs années ; les Loges, devant l’explosion de l’indignation publique, furent obligées de cesser leurs réunions dans toute l’étendue des Etats-Unis, au Canada et dans les autres colonies anglaises de l’Amérique.

Un candidat anti-maçon va jusqu’à se présenter aux élections pour le poste de gouverneur général de New-York, en 1830, et peu s’en faut qu’il ne soit élu.

Entre 1826 et 1846, la Grande Loge de New-York passe de 500 à 65 loges. Jamais la Franc-maçonnerie américaine ne fut soumise à pareille épreuve.

Toutefois, tout a une fin : peu à peu, la colère populaire s’apaisa.

Pour en finir, en 1832, les journaux partisans de la Franc-Maçonnerie insinuèrent que Morgan n’était pas mort, que tout le tapage fait autour de son nom était l’œuvre intéressée des ennemis de la société, et que des voyageurs l’avaient rencontré à Smyrne, où il vivait bien tranquillement, enrôlé parmi les disciples de Mahomet. Comme Smyrne, situé en Asie, à l’extrémité de la Méditerranée, est à plusieurs milliers de lieues de New-York, qui est sur les bords de l’Océan Atlantique, la vérification du racontar maçonnique était difficile à faire. L’opinion publique, du reste, était lassée. Ainsi, tout en resta là.

Et jamais la sépulture de William Morgan n’aurait été découverte, si, en août 1875, un organe indépendant, le New-York Herald, le plus important journal des Etats-Unis, célèbre par ses expéditions d’intérêt public (recherche de Livingstone, voyage au pôle Nord, etc.) ne s’était avisé de réveiller l’affaire.

Le New-York Herald, donc, réunit tous les documents de l’ancienne enquête, tous les témoignages apportés à l’instruction si mal menée, provoqua de nouvelles instigations, qui furent enfin couronnées de succès. En juillet 1881, la sépulture du malheureux Morgan fut découverte à Pembrocke, dans la province d’Ontario, Haut-Canada. Le crime a été officiellement reconnu. C’étaient les membres de la Loge de Rochester qui avaient assassiné l’indiscret journaliste. Dans la fosse où avait été enterré Morgan, on retrouva quelques débris de papier portant le nom du franc-maçon Henri Brown, celui-là même qui, en 1826, était considéré par l’opinion publique comme un des meurtriers.

La voix du peule, on le voit, n’avait pas accusé à tort.

Aujourd’hui, la statue de William Morgan s’élève sur l’une des places publiques de Batavia, Etat de New-York. Elle a été inaugurée solennellement en 1882. Il va sans dire que tous ceux de nos journaux européens qui louangent la Franc-Maçonnerie, se sont bien gardés de rendre compte de cette inauguration.

Cet assassinat maçonnique est un des évènements  se l’histoire des Etats-Unis ; car il a donné naissance à un parti spécial, l’Anti-Masonic Party, qui a joué, pendant une dizaine d’années, un rôle dans la politique de plusieurs Etats de l’Union. Quincy Adams, le plus honnête homme qui, après Washington, ait occupé la présidence des Etats-Unis, en fut le chef. En 1875, les révélations d’un des complices du crime, au lit de mort, ont achevé de faire entrer l’assassinat de Morgan dans le domaine des faits historiques absolument certains.

(Voir Letters on Masonic Institution, par John Quincy Adams, président des Etats-Unis d’Amérique, Boston, 1850 ; History of the abduction and murder of captain William Morgan, Chicago, 1881 ; Honor Thurlow weed on the Morgan abduction, Chicago, 1882 ; voir aussi la relation complète dans le New-York Herald des 9 et 11 août 1875, et le résumé dans le journal français Le Monde du 17 septembre 1875).

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